cours et travaux diriges : cartographie...introduction a la cartographie depuis toujours les hommes...
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Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
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Objectifs :
- Montrer l intérêt de l utilisation de la cartographie en géographie.
- Montrer l intérêt des cartes topographiques ainsi que les différentes utilisations.
- Maîtriser le langage cartographique.
- Maîtriser les règles strictes de la sémiologie graphique.
- Apprendre à représenter les variables quantitatives absolues et relatives.
Bibliographie :
BERTIN J. (1967), « Sémiologie graphique : les diagrammes, les réseaux et les cartes »,
éditions MOUTON, Paris- La Haye, 407 p.
BERTIN J. (1977), « La graphique et traitement graphique de l information », éditions
FLAMMARION, Paris, 278 p.
BONIN S. (1983), « Initiation à la graphique » éditions l EPI, Paris, 174 p.
JOLY F. (1976), « La cartographie », éditions PUF, Paris, 271 p.
RIMBERT S. (1990), « Carto-graphies », éditions HERMES, Paris, 172 p.
STEINBERG J. (1996), « Cartographie : Pratique pour la géographie et l aménagement»,
éditions SEDES, 130 p.
ZANIN C. & TREMELO M.-L. (2003), « Savoir-faire une carte : aide à la conception et à la
réalisation d une carte thématique univariées», Imp. CHIRAT (France), 199 p.
COURS ET TRAVAUX DIRIGES : CARTOGRAPHIE
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COURS 1 :
INTRODUCTION A LA CARTOGRAPHIE
Depuis toujours les hommes ressentent le besoin :
- de se situer par rapport à leur environnement, - d aménager leur espace, - d étendre le cadre de leurs activités, - de maitriser l espace.
Pour ce faire, ils construisent des cartes. La cartographie est donc une manifestation de l esprit humain. Une carte est une idée mise en image.
1. DEFINITIONS :
- Cartographie : Association Cartographique Internationale + Comité Français de Cartographie (1966) "la cartographie est l ensemble des études et des opérations scientifiques, artistiques et techniques, intervenant à partir des résultats d opérations directes ou d exploitation d une documentation, en vue de l élaboration et de l établissement de cartes, plans et autres modes d expression, ainsi que de leur utilisation".
- Carte :
Plusieurs auteurs ont tenté de donner une définition de la carte :
Comité Français de Cartographie (1966) : une carte est "la représentation géométrique conventionnelle, en positions relatives, de phénomènes concrets ou abstraits, localisables dans l espace".
Konstantin SALICHTCHEV (1967) "Einführung in die Kartographie, traduit du russe, Haak, Leipzig) : une carte "est une représentation réduite, généralisée, mathématiquement précise de la surface terrestre sur un plan montrant la situation, la distribution et les rapports des divers phénomènes naturels et sociaux, choisis et définis du but de chaque carte. La carte permet également de montrer les variations et les développements des phénomènes dans le temps ainsi que les facteurs de mouvement et de déplacement dans l espace".
Fernand JOLY (1976)
La cartographie, édit. PUF, collection Magellan, Paris : une carte "est une représentation géométrique plane, simplifiée et conventionnelle de tout ou partie de la surface terrestre, et ceci dans un rapport de similitude convenable qu on appelle échelle".
Ces différentes définitions se complètent et suscitent trois questions fondamentales :
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- Qu est-ce qu une carte ? C est un document graphique visuel, qui à ce titre doit
suivre des règles de perception visuelle. - Quel est le contenu d une carte ? Elle correspond toujours à un espace, soit une
portion de territoire plus ou moins étendue. Elle montre la nature, la localisation, l importance des phénomènes qui composent ou se rapportent à cet espace. De ce fait, une carte est toujours une image réduite, schématisée et sélectionnée de l espace étudiée.
Réduite, parce qu une carte ne représente jamais l espace en grandeur réelle ; il s agit toujours d une image réduite de la réalité. De ce fait, elle fait intervenir un rapport de réduction précis, l échelle.
Schématisée, parce que dans le cadre de la représentation graphique, les composantes de l espace, du fait même quelles sont réduites, doivent être simplifiées. C est ce qu on appelle la généralisation.
Sélectionnée, parce qu une carte ne peut jamais faire apparaitre simultanément tous les éléments constitutifs de l espace ; elle ne montre que certains éléments, ceux correspondant au(x) thème(s) étudié(s).
- A quoi sert une carte : la carte est un instrument de communication privilégié. Son but est de faire passer un message de manière optimale.
2. CLASSIFICATION DES CARTES
Il existe plusieurs types de classification. Celle retenue ici repose sur la notion de contenu des cartes et retient la distinction entre cartes topographiques et cartes thématiques.
2.1. les cartes topographiques sont celles sur lesquelles figurent essentiellement les résultats d observations directes concernant la position en longitude et en latitude, la position altimétrique, la forme, l dimension et l identification des phénomènes concrets permanents existant à la surface du sol.. Les cartes topographiques sont établies sur la base de conventions, identiques pour l ensemble des cartes et à des échelles bien précises.
Définition du Comité Français de Cartographie : " une carte topographique est une représentation exacte et détaillée de la surface terrestre, concernant la position, la forme, les dimensions et l identification des accidents du terrain, ainsi que des objets qui s y trouvent en permanence.
Le but de ces cartes est essentiellement pratique. La nécessité d y retrouver tous les éléments visibles du paysage, et de pouvoir y effectuer des mesures de directions, de distances, de dénivellations et de surfaces, exige une échelle appropriée.
Pour les cartes topographiques, les échelles sont arrêtées :
- Les cartes à grande échelle (de 1/10 000 à 1/25 000),
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- Les cartes à moyenne échelle (de 1/50 000 à 1/100 000), - Les cartes à petite échelle (au 1/200 000).
Pour les cartes à des échelles supérieures (1/1 000, 1/2 000, 1/5 000), on parlera de plans et pour les cartes à des échelles inférieures (1/250 000, 1/500 000, 1/1 000 000,
), on emploiera le terme de cartes générales.
2.2. Les cartes thématiques : représentent sur un fond repère un thème particulier. Il existe une infinité de cartes thématiques et deux cartes traitant du même thème peuvent être très différentes d un point de vue graphique. Il n existe pas de conventions régissant les représentations thématiques, mais uniquement des outils graphiques permettant de faire passer au mieux un message. De même, il existe une infinité d échelles.
La notion de carte thématique est récente et date des années 1950.
3. ELABORATION DES CARTES
L établissement d une carte comporte plusieurs étapes :
Etape 1 : les levés topographiques, cette étape consiste à faire l inventaire de tous les points du paysage qui figurent sur la carte selon leur emplacement respectif exact en latitude, en longitude et en altitude. Divers méthodes possibles : arpentage sur terrain, élaboration d un réseau géodésique, interprétation de photographies aériennes ou d images satellitaires.
Etape 2 : la restitution cartographique, les données recueillis sous forme de mesures ou d images doivent être sélectionnées, ordonnées, traitées, présentées sur un support approprié à l usage qui en sera fait.
- A partir de photographies aériennes : les photographies doivent être assemblées afin de d obtenir une vision stéréoscopique. Des appareils de restitution, couplés à des traceurs restituent le relief, et finalement tracent les cartes.
- A partir des images satellitaires : les données sont transmises directement aux banques de données informatisées et exploitées par la suite comme des photographies aériennes.
Etape 3 : l édition cartographique, cette phase consiste à uniformiser la présentation des cartes selon un ensemble de conventions strictes concernant l orientation, les symboles, les couleurs, les trames, les épaisseurs des traits, les écritures.
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COURS 2 :
LE DECRYPTAGE DES CARTES TOPOGRAPHIQUES
Des très nombreuses informations, correspondant aux phénomènes qui existent de façon permanente dans le paysage figurent sur les cartes topographiques. Pratiquement, on les classes en trois catégories :
- Les éléments de la topographie, - Les éléments de la planimétrie, - Les éléments de la toponymie.
1. LA REPRESENTATION DU RELIEF
La difficulté est de représenter en deux dimensions (le plan) un phénomène en trois dimensions (longitude, latitude, altitude). Pour ce faire, on recourt à des artifices graphiques. C est ainsi que le relief est représenté par : des courbes de niveau, un estompage, des figurés spéciaux et des points cotés.
1.1. Les courbes de niveau
Ce sont des lignes reliant les points d égale altitude. Le terme de courbe de niveau ne s applique qu aux surfaces topographiques ; en milieu lacustre ou marin on emploie le terme de courbe bathymétrique. Le niveau de référence 0 est le niveau moyen des marées à un endroit précis (pour la Tunisie, toutes les altitudes et les profondeurs sont définies à partir du niveau moyens des marées au port de la Goulette). Lorsque la différence d altitude entre les courbes est fixe, on parle d équidistance (c est le cas des cartes topographiques) ; lorsqu elle est progressive on parle de courbes hypsométriques (c est le cas des cartes à petite échelle).
Une courbe sur 5 est renforcée. Il s agit des courbes maîtresses sur lesquelles l altitude est mentionnée (les sens des écritures correspondent au sens de la pente).
Dans les régions peu accidentées, on ajoute, en tireté, des courbes intercalaires, qui correspondent à la moitié, voire au quart de l équidistance.
Dans les régions montagneuses (ex : coupure Chamonix, dans les Alpes françaises, on supprime parfois une courbe sur deux et la légende précise : équidistance de 10 et 20 m
En général pour les cartes topographiques, les équidistances sont de :
- 5 m à l échelle 1/25 000, - 10 m à l échelle 1/50 000, - 50 m aux échelles 1/100 000 et 1/200 000.
Pour un lecteur entraîné, l agencement des courbes de niveau évoque les formes du terrain et permet la reconstitution du relief. Cependant, cette image ne se produit pas
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intuitivement et la lecture des courbes n est pas toujours évidente. Par contre, l effet de masse provoque par le groupement des courbes permet de "voir" que le terrain est accidenté et que la pente est d autant plus forte que l effet d ombre est plus grand.
1.2. L estompage
On a imaginé ajouter aux courbes de niveau un effet plastique destiné à percevoir le relief de façon plus évidente. Il s agit de l estompage, qui correspond à un jeu de lumière qui va mettre en place des ombres sur certains versants est en éclairer d autres. Pour ceci, on imagine une source lumineuse placée au nord-ouest de la carte, et des rayons en émanant, faisant avec le plan un angle de 45°. Les versants exposés au sud-est seront donc ombrés, et les ombre seront d autant plus foncées que la pente est importante. On dessinera aussi des légères ombres sur les versants éclairés pour les distinguer des plaines laissés en blanc.
L estompage permet ainsi une perception plus rapide du relief sur les cartes topographiques ; il ne figure cependant pas sur des cartes topographiques à 1/25 000.
1.3. Les figurés spéciaux
Il existe un certain nombre d artifices graphiques permettant une lecture facile de certains éléments de la topographie. Ces artifices concernant deux types de phénomènes :
Ceux dont la dénivelée est inférieure à l équidistance, mais constitue malgré tous les obstacles sur le terrain, Ex. ; les levées de terre, les digues, les terrasses, l encaissement des oueds, les dunes, les plages de sable.
Ceux dont la dénivelée est supérieure à l équidistance et nécessiterait la mise en place de courbe de niveau jointives, nuisant à la lisibilité, Ex. ; les falaises, les corniches, les dunes,
1.4. Les points cotés
Les points cotés ont pour rôle de faciliter l identification des courbes de niveau tout en précisant l altitude de quelques points remarquables de l orographie ou de la planimétrie. Il existe deux types de points cotés : les points cotés simples, définis par interpolation et les points cotés géodésiques, pour lesquels on connaît avec précision la position en x, y et z (longitude, latitude, altitude). Les points géodésiques sont représentés sur les cartes par des triangles.
2. LA REPRESENTATION DE LA PLANIMETRIE
La planimétrie concerne tous les éléments qui existent de façon durable à la surface du sol, à l exception des formes du relief. Il existe une infinité de détails planimétriques, que l on peut classer en 4 catégories :
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Les éléments de la végétation, qui sont représentés en vert tramé sur les cartes topographiques (la couleur verte étant inconsciemment rattachée à la végétation).
Ex. les bois, les broussailles, les vergers,
Parfois le symbole élémentaire de la trame est une image évocatrice de l objet à représenter (exemple : olivier, palmiers, )
L hydrographie qui apparait en bleu, couleur associée dans l inconscient collectif à l eau.
Ex. la mer, les lacs, les puits, les oueds,
Les éléments de l occupation humaine, qui figurent en noir ou en rouge. Ces éléments regroupent de nombreuses rubriques, comme par exemple les infrastructures (routes selon leur largeur et leur entretien, voies ferrées, oléoducs, gazoducs, lignes de haute tension, aérodrome et aéroport, ), que l habitat (habitat groupé, habitat dispersé), vestiges, équipements (école, lieu de culture, cimetière, ).
Les éléments abstraits, d ordre administratif comme les frontières nationales, les limites de gouvernorat ou de délégation.
Les détails de la planimétrie ne sont pas nécessairement à l échelle. Seuls les détails planimétriques qui ont une certaine superficie respectent l échelle de la carte topographique et il est tout à fait possible d y effectuer des mesures de surfaces. Les détails linéaires et ponctuels ne respectent pas l échelle du document, mais des règles de lisibilité.
Ex. il est possible de mesurer la surface d un lac de barrage en hautes ou en basses eaux, mais il est faux de mesurer la largeur d un oued (sauf cas particulier, lorsque le lit est très large).
La représentation de la planimétrie a fait l objet d une normalisation plus ou moins internationale, c est-à-dire que les informations identiques sont représentées de façon similaire, quelles que soient les pays concernés.
Au niveau national, les représentations sont parfaitement normalisées et répertoriées dans un tableau des signes conventionnels, qui sert aussi bien à l usager à comprendre la carte topographique qu au cartographe à l établir.
3. LA TOPONYMIE
La toponymie concerne les noms de lieux, on distingue deux types de noms : les noms à position et les noms à disposition.
Les noms à position, concernent les éléments ponctuels sur la carte, tels les noms de villes, de marabouts, de sources, Ils apparaissent en écriture droite
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et sont disposés horizontalement sur la carte. Ils sont placés la plus près possible de l objet à désigner, et de préférence à droite dans le sens de la lecture dans le cas de caractère latins.
Les noms à disposition, concernant les éléments linéaires et surfaciques et de la carte (jbels, oueds, henchirs, ). Ils sont matérialisés par des écritures italiques. Les noms à disposition linaires épousent le tracé de la ligne à laquelle ils se rapportent. Les noms à disposition caractérisant une surface suivent l orientation et l extension du phénomène
4. L HABILLAGE DE LA CARTE
On appelle habillage l ensemble des indications et des figurations extérieurs à la surface cartographiée, c est-à-dire apparaissant dans la marge de la carte et destinées à donner des renseignements permettant de définir des paramètres techniques (projet, nord, ), à situer la zone cartographiée dans un ensemble plus vaste (titre et tableau d assemblage) et à préciser les représentations graphiques (légende).
Le titre : il correspond au nom de l agglomération principale ou du relief le plus important figurant sur la carte.
Ex. Bizerte, Zarzis, Makhtar, Jbel Serj, Jbel Bargou, Jbel Fkirine,
Le titre est suivi du numéro d ordre ; ce chiffre indique la coupure fait partie d un ensemble plus vaste.
Les noms des feuilles voisines sont spécifiés soit dans les marges de la coupure, voire dans les coins, ou sous forme d un tableau. On peut se faire une idée de l ensemble des coupures aux différentes échelles en consultant les tableaux d assemblage.
Les coordonnées : deux types de coordonnées ; les coordonnées géographiques et les coordonnées rectangulaires.
Les coordonnées géographiques : sont des coordonnées universelles et correspondent aux en longitude et latitude. La latitude exprime l angle que fait la verticale d un lieu avec le plan de l équateur ; la latitude, notée à l ouest et à l est de la coupure, est graduée en grades et centigrades à l intérieur du cadre et en degrés et minutes sexagésimales à l extérieur de cadre. La longitude est l angle dièdre que fait le plan méridien d un lieu avec un autre plan pris pour origine. La longitude est exprimée en degrés et minutes sexagésimales par rapport au méridien de Greenwich (méridien international) et en grades et centigrades par rapport au méridien de paris. Les longitudes se lisent sur les bords nord et sud de la carte. Les méridiens et les parallèles sont tracés de 10 en 10 centigrades sur les coupures au 1/50 000 et de 5 en centigrades sur celles au 1/25 000.
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Les coordonnées rectangulaires : correspondent à des divisions qui se situent sur le bord de la carte (elles traversent parfois la carte). Il s agit du carroyage kilométrique Lambert, qui fait un léger angle avec le système des méridiens et des parallèles.
La direction du Nord : elle correspond à la direction des méridiens. Mais le bord des cartes porte des indications supplémentaires, puisqu il existe trois Nord.
- Le Nord astronomique ou géographique (NG), dont la direction est située dans le plan du méridien ;
- Le Nord de la carte, ou Nord des coordonnées Lambert (NL). L angle que fait la direction du Nord avec les méridiens est appelé "angle de convergence de méridien" (y).
- Le Nord magnétique, dont la déclinaison, c est-à-dire l angle de la direction de l aiguille aimantée avec le Nord géographique, est variable dans le temps. On en précise la date, ainsi que l angle de déclinaison.
Les dates de levés de terrain, de mises à jour, de complètement ou de révision. Ces dates sont importantes, puisque les informations figurant sur la carte topographique correspondent à l état de la situation à l instant "t". lorsque les levés ont été effectués manuellement, on précise le nom des topographes. La mention "levés photogrammétriques" signifie que les cartes topographiques ont été élaborées à partir de photographies aériennes.
Les informations techniques concernant l ellipsoïde de référence (en général l ellipsoïde de Clarke), la projection retenue (pour la Tunisie, projection conforme conique de Lambert, projection UTM selon les cartes), ainsi que le point fondamental.
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COURS 3 :
L ECHELLE
L échelle est le rapport de réduction entre une longueur mesurée sur la carte et la mesure réelle effectuée sur le terrain.
L échelle est l un des éléments indispensables de l habillage de la carte. Elle doit systématiquement être présente. Rien ne justifie son oubli, quel que soit le type de carte réalisée. Elle est le lien direct entre l espace réel est sa représentation graphique. Elle permet d évaluer les dimensions du territoire cartographié et peut se présenter sous forme numérique ou graphique.
L échelle numérique s exprime sous la forme d une fraction dont le numérateur est une unité de longueur portée sur la carte et le dénominateur, la distance correspondante sur le terrain.
Rapport 1/25 000 => 1 cm sur la carte = 25 000 cm sur le terrain soit 250 mètres ;
Rapport 1/14 900 000 => 1 cm sur la carte = 14 900 000 cm sur le terrain soit 149 km. L objet sur le terrain est de 14 900 000 fois plus grand que sur la carte.
On peut retenir que :
- 1/5 000 => 1 cm sur la carte représente 50 m sur le terrain. - 1/10 000 => 1 cm sur la carte représente 100 m sur le terrain. - 1/25 000 => 1 cm sur la carte représente 250 m sur le terrain. - 1/50 000 => 1 cm sur la carte représente 500 m sur le terrain. - 1/100 000 => 1 cm sur la carte représente 1 km sur le terrain. - 1/1 000 000 => 1 cm sur la carte représente 10 km sur le terrain. - 1/2 500 000 => 1 cm sur la carte représente 25 km sur le terrain, etc.
L échelle graphique est un dessin composé d une droite horizontale divisée en segments égaux. Chaque segment est délimité par un trait vertical appelé la barbule. Les chiffres sont centrés à l aplomb des barbules et doivent être des chiffres ronds. L échelle graphique est plus rapidement lisible et mémorisable.
1. Réduction et agrandissement de l échelle :
L échelle numérique d une carte agrandie ou réduite doit être recalculée. L échelle graphique suit les réductions ou agrandissements subis par la carte.
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A une réduction de faible importance correspond une grande échelle (la valeur du quotient est élevée) ;
A une réduction forte correspond une petite échelle (le quotient est relativement petit) ;
Une échelle de 1/25 000 est plus grande qu une échelle de 1/ 500 000 ;
Une petite fraction ou petit rapport est une petite échelle et correspond à un grand dénominateur (1 500 000) ;
Une grande fraction ou grand rapport est une grande échelle et correspond à un petit dénominateur (1/2 500) ;
Passer d une grande échelle à une petite échelle nécessite toujours une simplifications du phénomène à représenter et une généralisation des objets géographiques.
2. Classification des échelles :
De manière traditionnelle, les échelles peuvent se classer de la façon suivante :
Les plans : échelle inférieure à 1/5 000 ;
Les cartes à grandes échelle : entre 1/5 000 et 1/50 000 ;
Les cartes à échelles moyenne : entre 1/50 000 et 1/500 000 ;
Les cartes à petites échelles : entre 1/500 000 et 1/1 000 000) (cartes des régions ou des Etats) ;
Les cartes à très petite échelle : au-delà du 1/1 000 000 (cartes des continents ou de la terre entière).
Les cartes topographiques sont des cartes à grandes et moyenne échelle : elles représentent une petite surface mais avec beaucoup de détails.
Les cartes d Atlas sont à petite, voire à très petite échelle : elles couvrent une plus grande surface mais présentent moins de détails.
Un planisphère représente l ensemble du monde, une mappemonde présente deux projections séparées correspondant aux deux hémisphères : ce sont des cartes à très petite échelle.
L échelle d une carte n est exacte qu à proximité du centre de projection. Cette contrainte influence peu les cartes à grandes échelle mais pose un réel problème pour l évaluation des distances sur une carte à petite échelle.
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Introduction : qu est
Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
normalement en deux dimensions, il
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
plan. Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
représentation plane.
Il
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système
angulaires (degrés, grades), observé à partir
ou sur le réseau de
exprimé dans un système
1. Les notions de base d
Surface de projection (S):
s effectue la projection. Elle peut être
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: Cartographie, 1
LES PROJECTIONS CART
Introduction : qu est
Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
normalement en deux dimensions, il
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
représentation plane.
Il s agit de reporter un point
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système
angulaires (degrés, grades), observé à partir
ou sur le réseau de
exprimé dans un système
. Les notions de base d
Surface de projection (S):
s effectue la projection. Elle peut être
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
LES PROJECTIONS CART
Introduction : qu est-ce que c
Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
normalement en deux dimensions, il
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
représentation plane.
de reporter un point
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système
angulaires (degrés, grades), observé à partir
coordonnées du plan, déterminé par ses coordonnées rectangulaires (x,y) et
exprimé dans un système d unités
. Les notions de base d une projection
Surface de projection (S):
s effectue la projection. Elle peut être
année licence appliquée
COURS 4
LES PROJECTIONS CART
ce que c est une projection cartographique ?
Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
normalement en deux dimensions, il faut convertir des endroits qui se trouvent sur une surface
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
de reporter un point A situé dans le réseau de coordonnées de l ellipsoïde
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système
angulaires (degrés, grades), observé à partir
coordonnées du plan, déterminé par ses coordonnées rectangulaires (x,y) et
d unités
de longueur dont l
une projection
Surface de projection (S): on appelle surface de projection (S), la surface sur
s effectue la projection. Elle peut être
année licence appliquée et licence fondamentale
COURS 4 :
LES PROJECTIONS CART
est une projection cartographique ?
Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
faut convertir des endroits qui se trouvent sur une surface
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
situé dans le réseau de coordonnées de l ellipsoïde
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système
angulaires (degrés, grades), observé à partir d un point
coordonnées du plan, déterminé par ses coordonnées rectangulaires (x,y) et
de longueur dont l
on appelle surface de projection (S), la surface sur
s effectue la projection. Elle peut être un plan, un cylindre ou un cône (fig. 2).
et licence fondamentale
:
LES PROJECTIONS CARTOGRAPHIQUES
est une projection cartographique ?
Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
faut convertir des endroits qui se trouvent sur une surface
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
situé dans le réseau de coordonnées de l ellipsoïde
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système
point O, en un point
coordonnées du plan, déterminé par ses coordonnées rectangulaires (x,y) et
de longueur dont l unité standard est le mètre (Fig.1).
on appelle surface de projection (S), la surface sur
un plan, un cylindre ou un cône (fig. 2).
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
OGRAPHIQUES
est une projection cartographique ?
Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
faut convertir des endroits qui se trouvent sur une surface
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
situé dans le réseau de coordonnées de l ellipsoïde
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système
, en un point B situé sur les canevas
coordonnées du plan, déterminé par ses coordonnées rectangulaires (x,y) et
unité standard est le mètre (Fig.1).
on appelle surface de projection (S), la surface sur
un plan, un cylindre ou un cône (fig. 2).
en géographie (FSHST)
OGRAPHIQUES
Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
faut convertir des endroits qui se trouvent sur une surface
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
situé dans le réseau de coordonnées de l ellipsoïde
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système
situé sur les canevas
coordonnées du plan, déterminé par ses coordonnées rectangulaires (x,y) et
unité standard est le mètre (Fig.1).
on appelle surface de projection (S), la surface sur
un plan, un cylindre ou un cône (fig. 2).
en géographie (FSHST)
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Étant donné que la Terre est ronde (objet à trois dimensions) et qu une carte se présente
faut convertir des endroits qui se trouvent sur une surface
courbe jusque sur une surface plane. Pour ce faire, il faudra une formule mathématique, il est
nécessaire d établir une correspondance convenable entre les points de l ellipsoïde et ceux du
Ce système de correspondance s appelle système de projection ou système de
situé dans le réseau de coordonnées de l ellipsoïde
déterminée par ses coordonnées géographiques (L, M) et exprimé dans un système d unités
situé sur les canevas
coordonnées du plan, déterminé par ses coordonnées rectangulaires (x,y) et
unité standard est le mètre (Fig.1).
on appelle surface de projection (S), la surface sur laquelle
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Centre de projection :
deux lignes) qui figu
projeté.
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
une chose courbe sur un plan, entraîne des
donc conforme à la réalité. Elle engendre sur le plan deux types de déformations :
* celle des
* celle des
formes, des
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
altérations croissent avec l étendue de la portion de la terre qu il
2. Classification des projections cartographiques
2.1. En fonction de
classe les projections en trois types
2.1.1. Les projections conformes :
parallèles
de longitude
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
aux angles mesurés sur la carte.
s éloigne du centre de
Module
: Cartographie, 1
Centre de projection :
deux lignes) qui figu
projeté.
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
une chose courbe sur un plan, entraîne des
donc conforme à la réalité. Elle engendre sur le plan deux types de déformations :
* celle des longueurs
* celle des angles, le pas
formes, des surfaces
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
altérations croissent avec l étendue de la portion de la terre qu il
2. Classification des projections cartographiques
2.1. En fonction de
classe les projections en trois types
2.1.1. Les projections conformes :
parallèles (lignes de
longitude), par des lignes droites, également espacées. Les projections conformes
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
aux angles mesurés sur la carte.
éloigne du centre de
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
Centre de projection :
deux lignes) qui figurent sur le plan de la surface de projection avec l ellipsoïde
Fig.2
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
une chose courbe sur un plan, entraîne des
donc conforme à la réalité. Elle engendre sur le plan deux types de déformations :
longueurs, qui entraine une variation de l'échelle de la carte d'un point à un autre
, le passage de la sphère au plan entraînant une déformation des angles, des
surfaces et des directions. Selon le système choisi, la projection permet de
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
altérations croissent avec l étendue de la portion de la terre qu il
2. Classification des projections cartographiques
2.1. En fonction de la nature des altérations:
classe les projections en trois types
2.1.1. Les projections conformes :
(lignes de latitude), sont représentés par de
), par des lignes droites, également espacées. Les projections conformes
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
aux angles mesurés sur la carte.
éloigne du centre de projection
année licence appliquée
Centre de projection : on appelle centre de projection (c), le point ou la ligne (parfois
rent sur le plan de la surface de projection avec l ellipsoïde
Fig.2
: Surface et centre de projection
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
une chose courbe sur un plan, entraîne des
donc conforme à la réalité. Elle engendre sur le plan deux types de déformations :
, qui entraine une variation de l'échelle de la carte d'un point à un autre
sage de la sphère au plan entraînant une déformation des angles, des
et des directions. Selon le système choisi, la projection permet de
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
altérations croissent avec l étendue de la portion de la terre qu il
2. Classification des projections cartographiques
la nature des altérations:
classe les projections en trois types
2.1.1. Les projections conformes : la Terre projetée sur un cône tangent ou sécant. Les
), sont représentés par de
), par des lignes droites, également espacées. Les projections conformes
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
aux angles mesurés sur la carte. L altération des surfaces s ampl
projection (Exemple
année licence appliquée et licence fondamentale
on appelle centre de projection (c), le point ou la ligne (parfois
rent sur le plan de la surface de projection avec l ellipsoïde
: Surface et centre de projection
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
une chose courbe sur un plan, entraîne des déformations. Aucune représentation en plan n'est
donc conforme à la réalité. Elle engendre sur le plan deux types de déformations :
, qui entraine une variation de l'échelle de la carte d'un point à un autre
sage de la sphère au plan entraînant une déformation des angles, des
et des directions. Selon le système choisi, la projection permet de
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
altérations croissent avec l étendue de la portion de la terre qu il
2. Classification des projections cartographiques
la nature des altérations: selon les déformations qu elles engendrent, on
la Terre projetée sur un cône tangent ou sécant. Les
), sont représentés par de
), par des lignes droites, également espacées. Les projections conformes
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
L altération des surfaces s ampl
(Exemple
: la projection conique, fig. 3).
et licence fondamentale
on appelle centre de projection (c), le point ou la ligne (parfois
rent sur le plan de la surface de projection avec l ellipsoïde
: Surface et centre de projection
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
déformations. Aucune représentation en plan n'est
donc conforme à la réalité. Elle engendre sur le plan deux types de déformations :
, qui entraine une variation de l'échelle de la carte d'un point à un autre
sage de la sphère au plan entraînant une déformation des angles, des
et des directions. Selon le système choisi, la projection permet de
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
altérations croissent avec l étendue de la portion de la terre qu il
selon les déformations qu elles engendrent, on
la Terre projetée sur un cône tangent ou sécant. Les
), sont représentés par des arcs de cercles, et les
), par des lignes droites, également espacées. Les projections conformes
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
L altération des surfaces s ampl
: la projection conique, fig. 3).
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
on appelle centre de projection (c), le point ou la ligne (parfois
rent sur le plan de la surface de projection avec l ellipsoïde
: Surface et centre de projection
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
déformations. Aucune représentation en plan n'est
donc conforme à la réalité. Elle engendre sur le plan deux types de déformations :
, qui entraine une variation de l'échelle de la carte d'un point à un autre
sage de la sphère au plan entraînant une déformation des angles, des
et des directions. Selon le système choisi, la projection permet de
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
altérations croissent avec l étendue de la portion de la terre qu il s agit de représenter.
selon les déformations qu elles engendrent, on
la Terre projetée sur un cône tangent ou sécant. Les
s arcs de cercles, et les
), par des lignes droites, également espacées. Les projections conformes
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
L altération des surfaces s amplifie au fur et à mesure qu on
: la projection conique, fig. 3).
en géographie (FSHST)
on appelle centre de projection (c), le point ou la ligne (parfois
rent sur le plan de la surface de projection avec l ellipsoïde
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
déformations. Aucune représentation en plan n'est
donc conforme à la réalité. Elle engendre sur le plan deux types de déformations :
, qui entraine une variation de l'échelle de la carte d'un point à un autre
sage de la sphère au plan entraînant une déformation des angles, des
et des directions. Selon le système choisi, la projection permet de
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
de représenter.
selon les déformations qu elles engendrent, on
la Terre projetée sur un cône tangent ou sécant. Les
s arcs de cercles, et les méridiens
), par des lignes droites, également espacées. Les projections conformes
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
ifie au fur et à mesure qu on
en géographie (FSHST)
14
on appelle centre de projection (c), le point ou la ligne (parfois
rent sur le plan de la surface de projection avec l ellipsoïde
L opération de projection ne peut se faire sans difficultés. En effet, le fait de projeter
déformations. Aucune représentation en plan n'est
, qui entraine une variation de l'échelle de la carte d'un point à un autre
sage de la sphère au plan entraînant une déformation des angles, des
et des directions. Selon le système choisi, la projection permet de
conserver une des propriétés de la surface projetée, mais c est au détriment des autres. Ces
selon les déformations qu elles engendrent, on
la Terre projetée sur un cône tangent ou sécant. Les
méridiens (lignes
), par des lignes droites, également espacées. Les projections conformes
conservent les angles (et donc les formes). Les angles mesurés sur le terrain sont identiques
ifie au fur et à mesure qu on
14
Module
2.1.2. Les projections équivalentes : (
où l aire
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
point d origine
2.1.3. Les projections aphylactiques ou quelconques :
de projections qui ne sont ni conformes ni équivalentes
pour lesquelles l écartement des paral
2..2 En fonction de la surface de projection utilisée :
2.2.1. Les projections azimutales :
l ellipsoïde à partir
-
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
projection.
- Si le poin
centrale.
- Si le point de vue O est
projection est dite
2.2.1. Les projections coniques
La surface de référence se présente sous forme d un
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
centres de projection (fig.2 et 3).
Module
: Cartographie, 1
Fig. 3
2.1.2. Les projections équivalentes : (
l aire
de tout ce qui est cartographié se conforme à la réalité terrestre. Ce genre de carte
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
d origine. Ex : projection d Albers
2.1.3. Les projections aphylactiques ou quelconques :
de projections qui ne sont ni conformes ni équivalentes
pour lesquelles l écartement des paral
2..2 En fonction de la surface de projection utilisée :
2.2.1. Les projections azimutales :
l ellipsoïde à partir
Si le plan est tangent au niveau
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
projection.
Si le point de vue O est au centre de la terre, la projection est dite gnomonique ou
centrale.
Si le point de vue O est
projection est dite
2.2.1. Les projections coniques
La surface de référence se présente sous forme d un
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
centres de projection (fig.2 et 3).
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
Fig. 3
: La projection conique (conique conforme de Lambert)
2.1.2. Les projections équivalentes : (
de tout ce qui est cartographié se conforme à la réalité terrestre. Ce genre de carte
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
. Ex : projection d Albers
2.1.3. Les projections aphylactiques ou quelconques :
de projections qui ne sont ni conformes ni équivalentes
pour lesquelles l écartement des paral
2..2 En fonction de la surface de projection utilisée :
2.2.1. Les projections azimutales :
l ellipsoïde à partir d une vue (O) en un point (c) qui est le centre de projection.
Si le plan est tangent au niveau
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
t de vue O est au centre de la terre, la projection est dite gnomonique ou
Si le point de vue O est
projection est dite stréographique.
2.2.1. Les projections coniques
La surface de référence se présente sous forme d un
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
centres de projection (fig.2 et 3).
année licence appliquée
: La projection conique (conique conforme de Lambert)
2.1.2. Les projections équivalentes : (qui ne déforment pas les surfaces) il
de tout ce qui est cartographié se conforme à la réalité terrestre. Ce genre de carte
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
. Ex : projection d Albers
2.1.3. Les projections aphylactiques ou quelconques :
de projections qui ne sont ni conformes ni équivalentes
pour lesquelles l écartement des parallèles est constant et partout à
2..2 En fonction de la surface de projection utilisée :
2.2.1. Les projections azimutales : la forme de la surface de projection est un
vue (O) en un point (c) qui est le centre de projection.
Si le plan est tangent au niveau du pôle, on est dans le cas d
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
t de vue O est au centre de la terre, la projection est dite gnomonique ou
Si le point de vue O est à l opposé
stréographique.
2.2.1. Les projections coniques
:
La surface de référence se présente sous forme d un
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
centres de projection (fig.2 et 3).
année licence appliquée et licence fondamentale
: La projection conique (conique conforme de Lambert)
qui ne déforment pas les surfaces) il
de tout ce qui est cartographié se conforme à la réalité terrestre. Ce genre de carte
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
2.1.3. Les projections aphylactiques ou quelconques :
de projections qui ne sont ni conformes ni équivalentes
lèles est constant et partout à
2..2 En fonction de la surface de projection utilisée :
la forme de la surface de projection est un
vue (O) en un point (c) qui est le centre de projection.
du pôle, on est dans le cas d
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
t de vue O est au centre de la terre, la projection est dite gnomonique ou
opposé du point de tangence du plan et de l
La surface de référence se présente sous forme d un
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
et licence fondamentale
: La projection conique (conique conforme de Lambert)
qui ne déforment pas les surfaces) il
de tout ce qui est cartographié se conforme à la réalité terrestre. Ce genre de carte
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
2.1.3. Les projections aphylactiques ou quelconques : ce nom à été donné au nombre infini
de projections qui ne sont ni conformes ni équivalentes. Ex :
lèles est constant et partout à
2..2 En fonction de la surface de projection utilisée :
la forme de la surface de projection est un
vue (O) en un point (c) qui est le centre de projection.
du pôle, on est dans le cas d
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
t de vue O est au centre de la terre, la projection est dite gnomonique ou
int de tangence du plan et de l
La surface de référence se présente sous forme d un
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
: La projection conique (conique conforme de Lambert)
qui ne déforment pas les surfaces) il
de tout ce qui est cartographié se conforme à la réalité terrestre. Ce genre de carte
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
ce nom à été donné au nombre infini
. Ex : les projections équidistantes
lèles est constant et partout à l échelle
la forme de la surface de projection est un
vue (O) en un point (c) qui est le centre de projection.
du pôle, on est dans le cas d une projection azimutale
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
t de vue O est au centre de la terre, la projection est dite gnomonique ou
int de tangence du plan et de l
La surface de référence se présente sous forme d un cône tangent ou sécant
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
en géographie (FSHST)
: La projection conique (conique conforme de Lambert)
qui ne déforment pas les surfaces) il s agit d une carte
de tout ce qui est cartographié se conforme à la réalité terrestre. Ce genre de carte
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
ce nom à été donné au nombre infini
les projections équidistantes
l échelle.
la forme de la surface de projection est un plan tangent
vue (O) en un point (c) qui est le centre de projection.
une projection azimutale
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
t de vue O est au centre de la terre, la projection est dite gnomonique ou
int de tangence du plan et de l ellipsoïde, la
cône tangent ou sécant
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
en géographie (FSHST)
15
d une carte
de tout ce qui est cartographié se conforme à la réalité terrestre. Ce genre de carte
produit des distorsions dans les formes et les angles. La distorsion s aggrave en s éloignant du
ce nom à été donné au nombre infini
les projections équidistantes
plan tangent à
une projection azimutale
polaire. La déformation est nulle au point de contact entre le globe et le plan de
t de vue O est au centre de la terre, la projection est dite gnomonique ou
ellipsoïde, la
cône tangent ou sécant à
l ellipsoïde, selon un ou deux parallèles. Ce sont donc ces parallèles qui constituent les
15
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
16
2.2.2. Les projections cylindriques : la surface de projection est un cylindre tangent ou
sécant à l ellipsoïde, selon un ou deux grands cercles. Ce sont alors ces cercles qui constituent
les centres de projection (Fig.2).
3. Choix d un système de projection convenable :
Le choix d un système de projection convenable pour établir une carte est un choix
difficile qui dépond de plusieurs variables:
- Le but de la carte ou l application: lorsqu on veut une carte à petite échelle pour couvrir
une grande surface, il est préférable d utiliser une carte à projection équivalente.
Ex : la projection cylindrique conforme directe de Mercator est utile pour la navigation
maritime et aérienne.
Les projections planes sont utiles pour montrer « les routes par grands cercles » qui
démontrent la distance la plus courte entre deux points sur le globe.
- La forme de la zone à cartographier
- La position de la zone à cartographier sur l ellipsoïde
4. Les représentations planes en usage en Tunisie : les projections en usage en Tunisie
sont :
La projection conique conforme directe de Lambert : elle sert de base à l établissement
des cartes topographique et les carte géologique. Pour éviter les altérations de
distances, on a subdivisé le pays en deux zones ; pour chacune on a adopté un système
bien déterminé : Lambert Nord Tunisie et Lambert Sud Tunisie.
La représentation UTM (Universal Transverse Mercator) : la terre est divisée en
soixante fuseaux de 6° d amplitude et de 3 degré de longitude de part et d autre du
méridien central. La Tunisie est située sur la zone 32N.
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
17
COURS 5 :
LA GENERALISATION CARTOGRAPHIQUE
La généralisation est l opération qui, par sélection, schématisation et harmonisation,
reconstitue sur une carte la réalité de la surface représentée dans ses traits essentiels en
fonction du but de la carte, de son thème, de son échelle et des particularités de la région
cartographiée (Cuenin, 1972).
La généralisation s applique à tous les éléments de la carte : à la planimétrie, aux formes
du relief, aux représentations thématiques et aux écritures.
La généralisation est donc un processus de synthèse d'information. On peut comparer ce
processus avec celui d'un résumé de texte. Pour bien généraliser des données géographiques,
il faut également:
- réduire la quantité d'information,
- mettre en valeur l'information la plus importante,
- rester fidèle à l'information initiale,
- et dans le cas d'une carte, respecter les règles de sémiologie qui permettent une bonne
lecture de l'information (Ruas, 2004).
1. Les opérations de la généralisation :
La généralisation combine simultanément les opérations de sélection, de schématisation
et d harmonisation en fonction du type de la carte (carte topographique ou thématique), du but
de la carte (illustration, carte scientifique, carte didactique et l échelle de la publication
(format de la carte).
1.1 La sélection : c est le choix parmi les détails qui devront ou non être conservés dans le
but de rendre la carte lisible.
La sélection est une opération un peu délicate. Elle ne peut se faire au hasard ni même
mathématiquement, mais elle doit être adaptée au sujet et à l échelle de la carte. La sélection
est de deux ordres :
Elle est d ordre qualitatif si le choix doit porter sur les éléments qui vont servir
comme repères permettant de localiser les objets principaux (exemple : garder le
réseau hydrographique sur une carte représentant la population des villes car il est un
facteur de repérage important.
Elle d ordre quantitatif si on décide de ne retenir que les cours d eau principaux de
l ensemble du réseau hydrographique.
Module
1.2. La schématisation :
réduit pas
deux ordres :
La schématisation structurale
l
objets
accentuer les détails
tout en respectant la structure
La schématisation conceptuelle
d implantation
conceptuelle
(Fig. 2).
Module
: Cartographie, 1
1.2. La schématisation :
réduit pas l information
deux ordres :
La schématisation structurale
l implantation, elle consiste à éliminer les détails nuisibles et inutiles, de réunir les
objets
semblables trop petits pour être représentés séparément en un même lieu,
accentuer les détails
tout en respectant la structure
La schématisation conceptuelle
d implantation
conceptuelle
(Fig. 2).
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
1.2. La schématisation : on parle aussi de caricature
l information
mais seulement la précision de localisation des objets. Elle est de
La schématisation structurale
implantation, elle consiste à éliminer les détails nuisibles et inutiles, de réunir les
semblables trop petits pour être représentés séparément en un même lieu,
accentuer les détails
remarquables utiles que la réd
tout en respectant la structure
La schématisation conceptuelle
d implantation. Lorsque l
conceptuelle
ce qui traduit par un changement du mode de représentation graphique
année licence appliquée
on parle aussi de caricature
mais seulement la précision de localisation des objets. Elle est de
La schématisation structurale
implantation, elle consiste à éliminer les détails nuisibles et inutiles, de réunir les
semblables trop petits pour être représentés séparément en un même lieu,
remarquables utiles que la réd
tout en respectant la structure
d ensemble (Fig1).
La schématisation conceptuelle
. Lorsque l échelle diminue trop il faut passer à la schématisation
ce qui traduit par un changement du mode de représentation graphique
année licence appliquée et licence fondamentale
on parle aussi de caricature
mais seulement la précision de localisation des objets. Elle est de
La schématisation structurale : c est une
implantation, elle consiste à éliminer les détails nuisibles et inutiles, de réunir les
semblables trop petits pour être représentés séparément en un même lieu,
remarquables utiles que la réd
ensemble (Fig1).
La schématisation conceptuelle : c est une simplification avec
échelle diminue trop il faut passer à la schématisation
ce qui traduit par un changement du mode de représentation graphique
et licence fondamentale
on parle aussi de caricature, c est opération de simplification, On ne
mais seulement la précision de localisation des objets. Elle est de
est une simplification tout en conservant
implantation, elle consiste à éliminer les détails nuisibles et inutiles, de réunir les
semblables trop petits pour être représentés séparément en un même lieu,
remarquables utiles que la réduction risque de faire disparaître
ensemble (Fig1).
est une simplification avec
échelle diminue trop il faut passer à la schématisation
ce qui traduit par un changement du mode de représentation graphique
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
opération de simplification, On ne
mais seulement la précision de localisation des objets. Elle est de
simplification tout en conservant
implantation, elle consiste à éliminer les détails nuisibles et inutiles, de réunir les
semblables trop petits pour être représentés séparément en un même lieu,
uction risque de faire disparaître
est une simplification avec
échelle diminue trop il faut passer à la schématisation
ce qui traduit par un changement du mode de représentation graphique
en géographie (FSHST)
opération de simplification, On ne
mais seulement la précision de localisation des objets. Elle est de
simplification tout en conservant
implantation, elle consiste à éliminer les détails nuisibles et inutiles, de réunir les
semblables trop petits pour être représentés séparément en un même lieu,
uction risque de faire disparaître
est une simplification avec changement
échelle diminue trop il faut passer à la schématisation
ce qui traduit par un changement du mode de représentation graphique
en géographie (FSHST)
18
opération de simplification, On ne
mais seulement la précision de localisation des objets. Elle est de
simplification tout en conservant
implantation, elle consiste à éliminer les détails nuisibles et inutiles, de réunir les
semblables trop petits pour être représentés séparément en un même lieu,
uction risque de faire disparaître
changement
échelle diminue trop il faut passer à la schématisation
ce qui traduit par un changement du mode de représentation graphique
18
Module
1.3. L harmonisation
de simplification et le choix du mode d implantation (symbolisation) tout en prés
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
tangentes, formes On essaie de gommer les imprécisions.
2. Sélec
L élaboration
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
d éléments de repérage (tirés
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
doivent être parfaitement adaptés à
carte).
Le fond de carte est u
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
exigée par la carte.
Module
: Cartographie, 1
L harmonisation
de simplification et le choix du mode d implantation (symbolisation) tout en prés
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
tangentes, formes On essaie de gommer les imprécisions.
2. Sélection d un fond de carte
L élaboration
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
d éléments de repérage (tirés
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
doivent être parfaitement adaptés à
Le fond de carte est u
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
exigée par la carte.
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
L harmonisation
: l harmonisation à pour but de garantir un équilibre entre les besoins
de simplification et le choix du mode d implantation (symbolisation) tout en prés
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
tangentes, formes On essaie de gommer les imprécisions.
fond de carte
L élaboration d un fond de carte est le premier travail d un géographe abordant le
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
d éléments de repérage (tirés
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
doivent être parfaitement adaptés à
Le fond de carte est un support
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
année licence appliquée
l harmonisation à pour but de garantir un équilibre entre les besoins
de simplification et le choix du mode d implantation (symbolisation) tout en prés
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
tangentes, formes On essaie de gommer les imprécisions.
fond de carte
fond de carte est le premier travail d un géographe abordant le
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
d éléments de repérage (tirés d une carte topographique) t
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
doivent être parfaitement adaptés à l échelle
n support d information
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
année licence appliquée et licence fondamentale
l harmonisation à pour but de garantir un équilibre entre les besoins
de simplification et le choix du mode d implantation (symbolisation) tout en prés
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
tangentes, formes On essaie de gommer les imprécisions.
fond de carte est le premier travail d un géographe abordant le
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
carte topographique) t
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
l échelle
et au sujet de la représentation cartographique (la
d information
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
et licence fondamentale
l harmonisation à pour but de garantir un équilibre entre les besoins
de simplification et le choix du mode d implantation (symbolisation) tout en prés
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
tangentes, formes On essaie de gommer les imprécisions.
fond de carte est le premier travail d un géographe abordant le
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
carte topographique) tels que le réseau hydrographique,
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
et au sujet de la représentation cartographique (la
d information
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
l harmonisation à pour but de garantir un équilibre entre les besoins
de simplification et le choix du mode d implantation (symbolisation) tout en prés
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
fond de carte est le premier travail d un géographe abordant le
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
els que le réseau hydrographique,
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
et au sujet de la représentation cartographique (la
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
en géographie (FSHST)
l harmonisation à pour but de garantir un équilibre entre les besoins
de simplification et le choix du mode d implantation (symbolisation) tout en préservant les
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
fond de carte est le premier travail d un géographe abordant le
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
els que le réseau hydrographique,
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
et au sujet de la représentation cartographique (la
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
en géographie (FSHST)
19
l harmonisation à pour but de garantir un équilibre entre les besoins
ervant les
relations spéciales qui existent entre les éléments de la carte. Lors d une opération
d harmonisation, on maintient les positions, relations et rapports de distance, aires, angles,
fond de carte est le premier travail d un géographe abordant le
traitement d une information localisable. Ceci se traduit par un choix d un certain nombre
els que le réseau hydrographique,
les limites administratives, les lieux habités, les voies de communication. Mais ces éléments
et au sujet de la représentation cartographique (la
Lors du choix d un fond de carte, il faut vérifier que l échelle est bien précisée et que les
limites portées correspondent bien au découpage administratif et politique en vigueur à la date
19
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
20
Conclusion
La généralisation est un processus:
- Complexe
- Difficile à formaliser
- Important mais trop souvent négligé
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
21
COURS 6 :
INITIATION A LA CARTOGRAPHIE THEMATIQUE
Définition :
La cartographie thématique est une représentation conventionnelle, sur un fond repère
(généralement topographique), des phénomènes géographiques qualitatifs ou quantitatifs
concrets (l occupation du sol) ou abstraits (la migration, l exode rural) localisable dans
l espace et dans le temps et de leurs corrélations. C est donc une transmission d un message
lisible, clair et fiable.
La carte thématique est une carte qui représente une variable ou un ensemble limité de
variables (thème(s)).
- Exemples : le nombre d habitants, la densité de population, le taux de chômage, les arrivées
touristiques internationales,
Deux grandes catégories :
Les cartes représentant les caractéristiques des lieux ou de leurs habitants.
Les cartes représentant les flux ou les réseaux entre les lieux.
1. Classification des cartes thématiques selon leurs thèmes :
Parmi les cartes thématiques, on peut effectuer un classement par thèmes, par exemple des
cartes :
Physiques : Géophysique, Géologique, Géomorphologique, Pédologique,
Hydrologique,
Climatologique, Météorologique.
Bio-géographiques : Phytogéologique, Zoologique, Écologique.
Géographie humaine : Démographique, Sociologique, Politique, Administrative,
Historique,
Culturelle.
Économique : Agricole, Industrielle, Transport, Commerce.
2. Classification des cartes thématiques selon la nature de l information représentée :
On distinguera ainsi deux grands types de cartes produites par les géographes : les cartes
quantitatives, qui permettent l analyser de données chiffrées, et les cartes conceptuelles
(qualitatives) qui permettent d exprimer graphiquement des idées complexes.
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
22
La carte quantitative consiste à attribuer une valeur, absolue ou relative, à un espace :
une surface (un pays, une région), une ligne (flux de marchandises ou de passagers), ou un
point (une ville, un aéroport). Ce type de carte à un rôle similaire à celui d un tableau dans la
3. Classification des cartes selon le mode d expression
On peut définir trois types de cartes, suivant le degré de lecture choisi pour transmettre
l information, qui correspondent à trois modes d expression.
3.1. Carte d inventaire (ou descriptive) : le lecteur utilise la carte comme une simple banque
de données, elle sert de mémoire artificielle permettant d extraire des informations (Ex :
Qu y-a-t-il en tel point ? Les cartes d inventaires permettent de montrer avec précision la
localisation des phénomènes.
3.2. Carte de traitement (ou d analyse) : Ce type de carte permet à l utilisateur de traiter
l information, c est-à-dire faire des comparaisons, créer des groupements homogènes,
quantifier certains groupes, découvrir des relations spatiales, grâce au travail de traitement
préalable réalisé par le cartographe lors de l élaboration de la carte. Les cartes d analyses
cherchent à visualiser la répartition spatiale des phénomènes ou encore les cartes statiques où
le phénomène est représenté à un moment donné et les cartes dynamiques qui sont la
traduction d un mouvement dans le temps et/ou dans l espace.
3.3. Carte de synthèse ou typologique: lorsqu on dispose de plusieurs variables
géographiques avec des implantations différentes (ponctuelle, linéaire et zonale) à représenter
simultanément sur une même carte, il convient de choisir une représentation de synthèse (ou
carte de synthèse). Les cartes de synthèse (croquis de synthèse) permettent de superposer
différents thèmes.
Module
3.4. Cartes modèles :
perçus (cartes mentales) ou encore celle des modèles (chorématique).
Module
: Cartographie, 1
3.4. Cartes modèles :
perçus (cartes mentales) ou encore celle des modèles (chorématique).
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
3.4. Cartes modèles : ces cartes se caractérisent par la représentation des espaces vécus ou
perçus (cartes mentales) ou encore celle des modèles (chorématique).
Fig. 2 : Cartes modèle (
année licence appliquée
ces cartes se caractérisent par la représentation des espaces vécus ou
perçus (cartes mentales) ou encore celle des modèles (chorématique).
Cartes modèle (
année licence appliquée et licence fondamentale
ces cartes se caractérisent par la représentation des espaces vécus ou
perçus (cartes mentales) ou encore celle des modèles (chorématique).
Cartes modèle (source : Nations Unies, 2001)
et licence fondamentale
ces cartes se caractérisent par la représentation des espaces vécus ou
perçus (cartes mentales) ou encore celle des modèles (chorématique).
Nations Unies, 2001)
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
ces cartes se caractérisent par la représentation des espaces vécus ou
perçus (cartes mentales) ou encore celle des modèles (chorématique).
Nations Unies, 2001)
en géographie (FSHST)
ces cartes se caractérisent par la représentation des espaces vécus ou
en géographie (FSHST)
23
ces cartes se caractérisent par la représentation des espaces vécus ou
23
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
24
COURS 7 :
LES VARIABLES VISUELLES ET LA SEMIOLOGIE GRAPHIQUE
Introduction :
Tout l art de la cartographie thématique est dans l expression de ce qui doit « sauter au
yeux ». Cette expression se fait par l intermédiaire de ce qu on peut appeler "figuration
cartographique". Cette dernière est définit comme les moyens et les méthodes de traduction
graphique des phénomènes à représenter sur une carte. C est la représentation graphique des
phénomènes ou simplement des données sur la carte. Jacques Bertin parle de "sémiologie
graphique" (dictionnaire du langage graphique visuel).
1. Définitions :
Sémiologie graphique : défini par Jacques Bertin (1967), « la sémiologie graphique est un
ensemble des règles permettant l utilisation d un système graphique de signes pour la
transmission d une information ». On parle de langage graphique ou cartographique. Ce
langage cartographique se compose d une combinaison de signes élémentaires pour former
des figurés en fonction de six variables visuelles. Les signes graphiques élémentaires sont le
point, le trait et la tâche.
La sémiologie graphique, peut être définie aussi comme étant l étude des signes et de
leur signification, est un langage destiné à transmettre une information correcte et d aboutir à
une image cartographique facilement accessible au lecteur (facilité la communication) à l aide
d outils graphiques appelés variables visuelles.
On distingue six variables visuelles différentes : la forme (shape), la taille (size), la
couleur (color), la valeur (value), l orientation (orientation), le grain (grain). En plus de
ces six variables visuelles, qui expriment en troisièmes dimension les caractéristiques d un
objet ou d un phénomène, on distingue deux autres variables visuelles qui sont les deux
composantes de localisation appelés aussi composantes géographiques ou variables de
position (x et y).
2. Les modes d implantation des variables visuelles :
Pour localiser sur un plan un phénomène déterminé en « x » et en « y », le cartographe
dessine à l endroit convenable une tache visible. Sur la carte la tache occupe une superficie
plus ou moins étendue et peut prendre la forme de trois figures élémentaires : le point, la ligne
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
25
et la zone. C est ce qu on appelle "mode d implantation" de la tache sur le plan.
L implantation c est donc la localisation des éléments graphiques dans le plan de la carte,
c est la manière d appliquer un figuré sur la carte.
2.1. L implantation ponctuelle
:
Une donnée peut être représentée par une surface aussi petite que possible, appelée
point, mise en place sur une position bien définie (exemples : puits, villes, villages, lacs-
ill.n°1). Un point est un lieu du plan, géométriquement sans surface. Son centre a une position
parfaitement définie qui n a aucune signification de surface. Ce point est donc la
représentation de coordonnées (x ; y) dans un repère donné.
ill. n°1 : Typologie des lacs dans le delta de Mejerda (carte de répartition des lacs collinaires au
1/500000, réalisée par DEROUICHE M.C., 2004).
2.2. L implantation linéaire :
On parle d implantation linéaire, lorsqu une donnée est représentée par une ligne qui est
un figuré sans surface mais avec une longueur (exemples : oueds, canaux, chemins de fer).
Ces segments changeront d épaisseur et/ou de couleur en fonction de l information que l on
souhaite visualiser.
Module
2.3. L implantation zonale
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (impla
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
surface correspondante sur la terre, dans le rapport de l échelle.
Exemple
Module
: Cartographie, 1
2.3. L implantation zonale
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (impla
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
surface correspondante sur la terre, dans le rapport de l échelle.
Exemple
: Densité de la population dans le delta de Mejerda (ill. n°2)
ill. n°2
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
2.3. L implantation zonale
:
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (impla
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
surface correspondante sur la terre, dans le rapport de l échelle.
: Densité de la population dans le delta de Mejerda (ill. n°2)
ill. n°2
: Densité de la population dans le delta de Mejerda en 2004 (INS, 2004)
année licence appliquée
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (impla
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
surface correspondante sur la terre, dans le rapport de l échelle.
: Densité de la population dans le delta de Mejerda (ill. n°2)
: Densité de la population dans le delta de Mejerda en 2004 (INS, 2004)
année licence appliquée et licence fondamentale
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (impla
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
surface correspondante sur la terre, dans le rapport de l échelle.
: Densité de la population dans le delta de Mejerda (ill. n°2)
: Densité de la population dans le delta de Mejerda en 2004 (INS, 2004)
et licence fondamentale
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (impla
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
surface correspondante sur la terre, dans le rapport de l échelle.
: Densité de la population dans le delta de Mejerda (ill. n°2)
: Densité de la population dans le delta de Mejerda en 2004 (INS, 2004)
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (impla
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
: Densité de la population dans le delta de Mejerda (ill. n°2)
: Densité de la population dans le delta de Mejerda en 2004 (INS, 2004)
en géographie (FSHST)
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (impla
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
: Densité de la population dans le delta de Mejerda (ill. n°2)
: Densité de la population dans le delta de Mejerda en 2004 (INS, 2004)
en géographie (FSHST)
26
Une donnée peut être représentée sur la carte par une zone ou une plage (implantation
zonale). Elle est donc représentée par une surface réelle, homologue et proportionnelle à la
: Densité de la population dans le delta de Mejerda en 2004 (INS, 2004)
26
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
27
3. Propriétés des variables visuelles ou les niveaux de perception des variables visuelles :
3.1. La perception associative :
C'est-à-dire capable de mettre en évidence les ressemblances ou les similitudes entre
les objets ou les phénomènes cartographiés de natures différentes. Cette propriété permet de
regrouper spontanément en un seul grand ensemble (habitat, végétation, ), les différents
objets d un thème. Elle est dissociative dans le cas contraire. La variable visuelle forme est
essentiellement associative. Ex : selon son caractère ponctuel (petits triangles assimilables à
de petits ronds). Les variables visuelles taille et valeur peuvent être dissociative.
3.2. La perception sélective ou la différenciation :
Propriété qui permet d identifier le caractère original d un élément ou d un groupe
d éléments parmi les autres. Elle met en évidence des différences entre les objets ou les
phénomènes, de manière à isoler parmi d autre ceux qui appartiennent à une même catégorie.
Cette propriété concerne toutes les variables visuelles avec une plus grande efficacité pour la
taille et la valeur.
Ex : taille (Dimension) : les gros et les petits points. Couleur: le vert et le bleu. Valeur : bleu
clair ou bleu foncé. Forme : rond ou carré. Orientation : droit ou penché.
3.2. La perception ordonnée :
La relation d ordre est la faculté de pouvoir appréhender une hiérarchie sans ambiguïté:
une série ordonnée de valeurs relatives (densités de populations) pourra être utilement
représentée par des densités graphiques ordonnées (valeurs de gris du blanc au noir). Cette
propriété concerne la valeur et à moindre degrés la taille.
Je souligne qu en cartographie la couleur n est pas ordonnée. Sur quel critère visuel
pourrait-on dire que le vert précède le bleu et suit le rouge ? Si les longueurs d ondes sont la
référence indispensable en colorimétrie pour définir et classer les couleurs, les longueurs
d ondes n ont aucune correspondance directe avec nos sensations psychosensorielles.
3.2. La perception quantitative :
Si elle permet d établir un rapport numérique ou une pondération entre les catégories
d une même composante (précipitation annuelle, nombre de touristes dans une ville). Seule la
variable visuelle taille qui possède la perception quantitative (elle est souvent utilisée sous
forme de cercles de tailles proportionnelles à des quantités).
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
28
Conclusion :
Pour conclure on peut dire que le système graphique considère huit variables
visuelles qui peuvent s appliquer à trois implantations. Elles possèdent quatre propriétés
permettant de transcrire trois relations entre les données (proportionnalité, ordre et
ressemblance).
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
29
COURS 8 :
COMMENT UTILISER LES VARIABLES VISUELLES : REPRESENTATION DES VARIABLES GEOGRAPHIQUES
NOMINALES ET ORDINALES
Introduction :
Jouer avec les variables visuelles composant une carte est l essence même de
l expression cartographique. Le cartographe doit savoir manipuler ces variables, qui sont le
langage nécessaire au respect des règles fondamentales de la discipline.
On recense six variables visuelles composant une carte thématique : la taille, la forme,
la valeur, la texture, le grain, l orientation. Quatre seulement sont appropriés pour la
représentation des données qualitatives nominales et/ou ordinales : la forme, la couleur,
l orientation et le grain.
Comment faire une carte ?
1. Identification de la variable à représenter :
1.1. Les données qualitatives nominales: c est l ensemble de variable n ayant entre elles
aucun ordre a priori.
Ex : la branche d activité, la production agricole, l occupation de sols, une nomenclature
d'objets, de biens de productions, de pays, etc.
1.2. Les données qualitatives ordinales : Ensemble de variables que l on peut classer par
ordre croissant ou décroissant les périodes géologiques, l'ordre chronologique, etc.
Ex : Petit, moyen, grand
Ex : 1er, 2ème, 3ème (sans qu on ne sache rien de ce qui distingue le 1er du 2ème)
2. Choix des variables visuelles pour représenter les données qualitatives : C est le point
clef : après avoir défini l implantation et la figuration, il faut choisir la variable visuelle.
2.1. Variable visuelle forme : la forme exprime relativement bien l'identité de l'objet à
représenter et donc, par relation, les différences; qu'il s'agisse de pictogrammes (icônes) ou de
formes fondamentales (le carré, le cercle, etc.). En sémiologie graphique, quel que soit
l implantation considérée (ponctuelle, linéaire ou zonale), il y a une infinité de formes qui
peuvent être utilisées et classées en trois groupes:
Les formes géométriques (Fig.1): cercles, carrés, triangles, losanges, rectangles, etc.
Module
Les formes symboliques
aspect
aéroport
Les formes conventionnelles
représenter (exemple :
Pour que l
Le nombre des formes employées soit limité (10 au maximum).
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître e
différencier).
La variable visuelle forme est utilisée pour représenter des informations de
qualitatifs nominaux
trois
graphique
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
exemple des types d
En implantation linéaire, la
natures différentes, routier, hydrographique, de drainage
Module
: Cartographie, 1
Les formes symboliques
aspect
suffit à évoquer le phénomène représenté (par exemple :
aéroport, une
Les formes conventionnelles
représenter (exemple :
Pour que l utilisation de la variable forme soit efficace, il est nécessaire que :
Le nombre des formes employées soit limité (10 au maximum).
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître e
différencier).
La variable visuelle forme est utilisée pour représenter des informations de
qualitatifs nominaux
trois
types d
graphique) et
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
exemple des types d
En implantation linéaire, la
natures différentes, routier, hydrographique, de drainage
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
Les formes symboliques
suffit à évoquer le phénomène représenté (par exemple :
une
bobine
Les formes conventionnelles
représenter (exemple :
utilisation de la variable forme soit efficace, il est nécessaire que :
Le nombre des formes employées soit limité (10 au maximum).
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître e
différencier).
La variable visuelle forme est utilisée pour représenter des informations de
qualitatifs nominaux. Elle est essentiellement
types d implantation suivants (
) et localisation
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
exemple des types d établissement industriels, des sites historiques
En implantation linéaire, la
natures différentes, routier, hydrographique, de drainage
année licence appliquée
Fig.1 : Les types de formes
Les formes symboliques
: le symbole peut être évocateur c'est
suffit à évoquer le phénomène représenté (par exemple :
bobine pour une industrie textile
Les formes conventionnelles
: constituées pa
représenter (exemple : un cercle surmonté d
utilisation de la variable forme soit efficace, il est nécessaire que :
Le nombre des formes employées soit limité (10 au maximum).
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître e
La variable visuelle forme est utilisée pour représenter des informations de
. Elle est essentiellement
implantation suivants (
localisation (notion
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
établissement industriels, des sites historiques
En implantation linéaire, la variation des formes permet de distinguer des réseaux de
natures différentes, routier, hydrographique, de drainage
année licence appliquée et licence fondamentale
: Les types de formes
: le symbole peut être évocateur c'est
suffit à évoquer le phénomène représenté (par exemple :
une industrie textile
: constituées pa
un cercle surmonté d
utilisation de la variable forme soit efficace, il est nécessaire que :
Le nombre des formes employées soit limité (10 au maximum).
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître e
La variable visuelle forme est utilisée pour représenter des informations de
. Elle est essentiellement
implantation suivants (Ne pas confondre :
(notion
géographique
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
établissement industriels, des sites historiques
variation des formes permet de distinguer des réseaux de
natures différentes, routier, hydrographique, de drainage
et licence fondamentale
: Les types de formes
: le symbole peut être évocateur c'est
suffit à évoquer le phénomène représenté (par exemple :
une industrie textile).
: constituées par un schéma très simplifié de l
un cercle surmonté d une croix
utilisation de la variable forme soit efficace, il est nécessaire que :
Le nombre des formes employées soit limité (10 au maximum).
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître e
La variable visuelle forme est utilisée pour représenter des informations de
. Elle est essentiellement associative
Ne pas confondre :
géographique)):
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
établissement industriels, des sites historiques
variation des formes permet de distinguer des réseaux de
natures différentes, routier, hydrographique, de drainage
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
: le symbole peut être évocateur c'est-à
suffit à évoquer le phénomène représenté (par exemple :
r un schéma très simplifié de l
une croix pour une église
utilisation de la variable forme soit efficace, il est nécessaire que :
Le nombre des formes employées soit limité (10 au maximum).
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître e
La variable visuelle forme est utilisée pour représenter des informations de
associative. Elle est utilisée dans les
Ne pas confondre : impl
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
établissement industriels, des sites historiques
variation des formes permet de distinguer des réseaux de
en géographie (FSHST)
à-dire que son seul
suffit à évoquer le phénomène représenté (par exemple : un avion pour
r un schéma très simplifié de l
une église).
utilisation de la variable forme soit efficace, il est nécessaire que :
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître e
La variable visuelle forme est utilisée pour représenter des informations de caractères
. Elle est utilisée dans les
implantation
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
variation des formes permet de distinguer des réseaux de
en géographie (FSHST)
30
dire que son seul
pour un
r un schéma très simplifié de l objet à
Les formes offrent une grande capacité de séparation (on puisse les connaître et les
caractères
. Elle est utilisée dans les
antation (notion
En implantation ponctuelle (Fig. 2), la variation des formes sert à distinguer par
variation des formes permet de distinguer des réseaux de
30
Module
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
variation des formes permet de séparer des zones ayant des m
un
2.2. Variable visuelle
linéaire avec la verticale. Toute tache, à l exception du cercle (le cercle
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
gauche (de 45°).
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
entre des orientations diffé
moins 4 fois sa largeur.
La variable visuelle orientation est utilisée pour représenter et
de caractères qualitatifs nominaux
2.3. La variable visuelle couleur
L il humaine ne perçoit que la lumière blanche c'est
rayonnement électromagnétique comprise entre 400 et 700 nanomètres (10
spectre
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
éclairé. Une feuille est verte car en situation d éclairage par une lumière blanch
seulement les rayons verts et absorbe les rayons rouges et bleus.
Les couleurs fondamentales
du vert
Module
: Cartographie, 1
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
variation des formes permet de séparer des zones ayant des m
un
caractère qualitatif (nature des sols, occupation de
2.2. Variable visuelle
linéaire avec la verticale. Toute tache, à l exception du cercle (le cercle
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
gauche (de 45°).
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
entre des orientations diffé
moins 4 fois sa largeur.
La variable visuelle orientation est utilisée pour représenter et
caractères qualitatifs nominaux
2.3. La variable visuelle couleur
L il humaine ne perçoit que la lumière blanche c'est
rayonnement électromagnétique comprise entre 400 et 700 nanomètres (10
spectre visible (violet
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
éclairé. Une feuille est verte car en situation d éclairage par une lumière blanch
seulement les rayons verts et absorbe les rayons rouges et bleus.
Les couleurs fondamentales
vert et du rouge
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
variation des formes permet de séparer des zones ayant des m
caractère qualitatif (nature des sols, occupation de
2.2. Variable visuelle
orientation:
linéaire avec la verticale. Toute tache, à l exception du cercle (le cercle
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
entre des orientations différentes, il faut que la longueur des figurés représentés soit égal au
moins 4 fois sa largeur.
La variable visuelle orientation est utilisée pour représenter et
caractères qualitatifs nominaux
2.3. La variable visuelle couleur
L il humaine ne perçoit que la lumière blanche c'est
rayonnement électromagnétique comprise entre 400 et 700 nanomètres (10
(violet-bleu 410, le bleu 440, le vert 510, le jaune 560, l orangé 600 et le
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
éclairé. Une feuille est verte car en situation d éclairage par une lumière blanch
seulement les rayons verts et absorbe les rayons rouges et bleus.
Les couleurs fondamentales
rouge. Elles sont aussi dites
année licence appliquée
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
variation des formes permet de séparer des zones ayant des m
caractère qualitatif (nature des sols, occupation de
orientation:
l orientation est définie par l angle que fait un figuré
linéaire avec la verticale. Toute tache, à l exception du cercle (le cercle
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
rentes, il faut que la longueur des figurés représentés soit égal au
La variable visuelle orientation est utilisée pour représenter et
caractères qualitatifs nominaux (elle
Fig.2 : Formes et orientations
2.3. La variable visuelle couleur
:
L il humaine ne perçoit que la lumière blanche c'est
rayonnement électromagnétique comprise entre 400 et 700 nanomètres (10
bleu 410, le bleu 440, le vert 510, le jaune 560, l orangé 600 et le
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
éclairé. Une feuille est verte car en situation d éclairage par une lumière blanch
seulement les rayons verts et absorbe les rayons rouges et bleus.
Les couleurs fondamentales sont les trois couleurs monochromatiques du
. Elles sont aussi dites
année licence appliquée et licence fondamentale
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
variation des formes permet de séparer des zones ayant des m
caractère qualitatif (nature des sols, occupation de
l orientation est définie par l angle que fait un figuré
linéaire avec la verticale. Toute tache, à l exception du cercle (le cercle
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
rentes, il faut que la longueur des figurés représentés soit égal au
La variable visuelle orientation est utilisée pour représenter et
(elle n exprime
: Formes et orientations
L il humaine ne perçoit que la lumière blanche c'est
rayonnement électromagnétique comprise entre 400 et 700 nanomètres (10
bleu 410, le bleu 440, le vert 510, le jaune 560, l orangé 600 et le
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
éclairé. Une feuille est verte car en situation d éclairage par une lumière blanch
seulement les rayons verts et absorbe les rayons rouges et bleus.
sont les trois couleurs monochromatiques du
. Elles sont aussi dites couleurs primaires additives
et licence fondamentale
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
variation des formes permet de séparer des zones ayant des m
caractère qualitatif (nature des sols, occupation de sol)
l orientation est définie par l angle que fait un figuré
linéaire avec la verticale. Toute tache, à l exception du cercle (le cercle
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
rentes, il faut que la longueur des figurés représentés soit égal au
La variable visuelle orientation est utilisée pour représenter et
ni l ordre ni
: Formes et orientations
L il humaine ne perçoit que la lumière blanche c'est
rayonnement électromagnétique comprise entre 400 et 700 nanomètres (10
bleu 410, le bleu 440, le vert 510, le jaune 560, l orangé 600 et le
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
éclairé. Une feuille est verte car en situation d éclairage par une lumière blanch
seulement les rayons verts et absorbe les rayons rouges et bleus.
sont les trois couleurs monochromatiques du
couleurs primaires additives
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
variation des formes permet de séparer des zones ayant des modalités différentes pour
sol).
l orientation est définie par l angle que fait un figuré
linéaire avec la verticale. Toute tache, à l exception du cercle (le cercle
n est pas orientable),
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
rentes, il faut que la longueur des figurés représentés soit égal au
La variable visuelle orientation est utilisée pour représenter et différencier
ordre ni la quantité).
L il humaine ne perçoit que la lumière blanche c'est-à-dire les fréquences du
rayonnement électromagnétique comprise entre 400 et 700 nanomètres (10
bleu 410, le bleu 440, le vert 510, le jaune 560, l orangé 600 et le
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
éclairé. Une feuille est verte car en situation d éclairage par une lumière blanch
seulement les rayons verts et absorbe les rayons rouges et bleus.
sont les trois couleurs monochromatiques du
couleurs primaires additives.
en géographie (FSHST)
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
odalités différentes pour
l orientation est définie par l angle que fait un figuré
n est pas orientable),
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
rentes, il faut que la longueur des figurés représentés soit égal au
différencier des informations
la quantité).
dire les fréquences du
rayonnement électromagnétique comprise entre 400 et 700 nanomètres (10-9 m),
bleu 410, le bleu 440, le vert 510, le jaune 560, l orangé 600 et le
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
éclairé. Une feuille est verte car en situation d éclairage par une lumière blanche, elle réfléchit
sont les trois couleurs monochromatiques du bleu
en géographie (FSHST)
31
En implantation zonale, on utilise la forme en la répétant sur toute la zone. La
odalités différentes pour
l orientation est définie par l angle que fait un figuré
n est pas orientable),
peut prendre plusieurs orientations : verticale, horizontale, incliné vers la droite et vers la
L il ne peut décerner que 4 ou 5 orientations différentes. Pour qu on puisse différencier
rentes, il faut que la longueur des figurés représentés soit égal au
des informations
dire les fréquences du
m), c est le
bleu 410, le bleu 440, le vert 510, le jaune 560, l orangé 600 et le
rouge 650). La couleur est donc une longueur d onde de la lumière réfléchie par un objet
réfléchit
bleu-violet,
31
Module
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée et licence fondamentale en géographie (FSHST)
32
Bleu+Vert+Rouge=Blanc. Il s agit d une synthèse additive des couleurs. Tout ceci
correspond à ce qu'on appelle en français le système Rouge vert bleu (RVB) ou en anglais
Red Green Blue (RGB).
D autre part, deux à deux, ces couleurs se combinent comme suit :
Bleu+Vert=Cyan, Rouge+Bleu=Magenta, Vert+Rouge=Jaune
Le cyan, le magenta et le jaune sont dites couleurs complémentaires ou couleurs
primaires soustractives. Ils donnent le système CMJ (en anglais CMY ou YMC).
Cyan+Magenta+Jaune=Noir. Il s agit d une synthèse soustractive.
Chaque couleur fondamentale contient deux couleurs soustractives :
Vert=Jaune+Cyan, Bleu=Cayon+Magenta, Rouge=Magenta+Jaune
On obtient aussi la couleur blanche, en ajoutant à chaque couleur fondamentale sa couleur
complémentaire :
* la couleur complémentaire du vert est le magenta : Vert+Magenta=Blanc
* la couleur complémentaire du bleu est le jaune : Bleu+Jaune=Blanc
* la couleur complémentaire du rouge est le cyan : Rouge+Cyan=Blanc
On perçoit dans le spectre deux ordres de longueur d onde : les tons chauds (du jaune au
rouge), les tons froids (du jaune au bleu-violet).
En sémiologie, la couleur est la variable visuelle qui permet le mieux de séparer des
objets de nature différente mais ne peut pas les ordonner. La couleur est donc une excellente
variable sélective. La couleur est aussi un excellent moyen de souligner des ressemblances
(associatives). Elle peut être utilisée dans toutes les implantations. Elle est surtout efficace en
implantation zonale. Cette variable visuelle est utilisée exclusivement pour les données
qualitatives nominales. Elle est incapable de traduire des rapports quantitatifs.
Ces trois variables visuelles, c'est-à-dire, la forme, l orientation et la couleur, qui ne suggèrent
ni l ordre ni la quantité, sont utilisées pour représenter des informations qualitatives
nominales.
2.4. La variable visuelle grain :
Le grain d'un signe graphique élémentaire est défini par agrandissement ou réduction
de la taille de l'élément constitutif de la trame. Contrairement à la variation par la valeur, qui
implique une évolution blanc-noir, dans une variation de grain, le rapport entre le noir et le
blanc demeure constant. La variation par le grain vise à conserver cet équilibre (50% noir et
50% blanc). Ici, c est le nombre d éléments de la trame qui varie, et non la valeur.
Module
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
espacées. Pour
données
ordonnées
Dans ce cas, elle traduit
données qualitatives
sélection).
Module
: Cartographie, 1
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
espacées. Pour BERTIN (1973
données
quantitatives de rapports et d'intervalles repérées et des données qualitatives
ordonnées.
Dans ce cas, elle traduit
onnées qualitatives
sélection).
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
BERTIN (1973
quantitatives de rapports et d'intervalles repérées et des données qualitatives
Dans ce cas, elle traduit
onnées qualitatives nominales
année licence appliquée
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
BERTIN (1973), Cette variable visuelle est utilisée pour représenter
quantitatives de rapports et d'intervalles repérées et des données qualitatives
Dans ce cas, elle traduit l'ordre. Pour BEGUIN et PUMAIN (1994), elle concerne
nominales. Dans ce cas, elle traduit
année licence appliquée et licence fondamentale
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
), Cette variable visuelle est utilisée pour représenter
quantitatives de rapports et d'intervalles repérées et des données qualitatives
. Pour BEGUIN et PUMAIN (1994), elle concerne
. Dans ce cas, elle traduit
et licence fondamentale
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
), Cette variable visuelle est utilisée pour représenter
quantitatives de rapports et d'intervalles repérées et des données qualitatives
. Pour BEGUIN et PUMAIN (1994), elle concerne
. Dans ce cas, elle traduit l'association
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
), Cette variable visuelle est utilisée pour représenter
quantitatives de rapports et d'intervalles repérées et des données qualitatives
. Pour BEGUIN et PUMAIN (1994), elle concerne
l'association
en géographie (FSHST)
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
), Cette variable visuelle est utilisée pour représenter
quantitatives de rapports et d'intervalles repérées et des données qualitatives
. Pour BEGUIN et PUMAIN (1994), elle concerne
l'association (bonne variable de
en géographie (FSHST)
33
Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence par une trame très
resserrée de taches très petites, et se termine par un nombre faible de taches épaisses plus
), Cette variable visuelle est utilisée pour représenter des
quantitatives de rapports et d'intervalles repérées et des données qualitatives
. Pour BEGUIN et PUMAIN (1994), elle concerne les
(bonne variable de
33
Module
Introduction
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
le mode de représentation cartographique le plus appropri
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
dans le plan de la carte
1. Identification de la variable géographique à représenter
La représentation cartographique de
données à
1.1. Données quantitatives
Une variable continue ou quantitative est un
quelle valeur dans un intervalle
variable
1.1.1. Une donnée quantitative absolue (variable de stock):
d observations
chômeurs, nombre
représenter, on
Module
: Cartographie, 1
COMMENT UTILISER LES
Introduction
:
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
le mode de représentation cartographique le plus appropri
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
dans le plan de la carte
1. Identification de la variable géographique à représenter
La représentation cartographique de
données à
traiter.
Données quantitatives
Une variable continue ou quantitative est un
valeur dans un intervalle
variable
continue peut être de deux types :
Une donnée quantitative absolue (variable de stock):
observations
sur un territoire donné. Elle exprime une quantité concrète. Ex : nombre de
chômeurs, nombre
représenter, on
privilégiera une variation de taille (ex: cercles proportionnels (Fig.1).
Fig.1
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
COMMENT UTILISER LESREPRESENTATION DES VARIABLES
GEOGRAPHIQUES QUANTITATIVES
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
le mode de représentation cartographique le plus appropri
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
dans le plan de la carte
1. Identification de la variable géographique à représenter
La représentation cartographique de
Données quantitatives
:
Une variable continue ou quantitative est un
valeur dans un intervalle
continue peut être de deux types :
Une donnée quantitative absolue (variable de stock):
sur un territoire donné. Elle exprime une quantité concrète. Ex : nombre de
d habitants par commune, nombre
privilégiera une variation de taille (ex: cercles proportionnels (Fig.1).
Fig.1
: Nombre de chômeur (masculin) en France en 1999.
année licence appliquée
COURS 9
COMMENT UTILISER LESREPRESENTATION DES VARIABLESGEOGRAPHIQUES QUANTITATIVES
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
le mode de représentation cartographique le plus appropri
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
1. Identification de la variable géographique à représenter
La représentation cartographique de
Une variable continue ou quantitative est un
valeur dans un intervalle défini (de 1 à 100, ou de 0 à l
continue peut être de deux types :
Une donnée quantitative absolue (variable de stock):
sur un territoire donné. Elle exprime une quantité concrète. Ex : nombre de
habitants par commune, nombre
privilégiera une variation de taille (ex: cercles proportionnels (Fig.1).
: Nombre de chômeur (masculin) en France en 1999.
année licence appliquée et licence fondamentale
COURS 9
:
COMMENT UTILISER LES
VARIABLES VISUELLES :
REPRESENTATION DES VARIABLESGEOGRAPHIQUES QUANTITATIVES
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
le mode de représentation cartographique le plus appropri
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
1. Identification de la variable géographique à représenter
La représentation cartographique de
données statistiques dépend de la nature des
Une variable continue ou quantitative est un nombre susceptible de prendre n
défini (de 1 à 100, ou de 0 à l
continue peut être de deux types :
Une donnée quantitative absolue (variable de stock):
sur un territoire donné. Elle exprime une quantité concrète. Ex : nombre de
habitants par commune, nombre
privilégiera une variation de taille (ex: cercles proportionnels (Fig.1).
: Nombre de chômeur (masculin) en France en 1999.
et licence fondamentale
:
VARIABLES VISUELLES :
REPRESENTATION DES VARIABLESGEOGRAPHIQUES QUANTITATIVES
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
le mode de représentation cartographique le plus approprié. Par ailleurs, les variables visuelles
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
1. Identification de la variable géographique à représenter
:
données statistiques dépend de la nature des
nombre susceptible de prendre n
défini (de 1 à 100, ou de 0 à l
Une donnée quantitative absolue (variable de stock):
sur un territoire donné. Elle exprime une quantité concrète. Ex : nombre de
habitants par commune, nombre d habitants
privilégiera une variation de taille (ex: cercles proportionnels (Fig.1).
: Nombre de chômeur (masculin) en France en 1999.
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
VARIABLES VISUELLES :REPRESENTATION DES VARIABLES
GEOGRAPHIQUES QUANTITATIVES
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
é. Par ailleurs, les variables visuelles
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
données statistiques dépend de la nature des
nombre susceptible de prendre n
défini (de 1 à 100, ou de 0 à l infini, par
Une donnée quantitative absolue (variable de stock):
est le nombre total
sur un territoire donné. Elle exprime une quantité concrète. Ex : nombre de
d habitants
par gouvernorat, etc. Pour la
privilégiera une variation de taille (ex: cercles proportionnels (Fig.1).
: Nombre de chômeur (masculin) en France en 1999.
en géographie (FSHST)
VARIABLES VISUELLES :
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
é. Par ailleurs, les variables visuelles
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
données statistiques dépend de la nature des
nombre susceptible de prendre n
infini, par exemple). Une
est le nombre total
sur un territoire donné. Elle exprime une quantité concrète. Ex : nombre de
par gouvernorat, etc. Pour la
privilégiera une variation de taille (ex: cercles proportionnels (Fig.1).
: Nombre de chômeur (masculin) en France en 1999.
en géographie (FSHST)
34
Lors de ses analyses, le cartographe doit faire face à plusieurs types de variables :
quantitatives ou qualitatives. Le cours suivant vous permet de les distinguer et de sélectionner
é. Par ailleurs, les variables visuelles
sont les moyens graphiques qui permettent de différencier la nature des données représentées
données statistiques dépend de la nature des
nombre susceptible de prendre n importe
exemple). Une
est le nombre total
sur un territoire donné. Elle exprime une quantité concrète. Ex : nombre de
par gouvernorat, etc. Pour la
34
Module
1.1.2. Une donnée continue relative
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
privilégiera une variation de c
2).
2. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
quantitatives
- Les données
taille.
- Les données
que l
2.1. Variable visuelle taille
Définition :
sa surface ou son volume. L
(hauteur, longueur, épaisseur, surface)
ponctuelle (forme) ou linéaire (ligne). Cette définition
géométriques qu
La variable taille est
volumes, des rapports de
variable est surtout utilisée en implantation ponctuelle.
La variable visuelle
1. Proportionnelle
2. Ordonnée
3. Associative (ou sélective
Module
: Cartographie, 1
Une donnée continue relative
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
privilégiera une variation de c
. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
quantitatives
:
Les données
taille.
Les données
que l on peut associer à la couleur, au grain ou à la texture
Variable visuelle taille
Définition :
La taille d'un signe graphique élémentaire est définie par sa longueur, sa
sa surface ou son volume. L
(hauteur, longueur, épaisseur, surface)
ponctuelle (forme) ou linéaire (ligne). Cette définition
géométriques qu à des figurés symboliques.
La variable taille est
volumes, des rapports de
variable est surtout utilisée en implantation ponctuelle.
La variable visuelle
1. Proportionnelle
2. Ordonnée
3. Associative (ou sélective
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
Une donnée continue relative
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
privilégiera une variation de c
Fig.2 : Taux de chômage par région en France en 1999.
. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
Les données quantitatives brutes
Les données quantitati
peut associer à la couleur, au grain ou à la texture
Variable visuelle taille
:
a taille d'un signe graphique élémentaire est définie par sa longueur, sa
sa surface ou son volume. L
(hauteur, longueur, épaisseur, surface)
ponctuelle (forme) ou linéaire (ligne). Cette définition
à des figurés symboliques.
La variable taille est quantitative
volumes, des rapports de proportionnalité
variable est surtout utilisée en implantation ponctuelle.
La variable visuelle taille mobilise
3. Associative (ou sélective)
année licence appliquée
Une donnée continue relative (variable de taux):
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
privilégiera une variation de couleurs (dégradé) par l
Taux de chômage par région en France en 1999.
. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
quantitatives brutes
quantitatives relatives
peut associer à la couleur, au grain ou à la texture
a taille d'un signe graphique élémentaire est définie par sa longueur, sa
sa surface ou son volume. L application de cette variable traduit la variation de la taille
(hauteur, longueur, épaisseur, surface)
ponctuelle (forme) ou linéaire (ligne). Cette définition
à des figurés symboliques.
quantitative, c
proportionnalité
variable est surtout utilisée en implantation ponctuelle.
mobilise tous les concepts, elle est :
année licence appliquée et licence fondamentale
(variable de taux):
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
ouleurs (dégradé) par l
Taux de chômage par région en France en 1999.
. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
quantitatives brutes (de stock) se représentent avec la variable visuelle
ves relatives se représentent avec la variable visuelle
peut associer à la couleur, au grain ou à la texture
a taille d'un signe graphique élémentaire est définie par sa longueur, sa
application de cette variable traduit la variation de la taille
(hauteur, longueur, épaisseur, surface) d un objet : qu
ponctuelle (forme) ou linéaire (ligne). Cette définition
à des figurés symboliques.
, c est la seule qui peut exprimer une quantité, des
proportionnalité entre taille des figurés et données
variable est surtout utilisée en implantation ponctuelle.
les concepts, elle est :
et licence fondamentale
(variable de taux):
est le rapport d
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
ouleurs (dégradé) par l intermédiaire de la variable valeur
Taux de chômage par région en France en 1999.
. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
(de stock) se représentent avec la variable visuelle
se représentent avec la variable visuelle
peut associer à la couleur, au grain ou à la texture
a taille d'un signe graphique élémentaire est définie par sa longueur, sa
application de cette variable traduit la variation de la taille
objet : qu il s agisse
ponctuelle (forme) ou linéaire (ligne). Cette définition s appliqu
est la seule qui peut exprimer une quantité, des
entre taille des figurés et données
variable est surtout utilisée en implantation ponctuelle.
les concepts, elle est :
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
est le rapport d une donnée absolue
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
intermédiaire de la variable valeur
Taux de chômage par région en France en 1999.
. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
(de stock) se représentent avec la variable visuelle
se représentent avec la variable visuelle
peut associer à la couleur, au grain ou à la texture-structure.
a taille d'un signe graphique élémentaire est définie par sa longueur, sa
application de cette variable traduit la variation de la taille
s agisse
d une
s applique aussi bien à des figurés
est la seule qui peut exprimer une quantité, des
entre taille des figurés et données
en géographie (FSHST)
une donnée absolue
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
intermédiaire de la variable valeur
. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
(de stock) se représentent avec la variable visuelle
se représentent avec la variable visuelle
structure.
a taille d'un signe graphique élémentaire est définie par sa longueur, sa
application de cette variable traduit la variation de la taille
d une
représentation
aussi bien à des figurés
est la seule qui peut exprimer une quantité, des
entre taille des figurés et données
chiffrées. Cette
en géographie (FSHST)
35
une donnée absolue
dans un référentiel. Elle exprime un rapport entre deux valeurs Pour la représenter, on
intermédiaire de la variable valeur (Fig.
. Choix des variables visuelles adéquates pour la représentation des données
(de stock) se représentent avec la variable visuelle
se représentent avec la variable visuelle valeur
a taille d'un signe graphique élémentaire est définie par sa longueur, sa hauteur,
application de cette variable traduit la variation de la taille
représentation
aussi bien à des figurés
est la seule qui peut exprimer une quantité, des
chiffrées. Cette
35
Module
2.2. La
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
une progression continue du blanc au noir. Cette notion peut
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
3.2.1. Propriétés de la variable taille
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéai
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
utilisée pour traduire l
d associer les niveaux clairs aux valeurs faibles, les niveaux
- La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
variation de valeur et non de couleur ;
- La variation de valeur permet de traduire un
de la
- La variation de valeur
quantité ni
recours à la légende ;
-
information ordonnée. C
des
Module
: Cartographie, 1
a variable visuelle valeur
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
une progression continue du blanc au noir. Cette notion peut
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
3.2.1. Propriétés de la variable taille
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéai
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
utilisée pour traduire l
d associer les niveaux clairs aux valeurs faibles, les niveaux
La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
variation de valeur et non de couleur ;
La variation de valeur permet de traduire un
de la
plus claire
La variation de valeur
quantité ni
recours à la légende ;
la variation de valeur traduit des variable
information ordonnée. C
des
séries de valeurs regroupées en classes (discrétisées).
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
variable visuelle valeur
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
une progression continue du blanc au noir. Cette notion peut
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
3.2.1. Propriétés de la variable taille
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéai
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
utilisée pour traduire l information ordonnée (quantitative
d associer les niveaux clairs aux valeurs faibles, les niveaux
La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
variation de valeur et non de couleur ;
La variation de valeur permet de traduire un
plus claire
à la plus foncée ;
La variation de valeur
même un rapport quantitatif à des paliers de valeur différents sans avoir
recours à la légende ;
la variation de valeur traduit des variable
information ordonnée. C
séries de valeurs regroupées en classes (discrétisées).
année licence appliquée
variable visuelle valeur (ou variation du rapport de noir
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
une progression continue du blanc au noir. Cette notion peut
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
3.2.1. Propriétés de la variable taille
:
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéai
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
information ordonnée (quantitative
d associer les niveaux clairs aux valeurs faibles, les niveaux
La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
variation de valeur et non de couleur ;
La variation de valeur permet de traduire un
à la plus foncée ;
La variation de valeur n est pas quantitative
même un rapport quantitatif à des paliers de valeur différents sans avoir
la variation de valeur traduit des variable
information ordonnée. C est la variation la plus employée pour traduire des partitions,
séries de valeurs regroupées en classes (discrétisées).
année licence appliquée et licence fondamentale
(ou variation du rapport de noir
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
une progression continue du blanc au noir. Cette notion peut
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéai
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
information ordonnée (quantitative
d associer les niveaux clairs aux valeurs faibles, les niveaux
La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
variation de valeur et non de couleur ;
La variation de valeur permet de traduire un
est pas quantitative
même un rapport quantitatif à des paliers de valeur différents sans avoir
la variation de valeur traduit des variables quantitatives de rapport, des taux, une
est la variation la plus employée pour traduire des partitions,
séries de valeurs regroupées en classes (discrétisées).
et licence fondamentale
(ou variation du rapport de noir
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
une progression continue du blanc au noir. Cette notion peut être associée à la couleur et pour
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéai
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
information ordonnée (quantitative d intervalle
d associer les niveaux clairs aux valeurs faibles, les niveaux foncés aux valeurs fortes.
La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
La variation de valeur permet de traduire un ordre, car l
est pas quantitative : il est impossible d
même un rapport quantitatif à des paliers de valeur différents sans avoir
s quantitatives de rapport, des taux, une
est la variation la plus employée pour traduire des partitions,
séries de valeurs regroupées en classes (discrétisées).
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
(ou variation du rapport de noir au blanc)
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
être associée à la couleur et pour
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéai
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
d intervalle), le principe étant
foncés aux valeurs fortes.
La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
, car l il classe les taches grisées
: il est impossible d
même un rapport quantitatif à des paliers de valeur différents sans avoir
s quantitatives de rapport, des taux, une
est la variation la plus employée pour traduire des partitions,
séries de valeurs regroupées en classes (discrétisées).
en géographie (FSHST)
:
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
être associée à la couleur et pour
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéai
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
), le principe étant
foncés aux valeurs fortes.
La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
classe les taches grisées
: il est impossible d attribuer une
même un rapport quantitatif à des paliers de valeur différents sans avoir
s quantitatives de rapport, des taux, une
est la variation la plus employée pour traduire des partitions,
en géographie (FSHST)
36
La valeur d'un signe graphique élémentaire est définie par le rapport entre les quantités
de noir et de blanc perçues dans une surface donnée. La variation de valeur est obtenue avec
être associée à la couleur et pour
produire un dégradé. C est en implantation zonale que cette variable est la plus efficace.
La longueur de la valeur est limitée. Elle de 3 à 4 en implantation ponctuelle ou linéaire,
de 5à 7, (et jusqu à 9 dans certaines conditions) en implantation surfacique. La valeur est
), le principe étant
La variation de valeur est monochrome : une variation du rouge pur au blanc est une
classe les taches grisées
attribuer une
même un rapport quantitatif à des paliers de valeur différents sans avoir
s quantitatives de rapport, des taux, une
est la variation la plus employée pour traduire des partitions,
36
Module
Cette variable visuelle est
essentiellement
ordonnée
2.2.2. Mise en uvre des variables visuelles
Conclusion
Module
: Cartographie, 1
Cette variable visuelle est
essentiellement ordinale
ordonnée. La taille est aussi
2.2.2. Mise en uvre des variables visuelles
Conclusion
:
: Cartographie, 1ère
année licence appliquée
Cette variable visuelle est
ordinale. Elle est donc utiliser uniquement pour représenter
. La taille est aussi ordonnée
2.2.2. Mise en uvre des variables visuelles
année licence appliquée
Cette variable visuelle est sélective
. Elle est donc utiliser uniquement pour représenter
ordonnée.
2.2.2. Mise en uvre des variables visuelles
année licence appliquée et licence fondamentale
sélective, elle n est associative ni quantitative mais elle est
. Elle est donc utiliser uniquement pour représenter
2.2.2. Mise en uvre des variables visuelles
:
et licence fondamentale
, elle n est associative ni quantitative mais elle est
. Elle est donc utiliser uniquement pour représenter
et licence fondamentale en géographie (FSHST)
, elle n est associative ni quantitative mais elle est
. Elle est donc utiliser uniquement pour représenter
en géographie (FSHST)
, elle n est associative ni quantitative mais elle est
. Elle est donc utiliser uniquement pour représenter une information
en géographie (FSHST)
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, elle n est associative ni quantitative mais elle est
une information
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