GAZETTE du 3ème TRIMESTRE 2017 Juillet, août, septembre

Editorial Notre Assemblée Générale s'est tenue le 21 avril et nous remercions les participants toujours aussi nombreux et heureux de se retrouver dans la joie. Afin de régler un problème administratif notre Président à été confirmé dans ses fonctions, assisté d'un groupe de bénévoles qui se donnent dans le but de services des autres, engagement fort et disponibilité certaine. L'objectif de l'amicale est toujours le même : resserrer les liens entre nous, anciennes relations, amis et collaborateurs de la LB, sans oublier ceux qui aujourd'hui ont des problèmes de santé. Au travers de ces quelques pages de la Gazette, vous êtes informés de ce qui se passe. Les mots, les photos vous font revivre les bons moments partagés et les instants formidables des retrouvailles. L'été est là, le soleil aussi. Profitez bien de vos vacances et prenez les bonnes résolutions.

Michel AVON

Président, Michel Avon 06 26 83 33 56                            michel.avon13@gmail.com  Vice-Président, Louis Charbonnier 06 84 80 90 94 louis.charbonnier2@orange.fr Vice-Président, Pierre Baron 06 80 98 52 75 pierre.baron1@sfr.fr Président d’honneur, Michel Rumeau-Maillot michel.rumeau-maillot@orange.fr Secrétaire, Paul-André Gilibert Trésorier, Jean-Robert Richard 06 70 51 92 36 jrrichard@orange.fr Gazette, JC. Christophe 06 33 57 05 89 christjcc@orange.fr

BULLETIN D’ADHESION ARLB A retourner complété et signé

_______________ Je soussigné(e) : Né(e) le : Adresse complète : Tél. fixe : Tél. portable : Courriel :

Souhaite adhérer à l’Amicale des Retraités de la LB section de : A : le : Signature

__________________________________________________________ Cotisation annuelle : 25 euros prélevés, si vous y avez convenance, chaque début d’année. Pour cette première adhésion joindre un chèque.

__________________________________________________________ Si à l’avenir vous nous autorisez à prélever le montant de la cotisation sur votre compte, merci de nous fournir un RIB, dater et signer le mandat SEPA ci-dessous sans lequel votre banque rejetterait l’opération de prélèvement. __________________________________________________________________________________

MANDAT DE PRELEVEMENT SEPA AMICALE DES RETRAITES LB En signant ce formulaire de mandat vous autorisez l’Amicale des Retraités de la LB à envoyer des instructions à votre banque pour débiter votre compte, et votre banque à débiter votre compte conformément aux instructions de Amicale des retraités de la LB. Vous bénéficiez du droit d’être remboursé par votre banque selon les conditions décrites dans la convention que vous avez passé avec elle. Une demande de remboursement doit être présentée dans les 8 semaines suivant la date de débit de votre compte pour un prélèvement autorisé. Coordonnées du débiteur Coordonnées du créancier AMICALE DES RETRAITES LB IBAN : ICS : FR92ZZZ115142 BIC : RUM : HI20150709155846876906 Type de paiement : Récurrent A : le : Signature du débiteur

Nota : vos droits concernant le présent mandat sont expliqués dans un document que vous pouvez obtenir auprès de votre banque.

ILS NOUS ONT QUITTES…

Nos pensées vont vers eux et leurs familles à qui nous transmettons nos condoléances les plus sincères !

NOM / Prénom Né(e) le Retraité(e) de Décédé(e) leSCHWEBEL Patrick 26/08/1946 Rhône-Siège 31/12/2016 ARNICOT (Bachelet) Marie-Claude 19/03/1944 Rhône-Siège 22/03/2017 BURGIARD Jean 30/01/1933 LYON - Bellecour 28/04/2017 GERARD Georges 06/08/1928 Rhône-siège 16/04/2017

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SECTION DE BOURG-EN-BRESSE Présidente : Jacqueline PERROT 42, rue du Peloux,

01100 BOURG-EN-BRESSE

Présentation de quelques activités 2017… et souvenir 2016

• Repas à St-Denis-en-Bugey – le 6 avril 2017. C’est la cinquième année consécutive que les retraités BRA-LB se retrouvent à St-Denis (51 convives) pour profiter d’un repas des plus délicieux autour d’une joue de bœuf tendre et onctueuse. Encore bravo à Gilles et Jean-Claude, les rois de la cuisine et du dessert… Afin de mieux digérer, certains profitaient du soleil, malgré une forte bise glaciale, pour gravir le chemin de la Tour et admirer, depuis le sommet, le vaste panorama sur Ambérieu-en-Bugey et sur ce qui reste du très vaste réseau SNCF.

Les rendez-vous à venir concernent le barbecue du 22 juin à Villereversure et le repas-loto du 6 octobre 2017. Et, gardons à l’esprit ceci : « n’oublions pas hier, vivons au présent, pensons à demain ».

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• Cyclisme – du 20 au 23 mai 2017 : les cyclistes retraités de la LB du secteur de Bourg-en-Bresse sont partis 4 jours dans les Alpes du Sud pour découvrir ou redécouvrir les routes et les cols ensoleillés de la région. Forcalquier, Banon, Oraison, le col de Lure n’ont plus de secrets pour les 34 passionnés de la petite reine.

• Histoire : il est bon de souligner que notre retraité de Bourg-en-Bresse, René Martin, était invité le 26 avril 2017 à faire une communication lors de l’AG de la Société d’Emulation de Bourg sur l’entrée en guerre des américains en 1917. L’orateur évoque d’abord les raisons de cette entrée en guerre depuis le torpillage du navire LUSITANIA où se trouvait 180 américains. Guerre déclarée le 6 avril 1917. Les USA, à cette époque, n’ont qu’une petite armée mais une puissante flotte marine. Les soldats débarquent en juin, se forment et interviennent en octobre 1917. Leur action sera par la suite décisive. Intervention très remarquée et applaudie de notre érudit spécialisé sur la guerre de 1914. • Souvenir du voyage en Hollande de 2016 : Avec cette photo extraite d’une peinture de Werner, soulignons le fantastique succès de l’exposition qui s’est tenue à Paris ce printemps 2017 sur les Maîtres Flamands de la peinture. Et nous savons que nos amis retraités apprécient à juste raison ces chefs-d’œuvre. Robert GADIOLLET

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ARLB Section de DIJON

Hier la Lyonnaise de Banque …. Place du Bareuzai … ….. aujourd’hui le C.I.C. BEAUNE Les Hospices

Michel FAVELIER Président d’honneur

Le Bureau de Dijon Michel FAVELIER Président d’Honneur

Danielle HELIOT Présidente Anne-Marie BILLET - Bruno de GEVIGNEY -

Jean-Marie MICHEL - Jean-Pierre MOURON - Alain OLIVAIN Danielle HELIOT

Présidente

DANS LE RETROVISEUR BOURGUIGNON

Jeudi 4 Mai 2017 Visite du musée du Train et du musée de l’électricité à MULHOUSE

Visite du musée « LA CITE DU TRAIN »

Située à Mulhouse (Haut-Rhin), « LA CITE DU TRAIN » comporte la seule collection globale de l'histoire des chemins de fer français. Ce musée abrite aujourd'hui sur 15 000 m2 une collection de plus d'une centaine d'engins et de véhicules ferroviaires de toutes époques.

À l'entrée de l'exposition des "Quais de l'Histoire", l'espace didactique : " La vapeur, comment ça marche? " permet de découvrir 2 locomotives comme vous ne les avez jamais vues : l'une est "coupée en deux" pour observer l'intérieur et l'autre se met en marche toutes les 20 minutes pour comprendre le fonctionnement des bielles…

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Quai N°1 - le 19ème Siècle, la révolution industrielle est en marche avec les premières compagnies ferroviaires et les premières locomotives à vapeur. De 1827 – date d’ouverture de la première ligne de St Etienne à Andrézieux – à la fin du 19 ème Siècle, le chemin de fer va connaître un essor incroyable avec la construction de milliers de kilomètres de lignes ferroviaires. D’innombrables compagnies privées vont obtenir la concession et l’exploitation de ces lignes . Quai N°2 - Dès 1900, le chemin de fer adopte la fée électricité qui permet d'assurer la traction des trains dans Paris entre Austerlitz et Orsay où les volutes de fumées sont interdites. Pour les grands parcours, les ingénieurs ferroviaires conçoivent des locomotives à vapeur plus performantes et plus rapides pour remorquer les trains de voyageurs sur les 1 081 kilomètres séparant Paris de Nice. En 1914, le premier conflit mondial va révéler toute l'importance stratégique du chemin de fer. Quai N°3 - De 1919 à 1938 : Le chemin de fer entre année folle et crise mondiale. La traction vapeur, la traction électrique mais aussi le diesel, l'automotrice électrique et l'autorail au service de l'élégance et de la performance. Un nouveau concept de train voit le jour pour réduire les coûts d'exploitation des petites lignes secondaires : l'autorail, développé par les constructeurs automobiles comme Bugatti ou Renault qui vont commercialiser de nombreux modèles. Le P.L.M. se lance également dans l'aventure du diesel pour remplacer les vapeurs dans les gares de triage.

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Quai N°4 - Des voyageurs pas comme les autres : le Général, la Grande Duchesse et le courrier. Le chemin de fer transporte toutes les catégories de voyageurs, tout le monde peut voyager en train. Les plus célèbres, eux, voyagent à bord des voitures salon, comme le Général Joffre lors de la première guerre mondiale ou encore la famille Grand-Ducale du Luxembourg pour ses déplacements. Le chemin de fer transporte également le courrier avec des fourgons postaux introduits dans les trains de voyageurs, ce qui permet de trier les lettres et les colis en route. Quai N°5 - La création de la SNCF et les reconstructions d'après-guerre. Les dommages de la Grande Guerre, la récession économique des années 1930 et la concurrence de l'automobile accentuent les difficultés financières. L'État ne peut pas laisser disparaître le chemin de fer et décide, par décret du 31 août 1937, sa nationalisation. Les 5 grandes compagnies de chemin de fer fusionnent en un réseau unique sous la responsabilité de l'État : la S.N.C.F. En 1954, une nouvelle voiture présidentielle est mise à disposition de la Présidence de la République pour les déplacements du Chef de l'Etat. Quai N°6 - Diésélisation, électrification de l'artère Nord-Est, grande vitesse et fin de traction vapeur. Les chemins de fer se découvrent une concurrence qui prend de l'importance : l'automobile et l'avion, qui tendent à devenir accessibles à une clientèle de plus en plus nombreuse avec les compagnies nationales comme Air France et Air Inter. Les premières locomotives diesel de la SNCF remplacent les locomotives à vapeur dont la dernière sort d'usine en 1952. En 1976, la SNCF propose son premier train commercial à grande vitesse qui roule à 200 km/h, reconnaissable par sa couleur rouge : le Capitole. Quai N°7 - Trains Europ Express, Grand Confort et Turbotrain. Les années 1960-1970 sont au cœur des "trente glorieuses", marquées par une forte croissance économique. À cette période, le gouvernement développe un grand réseau autoroutier qui s'accompagne d'un déclin du chemin de fer avec l'abandon de plusieurs milliers de kilomètres de lignes. Face à cette situation, la SNCF réagit en s'associant à d'autres compagnies de chemin de fer pour proposer des trains européens rapides, modernes et confortables destinés à la clientèle "affaire" : les Trans-Europ-Express. Quai N°8 - Voie 12, vitesse et confort pour tous : le TGV. 4 dates clés symbolisent le succès du travail et de la recherche de la SNCF.

1970 : la SNCF invente le train de demain en commandant 3 886 voitures Corail. Ces voitures révolutionnaires pour leur époque sont équipées d'un couloir central pour 2 335 d'entre elles et sont toutes climatisées en 1ère ou 2ème classe.

1972 : La SNCF s'équipe auprès du constructeur Alsthom, d'un Turbotrain à Grande Vitesse expérimental muni de 4 turbines à gaz, dénommé TGV 001.

1981 : La SNCF met en service le TGV "Train électrique à Grande Vitesse" entre Paris et Lyon à la vitesse de 260 km/h.

2007 : Au passage de la commune d'Eclaires sur la ligne à grande vitesse Est Européenne, la rame TGV 4402 atteint la vitesse de 574,8 km/h remportant le record mondial de vitesse sur rails. Ce succès confirme le très haut niveau de l'excellence ferroviaire française et des entreprises Alstom, RFF et SNCF.

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Visite du musée EDF ELECTROPOLIS

L’histoire de l’électricité depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours

Depuis la foudre des dieux grecs jusqu’à la prise de courant de notre vie quotidienne, la fée électricité déroule sa passionnante histoire dans ce musée…

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C'est pour sauver de la destruction un groupe électrogène à vapeur Sulzer-BBC, fleuron du patrimoine technique et industriel mulhousien, que fut créé le Musée EDF Electropolis, ouvert au public en 1992. Cette « grande machine Sulzer-BBC », construite en 1901, alimentait en électricité les établissements D.M.C à Mulhouse jusque dans la première moitié du XXe siècle. Pièce maîtresse de la collection, « la grande machine » Sulzer-BBC à l'origine de la création du musée, a alimenté en électricité la filature D.M.C. (Dollfus Mieg et Cie) à Mulhouse, de 1901 à 1953.Un monstre de métal de 170 tonnes.

Le groupe électrogène de fabrication étrangère est composé d'un alternateur actionné par une machine à vapeur Sulzer. Il illustre parfaitement la transition technologique entre l'utilisation de la vapeur, principale énergie utilisée lors de la première industrialisation, et l'électricité devenue l'énergie de la seconde industrialisation. Les chaudières produisaient alors de la vapeur d'eau à une pression de 12 bars afin d'actionner les quatre pistons de la machine à vapeur contenus dans les quatre cylindres haute pression, moyenne pression, et basse pression pour deux d'entre eux. Le mouvement des pistons fait tourner la grande roue de l'alternateur par l'intermédiaire des bielles et de manivelles. Elle produisait jadis du courant alternatif grâce aux 72 électroaimants qui la composent et qui étaient alimentés en courant continu par une dynamo appelée excitatrice. Le Musée EDF Electropolis présente l'électricité dans ses différentes dimensions : historique, sociologique, technique, économique et culturelle. L'électricité, découverte majeure à l'origine de la seconde révolution industrielle et des grands bouleversements de nos sociétés et de nos modes de vie, est à l'évidence au cœur des sciences et des technologies d'hier et de demain.

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REGARD SUR DEMAIN

- Jeudi 5 Octobre 2017 : Visite des Anis de FLAVIGNY

Jean-Marie MICHEL

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Section de Marseille

 

Le 26 janvier, rencontre amicale et festive autour du gâteau des rois

et champagne suivi du loto Nous nous retrouvons dans notre restaurant habituel et préféré où nous nous sentons un peu comme chez nous : « Chez la mère Buonavista ».

Nous sommes accueillis avec beaucoup de convivialité et nous nous retrouvons une trentaine de convives pour fêter l’année nouvelle autour d’un apéritif, pizza à volonté, vin et café suivi de la galette des rois… Nous avons procédé à notre Assemblée Générale avec renouvellement du Bureau et réélection de notre Président.

Nouveau bureau Mr Emile Pardini, Président

d’honneur Mr Michel Avon, Président Mr Robert Lesueur, Vice-Président Mr Francis Giudicelli, Trésorier

Mme Marie-Josèphe L’honen, secrétaire

Cette Assemblée Générale a été suivie de notre traditionnelle galette des rois et avons partagé plusieurs parties de lotos.

Notre prochaine rencontre a été fixée au 4 mai 2017 : Repas à la ferme du Bas-Chalus, à 4km de Forcalquier, suivi de la visite du Château de Sauvan sur la commune de Manne, proche de Forcalquier. Après midi qui fut chaleureuse avec le plaisir de se retrouver.

Marie-Jo l’HONEN

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Section de St Etienne

Retour sur deux de nos dernières activités. *****Le Mardi 7 Mars 2017 : Château des Bruneaux (Inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques). Mentionné dès 1420 avec la famille DE BERCHOUX, le fief des Bruneaux ne connait sa véritable importance

qu’au XVII avec les ANSERMET, plus tard ANSELMET.

La dernière descendante Marie Anne ANSELMET des BRUNEAUX épouse en juillet 1753, dans la chapelle du

château, Jean-Baptiste Michel de CHARPIN, chevalier, baron de FEUGEROLLES. La maison forte que sont les

Bruneaux à ce moment là, ne correspondant plus aux goûts de l'époque et au rang de la famille, Jean Baptiste

Michel de CHARPIN la remplace par la demeure fin XVIIIème que nous connaissons aujourd'hui. La famille de

Charpin en reste propriétaire jusqu’en 1896, y résidant de façon épisodique.

Ensuite, le château est acquis par la famille CHAPPELON, vieille famille de Firminy. Cette dernière, après un

procès de plus de dix ans, est expropriée à l'automne 1967 (à cause de l’aménagement du quartier de Firminy-

Vert). Le château va être rasé.

La Société d'Histoire de Firminy et Environs, créée au printemps de la même année, prend alors en main la

défense des Bruneaux mais ce n’est qu’en 1972 que cette association prend officiellement possession des lieux.

Depuis elle continue les restaurations, l’entretien courant et assure l’animation de la maison.

Mine Témoin des Bruneaux (musée de la mine dans la Loire 42)

Cette reconstitution effectuée entre 1983 et 1989 par des mineurs bénévoles et des membres de la Société

d'Histoire se veut un témoignage fidèle de ce que fut la mine dans la Loire. Les chantiers sont présentés dans un

ordre chronologique avec un luxe de détails qu'ont apportés les mineurs soucieux de laisser, après eux, la trace

d'un travail méconnu.

Tout le matériel utilisé dans cette reconstitution provient des puits de la région de Saint-Etienne et de l'Ondaine.

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La Chapelle et les jardins

Longtemps oubliée et en danger de tomber en ruines. La chapelle a retrouvé son lustre. La rénovation a permis de découvrir des dessins et des peintures dissimulés sous une couche de badigeon. A noter un écho particulier entre les coins opposés.

   

Ci-après quelques photos prises par les participants lors de cette sortie et notamment des pièces intérieures du château.

       

       

Guy Poyet *****Sortie « Les Vans » du 9 au 12 mai 2017.

Départ de chez nous avec un temps incertain température fraiche autour de 4 °, un peu difficile. Après notre arrêt petit déjeuner à COSTAROS (43) nous avons trouvé le soleil. Pique-nique au lac de Villefort puis pour les plus courageux, tour de lac environ une dizaine de kms.

En fin d’après- midi nous avons rencontré Daniel qui allait être notre guide pour nos randonnées. Il nous a montré le travail des paysans qui pour vivre dans ces vallées reculées ont monté des murs en pierre sèches pour cultiver quelques mètres carrés où ils plantaient des céréales, des oliviers voire des châtaigniers. En fait en parcourant ces sentiers nous revenait à l’esprit la chanson de FERRAT « que la montagne est belle ».

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Mur de pierres sèches. Le lendemain 11 Mai pas de rando, la pluie s’est invitée très tôt. Nous sommes partis visiter un petit village perché (THINES) au bout d’une route spectaculaire tant pas ses virages que par ses ravins. A l’arrivée un magnifique hameau avec notamment une église extraordinaire.

     Eglise de Thines.

Autre grand moment de notre séjour la visite de la grotte CHAUVET. Un saut de plusieurs milliers d’années en arrière qui nous a permis d’admirer le talent de nos ancêtres avec des reproductions d’animaux sur les parois de la grotte, chevaux, cerfs, ours des cavernes, lions etc… et des empreintes de mains.

Grotte CHAUVET.

Pas plus de chance le lendemain pour notre départ la pluie était encore au rendez-vous. Le pique-nique de midi devenait aléatoire. Arrivés à LANGOGNE le soleil s’est montré. Nous nous sommes retrouvés au bord du lac de NAUSSAC pour un petit repas très agréable. Fin de parcours sous des trombes d’eau, de grêle et d’un peu de neige sur les plateaux avant d’arriver au PUY en VELAY.

Merci à Colette qui s’est chargée de l’organisation de notre séjour et à tous les participants qui ont rendu ce séjour très agréable. Nous avons eu aussi la chance d’avoir un guide extraordinaire qui a su nous parler avec conviction de cette Ardèche profonde.

Marc Forissier

 

Site ARLB St‐Etienne :  http://guypoyet.e‐monsite.com/ 

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Section de Lyon 3ème trimestre 2017 / juillet, août, septembre Bureau de Lyon : Jacques Champetier - Louis Charbonnier - Jean Claude Christophe - Nicole Cugnet

Laurence Danna - Lucette Grumel - Alain Guastini - Mireille Jannon - Gérard Platon

Le mot de la Présidente…

Alors que nous sommes déjà en période de canicule, peut-être pouvons-nous nous interroger sur les gestes que nous pouvons faire chaque jour pour essayer d’améliorer la situation de notre chère planète la Terre. Il est vrai que cela paraît dérisoire par rapport à l’étendue des dégâts provoqués par ailleurs : l’industrialisation, la déforestation, nos voitures… Même nos bovins participent paraît-il au dérèglement climatique ! Nous ne règlerons pas le problème de sitôt, mais nous pouvons certainement apporter notre petit grain de sable à l’édifice. Dans ces périodes un peu difficiles, nous devons aussi penser aux personnes qui sont peut-être isolées ou malades. L’été ne se vit pas de la même façon pour tous. Si généralement cette saison est synonyme de départ en vacances et de retrouvailles avec la famille et les amis, elle peut signifier une période de solitude pour certains. Aussi n’oublions pas de rester en contact avec les personnes concernées.

En attendant de nous retrouver en septembre, passez un bel été !

Laurence DANNA

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LA VIE DE L’AMICALE

Adresses – Amicale des Retraités de la Lyonnaise de Banque, section de Lyon (Chez CIC–LB), 8 rue de la République, 69001 Lyon. Internet : http://christjcc.magix.net/public/

Rencontres amicales et manifestations : 8, rue HENON, 69004 LYON

Les membres du bureau et comment les joindre Laurence Danna, présidente, tél. 0426198825 / 0617854725, danna.laurence@neuf.fr Louis Charbonnier, vice-président, Trésorier-adjoint, voyages longs, tél. 0478446854 / 0684809094 louis.charbonnier2@orange.fr Jean Claude Christophe, secrétaire, tél. 0960061012 / 0633570589, christjcc@orange.fr Nicole Cugnet, trésorière, tél. 0478345129 / 0614659576, nicolecugnet@sfr.fr Jacques Champetier, tél. 0681532178, jack-petier@orange.fr Lucette Grumel, tél. 0478854304, 0622537945 visites/culture/spectacles, lucette.grumel@numericable.fr Alain Guastini, tél 0478254438 / 0608020782, randonnées, alain.guastini69@gmail.com Mireille Jannon, tél. 0478594636 / 0686997605, r.jannon@orange.fr Gérard Platon, secr. adjoint / randonnées, tél. 0478256760 / 0684057621, gerard.platon0629@orange.fr

Fidèles à l’AG… moment important de la vie de notre association

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COUP D’ŒIL DANS LE RETROVISEUR

Assemblée Générale de la section de Lyon Le 21 avril 2017

Notre présidente étant en voyage, en Ouzbékistan, il n’était pas question qu’elle revienne commenter l’année 2016. La permanence est assurée par Louis Charbonnier qui présente le rapport moral. Année particulièrement riche en animation de tous ordres :

Conférence de JP Gerbaud sur les templiers ; Causerie musicale autour de G. Brassens ; Concert par le duo Fleurs d’Olivier.

Prix des places de cinéma bonifié. 2 concours de belote, 2 concours de pétanques, 2 initiations aux premiers

secours. Repas de printemps et de fin d’année, plus les rois, les bugnes, le Beaujolais

nouveau. Deux visites sur Lyon ; le marché de gros et le parc O.L. 5 sorties à la journée : Izieu et Morestel, Louhans, Firminy le Corbusier,

Lemptegy et son volcan, Annecy pour la descente des alpages. 4 petits voyages : La Seyne-sur-mer, Paris Sénat, Prague, cueillette des

champignons en Auvergne.

Le quitus sur ce rapport d’activité a été voté à l’unanimité.

Sur le plan financier la situation est simple :

Recettes 112 113.67 € Dépenses 101 653.60 € Balance positive 10 460 07 €

Les comptes ont été vérifiés par messieurs Roger Montagnon et Marcel Tardy. Ils nous ont fait part de leur souhait de se retirer de cette tâche. Nous les remercions vivement pour le travail accompli au cours de ces nombreuses années et saluons René Bollard et Joseph Conesa qui assureront la suite.

Le quitus a été voté à l’unanimité.

Une bonne et belle année s’est écoulée, vive 2017 !

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BELOTE du 10 mars Le concours de belote a réuni 18 doublettes qui, dans une ambiance amicale, ont défendu chèrement leur position pendant trois parties acharnées. L’attente du tirage des partenaires suivants et les discussions relatives aux erreurs ou au contraire aux bonnes actions initiées par les uns ou les autres a permis de se relaxer un peu en buvant un jus de fruits. Des bons coups ou, au contraire, des mauvais ont permis à Michel Pellerin et Jean Jacques Doublet de gagner ce « concours » et à Marie-Joëlle et Marc Jobert de remporter la cuillère de bois. Chaque joueur est reparti avec un petit lot comme de coutume. Nous étions là pour nous amuser et ne pas nous prendre la tête ce qui fut fait avec beaucoup de convivialité. La prochaine belote aura lieu le vendredi 27 octobre et nous comptons sur vous pour être aussi nombreux.

Lucette Grumel

Visite de Saint Irénée le16 mars 2017

Une découverte « inattendue » au cœur de Lyon, rue des Macchabées du nom des frères juifs martyrs. Le nom de Saint Irénée est celui du deuxième évêque de Lyon au IIe siècle, entre 177 (massacre des martyrs dont Saint Pothin) et 202.

La première église remonte à la deuxième

moitié du Vème siècle. Elle fut dévastée lors des guerres de religion par les troupes protestantes du baron des Adrets en 1562. La révolution n’a pas non plus été une période propice à la conservation de l’édifice. Au fil des ans le bâtiment fut peu à

peu abandonné. L’église fut reconstruite et améliorée entre 1820 et 1830 ; le tympan d’origine

ayant été conservé, il s’impose lors de l’entrée. Elle fut à nouveau embellie en 1900. De très beaux vitraux de saints (dont ceux de Polycarpe, Irénée et Pothin) apportent la lumière nécessaire à l’intérieur. La très belle crypte abrite, depuis le début du IIIème siècle, le tombeau de Saint Irénée, l’un des tout premiers Pères de l’Eglise.

A l’extérieur, derrière le chœur, se dresse le superbe Calvaire de Lyon, datant de 1687 et restauré après des destructions. Perché du haut de sa colline, il surplombe la Saône et

donne une vue panoramique sur la ville de Lyon (quand le temps le permet, ce qui n’était pas tout à fait le cas ce jour). C’est un des seuls calvaires subsistant dans une grande ville. Pour parfaire le cadre, on peut également admirer un magnifique chemin de croix composé de quatorze stations, construit plus tard.

Ces quelques détails rapides, vous

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inciteront, nous l’espérons, à faire comme nous, à vous rendre sur place et découvrir cet ensemble intéressant, probablement méconnu de bon nombre de Lyonnais.

Jacques Champetier

Loto du 31 mars Notre loto annuel a eu un franc succès (70 participants). Après un démarrage un peu perturbé par la mise en place d’un nouvel affichage par informatique des numéros tirés (il faut bien se mettre au goût du jour) tout s’est déroulé sans heurt. Les mains levées pour crier « quines ».

20 récompenses par un petit lot, 12 « cartons pleins » donnant droit à un bon d’achat dans divers magasins d’une valeur de 50€ ont été, il me semble, appréciés par tous.

Quant au loto corse, qui clôture chaque séance, il a donné lieu à la remise de 4 lots. Le prochain loto 2018 sera nous l’espèrons aussi fructueux que celui de cette année.

Lucette Grumel

Conférence sur les arêtes de poisson

le 14 avril 2017, Par Walid Nazim

C’est un véritable passionné, un expert sur le sujet que nous avons eu la chance de recevoir à la Croix Rousse. Durant plus de 2h, il nous a fait partager sa connaissance avec tant de ferveur et de vérité, que l’on aurait envie d’aller plus loin…

Qu’en est-il de ces fameuses arêtes de poisson, pourquoi ce nom, où se trouvent-elles ? Ce nom, tout simplement, parce que cette réalisation fait penser à des arêtes de poisson avec un axe central et des galeries qui partent de cette ligne. Les arêtes de poisson ont été découvertes en 1959, de manière fortuite suite à des déformations anormales d’un trottoir de

chaussée. Elles se situent sous la Croix Rousse, à peu près à la verticale du tunnel ; elles sont composées de deux tunnels centraux

superposés, parsemés de puits et de salles voûtées, à partir desquels partent perpendiculairement trente-deux galeries de

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trente mètres de longueur, parfaitement identiques. De quand datent elles ? Quelle était leur but premier ? Autant de questions restées sans réponse à ce jour et le plus grand mystère règne. Des ossements y avaient été trouvés, ils ont disparu depuis ! S’agit-il d’une citerne, d’un passage discret, d’un refuge, d’une galerie de mine, d’une carrière, d’un lieu militaire ou d’un espace de stockage ? Aucune réponse n’existe, si ce n’est certaines hypothèses qui ne résistent pas à des réflexions approfondies. Elles pourraient dater du Moyen-âge, mais sans plus de certitudes. De là, à imaginer que les templiers (et leur trésor) soient partie prenante, il n’y a qu’un pas. D’autant plus, que l’aboutissement d’une galerie verticale se fait sous la nef de l’église Saint Bernard construite par des familiers des templiers ! Une église qui est d’ailleurs fermée (et désacralisée) pour instabilité du terrain. Et « cerise sur le gâteau », la ville de Lyon prévoit de transformer d’ici à 2019 l’église Saint-Bernard en « centre d’affaires et de détente » (avec trente-deux espaces de bureaux, tiens !). Walid Nazim est d’ailleurs l’auteur d’un ouvrage sur l’énigme des arêtes de poisson

(si cet article vous incite à avoir plus de détails). Quoi qu’il en soit, un excellent après midi où nous avons été tenus en haleine par tous ces mystères.

Jacques Champetier

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REPAS DE PRINTEMPS Le 28 AVRIL

Quelques jours avant le 1er mai, notre traiteur habituel nous a régalé comme toujours d’un buffet apéritif divers et varié, suivi d’un repas apprécié par tous…

Pour digérer, notre DJ nous avait concocté, avec maestria, une suite de madisons, chachachas et autres tangos et slows pour les plus paresseux. Et nous avons eu la chance d’entendre les chœurs de l’Amicale dans l’exercice du karaoké, dont la performance fort appréciée et applaudie par l’assemblée médusée a été bissée.

Nous avons passé une journée fort agréable et très gaie qui s’est terminée dans la bonne humeur et nous remercions tous ceux qui

ont participé à la remise en place des chaises et tables. Nous espérons que nous nous retrouverons tous, l’année prochaine, pour fêter le printemps 2018.

Lucette Grumel

Les mosaïques de Fourvière Le 22 mai 

 

  Les mosaïques se composent de tesselles (petits cubes ou parallélépipèdes) en pierre, marbre, calcaire, silex, pâte de verre… Elles s’appellent « smalts » pour les émaux en Italie et peuvent être colorées dans la masse, dorées ou argentées. L’or n’est pas dans la masse mais placé en feuilles très minces sur le smalt et recouvert d’une pellicule de verre blanc. Pour réaliser une mosaïque on pose les tesselles une à une sur un mortier frais. A Fourvière, chaque mosaïque a nécessité 10.000 tesselles…

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La mosaïque est un art ancien. Les Romains, les Byzantins, les Musulmans ont beaucoup utilisé cette technique de décoration. On la divise en deux types

‐ La mosaïque de pavement (sur les sols) utilisé par les Romains.

‐ La mosaïque murale. On trouve les plus belles dans les églises byzantines et Ravenne est la ville d’occident où l’on trouve les plus belles.

A Fourvière, les mosaïques murales sont au nombre de 6 et représentent : °La bataille de Lépante : le pape St Pie V tandis que la flotte chrétienne combat contre les turcs et reçoit de Dieu la vision de la glorieuse victoire obtenue grâce aux prières du St Rosaire (4 chapelets d’oraisons). °Le vœu de Louis XII : sous une draperie ornée des grandes armes de France et de Navarre, le roi Louis XIII proclame la Vierge Marie patronne de son royaume et lui consacre la France le 10 février 1638. °St Pothin arrive à Lyon : St Pothin disciple de St Polycarpe apportant la foi chrétienne institua à Lyon au IIème siècle le culte de la Vierge Marie. C’est le dernier ouvrage de Charles Lameir 1832/1910. °Le concile d’Ephèse : C’est à Ephèse qu’une tradition vénérable place le tombeau

de Marie et où fut proclamé le dogme de la maternité divine de la Vierge Marie. °Jeanne d’Arc à Orléans : on y voit le sacre de Reims (17 juillet 1419). Le roi Charles VII et celle qui lui a rendu sa couronne faite prisonnière par les Bourguignons à Compiègne (23 mai 1430) puis Jeanne sur le bucher dressé place du vieux marché (30 mai 1431). °L’Immaculée Conception : devant la basilique de St Pierre de Rome, la figure de Pie IX domine la scène. Les bras étendus, le pape proclame le dogme de l’Immaculée Conception (Marie préservée du péché originel). On y reconnait le cardinal Pecci (le futur Léon XIII), le cardinal de Bonald archevêque de Lyon agenouillé près du patriarche de l’Eglise Orientale.

Ce furent 1h30 très instructives !

Lucette Grumel

VOYAGE À ATHENES ET DANS LES CYCLADES

Du 13 au 23 MAI 2017 C'est le samedi 13 mai, en début d'après-midi, que nous nous retrouvons aux points de rendez-vous habituels pour prendre le bus qui nous amène à l'aéroport Saint Exupéry où nous prenons l'avion pour rejoindre Athènes, première étape de notre voyage…

La chaleur nous accueille dans la soirée. Après une bonne nuit, nous faisons connaissance avec notre guide Mariana. La première journée est consacrée à la visite de la ville : l'Acropole et son musée ainsi que le vieux quartier de la Plaka. La chaleur est toujours au rendez-vous.

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Le lendemain matin, nous partons vers Corinthe et ses environs. Une belle grimpette pour visiter la forteresse de l'Acro-Corinthe réjouit les marcheurs du groupe. Ils sont récompensés par une superbe vue

sur les environs. La fin de matinée est consacrée au site du canal de Corinthe que nous voyons d'abord d'en haut, puis ensuite de l'intérieur, avec une belle promenade en bateau pour le traverser dans les deux sens. Des grèves perturbent un peu le voyage mais les organisateurs s'adaptent efficacement et nous partons plus tôt que prévu pour l'ile de Paros où nous dormirons 5 nuits. La journée suivante nous visitons l'île, ses ports et villages typiques : Parikia, Naoussa, Marathi et Lefkés. Les jours suivants nous emmènent vers d'autres îles pour des excursions d'une journée. D'abord Antiparos avec une traversée en caïque et un très bon barbecue mangé à bord du bateau, après une baignade pour les plus courageux.

Le lendemain nous visitons Delos et son site archéologique puis Mykonos. La journée se termine par un repas de poissons après notre retour sur Paros. Malheureusement le vent un peu frais ne nous a pas permis de l'apprécier pleinement. Nous continuons notre périple dans les îles par la visite de Naxos, la plus grande des Cyclades. Le vent est de la partie et la mer bien agitée. La traversée est donc un peu difficile et il vaut mieux avoir le pied marin et ne pas avoir le mal de mer. A l'arrivée, le temps est bien gris et le vent toujours aussi fort. La visite du portique du temple d'Apollon n'est donc pas très agréable. Les photographes se consolent avec les vagues se brisant sur les rochers. Le temps s'améliore ensuite petit à petit et le soleil pointe pendant la visite de la ville principale. Le tour de l'île réalisé l'après-midi est plus agréable avec plusieurs visites dont celle d'une distillerie de cédrat suivie d'une dégustation.

Le samedi matin nous partons en bateau pour l'île de Santorin. L'arrivée sur celle-ci est grandiose avec les villages aux maisons blanches perchés sur le sommet des falaises. De loin, on pourrait croire à de la neige. Après une montée digne de celle de l'Alpe-d'Huez avec ses nombreux lacets, nous allons visiter le site préhistorique d'Akrotiri, village enseveli sous une épaisse couche de cendre volcanique lors de l'explosion du volcan se trouvant sur l'île vers 1650 avant JC. La visite est très émouvante car on imagine vraiment la vie des gens dans ce village et leur fin brutale.

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Le lendemain, nouvelle traversée en bateau avec une mer toujours agitée vers plusieurs ilots. Nouvel épisode pour les marcheurs avec l'ascension jusqu'au sommet de l'un d'entre eux. Nous y découvrons un superbe panorama. L'après-midi nous revenons sur l'île principale pour une visite du village de Fira perché au sommet de la falaise avec ses belles maisons blanches. Le coucher de soleil que nous devions voir à Oia nous a été un peu volé par un nuage malvenu. Dommage ! Le jour suivant, dernières visites sur l'île dans la matinée, principalement au musée préhistorique de Fira. L'après-midi est consacrée au retour vers Athènes via une

longue traversée de 7H en bateau. Nous arrivons en soirée pour la dernière nuit de notre voyage. Le lendemain matin, temps libre pour les dernières visites de la ville d'Athènes et les dernières emplettes. L'après-midi, pour notre ultime visite, nous admirons le temple de Poséidon au cap Sounion. De là, nous rejoignons directement l'aéroport pour le vol de retour sur Lyon. L'arrivée dans nos foyers sera tardive mais nous garderons pour longtemps à l'esprit de superbes images de ce beau voyage.

Marcel Chanet

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LA PETANQUE – 29 mai Par une belle journée très ensoleillée s’est déroulée notre première pétanque de l’année, avec un record de participants, toujours dans la bonne humeur et malgré les aléas du score personne n’a tenu rigueur à leurs adversaires gagnants.

Quelques « trois parties gagnées » ont été réalisées, les supers gagnants sont la doublette Marc Michel – Jean Louis Bosc. Hélas, comme il faut des perdants, ce fut la doublette Simone Fiorentino – Marcel Chanet à être les derniers de cette sympathique journée où de nombreux lots ont été distribués puisque chacun est reparti avec une bouteille (à boire avec modération), des biscuits ou des chocolats qui avaient résisté à la chaleur.

A la demande unanime des présents et la non moins unanimité du bureau nous avons décidé d’appeler dorénavant cette pétanque «Challenge Jean Claude Garel » en mémoire de celui qui, pendant de

nombreuses années, en a été le principal organisateur et qui nous a quitté si brutalement.

Le prochain challenge aura lieu en automne et nous espérons que vous serez aussi nombreux à répondre à notre appel.

Lucette Grumel

Visite du musée Jean Couty Le 7 juin 2017

Ce musée, sis à l’ile Barbe près de la maison familiale et de son atelier, consacré au peintre Lyonnais Jean Couty a été inauguré le 7 mars 2017. Il a été fondé par son fils Charles qui voulait ainsi faire partager l’œuvre de son père. Il sera aussi dévolu à l’art moderne et contemporain par le biais d’expositions temporaires avec d’autres artistes.

Jean Couty est né le 12 mars 1907 et décédé le 14 mai 1991. Il était parfaitement ancré dans les racines du monde paysan de part sa naissance. Il aimait peindre Lyon.

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De nombreuses toiles, en grand format y sont exposées…

Jeune, il était apprenti architecte, son maitre à penser était un certain Tony Garnier. Couty a réalisé, dans ces débuts, un plan sur un projet de mosquée, montrant ainsi l’absence de préjugés dans sa culture. Sur les conseils de Tony Garnier, il s’est ensuite dirigé vers la peinture. Une visite bien agréable, instructive et intéressante sur ce peintre lyonnais probablement trop méconnu.

Jacques Champetier

VIVA ESPANA Jeudi 15 Juin

Notre journée champêtre annuelle pour laquelle nous avons fait éclater les compteurs de participants (80) s’est mise à l’heure espagnole, en effet elle a débuté avec à l’apéritif une sangria (bue avec modération) et qui au dire de tous était fameuse (elle avait été préparée avec soin et plaisir) mais dont la recette demeurera secrète. Une petite tranche de terrine de sanglier (offert par Jacques comme chaque

année) préparée par Jean Michel a commencé le repas. Puis pour parfaire l’illusion une paëlla énorme nous a été servie par Laurent, très

copieuse et surtout délicieuse avec tous les ingrédients d’usage. Elle était parait-il meilleure que celle d’Espagne lors du grand voyage du printemps ahah !! Inutile d’aller loin pour manger de bonnes choses…

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Pour parfaire tout ceci le fromage blanc eut beaucoup de succès et la tarte aux pommes

tout autant, le café servi par notre ami Joseph nous a permis de terminer ce repas…

Le maire de Jonage (qui nous prête gracieusement le site) nous a fait le plaisir de nous rendre visite et de partager une assiette de paëlla avec nous. Puis pour digérer tout ceci, des doublettes se sont formées pour disputer d’âpres parties de pétanque ou de cartes, alors que d’autres « farnientaient » à l’ombre des arbres. Il fut l’heure de plier bagages, ce qui fut tôt fait, avec l’aide des participants à cette sympathique journée, qui nous l’espérons pourra être reconduite l’année prochaine. Merci encore à Jean-Pierre et Fernande d’être nos intermédiaires auprès de la mairie pour ce moment convivial qui sans eux ne pourrait être organisé.

Lucette Grumel

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REGARD SUR DEMAIN, en synthèse

Ajouter le 5 octobre pour la pétanque d’automne… et le 15 novembre pour le visite de Grigny

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REGARD SUR DEMAIN

JOURNEE GOURMANDE VALRHONA Le 12 octobre

Depuis 1922 Valrhona est une chocolaterie française qui fournit les meilleurs chefs et artisans. Créée par un pâtissier, pour un pâtissier, Valrhona met son savoir-faire au service de la gastronomie pour offrir aux professionnels un chocolat d’exception.

Artisans et restaurateurs du monde entier se tournent, depuis bientôt 100 ans, vers Tain l’Hermitage pour y trouver des chocolats uniques, indispensables à la réussite de leurs créations. Sa grande palette aromatique est constamment enrichie d’innovations…

Nous visiterons l’atelier-découverte « de la Cabosse au Grué » : la vie du cacao ; l’identification des spécificités botaniques du cacaoyer et de son fruit la cabosse.

Puis passage obligé (mais personne ne s’en plaindra) à la boutique suivi d’un déjeuner tout chocolat : Salade d’ici (mesclun, dés de caillette, ravioles frites au chocolat Valrhona, noix, sauce miel) ; parmentier de canard ; chocolat noir Xocopili 72% ; clafoutis choco-griottes. Le petit train des vignes nous attendra pour faire un tour dans les vignes environnantes…

Puis pour terminer cette journée nous irons à la Cave de Tain L’Hermitage pour une visite guidée et une dégustation de vins et pourquoi ne pas en rapporter quelques bouteilles…

 

Lucette Grumel

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Petite histoire lyonnaise…

HOMO SAPIENS OU CLITOCYBE NEBULARIS

Au 16ème siècle, suivant l’affirmation d’Edward Coke, lettré anglais de l’époque d’Elizabeth Ière d’Angleterre :

« La connaissance des choses périt par ignorance du nom ».

Pour étudier l’environnement naturel, le suédois Charles Linné se lance dans un travail, des plus imposant, au cours du 18ème siècle.

Né en 1707 dans une famille luthérienne, d’un père vicaire et d’un grand-père pasteur, Charles ne montre pas d’enthousiasme pour une voie de prédicateur. Il préfère l’étude de la nature. Très bon élève, un professeur convint ses parents de l’orienter sur des études de médecine, la connaissance des plantes occupant une place importante à cette époque dans cette spécialité.

A 21 ans, il est accepté pour suivre les cours à la prestigieuse université suédoise d’Uppsala. Sans argent il est engagé comme tuteur des fils d’un notable. Il conduit des missions scientifiques en Laponie et étudie entre autres une fleur discrète. Il lui donne son nom, la Linnée boréale/ Linnéa boréalis dont il fait son emblème. Il donne des conférences à l’université. Pour obtenir un diplôme de docteur en médecine il doit partir aux Pays-Bas. Il côtoie des marchands hollandais qui collectent des plantes dans le monde entier. Il peut les étudier et ainsi augmenter ses connaissances.

Son titre en poche, il se rend à Paris. Il y rencontre Bernard de Jussieu, ancien élève du collège de Jésuites de Lyon qui, par modestie, a refusé les honneurs du poste de Botaniste du Roi. De son séjour en Hollande, il a été intrigué par la capacité des huitres à faire des perles. Charles Linné dépose alors un brevet qui tombe dans l’oubli pour en faire la culture. Le procédé sera perfectionné par des Japonais 150 ans plus tard.

Le jeune savant répertorie, nomme et classe de manière systématique l’essentiel des espèces vivantes connues en ce début du 18ème siècle. Il se base sur sa propre observation et celle d’un important réseau de correspondants. Il fixe une nomenclature assez simple pour désigner les espèces animales et végétales, puis les minéraux, par une combinaison de deux noms latins :

*Un nom du genre au nominatif avec une majuscule en première lettre,

*Un épithète spécifique adjectif ou attribut en lettres minuscules.

Il s’investit dans la publication de plusieurs livres de référence. La notoriété du personnage dépasse la Suède. La classification facilite alors l’échange d’informations à travers l’Europe et au-delà. Il est anobli en 1761 et prend le nom de Carl von Linné. Il refuse au roi d’Espagne une charge pour l’étude de la nature dans son Royaume.

Réservations 5 octobre 9 au 11 octobre 20 octobre Pétanque JURA /

champignons Théâtre

° RV 10h30, lieu à préciser

° RV à Lamoura, le 9 octobre à 11h30

° En cours d’élaboration

5 octobre Pètanque

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

Prix : 7€ + repas

9 au 11 octobre JURA

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

Prix : 120€

20 octobre Théâtre

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

Prix : A vot’bon cœur

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Il décède en 1778 et est inhumé dans la cathédrale d’Uppsala..

Son œuvre aura été remarquable, par la mise au point d’une classification scientifique traditionnelle des espèces. Elle implique une hiérarchie en genre, famille, ordre, classe, embranchement et règne. Il réalise ainsi l’idée d’Aristote l’antique philosophe. Linné se distingue à l’époque de tout un groupe de naturalistes, tel que Buffon. Le savant suédois mentionne pour la première fois dans un ouvrage paru en 1758, le terme d’Homo sapiens (ou homme sage), selon sa propre nomenclature. Aussi, le clitocybe nebularis du titre de l’article, fait référence à un champignon dégusté, entre autres, à l’occasion de cueillettes conviviales du groupe de l’ARLB dans le Jura.

De nos jours la Société Linnéenne de Lyon, toujours en activité, se présente à sa création en 1822 comme société savante. Elle fait référence au naturaliste suédois et elle est reconnue d’utilité publique. Les locaux renferment entre autres un volumineux herbier de 30 000 parts collectées dans la région de Gap. Des passionnés se réunissent régulièrement, répartis en six sections : sciences de la terre, botanique, mycologie, entomologie, jardins alpins et section générale.

A l’occasion de vos achats à venir pour embellir votre jardin, à la lecture du nom en latin, vous penserez aux études des botanistes et à la Gazette de l’ARLB.

Mireille et Jean-Yves LARGE - septembre 2016 (Suivant des recherches personnelles)

Photos prises lors d’un voyage en Suède (juillet 2006) à Uppsala, célèbre ville universitaire : Monument du savant dans la cathédrale ; jardin du botanique et visite…

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Un très beau texte de notre ami Bernard Pivot extrait de son livre paru en avril 2011 «Les mots de ma vie»

Vieillir, c'est chiant. J'aurais pu dire: vieillir, c'est désolant, c'est insupportable, c'est douloureux, c'est horrible, c'est déprimant, c'est mortel. Mais j'ai préféré « chiant » parce que c'est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste. Vieillir, c'est chiant parce qu'on ne sait pas quand ça a commencé et l'on sait encore moins quand ça finira. Non, ce n'est pas vrai qu'on vieillit dès notre naissance. On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant. On était bien dans sa peau. On se sentait conquérant, invulnérable. La vie devant soi. Même à cinquante ans, c'était encore très bien. Même à soixante. Si, si, je vous assure, j'étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flammes. Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps j'ai vu dans le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l'âge qu'ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge. J'ai lu dans leurs yeux qu'ils n'auraient plus jamais d'indulgence à mon égard. Qu'ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m'en rendre compte, j'étais entré dans l'apartheid de l'âge. Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants. « Avec respect », « En hommage respectueux », Avec mes sentiments très respectueux. Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect? Les cons ! Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l'ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus ! Lutter contre le vieillissement c'est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien. Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l'amour, ni à la sexualité, ni au rêve. Rêver, c'est se souvenir tant qu'à faire, des heures exquises. C'est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent. C'est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie. La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce. J'aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant des musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l'au-delà. Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps. Avec l'âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ?... Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital. Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération. Après nous, le déluge ?...Non ? (Non !)