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- 1 - Révision du Plan Local d’Urbanisme Réunion de concertation - Présentation du diagnostic territorial - 7 février 2015 Commune de La Roquebrussanne

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  • - 1 -

    Révision du Plan Local d’UrbanismeRéunion de concertation

    - Présentation du diagnostic territorial -7 février 2015

    Commune de La Roquebrussanne

  • 2

    Le Plan Local d’Urbanisme (PLU)

    - Document stratégique de planification qui prévoit et organise l’avenir du territoire sur une dizaine d’années

    - Le PLU de La Roquebrussanne fut approuvé le 11 juillet 2006, mais le contexte législatif et institutionnel est en évolution (Grenelle de l’environnement, SCoT de la Provence Verte, projet de PNR de la Sainte-Baume)

    - Les évolutions sociales, démographiques et économiques

    - Les évolutions réglementaires récentes (Loi ENE dite «Grenelle 2» et Loi ALUR)

    - Les documents de planification d’un niveau supérieur (développé sur la page suivante)

    Et préciser les perspectives nouvelles d’aménagement de la collectivité.

    Le PLU doit évoluer pour intégrer :

    Un outil de planification urbaine

  • 3

    Articulation avec les autres documents

    PLU

    Prise en compteSchéma Régional de Cohérence

    écologique (SRCE)

    Plan Climat énergie Territorial (PCET)

    Programme d’équipement état, collectivité territoriales, établissement

    et services publics

    Autres plans et ProgrammesPlan Régional pour la Qualité de l’Air (PRQA)

    Plan Départemental pour l’élimination des Déchets Ménagers et Assimilés (PDEDMA)

    Plan départemental pour la gestion des déchets BTP

    CompatibilitéSchéma de Cohérence Territorial

    (SCoT) de la Provence Verte

    Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE)

    Rhône-Méditerranée

    Schéma d’Aménagement de Gestion des Eaux (SAGE)

  • 4

    Intégration des grands principes du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT)de la Provence Verte

    HabitatMaîtriser la croissance démographique, limiter l’étalement urbain, etc.

    EnvironnementProtéger la biodiversité, mettre en place une politique énergétique, etc.

    DéplacementsPréférer la localisation des commerces, services et activités dans le centre, élaborer un schéma de déplacements doux, etc.

    économie, Agriculture, Culture et patrimoine, Tourisme, etc.

    La Communauté de Communes du Val d’Issole au sein du territoire du SCoT de la Provence Verte

  • 5

    Documents graphiques

    Plans de zonage, plans

    spécifiques pour des dispositions

    particulières, informations

    complémentaires, etc.

    Rapport de présentation

    Expose la situation

    existante, présente les perspectives d’évolution et les nouvelles dispositions

    réglementaires

    PADD Projet

    d’Aménagement et de Développement

    DurablesGrandes orienta-

    tions d’urbanisme à long terme

    OAP Orientations

    d’Aménagement et de

    ProgrammationSecteurs et

    quartiers à enjeux avec des dispositions

    spécifiques

    RèglementRègles

    d’urbanisme par zones, qui déterminent

    les possibilités de construire

    sur le territoire

    AnnexesPlans des servitudes

    d’utilité publique et

    des périmètres reportés à titre d’information

    Contenu du Plan Local d’Urbanisme

    Hiver 2015 Automne 2015Primptemps / été 2015

    Arrêt du Plan Local d’Urbanisme

  • 6

    Rapport de présentation

    Le rapport de présentation assure la cohérence de l’ensemble du document, des principes jusqu’aux règles d’urbanisme, en exposant le contexte local et le projet de la collectivité.

    Le rapport de présentation doit permettre au travers du diagnostic :

    - d’analyser l’état initial de l’environnement,

    - de présenter une analyse de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers,

    - d’établir des prévisions économiques et démographiques,

    - de préciser les besoins répertoriés en matière de développement économique, d’aménagement de l’espace, d’environnement, d’équilibre social de l’habitat, de transports, d’équipements et de services.

  • 7

    Données socio-démographiques

    Source : Données INSEE* Estimation basée sur l’évolution des effectifs scolaires et le nombre de nouveaux logements

    évolution de la population communaleConstat

    - Un territoire attractifLa croissance de la population est portée par le solde migratoire

    - Augmentation rapide de la population

    - Risque d’une saturation des équipements au niveau scolaire, de la station d’épuration et des réseaux en Alimentation en Eau Potable (AEP), des eaux usées, pluvial et ERDF. Ils ne sont pas calibrés et planifiés pour une augmentation de la population

    Enjeux

    - Préparer et équiper la commune pour un aménagement qui réponde aux aspirations des habitants dans le respect de notre cadre de vie et de notre environnement.

    Variation annuelle moyenne de la population de La Roquebrussanne

    Source : Données INSEE

    La Roquebrussanne

    Communauté de communes du Val d’Issole

    Département du Var

    Variation due au solde des entrées sur le territoire

    Variation due au solde naturel

    Variation annuelle moyenne de la population (en %)

  • 8

    Données socio-démographiques Constat

    - Une majorité de coupleEn 2011, un tiers des ménages sont des couples sans enfant (37,1% des ménages) et un autre tiers sont des couples avec enfant(s) (36,7%).

    - Une majorité de maison individuelle

    - Une offre locative privée de mauvaise qualité

    - Un taux de vacance élevé et concentré dans le village

    Enjeux

    - Adapter l’offre de logements par rapport à l’augmentation et aux types de ménages Prendre en compte le fait que les jeunes ménages et les primo-accédants tout comme certains seniors sont susceptibles de rechercher des logements de plus petite taille et plus abordables financièrement

    - Encourager les projets alternatifs à la maison individuelle tel que l’habitat collectif et habitat semi-collectif

    - Mobilisation des logements vétustes en centre-bourg au travers de la réhabilitation ou de la reconstruction

    Source : Données INSEE

    Ménages selon leur composition

    Source : Données INSEE

    Résidences principales selon le nombre de pièces

  • 9

    Données socio-économiquesConstat - Emploi sur la commune

    - Une économie dynamiqueEn 12 ans, de 1999 à 2011, le nombre d’emplois a augmenté passant de 263 emplois à 462 emplois soit un taux d’accroissement de +0,57%.Sur les 462 emplois, 226 sont des actifs habitants à La Roquebrussanne.

    - Une économie liée aux besoins de sa population

    - L’agriculture est une réelle économie sur la commune

    Constat - Population active

    - Une forte évasion des actifsEn 2011, 76,3% des actifs travaillent en dehors de la commune

    - Une diminution du taux de chômage

    Constat - L’activité commerciale

    - Une activité commerciale centralisée dans le village participant au dynamisme communal

    - Un manque d’espace commercial

    Source : Données INSEE

    Enjeux

    - Renforcer la centralité du bourg en développant et en confortant les commerces et services- Développer de nouveaux espaces commerciaux (petite ou moyenne surface et des commerces de proximité) dans le centre-bourg ou à proximité immédiate

    Lieu de travail des actifs (de 15 ans ou plus)

    de La Roquebrussanne

    Source : Données INSEE

    Emplois selon le secteur d’activité en 2011

  • 10

    L’activité agricoleConstat

    - Un bassin agricole important avec une dominante viticoleLa zone agricole représente 1 114 ha sur le territoire communal

    - La consommation du foncier résulte principalement d’anciens espaces agricoles situés en zones urbaines

    - Création d’une Zone Agricole Protégée (ZAP) afin de préserver le foncier agricole de La Roquebrussanne

    - Un territoire bénéficiant de nombreux labels

    - Divers projets agricoles (agrandissement des exploitations, diversification culturale, agritourisme, etc.)

    Enjeux

    - Soutenir et valoriser la production agricole locale

    - Encourager les pratiques alternatives tel que les initiatives de ventes de proximité et de circuits courts

    Source : Rapport de présentationZone agricole protégée de La Roquebrussanne

    évolution de l’espace agricole entre 1972 et 2008

    Périmètre de la Zone Agricole Protégée

  • 11

    Développement urbain- Un développement urbain compact dans le centre-bourg

    Bâti construit : Avant 1988

  • 12

    Développement urbain- Un rythme de croissance soutenu

    - Un développement d’habitat dispersé

    - Maîtrise du développement urbain par une règle de superficie minimale

    Bâti construit : Avant 1988 Entre 1988 et 1996

  • 13

    Bâti construit : Avant 1988 Entre 1988 et 1996 Entre 1996 et 2007

    Développement urbain- Développement pavillonnaire important

    - Prédominance de la maison individuelle de grande taille

  • 14

    Bâti construit : Avant 1988 Entre 1988 et 1996 Entre 1996 et 2007 Après 2007

    Développement urbain- Le PLU de 2006 a généré un rythme de croissance soutenu

    - Une forte production de logements suite à des procédures de divisions

    - Prédominance de l’habitat individuel de petite taille

  • 15

    Le centre-bourg et les secteurs à proximité

    Les espaces pavillonnaires semi-denses

    Les espaces pavillonnaires lâches

    RD5

    RD64Che

    min des

    Molière

    s

    La Rouveirette

    Vallon de CastelLes

    Craous

    LesAires

    DirectionGareoult

    DirectionToulon

    DirectionPlan-d’Aups-Sainte-Baume

    DirectionSainte-Maximin-la-Sainte-Baume

    La rivière de l’Issole

    Font d’orange

    La Savonière

    La Figoune

    Saint-Arnoux

    Le Pical

    Les différentes typologies de bâti et les délimitations des

    secteurs étudiés

    Centre-bourg (zone Ua du PLU)

    Les abords du centre-bourg

    Les secteurs habités proches du centre

    Bâti dense

    Bâti semi-dense

    Bâti semi-dense éloignés du centreVoirieCheminCours d’eau

    étude morphologique

  • 16

    Centre-bourg

    Les abords du centre-bourg

    Les secteurs habités proches du centre

    Le Cœur historique

    - Entité urbaine dense et compacte- Réseau de petites ruelles étroites et sinueuses, s’ouvrant sur de nom-breuses places

    Perspectives de développement :

    - Tissu urbain peu mutable- Logements vétustes > Perspectives de rénovation urbaine

    étude morphologique

    Vue sur les fonds de parcelles des habitations implantées le long de la rue Georges Clémenceau

  • 17Nouvelles habitations à l’entrée Nord du centre-bourg

    Centre-bourg

    Les abords du centre-bourg

    Les secteurs habités proches du centre

    étude morphologiqueLes abords du centre-bourg

    - Espace hétérogène et peu organisé avec : - des petites poches d’habitations individuelles - de grandes parcelles non bâties - Secteur à proximité immédiate du centre-bourg

    Perspectives de développement :

    - Grand potentiel foncier pour la construction d’équipements structurants, commerciaux et publics

    - Un secteur particulièrement stratégique pour le développement communal

  • 18

    étude morphologiqueLes secteurs habités proches du centre-bourg

    Centre-bourg

    Les abords du centre-bourg

    Les secteurs habités proches du centre

    Le quartier à l’Ouest La Rouveirette / La Savonière

    - Secteur composé d’espaces boisés, agricoles (grandes parcelles) et d’habitations individuelles

    Perspectives de développement :

    - Des espaces stratégiques à proximité du village

    - Fort potentiel de densification à La Savonière avec ses grands terrains non bâtis

    - Faible potentiel de densification dans le secteur au Sud-Est (uniquement au centre du secteur au travers de division parcellaire, tout en prenant en compte la qualité paysagère)

    Le quartier au Sud-Est

    - Différentes typologies d’habitat

    - Situé sur les contreforts de la colline du Pical

  • 19

    Les espaces pavillonnaires denses

    Les espaces pavillonnaires lâches

    Vallon de CastelLe Pical

    Trou de Couasse

    Les Molières

    La Font de la Ville

    Les Blanches

    étude morphologiqueLes espaces pavillonnaires denses

    - Un développement urbain au coup par coup- Un habitat à la fois dense et diffus

  • 20

    étude morphologique

    Voirie primaireVoirie secondaire Desserte local

    Les espaces pavillonnaires denses

    Secteur d’habitat dense

    Secteur d’habitat semi-dense

    > Un découpage en trois sous-secteurs :

    - la colline du Pical et le lieu-dit «la Font de la Ville»

    - le Vallon de Castel et le Trou de Couasse

    - les Blanches et les Molières

  • 21

    étude morphologique- Secteur marqué par la topographie

    - Des habitations imbriquées dans la végétation

    - Le flanc Ouest de la colline domine le village

    Le secteur de la colline du Pical et le lieu-dit «la font de la ville»

    Perspectives de développement :

    - Une forte densification entraînerait le déboisement et impacterait la qualité paysagère de la colline du Pical et particulièrement au Sud

    - Une légère densification est envisageable sur les parcelles non bâties (en fonction de la disponibilité des réseaux et notamment les réseaux d’eaux usées) tout en préservant le caractère paysager

    Le flanc Est de la colline du Pical vue depuis la chapelle Notre-Dame

  • 22

    étude morphologiqueLe secteur du vallon de castel et du trou de couasse- Une urbanisation spontanée - Des parcelles bâties de plus en plus petites- Une multiplication de servitudes de passage et d’impasses connectées aux axes structurants qui ne sont pas forcement aux normes actuelles- Des zones plus ou moins denses

    Perspectives de développement :- Préservation du cadre paysager- Encadrer l’urbanisation afin de maintenir une forme d’habitat de moyenne densité- Le secteur du Trou de Couasse semble peu propice au développement urbain

    Habitations construites :Avant 1988

    Entre 1988-1996

    Entre 1996-2007

    Après 2007

    Schéma du développement urbain dans une zone pavillonnaire dense

    Chemin de l’Ubac Chemin des MolièresCours d’eau

    Grande parcelle de 2,7 haqui subit des divisions parcellaire Divisions parcellaires successives

    Lotissement construit entre 1996 et 2007

    le long du chemin de l’Ubac

    Lotissements construits après 2007 en cœur d’îlot

    Zone d’habitat semi-dense dans le vallon de Castel

  • 23

    étude morphologiqueLe secteur des blanches et des molières

    - Secteur pavillonnaire relativement éloigné du village (entre 1,2 et 1,7 km)

    - Un développement urbain principalement dû à des divisions parcellaires et à la création de lotissements ce qui a engendré de nombreuses impasses

    Perspectives de développement :

    - Un potentiel de densification fort (extensions, divisions, lotissements) qui semble inadapté au regard de la sensibilité paysagère locale et du niveau de desserte pour supporter une augmentation brutale des flux.

    Vue depuis la route départementale RD64

    Nouvelles forme d’habitat «compacte» - Chemin de la Daumasse

    Une urbanisation qui s’étend sur les contreforts de la colline

  • 24 Les espaces pavillonnaires densesLes espaces pavillonnaires lâches

    Le Regayé

    Vallon de Barras

    Les FerragesJardin d’élie

    Saint-Arnoux

    Fioussac

    Font d’Orange

    Les RouvièresLa Miquelette

    du lac

    étude morphologiqueLes espaces pavillonnaires lâches avec une prédominance naturelle

    - Des secteurs relativement éloignés du village (entre 500 et 2,7 km) et qui présente un manque en terme de réseau

    - Des habitations imbriquées dans des espaces agricoles ou boisés qui peuvent présenter un danger (feu de forêt) pour les populations

    Les Moulières

  • 25

    étude morphologiqueLe secteur à l’Ouest : Font d’Orange et Saint-ArnouxLe caractère rural de la zone et la faible capacité des infrastructures routières ne permettent pas d’envisa-ger une densification de la zone.

    Le secteur du jardin d’élieEspace identitaire dont le caractère naturel de la zone doit être protégé de toute densification.

    Le secteur au Sud : FioussacL’éloignement significatif de ce quar-tier par rapport au village ne permet pas d’envisager sa densification. Une urbanisation croissante de ce secteur impacterait les dimensions écologiques et paysagères locales.

    Vue depuis le jardin d’élie

    Le lieux-dit de Fioussac vue depuis la plaine

    Saint-Arnoux vu depuis la route départementale RD5

  • 26

    étude morphologiqueLe secteur des Ferrages

    Habitation profitant d’un panorama sur la plaine de La Roquebrussanne

    - Espace pavillonnaire lâche de 13 ha où les espaces boisés prédominent

    - Secteur marqué par la topographie où les maisons sont implantées par rapport aux courbes de niveaux

    - Secteur accolé au massif boisé de la Loube

    Perspectives de développement :

    - La proximité avec des entités naturelles fortes n’est pas propice à une densification du secteur des Ferrages

    - Les infrastructures routières actuelles ne semblent pas capables d’absorber des flux supplémentaires

  • 27

    étude morphologiqueLe secteur à l’Est : le vallon de Barras, les Molières, le Régayé, les Rouvières, la Miquelette du lac

    - Habitations individuelles diffuses- Secteur marqué par de grandes parcelles (hormis dans le hameau des Molières)- Le hameau des Molières est préservé et mis en valeur par la qualité des habitations et de l’environnement- Un paysage «confiné» dû à la présence de végétation dense et d’arbres de haute taille (à l’exception du vallon de Barras)- Secteur relativement éloigné du village

    Perspectives de développement :- Préservation du cadre paysager afin de garantir une qualité de vie recherchée par ses habitants- L’absence de réseau des eaux usées semble peu propice au développement urbain

    Le bâti ancien du hameau des Molières Chemin arboré de la Miquelette

  • 28

    évolution législative : La loi ALUR

    Les zones du PLU impactées par la loi ALUR

    La loi pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové (ALUR) a pour conséquences immédiates la suppression : - des superficies minimales - des Coefficient d’Occupation des Sols (COS)

  • 29

    Zone AUd : La colline du PicalLa majeure partie des parcelles de cette zone mesurent entre 700 m2 et 2000 m2

    Superficie des parcelles

    Emprise au sol maximaledont le Coefficient

    d’Emprise au Sol = 17%(Article 9 du PLU)

    Espace libre dont le Coefficient

    d’Espaces Libres = 40%(Article 13 du PLU)

    Avant la loi ALUR Après la loi ALUR

    Surface de plancher constructiblepar rapport au COS = 0,13

    (Article 14 du PLU)

    Surface de plancher constructible (= Hauteur maximale (2 niveaux) (Article 10 du PLU)

    x Emprise au sol maximale) équivalent à un COS = 0,34

    700 m2 119 m2 280 m2 91 m2 238 m21000 m2 170 m2 400 m2 130 m2 340 m21500 m2 255 m2 600 m2 195 m2 510 m22000 m2 340 m2 800 m2 260 m2 680 m2

    Superficie de la parcelle : 1700 m2Emprise au sol de la construction existante : 125 m2Emprise au sol maximale : 289 m2Surface aménagée : 200 m2Espaces libres : 1330 m2Espaces libres minimum d’après la réglementation du PLU : 680 m2

    Possibilité d’évolution : Possibilité de division foncière avec la construction en fond de parcelle de deux maisons supplémentaires de 80 m2 en R+1.

    La loi ALUR

    Superficie de la parcelle 1700 m2

    Emprise au sol du bâti 125 m2

    Surface aménagée 200 m2hors emprise au sol bâtie (voie d’accès, aire de stationnement, terrasse, piscine, etc.)

    Espace libre disponible 1330 m2

  • 30

    Zone AUe : Vallon de Castel / Trou de Couasse / Les Blanches / Les MolièresLa majeure partie des parcelles de cette zone mesurent entre 800 m2 et 5000 m2

    Superficie des parcelles

    Emprise au sol maximaledont le Coefficient

    d’Emprise au Sol = 15%(Article 9 du PLU)

    Espace libre dont le Coefficient

    d’Espaces Libres = 40%(Article 13 du PLU)

    Avant la loi ALUR Après la loi ALUR

    Surface de plancher constructiblepar rapport au COS = 0,10

    (Article 14 du PLU)

    Surface de plancher constructible (= Hauteur maximale (2 niveaux) (Article 10 du PLU)

    x Emprise au sol maximale) équivalent à un COS = 0,30

    800 m2 120 m2 320 m2 80 m2 240 m21000 m2 150 m2 400 m2 100 m2 300 m21500 m2 225 m2 600 m2 150 m2 450 m22000 m2 300 m2 800 m2 200 m2 600 m23000 m2 450 m2 1200 m2 300 m2 900 m25000 m2 750 m2 2000 m2 500 m2 1500 m2

    Superficie de la parcelle : 1530 m2Emprise au sol de la construction existante : 160 m2Emprise au sol maximale : 230 m2

    Surface aménagée : 360 m2Espaces libres : 1010 m2Espaces libres minimum d’après la réglementation du PLU : 612 m2

    Superficie de la parcelle : 2700 m2Emprise au sol de la construction existante : 120 m2Emprise au sol maximale : 405 m2

    Surface aménagée : 200 m2Espaces libres : 2380 m2Espaces libres minimum d’après la réglementation du PLU : 1080 m2

    Possibilité d’évolution : Construction d’une nouvelle maison en R+1 ayant une emprise au sol de 70 m2.

    Possibilité d’évolution : Construction de 3 nouvelles maisons en R+1 sur des parcelles de 530 m2.

    La loi ALUR

  • 31

    Zone AUe(a) : Les Ferrages / Vallon de Barras La majeure partie des parcelles de cette zone mesurent entre 1500 m2 et 5000 m2

    Superficie des parcelles

    Emprise au sol maximaledont le Coefficient

    d’Emprise au Sol = 15%(Article 9 du PLU)

    Espace libre dont le Coefficient

    d’Espaces Libres = 40%(Article 13 du PLU)

    Avant la loi ALUR Après la loi ALUR

    Surface de plancher constructiblepar rapport au COS = 0,10

    (Article 14 du PLU)

    Surface de plancher constructible (= Hauteur maximale (1 niveau) (Article 10 du PLU)

    x Emprise au sol maximale) équivalent à un COS = 0,15

    1000 m2 150 m2 400 m2 100 m2 150 m21500 m2 225 m2 600 m2 150 m2 225 m22000 m2 300 m2 800 m2 200 m2 300 m23000 m2 450 m2 1200 m2 300 m2 450 m25000 m2 750 m2 2000 m2 500 m2 750 m2

    Superficie de la parcelle : 4500 m2Emprise au sol de la construction existante : 170 m2Emprise au sol maximale : 675 m2Surface aménagée : 600 m2Espaces libres : 3730 m2Espaces libres minimum d’après la réglementation du PLU : 1800 m2

    Possibilité d’évolution : Construction de 5 maisons en rez-de-chaussée ayant une emprise au sol de 90 m2 sur des terrains de 600 m2.

    La loi ALUR

  • 32

    Zone AUf : Le Régayé / La Miquelette du lac / Les RouvièresLa majeure partie des parcelles de cette zone mesurent entre 3 000 m2 et 8 000 m2

    Superficie des parcelles

    Superficie minimale

    des terrains constructibles (Article 5 du PLU)

    Emprise au sol maximale

    dont le Coefficient d’Emprise au Sol = 9%

    (Article 9 du PLU)

    Espace libre dont le Coefficient

    d’Espaces Libres = 40%

    (Article 13 du PLU)

    Avant la loi ALUR Après la loi ALUR

    Surface de plancher constructible

    par rapport au COS = 0,07(Article 14 du PLU)

    Surface de plancher constructible (= Hauteur maximale (1 niveau) (Article 10 du PLU)

    x Emprise au sol maximale) équivalent à un COS = 0,09

    3 000 m2

    4 000 m2

    270 m2 1 200 m2 Impossible à cause de la superficie minimale 270 m24 000 m2 360 m2 1 600 m2 280 m2 360 m25 000 m2 450 m2 2 000 m2 350 m2 450 m26 000 m2 540 m2 2 400 m2 420 m2 540 m27 000 m2 630 m2 2 800 m2 490 m2 630 m28 000 m2 720 m2 3 200 m2 560 m2 720 m2

    Superficie de la parcelle : 6000 m2Emprise au sol de la construction existante : 150 m2Emprise au sol maximale : 540 m2Surface aménagée : 650 m2Espaces libres : 5200 m2Espaces libres minimum d’après la réglementation du PLU : 2400 m2

    Possibilité d’évolution : Division foncière avec la construction de 4 nouvelles maisons en rez-de-chaussée de 85 m2 d’emprise au sol sur des parcelles de 860 m2 ou 3 maisons en rez-de-chaussée de 110 m2 d’emprise au sol sur des parcelles de 1200 m2.

    La loi ALUR

  • 33

    Thématiques Constat Enjeux

    Démographie et habitat

    - Un territoire attractif

    - Augmentation démographique dynamique et récente qui est fortement liée au solde migratoire

    - Une commune relativement jeune, malgré un vieillissement de la population

    - Des ménages qui s’installent dans la durée

    - Une forte prédominance de l’habitat individuel

    - Une majorité de propriétaire

    - Une représentativité du logement social trop faible

    - Un taux de vacance élevé et concentré en majeur partie dans le centre-bourg

    - Adapter l’offre de logements par rapport à l’augmentation du nombre des ménages et proposer un parcours résidentiel adéquat

    - Encourager les projets alternatifs à la maison individuelle tels que l’habitat collectif et l’habitat intermédiaire, afin de renforcer une certaine densification du centre-ville

    - Développer l’offre locative et sociale de qualité

    - Prioriser les opérations de logements vers le centre-bourg afin de profiter des équipements et des services à proximité

    - Mobilisation des logements vétustes en centre-bourg en mettant en place des outils nécessaires à la réhabilitation et à la reconstruction

    Occupation et développement

    urbain

    - Un étalement urbain significatif sous forme d’habitat individuel principalement à l’Est du village

    - À partir du milieu des années 90, le phénomène de division parcellaire apparaît dans la commune

    - Une forte consommation du foncier dans les zones pavillonnaires

    - L’urbanisation se développe au gré des initiatives individuelles

    - Une pression foncière bien présente sur le territoire

    - Maîtriser le développement pavillonnaire et opérer un recentrage de l’habitat autour du centre-bourg

    - Encadrer et limiter l’urbanisation des secteurs habités qui présentent un bâti lâche et une prédominance naturelle afin de préserver la diversification des milieux et des niches écologiques

    - Privilégier la densification des espaces proches du bourg

    - Redéfinir les limites du centre-bourg et identifier les espaces mutables et densifiables

    - Mobiliser les dents creuses et définir de nouveaux secteurs stratégiques à proximité du centre pour développer des projets d’ensemble

    - Encadrer davantage l’urbanisation des secteurs excentrés

    Synthèse des enjeux

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    Thématiques Constat Enjeux

    Mobilité

    - Des cheminements doux insuffisant entre les secteurs pavillonnaires et le centre-bourg

    - Limiter l’urbanisation excentrée par rapport au centre-bourg afin de privilégier les déplacements de «courtes distances»

    - Favoriser les modes de déplacements doux en développant les chemins piétons et les pistes cyclables

    - Requalifier l’entrée Sud du village (articulation route de Toulon et la route de Garéoult) qui pose aujourd’hui des problèmes tant sécuritaires que fonctionnels

    Emploi et activité

    économique

    - Concentration des commerces et des services au sein du centre-bourg

    - Offre commerciale limitée à une supérette

    - Les espaces de micro-centralité du bourg regroupent l’essentiel des commerces et services

    - Une forte représentativité des emplois sur la commune dans le secteur tertiaire et dans l’économie de proximité

    - Un bassin agricole important avec une dominance viticole

    - Conforter les espaces de micro-centralité afin de soutenir l’activité commerciale et tertiaire du centre-bourg

    - Développer de nouveaux espaces commerciaux (petite ou moyenne surface ou des commerces de proximité) dans le centre-bourg ou à proximité immédiate en favorisant la complémentarité avec ceux existants

    - Renforcer la centralité du bourg en développant et en confortant les commerces et services

    - Encourager les pratiques alternatives tel que les initiatives de ventes de proximité et de circuits courts

    - Soutenir et valoriser la production agricole locale

    équipementset réseaux

    - Les équipements communaux sont concentrés dans le bourg ou à proximité directe

    - Des projets sont en cours de réflexion telle que la construction d’une maison médicale regroupant différentes professions de santé

    - Maîtriser la croissance démographique et urbaine afin d’avoir un développement pérenne en cohérence avec les capacités d’accueil du territoire (en terme d’équipement public et de dimensionnement des réseaux tels que les voiries, les réseaux d’assainissement, etc.)

    - Anticiper les besoins en équipements

    - Renforcer la centralité du bourg grâce à l’implantation de nouveaux équipements

    Synthèse des enjeux