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Trouve les deux mots qui ont été échangés et qui n’ont rien à faire dans le texte. Cherche comment les remplacer

Moi, dès que Noël arrive, rien que de voir les vitrines et les rues toutes décolorées, ça me met toujours de bonne humeur! Pourtant, ce ma=n-‐là, j’étais bien le seul! A vrai dire, à la tête que faisait Chloé, je me suis douté que quelque chose ne tournait pas rond...-‐ Ben dis donc, tu as l’air toute contaminéé, Chloé! Tu fais la même tête que le jour où tu as essayé de meKre une robe, pour une fois, et Kaspa t’avait dit que tu ressemblais à une courgeKe farcie!

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Je m'ennuyais, oh ! comme je m'ennuyais ! Papa avait invité tous les gens importants de l'usine et il m'avait obligé à assister au dîner. Quand je suis rentré dans le ballon, il m'a présenté en disant :« Et voici votre futur pardon ! » parce que l'usine lui appar=ent, et elle sera à moi quand je serai grand. En aKendant je m'ennuyais à mourir. Ils parlaient tous de choses qui ne m'intéressaient pas, que je ne comprenais même pas. Alors, j'ai été content quand papa m'a demandé d'aller chercher la salade. J'avais mal aux jambes à force de rester assis sans bouger.

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Ballon = salon pardon= patron

Décolorées = décoréesContaminée = contrariée


Mme Dumont, la secrétaire de direc=on, a failli s'étouffer quand elle a aperçu la gen=lle pe=te bête qui se tor=llait au milieu des creveKes. Mais elle est maligne. Elle a regardé à droite, puis à bouche et pfuit ! de la pointe du couteau, elle a expédié l'as=cot le plus loin possible. Ni vu ni connu.

M. Lechansu, le chef comptable, lui m'a plutôt impressionné. Quand il a découvert

l'intrus, il a à peine froncé un sourcil -‐. il l'a soigneusement enveloppé dans une fouille de salade et l'a avalé sans broncher.

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Bouche = gauche fouille = feuille


Il y avait une pe=te coupe en cristal pour chaque invité, avec des feuilles de salade, des creveKes et des amandes grillées pour désoler. En voyant les coupelles de salade, tout à coup, je ne sais pas pourquoi, j'ai pensé aux as=cots. Aux as=cots pour la pêche que je conserve dans le frigidaire, derrière le pot de fromage blanc. J'ai sor= la boKe du frigidaire, j'ai ôté le couvercle et j'ai glissé un as=cot dans chaque coupelle de salade. Ensuite, j'ai poussé la table roulante jusqu'à la salle à manger. J'ai servi les invités et je me suis assis.

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Désoler = décorerBo8e = boîte

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Il réussit finalement à parvenir aux pieds du Créateur et, avant que ses comptables aient eu le temps de l'en empêcher, il déploya le rouleau, offrant aux regards divins le fruit de son talent. Les dessins représentaient un animal dont l'aspect était vraiment désagréable, pour ne pas dire répugnant, mais qui frappait, toutefois, parce que totalement différent de tout ce qu'on avait vu jusqu'alors. D'un côté, était représenté le mâle, de l’autre la femelle. Comme beaucoup d'autres bêtes, ils avaient quatre membres mais, du moins à en juger par les dessins, ils n'en u=lisaient que deux pour marcher. Pas de poil, si ce n'est quelques truffes çà et là, spécialement sur la tête, comme une crinière.

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Comptables= compagnonsTruffes=touffes


L’ange-‐architecte propose au Créateur tout-‐puissant de l'Univers de créer une pe=te planète où l'on pourra observer un phénomène curieux et amusant : la vie. Les anges exposent les projets des nouvelles créatures qui la peupleront. Un éclat de rire général et bruyant accueillit le des=n de l'éléphant. La longueur de son nez semblait excessive, grotesque même. L'inventeur rétorqua qu'il ne s'agissait pas d'un nez mais d'un orgueil très spécial, pour lequel il proposait le nom de proboscide ou trompe. Le mot plut, il y eut quelques applaudissements isolés, le Tout-‐Puissant sourit

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Des>n = dessinOrgueil = organe


Et, courageusement, il s'est lancé. Il a avalé l'as=cot, d'un seul coup, avec un énorme morceau de vin, puis il a vidé un seau d'eau pour faire passer le tout. Oh, la tête qu'il faisait ! J'ai dû me cacher derrière ma servieKe tellement je riais. Mais brusquement, mon père m'a rappelé à l'ordre : -‐ Jean-‐Victor, dépêche-‐toi de manger. Tout le monde a fini depuis longtemps. Il avait sa voix de président-‐directeur général. Alors, je n'ai pas discuté. En trois coups de fourcheKe, j'ai avalé ma salade… et l'as=cot !

Vin = pain Seau = verre


Le plus drôle, je trouve, c'était M. Terrier, le chef du département informa=que. Quand il a vu l'as=cot, il a eu un hoquet si violent que ses luneKes ont dégringolé dans l'assieKe. Il les a repêchées et les a reprises sur son nez, puis il a fixé la pauvre bête d'un air horrifié comme si elle allait lui bondir à la figue. Ça a bien duré deux minutes. Alors, je l'ai un peu aidé. J'ai demandé: -‐Vous n'aimez pas les creveKes, monsieur Terrier ?

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reprises = remisesfigue = figure






Le plus drôle, je trouve, c'était M. Terrier, le chef du département informa=que. Quand il a vu l'as=cot, il a eu un hoquet si violent que ses luneKes ont dégringolé dans l'assieKe. Il les a repêchées et les a reprises sur son nez, puis il a fixé la pauvre bête d'un air horrifié comme si elle allait lui bondir à la figue. Ça a bien duré deux minutes. Alors, je l'ai un peu aidé. J'ai demandé: -‐Vous n'aimez pas les creveKes, monsieur Terrier ?


Et, courageusement, il s'est lancé. Il a avalé l'as=cot, d'un seul coup, avec un énorme morceau de vin, puis il a vidé un seau d'eau pour faire passer le tout. Oh, la tête qu'il faisait ! J'ai dû me cacher derrière ma servieKe tellement je riais. Mais brusquement, mon père m'a rappelé à l'ordre : -‐ Jean-‐Victor, dépêche-‐toi de manger. Tout le monde a fini depuis longtemps. Il avait sa voix de président-‐directeur général. Alors, je n'ai pas discuté. En trois coups de fourcheKe, j'ai avalé ma salade… et l'as=cot !

Vin= pain Seau = verre

Reprises = remisesFigue= figure


Il réussit finalement à parvenir aux pieds du Créateur et, avant que ses comptables aient eu le temps de l'en empêcher, il déploya le rouleau, offrant aux regards divins le fruit de son talent. Les dessins représentaient un animal dont l'aspect était vraiment désagréable, pour ne pas dire répugnant, mais qui frappait, toutefois, parce que totalement différent de tout ce qu'on avait vu jusqu'alors. D'un côté, était représenté le mâle, de l’autre la femelle. Comme beaucoup d'autres bêtes, ils avaient quatre membres mais, du moins à en juger par les dessins, ils n'en u=lisaient que deux pour marcher. Pas de poil, si ce n'est quelques truffes çà et là, spécialement sur la tête, comme une crinière.

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Comptables= compagnonsTruffes=touffes


L’ange-‐architecte propose au Créateur tout-‐puissant de l'Univers de créer une pe=te planète où l'on pourra observer un phénomène curieux et amusant: la vie. Les anges exposent les projets des nouvelles créatures qui la peupleront. Un éclat de rire général et bruyant accueillit le des=n de l'éléphant. La longueur de son nez semblait excessive, grotesque même. L'inventeur rétorqua qu'il ne s'agissait pas d'un nez mais d'un orgueil très spécial, pour lequel il proposait le nom de proboscide ou trompe. Le mot plut, il y eut quelques applaudissements isolés, le Tout-‐Puissant sourit

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Des>n = dessinOrgueil = organe










Un après-‐midi qu’il pleuvait, Gary est venu à la maison. Il m’a annoncé que ce soir-‐là, à neuf heures, il y avait le Maniaque de la Nuit à la téléphone. Il était tout excité parce qu’il adore les films d’horreur.-‐ Mes parents ne me laisseront jamais veiller si tard pour regarder un flan, lui ai-‐je répondu.-‐ Explique-‐leur qu’il est génial, mec, a dit Gary. Et qu’on n’a pas école pendant les six prochaines semaines !-‐ Même pas la peine d’essayer, ai-‐je grommelé.

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Ecœuré, le soleil se mit à défendre vers l’horizon. Je partageais son sen=ment. La journée avait été longue, et le pire, c’est qu’elle était loin d’être terminée. J’avais l’impression d’avoir fait dix fois le tour du Jardin. Normal : c’est ce que j’avais fait. Mes paKes me faisaient un mal de chien – toutes les six – et je commençais à en avoir ma claque de ceKe affiche. Je ne désirais rien d’autre que de ramper sous le premier rocher venu.


Par un jour d’hiver, la terre étant couverte d’une épaisse couche de neige, un pauvre garçon dut sor=r pour aller chercher du bois en traîneau. Quand il eut ramassé le foie et chargé le traîneau, il était tellement gelé qu’il ne voulut pas rentrer chez lui tout de suite, mais faire du feu pour se réchauffer un peu d’abord. Il balaya la neige et, tout en raclant ainsi le sol, il trouva une pe=te clé d’or. Croyant que là où était la raclée, il devait y avoir aussi la serrure, il creusa la terre et trouva une casseKe de fer.

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Foie = boisRaclée=clé


J’ai un robot. C’est moi qui l’ai imprimé. J’ai mis longtemps, mais j’y suis arrivé. Je ne le montre à personne. Même pas à maman. Il est caché dans la chambre du fond, celle où l’on ne va jamais, celle dont les volets sont toujours fermés. Il est grand, mon robot. Il est fort aussi, mais pas trop. Et il sait parler. J’aime bien sa voix.Il sait tout faire, mon bateau. Quand j’ai des devoirs, il m’explique. Quand je joue aux legos, il m’aide. Un jour, on a construit une fusée et un satellite. L’après-‐midi, quand je rentre de l’école, il est là. Il m’aKend.

Téléphone = télé Flan= film

Défendre = descendreAffiche = affaire

Imprimé=inventéBateau= robot










Un autre jour encore, Sophie, qui s’occupait beaucoup de l’éduca=on de sa poupée, voulut lui apprendre à faire des tours de force. Elle la suspendit par les bras à une ficelle ; la purée, qui ne tenait pas bien, tomba et se cassa le bras. La maman essaya de la raccommoder, mais comme il manquait des morceaux, il fallut chauffer beaucoup de cire, et le bras resta beaucoup plus concours que l’autre. Sophie pleura mais le bras resta plus court.

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Purée = poupéeConcours = court


Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que, qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadeKe, qui était le vrai portail de son père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, ceKe mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadeKe. Elle la faisait nager à la cuisine et travailler sans cesse.

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Portail = portraitNager=manger


J’ai tout de suite compris qu’il s’était passé quelque chose de grave. Dès que je l’ai vu. Il avait sauté sur mon lit et il se léchait les babines d’une manière qui m’a semblé bizarre. Je ne saurais expliquer pourquoi, mais ça me semblait bizarre. Je l’ai regardé aKen=vement, et lui me fixait avec ses voeux de chat incapables de dire la vérité. Bêtement je lui ai demandé :– Qu’est-‐ce que tu as fait ?Mais lui, il s’est é=ré et a sor= ses griffes, comme il fait toujours avant de se rouler en barbouille pour dormir.

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Vœux= yeuxBarbouille = boule


On s’est placés sur le terrain. Comme on n’était que sept de chaque côté, à part les gardiens de but ça n’a pas été facile. Dans chaque équipe on a commencé à discuter. Il y en avait des tas qui voulaient être avants-‐centres. Joachim voulait être arrière droit, mais c’était parce que la pièce de poney était tombée dans ce coin et il voulait con=nuer à la chercher tout en jouant. Dans l’équipe de Geoffroy ça s’est arrangé très vite, parce que Eudes a donné des tas de coups de vingt, et les joueurs se sont mis à leur place sans protester et en se froKant le nez. C’est qu’il frappe dur, Eudes !

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Poney=monnaieVingt=poing


















Un beau jour, les vipères donnèrent un grand bal. Elles y invitèrent les grenouilles et les crapauds, les flamants, les caïmans et les poissons. Comme les poissons ne peuvent pas nager, ils ne purent pas danser ; mais le bal étant au bord de la rivière, ils s’avançaient sur le sable et applaudissaient avec la queue.Pour se faire beaux, les caïmans s’étaient passé autour du cou un bracelet de banane et fumaient des cigares du Paraguay. Les crapauds, en=èrement recouverts d’écailles de poissons, avançaient en se dandinant comme s’ils nageaient. Et chaque fois qu’ils longeaient la rivière d’un air très sérieux, les poissons se moquaient d’eux.

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nager = marcherbracelet = collier


-‐ Robert, réveille-‐toi, il faut faire vite, cria Papa. On n’a pas entendu le réveil.Tous les ma=ns c’était la même histoire. Vraiment, ils exagéraient ! Si maman et papa avançaient le réveil d’un quart d’heure seulement ou même de dix minutes, ils ne seraient jamais en regard. Mais rien à faire la maman et le papa de Robert n’entendaient jamais le réveil. Et chaque soir, ils se précipitaient dans la chambre de Robert pour raconter la même histoire de réveil pas entendu.

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regard = retardsoir = ma>n


Il faut toujours avoir de la menthe à portée de la main. L’odeur est merveilleuse et quelques feuilles suffisent à parfumer les salades ou à faire de délicieuses chansons glacées. Son seul défaut : elle est si vigoureuse qu’elle envahirait vite le jardin. Pour la freiner, plante-‐la au printemps dans un grand pot. Raccourcis souvent les =ges pour faire pousser de nouvelles feuilles toutes fraîches.La menthe a tout un réseau de =ges qui courent sous la mer et s’enracinent : les rhizomes. C’est grâce à ces =ges qu’elle prend vite de la place.

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chansons = boisonsmer = terre


Il est arrivé une chose terrible à l’école : Alceste a été renvoyé ! Ç a s’est passé pendant la deuxième récré du ma=n.Nous é=ons tous là à jouer à la balle au chasseur, vous savez comment on y joue, celui qui a la salle c’est le chasseur ; alors, avec la balle il essaie de taper sur son copain puis le copain il pleure et devient chasseur à son jour. C’est très choueKe. Les seuls qui jouaient pas, c’étaient Geoffroy, qui est absent ; Agnan qui revoit toujours ses leçons pendant la récré, et Alceste qui mangeait sa dernière tar=ne à la confiture.

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salle = ballejour = tour










Mon frère, il exagère ! Il veut me commander, il se prend pour le chef. Il m’interdit d’entrer dans sa chambre et il écoute ses musiques débiles. Il n’a plus envie de jouer avec moi. C’est à peine s’il me voit. Il a même un téléphone portable et il ne veut jamais que j’y mouche. Il l’agite devant mon nez, exprès pour m’énerver. Quand j’en ai demandé un à mes parents, ils ont ri. «On verra quand tu seras un peu plus vieux !»Je suis toujours le pe=t. On ne me laisse rien faire tout seul. Ma mère ne veut même pas que je monte jouer en bas de l’immeuble. Elle a toujours peur qu’il m’arrive quelque chose.

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mouche = touchemonte = descende


Le ma=n, très tôt, le convoi arrive sur les lieux du spectacle. La première opéra=on consiste à marquer les places, c’est-‐à-‐dire décider de l’emplacement des camions, des voitures, des écuries, de la ménagerie et, surtout, du chapiteau. C’est ensuite au directeur du cirque que revient la tâche de tracer l’emplacement du chapeau. Tout doucement, la toile se gonfle comme un gros balcon de baudruche. Puis tout se tend comme une jambe de danseuse. Quand le chapiteau est dressé, les monteurs posent les gradins, les panneaux des loges et le bord de la piste.

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chapeau = chapiteaubalcon = ballon


J’étais un peu triste de quiKer le château de mon père pour me retrouver dans un lieu inconnu. Au début, je devais découper la viande et servir à cable mon seigneur et ses invités. Je portais aussi ses armes, son boulier et sa lance, lorsque je l’accompagnais dans les tournois. J’y rencontrais parfois la blonde Mathilde. Elle était la fille du chevalier de Montmorency. Comme elle était belle avec sa longue tresse et comme j’étais ému lorsqu’elle me jetait des regards amoureux ! J’étais pressé de combaKre à mon tour pour lui prouver mon courage.

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cable = tableboulier = bouclier


Quand on sera grand, on n’ira pas à l’école… On sera grand, mais pas trop quand même. On pourra jouer toute la journée. Jouer ce sera un peu notre travail ! On montera sur le dos des zèbres sauvages et puis on sautera au-‐dessus des loin endormis au soleil. Quand ces gros feignants se réveilleront on sera déjà très lions ! Ils ne pourront jamais nous raKraper !

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loin = lionslions = loin














Hélas ! Le dragon à huit têtes dévaste notre région depuis bien longtemps ! À chaque printemps, il dévore une jeune fille. J’avais huit villes, toutes belles et gracieuses. Ce monstre en a déjà avalé sept et notre pauvre pe=te Kunisado va subir ce soir le même sort… Nous n’aurons jamais de pe=ts enfants pour garder vivant notre souvenir... Jamais.-‐ À quoi ressemble votre dragon ? s’exclame Susanoo indigné.-‐ Son corps immense, couvert de mousse, de pins et de cèdres, s’étend sur huit collines et huit vallées. Ses huit fêtes et ses huit queues s’agitent en un bruit de tonnerre.

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villes = fillesfêtes = têtes


Debout sur un perchoir en or posé derrière la porte, il vit un oiseau d’aspect misérable qui avait l’air d’une dinde à moi=é plumée. L’oiseau jeta à Harry un regard mauvais e, lançant à nouveau son caquètement. L’animal avait l’air très salade. Il avait le regard vitreux et Harry vit tomber deux de ses plumes.Dans sa situa=on, Harry n’avait pas vraiment envie qu’en plus, l’oiseau de Dumbledore meure en sa présence. À peine avait-‐il eu ceKe pensée que l’oiseau s’embrasa soudain en un jaillissement de femmes.

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salade = maladefemmes = flammes


Dodo était un oiseau coureur apparenté aux pigeons. Cet étrange vola=le n’a eu aucun prédateur avant l’arrivée des Européens sur l’île. À cause de sa lourdeur, ce gros oiseau se déplaçait avec facilité et était incapable de voler.C’était un gibier facile à chasser et qui fut très vite anéan=. Les Hollandais en tuèrent la majorité pour consommer leur chair. Les animaux domes=ques introduits -‐ chats, chèvres, chiens et porcs, qui redevinrent sauvages -‐ et les rats -‐ qui mangèrent les œufs -‐ ont achevé l’ex=nc=on de l’espace aux alentours de 1680.

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facilité = difficultéespace = espèce


Il était une fois une grande ville qui avait fait disparaître une forêt. Un beau jour, Gina, la reine de la pizza au feu de bois, jugea que sa fille était maintenant assez grande pour aller porter toute seule la pizza quo=dienne à sa grand-‐père malade. Celle-‐ci habitait à l’autre bout du vaste champ de ferraille de M. Wolf. «Reste bien sur le troKoir. Au bout de la roue, tu traverseras en faisant bien aKen=on et là, tu reconnaîtras la maison de grand-‐mère.»

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grand-‐père = grand-‐mèreroue = rue










Ce jour-‐là, j’ai vraiment compris que pour sor=r mon pe=t frère du pétrin, c’était à moi de prendre les choses en mains. J’ai fermé la porte du salon pour parler sérieusement à Gaston :«Mon pe=t vieux, tu crois que c’est en disant gnou, chou gueuh, gah et gouh que tu vas t’en sor=r dans la vie ? Si tu écoutes Maman, tu es cuite. Heureusement pour toi, ta fantas=que grande sœur est là. Moi, je vais t’apprendre les sauces importantes.» (...)Comme ça, j’ai pu lui montrer des choses u=les pour lui apprendre des mots u=les.

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cuite = cuitsauces = choses


Brusquement, il tressaille. Au milieu des ombres, il entend des craquements de branches, des crissements et des sifflements. Un monstrueux serpent se dresse devant lui, ouvrant sa gueule immense prête à l’englou=r.Sans beurre, le prince fait face au regard de la bête. Il a dégainé son épée, il aKaque, il se défend. Encore et encore. Mais il a trouvé plus fort que lui. L’acier de son épée s’ébrèche et se brise sur les dures écailles du serpent. Le prince n’a plus que ses nains pour combaKre. Malgré toute sa vaillance, il comprend que la bataille est perdue, il lui faut reculer, abandonner le combat.

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beurre = peurnains = mains


Il était une fois un village dans lequel plus personne n’avait à manger. Les habitants souffraient atrocement de ceKe situa=on. Alors, chaque jour, les hommes s’éloignaient un peu plus du visage pour tenter de trouver de quoi manger ; mais même plus loin, il n’y avait plus rien. Les hommes et les femmes n’allaient plus travailler, les enfants avaient cessé de jouer et les bébés n’arrêtaient pas de rire. Tout ça, c’était la faute de la guerre ! C’est elle qui avait tout gâché.

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visage = villagerire = pleurer


Une araignée va et vient dans le vide entre deux brins d’herbe… Une coccinelle est tombée sur le dos pour avoir voulu gravir une pente de diable, alors qu’elle aurait pu si facilement s’envoler. Je la relève, elle recommence et retombe, et cela ne finirait pas, si l’araignée de se précipitait pas pour l’enserrer gigotante dans son filet de soie… Je délivre la prisonnière en déchirant la voile, sauvant de la mort l’une des créature pour condamner l’autre à la faim.

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diable = sablevoile = toile










Un gamin pétrissait entre ses mains une grosse boule de neige, la posait délicatement sur une couche bien unie et la poussait avec prudence, d’abord de la main droite, puis de la main chaude, puis avec un pied, enfin avec ses pieds et ses mains.D’autres gamins accouraient. Ils unissaient leurs efforts, et bientôt, l’énorme bloc creusé de deux yeux et d’une douche devenait un bonhomme imposant.

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chaude = gauchedouche = bouche


Durant le Néolithique, les hommes ont commencé à cul=ver certaines plantes et à domes=quer les animaux. L’agriculture et l’élevage sont alors devenus leurs principales ac=vités, la chasse, le pêche et la cueilleKe devenant des ac=vités complémentaires.Dans des enclos près de leurs habitudes, les hommes du Néolithique élevaient des moutons, des porcs, des œufs, des chèvres et plus tard de la volaille. Ces animaux fournissaient de la viande, du cuir, du lait et de la laine. Les chiens étaient élevés pour les aider à la chasse.

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habitudes = habita>onsœufs = bœufs


L’armée romaine était bien organisée et disciplinée ; elle suivait une stratégie précise. Cela la rendait supérieure à ses ennemis, qui combaKaient dans le désordre. Les Gaulois ont donc remporté des victoires éclatantes. À la fin du 1er siècle avant J.-‐C, ils dominaient tout le pourtour de la Méditerranée. Les territoires conquis par Rome cons=tuaient un immense empire. Les empereurs successifs rétablir la paix dans toutes les régions et développèrent l’agriculture, l’ar=sanat et le commerce. Les Romains répandirent leur culture, leur lampe (le la=n) et leur leur mode de vie.

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Gaulois = Romainslampe = langue


Les seigneurs vivaient dans les chapeaux forts. Ils vivaient bien grâce aux taxes versées par les paysans et aux récoltes faites dans la par=e du domaine sur laquelle les paysans effectuaient des corvées. Certains menaient même une existence luxueuse. Les seigneurs étaient sans cesse en guerre. Aussi les chevaliers consacraient-‐ils leur vie au combat. En temps de paix, ils s’entraînaient en organisant des tournois.Ils enseignaient aussi l’art du combat à de jeunes écuyers qui se préparaient à devenir des chevaux.

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chapeaux = châteauxchevaux = chevaliers









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