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94""^ Année - N° 22 ABONNEMENTS Itaine-st-Loire & Limitrophes Trois Mois . . . 5 fr. Six Mois . . . 9 fr. Un An . . . . 16 fr. En dehors des limitrophes: 22KE0 INSERTIONS Annonces, la ligne . 2.75 Réclames, 2 fr. Faits locaux, 2.50 Journal Politique et Littéraire D'Intérêt Local, d'Annonces Judiciaires cfc d'Avis Divers FOlSrDÊ EOSr 1 8 4 1 PARAISSANT LE MERCREDI ET LE SAMEDI RÉDACTION & ADMINISTRATION : 4. PLACE DU IVIARCHÊ-NOAR Téléphone : 1 -95 Directenr: A. CHLJ IDUARD Pour la Publicité extra-régionale, s'adresser à l a Publicité A. GHI MOT,3, r. d'Amboise (coin r. Richelieu) PARIS(2e) TéLRichelieu>.51-76 51-77 2lignesgroup. C / C / N a n t e s : 154-28 Directenr: A. CHLJ IDUARD Pour la Publicité extra-régionale, s'adresser à l a Publicité A. GHI MOT,3, r. d'Amboise (coin r. Richelieu) PARIS(2e) TéLRichelieu>.51-76 51-77 2lignesgroup. Mercredi 16 Mars 1938 LE NUMÉRO : 20 ^ines j Les abonnements sont payables d'a- vance et l'acceptation de trois nu- méros engage pour une année. La quittance est présentée à l'abonné sans dérangement pour lui P uu Mieau ï i i ÛPÛ MINISTRES, MM. Léon BLUM, Président du Conseil cl Trésor. S.PINASSE, Budg-et. Paul BONCOUR, Affaires étrangères. Paul FAURR, Albert SARRAUT, Ministres d'Etat (coordination des problèmes de l'Afrique du Nord), Maurice VIOLETTE et STEEG. Vincent) AURIOL, Coordination des Servi- ces de la Présidence du Conseil. M. DORMOY, Intérieur. M. RUCABT, Justice. DALADIER, Défense Nationale. CAMPINGHI, Marine militaire. Guy LA CHAMBRE, Air. FROSSARD, Propagande. Jean ZAY, Education Nationale. MONNTîT, Agriculture. Jules MOCH, Travaux Publics. Albert SEROL, TraTail. Pierre GOT, Commerce. LEBAS, P. T. T. RIVIÈRE, Pensions. GENTIN, Santé Publique. Marius MOUPTET, Colonies. * SOUS-SECRETAIRES D'ETAT IMM. FEVRIER, do TESSAN, Présidence du Conseil. MENDÈS-FRANCE, Trésor. JULIEN, Enseignement Technique. AUBAUD, Intérieur. Léo LAGRANGE, Sports et Loisirs. BLANCITO, Marine militaire. TASSO, Marine marchande. André LIAUTEY, Agriculture. Philippe SERRjE, Travail. Gaston MANEIYT, Commerce. Jean PERRIN, Recherches scientifiques. aiiiimiiiisnniiiiiiniiiiiinniiinmi Et dedeux! On voit que M. Léon Blum a constitué un second cabinet tout à l'image de son premier, de bien triste mémoire. Le président a commencé par s'adjoindre le Trésor pour se fai- re seconder ensuite par M. Paul Boncour, aux affaires étrangères, et donner le Budget à son ami Spinasse. M. Daladier, président du Go- mité radical, garde cependant le maroquin imporlantde la défense nationale. Mais, peut-être plus encore que les choix de M. Léou Blum, con- vient-il d'examiner ses divers limogeages. En dehors de M. Ghautempset de M. Delbos, il a congé lié MM. Queuille, Georges Bonnet, Mar- chandeau, William Bertrand, El- bel, Ghapsal et Jaubart. En somme, com.me le fait re- marquer M. Léon Meyer, tous les radicaux modérés du précédent cabinet ont été éliminés, tandis que M. Léon Blum prenait deux extrémistes: M. Manent qui a battu récemment M. Malvy com- me candidat à la commissiou des finances, et M. Mendès France. M. Fer 11 and Laureni, interrogé sur cette combinaison, digne du lameux Ubu Roi, disait: «G'est de l'inconscience ou du défi.» Pourquoi pas les deux ? inter- rogea M. Buyat, le député de l'I- sère. Le député de Paris acquiesça en ajoutant : « Le premier ministère Blum nous a conduit à la faillite. Le second nous conduira à la ban- queroute » Et c'est sans doute afin dé pré- cipiter les événements que le ca- binet réunit 35 personnalités (?) dont 23 ministres et 12 sous-se- crétaires d'Etat. G'est demain jeudi, paraît-il,que cette formidable équipe osera se présenter devant les Ghambres ; qu'en adviendra-t-il ? Nous ne pouvons qu'enregis- trer et... attendre ! Gar, c'est avec une rés'^rve , plutôt marquée, que ce Cabinet d'infortune est accueilli au Lu- xembourg. G'est également au cours d'une courte conférence que M.Gamille Ghautemps a transmis ses pou- voirs, disant à son successeur que le sérieux des circonstances rendait bien superflu le céiémo- nial habituel. D'aulre part , il est tout parti- culièrement intéressant de cons- tater que M. Léon Blum qui dans ses premiers pourparlers impo- sait aux modérés la collaboration des communistes, n'en a pas pris un seul dans sa combinaison. Aussi, même à l'étranger, est- ce avec la même réserve et sans confiance que l'on accepte notre nouveau ministère ! NEMO. L'Union... nmis entre Français ! M. Léon Blum a échoué dans sa tentative d'unaiiiniilé. La ficelle était trop grosse. La ruse trop grossière. L~nànimilé avec les communistes? Allons donc ! Mais (fuc peut-on faire avec des gens qui sont à la solde c'est le parti socialis- te lui-même qui l'a dit en refusant la fu- sion — d'e l'étranger ?• Avec des'hommes, qu ion insistant sur l'iniervenUon armée en Espagne nous aurnleiil infailliblement conduits à la guerre P Lo danger de la participalion comnniiiis- te est si réel que, M. Léon Blum lui-mC- me n'en a pas voulu : Son ministère ne comporte pas un seul communiste. 'Et ceux-ci en sont fort marris : cc Nous avons, écrit Jacques Dticlos, dans VHuma- nilê, exprimé le regret de voir former tm gouvernement sans la participation des communistes ,ardemment désirée par les travailleurs français». Ce que l'on désirait c'est en réalité con- tinuer, mai savec l'appui passif de la ma- jorité, l'œuvre de sabotage et la ruine de la France. Et les partis de la minorité ont eu raison de no pas tomber dans ce piège grossier! l'union se fera, oui, il le faut, mais entre Français ! «Tiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit'ïïïniiiuiniin*' ^JQUVFLLES FXPRESS Les ministi'es se réunissent aujourd'hui en Consteil de ëaSinti: Mais dès hier M. Léon Blum a conféré avec les dirigeants des grands organismes financiers. Le Co- mité de la Défense Nafionalfi s'est réuni à l'Hôtel Matignon: une conférence s'est tenue pour l'accélérai ion des produits de guerre. A l'OcCasion de la. réception officielle du Pûhrer à Vienne, une jxirade militaire monstre a eu lieu sur la place des Héros. Dans sa prison, M. Schuschnigg s'est marié avec la princesse Czernin. Dans le port de Tnrragone, le vapeur an- glais Stanwell est bombardé et incendfé : 2 morts, lo blessés graves. W Le conflit polono-lithuanien semble évo- luer vers l'apaisement., Le Fûhrer a quitté Vienne pour rentrer à Bprlin. Que .<!ignific ce départi précipité? liiiiiiiiiiiiaiiiiiiiiiiiinniiiiiiinTâTïif La Caisse autonome A propos de la créaliou de la Caisse Au- tonome de Défense Nationale, M. Joseph Denais, député de Paris, vice-président de la Commission des Finances, se félicite, dans le Réveil Economique, de cette ini- tiative. Mais il fait remarquer très judicieuse- ment, au sujet du mode des emprunts à émettre par la Caisse Autonome, qtie l'E- lal, aurait tout intérêt à les différencier de ceux émis pour les besoins de la Tré- sorerie. (( La Caisse n'était pas née, dit-il, qti'tin mouvement d'opinion, très fort, se pro- nonçait eu se sens. Ctomnie j'avais émis devant la Coinmlss-ion des Finances, l'idée (ju'il serait intéressanl d'envisager, pour des J)ons Irentenaires, par exemple, un taux dont la modicité serait corrigée par des exemptions fiscales telles que l'exoné- ration de l'impôt général sur le revenu et de sdroits de succession en ligne directe, j'ai constaté que cette suggestion retenait l'attention de tous et qu'elle provoquait des polémiques M. le président Cail- laux devant le Sénat et de mon collègue Pezet, devant la Cliambre. ))J'ai donc l'espoir qu'il sera fait (luel- qiie chose do neuf, c'est-à-dire que l'on rompra plus ou moins complètement avec des errements dont la nocivité n'est plus ?i d é m o n t r e r . » Eh faisant peser sur les revenus des eiï ])runts publics la menace do prélève- ments qui, pour l'impôt général seul, peuvent atteindre 5o % et qui, pour les droits de succession, absorbent fréquem- ment l'io % du capital, l'Etat sabote son propre crédit, rend ses appels sur le mar- che de l'argent plus difficiles et plus oné- reux. » Il n'est pas interdit d'espérer qu'une émission publique à un taux notablement inférieur, grâce à diverses exonérations fis- cales, exercerait sur le marché des capi- taux un choc psychologique, provoque- rait un mouvement; de baisse qui comman- derait aussitôt l'arrêt de la hausse du prix de la vie, la reprise des affaires et, par une heureuse conséquetice, l'élimination des motifs les plus sérieux de discordes so- ciales. » Vouloir c'est pouvoir Et pendanli que nous nous débattons chez nous dans une inquiétante incertitude, le chancelier Hitler poursuit son chemin en Autriche. Dimanche soir, la loi d'Anschluss a été proclamée à 20 h. 3o, du haut du balcon de la chancellerie fédérale, par le chance- lier fédéral Seyss-Inquart. En vaici le texte : Lrticle i®'' L'Autriche est un pays du Reich allemand. Art. 2. — Un plébiscite libre et secret pour tous les hommes et femmes d'Autri- che âgés de plus de 20 ans, aura lieu le dimanche 10 avril igSS, sur la réunion avec le Reich allemand. Art. 3. — Le résiillat du plébiscite sera décidé à la majorité. Art. — Les dispositions nécessaires h l'exécution do ceUe loi constitutionnelle fédérale, seront prises par voie d'ordon- nances. Art. 5. Cette loi conslitnlionnellc fédérale entre en vigueur le jour de sa pro- clamation. Le gouvernement fédéral est chargé de l'exécuter. Suivent les signatures dvi chancelier Seyss- Inquart et do tous les ministres. « * Le tcxle des décrets adoptés Voici le texte des décrets adoptés d'autre part . Le Fiihreir-Chancolier ,cptnmandant su- prême de l'armée, décide : Le gouvernement fédéral autrichien a décidé la réunion de l'Autriche avec le Reich allemand. I^ g'ouvernemenl du Reich a reconnu cette décision par une loi promulguée au- jotird'hui. 2° Sur celle base je décide : l'année fé- dérale autrichienne passe aujourd'hui sous mon commandement comme partie de l'armée allemande. 3" Je désigne le général von Bock, com- mandant, do la 8® armée, commandeur de l'armée allemande l'intérieur dos fron- tières autrichiennes. d" Tous les membres de l'ancienne ar- mée fédérale autrichienne devront immé- diatement prêter serment sur ma person- ne comme leur commandant suprême. Le général von Bock .est; chargé do pren- dre immédiatement les ordonnances néces- saires. Signé : Adolf HITLER. LES PROPOS DE FRANÇOIS lYlOYEN Que penses-tu François Moyen, de la retraite des vieux travailleurs l'n honnue de cœur ne lient pas hé- siter sur cette question :c'esl justice sim- plement. Mais, hélas, de quel fatras de déma- gogie ne nous entoure-t-on iioint la chose! Certes et une fois de plus, en réa- Hsanl une grande réforme sociale néces- saire et hunuiine, on s'arrangera par avan- ce pour en annuler les avantages. Que vaudront les retraites ([ui seront pa.yées en monnaie de singe ! Ce qui est désolant, vois-tu, continua François Moyen, c'est, qu'aucune de ces grandes réformes n'est motivée par un souci de justice et d'humanité mais par le besoin do trouver un tremplin électoral. C'est pour cela qu'on abandonne un certain nombre de choses existant déjà pour faire du nouveau à tout prix. Quant furent instituées les Assurances sociales, il existait en France un vaste ré- seau de nuUualités qu'on aurait pu élar- gir et renforcer progressivement... au lieu de cela, on conçut de toutes pièces un monstre ténébreux et insuffisant qui, après huit ans d'usage, n'est pas encore au point. —^ P o u r la retraite des vieux, pourquoi ne pas reprendre la vieille formule elle date d'avant-guerre des retraites ouvriè- res er l'intégrant justement dans les as- surances sociales ? Ce ne serait plus un aussi beau trem- plin pour nos démagogues. Mais surtout, avant de penser à don- ner quelque chose de nouveau, ils feraient bien de ne pas truster tous nos pauvres vieux du bénéfice de leur travail. Les dé- valuations renouvelées ont voté les g/io* de leurs rentes à tous les épargnants. Tu as, hélas raison ,François Moyen. Je coimais nii pauvre vieux qui s'était re- tiié fi la veille de la guerre avec a.Soo fr. ne rentes françaises : il était fi l'abri du be.'oin. Aujourd'hin il a 85 ans... et le droit de crever de faim ! iNFORMATIOKS LE NOUVEAU GOUVERNEMENT La transnnssion des services s'est effec- tuée, liundi matin, au ministère des Fi- nances, oii M. Marcha.ndeau a présenté les direcleuj-s et hauts fonctionnaires de l'ad- ministration centrale des finances et de l'Economie nationale à MM. Blum, Spinas- se et Menâès-France. Recevant ensuite les journaiistes, M. L. Blum a déclaré que s'il a pris le portefeuille du Trésor, ce n'est pO'S parce qu'il consi- dère la silualïoin financièi'e comme étant la plus grave, c'est seulement parce que l'ex- périence de la dernière anrxée lui a appris que c'était du point de vue gouvernemen- tat et parlementaire, le poste le plus ex- posé. L'ANSCHLUSS La nouvelle de l'mnexion de l'Autriche par l'Allemagnf) éclaté coinme un coup d.? tonnerre. 'I ta vérité, elle n'aguèie surpris ceux, dont nous sonunes, qui ont montré les dan- gers de l'effarante politique suivie depui.'-- deux ans dans l'ordre extérieur. M P.-F, Flandin ai<ait réussi à réaliser le F'Qrit de Stressa : France, Angleterre^ Tta- ^ré,' ciroiiement unies. C'était k. meiV.cnr gaije de paix pour l'Europe. Le front populaire, par haine du fascisme^

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  • 94""̂ Année - N° 22 ABONNEMENTS

    Itaine-st-Loire & Limitrophes

    Trois Mois . . . 5 fr. Six Mois . . . 9 fr. Un An . . . . 16 fr.

    En dehors des limitrophes: 22KE0

    INSERTIONS

    Annonces, la ligne . 2 .75 Réclames, — 2 fr. Faits locaux, — 2.50

    Journal Politique et Littéraire D'Intérêt Local, d'Annonces Judiciaires cfc d'Avis Divers

    — F O l S r D Ê E O S r 1 8 4 1 —

    PARAISSANT LE MERCREDI ET LE SAMEDI

    R É D A C T I O N & A D M I N I S T R A T I O N : 4 . P L A C E D U IVIARCHÊ-NOAR T é l é p h o n e : 1 - 9 5

    Directenr: A. CHLJ IDUARD P o u r l a P u b l i c i t é e x t r a - r é g i o n a l e , s ' a d r e s s e r à l a Publicité A . G H I M O T , 3 , r . d ' A m b o i s e (coin r.Richelieu) P A R I S ( 2 e ) T é L R i c h e l i e u > . 5 1 - 7 6 5 1 - 7 7 2lignesgroup. C / C / N a n t e s : 1 5 4 - 2 8 Directenr: A. CHLJ IDUARD P o u r l a P u b l i c i t é e x t r a - r é g i o n a l e , s ' a d r e s s e r à l a Publicité A . G H I M O T , 3 , r . d ' A m b o i s e (coin r.Richelieu) P A R I S ( 2 e ) T é L R i c h e l i e u > . 5 1 - 7 6 5 1 - 7 7 2lignesgroup.

    Mercredi 16 Mars 1938

    LE NUMÉRO :

    20 ^ i n e s j Les abonnements sont payables d'a-

    vance et l'acceptation de trois nu-méros engage pour une année.

    La quittance est présentée à l'abonné

    sans dérangement pour lui

    P

    u u Mieau ï i i ÛPÛ MINISTRES,

    MM.

    Léon BLUM, Président du Conseil c l Trésor.

    S.PINASSE, Budg-et.

    Paul BONCOUR, Affaires étrangères.

    Paul FAURR, Albert SARRAUT, Ministres

    d'Etat (coordination des problèmes de

    l 'Afrique du Nord), Maurice VIOLETTE

    et STEEG.

    Vincent) AURIOL, Coordination des Servi-

    ces de la Présidence du Conseil.

    M. DORMOY, Intérieur.

    M. RUCABT, Justice.

    DALADIER, Défense Nationale.

    CAMPINGHI, Marine militaire.

    Guy LA CHAMBRE, Air.

    FROSSARD, Propagande.

    Jean ZAY, Education Nationale.

    MONNTîT, Agriculture.

    Jules MOCH, Travaux Publics.

    Albert SEROL, TraTail.

    Pierre GOT, Commerce.

    LEBAS, P. T. T.

    RIVIÈRE, Pensions.

    GENTIN, Santé Publique.

    Marius MOUPTET, Colonies.

    * •

    SOUS-SECRETAIRES D'ETAT

    I M M .

    FEVRIER, do TESSAN, Présidence du

    Conseil.

    MENDÈS-FRANCE, Trésor.

    JULIEN, Enseignement Technique.

    AUBAUD, Intérieur.

    Léo LAGRANGE, Sports et Loisirs.

    BLANCITO, Marine militaire.

    TASSO, Marine marchande.

    André LIAUTEY, Agriculture.

    Philippe SERRjE, Travail.

    Gaston MANEIYT, Commerce.

    Jean PERRIN, Recherches scientifiques.

    a i i i i m i i i i s n n i i i i i i n i i i i i i n n i i i n m i

    Et dedeux! On voit que M. Léon Blum a

    constitué un second cabinet tout à l'image de son premier, de bien triste mémoire.

    Le président a commencé par s'adjoindre le Trésor pour se fai-re seconder ensuite par M. Paul Boncour, aux affaires étrangères, et donner le Budget à son ami Spinasse.

    M. Daladier, président du Go-mité radical, garde cependant le maroquin imporlantde la défense nationale.

    Mais, peut-être plus encore que les choix de M. Léou Blum, con-vient-il d'examiner ses divers limogeages.

    En dehors de M. Ghautempset de M. Delbos, il a congé lié MM. Queuille, Georges Bonnet, Mar-chandeau, William Bertrand, El-bel, Ghapsal et Jaubart.

    En somme, com.me le fait re-

    marquer M. Léon Meyer, tous les radicaux modérés du précédent cabinet ont été éliminés, tandis que M. Léon Blum prenait deux extrémistes: M. Manent qui a battu récemment M. Malvy com-me candidat à la commissiou des finances, et M. Mendès France.

    M. Fer 11 and Laureni, interrogé sur cette combinaison, digne du lameux Ubu Roi, disait: «G'est de l'inconscience ou du défi.»

    Pourquoi pas les deux ? inter-rogea M. Buyat, le député de l'I-sère.

    Le député de Paris acquiesça en ajoutant :

    « Le premier ministère Blum nous a conduit à la faillite. Le second nous conduira à la ban-queroute »

    Et c'est sans doute afin dé pré-cipiter les événements que le ca-binet réunit 35 personnalités (?) dont 23 ministres et 12 sous-se-crétaires d'Etat.

    G'est demain jeudi, paraît-il,que cette formidable équipe osera se présenter devant les Ghambres ; qu'en adviendra-t-il ?

    Nous ne pouvons qu'enregis-trer et... attendre !

    Gar, c'est avec une rés'^rve , plutôt marquée, que ce Cabinet d'infortune est accueilli au Lu-xembourg.

    G'est également au cours d'une courte conférence que M.Gamille Ghautemps a transmis ses pou-voirs, disant à son successeur que le sérieux des circonstances rendait bien superflu le céiémo-nial habituel.

    D'aulre part , il est tout parti-culièrement intéressant de cons-tater que M. Léon Blum qui dans ses premiers pourparlers impo-sait aux modérés la collaboration des communistes, n'en a pas pris un seul dans sa combinaison.

    Aussi, même à l'étranger, est-ce avec la même réserve et sans confiance que l'on accepte notre nouveau ministère !

    N E M O .

    L'Union... nmis entre Français !

    M. Léon Blum a échoué dans sa tentative

    d'unaiiiniilé. La ficelle était trop grosse.

    La ruse trop grossière.

    L~nànimilé avec les communistes? Allons donc ! Mais (fuc peut-on faire avec des gens

    qui sont à la solde — c'est le parti socialis-

    te lui-même qui l 'a dit en refusant la fu-

    sion — d'e l 'étranger ?• Avec d e s ' h o m m e s ,

    qu ion insistant sur l ' iniervenUon armée

    en Espagne nous aurnleiil infaill iblement

    conduits à la guerre P

    Lo danger de la participalion comnniiiis-

    te est si réel que, M. Léon Blum lui-mC-

    me n ' e n a pas voulu : Son ministère ne comporte pas un seul communiste.

    'Et ceux-ci en sont fort marris : cc Nous

    avons, écrit Jacques Dticlos, dans VHuma-nilê, exprimé le regret de voir former tm gouvernement sans la participation des

    communistes ,ardemment désirée par les

    travailleurs français».

    Ce que l 'on désirait c'est en réalité con-

    tinuer, mai savec l 'appui passif de la ma-

    jorité, l 'œuvre de sabotage et la ruine de

    la France. Et les partis de la minorité ont

    eu raison de no pas tomber dans ce piège

    grossier! l 'union se fera, oui, il le faut,

    mais entre Français !

    « T i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i t ' ï ï ï n i i i u i n i i n * '

    ^JQUVFLLES

    FXPRESS Les ministi'es se réunissent aujourd'hui

    en Consteil de ëaSinti: Mais dès hier M. Léon Blum a conféré avec les dirigeants des grands organismes financiers. Le Co-mité de la Défense Nafionalfi s'est réuni à l'Hôtel Matignon: une conférence s'est tenue pour l'accélérai ion des produits de guerre.

    A l'OcCasion de la. réception officielle du Pûhrer à Vienne, une jxirade militaire monstre a eu lieu sur la place des Héros.

    Dans sa prison, M. Schuschnigg s'est marié avec la princesse Czernin.

    Dans le port de Tnrragone, le vapeur an-glais Stanwell est bombardé et incendfé : 2 morts, lo blessés graves.

    W Le conflit polono-lithuanien semble évo-

    luer vers l'apaisement.,

    Le Fûhrer a quitté Vienne pour rentrer à Bprlin. Que .

    l i i i i i i i i i i i i a i i i i i i i i i i i i n n i i i i i i i n T â T ï i f

    L a Caisse autonome A propos de la créaliou de la Caisse Au-

    tonome de Défense Nationale, M. Joseph

    Denais, député de Paris, vice-président de

    la Commission des Finances, se félicite,

    dans le Réveil Economique, de cette ini-tiative.

    Mais il fait remarquer très judicieuse-

    ment, au sujet du mode des emprunts à

    émettre par la Caisse Autonome, qtie l'E-

    lal, aurait tout intérêt à les différencier

    de ceux émis pour les besoins de la Tré-

    sorerie.

    (( La Caisse n'était pas née, dit-il, qti'tin

    mouvement d'opinion, très fort, se pro-

    nonçait eu se sens. Ctomnie j 'avais émis

    devant la Coinmlss-ion des Finances, l 'idée

    (ju'il serait intéressanl d'envisager, pour

    des J)ons Irentenaires, par exemple, un

    taux dont la modicité serait corrigée par

    des exemptions fiscales telles que l'exoné-

    ration de l ' impôt général sur le revenu et

    de sdroits de succession en ligne directe,

    j'ai constaté que cette suggestion retenait

    l 'attention de tous et qu'elle provoquait

    des polémiques M. le président Cail-

    laux devant le Sénat et de mon collègue

    Pezet, devant la Cliambre.

    ))J'ai donc l'espoir qu' i l sera fait (luel-

    qiie chose do neuf, c'est-à-dire que l 'on

    rompra plus ou moins complètement avec

    des errements dont la nocivité n'est plus

    ?i démontrer.

    » Eh faisant peser sur les revenus des

    eiï ])runts publics la menace do prélève-

    ments qui, pour l ' impôt général seul,

    peuvent atteindre 5o % et qui, pour les

    droits de succession, absorbent fréquem-

    ment l'io % du capital, l 'Etat sabote son

    propre crédit, rend ses appels sur le mar-

    che de l 'argent plus difficiles et plus oné-

    reux.

    » Il n'est pas interdit d'espérer qu 'une

    émission publique à u n taux notablement

    inférieur, grâce à diverses exonérations fis-

    cales, exercerait sur le marché des capi-

    taux u n choc psychologique, provoque-

    rait u n mouvement; de baisse qui comman-

    derait aussitôt l 'arrêt de la hausse du prix

    de la vie, la reprise des affaires et, par une

    heureuse conséquetice, l 'él imination des

    motifs les plus sérieux de discordes so-

    ciales. »

    Vouloir c'est pouvoir Et pendanli que nous nous débattons chez

    nous dans une inquiétante incertitude, le

    chancelier Hitler poursuit son chemin en

    Autriche.

    Dimanche soir, la loi d'Anschluss a été

    proclamée à 20 h. 3o, du haut du balcon

    de la chancellerie fédérale, par le chance-

    lier fédéral Seyss-Inquart.

    En vaici le texte :

    Lrticle i®'' — L'Autriche est u n pays du

    Reich allemand.

    Art. 2. — Un plébiscite libre et secret

    pour tous les hommes et femmes d'Autri-

    che âgés de plus de 20 ans, aura lieu le

    dimanche 10 avril igSS, sur la réunion avec

    le Reich allemand.

    Art. 3. — Le résiillat du plébiscite sera

    décidé à la majorité.

    Art. — Les dispositions nécessaires

    h l 'exécution do ceUe loi constitutionnelle

    fédérale, seront prises par voie d'ordon-

    nances.

    Art. 5. Cette loi conslitnlionnellc

    fédérale entre en vigueur le jour de sa pro-

    clamation. Le gouvernement fédéral est

    chargé de l'exécuter.

    Suivent les signatures dvi chancelier Seyss-

    Inquart et do tous les ministres.

    « • *

    Le tcxle des décrets adoptés

    Voici le texte des décrets adoptés d'autre

    part .

    Le Fiihreir-Chancolier ,cptnmandant su-

    prême de l 'armée, décide :

    1° Le gouvernement fédéral autrichien

    a décidé la réunion de l 'Autriche avec le

    Reich allemand.

    I ^ g'ouvernemenl du Reich a reconnu

    cette décision par une loi promulguée au-

    jotird'hui.

    2° Sur celle base je décide : l 'année fé-

    dérale autrichienne passe aujourd'hui sous

    mon commandement comme partie de

    l'armée allemande.

    3" Je désigne le général von Bock, com-

    mandant, do la 8® armée, commandeur de

    l'armée allemande l ' intérieur dos fron-

    tières autrichiennes.

    d" Tous les membres de l'ancienne ar-

    mée fédérale autrichienne devront immé-

    diatement prêter serment sur ma person-

    ne comme leur commandant suprême.

    Le général von Bock .est; chargé do pren-

    dre immédiatement les ordonnances néces-

    saires.

    Signé : Adolf HITLER.

    LES PROPOS DE FRANÇOIS lYlOYEN

    — Que penses-tu François Moyen, de la

    retraite des vieux travailleurs

    — l ' n honnue de cœur ne lient pas hé-

    siter sur cette question :c'esl justice sim-

    plement.

    — Mais, hélas, de quel fatras de déma-

    gogie ne nous entoure-t-on iioint la chose!

    — Certes et une fois de plus, en réa-

    Hsanl une grande réforme sociale néces-

    saire et hunuiine, on s'arrangera par avan-

    ce pour en annuler les avantages.

    — Que vaudront les retraites ([ui seront

    pa.yées en monnaie de singe !

    — Ce qui est désolant, vois-tu, continua

    François Moyen, c'est, qu'aucune de ces

    grandes réformes n'est motivée par u n

    souci de justice et d 'humanité mais par

    le besoin do trouver un tremplin électoral.

    — C'est pour cela qu'on abandonne u n

    certain nombre de choses existant déjà

    pour faire du nouveau à tout prix.

    — Quant furent instituées les Assurances

    sociales, il existait en France u n vaste ré-

    seau de nuUualités qu'on aurait pu élar-

    gir et renforcer progressivement... au lieu

    de cela, on conçut de toutes pièces u n

    monstre ténébreux et insuffisant qui, après

    hui t ans d'usage, n'est pas encore au point.

    —^ Pour la retraite des vieux, pourquoi

    ne pas reprendre la vieille formule — elle

    date d'avant-guerre — des retraites ouvriè-

    res er l ' intégrant justement dans les as-

    surances sociales ?

    — Ce ne serait plus un aussi beau trem-

    plin pour nos démagogues.

    — Mais surtout, avant de penser à don-

    ner quelque chose de nouveau, ils feraient

    bien de ne pas truster tous nos pauvres

    vieux du bénéfice de leur travail. Les dé-

    valuations renouvelées ont voté les g/io*

    de leurs rentes à tous les épargnants.

    — Tu as, hélas raison ,François Moyen.

    Je coimais nii pauvre vieux qui s'était re-

    tiié fi la veille de la guerre avec a.Soo fr.

    ne rentes françaises : il était fi l 'abri du

    be.'oin. Aujourd 'hin il a 85 ans... e t le

    droit de crever de faim !

    iNFORMATIOKS LE NOUVEAU GOUVERNEMENT

    La transnnssion des services s'est effec-tuée, liundi matin, au ministère des Fi-nances, oii M. Marcha.ndeau a présenté les direcleuj-s et hauts fonctionnaires de l'ad-ministration centrale des finances et de l'Economie nationale à MM. Blum, Spinas-se et Menâès-France.

    Recevant ensuite les journaiistes, M. L. Blum a déclaré que s'il a pris le portefeuille du Trésor, ce n'est pO'S parce qu'il consi-dère la silualïoin financièi'e comme étant la plus grave, c'est seulement parce que l'ex-périence de la dernière anrxée lui a appris que c'était du point de vue gouvernemen-tat et parlementaire, le poste le plus ex-posé.

    L'ANSCHLUSS

    La nouvelle de l'mnexion de l'Autriche par l'Allemagnf) éclaté coinme un coup d.? tonnerre.

    'I ta vérité, elle n'aguèie surpris ceux, dont nous sonunes, qui ont montré les dan-gers de l'effarante politique suivie depui.'--deux ans dans l'ordre extérieur.

    M P.-F, Flandin ai

  • a rompu arec l'Italie à propos (h; l'affaire éthiopienne .

    Ce jour là on peut dire que, Mussolini (levant fatalement se rapproeher de Hitler, l'Anschluss était faite.

    §§§ L WCTl Vim DIPLOMA TIQUE

    AU FOREIGN OFFICE

    A la fin de la matinée de hindi^ l'ambas-sadeur de France s'est, rendu au Foreign Office- où il s'est enlretetiu avec sir Orme Sargeut, sous'secrélif.ure d'Etat permanent adjoint au ministère des Affaires étrangè-res.

    D'autre ixirt, le Dr Woermann, chargé d'affaii'es à l'ambassade d'Allenuignc, s'esl retidii au Foreign Office vers la fin de la matinée de Ifindi.

    LA LIVRE A lûl fr. 15

    Le franc français qui faisait li-i.gy same-di, est ton}bé, lundi matin ù iCa,oo, pour se ivssaisir etisuite à iGo,5o.

    A i5 h. 3o, le franc français était coté 161,75 au comptant et 160,75 à trois mois par livre. On signale que^ bien que le shil-ling autrichien continue à être offert au cours de 26,5o par livre, comme la semaine dernière, o/i ne trouve aucun preneur. §§§

    L'AMBASSADEUR D'AUTRICHE A ROME PASSE SES ARCHIVES

    A L'AMBASSADEUR D'ALLEMAGNE

    i'Ebre après a^'oir livré un combat à Hijar, au cours duquel la i43° division rouge a été com plétcm cnt anéan I ie.

    L'avance des nationaux a été de trente kilomètres. Le général Franco a visil'é le front, accomixi.gné du général Yague. Le Çiénéralissinw a ailressâ la parole aux trou-pes marocaines, l'es félicitant de teur succès militaire. Les ùroupes ont acclamé le gé-néral Franco et l'enthousiasme i'ègne dans les rangs des nationaux.

    ' §§§ INTERP'ELLATÎONS

    M. JcKcph Rous, député des Pyrénées-Orientales ,n'apiwrtenai>t à. aucun groupe, a déposé une demande d'int-erpeUation sur « la politique extérieure du Gouvernement et les conditions de sa pohilique natioiuilen.

    Des diapeaux à croix gammée flottent, à côté des drapeaux autrichiem, au balcon de la Légation et du consulat d'Autriche.

    M. Berger-Waldenegg^ encore ministre d'Autriche à Rome, a reçu des itislruclions pour passe ries ai'chives de la. chancellerie à h'amba-ssadeur d'Allemagne.

    L'EXODE D'AUTRICUE DE'S JUIFS POLONAIS

    Le nombre des voyageurs des trains Vien-ne-Varsovie s'est sensiblemeiib accru depuis quelques jours. On signale que cCe nom-breux juifs polonais franthissenl la fron-tière venant de Vienne. En e f f e t , 24.000 juifs originaires de Pologne séjourtient en Autriche.

    LES MANOEUVRES DE L'ESC.IDRE DE L'ATLANTIQUE

    RI€IIARD par F. S.UiNT-AGNA>D

    CHRONIQUE LOCALE ET RÉGIONALE

    AU CONSEIL MUiMClPAL

    Samedi prochain 19 couraiil, à 20 li. 3o,

    réunion

  • Il ne saurait oublier les généreux dona-

    teurs qui ont conlr ibué par leurs dons au

    succès de cette soirée, et faciliter la tûiche

    des organisateurs : Maison Goblet, Aniy

    fji».res, Ackerman, Davy, Bretault-Sidainc,

    Kocl-Tessier, Compagnie Française de Gha-

    cé-Varrains, Mercierolle de Chemillé, Niol

    de Airvault, Arnaud, Michel, Grand Bon

    Marché, etc.. .

    Voici la liste des numéros gagnants de

    la lo/ul.ola-souscription du 12 mars igSS :

    i364 Cuisinière dernier modèle. 3488 Service de table de kk pièces. 333i Service de verres rustiques. 4099 Coupe chromée. 2493 Travailleuse.

    3465 3a8i 383o. 3986 3944 917 aaio 694

    29C1 3257 iG5 4O2O I48I 2OI4 2C44 35C5 2804 255I 2068 1820 1986 2911 1794 3C5o

    590 797 4oa3 3174 1235 333i i588 5o5

    870 1872 1188 835 3ooG C3i 2245 i339

    2693 2399 2338 2985 3386 /ioi3 3778 2844

    665 i58o iSSg 1479 7G0 2O4 1378 5a54 3207 2272 2956 i i i 5 571 a792 i55 579

    1595 1487 585 38i4 3a76 3753 i i38 3716

    3694 3957 1764 i i35 285 2912 3584 4o43

    2947 477 1792 i664 587 3934 369 3aRa

    1859 217a 2194 2344 i452 1281 1692 2t4i

    2439 laa 3876 3970 366a 2601 io38 754

    3S17 1473 4O2I 3926 2976 a6a4 4o34 25o4 2388 3^78 33i i 2438 3637 810 3i43 4o64

    2636 2527 a64 3ooi i 4 i i 3568 2532 2187

    I^s lots pourront être réclamés du mardi

    i5 mars 1938, de 10 heures à i3 heures et

    tous les jours jusqu 'au 3i mars 1938, chez

    M. Lelong, 35, rue d u Portail-Louis, à Sau-

    m u r .

    Passé cette date, les lots non réclamés

    seront acquis à la Société.

    -§§§-

    LA BOULE DE FORT o

    CERCLE ST-NICOLAS 10, rue Courcouronne

    CONCOURS DE BDULliS A LA PARTIE

    {Deux contve deux)

    Résultats des Eliminatoires du i3 Mars

    Richou et llébeilleau (Saiiit-Pieri-e), ga-

    g n e n t Poirier et Fredin (Joyeux du Cha-

    peau;, par II à 6.

    Douet et Mitonneau (Union de Chacc),

    gagnent Bohec et Girard (Union de Saint-

    Florent;, par II à 6.

    Bodet et Vicongne (Saint-Nicolas), ga-

    gnent Reneau et Chemin (Joyeux du Cha-

    peau), par II à 7.

    Boufl'eteau père et Fronteau (Saint-Nico-

    las), gagnent Murzeau efc Clémot (Saint-

    Nicolas), par I à 9.

    Picot et Rochard (Cure de Saint-Florent)

    gagnent Godfrin et F. Guy (Saint-Joseph

    de Nantilly), par 11 à 6.

    Béchet et Larzule (Agrément de Neuillé),

    gagnent J. Mary et A .Faujour (Bel Air),

    par II à 9.

    Ménard et R. Verri (Agrément de Neuil-

    lé) gagnent Bougreau et Guyader (Bel-Air),

    par II à 10.

    B. Joseph et A. C l a w a u (Amis de Var-

    rains), gagnent Normand et Guénetj (Cure

    de Saint-Florent), par 11 à 9.

    Leroy et Bernon (Saint-Nicolas), gagnent

    Paget et Gauchet (Cure de Saint-Florent),

    par II à 5.

    J Gouraud et P. Body (Croix des Sables)

    gagnent A. Duveau et Baillergeon (Amis

    de Chacé), par 11 à 2.

    Bourgerie et Gasnault (Joyeux du Clia-

    peau) gagnent Coutard eli Ménard (Saint-

    Pierre), par II à 7.

    Prémont et Mellier (Saint-Nicolas) ga-

    gnent CaJIeau et Le Gaillard (Saint-Nicolas)

    par II à 2.

    Cr. Chevalier et A. Chevalier (Saint-Nico-

    las) gagnent G. Duviau et Guéraud (Soleil

    Levant), par i i à 9.

    Pinier et Puichaud (Saint-Nicolas) ga-

    gnent Harrault et Robert (Visitation), par

    I l à 9.

    E. Tranchant et M. Boreau (Avenir de

    Villebernier) gagnent par forfait.

    G. Guitton et P. Vergnault (Union de

    Saint-Florent) gagnent A. Jumeau et M.

    Cnilleau (Amis de Varrains), par 11 îi 4-•

    « » Pour répondre à des désirs qui nous ont

    été exprimés et (jui d'ailleurs se trouvenl

    légitimés par l 'expérience de la première

    journée d'éliminatoires, un nouvel horaire

    n été établi pour les dimanches qui voni

    suivre. On voudra donc bien se substituer

    c'i l 'ancien eti le consulter, afin d'éviter

    lijcfufe erj^eur. ï.|'iordre des équipes établi

    par le sort y a été r igoureusement res-

    pecté, Le Bureau.

    NECROLOGIE Nous â OMS appris la morl, dans sa 72®

    année, en sim domicile, de M. Eugène

    Chauveau, iiucien directeur d'assurances

    en notre \lile et dr ce fait trt's a\antageu-

    seinent coniiu de JIOS conciloyens. Ses obsè(]ucs onli eu lieu hier mardi, ^

    9 h. 3o, eu l'église Sai[il-Nicolas, sa pa-

    roisse, au mil ieu d 'une nombreuse assis- i

    tance qui apportait ses consolations à cette

    vieille famille saumuroise.

    En cette pénible séparation, nous adres-

    sons à Mme Chauveau-Gouzé et à ses en-

    fants nos bien sincères condoléances.

    Fillol se mit à la disposition de noire grou-

    pement et grAce à son concours, nos

    joueurs purent renlrer sans trop de relard

    à Saumur.

    FOOT-BALL-ASSOCIATION • • APRES, LA RENCONmE

    JEANNE D'ARC DE SAUMUR

    CONTRE CHATEAUBRIANT

    La Jeanne d'Arc se déplaçait dimanche

    dernier à Qiateaubriant où elle y rencon-

    trait en championnat de l 'Ouest l 'équipe

    première des Voltigeurs Castelbriantais.

    Ce match qui était le dernier avant que

    notre « o n z e » n'entre dans la compétition

    propre de la Coupe de France des Patro-

    nages, donna satisfaction aux dirigeants

    saumurois puisque le groupe déplacé s'as-

    sura la vicloire par le score net de 4 buts

    à o; ceci malgré l'absence de Réniy, de de

    liodmau, de Lambert.

    Les quatre buts obtenus par les saumu-

    rois le furent sur belles descentes très ap-

    plaudies par les nombreux sporlifs de

    Chûteaubriant qui garnissaient les touches

    du stade des Volligeurs.

    L 'équipe :saumur

  • n t a û l de Commtrce de Saumor

    L I Q U I D A T I O N J U D I C L U I I E

    (le Monsieur Maurice 'DOSSIER,

    Cullivateur-Grainier

    aux Kosicrs-siir-Loire

    La réunioii de rccidilioii (les cojiiples el

    de cl(jlure aura lieu au J'ribuual de Com-

    merce de Sauuiur le Mercredi G Avril 1988,

    à II heures.

    Etude de M° G. iViU\AiUD,

    Notaire h Airvault (Deux-Sèvres)

    i .VIS D E C E S S I O N

    SUIVANT ACTE reçu par

    ARNAUD, notaire à Airvault, le

    24 février igSS, eiiiegistré à

    Airvault, le 2 mars igSS, îolio

    5o, numéro 20G, Madame Irma-

    Alphonsine-Rosalie CHAUVEAU

    négociante, demeurant à Ba-

    gneux, rue du Vaulanglais,

    épouse séparée de corps et de

    biens de M. Henri SECRET, a

    VENDUE à M. Maximin-Azaël

    OLIVIER, employé, demeurant

    à Thouars, rue Drouineau-de-

    Brie, numéro 5, époux de Ma-

    dame Hélène RUAULT, u n

    fonds de commerce d'entrepri-

    se de vidange, exploité à Ba-

    gneux, comprenant: la clientè-

    le et l 'achalandage y attachés,

    le matériel et les objets mobi-

    liers servant à son exploita-

    tion.

    Publication de cette vente a

    été faite dans le Bulletin Of-

    ficiel des Ventes et Cessions de

    fonds de commerce, en date du

    9 mars 1988.

    Les oppositions, s'il y a lieu,

    seront faites dans les dix jours

    de la présente insertion et se-

    ront reçues en l 'étude de

    GAUTIER, notaire à Saumur,

    2, rue du Puits-Tribouillet,

    domicile élu.

    I^onr seconde insertion,

    G. ARNAUD,

    . i i i i m i i i i i i i i i n i i i i i i i i i m i u m m i i i i i

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    (Nantes, départ 22 heures 10, La Bour-boule, arrivée à 8 heures 50, Le Mont-Dore arrivée à 9 heures 07).

    — Les dimanches et jours de fêtes du 19 décemb/e au 18 avril (3® classe entre Le Mont-Dore et Bourges).

    (Le Mont-Dore, départ à 17 heures 5o ; La Bourboule, départ à 18 heures, Nantes, arrivée à 6 heures 01).

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    6 32 10 26 12 20 13 30 17 3 3 18 0 2 "i 17 ti 55 10 49 • • • . 1 3 54 • • . • 19 ï l • • • • 7 15 11 09i . . . . i i 1 3 » • • • i g 38! 7 2 1 11 15 . . . . 14 20 19 4 3 7 28 . • .. 11 2 3 14 27 . . . • 19 60 . . . . 7 35 .. . • 11 31 . . ... 14 3 4 . . . . 19 5 6 . « . . 7 4 0 11 3 6 14 4 0 iU 01' « • • • 7 4 8 H 4 3 13 17 14 4 8 18 34 20 19 2 2 4

    4 17 8 02 i b 22 H 50 13 18 17 1 4 18 35 20 41 2 29 8 08 10 28 11 b7 . . . . 17 i O 2 0 45 . » . • 8 08 10 29 1 1 59 . . . . 17 20 « . • . 2 0 46 . • « .

    • . 8 12 10 3 1 12 U . . . . 17 24 . . . . 2 0 50 • > « . • 8 17 10 36 12 10 17 29 20 54 • • r

    8 29 10 4 5 12 2 5 13 39 17 4 1 18 55 21 U3 2 51 4 46 8 4 g 11 0 3 12 4 8 13 55 18 0 1 19 12 21 21 3 1 0 5 19 9 13 11 06 15 00 14 02 • . 19 18 2 1 25 3 2 4 5 4 7 g 41 11 30 15 35

    14 44 .. 21 50 . . . .

    6 17 10 4 11 5 5 16 1 1 14 44 .. 19 66 ! 22 1 3 4 C8 7 5 0 11 10 1 3 20: 17 3 3 15 44 .. 20 3 4 22 56 5 0 1

    10 50 12 12 1 4 54 19 4 5 17 11 21 39 7 5 4 13 5 1 U 6 16 31 21 45 18 59 9 5 6

    9 » 1 3 57 1 18 . j 6 3 3 7 55 1 7 3 3 22 39

    10 5 3 i 4 511 21 10 18 0 3 2 2 l è 1 8 1 2

    R o y a n — L a R o c h e l l e — L e s S a b l e s — B o r d e a u x — S a u m u r — P a r i s (Montp..

    STATIONS

    Royan La Rochelle Les Sables.

    Bordeaux.. Saintes Niort Par thenay . Ai rvau l t . . . f h o u a r s a.

    — dép. Montreui l . Brézé-S'-G. Chacé-Var. Santi l ly a . Nantilly d. S A C M U B ( O )

    — dép. Vivy Blou Vernantes . Liniéres-B. Noyant -M. Chàt.-la-V Chât . -du-L Courtalain Cliartres. . . Paris a r r

    784 522

    5 35 5 55 6 05 6 iO 6 13 6 U

    20 07 16 21 28 36 43

    8 o; 9 07

    10 40 11 55 13 11

    702

    6 18 7 07 7 27 7 54 8 02 8 21 8 29 8 34 8 37 8 37 8 42

    7U4I2) RAP.

    6 11 6 35

    6 43 7 42 8 27

    'g 6i 9 C8 9 22

    9 38 9 40

    10 32 11 31 12 12 13 18

    728 798 536 RAP.

    9 3 4

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    8 3 0 * • • • 10 26 • • » • 11 4 4 .. .. 12 3 4 .. ..

    1 3 i l 10 4 4 13 1 8 11 11 1 3 36 11 2 1 11 27 • • 11 3 1 • • . 11 35 11 41 13 54 11 48 1 3 56 11 56 12 0 3 12 12 12 2 0 • . > . 12 28 12 5 0 14 0 3 14 é è 16 38 18 0 6 1 i é 5 5 19 24 1 1 1 8 1 0

    722 724

    2728 788 13 15 10 25 14 15

    992 16 34 19 07

    12 30 13 49 14 35 14 54 15 17 15 19 15 371 15 45' 15 49 15 52 15 52 15 57 17 13 17 20 17 24 17 31 17 37 17 43 17 59 18 21 20 01 21 C9 22 U

    9 38 14 14 16 58 17 52 18 12 18 42 18 57 19 20 19 30 19 35 19 39 19 40 19 47 19 50 19 59 20 Qi' 20 11 20 19 20 2b 20 471 21 081

    15 30 17 32 21 06 22 11 22 32 22 02 23 08

    780 EXPR.

    19 25

    26 10

    18 30 20 41 23 23

    0 15

    '6 51 0 58 1 16

    23 40

    2 50

    4 53 6 15|

    L I G N E D ' O R L É A N S

    P A R I S - T O U R S — S A U M U R A N G E R S - N A N T E S

    STATIONS

    Paris (Orsay) Tours. . . dep. Langeais Port-Boulet., Varennes — Saumur. .arr,

    — dép. St-.Martin.... St-Clément .. Les Rosiers.. La Ménitré... Angers... arr. Nantes., .arr, St-Nazaire. .. Le Groisic . . .

    197

    0 22 5 23 5 46 6 06

    é 21 6 26

    7 02 8 43

    10 04 H 06

    2773 OMN

    6 26 6 59 7 26 7 35 7 44 7 53 8 02 8 08 8 14 8 22 8 53

    199

    8 01 8 22 8 38

    8 50 8 51

    9 22 10 28

    181 BAP.

    179 EXPB.

    8.30 10 36

    11 28 11 30

    12 00 13 00 14 11 15 03

    7 00 11 20 11 4^ 12 03

    12 19 12 21

    12 42 13 05 14 31

    2777 OMN.

    8 45 13 05 13 38 14 08 14 17 14 27 14 37 14 47 14 53 15 01 15 09 15 43

    187 RAP.

    12 15 15 04

    16 04 18 05

    16 36 17 46 18 59 19 53

    2781

    17 25 17 57 18 24 18 33 18 42 18 53 19 02 19 8 19 14 19 22 19 63

    13-189 EXPK

    14 32 18 42 19 04 19 21

    19 36 19 38

    19 51 19 58 20 21 21 40

    15-191 RAP.

    17 25 19 38

    20 35 20 36

    21 05 22 « 23 03

    193

    21 30 0 07

    1 » 1 05

    1 32 2 30

    195 L.O.

    22 45 3 19 3 41

    4 09 4 13

    4 46 6 01 7 36 8 38

    N A N T E S — A N G E R S - S A U M U R - T O U R S - P A R i S

    S T A T I O N S

    Le Grois ic . . St-Nazaire . . , Nantes . , dép, Angers, .dép, La Ménitré . . , Les Rosiers. . St-GIément . , St-Martin . . . Saumur . a r r ,

    — dép. Varennes Port-Boulet . L a n g e a i s . . . . . Tours . . a r r . Paris (Orsay).

    2774 OMN.

    5 36 6 05 6 12 6 17 6 23 6 31 6 35 6 45 6 55 7 21 7 56

    12 33

    178 EXPR.

    5 38 6 32 7 40 8 36

    g 04 g 05

    9 57 12 33|

    2778

    10 48 11 17 11 24 11 29 11 35 11 43 11 49 11 59 12 08 12 34! 13 07 17 46

    182 EXPR.

    9 35 10 40 12 10 13 19

    13 51 13 53

    14 42i 17 46;

    2782 OMN.

    14 15 14 52 15 02 15 09 15 17 15 27 15 37 15 50 16 04 16 46 17 25 21 20

    188 EXPR.

    15 21 16 34 16 51

    17 08 17 10

    17 24 17 43 18 05 21 20

    192 RAP.

    16 33 17 38 18 50 19 46

    20 14 20 15

    21 09 23 45

    2786 OMN.

    O.L.

    19 51 20 21 20 29 20 35 20 45 20 54 21 09 21 20 21 36 22 05 22 38

    5 12

    19 27 20 32 22 10 23 18

    23 48 23 5 1

    0 40

    196

    22 44 u 13 1 35 1 56

    2 16 2 19

    2 35 2 55 3 19 7 10

    S A U M U R - P O R T - B O U L E T — C H I N O N

    S T A T I O N S

    Saumur Orl. Por t -Boulet Avoine Chinon

    1803

    6 35 7 31 7 39 7 50

    18C9(îil8l)9(6

    9 28 9 37 9 50

    11 28 11 37 11 50

    18n7 i STATIONS

    15 37!Chinon 16 35!Avoine 16 58 Port-Boulet 17 141 Saumur Orl.

    1802 ^ ^ 4 8 3 6 ( 4 6 57 13 15 20 7 09 13 33 15 45 7 26 14 08 18 24 7 44 14 27 18 42

    1810 20 35 20 48 20 56

    A N G E R S - D O U É - M O N T R E U I L - P O I T I E R S

    STATIONS

    Angers St-L. Martigné... Doué-la-F°«. lesVerchers. leVaudelnay Montreuil a.

    Montreuil d. Loudun . . . . Moncontour Poitiers

    185b 1857 18£3 1865 STATIONS 1854 EXPH.

    STATIONS M.V.

    S 17 11 50 16 54 20 50 Poitiers 7 37 12 51 18 03 21 49 Moncontour .. •. 7 55 13 08 18 25 22 04 Loudun 8 01 13 13 18 31 • • • • Montreuil a. .. .. 8 07 13 19 18 37 • • • 8 16 13 27 18 49 2i' 19 Montreuil d. 6 25

    leVaudelnay 6 38 8 40 13 45 19 06 lesVerchers. 6 48 9 42 14 26 19 52 Doué-la-F»». 6 58

    10 05 14 50 20 17 Martigné.. . 7 15 11 18 16 01 21 35 Angers St-L. 8 30

    1852

    d 3g 8 01 8 39 g 15

    EXPR. 9 30 9 40

    •9 51 10 06 11 02

    1856

    11 08 12 23 13 04 13 28

    13 44 13 54 14 02 14 08 14 24 15 26

    1868

    16 34 18 » 18 37 19 05

    19 22 19 30 19 39 19 45 20 00 20 54

    La Direction du. Journal décline toutes resconsabiiiiés pour les erreurs matéritilei qui pourraient s'être glissées dans cet horaire.

    A moins d'indication contraire, les heures indiauées sont toujours Us heures de départ.

    (1) L e samedi seu lement , -sauf les 25-12-57 et i - i - j 8

    (2) L e lundi s e u l e m e n t , sauf le i " n o v e m b r e .

    (3) Sauf le jeudi.

    (4) Jeudi seulement. (5) Saut le mardi (6) Le mardi seulement

    S A U M U R A L A F L È C H E

    Saumur dép. Vivy Longué . . . . Les Hayes. Brion Jum'«« Chartrené. . Baugé a e f s La Flèche. . .

    9 10 14 34 9 22 14 45 9 33 14 56 9 40 lE 03 9 45 15 08 • . 9 51 16 13

    10 03 15 23 10 19 15 38 10 31 15 50|

    L A F L È C H E A S A U M U R

    La Flèche d Clefs Baugé Chartrené... Brion-Jum'" Les Hayes.. . Longué Vivv Saaœnr arr.

    6 21 17 20 6 35 17 35 . * • • 6 50 17 56 6 57 18 03 ! ! !! 7 03 18 11 !. 7 07 18 15 7 15 18 27 7 26 18 38 • • 7 37 18 48 .. . •