christine guillaume directrice générale de la culture ministère de la communauté française

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Page 2: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Christine GUILLAUME

Directrice générale de la Culture

Ministère de la Communauté française

Page 3: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Fadila LAANAN

Ministre de la Culture, de l’Audiovisuel, de la Santé et de l’Egalité des chances

Communauté française

Page 4: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Docteur Guénaël DEVILLET

Directeur du SEGEFA

Ulg

Page 5: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Brigitte DE RIDDERInspectrice

et Philippe PEPIN

Inspecteur

Administration générale de la Culture du Ministère de la Communauté française

Page 6: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Namur est à la fois une capitale et une ville de province

• Siège de nombreuses institutions publiques, tiraillée entre des métropoles comme Liège, Bruxelles et Charleroi.

• Son statut l’amène à accueillir de nombreux navetteurs.

• L’activité économique est en dehors de la ville et n’a pas d’impact direct sur la vie créative urbaine.

• La ville compte une université, mais celle-ci vit en autarcie.

Dans l’arrondissement, les Communes environnant la Ville vivent unedouble attraction à la fois vers Namur et à la fois vers les frontièresextérieures : Bruxelles et le Brabant Wallon, Huy et Charleroi.

Les habitants de l’arrondissement ont une propension évidente et plusimportante qu’ailleurs en Wallonie à se préoccuper de leur cadre de vie.

Page 7: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Les pratiques et les consommations culturelles en Communauté française

(IPSOS 2008 ) « La participation culturelle en CF, une prise en compte du facteur géographique », ULB 2011.

Principales observations

• Le Namurois, plutôt casanier.

• Propension du Namurois pour les activités de la sphère privée.

• Activités : bricoler, jardiner mais aussi l’usage du multimédia.

• Ce comportement est à relativiser : du moins pour le nord de la Province.

CFWB
PP
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Les sources publiques de financement

Page 10: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Indications méthodologiques :Année de référence 2008 (ou autre année si variations faible)

Communauté Française :

Non pris en compte :

• les subventions en infrastructure,

• les dépenses non récurrentes,

• les initiatives culturelles propres de la CF (ex : Centre de prêts de matériel de Naninne, Centre de rencontre et d’hébergement de La Marlagne, Centre de Lecture Publique - bibliobus de Gembloux).

Province de Namur :

• subventions aux opérateurs, récurrentes ou ponctuelles,

• dépenses culturelles réalisées par la Province au titre d’opérateur culturel.(Lecture Publique, diffusion culturelle, arts plastiques, formation, stages créatifs, etc.)

Communes : flux financiers par codes fonctionnels.

Région Wallonne : les données relatives à l’emploi subventionné, au titre de la lutte contre le chômage de longue durée, et qui bénéficie au secteur culturel, n’ont pas pu être prises en considération, car elles ne sont pas collectées officiellement – du moins, pas à ce degré de précision.

Page 11: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

41%

18%

41%

Communauté française Prov ince de Namur Communes de l'arrondissement

SOURCES SUBVENTIONS POURCENTAGE

Communauté française 17.737.093,00 € 41,13%

Province de Namur 7.863.788,00 € 18,24%

Communes de l'arrondissement

17.518.615,00 € 40,63%

TOTAL : 43.119.496,00 € 100,00%

L’investissement moyen des Communes par habitant s’établit à 57,4 € par an, la Commune la moins généreuse en culture dépensant 9,3 euros, et la Commune ayant le plus pris en compte le facteur culturel dans son développement dépensant annuellement 123,4 € par habitant.

Poids relatif des différentes sources de subventions publiques

Page 12: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

L’ensemble des flux financiers de la Communauté française affectés dans l’arrondissement, par division organique (DO)

10%

15%

5%

40%

2%

28%

- €

2.000.000,00 €

4.000.000,00 €

6.000.000,00 €

8.000.000,00 €

1

Affaires générales et Centres culturels Arts de la scène

Lettres et Liv re Education permanente et J eunesse

Patrimoine culturel et Arts plastiques Audiov isuel et multimédias

Divisions Organiques Subvention Pourcentage

20 Affaires générales et Centres culturels 1.750.031,55 € 9,90%

21 Arts de la scène 2.652.148,00 € 15,00%

22 Lettres et Livres 800.505,23 € 4,53%

23 Education permanente et Jeunesse 7.287.327,88 € 41,21%

24 Patrimoine culturel et Arts plastiques 322.450,40 € 1,82%

25 Audiovisuel et multimédias 4.872.222,04 € 27,55%

TOTAL 17.684.685,10 € 100,00%

Page 13: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Domaines Montants % par poste % sectoriels

Centres culturels 1 390 526,07 7,93

Divers - affaires générales 174 621,87 1,00 8,93

Arts de la scène :

Danse 8500,00 0,05

Arts du cirque, arts forains et de la rue 145 000,00 0,83

Musique 1 168 600,00 6,66

Théâtre 1 132 717,00 6,46

Divers arts de la scène 197 331,00 1,12 15,12

Livre et Lettres :

Lecture publique 700 123,34 3,99

Autres interventions 135 334,89 0,77 4,76

Page 14: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Jeunesse et Education permanente :

Education permanente 5 176 048,76 29,50

Jeunesse (dont : 2 102 352,62 11,98

Organisations de jeunesse 861 115,75 40%

Centres de jeunes) 1 241 236,87 60%

Autres DO 23 8881,50 0,05 41,53

Patrimoine culturel et arts plastiques

Patrimoine culturel : dépenses et subventions diverses 293 658,00 1,67

Arts plastiques 38 792,40 0,22 1,89

Audiovisuel et multimédias

Cinéma et vidéo 395 765,91 2,26

Presse 2 959 986,61 16,87

Radio et télévision 1 248 469,52 7,12

Autres SGAM 26 8000,00 1,53 27,78

Total global 17 544 709,50 100

Domaines   Montants % par poste % sectoriels

Page 15: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Investissements FWB sur l’arrondissement

• Education permanente et jeunesse 41.53 %• Audiovisuel et multimedia 27.78 %• Arts de la scène 15.12 %• Centres culturels 8.93 %• Lettres et livres 4.76 %• Patrimone culturel et arts plastiques 1.89 %

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Interventions de la Province de Namur

Subventions localisables 639.544,00 8% dont Namur seul 562.554,00 88%

Subventions non localisables 459.798,00 6%

En tant qu'opérateur propre 6.764.446,00 86%

Total 7.863.788,00

Page 17: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

• On constate que la Communauté française et la Province investissent largement sur le territoire de la Commune de Namur.

• En cela, les pouvoirs publics ne font qu’entériner le rôle de pôle sous-régional et de capitale de la Ville de Namur.

Page 18: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Cette constatation est également très claire, lorsque l’on observe la répartition géographique des subventions de la Communauté française dans l’arrondissement.

Il est toutefois utile de relativiser partiellement cette répartition. En effet, nombreuses associations sont établies sur le territoire de la Ville de Namur, mais exercent une action sur un territoire beaucoup plus vaste, voire sur l’ensemble de la Communauté française (par exemple : le Théâtre de Namur).

Cette représentation graphique cerne les parts relatives de ce qui est dépensé en culture à Namur Ville, distingué de la part des dépenses culturelles qui profitent tant à des Namurois qu’à d’autres habitants de la Communauté française.

Page 19: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

En raison de cette précision, l’ensemble des subventions de la Communauté française dans l’arrondissement de Namur peut être représenté de la manière suivante :

Page 20: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

22%

78%

Commune d'Andenne Commune d'Assesse Commune d'Eghezée

Communauté française 9,20% Communauté française 55,85% Communauté française 21,85%

Autres (Commune et Province) 90,80% Autres (Commune et Province) 44,15% Autres (Commune et Province) 78,15%

56%

44%

52%48%

20%

80%

Rapport par Commune entre les interventions culturelles de la Communauté française et les deux autres pouvoirs publics

Commune de Fernelmont Commune de Floreffe Commune de Fosses-la-Ville

Communauté française 11,80% Communauté française 24,87% Communauté française 52,21%

Autres (Commune et Province) 88,20% Autres (Commune et Province) 75,13% Autres (Commune et Province) 47,79%

Commune de Gembloux Commune de Gesves Commune de Jemeppes/s/Sambre

Communauté française 37,94% Communauté française 19,75% Communauté française 26,80%

Autres (Commune et Province) 62,06% Autres (Commune et Province) 80,25% Autres (Commune et Province) 73,20%

25%

75%

38%

62%

27%

73%

12%

88%

Page 21: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

La Bruyère Mettet Namur

Communauté française 51,66% Communauté française 4,85% Communauté française 66,97%

Autres (Commune et Province) 48,34% Autres (Commune et Province) 95,15% Autres (Commune et Province) 33,03%

52%48%

5%

95%

67%

33%

Commune de Ohey Commune de Profondeville Commune de Sambreville

Communauté française 48,45% Communauté française 8,15% Communauté française 16,20%

Autres (Commune et Province) 51,55% Autres (Commune et Province) 91,85% Autres (Commune et Province) 83,80%

48%52%

8%

92%

16%

84%

Commune de Sombreffe

Communauté française 0,00%

Autres (Commune et Province) 100,00%

0%

100%

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Cartographie de l’ensemble des opérateurs soutenus par

la Communauté française Wallonie-Bruxelles et

la Province de Namur

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• Pas de culture sans public. C’est pourtant dès l’école que les goûts et la connaissance des tendances culturelles s’affirment. On constate que, même sans grands moyens, des relations parfois intenses existent entre les écoles et le monde culturel.

• Dans la carte, les différentes interventions connues par l’Administration de la Culture ont été relevées et s’intègrent dans des projets au minimum annuels impliquant directement une ou des écoles.

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Un arrondissement qui n’est pas homogène

• Les investissements culturels de la Communauté française dans l’arrondissement ne se sont pas encore adaptés aux évolutions sociologiques de ce dernier.

• Des zones entières peuvent être considérées par la Communauté française comme des « déserts », alors que les témoignages recueillis montrent une vitalité culturelle et associative réelle, mais très peu connue par l’Administration générale de la Culture.

• Quand on croise la cartographie des opérateurs et flux financiers culturels publics, il est possible de distinguer quatre zones et deux Communes « orphelines » où les réalités sociologiques diffèrent.

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Se distinguent ainsi :

• Zone 1 : Namur Ville.

• Zone 2 : le nord : tourné autant vers Namur, que vers Bruxelles et le Brabant wallon : Sombreffe, Gembloux, Eghezée, La Bruyère et Fernelmont (= la Hesbaye namuroise).Zone de désengorgement des grandes villesCohérence : cette zone a son petit ‘sous-centre’ urbain : Gembloux.

• Zone 3 : le sud résidentiel : Floreffe et Profondeville, Assesse, Gesves, et Ohey, (le Condroz namurois).

• Zone 4 : Jemeppe/s/S, Sambreville, Fosses-la-Ville, (le sillon Sambre et Meuse).

• Zone 5 : Andenne : Commune « isolée ». Andenne : ville tampon entre Liège et Namur ; en mutation économique et sociale.

• Zone 6 : Mettet, territoire de transition vers l’arrondissement de Philippeville (Pays des Vallée) et Charleroi, seule commune considérée comme commune agricole dans la typologie DEXIA.

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Zone 1 - Namur :

• ville de Patrimoine, d’Histoire et de Traditions • Namur, capitale de la Wallonie • ville durable • ville au cadre de vie exceptionnel• ville étudiante • ville « bourgeoise »

CFWB
BB
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Zone 2 : LE NORD : Sombreffe, Gembloux, Eghezée, La Bruyère et Fernelmont

• Forte poussée démographique.

• Gembloux émerge comme le centre urbain de cette zone (gare, centre scolaire, commerces, centre culture/cinéma).

• Synergie entre opérateurs culturels (centre culturel, Atelier sorcier) et les Facultés universitaires.

• Eghezée s’affirme aussi comme un autre lieu fort.

• Très peu d’acteurs culturels connus sur Sombreffe et Fernelmont.

• Evolution à La Bruyère.

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Zone 3 : Floreffe, Profondeville, Assesse, Gesves et Ohey Zone de débordement du Grand Namur, banlieue verte.

Assesse, Gesves et Ohey : « communes résidentielles en zone rurale ».

• « Communes des bobos » : vivre à la campagne résulte d’un choix, le cadre de vie (la ruralité et la nature) est un capital rare à valoriser.

• Nivellement socio-économique vers le haut, lié à la pression immobilière (risque de dualisation).

• Association des 3 communes sur un projet Leader .

• Présence limitée de la Communauté française dans ces communes.

• Les communes interviennent davantage par l’intermédiaire du soutien à des initiatives privées .

• Alors que la CF intervient sur des projets « population locale », les aides communales soutiennent plutôt l’attractivité du territoire.

Floreffe et Profondeville : extension de la zone urbaine de Namur.

Page 35: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Zone 4 : Sambreville, Jemeppe sur Sambre, Fosses-la VilleSambreville

• Caractéristiques générales de la population : – représentation territoriale très limitée (le quartier), très peu mobile– peu qualifiée (surtout les jeunes)– faibles revenus – sentiment d’appartenance et de fierté • Réponses culturelles :– déploiement d’outils de proximité (bibliothèques, …)– offres de formation, y compris aux métiers de la culture (MJ/FOREM)– accès démocratique aux activités, partenariats (CPAS, associations ciblées)– exploitation du sentiment d’appartenance à la Basse-Sambre via des créations socio artistiques • Stratégies culturelles : – concertation multisectorielle indispensable (coordination)– projets intégrés (différents volets d’action : culturels, petite enfance, insertion ,…)– diversification des soutiens publics : CF + Forem, RW, ONE, UE, etc…

Fosses-la-ville • commune résidentielle en zone périurbaine, actuellement en processus de PCDR.• centre culturel à la croisée des logiques de participation citoyenne et de la valorisation du patrimoine

folklorique. • Priorité à la jeunesse via le Conseil communal des enfants, les ateliers d’expression et les projets

internationaux.Jemeppe

• commune pourvue de moyens propres significatifs.• faible partenariat.• Réseau de lecture publique – festival de Moustier/cinéma belge.

Page 36: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Zone 5 - Andenne :• situation tampon entre Liège et Namur ; • profil socioéconomique en mutation : tradition ouvrière liée aux carrières et fonderies, qui évolue vers un

réseau d’indépendants et de petites et moyennes entreprises. • revenu médian peu élevé • la culture se fonde sur les traditions locales, à savoir les métiers des terres plastiques : Musée de la

Céramique, Biennale de la Céramique. • projet d’infrastructure, premier bâtiment public tournée vers la Meuse, symbolique et/ou annonciateur

d’une mutation économique et sociologique d’un actuel chancre, l’extension du Centre culturel préfigure un changement de stratégie culturelle, passant d’une logique surtout centrée sur la diffusion vers une logique socio-artistique.

Zone 6 - Mettet : • zone de transition entre le Namurois et le sud de l’entre Sambre et Meuse, seule commune agricole de

l’arrondissement.• une des communes où la Communauté française intervient très peu (ratio commune/CF de 95/5).

Tentative de développer des activités culturelles à vocation touristique, dont l’Abbaye de Brogne est probablement le meilleur exemple connu.

Page 37: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

Les grandes tendances transversales de l’arrondissement

Quatre tendances lourdes nous paraissent traverser l’ensemble des observations faites au départ des chiffres

et des cartes de la culture dans l’arrondissement.

• Constat d’une certaine forme de nouvelles pratiques, – des communes en voie de rurbanisation (banlieue rurale = un choix de vie)– une majorité d’associations (EP, CC) sont centrées sur le développement durable. (interprétation du

paysage, biodiversité, alimentation, Art et Nature, Art et science du vivant, etc…).– Politique d’un nombre croissant de communes en faveur du cadre de vie, La propension des Namurois (province) à privilégier les activités de la sphère privée vient conforter cettetendance.

• Dans ces communes résidentielles, l’encadrement de la jeunesse se présente souvent comme une problématique prégnante.

Page 38: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

• L’arrondissement de Namur est aussi traversé par les stigmates du sillon industriel, sur l’axe Andenne – Namur – Sambreville.Représentation caractérisée de l’état de pauvreté par rapport à d’autre centres urbains wallons.

• Faible couverture en lecture publique de l’arrondissement (9 communes sur 16) – faible investissement des communes,– la tendance actuelle à se détourner de l’écrit traditionnel au profit de l’audiovisuel et du multimédia, – un décret de la Communauté française financièrement trop lourd à porter pour des communes peu

peuplées ou désargentées.

Les grandes tendances transversales de l’arrondissement (suite)

Page 40: Christine GUILLAUME Directrice générale de la Culture Ministère de la Communauté française

• Partager les éléments de diagnostic : ajouter, modifier, critiquer, …

• Quels enjeux, quelles conclusions s’en dégagent? Quelles pistes, questions à explorer, ….

• Mettre en place le groupe de pilotage sur l’arrondissement.

S’inscrire :• Adresse : [email protected] : http://www.culture.be (développement territorial)

Le débat :