Avril 2015 - N° 47

HUMEURSJournal des SeMo Romands

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HUMEURS - avril 2015 - N°47Edito

Mon projet, il est OKSalut la compagnie ! C’est Samy qui participe pour l’édito 47.Tout d’abord, je tiens à dire que c’est un véritable honneur de collaborer pour ce numéro. J’ai la joie de vous an-noncer que j’ai trouvé ma place d’ap-prentissage en tant qu’informaticien au CHUV ! J’ai fait un stage chez eux et j’ai pu voir le métier. Accompagné et aidé durant ces quelques interven-tions (déplacements, installations et réparations de matériel informatique) plus un test.

J’ai 17 ans, je vis à Roche j’aime aider mes proches et mes amis, j’écoute de la musique, je joue un peu aux jeux vi-déo et je suis un passionné d’informa-tique. Je suis arrivé au SeMo en août 2014 avec l’objectif de concrétiser mon projet de formation et devenir apprenti informaticien. Mon parcours se résume un peu comme ceci : Ma référente : c’est la personne de

confiance avec laquelle j’ai construit mon projet et qui m’a soutenu dans mes recherches.

TRE : l’atelier Technique de recherche d’emploi, m’as permis de me préparer pour les divers entretiens que j’ai dû passer et également dans la création de mes dossiers de candidature.

L’atelier informatique : depuis mon ar-rivée je suis resté fixe, ça m’a permis d’avancer sur plusieurs projets for-mateurs, comme me familiariser avec l’environnement Ubuntu en program-mant un petit questionnaire avec du C++, ensuite les plaisirs de PowerPoint et ses possibilités dans l’animation di-verses installations, un peu de tout.

L’atelier expression : un lieu et une animatrice qui me permettait de réus-sir à m’exprimer plus librement et de m’ouvrir aux autres.

Pourquoi informaticien ?Disons, que ce métier correspond à ma personnalité. Il est rempli de choses qui ne cessent pas d’évoluer jour après jour. Cette passion est ve-nue par mon frère qui faisait un peu d’informatique (montage, démontage d’un PC).En conclusion, je suis heureux d’avoir fait l’expérience du SeMo ! Je profite pour remercier : mes proches qui m’ont soutenu dans ma démarche, mon responsable d’atelier informatique pour sa bonne humeur, ma référente pour son soutien, la res-ponsable de l’atelier expression pour son écoute, l’adjoint de direction pour son attention envers les participants et ainsi que mes camarades pour leur sympathie. J’espère que vous, lec-teurs, participants SeMo trouverez aussi votre place d’apprentissage ! NE VOUS DECOURAGEZ PAS !

Samy, Semochablais

Tête à tête

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HUMEURS - avril 2015 - N47° Connaissance du monde

L’AustralieLe continent Australien (eh oui, il s’agit bien d’un continent) n’a été peuplé que très tardivement par rapport au reste de la planète. Ce fut certaine-ment l’une des dernières zones à être peuplées par l’homme. En effet, les hommes ont débarqué en Australie il y a seulement 40.000 ans (d’autres sources disent 60.000 ans, mais comme vous pouvez vous en douter, ce n’est pas facile à dater ...).La faune et la flore L’Australie étend ses 7.686.850 km2 de surface sur la plaque australienne. Bordée par les océans Indien et Paci-fique, pour les Australiens, Austral, l’Australie est séparée de l’Asie par les mers d’Arafuna et de Timor et de la Nouvelle-Zélande par la mer de Tas-man. Elle compte 34.218 kilomètres de côtes et revendique 8.148.250 km2 de zone économique exclusive. La plus grande partie du territoire australien

est couverte de zones désertiques ou semi-arides : les programmes d’irri-gation ont du mal à vaincre la sèche-resse. Il existe autant de jungles, de déserts que plages dans tout l’Austra-lie, C’est un pays très divers et cela en devient un avantage. De tous les continents, c’est l’Australie qui enregistre le plus grand pourcen-tage d’extinctions animales comme le Koala, Le Kangourou Géant, l’émeu,

le Diable de Tasmanie, le Wombat, le Goanna, le Dugong, le Crocodile Ma-rin, le Poisson-Clown, le Grand Requin Blanc, dues à l’Homme depuis le XVIIIe siècle. Les premiers colons impor-tèrent du bétail mais leurs excréments ne disparaissaient pas car il n’y avait pas d’insectes, ni de bactéries pour les faire disparaitre. Depuis, après 4 siècles d’occupation européenne, il est enfin interdit d’importer des es-pèces animales ou végétales en Aus-tralie. Admirez de plus près la beauté de la nature australienne. L’Australie a des oiseaux, des plantes et des ani-maux que l’on ne trouve nulle part ailleurs, 15 merveilles listées au patri-moine mondial, et plus de 500 parcs nationaux. L’Australie est bien connue pour son incroyable nature et faune sauvage. Des imposants et lointains Kimberley à la nature sauvage de Tas-manie, il existe de nombreuses façons de découvrir la faune et les paysages uniques de l’Australie commencez par : La chaîne de montagne Le Red Centre ainsi que le kimberley pour ensuite découvrir La Grande Barrière de Corail, L’île de Kangaroo Island ainsi que Les forêts tropicales d’Australie.

Quelle est la monnaie actuelle de l’Australie ?En Australie, on paye en dollars ($), mais pas les mêmes qu’aux Etats-Unis. Ici, ce sont des dollars austra-liens (notés AUD, Australien Dollars). Historiquement, et jusqu’en 1966, les Australiens utilisaient la Livre Sterling, comme les anglais, à la seule diffé-rence qu’ils appelaient ça la Livre Ster-ling Australienne.

Sarah Uettwiller, SeMoLac – Nyon

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HUMEURS - avril 2015 - N°47

Je m’appelle Adrijan, je suis dans l’atelier BIO et j’ai trouvé ma place d’apprentissage

en tant que logisticien

Je m’appelle Laura, je suis dans l’atelier BIO et j’ai trouvé ma place de polydesigners 3D

Je m’appelle Lisa, , je suis à l’atelier

Ali bébé et j’ai trouvé ma place d’apprentissage

en tant que gestionnaire du commerce de détail.

Je m’appelle Estévan, je serait mécanicien de production

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HUMEURS - avril 2015 - N47°

Je m’appelle Denisa, je deviendrai peintre en bâtiment

Je m’appelle Célina, moi aussi je deviendrai peintre en bâtiment

Je m’appelle Gence et je serais assistant

en maintenance automobile

Je m’appelle Romain , je serait

menuisier

Je m’appelle Joanne , je serait

employée de commerce

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HUMEURS - avril 2015 - N°47

de gauche à droite : Sophie Edoa, future opératrice de machines automatisées

Tiffany, future gestionnaire en économie carnée et Gauthier, futur gestionnaire du commerce de détail.

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HUMEURS - avril 2015 - N47°

Concilier sport et formationExpérience personnelle

Bonjour à tous, je m’appelle Lumrim Lokaj, je suis né au Kosovo un 19 mai 1998, pendant la guerre, Âgé de 16 ans, j’ai la double nationalité Suisse et Kosovar, je suis actuellement au SeMo à Bex, pour conclure mes projets de formation. Mes choix professionnels sont Assistant de bureau et Gestion-naire du commerce de détail.

Avec le soutien de ma famille, je pra-tique le football depuis l’âge de quatre ans, depuis deux ans je joue au FC Lausanne Sports M17. J’espère aller plus loin et devenir joueur profession-nel. Dans ma situation actuel, je n’en-visage pas d’arrêter le football, mais je suis conscient que je dois trouver une entreprise formatrice.

Difficultés que je rencontre Je vais vous parler des difficultés entre mes choix professionnels et le sport que je pratique, pour moi, ce n’est pas toujours évident, et même si les métiers que je choisis, je devrai cuand même trouver un patron ou une en-treprise qui m’autoriseraient à conti-nuer mes entrainements de football.

En tant que gestionnaire de com-merce du détail, il est fort possible que je puisse travailler les samedis, mon patron devrait me laisser un peu de temps libre puisqu’il est possible que j’aie des matchs les samedis.

Comme vous avez pu le remarquer, c’est un choix très difficile, entre le football et le travail, je ne sais plus vraiment quoi faire. Je vais plutôt al-ler me renseigner avec le FC Lausanne pour savoir s’ils croient que j’arriverais à aller loin dans le milieu du football. Si leurs réponses seront positives, pour moi c’est sûr et certain que je continuerai sur cette voie. Sinon, je mettrais en priorité mon projet de for-mation.

Je rencontre beaucoup de difficultés à savoir s’adapter, savoir jouer le jeu de l’entraineur avec mes coéquipiers, et ce qui est sûr c’est qu’il y a surtout beaucoup de concurrence pour n’im-porte quel poste.

Dans mon équipe, on est plus de vingt-quatre joueurs, alors je vous laisse imaginer que dans les vingt-quatre joueurs, chacun a le même poste que l’autre, voire plusieurs.

Mon équipe favorite est le Real Ma-drid et mon joueur est Cristiano Ro-naldo, il est ma source d’inspiration et c’est grâce à lui si j’ai commencé à faire du football, et de vouloir réaliser mon rêve. C’est une « star de football» parce qu’il sait jouer et quoi faire avec le ballon même avant de le recevoir, ses frappes et ses dribbles sont justes exceptionnels. En pleine action il prend toujours les bonnes décisions, passer la balle ou aller direct au but, il frappe, il est sûr de lui et c’est ce qui compte le plus. C’est pourquoi, je fais tout pour réussir à lui ressembler. Le football c’est ma passion, c’est toute ma vie.

Parlons un peu de mes choix profes-sionnels, comme je l’ai précisé aupara-vant, je voudrais faire gestionnaire du commerce de détail, particulièrement dans le domaine du sport, je me sens comme si j’étais chez moi, j’ai beau-coup de facilité dans ce métier et je m’adapte très facilement. C’est pour cela que je voudrais exercer ce métier.

Au football, je connais des hauts et des bas, les bas, c’est les blessures qui nous pénalisent, les hauts, c’est de bien jouer, marquer beaucoup de goals, faire gagner notre équipe par notre jeu et nos buts, ne pas se bles-ser. J’ai deux seuls objectifs, le tout premier que je tiens à tout cœur et de réaliser mon rêve, qui est de de-venir un joueur professionnel, mon deuxième objectif est d’avoir un très bon travail dans lequel je me sentirais bien, et que je puisse avoir un bon sa-laire qui me permettra de vivre. C’est extrêmement difficile de choisir entre ces deux choix. J’ai déjà fait six stages et dans quatre différents métiers, j’ai effectué deux stages en tant que ges-tionnaire du commerce de détail, les quatre autres sont: carrossier, bûche-ron, coiffeur et assistant socio-éduca-tif. Le métier qui m’a le plus plu c’est la vente dans le domaine du sport et je suis presque sûr de vouloir faire ges-tionnaire, mais je veux tout de même faire un stage d’assistant de bureau, car je pense que ce métier va certai-nement énormément me plaire. J’ai-merais avoir la possibilité de travailler en tant qu’assistant de bureau, car je ne travaillerai pas les samedis, j’aurai donc le temps pour aller m’entraîner après le travail et pour aller au match.

Lumrim, Semochablais

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HUMEURS - avril 2015 - N°47

Pourquoi la coiffure et pas un autre métier ?

C’est au cycle d’orientation où je me suis intéressé au monde de la coif-fure. J’ai commencé à coiffer mes sœurs et ma mère. Je leur faisais des brushings, leur lissais les cheveux et créais des boucles.J’aime la coiffure car ça touche à la mode et aux tendances et ça me per-met d’être en contact avec les gens.

La coupe que tu aimes le plus prati-quer à une personne ?

La coupe que j’aime le plus faire c’est les carrés plongeants. Ma mère a cette coupe et je trouve qu’elle met en valeur les visages carrés.

Est-ce difficile d’être un homme dans le monde de la coiffure ?

Non, car pour moi le métier de coiffeur est un métier comme un autre et je ne vois pas d’inconvénient. Au contraire, je pense que c’est un plus car je me sens plus à l’écoute des demandes des femmes.

Est-ce que les cheveux sales, gras ou avec des poux te dérange ?

Non car les salons de coiffure sont équipés de gants pour les shampoings. Bien sûr l’idéal serait une personne avec des cheveux propres.

Comment réagis-tu si un client n’est pas satisfait de ton travail ?

Je le rembourse ou je transmets le problème à ma gérante. Lors d’un stage, une cliente n’était pas satisfaite de sa coupe et la responsable lui a donné un autre rendez-vous pour re-faire sa couleur gratuitement.

Aimerais-tu aller plus loin dans le monde de la coiffure ?

Oui car j’aime rester au courant de ce qui est à la mode et continuer ce mé-tier serait un plaisir pour moi. Il existe de nombreux concours ainsi que des concours organisés par des marques internationales comme Wella, Kéras-tase, L’Oréal, etc… Les coiffeurs indé-pendants peuvent aussi créer leurs propre collection, faire des shooting, c’est un métier très artistique.

Combien de temps faut-il pour faire une couleur à une personne ? Et une simple coupe ?

Pour une couleur entre 1h00 et 1h30 et pour une simple coupe, tout dé-pend du nombre de cheveux à couper et si c’est une personne avec les che-veux courts ça prend 30 minutes et avec les cheveux longs tout dépend de ce que la personne désire.

Aimerais-tu avoir ton propre salon de coiffure ?

oui ! j’aimerais bien me mettre à mon compte à Lausanne ou à Genève et travailler en association avec une es-théticienne. Une esthéticienne, parce que j’ai connu une personne au se-mestre de motivation avec qui je me verrais bien collaborer plus tard !

Combien reçois-tu de pourboire en moyenne ?

Un coiffeur reçoit en moyenne 50 CHF de pourboire par semaine.

À quelle fréquence nettoyez-vous les peignes, les brosses et autres outils de coiffure ?

Dans le salon où j’ai accompli mon stage, on nettoyait les outils de coif-fure une fois par semaine parce que dans les salons ils n’ont pas le temps ni de manger et ni de nettoyer…

Quel est le montant de la rémuné-ration à la fin du mois en tant que coiffeur ?

Pour un travail à 100 % un coiffeur touche en moyenne 3.500 CHF. C’est un salaire plutôt bas mais ce qui compte c’est d’aimer ce qu’on fait et de partir au travail avec le sourire.

Quel est le meilleur produit pour ré-parer les cheveux ?

À mon avis ce sont les soins Kérastase, parce qu’ils ont différents produits comme les shampoings, les crèmes et masques pour réparer et protéger les cheveux du fer à lisser et encore diffé-rentes choses proches de la réalité des gens dans leur quotidien.

Quelles sont les préjugés dans ton entourage vis-à-vis d’un coiffeur ?Si c’est un garçon il est forcément «homo» et que c’est une profession pour les personnes qui n’ont pas de bonnes notes. C’est faux car pour faire ce métier il faut apprendre un réel savoir- faire, une coupe ou une couleur ça ne s’improvise pas . De plus, il faut s’intéresser aux personnes et les écouter. C’est un travail qui de-mande de l’empathie, de l’écoute, de la précision, de la créativité et de la bonne humeur !

Enver Binjos Nicolas Duperrier

Enver, 15 ans, veut devenir coiffeurMon métier de rêve

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HUMEURS - avril 2015 - N47° Expérience personnelle

La peur

Il était une fois une fille qui avait 16 ans elle vivait dans la région de Paris et s’appe-lait Rachel. Elle vivait avec sa mère. Son père était parti re-joindre les anges dans le ciel. Il est parti quand Rachel avait 15 ans. Depuis elle a toujours peur de se retrouver seule le soir chez elle ou dehors. Elle aime beaucoup la musique, la danse et le chante. Tous les mercredis Rachel va à son cours de danse classique. Un jour alors qu’elle rentrait de la danse elle se senti suivie par quelqu’un. Elle décida de ne pas se retourner alors elle continua de marcher en écoutant de la musique sur son iPod. Elle voulait savoir si elle se faisait des idées au sujet de l’inconnu alors elle décida d’accélérer le pas. Mais à son grand effroi l’in-connu accéléra aussi. Plus de doute cette personne la sui-vait bien! Prise de panique, elle décida d’appeler sa mère, mais elle vit avec horreur que son téléphone n’avait plus de batterie. Rachel sent des sueurs froides glissées le long de sa colonne vertébrale. Que faire se dit-elle ? Plus qu’une solution, fuir, alors elle se mit à courir! Elle courait sans re-garder dans quelle direction elle allait. Quand soudains elle s’arrêta net, devant elle

se tenait un mur qui ne me-nait nulle part! Une impasse! Elle est faite comme un rat. Elle se retourna et dans l’ombre elle vit l’ombre de l’inconnu s’approcher de plus en plus. À présent l’homme se tenait à un cm d’elle. Elle ferma les yeux et la dernière chose qu’elle vit c’était un couteau prêt à être planté dans une bonne chair d’une innocente. Elle poussa un cri. Quand elle ouvrit les yeux, elle était dans son lit. Son vi-sage recouvert de sueur. Elle se redressa et regarda autour d’elle. Sa mère arriva en cou-rant, la prit dans ses bras et lui chuchota à l’oreille.- Ne crains rien ma chérie je suis là ne t’inquiète pas. Ne laisse pas ta peur te submerger. Sois forte ! Tu as du courage. Aller dort sur tes deux oreilles ton père veille sur toi où que tu sois ! Elle regarda sa mère rassurée.

Rachel regarde par la fenêtre, elle vit une étoile étinceler. Elle embrassa sa mère, ferma les yeux et un sourire se des-sina sur son visage. Ce texte est destiné pour tous genres de lecteur. Le mes-sage est vraiment de pouvoir surmonter nos peurs, nos angoisses dans la vie. Etre courageux (se) et être fort (e) face à chaque épreuve que la vie nous réserve.

Merci pour votre lecture

Bonjour à tous. Je m’appelle Alka Bernhard et aujourd’hui j’avais envie de par-tager cette histoire, que j’ai écrite avec vous. J’ai 18 ans et j’ai commencé à écrire à l’âge de 14 ans. Le sujet de cette histoire est la peur. Je vous laisse donc découvrir ce texte.

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HUMEURS - avril 2015 - N°47Cuisine

La merveilleuse cuisine du CamerounLe Cameroun est un pays composé de plusieurs ethnies, ce qui rend ce pays riche grâce à la grande diversité des mets qu’il possède. Nous allons donc nous pencher sur l’un des plats typiques des Camerounais.

La recette du poulet sauce d’arachides avec du riz

Préparation : 20 minutesCuisson : 50 minutes

Ingrédients pour 6 personnes1 poulet 6 tomates bien mûres2 oignons rouges125 g de pâte d’arachidesBouillon de poule 2 gousses d’ailBasilic½ verre d’huile d’arachide

PréparationDécouper le poulet en morceaux (pas de très gros morceaux).Faire dorer le poulet découpé en morceaux dans une casserole avec l’huile et mettre de côté.Laver et mixer les tomates l’oignon et l’ail.

Dans une casserole, faire revenir l’autre oignon et le basilic coupé en fines lamelles.Rajouter la tomate et laisser cuire pendant 5 minutes environ au feu moyen en ajoutant 2 verres d’eau, ensuite le poulet. Laisser mijoter pendant environ 20 minutes.Prélever 1 à 2 louches de cette sauce que vous versez dans un bol contenant la pâte d’arachide. Mélanger de façon à obtenir une

crème onctueuse, lisse et homo-gène, sans grumeaux.Verser doucement le contenu dans la casserole contenant le poulet, mélanger et cuire environ 20 mi-nutes. Rajouter de l’eau si vous trouvez votre sauce trop épaisse. Assai-sonner selon votre choix.Server avec du riz ou tout autre ac-compagnement de votre choix.

Sophie, Semo de Bassecourt

.Source : http://www.editions2015.com

Ingrédients 1-2 escalopes de poulet Environ 8 œufs Persil Curcuma, sel, poivre, épices tuni-siennes Pommes de terre 1-2 oignons Fromage râpé (facultatif)

Pour commencer, on coupe les oi-gnons, ensuite. On les fait revenir dans un peu d’huile, puis on y ajoute les escalopes de poulets coupées en dés. Ensuite, on y met le persil et les épices. On laisse revenir et on ajoute un peu d’eau, pas beaucoup, mais juste assez pour que forme une sauce. On laisse mijoter jusqu›à ce que la viande soit cuite et que la sauce réduise.Ensuite, on coupe les pommes de terre en cubes et on les fait frire. On

peut également les couper en gros morceaux et les faire bouillir dans de l’eau jusqu’au moment où elles de-viennent molles.Quand les pommes de terre sont prêtes, on les mélange avec la viande et la sauce qu’il nous reste. On bat nos œufs et on les ajoute à la préparation. On peut également ajouter du fro-mage râpé si on en a envie.

Quand c’est prêt, on met le tout dans un plat à four huilé et on enfourne notre tajine jusqu’à qu’il soit bien cuit et doré. Pour être sûr qu’il soit prêt, on peut tester avec la pointe de notre couteau pour voir si elle ressort sèche.Pour finir, on le découpe en petits car-rés et on mange. Source :

Maëla, SeMo de Bassecourt

Tajine tunisien au poulet

http://www.odelicesdemyriam.com

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HUMEURS - avril 2015 - N47°

Ingrédients (pour 6 personnes)- 12 ou 18 cuisses de poulet selon leurs tailles- 4 citrons confits- 8 gousses d’ail - 380 g d’olives vertes dénoyautées- 4 cuillères à soupe de mélange de 5 épices «poivre, anis, cannelle, clou de girofle et fenouil»- 3 cuillères à café de curcuma- 4 cuillères à soupe d’huile d’olives- 1 bouquet de coriandre fraiche- 2 verres d’eau- sel, poivre- Abricots (au choix et au goût, pas nécessaire)

Préparation de la recette

Saler et poivrer les morceaux de pou-let. Les faire revenir dans l’huile d’olive avec les gousses d’ail épluchées mais entières pour les faire dorer 5 à 10 mi-nutes en les retournant plusieurs fois.

Placer les morceaux de poulet et les gousses d’ail dans le tajine, ajouter le mélange «5 épices», le curcuma, la co-

riandre hachée, les olives égouttées, le citron confit et les verres d’eau.

Brancher l’appareil à la puissance maximum si c’est un tajine électrique, sinon le placer à feu vif au début puis baisser ensuite. Et laisser cuire 2h30 sans ouvrir le couvercle.

Abderrazzak Mouzdahir, SeMo de Bassecourt

Cuisine

Tajine de poulet au citron

Étant donné que je suis aussi com-pétent en cuisine qu’en physique nu-cléaire, j’ai du mal à trouver l’inspira-tion pour ce texte. Je vais donc vous parler de ce que je fais le mieux : le sandwich.

Ingrédients

• 1 baguette• du rosbif cuit• 1 tomate• des cornichons• de la mozzarella• de l’origan• du sel & du poivre

Quick and delicious

Sources : centrefemmesbellechasse.comzouck.canalblog.comwww.magimix.fr/recetteskitchenstory.netla-recette-de-cuisine.comfemmezoom.com

Préparation

• Découper le rosbif en fines tranches, ainsi que la tomate et les corni-chons.• Ouvrir la baguette et disposer les tranches de viande, assaisonner avec du sel et du poivre.• Ajouter les rondelles de tomate et les tranches de cornichon.• Recouvrir de mozzarella et parsemez d’origan.• Réchauffé un moment au four pour faire fondre la mozzarella et rendre le pain encore plus croustillant.

Source : http://www.club-sandwich.net

Jean-Philippe, SeMo de Bassecourt

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HUMEURS - avril 2015 - N°47

Recette du Yassa au pouletJ’ai décidé de vous présenter la re-cette du Yassa au poulet. C’est un plat que j’affectionne particulièrement J’ai un tonton d’origine sénégalaise qui connaît la recette depuis tout jeune. Il nous l’a souvent préparé lorsque nous étions invités chez eux. On le dé-gustait par terre sur une nappe dans un grand plat. Le Yassa se compose principalement d’oignons. Il peut être cuisiné avec de la viande de bœuf ou du poisson. On peut également y ra-jouter d’autres ingrédients comme du piment et des légumes et on le dé-guste normalement avec du riz ou du couscous.

Ingrédient - 1 poulet fermier- 6 oignons- 1 ou 2 cuillerées à soupe de moutarde forte- 2 à 3 cubes « Maggi »- le jus de 3 à 5 citrons- 2 cuillerées à soupe d’huile- 2 gousses d’ail- ½ poivron vert- ½ poivron rouge- 3 carottes- sel, poivrePréparation

1. La veille, éplucher et coupez les oi-gnons en fines lamelles.

2. Coupez le poulet en morceaux.

3. Pressez le jus de citron.

4. Mettez les oignons et le poulet dans un récipient. Ajoutez le jus de citron, les cubes maggi écrasés et la mou-tarde forte. Mélangez bien et laissez macérer pendant une nuit au frais.

5. Le lendemain, mettez le poulet sans jus ni les oignons sur une plaque allant au four. Préchauffer le four. Quand il est chaud, mettez-y le poulet.

6. Pendant ce temps, mettez les oi-gnons sans le jus dans une grande cocotte avec l’huile sur feu assez fort. Laissez-les cuire 5 à 10 minutes en les remuant régulièrement. Conservez le jus de la marinade.

7. Épluchez les carottes et les gousses d’ail puis ajoutez-les dans les oignons.

8. Ajoutez également les gousses d’ail hachées.

9. Remuez régulièrement toujours sur feu assez fort.

10. Retournez le poulet pour griller les autres faces.

11. Quand le poulet est bien grillé (il n’est pas cuit, juste grillé!), mettez-le sur les oignons dans la cocotte. Met-tez un peu d’eau dans la plaque où le poulet a grillé pour bien récupérer les sucs de cuisson.

12. Ajoutez la marinade à ce moment dans la cocotte et l’eau de la plaque.

13. Ajoutez enfin de l’eau aux 3/4 de la hauteur du poulet. Couvrez et laissez cuire 25 à 30 minutes en baissant sur feu doux.

14. Ajoutez le(s) poivron(s) coupé(s) et épépiné(s) puis laissez de nouveau cuire pendant 20 minutes. Enlevez le couvercle et laissez cuire jusqu’à ce que le poulet soit totalement cuit et que la sauce épaississe.

15. Il est temps de goûter pour ajuster l’assaisonnement en ajoutant au be-soin du sel, du poivre, du jus de citron, de la moutarde ou même un morceau de cube maggi.

Servez bien chaud avec du riz ou du couscous et bon appétit !

Gauthier, SeMo de Bassecourt

Cuisine

Source : http://www.recettesafricaine.com/yassa-au-poulet.html

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HUMEURS - avril 2015 - N47° Cuisine

Spécialité du PortugalLa cuisine portugaise est une cuisine simple, les ingrédients sont à peine transformés, les aliments sont cuits au grill ou bien mijotés dans des plats colorés par des dessins en blanc sur le fond de terre cuite ou en cuivre.

Nous, les Portugais, on aime bien ra-jouter de l’huile d’olive. Certaines saveurs et aliments reviennent ainsi dans chaque plat ou presque. Leur uti-lisation s’explique par des différents peuples ayant occupés le pays à tra-vers le temps, mais aussi par l’apport des colonies ou encore par l’agricultu-re locale.

Le Bacalhau a brás ou le gratin de morue

Pour 6 personnes• 1,5 kg de morue • 12 pommes de terre • 6 œufs • 4 cuillères à soupe d’huile de tournesol• 4 cuillères à soupe d’huile d’olive • 2 oignons • 2 gousses d’ail• Persil

1. Au début, il faut laisser dessaler la morue dans de l’eau. Renouveler en-viron 4 à 5 fois l’opération pendant 24 heures avant de commencer la prépa-ration. 2. Pour commencer, détacher la mo-rue en petits morceaux tout en reti-rant les arêtes. Cette opération est assez longue. 3. Apres, faites revenir les oignons et ail dans l’huile d’olive et l’huile de tournesol. 4. Ensuite ajouter la morue et faites revenir le tout environ 5 minutes. 5. Par la suite, on s’attaque à la dé-coupe des pommes de terre en petites frites. Faites les frire peu de temps pour les précuire.

6. Mélanger les frites, la Morue, les oi-gnons et l’ail dans une poêle. 7. Laisser sur le feu pendant 5 mi-nutes. 8. Pour finir le tout, battre les œufs, saler, poivrer. 9. Ajouter les œufs avec le reste de la préparation au dernier moment. Lais-ser chauffer quelques instants tout en remuant sans que les œufs soient trop cuits. 10. Parsemer de persil et mélanger. Servir bien chaud.

Sources :http://cuisine.journaldesfemmes.com

Hugo Rodrigues, SeMo de BassecourtLa Morue

Les Morues moyennes, de 2 à 3 kg, mesurent 60 à 70 cm. La morue ne peut normale-ment pas peser plus de 30 kg, mais des fois, il y a des exceptions comme un pé-cheur l’a confirmé : il a pê-ché un spécimen pesant 96 kg et mesurant 180 cm. On la trouve plus généralement dans l’océan Atlantique, principalement vers la Nor-vège. Il y a plein de façon de la préparer : le bacalhau à la sargento, le bacalhau à brás, bacalhau a natas.

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HUMEURS - avril 2015 - N°47

feuilles de laurier, le bâton de can-nelle, et les grains de poivres grillés jusqu’à ce que les oignons deviennent bruns doré. De temps en temps, re-muer.3. Rajouter le riz, les petits pois, les carottes et les noix de cajou. Remuer environ une minute. Et laisser couvert 2 minutes.4. Rajouter l’eau, le sel et encore re-muer. Réduire le feu et laisser cuire 20-25 minutes jusqu’à ce que le riz soit cuit.5. Rajouter les dattes et bien remuer. Sortir les feuilles de laurier et garnir le riz avec la coriande.

Xénia, SeMo de Bassecourt

Depuis août 2013 je suis allée faire une année au pair à Schaffhouse. La famille étaient végétarienne et avaient pour habitude de manger indien tous les vendredis.Je n’aime pas vraiment cuisiner et je ne suis pas non plus très douée dans ce domaine, mais j’ai beaucoup aimé les repas indiens. Maintenant ; je connais aussi plus d’épices et d’ingré-dients que je n’utilisais pas forcément avant.Je vais vous présenter le navratan pulo, c’est un plat principal pas trop compli-qué à faire et vraiment délicieux. Sur l’image il est accompagné d’une sa-lade de carottes aux cacahuètes.

NAVRATAN PULO Pour 6-8 personnes

500 g de riz basmati80g de beurre 2 c.s. de graines de cumin1 oignon couper fine lamelles3-4 graines de cardamones6 clous de girofles3 feuilles de lauriers1 bâton de cannelle, cassé en 3-4 bouts

12 grains de poivre noir200 g de petit pois 2 carottes râper1 main de noix de cajou600 ml d’eau chaude11/4 c.s. sel6-7 dattes, coupées part la moitiéGarnir avec des feuilles de coriandre finement hachées

Recette

1. Bien laver le riz, laisser tremper 30 minutes dans de l’eau et ensuite égout-t e r2. Mettre le beurre dans une grosse poêle et laisser chauffer. Une fois bien chaude, on met le cumin, les oignons, la cardamone, les clous de girofle, les

Cuisine indienne végétarienneCuisine

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Ingrédients

• La pâte (Brumi)- 1 kg de farine- 500 ml d’eau- 200 gr d’huile- 1 cuillère à soupe de sel

• La farce (Mbushja)- 1 kg d’épinard- 100 gr de fromage turc- 5 cuillères de yaourt nature- 2 à 4 oignons - 1 cuillère à soupe de sel- 1 œuf

Préparation1. Première étape, préparer la pâte: vous prenez un grand récipient et vous y versez l’eau dedans et le sel puis l’huile, ensuite vous ajoutez la farine petit à petit et vous mélangez avec votre main en faisant des ronds. La pâte doit devenir homogène. Lais-sez-la reposer 15 minutes en la re-couvrant. Pendant que la pâte repose vous pouvez vous attaquez à la farce.2. Deuxième étape, préparer la farce : il faut mettre les épinards dans un plat assez profond, ensuite vous coupez les oignons en dés puis vous les rajou-tez aux épinards. Vous rajoutez l’œuf, le fromage et les 5 cuillères de yaourt nature, ensuite il faut assaisonner.

3. Troisième étape : une fois que votre pâte est reposée, vous faites des pe-tites boules avec la pâte. Il faut faire en-viron 12 petites boules, puis les aplatir pour qu’elles soient bien plates. Vous les badigeonnez d’huile. Vous prenez une autre pâte aplatie et vous la met-tez par-dessus celle préalablement préparée, puis vous la badigeonnez d’huile. Il faut reproduire cette opéra-tion avec toutes les petites boules de pâtes. On étire la pâte pour faire en sorte qu’elle recouvre toute la plaque à gâteau. Cette plaque doit avoir en-viron 5 cm de profondeur. Vous faites ce procédé avec la moitié des 12 pe-tites boules aplaties. Vous versez la farce, puis vous la recouvrez avec le reste de pâte. Ensuite vous en-fourner a 250 degré, pen-dant 30-40 minutes. Vous pouvez visualiser cette dernière étape sur cette vidéo : https://www.you-tube.com/watch?v=hB-jHW48ZEKY.

Préparation et ingrédient (accompagnement de la pite)

• Specat turshi- 10kg de poivrons

- 2l d’eau - 0.5l d’huile- 0.5l de vinaigre blanc- 300gr de sel- 1 tasse à café de sucre- 10 gousses d’ail- 10 carottes - céleri

Source : http://www.kuzhinashqiptare.com/brumera/pite-me-spanaq/

Majlinda Gaxherri, SeMo de Bassecourt

Préparation de la pite me spinaqCuisine

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HUMEURS - avril 2015 - N°47

vils il gagnera notamment par deux fois la coupe Stanley, avant de devenir leur entraineur et de gagner une troi-sième fois la coupe Stanley. En 2003, il pourra enfin retourner dans son pays d’origine où il deviendra présidant du HK CSKA Moscow. Il rejouera le 11 dé-cembre 2009 contre le SKA Saint-Pé-

Le documentaire Red Army du réalisa-teur Gabe Polsky et producteur Jerry Weintraub, retrace le parcours de l’équipe national de Russie surnom-mée « L’Armée Rouge » : une dynastie unique dans l’histoire du sport.

En URSS, ex-union de républiques so-cialistes soviétiques, ... actuellement la Communauté des États indépen-dants (CEI), le hockey n’était pas seu-lement le sport le plus populaire de la nation. Il était surtout un outil de pro-pagande patriotique pour montrer la supériorité de L’Est sur l’Ouest. Dans un système implacable ou les joueurs sont entrainés, dans une ambiance martiale, depuis leur plus jeune âge afin de devenir les plus grands ath-lètes du monde. Le filme compte no-tamment sur les interventions de Sla-va Fetisov qui discute de son parcours dès les années septante où il était le joueur vedette du HK CSKA Moscow avec lequel il gagnera la coupe d’Eu-rope des clubs champions chaque an-née de 1977 à 1989 ainsi que la coupe d’URSS de 1979 et 1988. Puis en 1989 Fetisov, est allé en NHL pour les Devils du New Jersey, ce qui lui vaudra d’être déclaré ennemi poli-tique de la mère patrie. Avec les De-

tersbourg, mais décidera néanmoins le lendemain que cette défaite 3-2 serait le dernier match de sa carrière.Pour la petite anecdote Slava Fetisov, de son vrai nom Viatcheslav Aleksan-drovitch Fetisov, c’est : deux médailles d’or Olympiques en 1984 et 1988 et une médaille d’argent Olympique en 1980. Pas moins de sept médailles d’or, une d’argent et trois de bronze au championnat du monde. Une mé-daille d’or dans le championnat Ca-nadien. Trois médailles d’or dans les championnats du monde junior. Il a été également nominé Crosse d’or de hockey trois fois en 1984, 1986 et 1990. Et est inscrit au temple de la re-nommée (c’est une fondation qui re-cense les meilleurs joueurs de hockey de l’histoire) depuis 2001.

Le film Red Army a été nominé au Festival de Cannes 2014 dans la sélec-tion: « Séances spéciales », au Festi-val du Cinéma American de Deauville 2014 dans la sélection : « Les Docs de l’Oncle Sam »et au Writers Guild of America Awards 2015 dans la sélec-tion : «Meilleur scénario de documen-taire ». Il est passé en février 2015. Ronchi Donovan

Semochablais

Red ArmySpécial

Référence AlloCiné