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Tableau privé Humbert Galland Victorine Présentation Moins bien connu que les églises de types baroque, Sarde comme à Grignon ou romane comme à Cléry. L’église néo-gothique de Notre Dame des Millières peut nous offrir quelques agréables surprises En entrant dans cette église on peut s’étonner de la simplicité de cet édifice. On va découvrir ensemble son contenu et ses quelques attraits. Église de la rive gauche de l’Isère qui fait partie de la paroisse sainte Claire comprenant 5 communautés locales Grignon Monthion, Bonvillard, Sainte Hélène Sur Isère et Notre Dame Des Millières L’édifice est caractérisé par le style architectural néogothique de la fin du XIXème siècle, très en vogue en France qui restitue le souvenir de l’art architectural du moyen âge. On agrandit l’espace intérieur, bien éclairé par des vitraux pour laisser passer à la fois la lumière et permettre au son de mieux se diffuser. Ce style est très décrié au XXème siècle car sans charme et plutôt dénudé au niveau du décor intérieur. Au sein de la paroisse Notre Dame est considérée intégralement comme de style néogothique en effet l’église de Sainte Hélène sur Isère à la même structure architecturale, mais associé à un clocher datant du XVIIème siècle. L’église d’aujourd’hui n’est pas celle d’hier Ce charmant village était connu au moyen âge (XIVème siècle), sous le nom en latin de Beata Maria de Milleris, ou Miliaria en rapport avec la bienheureuse Marie qui a toujours vécu sous sa protection divine. Etymologie du mot Millières :

- (Milliara) : Borne milliaire romaine (en latin miliaria au plur. milliarium au sing.) - Lieu ou l’on cultivait le Mil en latin millium ancêtre de la polenta

1120 Création du prieuré de Sainte Hélène par Saint Bénezet d’Hermillon qui en fut le promoteur et en confia l’administration aux chanoines augustins de saint Martin de Miséré sous la direction de Saint

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Hugues, (évêque de Grenoble), l’église de sainte Hélène était réputée dans la région pour son pèlerinage 1139 La première église était sous le vocable de Notre Dame de l’aumône. Les dîmes et les offrandes étaient reversées par l’intermédiaire du chanoine de Chevino (Cevins) au diocèse de Maurienne). 1184. Le pape reconnaît que la moitié de l’église des Millières appartient à la juridiction de l’évêque de Maurienne, l’autre moitié probablement au prieuré qui existait sur le territoire de Sainte Hélène des Millières. Nous ne connaissons pas l’emplacement, de la première église sur Notre Dame des Millières. Lors de la fête de la nativité du 8 septembre les mères de familles faisaient bénir leurs enfants malades Au moyen-âge le pays des Millières s’étendait de Aiton jusqu’à Grignon Suite à l’épisode de la peste de 1630 le seigneur avait fait construire au Millieres une maladrerie (hôpital-léproserie) elle était dirigée par des religieux, peut-être des Antonins ou frères hospitaliers de Saint Antoine. 1691 Monthion fait partie de la paroisse de Notre Dame 1650 et 1725 Élévation du second édifice Sur l’ancienne mappe Sarde de 1728 l’église de Notre Dame des Millières était située dans l’ancien centre du village. Jusqu’en 1772 Notre Dame, Sainte Hélène, et Grignon constituait une seule et même paroisse avec deux églises.

Intérieur de l’église Description de l’ancienne église Dimensions : longueur 20/25m, largeur 10/15m. On n’a pas beaucoup de renseignement sur cette église assez sobre de l’extérieur décoré dans le style baroque à l’intérieur. On sait qu’il y avait un autel dédié à la vierge Les fonds baptismaux étaient de forme pyramidale et la cuve en pierre 1761 Réparation des vitraux 1789 - Réfection du plancher de l'église par Barthélémy de la Clérine En 1790 le clocher avait été refait A Notre Dame l’église fut fermée de décembre 1793 à 1795

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Après le concordat Notre Dame devient une succursale En 1831 on compte 94 chaises, 58 places de bancs et 56 places de tabourets En 1841 Il est bien question de faire refaire l’édifice mais la commune et les confréries ne peuvent réunir les sommes nécessaires Le temps passant l’édifice fut peu entretenue il était régulièrement envahie par les eaux lors des crues de l’Hermetaz, à cause de sa mauvaise situation en contrebas de la rivière Finalement la voute s’est écroulée, les murs se sont lézardés et les planchers étaient vermoulus quand elle fut abandonné En 1870 elle sera en partie détruite et servira à la reconstruction du nouveau presbytère Description de l’église d’aujourd’hui

Dimensions : 25m de long et 15m de large environ Gros œuvre : briques, grés taillés, charpente bois On distingue sur la façade Nord, l'emplacement d'un ancien cadran solaire dont ne connait pas la représentation d’origine Sur les deux façades des traces d’impacts certainement le résultat de quelques tirs perdus lors de la guerre 39/45 Quatre fenêtres sur les façades, plus une pour la sacristie. Le portail principal avec une porte à double vantaux est entouré par quatre colonnettes en grés surmontées par des chapiteaux représentant le monde végétal. Dès le franchissement de la porte, on remarque deux salles qui ont été prélevées sur les parties latérales pour servir de réserves ou de classes aux enfants mais qui ne nuisent pas à la surface nécessaire pour accueillir les paroissiens Après une double porte vitrée on se retrouve sur l’allée centrale qui va directement rejoindre le chœur, il n’y a pas de transept comme dans les églises romanes. Deux allées latérales séparées par trois colonnes formant 4 arches. La voûte en croisée d’ogives caractéristique de la construction gothique était à l’origine bleue clair incrustée d’étoiles dorées Au-dessus de la porte d’entrée une large tribune balustrade en fer forgé pouvant accueillir les paroissiens lors des cérémonies Construction 1859 Hilarion Daymonaz curé de la paroisse fut le principal instigateur de la construction, de l’édifice, situé au lieu-dit ‘’ le creux du loup’’ L’ingénieur Belotti en avait fait les dessins Les travaux seront adjugé le 10 décembre 1859 au bureau d’Intendance pour 41718 livres le bois sera fourni par la commune, aux termes du cahier des charges. Les travaux, devront être terminés dans le délai de deux ans. Après de nombreuses péripéties la construction, commencera en 1861 et c’est l’architecte Théodore Fivel qui en sera le maître d’œuvre (Le grand spécialiste de l’architecture néogothique de Savoie). Bien que bénéficiant comme toutes les églises de France d’une aide de l’état substantiel (1000 francs) certains villageois ne sont pas forcément convaincus sur le type d’architecture plus chère qu’une construction de style roman. L’évêché profite de ce moment pour créer une nouvelle paroisse beaucoup plus vaste puisqu’elle comprend l’église de Grignon. 1869 L’église fut consacrée elle portera dorénavant le nom de Notre Dame de la Nativité

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1875 - «Dans les murs de l’église, lors de réparations on a découvert un bloc de pierre jadis creusé en bénitier qui aurait fait disparaître toute la partie centrale de l’inscription romaine On lisait: « (D/ is) M (anibus)/mil(itrium ?)---Diumvire ?/juste)/dicun/do/--(R/----/IMP/---(N)---)/MV/---/Ian/varia mjar/ito) : Aux dieux Mane de sextus Decidius--tribun militaire( ?)» Carte Archéologique de la Gaule » Rémy, Bellet, Ferber. Une preuve peut-être de la présence romaine au pays des Millières et d’une route secondaire reliant cette rive à la Maurienne

Quelques rénovations 1866 - Rénovations de la charpente du clocher 1882 - Dominique Macchetti refait les planchers pour 668francs 1900 - Le dallage de la sacristie est confié à Jean Zanolini de Sainte Hélène sur Isère 21M2 sur 12 cm d’épaisseur coût 100 francs le M2 1910 - L’édifice appartiendra dorénavant à la commune 1912 - Réparation de la toiture de la nef principale 1956 - Travaux de réfection de la façade 1964 - M.Bisasson offre la restauration des vitraux qui sera exécuté par l’artiste A Jacqui de Lyon 1974 - Les murs intérieurs sont repeints. L’isolation est réalisée par Gilbert Favatio. Coût : 28134francs 2000 - La commune finance la réfection des vitraux de la nef et de l’allée latérale. Il y a tellement eu de rénovations que nous n’avons plus souvenir de son premier décor intérieur en 1861 Patrimoine 14) Tableau représentant la nativité de Marie (auteur Maxime Oudeard 1657) son cadre a disparu ses dimensions 2m sur 2m60 environ Description : Le tableau est divisé en trois parties 1ère partie La naissance avec sainte Anne allongée entourée de ses aides 2ème partie La toilette du nouveau-né (le bain est un motif d’origine byzantine) Une femme faisant sécher le linge près de la cheminée et une autre se tient prés du berceau. 3ème partie Trois personnages: De gauche à droite Saint Joseph, (celui-ci tend une main bienveillante) vers l’abbé Paraz au centre celui-ci détient la crosse signe de reconnaissance de sa fonction une manière de lui décerner le ‘titre de pasteur’. La mitre posée sur une table ronde nous indique que c’est un abbé mitré, Il est fort probable que cet abbé fut prieur dans un monastère On peut aussi s’apercevoir que la volute de la crosse est tournée vers lui ce qui signifie qu’il détient dorénavant la juridiction de la paroisse A droite, Etienne portant les pierres de sa lapidation dans sa main gauche, et bien sur la palme du martyr dans sa main droite. Pour information l’imagerie populaire représente généralement les saints avec les éléments caractéristiques de leur vie. Du point de vue de la peinture on peut constater la disproportion des jambes des angelots Les personnages sont placés de gauche à droite selon leurs importances. Ce retable va être bientôt classé par les services du patrimoine et recevoir l’arrêté d’inscription au titre des monuments historiques en 2015

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moins connu que son fils Nicolas tous les deux peintres en Tarentaise ce tableau est d’une grande rareté pour l’instant un seul exemplaire connu en Savoie C’est aussi un objet précieux pour les milliérains un trésor familial que nous ont laissé nos aïeux, que nous devons transmettre aux générations à venir

« Maxime Oudeard a aussi peint " Une Sainte Trinité" pour l'église de Granier en 1662 et qu'il est probablement l'auteur d'une autre "Trinité" (1646?) Sa dernière œuvre connue, elle aussi disparue, est une « Nativité » avec un Saint Antoine et un Saint Claude pour l'église de Notre Dame de Briançon, daté du 26 avril 1676 (Gudinet, notaire) » Nicolas Oudéard, peintre de Tarentaise ( 1645-1692) C’est aussi un objet précieux pour les milliérains un trésor familial que nous ont laissé nos aïeux, que nous devons transmettre aux générations à venir Note : A lire au sujet du peintre Nicolas Oudéard peintre en Tarentaise p 26 et p27 Dans La rubrique des patrimoines de Savoie décembre 2012-N°30

Tableau de la Nativité par Maxime Oudéard

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En latin une inscription “Cette œuvre sacrée a été exécutée pour toi Vénérable Stéphane Paraz, (prêtre de la paroisse) protecteur de ce lieu en l’an 1657 ‘’

Signature de Stéphane Paraz (pasteur) Prêtre de la paroisse en 1649 Les autels latéraux Œuvres d’Alexandre Gilardi sont en bois et plâtre polychrome, très classique du style néo-gothique, on retrouve les mêmes retables latéraux par exemple à Saint Martin des Bois en Gironde.

- L’autel dédié à la Vierge du Rosaire avec les statues de saint Joachim et de sainte Anne - L’autel de saint Joseph qui a été restauré en 1974.

Coût 2600 francs les deux. Ces deux autels sont aujourd’hui attaqués par l’humidité et les boiseries se détériorent Le maître autel a été démonté cout 1850 francs Les trois autels ont été construits en 1866 Le tombeau d’autel a disparu en incrustation on pouvait voir les membres de la Sainte Famille saint Joachim et sainte Anne ainsi que saint Jean Baptiste Christ en croix Les deux anges situés au-dessus du tabernacle en bois dont les couleurs ont été effacées devaient être originellement sur l’ancien maitre autel Le tabernacle originel a disparu comporté une première porte ou était incrusté la foi tenant voilé les espèces eucharistiques et sur le second panneau des textes des saintes écritures Les pupitres Le pupitre à gauche exécuté par Mr Lyson de Bonvillard et l’ambon qui est le lieu de la Parole de Dieu à droite vers la porte de la sacristie sculpture sur bois incrusté par Jean Claude Marillet en 1971. Le même artiste qui a exécuté (la nouvelle statuette de saint Jacques à Thénésol et le chemin de croix dans l’église de Grignon

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Un vitrail central au-dessus de la Croix représentant la Vierge écrasant la tête du serpent (le mal) Chemin, de croix. (Début du 20ème siècle) restauré par l’abbé Burdin (acheté avec l’argent de la vente d’une terre labourable venant du testament de madame Françoise Pasquier) Statuettes : Jeanne D'Arc, la Vierge de Lourdes, Padré Pio, Sainte Thérèse, Saint Joseph, l'enfant Jésus dit de Prague, Saint Antoine de Padoue, Saint François de Sales, Vianney Jean Marie Une bannière de confrérie : Il n’en reste plus qu’une aujourd’hui en très mauvais état. Une autre en bannière de couleur rouge avait été acheté en 1880 elle a disparu Un harmonium un trésor oublié datant des années 1880, œuvre de Dumont et Lelievre leurs ateliers se trouvant (aux Andelys dans l’Eure) plusieurs fois restauré

La chaire est l’œuvre de François Gilardi en noyer pommeté d’après un plan de 1863 sur les panneaux du devant nous pouvons remarquer les quatre évangélistes avec leurs emblème respectifs et une gloire au milieu de laquelle est sculptée une colombe emblème du saint Esprit et enfin les emblèmes de l’ancien et nouveau testament surmontés d’une croix elle fut consacrée en 1867

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Fonts baptismaux en noyer sculpté se composent d’une cuve, fermée d’un couvercle, adossé à un élément mural, œuvre d’Alexandre Gilardi datant du XVIIIème siècle en incrustation le baptême de Jésus

Plaque commémorative en marbre en incrustation les noms des jeunes milliérains morts durant la guerre 14/18). Deux bénitiers en pierre sculptée en godrons scellés dans le mur datant du XVIIIème siècle) et un troisième en pied a l’entrée Sacristie

Une Pietà en bois dont on a retiré les peintures a une particularité le visage de la Piéta ressemble étrangement au visage de la mère de maître Gilardi. Celui qui a conçu la chaire Statuette de sainte Philomène en bois sculptée peinte Quatre reliquaires dûment scellées contenant les reliques de Saint François de Sales, de Françoise de Chantal, de Sainte Maxime, et de Saint Joseph le confesseur. Un ostensoir soleil en argent Trois calices, deux en argent et un en vermeil dont l’un d’eux sera peut-être classé au patrimoine historique Un coffret avec 3 petites ampoules contenant les saintes huiles Un tableau, un ex voto de style baroque représentant Notre-Dame couronnée et l’Enfant Jésus portés par les nuages donnant le scapulaire ( qui donne sa protection) à un ermite, pieds nus, vêtu de la robe de bure de l’ordre Antonin (saint Antoine), à gauche un évêque (donnant son assentiment). Entre les deux personnages une nef secoué par l’état de la mer avec deux personnages à l’intérieur.

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Ce tableau est peut-être de Gabriel Dufour de Saint-Michel-de-Maurienne ou de l’un des membres de sa famille Il a été réalisé vers la moitié du XVIIème siècle. Tableau en l’honneur de la léproserie dirigé par les Antonins installée en 1630

Clocher Le clocher avec un toit en flèche de charpente à 6 pans en pointe une boule (la terre) plus une croix à trois flèches surmonté d’une girouette (un coq). Autrefois on pouvait y accéder par une porte extérieure aujourd’hui rebouchée. Pour accéder aux cloches un escalier en bois torsadé est en bien mauvais état Notre église est encore une des rares en Savoie dont le fonctionnement est manuel (à cordes).Quatre cloches dont deux petites datant de 1927 En 1873 réparation de la grande cloche et remplacement des fers plus les fournitures par M Collombier Sylvestre il reconnait avoir reçu 15 francs pour son travail. En 1966 le prêtre de l’époque avait envisagé l’électrification pour les deux grosses cloches de 460 et 325 Kg mais cela ne se fera pas. Les courroies sont d’origine, elles proviennent de la sellerie boullerie Léon Jeannot d’Albertville début XXème siècle Monsieur Bisasson proposa à la mairie d’installer le système électrique de la maison ‘Paccard’ en Haute Savoie mais la mairie refusa de faire faire les travaux du fait de son coût. Aujourd’hui les cloches sont usées par les battants elles ne sont pas protégés par des tampons de protection Les derniers carillonneurs : Roger Cahier-d’Héry, Gonnessat Albert

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En conclusion des traces d’humidité, décollement de la peinture, une toiture fragilisée par les ans Cette église nécessiterait quelques réparations en particulier au niveau de la toiture constitué en grande partie d’ardoises mais aussi de tôles ondulées Au nom des paroissiens et des habitants de la commune nous espérons que des travaux conséquents de rénovations puissent apporter à cette église le renouveau nécessaire pour sa conservation

Notre Dame des Millières le 4 juillet 2014 Abbatucci Charles René