historique du projet

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Historique du projet. L’idée de départ : illustrer l’ensemble des TP de physique de Sup et de Spé par des séquences vidéo exploitables par l’enseignant. 1 ère étape : faire le point sur les techniques d’édition de contenu multimédia et interactif. se concentrer sur la production des séquences vidéo. 2 ème étape : Planifier le contenu de la banque de données. Décider d’une utilisation possible de la banque de données : Par l’enseignant, qui élabore l’exploitation pédagogique à partir des vidéos brutes. Par l’enseignant, qui utilise un montage pédagogique tout fait. Par l’élève, en autonomie active, sur un produit multimédia interactif complètement abouti. Par l’élève, en autonomie passive, sur un montage pédagogique non interactif. En préparation à l’agrégation. Réfléchir à l’implantation sur site : la banque de données doit s’adapter à toutes les possibilités de diffusions (Internet, intranet, CD, DVD) et à toutes les plates-formes (UNIX, Windows, Mac). Choisir les modalités d’accès à la base de données : accès libre et gratuit avec respect des droits d’auteur. État actuel du projet : Étude du réglage du goniomètre et du réglage du Michelson. Collaboration avec le CRDP de Lyon pour l’évaluation des possibilités et des contraintes techniques. Préparation d’un DVD/cDVD sur une station d’authoring de l’ENS-Lyon. banque de données vidéo pour des TP de Physi

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Historique du projet. Une banque de données vidéo pour des TP de Physiques. L’idée de départ : illustrer l’ensemble des TP de physique de Sup et de Spé par des séquences vidéo exploitables par l’enseignant. 1 ère étape : - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Historique du projet

Historique du projet.

– L’idée de départ : illustrer l’ensemble des TP de physique de Sup et de Spé par des séquences vidéo exploitables par l’enseignant.

– 1ère étape : – faire le point sur les techniques d’édition de contenu multimédia et interactif.

– se concentrer sur la production des séquences vidéo.

– 2ème étape :– Planifier le contenu de la banque de données.

– Décider d’une utilisation possible de la banque de données :

– Par l’enseignant, qui élabore l’exploitation pédagogique à partir des vidéos brutes.

– Par l’enseignant, qui utilise un montage pédagogique tout fait.

– Par l’élève, en autonomie active, sur un produit multimédia interactif complètement abouti.

– Par l’élève, en autonomie passive, sur un montage pédagogique non interactif.

– En préparation à l’agrégation.

– Réfléchir à l’implantation sur site : la banque de données doit s’adapter à toutes les possibilités de diffusions (Internet, intranet, CD, DVD) et à toutes les plates-formes (UNIX, Windows, Mac).

– Choisir les modalités d’accès à la base de données : accès libre et gratuit avec respect des droits d’auteur.

– État actuel du projet : – Étude du réglage du goniomètre et du réglage du Michelson.

– Collaboration avec le CRDP de Lyon pour l’évaluation des possibilités et des contraintes techniques.

– Préparation d’un DVD/cDVD sur une station d’authoring de l’ENS-Lyon.

Une banque de données vidéo pour des TP de Physiques.

Page 2: Historique du projet

Création des séquences vidéo– Séquences en images de synthèse :

+ Très fort potentiel de communication (précision, réalisme, esthétique).

+ Grande souplesse d’adaptation aux « vues de l’esprit ».

+ Très à la mode chez les jeunes !

– Il faut des compétences d’infographiste.

– C’est un domaine nouveau dans lequel il ne faut pas reproduire les habitudes iconographiques héritées des conditions présentes (tableau noir, transparent, logiciels de calculs scientifiques).

– Le public étudiant place la barre très haut.

– Vidéo issues de la réalité :

+ Proche de la réalité expérimentale. Perçues comme une re-transmission objective de l’observation scientifique (contrairement aux simulations).

+ On peut accéder à des expériences qui ne sont pas réalisables au lycée par des enseignants de CPGE.

+ Disponibilité totale et quasi-immédiate.

– Il faut disposer de toutes les compétences liées aux métiers de l’audiovisuel.

– Il faut disposer d’une unité de production audiovisuelle (investissement entre 15000 € et 150000 €)

– Il faut être capable de résoudre les problèmes techniques particuliers à l’acquisition des images scientifiques.

Page 3: Historique du projet

www.nas.nasa.gov/Groups/VisTech/images/laplacian/H2O.jpg

Page 4: Historique du projet

gvs.gsfc.nasa.gov/vis/a000000/a002300/a002391/index.html

Page 5: Historique du projet

Laboratoire PR@TIC, ENS-Lyon 2002

Page 6: Historique du projet

Laboratoire PR@TIC, ENS-Lyon 2002

Page 7: Historique du projet

Exploitation des séquences vidéo.Cette exploitation peut se faire :

– Individuellement, par l’enseignant. Chaque enseignant peut décider de l’exploitation pédagogique qu’il fera des séquences vidéo disponibles dans la banque de données (cours, TP, TD, séances exceptionnelles, polycopiés, transparents).

Remarque : il faut disposer des moyens d’exploitation : laboratoire vidéo, station de montage et d’authoring, …

– Sous forme d’un montage pédagogique type. Directement exploitable par l’enseignant ou par l’élève. Ne nécessite aucune intervention et donc aucune compétence de production. Assure une égalité d’accès et de distribution à toutes les CPGE.

Remarque : ce type de produit est-il adapté au fonctionnement de l’enseignement en CPGE ?

Page 8: Historique du projet

Proposition de projet pilote

Expression des besoins

Unité de production

Diffusion des productions

– Corps des enseignants– Inspection Générale– Étudiants (?)

– Un établissement d’enseignement supérieur– Liaison avec les Universités, ENS et Écoles d’ingénieurs

– Internet (site web)– Support physique (DVD, cDVD, CD-Rom)– Produit éducatif (CNDP/CRDP)

Utilisation et évaluation

Page 9: Historique du projet

Remerciements

– au laboratoire PR@TIC de l’ENS-Lyon : Marie-Christine Artru, Gérard Vidal, Sébastien Chaumat, Charles-Henri Eyraud, Sébastien Pilloz, Benoît Urgelli.

– Au Lycée La Martinière Monplaisir (Lyon) : Laurence Lechuga, François Clausset, Marc Vincent.

– Au CRDP de Lyon : Daniel Pacaud, Philippe Joannin, Hervé Turri, Jean-Pierre Francisoud.

Philippe Saadé[email protected]