Au cœur de notre ville, le Théâtre des Bergeries a sus’imposer comme un lieu de référence culturel et convivial pour descentaines de Noiséens. La diversité et la qualité de sa programmation,soutenue par une équipe professionnelle compétente, une tarificationmodérée et une politique d’abonnements attractive, permettent à unpublic toujours plus nombreux de connaître en ce lieu, année aprèsannée, quelques heures de bonheur, de découverte et d’émotion.

L’augmentation de 10,5 % du budget culturel 2005, dont 5 % deprogression pour le Théâtre, est le signe d’une volonté municipaleaffirmée et soutenue, dont les priorités vont dans le sens d’un servicepublic valorisé : le projet du futur conservatoire ou celui du Centre desArts de la Rue confirment la priorité de choix éducatifs et la recherche dulien social dans les différents secteurs de notre action culturellemunicipale.

La Galerie, centre national d’art contemporain, remplit toujours samission de pôle d’excellence, en partenariat avec la Drac, la région et ledépartement ; la Médiathèque, le Trianon s’ajoutent à la liste pourdonner le panorama culturel d’une ville riche d’idées, de talents et desavoir-faire.

Je souhaite à tous les Noiséens une excellente saison 2005-2006, auThéâtre, bien sûr, mais aussi dans tous les autres lieux dédiés à l’exerciceartistique ou culturel, sous quelque forme que ce soit.

Nicole RIVOIRE, MaireJean THARY, adjoint au Maire délégué aux affaires culturelles

• Septembrepage 5 Ouverture de saison La Crevette d’acier Gratuit 24 et 25 septembre

• Octobrepage 7 Cirque La piste La [WEEK-END PETITS FORMATS] Tarif C 8 et 9 octobre

page 7 Danse Érection [WEEK-END PETITS FORMATS] Tarif C 8 et 9 octobre

page 7 Théâtre L’Incrédible procédé des sœurs Oswald [WEEK-END PETITS FORMATS] Tarif C 8 et 9 octobre

page 9 Chanson William Sheller et quatuor à cordes Tarif A 14 octobre

page 11 Danse La Belle… au bois dormant? et El Canto de despedida Tarif A 21 octobre

• Novembrepage 13 Théâtre Yvonne, princesse de Bourgogne Tarif A 5 novembre

page 15 Chanson Loïc Lantoine et Bertrand Belin [PLATEAU DÉCOUVERTES] Tarif B 8 novembre

page 17 Théâtre/marionnettes Le Vilain petit canard Tarif C 13 novembre

page 19 Danse Douar et Zahrbat Tarif B 19 novembre

page 21 Cabaret Madame Raymonde Tarif C 26 et 27 novembre

• Décembrepage 23 Théâtre Ils se marièrent et eurent beaucoup Tarif C 3 décembre

page 25 Danse Bâche Tarif B 6 décembre

• Janvierpage 27 Musique Concert du Nouvel An Gratuit 7 et 8 janvier

page 29 Théâtre Oui dit le très jeune homme Tarif B 14 janvier

page 31 Opéra pour marionnettes Philémon et Baucis Tarif A 20 janvier

page 33 Cabaret Le Cirque des mirages Tarif C 24 et 25 janvier

page 35 Humour Le Pont du milieu/Farid Chopel Tarif B 29 janvier

• Févrierpage 37 Théâtre Entre courir et voler y a qu’un pas papa Tarif B 3 février

page 39 Théâtre L’ÎIe des esclaves Tarif A 21 février

page 41 Cinéma/Théâtre Faust Tarif C 24 février

• Marspage 43 Théâtre d’ombres et d’images Perpetuum mobile Tarif C 4 mars

page 45 Chanson Bernard Joyet Tarif B 7 mars

page 47 Théâtre Bouge Plus ! Tarif B 11 mars

page 49 Théâtre/marionnette La Reine des couleurs Tarif C 15 mars

page 51 Nouveau cirque Le Petit Travers Tarif B 19 mars

page 53 Humour musical Les Wriggles Tarif A 23 mars

page 55 Musique Mélodies et lieder « fin de siècle » Tarif C 25 mars

page 57 Musique du monde Mory Kanté Tarif A 29 mars

• Avrilpage 59 Musique Jean-Sébastien Bach «Brandebourgeois » Tarif A 2 avril

page 61 Danse Les Créatures Tarif A 4 avril

page 63 Théâtre d’objets La Terre nourrit tout Tarif C 26 avril

• Maipage 65 Jazz Biréli Lagrène Gipsy Project Tarif A 10 mai

page 67 Arts de la rue Les Rencontres d’Ici et d’Ailleurs 19, 20, 21 mai

page 69 Musique Chopin-Cohen Tarif C 23 mai

Samedi 24 septembre à 20 h 30et dimanche 25 septembre à 16 h00Humour musical Grande salle Durée : 1h30 Gratuit

Derrière ce drôle de nom se cachent troisgarçons et une fille. On dit d’eux qu’ils sont « sensiblementdécalés », et, pour parler franchement, complètement dingos.Autant même vous prévenir tout de suite, ces quatrecrustacés sont de sacrés lurons ! Jean-Claude, le saxo àl’accent anglais, joue aussi de la clarinette, du piano et dutriangle. Jacki Lebœuf, le « chef d’orchestre » imperturbable,est aussi guitariste, violoncelliste, pianiste et banjoïste.Monique, belle et solitaire, est portée sur trois choses : laboisson, l’accordéon et Michel. Michel, qui, justement, luipréfère de loin sa caisse claire. Tous chantent, dansent,grimacent et tentent de se voler la vedette. Sur un rock, untango ou une bossa-nova, ils incarnent à chaque morceaudes personnages encore plus loufoques et improbables.Proche du café-théâtre, ce cocktail savoureux fait de swing etd’humour noir réussit à être hilarant et tendre. Jubilatoire !

La Crevette d’acier surprend en permanence et nous présente unspectacle tout public d’une rare finesse. Zurban • Mai 2003

Mise en scène : Antoine ScottoCréation son : François Vatin

Création lumières : Paul BaureillesVioloncelle, guitare, banjo : Mathias Castagné

Saxo, piano, clarinette, chant : Damien DutraitAccordéon, piano, chant : Chloé Lacan

Caisse claire, œuf, chant : Vincent Tirilly

Entrée libre, dans la limite des places disponibles.Billets à retirer à l’accueil du Théâtre à partir du 3 septembre 2005.

# 5

La Crevette d’acierChansons à voirOuverture de saison

Samedi 8 octobre à 20 h00 ou 20h45Dimanche 9 octobre à 16 h00 ou 16 h 45

Week-end petits formatsÀ découvrir, pour cette deuxième édition du « Week-end petits formats », un choix de spectacles insolitestant par la forme que par la durée.

ÉrectionDans sa pièce Érection, le chorégraphe Pierre Rigal aborde lepassage de la position horizontale à la position verticale commemétaphore de l’humain : évolution de l’espèce humaine, défi àla pesanteur, ascension sociale, construction de soi.

Conception, chorégraphie, interprétation, création vidéo : Pierre RigalConception, mise en scène : Aurélien Bory

Autour du spectacle : Danse au lycée, un stage de danse proposé à une classede Noisy-le-Sec, en partenariat avec ARCADI et le Rectorat de Créteil .

La piste LaIl est grand et fort. Elle est petite et menue. C’est unToulousain qui aime le confit de canard. C’est uneFinlandaise végétarienne. De leurs différences, ils ont fait unspectacle drôle et émouvant qui emprunte au portéacrobatique et à l’art des clowns.

Porteur en main à main : Victor CathalaVoltigeuse en main à main : Kati Pikkarainen

L’Incrédible procédédes sœurs OswaldLes sœurs Oswald, deux jumelles anglaises, ont inventé unprocédé de remise en forme, qui permet aux êtres chersd’atteindre une certaine forme… d’éternité. Entourées deleurs automates animaliers, elles parcourent le monde afinde faire partager leur découverte…

Construction des automates et marionnettes : Alain TerlutteTexte et mise en scène : Laurent Petit

Interprétation : Cécile Thircuir, Sandrine Châtelain et Willy Claeyssens

# 7

Danse Durée : 45 minutes Tarif C

Cirque Durée : 30 minutes Tarif C

Théâtre/marionnettesDurée : 30 minutes Tarif C

L’Incrédibleprocédé des sœursOswaldCendres-la-rouge

La piste LaCirque Aïtal

Érection

Vendredi 14 octobre à 20 h 30Chanson Grande salle Durée : 2h00 avec entracte Tarif : A

William Shelleret quatuor à cordes

Ses 30 ans de carrière font de William Sheller unhomme heureux. À l’âge de 11 ans, il sait déjà qu’il seramusicien. Il commence le piano puis étudie l’harmonie, lafugue et le contre-point. Mais Sheller n’est pas homme à selaisser enfermer dans un seul style. Il découvre les Beatles,devient pianiste dans un groupe de rock et commence àcomposer. L’une de ses premières chansons est reprise parDalida. Puis, la messe de mariage qu’il compose pour desamis parvient aux oreilles de Barbara. Et c’est la grande damequi, après des années de fructueuse collaboration,l’encourage à chanter. Le succès est immédiat et les albumss’enchaînent. Il pourrait en rester là, mais l’étendue de sapalette musicale le pousse à composer des musiques defilms, des quatuors, des concertos (pour violon, violoncelleou trompette) et des symphonies. Un homme libre etsensible à écouter passionnément !

William Sheller : un fils caché de Chopin et de McCartney dontl’œuvre n’en finit pas de se dessiner, résolument en marge.

Télérama • Octobre 2004

Chef d’orchestre et violon : Nicolas StevensViolon : Laurence Ronveaux

Alto : Éric GerstmansVioloncelle : Jean-François Assy

# 9

Vendredi 21 octobre à 20 h 30Danse Grande salle Durée : 1h20 avec entracte Tarif : A

La Belle… au bois dormant ?Maryse Delente, chorégraphe, a de l’humour,beaucoup d’humour. Après À la recherche de Mister K, accueillila saison passée, elle revient avec une Belle au bois dormantjoyeusement revisitée. Du conte de fée traditionnel, elle agardé la belle, mais cette dernière arbore maintenant unesublime salopette rose-bonbon et n’apprécie pas vraimentd’être dérangée pendant son sommeil. Quant au prince, cen’est plus un, mais une tribu de bellâtres qui rivalisent à quimieux mieux pour savoir qui sera le plus charmant ! Unspectacle débordant de charme et de malice !

Exceptionnellement drôle, et tout public en prime…Le Dauphiné Libéré • Février 2004

Chorégraphie de Maryse Delente pour 9 danseurs.Avec : Alexandra Besnier, Charlotte Chobillon, Raquel Gonzalez

Garcia, Sandrine Laval, Élodie Sardou, Grégory Alliot, Xavier Gresse,David Mati et Yauhen Vakaryn

El Canto de despedidaAvec ce chant de l’adieu, porté par la puissancedu flamenco, Maryse Delente rend hommage aux femmesmeurtries par la folie guerrière des hommes. Magnifique,sensuel et violent.

Chorégraphie de Maryse Delente pour 9 danseurs.

Autour du spectacle : un stage de danse animé par des danseurs de lacompagnie sera proposé aux élèves du conservatoire de Noisy-le-Sec lemercredi 19 octobre de 14 h00 à 16 h00.

Des représentations de La Belle… au bois dormant ? sont proposées auxclasses du Ce au Cm de Noisy-le-Sec.

# 11

La Belle…au bois dormant ?et El Cantode despedidaCompagnie Maryse Delente

Yvonne,princessede BourgogneDe Witold GombrowiczAdaptation et mise en scène :Philippe Adrien

Samedi 5 novembre à 20 h 30Théâtre Grande salle Durée : 2h10 Tarif : A

Comme ailleurs, il y a quelque chose de pourri à lacour de Bourgogne. Au soir de la fête nationale, alors qu’il sepromène dans le parc, le prince Philippe rencontre Yvonne.Un être étrange, ectoplasme muet, empoté et apathique. Enla voyant, l’humanité se révèle dans toute son horreur. Leslangues acides se délient et les cœurs se referment. Ill’épouse et essaie, bien sûr, de la changer, de l’amadouer, dela séduire, mais elle reste cet immuable miroir de l’homme.Pétrifiée par sa propre peur d’être le catalyseur des haines lesplus profondes.Après Le Malade imaginaire, accueilli en janvier 2003, PhilippeAdrien adapte un texte de Gombrowicz d’une rare intensité.Il fait de ce conte de fée à l’envers, où l’absurde et le ridiculesont poussés à leur paroxysme, un grand moment dethéâtre.

Un spectacle drôle et inquiétant. Du très beau théâtre.Le Monde • Septembre 2004

Traduction : Kinga WyrzykowskaDécor et costumes : Patricia Rabourdin

Lumières : Pascal Sautelet assisté de Nadine SarricMusique : Ghédalia Tazartès

Vidéo : Olivier RosetAvec Sarajeanne Drillaud, Benjamin Guillard, Camille Garcia,

Matthieu Marie, Stanislas Sauphanor, Anne Cressent, Guillaume Marquet, Gaëtan Vassart, Élise Bertero, Maï David,

Séphora Haymann et Delphin

# 13

Mardi 8 novembre à 20 h00Chanson Grande salle Durée : 2 x 1h00 Tarif : B

Plateau découverteschanson française

Loïc Lantoine et Bertrand Belin ,deux artistes à découvrir…

Loïc Lantoine « Badaboum»– Vous faites quoi ? – De la chanson pas chantée. – Ben, vouschantez pas alors ? – Non.C’est vrai. Loïc Lantoine ne chante pas. Il dit, il parle, il crieet nous souffle dans l’oreille une bien étrange musique auxrimes éraillées et au verbe écorché. Sa poésie, kaléidoscoped’images et de sensations fortes, ne ressemble à aucuneautre. À côté de lui, un homme pince ou frappe en écho lescordes et le corps d’une contrebasse. De quai de gare en coinde bar, les deux musiciens nous proposent une chansonentre tradition du verbe et liberté de l’improvisation. Allez,on ne discute plus, on écoute.

Sans doute l’artiste le plus original de la nouvelle scène.Télérama • Novembre 2004

Chant : Loïc Lantoine • Contrebasse : François Pierron

Bertrand BelinUn drôle d’oiseau que ce Bertrand Belin. Un cow-boy del’absurde ? Un guitariste élégant? Un chanteur de charmeextraterrestre… ? Avec ses mélodies inouïes, sa poésienostalgique et sa belle voix évanescente, il nous offre unesorte de blues « à la française » comme on en croise trop peu.La géographie intime et abstraite de son répertoire nousentraîne vers sa Bretagne d’enfance, son Portugal d’électionou son Paris singulier. Guitariste magnifiquement doué,Bertrand Belin est aussi un jeune chanteur subtil et raffiné.Son album est un petit bonheur de quiétude triste et, surscène, il se révèle étonnant…

C’est doux et enveloppant comme une caresse. Télérama • Avril 2005

# 15

Dimanche 13 novembre à 16 h00Théâtre/marionnettes Grande salle Durée : 1h00 Tarif : C

� À partager en famille à partir de 5 ans

Le Vilain petit canardTeatro delle Briciole

Dans une cabane en bois habitent troispersonnages farfelus. Chut ! Monsieur Hans racontel’histoire du vilain petit canard. Ses deux assistants,Monsieur Tric et Madame Trac, incarnent tour à tourcigogne, chat, canard sauvage ou enfants délurés que le petitpalmipède va rencontrer sur sa route. Assis de chaque côtéde la scène toute en longueur, les spectateurs découvrent àleurs pieds un parchemin sur lequel se dessine le destin dupetit canard. Au-dessus de leurs têtes, d’innombrables objetshétéroclites s’apprêtent à entrer en scène. Cette adaptationdu conte d’Andersen, pleine d’humour et de fantaisie,déborde de judicieuses trouvailles. L’obstination du vilainpetit canard, d’abord montré du doigt car né d’un œuf nonconforme, est récompensée quand il se découvre, à la fin, encygne gracieux. Une œuvre inventive qui éveille les enfantsà la tolérance.

Ce spectacle inventif ouvre des horizons nouveaux. Par sa simplicité etses inventions étonnantes, cette mise en scène pleine d’humour distilleune musique enrichissante et stimulante autour de ce conte initiatique.

Le Dauphiné libéré • Mars 2004

Librement adapté du conte d’AndersenTexte : Marina Allegri • Mise en scène : Maurizio Bercini

Avec Alberto Branca, Serena De Gier, Piergiorgio GallicaniAssistante à la mise en scène : Manuela Capece

Lumières : Christian PeuckertCostumes : Marina Allegri et Patrizia Caggiati

Musique : Alessandro Nidi

Des représentations de ce spectacle sont proposées aux grandes sections dematernelles, aux classes du Cp au Ce1 et aux centres de loisirs de Noisy-le-Sec.

# 17

Samedi 19 novembre à 20 h 30Danse Grande salle Durée : 1h45 avec entracte Tarif : B

DouarDouar, c’est la rencontre entre des danseurs de hip-hopfrançais et algériens, qui confrontent leurs rêves et mêlentleurs imaginaires. Chacun, des deux rives de laMéditerranée, se projette de l’autre côté de la mer. KaderAttou, chorégraphe, met en espace l’ennui, l’attente sur lequai, le désir de s’enfuir… Il s’interroge sur le rôle de laculture, de la mémoire et de la danse dans le contexte siparticulier des relations entre la France et l’Algérie. Son hip-hop inventif et sans concessions prend alors une dimensionplus humaine et politique.

Douar, écrit au creux d’une douleur qui ne parvient plus à se formuler, est un immense espoir. Libération • Novembre 2004

Chorégraphie : Kader AttouAvec Kader Attou, Mabrouk Gouicem, Brahim Bouchelaghem et les

danseurs d’Alger : Abdallah Hirreche, Rabah Imessaoudène, MohamedOsmani, Amine Aliouat, Fouaz Bounechada, Hamza Benrahmani

Zahrbat [Solo]Avec Zahrbat, Brahim Bouchelaghem, danseur de hip-hop,rend hommage à son père, parti d’Algérie pour travaillerdans le Nord de la France. La passion du jeu, le poker, et legoût du risque qui animaient le père, entrent en résonanceavec l’histoire du fils, sa passion de la danse et l’excitationqu’il ressent à entrer en scène.

Par cette parole intime, le hip-hop gagne en intériorité, en finesse.Libération • Novembre 2004

Chorégraphie et interprétation : Brahim BouchelaghemScénographie : Gilles Rondot

# 19

Douar et ZahrbatCie Accrorap

Samedi 26 novembre à 20 h 30Dimanche 27 novembre à 16 h00Cabaret Petite salle Durée : 1h30 Tarif : C

MadameRaymonde« Récital » de chansons réalistes

Qu’on ne s’y trompe pas ! Madame Raymonden’est pas un homme. Madame Raymonde est une dame.Née à Courbevoie en 1898 d’une mère artiste de rue et d’unpère patron de bistrot, c’est seulement après une carrière dedemi-mondaine qu’elle se lance dans l’art lyrique. Depuis, sagouaille et son grand cœur font des miracles, qu’elleinterprète des chansons réalistes, des chansons de films oude grands textes d’auteurs. Tout un répertoire qui nous parlede l’homme, de l’âme et de la mémoire. En 1989, DenisD’Arcangelo, fan d’Arletty, a créé Madame Raymonde.Depuis, avec un plaisir non dissimulé, il se glisse dans lecostume de cette « Diva du Petit Monde». Un petit mondequ’elle transporte avec elle et qui nous réchauffe le cœur.

Ça swingue drôlement ! Madame Raymonde a le rythme dans lapeau. Un répertoire assez extraordinaire, parfois totalement inconnuet vraiment magnifique. RFI • Juin 2003

Un spectacle de Philippe Bilheur et Denis D’ArcangeloChanté et interprété par Denis D’Arcangelo

Avec dans le rôle du Zèbre et à l’accordéon : Sébastien MesnilLumières : Célio Ménard

# 21

Samedi 3 décembre à 20 h 30Théâtre Grande salle Durée : 50 minutes Tarif : C

� À partager en famille à partir de 7 ans

Ils se marièrentet eurent beaucoupDe Philippe DorinCompagnie pour ainsi dire

Ah, l’amour ! L’amour qui fait tourner les têtes ettourner le monde ! Justement, un jeune homme pleure safiancée partie à l’autre bout de la terre. Chemin faisant, ilrencontre une jeune fille espiègle qui lui vole un baiser. Unbaiser volé ! Le bouche à oreille est foudroyant, tout lemonde veut s’en emparer. Les couples se succèdent alors, seforment et se déforment à un rythme effréné. Depuis vingtans, Philippe Dorin, que nous retrouverons, en mars, avecBouge plus !, écrit pour le jeune public des pièces mariantsubtilement poésie et humour. Ici, au son d’une valseétourdissante, il fait s’accorder plaisir des mots et plaisir dessens.

Le spectacle, remarquablement bien interprété, dédramatise le problème de la rencontre amoureuse. Un beau cadeau.

Figaroscope • Janvier 2005

Mise en scène : Sylviane FortunyAssistée de : Laure Duqué

Avec : Carole Got, Catherine Pavet, Philippe Orivel, Jérôme WacquiezLumières : Violaine BurgardCostumes : Sabine SiegwaltMusique : Catherine Pavet

Le texte est édité à l’École des loisirs

Des représentations de ce spectacle sont proposées aux classes du Ce1 au Cm1et aux centres de loisirs de Noisy-le-Sec.

Autour du spectacle : des rencontres avec l’auteur seront proposées auxclasses inscrites dans le projet Lectures en scène.

# 23

Mardi 6 décembre à 20 h 30Danse Grande salle Durée : 1h15 Tarif : B

BâcheLes Ballets C. de la B.

Mais qu’y a-t-il de caché sous cette bâche verteau fond de la scène? Quel est cet ennemi invisible qui libèreen chacun de nous ses peurs irrationnelles ? Sans doutepresque rien, mais de ces riens qui sèment la zizanie entreces quatre hommes essayant de faire connaissance. Quatredanseurs aux personnalités bien trempées, venus d’universtrès différents (ballet, danse contemporaine, breakdance,cirque et théâtre dansé). Mais ce qui fait de Bâche unspectacle vraiment à part, c’est la musique. Autour desœuvres pour haute-contre de Purcell, interprétées sur scènepar Steve Dugardin de sa voix cristalline, le compositeur etpianiste Guy Van Nueten a créé un paysage sonorecontemporain. Ils sont alors six hommes sur scène, qui selancent en quête de tendresse dans un univers où sembledominer l’agression. Six corps qui deviennent complicespour n’en former qu’un seul.

Bâche : une heure et demie de bonheur où l’on se fait volontiers charmer, embobiner, inquiéter et surprendre. À voir absolument.

La Presse • Montréal. Novembre 2004

Mise en scène et chorégraphie : Koen AugustijnenChant : Steve Dugardin

Compositeur, arrangement musical, piano : Guy Van NuetenAvec : Koen Augustijnen, Ted Stoffer, Tayeb Benamara,

Ghislain Malardier

# 25

Samedi 7 janvier à 20 h 30Dimanche 8 janvier à 11 h00 et 16 h00Musique Grande salle Durée : 1h30 Gratuit

Concert du Nouvel AnLa Jeune Philharmonie de Seine-Saint-Deniset un ensemble vocal