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Fabien Sabatès présente La collection Artima 1958 - 1962 51 fascicules - récits complets V V O O L L U U M M E E 1 1

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Fabien Sabatèsprésente

La collection Artima1958 - 1962

51 fascicules - récits complets

VVOOLLUUMMEE 11

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©Xitroën - Bangkok - ThaïlandePremière édition 2015

Dépôt légal à parution (avril 2015)

Pour écrire à l’éditeur : Xitroën éditions, Suksabai village, 388/192, Moo 10, Nongprue Banglamung

Chonburi 20150 Thaïlande.

Contact : [email protected]/commandes : http://www.editions-douin.com

ISBN 978-2-915203-00-4 (ce volume n° 1 seul)ISBN 978-2-915203-01-1 (la collection des 4 volumes)

Impression SoBook - Roubaix - France - Mars 2015

Tous droits de traduction totale ou partielle réservés pour tous les pays. La reproduction d'un extraitquelconque de ce livre, par quelque procédé que ce soit, tant électronique que mécanique, en particu-

lier par photocopie, est interdite sans l'autorisation écrite de l'éditeur.

À paraître dans la collection «Intégrale ARTIMA»- Aventures Fiction (mai 2015)- Monde Futur (juillet 2015)

- Cosmos (octobre 2015)

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Artima qui ?Par Fabien SabatèsArtima, je connaissais bien, mais ça voulait dire quoi ?

Je me suis demandé des années durant ce que signifiait le mot Artima.Personne n’aurait eu l’audace de porter un patronyme pareil… Ray-mond Artima ? Philibert Artima ? Veuve Léontine Artima ?... Non,pas de veuve, y’en a déjà trop dans le champagne, comme quoi il estdangereux de faire du champagne et d’avoir une épouse qui devien-dra une riche veuve, faut choisir… Je tournais en rond, personne nesavait — et visiblement tout le monde s’en fichait. Et après des an-nées et l’arrivée de l’Internet j’ai enfin pu apprendre un jour… jourmerveilleux puisqu’enfin j’allais pouvoir reprendre un cycle de som-meil normal ! Hélas, cela signifiait ARTisans en IMAgerie… C’étaittrop simple, trop bête, sans génie ni mystère, j’en fus fort déçu… À la tête de cette maison d’édition basée à Tourcoing régnait un cer-tain Émile Keirsblik. Son nom, imprononçable par ailleurs, se retrou-vait dans tous les numéros et celui de sa femme Janine aussi…manquait que celui des enfants !

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Keirsblik, à ce que j’en sais, démarre son affaire en1943 et publie des illustrés (on ne disait pas encore« BD ») pour les enfants au format à l’italienne(photos ci-contre) — planches qui seront presquetoutes reprises par la suite dans un autre format etintégrées à divers titres, histoire de rentabiliser lepassé… et puis, les enfants grandissent et d’autresjeunes lecteurs les remplacent… c’est infini. Ouiparce qu’au départ, la bande dessinée est faite pourles enfants et pas pour les adultes… C’est à se de-

mander s’il y a encore des enfants qui lisent des illustrés impriméssur du papier de nos jours…Quand j’ai commencé à lire,vers l’âge de 6 ans avec Robin-son Crusoé, un aride bloc de650 pages de texte que je misdes mois à ingurgiter — et là jene suis pas très honnête car jeme suis régalé et je l’ai relu plu-sieurs fois par la suite ! — jeme suis plongé dans Vaillant,mère communiste oblige. J’ydécouvris la beauté des dessins, la couleur, les histoires palpitantes entout genre dont il me fallait attendre la semaine prochaine pour savoirce qui allait se passer… C’était tellement plus amusant que, le mer-credi après-midi, la lecture de la Bible du catéchisme — auquel jen’allais pas, mère communiste oblige, comme quoi le stalinisme avait

quand même de bon côtés...Mais Vaillant ne me suffisait plus, je l’échangeai àl’école contre Pilote, puis Pilote contre Tintin, puis Tintincontre Spirou, j’avais une soif inextinguible d’illustrés etc’est comme ça que je découvris en kiosque, la produc-tion des éditions Artima.Quel bonheur !Je découvris les fascicules Artima en 1959 par un copainde l’école. L’éditeur au nom à coucher dehors en sortaitchaque mois une flopée de divers genres : western,guerre, sport, enquêtes policières, fantastique, jungle et,le fin du fin, science-fiction. C’est bien les petits formatsd’Artima qui me donnèrent le gout de lire, lors de monadolescence, des centaines de livres de SF des plusgrands auteurs…

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En 1961, je n’avais que peu d’argent de poche aussi je ne pouvaisacheter que quelques illustrés chaque mois, heureusement qu’avec lescopains on se partageait les achats pour en lire le plus possible,j’avais inventé le communisme littéraire à 10 ans… Karl Marx, s’ill’avait su, aurait été très fier de moi, c’est sûr...Un peu comme certains tombent dans la drogue, dans l’alcool ou piredans le sexe (faut pas rigoler avec le sexe, c’est du sérieux), je tom-bais moi dans la collectionnite. Étrange maladie qui empêche de dor-mir si on n’a pas le numéro qui vous manque. Je commandais à monmarchand de journaux des anciens numéros que j’avais raté ou qu’iln’avait plus les ayant vendus. J’ouvre une parenthèse pour dire untruc un peu fou : à l’époque il ne me serait jamais venu à l’idée d’al-ler demander ça à un autre kiosque à journaux ! J’allais à celui quiétait en face du Prisunic du boulevard de Grenelle, à Paris, et je n’au-rais jamais eu l’idée d’aller acheter un illustré ailleurs. Pareil pour lescinémas : tous les mercredis avec les copains on allait au Zola, rueEmile Zola, quel que soit le film, et jamais on aurait été ailleurs…Curieux quand j’y réfléchis cette fidélité car, plus tard, avec les fillesce ne fut pas la même chanson… Bref, je m’éloigne de mon sujet. Je commençais à avoir de sérieux trous dans ma collection avec tous

ces échanges, et avoir des trous c’est moinsgrave pour une passoire que pour une collec-tion… aussi — j’avais 14 ans —, je décidaide me rendre chez l’éditeur à Tourcoing pourme refaire, un peu comme au casino à LasVegas. Ce fut le plus long et solitaire voyagede ma vie, j’étais le Lindbergh de la bandedessinée… Je voulais partir en solo, grossepétoche au ventre, vers l’inconnu devant medébrouiller seul (sans même une boussole, leGPS des scouts d’alors) !Ma mère me trouvait un peu fou de partir là-bas pour cette histoire d’illustrés, mais bon,devant ma détermination, elle accepta sur-tout qu’à l’époque il n’y avait aucun risquepour un enfant de voyager seul ; d’ailleurs le«93» n’existait pas encore, c’est dire la sécu-rité à l’époque ! Comme je lui promis de l’aider à vendrel’Humanité-Dimanche avec ses camarades

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du Parti pendant quatredimanches matin pourla remercier, elle mepaya le voyage.Je partis en train pourRoubaix. Puis je pris letramway pour Tour-coing ; il n’y a que 22kilomètres entre lesdeux villes. Tout lemonde connaissait leséditions Artima-Tour-coing, rue du flocon

(était-ce la seule rue où il neigeait en hiver dans cette ville) ; je m’yrendis à pied. Quand j’arrivai chez Artima, en entrant dans une sortede vaste entrepôt, j’expliquais à un monsieur très amical qui me reçutà l’entrée, le but de ma visite. Je savais qu’ils avaient tous les anciensnuméros car ils le répétaient sans cesses dans leurs publicités etj’avais cassé ma tirelire pour ça. Il prit le temps de réfléchir un mo-ment puis il me dit ceci : « Va plutôt au Prisunic gamin, ils ont descentaines de nos illustrés en vrac à vendre, ce sont nos invendus oudes retours de marchands de journaux ; tu les auras pour quatre foismoins cher que chez nous. »Je le remerciais pour l’élégance de ce geste totalement anticommer-cial pour l’entreprise qui l’employait ! Car il faut dire aussi qu’Ar-tima connaissait un déclin vers 1962-1963, et bien qu’ils aient tentéde « moderniser » leur production en changeant leur format pour unformat poche, rien n’y fit, les lecteurs étaient ailleurs... Aussi les an-ciens numéros ne valaient pas tripette… En 1963, alors que l’éditeur

stoppait la plupart de ses séries, Les Presses de la Cité quisouhaitaient se diversifier, rachetèrent Artima pour une bou-chée de pain et créèrent « Aredit », leur département bandedessinée. Donc le gars, gentiment, me dit de foncer auPrisu...Aussitôt dit aussitôt Prisunic et j’entre avec la liste de mestrous en main. Effectivement, il y avait un long présentoiravec des centaines de fascicules en vrac et ça valait 10 cen-times le bout. J’y passais deux heures à tout trier par titre, àles ranger en pile pour m’y retrouver en comparant avec maliste de «manquants» sous l’œil intéressé du chef de rayonqui me retapissait à faire son boulot. Si ça se trouve, il au-

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rait bien aimé m’engager ! Vous imagi-nez ? J’aurai pu faire carrière à Prisuniccomme chef de rayon Artima... Le rêvequoi ! Bref... je trouvais les 4 kilos d’illustrésqui me manquaient, à l’état neuf. Mal-heureusement beaucoup portaient encouverture un tampon du style «Ne peutêtre vendu», tampon que pour les réédi-tions actuelles j’ai fait effacer par notregraphiste... qui me maudit encore...Et c’est comme ça, en plus d’achatsdans les salons spécialisés par la suite, que je me suis constitué la col-lection complète des productions Artima depuis 1953. Complète oupresque puisqu’il me manque quelques numéros de Mystic, Hardy etFlash, des sérise que nous rééditerons en leur temps et au complet.Car collectionner c’est bien si cela aboutit à un but final autre que deplanquer ses trésors de papier et les lire sous les draps avec unetorche électrique… Il faut partager, il faut montrer, aussi je décidai unjour de les republier pour faire découvrir à une génération de bouton-neux ne les ayant pas connus ces petits bijoux. Pour cela il m’a fallu attendre l’arrivée des ordinateurs démocratisés,des scanners enfin abordables — les premiers valaient le prix d’unimmeuble ! —, d’outils informatique comme Photoshop, puis il m’aencore fallu attendre la naissance de l’imprimerie numérique, bref,j’ai patienté un demi-siècle avant que toutes les conditions soient réu-nies pour mon projet. C’était juste une question de patience… Mais laqualité du résultat dépasse mes espérances...Que vous dire d’autre, sinon de bien vous régaler ?

Fabien Sabatès

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Prochaines parutionsLes éditions Xitroën ont l’intention de republier l’intégralité oupresque des productions Artima de la grande époque. Nous commen-çons ici avec l’intégrale de Sidéral, soit 51 numéros. Très vite vien-dront dans leur intégralité les titres suivants (livrés ici dans un ordrealéatoire) : Aventures Fiction (29 numéros), Cosmos (62 numéros),Bat Man (8 numéros) (pas le Batman que vous connaissez), Spoutnik (34 numéros), Big Boy (45 numéros), Big Boss (25 numéros), Ardan (114 numéros), Aventures Films (99 numéros), Atome Kid (35 numéros), Tarou (96 numéros), Flash (54 numéros), Monde Futur (13 numéros), Hardy (55 numéros), Vigor (102 numéros), Dynamic (117 numéros), Tempest (30 numéros),Olympic (42 numéros), Mystic (28 numéros), Fulgor (39 numéros), Ouragan (43 numéros), Téméraire (45 numéros), etc.De belles et longues nuits blanches en perspective à lire toutes cesmerveilles ! Pour être tenu au courant des dates de parution, vouspouvez écrire à [email protected] qui vous tiendra régulièrementinformé des parutions (vous ne recevrez aucune publicité d’aucunesorte et nous vous garantissons la confidentialité de vos coordonnées)ou allez voir de temps à autre le site de notre diffuseur :

http://www.editions-douin.comVous aurez aussi la possibilité de répondre à nos souscriptions pourobtenir, avant publication, des prix intéressants. Nos souscripteurs re-cevront en cadeau la réédition numérotée d’une série Artima horscommerce en remerciement de leur fidélité. Veuillez prendre connaissance des conditions sur le site web.

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