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2011

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MOT DE LA MINISTRE DE LA CULTURE, DES COMMUNICATIONS ET DE LA CONDITION FÉMININE

Je suis heureuse de m’associer au Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec (RIASQ) qui fournit aux jeunes des cégeps l’occasion d’exprimer leurs visions du monde par l’écriture, la musique, la danse, le théâtre, les arts visuels et l’improvisation. La pratique de l’une ou l’autre de ces formes de communication est à la fois source de plaisir et d’épanouissement personnel, et elle ouvre l’esprit à des horizons nouveaux.

Je souhaite beaucoup de succès aux jeunes artistes qui donnent le meilleur d’eux-mêmes pour communiquer une émotion, faire naître un rêve ou simplement offrir un divertissement de qualité. En vivant ces expériences formatrices, ils contribuent au dynamisme culturel du Québec.

Je remercie les responsables du RIASQ qui jouent un rôle de premier plan dans la découverte, la formation et la promotion de ceux et de celles qui seront les têtes d’affiche de demain. Enfin, j’invite la population à participer en grand nombre à ces manifestations qui célèbrent l’imaginaire humain.

Christine St-Pierre

MOT DE LA MINISTRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORTC’est avec grand plaisir que je m’associe au Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec pour saluer le talent formidable des étudiants et étudiantes qui participent à ces rendez-vous culturels.

Que ce soit à travers la musique, la danse, le théâtre, les arts plastiques ou l’improvisation, ces jeunes qui viennent de partout au Québec ont là une occasion exceptionnelle de développer leur potentiel et d’enrichir leur parcours scolaire. Je leur souhaite un franc succès et j’invite toute la population collégiale à applaudir leurs performances.

Les cégeps sont des lieux d’apprentissage stimulants et propices à la créativité. Les milliers de jeunes qui participent aux événements culturels du Réseau en sont une preuve éloquente.

Je tiens à féliciter chaleureusement tous ceux et celles qui collaborent à l’organisation de ces activités. Celles-ci contribuent assurément à la vitalité de notre réseau collégial et permettent au talent artistique de s’y épanouir pleinement.

Line Beauchamp

MOT DE LA DIRECTRICE GÉNÉRALE DU CÉGEP DU VIEUX MONTRÉAL

MOT Du directeur des services aux étudiants

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C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je m’associe à toute la communauté du Cégep du Vieux Montréal pour souhaiter la plus cordiale des bienvenues aux jeunes artistes qui participent à la 22e Exposition intercollégiale d’arts plastiques, qui se tiendra dans notre établissement, du 2 au 8 mai 2011.

Cette exposition constitue un moment qui nous permet de reconnaître le talent de ces jeunes artistes et de valoriser le travail qu’ils ont réalisé en présentant leurs œuvres d’art.

Je vous invite à les découvrir et à partager, avec nous, le plaisir de leur créativité. Félicitations à tous les participants, aux enseignants qui les ont soutenus et aux organisateurs de cette exposition.

Une grande joie nous habite au moment de vous souhaiter enfin la bienvenue au Cégep du Vieux Montréal, au cœur du Quartier Latin de Montréal, pour cette vingt-deuxième Exposition intercollégiale d’arts plastiques.

Depuis plusieurs mois, les maîtres d’œuvre de cet événement, les enseignants du département des arts plastiques ainsi que des membres de l’équipe du Centre d’animation de français (Canif) et du Secteur d’animation culturelle (Sac) préparent le terrain, ouvrent les chemins, inventent les espaces pour cette aventure de diffusion et de formation. Merci pour ce travail exceptionnel !

Le Cégep est maintenant paré des œuvres de plus d’une centaine de jeunes artistes de partout au Québec. C’est à travers leurs couleurs et créativité que la communauté du Cégep et le public pourront voir le monde du 2 au 8 mai prochains. Quant aux participants et participantes, ils pourront, pendant ces quelques jours, échanger, partager, découvrir.

Je remercie aussi tous ceux et toutes celles qui ont permis le voyage de ces étudiants et étudiantes et vers ce lieu de rencontre annuel qu’est l’Exposition intercollégiale d’arts plastiques.

Bienvenue chez nous  !

Murielle Lanciault

Denis Couturier

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Annie et Pierre, ATSA

François ProvostConseiller à la vie étudiante du Cégep de Rivière-du-Loup

Du courage et de l’authenticitéDepuis 1998, nous, Pierre Allard et Annie Roy, couple dans la vie et dans l’art, nous sommes définis comme l’ATSA, l’Action Terroriste Socialement Acceptable. Nous travaillons ensemble à la création dans l’espace urbain, cet espace partagé, d’œuvres qui posent un regard sur les grands problèmes actuels. Nous créons des œuvres qui transportent l’individu vers une conscience collective et l’incitent à s’y inscrire activement. On n’est pas tous obligés de faire un art dit politique, mais on est tous obligés d’être authentiques, d’innover et, par là, de faire avancer la perception du réel. On veut surtout vous dire de ne pas avoir peur de vous impliquer dans l’avenir du Québec par votre authenticité et votre courage créatif. C’est en vous dépassant vous-même, en vous surprenant sans cesse, que vous ferez de NOUS une société plus intelligente, plus sensible… et que vous nous motiverez à rester jeunes ! On a hâte de vous voir !

MOT DES PORTE-PAROLE DE LA 22E ÉDITION DE L’EXPOSITION INTERCOLLÉGIALE D’ARTS PLASTIQUES

MOT DU PRÉSIDENT DU RIASQ Au nom des animatrices et animateurs qui supportent, encouragent et mobilisent les étudiants à participer aux événements du RIASQ, je tiens à vous souhaiter de vivre un événement qui laissera des traces indélébiles dans votre vie.

La généreuse et inépuisable collaboration des comités organisateurs, des bénévoles et des artisans de toutes provenances ainsi que l’implication des partenaires à tous les niveaux, alliés indispensables au développement du loisir culturel dans les cégeps du Québec, contribuent à rendre cet événement possible. Nous vous en sommes reconnaissants.

S’engager dans une activité socioculturelle, c’est se donner une chance de mieux réussir au collégial.

Grâce à vous, cégépiens de partout au Québec, la morosité brillera par son absence tout au long de cet événement. Ça grouille, ça sent la vie autour de nous; profitons-en !

Photo : Martin Savoie

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PRÉSENTATION DE L’EXPOSITION INTERCOLLÉGIALE D’ARTS PLASTIQUES L’Exposition intercollégiale d’arts plastiques est le rendez-vous annuel par excellence pour les étudiantes et étudiants passionnés par cette forme d’expression et pour le public appelé à découvrir de nouveaux talents. L’Exposition, qui est accueillie en alternance par l’un ou l’autre des collèges membres du RIASQ, regroupe plus d’une centaine d’œuvres aux techniques variées réalisées par des jeunes provenant d’une trentaine de collèges répartis aux quatre coins du Québec.

En plus d’exposer leurs œuvres, les jeunes participent à une journée d’échanges consacrée à des ateliers, des conférences, des performances et des visites de musées ou galeries grâce à la collaboration d’artistes professionnels.

La 22e Exposition intercollégiale d’arts plastiques est une production du Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec (RIASQ), une réalisation du Cégep du Vieux Montréal et une présentation du Mouvement Desjardins en collaboration avec le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine ainsi que le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport.

CRITÈRES D’ÉVALUATIONLors de l’Exposition intercollégiale d’arts plastiques, trois œuvres sont sélectionnées par un jury selon les critères suivants :

• Originalité• Maîtrise des techniques et présentation• Recherche• Expérimentation des matériaux• Créativité

MEMBRES DU JURYLe jury est composé de professionnels du milieu des arts visuels de la région.

PRIX1er prix : une bourse d’une valeur de 500 $ remise par le Mouvement Desjardins

2e prix : une bourse d’une valeur de 300 $ remise par le RIASQ

3e prix : une bourse d’une valeur de 200 $ remise par le RIASQ

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LES MEMBRES DU JURY

HEDWIDGE ASSELINNée à Montréal, l’historienne, confé-rencière et critique d’art, docteure en philosophie, Hedwidge Asselin a ensei-gné l’histoire de l’art et la philosophie dans divers cégeps et universités. Elle est fréquemment invitée, au titre de commissaire, dans le cadre de l’organi-sation d’expositions ou comme membre de jurys. Commissaire pour l’exposition de Monique Charbonneau, ancienne professeure d’arts au Vieux Montréal, elle a rédigé pour elle les textes du Goût de l’encre. Elle a aussi présenté les œuvres de Gabor Szilasi, autre ancien professeur du Vieux en photo, dans son livre Famille. Elle consacre d’ailleurs une part importante de ses activités à la critique d’art et à l’écriture d’articles, notamment pour Vie des Arts, Cahiers, Etc. Montréal, Espace, Vanguard, le Ca-hier des arts visuels du Québec, et à la rédaction de catalogues d’exposition. Elle fut également collaboratrice du journal Le Devoir.

PATRICK BERNATCHEZArtiste montréalais, Patrick Bernatchez a, ces dernières années, présenté son travail à travers l’Europe et les États-Unis. Ses films, notamment, ont été vus à Paris, à Melbourne et à Rotterdam. En 2009, il présentait La Trilogie Chrysalides lors d’une exposition solo au Stedelijk Museum’s d’Hertogenbosch, aux Pays-Bas. Au même moment, son travail était exposé à la galerie Artist’s Space - The Black Room à New York. Sa plus récente exposition solo, Die Zeit Verschlinght, s’est tenue à Berlin l’an dernier au terme d’une résidence au Kunstlerhaus Bethanien. On pourra voir les suites de ce projet à Montréal, dans le cadre d’une exposition solo qui sera présentée cet automne à la Galerie de l’UQAM. Pour l’occasion, une première monographie substantielle sera publiée.

BERNARD GAMOYBernanrd Gamoy, né à Paris, fils d’un ouvrier basque et d’une mère Ch’ti (Nord de la France), il s’installe a Montréal en 1971. En 1976, Gamoy s’inscrit au Baccalauréat en arts visuels à l’Université Concordia où il termine une maîtrise en 1986. Depuis 1988, il est chargé de cours en peinture et dessin au département des Beaux Arts de l’Université Concordia. Peintre actif depuis 1980, il a tenu plus de vingt expositions de groupe et solo au Québec et à l’étranger. Il est boursier, entre autres, du Conseil des Arts du Canada et du Ministère des Affaires culturelles du Québec. Ses œuvres se retrouvent dans plusieurs collections privées et publiques.

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MOT DU COMITÉ ORGANISATEUR Les membres de l’équipe du Centre d’animation de français (Canif) et du Secteur d’animation culturelle des Services aux étudiants (Sac) accueillent avec grand plaisir la 22e édition de l’Exposition intercollégiale d’arts plastiques. En plus de l’Exposition présentée dans trois salles du bâtiment principal du Cégep (l’Agora, la galerie Onze et le A4.82a), diverses activités seront proposées aux participants.

Tout d’abord le grand rassemblement du vendredi 6 mai, qui débutera à 18 h et sera suivi, à compter de 20 h, de la présentation du documentaire L’Art en action de Magnus Isacsson et Simon Bujold sur l’ATSA et le couple d’artistes Pierre Allard et Annie Roy à la Maison théâtre.

Le lendemain, samedi 7 mai, quatre rendez-vous sont proposés  : le premier permettra à l’ensemble des participants de réaliser, avec l’ATSA, une nouvelle intervention, Peuples debout ; le second prendra la forme d’une visite commentée de l’exposition Ceal Floyer à la Fondation pour l’art contemporain DHC/ART, suivie d’un atelier de création ; le troisième, au

Musée des beaux-arts de Montréal, sera également une visite commentée, cette fois de l’exposition L’empereur guerrier de Chine et son armée de terre cuite ; et le dernier offrira une visite libre de l’exposition Cycloïd-E de COD.ACT à la Fonderie Darling, dans le cadre du festival Elektra. La remise des prix aura lieu en soirée et sera suivie du banquet de clôture.

C’est donc avec une grande joie que nous vous accueillerons dans un milieu culturel urbain et dynamique. Et nous espérons que votre séjour parmi nous restera mémorable.

Bienvenue à Montréal, bienvenue au Vieux  !

Jean-Paul Bégin, Sophie Brosseau, Suzanne Carrière, Pierre Godin et Danielle L’Espérance

MOT DE LA COORDONNATRICE DU DÉPARTEMENT DES ARTS PLASTIQUESIls sont jeunes et pleins d’espoir… Ils ont charrié des formes, des outils, des matières et des concepts pour en faire des navires que les flots ne supporteraient pas nécessairement. À tire-d’aile… Ou plutôt à fond de cale, ils ont répondu avec brio à l’invitation. Et là, sous les feux de la rampe, les œuvres présentées témoignent de la pluralité des modes d’expression et du dynamisme de nos enseignements. Festif  ! Oui, car cette 22e édition de l’Exposition intercollégiale veut être un ticket de transit qui donne le courage et le cœur de poursuivre. Car, bien sûr, la création artistique n’a pas de limites ni d’équilibre parfait : elle est en perpétuel devenir.

Nous profitons de cette occasion pour remercier l’ATSA et le tandem Annie Roy et Pierre Allard qui convient tous nos participants à la réalisation d’une de leurs nouvelles interventions intitulée Peuples debout. Nous aimerions également souligner le travail singulier des membres du jury de cette 22e édition : Patrick Bernatchez, artiste multidisciplinaire, Bernard Gamoy, peintre, et Hedwidge Asselin, critique d’art.

Bonne chance à tous les participants  !

Dominique Valade

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136 ŒUVRES DE 29 CÉGEPS ET COLLÈGES

Abitibi-Témiscamingue (Campus de Rouyn-Noranda)

Alma

Beauce-Appalaches

Chicoutimi

Drummondville

Édouard-Montpetit

François-Xavier-Garneau

Joliette

Jonquière

La Pocatière

Lévis-Lauzon

Lionel-Groulx

Marie-Victorin

Montmorency

Outaouais

Rimouski

Rivière-du-Loup

Rosemont

Sainte-Foy

Saint-Félicien

Saint-Jean-sur-Richelieu

Saint-Jérôme

Saint-Laurent

Sept-Îles

Shawinigan

Sherbrooke

Trois-Rivières

Valleyfield

Vieux Montréal

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PHILIPPE LABRECQUE-DENISONE KISS AND E BULLETImpression sur papier photo55 cm x 200 cm2011

L’œuvre parle de la trahison entre deux individus. Le choix des couleurs, l’application en aplat et le style de dessin rappellent la bande dessinée. L’œuvre est constituée de supports multiples qui font référence aux cases d’une page de bande dessinée. La disposition de ces cases rend le tout plus dynamique. J’ai mis un fragment de l’histoire seulement sans tenir compte de l’ordre chronologique de l’action afin que le regardeur puisse créer sa propre narration.

STÉPHANIE BERTRANDMONTRE-MOI TON PLUS « FAKE SMILE »PeintureAcrylique, goujon de bois, carton mousse, impression photo, masonite130 cm x 91 cm2011

Fausse ou réelle émotion ? Il est parfois difficile de discerner ce que les gens ressentent réellement derrière leurs sourires. C’est ce que j’ai voulu démontrer par le contraste entre la détresse représentée dans mon autoportrait et les masques à « faux sourire ». Cette œuvre comprend deux aspects : un côté plus contemplatif et l’autre plus relationnel, qui invite les spectateurs à participer en prenant un masque.

CÉGEP DE L’ABITIBI-TÉMISCAMINGUE (CAMPUS de ROUYN-NORANDA)

9

MÉLISSA MORIN16 467 $PeintureFactures et encre de stylo sur support rigide150 cm x 6 cm x 90 cm2010

Derrière l ’acharnement au travai l pour se payer du luxe et des artifices s’évaporent les dettes oubliées. Chacun participe à cette course au capital, elle est implantée dans nos gestes et nos esprits. Elle y est encrée. J’ai utilisé mes propres factures accumulées pendant une courte période, pour réaliser cette œuvre. Je me suis rendu compte à cette occasion de la vitesse incroyable avec laquelle elles s’accumulent. J’ai déconstruit des stylos à bille pour utiliser leurs encres comme liquide marqueur afin d’accentuer la détresse générée par la course au capital.

CYNTHIA LESSARDOBSESSION JELLYBEANAIREInstallationBois, colle, jelly beans, peinture63 cm x 12 cm x 48 cm2010

Quoi de plus insignifiant qu’un jelly bean ? Du banal à l’excès de l’obsession du rien, dix-sept kilos d’un projet banal juxtaposés et superposés à la manière Pop Art. Pour créer cette vision de l’obsession, j’ai appliqué dans mon processus de création une répétition excessive du même geste.

CAROLINE LACASSE-CARONSIMPLICITÉ ET BIEN-ÊTRE« Ready-made »Broche90 cm x 90 cm2011

Je me suis inspirée du ready-made en transformant l’objet utilitaire du cintre à vêtement que j’ai intégré à mon œuvre, de sorte que le spectateur soit confronté à une nouvelle perception. Par ce projet, je conclus que mon bonheur ne dépend pas de ce que je possède, je parle ici de mon intérêt pour la simplicité. Nous pouvons être heureux et bien dans notre peau sans avoir des tonnes de fringues.

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KIM DUMONT-LAROUCHECAVITÉPhotographieImpression couleur91,5 cm x 67,5 cm2011

Étude photographique sur le corps et la lumière. Lumière contrôlée dans un espace restreint interrogeant la perception visuelle et la luminosité.

MARC-OLIVIER GIRARD2400 PAGESSculptureInfographie et impression couleur sur carton, feuilles mobiles, reliure allemande9 cm x 27 cm x 21 cm2011

L’œuvre créée sur le thème du cahier Canada, se veut n’être qu’une exagération. L’idée de départ consistait en fait à créer un objet surréaliste, c’est-à-dire un objet qui choque, qui se démarque ou qui amuse, en le détournant de son sens premier.

COLLÈGE D’ALMA

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JEAN-PHILIPPE MORELPIGMENTVidéo2011

Voir la différence à travers l’homogénéité. Pouvoir remarquer ces subtiles choses, ces traits, ces réactions qui normalement nous échappent, qui sont amplifiés par ce costume blanc qui logiquement effacerait tout.

NICOLAS-PATRICE MÉNARDÉTUDE DE LA PROPORTION ET DU RESPECT DE LA CIRCULARITÉ DES OBJETSŒuvre picturaleCarton et crayon graphite152 cm x 122 cm2011

Dans cette étude, l’observateur est invité à prendre connaissance de la circularité de certains objets. L’aspect information-nel, voire hermétique de l’œuvre, sert ici d’intermédiaire afin de produire des ima-ges mentales plutôt que visuelles.

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CÉGEP BEAUCE-APPALACHES

KEVYN GERMAINLE FABULEUX DESTIN D’ARMAND POULINDessinBois et graphite62 cm x 50 cm2011

J’ai voulu démontrer le passage entre le monde des enfants et celui des adultes. J’ai utilisé la caricature pour montrer, de façon humoristique, le clivage entre les deux états.

FANNY GABOURYAIR-MÉTIQUEPeintureMatériaux mixtes61 cm x 61 cm2011

Cet univers propose une solution amusante à la pollution par le bruit ou de l’air dans les villes : tout mettre sous vide dans des contenants hermétiques. Ensuite, il ne reste qu’à les remplacer en ouvrant des bouteilles d’air neuf et quelques boîtes de silence.

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KARINE LÉTOURNEAUGRAVIDITÉ TEMPORELLEBois et plastique64 cm x 51 cm2011

L’éphémère est éternel sans point de référence.

CHRISTINA HÉBERT-LESSARDLA FUITE DU MOUVEMENTPeintureBois et acrylique45 cm x 90 cm2011

J’ai voulu exploiter le mouvement et, plus parti-culièrement, l’aspect éphémère du mouvement. J’ai voulu créer une atmosphère étrange tout en conservant un côté doux et apaisant. J’ai intitulé mon tableau ainsi, car les personnages sem-blent prendre la fuite.

JEAN-MATHIEU LACHAPELLEADAMS & ADAMSPeintureAcrylique, fusain et sanguine sur bois100 cm x 54 cm2011

Ferme les yeux, ouvre la bouche... et mords ! Croque dans ce fruit qui renferme la connaissance. Jouis de ce savoir et sois sali par les multiples extases que renferme la vie.

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CÉGEP DE CHICOUTIMI

MARIE-PIER GAGNÉMISS LOPEZLinogravure165 cm x 105 cm2010

Les variations ainsi que les dégradations de l’œuvre proposées par les différents contrastes d’une impression à l’autre traduisent, en mon sens, les hauts et les bas que j’entretiens avec cette amie. Miss Lopez est en quelque sorte l’échantillon d’un journal de bord traduisant une gamme d’émotions par lesquelles elle et moi sommes passées tout au long de notre amitié.

CAROLYN FORTINMAUX DES MOTSPeintureHuile et fusain sur masonite77 cm x 60 cm2011

Ils m’attaquent, ils me repoussent, tel ce nuisible insecte, ils ne veulent rien entendre. Ils révulsent, ils rejettent et tuent mes paroles, mes mots.

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CLOÉE TREMBLAY-GALLANTCORSET-TSculpture, dessin et peintureAcier, fusain et aquarelle170 cm x 64 cm x 200 cm2010

Silhouette conique, sablier, cage, ré-duction de taille, laçage, œillet métalli-que, coutil, forme de vasque, gousset, crinoline elliptique, look tubulaire, busc cuillère, silhouette en S, corps baleiné, jupon, guêpière, maintien de poitrine, cerceaux d’osier. Que ce soit pour mo-deler le corps ou pour lui donner de l’ampleur, les sous-vêtements féminins ont toujours suivi un esthétisme propre à leur époque.

SAMUEL LEPAGEMÉDUSESculptureRoue d’acier80 cm x 91 cm x 83 cm2010

Roue d’acier transforméeLa roue a été utilisée au complet Des morceaux d’acier supplémentaires ont été utilisés

LOUIS-ALEX LAVOIERÉ-N6InstallationMédiums mixtes45 cm x 30 cm x 160 cm2011

Les icônes ont toujours été au service de la propagande du monde de la publicité et des idéaux sociaux. Au fil des ans, les vedettes pop et les personnalités publiques comme Elvis Presley ou Marilyn marquèrent l’imaginaire collectif de façon bien particulière. C’est en me basant sur les moyens de diffusions et d’insertions de publicité dans la vie courante que j’interprétai mon quotidien sur des pintes de lait. L’abeille, symbole de la résurrection, fut le centre même de la renaissance de mon quotidien.

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CÉGEP DE DRUMMONDVILLE

RAPHAëLLA PEPINC’EST EN FAISANT ÇA QU’ON DEVIENT ARTISTEPerformance-photoImpression jets d’encre85 cm x 101 cm2011

Au cours de mes études en arts plastiques, j’ai aimé travailler de façon intuitive, tout en portant une attention particulière au sens esthétique qui se dégageait de mes œuvres. C’est en faisant ça qu’on devient artiste combine le caractère intuitif et l’aspect gra-phique des arts visuels. La série photographique traite donc du processus de création instinctif des artistes.

CATHERINE AUDETTROPHÉE DE CHASSEPhotographieImpression jets d’encre72 cm x 102 cm2010 Cette autoreprésentation, où je me suis appropriée l’iconographie du che-vreuil, intègre le concept de la femme-objet. L’anti-pose appuie donc cette idée en s’éloignant des expressions clichées. Elle propose une autre dimen-sion à la photographie. Le traitement linéaire de l’espace et l’environnement glauque montrent un rendu pictural particulier.

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MÉLANIE LAVOIEN’OUBLIE PAS QUE TU VAS MOURIR UN JOURSculpture, photographie et audioMoulage, plâtre et poupée30,5 cm x 30,5 cm x 100 cm2010

N’oublie pas que tu vas mourir un jour s’inspire de la vanité. C’est une œu-vre sonore relationnelle qui illustre le contraste entre la mort et l’insouciance de l’enfant qui s’amuse.

VINCENT D. CôTÉAUTOPORTRAITPeintureAcrylique, graphite et pastel gras sur toile73,5 cm x 62 cm2010

Cette autoreprésentation à caractère in-timiste montre l’aboutissement de nom-breuses réflexions et questionnements personnels. Je me suis donc approprié l’iconographie clownesque puisqu’elle présentait de nombreuses similitudes liées à ma personnalité.

KATHERINE BÉCOTTEMIROIRSculpturePin, acrylique et fil de pêche200 cm x 91 cm x 91 cm2011

Cette œuvre s’inscrit dans le courant mi-nimaliste et elle a pour objectif de mettre en valeur les formes dans l’espace. Les carrés, souvent associés à la stabilité, sont suspendus en pyramide inversée pour donner du mouvement à la forme et pour la rendre instable. De plus, un contraste au niveau des couleurs est créé par l’ombrage qui forme des carrés noirs au sol en opposition aux blancs qui sont suspendus.

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COLLÈGE ÉDOUARD-MONTPETIT

MAUDE DUBOISSAFARIDessin Graphite sur papier90 cm x 120 cm2010

Ce diptyque met en évidence les liens rapprochant ou opposant le réel et l’industriel par le biais de la représentation d’une girafe. La girafe réelle se présente imposante et seule, et son pendant en peluche devient un petit objet à la merci des émotions de son possesseur.

VIRGINIE DESJARDINSPOSE DE LITPeintureAcrylique sur masonite61 cm x 183 cm2010

Pose de lit est la représentation d’une pose classique issue du style moderne et cubiste. Cette œuvre est une exploration chromatique de mélange de couleurs ternies, exploitant le contraste de couleurs complémentaires. Cette peinture ne représente pas des jambes en soi, mais plutôt les formes qui les caractérisent.

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MARIE-FRANCE PAQUETTERHINOPeintureAcrylique sur masonite122 cm x 122 cm2010

Rhino est un heureux mélange de figuration et d’abstraction qui forment un tout plutôt loufoque. Mes intentions picturales étaient surtout de travailler la couleur en combinant les effets de transparence, d’aplat et des interventions linéaires spontanées.

SOFIANNE LANGLOISSANS TITREPeintureAcrylique sur toile45 cm x 61 cm2010

J’ai voulu par cette œuvre faire un commentaire sur une des tendances de l’Homme à être excessif jusqu’à en oublier les bonnes manières. J’ai mis l’emphase sur l’aspect grotesque et pathétique du personnage par l’expression et le traitement de l’image.

JONATHAN LALONDESANS TITREPeintureAcrylique et marqueurs Sharpie PosterPaint122 cm x 129 cm2010

Je me sers de mises en scène et d’humour pour animer des personnages issus de mon imaginaire. Je puise mon inspiration dans l’illustration, la bande dessinée et les jouets. Ma peinture présente mes personnages en action dans une scène festive remplie de péripéties de tous genres.

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COLLÈGE FRANÇOIS-XAVIER-GARNEAU

MARIE-HÉLÈNE BOCHUDLE GRAND LENDEMAINSculptureBois, miroir, acrylique, pâte « Jovi »14 cm x 90 cm x 30 cm2011

Mon œuvre s’intitule Le grand lendemain, en référence aux paroles de la chanson Les éphérites de Pierre Lapointe, un artiste qui m’inspire profondément au quotidien. J’ai idéalisé ce couplet en images et voulu immédiatement en faire un projet qui représenterait un Nouveau Monde tel que je me le figure dans ma tête. Cette œuvre est pour moi la quête d’un groupe d’individus à bout de chemin, cherchant un sens et une direction à leur vie au travers de ces océans de glace et de ces montagnes.

LAURIE BERNARD-BOURGEOISBILINGUISME DÉSENGAGÉDessinGypse, pastels secs, crayon-feutre91 cm x 101 cm2011

L’œuvre traite de la langue française au Québec et d’à quel point nous nous faisons envahir par les Anglais. Cette bataille que nous devons livrer pour pouvoir garder notre langue d’origine est illustrée par une guerre de mots. L’armée française est constituée du texte de la loi 101 et celle anglaise d’un extrait des écrits de Wolfe. Le tout fait référence à la bataille des plaines d’Abraham, moment où notre assimilation a commencé.

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ALYSSON LAJOIESANS TITREMultidisciplinaireBois, carton, ruban d’aluminium, laine, feutre, circuit lumineux, tissu120 cm x 10 cm x 80 cm2011

L’œuvre est immersive. Du point de vue extérieur, les lanternes nous rappellent les réverbères qui illuminent les ruelles le soir. La porte fait un lien avec l’entrée d’une maison. Quand le public l’ouvre, l’œuvre l’invite à créer un lien d’intimité avec elle. L’ensemble porte un regard sur les valeurs familiales, les moments doux que la chaleur de cette maison nous apporte. L’œuvre vient donc recréer avec l’observateur le lien intime que nous procure le foyer familial.

DAPHNÉ FOURNIERSKULLPeintureAcrylique sur toile61, 5 cm x 46 cm2011

Explorer l’univers du morbide et le rendre plus accessible, changer le regard des gens face à la mort. Tout ce qui est mort ne l’est qu’en apparence, la vie sommeille encore malgré la mort. Toute la beauté qu’elle laisse nous apparaît alors enfin.

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CÉGEP RÉGIONAL DE LANAUDIÈRE À JOLIETTE

CLAUDY GALLANTLES ÉLÉMENTSPeintureTriptyqueEncaustique et cire d’abeille sur contreplaqué90 cm x 30 cm2010

Le projet consistait à intégrer des images du macrocosme et du micro-cosme de la terre. Mon œuvre est un mélange de vues aquatiques et terrestres. C’était ma première expérience avec l’encaustique et plusieurs difficultés techniques se sont imposées à moi, mais avec patience et per-sévérance, j’obtins ce résultat.

GABRIELLE BANVILLESOUFFLE HCollagraphiePapier Stonehenge et encre25 cm x 32 cm2011

Cette collagraphie représente le souffle de l’Homme. Un souffle d’idée, d’émotion et de passion.

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MATHIEU ROBILLARDSANS TITREPeintureDiptyqueAcrylique sur toile93 cm x 165 cm2011

Cette œuvre fait un lien entre les évènements récents du Japon et ceux de Tchernobyl de 1986.

ÉLISE LESSARDOBSESSIONPeintureAcrylique sur toile90 cm x 60 cm2011

Cette œuvre représente un état psychologique. Le visage évoque une image obsessive d’autodestruction et le torse, de couleur vert et mauve, représente le caractère éphémère du corps. L’œuvre peut inspirer la décadence mais dégage aussi une certaine sensualité.

NATALIE KEMPINSIDE-OUTSculpturePolystyrène, composé à joint et acrylique80 cm x 122 cm x 183 cm2011

Mue par l’idée qu’un contenant est délimité par la rencontre d’espaces intérieurs et extérieurs, j’ai eu envie de retourner une tasse à thé chinois comme on retourne un gant : Inside out ou dedans dehors. En prenant l’empreinte des diverses surfaces de la tasse, j’ai fabriqué trois volumes qui rendent les intérieurs extérieurs, les pleins vides, et vice-versa. J’aime penser que ma tasse est ici dessinée... par son absence.

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CÉGEP DE JONQUIÈRE

STEVEN GIRARDVIDE SUR PLEIN/PLEIN SUR VIDEInstallationGazon et terre56 cm x 200 cm x 41 cm2010

La terre québécoise est l’unique maté-riau de cette œuvre. En quelque sorte, le Québec a fait cette œuvre, car le Québec m’a fait. Un questionnement sur le refus si obstiné a la formation d’un plein sur du plein. Je fige le débat social québécois et je l’expose au public pour plus de ques-tionnement non pas sur la réponse, mais sur la démarche entre un vide parmi du plein ou du plein parmi du vide.

ROXANNE DURANDINSTINCTPeintureAcrylique sur toile150,5 cm x 100 cm2010

J’ai suivi mon instinct… À vous de suivre le vôtre…

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MARIE-SOLEIL TREMBLAYBETTEPhotographieFenêtre, impressions numériques86 cm x 38 cm2010

Betterave : n. f. Plante cultivée à racine épaisse. Fenêtre  : n. f. Ouverture (faite dans un mur) pour laisser pénétrer l’air et la lumière. Dénaturation des éléments.

NICOLAS TREMBLAYG91 ET M41SculpturePapier, métal et bois2010

Cette œuvre est la somme combinée d’un jeu d’expérimentations avec cer-tains matériaux et d’un apprentissage centré sur diverses méthodes d’assem-blage. Elle illustre l’iconologie du crâne de l’Homme moderne trônant sur la co-lonne vertébrale.Malgré la sélection des diverses mal-formations torturant ces symboles et le traitement brut des éléments, l’œuvre at-teint un certain niveau d’esthétisme par la simplicité de forme générale et par la complexité des détails.

STÉPHANIE LAROUCHEL’ALLÉGORIEDessinEncre sur papier76 cm x 61 cm2010

L’allégorie de la démence et de la confusion face à une intense évolution intérieure. Une série d’émotions, de mystères, de peurs, d’illusions imagées et de paix sans regret où l’intention est d’assumer.

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CÉGEP DE LA POCATIÈRE

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VÉRONIQUE PELLETIERPOINT DE RENCONTREPhotographie Impressions numériques sur papier glacé92 cm x 132 cm2010

Le découpage en 42 images forme un grillage devant la représentation photographique d’un cul-de-sac. « On ne peut pas continuer », indique le signe dans l’image, et pourtant les traces montrent que l’on va bien au-delà de cette limite.

LUCIE MORNEAU BOURGAULTVANITÉSculpture Bois de tilleul47 cm x 22 cm x 32 cm2009

La jeune fille et la mort se côtoient et sont unies par une fleur symbole d’une beauté fragile, éphémère, comme le danger sournois de son poison.

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CÉGEP DE LÉVIS-LAUZON

VÉRONIQUE HAMELEN TOUTE LIBERTÉPeintureLatex et acrylique sur toile150 cm x 102 cm2010

L’œuvre En toute liberté a pour but de faire réfléchir l’observateur sur sa conception de ce qui est beau en art. Est-ce qu’une œuvre doit être nécessairement très figurative pour être belle et intéressante ? Pas nécessairement, et c’est pourquoi la valeur d’une œuvre ne peut être jugée que par ce qu’elle représente. En effet, une œuvre abstraite peut dégager beaucoup d’émotions et d’idées, même si, au premier regard, le concept peut être plus difficile à saisir ; l’œuvre peut cacher des théories très poussées. C’est d’ailleurs l’idée centrale qui m’a habitée tout au long de la création de cette peinture.

JOSÉE BAILLARGEONCOQ HITLERPeintureAcrylique et impressions numériques2010

Inspirée d’œuvres d’artistes, dont Matta, Dallaire et Munch, cette peinture est une critique négative des actions d’Adolf Hitler pendant la Seconde Guerre mondiale. Le coq de Dallaire cruel et agressif, qui a ici le front orné d’un salut nazi, est un emblème de domina-tion comme l’était le dictateur allemand. Le ciel sanglant de Matta salit les affiches de pro-pagande, et Le cri de Munch, quant à lui, représente le cri existentiel du peuple juif.

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JEAN-MICHEL MARTELCAMÉLÉON, GAUFRES ET PATATE CHAUDEPeintureAcrylique, pastel gras, treillis et carton sur toile112 cm x 60 cm2010

C’est en jouant avec des traces de pein-ture laissées à l’improvisation que j’ai pu développer cette scène. Ainsi, les taches créées par l’émergence suggé-raient des formes de caméléon, de gau-fres et de monstres. Afin de conserver un certain équilibre esthétique, je me suis limité à l’utilisation exclusive de couleurs chaudes. Le tout donne donc un univers ludique et absurde tout en contenant un message de conscience écologique caché.

VÉRONIQUE FOURNIERL’ENFER, C’EST MOIPeinture162, 5 cm x 63 cm2010

L’enfer, c’est moi est une œuvre portant sur la dét resse psycho log ique e t l’importance de demander de l’aide pour atteindre une certaine liberté face à soi-même. Cette œuvre explique que le fait de demander de l’aide est important pour éviter une solution définitive et fatale, le suicide, à un problème temporaire. Le but ultime de cette œuvre est de faire réfléchir les gens sur leur propre vie et leurs expériences vécues. Bref, cette œuvre est chargée en émotions et suggère une réflexion propre à chacun.

MARION HÉBERTL’AUTOMATISMEPeintureLatex, acrylique, encre, vernis, corde et papier brun159 cm x 112 cm2010

La toile a été réalisée suite à un processus d’émergence. L’élaboration de l’œuvre se fait graduellement, chaque trait de peinture donne suite à de nouvelles lignes et de nouvelles hachures. C’est l’inconscient qui travaille le plus lors de la création d’une œuvre émergente. C’est de toute évidence la spontanéité qui apporte du dynamisme dans la composition de la peinture.

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COLLÈGE LIONEL-GROULX

MYRIAM MORNEAUÉPHÉMÈRESculptureServiette de table130 cm x 200 cm x 90 cm2011

Cette robe explique parfaitement ce que notre génération fait du mariage. Elle s’en sert comme d’une vulgaire serviette de table… elle s’y essuie les mains… et elle s’en débarrasse. Les serviettes de table rendent la robe très fragile, ce qui représente encore plus le côté éphémère du mariage.

MARIE-HÉLÈNE BAUSSARTCYCLE HYDRAULIQUESculpturePièces de vélo, acier, silicone, bouteilles de plastique et ruban électrique180 cm x 60 cm x 196 cm2011

Ce projet métaphorise le cycle industriel de l’eau : l’assemblage mécanique rabouté évoque la complexité des contrôles de filtration et de distribution ; le carrousel des bouteilles d’eau produit un son typiquement aqueux et nous plonge dans l’ambiance ; alors que l’entraînement physique du pédalier représente l’activité suintante des consommateurs à la base même du cycle industriel. Activez le cycle !

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CATHERINE RACICOT BRAZEAUTROP JEUNE POUR ÊTRE EXPLOITÉDessinPastel gras et taltine sur lauan139 cm x 30 cm x 81 cm2010

Un enfant dodu, en toute innocence, cherche à atteindre, sur la pointe des pieds, quelque chose de désirable. Si les boîtes de souliers, bien identifiées, l’aident à faire le pas vers la réalisation de son désir, d’autres enfants travaillent, sans espoir, dans les manufactures du tiers-monde. L’innocence comporte tou-jours un certain risque.

AUDREY LARINRUPTURE AMOUREUSEPeintureDrap, épingles à linge, corde à linge, poulies200 cm x 200 cm2010

Devant les autres, la rupture et le vide de deux êtres déchirés, accrochés à un lien ténu, banal, sans poids. Désormais transformés par leurs regards ensauva-gés, qui fera le pas du dernier détache-ment ?

MARIE-PHILIP DUFOURSÈVE COMBUSTIBLEInstallation numériqueBois et papier photo168 cm x 56 cm2010

En associant, d’une part, l’arbre et ses branches au réseau sanguin de l’être humain et, de l’autre, les rondelles de bois aux cellules du corps humain, deux natures dialoguent dans un même corps. Cette utopie visuelle entraîne toutefois une contrepartie : l’invasion de la nature par l’être humain. Désormais, un corps à corps inévitable nous habite. Où nous conduira cette convergence ?

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CÉGEP MARIE-VICTORIN

ANDRÉE-ANNE MERCIERADÎME, ABATHIE, ABSURDEPeintureAcrylique, feutre et crayons de bois61 cm x 168 cm2011

Pour trancher avec la représentation habi-tuelle des natures mortes de l’époque, les trois toiles qui vous sont proposées exploi-tent le sujet de façon plus contemporaine grâce au rendu des toiles ainsi qu’aux réfé-rences courantes des objets choisis. L’étude se retrouve dans la recherche des couleurs puis dans leur application. Celle-ci est ex-plorée de manière à ce qu’il y ait différents degrés de figuration. Le sujet est surtout ob-jet de l’exploitation technique.

NICOLE CASTAGNACOMMENT TE SENS-TU DANS TES CULOTTES ?PeintureSous-vêtements et peinture vaporisée137 cm x 153 cm2011

Cette œuvre a pour objectif de nous ouvrir les yeux face à la différence. Encore aujourd’hui, dans plusieurs pays, la femme n’est pas considérée comme étant un élément important dans la société.Ayant construite la majorité de ma toile avec des sous-vêtements féminins, j’ai par contre inséré un slip pour créer l’effet contraire. De plus, le pochoir des deux enfants illustre que le sexisme n’a pas d’âge et peut être présent partout. En effet, en Chine, de qui, par la honte, se débarrassent-ils en premier ?

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SONIA PORTILLAGOLF PARMI LES FLEURSPeintureDentelle et acrylique sur tissu200 cm x 122 cm2011

Révolutionnaire et médecin, Ernesto Guevara illustre le militant luttant contre toute oppression politique en Amérique latine. L’idée est de le représenter sur la dentelle parmi des fleurs lors d’une partie de golf pour changer le contexte patriotique cubain dans lequel il est habituellement représenté. De plus, le contraste entre son image virile et l’arrière-plan féminin crée une opposition qui adoucit la figure autoritaire qu’on lui prête.

NADIA DUQUETTEAMMONIAC, ACÉTONE, ARSENIC, BENZÈNE, BUTANE, CADMIUM ET LEURS AMISPeintureAcrylique et huile sur toile200 cm x 134 cm2011

Il s’agit d’un travail en hyperréalisme qui amène l’observateur à croire à l’effet d’écrasement d’un mégot de cigarette. La division du support en trois parties proportionnellement stratégiques aide à créer cet effet de lourdeur dans la partie supérieure de l’œuvre. C’est presque de l’art prosanté ! Parce que, la vie, c’est cute…

ÉTIENNE CHARBONNEAUSIMPLICITÉ VOLONTAIRESculptureObjets de plastique, acrylique, carton, tissu55 cm x 70 cm x 65 cm2011

Malgré leurs valeurs primaires, les matériaux les plus pauvres peuvent offrir un résultat d’une indéniable noblesse et pureté. L’œuvre Simplicité volontaire étant elle-même constituée de verres de plastique, de sphè-

res de styromousse et d’autres matières modestes évoque bien le potentiel qu’ont ces objets une fois rassemblés. En fait, la forme et la couleur rappellent, d’une part, l’innocence et la naïveté du cerf et, d’autre part, la pureté et la virginité de la couleur blanche.

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COLLÈGE MONTMORENCY

NATACHA GAGNON-DOUCETEN QUELQUES MOTSTechniques mixtesPapier Arches et bois122 cm x 6 cm x 192 cm2010

Difficile de résumer sa vie, ses souvenirs, les émotions vécues, en quelques mots. La vieillesse est certainement une période de fragilité, mais aussi de simplicité et de souvenirs, de pertes, de solitude. C’est ce que j’ai voulu illustrer à travers ces portraits fantomatiques. Des millions de petits trous pour former un seul et unique visage rempli de vide, rempli de pertes.

SIMON DEROMELE TOUT SE RÉDUITSculptureBois, vitre, matériaux divers62 cm x 7 cm x 84 cm2010

Il y a longtemps que cela a commencé. La loi du plus fort se plie maintenant à celle du plus intelligent. Ce dernier voit la nature comme un fond de ressources exploitables et les mécanismes qui la régissent comme des recettes sans magie. Quoi de plus normal que le tout se fasse de moins en moins diversement. Un petit bestiaire se fait témoin de ce qui reste, adapté, transformé.

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FÉLIX SANTERRE-GERVAISEXPIREPhotographieImpression jets d’encre sur Gatorfoam163,5 cm x 107 cm2010

D’un souffle court, [ j’ ] expire.

CATHERINE PÉRUSSE-DAIGNEAULTOVER-RATEDTechniques mixtesPhotographies et bois108 cm x 98 cm2011

Il suffit de voir.

THIERRY LACHAPELLESANS TITREInstallationBois, ciment, porcelaine, plastique, métal et autres matériaux115 cm x 122 cm x 122 cm2010

Symétriquement parlant, c’est détruire sans détruire, ce sont des objets rétro d’actualité, adaptés pour les mésadaptés.

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CÉGEP DE L’OUTAOUAIS

MAUDE MASSICOTTELE QUOTIDIENInstallation vidéographiqueTable, grille-pain, nappe coton, pain, vaisselles, chaise, casque d’écoute, télévision, lecteur DVD100 cm x 100 cm x 200 cm2010

Cette œuvre traite du thème du quotidien, mais est plus spécifiquement une critique de la routine quotidienne et banale. Ce thème est transmis dans une installation vidéo qui illustre une scène typique de la routine, c’est-à-dire le déjeuner. De plus, on y retrouve un sujet qui discute de sujets de la vie quotidienne, mais, en réalité, il n’y a qu’un seul sujet, la météo. Donc, cette œuvre traite à la fois du quotidien de façon critique, mais aussi du sujet préféré des gens de notre société, la météo, car, qu’on le veuille ou non, tout le monde parle de cela au moins une fois par jour. Dans la vidéo, certaines actions du déjeuner sont produites avec exagération, et ce, dans le but de garder l’attention du spectateur, étant donné que la vidéo est quand même ennuyante et redondante, parfaite image de notre quotidien parfois long et redondant.

CAROLINE BEAUVAIS-KOSTIEWSCHIZOPHRÉNIEŒuvre vidéographiqueProjecteur et écouteurs60 cm x 60 cm x 60 cm2010

Cette performance vidéo traite de la schizophrénie. J’ai voulu démentir l’opinion publique sur les gens souffrant de cette maladie : celle-ci les affecte énormément émotionnellement ainsi que dans leurs relations sociales. J’ai voulu, par toute la mise en scène de l’installation, amener le spectateur dans mon intimité, et en lui faisant écouter cette vidéo, lui faire vivre et ressentir cette stigmatisation que les schizophrènes vivent chaque jour.

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KIM RÉGIMBALD BÉLANGERSANS TITREPeintureAcrylique sur masonite100 cm x 120 cm2010

Le tableau s’inscrit dans une problé-matique abstraction-figuration. Le su-jet (mannequin de bois) est accessoire et s’éclipse au profit du travail pictural. L’utilisation de couleurs complémen-taires suggère une dualité, tandis que le traitement de la matière crée l’unité. L’attention portée au travail de l’espace pictural inscrit le tout dans un ensemble cohérent en permettant à l’œil de passer de la figuration à l’abstraction.

CHLOÉ MARTELSE CACHER DERRIÈRE UN TABLEAUVidéo (et performance)Plexiglas, acrylique, vidéo200 cm, 180 cm x 200 cm2010

Mon projet est un travail sur l’image, mais constitue surtout une réflexion sur mon propre processus créatif. En effet, je suis une personne très gênée de présenter son travail, et la disparition de l’artiste derrière l’œuvre démontre ce besoin de se cacher, cette vulnérabilité qui fait partie de moi. C’est un tableau vivant avec un avant, un pendant et un après ainsi qu’un jeu de perception entre vidéo et réalité.

DELPHINE EGESBORGSANS TITRECollageObjets divers, acrylique, masonite, bois65 cm x 13 cm x 65 cm2010

L’œuvre traite des notions de forme, de matière et de couleur. La matérialité est créée par l’accumulation d’objets anodins, toutefois, ceux-ci ont été choisis de telle sorte que, regroupés, ils sont unis par leur couleur, et ils créent la forme les élevant à un second degré. Ils peuvent alors tous être regardés individuellement pour leurs qualités visuelles, ou être vus dans l’ensemble cohérent qu’ils forment par leur organisation.

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CÉGEP DE RIMOUSKI

LEE-ANN FITZPATRICKL’OISEAU D’ARTSculptureJumelles et matériaux naturels sur contreplaqué87 cm x 2 cm x 61 cm2010

Créée par l’accumulation d’éléments naturels, cette image rappelle la pixelli-sation d’une photographie. L’oiseau qui y est représenté figure la nature à cause des éléments qui le composent (roches, brindilles, coquillages, feuilles et de verre dépoli). En invitant le spectateur à adop-ter une position ou un point de vue spéci-fique, les jumelles amènent un question-nement sur notre rapport à cette nature, la distance qui nous en sépare.

JESSIE DESCHAMPSDOUCEUR VULNÉRABLEPeintureAcrylique sur masonite86 cm x 30 cm2010

Les animaux me fascinent par leur sin-gularité et leur authenticité. Ils nous sont souvent présentés de manière à faire ressortir leur côté agressif, et dangereux pour la race humaine. J’ai donc voulu proposer, dans mon projet, un autre point de vue sur ces bêtes, qui est beau-coup moins médiatisé  : leur vulnérabi-lité face au redoutable prédateur qu’est l’Homme.

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AMÉLIE OUELLETPERSIFLER LA NATURESculptureBois, plâtre, papier (journal), plumes135 cm x 35 cm x 35 cm2011

La sémantique de ce projet repose sur le thème de l’exploitation forestière et de ses conséquences. Elle rappelle, sous une forme poétique, le contrôle qu’effec-tuent les hommes sur la forêt ainsi que la perte d’un environnement pour la faune. L’œuvre nous questionne, notamment par un jeu de transferts, entre ce que devrait être un objet (son origine) et ce en quoi il se transforme par l’inversion de matière ou par métonymie.

CAMILLE MORNEAUEMPRISONNÉEPeintureAcrylique sur toile100 cm x 67 cm2011

Cette œuvre est une métaphore de l’em-prisonnement. Les bras de la femme, pris dans les murs, représentent cette captivité, et sa quasi-nudité évoque sa vulnérabilité. Elle semble abattue, com-me si elle portait un lourd poids sur les épaules. Le décor inquiétant reflète son état, de même que l’oiseau noir sur sa tête, symbole de mauvais présage et de mort.

RAPHAELLE GRONDINREGARD DE LA FÉMINITÉDessinEncre de chine sur papier Fabriano, gravure sur linoléum et estampe56 cm x 76 cm2010

J’adore la bande dessinée et je voulais explorer l’esthétique propre à cet art. J’ai utilisé la brosse afin d’accentuer les traits faciaux du personnage et ainsi augmen-ter son expressivité. Aussi, j’ai intégré deux gravures très colorées représen-tant des attributs féminins. Ces éléments contrastent avec le reste de l’image, réa-lisée à l’encre de Chine et représentant un personnage masculin. La réflexion soulevée par ce travail concerne la ma-niabilité de l’identité et s’inspire du pou-voir du dessinateur de jouer sur celle-ci.

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CÉGEP DE RIVIÈRE-DU-LOUP

CINDY RODRIGUESOCIÉTÉ COMPLEXÉEPhotographieImpression numérique sur papier53 cm x 122 cm2011

Négation de l’individu dans la société moderne.

MARIE-ÈVE BÉLANGERPSYCHOTROPEVidéoCaméra et ordinateur2010

Cette vidéo parle d’effets produits par les drogues. Elle est abstraitement réalisée pour ressentir les idées d’une personne qui vit un moment de folie lorsqu’elle est influencée par des substances hallucinogènes.

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ELSA VOGTVAMPIRE BITCHPeintureAcrylique, peinture, vinyle, nu-lustre-55124 cm x 92 cm2011

À première vue esthétiquement belle, l’œuvre se dévoile quelque peu lugubre, provocatrice. Le même effet se produit souvent lorsque l’on rencontre une nouvelle personne.

MARYLIN PINEAULTSOUS PRESSIONSculptureMétal, fil de cuivre, plâtre80 cm x 25 cm x 80 cm2010

L’œuvre représente une balance, sym-bole de la justice. C’est la balance hu-maine de toutes choses ou de toutes personnes. Elle représente les pressions qui nous pèsent et qui déséquilibrent la droiture de l’homme. Elle remet en ques-tion l’équilibre des choses.

GABRIEL LANDRY RIOUXLE TRÔNESculptureMatériaux recyclés129 cm x 73 cm x 60 cm2010

Les modifications corporelles repré-sentées à l’aide d’un objet iconique, la chaise du tatoueur.

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COLLÈGE DE ROSEMONT

CINDY PHÉNIXL’INTIMITÉ DE L’ÊTRE HUMAINInstallationMeuble en bois, peinture acrylique, photographie, papiers, vêtements, brillants112 cm x 40 cm x 75 cm2010

Elle se cache avec ses secrets qui ne sont pas bien dans son intimité. Elle voit et se souvient. Elle retient pour pouvoir fuir et camoufle ses plus profonds désirs.

MARIE-NOëLLE MOREAU ROBIDASEMPREINTE EN TROIS TRAMESInstallationVêtements, acrylique, crochet200 cm x 80 cm2010

Revêts-toi de tes souvenirsEmplis-toi de leurs traces dans le tempsEt surtout, habille-toi de ce qui en resteCar ces empreintes sont le reflet miroitantDe l’existence humaine face au temps

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SHAWN ANN RIBOTTILE COUPLEPhotographiePapiers argentiques et cadre en plexiglas60 cm x 50 cm2011

La photographie n’est jamais contrôlée par le créateur. Pour cette œuvre, un portrait d’allure anodine s’est transformé grâce à une « entrée de cadre ». Sans le savoir, le sujet féminin venait de faire la photo. Une expérimentation personnelle m’a ensuite permis de créer tout le charme de cette image. À votre tour, modifiez, égratignez ma création, défoulez-vous, expérimentez.

MINERVA SARAI GUERRA CRUZLES JEUX AMOUREUXSculptureObjets recyclés, peinture et argile31 cm x 9 cm x 33 cm2010

Inspirée du Baiser de Gustave Klimt, une de ses œuvres les plus célèbres, cette sculpture est faite d’objets recyclés. Elle représente des personnages pleins de sensualité : une jeune femme en extase et une certaine force masculine que l’homme exerce sur elle. Ensemble, ils nous font rêver sur un sujet qui nous rejoint tous un jour, car c’est souvent grâce à lui que nous accomplissons notre plus grand bonheur humain : l’amour.

KAROLANE DORÉ DESROCHERSPUZZLEPhotographiePapiers argentiques102 cm x 148 cm2011

Photographies argentiques à haut contraste, réalisé au Collège de Rosemont, durant l’activité 24 HEURES PHOTO. Entre le jour et la nuit, le noir et le blanc deviennent des antipodes. L’œuvre est constituée comme un casse-tête, tout comme l’était mon esprit après 24 heures sans sommeil.

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PATRICK FORTINAUTOPORTRAIT #13Dessin Encre sur papier marouflé80 cm x 50 cm2011

C’est le traitement de l’oeuvre qui constitue l’autoportrait. La fragilité du papier chiffonné pour en faire quelque chose de plus solide par la suite. La simplicité de la forme est comparable à la simplicité de l’artiste qui se contente de créer. Les multiples couches d’encre noire contrastant avec le blanc du papier et le subtil café en font une œuvre poétique. L’artiste propose une vision paradoxale empreinte à la fois de positivisme et de pessimiste.

LAURENCE DÉTRAZLE RIREVidéoEau, balles rebondissantes2010

Le rire est un mouvement physique naturel et irrésistible. Il nous libère de la prison que nous sommes pour nous-mêmes lorsque nous laissons les contraintes du quotidien nous envahir. Le rire fait perdre le contrôle et permet de retrouver le plaisir qui vit en soi. Il suffit de se laisser emporter par le mouvement, comme l’eau d’une cas-cade, pour que ce plaisir emplisse la vie et la rende plus colorée.

CÉGEP DE SAINTE-FOY

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VERONICA MOCKLERACOUPHÈNEInstallation vidéoFil de fer, contre-plaqué, projection vidéo, écouteurs insonorisant140 cm x 140 cm2010

Acouphène est une œu-vre visuelle suscitant une expérience sonore. L’inter-vention matiériste et lumi-niste parvient à créer une synesthésie. Cette stimu-lation sensorielle annexée biaise perception et sensi-bilité humaines.

MARC-ANDRÉ TARDIFMON CORPS À TON REGARD INQUIETPhotographieImpression numérique152 cm x 101 cm2010

Se mettre à nu pour dévisager le regard de l’autre. Regarder pour mieux voir nos propres vulnérabilités. Mon corps a ton regard inquiet tente d’exhiber un souvenir auquel l’artiste s’est accroché, identifié, a peiné.

JOANNE MARTELÉMERGENCEPhotographieCorde, tulle, arbre75 cm x 100 cm2011

Au creux d’une forêt teintée de mystère, Émergence propose une rencontre intime entre un arbre, une corde blanche et toute la charge symbolique de la couleur rouge. La légèreté et la spontanéité du geste y permettent une ouverture de sens très vaste. Semblable à une apparition soudaine venue du monde du rêve, c’est dans la simplicité de la matière qu’elle puise sa force.

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SÉBASTIEN BÉLANGEREXPOLLUTION-ABSOLUTIONPolyptyque Plastique, broche, corde, éponge et autres matériaux recyclés15 cm x 15 cm x 15 cm 2010

Nous baignons dans du poison.Nous craignons chaque saison.Les coins d’eau morte au pied des montagnes,Sont colorés de toute la noirceur qui stagne.Les forêts déboisées sont cordées derrière les maisons,Produit du travail à la chaîne, et brûlées même sans raison.Plus l’être humain voit grand,Plus il oublie l’endroit lui permettant d’être vivant.Cette planète, notre habitat, celle où habitent aussi plein d’autres espèces, Ce n’est pas une poubelle !Par contre, ce que vous voyez… sort tout droit de mes poubelles !

MÉLANIE ALLARD-PILOTEEFFETS TERRE, DEGRÉ PRIMAIREPolyptyque Laine, cuir, fausse fourrure, branches et autres matériaux recyclés15 cm x 15 cm x 15 cm 2010

En premier lieu, mon œuvre présente l’élé-ment TERRE. À travers cet élément, j’évoque divers secteurs d’activité  : l’industrie minière, forestière ainsi que le milieu agricole. J’illustre l’exploitation des grosses entreprises qui fonc-tionnent aux dépens de la vie humaine, ani-male et végétale. La décadence d’une « évo-lution » industrielle est maintes fois dénoncée par les artistes.

CÉGEP DE SAINT-FÉLICIEN

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KEVIN TREMBLAYSÉCHERESSEPolyptyqueCarton, acrylique, plastique et autres matériaux récupérés15 cm x 15 cm x 15 cm x 62010

Les œuvres présentées proviennent d’un seul thème, en lien avec l’eau et la sécheresse. Le manque d’eau et la pollution, dans certains pays, sont des problèmes très importants. Chaque partie de l’œuvre représente un de ces problèmes : terre sèche, ozone, pollu-tion de l’eau, etc. La vie se base sur l’eau  : ce liquide est la source même de l’existence de notre monde. Sans lui, il n’y aurait pas de… NOUS !

VALÉRIE GAGNONCATACLYSMEPolyptyqueCarton, acrylique, plastique et autres matériaux récupérés15 cm x 15 cm x 15 cm 2010

Les catastrophes naturelles et écologi-ques sont les plus grandes ennemies de la planète Terre. Grâce à l’utilisation d’objets recyclés, ces œuvres se ratta-chent beaucoup plus facilement à la ter-re. Les pluies acides, les avalanches, les tremblements de terre, les feux de forêt, l’effet de serre et les éruptions volcani-ques sont les principaux sujets de mes œuvres. Chacun des matériaux utilisés a un lien précis avec ce qui touche les catastrophes.

JOANIE DESMEULESPOLLU-MAINSPolyptyque Ciment, papier, acrylique, fils15 cm x 15 cm x 15 cm 2010

L’ensemble de mes œuvres a pour nature de souligner l’ampleur de la responsabilité de l’homme sur la pol-lution. En effet, que ce soit la pollution de l’eau, de l’air ou de la terre, l’hu-main est toujours au centre de cette dégradation. C’est pourquoi j’ai associé différentes parties du corps à divers types de pollution. L’effet décadent de plusieurs membres mélangés est d’autant plus représentatif du message que je veux lancer.

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MYRIAM LEDOUXLE RACHISSculptureAcier65 cm x 70 cm x 60 cm2010

Évocation squelettique humaine, tour-ments de la structure, liberté suggé-rée, affliction osseuse, angoisse d’une carcasse, telle une souffrance bestia-le. Réflexion sur la fragilité du corps humain.

BIANKA CHANDLER BOISVERTFEUILLES D’AUTOMNEPhotographieImpression et cartons brûlés103 cm x 46 cm2010

Par le retournement de l’image, la nature est bousculée, elle chute. Elle tend à disparaître de notre vue pour laisser place à la société que l’homme a bâtie.

CÉGEP SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU

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VANESSA DANEAULT-PILOTEDEHORS NOVEMBREPhotographieImpression jets d’encre60,5 cm x 131,5 cm2010

Novembre. Des fraises accidentellement oubliées sur une table. Les choses ne sem-blent pas toujours être ce qu’elles sont. Il faut parfois s’y prendre à deux fois pour voir que, même dans la mort, la vie subsiste.

STÉPHANIE PROULXRUSTED FABRICMétal, vinaigre, plastique, bois, tissu, colle blanche, vernis, ouate91 cm x 10 cm x 91 cm2011

Dans la poursuite de mes œuvres antérieures, traitant des souillures et des sécrétions humaines, le présent diptyque montre l’empreinte de la sécrétion de la matière. L’impression est un procédé de gravure avec lequel la réaction du vinaigre, sur le métal, est guidée jusqu’à la limite où la substance réagit aléatoirement. L’œuvre est inspirée du saint suaire, où l’empreinte d’une partie du corps a laissé sa trace.

MARIE-PHILIPPE SANTERRE PATENAUDEL’ABOMINABLE BOBINEInstallationLaine et bois102 cm x 92 cm x 92 cm2011

L’abominable bobine rend hommage aux femmes qui ont su faire progresser leurs conditions de vie. En abandonnant leur rôle de reine du foyer, elles ont défini en quelque sorte leur place dans la société. Cette installation est aussi une représentation cyclique du temps et du travail qui recommence perpétuellement.

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MYRIAM LANDRYNIPPONDessinTechniques mixtes sur styrène100 cm x 80 cm2011

Une femme japonaise qui exécute plusieurs danses accompagnées par un groupe qui jouent de la musique traditionnelle japonaise.

MARIE-FEI DEGUIRECHRYSALIDESSculptureMatériaux mixtes70 cm x 70 cm x 200 cm2010

La chrysalide se tisse sous nos yeux, soyeuse, elle voile cette matière tordue. La fragilité se matérialise par ces formes sinueuses s’enveloppant dans de mys-térieux cocons. Éphémères, les chry-salides enveloppent des êtres fragiles. Reposant sur leurs trônes de verre, ils attendent...

CÉGEP DE SAINT-JÉRôME

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AMÉLY ST-DENISDUEL RÉFLEXIFSculptureMatériaux mixtes37, 5 cm x 4 cm x 142 cm2011

Il observe ses pensées. Il tâte ses réflexions. Il se nourrit d’information. Et il se noie dans son intelligence.

LOUIS-CHARLES DÉZIELEN CUILLÈRESculptureBois et métal70 cm x 120 cm x 160 cm2010

L’œuvre est une réflexion symbolique sur le couple.

STÉPHANIE BERTRAND DAVIAULTSANS TITRESculptureCéramique et miroir16 cm x 15 cm x 15 cm2011

Le but de cette réalisation est de faire l’opposition entre quelque chose de répugnant et quelque chose qui représente la beauté. Selon moi, un scorpion est un insecte horrifiant et repoussant, avec ses pinces et son dard. Par opposition, non seulement pour son apparence de cristal, mais aussi par sa fonction de refléter toutes choses, le miroir apporte quelque chose de contradictoire et de précieux au scorpion et nous fait presque oublier le dédain que nous avons de celui-ci.

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CHARLIE-SAMUEL POMERLEAU-BOURBEAUMYSTÈRE ET BOULE DE GOMMESculptureCarton et boule de gomme36 cm x 20 cm x 36 cm2011

Depuis plusieurs siècles, le corset est le symbole de la sensualité même, mais aussi le symbole de l’oppression faite à toutes ces femmes désirant accéder à un modèle de beauté. Accepter de s’y restreindre, c’est accepter de retenir son souffle et de ne jamais savoir quand nous pourrons le reprendre.

SIMONE BEAUDRY-PILOTTEHEIDI-STEAKDessin Papier et fusain103 cm x 127 cm2010

Une charmante orpheline apprivoise un grand-père misanthrope et contribue à la guérison d’une fillette invalide.

CÉGEP DE SAINT-LAURENT

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SIMONE FINKENÉCOSYSTÈMESculptureCage à poules, décorations de Noël, lumières de Noël, objets trouvés, guirlandes173 cm x 52 cm x 52 cm 2010

Dénonciation humoristique des excès du temps des Fêtes.

MARC-OLIVIER HAMELINBALLET AFRICAIN DU CENTRE-VILLEPeintureAcrylique, encre, crayon de plomb et cire sur toile122 cm x 125 cm2011

L’atteinte de quelque chose, à cet instant du moment où l’on sent totalement. Et puis le néant.

LOUISE GOUYETHANDICAP CERVIDALSculpturePoils, bois d’animaux, bois, broche à poules, roues de vélo, roues de chariot, cire, acrylique100 cm x 60 cm x 75 cm2011

J’ai voulu mixer plusieurs techniques avec ma chaise. Le lien entre les bois de chevreuil, le poil et le fauteuil roulant est que justement, il n’y en a pas. Le contraste était mon point de mire.

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ÉLIE COLLINSL’ENFANCE PERDUESculptureJouets et bois (pin)127 cm x 46 cm x 60 cm2010

L’enfance, la première période de la vie. On a tendance à l’oublier, à la laisser der-rière nous, se disant que nous sommes trop vieux pour y revenir... Pourtant, nous ne l’avons jamais vraiment quittée. Cette période de rire et de joie est simplement enterrée par le stress et le rythme de la vie adulte.

CÉGEP DE SEPT-ÎLES

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SONIA ST-LOUISALEXIS ET MAXIMEPeintureAcrylique et fusain61 cm x 91 cm2011

Voici mes deux neveux. Ces deux taquins, me font tou-jours craquer. Leurs regards profonds remplis d’amour et de joie de vivre ne cessent de m’inspirer en création. À votre tour de vous laisser émouvoir !

KARIANNE BORDELEAUIL ÉTAIT UNE FOIS UNE CHENILLE…SculpturePlâtre, bois, végétaux et acrylique60 cm x 29 cm x 66 cm2011

Il était une fois une chenille qui ne devait pas voler, ni rê-ver. Pourtant, elle désirait le contraire. Et elle le prouve-rait. La nature, affolée, dé-cida d’emprisonner la chenille

dans un cocon pour l’empêcher d’aller contre ses lois. L’intrépide chenille lutta dans sa prison et, au bout d’énormes efforts, réussit à s’échapper, visage premier. Mais, ce cocon lui avait fait un cadeau, il l’avait transformée en homme-phalène !

AUDREY LAFONDÉCLATER LE SILENCEInstallationMatériaux recyclés et acrylique sur canevas118 cm x 26 cm x 26 cm2011

Derrière des oreilles égoïstes et narcissi-ques se cachent des voix étranglées, que l’écho du silence s’efforce de camoufler sous une glace. Regardons le silence en face et n’ayons pas peur de ce qu’il ca-che. Éclatons le silence.

COLLÈGE SHAWINIGAN

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NADIA THÉRIAULTCOUPEZVidéoProjection vidéo DVD SD, NTSC 16 : 92010

Cette vidéo est une exploration formelle, tant au niveau du son, du rapport de l’image au corps et de l’abstraction. Elle porte un regard sur le rapport que l’homme entretient avec la nature, sa tendance à la détruire et à se l’approprier. Je la positionne aussi dans le désir de toujours en prendre plus jusqu’au moment où l’humanité vivra le point de non-retour face à la nature et où l’on souhaitera revenir en arrière.

OGNJEN JANJETOVICSANS TITREPeintureDiptyqueHuile sur toile30 cm x 30 cm et 30 cm x 60 cm2011

Les consignes du projet étaient de faire un diptyque réunissant deux images qui s’opposent par le propos et qui en même temps s’unissent par l’originalité de celui-ci. J’ai choisi donc de prendre l’image d’un homme buvant du café et celle d’un massacre, images contradictoires, mais qui reflètent en même temps une réalité, l’indifférence.

CÉGEP DE SHERBROOKE

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MARION SOULIÈRE-ROTZETTERTHE VIRGIN TEA PARTYPeinturePastel gras, crayon de bois, papier de soie, cire, papier couleur, acrylique90 cm x 30 cm et 60 cm x 30 cm2011

Dans le cadre d’un projet sur la dualité, j’ai réuni une icône et un objet du quo-tidien pour créer un résultat surprenant. Dans le même ordre d’idée, l’esthétique des deux toiles s’oppose : les couches de cire texturée et le modelé réaliste du per-sonnage contrastent avec l’esthétique graphique de l’objet.

FRÉDÉRIQUE BOURBONNAIS-VIENSYOUNG AND HAUNTEDMonotype – EstampeAcrylique, encre de chine et plomb sur papier Somerset38 cm x 28 cm2010

À partir d’une seule tache, j’ai voulu composer quelque chose de plus com-plexe, d’unique. Cette tache représente la jeunesse. Angoissée. Hantée. Écla-tée. Mais indépendante. Et fière.

CLAUDY BELLEFEUILLEPORCSculptureContreplaqué et plastique80 cm x 200 cm x 100 cm2010

L’œuvre fait un clin d’œil critique à la production massive porcine. Cette re-présentation fait référence à l’élevage cruel et la vente du produit. La struc-ture ne démontre pas une scène réel-le d’élevage, mais fait une remarque critique et ironique sur le fléau des productions et exécutions de masse. L’impact des matériaux bruts laisse place à l’interprétation de ce qui éma-ne déjà de la structure.

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ÉRIC LAUZONDEMEURE DE CONFORTSculptureTapis, sous-tapis et bois37 cm x 49 cm x 66 cm2011

Représenter le confort par une demeure chaleureuse. J’ai cru bon de représenter le confort, car c’est quelque chose d’indispensable pour les collégiens pour pouvoir se détendre et se reposer.

VIRGINIE ARSENEAULTCAPTEUR DE RÊVEPeinturePastel et acrylique sur toile61 cm x 61 cm2011

Asubakatchin

CÉGEP DE TROIS-RIVIÈRES

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MAïTÉ PELCHAT DOUCETLE PAYS DE CARNAUBAPeintureMortier de structure, encre de chine et acrylique sur toile30,5 cm x 122 cm2011

C’est l’histoire d’une jeune femme perdue dans un monde imaginaire. Entre deux pensées, elle cherche son identité. Tout lui paraît magnifique et épeurant à la fois. J’ai peint ce monde pour que vous puissiez vivre son rêve avec elle.

ANGELO HOAREAUVISION GLOBALETechniques mixtesCollage de trombones sur panneau de masonite61 cm x 61 cm2011

Il s’agit d’amener le regardeur à se questionner sur le contenu de l’œuvre bien avant qu’il puisse se rendre compte de ce qui la compose. L’étonnante transformation de l’œuvre évolue au fur et à mesure que son public s’avance vers elle pour voir qu’il ne s’agit que de trombones.

VANESSA GRAND MAISONDÉFORMATIONPeintureAcrylique64 cm x 72 cm2011

Tout d’abord, le but principal de cette œuvre était d’exploiter le cercle. Pour l’accentuer, j’ai fait une déformation avec les tiges. De plus, les couleurs, bleu et brun, s’harmonisent très bien entre elles. Celles-ci adoucissent l’œil à son passage.

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ALEXANDRE DAIGNEAULTLE CŒUR DU BLEU-BLANC-ROUGEInstallationPeinture, latex et bois180 cm x 20 cm x 120 cm2010

Depuis maintenant un peu plus d’un siècle que la Sainte-Flanelle a vu le jour, un joueur demeure sans aucun doute le symbole du travail, de la fierté et du leadership. Ce symbole, c’est le cœur du bleu blanc rouge : Maurice « the rocket » Richard. Inspirée de Lemoyne, cette œuvre a pour but de rendre hommage à ce personnage.

CATHERINE BEAULIEU-ROYPOURQUOI MOI?PeintureAcrylique sur toile150 cm x 90 cm2010

Mystérieuse ? Étrange ? Pourquoi moi ? Indispensables l’une pour l’autre, trois femmes se réunissent en un même en-droit au même moment. Qui sont-elles ? Où sont-elles ?

COLLÈGE DE VALLEYFIELD

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DANIKA POMMINVILLEEXIDIO TROJAE HISTORIAPeintureAcrylique sur toile132 cm x 200 cm2010

La fin de Troie. Interprétation personnelle de trois chapitres significatifs du mythe : la mort d’Hector, la mort d’Achile ainsi que la mort de Troie.

GABRIEL LANTHIERLOCK Z-14Art numériqueImpression numérique40 cm x 50 cm2011

Il est intéressant de remarquer, tout autour de nous, les différents objets qui peuvent nous sembler banals au premier regard, mais qui, en fait, sont source d’inspiration lorsque nous utilisons notre imagination. Pour le photomontage, je me suis transformé en cyborg en utilisant des photographies d’objets qui avaient une richesse uniquement esthétique ou rappelant la science-fiction.

SARAH-GABRIELLE CUSSONDYSLEXIE PeintureAcrylique122 cm x 122 cm2010

J’ai choisi le jeu d’échec puisque c’est un jeu très cartésien et stratégique. Le jeu d’échec me fait penser à un texte et sa structure. Ma dyslexie entraîne de gros problèmes en lien avec le fait de mettre mes idées en place, plus précisément la structure. J’ai donc illustré ce jeu à ma manière.

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MARIANNE CHARLEBOISL’EXCLOSIONInstallationMatériaux mixtes80 cm x 38 cm x 65 cm2011

Il s’agit de représenter l’opposition entre la nature et l’existence et la production humaine capitaliste qui se sent souve-raine et justifiée.

GENEVIÈVE ARCANDMÈRE POULESculpturePlâtre, pâte Fimo, plume, acrylique, brillant élevé, bois, maïs38 cm x 25 cm x 28 cm2011

Œuvre réalisée à partir de l’idée de la mère poule, qui représente en parallèle la femme et la mère !

CÉGEP DU VIEUX MONTRÉAL

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MAUDE LAFERRIÈRESERS-MOI DANS TES BRASPeintureBois, toile, acrylique, médium, vernis90 cm x 120 cm2011

Un cerf devant un mur recouvert de papier peint baroque avec des camées. Il est plus probable que le cerf soit empaillé et installé au mur que devant ce mur et vivant.

CHRISTIAN PERREAULT-HAMELLE SECRET POUR SAUVER L’ÊTRE HUMAINPeintureAcrylique, plâtre et béton coloré90 cm x 117 cm2010

Expérimentation de matière et mélange d’harmonies de couleurs. Jeux de profondeur et de relief.

SARA-JEANNE BOURGETFOSSILIBUS HARMONIAInstallationBois, plâtre, fils de métal, acrylique et carton mousse119 cm x 46 cm2011

Fossilibus harmonia expose des fossiles découvrant des spécimens d’insectes ja-mais vus auparavant. Ceux-ci révèlent des caractéristiques qui défient les lois de la nature même si le fossile en tant que tel respecte les canevas scientifiques. L’œuvre se veut une recherche historique ponctuée de fiction.

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LA 22e EXPOSITION INTERCOLLÉGIALE D’ARTS PLASTIQUES

LES ORGANISATEURSL’équipe du Centre d’animation de français (Canif) et du Secteur d’animation culturelle des Services aux étudiants (Sac)Jean-Paul BéginSophie BrosseauSuzanne CarrièrePierre GodinDanielle L’Espérance

Les professeurs du département d’arts plastiquesJacques LalondeDenis LeBelBernard RousseauDominique Valade

DESIGN GRAPHIQUE ET MISE EN PAGESAndrée-Anne Cardinal

CORRECTRICEMarie-Dominique Cousineau

RENSEIGNEMENTSSuzanne Carrière, 514 982-3437, poste 2164

REMERCIEMENTS

Le comité local responsable de l’organisation de l’Exposition souhaite remercier les personnes et les organismes qui lui ont généreusement assuré leur collaboration :

ATSA (Action Terroriste Socialement Acceptable) / porte-paroleHedwidge Asselin, Patrick Bernatchez et Bernard Gamoy / membres du juryMyriam Daguzan Bernier / La Fondation pour l’art contemporain DHC/ARTLe Musée des beaux-arts de MontréalLa Fonderie DarlingGilles Forest et Philippe Giroux / Service de l’audiovisuel du CVMSabrina Ing et Véronique Julien / RIASQ

Des remerciements sont également adressés aux organismes et aux sociétés pour leur soutien financier et leur générosité :

Association générale étudiante (AGEECVM)Association des parents partenaires (APPCVM)Direction généraleFondation du Cégep du Vieux Montréal Galerie OnzeServices aux étudiantsainsi queBoréaleDeSerresLe Cheval BlancRepro-UQAMRemerciements tout particuliers aux membres du personnel et aux étudiants du CVM :Aux étudiants responsables de l’accueil, de la surveillance des salles d’exposition, de la technique et de la logistiqueAux membres du personnel et aux différents services du CVM

Merci à tous les participants qui se sont engagés dans cet événement : les jeunes artistes, les animateurs culturels, les professeurs des différents collèges et ceux d’arts plastiques du CVM

Impression du catalogueRepro-UQAM

Cégep du Vieux Montréal255, rue Ontario Est,Montréal (Québec) H2X 1X6© Tous droits réservés2011