année. n° 9 3 . jeudi 22 novembre 1900. de...

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•vrr If 7/8 Année. N° 93. I «. VIHAVIIKDK Hidattntr «a duf AJmmi,iralm ABONNEMENTS *«<«!► S*!»!.— ................ «fr- H fr. Hz mou . ................... 6fr. 8fr. /• Troia moia..................... 8 50 4 fri Edition hebdomadaire : Demi-tarif. ON S'ABONNE : Paraissant le Dimanche et le Jeudi. 0 = Jeudi 22 Novembre 1900. '•bonnemont est p.y*blâ i ï$ S j ï ? d“ rtH *1 us » 0fU jim ümJm. d'avance et i’à réception / ADRESSE TÉLÉGRAPHIQUE : \ \ JOURNAL-SENLIS J DE SENL COURRIER DE L’OISE TSLÉrîiONE AVEC PAHIS, \ LAFRANCE &L 'ETRANGER j BULLETIN Sentis, te S i novembre 1900 . Par 413 voix contre 123, la Chambre a I voté lundi matin lea articles de la loi de > finanoes qui opèrent la réforme du rô- |,gime des droits de succession ; puis elie | • commencé la discussion du budget des étrangères, en entendant MM. |î'« T ’Jurn i68 eî Smnhat, auxquels M. 1 Delcassé a répondu le lendemain. L’aprés- I midi, avant qu’on ne reprît la discussion l di la réforme du régime des boissons, ■. ,ve *“ vdt a complaisamment in- u terpellô le gouvernement sur les décora- IF ?.n .0,n i’AMMO d’»voir accordées à ■ dos individus qui ne les méritaient point. «u‘ 5a P ^ e n t. Après interven- thon de M U. Oeorais, miniBtre des coio- aies, Mulerand, ministre du commerce, _ Edouard Drumont, Firmin Faure, Mille- Ivoye, Ciovis Hugues et Waldeok-Rous- ■muqjyésidént du Conseil, la Chambre, Û0ntre 33» a voté un ordre J jour approuvant les déclarations du ■ gouvernement, et qni considère comme 1 funes lea accusations répandues. Dans le Jçpablio, on trouvera étrange, néanmoins, | i M » ministre ainsi formellement ac- I oosé de trafics de décorations n’ait pas 1 cru devoir prendre à coeur de se laver de 15 ? w «P«on en intentant un procès à ses | diffamateurs. Oette mesure s’impose d ’a u t a n t plus £ hier matin encore, nn député d’Algé rie, U. Firmin Faire, faisait la déclara tion suivante, publiée dans l'Echo de Farts •• « Si le gouvernement, comme fest son devoir, se décide k intenter cette «bon judiciaire, M. PapUlaud n’aura (jua me faire citer comme témoin, et, non tellementj apporterai des preuves prè- ases et concordantes, mais encore je lui Mimerai la possibilité de citer tous ceux fil ma las ont fournies et qui ont pris, m-a-vis de moi, l’engagement écrit de tinir confirmer toutes les déclarations V» ub m ont laites. » On voit que les ac cusateur» du gouvernement ne se tien- n u R E AUX Réduction rt Administration : 9 ut II, place île l’IIfltol-de-Ville, 9 et l t SBNLIS Le Joühnai. db Sknus est désigné >>ouf publier dans l'arrondissement lot I.NSEHTIONS JUDICIAIRES. PRIX DBS INSERTIONS Anjinncos léKale« .... 0,20 c. la lûmu. Aiintiiiceg voltiitlitircg. 0,25 _ Réclames................... 050 . Pirits tlivora . j ’fr. Oa n’accepte pas d’insertion au-desgoue do 1 franc. Los annonces, réclamos, cto., concernant Paris et los Départements sont reçues direoumoat aux bureaux du journal. ■ „ . _ . . uo su non- |.M“l P“ P?nr battus, et U serait bon de « définitivement au olairo ette affaire. Hier, la disoussion du budget des af fines étrangères a donné lieu, fi la Clambre, 4 un débat sur les affaires de Usine. M. Delcassé, dans un discours très spplaudi, a mis en lumière la conduite ■ nleureuse de nos troupes en Extrême- 1 ™ nt et les initiatives heureuses que la I mlomatie française, agissant toujours « concert aveo la diplomatie russe, a fnsea depuis le commencement de la né. I node des négociations. p Le président de la République a reçu IMS nouvelles très rassurantes sur la ■ K ü i !},*«*?' M; â8 ^ auvineux, notre ■dui-gé d affaires 4 Saint-Pétersbourg, a ■EiÆï . * impératrioe les vœux du ehef | t i ’? m p e ^ ^ Æ “Ptré‘abU,Mment J AMarseiUe, on esttont aux derniers ■ Wparatifa pour la réoeption du président ■ gruger. L illustre vieillard est attendu fi ■ tarie vendredi. Des appartements ont été ■ retenus pour lui et les personnes qui IAccompagnent à l’hôtel Scribe. Ces ap- ■tsrtements comprennent trente-oinq 0» ocoupent tout le second étage ■Mlbôtel. L’appartement particulier du ■meident forme exactement l’angle de la e bcrlbe et du boulevard des Capu- “ »s compose d’un grand salon, ■fane chambre fi coucher, et d’une se- E î- ~am bre fi couoher qui servira de ■uinet de travail. Le séjour prévu du ■fraudent Kriiger fi Paris sera d'une hui- |««sde jours. Toutefois, il se pourrait ■1*8 le président restât plus longtemps. En quittant Paris, .il se rendra directe- ment en Hollande. Dans le Sud-Africain, les commandos, dispersés un peu de tous les côtés, conti- Dne“f ,de iaire aux An«la>8 le plus de mal possible. D’après une dépêche de Pretoria au Moming Post, les Boers auraient or ganisé plusieurs centres de résistance. Ni les approvisionnements ni l’argent ne leur manquent. Le général Botha, d’après nn télégramme du Daily Télegraph, au rait organisé un nouveau gouvernement à r °U08t de Lijdenburg; déjà, d ailleurs, les Anglais, en position à Strakona-Hill, ont dû disperser un cer tain nombre de ses hommes qui faisaient du fourrage aux environs de Lijdenburg. INFORMATIONS Conseil des ministres. Samedi,lesmlnisires se sont réunis i l'Elysée sous la présidence de M. Loubet. M. Delcassé. minisire des affaires étrangères a S îirÆ S * " s00,!è«aM8^«« “Æ Z rï.î tires aux événements de Chine. a mi?I9,,di8en* ffne ,e* représentants 8 ^ k in viennent de transmettre fiJfiJ^*«?VflrneineBto,,a °«rt«iQ nombre d'ar- . — “ • »»aiutjta. nuusseau, ministre de l intè- d a î J ’l î u n M l i 8*011 d.8 / a Pro®baine discussion la loi sur les associations, a communiaué an corne i le telle «anilif enélé per u SÏSSloï qui est en complet accord eveo lui. ' ï1 ia Meil * hit connilire éeele- Sntih'2! 3.“e<,0,e‘ f Iveriencei de rédeelion eui- méni appeler leeotuervtUooi du gonveme- „ ~ M-CuHIuax, mlDieiredes floenees, aennonoé SSJlf. 8,“ fié" 11 de voter rapidemenl le a A , AlgANa, ado qu'il puisse ôlre appliqué dès le 1" Janvier 1801. comte de Vauvineux. chancelier de l'smhaaaade ri, . i ' * . 8 Soint.pétcrsbourg. qui remplace I ambassadeur en congé, de prendre chaquo jour, m u îX tae“ do°“ -‘ - a- ^ nté d-8 tentent. Contre un évfiquo. .ûn °^ J .Di.8lrede8 cai!es vienl do déférer an Con- d Annecy 001111118 Mgr l80ard* évé(la0 S,?,B • étô Prise * la suite d’une or- inv^f ém. j 1 évô<ï“e d’Annecy, qui a presorit de son diocèse de refuser la sépul- fnnSrîfriî* qU® IeS fois ^Qe COUVOiS îmhis oomprendront des bannières et des M aïpar’l 'f f i .r ”™ ' P“ é,é’ “ pri,1,bl9' Mgr Langénieux en Justice de paix. aiJ i/w Bvo.iJ!,®on.U‘evenu à un arrêté municipal ÎS iïA 18 9’ le» processions dans létendue de la ville de Reims, et s’être rendus œ fJ°T eilemem u®Ienr8 é»1Isfl3 dans les ci- u £ î ’x .* novembre dernier, jour des Morts. ?„% P * ? ,enx’.Mrdlnal-"oh0Vêque,et MM. les n?m ïe*RCi ,Dîrea » sufsses des paroisses e* Saj,BVJe8n *BaPll8te, Saint-Benolt. ïtiû ï Saint-Jacques et Sainr-André, nrlsîSé1^ ! u r . .,ribu5aI de simple police, Sntin P r’ ^uge de p#ix du deuxième ia ®n,endu las avocats des inoulpés et aonJogemenTfiX»lnè! i08a d“ paiI * remto Déjeuner preeldentlel. . i 8 P' t sld.,ntl161* fiépubliqua et B“ Loubet, m a™ | J ?.r“ï 8 a,,enl|en dont lia eut prix euxi S jS fîL 1 «“‘Uubave. ont offert lundi un déjeuner ISS™ 8 couverte aux arli8lea, peinlree, acu pleura, greveura, arcbitectea et mueiotena uuüairee du grand prix de Borne. Lea élections de dimanche. ï a t r Æ ' en rempteoemeot ï e a üb»Ma?rlce Qnan**o, nauonaUste, a été élu par îiSSutin?? con,re 1,600 au dooteur E. Richard, républicain progressiste. Æ K rS S & t ï ’a ™ ^ k rt t n ^ é p i lf f i n M« a f'0”ï ' ',iiM Election législative à Toulon. Une élection législative avait lieu dimanche à “ " “ i11*88”18»' i» fi . ‘IV * ballottage’ entre W l. Grébanval, président du conseil municipal de Paris; Martin, radioal* çoueottvute; ûireil, radical; Claude) socialiste, et Marguery, républicain. üne récompense nationale. ? ,lsÎTu d0*? «nerre a déposé sur le bu reau de la Chambre un projet de loi relatif à la SEiïSfïSaŸ ^ R01180 nationale auxmem- Io^ daa> l’Afrique centrale par M. Foureau et le commandant Lamy, l ü n groupe « libéral ». ?rW , de« républicains indépendante, Chambre, a décidé, à l’unanimité, hbéiïïe ner 08 Ütre poQrPreBdr0 celui d’aoUon ;t u’organiser une des idée» n grenpte 4“ “p r é ïîd lK La maladie du tsar. . £ élf i da tear est toujours satisfaisant et lama- A 'n..îi “f8 re«Q|ier. Les médecins es- |ôrent, s il ne survient pas de complications, que ourser8ar S8ra 8Ur P d a a * 11118 fiaiMll*n0 de Le Président de la République a chargé le é .s a a T jjé ^ r1”' AWhnî^ ? 1 a . s ilé anmônier militaire en Afrique, et. avant d'éire nommé à l’évôché de Marseille, il était évêque de Constantine. Auua- v f f i .*1 m ^ général du < M de Encore un déraillement, deDP.Sr î ^ “.eï ï 8,0“ '^^grapbie que l'express ue Paris est arrivé aveo un retard de auatre heures par suite du déraillement du tender oui s est produit près de Saint-Jodard. peraoMe! heureusement aucun accident de Ün drame i i’Exposliion. »„y^ndrxed,i m,atilJ' 0 l’Exposition, une vive dis- SKel'a’ïl'ird ^ ^ ao T ff ^ elI h’out enauho tiré un coup de re- n»f a ironie 5ouch,?- L» “ oïl a été Instantanée. lin a trnnvd dans l’anodoo poahoe d» c« dnp_ nier une lettre écrite en italien et qui établit quil avait prémédité son crime. Tous deux demeuraient aveo d’autres gardiens 018d0 I* Boétie. Le blessé, Henri Elis, est âgé de 82 ans. Le meur- i 5.x ? •PP®h0 Anobio. Son corps a été trans porté à la Morgue. La République de l’Oise, La Gazette de l’Oise. L'article dans lequel noue avons posé quelques questions fi la Caxclle de l’Oiu, a S rodmt dans la presse radicale-socialiate du épartement l’effet d'un pavé dans une mare â grenouilles. Ce sont des coassements broyants et sans fin ; mais le plus curieux, c est que c’est précisément le journal auquel ne s adressait point nos questions qui fait le plus de tapage et s’offre avec acharnement à y répondre. Ajoutes qu’il les dénature com- ilôtement et que, pour faire diversion, le Rédacteur de la République de l'Oise de mande que nous prouvions qu’il a reçu de iargeBtde 1 Angleterre ou de l’Allemagne III C est absolument grotesque. . M'iNDm.?,Rou,",n calme 8«8 ardeurs de mistral jq u il cesse surtout de propoaer des jurys d honneur— et ne se moque pas plus longtemps du monde— nous ne nous sommes poiLt occupé de lui j u s q u ’i c i , comme il essaie de le faire accroire. Au reste, et pour qu’il n’y ait aucune confusion dans l’esprit du lecteur, comme 1 on cherche à en créer, nous allons remettre les choses au point et rappeler comment elles se sont passées exactement : Le mardi, 6 novembre courant, la Gaxeiti ae l Oise publiait un filet <ian<s lequel à p’o pos de la mise en actions du Pruqrès de l Oise, «Ile racontait, suivant son habitude, des faits absolument inexacts déjl maintes rots démentis et qu’elle savait parfaitement n etre pas vrais. Nous avons relevé ces faus setés, et comme, toujours suivant son habi tude, la Gazette n’a point cru devoir les dé mentir, nous lui avons répondu ce qui était notre droit en lui rappelant que la réorga nisation projetée du Progrès de l’Oise était aes pins honorables pour un journal et qu’il appartiendrait aux hommes partageant les opinions défendues par lui. Déplu», puisque la Gazette de l’Oise se permettait d attaquer nos amis de Compiô- gne sur ce terrain, nous l’y avons suivi, et avons demandé à la Gazette qui, elle, n’ap partient à aucun groupe politique et se ré- S and cependant à des milliers d’exemplaires ans le département, qui la faisait vivre et qui lui permettait ces prodigalités et cette propagande effrénée. r„C . éî?itJ*i&st8 r6P0[lw attaques de la Gazette de l Oise. poudulrel*emeB1’ Dô noU8 a r’0n r ^“ Hais lâ-deasus intervient son compère «filÇfil-sociatiate de le République dt l'Oitt. nn M. Numa Bouilan, importé ton! récem ment dans notre département oû il n'est “J f;‘e ,ni d’Adam et dont, dans notre article, il n avait pas plus été question que de la lune. Tout de suite, il fait tapage et cherche à attirer l’attention publique de son côté; ainsi, dans les chasses à courre, on voit le vieux dix-cors, chef de hardo couper les pistes du jeune cerf poursuivi par la chasse, afin d’attirer celle-ci à sa suite. L ost alors que nous voyons surgir toutes ces ' ''hs burlesques de consulter ses i constituer un jury d'honneur, vu.—, ,» mise en cause des administrateurs de son journal que, par parenthèse, nous ne connaissons pas du tout. Tou t cela, nous le répétons, est de la fu misterie doublée d’une grossière réclame. nous ne sommes encore jamais occupé ni de M. Houstan, ni de ses administrateurs; nous avons môme laissé passer, sans prendre la peine d y répondre, des filets agressifs et injurieux et de M. Roustan et du poussah £ély, le pion révoqué, qui lui sert de gè rent. s Nous n’ayons donc curejusqn’4 nouvel ordre, des injonctions de M. Numa Roustan M de ses burlesques invectives et menaces. Quand nous jugerons 4 propos de nous occu- J£LÎ?s Mpubliaue de l’Oise et de son JJgjJJJJJ» noa8 10 ferons avec notre netteté ^ R°xeRe de l’Oise, elle n’avait üîrvjÎH 8Ur D?lre arlic,e 01 s’était bien nm 0^non8 i 0Dner 108 éclaircissement 3?«0i,DHOï8A de.mandlon8el ^ 10 Public a le droit de réclamer sur ses moyens d’existence ?’0 ?m n ’a ° Pasgr é Mal8 la RéPubli<l ue de époussor son confrère Bourson, leque/ïe nr/üà!0??! gu.ôr. e’ . à n0U8 intenter un E ft m n U p,ed danmF et loul r0chi- gnant, M. Bourson a fini par répondre 4 cette... invite et déclaré qu’il va nous inten- !«rjîîn Proc^8 a,u CM - Notons ici que jusqu’4 ce jour nous n avons encore eu signe de vie m du timide Bourson, ni du bouillant Rous- Mais le comique de l’affaire, c’est que si m. «ourson ne se presse pas — et pour fiaï ï nr a noJDS ,e° v°y0r du papier timbré, i ’iînïïLîf a ?0 a,88er éch0PPer l’occasion d une belle réclame pour son petit commerce : lW dA,nomPha,0me0l à 1108 questions, qu U tire 4 un nombre considérable d’exem- P '^ / . r 3 c jostemont 14 ce que nous ’ » G .a*etle ée l Oise se distribue gra - S m p ï l l r t a l " n°mllre ' rtS c0IlsillÉr8Wl) Eh bien I nous demandons et nous conti- nuerons de demander : Avec quel argent et aux frais de qui? Et, 4 ce propos, puisque î?*r,5 n0U8 °Prre 1,0*amen de ses Si !S * bien considéré, nous acceptons, si c est sur ses économies et ses ressources personneiles que M. Bourson fait celte pro pagande et répand son journal, nous nous empresserons de le reconnaître. Mais si, au contraire, M. Bourson a fait cette propos!bon dans l’espoir qu’elle ne !« « « P08 acceptée, et pour atténuer la juste S P«blic, nous continuerons 4 ïïn. f Bour80n la môme question que nous lui avons posée : « D’ou vient llr- gont? » Et. le pnh'ic serait suffisamment édifié par son mutisme... G. Villavrèdk. piraancho dernier, le Président de la République a offert une chasse, à Uam- bouillet, aux membres du bureau du Sénat. M. Franck Chauveau assistait 4 cette chasse, et c’est même ce qui l’a empêché, 4 son grand regret, de répondre 4 l’invitation des Vétérans de Senlis. Voécs de MM. leu Députés «le l'Oise. Séance du iG novembre. Scrutin sur l’addition de M. Berteaux et plusieurs de ses collègues 4 l’ordre du jour de M. Coûtant, à la suite de la discussion de son interpellation sur l’accident du che min de fer de Choisy-le-Roi, ainsi conçue : • • r j “vi'e le gouvernement 4 user de toute son influence m r le Sénat pour obtenir le vote de la proposition de loi du 17 décembre 1897 sur J X -ÿ ouvriers 0t employés de ohe La Chambre des députés a adopté. N o 'è u .to V d r ''4111' Bauioa- Ch0p™ .' Tam“rnte,PGaifiardPar' “» ™ 8 «.e- r“)in 5“r I'0rdl'<> d“ i°ur Por et simple, après la discussion de l’interpellation do M. Pourquory do Boisserin sur la réouver ture des chapelles non autorisées et la réor ganisation des congrégations dissoutes. La Chambre n’a pas adopté, lard*” ,014 fm r '' Chevallier et Bail- » cb°p‘- r J « r? /n ABar i1,ordro du i°ar da M. Cha- aînsTconçu™6 1Ql0rp0Ba^ ou (la0 ci-dessus) La Chambre, comptant sur le gouvernement pour mener rapidement à bonne fln ia T o ïïi les associations, passe à l’ordre du jour. La Chambre a adopté. No?|nè n ,e „ ïr r ; a “ ' BaU'i0n' Cll0pi“81' lard” ' T01é C0Mn cll0Tallier 01 Bail- Première adancfl du lundi 19 novembre. ®c™ ln "ul. prise en considération de amendement de M. Albert Poulain, au pro- jet de lot portant fixation du budget del'exer- cice 4 90i (ltégimedes successions). Pour l'adoption .... tii CoQtre......................... 274 La Chambre n’a pas adopté. Ont voté pour : MM. Baudon et Rendu. Ont voté contre : MM. Chopinet et Noël. lier, Gaiflàrtf. ““ '° '0 : MM' ch8îal- i'.»D îo 1 !tlr,i? ren?oi 4 Ia commission de ^amondemqrit de M. Laurent-Itougôre, an irojet de loi portant fixation du budget de exercice <901 (Régime des successions). Pour l’adoption..., 327 Contre..,,, ............. jpg La Chambre a adopté. H0è K e n rr; Chopl"8t' lard” ' 1,0,0 Can‘r" ’’ M“ ’ ch6Talli8r at Bail- teiSj r nlln ,nr ^ensemble des articles de la lions ces relatlf au ré*lma de» succès- Pour l’adoption..,. 401 Contre ...,,, <<3 La Chambre a adopté. N o è » d u ttr;,,M ' Daui<ln- Ch8pi“8'. lard"1,014 COn‘ n ' Ch0,allier «' Bail- Pour l’adoption .... 7 Contre.......................... 37g La Chambre n’a pas adopté. No“ u t ï U ^ r ,ré;M M ' “ aUd0n- Chopinf‘- lie‘r e t“i ï , Î K . S Par‘ aUV0t6 1 Ch8’ al- • Scrutin sur l’ordre du jour de M. G. Rivet (Interpellation relative à des décorations). Pour l’adoption .... 36g Contre... ................... 33 La Chambre a adopté. N06|nè u C r r;M M ' Daa(l0n' Ch0pln81- lie?e°.niaPm Æ >ParU',Y0l<i:MM- Ch8’a|- HOS»Srav “ i?o r . 1/«rlxic.t0 i< *r dQ c o n tr e - p r o je t de M. Vaillant (Régime des boissons). Résultat du point8ge : Pour l’adoption .... 250 Contre .......................... 24» La Chambre a adopté. No»r;UM -chaTaiii,r-Gaiiiard- ,. ' n;‘uJ°a ol Chopinet, momentanément absents de la salle des séances, déclarent qu ils auraient voté pour Scrutin sur le renvoi fi la commission du S s ronsr) Jal <l6 Vaiüam (Régime dea Pour l’adoption .... ai3 Contre ...................... 287 La Chambre n’a pas adopté, N„8iat ?0tÔ P0U r 1MU' CLa?alll8r, Balllard, et Rendu!4 °on,r> '' MU' BaniI»“- Chopinet Deuxième séance. L 'A ssistance m édicale g^*atuites Lundi, 4 deux heures, a eu lieu, 4 la Pré- fecture, sous la présidence de M. Reguault, lif j Ÿ u 1 î u Con8eil de préfecture, as- î l ï î . 1 » M* B.rousse» inspecteur départe- mental du service des EofauU assistés, et Bon, chef de division, l’élection pour le choix de trois docteurs et de deux pharma ciens appelés 4 faire partie du Comité dé- 3 J— ta! de l’Assistance médicale gra- Voici les résultats obtenus : Médecins. Votants, <40. — Majorité absolue, 56. Ont été élus : D'Jacquot, de Creil, <03 voix. D* Chevallier, de Compiôgne, <02 voix. Dr Demmler,deSi-Leu-d Esseront, <00 t. Pharmaciens. Votants, 99. — Majorité absolue, 50, Ont été élus : MM. Baudran, de Beauvais, 83 voix. Recourat, de Beauvais, 78 voix. M. François, do Beauvais, <7 voix. Divers, << voix. SENLIS Féte de la 1056° Section des Vétérans des Armées de terre et de mer. Remiso du Drspasu st Inauguration du Monumant La journée de dimanche dernier compter, i i r » 18» <le Senlis parmi le. p lu remitôrf a p émouvantes : 1, h llrlîl'8a? 4 la <0S6-section des Vétérans des Armées de Terre et de Mer » été 1 occasion d une de ces superbes manifes- S îin ï pf loi1 .^a08 doDt notre vieille cité a donné plus d un exemple au cours de sa longue et glorieuse histoire. « in ii.1® ™atin».108 principales rues de la ville étaient pavoisées, tandis qu’au travers de la place de la Halle et de la rue de l’Ap-» Pnn^au"Fa,n’.0tc ld0sbaDderoIl0s w dévi ance D P° desinscriptions de clrcons^ FEUILLETON LE DRAME DU iflPAUlS iÛUGE rts *• SIHVBM * A. 81ÉGEL aventure de Nancy prouvait lit ; “ ['Stable, aussi Ifiche que féroce, ■tate. î • . iuutes les déloyautés, de IStri.1 In.h>mtes. Et c'était contre une 1 * 2 K , bleJ't'18 Za8k» 81 N'küa sedis- Is^t i.- *eDr cher seigneur, de a ri- rce et ge l0I‘t leur conrage. ■hite j î nlrt0 <,an’ la oapilale de 1 empire Sfiar i . n 81 Rimiirise séparèrent ■Ui. dre dans leurs domiciles respec- t e ^ 8 " 01? *u l 1 , f i ' * " 1101110 a b o s e , d e Iw il èrh.6„,an‘ 18 ,,a,,' 8111 ,a,,ail P0»1, « ■tontra n ï . .81" 8? 1 r “ ainme de voyage I lih ïïJ ."8' ° la* convenable. * H*1»0 0 1° devine, était I. plus pressé de franchir la porte du Palais- Rouge, était d'Artagnan. N était-ce pas dans ce palais que, grâce 4 i inspiration de la bonne madame Cheva lier, Macha s’était réfugiée, travestie en page et sous le nom d’Alexis ? 8 Il allait donc la revoir, sa chère Marie 1 „ni erï w’ dé«ni80n»«nl sous lequel elle se cachait, et le mystère dont ils étaient encore obligés d entourer leurs amours, les empê cheraient de se livrer & leur joie. Mais ils se reverraient et, si ce n’était du le plus doux, c’était le premier des plaisirs que se promettait d’Artagnan. J °n o 0 ôtoile voulut que Kapiof fût précisément de service ce iour-14. L aide de camp l’accueillit avec une satis faction sincère et, aussi, aveo les marques d une profonde surprise. -miTfi « qa(? 1 mon cber d’Artagnan, s’é- vousï 6,1 *erraQt la main. C’est déj4 Que signifie ce déjà T demanda le Gas con. — Je croyais qoe vous deviez rester absent plusieurs semaines. L’empereur ne vous a t-il pas autorisé 4 vous reposer quelque lemDS chez votre ami, le prince Dorieff ? — J'ai bien reçu de Sa Majesté cette gra cieuse autorisation, mais je n’ai pas cru devoir en profiter, car pour bien se reposer, il faut être fatigué, et je ne l’étais point. D’ailleurs le prince avait hâte de reparaître 4 Saint- Fétersbourg, et nous y sommes revenus en semble. l.vTuM Æ .D„0S S M,iC,l,1,Kapi#ff8n — Oui. Qu’y t-teil de surprenant à cela r I ~ B° enrpren.ntt Rien, Heis j'ai idée I qnit turelt mieux tut du rouer oft t| était. an’ir.*i‘ .l î ?.1 îa?rmora d'Artagnan, Il parait absence f ««raveau pendant mon — Hélas ! — Et peut-on savoir T m Kapiof baissa la voix, et mystôrieuse- « .ri^ 0881!110 de Parler ici de ces choses, mon cher ami, car depuis quelque temps, il y a des espions partout dans le palais, et l’on n a pas plus tôt prononcé un mot qu’il est déj4 rapporté en haut lieu. Mais vous ne ™ jePu?de°”Œ Æ 8Pmair iUg8rpar .u T ..?0? * Voa8 me direz t0Qt wl» plus tard et ailleurs, mon cher Kapiof. Pour le mo- — Laquelle?* adr088Oral(ia'une question. o ~ Ua nouveau page n’a-t-il pas été admis départ? emp0r0ar le ioar même de mon — Le page Alexis ? — Celoi-14 même. — Si, mon ami. — Il est toujours en fonctions, je pense ? , Lui, en fouclions ? mais vous ne savez donc pas? dit Kapiof en souriantd’une façon singulière. v ~ J0 n®8a*8 rion du tout, puisque j’arrive seulement et vous me rendrez uu véritable service en m informant de ce qui est arrivé d'mquiémdeT™ ’ m d'Arla|!,la”’ tremblant Kapiof parût d'au grand éclat de rire, a»- “ len“8 homme 1... Alexis!... Drdle do jeune homme on vérlté...ll faut qaevoua revenioa du fond de la Courlanda ponr igno- î 'fn S t a f c . l f û S ,a cour ,,oalreliont. L inquiétude de d Artaguan se transforma ODuno«ogoj»i« poigoante, Les paroles do 1 aide de camp n’étaient que trop significa- rlrnnnn113 le8fbab*ls da Paff0 Alexis,on avait reconnu une femme déguisée. Kapiof poursuivit, très amusé : Figurez-vous, d’Artagnan, que le page n»?11,0ut simplement une amie do madame Chevalier qne celle-ci avait pla cée auprès de Sa Majesté. Dans quel bntf ane la fjivnrin. 0^1!8108 U p,UJ “ urante est qne la favorite, jalonse, tenait fi être rensei gnée sur les faite et gestes de l'empereur... i?a«n f a lrop,dil 01 i° hois m'arréter, car si quolquun ma entendn, j’en aurai au moins pour huit jour, d'arréts... Ah bah I rr.ÇfiLmod 80 8“18. je ne risque plus rien I D ailleurs, t| ne s agit pas d'nn secret d’Ktai, e u aventure est trop curieuse pour eue ie retarde le plaisir de vous la raconter. 1 . " a^ ? 8.Ch8' a|ier, en introduisant ici, 5° 5“al,ilè page, la demoiselle on là dame, n avait pas songé fi une chose... rA81.'8118 00 la damo' repila men- ï 2? Jt u Ar"‘K"an' on sait que le faux jwçe était une fomme, mais il me parait ras'bahut0 V. S !8/'? ,8mm° Se car,hail sous ses habite. Voilfi l'important, car si ma pau mai f? I8 ?val‘ 818 reconnuo, j'aurais eu tout fi redouter ponr elle de la part de Paul Kapiof reprit de son même air j-iyeux ' al™ ., ‘"rement madame Chevalier, pas plus que sa protégée, n'avait pensé 4 ce uni devait te passer, sans celai... Elles avaient cru, les bonnes dames, que les pagei jouis- îî!fi“a ài “ em8i 1°° les officiera, a.ài'u J q“àl* “ “'baient fi leur caserne .a u r ^ u 1 '01 séparées, tandis que, an Oiiraire, H. passent la nnltdans desdor- wirs, reuois au nombre de quatroon de six » i i r . SHa, pa“ Y 8 *!ari01 eIle 81 chasl° 1 comme déchiré A°h f nr 1i,eosa d'ArtaÇ°aa. 1° cœur déchiré. Ah I madame Chevalier, si char mante que vous soyez, je no vous pardonno- rai jamais cette étourderie. — La dame était pudique, mais point bô- gueule, du Kapiof. Prenant son partie de la mésaventure, elle ne souffla mot et se coucha put habillée Mais elle avait co m p K n î rarPmu!?f10 V e,8 J '0?ne8 camarades... je ne î î rSx c ! .r 8 lui J°uôr0nt» mais ce qu’il y a de sûr, c est que, le lendemain matin ia supercherie était dévoilée. * H irÆ rd i? QiX 1 8 é?ria d’Artagnan, les pe- pect? auraient-ils manqué de res- .xxrTs» ? lren qa aacua d ’0UX n’0n 0ûl envie serait les flatter un peu trop, mais d’après SA h Ï ^ a raCOn!6’ ,a . dam0’ q«and e îK vit prhe, désarma les polissoas par sa grâce vertueuse, exempte do pruderie, ils n’avaient, ^lnÏÏfmf-i.qa0 di0v,nô sa qua,itô d0 femme plutôt qu ils ne 1 avaient reconnue, et sa pu deur n'avait rien eu 4 souffrir. P — Voilà do goutils garçons I dit d’Arta gnan qui comraençàit seulement 4 re,uirer 4 son ai o * R ajouts, pour lui soul : »a.Ti0I‘ 1 Mari0,!—1faiQta et douce créature, tout le monde s incline devant ta pureté 1 koT. “Lde 1 av0»mreest on ne peut nius banale, acheva Kapiof. Le gouverneur des pages conduisit la dame 4 l’empereur et it y .“ *2 £“■ ° r 8xp“?Uon l0“'e “ V<t- lelle... sa Majeué comprit qu'elione pou vait garder auprès d'etie un pium de ce 1wd°Me?U nal Pl“ 8al8l,‘,B par_ » Mais qu'avez donc, dA rtaguauf Vous chauceiox, mon «gü, ot vous êtes pfilo comme un mort." est-co mon histoire qui vsuu impressionne fi ce point f te ri lires °X1“,orluné d0 Ma°ha souirraitmill» Ces mots de Kapiof l'épouvantaient • d'ATex“ ; f ls’aul a'a plas 8al8ada ffirieç Tout était t craindre, hélas, si Panl av.» 00 ia jeuno femme l’une des deux jumelles dont le seul nom le mettait en fu- Macha disparue I C'était affreux Le tsar l'avait-il oxiléef Avait-elle ordonné qu’elle fêt m r.,m . dans on convenir ^ cn>enné« D'Artagnan se jura do la retrouver d .e. quelque endroit qu'on l'efit condn?” — Au besoin, so dit-il, je la rérlam»r.t frauchoment fi l’empereur merai com^d^PahiMhavec^qu^étairen con’fé* reiho.sort.lfirecu'oe.?8"',4^ - ,^ : exécutéa à F ^ t a u t m ê l i T d i n r e 3 ,'? T at Dorieff sera arrêta avanTuS q ^ Ï-E™89 », he prince arrêté I pjnïï uq'A rLdnÏSa™ i; Jouicei'al Co0sera“u p e re r o “ae!êtaa,M tS îî j“ > " © ; pi6 ;; îsjssïïs « taor ,o ::^rid ,^i„Tt,lo .Æ £ a r;s s = s (Atthnt; jj il

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• v r r

I f

7 / 8 A n n é e . — N° 9 3 . I« . V I H A V I I K D K

H id a ttn tr «a d u f — A J m m i, i r a l m

ABONNEMENTS

* « < « ! ►S * !» ! .— ................ « f r - H fr.Hz m ou . ................... 6 fr. 8 fr .

/• Troia moia..................... 8 50 4 friE d itio n hebdomadaire : Dem i-tarif.

ON S'ABONNE :

Paraissant le Dimanche et le Jeudi.0 =

J e u d i 2 2 N ovem bre 1 9 0 0 .

'•bonnemont est p.y*blâ iï $ S j ï ? d“ rtH *1

us »0fU jim üm Jm .

d'avance et i’à réception

/ ADRESSE TÉLÉGRAPHIQUE : \ \ JOURNAL-SENLIS J

DE SENLC O U R R IE R DE L ’O ISE TSLÉrîiONE AVEC PAHIS, \

LA FRANCE & L'ETRANGER j

BULLETINS e n t i s , t e S i n o v e m b r e 1 9 0 0 .

P a r 4 1 3 v o ix c o n t r e 1 2 3 , l a C h a m b re a I voté lu n d i m a tin le a a r t ic le s d e la lo i d e > finanoes q u i o p è r e n t l a ré fo rm e d u rô - |,g im e d e s d r o i ts d e su cc essio n ; p u is e lie | • co m m en cé l a d isc u ss io n d u b u d g e t des

é t r a n g è r e s , e n e n te n d a n t M M . | î ' « T ’J u r n i68 eî S m n h a t, a u x q u e ls M . 1 Delcassé a r é p o n d u le le n d e m a in . L ’a p ré s - I midi, a v a n t q u ’on n e r e p r î t l a d iscu ssio n l d i l a ré fo rm e d u ré g im e d es b o isso n s ,

■ . , v e *“ vdt a co m p la isam m en t i n -u terpellô le g o u v e r n e m e n t s u r le s d é c o ra - I F “ ?.n .0,n i ’AMMO d ’» v o ir a c c o rd é e s à■ dos in d iv id u s q u i n e le s m é r i ta ie n t p o in t .

« u ‘ 5a P ^ e n t . A p rè s in te rv e n - t h o n d e M U . O e o ra is , m in iB tre d e s c o io -

aies, M u le ra n d , m in is t r e d u c o m m e rc e ,_ E douard D r u m o n t , F ir m in F a u r e , M ille - Iv o y e , C io v is H u g u e s e t W a ld e o k -R o u s - ■ m u q j y é s i d é n t d u C o n se il, l a C h a m b re ,

Û 0n tre 33» a v o té u n o rd r e J j o u r a p p r o u v a n t le s d é c la ra tio n s d u

■ gouvernem en t, e t q n i co n s id è re co m m e 1 fu n e s le a a c c u s a tio n s ré p a n d u e s . D a n s le Jçpablio, o n t r o u v e r a é t r a n g e , n é a n m o in s , | i M » m in is t r e a in s i fo rm e lle m e n t a c - I oosé d e t ra f ic s d e d é c o ra tio n s n ’a i t p as 1 cru d e v o ir p re n d re à coeur d e s e l a v e r de 1 5 ? w «P «on e n in t e n t a n t u n p ro c è s à ses | diffam ateurs.

O ette m e s u re s’im p o se d ’a u ta n t p lu s £ h ie r m a t in e n c o re , n n d é p u té d’A lg é ­rie, U . F ir m in F a i r e , f a is a it l a d é c la ra ­tion s u iv a n te , p u b lié e d a n s l 'E c h o d e F a r ts •• « S i l e g o u v e rn e m e n t, com m e fe s t so n d e v o ir , s e d é c id e k in te n te r c e t te « b o n ju d i c i a i r e , M . P ap U lau d n ’a u r a

■ (jua m e fa ir e c i t e r co m m e té m o in , e t ,n o n te l le m e n t j a p p o r t e r a i d e s p r e u v e s p r è - ases e t c o n c o r d a n te s , m a is e n c o re j e l u i Mimerai l a p o ss ib il i té d e c i t e r to u s c e u x f il m a la s o n t fo u rn ie s e t q u i o n t p r i s , m -a-v is d e m o i, l ’e n g a g e m e n t é c r i t d e t in ir c o n f ir m e r t o u te s l e s d é c la ra tio n s V» ub m o n t l a i te s . » O n v o it q u e le s a c ­cusateur» d u g o u v e rn e m e n t n e s e t i e n -

n u R E A U XRéduction rt Administration :

9 ut II, place île l’IIfltol-de-Ville, 9 et l tSBNLIS

L e Jo ü h n a i. db S k n u s e s t désigné>>ouf publier dans l'arrondissement lot I.NSEHTIONS JUDICIAIRES.

PRIX DBS INSERTIONSAnjinncos léKale« . . . . 0,20 c. la lûmu.Aiintiiiceg voltiitlitircg. 0,25 _Réclames................... 050 —.Pirits tlivora . j ’fr.Oa n’accepte pas d’insertion au-desgoue

do 1 franc.

Los annonces, réclamos, cto., concernant Paris et los Départements sont reçues direoumoat aux bureaux du journal.

■ „ . _ — . . uo su n o n -| . M“ l P“ P ?n r b a t tu s , e t U s e r a i t b o n d e « d é f in it iv e m e n t a u o la iro e t t e a f fa ire .

H ier, l a d iso u ss io n d u b u d g e t d e s a f­fines é t r a n g è r e s a d o n n é l ie u , fi l a C lam bre, 4 u n d é b a t s u r le s affa ire s de Usine. M . D e lc a ssé , d a n s u n d isc o u rs t r è s spplaudi, a m is e n lu m iè re l a c o n d u ite

■ n leu re u se d e n o s tro u p e s e n E x trê m e - 1 ™ n t e t l e s in i tia tiv e s h e u r e u s e s q u e laI m lom atie f r a n ç a i s e , a g is s a n t to u jo u rs « c o n c e rt a v e o l a d ip lo m a tie r u s s e , a fnsea d e p u is l e co m m e n c e m e n t d e l a né.

I node d e s n é g o c ia tio n s . p

Le p ré s id e n t d e l a R é p u b liq u e a re ç u IMS n o u v e lle s t r è s r a s s u ra n te s s u r l a

■ K ü i !},*«*?' M; â 8 ^ a u v in e u x , n o t r e ■dui-gé d a f fa ire s 4 S a in t-P é te r s b o u r g , a ■ E iÆ ï . * im p é ra tr io e le s v œ u x d u e h e f

| t i ’? m p e ^ ^ Æ “ Ptré‘abU,Mment

J A M a rse iU e , o n e s t t o n t a u x d e r n ie rs■ W paratifa p o u r l a ré o e p tio n d u p ré s id e n t■ gruger. L i l lu s t r e v ie il la rd e s t a t te n d u fi■ tarie v e n d re d i. D es a p p a r te m e n ts o n t é té■ retenus p o u r l u i e t l e s p e rso n n e s q u i IA cco m p ag n e n t à l ’h ô te l S c rib e . C es a p - ■ tsrtem ents c o m p re n n e n t t r e n t e - o i n q

0» o c o u p e n t t o u t l e sec o n d é ta g e ■ M lb ô te l. L ’a p p a r te m e n t p a r t ic u lie r d u ■ m eiden t fo rm e e x a c te m e n t l ’a n g le d e la

e b c r lb e e t d u b o u le v a rd d e s C ap u - “ »s co m p o se d ’u n g ra n d sa lo n ,

■ fan e c h a m b re fi c o u c h e r , e t d ’u n e s e - E î - ~ a m b r e fi c o u o h e r q u i s e r v ir a de ■ u i n e t d e t r a v a i l . L e s é jo u r p ré v u du ■ fraudent K r iig e r fi P a r i s s e r a d 'u n e h u i- | « « s d e jo u r s . T o u te fo is , i l se p o u r r a i t ■ 1*8 le p ré s id e n t r e s tâ t p lu s lo n g tem p s .

E n q u i t ta n t P a r i s , .il s e r e n d r a d ire c te - m e n t e n H o lla n d e .

D a n s le S u d -A fr ic a in , les co m m an d o s, d isp e rsé s u n p eu d e to u s le s c ô té s , c o n ti- Dne“ f ,d e i a i r e a u x A n «la>8 le p lu s d e m al p o ss ib le . D ’a p rè s u n e d ép ê ch e d e P r e to r ia a u M o m in g P o s t , le s B o ers a u r a ie n t o r ­g a n isé p lu s ie u r s c e n tre s d e ré s is ta n c e . N i le s a p p ro v is io n n e m e n ts n i l ’a r g e n t n e l e u r m a n q u e n t. L e g é n é ra l B o th a , d ’a p rè s n n té lé g ra m m e d u D a i l y T é le g r a p h , au ­r a i t o rg a n isé u n n o u v e a u g o u v e rn e m e n t

à r ° U08t d e L i jd e n b u r g ; d é jà , d a i l le u r s , le s A n g la is , e n p o s itio n à S tr a k o n a - H il l, o n t d û d i s p e rs e r u n c e r ­ta in n o m b re d e se s h o m m es q u i fa is a ie n t d u f o u r ra g e a u x e n v iro n s d e L i jd e n b u rg .

INFORMATIONSConseil des ministres.Samedi,lesm lnisires se sont réunis i l'Elysée

sous la présidence de M. Loubet. ’M. Delcassé. minisire des affaires étrangères a

SîirÆ S * " s 00,!è«aM8 «« “Æ Z r ï . îtires aux événements de Chine. a mi? I 9,,di8en* ffne ,e* représentants

8 ^ k i n viennent de transmettre f iJ f iJ^ * « ? VflrneineBto,,a °«rt«iQ nombre d'ar-

. — “ • »» aiutjta. nuusseau, ministre de l intè-d a î J ’l î u n M l i8*011 d.8 / a Pro®baine discussion la loi sur les associations, a communiaué an corne i le te lle « a n i l i f en é lé per u S Ï S S l o ï qui est en complet accord eveo lui. '

ï 1 i a “ M eil * h i t connilire éeele- S n tih '2! 3 .“e<,0,e‘ f Iveriencei de rédeelion eu i- méni appeler leeotuervtU ooi du gonveme-

„ ~ M-CuHIuax, mlDieiredes floenees, aennonoé S S Jlf. 8,“ fié" 11 de voter rapidemenl le

a A , AlgANa, ado qu'il puisse ôlre appliqué dès le 1 " Janvier 1801.

comte de Vauvineux. chancelier de l'smhaaaade r i , . i ' * . 8 Soint.pétcrsbourg. qui remplace I ambassadeur en congé, de prendre chaquo jour,

m u î X t a e “ do°“ -‘ -a- ^ nté d-8 tentent.

Contre un évfiquo.. ûn ° ^ J .Di.8lrede8 cai!es vienl do déférer an Con- d Annecy 001111118 Mgr l80ard* évé(la0

S,?,B • étô Prise * la suite d’une o r- in v ^ f ém . j 1 évô<ï“ e d’Annecy, qui a presorit

de son diocèse de refuser la sépul-fn n S rîfriî* qU® IeS fois ^ Qe COUVOiSîm his oomprendront des bannières et des

M a ïp a r ’ l ' f f i . r ” ™ ' P“ é,é’ “ pri,1 ,bl9 '

Mgr Langénieux en Justice de paix. aiJ i/w Bvo.iJ!,®on.U‘evenu à un arrêté municipal Î S i ï A 18 9’ le» processions danslétendue de la ville de Reims, et s’être rendus œ f J ° T ei lemem u®Ienr8 é»1Isfl3 dans les ci- u £ î ’x .* novembre dernier, jour des Morts. ? „ % P * ? ,enx’.M rdlnal-" o h 0Vêque,et MM. les

n ? m ïe*RCi ,Dîrea » sufsses des paroisses e* Saj,BVJe8n *BaPll8te, Saint-Benolt.

ï t i û ï Saint-Jacques et Sainr-André, nrlsîSé1 ! u r . .,ribu5aI de simple police, S n tin P r ’ uge de p#ix du deuxièmeia ®n,endu las avocats des inoulpés et

aonJogemenTfiX»lnè! i08a d“ paiI * remto

Déjeuner preeldentlel.. i 8 P' t sld.,ntl161* fiépubliqua et B“ Loubet, m a ™ | J ?.r“ ï 8 a,,enl|en dont lia eut prix euxi S jS f îL 1 «“‘Uubave. ont offert lundi un déjeuner I S S ™ 8 couverte aux arli8lea, peinlree, acu pleura, greveura, arcbitectea et mueiotena uuüairee du grand p rix de Borne.

Lea élections de dimanche.

ï a t r Æ ' en rempteoemeot ï e

a üb»Ma?rlce Qnan**o, nauonaUste, a été élu parîiSSutin?? con,re 1,600 au dooteur E . Richard, républicain progressiste.

Æ K r S S & t ï ’a™ ^ k r t t n ^ é p i l f f i n M« a f'0” ï ' ' , i i M

Election législative à Toulon.Une élection législative avait lieu dimanche à

“ " “i11*88”18»' i» fi. ‘IV * ballottage’ entre W l. Grébanval, président du conseil municipal de Paris; Martin, radioal*

çoueottvute; û ire il, radical; Claude) socialiste, et Marguery, républicain.

üne récompense nationale.? , lsÎTu d0 *? «nerre a déposé sur le bu­

reau de la Chambre un projet de loi relatif à la S E i ï S f ï S a Ÿ ^ “ R01180 nationale auxmem-

Io^ daa> l’Afrique centralepar M. Foureau et le commandant Lamy,

l ü n groupe « libéral ».? rW , de« républicains indépendante,

Chambre, a décidé, à l ’unanimité, hbéiïïe n er 08 Ütre poQrPreBdr0 celui d ’aoUon

;t u’organiser unedes idée»

n grenpte 4“ “p r é ï î d l K

La maladie du tsar.. £ élf i d a tear est toujours satisfaisant et lam a- A ' n. . î i “ “f 8 re«Q|ier. Les médecins es- |ôrent, s il ne survient pas de complications, queourser8ar S8ra 8Ur P daa* 11118 fiaiMll*n0 de

Le Président de la République a chargé le

é . s a a T j j é ^ r 1” '

AWhnî^ ? 1 a . s i lé anmônier militaire en Afrique, et. avant d'éire nommé à l’évôché de Marseille, il était évêque de Constantine. Auua-v f f i .*1 m ^ général d u < M de

Encore un déraillement,deDP.Sr î ^ “.eï ï 8,0“ '^^grapbie que l'express ue Paris est arrivé aveo un retard de auatre heures par suite du déraillement du tender oui s est produit près de Saint-Jodard. ’peraoMe! heureusement aucun accident de

Ün drame i i’Exposliion.»„y^ndrxed,i m,atilJ' 0 l’Exposition, une vive dis-

SKel'a’ï l 'i rd ^ ^ a o T f f

elI h’out enauho tiré un coup de re - n»f a iron ie 5ouch,?- L» “ oïl a été Instantanée.lin a trnnvd d ans l’an o d o o poahoe d» c« dnp_

nier une lettre écrite en italien et qui établit qu il avait prémédité son crime.

Tous deux demeuraient aveo d ’autres gardiens 018d0 I* Boétie. Le

blessé, Henri Elis, est âgé de 82 ans. Le m eur- i 5.x ? •PP®h0 Anobio. Son corps a été trans­porté à la Morgue.

L a R ép u b liq u e d e l ’O ise, L a G a ze tte d e l ’Oise.

L 'artic le d an s lequel noue avons posé quelques questions fi la C axclle de l ’O iu , a

Sro d m t dans la p resse rad icale-socialiate du épartem en t l ’effet d 'u n pavé d an s u n e m are

â g renouilles. Ce son t des coassem ents b ro y a n ts e t sans fin ; m ais le p lus curieux, c es t q u e c’est p récisém en t le jo u rn a l auquel n e s ad ressait po in t nos questions qu i fa it le p lus de tapage e t s’offre avec ac h arn e m en t à y répondre. Ajoutes q u ’il les d én a tu re com - ilôtem ent e t q ue , p o u r fa ire d iversion , le

R édacteu r d e la R ép u b liq u e de l'Oise d e ­m ande que nous p rouvions qu ’il a re çu de ia rg e B td e 1 A ng lete rre ou d e l ’A llem agne III C est absolum ent gro tesque.

j Æ . M'i NDm.?,R o u ," ,n calm e 8«8 ard eu rs d e m istra l j q u il cesse su rto u t d e propoaer des ju ry s d h o n n e u r— e t n e se m oque pas plus longtem ps du m o n d e— nous n e nous sommes poiL t occupé de lu i ju s q u ’ic i , comme il essaie d e le fa ire accroire. A u reste , e t p o u r qu ’il n ’y a i t aucune confusion dans l ’e sp rit du lec teur, comme 1 on cherche à en c réer , n ous allons re m e ttre les choses au po in t e t rappeler com m ent elles se son t passées exactem ent :

Le m ardi, 6 novem bre courant, la G axeiti ae l Oise pub liait un filet <ian<s lequel à p’o pos d e la m ise en actions du Pruqrès de l Oise, «Ile ra co n ta it, su iv an t son habitude, des faits absolum ent inexacts d é j l m aintes rots dém entis e t qu ’e lle sav a it parfaitem ent n e tre pas vra is. Nous avons re levé ces faus­setés, e t com m e, toujours su ivan t son habi­tude, la G azette n ’a p o in t c ru devo ir les dé­m en tir, nous lu i avons répondu ce qu i était no tre d ro it en lui rap p elan t que la réo rga­nisation projetée du P rogrès de l’Oise é ta it ae s p ins honorables pour un jo u rn a l e t qu’il ap p a rtien d ra it aux hom m es partagean t les opinions défendues p a r lu i.

D ép lu» , puisque la G azette de l ’Oise se perm etta it d a ttaq u e r nos am is de Compiô- gne su r ce te rra in , nous l’y avons su iv i, et avons dem andé à la G azette qui, e lle , n ’ap­p artie n t à aucun groupe politique e t se ré -

Sand cependant à des m illie rs d ’exem plaires ans le départem ent, qui la faisait v iv re et

qui lu i perm etta it ces prodigalités e t cette p ropagande effrénée.r„ C. éî? itJ * i& st8 r 6P0[lw attaques de la G azette de l Oise.

poudulre l*emeB1’ Dô noU8 a r ’0n r ^“ H ais lâ-deasus in te rv ie n t son com père

«filÇ fil-sociatiate d e le R épub lique d t l'O itt. nn M. N um a B o u ila n , im porté ton! récem ­m en t d an s n o tre d ép artem en t oû il n 'est

“ J f; ‘ e , n i d ’Adam e t d o n t, dans no tre artic le , il n av a it pas plus été question que de la lu n e . Tout de su ite , il fa it tapage e t che rche à a t t ire r l ’a tten tion pub lique de son cô té ; a in s i, d an s les chasses à courre, on voit le vieux dix-cors, chef de hardo couper les pistes du je u n e ce rf poursuivi par la chasse, afin d ’a tt ire r ce lle-ci à sa suite.L ost alors que nous voyons su rg ir toutes ces

' ' 'h s bu rlesques d e consu lter ses i constituer un ju ry d 'honneur,

vu.— , ,» m ise en cause des adm in is tra teu rs d e son jo u rn a l que, p a r p aren th èse , nous ne connaissons pas du tout.

Tou t cela, nous le répétons, es t de la fu­m iste rie doublée d ’une g rossière réclam e. n o u s n e som mes encore jam ais occupé n i de M. H oustan , n i de ses ad m in is tra teu rs ; nous avons m ôm e laissé passer, sans p re n d re la p e in e d y ré p o n d re , des filets agressifs e t in ju rieux e t d e M. R oustan e t du poussah £ é ly , le p ion révoqué, qui lu i ser t d e gè­re n t. s

Nous n ’ayons donc c u r e ju s q n ’4 nouvel o rd re , des in jonctions de M. N um a R oustan M de ses burlesques invectives e t m enaces. Q uand nous jugerons 4 propos de nous occu- J£L Î?s M p u b lia u e de l ’Oise e t de son JJg jJJJJJ» noa8 10 ferons avec n o tre ne tte té

^ R °x e R e de l ’Oise, e lle n ’avait ü î r v j Î H 8Ur D? lre ar lic ,e 01 s ’é ta it b ien

nm 0^non8 i 0Dner 108 é c la irc issem e n t 3?«0i,DHOï 8Ade.m an d lo n 8 el ^ 10 Public a led ro it de réclam er su r ses m oyens d ’existence

?’0 ?m n ’a°Pasgré Mal8 la RéPubli<l u e de é p o u sso r son confrère B ourson , l e q u e / ï e n r/ü à !0??! gu.ôr.e ’ . à n0U8 in te n te r unE f t m n U p ,ed d anmF e t lou l r 0chi- gnan t, M. B ourson a fini p a r répondre 4 ce tte ... inv ite e t déclaré qu ’il va nous in ten - !«r jîîn Proc^8 a,u C M - Notons ici que ju sq u ’4 ce jo u r nous n avons encore eu signe de vie m d u tim ide B ourson , n i du bou illan t Rous-

Mais le com ique de l ’affaire , c’es t que si m . « o u rso n n e se p resse pas — e t pour fiaï ï nr a noJDS ,e° v°y 0r du p ap ie r tim bré, i ’i î n ï ï L î f a ? 0 a,88er éch0PPer l ’occasion d une belle réclam e pour son pe tit com m erce :l W d A,n o m Pha,0m e0l à 1108 questions, qu U tire 4 u n nom bre considérable d ’exem - P ' ^ / . r 3 c jo stem ont 14 ce que nous

’ » G.a *etle ée l Oise se d istribue g ra -

S m p ï l l r t a l " n°mllre ' rtS c0IlsillÉr8Wl)E h b ien I nous dem andons e t nous conti-

n uerons d e dem ander : Avec quel a rgen t et aux frais de q u i? E t, 4 ce propos, puisque î?*r,5 n0U8 °Prre 1,0*am en de sesSi ! S * b ien considéré, nous acceptons, s i c es t su r ses économ ies e t ses ressources personneiles que M. Bourson fa it celte p ro ­p agande et répand son jo u rn a l, nous nous em presserons de le reconnaître .

Mais si, au co n tra ire , M. Bourson a fait cette propos!bon dans l ’esp o ir qu ’e lle ne ! « « « P08 acceptée, e t pour a ttén u e r la juste S P«blic , nous continuerons 4ï ï n . f Bour80n la m ôm e question que n ous lu i avons posée : « D ’ou v ien t l l r -

g o n t? » E t. le p n h 'ic sera it suffisamm ent éd ifié p a r son m utism e...

G. Villavrèdk.

p ira a n c h o d e rn ie r , le P résid en t de la République a offert u n e chasse, à Uam- bou ille t, aux m em bres du bu reau du S énat.

M. F ran c k C hauveau assistait 4 cette chasse, et c ’es t m êm e ce qui l ’a em pêché, 4 son grand re g re t, d e répondre 4 l ’inv ita tion des V étérans de S en lis.

Voécs de MM. leu Députés «le l'Oise.

Séance d u iG novem bre.S cru tin su r l ’add ition d e M. B erteaux e t

p lusieurs de ses collègues 4 l ’o rd re du jo u r de M. Coûtant, à la su ite de la discussion de son in terpe lla tion su r l’acc iden t du ch e­m in d e fer de Choisy-le-R oi, a in s i conçue :

• • r j “ vi' e le gouvernement 4 user de toute son influence m r le Sénat pour obtenir le vote de la proposition de loi du 17 décembre 1897 sur J X - ÿ ouvriers 0t employés de ohe

L a Cham bre des députés a adopté.

N o ' è u . t o V d r ' ' 4111' B a u io a - Ch0p™ . '

T am “rnte ,PG a if ia rd P a r ' “ » ™ 8 «. e-

r “ )in 5“ r I '0 rd l'<> d “ i ° u r Po r e t sim ple, ap rès la discussion d e l ’in terp e lla tio n do M. P ourquory do B oisserin s u r la réouver­tu re des chapelles non au torisées e t la ré o r­ganisation des congrégations dissoutes.

La C ham bre n ’a p as adopté,

lard*” ,014 f m r '' C hevallier e t Bail-

» c b °p ‘-

r J « r ? / n ABar i1,ordro du i ° a r da M. Cha- aînsTconçu™ 6 1Ql0rp0Ba^ ou (l a0 ci-dessus)

La Chambre, comptant sur le gouvernement pour mener rapidement à bonne fln i a T o ï ï i les associations, passe à l’ordre du jour.

La Cham bre a adopté.

No?|nè n , e „ ï r r ; a “ ' BaU'i0 n ' Cll0pi“ 81'

la rd ” ' T01é C 0 M n cll0T allier 01 B ail-

P rem ière adancfl d u lu n d i 19 novem bre.®c™ ln "ul. p rise en considération de

am endem ent de M. A lbert Pou la in , au pro- je t de lot p o rtan t fixation du budget del'exer- cice 4 90i ( l té g im e d e s successions).

P our l 'a d o p t io n . . . . t i iCoQtre......................... 274

La Cham bre n ’a p as adopté.O nt voté p o u r : MM. B audon e t R endu. O nt voté contre : MM. Chopinet et Noël.

l ie r , G aiflàrtf. “ “ ' ° ' 0 : MM' c h 8 îa l -

i ' .» D îo 1 !tlr, i? re n ?o i 4 Ia com m ission de ^am ondem qrit d e M. L auren t-Itougôre , an irojet d e loi p o rtan t fixation du budget de exercice <901 (R égim e des successions).

P o u r l ’a d o p t io n . . . , 327C o n t r e . . , , , ............. jp g

L a C ham bre a adopté .

H0è K e n r r ; Chopl" 8t'

la rd” ' 1,0,0 Can‘r" ’’ M“ ’ ch6T alli8r a t B ail-

teiSj r nlln ,n r ^ensem ble des artic le s d e la lio n s ces re la tlf a u ré* lm a de» succès-

P o u r l ’a d o p t io n . . , . 401C on tre . . . , , , <<3

La C ham bre a adopté.

N o è » d u t t r ; , , M ' Daui<ln- Ch8pi“ 8' .

la rd " 1 ,014 COn‘n ' C h 0 ,a llie r « ' B ail-

P o u r l ’a d o p tio n .. . . 7C ontre.......................... 37g

L a C ham bre n ’a pas adopté .

No“ u t ï U ^ r , r é ;M M ' “ aUd0n- C hop in f‘-

lie‘r e t“i ï , Î K . S Par‘ aUV0t6 1 Ch8’ al-

• S cru tin s u r l ’o rd re du jo u r de M. G . R ivet (In te rp ella tio n re la tiv e à des décorations).

P o u r l ’a d o p t io n . . . . 36gC o n t r e . . . ................... 33

L a C ham bre a adopté .

N06|nè u C r r ;M M ' Daa(l0n' Ch0pln81-

lie?e°.niaPm Æ > P a r U ' ,Y 0 l< i:M M - Ch8’ a | -

HOS»Srav “ i?o r. 1/«rlxic.t0i<*r dQ co n tre -p ro je t de M. V aillan t (R égim e des boissons).R ésu lta t d u point8ge :

P o u r l ’ad op tion . . . . 250C ontre.......................... 24 »

La C ham bre a adopté.

N o » r ; UM-chaTaiii,r-Gaiiiard-, . “ “ ' n ;‘u J ° a ol Chopinet, m om entaném ent absents de la salle des séances, d éc lare n t qu ils a u ra ie n t voté p o u r

S crutin s u r le renvo i fi la com m ission du

S s ro n sr) Jal <l6 V a iüam (R égim e dea

P o u r l ’a d o p tio n .. . . a i 3C o n tre...................... 287

La C ham bre n ’a pas adopté ,

N„8iat ?0tÔ P0Ur 1MU' CLa?alll8r , Balllard,

e t R en d u !4 °on,r> '' MU' BaniI»“ - Chopinet

D euxièm e séance.

L ' A s s i s t a n c e m é d i c a l e g ^ * a t u i t e sL undi, 4 deux heures, a eu lieu , 4 la P ré -

fecture, sous la présidence d e M. R eguau lt, l i f j Ÿ u 1 î u Con8eil de pré fec tu re , a s - î l ï î . 1 » M* B.rousse» in sp ecteu r d ép a rte - m ental du service des EofauU assistés, e t B on, chef de division, l ’élection p o u r le choix de tro is docteurs e t d e deux p h arm a­ciens appelés 4 fa ire p a rtie du Comité d é - 3 J — ta! d e l ’A ssistance m édicale g ra -

Voici les ré su lta ts ob tenus :

Médecins.V otants, <40. — M ajorité absolue, 56.

O nt été élus :D 'Ja c q u o t, de Creil, <03 voix.D* C hevallier, de Compiôgne, <02 voix.Dr Demmler,deSi-Leu-d Esseront, <00 t .

P harm aciens.V otants, 99. — M ajorité absolue, 50,

O nt été élus :MM. B au d ran , de B eauvais, 83 voix.

R ecourat, de B eauvais, 78 voix.M. F rançois, do B eauvais, <7 voix.D ivers, << voix.

SENLISFéte de la 1056° Section

des Vétérans des Armées de te rre e t de mer.

R em iso du D r sp a su s t In au gu ration du M on u m an t

La jo u rn ée d e d im anche d e rn ie r co m p te r , i i r » 18» <le Senlis parm i le . p l u

rem itô rf a p ém ouvantes : 1, h llrlî l'8a? 4 la <0S6-section des

V étérans des A rm ées d e T e rre e t d e M er » été 1 occasion d u n e de ces superbes m an ifes-S î i n ï p f loi 1.^a08 doDt n o tre v ieille cité a donné p lus d un exem ple a u cours d e s a longue e t g lorieuse h isto ire.« i n i i . 1® ™atin ».108 principa les rues d e la v ille é ta ie n t pavoisées, tand is qu ’au tra v e rs de la p lace de la H a lle e t de la ru e d e l ’Ap-»Pnn^au"F a ,n ’. 0tc l d0sbaD deroIl0s w d é v i ­ance D P° desinscrip tions de clrcons^

F E U IL L E T O N

LE DRAMEDU

iflPAUlS iÛUGErts

* • S I H V B M * A . 8 1 É G E L

a v e n tu re d e Nancy p rouvait lit ; “ [ 'S tab le , aussi Ifiche q u e féroce,

■ ta te . î • . iuu tes les déloyautés, d eI S t r i . 1 In.h>mtes. E t c 'é ta it con tre u n e 1 * 2 K , b leJ't '18 Z a8k» 81 N 'k ü a se d is -

Is^ t i . - *eDr ch e r se igneur, dea r i - rce e t g e l0I‘t le u r conrage.

■ hite j î n lr t0 <,an’ la oapilale d e 1 em pire S fiar i . n 81 R im iir is e sép arèren t ■Ui. d re d an s leu rs dom iciles respec-

t e ^ 8 " 01? *u l1 , f i '* " 1101110 abose, de I w i l èrh.6„,a n ‘ 18 ,,a ,,' 8111 ,a ,,a i l P0» 1, « 1° ■tontra n ï . .81" 8? 1 r “ ainm e d e voyage I l i h ï ï J ." 8 ' ° la * convenable.

* H*1»0 0 1° devine, était I .

plus pressé de fra n c h ir la p o rte du P a la is - Rouge, é ta it d 'A rtagnan .

N é ta it-c e pas d an s ce p ala is que , g râce 4 i insp iration de la bonne m adam e Cheva­lier, M acha s ’é ta it réfugiée, travestie en page e t sous le nom d ’Alexis ? 8

I l a lla it donc la rev o ir , sa chère M arie 1 „ni erï w’ dé«ni80n»«nl sous lequel e lle se cachait, e t le m ystère d o n t ils é ta ie n t encore obligés d en to u re r leu rs am ours, les em pê­ch e ra ie n t de se liv re r & le u r jo ie.

Mais ils se re v e rra ie n t e t , si ce n ’é ta it d u le p lus doux, c’é ta it le p re m ie r des p laisirs que se prom ettait d ’A rtagnan .

J ° n o 0 ôtoile v o u lu t que K apiof fût p récisém en t de serv ice ce iour-14.

L aide d e cam p l ’accue illit avec u n e satis­faction s in cère e t , au ssi, aveo les m arques d une profonde su rp rise .-miTfi « qa(? 1 m on c b e r d ’A rtagnan , s’é- v o u s ï 6,1 *erraQ t la m ain . C’est déj4

Que signifie ce déjà T dem anda le Gas­con.

— J e croyais qoe vous deviez re s te r absen t p lusieurs sem aines. L’em p e reu r n e vous a t-il pas au to risé 4 vous reposer quelque lemDS chez vo tre am i, le p rince D orieff ?

— J 'a i b ien reçu d e S a M ajesté ce tte g ra ­cieuse au to risa tio n , m ais j e n ’ai pas cru devoir e n profiter, c a r pour b ien se reposer, i l fau t ê tre fatigué, e t je ne l ’é ta is po in t. D’a illeu rs le prince av a it h â te d e re p a ra ître 4 S a in t- F étersbourg , e t nous y som m es rev en u s e n ­sem ble.

l . v T u M Æ . D„0S S M ,iC ,l ,1 ,K a p i# ff8 n— O ui. Q u’y t- te il d e su rp re n a n t à cela r

I ~ B ° e n r p r e n .n t t R ie n , H e is j 'a i idée I qnit t u r e l t mieux tut du r o u e r oft t| était.

a n ’i r .* i ‘. l î ? .1 î a? rm o ra d 'A rtagnan , Il p a ra it absence f ««raveau p en d a n t mon

— H élas !— E t p eu t-o n savoir T

m Kapiof baissa la voix, e t m ystôrieuse-

« . r i ^ 0881!110 d e Pa r le r ici d e ces choses, m on c h e r am i, ca r depuis quelque tem ps, il y a des espions p a rto u t dans le pala is, e t l ’on n a pas p lus tô t prononcé u n m ot q u ’il est déj4 rapporté e n h a u t lieu . Mais vous n e

™ jePu?de°”Œ Æ 8Pmair iUg8rpar.u T ..?0? * Voa8 m e d irez t0Qt w l» p lu s ta rd e t a illeu rs , m on c h e r Kapiof. P o u r le m o-

— L aq u e lle?* a d r088Oral(ia 'u n e question.

o ~ U a nouveau page n ’a - t- i l p as é té adm is d é p a rt? em p0r0ar le i o a r m êm e d e m on

— Le page Alexis ?— Celoi-14 m êm e.— S i, m on am i.— I l e s t tou jours en fonctions, j e pense ?

, L u i, en fouclions ? m ais vous n e savez donc p a s ? d it K apiof en so u ria n td ’une façon singulière. v

~ J 0 n ®8a*8 rio n d u tou t, puisque j ’a rriv e seu lem ent e t vous m e re n d rez uu v éritab le service en m info rm an t d e ce qu i es t a rriv é

d 'm quiém deT ™ ’ m d 'Arla|!,la” ’ tremblant Kapiof p a rû t d 'a u g ra n d éc la t d e r ire ,

a » - “ l en“ 8 hom m e 1... A lex is!... D rdle do jeu n e hom m e on v é r l té . . . l l fau t qaevoua revenioa d u fond d e la C ourlanda p o n r igno-

î ' f n S t a f c . l f û S ,a cour , ,oa lreliont.L inquiétude de d A rtaguan se transform a

O D uno«ogoj»i« po igoante, Les paro les do

1 aide de camp n ’éta ien t que tro p significa-r lrn n n n 113 le8fbab*ls d a Paff0 A lex is,on avait reconnu une fem m e déguisée.

K apiof poursu iv it, trè s am usé : F igurez-vous, d ’A rtagnan , que le page

d» n»?11,0ut s im plem ent u n e am iedo m adam e C hevalier qne celle-ci avait p la­cée auprès d e S a M ajesté. D ans quel b n t f

a n e la fjivnrin. 0^1!8108 U p,UJ “ u ra n te es t qne la favorite, ja lonse , ten a it fi ê tre re n se i­g née su r les faite e t gestes d e l'em p ereu r... i? a«n f a lrop, d il 01 i ° hois m 'a rré te r , ca r si q u o lq u u n m a en te n d n , j ’en au ra i au m oins pour h u it jo u r , d 'a r ré ts .. . Ah bah I rr.ÇfiLm od 80 8“ 18. je n e risq u e p lus rien I D a illeu rs , t | n e s ag it pas d 'n n sec ret d ’Ktai, e u av e n tu re es t trop cu rieuse p o u r e u e ie re ta rd e le p la is ir d e vous la ra co n te r . 1 . ’ " a^ ? 8 . Ch8 ' a |ie r , en in tro d u isan t ici, 5 ° 5 “ al,ilè page, la dem oiselle on là dam e, n av a it pas songé fi u n e ch o se ...

rA81.'8118 00 la dam o ' re p ila m en- ï 2 ? J t u A r" ‘K"a n ' on sa it que le faux jwçe é ta it une fomme, m ais il m e para it

ra s 'b ah u t0 V. S ! 8/'? ,8m m ° Se car,hail sous ses habite. Voilfi l'im portan t, c a r si m a pau­m a i f ? I8 ? val‘ 818 reconnuo, j 'a u ra is eu tout fi red o u te r ponr e lle de la p a r t de Paul

K apiof re p rit de son m êm e a ir j-iyeux ' a l ™ . , ‘" re m e n t m adam e C hevalier, pas p lus que sa protégée, n 'av a it pensé 4 ce uni devait t e passer, sans c e la i . . . E lles ava ien t cru , les bonnes dam es, que les page i jou is-îî!fi“a ài “ em8i 1°° les officiera,a .à i 'u J q“ àl* “ “ 'baien t fi leur caserne . a u r ^ u 1'01 séparées, tandis que, an Oiiraire, H. passent la nn ltd an s desdor-

w irs, reuois au nombre de quatroon de six

» i i r . SHa, pa“ Y 8 *!a r i0 1 eIle 81 chasl° 1 commed é c h ir é A°h f n r 1 i ,e o s a d 'A r ta Ç °a a . 1° c œ u rd éch iré . Ah I m adam e C hevalier, si ch a r­m an te que vous soyez, j e no vous pardonno- ra i jam ais cette étou rderie .

— La dam e é ta it pudique, m ais po in t bô- gueu le , d u Kapiof. P re n a n t son p a r tie de la m ésaven tu re, elle n e souffla m ot e t se coucha put hab illée Mais e lle av a it c o m p K n î

rarP m u!?f10 V e,8 J'0? ne8 cam arades... je ne î î rSx c ! .r 8 lu i J ° uôr0nt» m ais ce qu ’il y a de sû r , c es t que, le lendem ain m atin ia supercherie é ta it dévoilée. *H i r Æ rd i? QiX 1 8 é?r ia d ’A rtagnan , les pe- p ec t? au ra ien t-ils m anqué d e re s -

.xxrTs» ? lren q a aa cu a d ’0UX n ’0n 0û l envie sera it les flatter un peu tro p , m ais d ’après

S A h Ï ^ a raCOn!6’ ,a .dam 0’ q« a nd e î K v it p rh e , désa rm a les polissoas p a r sa grâce vertueuse, exem pte do p ru d e rie , i ls n ’ava ien t,

^ ln ÏÏfm f-i.qa0 di0v,nô sa qua,itô d0 femm e plu tô t qu ils n e 1 avaien t reconnue, e t sa pu­d eu r n 'av a it rien eu 4 souffrir. P

— Voilà do goutils garçons I d it d ’A rta­gnan qui com raençàit seu lem ent 4 r e ,u ire r 4 son ai o *

R ajo u ts , pour lu i soul :»a.T i0 I ‘ 1 M ari0,!— 1f a iQta e t douce c réa tu re , tout le m onde s in c lin e d ev a n t ta p u re té 1 k o T . “Lde 1 av0» m re e s t on n e peut nius banale, acheva Kapiof. Le g ouverneur des pages conduisit la dam e 4 l ’em p e reu r e t it y

,£ .“ *2 £“■ ° r 8xp“? Uon l0“'e “ V<t-le l le .. . s a M ajeué com prit q u 'e l io n e pou­v ait g a rd e r auprès d 'e tie un pium d e ce

1w d °M e ? U n a l P l“ 8al8 l,‘,B par_ » Mais qu'avez donc, d A r ta g u a u f Vous

chauceiox, m on «gü , o t vous ê tes pfilo comme

un m ort." est-co mon histoire qui vsuu impressionne fi ce point fte r i lires ° X 1“ ,orluné d0 Ma°ha souirraitmill»

Ces mots de Kapiof l'épouvantaient •

d'ATex“ ; f ls’ aul a 'a plas 8al8ada ffirieç Tout était t craindre, hélas, si Panl a v .»

00 ia jeuno femme l’une des deux jumelles dont le seul nom le mettait en fu-

Macha disparue I C'était affreux Le tsar l'avait-il oxiléefAvait-elle ordonné qu’elle fê t m r . ,m.

dans on convenir ^ cn>enné«D'Artagnan se ju ra do la retrouver d . e .

quelque endroit qu'on l'efit condn?”— Au besoin, so dit-il, je la rérlam »r.t

frauchoment fi l’empereur merai

c o m ^ d ^ P a h iM h a v e c^ q u ^ é ta ire n con’fé*re ih o .so r t .l f i re c u 'o e .? 8" ' , 4^ - , ^ :

exécutéa à F ^ t a u t m ê l iT d i n r e 3,'? T a t Dorieff sera arrêta avanTuS q ^ Ï-E ™ 89

», he prince arrêté I p jn ï ï uq'A rL dnÏS a ™i;

Jouicei'al Co0sera“u p e r e r o “ae !êtaa,M tS îî

j “ > " © ; pi6; ; î s j s s ï ï s «

taor,o:: rid,^i„Tt,lo.Æ £

a r ; s s = s( A t t h n t ;

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A neuf heure* avait lieu , à la cathédrale, la m esse annue lle de la Croix-Ilouge; une foule nom breuse y assistait, dans laquelle nous avons rem arqué : le colonel d ’ilom bres e t la p lu p art des officiera du 2* hussards, le m a ire d e Sentis et p lusieurs conseillers m u­nicipaux ; Mme M artin, présidente du Comité d e Sentis des Dames de la Croix-Rouge, Mme de W aru, vice-présidente, o t la p lupart des m em bres du Comité ; M. D epaule, p ré ­s iden t de la 4050* Section e t les m em bres du B ureau ; en lin , un ce rtain nom bre d e fonc­tionnaires et toutes les notabilités d e Senlis e t des environs.

A m idi e t dem i, la Société m usica le e t la Compagnie des sapeurs-pom piers, fanfare en tête, se groupaien t su r la place ne la Mairie,

So u r escorter la m unicipalité et le Bureau e la 4056° section ju sq u ’à la gare , où ils

devaien t a lle r recevoir le délégué du Bureau ceulral des V étérans, chargé de p résid e r la cérém onie, M. 0 . Lovecq, p résiden t général honora ire de la Société nationale de re tra ite des V étérans.

S u r le tapis vert, en face la gare , avait été d ressée l ’estrade des fêtes toute pavoisée. M. Boucomont, sous-préfet de Sen tis, y p rend place, en touré de M. le com m andant M erlin, rep résen tan t le M inistre de la G uerre, de MM. les P résidents du T ribunal civil e t du Tribunal de Commerce, de M. le P ro cu reu r de la République, de M. le colo­nel d ’U om bres, de M. PA rchiprôtre de la C athédrale, de tout le Conseil m unicipal, des fonctionnaires e t des inv ités, tand is que M. D epaule e t le m aire de Senlis se ren d en t su r le qnai pour atten d re l ’a rrivée du tra in .

S ur la place, éta ien t rangés les pom piers en grande tenue, avec leu rs ofllciers e t leu rm usique, de môme la Société d ’Education m ilita ire 1M ea nf-G ardc e t la Société de gym­nastique le R éveil, toutes deux avec leurs clairons. On rem arq u a it égalem ent la dé lé­gation de la section de Vétérans de Creil, conduite p a r le com m andant Cazier, ainsi

3ue celle de M ontataire, chacune ay a n t son rapeau . T out au to u r un e foule nom breuse

e t em pressée.A une h eu re e t q u art le tra in a rriv e , et

peu après para it su r la place le capitaine Levecq, accompagné de MM. D epaule e t de W aru , e t suivi du Dr Chopinet, a rriv é par le môme tra in . r

Aussitôt la Marseillaise éclate e t chacun se découvre.

Après les p résentations, on en tend réson­n e r 1 a ir en tra în an t du sa lu t au drapeau tandis que le capitaine B erthelo t va re n d re les honneurs au d rapeau d e la 4056* Section, confié provisoirem ent au sergen t-m ajo r des pom piers en tou ré d ’une garde. P uis l ’em - blêm e patrio tique est porté ju sq u ’à l ’estrade, où M. Levecq le p re n d à la m ain e t p ro­nonce le discours su ivan t :

Discours de M. 0 . Levecq,P résident général honoraire de la Société

des Vétérans des armées de terre et de m er. Monsieur le Sous-Préfot,Monsieur le Maire,Monsieur le Député,Mon Commandant,

Jo suis heureux, je suis fier devons apporter le salut respectueux de nos Vétérans de France et l’expression de leur profonde gratitude M ur

I hanta hinntraillnn.. __»

en ce culte qui nous est commun : l’Amour de la Patrie i

Honneur à l’Armée t Vive la France ! .Vive la République !

Le discours de M. D epaule, prononcé avec feu e t ém otion, e s t aussi v ivem ent applaudi.

Le cortège se reform e ensu ite , et, m usique e n tôle, se rend à trav e rs les rues de la ville ju sq u ’au cim etière, où va avo ir lieu l ’in au ­gura tion du m onum ent élevé à la m ém oire des enfants d u can ton de S en lis m orts à l'ennem i en 4870-74.

Les m em bres d e là 4056* Section p re n n en t place en face du sarcophage, le d rapeau eu av a n t porté p a r M. lio rto ; tandis que les drapeaux de Creil e t de M ontataire so p la­cen t & dro ite e t à gauche. La foule, toujours considérab le , se groupe en un im m ense cercle laissan t au m ilieu un large espace vide.

Le clergé s'avanco alo rs e t procède & la bénédiction, qu i se term ine p a r un De p ro - fu n d is à la mem oiro des chers défunts ofcjets de la m anifestation de ce jo u r .

P u is M. D epaule, se p laçant d ev a n t le m onum ent, prononce le discours su ivan t :

Discours de M. Depaule.Mesdames, Messieurs,

Il y a aujourd’hui trots mois, pris au cœur par une môme penséo initiale, étreints par le môme sentiment du devoir, nous décidâmes la formation de la Section des Vétérans des Armées de terre et de mer.

Nous étions h peine cinquante. A quoi tient qu aujourd’hui une si nombreuso afllaence se trouve au rendez-vous autour de ce monument ?

C’est qu’il existe des manifestations qui reten­tissent davantage en nous, surtout lorsqu’il s’agit de manifester te culte du souvenir.

En constatant que l’espace ne safilC point & contenir la foute rangée auprès do ce monument, nous sommes heureux de vous voir aussi nom­breux, vous, tes volontaires de cette veillée su­prême.

Car ceux qui aiment ta Patrie ne se oomptent pas. et ceux qui voudront la défendre ne se compteront plus. Aussi, suis-je heureux d’afflrmer ce sentiment patriotique et de remeroier tous les souscripteurs d ’avoir voulu nous aider à maté­rialiser dans la pierre la reconnaissance à ceux

3pi sont tombés au champ d’honneur pour la éfense du pays.Si nous avons su émettre l ’idée de la souscrip­

tion, vous mômos, Messieurs, vous ôtes chargé! de l’accomplir. 8

Le caracière de cette manifestation d ’aujonr- d hui permet à tous les hommes épris des sen­timents du devoir et du dévouement de se ren­contrer sans heurt, sans entente préalable, en ce culte commun à tout ce qui rend meilleurs et plus dignes, a tout co qui est l’esprit de droiture : o religion du patriotisme.

Nous qui admirons ce monument, nous nous sentons à la fois contrits en pensant à ceux que nous glorifions aujourd’hui et restons charmés par la réussite si rapide de notre œuvre, qui est plus encore la vôtre.

Le titre d’enfants tombés morteltoment au ser­vice de la Patrie, suffit à justifier notre présence autour de ce monument, comme il explique le monument môme.

Mesdames. Messieurs, quand nous nous serons égrenés sur la route, chacun de notre côté, l’im­pression de cette cérémonie patriotique subsistera

les témoignages de hante' bïênvëülânco’ qu’en ce jour vous leur prodiguez.

J ’éprouve à la fois une profonde émotion et Un légitime orgueil d’ôtre appelé à l’insigne honneur de vernr en votre laborieuse et patriotique ville de Senlis, en présence de M. le Sous-Préfet repré­sentant officiellement le gouvernement de la Ré­publique Françaiso, do M. lo commandant Merlin, représentant M. le Ministre de la guerre et noire admirable armée, de M. le Député, de M. le Maire de la ville de Senlis, en présence do ce concours immense d une population enthousiaste, recevoir le drapeau des Vétérans de notre belle et vail­lante section do Senlis, qui, sous ses plis, grou­pera dans un mômo sentiment d ’union nationale et d absolu dévouoment à la Patrie, tous les bons Français sans distinction d ’opinions politiaues ou religieuses. H

Co drapeau, sublime emblème de la Patrie frère dos drapeaux de l ’Armée, comme eux fils et continuateur dos glorieux Drapeaux qui con­duisirent nos pères victorieux, à Valmy, à Aus- terlilz, à Iéna ; qui maintes fois firent le tour du

Et nous no pourrons plu» lard passer devant ce monument sans savoir qu'il s'agit d'humbles enrants tombés an service de la Patrie, et quo ç est pour cela que l’on a sculpté cette pierre érigé ce monument. n o ,

Il était donc utile qu'on Io fil et qu'on le fit surtout pour rappelor à la France do demain nue tes noms qui seront gravés dans cette pierre seront ceux des enfanta du canton de Senlis tombés au champ d ’honneur en défendant le sol de la Patrie envahie en 1870-1871.

Honneur aux Enfants du canton do Senlis t Vive la Frenoe l

Ce discours est très applaudi.M. de W aru p a rle à son tour :

D iscours de M. de W aru , m a ire de Sen lis.Mesdames, Messieurs,

?a ld2r2i8_d6_ ï î en ?j?ul®r aux paroles

s i s

d?J n l m . f*nU morl* poar '* P * lr i au champ

par* 1'?PP°8iUon d® nos tempéraments celle de nos éduoat'ons, nous appartenions à le ou tel courant de notre histoire, celte môme his­toire est U pour le dire, aux Jours tragioues où la Patrie est en danger, il q y a plus narml ses enfants dec-x façons différentes de l’aimer et oest alors dans las élans d ’un môme amour aue nous répétons le chaut girondin : q

Mourir pour la Patrie,G est le sort lo plus beau, le plus digne d’envie.Aussi, ce ne sont pas des larmes au’aurès

bientôt trente années d ’expiation et de l é nova- ion, nous venons épancher su r la tombe do nés

héros martyrs de nos erreurs, mais bien plutôt des paroles d ardente gratitude pour ceux qui,Ï S S i i88 Perdaes* °M» du moins, sauvé la plus précieuse de toutes, l ’honneur dû Pays, cet honneur qui, conservé intact, ranime les eourages' et refait une âme à la Patrie.

0 vous, dont les noms sont gfâÿés sBr celte colonne, et dont l’auréole fait désormais partie de hotre patrimoine de gloire, quand vous ôtes tom­bés sur les ohamp» de bataille, de quelles amères pensées n_ avez-vous pas été étreints ? Car alors le fatal dilemme : « Etre ou n ’Ôtre pas » se dres­sait pour la France en face de voire agonie. Mais non, dignes fhs de la Patrie, la foi en votre mère, en ses glorieuses, en ses immortelles destinées vous a épargné cos affres du doute, la suprôme amertume de la désespérance. Oa dit que sou­vent les derniers instants de h vie comportent une sorte de vision prophétique de l’avenir- puissiez-vous dono, chers héros et martyrs, puissiez-vous, au moment de votre départ pour la rive inoonnuo, avoir pressenti ét prévu le fier et glorieux spectacle que la France donne au- jourd hui au Mondn, celui d ’une nation renais­sant encore une fois de ses cendres, et sortant de son tombeau plus puissante et plus prestigieuse que jamais I Après le m artyre, après la cou­ronne d épines, la résurrection glorieuse I

Et ce n’est ni à des contingences, n i à des cir- circonstances particulières qu’il faut attribuer celte renaissance si déooncertante pour oui ne nous a pas étudiés dans les profondeurs de notre histoire.

Nous la devons au génie particulier de notre vieille race gauloise, à ce génie fait de clarté et Ï J ! Ï Ï L * ? M. qiii P0™ * J'oar les utopies et se garde de toutes les névroses. Entre deux idéals opposés, celui du passé et celui de l ’avenir, notre politique a pu osciller: la vérité et l’erreur, le bien et le mal ont tour à tour trouvé'leur compte dans ces déplorables indécisions, fruits amers d un reste d obscurantisme et d’ignorance : mais nous pouvons nous rendre à nous-mômes cette justice, c’est que le prim o vivere, c’est-à-dire le

==£=

grands aïeux, jalousement vous avez conservé entières et intactis l’héréditaire bravoure, la légendaire et in domptable fierté de race, au-d «sus de tout, vous avez élevé es sentiment si pnissaut : 1 amour de la Patrie, cette vertu sublime qui comporte intégralement l’esprit de mutuelle soli­darité d abnégation de sacrifice, pieusement vousnrali/lllAV la an lla A . . ----- ----- :_ r t , u _____ . ....

L a C r o ix R o u g e .L e banquet es t présidé p a r M. Levecq, |

ayan t en face de lu i M. D epaule, p ré sid e n t . .de la Section. A utour d ’eux : le pré sid e n t ï u ^ e s V étérans d e te rre e t d e m . . T rib u n a l, le procureu r d e la R épublique, 8 “ rd * S en lis la 4056* Section ! î l0int M. D upuis, vice-président d u Conseil gén é ra l, oiétd. m ilieu des symimthiA« ,.iear le m a ire d e Sen lis, ses ad jo in ts e t les conse il- | d ® tool® la population . Les prou™* i

pratiquez le culte du souvenir, fidèlement aux le rs m unicipaux, les présidents dos Sections 0Dt été données p a r les b ea n î^ü f64 5ijdes sanglants et glo- | d e Creil e t de M ontataire, les officiers d e 0Dl « t a é sa naissance. n a r r îm

sous-chef d e la t0Q8 1®* h ab itan ts de S en lis e t Ha. a®11*?1 n n t n n r d n _ . . . U6S en v lr

imuurs ues anniversaires des sanglants et glo- I d e Creil e t de M ontataire, v«?rU.x (?) a , e 008 rad08 compagnes de 1870- pom piers, le p résident e t le

S o c S u m u lc a b . les p résidents e l le s d i re c t I au to u r du ronndm e'n't"q"ï'ïû o o ï V ” ! ' g a ra tio n d ece mausolée, vous venez apporter ï i î A v^ n t ' Gari^ 6t du R éveil, e tc ., etc . “ émo re des soldats m orts poor la p if , votre tribut de glorification à la mémoire de ceux A u d®88®**»'le m aire de S en lis se lève e t I M- D epaule. son nrüiM an . qui, en défendant lea^droits méconnus et violés, | Prononc® 1®« paro les su ivantes :

Toast de M. de W a ru .

Messieurs,I . Ea terminant cette journée qui nous lalssora I b a n i n M i V • <\ ^ ®n VOnln.

A vos mémoires, morts glorieux dont le trépas de. 81 réconfortants souvenirs, il me reste â rem - aH «à prospéritéfut la rançon de notre honneur national, ils ap- I P",r un devoir dont je veux m’acquitter avant de I V * a 8Di,n» M. Depaule «t uportent eux aussi, non nn tribut «!« vain** I quitter cette table. , I. W aru av e c les présiden tes, on t h u i *

Je tiens tout d ’abord à dire à M. le capitaine Qaôt®r ®n sa faveur. 0168Levecq combien la ville de Senlis s’est sentie honorée de sa visite, combien cbacua y a été heureux de le voir présider les patriotiques céré­monies au cours desquelles il nous a été donné d entendre sa chaleureuse et patriotique psrole.

Il me permettra de lui en exprimer notre corn-n n a rrratifiula a n l . n . . . . 1.1 T— _____

ot le sol envahi de ia Patrie, ont oonquis la gloire et reçut la mort. Les Vétérans, leurs frères d armes, vous adressent leur respectueux salut, l’oxpression de leur sympathie ardemment fran­çaises.

portent eux aussi, non un tribut de vaines et stériles larmes, mais leur tribut de fraternelle glorification, ils y joignent le salut le plus oher à vos cœurs de soldats, le salut de votre drapeau, le salut de nos couleurs nationales toujours itères et glorieuses malgré leur deuil temporaire, que vous avez si ardemment aimées, que vous avez fidèlement servies, pour la défense et la gloireHnannollas rltnlmnani va.,a n _ :_

m orts p o u , u .M. D epaule, son p résiden t a v « . ï

exquis, a b ie n voulu associer 4 , ™ “ u n e a u tre œ uvre qu i e lle aussi enn? soldats d e ton te sa sollicifnde, la s Ï Ï B secours aux blessés. I . Croix r & . é!

I Ë ! “ i ,c2 ! “ ï . « f c dJ ? i . .a A

l a m eilleu re m an ière d e r e m a r /a . . .F»'’Ï Ï T T , 000" 81 U”u ' “o s e t « n ije m atin , à l a m esse d ite spécial,

e t le « o /r au c.1. . . ouui i . uuiuusb ui ia gtotre | — t™ ...* .... . . nn ou e .u ru u er notre com- | d ire en Iieer

desquelles résolument vous avez saorifle vos I ? une «Totttudo en levant Ici mon verre en son I . 9 a a , a Croix Rouge a fait existences. honneur, et j'ajouterai, eerlain par 14 de ré - 9 “ elle T8nl M ro . 8 " «

Vaillamment ils avaient rempilions leurs de- P°adre è ses sentiments, en l'honneur de la non- I Ca Société d e Secours aux n t . . .avoire, ces grands fila de Franee, nos frères Ï8U? Section de Vétérans dont il a bien voulu taire», la Croix Rouge e o m m o T . 1dorm es, dont vous venez honorer la mémoire, ™ ’ï consacrer la création parmi nous Je n’ai Sociétés fondées d an s l e r n é m . ! ï* *'sans plainte Ils avalent supporté les rudes faU- P»* l«soio de l’assnrer que les sympathies de la ob jet de seco u rir les b le s a é a .i t ’ *gues.subt Jes longue» privations; sans orainte, *jonldpallté sont dès à présent acquises i l'œuvre des arm ées d e te rre « t d i ™ es “ tsans défaillance, stoiqnement, maintes fois ils 81 heureusement entreprise par notre honorable „ a r ™ . . . 88 m or. ot deavaient, impassible», affronté la m orl, avant concitoyen u . Depaule, et eaux dont le dévoué F , l r e ? x Æ . n t 8,9„?l.d e *»» Mpilattx

--------------- 1 “ "cours t'a aidé l i a mener à bien. Il n 'en sau- S i ^ „ i S ï s l ^ ,E la ti 9 td se trouvent--ralt d ailleurs être antrement, car, si la Société | P lè lem en tin su fflsan u e n eus de guerre.

88 “ " 8 81 88 ™ *o n l 188 tem m es q n i, avec le u r E ? '• „ , r ... . m -™ .- I F8” 8»1' “ » f u t éminemment patriotique, elle reu x , se son t associées pour c e l t /w .! I i

pelle luttez uniquement pour la libération et s inspire en même tomp» d’une généreuse Idée e s t ré p an d u e d a n s tonin la O r . . . !™1 indépendance de la Patrie, à vous qui, en cette ? 0 maternité, et notre pins cher désir sera ton- I com ité ce n tra l A Paria «nn» ^longue lutte tonte d alternative de succès et de |° ° r8 . de. voir grandir et prospérer, dans notre m in is tre d e Ia im o rr» i d ,r®ction revers (gu’on a appelé: une folio héroïque, alors Jül®. tonte œuvre tendant à resserrer entre nos m w n t f n n d i î S ro M l68 quelle fut uniquement : le plus saint des de- concitoyens les liens de cette nature. I ?{® Ï P i f î S ® , .e n P ro ^ n c e , e t celui de*voire stoïquement rempli) où notre France ne Ces,t d°no de tout cœnr, Messieurs, une le I “ 8 ®n p a r tic u lie r , recu eillen t les «on«: fut vaincue qu’aveo l’appoint de la uahlson, avez ?on8 hnrtte à boire aveo moi à M. le capitaine I tions^volontaires en a rg en t on en m

i exploits qni jadis firent si grandes levecq, à la 1056* Section des Vétérans, et à son I 80118 fo rm e d e Unge e t d ’obieta d u n .nationales françaises, oui, comme Président, M. Depaule. m en t. Les dam es o n i s ’v S . . . Tlieux, amnlemant vnns m n fi. I . . . I nissODt tOHS le s HO il P O n rtr th s f *

- , ------- f a r — f -Miwrere lu I11UJI, U V o m1 instant fatal où, Impuissante à les émouvoir, en les terrassant elle les a sacrés héros.

Gloire à vous, héros illustres et héros obsours, qui sans préoccupations, sans ambition person-IIAIIa llllfnr Iin tn n cm cn l nnnv la l l h é . . » : . .

renouvelé lesnos gloires _______ #________ _______ _nos grands .aïeux, amplement vous avez mois­sonne la pure gloire des combats, vous avez bien mérité de la Patrie, la Patrie est flère de vous.

Ames de bons Français, âmes de fiera soldats, entrées dans l’éternité le front ceint d’une auréole de gloire et de vos légitimes espérances, salut, “ l,il !

A près lu i, p re n n en t successivem ent la pa­ro le MM. Levecq, D epaule e t C azier. Un ï r

œuvre de salut, entreprise désastres, n ’a jamais subi

lUHoni w u s te s m ois p o u r transfom _ _ _________ 8‘ ehem isez, d ra p ,, M irfe ttw , « t , u

cidontMmiqaoâsignaleVpontlanlTédisMnrà I miré . 4 «eteffet; e lleirde M. Lavcm : M. D . . . ,d e Z n t l é v é a a e nm t8mP> des ch irn rg ieusem blait avo ir donné pins d ’n n e accolade à le , *ï ta “ “ Wre 4'la d i r e bou teille , ce d ressa to n t i S e t r ê p X “ s K î ï f f . ? 8. m it à c r ie r : « V ire la Sociale I . Mai?, zon 1 m om enl d8 <»D1P lAtinitV avnlnnîl _. . efficacement.a ir joyeux excluait tou te ten ta tive d e cham -

n'8 Jameie subi 1 màae, eu ,rez»»illëm,lû'roô»le'n“io»^éS:DO ootro routioe et de oo» aveuglement», notre feurinrelren? Fraririte»' i î" _ F ,é™!™8- 9Q'Pll8a

W ™ - S S J b t e z p o ^ i L

o u ib v u g w u u » , ou s en am usa trè s fo rt. som me d 'anoirn iT F«n, n

». leor neroisme, , o ,„ e e | 5 ^ ? ^ ^ * ® ® »

l V ^ m p £ n , “ m adeirT : r t p S S ’e T m ^ V r i t l d ^ é e * fU" W g S d V ^ n nécM“ i' “ ‘H 5 5 ‘8“ « P 5 “ , _ « d8»8. > (m erre éc la ta it dentale. -

I ? S - " d ™ n 5 ; - t a = ï ï a " i f f W 5 E I f c a r * ÿ t r n iB Ï Ï Ü - b J Ï Ï » V B de° I i a ^ e s ’ nou rra iemNous avons fait mieux encore que d ’éviter les I HmicrRé Baz,aillz?' “ sauvegarder I hussard s dont l ’é tendard porte les nom s des I tra in s J e l a lin n a d A n S f/t

fautes: nous avons cherché, de ?onne foi fa vé- im iv l fi 2 -fcn mais 11 „a n0Q seulement v ie o ires g lorieuses d’A u s te r li tx e t de m a la d M n iî h S S a S i i ? dB Nord, I

S . * S S â » â ? | s a a » S £ S « s âr S H S S S f f i a s t S E S s K S i s 'S ï ê ^ S i r ' “' S S ' 0causes, qui toutes s e ié u n iS e n td î î î r S u S S itS ï î ' UvIoIaJ e“f des formelles et solennefies dé- tio? 8. P®r o n toast aux dam es. . E,e n u ? ï ï ? n JKH«a tré#?r P °? r 188entre les mains d’an homme de ï s f ï î î S T i n . e.Gal,,8uniei PfDS8e- * ^ “«“ «gn®. A h a i t hear08 on Q uittait la sa lle d u b a n - I S a s O m î Î S Î i IIn g tra ,te« etde tous les devoirs qui sont l'honneur eTla f S Sire i f f i d é î a f f S Î ( T h V Em“ 9 oel. P o u r al e r a ss is ter à la re tra i te aux Mais Comité Ifla” 80,Dï‘d’une nation. Ce n'est dono nas seu lam en tm I K ? j® I Unique traité de Franc- flam beaux q u i, ap rès avo ir Darcourn l ’itlnô I J . Î Sen,i8 n® »®st p as»

R ïÿ ïs a a îiÆ ,!S Æ » ,!! ■ 4 °°”m6 I Içai», mais encore au nom de la Patrie*dn la texre

j .m ,“ & Æ “ Ü r e t 8 M j Ï Ï M K h ï I deï n S - p r e id r e ^ I “ J f '» ™ '8 » " « . ib p a tie n 'te . ï e 'n t e i d r e t e I m T o j é l Z 7 J ! ! a ‘ ae, T . a ,lo a ,‘^ ’ 11plébiscitaires. * théories I qu après 1 immanente et victorieuse revanche, I canc0rl d ° n t le program m e é ta it fo r t a llô - I esnêca e t d 0 8 8 «cours d® î-

Mais le meillenr remüart de I» f™ ™ ImP8tje“ meiit attendue par les vaincus irres- ®hant. r * lü r‘ a u e 3 ^ 1 l ï i e ,q a e®',i9 es d e 5e* «AteriMnnniAt Prevmei.. aa?.!-. n.— est I pensables et indomptés, inaccessibles aux com- I L a C o n o a r t | chè res a u soldat iso lé dans les

promissions, à l’oubli, aux désespérances, que „ „ , ° e r t * ôlrAngere, d u tabac, d n chocolat, etc.

<TOublier,a]amaisT» telle est leur devise- la « ^ M ènes. | d nFrance libre et intégrale, tel est leur programme: devise, programme, droits, devoirs, revendica­tions sont chez eux irréductibles et imprescrintibles; aussi près de ce mausolée, en cette sépul- u juiwui», é ta it corsé I g u erre ao C h in e , noosture élevée par la Patrie reconnaissante pour rôsence d e deux artistes d e l ’O péra, fa .?“ ® Près. d ® m ille , soldats, et 11perpétuer la mémoire de glorieux soldats m orts 1 “ H" «h»»**— - - • • Æ î - >

S rnfi™Fr?Dçais ;- ®-a Pla8 hant® ciiadêÜa est îe patnoüsme, le patriotisme fait de l’amour de tout C9 qui constitua notre pays, son 801, son o*nir, f ° n, son âme; et, ce patriotisme-là, H ne sé sert pas de la Patrie, de l’armée et du drapeau,tin» «nn A,?11 conü,aire« de toutes ses forces et de tout son dévouoment.

J ’en appelle à tous ces vrais Français, à tousK?nrn^ ^ aiî P0Bdant l’année terrible, ont été^ S A T . d®Jae3!:8J,.Iî8 ! v °.ns. oyez combattu

| tre ls , M. T m ei, av a it o rganisé ^ t u T f é t e I Ç®u d a n l la g ae ree d u T ra n sra a î, une p

que vous venez d’entendre, si'je ' ne c ro y a is * ^ I K c S ^ r S d S '“ Hbw “o “ ele devoir s’impose au représentant de notro gé- I loverî* .? ? ,dal8' ch e rsConm-néreuse cité de l’associer à l’hommage ici rendu par vous aux enfants du canton de Senlis elo-rmilSAmani Invalide cni* lac al.ao.aa

- - .......... » . .lu .,» morts | CohBervaloiro, MM. C h effie r S h ? „ W “ ,8 r ™ "efv iM d'ambnfanceznom ponr elle, il» viennent, frère» I Jjaryton e t P tchon, violon, a o l o n t été I d ^é p ila i eu ra p p o rt avec la distance r

les et m» pieux, héritiers 'de vos l 'ob je t d e véritab les ovations e t do reoha » î 8” *»8 « n t r a l a 7 r é t é m n ,v ire le f f i J S . 1® ? ? ? " l8“ rs .4“ 88 P °"r l'oc- ré ité rés ju s tem en t m éritées d ’n i l i .n r . pp R om e de S a lu t , oui a tr» n .o a .iz jV k» î?ê

S- . , - , ,— de glorieux soldats mortsrématurément pour elle, * * •

’armea^fldèles et fils pie

- , f i s s s i i s s a ™ t t £ ¥ s i i i a æ æ a s B ai t i|,ar i, teetssonnanl do pores I nousement tombés sur les champs do bataille I Vive la fiéDobli.inn i I s()rv'CQ du droit ot do l'éqoité, et quelaue sacri I ,d dam es d e la Croix-Rouge I I? „ ^ ? Itesoins o n t é té g randisua1h r e r S Ï ^ S T 8- 1 “dmiratiou, l'affeStiou, P8»; I" défense de ia Patrie ot pour l'houïeu? ««PeWiduo i ncc quq, „„ i!s8 Mû % ï a l t? r “ P™111 d e l 'œ u v re do s i - “ " « " r M p i l a l a dd c ré e r u n i i n i t i l l ?la reconnaissance des pennies libère. ™ I du draneau. M. D epuis prononce l'a llocution su iv an t» . î e™ ? h88' *> f " ''8 i"s>ice des’ sp o U a tlo n ïï“ S S i ï J mde* ^ l8 ,!és d8 l’arm ée française en S S T' ,0 ,re L t8 rre dans n n port

o ra tio c u iio n su iv an te : |sp p u a leu rs ,d e rapatrier en leur ïationalité fran- EuIlrô m 8 - 0ri881- E t, fa isan t allu sion à t 'Caisn nflR Ahoroo n m e in » » » d u t . . . . 1 I A lllin t n o lp in l im in a _ . ____ . . . _ - 1

la reconnaissance des peuples libérés, ce Dra- du drapeau.eux nos Sociétaires ont Aussi bien, en répondant avec un empresse-

1 inébranlable volonté de lui rendre toute son —• ■ mont nnnnimo 4 l'onnni h«x éa» . a« ,(Irviixx rrlnipa d'nn f . : . . I . . . .

qui vientMon cher Président, nos camarades de la 10561 I ic' 80,1 intorprôte.°°n“.a' ssent *>ien, vous out , c ’esl donc en son nom, .nu nom de cette ville

q u î r â l C souslofls n li? ‘<înCn?n dU groupement d« Senlis qui si longtemps fut l’un des rem paru ÜÎSÎ..Î?. J “ Ç,.,.8a1a aP.l?JP“ ® !°“ 8 l«8 ®r- I da ,I Je_de"IFraace> et “ “ me uue sontinelle

avancée de la défonse do notre capitale tournéedents Français, pour être lo fidèle et vigilant car- dien de co labarum sacré, vous avez accepté co

ndat. cet nnnnonr merci »t n . . . .m jndst cet honneur; ntofcl, mon cbc‘r Fresidem! ,S . î a » à î . . P i 8 el 18 P|US e“llil'e COU-fiance que je vous lo remet», persuadé qu’entre h a ,,'? ? r '™ „ 0HUi i 8,™ t0“s,.c™sl.a.m“ »“ t nouer

de se créer.L’appel des citoyens d

tous les points de la France. Bnr 1caa.-081 q.U0.ce mouvemont était inspiré nar les

Pr^AB h es p,us é,evds et ,es P,us généreux m; è e®. d’armes, habitués pendant de lonîs mois à vivre de la môme vie, à vous plier à une règle commune n vn..c ?..nne I

vers la frontière du Nord, que Je viens affirmer ici la profond respect dû à ceux dont les noms bientôt gravés sur cette pierro, diront aux géné­rations a venir l'héroïqüe sacrifice.

b«ni^rVÂr’rnTxiTav,riâ"aV'*’0• ^ T 3l.a.UJUlüIU ,,0»®r I La ?dtre, qui a vécu les heures tragiques do I ''u‘UUiUU0> “ vous était d e v o i r m / 2 £ 1 , . c 7 de I honneur et du 'invasion, n a pas besoin, hélas! quelles lui Sections de Vétérans qui

MRiQTvn^? sacrifice. soient rappelées. Elle a gardé, trop présonte en‘re ,a na“on et l’armée.A ivav ïtir .n } m,»9î sePn.rer de toi, fier Drapeau P°ur ffne r,°n la paisse effacer, la vision du I ^ eQdus à la vie civile, vordfl vour S i n r * u pe™ 1® dû 10 sal« °re t dra“ ° inoubliable qui so déroulait, il y a trente raMac,he!À ' ’ar“ ée, qui se p^ n n M ^ n ^ a is e s d e ’iA MASiiMvnJ et, .V0Vs 5 “ S?* ? ‘raV0r,s »a ^ c e , des bords de la po" a d 1 enj e d0 '« Patrieflère deviso do ms «m i n J antique et Moselle et do la Meuse aux rives do la Seine et w iu ,e s p l ,5 du drapeau, quijiere aevise ao ma ville natale, Pro Patria in fi- I de la Loire. I blême sacré e t -----------! I I ^ ‘;? c T o; Æ ,lieju i <' u,L lazMor‘- ^ “ ain/e- ' ' *'

« uuiioi, jamais i » {. v : . , ------- u*A-i\uuge, conau ite parS a n°*. m ?ta fnlhousiastes portent outre- I l i n 6 iP a r d a W a ra* conduite

«ut?? ’ ? frontière temporaire, à nos frères p . ’ DeP®a '® • som me recu eillie sealsaciens-iorrains, nos vœux les plus ardents i? ont® a a coquet to tal de 484 fr 70 cen1 assurance denotre immuable attachement, qn’ils I t,me8* Ce n’est jam ais en v ain , on le voft"lu’eux. nous I Que i on fait annal nn fran. a u . i . ... *I « . T p S T m Z u r Z ' u ï i é n é r e 'espérons, nous revendiquons, forts de notre 8it6 des Senlisinnu généro-i des Senlisiens.

Grâ “ . d » n e délicate

déb a rq u er 800 m alades ou R lessés. et rer: ,c / 9 d a C h ine re p ren d re da s;

veaux m alades e t d e nouveaux blessés.

s'éi^vSÎ re tn“ nlra1, 1Ui T0it 188 déP<. i L ! .A ? ,.,iP Aeml)n1' a f a i t nn aPpel preire.

8 “ “ “ itéa d e p ro v in ce ; M. de W sru, » co n re rt, s en e s t fa it l 'in te rp r t le éloquent, m n»nà, i n * d a , 'e r r e e t de m er, et ‘ M. D epaule en p articu lie r, i M. de Wara aux dam es quêteuses e l à tous, merci.

U Choix Roi-ei,

H , — . .vmm sxiiut a Ufitlvous était facile de constituer

sont comme le lien

®«5?Ji®ÂÎ?_viÇ civi,e* vous avez voulu voua » t se ^Yoaem e . -------------*qui

du droit des peuples, ■ „ ; ~ r - i b*-™ » u u a uencaio i. Vive l'Alsace-borralne française I Vive la Rus- F z h ! . i tlu Comtté d e l à 1056-, Il é ta it p re­

ste notre alliée I Vivo la Franco libre et intégralol I r da bouquets d e vio- .................. . 8 1 M e tte s a n i dam es. Cette disirlhnfi»» rë . rê.F:

A t r à t f e x v B e o lid .SOddTÈ m u sic a ii ng S j u u i s , - U S » .

— dim anche pra-

la grand'iTtmdâais

Mais il ost bon cepondant de lui redire nue , Une généreuse larmi les sniivunirQ lU-niiUc nn na..a n ï _ . 1 I fraternité, cnnsniitteste flS8enliFe»flmftiitU do8„v<térans' et. (ja'ollè I Pane ' le a so u M irT 'é S m é T o ^ n o u V p a ïlX o : I fraternité, «nreridSTre assurant l'av e n ir 'l 'm iô j Teste essenueuement paciiiaun. nu I cation Ha aa Hnitiniironr :■ « . . . . I des Véiémna «i in ,.» h '} union

prépare et se dévoue u „ „ iaeD ,I 0U 11 est déposé, ap rès que les C uinier, qu ’accom pagnaient mm p à S E lle se fe ra e n te n d re le m atin , ft la grand' ait voe» réunissant J e n n e u ra lu t on t été re n d u s p a r Ia c o m p a - Baudot,’ M aurice Lenoir’ ^ R ? h e n r J ^ W m a8fa . . e n l ’église N o tre -B une e &

u ost pour Ion» l'em- « n ie «le, sapeurs-pom piers, le» cla irons e t la Jacques T inel. R egnan lt e t m id i, si le tem ps le p erm et, su r la place d*aide mutuelle ot - ' S t l ! X & i . . . I . 0 a ;m ém e si b ien fa it le» c h o . . . I . . . . . . T

vlonnaOS< ™ iib & liJ n .paoil»'IUI1' ° ”' I 8’8™ do- I 80ll°? da 88 d o u io u rïu T p o ssé .'T ê u ’esYDieiî «i a Wahra BA irn ni i o # ®sPér*nces, héroïque et I nJerc'» auxquels il nous est pormis do nous ar- « l a S r é d n l ^ F r L ; f e a r ,a grandeur fêler avoo un légitime senlimanl do fierté. C'est et la gloire do la Franco. pourquoi, n'est-il pas vrai, nous somme” en ce

» Vétéran» ot r'end

Ce discours, prononcé dktne voix forte et v ib ran te , ost salué do vigoureux applaudis­sem ents, tandis que M. Levecq confie le d ra ­peau au p résident, M. D epaule, qui le rem et au porto-drapeau , M. llo rte .

M. Dopaulo prend à son tour la paro le :

Discours de M. Depaule.Mon cher Président,

En présence du délégué do l'héroïque soldat des dernières cartouches. Immortalisé dan» no, emurs, vous voudrez bien excuser l'émotion mal conleuuo qui nous étreint en co momenl • nia » soyez rassuré sur la fermeté do nos conviction» patriotiques que rien no saurait troublerI 'linnnunp ravin «an» r '. , *.

„ | . . ï Mcss,et,rs. ' -US avez le culte dit sonvo. - ■ . . . — . --------- . — u » , „u ,,j , u '1!’ ot vous avez tenu à honorer les bravos nui

i “i " S; Cest P0” " !80'. sur tant de ?S!ns“ Ç?omM dans lo lulto eux jours sombres depoints do la Franco, nous avons vn s'élever ces 18,<i ' , 11 f a fen te ans — trente an» , S nmonuments destmés è perpétuer le souvenir dos 5 18 qlï! Iail hler' lanl l'impre»sion oonrmodestes héros qni mortellement frappés ont ou. I >>3; u“ up d'entre nous est encore vive P

mS R S « f ^ o n e t r o n se d irige

s. t— i v •“ —•—venv.it frappés ont ou. ; on tombant pour la Patrie, la suprême consola­tion de pouvoir, eux aussi, s 'écrier: a Tout est perdu fors l'honneur. » ‘

D'autres, depuis lors, sont partis qui eux aussi no devaient plus revenir. Ils s'en étaient allés, coux-lè, porter par delà les mers le dra­peau do a Franco, et montrer au monde que ses trois couleurs resDlendissnip.ni inntnura h ., «v.w.

. — - - - —s est encore vivo.Les jeunes générations ne connaissent les nn-

®?j88e8,d.°,06,10 Période douloureuse que par les pâles récits que nous pouvons leur faire.

l S o m p K k o t m S S f . Vi° ' “ ° U3 ° " ‘ d'°“

m i« DHnUn qao Vous noU8 f? i,es do Présider la I Aoulos Par,s>d0 nos villes ot de nos campagnes mise_du Drapeau restera l ’un des meilleurs I de la f0rm0 comme do l’atelier, du chstA»»i

JK S < u|l®“ ” «*spl®ndifs®i0nt tpojou» du môme .JJ® uous dison‘. eux aussi, quelles grandesS o n l avaD,-«ardô des armd08 d0 'a civili- | Î S de K f f i ‘ DD<5eS par ,6s

Honneur à eux, Messieurs, comme à leurs alaés. Honneur ot respect aux vaillants enfants

franco qui, au. premier appol accourus deEcoutez dans In nuit Uue voix nui gémit :

Rnppelte-ioi !

j *. . --------- • --i des meilleurssouvenirs de uotre vie.Devant l’emblème do la Patrie on fait irèvo aux

passions politiques pour ne penser qu ’à la gran­deur do la manifestation, qui dovrait nous rendre tous meilleurs, et réunir tous les Français

Vous le savez, mon cher Président, le'patrio- tisme est inné en nos âmes françaises, héritago des nobles cœurs ; ce culte incontesté on doit le cimenter dans tous les cœurs français pour le bien et l’unité de la nation clin de la rendre forte et invincible. 1

a s i î i K M œ " im d “ ™ « . i aaf i« Oublier... Jamais ! »

t \ , S K ' . n"l re smblilon è fortlllsr 1 unité do la Nation, c e t nous condamner à in fermer nn repos ; p™ tn.pimé. nouT scmmi" heureux d'être pmir la IV , l», ce que lo lierre est nu chono, I envelopper do n;»s méandres patrioti­ques sous l ’égiilo du Drap. au aux trois couleurs.

Mon cher Présidont,Le Drapeau que vous venez de remettre à notre

camarade liorto, ancien soldat do notre héroïque armée, nulles mains plus formes et plus patriote* no pouvaient ê 'r . devigném pour mieux le porter

Le pré.Muni de ta l?'50- sTclion voTsIxTlm oè vous tous, tfossleuri, »e» r moûts noueavoir sccepté Ijuvitalailon qui noos léttnit " u ,

Oui, rappelons-nous; mois J la bello devise des Vétérans : e Oublier... jamaisl » ajoutons un mot que nos cœurs meurtris ont souvent mur­m uré depuis tant d’années, un mot qui anïôs

'Oir consoMa et annLnn. “PrVs

- ■— - - ». ...,/u ^ u u a , do I atelier, du château

comino du la chaumière, rougissent du mômo sang les champs do bataillo où la morl, indis-

Æ a Æ ' A nî êmo’e U é ’n é S é t a ! I r" Æ ^ “ “ " i ™ 8.’" . ' M o T S llardent amour de la Fa trio! I r a" |0m/nt de ceux qui, plus heureux, verront

i , ... , se reaiiser nos inlimos désirs : Espérance. 1J * i eaV l!seoars du raa,ro d ® S en lis, d i t nnEIT ns^ 0UCJ D0S 0®«rs, unissons-nous dan* avec une cha leu r com m unicative ot em prein t nn “ ôn?° d,an do patriotique ospoir.<1 une réelle e l sincère émotion qui a rrac h e I v !V0 !?.Fr0BCfl e| ' a République!des larm es aux assistan ts, est bien accueilli 'A rm ée et les Vétérans! \e t s ° 'o rm in e su r une v éritab le ovation . Enfin, M. Levecq clôt la sér ie des aller,,nef . '! . he " a ,u succ6da “ ■18d 4Puié Cho- J iscaUfs su ivant, fort applaudi

Discours de U. C hopinet, député.C est uno pensée pieuse et salutaire, c’est rn

sentiment patriotique et humain que la pensée < t le smiiinent qui ont insphé au digne Fré-ident ?r0rr'! 0 .re, Sec,'H" d.PS ' étérar.R des Armées do ronnr i , m er l iniUa,iV0 d0 ''" ‘livre que cou- S ï * î Z ' ü n « , « V onrt grave cérémo- fl na i 'LCi !î[aJ r d0 r,qu’' ,,° p;,incun d0 nous ! fnmil .q 1 »do P101 leur cn ' “ : son cœur d homme et son âmo françaiso.

Et puisque le but est de raviver d’héroïques souvenirs, de donner un exomple de patriotiques dévouements, pour moi, représentant du peuple, c était, plus encore quo pour tout mitre, nn do- * o r snord, aul'vHi qu'un sup êmi* honneur, d ’y

l,;' ^U .inents de patriotique gratitude du p ys soülisjen et vslols, pour ceux

Discours de M. Levecq.Français»», Frnrçai»,

Ln pouiilutlunl l'àm» nrJcntfifitl tout» frémis-' samo d (ihiiégntioii el .l'absolu dévouemrnl i la s .n e évocation du sentiment do Patrie, » do son drapeau, jadis si glorieux, ou» dos d»»Blrj» immérités l'ont déterminé à cravater dn demi, mais qu'il a en mémo temps crava é do I» couleur verlo qui symbolise ses légitimes nrol rances: le peuple nui solcnuemem, a “ , “ pfi: vous le faites, porpéluo ot glorifie la mémoire SS ses baro3 morts au champ d'honneur, leur m éî Fon.°dlos 'oriBoui-s. II prdpaio, 11 assure pour le jour dos luno» suprêmes, ponr uous fa'alsm eit Inévitables, sa victorieuse revern-he,

Dcb anUçuos Celles, écs lllo.ires Csulols, vç,

d ’honneur.La prem ière partie de la fête ôtait ternii ie ; la seconde a lla it s 'o u v rir avec le b an ­

quet e l se clore su r le concert dont noos rendons compte pins loin.

Disons cependant qu ’à ce m om ent nous avons en tendu dans la foule diverses ré ­flexions, que notre im partialité d e chroni q n eu r nous fa it uu devoir de rapporter.

On reg rettait notam m ent le m utism e gardé p a r M. le Sous-Préfet au cim etière e t l ’on trouvait étrange que le gouvernem ent n ’a it pas au torisé son rep résen tan t à prononcer quelques paro les de sym pathie à 1 égard des hum bles héros, nos concitoyens, qui avaien t donné leu r vie pour la défense du terr ito ire O n trouvait que dans cette fôte toute d e pa-’ triotism e e t d ’union des cœ urs, d ’où la poli­tique ôtait rigoureusem ent exclue, il n e suf­fisait pas q u ’il se fit re p rése n te r pendant quelques in stan ts seulem ent e t p a r un fonc­tionnaire m uet, m ais qu ’il eû t dû y partic iper de façon effective, e t p a ra ître , au moins p re n d re p a rt à la sa ine émotion qui élrei-’ gn ait toute la v ille ce jour-là .

Nous avons égalem ent en tendu form uler u n e au tre critique que nous devons re la ter

On s accordait généralem en t à reg retter I absonce des officiers de réserve et de ter­r ito ria le et do la p lupart des m aires du can ­to n ; m ais, renseignem ents p ris , il para it q ue ce fait résu lte d ’un m alentendu. Le Comité de la 4056* Section pensait que ces m essieurs devaien t se considérer comme in - v tlés, tandis que ceux-ci ava ien t c ru à un o ab lt. Là, donc, il n ’y a eu qu ’un simple m aleu lendu qui no m anquera pas de se d is ­s ip e r à la prochaine occasion.

L e B a n q u e t .

A c inq heures, un banquet d e plus de cent couverts réunissa it à l ’hôtel des Arène*, les m em bres de la 4056® Section e t leu rs in ­v ités.

MM. Boucomont e t Chopinet « 'ôtaient fait excu ier.

®a n l? d « M. S ignard laissant âw i î î ï * a a0/? ? 1 adm inistrative de M Société a décidé q u ’i l n ’y au ra it pas de bas* quet ce tte année .

Ainsi so term in a dans une so irée lontn fn I „ B a lta .Pran ’' a doutoKo d e tac t n ’est p u da m ilia le et a rtistique, dom inée n a r iin o n Bn . L I ü . “. „ . “ °.a s é ta a p e r : elle sera unanime-

m essieurs.Ainsi

de b ienfa isance ce lle belle jo u rn é e don t ? ,illée p w ' a Public senlisien. qai, S en lis g a rd e ra longtem ps le souven ir I iS L l , !on*le“ lPs , a“B apprécie r la cérrec-

r . tio n e t le sen tim en t qu i préa iden t à l a i ' — I d e conduite d e la Société m u tk a l t .

♦* *

PiTUORAGB Saikt-R ikdl. — Dfmaacbd

i souvenir.

G. Villa vrède.

.a re« ?eeS n a,er1W l " " m de'“ a i“ d '> l“ « ' a I ^

Charenton-Paris, le 10 novembre 1900.

A M onsieur Depaule, président d e là Section de Senlis.

Mon cher Président, I “ T ^,0U8 apprenons que la Soirée d o n n ft, La jonrnéo du 18 novombre fora dnn»n« a - M ‘ f 1™118*6 S aln t-ltie u l, le «6 oouraat, les annales de votre bello Section I affar ia A ses m em bres hoB on irae ; Maie

Vous personnellement et vos zélés collabora ' Î R ' ‘‘““ " I 10' 118, d es p laces seront diipe-si ranlftfimo2. , e ° “rs d “ ri!sullat fille vous avez S i 6.» r “ lson d a * f c M les prem ières el

Vous 'frvA7 î fSl ^ “ P'è^mont obtonu. I d e centim es les secondes.

S on lis, à l’issue des vêpres, la bénédictiOB so lennelle du d ra p eau -b an n ière du Patro* nage S ain t-R ieu l.

Cette cérém onio se ra p résidée p a r M. l ’ar- ch ip ré tre D ourlent.

Vous avez tout mis on œuvre obtenn inm iaa concours, tout Senlis était avec vous avec no» Vétérans; toutes les félicitations vous’s ï ïd u » »

ï d l f i S ' “ bou souvroir i ;

M .V e 'M '! trn i , ! ? s? ™ " V . “ 1. , «HcIiMIona de

O n tro u v era des ca rtes (fiiez M. l'abbéDi*VOURt.

N oûs donnerons le program m e de cetW Soirée dans n o tre p rochain num éro.

M. lo Moire, m . - ’eucuauons de I . Em êv k uen t db D n a p ïa u x . — Da madvaléla commandant Merlin M le Prauirla. I 1, US a n l Oblovê doux drapeaux d OOuni, M. le Procureur de là R é S S ” 1 dï ‘t!?» ' ^ ° s trophée» do lu place do la o l r e ; l ’un do cbbjrfllre, etc., do tin t do nombreux c a m irad ! ' cas, d ra fi8a“ S a été trouvé à uno heure dit

ldu- o a I caraarados p a t in d ev a n t la p o rte de l ’agent Ouéry,Quo vous conserviez de Int un nns-u -------

venir qae ce ui qu'il n en inrœ ,in l ,)0D sou- sl Français, que’ sa visite W , I 0,r? a“ U6' ' persévérants efforts ot conlribu?" î f i ü i - T votre Seotion et do ses ILIale» non. i 18"‘ l?a de lugraudour do notre chère France n i ! n u MF son Drapeau. C'osl lo vœu le p K r d . î l . i .

m e Ï Ï ^ S rto m p e ” M d 8 ™ '?8p^

Préaident pénérol honoraire d u m i r a n t .

l’au lre a d isparu ,Uno enquôle es t ouverte ,

**ÀO b je ts tro u v a s . — M. le Receveur dot

Postes a déposé, m ard i, e n tre les m afns de M. le C om m issaire d e police, u n e pièce de40 f rn n ao m m v a n n ii l'A rt.

pressé d e rem ettre à son chef.

Nous félic itons sincèrem en t le jeune Ltff

f fé ire do ce t ac te d e prob ité , d ’au ta n t plus E irér ito ire que ce t en fan t n 'ig n o re pas q u e | . 1'a iiance e s t lo in d e ré g n er a u logis p a te rn e l.

*f f ' ! • *

F • Un i Idyllb qüi finit mal. — Sam edi j soir, à d ix heu res, le nom m é A , légèrem en t f . pris d e boisson, re n co n tra it une fille ga lan te , I dans u n étab lissem en t public . I l p a r tire n t

ensemble pour les prom enades, e t a rriv és prés d u cim etière, i ls s 'a r rê tè re n t.. . m ais ce c ’é ta it pas pour jo u e r au x b illes I

Après quoi le couple se sép ara , m ais le «-.don J u a n n e ta rd a p as à s ’apercevo ir q u ’il r avait é té a llégé d e sa m o n tre avee la c h a lio f fit d ’u np som m e d e * francs.\ Le lendem ain , il a lla déposer sa p la in te au

com m issariat do police. L a d u lc inée fu t E, arrêtée e t p o u r se défendre , affirm a q u e ces i objets e t ce t Argent lu i av a ien t é té re m is e n l ’paiem ent d e ses faveurs.| R ésultat : q u a tre procès-verbaux . A* « t \ , repris po u r ou trage pub lie à la p u d e u r ; la

_ fille égalem ent ; elle a u r a à ré p o n d re en ( ‘outre des d élits d e vagabondage spécia l e t

de vol.

F o u r n e a u é c o n o m i q u e ."Os personnes qu i v eu len t b ie n s’in té re sse r

à l ’Œ uvre d u F o u rn e a u économ ique de ■ r Sentis, se n t averties que ses d is tribu tions

recom m enceront le 85 novem bre 4900, ru e Sain t-Fram bourg , n ° i . e t q u 'e lles seron t continuées les m a rd i, je u d i e t sam ed i d e chaque sem aine , de m idi à u n e h eu re .

Les B ons d e distribu tion son t ven d u s chez J les S œ urs gard e-m alad es a n p rix o rd in a ire I t 4 H 5 f o le ce n t..1 P o u r 0 ,40 cen tim es, on p eu t se p ro c u re r

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choisies q u i entrent dans la fabrication de mes '■ diverses marques, et notam m ent des S a v en t du

OenflOr Afin de m aintenir tous mes produits au m ine n iveau , j e n e vois fo rc i d ’en surélever les frite d ’environ 10 */,.

Vloton V alsslsr, créateur des Savons du

M a r c h é d e S e n t i eDU MARDI 80 NOVEMBRE 4900.

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Sans vit. Id.Id.Id.

H ., 0,60 o. Id.

M x du Pain du IB iano.. . 0,81 le lu S a n s var. I l Mau 15 Nov. |B ls-blaac 0,88 — 1 Id.

I Firine : les lOOkilog., 88 L ta . — Sans variation.

b b t zA Ç Y -EN -M U LTIEN

D im anche, o n t en lien , A Acy, les élections pour le renouvellem en t d n Conseil m nn ic ip t ' (dissous p a r déc re t) . E n voici les ré su lta ts

E le e te n rs in s c r i ts .. . 908V o t a n t s . . . . 169M ajorité a b so lu e . . . 80

Sont é lu s :M M. D elam arre 109 voix

M oral (A lphonse). 101 —R a u lt ................... . 93 —D e lo ia n n e............. 93 —O n éret............... 91 —V igneron................ 90 —M oral (V ictor) . . . 87 —D on lem p s. . . .

V iennent en su ite :MM. C ollinet.................. 89 voix.

D e b a r le . .............. 83 —l e b o l ....................... 88 —M e n o t................ 88 —B acqnet............. 79 —H o n lin ............... 79 —

i T hom as................... 70 —C ham ps.............. 71 —

ETAV IQNY

l l a l i o n i m u n icip ales d u /S novembre,In s c r i ts ......................... 63V o lan ts ......................... 89M ajorité a b s o l u e . . . . 30

Sont é lu s :MM. F eu try (C asim ir). . 30 voix.

A ubry (R ené-X av.) 37 —. B a r le t (A ugustin ).. 80 —

, B asin (Ju le s ) S i _| t ? T h io u i (J o s e p h ) .. . 93 —

Lassé (A u g u ste ). . . 83 —S e n i n (F élix ) sa —B oucard (E douard ). 90

Viennent en su ite :I MM. D raps (G eorges) . . 19 voix.

C ollinet (E douard ). 18 — Jo u rd a in (Isld .-V .). 17 —

i S im a r ( E u g è n e ) . . , l i —H a rle t (E d m o n d )., l i —

G R E I LC o n s e i l m u n io lp n l .

• Le Conseil m unicipal s ’e s t ré u n i enI «on do novem bre sam edi so ir, à h u it h e ___I J ^ e m ie , sous la p résidence d e M. Varô,

1 Etaient p ré s e n ts : M M .L e q u e sn e e tT a u - ï l , a d jo in t s ; Casier, B iguet, Jacq u et, L a-

I I 11 fil I ri DavtwiO IYm m h J t t î — - I r i -----4 r i - t

P ré fe t, qu i d o it en av ise r le M aire ; e lle concerne l ’e m p ru n t p o u r la ré p ara tio n d e la M airie , d o n t l ’an n u ité se ra m oins élevée q u ’on n e l ’av a it prévue.

N o m in a tio n des rép a r titeu rs p o u r i 9 0 i . — Le C onseil approuve la liste p résen tée p a r M. le M aire , savo ir :

T itu la ires in te rn e s : MM. D elaunay P ie rre , V ignal Je a n , D urand F ranço is, G a llie r Al­fre d , B rèch e H ippolyte e t B iguet E ogène.

A djo in ts in te rn e s : MM. Dufay T héodu le , G erm ain A lfred , M ahieux Jo sep h , P a in D é­s iré , P eypoux V aléry e t F e rre t Joach im .

T itu la ires ex te rn es : MM. F au q u e t Ju les , à L aig n e v ille ; Foy Z éphir, à N ogent; D e- ro llepo t E m ile , à V illers; B ie t E ugène, à M onta ta ire .

A djo in ts ex te rn es .: MM. D epuille N oël, & M o n ta ta ire ; M ancheron Jéa n -B ap tis te , & V ille rs ; F au ré -U é ro u art, à M ontataire ; T il- lie l 'G ustave, & Nogent.

D élégués p e u r la rév ision des listes électo­ra les. —• M. B iguet est nom m é pour la ré v i­sion des liste s ; MM. F e rre t e t B riseux lu i so n t ad jo in ts p o u r le Jugem ent des réc lam a­tions.

C lassem ent des chevaux en 4904 . — M. B rèch e es t nom m é titu la ire , e t M. B iguet, suppléant.

B u d g et v ic in a l 4 9 0 t. — L e Conseil ap­p rouve ce b udget, qu i se ba lance en recettes e t d épenses p a r 46.400 francs.

T a r i f et cahier des charges des d ro its de Place- R a p p o rt de la com m ission . — E n la b se n e e d e M. M aubertier, ra p p o rteu r, M. Cazier d o n n e lec tu re d u ca n ie r des charges e t d es nouveaux tarifs a insi a r rê té s , conform ém ent à la loi :

4° P o u r fru its , légum es v e r ts , e tc ., p a rdem i-m ôtre c a rré ....................................... o,40

8° P o u r com estibles, v ian d es, p roduitsa lim en ta ire s , p a r m è tre c a r r é 0,4 5

3° P o u r poissons fra is , p a r m è tre . . 0,20 4° P o u r v iande d e b o ucherie , cha rcu ­

te r ie , le m è t r e ............................................ o ,455° P o u r volailles e t g ib ier, le m è tre 0,60 6° Bestiaux : 4*C hevaux, ju m en ts , m u lets,

m ulps ou pou la ins, p a r tè te d ’an im al occu- n i n t tro is m ètres ca rré s e t au-dessous 0,30 - Bœ ufs, tau re au x , vaches e t génisses, v eau x , ân es , finesses e t finons, boucs e t ch èv res , p a r tète d ’an im al occupant deux m ètres ca rrés e t au-dessous 0,203° P orcs , tru ies e t cochons d e la it, p a r té te d an im al occupant un ou deux m ètre s ca rrése ta u -d e s s o u s ................................................ o,401° M outons, b reb is e t agneaux, p a r tète d’a ­n im al occupant u n d em i-m ètre c a rré e t a u -dessous ................................ ........................ o 05

7° M archands d e m arro n s, café, pom m es d e te r r e fr ite s, e tc ., p a r m è tre c a rré î d i-m a n c h e ................................ gE n sem aine ............................................ o*Ott

8° M archands d e chansons, c h a rla ta n s’ e tan tre s , p a r m è tre c a r ré ....................... , . 0,50

9° V êtem ents, étoffes, ro u e n n erie , p a r m .ô a r rô .............................................................. r 0 20

40° G rain eter ie , flenrs, a rb u ste s , e tc ., p a rm ètre c a r ré ............................................. g,20

44° B ijouterie, orfèv re rie , p a r m . c . o !s5 42° P â tisse rie e t confiserie, p a r m è tre

c a r r é .................................................... q 3543° Spectacles e t jeux d ivers V ju sq u ’à

400 m ètre s c a r r é s . . . . . ..........................; 0 40E n s u s . . ................................... Q 05

44° V oitures dételées : 4° C harre ttes e t v o itu res à deux roues , p a r m è t r e . . . . 0.062° C abriolets e t tilb u ry s......................... 0 083° V oitures à q u a tre ro u e s ..................... o*40

45* V oitures s ta tio n n aire s, le m è tre 0,85 46° M atériel e t m arché couvert : 4* C har-

r jni® e i couverture , sans tab le , le m . 0 ,35> T able se u le ........................................... 0 453° M atériel c o m p le t ................................ o,50

L 'ad judica tion sera fa ite p o u r six ans , à ?£ i0 r dQ j ^ i e r 4901 au 34 décem bre 4906, su r la m ise à p rix de 33.200 francs.

M. A largen t explique qu ’il ne vo tera pas les conclusions d u rap p o rt, c a r i l e s t p a r ti­sa n d e la perception d irec te p a r la V ille de ses d ro its de place.

M. Jacqno t fa it rem a rq u e r q u e le con trô le e n se ra it difficile.

M. A largent défend sa thèse e n d o n n an t com m e exem ple l ’octroi.

B ourses dans les écoles pro fessionnelles. R apport de la C om m ission. — M. Briseux, ra p p o rteu r, fait savo ir q u e |la com m ission a eu à s ta tu e r su r des dem andes de bourses ou p artie s de bourses faites p a r M. Dé­tona®. M“ « M erlette N avellie r e t M. Corné, don t les enfants son t à l ’Ecole d A rm en Héros.

M. le M aire li t u n e le ttre de M. D edy, ta isan t la m êm e dem ande p o u r son fils, qui es t égalem ent à l ’Ecole professionnelle d A rm enliéres.

L a com m ission, re je ta n t le p rin c ip e d e la bourse , qu i su it le bénéficiaire p en d a n t tou e la d u ré e de ses études, décide de n a llo u e r q u e des secours a n n u e ls, la com­m ission a y a n t accordé aux tro is dem andes des secours varian t e n tre 400 e t 450 francs.. njr? Conseil décido d ’allo u er , p o u r 4900- 4901, u n secours an n u e l de 425 francs pour chacune des q u atre dem andes préc itées, et confirm e 1 allocation de 300 francs fa ite par la com m ission à M. Collin (F e rn a n d ) qui esl î ,,EcoIe des A rts-et-M étiers de L ille .

Tram w ays. — R a p p o rt de la com m ission .1 A largent, rap p o rteu r, fa it sav o ir que

su r la dem ande ad ressée p a r M. M aunce B ernard p o u r l ’in sta lla tion d ’un tram w ay à Creil. k com m ission, ap rès étude des ques­tions de d é ta il, conclut à un av is favorable : ce tram w ay à traction é lectrique avec p re ­m ière e t deuxièm e classe com prendra trois tronçons : 1 u n , de la g a re à la ru e du P les-ho ioUv na t r ! ’.? e ,a g are à ,a r u e d u P o n l - de-la-V ille , à M ontataire , e t le tro isièm e, de

BouviUers m airie de N° 8e n t* Pa r la ru e de

Après lec tu re du ca h ier des charges e t d i­vers règ lem en ts et clauses o rd in aires à ces concessions, que le c réa te u r réclam e

Un procès verbal p o u ro u tra g o a été re levé d im an ch e d e rn ie r , co n tre le m écanicien do la Gnôpo n °4 0 , un s ieu r L a g ird o (E m ile) q-ti, pour une question do ro rv ice. au p u i­sage do l'éc luso do Greil, av a it g ro s s iè re ­m en t in su lté lec ap ita in eL e g ais(A lb ert) , com ­m an d a n t lad ite Guêpe.

Un chauffeur do Nogent, Loduc (F ra n ­çois), figé d e 64 a n s , a porté p la iu to sam edi d e rn io r co n tre des ag resseu r, d o n t il n ’a pu d o n n e r le s ignalem ent, e t qu i, ap rès l ’av o ir te rra ssé e t frap p é, m orcredi 4 4 novem bre , v e rs h u it h eu res du so ir, p ré s du P o n t- R oyal, l ’a u ra ien t dévalisé de son porte-m on naio c o n te n an t 65 h u n es. A ja u t eu l’épaule dém ise d an s sa chu te , Loduc a d û a lle r se fa ire so igner à l ’H ôpital, av a n t d e p o rte r

,p la jn to .Celte agression est assez ex tra o rd in a ire ,

c a r, à ce tte h eu re , ce tte voie es t trè s fré ­qu en tée par Ios nom breux em ployés de cho- m in de fe r de Nogent se re n d a n t ou reve­n a n t d e le u r serv ice ; néan m o in s,m alg ré les fa ib les indices que p eu t fo u rn ir le blossô, u n e en q u ê te va ê tre ouverte p o u r tâc h er do 1 re tro u v e r ses agresseurs.

w» «m e, san s savo ir si d a u tre s concession­n a ire s n e fe ra ie n t pas des conditions p lus avantageuses, au torise le M aire à dem ander la concession du tram w ay à l ’E la t et à faire la ré trocession à M. B ern a rd .

Le Conseil inv ite en o u tre M. le M aire à d em an d er à la Compagnie du Nord là su p - E r iSa a° u a A ra:nd Pa8sage à n iveau d e l a w u te r ra in 6 PaF U“ pas8age a é rie n ou 1- T Le C,008®*1 donne u n avis favorab le à i ï n l S u!P< ? 6 ? 081?e t P our la suppression de la Période te rr ito r ia le des S apeurs-Pom piers. 1» V1 n e u re tard ive , onze h eu res e t dem ie, e Conseil renvo ie la fin d e la discussion de

n Ï rr n m i ^ J0 U r.à je U d i8 0 ir» 0t 88 «OMtltUe en com ité secret.

U ne affiche p o u r le recensem ent de la classe 4900, a p a ru à C reil. O n y li t le p ara­g rap h e su iv an t : 3 v„ *,£,e! t ean,e? 8e? 8 Çn* d és ire ra ie n t se p ré­sen te r à la v is ite du conseil de rév ision uans u n a u tre canton que C reil, d ev ro n t en fa ire i a dem ande à la m a irie e t au fonctionnaire chargé de p ré s id e r aux opérations du tirage au sort, s

Etat oivil du 9 au 16 novembre.Naissances. — 9 : W iart Audré-Charles. —

9 : Robichon Yvonne-Marie. — 12 : Denant Lu- cle-Amélie. — 13 : Régnier Rayinonde-Uenrietto. *77.14 : Sauvai Juliette-Georgette. — 14: Mouaeot Alfred-Fernand-Louis.

Publications de mariages. — Entre M. Simon Aimô-Charles, peintre eft voitures, e t Mlle Poil- lenx Mane-Léonie, ménagère, tons deux demeu­ran t à Creil.

Entre M. Matras Jules-Nestor, visiteur au Nord, et Mile Mori Alice-Caroline, sans profes­sion, tous deux domiciliés à Creil.

Entre M. Décoraux Paul-Albert, commissaire de surveillance administrative au Nord, et Mlle Creil Mar,be"ElotUe» l0U8 deux domiciliés à

Entre M. Rémond Maurice-Guillaume, garçon coiffeur, et Mlle Legros Angélina, blanchisseuse, tous deux domiciliés & Crofl.

Mariages. — 10 : M. Gagno Joseph, lamineur,: un a i«ri|ercq Augustine, sans profession, tous

«— ciliés à. Montataire (Pont-Tüérain) etavant à Creil.. if î.: J °seph, manouvrier à Creil,

et Mlle Gcëtx Cloülde-Eugénie, ménagère à Chan-

«..f0* L Gorel J oles-Eugène, manouvrier, et Mlle Tellier Marlhe-Charlotte, sans profession tous deux demeurant à Creil.

Décès. — 8 : Boulanger Maxime, 82 ans. — 10 : Degonde Gilberte, 2 ans. — 11 : Mauroy Fernand, 21 ans. — 11 : Demoulin Geneviève, veuve Bury, 81 ans. — 11 : Noël Joseph-Nicolas 70 ans. - - 1 2 : Poix Augustine-Rosalie, veuve Dod net, 69 ans. - 12 : Pluche René-Gaston- Abel. - • 13 : Morln Arcine, veuve Lamelé, 95 ans, ’

CHANTILLY

21 : Bouret Maria-IIenriotte, femme Tassin, 31 ans. — 23 : Mauiu Henri-Prançois, 1 j u^. — 21 : P'tnlal FdouaH. c«llj|. itair»», 51 m is . - 2é : Co- qneret Loui-o-Marc'liiiie, fi-mme Mani'i 2H ans 11 moi.s. — 31 : (/.nul Mar/a, femuie Piuche. 2z ans.

Publication* de Mariages. — 7 : M. C lrcart Ju es-Elie. cultivateur, demeuraut à Chaniiily, et Julio Jeanty Berthe-Augèle-Adelino, sans prufe-s sion, demeurant à Biiucourt, cantou de Cler- mouh

7: M. Prévint Einlle-Eugèuo, mouleur in cuivre, d. mourant à Creil, ei Mllo Dupuis Aiümrine, hniforo, domeuraut à Chantilly.

7 : M. Capus Félix-Jean, cocher, demeurant à Chantilly, et MlleCoudiirier Marie-Hélène, f-mme de chambre, demeurant ;t Paris.

7 : M. Machsrt Michol-Charles, ancien (nsnrc- tenr des II lances, domeuraut à Puiis, et Mlle Poirtt Mario-I.oui.-e-Zué, sans prufessien. de­meurant i Chantilly. ’

14 21 : M. ÜLlap'sto Joseph, manouvrior, de­meurant à Creil, et Mllo Goéiz Clmilde-Eugéuie, ménagère, demeurant à Chantilly.

21-28 : M. Lemorcior Audré-Victor-Auguste maçon, demeurant h Chantilly, et Mlle Router Jnlio-Elisa, blanchisseuse, demeurant à Buu loguo-sur-Soiuo.

Mariages. — 1" : m. Delsaut Théophilo- Etieune, chauireur, et Mme Citerue Marie-Murlho niëuügère, divorcée, tous deux demeurant è Chantilly.

6 : M. Paris Honorat-Auguste-K-nile, palefre­nier, et Mllo Maiugre Jube-Beriho-Georgello, femme de chambie, tous deux dtm W raut à Chantilly.

11 : M. Lecoq Maurice-Charlcs, administrateur do la Société des Lièges do l’Edough (Algérie), demeurant à Paris, et Mllo Vallon Louise-Célina- Mario, sans profession, demeurant à Chantilly

14 : M. Machart Michel-Charles, et Mlle Poiret Marie-Louise-Zoé, déjà nommés.

20 : M. Prévost Emile-Eugèue, et MUe Dupuis Arthurme, déjà nommés.

DOUBLE UTILITÉ.Force poor la Mère et pour le

Nourrisson.

M O N T A T A IR EP a r arrê té préfectoral du 44 novem bre

d e rn ie r , la déclara tion d ’infec tion de lièvre aph teuse , don t av a it été frappé tout le te rr i­to ire de la com m une de M ontataire . a été levée.

Un jeu n e ouvrio r d ’usine, Ju les Leclercq, - j ô de 48 ans , a trouvé, le 47 novem bre, vers six heu res du so ir, ru e de Vilel, un po rte-m onnaie con tenan t une som me assez im p o rtan te , q u ’il s’est em pressé de rem ettre chez M. le M aire ; il a ôié depuis réclam é p a r son proprié ta ire , M. ilu d e to t (Louis), qu i a donué u n e récom pense au jeu n e Le­clercq , à qui nous sommos heu reu x d 'ad resse r des félicitations p o u r son acte de probité .

La Compagnie des sapeurs-pom piers de Creil fê te ra la S ain te-B arbe , sam edi 8 dé­cem bre prochain , e t d o n n e ra à ce tte occasion son b an q u e t an n u e l, suivi d ’on g ra n d baj.

Nous som mes heureux d ’an n o n c er le p ro ­ch a in m ariage d e M. P a u l D écoraux, n o tre sym path ique com m issaire de su rveillance a d m in is tra tiv e , avec Mlle M arthe T hiôbaut, e t nous adressons aux fu tu rs époux nos m eil­le u rs vœ ux de b o n heur.

. L affluence des v is iteu rs a ttirés p a r l ’Ex- posnion u n iverse lle n e s ’est, co n tra irem en t

I à ce qu ’on pouvait c ro iro , n u llem en t fa itP 4 rh a n li l ln

Nons ^ p r e n o n s avec p la is ir le succès de M. E m ile T um erelle , de C reil, é lève d u co l­lège de Compiôgne, qui v ien t d ’ô tre re ç u devan t la F aculté des L ettres de l ’U niversité de P aris , p o u r la 4M p artie d u b ac ca la u réa t m oderne .

M. C azier ré fu te cet argum en t, e n dém on­t ra n t p a r l ’exem ple de Crêpy que la Ville a u ra it du bénéfice à m ettre en ad judica tion la perceplion des d ro its d ’octro i, m ais que la perception p a r u n p a rtic u lie r p o u rra it am en er des vexations co n tin u elles ; ce dôsa-

§ rém en t n e se p ré sen tan t pas p o u r les droite e place, i l y a tou t in té rê t à en la isse r la

perception à u n p a rtic u lie r, q u i e s t p lus à m ôm e d év ite r tou t coulage qu ’u n fonction­n a ire quelconque d ’u n e ville .

A près une dem ande d e M. M asset, qu i se p la in t d e la présence trop ré p é tée e t trop longue d e th éâ tres à Creil, qu i n u isen t au com m erce, e t u n e prom esse de M. le M aire

{ ne ce fa it n e se renouvellera p as , l ’a sse m - lée vote les conclusions du rap p o rt.. C antine n o la i r t . R a p p o rt de la co m m it

t to n . — M . A largent, rap p o rteu r, fa it con­n a îtra q n e la can tin e a été e n r e r te le 80 n e - v em bre <899 e t ferm ée le 30 m ara <900. I l a é té d é liv ré , p en d a n t ce laps de tem ps, 7.778 rep as A 0 ,06 , e t i .< 3 l à 0 ,30, so it 90.909 ra ­t a s , d o n n an t e n recettes <.686 fr . <0. Les Jo n s se son t é levés é 939 fr . 60 . Les dé­penses s ’é lèven t i 9.887 fr . 8 », se décom po­san t com m e so it : S a larié s , 679 fr . 60 : ch a r­b o n , < < i f r .; p a in , 860 fr . 8 t ; v iande, <•669 fr . 7 0 ; ép icerie , 396 fr. 6 5 ; légnm es, 375 fr . < 0 ; n stensiles, 36 fr . 65. L e créd it voté p a r le C onseil, a jon té aux recettes,

. d o n n an t n n excédent d e créd it, le rappor­te u r dem ande q tt’4 l 'a v e n ir les re p as soient g ra tu its p o u r les ind igents.

Le Conseil s ’associe aux rem erciem en ts adressés au x p ersonnes s’in té re ssa n t é l ’oen-

j v ro d e la can tin e , e t vote les conclusions du ra p p o rt, la com m ission ayan t re je té le pro jet de la g ra tu ité des repas.

I • ' - “ J . i u i . , u o n r a i , u i g u s i , u . .I nielle, F e rre t, D urand , V ignal, Guyot, G ri-

ton, Lam ecourt, B riseux , ColnoI( Masset,AV.rv-Pauquet, Lam0ndin et Alargent.

Absenta : MM. Copin, B rèche, B oulanger • t Maubertier.

M. Briseux est nom m é sec ré ta ire p o n r la jw io n e t d o n n e lec tu re d u procès-verbal J J ^ d e r n iô r e ré u n io n , qu i e s t adopté san s

. Avant de d iscu ter l ’o rd re dn jo u r , le Dr «çqnot se fa it l ’in te rp rè te d ’une bonne nou- T0|le qu’il a apprise ce jo u r môm e p a r M. le

t g ra tu ité des repas.P a rc de la M a nu facture . R a p p o r t de la

com m ission . — M. C azier li t le s rapports des trav a u x d e la com m ission, q u i, après av o ir re je té l ’offre d e 4.000 francs fa ite p a r 1 e n tre p re n eu r d e dém olition à t i tr e d e t ra n ­saction , a ob tenu que ce d e rn ie r , s u r un e dém arch e d e M. L equesne, tran sig e e n do n ­n a n t à la V ille 3.000 fra n c s ; e lle charge M. le M aire de confier à u n en tre p re n eu r 1 en lèvem en t des m atériaux d e fo nda tion , (} d e fa ire p ré céd e r au nettoyage d u p a rc , pour q u ’ou pu isse le m e ttre à la disposition du p ub lic dès le re to u r d u beau tem ps.

Le Conseil approuve ces réso lu tions d e la com m ission, e t a jo u rn e u n e question de construction de kiosque p o u r la m usique , qui av a it été égalem ent soulevée.

O n nous éc rit :

O n se rappelle le d ifférend qui s’es t é levé d e rn iè re m e n t e n tre les consom m ateurs e t les boulangers de C reil, à propos du poids d u pa in . Nous croyons ê tre u tile s à ces d e r­n ie rs en le u r m ettan t sous les yeux u n ju g e­m en t d e la Cour d ’appel d 'A m iens, qui tra p c h e ce d ifférend sans contesta tion no», sirne. r

L a i 3 a ?:ù l d e rn ie r, M. C hem in, bo u lan ­g e r à S en li8, a été condam né p ar le T rib u n a l co rrec tionnel d e cette v ille à 60 francs

s e n tir à C hantilly ,Le m usée Condé n ’a eu cet ôté n i p lus n i

m oins d e v is iteu rs qu ’en 4898 e t 4899, e t m ôm e le chiffre des en trées payantes du sa ­m edi a quelque peu baissé.

Le re le v é v ien t d ’ô lre fa it po u r l ’ensem ble des tro is prem iè res an n ées d ’ouv ertu re du m usée C ondé. I l n e dépasse pas 7.24 4 en ­trées se ré p a rtls sa n td e la m an ière su ivan te : « £ 8 4 en 4898, 2.684 en 4899 e t 2.256 en 4900.

La som m e de 7.424 francs, re p rése n ta n t le p ro d u it de ces en trées du sam ed i, a ôté versé d an s la caisse de la Société de secours aux blessés d^es arm ées d e te rre e t de m er, où le g én é ra l Davoust, duc d ’Auerstcodt, g ra n d chance lier de la Légion d ’h o n n e u r , a succédé au duc d ’A um ale, en qualité de p ré ­siden t. r

C h a n til ly F o o tb a ll C lub .Voici le ré su lta t du m atch de football (Asso­

c ia tion) qu i a eu lieu d im anche d e rn ie r en ­tre le C lub A thlétique F rançais e t le C hantilly Football Club.

L ’équipe du C. F . C. é ta it ainsi com posée :F n n r is h..»

a ou irancsd am ende e t à deux in sertions dans les jo u r­naux , p o u r n e pas avoir donné le poids du p a in . M. C hem in a c ru devo ir défére r à laL O f " j »*— j • - .,- —i v, u v iu uoyuh uu iu iur a ia-jour d! appel d Am iens ce ju g em en t du T r i­b u n a l de S en lis; m ais la C our, p a r a r rê t du 45 novem bre 4900, a confirm é pu re m e n t et s im plem ent la sen tence d u T ribuna l de S en lis, d e telle so rte que la condam nation Chem in est a u jo u rd 'h u i définitive.

D un a u tre côté, M. B lanchet, bou langer y» a. éLé coedrm nô , le 42 novem bre

4900, p a r le T rib u n a l de S en lis, à la m ôm e pe in e , p o u r le m êm e motif.

Ce,8 ee.Çdemùations sem blen t in d iq u er qu e le T rib u n a l d e Sen lis e s t décidé à a p ­p liq u er la loi dans son in tég rité ; aussi ne sau rio n s-n o u s trop m ettre en gard e les bou- angers oontre u n e fausse in te rp ré ta tio n de

la d ite loi.

bu t. a rrières.

dem is.

avants.

U ne ce rta ine effervescence règ n e depuis q uelque tem ps e n tre les garçons bouchers d e la v ille de C reil. La ra ison en sera it, p a - ra lt- il , q u ’à la su ite de la v en u e d ’u n e nou­v elle bouchère ay a n t baissé considérable­m en t les p rix d e vente, M. Commien au ra it suivi l ’exem ple.

B ref vendredi m a tin , au su je t d ’une pesée de v iande, u n e a ltercation s’es t élevée à l ’a - b a tlo ir e n tre u n com m is de M. Commien e t M. C harles B ... , a u service d e M. H enry ; ce d e rn ie r s’ô tan t liv ré à des voies d e fa it su r son cam arade, s ’es t vu d resser procès-verbal p a r le gard ien d e l ’aba tto ir, e t com m e il l ’a en o u tre grossièrem ent reçu , il sera pour­su iv i p o u r ou trage à un fonctionnaire dans 1 exercice d e ses fonctions.

M. A ubertie , in specteu r départem en ta l du tra v a il, nom m é à C reil, v ien t d e re le v er des con traven tions à la charge d e tro is e n tre ­p re n eu rs d e la loca lité : con treM .L om eun ier (F ra n ço is), m a ître couvreu r à Creil ; M. L e- c le rc , ch a rro n à Creil ; la |b riq u e te rie de la Sociélô V eln t e t M oire, de P ré jy -su r-O ise .

N ous rev ien d ro n s d an s n o tre prochain n um éro su r cette affaire qu i soulève u n e question trè s in téressan te à étu d ier .

F e a r is ,J . R obinson,J . Coont,D . R obinson,H . C ount,C. R obin son,H a tch ,A. Lavis,Leacey,W eaver,B irch , -

L e C hantilly Football Club a gagné p ar 3 bute à 0 .

D im anche prochain , 25 novem bre, le Club se re n d ra à C ou^bevoiepoupn' Q,',,’“ ,’I’4,," ' ' ' , 1 4“ X I du S ta d e F rançais.

Les m em bres d ésiran t se re n d re au m atch dev ro n t p re n d re le tra in à 4 4 h . 59 avec les équipes, e t p rév en ir le sec ré ta ire q u aran te- h u it h e u re s à l ’avance p o u r pouvo ir avo ir d ro it à la réduction .

Le ra lly e -p ap e r o rgan isé sous le p a tro ­nage du T ra in e rs’ Club, au ra lieu le m er­cred i 28 novem bre. L’en tré e es t de 25 francs p o u r tous chevaux n ’ayan t jam ais couru en course pub lique en F ra n c e ; poids m in im um , i 65 kilog.

Les engagem ents peuvent se fa ire dès m ain ten a n t au sec ré ta ria t du Club, e t sero n t clos le 25 novem bre à dix heures du so ir.

20 engagem ents ou pas de course.A l ’issue du ra llye -paper, un ban q u e t a u ra I

lieu à l ’hôtel du G rand-C ondé.A cet effet, une souscription es t ouverte

e n tre les m em bres du Club ot les p ersonnes I qualifiées p o u r p re n d re p a r t au ra lly e . f

Une ré u n io n u lté rieu re d u Comité d ’orga­n isa tion a u ra lieu sous peu , pour les au tre s dé ta ils . 1

Etal oivil dû Ier au 31 ooftobra.Naùsances. — 2 : Johnson AUce-Stéphanle. —

2 : Pilfold Louise. — 5 : Morin Germaine-Mar- gnorite. — 10 : Tassin Georgette-Louise. - - 12 : , Heffer James-William-Henry. — 11 : Rich AI- bert-Henri. — 18 : Guillaume Marie-Jeanne- Jtdèle. — 19 : Sabouret Madelcino-Marie-Flo- rence. — 22 : Manin Henri-Frarçois. — 22 : Pluche René-Gaston-Abel. — 29 : Lefirano Abel- Emile. - 29 : Carreau Céci’o.

Décès. — 3 : Duchàtol Albert, 1 au. — 12 • Dambrin Emile, m arié, 26 ans. - 19 : Fonrque- mln Marie-Joséphiue, vouvo Lcfôvro, 84 ans.

R oogerie (M arie), d ite < T ara ta ta », qui é ta u revenuo sam edi raa tiu a M ontataire ap rès avo ir purgé un m ois do p rison pour iv resse , ayan t encore une a u tre condam na­tion tou jours p o u r co m ém o péché m ignon a é l é a r i é t é e d e nouveau d im anche so ir ni d tn g é e lu n d i m alin su r S enlis.

NOGENT-LES-VIERGESU n accident don t les su ites au ra ion t pu

ê tre graves, es t a rriv é sam edi après-m idi d an s la ru e H oche, a . D uvivief, qu i es sexagénaire e t p resque sourd , su ivait ce tte ru e avec doux cam arades, lo rsqu’on vou lan t se g a re r d ’une vo itu re, conduite par M La louelle , garçon boucher chez M. M ontienv Ît se jo ta dans les jam bes du choval qu i s ’a-’ b a ttit su r lui. Relevé en assez tris te é ta t, le b lessé a reçu les soins d u D ' Jacquet de L re il, qui a constaté une contusion de la jam b e d ro ite , une frac tu re d e deux cotes d ro ites e t une contusion du foie. N éanm oins te do cteu r espère que (a cc id e n t n ’au ra pa5 de su ite e t que le blessé se ra b ien tô t ré m -

Une enquoie es t ouverte p o u r é ta b lir le* respousabiiités.

Lo 46 novem bre, F rançois G agneur, m on­teu r au Dépôt, a été b rû lé à l 'œ il d ro it p ar un ch arb o n sauté d ’une forge ; quoique cette b iù lu re para isse p eu g rave, le ré su lta t déll-

p ro c h a in 0™ C° DQU qQ6 V6rS 10 40 décem bre

•«N6 leAndem aÏ V .la .? d0 8es cam arades d ’a - a iür< “ an d m on teu r égalem ent, figée d e 35 uns. dem euran t à Creil, s’est fa it u n e p la ie contuse au front, l ’em pêchant de

ses travaux avan t 10 85 novem brecourant.

SAINT-LEU CESSERENTL a Société des Sauveteurs de l ’Oise v ien t I

de fa ire u n e perte sensible en la personne d e M. F rançois Borde, fondateur et deuxièm e v ice -p résiden t de la Société, m édaillé du l goayernem en t, p lusieurs fois lau ré a t de la so c ié té des S auveteurs de l ’Oise, décédé, à S ain t-L eu-d E ssorent, dans sa 75» année.

L en te rre m e n t a eu lieu lund i d e rn ie r 49 i co u ran t, à dix h eu res du m atin , en l ’église de S ain l-L eu-d ’E sserent. Nous en re n d ro n s com pte dans n o ire prochain num éro .

M a d a m e G A S T I N Emmo.?,6 ln inente 8a80-femme de Rouen fait rem ai q u er com m ent les m ères qui no u rris­sen t peuvent non seu lem ent so u ten ir leu rs Œ e8/ 0irce8’ “ ®is. ailS8i fourn ir en môme Julüt ...-?! v un0 M u rrR u re des InnnA *' Vou,s ^ w e r e z cq su je t déve­loppé au m ieux dans la lettro su ivan te :

. « R ouen, le 7 fév rier 4899.« M essieurs, j éprouve u n e b ien g ran d e

o î i f i.30, 1011 vo ,ur vous exPrim er tou te m a

C S s c o l t "161 d e TÛ,r8 « J 'e n ai fa it usage m oi-m ém e d ern iô re -

m o n ta la su ite d ’un g rand affaiblissem ent provoqué p a r la fa tigue ot je puis vous d ira que grilce a 1 hm ulsion Scott, j ’a i été ra p i­dem ent ra m e n ée à un excellen t é ta t de san té.

« Votre Em ulsion Scott m ’a égalem ont été m aintes fois d un g rand secours pour facili­te r la sécrétion du lait chez de nouvelles a c - coueln.es, e t là où j ’a i été particu liè rem en t à môme do m e re n d re compte de toute l ’effi-

S vo ,re Pré Pa ra t*on, c’es t su r un bébé de 7 m ois, a tte in t d ’a troph ie m uscu­laire , effrayant à voir, e t don t l ’é ta t n e la is ­sa it plus aucun espoir.

« J ’eus l’h eu reuse in sp ira tion de conseil-S L î '0. °a ,“ n0, E m ulsion Sco11' Quelques

jo u rs ap rès , 1 en fan t é ta it déjà m ieux. A u- W ÿ h a ï. tl a un an e t c’est un rav issan t bébé, gros e t bien p o rtan t qu i do it la v ie 4 vo tre hm ulsiou Scott.

« C’est donc avec la plus gran d e conûanca te jo recom m anda l’VmniJl— c .. . , .

lo iaç■ « A . . . . » , «loa.iuurs, (a ssu ra n c e d e m e

d ls " “ e |lés- Mme Gastino, sage I femmo, 43, ru e Beffroy. »

I l es t difficile d ’expliquer en si peu de lignes les nom breuses raisons qui do iventZ Un S B 6; H ac b e le r la véritab le Em ul­sion Scott. C elle-ci, comme vous le d iro n t tous les m édecins e t sages-femm es, es t u n l- que en son genre . C’est une forme supérieu re 1 h u n e de foie de m orue com binée dans les m eilleures proportions avec des hypophos- p h ites de chaux ot de soude e t de la glvcô- n o e , cotte d e rn iè re facilitan t l ’absorption de 1 h u ile e t p ré v en an t la ferm entation . L’E m ul- sion Scott est indub itab le­m e n t l a m eilleu re m an ière d ’abso rber h u ile de foie de m orue, hvpophosphites e t gly­cérine. E lle e s t douco au goût e t ne trouble en rien la d iges- / tion. La véritab le Em ulsion ‘Scott so reco n n aît à n o tre < m arque do fabrique collée sur 1 enveloppe do chaque flacon j au then tique : l ’hom m e p o r ­tan t une grosse m orue su r son i

E chantillon d ’essai sera envoyé franco con tre 0 fr. 50 do tim bres adressés à : D elou-

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1 5 F E V R I E R 1 9 0 1I r o ta Ui loti ion t paya bU un argentI . fr.— Oa tron»e des billets d a n s to n teI l o ^ y açg.eb»1!»» prineip débit.daubie,libr*lr«3,eie. i àtaJdl. .^ r . à IVimlM EirAin lUBIRCCimA r e b . m jd f iu t à lt tm . S,

tffnicb.portul Uw>m y nlotr.

. HORS CONCOURSi MEMBRE du JURY, PARIS 1900 1 A L C O O L - - - - - - - - - -

| MENTHEI ne ^ —I X,a S e u l V é r i ta b le A I o S l do M en th e M D taaipo les MAUX do CŒUR, doTâTB,

« J i i s s a . a ’ L .1 Sa prend à la dote de quelques gouttes dans f un verre d’eau suorèe ou mieux encore dans J une teste de tisane ou de lait ohaud.j EXCELLENT..1.11, . i ImDENT8.I1. TOILETTE| R B P U Q R R l è i ' l M l T A T I O i q sI Exiger le Nom de R iC O L É S

E J A ï » » a . o t i â E u mp a r

LE DERMOTHERAPISMEÉ lao tro -V ég è ta l

Tel e s t le titre de l'ouvrage qui v ien t d ê tre publié su r l’adm irable découverte d e I Académie D erm othérapique.

L ’étude de chaque groupe de m aladie*, appuyée de faits de guérison d’une rigoureuse exactitude, a tte s te la pu issance curative du Derm othérapism e qui d ispense de l’usage de» drogues em poisonnées.

Cette im portante brochure e s t envoyée g r a tu i t e m e n t par le D irecteur de l’Académie Derm othérapique, 46, Rue de Clichy, à Parie* à toutes les personnes qui lui en font le dem ande; e lle e s t indispensable à tous ceux qui souffrent et qui veulent auirir, quelle que soil la natu re de la m aladie.

Mi G éran t : B ra q u iv .

I m j r i n e r ie adm in is tra tiv e e t cent aeru iaie d e S en lis.

i o n m A B /c A tV * r rr

A ir , 4*M- L o u is KSCAYY,

docteur an dro it, avoué à S e ilii , r t c de Tillevert, ■» 7 ,

BBAIICBJJIP8 : H W f .

• W u d .

4 Pièces de Terre

aive. terroir 6. FONTPOIWT (Oise).

L*ldjudieativa » n r . li.a lo D I w m I i o * 3 » D é c e m b r e

. 3 0 0 0 ,i d m u h t u n i de relevée,A l l . M l l . A . I . ( . t r i .

b r ' î . t e î K i . ,«ottlW 3 font-^ttntfrMXXélKIl.

«es fit terra, lien

dit le Petit F rayer de Saint-Paterne, tenant d ’un côté au nord M. Conet, d’aulre côté M. Edmond Mancheron, d ’un bout au levant le chemin des Près de Njéry, et d ’autre bout le ehemin du Frayer.

Cadastrés section A, numéro 57.MIm à p rix : 300 fr.

DM Xtème Lot.

,Æ ‘A « V ev“Js a î rcôte Madame veuve

centlB-

Mélard, d'antre

M entor i d’on

bout la ruelle du Val Mélard, et d ’au­tre bout la ruelle du Grand Clos.

Cadastrés section F , numéro 538 partie.

M ise à prix : 200 fr.T roisièm e Lot.

Vingt-sept ares quatre-vingt-dix-

R S é e o u *8 de terr0’Uen d i l" ocheau levant à M. Naxe, au o o û i^ m tà Madame veuve Délye, au nord à M. Dnohauffour, au midi à M. Copeaux.

Cadastrés section A, numéro 380.Mise à prix t JWflr,

Aux termes du jugement qui or­donne la vento, oes deux immeubles pourront être réunis en un seul lot.

Q uatrièm e Lot.Quarante-trois ares nn oentiare de

terre, lieu dit lo Hamélard on le Val Mélard; plantés en partie d ’arbres fruitiers, tenant d’un côté au nord la famille Meroier-Drouard, d ’autre côté les représentants de M. du Colombier, d un bout au çhemin du Val Mélard,d’au tre , bout la famille ---------PTOttltf.

Cadastrés section F, nnmoros l partie, 540 partie, 511 et 512.

Mise à p rix : 5B0 Ir.

Ces immeublos dépendont de la succession de M. Péniguel, décédé à Pontpoint.

L’adjudication aura lieu en exécu- ention d ’un jugement rendu par le Tribunal oivil da senlis, le dix-iept Octobre dentier, enregistré, et sous

1rs charges, clauses et conditions du caliior dos charges dressé par M* Boauchomps, notaire à Pùnt-SàinV- Maxence, et déposé on son Etude où chacun peut en prendre connaissanoe et sur los mises à prix sns-indiquées fixés par le jugement sus-énoncé.

Fait et rédigé par l’avoué poursui­vant soussigné.

Senlis, le 22 Novembre 1900.Signé ; Louis ESCAVY.

Et enregistré.

S ’adresser p o u r lo tit renseignements:1* A M* Louis ESCAVY, avoué à

8anlis, poursuivant la vante;2’ A M’ BEAUCHAMPS, notaire A

Pont-Sainte-Maxence, dépositaire du cahier dès charges;

3* Et à M’ POTENCIER, greffier de la Justice de Paix à Pont-Sainte* Maxence.

Tour insertion : Signé : L. ESCAVY.

Ii*1i

i"1'

A b b m m m J u d i c i a i r e * .

A n i e u 1"

S’adresser pour les renseignements :1* A M* ESCAVY, avoué à Seuil»,

poursuivant la vente;* i poursuivant ta v ente ;Itodo de ■* Oscar SAVARY, avoué I „ A M‘ RICHARD, notaire à Tont-

à Senlis I Sainte-Maxenco.Plaoe Henri IV, n* 16. *—■ ■ ------

" w n i « r rm r» w o , Sur baisse de mises à prix,

de

D eux Pièces de Terresises terroir de

NOGKNT LES-VIERGES lieu dit les Saintes-Maures,

E n deux Lott.

L’adjudioaUon aura lieu le M a r d i 1 8 D é c e m b r e 1 9 0 0 ,

heu rt de m id i,En l'audience des criées du Tribunal

civil de première instance de Senlis, au Palais de Justice do ladite ville, fue de la République.

I Etudes de1M" Louis ESCAVY, doc­

teu r en droit, avoué à Senlis, suec de M* Déiislm ;

LOMBOIS, notaire à Précy-sur-Oise.

V E N T E S U R L I C I T A T I O NEntre Majeurs,

D ' U N E M A I S O NCirconstances * D épend ance,

Sises h PRÉCY-SUR-OISE, en la Grande Rue.

L’adjudication aura lieu le D i m a n c h e 3 D é c e m b r e

à deux heures de relevée.En l'Etude et par le ministère

de M* Louboi8, notaire à Précy- sur-Oise,

commis à cet effet.1 .1 &adresser pour les renseignements :

■ r A M* ESCAVY, avoué à Senlis, poursuivant la vente;

2* Et à M* LOMBOIS, notaire à

En exécution d ’un jugement con­tradictoirement rendu par lo Tribunal civilde Senlis, le six Octobre mil neuf sent, enregistré et signiüé;

Et aux requête, poursuite et dili gence de :

1* Madame Alphonsine-Léonie Mei- 1 ». . . 1 m in im e . . »guen, veuve de M.Paul-Emile Lioae-I IXJMBOIS, notaire àrsux , ladite dame demeurant à N c d f l ^ C ^ ? 180’ déP°81lairedQ« h ie r gent-les-Vierges; 1008 cnarK°3*

9* Madame Adrienne-Joséphine- “ ’ *---------- J~ ~ ) de M ’

m ^fluaiuo AUIIC1UIO-Marie Lignereux, épouse de i l J0-1 seph-Paimyre Msgrio, doutier, et ce I . .dernier tant en son nom personnel I Eludes de que pour assister et autoriser la dame ' n é p r------------ *— ■ *■ *i uo «uni»km ci üuiui isur 1a aame 1son épouse,avec lequel elle demeure à Nogent-les-Vierges ; I

Ayant pour avoué constitué M 'Os-1 ca r Savary, demeurant à Senlis, 15, F Place de radiel-de-Ville;

M’ MARTIN, avoué i Senlis. rue duChâ- tel,n*35;

et de M' OUICHARO.no- _taire & Lian court.

■ w Y » m rmr> -mqSur licttriJou Judiciaire

aux enehèrea publiques,

N jp ré» » » . 0» « « . M w - L ï j g * * J S S A a f f l S ï l ,V à ce commis par justice,

8JanSs,as Wattellier, ouvrier | l * M ercred i 5 Déoem bM io n » d ’usine, demeurant à Villers-Saint-1 1800,Paul,

u uouoniuro ■trois heures après-midi,

I de

Æ r i ' ï î ï U N E M A IS O Nf c p A d h . Ligne-1 Sise ,

Elude-do DELAUNAY, uolalro à Senlis.

A L’AMIABLI

Ferme de™ 00 Iiect.ENVIRON

S is. A B A U O N .

S'adresser pour tous renseignement. * N' DEUUNAI. J 3S

■ - . a ' U U K I X K

Ferm e de 167 Ilect.àTUEUVILLE(S.-«t-0 .)

à 25 minutes do la gare d ’Epiais- Rbus.

/'Ligne de Valmondois i Marines), S’adresser à M. MORAND, géomètre

a Marines (S.-et 0 .) 499

S ur la* Sabla*,Terroir de S e n l i s ,

17 hect. environ de TerreEntrée en jouissance a u 11 novembre

prochain.

JUUENM8er à M" T6Uve LEFJÈV^ j

A C éd er d e S u iteFerme de 8 0 Hectares

E n bon ita t de culture Sise à PUISEUX-LE8-L0UVRE8. S’adresser à M* Daxokb, notaire

à Louvres. 125

« re u x . »Ayant pour avoué M* Auguste

Sainte-Beuve, demeurant à Senlis, n e de la République, numéro 17;

2* M. Cbarles-Isidore Lignereux, Journalier, demeurant à Fleurines,

et portant pour enseigne ;Au C heval Blano »

S’adresser pour les renseignements: 1* AM*GUICIIARD, notaire à Lian-

j court (Oise), commis pour là vonte - Au nom ot comme subro- dépositaire du cabior âes charges et

« gé-tuteur ad hoc du mineur des titres de propriété :. Lignereux sus-uommé; a 2° A M1 DESABIE, notaire à Creil*

Il sera procédé, le Mardi dix-hu it 3* A M* MARTIN, avoué i Senlis’ Octobre m il n e u f cent, heure de 1118 ^ Cbôtel, n* 35, poursuivant là m id i, en l’audience des criées d u l veate*Tribunal civil de Senlis, au Palais de I M'SAINTE-BEUVE, avouéJustice de ladite ville, rue do la B é-1en ,a mSme v,üe' «o-lieitont.

et dernier enchérisseur, & l’extino- lion des feux, en deux lots, des deux pièceB de terre cl-aprè3 désignées et Burjles mises à prix suivantes :

D E S I G N A T I O NIT

B A I S E S A P R I XP rem ier Lot.

Quatre ares soixante-dix-huit cen­tiares de terre, .terroir de Nogent- 1 les-Vierges, lieu dit les Saintes- Maures ou les Vignes de l ’Aubier, tenant d 'un côté à Pouvillon (Xavier), i d ’autre côté aux héritiers Lignereux, d ’un bout au sentier, et d ’autre bout F 1 Lebelle et aux héritiers Lignereux.

Mise à prix : 60 fr.Deuxièm e Lot. .

Cinq ares dix-huit ccnttarres de terre , mômes terroir et lieu d i t . 1

publique,à la venteau plus offrantIet dernier enchérisseur, à l’extino- ElU(l0 deM' Anff|Is1to SAINTE-BEUVE,• * . - . I .'IVIIIIA A SI An 11 uavoué h Seulis.

- ÿ y - C B i E ^ T T i t n »AUX KNCHBlUiS PUBUQUKS

D ’ U N E M A I S O NSi.-e A T H O S S Y ,

commune de M iel-M aiimin. rue des Orfèvres,

avecC lroonstanoes * D épendances,

JA R D INEn u n seul lot.

L’adjudication aura lieu D i m a n c h e 3& D é c e m b r e

à deux heures de relevée,Eu la Mairie de Salnt-Maximin,

Par le ministère de M* Dxsabi* notaire à Creil.

- . j u . 00 .c i a v u «h . .o u m u , , o o n ,m ls àtenant d ’un cété aux héritiers Ligne-1STadresser pour les renseignements • reux, d ’autre cété à la veuve Véret I* A M* SAINTF-nf.Trvs’ 7 i(Sylvie) d’un bout au sonlitr, d'nutro Sonlis, poursuivau! la vëufe'*nom n Rmiiav /P n iil) . I A ,

l 1 “ S E S A M E , notairea creil, dépositaire du cahier descharges.

TEBBAI» PÏOPBI A BA1IB^ o h à L o u e r

Contenance : 1 . 8 1 0 " Faisant face è la gare do Senlis,

devanture routedeCrépy, environ 65" S e p r e s s e r .

S ’adresser au Bureau du Journal 491

bout à Roiney (Paul), Mise à p rix :

Total des mises è

50 fr.

1 0 0 ,riprix.

Fait et rédigé par l’avoué poursui­vant soussigné.

Senlis, lo 21 Novembre 19<'0.Signé : 0 . SAVARY.

Xt ei rojistré.

S'adresser pour lts nnscignem ents :1* A M' S4VARY, avoué h Senlis,

poursuivant la vente;2' A M* SAlNTE-BlilIVE, avoué i

Senlis, présent à la vente;3’ A M’ LEROY, nolare è Lian-

court;4' An Greffe du Tribunal civil do

première instance de Senlis. cahier des ch a rg e est déposé.

Pour insertion : Sigué : 0 . SAVARY.

Aux. 2.M. Mantbau a vendu à M. Pins «n

son fond de vins-hôtel, sis à Larnor- loye;

L’entrée on jouissance aura li*>u le Vingt-hnit Novembre mil neuf cent;

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues chez M. P inson, à Lumorioye dans le fonds vendu

Etude de M‘ üeorgoB MORAND, Licencié ou Droit,

avoué ù Sonlis, rue Samt-Hilaire, u* 10,

(Suceosseur do Lbvikux).

S U R WAl&lJS IM M OU ILIB r r dr : l«

U N E M A IS O NStsoa L a M o r l a y e ,

rue do la Cannerie;2* ET

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