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8/7/2019 Représentation des femmes dans les sociétés cotées : pour une approche équilibrée et réaliste !, Infor FEB 5, 10 fé…
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>INFORFEB W W W . F E B . B E
La newsletter pour décideurs
[ 10 FÉVRIER 2011 – N° 5 ]
La diversité au sein des conseils d’adminis-
tration des sociétés cotées est nécessaire ; la
mixité des genres en constitue un des fac-
teurs importants. En 2010, un constat s’im-
pose : en Belgique, seules 7% de femmes
sont administratrices de sociétés cotées.
Compte tenu de ce contexte socio-écono-
mique, comment accroître la représentativité
des femmes ? Faut-il une loi imposant des
quotas ou adopter une approche par le biais
d’une recommandation ? La question fait
débat au Parlement. La FEB, qui regroupe
l’ensemble des sociétés cotées belges, sou-
tient la recommandation de la Commission
Corporate Governance (*) publiée le 11 jan-
vier dernier. Cette recommandation précise le
Code belge de gouvernance d’entreprise
2009 (Code 2009). Elle prévoit que les
sociétés cotées devront d’ici 7 ans atteindre
une représentation d’au minimum 30% d’ad-
ministrateurs de chaque sexe. À cette fin, la
Commission plaide pour une approche gra-
duelle : lors de la nomination de nouveaux
administrateurs, et jusqu’à ce que la repré-
sentativité de 30% de chaque sexe soit
atteinte, la moitié – au minimum – des nou-
veaux administrateurs nommés par période
consécutive de 3 ans devrait être des
femmes.
La mise en œuvre de la recommandation
repose-t-elle sur l’arbitraire de la société ?
Non !
Cette recommandation se base sur le princi-
pe 'se conformer ou expliquer', à savoir que
les sociétés sont obligées de suivre le Code
2009 et, si elles ne le suivent pas, elles sont
tenues de se justifier. Depuis 2010, cette
approche est légalement reconnue et si les
administrateurs ne la mettent pas en œuvre,
ils engagent leur responsabilité. De plus, les
actionnaires et les investisseurs –
hommes/femmes – ont un droit de contrôle
sur la politique menée par la société en
matière de mixité des genres et, s’ils n’en
sont pas satisfaits, ils peuvent le signifier au
conseil d’administration ou quitter la société.
En effet, le rapport de gestion doit expliquer
les mesures prises par la société pour amé-
liorer la représentativité des femmes et il est
soumis à l’assemblée générale. En outre,
chaque année, la Commission Corporate
Governance dressera un bilan de l’impact de
la recommandation.
Seule l’approche 'se conformer ou expliquer'
permet, par sa flexibilité, de prendre en
considération les spécificités de chaque
entreprise. En effet, le paysage des sociétés
cotées est très diversifié : taille très différen-
te (Bel 20; Bel Mid ou encore Bel Small),
sociétés familiales, actionnariat de contrôle,
sociétés avec beaucoup de titres cotés….
Évitons d’enfermer les sociétés cotées dans
le cadre rigide de la loi et gardons une sou-
plesse suffisante pour tenir compte, dans un
cadre transparent, de leurs caractéristiques.
Retenons aussi les leçons des pays où des
systèmes légaux de quotas ont été introduits.
Ainsi, en Norvège, le pays toujours cité en
exemple avec un quota légal de 40% de
femmes, on a assisté à un très important 'de-
listing' et, ce qui est interpellant, c’est que
40% d’administrateurs norvégiens mention-
nent comme une – voire la seule – des
causes du 'delisting'… la réglementation sur
l’introduction des quotas !
Soyons donc pragmatiques et optons pour
une approche permettant rapidement et gra-
duellement d’améliorer la représentation des
femmes !THOMAS LEYSEN, PRÉSIDENT
(*) Pour le texte de la recommandation,www.corporategovernancecommittee.be
Seule l’approche 'se conformerou expliquer' permet de prendreen considération les spécificitésde chaque entreprise.
Représentation des femmes dans les sociétés cotées
Pour une approche équilibrée et réaliste !
> ACCORD INTERPROFESSIONNEL > Le gouvernement doitdésormais veiller à son application intégrale
DROITS DES CONSOMMATEURS > Les institutions européennessuivent des lignes différentes
FISCALITÉ > Consultation sur l’avenir de la TVA
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
LE CHIFFRE DE LA SEMAINEÀ ÉPINGLER
… de femmes travaillant à temps pleinParmi les femmes en âge de travailler, 1 sur 3 est active à
temps plein, près de 1 sur 4 à temps partiel et près de 1
sur 2 est sans activité professionnelle. La Belgique est ain-
si l’avant-dernier pays d’Europe, devant les Pays-Bas, en
ce qui concerne le % de femmes travaillant à temps plein.
Cette situation s’explique par les nombreux incitants pour les emplois à temps partiels.
www.feb.be > publications > chiffres et faits
33%
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Le Conseil de l’Union européenne a approuvé
le 24 janvier 2011 l’accord sur la directive
‘droits des consommateurs’, tel qu'il a été
conclu sous la présidence belge. Cet accord se
fonde sur le principe de l’harmonisation com-
plète ciblée. Conformément à ce dernier, les
États membres ne peuvent imposer au niveau
national des règles plus strictes en matière de
protection des consommateurs que le prescrit
européen. Les chapitres sur lesquels aucune
unanimité ne s’est dégagée quant au niveau
d'harmonisation ont été supprimés du champ
d'application de la directive par le Conseil. Au
Parlement européen en revanche, la
Commission Marché intérieur et Protection des
consommateurs (IMCO) a voté le 1er février
2011 en faveur d'une formule qui combine
harmonisation complète et harmonisation
minimale, laissant dans certains chapitres la
possibilité aux États membres d'appliquer des
règles nationales plus rigoureuses. L'assemblée
plénière du Parlement européen doit encore
se prononcer.
Les deux institutions européennes sui-
vent des lignes différentes. La FEB souhaitequ’un terme soit mis au morcellement qui exis-
te en matière de protection des consomma-
teurs et plaide dès lors pour le principe de
l'harmonisation complète. Dans cette pers-
pective, elle donne la préférence à la suppres-
sion des chapitres pour lesquels l'harmo-
nisation complète est impossible plutôt qu'au
maintien de ces chapitres avec une possibili-
té de dérogation pour les États membres. Les
négociations entre les institutions européennes
afin d'aboutir à un accord sur la directive rela-
tive aux droits des consommateurs ne seront en
tout cas pas simples.
Stefaan Verhamme – [email protected]
FISCALITÉ
Consultation sur l’avenirde la TVA
La Commission européenne estime que le
moment est venu, après 40 ans, de soumettre
le régime de la TVA à un examen critique pour
accroître la cohérence avec le marché inté-
rieur, renforcer le potentiel du système comme
source possible de revenus, améliorer sa contri-
bution à la politique dans d’autres domaines et
réduire, dans le même temps, les coûts de res-
pect et de perception. Dans ce but, la
Commission a lancé une consultation à laquel-le il est possible de participer jusqu’au 31 mai
2011. Presque tous les thèmes possibles sont
abordés : traitement des transactions trans-
frontalières, neutralité du régime de TVA, sim-
plification administrative, règles spécifiques
pour les PME et les grandes entreprises, réduc-
tion de la sensibilité à la fraude,… Au terme de
cette consultation, la Commission présentera,
dans le courant du second semestre de 2011,
sa nouvelle stratégie en matière de TVA, suivie
>
>
Débat fiscal national 2011Le 1er février dernier, la FEB, le cabinet d’avo-
cats Tiberghien et moncode.be ont organisé le
Débat fiscal national. Le point fort de cette édi-
tion était le 50e anniversaire du fameux arrêt
Brepols de 1961, dans lequel la Cour de cas-
sation a confirmé le droit du contribuable d’op-
ter pour la voie la moins imposée. En ces temps
budgétaires difficiles, la doctrine Brepols est
cependant remise en question par certains. Le
moment était donc venu pour d’éminents
professeurs d’université, décideurs politiques,
fiscalistes d’entreprise et conseillers fiscaux de
débattre de ce thème brûlant d’actualité.
Alain Lecocq – [email protected]
Objectifs de formation :une lettre à la ministreMilquet
Les entreprises doivent consacrer 1,9% de leur
masse salariale à la formation. Les organisa-
tions représentatives des employeurs (FEB,
Unizo, Boerenbond, UCM, et UNISOC) esti-
ment que cet objectif est atteint pour 2008.
Elles ont adressé une lettre à la ministre
Milquet dans ce sens. Le rapport du Conseil
central de l’économie indique en effet que les
entreprises occupant plus de 10 travailleurs –
soit le groupe de référence utilisé par l’enquê-
te comparative européenne CVTS (Continuing
Vocational Training Survey) qui a servi à fixer
l’objectif de 1,9% – ont bien consacré 1,88%
de leur masse salariale à la formation en 2008.
Arrondi, cela donne 1,9%. Pour 2009, les
chiffres ne sont pas encore définitifs, mais tout
porte à croire que les efforts fournis seront
aussi importants, malgré la crise financière qui
a frappé durement nombre d’entreprises.
Michèle Claus – [email protected]
La FEB à la Table ronde‘Single Market Act’
Le 27 janvier dernier, le SPF Économie a orga-
nisé une Table ronde consacrée au Single
Market Act (SMA), une communication de la
Commission européenne contenant 50 propo-
sitions concrètes visant à achever le marché
intérieur. Le SMA fait actuellement l’objet
d’une consultation publique à laquelle la FEB
participera. Après une introduction par Régis
Massant, président du SPF Économie, ainsi
qu’une présentation du contenu du SMA par
Stefaan De Rynck, chef d'unité à la DG Marché
intérieur et Services de la Commission euro-
péenne, plusieurs workshops ont été consa-
crés aux différents aspects du SMA
(compétitivité, gouvernance d’entreprises,
énergie, économie numérique, etc.). Arnaud
Thysen, membre du Département européen de
la FEB, a participé au workshop ‘consomma-
teurs’ qui s’est penché, entre autres, sur les
propositions visant à promouvoir les modes
alternatifs de règlement des conflits.
Arnaud Thysen – [email protected]
> >>
De g. à dr. Ahmed Laaouej (sénateur PS), Bruno Peeters(Université d'Anvers et cabinetTiberghien), VéroniqueTai (présidente de la Commission du Ruling) et HildeWampers (Groupe Belgacom).
ACTION FEB
DROITS DES CONSOMMATEURS
Les institutions européennes suiventdes lignes différentes
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Le syndicat libéral CGSLB et le syndicat socialiste FGTB ont rejeté ven-
dredi dernier le projet d'accord interprofessionnel (AIP) présenté le 18
janvier au gouvernement. La FEB, Unizo, l’UCM et Agrofront avaient tour
à tour accepté ce projet équilibré et pris leurs responsabilités dans des
circonstances difficiles. Ce fut également le cas du syndicat chrétienCSC qui, tout en indiquant que le texte suscite des frustrations, avait
préféré voter favorablement parce que ce texte assure, entre autres, le
maintien du pouvoir d'achat et comprend une avancée définitive en ce
qui concerne le statut unique des travailleurs. La FEB, tout comme les
autres employeurs du groupe des Dix, ne peut dès lors pas cacher sa
déception face à ce rejet par deux des partenaires sociaux. Si certains
aspects de l'accord n'étaient pas satisfaisants, dans l'ensemble, les
points forts répondaient aux attentes des uns et des autres.
Les employeurs constatent que la majorité des membres du grou-
pe des Dix ont approuvé l’accord. Cette majorité ne peut être la victi-
me du refus de certains. Le texte qui a été paraphé par l'ensemble dugroupe des Dix ne peut être renégocié. La FEB demande par conséquent
au gouvernement de prendre ses responsabilités et de donner suite à
l'AIP, en veillant à son application intégrale. Et ce, afin d'éviter de désa-
vouer les partenaires principaux qui ont travaillé longuement pour par-
venir à un tel accord. Elle insiste en particulier sur l’aspect salarial (max
0,3% d’augmentation en 2012 et prise en compte de l’étude du Conseil
central de l'économie sur le
mécanisme d’indexation) et sur le
dossier ouvriers-employés (coeffi-
cients de convergence relatifs
au préavis). L’ensemble desemployeurs se déclare prêt à
collaborer pleinement à cette
application.
en 2012 de propositions législatives concrètes.
Le livre vert est disponible via le lien ci-dessous.
Personne – ni les autorités ni les entre-
prises – ne contestera que le régime de TVA
actuel fonctionne mal, est trop compliqué et
trop sensible à la fraude. Cette consultation est
une occasion unique de contribuer à sa remi-
se à neuf. La FEB élabore en ce moment une
réaction. Toutes les contributions sont évi-
demment les bienvenues.
Alain Lecocq – [email protected]
http://ec.europa.eu/taxation_customs/
common/consultations/tax/
2010_11_future_vat_en.htm
CONTRÔLE INTERNE DANSLES SOCIÉTÉS COTÉES
La Commission CorporateGovernance publie deslignes directrices
À la suite de la crise financière, le législateur
a voulu renforcer la transparence en matière de
gouvernance d’entreprise, plus particulière-
ment au niveau des systèmes de contrôle inter-
ne et de gestion des risques. C'est dans cette
optique que la Belgique s'est dotée, le 6 avril
2010, d'une loi imposant aux sociétés cotéesde décrire, dans leur rapport de gestion, les
principales caractéristiques du dispositif de
gouvernance en vigueur chez elles. C'est dans
ce même esprit que la Commission Corporate
Governance avait, en 2009 déjà, publié une
nouvelle édition du Code belge de gouvernan-
ce d’entreprise, où elle recommandait de
mettre en place un cadre référentiel de contrô-
le interne et de gestion des risques. Une nou-
velle étape vient d'être franchie, avec la
publication – par ladite commission et en étroi-
te collaboration avec l'un de ses membres,
l’Institut des réviseurs d’entreprises (IRE) – de
lignes directrices (*) destinées à aider les
sociétés cotées à mettre en œuvre les nou-
velles obligations légales ainsi que les recom-
mandations du Code belge de gouvernance
d’entreprise 2009.
Véritable 'mode d'emploi' en matière de
description du dispositif de contrôle interne,
ces lignes directrices s'adressent aux sociétés
cotées, et plus particulièrement aux plus
petites d'entre elles, qui éprouvent le plus de
difficultés à décrire les principales caractéris-
tiques de leur système de contrôle interne.
Une centaine de questions ont été prévues
pour les aider dans cet exercice. Ces lignes
constituent un cadre de base. Les sociétés
peuvent, si elles le souhaitent, prévoir de pro-cédures plus développées.
Christine Darville – [email protected]
(*) Les lignes directrices sont téléchargeables
sur www.corporategovernancecommittee.be
HARCÈLEMENT AU TRAVAIL
La FEB prend la paroleau Parlement
À la suite de plusieurs cas récents de harcèle-
ment au travail, un groupe de travail spécial de
la Commission des Affaires sociales de la
Chambre a organisé la semaine dernière des
audiences avec des représentants des syndi-
cats, des employeurs, des services de préven-
tion et des assistants sociaux. L'objectif
poursuivi consiste à mettre au jour les lacunes
dans la réglementation et la prévention
actuelles, afin d'enrayer définitivement le har-
cèlement au travail. Des projets de loi ont éga-
lement été introduits en vue de créer un
guichet neutre 'harcèlement au travail' auprès
du SPF ETCS, d'imposer des sanctions plus
sévères à ceux qui exercent l'autorité et de
limiter la protection si un délégué syndical
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ACCORD INTERPROFESSIONNEL
[
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F E B
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Le gouvernement doit désormais veiller à son application intégrale
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Le syndicat chrétien CSC
avait préféré voterfavorablement parce quece texte assure, entreautres, le maintien dupouvoir d'achat.
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G r a p h i s m e e t p r o d u c t i o n : T h e M a i l s h o p – t é l . 0 3 7 7 1 1 2 3 0 – m a i l @ t h e m a i l s h o p . b e
devait se rendre coupable de harcèlement.
Le véritable défi ne consiste pas à
modifier une énième fois la législation relati-
ve au bien-être, mais à lancer un message
clair émanant de toutes les parties concer-
nées – employeurs, travailleurs, autorités et
responsables politiques – quant au caractère
inacceptable du harcèlement. Soutenez ce
message grâce à une approche à la mesure de
votre entreprise (*) pour intervenir rapidement
et fermement face au harcèlement moral et
aux signaux qui l’annoncent.
Kris De Meester – [email protected]
(*) Voir aussi www.feb.be > Publications >
Briefings. Ce mois-ci vous trouverez un
dossier complet sur la thématique du harcèle-
ment dans le magazine de la FEB, FORWARD.
SOMMET EUROPÉEN
Innovation, énergie eteuro à l’ordre du jour
Le 4 février dernier, les dirigeants européens
ont débattu de l'innovation, de l'énergie et de
l'euro. Le Conseil européen a avant tout plai-
dé pour l'élaboration d'une stratégie intégrée
en matière d'innovation. Parmi les proposi-
tions, on épinglera le développement de la
mobilité des chercheurs, l'accélération des
procédures de normalisation et l'implication
de l'industrie dans ce processus, ou encore
l'élargissement de l'accès au capital à risque
transfrontalier et la simplification des pro-
grammes européens de R&D. Dans le cadre de
leurs économies, les États membres sont priés
d'accorder la priorité à des mesures stimulant
la croissance dans les domaines de l'ensei-
gnement, de la recherche et de l'innovation.
À cet égard, le tout récent ‘Innovation Union
Scoreboard 2010’ s'avère instructif. La
Belgique y occupe la 6e place dans le classe-
ment général de l'UE, grâce notamment à l'ex-
cellence de ses systèmes de recherche et à ses
PME innovatrices. En matière d'énergie, la
mise en place d’un marché unique de l'éner-
gie a été annoncée pour 2014, ce qui néces-
sitera des investissements considérables aucours des prochaines années. D'ici à la mi-
2011, il faudrait par ailleurs instaurer des
normes techniques pour les bornes de rechar-
ge destinées aux véhicules électriques et, d'ici
à la fin de 2012, aussi pour des indicateurs
et des réseaux intelligents. Enfin, l'Eurogroupe
a fait une déclaration sur la crise de l'euro. Les
propositions concrètes pour une meilleure
coordination économique feront probablement
l'objet d'un débat lors d'un sommet européen
spécial qui se tiendra au début du mois de
mars.
La FEB se félicite de la bonne place
réservée à l'innovation sur l'agenda politique.
L’intérêt porté au capital à risque est positif.
Pour le reste, il est urgent d'étendre l'accès
aux programmes européens de R&D et d’as-
souplir ces derniers, et ce, surtout pour les
PME. Enfin, la FEB insiste sur la mise en
œuvre rapide d'un brevet unique de l'UE.
Michiel Humblet – [email protected]
>
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L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de l'écosystè-
me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est
responsable d'un point de vue économique.
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3e édition de la Social AcademyLa 3e édition de la Social Academy, ce cycle de formation de 7 après-midissur différents aspects de la concertation sociale, poursuit sa route. Lessessions ont lieu d’octobre 2010 à mai 2011.
Specialised Study Programme (LL.M.) in Competition Lawand Economics
This course is divided into 12 'learning blocks': with 15 hours of taughtseminar for each learning block, this programme seeks to offer thestrongest possible training in the various disciplines of competitionpolicy. From October 2010 to June 2011.
Exécution ultérieure du projet d'AIP 2011 - 2012Durant cette séance d’information, les experts de la FEB exposerontles résultats des négociations interprofessionnelles.
Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations
Lieu : FEB, Bruxelles
Contact : Nathalie Petit, T 02 515 09 64,
F 02 515 09 15, [email protected]
Info & Inscription : www.feb.be, rubrique
Social Academy
Venue : FEB, Brussels
Information & Inscription:
www.brusselsschoolofcompetition.eu,
Contact : Laurent Sempot, T 02 515 09 83,
F 02 515 09 15, [email protected]
Info & Inscription : www.feb.be >
Manifestations & séminaires
A G E N D A Date et thème :
17 février – 14 u:
Négociations sociales.
Enseignements tirés de la
pratique
Dates and theme :
18, 25 February, 4
March: The law and Econo-
mics of State Aid and other
Anti-Competitive State
Interventions
From 12.30 p.m.
to 6.30 p.m.
Dates et lieux :
21 février 2011 - FEB,
Bruxelles
25 février 2011 -
Leonardo Hotels, Wavre
4 mars 2011 - Espace
Vinçotte, Gembloux
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