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Magazine municipal Diffusion gratuite www.ville-canteleu.fr n o 29 Mars 2015 Éducation : en marche pour les pré-inscriptions ! Emploi : multiplier les solutions Le

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Magazine municipalDiffusion gratuite

www.ville-canteleu.fr

no 29

Mars 2015

Éducation : en marche pour les pré-inscriptions !

Emploi : multiplier les solutions

Le

Page 2: Emploi : Mars 2015 · 2019. 3. 29. · CDD, un ou plusieurs Cantiliens, à la recherche d’un emploi. Il y a aussi les recrutements en emplois d’avenir que nous avons mis en œuvre

Le mois de lapetiteenfance

A la MédiathèqueEspace Culturel

François-Mitterrand

Renseignements : MédiathèqueEspace Culturel François-Mitterrand 02 35 36 95 95

Eveil culturel du bébé par le livre, l’album,

le spectacle !

Du 28 févrierau 28 mars 2015

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Le Cantilien — Mensuel d’informations locales et municipalesEditeur : Mairie de Canteleu - Place Jean-Jaurès, 76 380 Canteleu - Directrice de la publication : Mélanie Boulanger - Co-directeur de la publication : Guillaume Coutey - Rédactrice en chef : Stéphanie Bertin/02 32 83 40 38 - Rédaction : Séverine Bauer, Stéphanie Bertin - Photos : Service communication - Conception, mise en page et couverture : William Boutte - Impression : Gabel / 02 32 82 39 39 - Diffusion gratuite / Dépôt légal à parution / Tirage : 7 500 exemplaires - Distribution et réclamation : MEDIAPOST - Papier traité sans chlore - Vous souhaitez nous donner votre avis sur Le Cantilien, contactez le service communication au 02 32 83 40 38 ou par mail à [email protected].

Madame, Monsieur, Dans la situation économique actuelle, personne ne peut se désintéresser de la question de l’emploi. C’est un fléau. Vous vous demandez peut-être : «Mais que fait la Ville ?». Beaucoup de choses, dans le cadre de nos compétences ! En poursuivant les travaux sur notre territoire, comme la réalisation de la future salle des fêtes «Res Publica», nous soutenons les entreprises et donc, contribuons au maintien de nombreux emplois. Continuer d’investir dans le «dur» n’est pas si simple, car nos marges de manœuvre restent limitées. Mais notre gestion rigoureuse de l’argent public, depuis 2001, nous permet de poursuivre ces investissements, bons pour l’emploi. Partout où c’est possible, nous veillons à favoriser les embauches. Par exemple, nous soumettons l’ensemble des entreprises qui effectuent des travaux sur la ville au respect d’une clause d’insertion. C’est-à-dire que pour obtenir le chantier, ces dernières s’engagent à recruter en CDD, un ou plusieurs Cantiliens, à la recherche d’un emploi. Il y a aussi les recrutements en emplois d’avenir que nous avons mis en œuvre ou encore la mise en place dernièrement, d’un cycle de formations pour une centaine de demandeurs d’emploi cantiliens. Par ailleurs, dès les premières semaines de mon mandat, j’ai engagé des rencontres avec les responsables de Pôle Emploi pour renforcer leur présence sur la commune. Bien sûr, malgré nos actions, le taux de chômage reste important, comme partout. Mais, il n’y a pas d’actions

mineures. Même lorsqu’il n’y a qu’un ou deux emplois à la clef, nous sommes dans le concret. Nous continuerons donc

de multiplier les partenariats et de mener de nouvelles initiatives.

Maire

Emploi : il n’y a pas d’actions mineures

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1. Rame, rame, rameurs, ramez… Ils continuent d’avancer nos férus de l’aviron et pas que sur l’eau ! En effet, le Cercle Nautique de Canteleu Croisset a organisé la 2ème édition du cross des rameurs ; une manifestation qui a regroupé environ 110 sportifs venus des clubs de Dieppe, Le Havre, Vernon, Elbeuf et Rouen dans la forêt domaniale de Roumare. Notre club s’est hissé à la 1ère place dans les catégories «minimes garçons» et «loisirs femmes» et est arrivé à décrocher la 2ème place dans le classement des clubs. Le Club Nautique et Athlétique de Rouen a aussi bien mené sa barque en remportant un challenge ! Bravo à tous !

2. Samedi 24 janvier a eu lieu à l’Espace Culturel François-Mitterrand, le vernissage de l’exposition photographique annuelle du Ciné Photo Club Cantilien. Le fruit d’un travail passionné des photographes de l’association qui ont présenté de beaux clichés de paysages et autres voitures de collection, aux visiteurs venus nombreux.

3. Mercredi 28 janvier, Mélanie Boulanger, entourée de son équipe dont Hasbi Colak, conseiller municipal délégué au commerce, et Sylvie Claude, présidente de l’Union des Commerçants et Artisans de Canteleu, ont reçu à l’Hôtel de Ville, les heureux gagnants du concours de Noël organisé en décembre par nos commerçants adhérents. 20 d’entre eux sont partis avec un beau vélo et pour le premier prix, une semaine de cure en thalasso à Saint-Malo ! Joie.

4.La Ville s’est mobilisée pour le Téléthon. En partenariat avec les associations cantiliennes, l’IDEFHI, et, sous la houlette de Patricia Renault, présidente du Comité des fêtes et référente financière de l’action,5 100 euros ont ainsi été récoltés. Le chèque a été remis à Georges Salinas, représentant de l’AFM-Téléthon, le jeudi 29 janvier à l’Hôtel de Ville. Mélanie Boulanger a tenu à saluer la mobilisation des bénévoles mais aussi la générosité de tous les participants.

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5. Ils ont passé un très bon moment les membres du club du 3ème âge de Canteleu-Bapeaume-Dieppedalle, le samedi 31 janvier, à la salle Curie de Bapeaume. Avec un déjeuner et un spectacle «Hommage à Jean Ferrat» avec le musicien Vincent et son accordéon, il ne pouvait en être autrement ! De la chaleur, du partage et des rires comme on les aime !

6. 149 jeunes Cantiliens bénéficient cette année du «Contrat Partenaires Jeunes». Financé par la Ville et la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Maritime, ce dispositif offre la possibilité à des jeunes d'être aidés financièrement pour payer leur adhésion et/ou leurs équipements pour pratiquer une activité sportive ou culturelle. En contrepartie, ces derniers s’engagent à réaliser une action citoyenne dans l’année auprès de la mairie ou d’associations comme la distribution des colis de Noël aux aînés ou la participation à une journée de nettoyage des sentiers forestiers. Ils ont été accueillis à l’Hôtel de Ville, le mercredi 11 février, par Mélanie Boulanger, les élus, et Jean-Pierre Bellanger, président du conseil d’administration de la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Maritime.

7. Le centre Alain Calmat a revêtu ses parures de fête, samedi 14 février, à l’occasion du traditionnel banquet des aînés offert par la Ville. Ils étaient près de 700 à ce grand rendez-vous qui permet aussi de mettre à l’honneur les doyens de la commune venus à ce repas festif. Ce déjeuner s’est terminé comme il avait débuté, avec des sourires, et des pas de danse qui ont fait chauffer la piste.

8. Il ne saurait y avoir de reconnaissance des efforts réalisés sans remise de médailles de travail dignes de ce nom ! Alors à Canteleu, on a mis à l'honneur le lundi 16 février à l’Hôtel de Ville, les Cantiliens et Cantiliennes distingués cette année pour leur 20, 30, 35 ou 40 années de service. Félicitations !

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Si l’emploi ne relève pas des compétences de la Ville, dans la situation économique que l’on connaît, elle ne peut se désintéresser du

sujet. 20% de Cantiliens sont au chômage. Trop. Aussi, la Municipalité mobilise les partenariats afin de multiplier les solutions qui vont dans le sens de l’emploi. Une quête quotidienne.

Soutenir l’emploi local n’est pas une nouveauté sortie du chapeau pour la Ville, ni un effet de mode. En 2001, la Municipalité a créé l’Equipe Emploi Insertion (EEI) qui regroupe en un lieu unique, des professionnels de la Ville, de la Mission locale et de Pôle Emploi, formés pour répondre à toutes les demandes des Cantiliens dans le domaine de l’insertion professionnelle. «Ici, on ne rend pas uniquement service aux demandeurs d’emploi mais à tous les habitants qui ont des questions d’ordre professionnel, quel que soit leur âge», précise Jean-Claude Loie, premier adjoint chargé du logement et de l'emploi. Étudiants à la recherche d’un job d’été, salarié qui veut lancer sa propre entreprise, retraité qui souhaite un complément d’activité, personne qui veut

se réorienter dans un autre métier ou à la recherche d’une formation, habitant qui a perdu son emploi… Toutes les demandes sont étudiées. Un seul critère obligatoire : habiter Canteleu. «Nous rencontrons et accompagnons tous les habitants qui ont besoin de conseils, d’accompagnement, dans le domaine de l’insertion sociale et professionnelle. Il leur suffit de pousser la porte de l’EEI !», ajoutent Nadia Mesqah, conseillère en insertion sociale et professionnelle, et Amal Bensetra, agent d’accueil social de la Direction de la Solidarité de la Ville.

Rester proches des usagersAussi, nos deux agents agissent au quotidien sur de multiples prestations : aide à la rédaction de CV et de lettres de motivation, découverte et apprentissage pour utiliser les outils dédiés à la recherche d’emploi comme l’informatique, préparation aux entretiens

Emploi : les petits ruisseaux font les grandes rivières

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d’embauche, accompagnement au forum «Emplois en Seine» (12/13 mars au Parc Expo de Rouen), réalisation de dossiers pour demander des formations ou des aides financières, recherche de solutions pour faire face à des freins à l’emploi, comme la garde d’enfant, etc. «Nous ne menons pas toutes ces actions seules, dans notre coin, mais, avec les équipes de la Mission locale et de Pôle Emploi, présentes à l’EEI. Nous organisons également des ateliers avec d’autres partenaires et professionnels de l’emploi. Par exemple, l’atelier «Préparation aux entretiens d’embauche» est mis en œuvre par nos soins mais animé avec un professionnel auquel nous faisons appel. C’est un travail d’équipe où l’action de chacun, complète celle de l’autre», soulignent Amal et Nadia qui dirigent les personnes vers les structures adaptées (centres de formation, Cité des Métiers…) quand leurs demandes ne relèvent pas de leurs compétences. La force de l’EEI ? Au-delà des services qu’elle rend, c’est sa taille humaine. Les Cantiliens qui viennent, apprécient d’avoir un interlocuteur et un accompagnement de proximité. Il y a de vraies rencontres, de véritables échanges, et pour les personnes qui ont perdu leur emploi et se sentent un peu «perdues», ça vaut tous les ordinateurs et autres téléphones du monde !

Rebondir ensembleComme nous vous l’avons précisé, la Ville se mobilise pour l’emploi local en soutenant tous les dispositifs existants mais aussi et surtout, en multipliant les partenariats avec tous les acteurs du champ de

l’insertion sociale et professionnelle. Elle s’appuie sur ce réseau de partenaires, essentiel. Plans Locaux pluriannuels pour l’Insertion et l’Emploi (PLIE), centres de formation, Chambre de Commerce et d’Industrie de Rouen ou Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Seine-Maritime (quand la Municipalité recherche de nouveaux commerçants), associations… Nous ne pouvons citer toutes les structures qui œuvrent au quotidien en faveur de l’emploi. Un fait est sûr : c’est en multipliant les initiatives, en travaillant de concert, que les chances de retour à l’emploi pour certains ou le lancement dans un nouveau projet professionnel pour d’autres, est possible. Frédéric Tran, psychologue du travail, et Marie-Céline Franconville, conseillère en insertion professionnelle de l’association Ensemble (spécialisée dans l’accompagnement vers l’emploi, le stage mais aussi la création d’entreprise) sollicitée par Pôle Emploi, animent un atelier depuis novembre dernier, à Canteleu. Leur public ? Des Cantiliens et Cantiliennes qui sont sans emploi depuis une longue période. «Notre fonction, c’est de mettre en œuvre le «kit emploi». Ce dispositif permet à des personnes qui recherchent un travail depuis longtemps de les remettre «dans le bain», en les aidant notamment, à se construire un réseau car, il faut bien l’avouer, c’est plus facile de décrocher un poste quand on sait à qui et où s’adresser ; les pistes sont multiples et nous les accompagnons», précise Frédéric Tran. Au-delà des techniques de recherche d’emploi à adopter, cet atelier qui réunit une dizaine de Cantiliens volontaires, apportent beaucoup moralement. «Quand on multiplie les refus, qu’on a le sentiment de ne pas savoir faire autre chose que ce que l’on faisait avant comme métier, on finit par perdre confiance en soi, par se sentir seul», ajoute-t-il.

Le bon «kit»Depuis plusieurs mois, Didier, Pascal, Claudia, Sophie, Christophe, Bineta, Fabien et Hervé, les membres de ce groupe, se retrouvent donc deux fois par semaine avec Marie-Céline et Frédéric pour rebondir ensemble. «Nous avons des parcours différents, des projets variés, ce qui ne nous empêche pas de nous donner entre nous des conseils, de partager nos expériences, nos freins à l’emploi et d’avancer en nous soutenant.

À noter :Il y a eu près de 5 000 visites en 2014 à l’EEI. Prochainement, le site, qui se trouve au 28 avenue du Président Allende (en face de l’Hôtel de Ville, sous les arcades), sera agrandi. Par ailleurs, la présence d’agents de Pôle Emploi sera renforcée sur la commune pour rapprocher les demandeurs de leur conseiller.

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J’ai repris confiance en moi depuis que je participe à ces rencontres», précise Sophie. Visites d’entreprises, rencontres avec des élus ou des agents de la Ville, des professionnels de la formation, découverte de la Cité des Métiers, mais aussi réalisation d’un projet commun pour mettre en avant ses compétences et se présenter, le groupe est sur le chemin de l’action. «C'est grâce à ce groupe que j'ai pu affiner mon projet professionnel. Je sais aujourd'hui que c'est dans le domaine de l'animation socio-culturelle que je veux évoluer. J'ai pu valider mes compétences dans cette voie et je sais quel chemin prendre pour réaliser ce projet à présent», précise Pascal qui a retrouvé la confiance et l'envie d'aller jusqu'au bout pour retrouver

un travail qui lui correspond. Projet professionnel validé, inscriptions à des cours d'informatique, création de son carnet d'adresses, connaissance des diverses pistes pour trouver un emploi, contacts avec des professionnels... Ils avancent. «C'est le troisième «kit emploi» que j'anime dans la région et ce dispositif a porté ses fruits. 50% des demandeurs d'emploi suivis précédemment, ont retrouvé un travail en CDD mais aussi en CDI», précise Frédéric Tran de l'association Ensemble. C'est tout le bonheur qu'on souhaite à nos Cantiliens et Cantiliennes, mobilisés pour leur retour dans la vie active.

Quand la Municipalité soutient l’emploi local :

les autres actions| L'application des clauses d'insertion :les entreprises retenues pour réaliser des chantiers dans le cadre du Programme de Rénovation Urbaine doivent consacrer au moins un poste à des Cantiliens en difficulté d'insertion sociale ou professionnelle. Conducteurs d'engins, peintres, maçons... des habitants ont ainsi décroché des CDD, des contrats de qualification et même des CDI.

| La poursuite des chantiers sur la ville : quand la Ville lance de nouveaux chantiers comme la réalisation en cours de la future salle des fêtes «Res Publica», elle soutient l'emploi local. Ces investissements permettent à de nombreuses entreprises, notamment du BTP (Bâtiment et Travaux Publics) de poursuivre leurs activités.

| L'accueil de forums d'emploi : en partenariat avec le CREPI (Clubs Régionaux d'Entreprises Partenaires de l'Insertion), la Ville

a accueilli le forum «Challenges et divers cités». Des journées qui ont rassemblé des responsables d'entreprises, des jeunes demandeurs d'emploi et des personnes en situation de handicap.

| L'application de dispositifs en faveur de l'emploi et le recours aux services de structures présentes sur le territoire : la Ville a recruté 6 Cantiliens au sein de ses services en «Emploi d'avenir». Elle a obtenu le recrutement de Cantiliens en contrat de professionnalisation pour une durée d'un an, dans le cadre de son partenariat avec l'entreprise Dalkia, qui gère la chaufferie bois. Par ailleurs, elle a régulièrement recours aux services de l'ESAT (Établissement et Service d'Aide par le Travail qui emploie des personnes en situation de handicap) cantilien à qui elle délègue une partie de l'entretien de ses espaces verts ou le nettoyage de textiles.

Pour en savoir plus :EEI : Équipe Emploi Insertion 02 32 12 51 3028 avenue AllendeEntrée libre du lundi au jeudi entre

9h et 11h30.

Rendez-vous !Le groupe présentera une exposition qu'ils ont réalisée ensemble le 27 mars, à l'Espace Culturel François-Mitterrand. L'occasion de démontrer à tous les acteurs de l'emploi invités mais aussi au public, bienvenu, leurs compétences prouvant ainsi qu'ils n'ont pas les deux pieds dans le même sabot. Des pros prêts à en découdre pour décrocher un boulot !

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En décembre 2012, la Ville, en collaboration avec la Mutualité Française, Logéal Immobilière et le Département, ouvrait

son premier Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD). Objectif ? Se sentir comme à la maison. Deux ans après, qu'en est-il ?

George Sand a écrit à Gustave Flaubert : «Tu vas entrer peu à peu dans l'âge le plus heureux et le plus favorable de la vie : la vieillesse». C'est avec ces mots qu'elle définit l'âge d'or. «Vieillir heureux», voilà un terme que la Ville et la Mutualité Française conjuguent au quotidien. Le secret ? Les animations d'Amélie Samson organisées en lien avec l'équipe de l'EHPAD et Gilles Berneval, son directeur. Tous les jours, ils mettent du cœur à l'ouvrage pour offrir aux résidants, des petits bonheurs partagés, autour d'ateliers et de sorties. «L'animation est un facteur important. Elle rythme leur quotidien par leur diversité et leur fraîcheur», souligne l'animatrice. Et pour la diversité, Amélie travaille en partenariat avec des associations, des équipements ou des écoles cantiliennes pour ouvrir l'EHPAD Jean Ferrat sur la Ville. «Par exemple, depuis 2013, nous réalisons des bijoux avec l'association CRE'ART», poursuit-elle. «Puis en fin d'année, nous exposons nos créations et les vendons sur le marché de Noël ! Les résidants sont ravis. Ils travaillent ainsi l'agilité de leurs mains et leur créativité».

Mais les activités à l'EHPAD, c'est aussi une collaboration chère au cœur des seniors : celle avec la Résidence pour Personnes Agées Aragon (RPA). «Avec Cécile Salaün, animatrice, nous mettons tout en œuvre pour que nos aînés se retrouvent autour d'un goûter, ou d'après-midis en compagnie de l'accordéoniste Joël Cuven». Une chorale inter-établissements a également été créée, avec la RPA. «Tous les ans, nous organisons une représentation de fin d’année devant les familles et résidants. Une qui a lieu à l’EHPAD et une autre, à la RPA». Plus récemment,

l'établissement a engagé un partenariat avec l'école Flaubert de Canteleu et l'ESIGELEC (école d'ingénieurs) pour un projet autour du Japon. «Des lectures de poèmes japonais seront au programme ainsi que des ateliers origami». Mais être investi dans la ville, c'est aussi monter un spectacle avec l'Espace Culturel François-Mitterrand. «Il y avait eu le travail autour de la danse contemporaine avec l'artiste, Nadine Beaulieu, l'an passé. Par ce biais, les seniors avaient pu progresser sur leurs capacités du mouvement du corps et l'expression personnelle. Dans un futur proche, j'aimerais créer un spectacle dans lequel les résidants pourraient chanter avec un musicien et une chanteuse professionnelle autour du répertoire d'Edith Piaf».

Sorties au marché ou à "Rouen plage", siroter un café en terrasse, ou encore cultiver la terre dans les jardins de l'établissement, vous l'aurez compris, les retraités de l'EHPAD ont un emploi du temps bien chargé ! Et comme le disait Abraham Lincoln : «ce ne sont pas les années écoulées de votre vie qui comptent, mais la vie qui a inondé ces années». Et à l'EHPAD Jean Ferrat, cette phrase prend tout son sens.

Quand les seniors nous EHPAD !

Seni

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Accueil de jourL'accueil de jour de l'EHPAD Jean Ferrat est destiné aux personnes âgées de plus de 60 ans, vivant à domicile mais désireuses de faire des activités encadrées par des professionnels : L'objectif ? Conserver les acquis par le biais d'ateliers "mémoire et réflexion", "gestuelle", "jeux de société" ou encore créer du lien social. Et, tout ceci dans la bonne humeur !Il est ouvert du lundi au vendredi, de 9h30 à 16h30.

Renseignements 02 32 10 78 90

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A l’occasion du Mois de la Petite-Enfance, la médiathèque de l'Espace Culturel sera prise d’assaut par les enfants ! Jusqu’au 28

mars, ces petits filous s’empareront des ateliers et s’empresseront de voir les spectacles concoctés spécialement pour eux.

1, 2, 3, jouez !Voici un endroit où les enfants pourront laisser libre cours à leur imagination : l’exposition «Jeu». Accessible pendant toute la durée du Mois de la Petite-Enfance, à la médiathèque, cette structure réalisée à partir d’albums sera pour eux un moyen de dévoiler leurs talents d’artistes en herbe et de s’exprimer librement par le jeu. «Le but de cette exposition est de faire le lien avec les livres», précise Caroline Lizer, en charge de l’espace Marmothèque. «Ils inventent, construisent et créent leur propre univers mais surtout, ils s’amusent». Ils pourront également retrouver des séances consacrées aux jeux et à la construction lors des ateliers «A quoi on joue ?».

En avant les histoires !Le Mois de la Petite-Enfance, c’est aussi de belles histoires à raconter à nos «bouts d’choux». Et cette année, c’est «Baby Boum» qui les fera rire et rêver. Entre comptines, chansons et contes, ce spectacle est parfaitement adapté pour les petits de 1 à 3 ans. Avec pour seuls accessoires, une valise et son imagination débordante, Sophie Verdier, conteuse, a toutes les cartes en main pour afficher un sourire sur ces petites frimousses et les captiver. C’est donc une représentation attendrissante et pleine d’humour que les tout-petits pourront retrouver le mardi 17 mars, à 18h, à l’Espace Culturel François-Mitterrand. Sitôt une histoire finie qu’une autre commence. Il s’agit de celle de l’homme en fer-blanc dans le spectacle «pierre à pierre» de la compagnie El Teatre de l’Home Dibuixat, jeudi 19 mars, à 18h. Une histoire tendre sur la différence et le rejet qui attendrira les enfants et fera fondre le cœur d’artichaut des parents.

Et on continue l’aventure !La Marmothèque ouvre le dernier chapitre dans l’histoire du Mois de la Petite-Enfance. Encadrés par l’équipe de la médiathèque, les bambins de moins de 3 ans galoperont sur les tapis pour aller choisir eux-mêmes un livre. «La Marmothèque est l’occasion pour les enfants de partager des moments avec leur famille, ce qui n’est pas le cas en crèche, par exemple», explique Caroline Lizer. «Le but est d’attiser leur curiosité et de leur donner une ouverture d’esprit». Puis, ce sont les bénévoles de l’association «Lire et faire lire» qui animeront l’atelier «Mercredi-moi une histoire» à la médiathèque mais aussi dans les écoles pour conter des histoires palpitantes qui donneront envie aux enfants de bouquiner. Enfin, les mercredis 11 et 25 mars à 15h30, ce sera les rendez-vous de l’Heure du conte ! A cet horaire précis, les p’tits loups de moins de 5 ans pourront assister à deux spectacles drôles et ludiques : «Sur le fil de l’histoire» et «Bobotte et Peline». Enfants, en mars, la médiathèque est à vous !

Pauline Le Blevec

Les tout-petits se livrent !

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Contact : Médiathèque de l'Espace Culturel François-Mitterand - Parc Georges Pierre

02 35 36 95 95

Retrouvez le programme sur www.ville-canteleu.fr

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Il est loin le temps de la rentrée... Certes ! Mais, dès le mois de mars, le service éducation de l'Hôtel de Ville rouvre ses portes pour les inscriptions

scolaires.

En septembre 2015, votre enfant fera sa toute première rentrée à l'école, à Canteleu. Au-delà du fait qu'il s'agit d'un moment toujours important aussi bien pour les parents que pour les enfants, il faut tout d'abord procéder à la pré-inscription. Aussi, rendez-vous au bureau 19 du service éducation de l'Hôtel de Ville, entre le 9 et le 31 mars.

Pour ce faire, il faut se munir du livret de famille, d'un justificatif de domicile récent et du jugement de garde, le cas échéant. A l'issue de cette pré-inscription, un certificat de scolarisation précisant l'école d'affectation sera alors délivré aux parents et à remettre à l'établissement concerné.

Pour qui ?- Les enfants qui iront pour la première fois dans une école maternelle ou primaire de Canteleu.- Les enfants déjà inscrits dans une école maternelle de la Ville et qui entreront au CP en septembre 2015.

ATTENTION NOUVEAUTE !Pour les enfants déjà scolarisés dans la commune et qui passeront à la rentrée prochaine de la Grande Section au Cours Préparatoire, une pré-inscription auprès du service éducation est désormais obligatoire ! Tout comme pour les enfants entrant à l'école maternelle, les parents devront se munir du livret de famille, d'un justificatif de domicile récent et du jugement de garde, le cas échéant. De même, le certificat de scolarisation précisant l'école d'affectation leur sera alors délivré et sera à remettre au directeur de l'établissement où l'enfant sera inscrit à la rentrée 2015/2016, en fonction du périmètre scolaire.Une demande de dérogation aux périmètres scolaires peut toutefois être accordée (sur conditions). Pour l'obtenir, il est nécessaire d'adresser un courrier motivé à l'attention de Madame Le Maire, avant le 30 avril 2015. Aucune dérogation ne sera accordée au-delà de cette date.

Mars, et ça repart !

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Dates d'inscriptions :Du 9 mars au 31 mars 2015, à l'Hôtel de Ville, service éducation,du lundi au vendredi, de 8h15 à 12h15 et de 13h à 17h (18h, le mercredi).

Renseignements : Bureau 19, accueil éducation-jeunesse, Hôtel de Ville. 02 32 83 40 09

À savoir :Les enfants pré-inscrits n'ayant pas atteint l'âge de 3 ans avant la rentrée scolaire, ne seront accueillis que dans la limite des places disponibles.

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On vous l’a déjà dit et on vous le répète : les Cantiliens ont du talent ! Pour énième preuve, nous avons rencontré Maïram Guissé, jeune

journaliste pétillante et brillante qui a grandi à… Canteleu !

«Je reviens régulièrement à Canteleu. C’est ma ville. J’ai grandi à la Cité Rose et je me souviens d’une commune où l’on a toujours fait beaucoup pour que la jeunesse se sente le mieux possible, pour qu’elle ait accès aux loisirs, à la culture, au mieux vivre», précise Maïram qui participait aux activités organisées par l’AFPAC*. «Il y avait l’aide aux devoirs, les sorties et surtout, les échanges avec les animateurs qui nous poussaient à croire en nous», ajoute la jeune femme qui au «Tu ne peux pas le faire», répond : «Non ! Je vais le faire !». Cet état d’esprit ne l’a jamais quitté. «Bien sûr, ça n’a pas toujours été simple pour devenir journaliste, métier qui m’a très tôt passionnée, mais je n’ai rien lâché !». Si elle avoue que les années au lycée n’ont pas été les plus studieuses, le déclic est venu lorsqu’elle a débuté ses études en médiation culturelle et communication à Lille. «Les étudiants étaient issus de cultures différentes, c’était enrichissant. Puis, il y a eu ce stage dans une radio où je me suis rendu compte combien j’étais curieuse de la vie et combien j’aimais transmettre aux autres ce que j’apprenais». À partir de là, c’est le chemin de l’action qu’elle a choisi et il faut bien l’avouer, sa détermination a payé !

Le chemin de l’action«Je voulais absolument multiplier les expériences dans la presse écrite. J’envoyais des candidatures. Je rappelais les rédactions. Je ne les lâchais pas jusqu'à ce que je décroche un entretien», raconte-t-elle. Une audace qui a séduit. Liberté Dimanche, Rue89, France Soir, cette pétillante journaliste, qui travaille aujourd’hui pour Le Parisien, a relevé son pari. «J’ai commencé comme correspondante chez Paris-Normandie, mon école ! Je garde une affection particulière pour la rédaction qui m’a fait confiance et m’a formée». Aujourd’hui, Maïram a réalisé son rêve. Enfin, l’un de ses rêves plutôt car elle ressent toujours le besoin d’aller plus loin et devinez, elle l’a fait ! Comme si la presse écrite ne suffisait pas, elle s’est lancée en 2014, dans la réalisation d’un documentaire «L’amour en cité», avec le scénariste, Ruddy Williams Kabuiku. «En 2010, j’avais eu une conversation avec une amie sur l’amour, l’expression de ses sentiments. Et au premier abord, on n’avait pas la même approche sur ce sujet qui engendre beaucoup de tabous», précise Maïram. Alors, elle décide de creuser la question et de dépasser les non-dits, non par l’écrit, mais par un film !

Une bonne leçon de vie4 ans plus tard, notre journaliste ressort de l’un de ses tiroirs, ce sujet et son ami, Ruddy Williams Kabuiku, met en images et en sons, son leitmotiv : «Je vais le faire !». En juin dernier, l’aventure commence : recherche de témoins et de partenariats, tournages dans des villes (dont Canteleu), montage… Tout ça avec un petit budget, mais quel bijou ! Un film de 45 minutes où se croisent les témoignages de trentenaires qui se confient face caméra. Il y a des rires, de l’émotion, du lâcher prise… sur un sujet pas simple à traiter, si complexe au quotidien ! «Ma plus belle récompense, c’est quand les témoins du film à sa diffusion en avant-première, m’ont dit : «on s’est retrouvés, c’est nous. Et on est fiers du résultat !».Ah oui, pour la petite histoire, «L’amour en cité» est passé en décembre dernier sur France 4. On vous invite à le visionner sur Internet, si ce n’est pas déjà fait ! Un autre rêve réalisé, d’autres à poursuivre, et une détermination sans faille… une belle leçon de vie. Merci Maïram Guissé !

* Association du Foyer de Prévention et d’Animation de Canteleu.

Avec Maïram Guissé, tout est question de volonté !

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Portr

aits

Ils étaient près de 355 issus de 46 établissements de Haute-Normandie, à s'être inscrits au dispositif Lumières des Cités, organisé par le Centre

Régional Information Jeunesse de Haute-Normandie et la Région. Au final, ils sont une centaine à avoir été retenus dont deux Cantiliens, Nicolas Bouffet et Morghan Paulin. Coup de projecteur sur ce dispositif qui donne un coup de pouce aux jeunes.

«C'est gratifiant d'avoir de la reconnaissance. Ça fait très plaisir, même si je ne me considère pas comme la meilleure», souligne humblement, Morghan. Et pourtant, la jeune fille n'a pas à rougir de son parcours. Diplômée d'un baccalauréat scientifique spécialité mathématiques, mention européenne avec la distinction très bien, elle est aujourd'hui étudiante en première année à la Neoma Business School de Mont-Saint-Aignan. «La bourse offerte par la Région, dans le cadre du dispositif Lumières des Cités, a servi à financer une partie de mes études».

Mais être lauréate de Lumières des Cités, c'est aussi bénéficier de nombreux avantages comme un suivi individualisé tout au long de l'année, pour trouver un stage, un accès facilité aux jobs d'été proposés par les

partenaires du programme, ou encore pour profiter plus facilement de la Carte Région Liberté, pour la première année d'études supérieures.

Pour Morghan Paulin, tout a commencé l'an dernier, lorsque ses professeurs l'ont poussée à s'inscrire au dispositif. «Il y avait un formulaire à remplir», précise-t-elle. «Les résultats scolaires entraient en ligne de compte, avec l'avis du professeur principal, mais aussi mes motivations, ma situation familiale et la présentation de mes engagements en dehors des études...».

En effet, au-delà d'être une élève studieuse, Morghan est également encadrante et bénévole au sein de l'association Fête Le Mur de Canteleu. «J'ai fait des stages de double dutch, avec deux autres copines», poursuit-elle, pour marquer son implication. «C'est un sport de corde à sauter. Nous organisons des ateliers pour le faire connaître auprès des jeunes Cantiliens». Si aujourd'hui, Morghan a un emploi du temps bien chargé, elle aime toujours faire plaisir aux autres par le biais du double dutch et de son investissement au sein de Fête le Mur.

Prochainement, ils seront 5 étudiants de la Neoma Business School, dont Morghan, à organiser une «Color Run» à Canteleu, dont le principe est de courir tout en s'amusant et en jetant de la poudre de couleurs. Les profits de cette action serviront à apporter d'autres activités ludiques et sportives aux enfants ne pouvant pas toujours y accéder.

Une vie, donc, déjà bien remplie pour Morghan à qui nous souhaitons encore de belles choses à vivre et à découvrir.

Morghan Paulin, lumière de Canteleu

Plus d'infos :- Par courrierCRIJ / Lumières des Cités84 rue Beauvoisine76000 ROUEN - Par [email protected]

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Chaud devant !

À partir du 8 mars 2015, tous les propriétaires devront avoir signé un contrat d'achat de détecteur

de fumée normalisé. Ils auront jusqu'au 1er janvier 2016, pour l'installer.

L'objectif ? Permettre de détecter (comme son nom l'indique) les fumées émises dès le début d'un incendie ainsi que d'émettre immédiatement un signal sonore suffisant pour permettre de réveiller une personne endormie. Le détecteur de fumée doit être muni du marquage "CE" et être conforme à la norme européenne harmonisée "NF EN 14 604".

Attention ! Tout détecteur utilisant l'ionisation est interdit, car considéré comme radioactif. A noter, il existe des détecteurs spécialement adaptés pour les personnes sourdes ou malentendantes.

Il doit être fourni et devra être installé par le propriétaire du logement. Si le logement est occupé par un locataire, c'est le bailleur qui devra fournir, voire installer le détecteur.

Ce dernier doit se situer de préférence dans la circulation, ou dégagement, desservant les chambres. Il doit être fixé solidement en partie supérieure, à proximité du point le plus haut et à distance des autres parois ainsi que des sources de vapeur.Dans les maisons ou dans les appartements comportant plusieurs étages, il est recommandé d'installer un appareil par étage. Dans les logements de grande surface, il est également conseillé de s'équiper de plusieurs détecteurs.

Carnet Les naissancesBienvenue à : Agathe BIENVENU, née le 7 décembre 2014 à Mont-Saint-Aignan.

Les mariagesToutes nos félicitations à : Ayfer KARAVELIOGLU et Salih KAVAKLI,Aysel ZENGIN et Matthieu ANNE.

Les décèsToutes nos condoléances aux familles de : Michel MIGNON, Stéphane COLÉ, Marcelle BÉASSE veuve GEFFROY, Madeleine JACQUART épouse BOUR, Marcel FRISOT, Georges CARLY, Odette CORNILLARD veuve ZARDY, Michel DAUTREME, Julien VIGNÉ, Michel FOLET, Célina SIBILSKA veuve BOUISSOU,

Charlotte BOUCHER, René LANGLET, Alain DOURNEL

À noter !AvisLes recueils des actes administratifs de la commune (arrêtés, décisions du Maire et délibérations du Conseil Municipal) sont disponibles et librement consultables auprès de la Direction des Affaires Générales - Affaires juridiques de la mairie. Bureau n°110, à l’Hôtel de Ville, place Jean-Jaurès.

Aux urnes, citoyens !Les 22 et 29 mars auront lieu les élections départementales. Ces dernières remplacent les élections cantonales et désignent les membres du conseil départemental (ex-conseil général) dans le cadre du canton. Sont électeurs tous les Français et Françaises âgés de 18 ans, jouissant de leurs droits civils et politiques, tant en France que dans leur Etat d’origine... Alors, à voter !Les bureaux de vote seront ouverts de 8h à 18h. Pour voter, il suffit de se munir d'une pièce d'identité.

À sa

voir

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Socialiste et RépublicainEn décembre dernier, la municipalité a posé la première pierre de la salle des fêtes « ESPACE RES PUBLICA » regroupant 2 salles polyvalentes indépendantes ou pouvant être réunies en 1 seul espace. Elle sera située rue du Commandant Georges Ledru. Ce nouvel équipement est très attendu par les familles et les associations cantiliennes. Il sera terminé dans moins de 18 mois. Comme pour d’autres projets menés par la majorité municipale, les entreprises auront pour obligation d’embaucher des Cantiliens en insertion. Afin de diversifier la qualité du service proposé, la ville mènera, à l’issue de ce chantier, une réflexion pour améliorer le centre Jean Hannier, notamment son accessibilité.

Communiste et RépublicainRégions, département, communes tous voient leurs budgets en baisse ! Cette baisse, c’est celle de la Dotation Globale de Fonctionnement (DGF) à nos collectivités. Cette diminution de cette DGF versée par l’État c’est 12 milliards d’€ en moins! Ces millions d’€ en moins sont autant de recettes en moins pour réaliser les engagements indispensables à ceux qui subissent de plein fouet la crise, et attendent encore plus de la politique localement. Pourtant l’argent coule à flots pour une minorité : grands dirigeants et actionnaires gavés jusqu’à satiété et qui continuent d’en bénéficier, ils accumulent les milliards soustraits aux budgets des collectivités au nom du pacte de stabilité et du CICE.

Les VertsDepuis janvier 2015 la CREA est devenue Métropole avec de nouvelles compétences . En septembre et en octobre 2014 , EELV a organisé des cafés citoyens notamment a Canteleu pour co-élaborer avec les militants et les citoyens une métropole durable . Pollution de l'air,de l'eau,de la terre,risques industriels ,défense et sauvegarde de la biodiversité, gestion des déchets , urbanisme , énergie ....Il est primordial que cette métropole aux compétences élargies ait pour moteur l'écologie avec une dynamique respectueuse de l'environnement et au plus proche des citoyens.

Canteleu à Gauche Vraiment - Liste citoyenne soutenue par NPA, Parti de Gauche et Ensemble

Avec la création de la métropole le 1er janvier Canteleu a perdu la maîtrise de son urbanisme et le nouveau Schéma d’Orientation Territorial relance le risque d’un programme immobilier sur la plaine du «bois du Hasard». Exigeons le retour en zone naturelle de ces terrains. La production maraîchère ne couvre que 3% des besoins de la population, le potentiel d’un développement économiquement viable, écologiquement responsable et créateur d’emplois existe. Les espaces naturels et agricoles doivent être appréciés comme une ressource non renouvelable dont il est essentiel d’assurer la préservation. Des jeunes producteurs cherchent à s’implanter aidons les et arrêtons de bétonner notre ville.

Droite SocialePlus 500000 chômeurs depuis l’arrivée du parti socialiste au pouvoir! A Canteleu, la situation est encore plus grave, Le taux de chômage de la ville est le double de la moyenne nationale! Nos commerces de proximité ferment les uns après les autres: boulangerie rue A. Dumas, pressing dans le centre-ville. Comme vous, nous aimons Canteleu et déplorons cette situation ainsi que l’inaction du maire sur ces sujets. Le mois dernier, la « Métropole de Rouen » a été créée. Cette instance aux « mains » des socialistes doit récupérer plusieurs prérogatives : des services publics actuellement dispensés par la mairie lui seront transférés. Que restera-t-il des services municipaux pour les Cantiliens?

Front NationalLors du dernier conseil municipal, le projet d'acquisition d'un bien privé par la commune nous a interpellé. Ce bien d'une valeur de 430 000 euros avec habitation et terrain présente- t-il un intérêt pour notre ville. Quel projet peut justifier une telle somme? Face aux restrictions budgétaires : baisses des dotations de l'Etat, refonte de la taxe professionnelle, transfert et création de nouvelles charges pour le contribuable cantilien, était- t-il nécessaire d'investir dans cet achat sans perspective? La majorité municipale n'a pas su répondre et donner une explication crédible à notre groupe. Les habitants de Canteleu peuvent compter sur le FN pour les alerter de ces dysfonctionnements !

Les tribunes sont de la responsabilité de leurs auteurs et publiées telles quelles.

Tribunes politiques

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