auditions des dimanches 12 & 26 novembre 2017 filetout ce ceci n’est que mensonge, tu te sers...

18
Auditions des Dimanches 12 & 26 Novembre 2017

Upload: vuxuyen

Post on 15-Sep-2018

212 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Auditions des Dimanches 12 & 26 Novembre 2017

Arthur

Texte 1 : le serment du Roi

Arthur (Fier et droit devant le peuple):

« Je n’ai ni nom ni fortune. Je suis homme de foi, épris de justice et de courage, je mènerai mes

combats avec toute mon humilité. Je fais allégeance à la Bretagne et garderai la tête droite même au creux de mes ennemis. Je serais guide et confident, roi et ami.

Pour le guerrier que je serai, pour le mari que je deviendrai, pour ces terres qui sont les vôtres, je vous

fais le serment d’être le plus fidèle des chevaliers. Mon nom est Arthur, roi de Bretagne ! »

Texte 2 : la colère du roi

Arthur ( fait venir Lancelot auprès de lui, Lancelot arrive s’agenouille et se relève ) :

« Chevalier Lancelot, je t’ai fait venir pour te parler d’une chose très importante.

(Il le regarde droit dans les yeux)

Tu es le chevalier le plus vaillant, le plus pieux, le plus courageux de ma garde. Tu n’as peur de rien et tu es doté d’un grand cœur. Mais vois-tu, aujourd’hui, j’ai ouvert les yeux.

Je sais tout.

Crois-tu pouvoir un jour me succéder ? (silence de lancelot) , crois-tu pouvoir un jour être moi ?

Répond ! »

* Quelqu’un vous donnera la réplique le jour de l’audition

Lancelot * :

« Mon roi, rien n’est plus beau pour moi que de vous servir »

Arthur (en colère) :

« Baliverne ! Tout ce ceci n’est que mensonge, tu te sers de moi pour atteindre ma femme ! »

(surprise de Lancelot)

Arthur (sort son épée) :

« Je te mets au défi de me vaincre. Si tu gagnes tu auras le cœur de ma femme ainsi que sa couche.

Mais si tu perds, je te bannis de Camelot, à tout jamais » (silence de Lancelot)

Alors que réponds tu ? Nies tu la vérité ? (il avance vers le chevalier)

Allons ! Fais-moi le plaisir de ce duel, je veux le faire à la loyale.»

Lancelot * :

« Mon roi, je vous conjure de m’écouter… »

Arthur (vainqueur à l’issue du duel) :

« Va ! Je te laisse la vie sauve mais ne reviens jamais sur ces terres. Dieu seul décidera de ta punition.

Adieu »

Guenièvre

Texte 1 : Un soir avec la Reine

Guenièvre :

« Tendre et courageux Lancelot, vous que mon cœur a choisi. Je tremble de vous voir mort. Mais

vous êtes là, devant moi. Cher Lancelot, mon loyal chevalier approchez vous que je puisse ressentir

les joies d’être à vous. »

Lancelot * (s’approche, ému) :

« Ma Reine, vos yeux si bleus marquent la profondeur de votre courage et de votre détermination.

Je ne puis résister à l’appel du devoir, mais je vous aime d’un amour ardent. Seule la mort pourra

nous séparer. Votre bon mari, le roi Arthur, a bien de la chance de vous avoir pour épouse, mais … »

Guenièvre (le coupant dans un élan, un doigt sur ses lèvres) :

« Chut , ne dites rien. En cette nuit de pleine lune, je désire n’être qu’à vous. Je ne veux que vos bras

autour de ma taille et votre regard dans le mien. Je veux ressentir la magie de vos sentiments avant

que vous ne repartiez pour d’autres combats. »

Lancelot * :

« Je suis votre obligé et ferai tout ce qui est en moi pour combler vos moindres désirs. O ma Reine, je

ressens ce feu qui brûle, le sentez-vous ? Nos cœurs battent à l’unisson. Dans la profondeur de la nuit,

à la clarté des étoiles, je veux vous aimer, le temps de quelques heures. »

* Quelqu’un vous donnera la réplique le jour de l’audition

Lancelot

Texte 1 : Un soir avec la Reine

Guenièvre * :

« Tendre et courageux Lancelot, vous que mon cœur a choisi. Je tremble de vous voir mort. Mais

vous êtes là, devant moi. Cher Lancelot, mon loyal chevalier approchez vous que je puisse ressentir

les joies d’être à vous. »

Lancelot (s’approche, ému) :

« Ma Reine, vos yeux si bleus marquent la profondeur de votre courage et de votre détermination.

Je ne puis résister à l’appel du devoir, mais je vous aime d’un amour ardent. Seule la mort pourra

nous séparer. Votre bon mari, le roi Arthur, a bien de la chance de vous avoir pour épouse, mais … »

Guenièvre * (le coupant dans un élan, un doigt sur ses lèvres) :

« Chut , ne dites rien. En cette nuit de pleine lune, je désire n’être qu’à vous. Je ne veux que vos bras

autour de ma taille et votre regard dans le mien. Je veux ressentir la magie de vos sentiments avant

que vous ne repartiez pour d’autres combats. »

Lancelot :

« Je suis votre obligé et ferai tout ce qui est en moi pour combler vos moindres désirs. O ma Reine, je

ressens ce feu qui brûle, le sentez-vous ? Nos cœurs battent à l’unisson. Dans la profondeur de la nuit,

à la clarté des étoiles, je veux vous aimer, le temps de quelques heures. »

* Quelqu’un vous donnera la réplique le jour de l’audition

Texte 2 : la colère du roi

* Quelqu’un vous donnera la réplique le jour de l’audition

Arthur ( fait venir Lancelot auprès de lui, Lancelot arrive s’agenouille et se relève ) :

« Chevalier Lancelot, je t’ai fait venir pour te parler d’une chose très importante.

(Il le regarde droit dans les yeux)

Tu es le chevalier le plus vaillant, le plus pieux, le plus courageux de ma garde. Tu n’as peur de rien et tu es doté d’un grand cœur. Mais vois-tu, aujourd’hui, j’ai ouvert les yeux.

Je sais tout.

Crois-tu pouvoir un jour me succéder ? (silence de lancelot) , crois-tu pouvoir un jour être moi ?

Répond ! »

Lancelot :

« Mon roi, rien n’est plus beau pour moi que de vous servir »

Arthur * (en colère) :

« Baliverne ! Tout ce ceci n’est que mensonge, tu te sers de moi pour atteindre ma femme ! »

(surprise de Lancelot)

Arthur * (sort son épée) :

« Je te mets au défi de me vaincre. Si tu gagnes tu auras le cœur de ma femme ainsi que sa couche.

Mais si tu perds, je te bannis de Camelot, à tout jamais » (silence de Lancelot)

Alors que réponds tu ? Nies tu la vérité ? (il avance vers le chevalier)

Allons ! Fais-moi le plaisir de ce duel, je veux le faire à la loyale.»

Lancelot :

« Mon roi, je vous conjure de m’écouter… »

Arthur * (vainqueur à l’issue du duel) :

« Va ! Je te laisse la vie sauve mais ne reviens jamais sur ces terres. Dieu seul décidera de ta punition.

Adieu »

Merlin

Texte 1 : une rencontre

Merlin :

« Quel est ce doux visage qui agite cette eau en mille perles près de cette fontaine qui est la mienne ? »

* Quelqu’un vous donnera la réplique le jour de l’audition

Viviane * :

« Je m’appelle Viviane. Je suis fille du seigneur Dyonas. Mon père possède ces terres. »

Merlin :

« Enchanté dame Viviane. Je suis à la recherche de mon maître qui m’enseigne son plus beau

métier. »

Viviane * ( le regardant droit dans les yeux ) :

« Quel est ce beau métier dont vous me parlez ? »

Merlin :

« Celui de faire les plus beaux enchantements. Faire apparaitre une forteresse au milieu d’un lac,

nous faire marcher sur les eaux tranquilles sans que nos pieds n’en touchent la surface.

Mais si vous en avez le désir, je peux vous enseigner l’art de ma magie. »

Viviane * ( les yeux pleins d’éclats ) :

« Quelle joie ce serait de pouvoir apprendre tous ces sortilèges. Je vous promets d’être la meilleure

de vos élèves. Que me demanderez-vous en échange ? »

Merlin :

« Votre amitié, celle de votre cœur. La plus pure et sincère. Patience et confiance devront être vos

atouts si vous devenez mon amie. »

Texte 1 : une rencontre (suite et fin)

* Quelqu’un vous donnera la réplique le jour de l’audition

Viviane * :

« Je n’ai nulle envie de vous décevoir, je souhaite être l’élue comme l’avait prédit la déesse Diane. Je

serais vôtre, puisse mon vœux être exaucé. »

Merlin :

« Alors soit ! Je m’en vais de ce pas rejoindre mon maître. Je vous dis adieux douce damoiselle. Que

votre visage m’accompagne dans mes derniers pas, puissions-nous nous retrouver pour partager

d’autres joies . »

Viviane * ( repart perdue dans ses pensées) :

« Puissent mes prières être réalisées, mais…

(se retournant)

Je ne sais d’où il vient ni son nom.. Oh tendre magicien, vous reverrais-je un jour ? »

Morgane

Texte 1 : la colère d’une fée

Morgane :

« Je jure de défendre la cause des femmes bafouées. Trahies par des hommes qui ne pensent qu’à

rejoindre les couches d’une autre parce qu’ils ne sauraient être fidèles.

Je jure d’être la prêtresse de ce domaine et qu’aucun homme ne sortira de ce sortilège. Pour l’éternité, ils vivront dans cette illusion. Pour l’éternité, ils seront miens. Que ce val sans retour soit leur dernière demeure.

Qu’un cœur pur vienne me libérer de son amour au péril de sa vie ou jamais les hommes ne reverront

le jour… »

Viviane

Texte 1 : une rencontre

Merlin * :

« Quel est ce doux visage qui agite cette eau en mille perles près de cette fontaine qui est la mienne ? »

* Quelqu’un vous donnera la réplique le jour de l’audition

Viviane :

« Je m’appelle Viviane. Je suis fille du seigneur Dyonas. Mon père possède ces terres. »

Merlin * :

« Enchanté dame Viviane. Je suis à la recherche de mon maître qui m’enseigne son plus beau

métier. »

Viviane ( le regardant droit dans les yeux ) :

« Quel est ce beau métier dont vous me parlez ? »

Merlin * :

« Celui de faire les plus beaux enchantements. Faire apparaitre une forteresse au milieu d’un lac,

nous faire marcher sur les eaux tranquilles sans que nos pieds n’en touchent la surface.

Mais si vous en avez le désir, je peux vous enseigner l’art de ma magie. »

Viviane ( les yeux pleins d’éclats ) :

« Quelle joie ce serait de pouvoir apprendre tous ces sortilèges. Je vous promets d’être la meilleure

de vos élèves. Que me demanderez-vous en échange ? »

Merlin * :

« Votre amitié, celle de votre cœur. La plus pure et sincère. Patience et confiance devront être vos

atouts si vous devenez mon amie. »

Texte 1 : une rencontre (suite et fin)

* Quelqu’un vous donnera la réplique le jour de l’audition

Viviane :

« Je n’ai nulle envie de vous décevoir, je souhaite être l’élue comme l’avait prédit la déesse Diane. Je

serais vôtre, puisse mon vœux être exaucé. »

Merlin * :

« Alors soit ! Je m’en vais de ce pas rejoindre mon maître. Je vous dis adieux douce damoiselle. Que

votre visage m’accompagne dans mes derniers pas, puissions-nous nous retrouver pour partager

d’autres joies . »

Viviane ( repart perdue dans ses pensées) :

« Puissent mes prières être réalisées, mais…

(se retournant)

Je ne sais d’où il vient ni son nom.. Oh tendre magicien, vous reverrais-je un jour ? »

Texte 2 : l’adieu à Lancelot

Viviane :

« Mon fils, tendre fils. Approche-toi, l’heure est venue de te parler.

(Lancelot s’approche et s’agenouille. Elle lui caresse le visage et lui sourit).

Cher Lancelot, toi que j’ai vu grandir, courir dans les profondeurs de cette forêt. Toi, à qui j’ai enseigné l’art de la sagesse et du courage. Toi qui sais les enchantements de la magie. Il est temps, aujourd’hui, de te tourner au-delà des horizons de Brocéliande.

Durant toute ton enfance, tu as été un élève modèle remplit de vertus et de valeurs. Tu es fils de roi et demain, tu vas rejoindre la terre de tes ancêtres. Tu vas devenir un grand chevalier à table ronde car ton cœur n’est que pureté et espoir.

Mon fils chéri, mon cœur saigne de te voir partir mais je n’ai plus le choix. Il te faut accomplir ta destinée, celle pour qui j’ai tant œuvré. Tu défendras l’opprimé, les femmes sans défenses et les orphelins. Tu iras par-delà les vents, guidé par la voix des sages. Tu trouveras tes combats et tu te feras adouber par le roi.

Que les enseignements de tes maîtres te fassent grand bien. Que l’amour que j’ai pour toi te grandisse dans tes choix. Je serais toujours ce lien, invisible des autres et secret à nos cœurs.

Mon lancelot, demain je t’accompagnerai vers ta nouvelle destinée.

Demain, tu seras présenté à Arthur. Demain, tu traceras, seul, ton chemin de foi. »