cursus de formation aux nouvelles technologies de developpement uv ibm wsad module wsad

CURSUS DE FORMATION AUX NOUVELLES TECHNOLOGIES DE DEVELOPPEMENT

UV IBM WSAD

Module WSAD

Module UV IBM WSAD / 72

Deruelle LaurentCopyright © 2002 Laurent Deruelle

Module WSAD

Présentation d ’IBM WSAD Démarche de développement J2EE WTE : l ’environnement de tests unitaires Le débogage Maintenir le référentiel CVSNT



Présentation d ’IBM WSAD

Naissance d ’une plate-forme de développement OpenSource nommée Eclipse.

Le projet Eclipse remplace désormais Visual Age, en proposant un panel d ’outils, dont la première génération est appelée:

Websphere Studio Application Developer (WSAD)



Pourquoi Eclipse?

IBM met en place une stratégie de portabilité des applications pour une communauté de développeurs.

IBM propose une nouvelle standardisation et tente de contrer Microsoft et le modèle VisualStudio.NET

Accroître la communauté suivant plusieurs points de vues:– marketing– diffusion d ’outils (open source)– leadership technologique– ergonomie des outils



Environnement J2EE 1.2

WSAD 4.0 est un environnement de développement intégrant Visual Age for Java et WebSphere Studio.

Il permet de développer des applications Java classiques, des applications J2EE, de les tester et de les déployer.

Il intègre notamment un environnement de test des applications J2EE : WebSphere Test Environment (WTE).



Les perspectives

L ’ergonomie générale de WSAD est organisée autour des perspectives.

Ce sont des fenêtres rassemblant des options autour d ’un thème commun.

Il existe sept perspective par défaut dans WSAD.



La perspective JAVA

La perspective Java rassemble tous les outils pour développer des classes Java.

Il est nécessaire de sauvegarder toutes modifications avant de changer de vue ou de sélectionner un nouveau fichier Java.

La perspective Java compile et vérifie automatiquement le code lors d ’une sauvegarde (compilation incrémentale).



Le refactoring

La perspective Java intègre des outils de refactoring prisés par la méthodologie Extreme Programming.

Il s ’agit de transformer la structure du code sans modifier sa logique :– renommer un objet : toutes les références sont mises à jour– extraire une méthode : la sélection de portion de code peut

être transformée en méthode d ’un simple clic.– Déplacer du code.



La perspective Debugger

Elle propose des services de debug classiques. Toutefois elle ne permet pas :

– des points d ’arrêt conditionnel,– de remplacement de code à chaud (HCR), seul les valeurs

de variables peuvent être modifiées,– de passage méthode par méthode quand elles sont

chaînées au sein d ’une ligne,– de reprise du debogage en amont dans le code.



La perspective Web

Elle intègre un environnement complet de développement Web.

Cela inclut :– les pages HTML– les JSP– les servlets– le descripteur de déploiement XML



La perspective Web

Elle propose les fonctionnalités suivantes:– Création, validation et édition de fichiers JSP, HTML,– Edition de graphismes et d ’animations,– Support d ’édition de feuilles de styles,– Moteur JavaScript (Rhino),– Support de DHTML,– Importation (HTTp, FTP) et exportation FTP,– Importation/exportation de fichiers WAR,– Visualisation de liens,– Gestion et analyse (parsing) des liens,– Edition graphique du fichier web.xml



La perspective J2EE

Elle donne accès aux informations nécessaires pour créer et configurer une application d ’entreprise.

Il est possible de manipuler des composants Web, des composants Java EJB 1.1 et de paramètrer le serveur Web.

De nombreux assistants permettent de générer rapidement une application J2EE (EAR), des EJB et de les tester en quelques clics, de façon unitaires.



La perspective XML

Elle donne accès à des outils utiles lors du développement d ’applications XML:– Editeur XML pour créer et valider les documents,– Editeur de DTD,– Mapping de XML vers XML via XSLT– Traceur XSLT,– Validateur de documents XML vérifie le respect de la DTD– Mapping RDB vers XML pour convertir les résultats de

requêtes SQL en XML.



La perspective Serveur

Elle permet de visualiser et de modifier la configuration du serveur exécutant des EJB et des applications Web.

Il intègre une serveur de test : WTE et une EJB Client Test pour tester de façon unitaire le comportement des EJB.



La perspective Profiling

Les outils de profiling permettent de mesurer la performance d ’applications.

L ’outil principal d ’analyse de performance est l ’outil IBM Jinsight.



La perspective Data

Elle est destinée aux administrateurs de bases de données et aux développeurs d ’EJB.

Elle permet d ’importer, de créer et de modifier des schémas de bases de données relationnelles. A partir de l ’EJB représentant le schéma, il est possible d ’interroger la base.

Des drivers JDBC pour les bases les plus courantes sont inclus (UDB2, Oracle 8i, etc.)



Module WSAD




Création de l ’application J2EE

L ’application J2EE est définie par une archive EAR globale contenant deux parties :– une archive JAR : liste des classes de l ’EJB, des classes

utilitaires (sérialisables) et des classes classiques Java,– une archive WAR : regroupant les pages HTML, les JSP, les

Java Beans, etc.

Etape 1 : Séléctionner la vue J2EE Etape 2 : Sélectionner Enterprise Applications

– effectuer un clic droit, puis new - > Enterprise application Project– Saisir le nom du projet– décocher l ’Application Client– cliquer sur Finish



Exemple de création d ’EAR



Création d ’un EJB

A ce stade le fichier JAR a été généré par WSAD pour contenir les EJB de l ’application.

Les étapes suivantes permettent d ’ajouter une EJB dans l ’archive JAR.

Etape 3 : sélectionner EJB Modules– explorer pour faire apparaître l ’archive JAR– sélectionner l ’archive JAR – click droit -> new -> Enterprise bean– mettre le nom de l ’EJB (bean name)– ajouter Remote à la fin du nom dans la partie Remote Interface– cliquer sur Finish



Exemple de création d ’EJB



Modifier un EJB

Chaque EJB est défini selon trois parties :– la partie Home, décrivant les méthodes de création, de

suppression de l ’EJB– la partie Remote définissant les services, les fonctionnalités

(métiers) proposés par l ’EJB,– la classe qui implémente la partie Home et Remote.

WSAD a généré ces trois types de fichiers automatiquement. Il faut alors lister les services dans la partie Remote et les implémenter dans la classe en respectant le même type de retour, le même nom de méthode et les mêmes paramètres transmis.



Modifier un EJB

Etape 4 : Explorer l ’EJB créé dans l ’archive JAR, pour faire apparaître les trois parties.– Editer la partie Remote (double clic)– Dans le fichier, insérer les imports nécessaires (java.util.*,

etc.)– Puis donner la liste des services :

public String envoyerHelloWorld()

throws java.rmi.RemoteException;

public Vector envoyerListeHello(int nombre)

throws java.rmi.RemoteException;



La partie Remote de l ’EJB



Modifier un EJB

– Editer la classe d ’implémentation de l ’EJB (double clic):• insérer les imports nécessaires,

• implémenter les services en reprenant exactement le service spécifié dans la partie Remote (copier - coller) :

public String envoyerHelloWorld()

{ return ’’HelloWorld’’;

}

• mettre également le constructeur de la classe, pour pouvoir créer l ’EJB:

public NomDeLaClasse()

{}



La partie Classe de l ’EJB



Créer les classes utilitaires

Les EJB échangent souvent des objets sur le réseau. De tels objets doivent être sérialisables, et décrits par

une classe dite utilitaire. Ces classes font parties de l ’archive de l ’EJB.




Etape 5: Créer les classes utilitaires en sélectionnant l ’EJB– clic droit -> new -> Other... – puis dans la fenêtre sélectionner Java -> Java Class– Saisir le nom de la classe Java (Name)– cocher Constructors from superclass– cliquer sur le bouton Add de la zone Extended Interfaces– Dans la fenêtre, mettre la lettre S, à la place de A, puis

sélectionner l ’interface Serializable.– Valider avec OK, puis Finish.



Sauvegarde du projet

A ce stade, il est nécessaire de sauvegarder les modifications et de vérifier qu’il n ’y a pas d ’erreurs générées lors de la compilation des fichiers Java.

Etape 6 :– File -> Save All– Project -> Rebuild All



Générer le code RMI

Les EJB doivent disposer de mécanismes RMI, pour être accessibles à distances par des clients.

Etape 7 : Sélectionner l ’EJB– clic droit -> Generate deploy code.– File -> Save All et Project -> Rebuild All



Générer le code RMI



Identifier l ’EJB via JNDI

Pour que l ’EJB soit accessible par des clients, il faut qu’il porte un nom JNDI, permettant de le référencer à travers différentes JVM. Le nom JNDI permet alors au client de récupérer les parties Home et Remote par un simple appel à lookup().

Etape 8 : Sélectionner l ’archive JAR de l ’EJB– clic droit -> Open With -> EJB Extension editor– dans la fenêtre d ’édition, sélectionner l ’onglet Bindings (en

bas à droite), puis explorer le Jar pour séléctionner l ’EJB, toujours dans la fenêtre d ’édition.

– Saisir alors le nom JNDI (JNDI Name)




Clic Bindings



Module WSAD




Présentation de WTE

Websphere Test Environment propose un ensemble d ’outils, basés sur le serveur WebSphere pour déployer, tester et déboger :– les fichiers JSP et les servlets,– les fichiers HTML,– les EJBs via l ’outil EJB test client,– les connexions bases de données via les DataSources.



Démarche d ’utilisation de WTE

La démarche est composée d ’une suite d ’étapes permettant de tester les fonctionnalités d ’un EJB:

Etape 1 : en mode Vue J2EE et lorsque le serveur est stoppé,on sélectionne un composant de l ’application (EAR, JAR, WAR, etc.)– nous sélectionnons l ’EJB de l ’archive JAR.– Clic droit -> Run On server provoque le lancement du

serveur Websphere et de l ’environnement de test.



Démarche d ’utilisation de WTE



Lancement du serveur

L ’action run on server provoque le lancement du serveur WebSphere, et notamment de l ’outil EJB test client, pour tester les différentes fonctionnalités de notre EJB.

Lorsque l ’on a sélectionné le JAR il faut passer par JNDI pour récupérer la partie Home de l ’EJB

Par contre lorsque l ’on a sélectionné l ’EJB dans le JAR, WTE a automatiquement récupéré la partie Home

Etape 2 : Il faut invoquer la méthode create de la partie Home -> puis Invoke, puis Work with Object



Connexion JNDI

Clic nom JNDI



Récupérer la partie Remote



Tester les services de l ’EJB

Etape 3 : sélectionner la référence EJB– explorer la référence jusqu ’à faire apparaître les services– sélectionner un service, puis Invoke et vérifier les résultats– dans le cas où la réponse du service est un objet, il est

possible de faire Work with object et d ’explorer alors le contenu de l ’objet.

Répéter l ’étape 3 pour tous les services de l ’EJB, afin de vérifier le comportement des méthodes.



Tester un service de l ’EJB

résultat

Liste des services



Tester un service de l ’EJB

Indiquer la valeur du paramètre



Modifier l ’application

La modification de l ’application n entraîne pas le redémarrage du serveur. Par conséquent les modifications ne sont pas prises en compte.

Etape 1 (bis) : fermer l ’EJB Client Test Etape 2 (bis) : le serveur des déjà lancé

– passer en vue server– clic sur l ’onglet server– puis sur clic droit sur la ligne server instance– sélectionner Publish, puis Restart Project et le fichier JAR– si des problèmes surviennent, faîtes Stop puis Start, – revenir en vue J2EE puis faire Run on server.



Relancer le serveur



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Présentation du débogage

Le débogage permet de stopper l ’exécution du serveur de test, afin de vérifier la valeur des variables d ’une classe, des méthodes, etc.

Ceci permet de détecter d ’éventuels dysfonctionnements et de les corriger, avant le déploiement effectif de l ’EJB



Les points d ’arrêt

L ’arrêt du serveur est réalisé par des points d ’arrêts positionné dans le programme, soit avant l ’exécution de l ’EJB ou soit pendant son exécution.

Ils sont indiqués par une bulle sur le côté gauche du programme, dans la fenêtre d ’édition.

Pour placer un point d ’arrêt, il faut double cliquer dans la zone grise de l ’éditeur de code, au niveau de l ’instruction à vérifier.

L ’instruction ne sera pas exécuté.



Mettre un point d ’arrêt

Point d ’arrêt



Vérifier l ’état des variables

Lors de l ’exécution de l ’EJB (Run on server), lorsque le serveur rencontre un point d ’arrêt, il stoppe son exécution et indique qu ’il est passé en mode débogage.

Il faut alors passer dans la vue Debug, à partir du sélecteur de perspective puis other.… -> Debug.



La vue debug

La vue debug présente la liste des points d ’arrêts présents dans l ’application, en indiquant le numéro de ligne et le fichier dans lequel il est positionné.

Un double clic sur le point d ’arrêt permet d ’afficher le code source du programme.



La vue debug

Cette vue propose dans la partie haute-gauche les onglets suivants :– Breakpoints donne la liste des points d ’arrêt du programme,– Inspector permet de visionner le contenu des objets et de

modifier la valeur de certaines variables.– Varaibles donne la liste des variables et leurs états avant

l ’arrêt de l ’exécution du serveur, il est possible de choisir une variable et de l ’introspecter (Inspect), ou de changer sa valeur.



La vue debug



Reprendre l ’exécution du serveur

Pour continuer l ’exécution du serveur, il faut sélectionner l ’onglet debug, et rechercher le thread qui est suspendu.

A partir du menu debug, l ’on peut exécuter le programme sur le serveur de plusieurs manières :– Resume : exécute complètement le programme jusqu ’au

prochain point d ’arrêt,– Step Into exécute la partie droite de l ’instruction (calcul) en

entrant dans la première instruction à exécuter.– Set Return exécute complètement la partie droite de

l ’instruction et bloque avant l ’affectation du résultat.– Step over exécute l ’instruction et passe à la suivante.



Visionner l ’état des variables

Suivant la commande du menu Debug, l ’état des variables apparaît au fur et à mesure dans l ’onglet variable de la vue Debug.

Il est alors possible :– d ’explorer le contenu d ’une variable (double clic), – de modifier sa valeur (clic droit -> Change Value), – d ’instrospecter un objet (clic droit -> Inspect)




Sélection de Step Over



Module WSAD




CVS

Lancer cvsnt_1.11.1.3.exe ou cvsnt_1.11.1.2.exeChoisir l'option customChoisir le chemin d'installationEx: e:\cvsChoisir les composants suivants :

command-line client : l'exécutable du programme client (optionnel)ex: d:/cvs/cvs.exe

Server Components : le programme serveurcomprend l'executable, les dll, un programme de génération de mots de passe, l'ajout d'une clé dans le registre, l'installation du service et de son icône dans le tableau de configuration et dans le menu démarrer.

ReadMe : un fichier de notes sur le service (configuration...)



CVS

Après l'installation:

– Créez un dossier non partagé "repository" sur le disque. Ce dossier sera le dossier racine de tous les projets partagés via CVS.

– Ajoutez le chemin choisi dans la variable d'environnement système PATH >panneau de configuration

>System >Advanced

>Environement Variables... >System Variables >Edit PATH

et ajouter le chemin séparé des autres valeurs par un point virgule.Ex: path= mon_ancien_path ; d:\cvs\



CVS

Lancez le programme de configuration du service CVS for NT:>Panneau de Configuration

>CVS for NTAjoutez le chemin du dossier "repository" dans la fenêtre de l'onglet repositories.

Vérifiez que le chemin spécifié dans :>Onglet Advanced

>Temporary Directorycorrespond bien à un repertoire temporaire capable de supporter la charge relative à l'utilisation de ce service.

Installez le service>Onglet Service Status

>Install

Lancez le service>Onglet Service Status

>Start

Vous pouvez maintenant accéder au service via un client cvs.



CVS

A partir de la vue Team, il est possible d ’insérer le projet dans le référentiel, pour permettre de garder une version (Release), et de permettre aux collaborateurs de travailler sur les sources.

La démarche consiste à :– sélectionner le projet, puis en faisant un clic droit de choisir

Synchronize with Stream.– On sélectionne un stream disponible avec CVSNT, puis les

données de la version courante sont affichées dans la vue Team



Vue Team



Mise à jour du référentiel

Lors d ’une mise à jour des fichiers, le système est capable de détecter les différences entre les programmes, et de les afficher de manière graphique.

La mise à jour du référentiel est réalisée en effectuant Team -> Synchronize With Stream, à partir du menu contextuel du composant à mettre à jour



Vérifier les différences

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