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FLAGELLATION

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DANS LA MÊME COLLECTION

□ N° 1 : La Voyeuse □ N° 2 : Petites Filles lubriques □ N° 3 : La Femme fatale □ N° 4 : Échanges mondains □ N° 5 : Dentelles galantes □ N° 6 : L'Éveil de Sabine □ N° 7 : Le Vice dans la peau □ N° 8 : Adorables Jeunes Filles □ N° 9 : Joies infinies □ N° 10 : Leçons perverses □ N° 11 : La Novice et le Prieur □ N° 12 : Jeune Fille comblée □ N° 13 : Carnets intimes □ N° 14 : L'Institutrice □ N° 15 : Un Patron entreprenant □ N° 16 : Libertés conjugales □ N° 17 : Liaisons coupables □ N° 18 : Grenades d'Orient □ N° 19 : Oreilles indiscrètes □ N° 20 : Poupée russe □ N° 21 : L'Éducation de Sylvie □ N° 22 : Chatteries □ N° 23 : Jeux de gamines

□ N° 24 : Nuit de noces □ N° 25 : Le Miroir du péché □ N° 26 : Philtres □ N° 27 : Les Belles au bois d'amour □ N° 28 : Séductrice parfumée □ N° 29 : Coquetteries □ N° 30 : Puits des délices □ N° 31 : Ô les Femmes! □ N° 32 : Les Écoutes du plaisir □ N° 33 : Parfait Baiseur □ N° 34 : La Cavalière du diable □ N° 35 : Une Clinique très spéciale □ N° 36 : Le Démon de midi □ N° 37 : Caméra aphrodisiaque □ N° 38 : Stratégie de femme □ N° 39 : Sacrilèges □ N° 40 : Plaisir des dieux □ N° 41 : Sex and Sioux □ N° 42 : Rue Saint-Denis □ N° 43 : Prosternation □ N° 44 : Sacrée Josiane □ N° 45 : Fabienne inassouvie □ N° 46 : Mes folles nuits

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JEAN CLARINDA

FLAGELLATION

EDITIONS GERARD DE VILLIERS

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La loi du 11 mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article 41, d'une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (alinéa 1 de l'article 40). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.

© Éditions Gérard de Villiers, 1997 ISBN 2-7386-5857-1 ISSN 1243-1478

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Confortablement installés dans de profonds fau- teuils, tous les deux dans ce délicieux état d'euphorie que provoque l'agréable digestion d'un repas raffiné, nous dégustions lentement notre café et couvions des yeux une remarquable fine de derrière les fagots dont Laure m'avait dit merveille.

— Mon mari l'avait achetée trois ans avant notre divorce, précisait-elle, ce qui lui donne dix ans de bouteille.

Le studio de Laure, où nous nous trouvions, était artistement aménagé, et l'on y remarquait surtout de superbes estampes des XVII et XVIII siècles dont les sujets, assez osés, se rapportaient principalement à certains ébats hydrauliques d'un caractère très parti- culier, nécessitant l'emploi d'instruments pointus à pistons, et donnant lieu à des expositions charmantes de croupes féminines complaisamment dénudées et offertes.

En cherchant bien, le visiteur indiscret aurait éga- lement découvert une série de dessins et même de peintures dont Laure elle-même, douée d'un fort joli talent, était l'auteur. Invariablement, mais avec toutes les poses possibles, ces dessins et ces tableaux repré- sentaient, dans un mouvement naturel étonnant, des

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scènes de gronderie, de retroussage, de déculottage et de fessées administrées à ses élèves, deux fillettes et un garçon, par une sévère institutrice dont les traits rappelaient singulièrement ceux de Laure.

— Ah! vous êtes curieux? Vous voulez des détails ? me dit en souriant ma belle hôtesse. Eh bien, je vais vous satisfaire. Après tout, tant pis. Je crois que, sur ce sujet, nous avons des goûts communs, et je n 'ai par conséquent pas à cacher à vos yeux une pas- sion que vous me paraissez partager. Oui, là! j'adore fesser et j'adore aussi... le reste, oui, l'autre humilia- tion que redoutent tant filles et garçons et que vous voyez éprouver sur ces estampes par de belles dames livrées aux soins attentifs et... pénétrants de leur sou- brette, et qui n'ont pas l'air, ma foi, de s'en trouver fâchées.

— Voyez celle-ci, par exemple, continua-t-elle en me désignant une des estampes. Couchée sur le côté, les cuisses disjointes, elle tend vers sa servante, sans aucune crainte, le plus joli derrière qui soit. Et remarquez comme elle tourne la tête vers la petite bonne et comme son sourire en dit long sur le désir qu'elle a de sentir l'adroite et lente pénétration dont elle a depuis longtemps appris à apprécier les trou- blants effets!... Et celui-ci, à côté! Cette fois les rôles sont renversés, c'est la soubrette qui, à son tour, pré- sente une paire de fesses, ma foi aussi belles que celles de sa patronne... Ah! il y a cependant une dif- férence; alors que le postérieur de la dame apparaît dans toute sa blancheur, observez combien celui de la gentille servante est ombré. Il y a là une intention évi- dente de l'artiste, car rien ne motive cette ombre, sur- tout au sommet des fesses qui, d'après la direction de la lumière, devraient être pleinement éclairées. Notez bien que cette ombre s'étend fort régulièrement juste

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sur les fesses et sur les cuisses qui, moins éclairées, devraient logiquement être plus sombres, sont au contraire plus claires. Qu'en déduisez-vous ?... Com- ment? Vous ne devinez pas?... Allons, je vois qu'il vous reste encore beaucoup à apprendre... Tenez, regardez ce tableau aux vives couleurs que j'ai fait moi-même un jour, de mémoire, après avoir fessé Lydia, l'une de mes petites élèves, devant mon armoire à glace dont le reflet me permit d'imprimer dans mon souvenir la scène où j'étais à la fois actrice et spectatrice. La peinture m'a autorisée à donner au derrière de Lydia la superbe couleur rouge que ma main y avait largement et longuement, je vous assure, épandue avec toute la vigueur de mes vingt ans. Bien, vous voyez, la petite était en chemise et j'avais si bien relevé celle-ci que la moitié du dos se trouvait dénu- dée. Or, le dos est blanc, les cuisses dont j'ai pu saisir au bout de mon pinceau le mouvement endiablé, sont blanches également. Seules les fesses sont rouges, ah! ça, on peut le dire, elles sont rouges... Oh! je n'ai pas exagéré! Quand je fessais mes élèves, les filles ou les garçons, leurs derrières étaient claqués jusqu'à ce rouge-là, au moins! Je vous jure que ça leur brûlait les fesses pendant un bon moment! Comme ma main, d’ailleurs... J'en avais des fourmis au bout des doigts...

— Alors, pour en revenir à notre soubrette, avez- vous compris, maintenant? Ah! oui! Ce n'est pas trop tôt!... Mais, bien sûr, l'artiste, n'ayant pas la ressource de la couleur, a voulu signifier par cette ombre que la petite bonne a fait des manières pour prendre son lavement (entre nous, nous pouvons bien appeler les choses par leur nom...) que sa maîtresse a dû se fâcher, la trousser et la déculotter de force et, furieuse de cette résistance, lui donner la bonne fes-

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sée qu ’elle n ’avait pas volée sur ses fesses toutes nues dont cette ombre indique simplement la rougeur accentuée. Oh ! oui, plus je la regarde, cette estampe, plus je suis certaine que la correction a été solide et que la dame savait joliment bien fesser! Ce qui le prouve du reste d'une façon péremptoire, c'est la mine contrite et les yeux boursouflés de la servante qui a dû pleurer de chaudes larmes sous la chaude fessée, et qui, maintenant, tend docilement son der- rière entrouvert vers sa maîtresse laquelle, armée de son instrument et prête à l'introduction, examine d'un air satisfait et triomphant le postérieur fouetté dont sa main gauche, du pouce et de l'index, écarte avec assurance la fente apeurée mais enfin consentante...

— Ah! que j'aurais voulu être à la place de cette bonne maîtresse. Je crois que je n ’aurais pas résisté à l'envie de refesser encore ce derrière polisson sur ses deux joues avant de me pencher longuement sur sa raie ouverte pour en explorer d'un regard avide les secrètes beautés et en violer le centre d'une canule effilée dont la devise pourrait être : « Je bois l'obs- tacle »!...

— Au fait, je parierais bien... qu'après, la mignonne soubrette, pour n'avoir plus à douter, à l'avenir, de l'action bienfaisante de sa patronne et de son instrument, aura reçu sur son derrière, tout rafraîchi par d'expertes et nécessaires ablutions, une nouvelle et copieuse fessée dont la main nerveuse de la dame aura claqué énergiquement ses deux fesses affolées sous les gifles!... C'est la grâce que je leur souhaite, à toutes les deux...

— Comment, Laure? à toutes les deux? Je vous croyais seulement active et non passive...

— Oui, oui, en général, je suis active. Presque tou- jours, c'est moi qui fesse et qui administre le... eh bien, oui, le lavement... Pourtant...

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— Pourtant?... — Oh! quel indiscret! et surtout quel impatient!

Attendez, attendez donc! Vous ne prétendez pas tout savoir à la fois... Je vous ai promis de vous raconter aujourd'hui quelques-uns de mes souvenirs de fouet- teuse et... d'opératrice de... ce que vous savez... Je veux tenir ma promesse, mais ne soyez pas plus pressé que les violons. Tout viendra à point si vous savez attendre...

— Laure, je ne dis plus rien... J'écoute, je bois vos paroles...

— Bon, mais que cela ne vous empêche pas de boire votre fine... Hein? qu'en dites-vous?

— Une merveille !... — N'est-ce pas? Ah! certes, mon époux s'y

connaissait... Quel dommage que nos goûts n'aient pas concordé... comment dirais-je... passionnelle- ment... Enfin!... que voulez-vous, ce que j'aimais tant le laissait indifférent! J'aurais voulu un mari qui me fouette ou que je fouette... Mais non, rien... Ça le lais- sait de glace... Avouez que c'était bien là un cas de divorce...

— Certes... Mais, Laure, il me semble que moi, je pourrais...

— Chut!... Nous en reparlerons... une autre fois... — Laure, Laure... je suis sûre que, si vous le vou-

liez, je vous fouetterais joliment bien... Il me semble que je vois ça d'ici...

— Voulez-vous... — Ou même que simultanément le bouillon pointu

et votre magnifique croupe n ’auraient plus de secret pour moi...

— Jean... Jean... ne vous emballez pas... Soyez calme et convenable. Ne me faites pas regretter de vous avoir reçu chez moi aujourd'hui. C'est bien

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simple, si vous n ’êtes pas sage, je ne vous raconterai pas mes petites histoires.

— Oh! Laure, comme vous parlez bien, et que vous êtes éloquente! Mais je vous sais gré surtout d'avoir terminé votre belle période par le mot globe... Car c'est bien de globes, et des plus attachants, que nous avons à nous entretenir. Là, je suis sage. Parlez, Laure, parlez...

A demi renversée sur son fauteuil, les jambes haut croisées, ce qui me permettait d'admirer le galbe merveilleux de ses mollets et de ses genoux, et même d'avoir par moments de troublants aperçus sur la blancheur nacrée de ses cuisses, Laure, ayant allumé une cigarette égyptienne, commença son récit.

Tout de suite je fus subjugué par sa narration faite avec esprit et passion. On la sentait prise entièrement par son sujet. Ses souvenirs et ses descriptions étaient si précis, si détaillés, qu'il me semblait vivre les tableaux qu'elle me présentait. Hélas, à les trans- crire, je sais bien qu ’ils perdent une grande partie de leur intérêt. Les lecteurs — et les lectrices — n ’auront qu'à faire un effort d'imagination pour se persuader qu ’au lieu de les écrire de ma plume, ils écoutent, de la bouche de cette adorable Laure, les suggestives histoires de fouettées, et de... lavements qu'elle me raconta.

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CHAPITRE PREMIER

M petit Jean, commença Laure, j'ai lu vos livres, où vous jonglez avec les croupes de fillettes, de gar- çons ou de femmes; Cuisante Idylle est bien l'ouvrage le plus spirituel et le plus varié que l'on ait jamais écrit sur le sujet...

— Oh! Laure. Vous exagérez... Ma modestie... — Ta, ta, ta... Laissez-la de côté, votre modestie...

Je sais ce que je dis. J'ai lu aussi Humiliation chérie, et j'ai renoncé à faire le compte des fessées reçues, par votre Césarine passionnée. Oui, ces deux volumes sont remarquables, chacun dans son genre, et vous ne pouvez savoir — ou plutôt... vous savez très bien — l'effet que leur lecture peut produire sur ceux ou celles qui les lisent et les relisent, en tenant... souvent... le livre d'une seule main... Il y a dans vos récits de ces scènes décrites avec tant d'art pervers qu'on les vit littéralement et que les sensations, vio- lentes ou douces de vos héroïnes, on les ressent avec autant d'acuité qu'elles-mêmes.

— Vous les avez ressenties, Laure? — Mais oui, mon cher... — Jusqu'au bout?... — Jusqu'au bout, oui, vilain indiscret... Mais lais-

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sez-moi parler. Si vous m'interrompez tout le temps, je ne dis plus rien.

— Oh ! si, si ! parlez, Laure. Vous disiez donc : jusqu'au bout? Eh bien, ça devait être du joli...

— Jean, je vais me fâcher, et vous savez, quand je me fâche...

Sa main eut un petit geste menaçant. — Eh quoi, Laure? Vous me fouetteriez? Mais

alors, fâchez-vous, fâchez-vous vite... — Quel enfant vous faites ! Vous seriez trop

content, n'est-ce pas?... — C'est-à-dire que je n'aspire qu'à ce moment

béni entre tous... — Eh bien, aspirez, mon petit Jean, mais vous en

serez pour vos frais... — Ah? Tant pis... — Bon. Et maintenant taisez-vous. Revenons à vos

livres. Après les compliments, la critique. Vos his- toires ne mettent en scène en général que des person- nages passionnés du fouet, soit de façon active, soit de façon passive. On dirait, à vous lire, que vos héros et vos héroïnes ont tous dans le... cœur un fouetteur ou un fouetté qui sommeille, et n'attendent que la pre- mière révélation pour devenir aussitôt enragés de ce sport merveilleux que l'on nomme la fessée. Mais il en est et j'en ai connu, qui, je vous l'assure, n'ont aucune disposition naturelle pour cet exercice et pour lesquels la première révélation est affreuse. Il faut parfois pour ceux-là des jours, des mois, pour les faire revenir de leur aversion, et leur faire comprendre enfin et éprouver toute la volupté d'un lent déculot- tage, d'une belle claquée à nu sur les fesses, savam- ment distribuée, ou de la suave petite opération interne qui offense si péniblement l'amour propre et la pudeur des néophytes.

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De plus en plus folle de honte, je me sentis en effet fouettée de main de maître pendant un temps qui me parut interminable. Je pleurais, je criais, je me tortillais pour tâcher d'éviter cette vigoureuse main qui n'en claquait pas moins à chaque fois.

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