energie : une décision courageuse qui en appelle d’autres, infor feb 24, 12 juillet 2012
TRANSCRIPT
-
7/31/2019 Energie : une dcision courageuse qui en appelle dautres, Infor FEB 24, 12 juillet 2012
1/4
>INFORFEBWWW.FEB.BE
La newsletter pour dcideurs
[ 12 JUILLET 2012 N 24 ]
Enfin, le gouvernement
a tranch. Verdict : Doel
1 & 2 ferment, Tihange1
est prolong de 10 ans.
Cette saga nuclaire a
men depuis 2003
beaucoup dinscurit,
tant au niveau cono-
mique que juridique, et
ce, pour les diffrents
acteurs. Le point dorgue
fut la signature en 2009
par le Premier ministre et le ministre de
lnergie de lpoque dun protocole daccord
sur la prolongation de la dure dexploitation
des 3 premiers racteurs.
La FEB comprend quaprs examen des avan-
tages et dsavantages, le gouvernement ait
abouti cette dcision, et rappelle que la pro-
longation doit videmment tre assortie de
conditions strictes en matire de scurit et
de gestion des dchets. En outre, une prolon-
gation doit profiter aux industries intensives
en nergie. Il sagit ici dun dossier dans
lequel le gouvernement peut travailler de
manire crdible la relance. Dans ce cadre,
si une contribution nuclaire est perue
(volont affiche par le kern), elle doit tre
compltement alloue au financement des
parcs doliennes offshore en mer du Nord.
Actuellement, ceux-ci sont financs par les
consommateurs qui paient 100% des certifi-
cats verts offshore. 800 millions EUR par an
lhorizon 2020 !
Cela tant dit, aprs les dcisions de la semai-
ne dernire, le gouvernement doit maintenant
prendre compltement ses responsabilits en
termes de vision et de mise en uvre de celle-
ci. En effet, ce nest pas parce quune dci-
sion sur les 3 premiers racteurs nuclaires a
t prise que notre pays dispose pour autant
dune vision claire et cohrente de sa poli-
tique nergtique.
Un grand nombre de questions politiques fon-
damentales restent ouvertes et appellent des
rponses. La politique nergtique doit-elle
soutenir la politique industrielle et, si oui,
comment ? Quelle place souhaite-t-on donner
la gestion de la demande (piste prometteuse
plus dun titre) ? Comment pleinement int-
grer les renouvelables dans le march ? Quelle
responsabilit les renouvelables doivent-ils
prendre en termes de maintien de lquilibre
sur le rseau ? Comment assurer un climat
propice aux investissements ?
Par ailleurs, les modalits de mise en uvre
de la politique gouvernementale sont tout aus-
si importantes. Nous devons viter que lins-
curit juridique ne commence l o la vision
sarrte. Ne dit-on pas : "Devil is in the de-
tails" ? Clarifier au plus vite les dcisions
annonces est une priorit. Ainsi, la question
se pose-t-elle de savoir comment le gouverne-
ment compte intervenir sur le march.
Comment producteurs, fournisseurs et
consommateurs doivent-ils comprendre les
"mises disposition", "lencadrement juri-
dique" en cas darrt de centrale ou encore les
mcanismes incitant linvestissement annon-
cs la semaine passe ? Une vision et des pr-
cisions sur les mcanismes mis en place sont
urgentes en vue de permettre aux acteurs du
march de dfinir leurs stratgies et ambitions.
Enfin, il na pas seulement t dcid de fer-
mer maintenant deux centrales, mais gale-
ment de fermer dfinitivement toutes les
autres centrales dici 2025. Peut-tre cela
est-il effectivement possible sans risques
excessifs au niveau des prix et de la scurit
dapprovisionnement. Mais cela pourrait tout
autant devenir une bombe retardement
menaant notre tissu dindustries lectro-
intensives. Cest pourquoi il est absolument
ncessaire de prvoir, dans la loi qui sera
amende prochainement par le parlement, des
moments dvaluations intermdiaires pouvant
ventuellement mener des prolongations
ultrieures.
PIETER TIMMERMANS,
ADMINISTRATEUR-DIRECTEUR GNRAL
Clarifier au plus vite lesdcisions annonces est unepriorit.
COTS SALARIAUX > Etude de la Banque nationale surl'indexation : principaux rsultats
> TROP CHAUD OU TROP FROID AU TRAVAIL > Nouvelles rgles
SYSTME DCHANGE DE QUOTAS DMISSION DE CO2 > Propositionde modification de la rglementation sur la mise auxenchres des droits dmission en prparation
HEBDOMADAIRE BUREAU DE DPT : SINT-NIKLAAS P409959
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE PINGLER
Energie : une dcision courageusequi en appelle dautres
L'nergie nuclaire actuellement trs importante
Selon les chiffres d'Eurostat, la part de l'nergie
nuclaire dans la production lectrique belge
s'levait 52,6% en 2009. C'est moins qu'en
France (76,3%), mais plus qu'aux Pays-Bas
(3,7%), en Finlande (32,7%), en Sude (38,2%)
et au Royaume-Uni (18,6%) par exemple.%).
52,6%
-
7/31/2019 Energie : une dcision courageuse qui en appelle dautres, Infor FEB 24, 12 juillet 2012
2/4
TROP CHAUD OU TROPFROID AU TRAVAIL
Nouvelles rgles
On ne le dirait pas en ce moment, mais l't
nous rserve sans aucun doute quelques jour-
nes (trop) chaudes. Ce qui n'est pas toujours
agrable quand on doit travailler. Une chaleur
ou un froid excessifs, qu'ils soient de natureclimatologique ou technologique, sont source
de dsagrment ou de problmes de sant. Les
travailleurs, mais aussi les employeurs, sont
trs chatouilleux au sujet des rgles y rela-
tives. Un nouvel arrt royal est paru ce sujet
le 21 juin dernier. Tout repose dsormais sur
l'analyse des risques tenant compte de la tem-
prature de l'air, de l'humidit, de la vitesse
des courants thermiques, du rayonnement
thermique, de la charge physique (pnibilit du
travail), des vtements de travail et des qui-pements de protection individuelle. Les
mesures de prvention doivent agir sur ces fac-
teurs ou une combinaison de ceux-ci. Il faut
galement prendre en compte le confort des
travailleurs. De nouvelles valeurs d'action ont
galement t introduites, tant pour le froid
que pour la chaleur. Lorsqu'elles sont dpas-
ses, l'employeur doit dployer un programme
de mesures techniques et organisationnelles.
Pour dterminer s'il fait froid, un thermomtre
ordinaire suffit toujours. Pour la chaleur, en
revanche, il existe dsormais, en plus du ther-
momtre boule mouille, des mthodes alter-
natives, plus rapides, fondes sur des tableaux
simples.
Aprs plusieurs tentatives manques,
de nouvelles rgles ont donc t dictes, lar-
gement inspires de l'avis des partenaires
sociaux. Elles sont applicables sans impliquer
des calculs trop complexes et des accords peu-
vent tre conclus au niveau de l'entreprise. ll
est important que les entreprises rflchissent
anticipativement des mesures permettant de
faire face aux pics climatologiques. A cet
gard, le timing, la veille de l't (?) est une
occasion manque, tout comme l'absence de
la brochure promise avec des explications et
des exemples pratiques.
Kris De Meester [email protected]
SYSTME DCHANGE DEQUOTAS DMISSION DE CO2
Proposition de modifica-
tion de la rglementationsur la mise aux enchres
des droits dmission enprparation
Le 25 juillet denier, la Commissaire euro-
penne charge de l'action pour le climat,
Connie Hedegaard, prsentera le rapport
Functioning of the carbon market. Il est
noter que ce rapport s'accompagnera d'une
proposition de modification de la rglementa-
tion relative la mise aux enchres des droits
dmission. Concrtement, il est question
court terme de sortir du systme 1,2 milliard
de droits d'mission via la mise en rserve ('set
aside') de certains quotas. Aprs adaptation
>
>
6e Rencontre Monde bel-ge des entreprises Hautsfonctionnaires belges laCommission europenne
Le 9 juillet dernier, la FEB a organis la 6e
Rencontre Monde belge des entreprises
Hauts Fonctionnaires belges la Commission
europenne. Nous avons eu le plaisir dac-
cueillir en tant quorateur Philippe de Buck,Directeur gnral sortant de BUSINESSEU-
ROPE, et par ailleurs candidat la Prsidence
du Comit conomique et social europen. Il a
fait part des enseignements quil a tirs des dix
annes passes la tte de la coupole euro-
penne des employeurs, ainsi que de ses
rflexions et propositions relatives la relance
de la croissance en Europe.
Anne-Laurence Cock [email protected]
Prsidence danoise de l'UENouvelle stratgie en mati-re de scurit et de sant
Fin juin a eu lieu Copenhague la (provisoire-
ment) dernire confrence europenne organi-
se sous la prsidence danoise. L'objectif
consistait valuer l'actuelle stratgie en
matire de scurit et de sant et d'en amor-
cer une nouvelle. Au nom de BUSINESSEU-
ROPE, Kris De Meester (FEB) a fait une
analyse du pass, du prsent et du futur. Les
employeurs ont vivement critiqu la
Commission europenne qui dgage trs peu
d'actions et de moyens pour atteindre des
objectifs ambitieux et qui ne parvient pas
transposer l'approche lgislative thorique en
une prvention concrte sur le terrain. On n'adonc pas de level playing field entre entre-
prises, parfois hlas au dtriment de la scu-
rit et de la sant des travailleurs. Une
stratgie dans ce domaine ne peut russir que
si elle bnficie du soutien des autorits, des
travailleurs et des employeurs. Tant que la
Commission continuera travailler dans son
coin, les progrs ne pourront venir que d'ini-
tiatives isoles et d'entreprises et de secteurs
de bonne volont. 'Ensemble pour la prven-
tion des risques' est d'ailleurs le titre de la pro-
chaine campagne de scurit europenne.
Cette devise ne peut pas rester lettre morte !Kris De Meester [email protected]
BBE Dtachement destravailleurs
Le 4 juillet dernier, le groupe de lobbyistes
europens BBE a accueilli M. Jackie Morin,
Chef dUnit la DG Emploi de la Commission
europenne. Il a prsent un tat de la situa-
tion chiffr relatif la mobilit professionnel-
le des travailleurs en Europe, en soulignant les
obstacles subsistants. Il a galement formul
les priorits venir. La seconde partie de la
runion a comme dhabitude t consacre au
dbriefing des travaux de la Commission, du
Conseil et du Parlement europen.
Anne-Laurence Cock [email protected]
>
>
>
ACTION FEB
>
De g. dr. : Rudi Thomaes, Olivier Joris, Olivier Belle,Pierre Alain De Smedt, Dirk Wouters, Marianne Thyssen,Philippe de Buck, Philippe De Backer.
-
7/31/2019 Energie : une dcision courageuse qui en appelle dautres, Infor FEB 24, 12 juillet 2012
3/4
Fin juin, la Banque nationale a publi son tude sur notre systme d'in-
dexation. Elle y examine notamment si notre croissance conomique et
notre emploi sont plus vulnrables un choc des prix externe (par ex.
forte augmentation du prix du ptrole) que dans un pays n'appliquant
pas un systme d'indexation automatique. La Banque nationaledmontre qu'en raison de ce systme, les cots salariaux belges aug-
mentent davantage, ce qui entrane toute une srie de consquences
ngatives. Ainsi, les entreprises doivent, du moins partiellement, impu-
ter ces cots supplmentaires dans leurs prix, ce qui dtriore leur com-
ptitivit. Pour une petite conomie ouverte comme la Belgique, forte-
ment tributaire de l'tranger, cela se traduit par une croissance cono-
mique plus faible et une perte d'emplois. La baisse de l'emploi engendre
son tour un recul de la consommation. La Banque nationale a gale-
ment calcul ce qui serait advenu si nous avions dcid, en 2007, derformer notre systme d'indexation : dans le meilleur des cas, notre
prosprit aurait t suprieure de prs de 1% et nous aurions cr pas
moins de 25.000 emplois supplmentaires. Enfin, la Banque nationa-
le dmontre encore que la rigidit de notre systme indexation nous
empche de rduire notre handicap en matire de cots
salariaux : depuis 2004, l'indexation est en effet pres-
qu'aussi leve que la totalit des augmentations de
cots salariaux dans les pays voisins, ce qui ne laisse
aucune marge pour corriger les drapages salariaux du
pass.
FEB L'tude de la Banque nationale aboutit uncertain nombre de conclusions percutantes. Si certains
ont encore des doutes concernant l'analyse, ils devraient
pouvoir tirer la situation au clair avec les chercheurs
concerns dans les plus brefs dlais. Un dialogue serein
devra ensuite tre lanc en vue de rformer notre sys-
tme d'indexation. Comme l'indique l'tude de la
Banque nationale, une telle rforme profitera notre
croissance et la cration d'emplois.
Geert Vancronenburg [email protected]
de la lgislation, le but serait, plus long ter-
me, de supprimer les droits mis en rserve,
d'augmenter le facteur linaire de rduction,
d'accrotre la demande de droits d'mission
par le biais de l'largissement d'autres sec-
teurs ou de passer les objectifs de rduction
des missions de 20% 30% d'ici 2020.
Eu gard son incidence sur un grand
nombre d'entreprises europennes et l'ab-
sence de tout 'impact assessment' ou 'compe-
titiveness proofing', les employeurs europens
ont vivement ragi cette proposition.
Regroups au sein de BUSINESSEUROPE, ils
ont adress le 27 juin une lettre tous les
Commissaires europens. Les employeurs ont
dnonc tant le contenu de la proposition que
l'absence d'analyse de ses consquences ven-
tuelles. Ils ont galement prcis que de telles
interventions court terme n'ont pour effet
que d'accrotre l'incertitude relative au syst-
me ETS et sont, par consquent, prjudiciables
aux investissements dans les technologies
faibles missions de CO2. Ils ont enfin appel
une implication systmatique des parties pre-
nantes lors d'interventions de cette ampleur.
Pieter-Jan Van Steenkiste [email protected]
UNION EUROPENNE
Prsidence chypriote
Chypre a entam ce 1er juillet sa premire
Prsidence tournante de lUE, succdant ain-
si pour six mois au Danemark. Le rle politique
des Prsidences semestrielles a t affaibli en
raison de la cration de la Prsidence perma-
nente du Conseil europen, assure par
Herman Van Rompuy qui vient dentamer unsecond et dernier mandat. Nanmoins, la
Prsidence tournante continue jouer un rle
important de facilitateur dans les ngociations
lies aux dossiers concrets traits par les dif-
frentes formations du Conseil. Sous le slogan
Towards a better Europe , Chypre poursui-
vra notamment les dbats relatifs au cadre
budgtaire pluriannuel 2014-2020, et ses
dclinaisons en matire de recherche et din-
novation (Horizon 2002) et de rseaux trans-
europens. Sous Prsidence chypriote, de
nombreux dossiers relatifs la rgulation finan-
cire et au march intrieur seront galement
dbattus au Conseil. Enfin, dans le cadre des
relations extrieures de lUE, Chypre axe ses
priorits sur la politique de voisinage avec les
pays du Sud de lEurope.
Cette Prsidence chypriote dbute alors
que Chypre a officiellement demand fin juin
laide des fonds durgence europens afin
notamment de recapitaliser ses banques, et
que les tensions avec la Turquie demeurent. La
FEB espre que Chypre sera nanmoins en
mesure de faire progresser les dossiers impor-
tants dactualit au Conseil, dans le cadre
notamment des efforts de relance de la crois-
sance et des 20 ans du march intrieur qui
seront clbrs en octobre prochain. La FEB
accueille galement positivement la ncessit,
mise en avant par la Prsidence chypriote, de
rapprocher lEurope des citoyens europens
sur base dun message despoir.
Olivier Joris [email protected]
PROPRITINTELLECTUELLE
Le trait ACTA rejet parle Parlement europen
Le trait commercial ACTA (Anti-Counterfeiting
Trade Agreement) ngoci depuis plusieurs
>
>
COTS SALARIAUX>
Etude de la Banque nationale sur l'indexation : principaux rsultats
>
[INFOR
FEB
24
12JUILLET
2012
]
-1,0%
-0,5%
0,0%
0,5%
1,0%
1,5%
2,0%
2,5%
3,0%
3,5%
4,0%
1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011p 2012p
Diffrence Indexation en Belgique Augmentations totales de cots salariaux dans les 3 pays voisins
Notre systme d'indexation nous empche de corriger lesdrapages salariaux du pass (Source : BNB, CCE)
-
7/31/2019 Energie : une dcision courageuse qui en appelle dautres, Infor FEB 24, 12 juillet 2012
4/4
Grap
hismee
tpro
duc
tion:
The
Ma
ils
hop
tl.037711230
ma
il@thema
ils
hop
.be
annes entre les Etats-Unis, le
Japon, lAustralie, le Canada,
Singapour, entre autres, et
lEurope a t rejet par le
Parlement europen une trs
large majorit. Ce trait na pas
t ngoci dans la cadre de
lOrganisation mondiale du
Commerce (OMC) et de
lOrganisation mondiale de la
Proprit intellectuelle (OMPI)
qui prvoient un cadre pour lin-
formation et la consultation du public, ce qui
explique sans doute en partie la vague dop-
position son gard. Si lon peut regretter
que lEurope ne se soit pas dote dun tel
outil dans le cadre de la lutte contre la contre-
faon, elle ne reste cependant pas complte-
ment dmunie. Les accords ADPIC (Aspects
de droit de la proprit intellectuelle qui tou-
chent au commerce) donnent notamment aux
entreprises des outils dans ce cadre.
La FEB regrette nanmoins la dsinformation
qui a entour certaines critiques adresses
ACTA et le fait que le Parlement europen
nait pas attendu lavis de la Cour Europenne
de Justice pour prendre sa dcision.
La FEB considre quil est temps de
rerflchir la proprit intellectuelle, ses
objectifs, le rle quelle joue effectivement,
comment en amliorer lefficacit, et ce,
dans le cadre europen. LEurope devrait
entamer une vaste rflexion sur ce thme
avant de mettre en place de nouveaux outils.
Nathalie Ragheno [email protected]
SCURIT SOCIALE
Cotisations sociales
3e trimestre 2012
Chaque trimestre, la FEB publie un tableau
reprenant les taux de cotisations sociales. Il
indique, pour chaque secteur de la scurit
sociale, le pourcentage des cotisations per-
sonnelles et patronales dues. Les cotisations
sociales du troisime trimestre 2012 restent
inchanges par rapport aux trimestres prc-
dents (voir Infor n 1 du 12 janvier 2012). La
loi-programme du 29 mars 2012 prvoyait
deux modifications : une rduction des coti-
sations pour le Fonds amiante (on passe de
0,01% 0,005%) et l'introduction d'une nou-
velle cotisation patronale de 0,005% pour
financer la liaison au bien-tre des accidents
du travail. Afin d'viter des complications
techniques, une cotisation de 0,01% a t
perue aux premier et second trimestres de
2012 pour alimenter le Fonds 'amiante'. Aux
troisime et quatrime trimestres, la cotisation
de 0,01% sera affecte la liaison au bien-tre des accidents du travail.
Le tableau peut galement tre consult sur
notre site web www.feb.be chiffres et faits
montants sociaux 2012.
Anneleen Bettens [email protected]
>
FEB Fdration des Entreprises de Belgique ASBLrue Ravenstein 4 1000 Bruxelles tl. 02 515 08 11 fax 02 515 09 15
RDACTION : Anne Michiels tl. 02 515 09 44 [email protected]
Thrse Franckx tl. 02 515 09 50 [email protected]
DITEUR RESPONSABLE : Charles Gheur rue Ravenstein 4 1000 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes tl. 02 515 08 43 [email protected]
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba tl. 03 448 07 57 [email protected]
CHANGEMENTS DADRESSE : FEB Service mailing tl. 02 515 09 06 fax 02 515 09 55 [email protected]
COPYRIGHT : Reproduction autorise moyennant mention de la source
LInfor est imprim sur du papier issu de la gestion durable des forts. La gestion durable des forts tient compte de l'cosyst-
me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indignes et des travailleurs forestiers*) et est
responsable d'un point de vue conomique.
>
DATE :
12 SEPTEMBRE 2012
DATE :
2 OCTOBRE 2012,
16H00
Le Cloud Computing : une avance incontournablepour linformatique dentreprise ?Dans le cadre des Midis de la proprit intellectuelle
Les promesses dconomies et de gains defficacit du cloudcomputing sont tentantes. Mais elles doivent tre apprciesau regard des risques lis la perte de matrise physique surles donnes et dautres incertitudes, lies notamment la
continuit des oprations, la fiabilit du fournisseur, lenvironnement
rglementaire de plus en plus complexe dans certains secteurs, etc.
FEB Social Academy: lancement de la 5e dition !Un investissement dans des relations sociales quilibres,dans la motivation et la confiance de votre personnel est uninvestissement rentable trs court terme. La FEB SocialAcademy revient avec une 5e dition! Ouverture du program-
me par la ministre de lEmploi, Monica De Coninck.
Plus dinfos > www.feb > Manifestations & sminaires
LIEU : FEB, BruxellesINFO : Service Events
T 02 515 08 91
LIEU : FEB, BruxellesINFO : Service Events
T 02 515 08 36
AGENDA
be.international
17.09.2012
VBO FORUM FEB
BRUSSELS SQUARE
www.beinternational.be