architecture australienne

12
ARCHITECTURE AUSTRALIENNE Opéra de Syndey | Queen Victoria Building | Sydney Tower | Harbour Bridge | Royal Exhibiton

Upload: benjamin-vigliotta

Post on 29-Mar-2016

222 views

Category:

Documents


1 download

DESCRIPTION

Plaquette pour le cours INDESIGN

TRANSCRIPT

ARC

HITECTURE A

USTRALIEN

NE

Opéra d

e Syndey

| Q

ueen Victoria Build

ing |

Sydney Tow

er |

Harbour Bridge

| Royal Exhibiton

I nauguré en 1973, l’Opéra de Syd-ney fait partie des œuvres archi-

tecturales majeures du XXe siècle. Il associe divers courants innovants tant du point de vue de la forme architectu-rale que de la conception structurelle. Sculpture urbaine magnifique soigneu-sement intégrée dans un remarquable paysage côtier, à la pointe d’une pé-ninsule qui s’avance dans le port de Sydney, cet édifice exerce depuis sa construction une grande influence sur le monde de l’architecture. L’Opéra de Sydney se compose de trois groupes de « coquilles » voûtées et entrelacées qui abritent les deux principaux lieux de re-présentation et un restaurant. Les « co-quilles » disposées sur une vaste plate-forme sont entourées de terrasses qui font office de promenades piétonnes. En 1957, la décision prise par un jury international de confier la réalisation de l’Opéra de Sydney à l’architecte da-nois Jørn Utzon, a symbolisé la volonté d’adopter une démarche radicalement nouvelle en matière de construction.

L’OPERA DE SYDNEY la tour Eiffel australienne

La construction de l’Opéra fut me-née de 1959 à 1973. Elle fut mar-

quée en 1966 par le départ de son ar-chitecte Utzon à la suite d’un différend avec le nouveau gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud. L’édifice fut terminé par un groupe d’architectes locaux. d’après les plans et les instruc-tions de l’architecte initial Jorn Utzon.

Au final, 102 millions de dol-lars australiens auront été né-

cessaires à la construction de l’Opé-ra, bien que les prévisions de 1957 avançaient le chiffre de 7 millions.

L’Opéra fut inauguré le 20 octo-bre 1973 par la reine Élisabeth

II. Au programme, des feux d’artifi-ces et une exécution de la neuvième symphonie de Beethoven. Des mil-lions de gens assistèrent à l’événe-ment qui fut retransmis à la télévision.

Le 28 juin 2007, il a été consacré patrimoine mondial de l’UNESCO.

«J ’aime être à la frontière du pos-sible».Jorn Urtzon

Fils de Aage Utzon, un architecte na-val danois réputé, Jørn Utzon com-

mence par travailler avec son père. A 20 ans, il débute des études d’architecture à l’Académie des beaux-arts de Copen-hague. Il en sortira diplômé en 1942.

Bien qu’encore inconnu du grand public, Jørn Utzon remporte le

concours international du nouvel opéra de Sydney (Australie) en 1957. Il enta-me le chantier mais, suite à de multiples différents avec le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud, se voit obliger d’abandonner le projet en 1966 et dé-cide de quitter l’Australie. La construc-tion du bâtiment est poursuivie par Peter Hall, David Littlemore et Lionel Todd (l’opéra est officiellement inauguré le 23 octobre 1973 par la reine Elisabeth II). Situé à l’extrémité orientale du port, et fort imposant, l’édifice est particu-lièrement apprécié pour ses toits mi-voiles mi-coquilles. Ceux-ci évoquent des feuilles de palmiers, et se recou-vrent partiellement les uns les autres.

QUEEN VICTORIA BUILDING

«Le plus beau centre commercial du monde !». C’est en ces termes que le couturier français Pierre Cardin aurait qualifié l’imposant bâtiment à l’archi-tecture victorienne et byzantine situé en plein coeur du centre des affaires (CBD).

Construit par George McRae et ache-vé en 1898, cet ambitieux projet permit d’employer nombre de chômeurs pen-dant la sombre période de Récession.On y trouvait des bureaux, des ca-fés, quelques commerçants et même une salle de concert.Le bâtiment connut au fil des an-nées de nombreuses détériorations et il fut question en 1959 de le démolir.Après une sérieuse rénovation, l’édi-fice ouvrit à nouveau en 1986.

Recouvrant un bloc entier, le Queen Victoria Building est aujourd’hui un vaste centre commercial qui propo-se sur 4 étages, de nombreuses bou-tiques et des lieux de restauration.Un passage aménagé permet de re-joindre la gare de Town Hall d’un côté et de l’autre le grand magasin Myers.Toutes les plus grandes marques sont pré-sentes dans ce bâtiment. Très organisé, chaque étages est spécialisé dans certains produit. Des tableaux ornent les murs rouge royale du bâtiment. Des vitraux dé-corent les vitres des cages d’escalier. Très chic, ce bâtiment est aussi très complet.

de la «Sky Tower» d’Auckland). La Tour de Sydney est membre de la Fédération Mondiale des Grandes Tours.La tour haute de 305 m (1001 pieds), est située au 100, rue Market, entre les rues Pitt et Castlereagh. Elle est accessible depuis le «Pitt Street Mall» et surplombe Centrepoint (nom qui sert souvent à dési-

gner la tour), un centre de bureaux et commercial. La tour est ouverte au public et est l’une des attractions touristiques les plus importantes de la ville, étant visible de pres-que toute la ville et des quartiers adjacents. Tant que AMP a géré le centre commercial de Centre-point, la tour a été officiellement dénommée «AMP Tower». Après

que le Groupe Westfield en ait pris le contrôle en décembre 2001, le nom de la tour est de-venu «Sydney Tower». Les habitants de Sydney font presque toujours référence à elle par «Cen-trepoint Tower». Le 17 décembre 2010, Merlin Entertainments annonce avoir racheté à l’austra-lien Village Roadshow sa division parcs de loisirs pour 115 millions de $ qui comprend[1] : Sydney Aquarium, Sydney Wil-

dlife World, Oceanworld Manly, Walk, Hamilton Island.Wildlife Park

Queensland.

Impossible de manquer la Sydney Tower : elle se voit de presque n’importe où. Avec ses 305 mètres de haut, c’est d’ailleurs la deuxième plus grande tour d’observation de l’hémisphère sud (après celle d’Auckland en Nouvelle-Zélande). Achevée en 1981, c’est l’attraction touristique par excel-lence. Qui n’est pas déjà monté au sommet d’une grande tour dans une grande métropole ? Et pourtant la magie opère encore et la vue à 360° est spectaculaire. 40 secondes seulement par ascenseur vous permettront d’atteindre l’étage panoramique.Les amateurs de sen-sations fortes seront une fois de plus sollicités avec le SydneySkywalk, une «promenade» aérienne d’1 heure et demie à 360 mètres de hauteur.Sydney Tower (aussi connue sous les noms d’AMP Tower, AMP Centrepoint Tower, Centrepoint Tower ou Centrepoint) est la plus haute structure auto-portante de Sydney et la deuxième d’Austra-lie (la Q1 Tower sur la Gold Coast étant la plus haute). C’est également la deuxième tour d’observa-tion la plus haute de l’hé-misphère sud (après la Sky Tower d’Auckland en Nou-velle-Zélande, bien que l’étage principal d’observation de la Tour de Sydney soit près de 50 m plus haut que celui

S Y D N E Y

T O W E R

de la «Sky Tower» d’Auckland). La Tour de Sydney est membre de la Fédération Mondiale des Grandes Tours.La tour haute de 305 m (1001 pieds), est située au 100, rue Market, entre les rues Pitt et Castlereagh. Elle est accessible depuis le «Pitt Street Mall» et surplombe Centrepoint (nom qui sert souvent à dési-

gner la tour), un centre de bureaux et commercial. La tour est ouverte au public et est l’une des attractions touristiques les plus importantes de la ville, étant visible de pres-que toute la ville et des quartiers adjacents. Tant que AMP a géré le centre commercial de Centre-point, la tour a été officiellement dénommée «AMP Tower». Après

que le Groupe Westfield en ait pris le contrôle en décembre 2001, le nom de la tour est de-venu «Sydney Tower». Les habitants de Sydney font presque toujours référence à elle par «Cen-trepoint Tower». Le 17 décembre 2010, Merlin Entertainments annonce avoir racheté à l’austra-lien Village Roadshow sa division parcs de loisirs pour 115 millions de $ qui comprend[1] : Sydney Aquarium, Sydney Wil-

dlife World, Oceanworld Manly, Walk, Hamilton Island.Wildlife Park

Queensland.

Impossible de manquer la Sydney Tower : elle se voit de presque n’importe où. Avec ses 305 mètres de haut, c’est d’ailleurs la deuxième plus grande tour d’observation de l’hémisphère sud (après celle d’Auckland en Nouvelle-Zélande). Achevée en 1981, c’est l’attraction touristique par excel-lence. Qui n’est pas déjà monté au sommet d’une grande tour dans une grande métropole ? Et pourtant la magie opère encore et la vue à 360° est spectaculaire. 40 secondes seulement par ascenseur vous permettront d’atteindre l’étage panoramique.Les amateurs de sen-sations fortes seront une fois de plus sollicités avec le SydneySkywalk, une «promenade» aérienne d’1 heure et demie à 360 mètres de hauteur.Sydney Tower (aussi connue sous les noms d’AMP Tower, AMP Centrepoint Tower, Centrepoint Tower ou Centrepoint) est la plus haute structure auto-portante de Sydney et la deuxième d’Austra-lie (la Q1 Tower sur la Gold Coast étant la plus haute). C’est également la deuxième tour d’observa-tion la plus haute de l’hé-misphère sud (après la Sky Tower d’Auckland en Nou-velle-Zélande, bien que l’étage principal d’observation de la Tour de Sydney soit près de 50 m plus haut que celui

SYDNEY HARBOUR BRIDGE

Le pont est le 2ème sym-

bole de la ville, après l’Opéra.

Rendu célèbre pour ses multiples

rôles durant les Jeux Olympiques de Sydney

en 2000 et pour ses fan-tastiques feux d’artifices du

nouvel an, il sera au cour de votre visite de Sydney. Appelé

affectueusement le «vieux cintre» par les Sydneysiders, le Sydney Har-

bour Bridge date de 1932 et a coûté près de 20 millions de dollars.

Il existe plusieurs manières d’apprécier la traversée. La voiture permet d’atteindre ra-

pidement la rive nord de la baie. Les cyclistes pourront quant à eux profiter de la piste aména-

gée sur le côté ouest et les piétons de la prome-nade sur le côté Est. L’accès aux escaliers se situe

dans les Rocks depuis Argyle Street.

Si la vue, déjà spectaculaire, ne vous suffit pas, montez les 200 marches situées dans la tour sud-est et profitez du Pylon

Lookout (payant). Les frissons de l’ascension des arcs métal-liques du pont de la baie de Sydney n’ont d’égal que les vues

sublimes du port et de la ville que vous admirerez d’en haut. Les plus téméraires pourront tenter l’aventure du BridgeClimb, une es-

calade en groupe de 3 heures et demie, en compagnie d’un guide.

SYDNEY HARBOUR BRIDGE

Royal Exhibition

Building

Royal Exhibition

Building

Le Palais royal des expositions et les jardins Carlton qui l’entourent ont été conçus pour les grandes expositions internationales de 1880 et 1888 à Mel-

bourne. Le bâtiment et le terrain ont été dessinés par Joseph Reed. Le bâtiment, construit en brique, bois, acier et ardoise, amalgame des traits byzantins, ro-mans, lombards et de la Renaissance italienne. Cet ensemble est représentatif du mouvement des expo-sitions internationales. Entre 1851 et 1915, plus de 50 d’entre elles furent organisées dans des villes comme Paris, New York, Vienne, Calcutta, Kingston (Jamaï-que) et Santiago du Chili, sur la base d’un principe et d’un objectif commun : dresser un état des lieux du progrès en exposant les réalisations de tous les pays.

Le Palais royal des expositions et les jardins Carlton qui l’entourent sont les principaux témoignages subsistant d’un Palais de l’industrie et de son site, et reflètent l’influence du grand mouvement d’expositions internationales du XIXe et du début du XXe siècle. Ce mouvement présentait les innovations et les changements technologiques, afin de pro-mouvoir un développement rapide de l’industrialisation et du commerce international au travers de l’échange des connaissances et des idées.Ce complexe avait été dessiné pour les grandes expositions internationales qui se sont tenues à Melbourne en 1880 et 1888. L’édifice, dessiné par Joseph Reed, est construit en brique, en bois, en acier et en ardoise, et amalgame des traits stylistiques byzantins, romans, lombards et de la Renaissance italienne. Cet ensemble est représentatif du mouvement des expositions internationales.

M

ELBO

URNE