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BOCAGE VISITE DRHAT CAMP DE LA COURTINE TRIATHLON MILITAIRE

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BOCAGE

VISITE DRHAT

CAMP DE LA COURTINE

TRIATHLON MILITAIRE

« le jour venu, le

soldat n’est riche que

de l’instruction qu’il a

reçue, on n’est jamais

alors trop riche »

La fin de ce premier quadrimestre marque le retour à Issoire des principaux détachements projetés de par le monde dans les Balkans, en Asie centrale ou encore en Afrique. Trêve de bien courte durée car beaucoup sont déjà repartis prêter main forte à leurs camarades engagés sur l’exercice Rochambeau, exercice qui verra le régiment jouer une partie de son contrôle opérationnel Antares. S’il est légitime de mettre en lumière les détachements de retour de projection, profitons de ce numéro de fréquence 28 pour saluer comme il se doit tous ceux restés en base arrière et dont l’engagement quotidien a permis au régiment d’honorer sans faillir, ni faiblir, l’ensemble de ses rendez-vous opérationnels, de Nodalex à Vigipirate en passant par Bocage et la prise d’alerte Seine Neptune. Fort de ses succès, le 28 doit désormais se mettre en ordre de marche pour relever ses prochains défis dont l’engagement d’un groupement de transmissions dans la bande sahélo-saharienne ainsi que l’expérimentation d’une nouvelle modélisation visant à faciliter l’instruction collective. Tournée vers l’engagement et garante de l’efficacité opérationnelle du régiment, elle vise à préparer physiquement, techniquement et moralement nos transmetteurs car « le jour venu, le soldat n’est riche que de l’instruction qu’il a reçue, on n’est jamais alors trop riche ».

CBA VASSEURChef du Bureau Opérations et Instructionédito

Le 28e régiment de Transmissions a séjourné au camp de la Courtine du 24 mars au 4 avril 2014.Rendez-vous majeur dans le cadre de l’entraînement des savoir-faire du combattant, ce camp régi-mentaire avait pour objectif de driller et parfaire les fondamentaux, tout en assurant le recyclage et les remises à niveau des prérequis à la projection.Ainsi, ce camp s’inscrivait également dans le cadre de la MCP HARPIE. Complément indissociable des savoir-faire techniques, la rusticité et les conditions climatiques hivernales de la Corrèze donnent un cadre idéal et optimisent cette mise en situation.Les installations du camp ont permis à l’ensemble du personnel d’effectuer divers tirs : grenades à mains offensives et défensives, tir FAMAS ISTC, tir AANF1 et MIT 50, tir LRAC et tirs de pains d’explosif pour le détachement HARPIE. La section FGE a pu en outre profiter des installations pour mettre en œuvre une instruction de qualité.Particulièrement motivé, le personnel du 28 a su mettre à profit ce camp régimentaire pour driller et parfaire ses connaissances en retrouvant le sens du terrain et du dépassement de soi.

CNE BOISSAT

CAMPSSPéCIAL

Camp régimentaire de la 742e compagnie à La Courtine

Du 24 mars au 4 avril, les 7e, 4e et 2e compagnies se sont associées pour former une section de marche à l’occasion du camp régimentaire au camp de La Courtine. Durant deux semaines, tous ont profité des infrastructures du camp pour parfaire la maitrise des fondamentaux du combat Proterre. Sur le modèle des cycles intensifs d’entrainement au combat « Fighting cycle » précédemment réalisés par la 7e compagnie, la première semaine était consacrée à l’apprentissage des savoir-faire au niveau du groupe liés à la préparation d’une mission (caisse à sable, exploitation d’un OI et « Rehearsal »…), au combat en milieu urbain et en forêt, au SC1, à la lutte contre les IED ainsi qu’à la prise en compte de prisonniers. Ces savoir-faire exigeants ont d’abord été travaillés et assimilés séparément, puis les uns liés aux autres. Un exercice de synthèse en fin de première semaine a permis à chaque groupe de restituer au cours d’une mission tirée de l’actualité en Crimée, les acquis en intégrant toutes les composantes citées précédemment. Après avoir reçu l’OI du chef de section et commenté leur caisse à sable, les chefs de groupe avaient à réaliser une mission visant à exfiltrer une source depuis le centre du village rouge jusqu’à une ZPH. Tout au long de la mission, les groupes étaient équipés de trousses individuelles du combattant en plus de leurs effets de combat, auxquels a été ajouté les équipements du STC AL-NG (simulateur de tir de combat pour les armes légères nouvelle génération). En complément de l’évaluation par l’équipe d’encadrement, le système STC AL a ainsi imposé la sanction du feu aux groupes de combat !La deuxième semaine s’est vu consacrée à des activités plus classiques : tirs, marches cohésion et bivouac à la ferme de Boucheresse, avant de restituer une mission de combat en milieu urbain à l’occasion de la visite du COMBTAC, puis de se terminer par un repas de corps.

Ces deux semaines chargées auront donc permis en tous temps à cette section hétéroclite de retrouver le gout du combat, avec toutes les exigences qui s’y rapportent.

LTN de FROMONT7e CIE

CAMPSSPéCIAL

CAMPSSPéCIAL

Matin ensoleillé au camp de la courtine, les baroudeurs de la CCL se lancent dans une aventure bien connue ou la cohésion et le gout de l’effort sont de rigueur !!Il faut bien reconnaitre qu’à ce jeu-là nos beaux athlètes étaient au rendez-vous. Ce fut une méthode naturelle remplit d’enthousiasme mais aussi de bains de boue et amis éphémères partageant notre activité pendant plus d’une heure (rondins de bois surnommé pour l’occasion FREDO ET FIFFI, pneus et cordage…..) !Encore un grand merci aux participants pour leurs bonne humeur et je ne doute pas de leurs envies de recommencer !!!!!

SGT PETIT

LE SECOURISME AU REGIMENT

instructionLa cellule secourisme est un maillon essentiel de la for-mation de tout le personnel du régiment, les formations en PSC1 et en SC1 étant devenues obligatoires tant au cours de la formation initiale que pour l’aptitude à la projection.

Elle a vu le jour en 2009 avec : 1 formateur de formateurs : SGT ESTIENNE Jean-Ro-bert 2 formateurs : l’ADC RIVAS (5e Cie) et le SGT MA-CHU (2e Cie)

A l’heure actuelle, l’équipe pédagogique se compose de deux formateurs de formateurs (et formateurs SST) L’ADC MARTIN Philippe (chef de la cellule) Le SGT ESTIENNE Jean-Robert (adjoint de la cellule) 18 Formateurs PSC 1 et SC 1 répartis dans les compagnies.Certains ont une spécialité de formateur en premier secours en équipe de niveau 1 et de niveau 2.

Les missions de la cellule sont de : Former et maintenir à jour tout le personnel militaire au PSC 1 et SC 1 en prévision des diverses missions confiées au régiment ; former et remettre à niveau annuellement les titulaires des certificats de premiers secours de ni-veau 1 et de niveau 2. (Essentiellement le BDS, BNSSA, CMA) ; former et effectuer le maintien des acquis des formateurs selon leurs spécialités et les besoins du régiment ; organiser des sessions de SST (sauveteur secouriste du travail) pour les civils de la Défense et les militaires travaillant dans des locaux à risques.

Soit le bilan suivant pour l’année 2013 :En formation initiale : 1 Formation de formateurs PSC 1 7 reçus 1 Formation de formateurs PSE 1 / PSE 2 6 reçus 5 Formations PSC1 35 reçus 2 Formations PSE 1 23 reçus 1 Formation PSE 2 11 reçus 2 Formations SST 18 reçus 16 Formations SC1 130 reçus.

En formation continue : 5 Formations de formateurs PSC1 20 reçus 3 Formations de formateurs PSE 1 et PSE 2 9 reçus 4 Formations PSE 1 35 reçus 3 Formations PSE 2 19 reçus 58 Formations SC1 465 reçus.

La cellule secourisme œuvre en relation directe avec la Division d’Instruction de Santé des Armées (DISA) et la préfecture du Puy-de-Dôme, garantes de la reconnaissance réglementaire et légale des formations dispensées.

SGT Estienne Jean-Robert

La Formation Générale Élémentaire s’est achevée le 9 avril 2014. Les 33 stagiaires ainsi que les 10 cadres se sont séparés après près de deux mois d’instruction dense et de nombreuses activités.

Cette formation a permis d’instruire la section dans la réalisation des missions du trinôme (PANASE), mais également dans tous les domaines militaires (Tir, NRBC, TOPO, Génie, etc.), ainsi qu’en secourisme, français, anglais

ou mathématiques.

Le sport et les activités d’aguerrissement ont bien entendu pris place dans cette formation.Avec les stagiaires du 28, trois transmetteurs de la 3e CCT ainsi que 3 EVAT affectés au GSBdD ont participé à la formation et le

partage d’expérience fut bénéfique pour tout le monde. Le bilan est plutôt bon puisqu’aucun stagiaire n’est resté en échec sur cette formation.

La fin de la formation a été marquée par le rallye d’évaluation permettant de contrôler les connaissances acquises dans tous les domaines. Le général COMBTAC est passé sur l’atelier de topographie et a pu se faire présenter la physionomie de la formation.

LTN ZUERAS

FGE 02-2014

instruction

LES JEUNES TRANSMETTEURS SOUS L’ARC DE TRIOMPHE !

La fin du cycle de formation générale initiale du contingent de janvier 2014 a été marquée par «le devoir de mémoire» mi-avril. Chaque citoyen peut accomplir son devoir de mémoire par la participation à des cérémonies militaires ou par des visites de monuments symboliques. Cette démarche individuelle est un hommage rendu aux soldats des grands conflits contemporains. Ce devoir de mémoire tient une place particulière pour nous militaires, et à fortiori pour des jeunes soldats. En effet, la connaissance de quelques repères historiques et la participation directe à des cérémonies militaires symboliques permettent de donner du sens à leur engagement et d’affirmer un peu plus leur vocation. Nous avons ainsi pu assister au ravivage de la flamme du soldat

inconnu sous l’arc de Triomphe. Après l’armistice qui met fin aux combats de la première guerre mondiale, le parlement décide que les restes d’un des soldats non-identifiés morts au Champ d’Honneur au cours de la guerre seront inhumés sous l’Arc de Triomphe. En 1923, trois années après l’inhumation du soldat inconnu sous l’arche principale, une flamme est allumée par André Maginot, alors ministre de la Guerre. Depuis cette date, la Flamme ne s’est jamais éteinte. Elle est ravivée chaque soir par des représentants d’associations d’anciens combattants. Cette cérémonie est très émouvante pour les jeunes soldats, qui de par la présence de nombreux civils, ont pu sentir le lien armée nation.Ce devoir de mémoire a pris tout son sens avec la visite de la

salle d’honneur du 8e régiment de Transmissions de Suresnes et la visite du musée de l’école des Transmissions à Rennes. En effet, il est important de rattacher ce souvenir à notre arme et d’approfondir les connaissances historiques de l’arme dans laquelle nous servons. Le 8e régiment de Transmissions dont la devise « Tu es l’ancien, sois le meilleur » témoigne de l’héritage que ce régiment a légué aux transmetteurs. La cérémonie sous l’Arc de Triomphe restera un moment phare de la formation des jeunes soldats qui ont pu accomplir leur devoir de mémoire.

LTN FAVIER

La dernière épreuve du challenge sportif du 28, saison 2013/2014, s’est déroulée le vendredi 21 mars 2014 sous un ciel clément.Les compagnies devaient fournir 2 équipes masculines et une équipe féminine de trois personnes. Les concurrents ont enchainé les trois épreuves suivantes : un parcours d’obstacles par trinôme suivi d’un lancer de grenades et d’une marche course de 4km. Le lancer de grenades fut déterminant, chaque participant devait lancer 3 grenades, chaque échec provoquant autant de tours de pénalités pour l’ensemble de l’équipe. De nombreuses équipes ont dû faire 9 tours de pénalités de 150m !!Cette activité rentre bien dans le cadre de l’aguerrissement, car elle faisait appel au sein des équipes à la cohésion, au dépassement de soi et à la rusticité.L’officier des sports tient à féliciter l’équipe 2 de la 5e compagnie, qui a terminé le triathlon en portant un camarade blessé au genou. Ils ont rempli la mission en allant jusqu’au bout !! Bravo.Un petit mot aux filles qui ont participé. Malgré les doutes exprimés par le BDS sur leurs capacités physiques pour finir les activités, elles ont agréablement surpris par leur engagement sur l’ensemble des épreuves, surtout sur le PO où elles ont démontré de belles qualités, en particulier d’entraide et d’organisation. Bel exemple à suivre pour l’ensemble de la gente féminine du régiment.Encore bravo à tous les participants.

MAJOR DODEMAN,officier des sports.

TRIATHLON MILITAIRE

SPORT

BOCAGE 2014

Du 12 au 26 mars 2014 s’est déroulé, dans la région de Rennes, l’exercice BOCAGE 2014 au profit des lieutenants de la Division d’Application. Cet exercice de déploiement de RACC3 (type BIA) a permis à la 3e Cie (renforcée des 1re et 7e Cies), de mettre en œuvre ses savoir-faire techniques (SICF, SIR, CARTHAGE, RITA) et, dans une moindre mesure, ses savoir-faire tactiques. Binômé avec la 27e CCTM de VARCES, le 28 a eu la primeur de découvrir le MOA SICF/SIR NG. Celui-ci fut configuré dans un premier temps en collaboration avec la 3e CCT de CLERMONT-FERRAND puis, durant une semaine, avec la 27 au quartier de REYNIES à VARCES. Le 13 mars, après un trajet de 11h effectué la veille,

débuta le WARMUP qui permis pendant 4 jours aux formations participantes (2e CCT, 41e RT, 11e CCTP, 27e CCTM et 28e RT) de préparer au mieux les bascules SICF, SIR et CARTHAGE jouées lors de l’évaluation des lieutenants.Cet exercice au rythme très soutenu a mis à mal les organismes. Fatigué mais satisfait du travail réalisé, le détachement a regagné ses quartiers avec le sentiment d’avoir efficacement contribué à la formation des lieutenants, futurs chefs de section des Transmissions.

LTN GUILBAUX

Visites de la direction des ressources humaines de l’armée de terre au 28e régiment de Transmissions.

E n ce début de printemps

2014, ce ne sont pas des hirondelles mais la DRHAT qui s’est déplacé par deux fois au régiment, les 17 et 18 mars puis la journée du 2 avril.En cette période de restructuration des armées, d’arbitrage au niveau central, des esprits chagrins pourraient faire un lien entre ces visites si rapprochées et les futures annonces de réorganisation, il n’en est rien, le but de ces visites est tout autre et ce doit d’être exposé.La première visite de la DRHAT s’est déroulée le 17 et 18 mars 2014, conduite par le colonel RENARD, chef du bureau commandement renseignement (CD-RE), elle comprenait 6 intervenants. Celle-ci fait partie du plan d’action du général directeur des ressources humaines de l’armée de terre qui impose à chaque bureau de gestion de réaliser une visite une fois tous les deux ans dans les formations qu’elles gèrent. Ainsi le précédent déplacement avait eu lieu en mars 2012.Cette visite se déroula en trois phases.Une première phase relative à l’information du personnel. En effet, quatre présentations ont été diffusées au cinéma, la première, dispensée par le colonel RENARD, était un exposé très généraliste sur l’organisation de la DRHAT, les effectifs de l’armée de terre et règles

relatives à la mobilité et concernait l’ensemble du personnel militaire. La seconde conduite par le lieutenant-colonel GIRARDAT s’attachait principalement à décrire le parcours sous-officiers. En fin de journée, le lieutenant-colonel BIOJOUT présentait les différents parcours officiers à une assemblée très passionnée par l’intervention. Enfin le lendemain matin, l’adjudant CORNET exposait devant l’ensemble des militaires du rang les règles de gestion MDR.Une deuxième phase d’entretiens individuels. Les différents membres de la délégation ont ainsi pu s’entretenir avec le chef de corps, les présidents de catégorie et une quinzaine de cadres et MDR ayant demandé un entretien avec la DRHAT. Les entretiens se sont poursuivis d’une manière beaucoup plus informelle lors des repas et plus particulièrement le lundi soir ou un panel représentatif de personnel du régiment a dialogué avec la délégation sur des sujets plus personnels.Enfin la dernière phase, piloté par le major GUILLEMINOT, consistait à contrôler si le régiment respecte la règlementation en vigueur et applique correctement le mémento RH V5.Le détachement enchanté de son séjour au 28e régiment de Transmissions, est reparti pour TOURS après la visite du musée, non sans avoir exprimé sa satisfaction dans le livre d’or du régiment.La seconde visite de la DRHAT, le mercredi 2 avril, avait un caractère beaucoup plus technique. De ce fait elle visait une population réduite composée uniquement de sous-officiers BSTAT ERM – ERZ, filières excédentaires au niveau national. Le but de cette visite consistait à présenter les différentes opportunités de carrière offertes à cette population. Différents intervenants se sont succédés au cinéma pour proposer des parcours professionnels dans d’autres filières du domaine SIC, actuellement déficitaire comme la

filière SRI ou SSI. Le gestionnaire proposait aussi des possibilités en inter domaines ou le besoin est conséquent (emploi des forces, renseignement état-major). D’autres intervenants ont présenté par la suite des secteurs ou la population ERZ-ERM est la bienvenue comme la DGSE ou le DPSD puis sur des emplois transverses comme recruteur en CIRFA ou conseiller emploi dans la chaine reconversion. Enfin, a été évoqué les opportunités pour rejoindre la fonction publique ou le secteur privé par une mise à disposition que souhaite mettre en œuvre le CEMAT.Pour conclure cette journée, le colonel RENARD a bien insisté sur le fait qu’il ne s’agit pas de faire partir tous les sous-officiers des filières ERM – ERZ mais uniquement les volontaires car ces filières proposeront toujours des parcours valorisants à une majorité de sous-officiers.Ces deux visites, l’une réellement institutionnelle, l’autre plus conjoncturelle, s’inscrivent bien dans une démarche d’information et de communication de la DRHAT et n’a aucun autre but que nous pourrions considérer comme malveillant. Que ceux-ci nous rassure et permette de travailler en toute sérénité.

Capitaine Eric PONCET

Le jeudi 20 mars 2014 a eu lieu le diner « Auberge Espagnole » où chacun devait apporter un plat. Ce fut une soirée très conviviale qui a permis d’apprécier le savoir-faire de chacun et de donner des idées à ceux et celles qui aiment la bonne chère. Tous purent apprécier le pain de poisson, le pain de légumes aux 3 couleurs, les salades, la brandade de canard, la tarte au fromage, les cannelés, le tiramisu. Bref un goût de reviens-y traînait sur toutes les langues et l’expérience ne fait que commencer !Soyez prêts, à vos fourneaux !...

Delphine (épouse de militaire)

Le 06 avril 2014 pour toutes les familles du quartier de Bange, la cellule BEH avait organisée une sortie à l’Aventure Michelin de Clermont-Ferrand.

La visite scénographique proposait à travers 2000 m2 et sur 10 espaces des ambiances et des contenus variés. Par une mise en

scène originale et interactive, l’aventure nous a fait plonger au cœur d’une histoire lancée par les deux frères Michelin il y a

plus de 100 ans. Pour découvrir une histoire d’actualité et qui vise déjà l’avenir. Du premier pneu démontable à la future roue Lunaire, en

passant par les cartes, les guides, sans oublier le légendaire Bibendum l’aventure vaut le détour !!!!

Une famille de militaire.

Le mercredi 26 mars, nous avons pu partager un après-midi gourmand avec nos enfants.Indice c’est un dessert !!!!

Tendre en bouche ;Infiniment bon ;

Remarquablement modulable ;Agréable pour les yeux ;

Moelleux à souhait ;Impeccable pour occuper les grands et les petits ;

Savoureux pour tous ;Unique reste ces petits moments de partage.

Je finirai par une citation résumant l’ambiance de cet échange.« Cuisiner suppose une tête légère, un esprit généreux et un cœur large. »PAUL GAUGIN.

Les petits gourmets.

«Cuistots en herbe»

Auberge Espagnole

Un sacré bout de chemin pour Michelin,

L’origine de la fourragère remonte aux dragons Autrichiens qui portaient au niveau de l’épaule gauche une corde à fourrage.Napoléon 1° en fit un effet vestimentaire auquel il donna des couleurs différentes :- Jaune pour les hussards - Rouge pour les artilleurs.- Cet attribut a disparu à la fin de la guerre de 1870.La circulaire ministérielle du 21 avril 1916 précise : « Il est créé un insigne spécial destiné à rappeler les actions d’éclat de certains régiments et unités formant corps cités à l’ordre de l’armée. Cet insigne sera constitué par une fourragère aux couleurs de la croix de guerre ».La circulaire du 22 février 1918 officialisa les nouvelles dispositions :

- Aux couleurs de la croix de guerre 14/18 (vert dominant et rouge) pour les régiments et unités ayant deux ou trois citations à l’ordre de l’armée ;

- Aux couleurs de la médaille militaire (jaune dominant et vert) pour les régiments et unités ayant quatre ou cinq citations à l’ordre de l’armée;

- Aux couleurs de la légion d’honneur (rouge) pour les régiments et unités ayant six, sept ou huit citations à l’ordre de l’armée ;

- D’autres dispositions existent pour 9 (et plus) citations à l’ordre de l’armée. La circulaire du 20 avril 1945 porte création d’une fourragère destinée à commémorer les citations à l’ordre de l’armée par des régiments ou unités formant corps depuis le 2 septembre 1939. Il ne sera pas créé de fourragère aux couleurs de la croix de guerre 39 (rouge dominant et vert) par

contre un astucieux dispositif à base d’olive sera mis en place. En fonction de la guerre considérée, la fourragère ne comportera pas ou comportera un ou deux insignes en forme d’olive.Les couleurs de l’olive sont données dans le tableau en fin de page et varient en fonction du nombre de citations à l’ordre de l’armée. L’olive aux couleurs de 1914-1918 sera placée immédiatement au-dessus du ferret, celle aux couleurs de 1939 lui sera superposée dans le cas où l’unité a été citée au cours des deux conflits. Seule la fourragère de l’ordre le plus élevé sera portée qu’elle que soit la guerre au cours de laquelle elle a été obtenue.

La circulaire du 9 juillet 1925 a institué une fourragère spéciale aux théâtres d’opérations extérieurs. Cette fourragère sera aux couleurs de la croix de guerre TOE (rouge dominant et bleu pâle). Elle sera attribuée en fonction du nombre de citations à l’ordre de l’armée.- 2 à 3 citations: attribution de la fourragère aux couleurs de la croix de guerre TOE ;- 4 à 5 citations: attribution de la fourragère aux couleurs de la médaille militaire avec une olive aux couleurs de la croix de guerre TOE ;- 6, 7 ou 8 citations: attribution de la fourragère aux couleurs de la légion d’honneur avec une olive aux couleurs de la croix de guerre TOE ;- D’autres dispositions existent pour 9 (et plus) citations à l’ordre de l’armée. L’arrêté du 23 février 1996, porte création de la fourragère de l’ordre de la Libération : « Il est créé un insigne spécial portant le nom de fourragère de la Libération destiné à pérenniser l’ordre de la Libération et à préserver de l’oubli le souvenir des compagnons de la Libération ». Cette fourragère sera tressée aux couleurs de la

croix de la libération (vert dominant et noir) et comportera l’insigne de cette croix au format réduit d’un tiers fixé entre le ferret et le nœud de cordon. Enfin la circulaire du 28 novembre 2011 instaure une fourragère aux couleurs de la valeur militaire (rouge dominant et blanc). Cette fourragère sera attribuée selon les mêmes règles que la TOE et avec le même système d’olives.Attribution à titre individuel.Un personnel ayant participé à la totalité des actions ou une partie des actions pour lesquelles l’unité s’est vue attribuer une fourragère pourra continuer à la porter, à titre individuel. La fourragère sera alors aux couleurs en fonction de nombres de citations et devra comporter sur le nœud du cordon le numéro en métal de l’unité ou formation d’origine. A défaut de numéro, l’insigne régimentaire ou de la formation ayant été citée sera épinglé au-dessus du ferret.

Si vous désirez des précisions et/ou explications complémentaires, n’hésitez pas à me contacter.

MAJOR GAUDIN

La FOURRAGERE

Fourragère de la valeur militaire pour deux ou trois citations

Fourragère de l’ordre de la libération

Cette unité s’est illustrée:- Au titre de 14/18 par 9, 10 ou 11 citations.- Au titre de 1939 par 2 ou 3 citations.- Au titre de la TOE par 4 ou 5 citations.

Ils sont actuellement six au 28, comme leurs collègues militaires ils concourent à la bonne disponibilité opérationnelle du régiment en assurant la base arrière. Leurs emplois sont divers (mécanicien auto, armurier, agent appros, magasinier, chargé de prévention). Ils se divisent en deux catégories les fonctionnaires et les ouvriers de l’état la majorité d’entre eux sont titulaires de diplômes militaires tel que CT1/ CT2.Les fonctionnaires sont recrutés par concours ou par voie interne parmi le personnel militaire volontaire.M. ROYER Nicolas Technicien supérieur de Fabrication ancien officier marinier supérieur est le chargé de Prévention du Régiment, il assiste et conseille le Chef de Corps dans tous les domaines de la Prévention.M. DEL GUIST Thierry Agent technique du ministère de la Défense de 1re classe est magasinier aux Appros du BML. Il a rejoint le régiment en septembre 2011 après la fermeture de l’établissement des Anciens Combattants de Grenoble (38).Mme MARION Catherine Agent technique du ministère de la Défense de 1re classe ancien caporal- chef du 28 est armurier au BML.Les Ouvriers d’Etat sont tous au BML, ils ont été recrutés localement après essai professionnel. Ce recrutement est suspendu depuis quelques années.M. PRIETO André mécanicien Hors Groupe est le spécialiste Pneumatiques du 28, il fait partie des plus anciens du site puisqu’il était employé depuis 1983 comme Ouvrier du livre à l’ENTSOA d’Issoire. M. VENDANGE Fabrice mécanicien Groupe VI est le mécanicien polyvalent du régiment. Il est venu de la 13e BSMAT de Clermont en 2011.M. RASTOIX Dominique Agent d’Approvisionnement Hors Groupe est le spécialiste Appros du régiment. Il est affecté à Issoire en 2001 suite à la dissolution des APPROS de l’ETAMAT de Clermont-Ferrand, Etablissement dans lequel il travaillait depuis 1978.A tous ces personnels civils, il ne faut pas oublier d’adjoindre les personnels du GSBdD, de la Mobilité Défense, de l’USID et des services sociaux qui sont présents dans le quartier mais ne sont pas directement rattachés au 28.

Mr RASTOIX

Personnel du 28 oui mais civils !

Mme MARION Mr RASTOIX Mr VENDANGEMr PRIETOMr DEL GUISTMr ROYER

DIRECTEUR DE PUBLICATIONColonel Erwan ROLLAND

RÉDACTEUR EN CHEFAdjudant-chef Franck SION

CONCEPTION ET RÉALISATIONBrigadier-chef Jacques GERMANY

CRÉDIT PHOTOSCaporal-chef Ludovic GRAREBrigadier Elvis GARREAU

28e régiment de TransmissionsQuartier de Bange63505 ISSOIRE CEDEX