deuxième journal de l'association malezi de hasseindjé oichili

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“L’éducation est notre objectif, la solidarité est notre force” Malezi Journal associatif éducatif de Hasseindjé Première année N° 2 - juillet 2013. Prix 200fc Biographie simplifiée de Mohamed Ali Mbalia C’est une foule immense qui a envahi très tôt le dimanche dans la localité de Hasseindjé ya Washili pour aller accom- pagner Mohamed Ali Mbalia jusqu’à sa dernière demeure. C’est le président Ikililou Dhoinine, qui a dirigé la priè- re mortuaire en présence d’autres personnalités poli- tiques et notables venus de toutes les régions du pays. Lire page 2 Le président de l’association des étudiants et élèves de Hasseindjé (Malezi) Mr Miftahou Ibrahim et ses membres présentent leurs mains des condoléances à toute la nation comorienne et particulier la famille « Mbalia ». Sagesse : “un vieillard qui meurt en Afrique, c’est comme une biblio- thèque qui brule” Nos 38 ans d’indépendance Situés dans l’océan indien, les Comores ont déclaré leur indépendan- ce unilatéralement le 6 juillet 1975 par le président du conseil Ahmed Abdallah Abderemane. C’est aux mou- vements politiques comme le Molinaco, le parti vert, blanc, le Pasoco mené par Mohamed Ali Mbalia qu’aujourd’hui on parle d’un pays indépendant. Lire page 3 Le droit de l’enfant La protection de l’enfant est un devoir pour tous partout dans le monde. Une grande attention a toujours été faite en faveurs des enfants pour que ces der- niers puissent s’épanouir et être prépa- rés à prendre la relève du développe- ment de la société .pour le bien être du monde, ceci doit être considéré comme très important. Lire en dernière page 1. Donner deux adjectifs dérivés du mot “eau” 2. Quel est le premier auteur qui a écrit sur Trambwe ? 3. Qui sont les nourrices du prophète Muhammad ? 4. Donner deux sens du mot « médiatrice” Pour vos réponses, envoyez-les, par cour- rier électroniques : [email protected] ou Malezi [email protected] Nadjim Moussa Abdou TC Madaris Al-iman Jeux et concours

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Nous publions ce journal éducatif, ‘’MALEZI’’. Ce mot signifie la bonne éducation, il constitue à premier vue, le meilleur héritage que chaque parent doit léguer à sa descendance, pour leur assurer une bonne vie d’ici bas et l’au-delà. De ce fait, ce titre constitue la seule garantie d’un bon avenir aux générations successives, comme il marque un meilleur passé qu’ont vécu les ancêtres. Ce terme qui est souvent utilisé pour distinguer ceux qui ont eu une bonne éducation de ceux qui ne l’ont pas eue, par le terme : « KUTSINA MALEZI », pour insulter un jeune homme de mauvais comportement et lui qualifier d’une mauvaise éducation familiale. La solidarité, l’évolution sociale et économique d’une société, dépendent donc de la qualité éducative qu’elle a eue de la part de ses responsables spirituels et politiques. Sans ‘’MALEZI’’, on est près de rejoindre un monde qui n’est pas celui des êtres humains. Puisque tout dépend de l’éducation, agissons ensemble pour que vive notre Association “MALEZI’’.

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Page 1: Deuxième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

“L’éducation est notre objectif, la solidarité est notre force”

MaleziJournal associatif éducatif de Hasseindjé

Première année N° 2 - juillet 2013. Prix 200fc

Biographie simplifiée

de Mohamed Ali Mbalia

C’est une foule immense qui aenvahi très tôt le dimanchedans la localité de Hasseindjéya Washili pour aller accom-pagner Mohamed Ali Mbaliajusqu’à sa dernière demeure.C’est le président Ikililou

Dhoinine, qui a dirigé la priè-re mortuaire en présenced’autres personnalités poli-tiques et notables venus detoutes les régions du pays.

Lire page 2

Le président de l’association des étudiants et élèves deHasseindjé (Malezi) Mr Miftahou Ibrahim et ses membresprésentent leurs mains des condoléances à toute la nationcomorienne et particulier la famille « Mbalia ».

Sagesse : “un vieillard qui meurten Afrique, c’est comme une biblio-thèque qui brule”

Nos 38 ans d’indépendance

Situés dans l’océan indien, lesComores ont déclaré leur indépendan-ce unilatéralement le 6 juillet 1975par le président du conseil AhmedAbdallah Abderemane. C’est aux mou-vements politiques comme leMolinaco, le parti vert, blanc, lePasoco mené par Mohamed AliMbalia qu’aujourd’hui on parle d’unpays indépendant.

Lire page 3

Le droit de l’enfant La protection de l’enfant est un devoirpour tous partout dans le monde. Unegrande attention a toujours été faite enfaveurs des enfants pour que ces der-niers puissent s’épanouir et être prépa-rés à prendre la relève du développe-ment de la société .pour le bien être dumonde, ceci doit être considéré commetrès important.

Lire en dernière page

1. Donner deux adjectifs dérivés du mot “eau”2. Quel est le premier auteur qui a écritsur Trambwe ?3. Qui sont les nourrices du prophèteMuhammad ?4. Donner deux sens du mot « médiatrice” Pour vos réponses, envoyez-les, par cour-rier électroniques :[email protected] ou [email protected]

Nadjim Moussa Abdou TC Madaris Al-iman

Jeux et concours

Page 2: Deuxième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Malezi juillet 2013

Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 2

Biographie simplifiée de Mohamed Ali Mbalia

Naissance Mohamed

ALI Mbalia est né

vers 1939 à

Hasseidjé Oichili

Grande-Comore

Fils de Ali MBALIA Ancien

combattant originaire de

Foumbouni Mbadjini et de

Hichima Mdahoma origi-naire de Hasseindjé.

Etudes primaire et secondaire

Ecole Primaire Publique de

Koimbani Oichili

Etude secondaire à l’Ecole

Européenne de Majunga

(Madagascar)

Etudes superieures

Relations Internationales à

l’Université de Nairobi Kenya

Droit Humanitaire à l’Institut

Universitaire de Hautes Etudes

Internationales de Genève

(palais des Nations Unies)

Vie professionnelle

Enseignant du primaire et

secondaire.

Membre fondateur du premier

syndicat des instituteurs des

Comores à l’époque coloniale

Action humanitaire

Fondateur de l’association aide

humanitaire des Comores.

Membre de la fédération pan-

africaine des associations pour

les personnes handicapés

Fondateur de la Pharmacie

Humanitaire des Comores

Fondateur de l’atelier de for-

mation des tailleurs et coutu-

rières handicapés, des orphe-

lins et enfants non scolarisés et

déscolarisés.

Fondateur des Ecoles humani-

taires du six juillet et Annexes

Représentant d’Amnesty-

International en Union des

Comores

Lutte pour l’indépendance

Membre fondateur du mouve-

ment clandestin pour l’indé-

pendance à Majunga,

Madagascar

Membre fondateur du

Mouvement de Libération

Nationale des Comores moli-

naco

Membre Fondateur du Parti

Socialiste des Comores

(Pasoco) Président de la liste

électorale du front patriotique

uni-Pasoco pour le renouvelle-

ment de la chambre des dépu-

tés coloniaux Réfugié politique

soutenu par l’OUA au camp

des réfugiés de mgulani camp

Dar-es-Salam Condamné poli-

tique des prisons coloniales à

Anjouan et en Grande Comore,

et libéré sous l’action

d’Amnesty-international.

Apres indépendance

Président de la Commission

des affaires étrangères de

l’assemblée Constituante

Ancien candidat aux premiè-

res élections présidentielles

pluralistes des Comores

Ancien Ministre de l’envi-

ronnement, de l’Urbanisme

et de l’habitat. Membre du

conseil d’Administration de

Comores-Telecom Pionnier

et fervent défenseur du dos-

sier du pétrole comorien

(Président de l’Institut de

Recherche et d’Exploitation

des sous Sols (Irex)

Polyglotte, il parlait cou-

ramment le Français,

l’Anglais, l’Arabe,

l’Allemand et le Swahili. Il

laisse derrière lui plusieurs

enfants dont un agrégé en

Mathématique de l’universi-

té Paris VII, Denis Diderot

et un benjamin de 11 ans en

classe de 5ième

Le soleil L’eau une source vitale

La quantité d’eau

douce disponible

pour la population

est très faible et mal

partagée géographiquement.

Onze pays seulement contrô-

lent 60% des ressources. Et

beaucoup de pays assez bien

pourvus connaissent aussi

beaucoup de problème d’eau.

Aux Comores, la population

ayant accès à l’eau potable est

estimée à 10%.

A Ngazidja, la plupart des

villages collectent les eaux

pluviales par le système tradi-

tionnel des citernes. L’eau peut

aussi provoquer des maladies,

voir des décès ; si elle ne

répond pas aux normes de

qualité requises. Les diarrhées,

le cholera, la typhoïde, trois

épidémies très récurrentes

aux Comores, sont les mani-

festations les plus courants

d’eau infectée de micro-orga-

nisme. Oichili reste parmi les

régions les plus menacées de

la sécheresse malgré la présen-

ce des sources d’eau capables

d’approvisionner la population

de Oichili. On avait dernière-

ment pensé qu’une moitié de

cette population vient d’assou-

pir ses douleurs, néanmoins la

mauvaise gestion due aux

recommandations étrangères.

Moina Mhoundra Abdullah

2nd (GSFA)

Le soleil est un astre

comme les autres ;

mais plus chaud

qu’aucun être vivant

ne peux y vivre il serait calciné,

transformé en cendre en moins

d’une seconde.

La température du soleil est de 6

000°c, on estime qu’au cœur du

soleil il ya une température de

l’ordre de 15 000 000 degré.

Comme le soleil d’aujourd’hui

n’est pas celui de demain alors

le soleil est comme les étoiles,

ils naissent, évoluent et meu-

rent.

Le soleil est très grand qu’il

peut contenir 1 000 000 de terre.

On a cru longtemps que le soleil

était une énorme boule de

matière combustible qui brulait

mais se ne pas ce que nous

avons cru c’est une planète

comme les autres.

Mbalia Mohamed

Ali Mbalia alias Vylhiz

5eme six juillet

Maquette et réalisation:

Faissoil Iliassa

Page 3: Deuxième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Acote de ce même

village, on trouve

aussi un endroit

appelé “Seindjé”. Ce

dernier avait été habité par des

familles venant de Djoumbe de

Koimbani. En haut de ce quartier

on trouve des traces d’un château

appelé Tramba djumbe.C’est

dans ce même quartier de

Hygnamhizi. Les témoignages

de Himidi Madi, un des notables

du village confirme cette thèse.

Mais il évoque que les deux

familles avaient des problèmes

politiques. C’est-à-dire que cha-

cun voulait se considérer comme

le chef du village. Il y avait un

grand problème pour la réconci-

liation de ses deux familles. Il

ajoute qu’au sein de la famille de

Maruini, on trouve le

fameux Serpent.

“Eyazaya ye gnoha

kadjalatsa”

Cela reste réel ou légendaire dans

l’histoire de hasseindje. Mais

selon les témoignages il s’agit

d’une histoire vraie.

C’est dans cette histoire qu’on a

tiré l’expression : “Eyazaya yegnoha kadjalatsa” .Donc les

enfants de ce serpent existent jus-

qu’à l’heur actuel. Vue à cette

situation, il a fallu menés beau-

coup de recherche sur l’origine

du peuplement de notre village.

A l’intérieur on trouve aussi des

hommes de couleur blanc. On dit

souvent que ce sont des portu-

gais. Parce qu’il y a des siècles

que les européens fréquentent

souvent l’archipel avant d’aller

en Asie. C’est pourquoi on se

demande des questions qui

demandent assez des recherches

pour avoir en main l’originalité

de la population de notre belle

ville Hasseindjé notamment :

Peut-on dire qu’il a une originali-

té arabo-européenne dans la

population de Hasseindje ? Peut-

on croire qu’une femme peut

faire naitre un serpent ? Pourquoi

il y a des diversités idéologiques

dans les deux familles, la mos-

quée de Bamboni ne t’elle pas

l’origine de la réconciliation

entre ses familles ? Hasseindje

est il vraiment l’un des sites his-

toriques de la région ? Est-ce que

la pensée d’Idjiba chari est elle

comparable à celui de Mbaé

Trabwe? Pour avoir des réponses

sur ces séries des questions, res-

tez toujours en contacte avec

notre journal.

Moustoifa Ahamada

L3 Histoire

Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 3

Malezi juillet 2013

Nos 38 ans d’indépendance

Situés dans l’océan

indien, les Comores

ont déclaré leur indé-

pendance unilatérale-

ment le 6 juillet 1975 par le

président du conseil Ahmed

Abdallah Abderemane. C’est

aux mouvements politiques

comme le Molinaco, le parti

vert, blanc, le Pasoco mené par

Mohamed Ali Mbalia qu’au-

jourd’hui on parle d’un pays

indépendant. De ce fait, la

population ouvre les yeux pour

chercher des partenariats inter-

nationaux économiques, poli-

tiques, militaires… C’est à par-

tir de cette date que le peuple

s’engage dans une nouvelle

éducation. Car à l’époque colo-

niale ce sont uniquement les

enfants des hauts cadres qui

entraient à l’école.

Aujourd’hui, l’homme como-

rien a le droit de passer dans

l’université des Comores afin

de frapper toutes les portes de

chaque pays où voulait- il faire

ses études. Toutes fois, certains

étudiants diplômés dans des

universités Arabes restent blo-

quer vue à l’impérialisme

Français.

On sait qu’il y a 38 ans que les

Comores ont pris leur indépen-

dance. Le 6 juillet 2013, le pré-

sident comorien, Dr Ikililou

Dhoinine, pose comme d’habi-

tude la question de son pays

dans les relations internationa-

les. Car d’après la communauté

internationale ou

l’Organisation des Nations

Unies, les Comores se consti-

tuent au nombre de quatre iles

dont Mayotte, Anjouan, Mohéli

et la Grande comore, dès l’arri-

vé du drapeau comorien à New

York amené par le Docteur

Mouigni Baraka. On se deman-

de donc pourquoi la France

détient- elle Mayotte jusqu’à

nos jours. Il y a des hommes

comoriens qui pensent que

Mayotte ne viendra jamais s’u-

nir avec les autres iles. Car la

France a toujours le droit de

veto. Sache qu’il avait son veto

pourtant on a déclaré unilatéra-

lement notre indépendance. A

cette époque nous n’avions pas

assez des moyens écono-

miques, politiques ni militaires.

Aujourd’hui nous avons

l’Union Africaine malgré sa

faiblesse diplomatique, on a la

Ligue des Etats Arabes qui

n’est même pas plus forte que

l’UA et en fin on a l’And.

Même si certains se posent

plusieurs questions sur notre

dite indépendance. Car avec 38

ans d’indépendance, l’écono-

mie comorienne réside sur les

denrées importées et vendues à

des prix torrentiels pour pou-

voir soutenir les besoins de

l’Etat. Alors que nous détenons

plusieurs facteurs de dévelop-

pement par rapport à d’autres

pays économiquement forts,

tels que l’agriculture, la pêche

et beaucoup des matières pre-

mières. Mais comme le colon

ne nous a pas donnés l’autori-

sation de les exploiter, nous

restons mains croisées.

Avoir un Etat indépendant,

c’est avoir avant tout une

armée forte, indépendante et

décisive. Or quant à notre

armée, on la suppose une

armée française installée aux

Comores. Dans la mesure où

nous ne pouvons pas avoir des

relations défensives, ni des

conventions militaires ni

envoyer des cadets dans un

pays, sans l’autorisation de la

France. Le président comorien

ne peut nommer dans le rang

des officiers que celui qui a eu

la grâce du colon. Dites-nous

chers lecteurs quelle indépen-

dance parlez-vous aux

Comores.

Suite du journal N° 1 du juin 2013

Page 4: Deuxième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Journal associatif éducatif de Hasseindjé

La ménopause

Malezi juillet 2013

a ménopause est la période

durant laquelle les femmes

deviennent stériles.

Elle pourrait être due à la pré-

férence des hommes pour des

femmes plus jeunes.

Une étude canadienne estime

que la préférence des hommes

pour des femmes plus jeunes

pourrait être à l'origine de la

ménopause. La baisse du

vivier d'hommes disponibles

pour les femmes à mesure

qu'elles vieillissent aurait

entraîné un défaut de fertilité

et provoqué la ménopause. "Si

les femmes pouvaient se

reproduire tout le temps, et s'il

n'y avait pas de préférence à

l'encontre des femmes âgées,

les femmes pourraient se

reproduire comme les hom-

mes pendant toute leur vie",

affirme un généticien de l'évo-

lution, Rama Singh, profes-

seur à l'université canadienne

de McMaster publié depuis le

jeudi 13 juin 2013.

Au lieu de l'âge qui conduirait

à l’infertilité, Rama Singh

affirme que la baisse du vivier

d'hommes disponibles pour

les femmes à mesure qu'elles

vieillissent --parce que beau-

coup d'hommes plus âgés

cherchent à se mettre en cou-

ple avec des femmes plus jeu-

nes-- a entraîné un défaut de

fertilité et provoqué la méno-

pause. Mais d’autres spécia-

listes ne sont pas tous

convaincus par la théorie de

Rama Singh, en disant que la

ménopause semble être un

phénomène essentiellement

humain. Ne fait pas comme

cette jeune fille qui est incapa-

ble de donné un enfant pour

les simples raison que je viens

de citer. Dans ma part ce spé-

cialiste na pas rêver et je tiens

à rappeler à mes sœurs qu’il

faut être Fidel pour éviter tout

catastrophes.

Nasser Iliassa Mze Ali

Eleve de la 1er S GS BT

Le droit de l’enfant

La protection de l’en-

fant est un devoir

pour tous partout

dans le monde. Une

grande attention a toujours été

faite en faveurs des enfants

pour que ces derniers puissent

s’épanouir et être préparés à

prendre la relève du dévelop-

pement de la société .pour le

bien être du monde, ceci doit

être considéré comme très

important.

Malgré cette attention parti-

culière , certains esprits mal-

veillants n’hésitent pas à piéti-

ner les droits de l’enfant .vio-

ler les droits de l’enfant

devient à nos jours un fléau à

l’échelle internationale, un

fléau qui doit être enrayé de la

société pour que tout enfant

ait droit de vivre dignement

afin de favoriser son épa-

nouissement .le mauvais trai-

tement de l’enfant est marqué

entre autre par sa privation à

l’éducation, à l’ exploitation ,

aux conséquences de conflits

et a d’autres actes inhumains

qui ne font que renforcer la

violation des droits de l’en-

fant. Ceci est désormais très

observé en masse dans nos

pays musulmans, une chose

que notre religion nous inter-

dit, en nous incitant à la bonne

éducation de l’enfant, un sou-

venir d’ici bas et de l’au-delà.

Quand est ce que reviendrons-

nous à nos raisons ?

Ansakira Issa

étudiant en géographie (L2)

Poème : heureux pour notre indépendance Oh mes très chers compa-triotes !Désormais, sommes-nousindépendantesLevons de haut ce drapeau,chers patriotes Aussi brillant partout commela religion islamique Pourvue que nos diplomatesont rehaussé la politique

Le 6 juillet 1975 reste dèsjadis une immense joieVu que ce jour est obtenu

pour une bonne voie,Qui nous fraternise et fran-chise de bon chaque foisDe s’aimer, méditer et fêterles fruits de ce mois

Gagner une telle victoire c’estgagner la paixUnissons de lors et révélons cequ’ils ont faitLes résultats qu’ils nous ontapporté mes chers, …voyonsImitons leurs idées dignes etleurs voies aussi bien pions

Ce jour nous fait vivre ensem-ble chers frères et sœursD’où le courage et le respectde faire parler nos cœursEt n’oublions jamais que noscombattants ont bien souffertQue la gauche laisse la droiteà faire signer ce transfertMa question est la sorte : d’oùvenait une telle vigueur ?Répondre cela,s reste à penseret applaudir cette idée phare Être exemplaire d’une telleépreuve talentueux aussi rare

Leur sueur révoltée, nous illu-mine aujourd’hui de longueuren largeur.

Achirafi Fayssoil,Etudient en Navigation

aérienne à Madagascar

L

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