bulletin bimestriel contretype n°119

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CONTRETYPE MICHEL CASTERMANS FRONTIÈRE – GRENS Juillet – août 2010 / Bulletin bimestriel n°119 / Bureau de dépôt: Bruxelles X - P104021 21 juillet – 12 septembre 2010

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Bulletin bimestriel de l'Espace Photographique Contretype (Bruxelles) consacré à l'exposition Frontière-Grens de Michel Castermans (21/07-12/09/10)

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C o n t r e t y p e

MICHEL CASTERMANS FRONTIèRE – GRENS

Juillet – août 2010 / Bulletin bimestriel n°119 / Bureau de dépôt: Bruxelles X - P104021

21 juillet – 12 septembre 2010

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FRONTIèRE – GRENS JLG: Comment t’est venue l’idée de ce travail sur la frontière linguistique?MC: Avant ce projet, j’avais fait beaucoup de photographies de voyages et, un jour, j’ai réalisé qu’il y avait un voyage à faire dans mon propre pays. Je me suis imposé ce défi d’explorer une région belge que je ne connaissais pas, où il n’y a en principe pas grand-chose à photographier, en cherchant à y poser un regard neuf. C’est un sujet qui m’intéresse en tant que citoyen belge originaire des deux communautés, puisque ma mère était flamande, et qui a été réalisé dans le contexte d’une Belgique pour le moins chahutée par rapport à son entité connue depuis 1830. C’est avant tout un choix photographique. Je n’avais pas d’arrière-pensée politique en faisant ces photographies, si ce n’est celle de montrer la Belgique dans ce qu’elle avait de très belge, de très fragile et de très neutre, puisque c’est un travail sur le fil de la frontière elle-même. Cette frontière administrative est devenue une réalité de terrain qui mérite d’être prise en compte et qui est un sujet d’expression artistique; cela m’a paru très intéressant car une frontière laisse ou non une trace topographique, une trace sur le territoire, et ce travail photographique comporte dès lors une part de témoignage, a un rôle de témoin de l’histoire de notre temps.

JLG: Comment as-tu élaboré ce travail?MC: Au départ, je voulais faire un travail d’équilibriste sur cette frontière, car dès qu’on bascule d’un côté ou de l’autre, on peut devenir partial et donc impliqué politiquement. En pratique, j’ai repéré des endroits qui me semblaient intéressants par l’intermédiaire de Google Earth, ce qui me permettait d’avoir des photographies par satellite. Sur ce programme, la frontière est bien indiquée, donc il était facile d’avoir une idée de la topographie du territoire. J’ai repéré certains points et, par ailleurs, mon GPS indiquait clairement cette ligne frontière, donc j’avais un outil me permettant de me situer très précisément par rapport au sujet. Dans de nombreux cas, je me suis arrêté sur la ligne frontière, j’ai regardé ce qu’il y avait à photographier et, secondairement, j’ai cherché quel sens je pouvais donner à mes photographies par rapport à la thématique de cette frontière. Le but était de poser un regard photographique à la fois objectif et descriptif mais qui, à travers mon regard, permettait à chacun de se projeter dans sa Belgique.

JLG: Ce qu’il faut dire aussi, c’est que pour ce travail-ci, tu as changé de technique…MC: Oui, j’ai également inclus une réflexion quant à la technique. Ici, j’ai choisi le moyen format 6 x 7 et j’ai complété en fin de travail par de la chambre technique 4 x 5 inches, technique que j’ai d’ailleurs apprise au cours de l’élaboration de ce travail. Et j’ai réalisé le travail en couleur, parce qu’il s’agit d’un travail dans la réalité, dans l’actualité. Je voulais que ce soit lisible comme de la photographie très actuelle, parce que cette frontière, je l’ai photographiée telle qu’elle est maintenant, au présent. Son avenir est tellement incertain… mais là, je m’écarte du sujet!

Extrait d’un entretien Jean-Louis Godefroid – Michel Castermans, mai 2010

Michel Castermans,extrait de la série « Frontière – Grens », 2007-2010, 61 x 76 cm

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Vertaling : Erik Eelbode – English version: see www.contretype.org

FRONTIèRE – GRENS JLG: Waar komt de inspiratie vandaan voor dit werk over de taalgrens?MC: Vooraleer ik met dit project begon, had ik vooral beelden van verre reizen gerealiseerd, tot ik op een gegeven moment besefte dat ik eigenlijk een reis in mijn eigen land zou moeten ondernemen. Ik ben de uitdaging aangegaan om een Belgische regio te verkennen die ik niet kende - waar er in wezen weinig of niets te fotograferen valt – en er een nieuwe blik op te werpen. Het onderwerp sprak me ook bijzonder aan als Belgisch burger met roots in beide gemeenschappen - mijn moeder was een Vlaamse – en ik begon eraan vanuit de context van een België dat behoorlijk in de war is over zijn samenhang zoals die in 1830 bedacht werd. Maar bovenal was het een fotografische keuze. Ik hield er geen enkele politieke bijgedachte op na bij het maken van deze foto’s, behalve dan om aan te tonen wat zo intens Belgisch kan zijn aan België, heel breekbaar en neutraal, net omdat het om een werk gaat dat zich letterlijk op de grens begeeft. Deze administratieve grens is een realiteit geworden, die niet enkel als reëel grondgebied, maar ook artistiek benaderd kan worden; dat leek me vooral interessant omdat een grens hoe dan ook een topografisch spoor nalaat, een spoor in het territorium, en in die zin wil dit fotografisch werk een aparte getuigenis afleggen van onze geschiedenis vandaag.

JLG: Hoe ben je tewerk gegaan?MC: Van meet af aan wilde ik een soort evenwichtsoefening uitvoeren op die grens, omdat wanneer je naar de ene of de andere kant gaat overhellen, je vooringenomen kan raken en bijgevolg politiek betrokken wordt. In de praktijk heb ik via Google Earth een aantal plaatsen gemarkeerd die me interessant leken; wat me ook een aantal satellietfoto’s opleverde. In dit programma is de grens goed aangegeven en was het dus vrij eenvoudig om een topografie van het grondgebied te bekomen. Een aantal van die plekken heb ik vastgelegd en via mijn gps kon ik verder perfect die grenslijn volgen – ik beschikte dus over een neutraal hulpmiddel dat me in staat stelde om erg precies met mijn onderwerp om te gaan. Meer dan eens heb ik halt gehouden aan die grens, zocht ik eerst uit wat er te fotograferen viel, om vervolgens uit te zoeken welke betekenis ik aan mijn foto’s kon geven in functie van deze grensthematiek. Doel was om een fotografische blik te installeren, die objectief en beschrijvend is, maar die het tegelijk voor iedereen mogelijk maakt om doorheen mijn blik voor zichzelf een eigen beeld van België te projecteren.

JLG: Wat ik nog apart wilde vermelden is dat je voor dit specifieke werk je techniek hebt aangepast...MC: Ik heb inderdaad ook een technische reflectie in dit werk ingebouwd. Hier heb ik aanvankelijk op het bekende 6 x 7 formaat gewerkt, maar de afwerking heb ik op 4 x 5 inch uitgevoerd, een techniek die ik overigens in de loop van dit werk heb geleerd. En ik heb deze beelden ook in kleur gerealiseerd, omdat het om een werk gaat dat zich in de werkelijkheid, in de actualiteit, positioneert. Ik wilde dat het als een heel actuele vorm van fotografie kan gelezen worden, omdat ik deze grens gefotografeerd heb zoals hij er vandaag uitziet. Zijn toekomst is hoogst onzeker... maar nu wijk ik af van mijn onderwerp!

Fragment uit een gesprek tussen Jean-Louis Godefroid en Michel Castermans, mei 2010

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Michel Castermans, extrait de la série « Frontière – Grens », 2007-2010, 61 x 76 cm

MICHEL CASTERMANS est né en 1956 à Hasselt, Belgique. Il vit et travaille principalement à Bruxelles.

Parallèlement à son activité professionnelle de neurologue, il a étudié la photo-graphie en autodidacte et a acquis un savoir-faire en fréquentant des ateliers, des stages et des cours, en assistant à des conférences ainsi qu’au contact de photographes professionnels avec qui il voyage fréquemment.

Depuis la fin des années ’90, il organise son temps de manière à pouvoir pratiquer la photographie de manière très régulière.

Photographe de voyage, il a participé à l’édition 2009 du festival «Itinéraire des photographes voyageurs» à Bordeaux et à plusieurs expositions françaises sur le thème du voyage. Il est également actif dans le domaine de la «photographie pauvre» par l’utilisation du sténopé. En 2010, il est lauréat du concours organisé sur ce thème par « Artazart » et la galerie parisienne «L’œil Ouvert».

En 2005, il participe avec l’écrivain Joël Vernet à la publication «La montagne dans le dos», un ouvrage sur le pays Dogon. En 2008, il publie « Les âmes de Verdun » en compagnie du photographe Bernard Plossu et du journaliste essayiste Philippe Grasset. Les Editions Yellow Now, Crisnée, Belgique, viennent d’éditer sous la forme d’un ouvrage cartonné son travail sur la frontière linguistique belge, intitulé « Frontière – Grens » (voir chronique en page 10).

Cette exposition est présentée à l’Espace Photographique Contretype dans le cadre de l’Eté de la Photographie 2010.

à l’occasion de l’exposition “Frontière – Grens” et de la parution du livre de Michel Castermans aux Editions Yellow Now, votez à partir du 21 juillet jusqu’au 5 septembre 2010 inclus à l’Espace Photographique Contretype pour la photographie que vous préférez dans cette exposition.

Les résultats seront annoncés lors du finissage de l’exposition de Michel Castermans, le dimanche 12 septembre 2010 entre 13 et 18 h.

Prix: la photographie plébiscitée, livre avec tirage de tête et livres du photographe.

Infos et règlement: www.contretype.org8

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Dans le cadre de sa Résidence d’Artiste à Bruxelles, Philippe Herbet a choisi et délimité son espace de travail dans le quartier européen. Décision étonnante pour ce photographe plutôt enclin aux voyages ferroviaires vers l’Orient qui s’invente des histoires de rencontres entrelacées et qui se ramifient et se développent tel un rhizome, en résonance avec l’ensemble de son travail.

Il est vrai que lors de ses balades de repérage dans Bruxelles, il fut intrigué par l’ambiance particulière qui régnait dans le quartier Schuman. Il y ressentit une espèce d’euphorie où tout semble aller bien, où protégé du melting-pot de la ville, les gens semblent être “sur un petit nuage”.

Mais la motivation principale qui a orienté le choix de Philippe Herbet est très probablement son désir de régler des comptes avec son passé. En effet, il se souvient encore d’avoir été employé de bureau, plus par pression sociale que par goût (il tenta même un examen à la Commission européenne, heureusement sans résultat) et de s’être délivré de cet état pour et par la photographie.

Jean-Louis Godefroid, Commissaire de l’exposition

Cette série a été réalisée en 2002-2003 dans le cadre du programme des Résidences d’artistes à Bruxelles proposé par Contretype, avec le soutien de la COCOF.

Le BIP (Brussels Info Place) et Contretype présentent cette exposition dans le cadre de la Présidence belge de l’Union Européenne et de l’Eté de la Photographie.

Vernissage le 15 juillet 2010 à 18h

Exposition accessible 7 jours sur 7 de 10 à 18h (entrée libre). Lieu: BIP – 2-4, rue Royale à 1000 Bruxelles. Tél: 02/563 62 00 Infos: www.contretype.org - www.biponline.be

BRuxELLES-EuROpE pHILIppE HERBETDu 16 juillet au 10 octobre 2010

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MICHEL CASTERMANS, Frontière – GrensCrisnée, Éditions Yellow Now, Côté photo, 2010 - 17 x 22 cm – 96 pages – 56 illustrations couleurs – ISBN 978-2-87340-256-3 – Prix de vente: 24 €

Le livre de Michel Castermans contient une sélection de photo-graphies de paysages, de photographies topographiques prises entre 2007 et 2010 sur la frontière linguistique qui « sépare » la Belgique.

Certaines d’entre elles ont été prises simplement parce que l’objet photographié se trouvait sur cette frontière, sans symbole direct. Mais, dans plusieurs cas, l’aspect insolite d’un objet dont on ne connaît pas l’utilité, perdu au milieu d’un champ sur la frontière linguistique, l’a interpellé. Pourquoi est-il là, à quoi sert-il? C’est alors ce côté insolite, un peu à la surréaliste belge, qui a séduit le photographe.

Les photographies témoignent de la présence, sur cette frontière, de quantité de structures d’équipement d’un pays: électricité, eau, écluses; mais on découvre aussi un pont qui ne sert à rien, des routes qui s’arrêtent... C’est dire si le livre contient aussi à la fois humour et dérision.

Quant à la postface, le photographe avait demandé au romancier Francis Dannemark d’intervenir dans le livre; il a donc écrit un petit texte, qui est quasiment un gag. Il s’agit d’un texte bilingue qui consiste en un échange de courriers électroniques avec son ami Benno Barnard, brillant écrivain néerlandophone, et qui constitue plutôt une friandise à la fin du livre qu’un texte d’auteur.

pHILIppE HERBET, Made in BelarusTexte d’Emmanuel d’Autreppe, Bruxelles, Editions Le Caillou bleu, 2010 - Toilé, relié, format 21,5 x 27 cm, 112 pages, texte bilingue français/anglais, 54 images en couleurs – ISBN: 978-2-9305-370-8 – Prix de vente: 37 €

Philippe Herbet, qui bénéficie en ce moment et jusqu’au 19 septembre 2010 d’une importante exposition au Musée de la Photographie de Charleroi, se voit à nouveau consacrer une monographie qui vient de paraître aux éditions Le Caillou bleu. Made in Belarus est un nouvel épisode, une ramification du rhizome que décline le photographe depuis de nombreuses années. Il nous emmène en Europe orientale, en République de Bélarus, une des ex-républiques socialistes soviétiques, devenue indépendante il y a une vingtaine d’années.

Comme dans ses travaux précédents, les femmes (majoritaire-ment), les trains et les hôtels figurent en bonne place. L’artiste belge, dont « la photographie, l’écriture et les voyages vers l’Orient occupent la majeure partie du temps » évoque dans ce livre avec poésie et talent ses récentes aventures.

CARACTèRES

FRANÇOIS GOFFIN – les CHoses siMPles

du 25 juin au 14 août 2010

Au Musée Communal de Huy Rue Vankeerberghen, 20 - 4500 Huy Production: Contretype

Infos: www.musee-huy.be ou www.contretype.org

APP PhotolabAvenue du Prince Héritier 73

B- 1200 BruxellesTél. (32) 2 735 01 52

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Tirages

aux pigments

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Publication bimestrielle tirée à

3500 exemplaires avec l’aide du Ministère de

la Communauté française Wallonie-Bruxelles.

espace Photographique Contretype1, avenue de la Jonction B - 1060 Bruxellestél: 02/538 42 20 Fax: 02/538 99 [email protected] bureaux sont ouverts du mardi au vendredi inclus de 10 à 18h.L’espace Contretype est accessible au public du mercredi au vendredi de 11 à 18h, samedi et dimanche de 13 à 18h (sauf jours fériés).

Couverture:MICHEL CASTERMANS extrait de la série « Frontière – Grens » (détail), 2007-2010, 61 x 76 cm

ouverture: le mercredi 21 juillet 2010en présence de l’artistevernissage de 13 à 18 h.

exposition: du 21 juillet au 12 septembre 2010

Horaire: ouvert du mercredi au vendredi de 11 à 18 h, samedi et dimanche de 13 à 18h (sauf jours fériés).

editeur responsable: Jean-Louis Godefroid1, avenue de la Jonction 1060 Bruxelles

secrétaire de rédaction: Evelyne Biver

Abonnements: Alain Hije