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70* Année. — JV° 7S. abonnements Dfaar Ali Paraissant le Dimanche et le Jeudi. l*fr. 12 fr. Wl r Siimoiv.., 6 fr. 0 fr. TroU mois. a te. 3 60 4 £ ON S'ABONNE : A Seuils, auxbureaux du Jourual, 9 el 11 olaeede raêtel-de-TUIe, obez tons lei libraires du députemenL et dans tous les bureaux de poste de Franweld’Algérie; L'abonnement est payable d’avanoe. n n'est Jamais Interrompu et est considère comme renoureld, lorsqu'à respiration on ne données contre-ordre. L D E S E N L M i ’-O Z SE BULLETIN Sentis, 9 Septembre. Est-ce aujourd’hui que sera rendu l’ar rêt du conseil de guerre dans l'émouvant nrooês de Rennes? A l’heure où nous iertvons ces lignes, M’Démangé continue sa plaidoirie commencée hier, après une le commandant Carrière eût terminé en une heure et demie, jeudi, son, réquisi toire concluant à la condamnation. Ou annonce pour aujourd’hui une seconde audience 1 après-midi au cas où les débats ne seraient pas terminés ce matin Tout commentaire, à cette heure, serait super- flu, et nous attendons, avec condance, prêt à 1 accepter sans arrière-pensée quelle qu elle soit, la décision suprême des loyaux soldats qui vont se prononcer, en toute indépendance, sur le sort de l’un de leurs camarades. Plus l’heure approche du verdict, plus 1 émotion s acoroit dans chacun des deux camps entre lesquels l’opinion française est divisée. E t 0 est & peine si, au mo ment d un jugement qui peut avoir de si graves conséquences, on prête attention A tous les autres faits, pourtant siimpor- tants, qui se déroulent en dehors de 1 Affaire, avec ou sans lien avec elle, comme le procès de la Haute-Cour, les perquisitions destinées à enrichir le dos erez du « comptai ,, et le siège du fort Chabrol, qui résiste depuis vingt-sept jours. Notons cependant que ces perqui sitions continuent de toutes parts, et que ! P» grn S0cret e,t ffardê sur leurs résultats. Quant au fort Chabrol, les en virons en sont toujours paisibles. L’effec tif des gardes munioipaux et des gen- îf'T l a étd mco™ diminué, et le service d ordre, commandé par MM. Orsatti et Borde, commissaire divisionnaire et com- missaire de police, est assuré principale- ment par des agents de la Sûreté. Les difficultés qu’on signalait au suist du choix de l’endroit où «ûégera la HaSte- Cour, palais du Luxembourg ou palais de ït^ ? rfommes de I !va 1 . aeroiif 'ucessamment expédiés I ho^CHté^est imminentè. ponTer*ur* des informations Le PrMdaut à P.ri,. m Ü S S S S X RSr"bli»M » . Loubet p u m a deux ou trois j o u i l Parie. Dnel politique. B «Sèîe7M 0n(U p an pi,tA°Iet’ entr# M. Maurice «sfd&ïAJKrs;ép:,r.a “«*** «*■ Quatre ballea ont été échangée! aana réaultat. ' Miae en liberté. \ M.. Liaaajoux, ancien rédacteur au Petit Jour D rin ch c 10 Septem bre 1899. B U R E A U X Réflni'llnii 0, Aclmlnieirotion, 9 et 11. place de rflAlel-do-ville, à Scnlis. I t Joi/hual 1 ,K S su u s M Il/liant pour publier dam '« l»SraT ,o'S JUmciAIMS. PRIX DES INSERTIONS ■ Annonces : la llgno o.So o. Bdclame, : la ligue, 0,40 c. _ Fini, divers : la ligne, 0,50 c. On n accepte pas d’insertion au-dessous de 1 fr. K œ Sou».,^,., concernant Paris et dû S S T S0“ ' rC5n“S dlrm em o" ' bureaux La Haute-Cour. La lettre de convocation. 10 10x16 M la ,6ltre ^ convocation adressée, mercredi matin, aux membres du I “ AUTE-COUR Paris, le 6 septembre 1899. JUSTICE ................ - t a ü ' i a M“ns|aiir le Sénateur, âffiSPPSSÉ A g * * VArp i s s i r « , r< ,8U io dlnsdrucüon de ^Haute-Cour4 Comm'ssio11 AUTOUR du co m p lo t Les impliqués. i J ? 'C1V180' omission, la liste des personnes c o n ^ t s û S d e l T t l î “r dû“S'e C6mp'0t létenu)PaUl Rêroulède, députe de la Charente 2* M. d (détenu) ; (détenu) : *— -- létenu)"9 MonlMurl' courrier du duo d'Orléans lutjieuuj ; “w i, îf* Ge°rges Thlébaud, publlciste (en fuite)’ . i JE Æ L 9! délégué général de la S . u imîlJ è'uunuiaw» len mite) : an ^ iS efél5idée,S l& lda,a^ torÆ ,k M m i 4 111 7 M. Barilller. hminhar mo <■ . ___,,, Mort d'un aavant. I «d-*-» Mort d’un évéqua i& w .n s a a ia r Frfroi’ inlon..ur.Seme, pni. vidre g.nér.ldudioeL. t îftê lS îtf* pr”“ a w >« “ Mort d'un dlreeteur de Jonrnel. L» guerre aux Philippine». S r n- -‘ “ S t't& a rn is £ °minission d’instruction de la Hante nt J) es£ comPosée de neuf membres titulaires cV u ae 3 e membreS 8“ppl6a1118' « . Le président élu en janvier dèrnier est v , . „ , M’ bërenger bre de V ^ e S J S ^ '- 10 22 avriI 1830. mem- iînnaa *^®®démie des sciences morales et noll- & êSmo p j rf élaûaS du Rhône Ifli in S volontaire aux mobiles et fnt ,a clmP ^ ne de France 1870-71 Msipaœ îk æ & æ ?rs?»eir“ ' ib,e,8“ ^ A élé élu vice-président du Sénat en 1894 Les membres litulaires sont : M. CIIOVET Compiègne, consejlter général.flvocat| Elu pour la première fois au Sénat on 1888 M. FRANCK CHAUVEAU a élé K iL T rfn Ere“ lère Ma sénateur en a eie président du Centre-Gauche du Sénal. M. DEVEtLE - —“ oue rrana (détenu); te n u " ' BariUlor' bouohw. ™ des Martyrs (dé- (détenu')f“8è“° S ,rm ln' rédacteur à l'AnHjuif tenu ’ ®BVer1, boyaQéier. 58,'ruo Compans (dé- Æ 'dJTyïïlI'idéZm T ie ™ n,le ani d0,iand0 tuI protes^ôn (délemO8, “ d“ P^<0éd'!',,' mCme (dé1(™ n"Glrard’S“ rë'aire de “ ■ ■>»>.. Guérin éoSASrd^K&Sûf lo M. Ia pnmlu 1 ».. a. n\i | p( Un déraillement au 8oudan. I .o S u T é W i Berl” r. »"'»» •'*1» bondé d. om «té tranchées : c’est au Half* é élb.ra, ,Té;.2i4 ’ra.Tteû'bA 8AW‘dy- Luxembourg qu’auront lieu les audhmces "S*- "" Pèlerinage. *" hier’ DéutreC" B S B * p A .fer* W M S mm î ,» néte .aenreganx anaitre. de anr d a u ," ^ . M * u " m 1 - » Jour-U déeUieu, des ordres oSt,ÏÏTonnés pour 1 aménagement d’un oertain nombre de Luifimb 0bambr63 d’instruction, au Luxembourg même, afin d’éviter le trkns- port quotidien des prévenus de leur pri son au heu de réunion de la Haute-Cour nembr* a prévoir- d’ailleurs, que lé nombre des prévenus non libres sera tef. V e8ireinî’ oar on Pense qu’un cer- tain nombre des personnes arrêtées ^ tuellement bénéficieront, lors de l’ou- prov?soiredS **’ d’une “liaé en liberté «pS ïi,T ïr:.v ,» ; m” !°|ru V „ tr0UI;68 “"Biaises a„r,“si E l » e Z f Sïaal P°ur intimider les ,La conséquence à tirer de ces dé- * la guerre6 cû’u f ? °r0ir ‘ a b s o l “ " 1n n t I ment D!a Û t r « ™ 4 y PréP«rent résolu- I a eu lieu hter aPÎ 00118611 d o c a b i n e t I s été déeidi i. re8' au coure duquel dépêche rêdlùé. ? T ra " , ™ a > d?“ » 6 h n W réZ * 60 t6rm6» tels, I Autant ,iF. évasive serait impossible. | Autan, dlcs un ultimatum 1 EnPfln une de 1 Inde annonce que plusieurs rÏÏr™ Çl 1i,rdre,tl? a’emhar- ar-îipDaoi nomm"sénateur en01^ 5.8dndrfl* de M. CORDELLET neeiu en 1891 au premier tour. « ... " '. alcide DUSOUER qner Pour l’Afrique du Sud le l^ sep ! Un notaire aaauainé. w âL Ü îîÆ .-R * fa” ’ “ oal ai“ "t, Au bruit dea détoDationa Ipi aIam. ... i 2 : re V o i ïn s : n*n t ‘ s sh ïs fs e * au t., atl.nd.nt 1. venu, d/. g.nd.” » °“‘ dent longtemp. ptineiph olere, obex 1 ? 01?rif“ laù.V 0"18,I,li“ p‘" “ ““ chantant I. Itaruil. ! S» viennent Jwqw aoa braa______ ■ Egorger noa flia, no» oompagnea... » <” "t“ K'"inl’ *' “ teepa1- maTbel w ïnM W .j8“ * h™ “ 0’ « ... , M- CAZOT Æ iS lïS 's-ctt et™de9 B e?dM nïl0!Elu" dé Toure 18 décembre m is F cénaleur Inamovible le M. MOREUET M. TILLAVE «in»fqlû ', • ^ r ^ p d^ , j T ^X r ' ,S • e^,,)'e,, m ”1 T ilH ai« rî ' cccenimem décédéF ' lMaC’ qualité d S n l s i r e " S 9,r a tu x oSmieâ e?d0a “ que& M? déali«8i0" même “S p ’i JUGES SUPPLÉANTS ninao’, ïonreervln9 , MaxlmeD Lecomte ^Ratier: îfl” m in . uu. c a.ur,ôan8 (ddtenu) : fa Ftote (d'é'teSÿ1™ d‘r« eu rndu Cfafron * d eÏÏA RoeS 9;t|l(d“ te„3„9lîraPae,101,s d’évasion provisoire"9'"9’"* 8ar«on boncb8r (*" liberté (en Ub"rlé'proviso’ire)1’0n b°U9ll9r' rU“ Coa,Pa“s 21- u ' nïriïX lala A ' e , r < i0“ boucher (délonu) ; tenu); D om cta cadel, garçon bouclier (dâ- tenu);*' Dortackl Jeune, garçon boucher (dé- pef3ûrésidemèd«?,0d.9froy’ avocal 4 la “ urd'ap- 24 £SiF SKSfs''«^ ( d l ^ Sf : ’°pa'^ 19^ uPly^ 8d6^ 6^ rc n d Ps6emem > S ijW S 5 W 5 ? ,i" . t6a6n' da la 28- M Rnh?néJ!ial(n.n l,^erlé provisoire); 29 - m f î r ÿ.PJan (prévenu libre) ; (prévenu I f i ) ,Guén11' (rère d» M- Jules Guérie »?. ï- d6,1 .68 Sevrin (prévenu libre); 32' M a a S (prévenu libre ; venû l"’re); SC9rélalr9 d» »'■ Drnmonl (pré- (pr^en"ù libre) ;h°Pia' atocal 4 '« Cour d'appel libre) de Ramel’ député du Gard (prévenu ÏÏ. {[• Parseval (prévenu libre) : 37- m iA ° 5 ed? Lur-Saiuces (prévenu libre) • Ü. «ebaron de Vaux (prévenu libre); q§* m S U? eu? (Préven« libre) ; } ' libre); Rad,g0,s’ ancieQ imprimeur (prévenu m i te f e u ) ? 0, Prt5ld9nt d° 19 ,eUnes8e aali8d' T Ï T ? de'caenfdétenu)5; 0’618*1*9 d“ aa^l.d d® C ^u (détenu)''PrdS*den* du ‘ r m >° Renne?(dé?ènu?’ a‘re du 8rouP0 antisémite de (prévenu Ubr™' Habart’ dl!puld d6 Rambouillet Le procès Dreyfus. Audiunoe du meroredi 6 suptombre. dnrA^flant ., aadience de huis-clos, qui a duré deux heures, on a entendu M. Cser- secret? PU'S & 6“ li8U ,,examen du dossier L audience pubjique a élé ouverte à8 h 45 devant une salle comble. f l r ' e^ . « ncien Ministre de la jus- nronflm ianrHirU n.est intorveQu que pour prendie la défensn 3 a m nFanH™ h, dAf . mtervenu que poui conho nû i ï “ ° d0 Scheurer-Kestner, ? a 010 lmP°steur, apportant dé lé™oi?na80 s (Savigniaud). p è iilb ïï6»11* sexl>l'lJu6 eusui(e sur lo r o ^ a Ù 4111!!1 ?.-d Ü d ” 6 le c o m m a n d a n t L a u th a pliquéc® nUe“Ce d0 “ uchmations com” M. Trarieux présente la défense du lioute- Fhnnr™ 2 ”? Ricquart et constate que l'au- thenticité du « peut bleu » est prouvée. Le commandant Lauth reproche au lieu- euant-co'onei Picquarld'avoir toujours Z i fessé un profond mépris pour les offleiers do son bureau. Il raconte qu’un jour, à l’arrivée d 6.nnTE?r0Ur d0 Russie, le lieutenant! fiinr! J ,.C(Iul? |rt a mis en présence de .M*3** Henry et Lauth, une femme qui n’était nas frtmnP H6 en ,eur coœPagnie. « C’était une femme de magistrat! » Lo lieutenant colonel Picquarl proteste. £e général Zurlinden vient à la barre et Hu 11 n attacha pas d’importance au du.4 petu. bl0u » Ï ü ajoute qu’il fu“ finiro ministre de la justice à tra- fa u x H« va n f8 H .n a P t*c 9 10De 1 Picquart pour faux devant la juridiction militaire. Le colonel Jouaust fait remarquer au té- mp Pinïni ‘î® S a.glt^Pas actuellement de ju ger Picquart, mais Dreyfus. J ftaMao«abori Protesto et réplique qu’il s’agit ferhazy prouvanl la trahison d’Es- M. Trarieux s'attache à démolir racnisn- iîî.P ÿ ?,0 C(ÎPlr0 ,e lieutenant-colono! Pic- S L a 61 ^gent de ,a famille Dreyfus dé rfle-du-DUble.er aU 0011119111116 mission dans la communication des déDô- clies seerttes, lors du procès de 4894 du PaTv de ( t e !l,i0“ ' 10 lieul8"C"l-iolonel uu » aty de Clam termine en déclarant nn« jamais il n’a dit A Dreyfus - . il „P„ q. 6 sait que vous éles innocent, "» Il confirme re silinn0 14 dlt df 08 868 pvêéédentes dépo- 110 8 »h sujet dos rapports qu'il .u t avec À .B sé' ,cit6 la lellr* de Mme Drevfus avne eije” rapporl8 00“rl°l8 ««H «"l * * * domain'’.'00' 6 6S‘ lovéo 01 ran™Jê8 an len- clm 'r’E iourll6al18 Publient une dépê- GêrHére a rççn diAtLènF6a|^ ec0(^^~ ad6I1( K ah '? !u rUi,rappela,-U les termes de ràr! r de cassaUon, insistant sur nécessite, pour le commissaire du couver snr i!Qd«v r S S0Q fdqoisitoire, de ne pas soütr de. limites tracées par l'arrêt de la .mL„6 npré8.idellt du ®6*nal “ déjà en l'occa- rid du nS» u W r ,d0 (““ ênagement matô- réunitffilaHim^cr^irraûradivelî lrarT . d'installation à effectuer™ t ÔÎS une des raisons pour Iesoueilos Ia nnn... i1?1?0?? 8 iubsliluô ia date du 48 à celle du U septembre, qui avait été primitivement .„~n Parllcuiier, on va prendre des mo- mnf8, p0Ur quo *68 prévenus, qui seront maintenus en état de détention préventive puissent être incarcérés au^ Luxembourg même tent pendant la durée d ë l C f f i d'aîim I p6nda,lt “ lie des débats, afin ren ixiér?ur lran,P°rt quotidien d'une pri son extérieure jusqn au palais du Sénat I , , VlD8t'six inculpés se trouvent donc A | 1 heure actuelle, à la prison de la SaSfé.’ * * * sont6; a?0Cal9 ,Ui défendro“‘ les inculpés A n te “n e F a u r Ae 0 d r é DUtr6t’ M” Normand 61 Pmrr M u T M daClle,iIly' M* Rézenas. PnnbëÜT d Menieourt, comte de Sabran- Cafrm Fréchencourt, M" César de‘S l t e o CoOm l0d6,-Ur-Sa,O™s' “ * Boyob j,’oor le eomte de Ramel, M* Loyson. nouvtlîe! °° d° Vaua’ 0h0PPm d’Ar- et Bertrou.I)6roal6d6’ M" Falaleuf, Reulier p if000 M» ' Ja|es et Louis Guérin, comte de R™netaM Îj„S /„td S S6ï6ri0’ lal“b8’ PpS? fei freéÆS enD rê„Tck" aR?JkCiefr? r Fna ^ - M “SëFa"iîoënEvt„PT i 168 défenseurs; Jacquemont, etc. Gr6pat’ Bai™ 1011- — ‘ Eiu-uu-T/iauio. vii ' ailc.i6n ministre critique d’une façon très vive le jugement rendu en /avem- d'Esier- Î S ^ r8 JiFésident proteste conlro les appréciations de M. Trarieux. Le général Billot s'associe à ia protesta lien d u colonel Jouaust. protesta- Sur une interpellation de M" Lahnri I. bifitedn m r01 déclar8 prondr6 la resPou’sa- bl ll0.d0 ld Femiso du document libérateur a Esleihazy et dit que la culpabilité de ce dermer n innocenterait pas Dreyfus , Lab?n veut relever ces paroles et in tervient vivoment. ' “ m Le président lui relire la parole (Mur mures et applaudissements.) Le cilm,ëi Jouaust menace alors do faire évacuer la feuilleton LE PETIT-FILS I ''V’ ' '' * DE ' D A R T A G N A N ru Al S,RVE|V * A. 81ÉG1ÎL IS 'Tfo.PnUlso éDB?,tpas 1>ré™n“ do votre ar- N dflIlvoyé secret nn . votre seule qualité l ! f r Prentpiemëë? m 'Û.K’”?6,"0 F88 d'»rri- fK » » ^ û « ,/ q a„ r r i t ae0n ,re! riS iS j^ te? 1 '610”1- l , j ' D’"s™te vnmlouri?,q“'ê Nancy. ■»era russes faite , internés des olll- B v 11y ans™ pri80,n"ier» * Zurich. T?Porfe qu,, J 'n6ni deux hommes dont il d6b* V n é r è n ? '? n 108 R™8' C* ecneranx : pnn e„ |e ■ t#al# zâÿ 5 DortelL a° ’ rat“ r6 081 10 prinoe DimiW ment dArtegnan 6’ D0™ ff’ répdta bri6y°- fi8na,^s0^ m Uû;oru?s^lu,,,rÛ„P^ i , ^ e ë r r ; „ , — On le dit, répondit d'Artagnan sans aucune fausse modestie choisirez c lfu T qSJïoL^Ufendra^Æ comme compagnon de voyage. — Sous quel prétexte ? d’a> lout prévu. Vous direz à ce gen tilhomme que le Premier Consul, désireux n ê.,y0 ORvéabl0 au tsar, en abrégeant la cap- ë'nrem "a de 868 offleiera les plus dévoués, a profité de votre voyage à Pétersbourg pour le renvoyer plus têt à son maître, en“ Si faisant faire fa route dans votre berline _ car vous voyagerez naturellement en ber line. Eu échange de ce service, votre c o ïl pagnon vous rendra celui de vois présenter à I Empereur, afin de presser l'heureuse conclusion de vos affairés personnellra m seules qui, aux yeux de tout le monde mus amènent en Russie. Est-ce dit ? — C’est dit, mon général. d .r i/S ü iü if f f 680,'0 d,6 T0»8 recomman der la célérité. Le dernier courrier du tsar SaSnLPétënûbourg!*6 J° “r' m t "R 11- de — Je lâcherai de n’en mettre que douze qSîlTe Arta*Ran aT,° RR* ««urance tran- sZ.Ca r!'m ,pour ,ll6r de Paris t Saint-Pétersbourg I w réoria Bonaparto" , Le commandant Galopin, dans sa dénn- St ion, dit que jamais ûreyfus “lui 5t manda do renseignemenis; mais il aioutn qu'il v,t un jour, dans la rie .T c c û s é C - grâëhfque ° tS S6' r6‘8 au serïico l(0- Alfred Dreyfus dit qu'il ne se souvient pas d avoir emporté des papiers chez lui. Le commandant du génie llirschauer ancien stagiaire, entendit Dreyfus e x p riS je désir d assister aux manœuvres. Copen dam, ajoute le témoin, il élait impossible nœu'vres.8 63 d° 1e‘J‘ d'aller aux ma! Le colonel du Paty de Clam. — Le eref- du Paty de cfa°m.tl0a “U déconsidérer comme officier judiciaire en 1894, le lieutenant-colonel du l'atvdo Clam cassation. Sili611 < ïu’entoudit la Cour de Le lieutenant-colonel du Patv rie n.m rappel e son rêle d'olficier de police jPud? fw î™ °n8 d“ Preeés Dreyfus, et déclaré que 1 ordre de I arrestation de l'accusé émit donné avant 1 éprouve de la dictée r répète à ce sujet que cette preuve avait été fourate devant a Cour de cassation et dément la ^ la™lion qu 0» lui prête au sujet de la dépêche Pamzzardi. Le lieutenant-colonel du Paty de Clam déclare ensuite qu'il fii - Vnc u i Sandherr des commentaires s!,r « 5 °"el secret destiné à éUbiir la ™Ûh, son de^Dre!' fus, puis ajoute qu'il fut iC n t de f f i - ' Audience du jeudi 7 septembre. L audience du conseil de guerre est m. verte à six heures et demie. U~ enntf m i ,r^*Ia^ ih'(}n de M. Savigniaud le ^n8-. i1 d,onD© acte de ce que M. Trarfêux M^r i - lémoin ©t d’imposteur M Lnbori annonce que MM. de Schwari? koppen et Panizzardi ne viendront n i dé poser, pour raison d’ordre Dubli> n,ot (*apfin,|tp?ndro?1 par commission rogatoire la >L L y cll el!:r‘t-le chefdo laSdreté,raconte la Mène de la dictée que l'on lit faire a l'ac- J* «roifier Coupois lit la lettre du cani tamellumbert déclarant qu’Alfred D revois mani esta te désir d'entier au se rv ic e ^ renseignements, mais que le colonel S-imi b01T '"(“«d'accueilliA a demande “nd' L accusé dément le fait. Panizzardî. P0S1I'°0 aU 8UJ'e‘ de ,a dépéeltè Le général rappelle les variations Ra i^ déposition du capitaine Frevsiælter et rîiA ses actes de désobéissance, pu freîécu.ion M d° 41alBacb®8 ovèonnée par ta b 'r^ ^RrcioO'^hh’roubîe^d'es'prit^u^ëp^ zz T p I: nuzky comme dénu^d’honnêlete eM eCm r" soignements à l'agent A, 811 d a* J ê n - et.fa a & a ' b6= . 'iïiïz z 's ; Ksi6rtia2y' Le commandant Hartmann répète «es ex L audience est suspendue. co.nmeuc7sr r ê q 1uisite“ oma0danl Carrièr0 Le réquisitoire. sai?0éSH?, ddbul du Fêquisitoire du commis saire du gouvernement, tous fa. «ml?!. La salle est archi-hondée : le nuhlic .'z craso littéralement. p é" Le commandant Carrière- commence^ S ï ï * . monsieur le Gascon, qu'il nas dnrmfû p0ar, T0US ré8igoer a ne pas dormir une seule fois dans un lit? a u 7 u rn ? J 0 ?’? S 0U faci.,e' mon »én^ral, et, nln«f m»! inîa^ n,e < ïuon ne doit pas être fine qu an bivouac!0 da°8 ""R bo““6 b9r! jeM ufad'dR008 °’aT6Z rllmoablié dhMQfe mon^irom'son' ïï mettant la main sur son cœur. , ~ £.e votre côté, n’avez-vous rien à ma demander avant de partir? y°}£? bienveillance, mon général Sveur! BU P°inl de soI,iciter QQ© légère — Laquelle? Dans la 32e demi-brigade actnelln- ment en garnison à Paris, il existe un d°D,t je suis sûr. Il est brave, intel- dévouement9 pl°S d’un6 Pronvo da vous serrir?^’™2 elnmener rot homme pour — Oui, mon général. — Très bien. Son nom ? — Goliath, tambour. — Goliath, tambour A la 32 » demi.hri rien%wfrelaiien ? r in,0r F0,Î.8U,• Inu,iIe d® X™ na'Jho“ 60a v r te .0& „ , e d{au vous's'ùivre.taml><>0r Golia,,l 681 ,lbre da « Bt maintenant, capitaine. d’Artagnan ôrlls qui peuvent von mnlla.nm.nl - 1. “.wuwiiiiui, ca quais que soient los pêr iS rL t ï c ’hanre0™6™4 6 4 ?0US 80“' î ï S r K S Ï Æ W sa bonne humeifr habRuelte''4' 1^ 096 4V0C i w a p ' i ç r ; 1; jouta sur un ton d émotion solennelle’; 3 «» 081 poar ,a vie d« tsar qu’il faut faire dèà °S ^- pour 16 bI°" d- lu Russio m m/i‘ 8'/n,cllr duvant Bonaparto, qui, de la à la fais! 4 °88a un 8alul noble el Pulernol '« Premier Consul s’approcha dûs M terte6 .' V d'Ariagnan qui, s o S ! das Tuileries, s éloignait d'un pas allègre C00 .u ? épë8„8, ^ f n T i^ vaillants qui triomphent de tout ~SÆ ,a A t .r .ï ;? i , ï jfiw *!-® *«î. ard d aigle cherchait son étoile, et con tint dans sa destinée, il murmura • «onTdts géns^heurauz!U’ ”‘m m lél' ^ iv. . ....... la C03ITESSE DOÜÀtKIÈRB TÔOERHAN ET SON CONFIDENT HAHTYK 1 T?derman el 1e prince Dimilri nèrenïv étaient les noms des deux gé- nefte du tsar! honoré8'da '« faveur persoV „ni £ a‘l .Po® de ces deux hommes dési- dnuf,P-K 0 Rremier Consul, que d’Ariagnan devait choisir comme compagnon de voyage t J T parte' aoaa ^ovona dft, s’en S r-’ tait sur ce point au flair du Gascon. m; mar U6e coïncidence curieqse, le jour môme où, dans son cabinet des Tuileries Ia c.0Um rec°mmandation è son en- îïïd,!Ïm 01* 11 86 passail des choses é!ran- ges dans le magnifique palais que possédait c'estT d te h r r ^ 1® CK°mt0 Æ m an d’AHn Jnin i. Wde8 <!eux hommes entre qui I nTnA Ï 0ppe,é à se P io n e e r. La supeibe résidence élevée au centre de 108 b0Ards d0 la Néva, était une S àü ^ 0?80aS récompenses que le pôre du comte devait à la générosité de la défunte impératrice, Catherine la Grande, pour le é £ Td ë p ° e ;,rê da r , ” f ,,Œ dëi s’éteît Atehui»8 e*ll0i “ R"*6 °d faorfamille sétait établie depuis moins d’on demi- stêcie. II y *y«ll cinq au. qu’était mort le vafn- queur el, noat devom l’ajouter pour reater «srÆ i i; & in dé- ^tutuaiiuaiu i.arriére commença on déclarant que, comme eu 1894, le conseil ?te guerre don juger si Dreyfus a livré“ ï'étraî get, les documents mentionnés au bordereau* il s incline devant l’arrél do la rnnr j» ' sation limitant les d Ss Cour do cas- * O.uent à lui, déclare le commandant ii remplira son devoir avec calme, modération norecherc,,aoiqu'uneseuiechése6œ Le ministère public fait l'historique da ^ ^ r t ’^ û r 9'8'009^ 4^ ^ 116 fS S X S S S K s û!ë.r „ ë .M Z S H ï S r S S l?L{,ao;.7escdsr ^ f ic i^ “ t ta“° iz ttlitô que de*mauvais goût, s'élérA h* Œ or .6ed„'cë?rrg6 iv ffi6 .r C pl|g?ore;q„ytei'irq'Ue0|'o„fl7uD,7v!!i^ Sa bouche, d oû s’échappe un ronflement î ï î f f i 08.1 oarof.l6l éd0ntée. entre l H i crochu qui, pareil à celui de Polichinelle ,“ dX ,m le,Wm,ld re,6rt6 ‘J'unmen-’ Ca00âi^d6|edoay6b^ ” 6h»t’Mh8*teilf u d non eareyé de lu veille. lard no# (d réitrej,

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Page 1: Année. — JV° 7S. Paraissant le Dimanche et le Jeudi.bmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_09_10_MRC.pdfdlnsdrucüon de ^Haute-Cour4 Comm'ssio11 A U T O U R d u c o m p

70* Année. — JV° 7S.

a b o n n e m e n t sDfaar

A li

Paraissant le Dimanche et le Jeudi.

l * f r . 12 fr. Wl rS iim o iv .., 6 fr. 0 fr.TroU mois. a te. 3 60 4 £

ON S'ABONNE :A Seuils, auxbureaux du Jourual, 9 el 11 olaeede

raêtel-de-TUIe, obez tons le i libraires du députemenLet dans tous les bureaux de poste de F ranw eld ’Algérie;

L'abonnement est payable d ’avanoe. n n'est Jamais Interrompu et est considère comme renoureld, lorsqu'à respiration on ne d o n n é e s contre-ordre.

L D E S E N L

M i ’- O Z S E

B U L L E T I NSentis, 9 Septembre.

E s t - c e a u jo u rd ’h u i q u e s e r a r e n d u l ’a r ­r ê t d u c o n se il d e g u e r r e d a n s l 'é m o u v a n t n rooês d e R e n n e s ? A l ’h e u r e o ù n o u s ie r tv o n s c e s l ig n e s , M’ D é m a n g é c o n tin u e sa p la id o ir ie co m m en c ée h i e r , a p r è s u n ele co m m an d a n t C a r r iè re e û t te rm in é enu n e h e u r e e t d e m ie , j e u d i , so n , ré q u is i­to ire c o n c lu a n t à l a c o n d a m n atio n . O u an n o n ce p o u r a u jo u rd ’h u i u n e seco n d e au d ie n ce 1 a p rè s -m id i a u ca s où le s d é b a ts n e se r a ie n t p a s te rm in é s c e m a tin T o u t c o m m en ta ire , à c e t te h e u r e , s e r a i t s u p e r- flu , e t n o u s a t te n d o n s , av e c c o n d a n c e , p rê t à 1 a c c e p te r s a n s a r r iè re -p e n sé e quelle qu e lle s o it, la déc isio n su p rê m e des lo y au x so ld a ts q u i v o n t se p ro n o n c e r , en to u te in d é p e n d a n c e , s u r l e s o r t d e l ’u n de le u rs c a m ara d es .

P lu s l ’h e u r e a p p ro c h e d u v e r d ic t , p lu s 1 ém otion s a c o ro it d a n s c h a c u n d es d e u x cam ps e n tre le sq u e ls l ’o p in io n f ra n ç a ise e s t d iv isée. E t 0 e s t & p e in e s i , a u m o ­m e n t d un ju g e m e n t q u i p e u t a v o ir d e si g raves c o n sé q u e n c e s , o n p rê te a t te n t io n A tous le s a u t r e s fa its , p o u r ta n t s i im p o r - ta n ts , q u i s e d é r o u le n t en d e h o rs d e 1 A ffaire, a v e c ou sa n s lie n av e c e lle , comme le p ro c è s d e la H a u te -C o u r , le s p e rq u is itio n s d e s tin é e s à e n r ic h ir l e d o s­erez du « c o m p ta i , , e t le s iè g e d u fo r t C habrol, q u i r é s is te d e p u is v in g t- s e p t jo u rs . N o to n s c e p e n d a n t q u e ce s p e rq u i­sitions c o n t in u e n t d e to u te s p a r ts , e t q u e! P» g r n S 0cre t e , t ffardê s u r l e u r s

ré su lta ts . Q u a n t a u fo r t C h a b ro l, le s e n ­virons e n s o n t to u jo u rs p a is ib le s . L ’effec­t i f des g a r d e s m u n io ip a u x e t d e s g e n -

î f ' T l a é td m c o ™ d im in u é , e t le se rv ic e d o rd re , co m m andé p a r M M . O r sa t ti e t Borde, co m m issa ire d iv is io n n a ire e t co m - m issaire d e p o lic e , e s t a s s u ré p rin c ip a le - m ent p a r d es a g e n ts d e la S û re té .

Les d iffic u lté s q u ’o n s ig n a la it a u s u i s t du choix d e l ’e n d r o it où «ûégera la H a S te - Cour, pala is d u L u x e m b o u rg o u p a la is d e

ï t ^ ? ’ rfom m es d eI ! v a 1 . ae ro ii f 'u c e s sa m m e n t ex p é d iés

I ho^CH té^est im m inentè. ponTer*u r* des

informationsLe PrM daut à P .r i, .

m Ü S S S S X RSr"bli»M» . Loubet p u m a deux ou trois j o u i l Parie.

Dnel politique.

B « S è îe 7 M 0n(U p an p i,tA°Iet’ en tr# M . M aurice«sfd&ïAJKr s;ép:,r.a “«*** « * ■

Quatre ballea ont été échangée! aana réaultat.

' Miae en liberté. \M.. Liaaajoux, ancien rédacteur au P etit Jour

D r i n c h c 1 0 S e p t e m b r e 1 8 9 9 .

B U R E A U XRéflni'llnii 0 , Aclmlnieirotion,

9 et 11. place de rflAlel-do-ville, à Scnlis.

I t Joi/hual 1,K S su u s M Il/lian t pour publier d a m ' « l» Sr a T ,o 'S JUmciAIMS.

PRIX DES INSERTIONS ■Annonces : la llgno o.So o. Bdclame, : la ligue, 0,40 c.

_ Fini, divers : la ligne, 0,50 c.On n accepte pas d’insertion au-dessous de 1 fr.

K œ S o u » .,^ ,., concernant Paris et

dû S S T “ S0“ ' rC5n“S dlrm em o" ' bureaux

L a H a u t e - C o u r .L a le t tr e de con voca tion .

10 10x16 M la ,6ltre ^ convocation adressée, mercredi matin, aux membres du

I “ AUTE-COUR Paris, le 6 septembre 1899.

JUSTICE ................- t a ü ' i a M“ns|aiir le Sénateur,

â f f i S P P S S É A g * *

V A r p i s s i r « , r<,8Uio dlnsdrucüon de H au te-C our4 Comm' ssio11

A U T O U R d u c o m p l o t Les impliqués.

i J ? ' C1 V 180' o m iss io n , la l is te d e s p e rs o n n e s

c o n ^ t s û S d e l T t l î “ r dû“ S ' e C6mp'0t

létenu)PaUl Rêroulède, députe de la Charente 2* M. d

(détenu) ;

(détenu) : *— --

létenu)"9 MonlMurl' courrier du duo d'Orléanslutjieuuj ; “ w

i , îf* Ge°rges Thlébaud, publlciste (en fuite)’ . i J E Æ L 9! délégué général de la S .

u imîlJ è'uunuiaw» len mite) :

a n ^ iS e f é l 5 i ddée,S l & l d a , a ^

t o r Æ , k M m i 4 1117 M. Barilller. hminhar mo <■ .___, , ,

M ort d'un aavant.

I « d - * - »

Mort d’un évéqua

i & w . n s a a i a r F rfro i’

inlon..ur.Seme, pni. v id re g.nér.ldudioeL .

t î f t ê l S î t f * pr”“ a w > « “

Mort d'un dlreeteur de Jonrnel.

L» guerre aux Philippine».

S r n - -‘ “ S t ' t & a

r n i s £ ° minission d ’instruction de la Hante­nt J) es£ comPosée de neuf membres titulairesc V u ae 3 e membreS 8“ppl6a1118' « .

Le président élu en janvier dèrnier estv , . „ , M’ b ë r en g e r

bre de V ^ e S J S ^ ' - 10 22 avriI 1830. mem- iînnaa *^®®démie des sciences morales et n o ll-

& ê S m o p j rf é l a û a Sdu R hône I f l i in S volontaire au x mobiles e t fnt ,a cl m P ^ ne de F rance 1870-71

M s i p a œ î k æ & æ? r s ? » e i r “' ib,e,8“ ^

A élé élu vice-président du Sénat en 1894 Les membres litulaires sont :

M. CIIOVET

Compiègne, consejlter général.flvocat|Elu pour la première fois au Sénat on 1888

M. FRANCK CHAUVEAU

a élé K i L T r f n Ere“ lère Ma sénateur en a eie président du Centre-Gauche du Sénal.M. DEVEtLE

- —“ oue r r a n a (détenu); t e n u " ' BariUlor' bouohw. ™ des Martyrs (dé-

(détenu')f“8è“ ° S ,r m ln ' rédacteur à l'A nH juif

tenu ’ ®BVer1, boyaQéier. 58,'ruo Compans (dé-

Æ ' d J T y ï ï l I ' i d é Z m T ie ™ n,le a n i

d0 ,iand0 tu I

protes^ôn (délemO8, “ d“ P^<0éd'!' , , ' mCme(dé1(™ n "Glrard’ S“ rë 'aire de “ ■ ■>»>.. Guérin

éoSA Srd^K & Sûflo M. Ia pnmlu 1» . . a . n \i | p(

Un déraillement au 8oudan.

I . o S u T é W i Berl” r. »"'»» •'*1» bondé d . o m « té t r a n c h é e s : c’e s t a u Half* é é lb .ra , ,T é ; .2 i4 ’ra .T teû 'bA 8AW ‘ dy-

L uxem bourg q u ’a u r o n t lie u le s a u d h m c e s " S * - • " "

Pèlerinage. * "

h ie r ’

D é u t r e C " B S B * p A . f e r *

W M S m m î , » néte .aenreganx anaitre. de anr d a u , " ^ . M * u" m 1 - » Jour-U

déeUieu, des ordres o S t ,Ï Ï T o n n é s pour 1 aménagement d’un oertain nom bre deLuifimb 0bambr63 d’instruction , au Luxembourg m êm e, afin d’év ite r le trkns- port quotidien des prévenus de leu r p r i­son au heu de réunion de la H aute-C ournembr* a prévoir- d’a illeu rs, que lé nombre des prévenus non lib res seratef. V e8i reinî ’ oar on Pense qu’un ce r- tain nombre des personnes a rrêtées ^ tuellement bénéficieront, lo rs de l’ou-

prov?soiredS **’ d’une “ liaé en liberté

« p S ï i ,T ï r : .v ,» ;

m” !°|ru V „ tr0UI;68 “ "Biaises a „ r ,“siE l » e Z f Sïaal P °u r in tim ider les

,La conséquence à t ire r de ces d é-

* la g u e r r e 6 c û ’u f ? ° r 0 i r ‘ a b s o l “ " 1n n tI ment D!aÛ tr« ™ 4 y Pré P « re n t ré s o lu - I a eu lieu h te r aPÎ ’ 00118611 do c a b in e t I s été d ée id i i. re8 ' a u co u re d u q u e l

dépêche rê d lù é . ? T ra " , ™ a > d?“ » 6

h n W r é Z i î * 60 t6 rm 6 » te l s ,I Autant ,iF. évasive se ra it impossible.| Autan, dlcs un ultim atum 1 EnPfln une

de 1 Inde annonce que p lusieurs r Ï Ï r ™ Çl 1i , r d r e ,tl? a’em har-

ar-îipDaoi nom m "sénateur en01^ 5 .8dndrfl* deM. CORDELLET

neeiu en 1891 au premier tour.

« . . . " ' . a l c id e DUSOUER

qner Pour l ’A f riq u e d u S u d le l ^ s e p !

Un notaire aaauainé.

w â L Ü î î Æ . - R * fa” ’ “ oal ai“ "t,

Au bruit dea détoDationa Ipi aIam. . . . i

2 : r e V o i ï n s : n*n t ‘ s s h ï s f s e *au t . , a tl .n d .n t 1. venu, d / . g .nd.” » ° “‘

dent longtemp. ptineiph olere, obex 1 ? 01?rif“ ‘

l a ù .V 0"18,I,li“ p‘ " “ “ “ chantant I . I ta r u i l .

! S» viennent Jw q w aoa braa______■ Egorger noa flia, no» oompagnea... »

<” " t“ K '" i n l ’ * ' “ teepa1-

m aTbel w ï n M W h Æ .j8“ * h™ “ 0’ «

. . . , M- CAZOT

Æ i S l ï S ' s - c t tet™de9 Be?dM nïl0!Elu" dé Toure18 décembre m is F cénaleur Inamovible le

M. MOREUET

M. TILLAVE

«in»fqlû ' , • ^ r ^ p d^ , j T ^ X r ' ,S • e ,,)'e,,“ m”1 T i l H ai«rî ' cccenimem décédéF ' lMaC’ qualité d S n l s i r e " S 9, r a tu x oSmieâ e?d0a “ que& M? déali«8i0" même “S p ’i

JUGES SUPPLÉANTS

ninao’, ïonreerv ln9, MaxlmeD Lecomte ^Ratier:

îfl” m in . uu.c a. ur,ôan8 (ddtenu) :

fa F to te (d'é'teSÿ1™ d‘r« e u r ndu Cfafron *

d e Ï Ï A RoeS 9;t|l(d“ te„3„9lî raPae,101,s d’évasion

provisoire"9'" 9’"* 8ar«on boncb8r (*" liberté

(en Ub"rlé'proviso’ire)1’0n b°U9ll9r' rU“ Coa,Pa“s21- u ' n ï r i ï X l ala A' e , r <i0“ boucher (délonu) ;

tenu); D o m c ta cadel, garçon bouclier (dâ-

te n u );* ' D ortackl Jeune, garçon boucher (dé-

p ef3ûrésidemèd«?,0d.9froy’ avocal 4 la “ u rd 'ap -

24 £ S i F S K S f s ' ' « ^( d l ^ Sf : ’° pa'^ 19^ uPly^ 8d6^ 6^ r c n d Ps6emem

> S i j W S 5 W 5 ? , i " . t6 a 6 n ' da la28- M Rnh?néJ ! ial(n.n l,^erlé provisoire);29 - m f î r ÿ .P Jan (prévenu libre) ;

(prévenu I f i ) ,Guén11' (rère d» M- Jules Guérie

»?. ï - d6,1.68 Sevrin (prévenu libre);32' M a aS (prévenu libre ;

venû l " ’re); SC9rélalr9 d» »'■ Drnmonl (pré-

(pr^en"ù libre) ; h°Pia' atocal 4 '« Cour d'appel

libre) de Ramel’ député du Gard (prévenu Ï Ï . {[• Parseval (prévenu libre) :37- m i A ° 5 ed ? Lur-Saiuces (prévenu libre) •Ü . «ebaron de Vaux (prévenu libre); ’ q§* m S U? eu? (Préven« lib re) ; } '

libre); Rad,g0,s’ ancieQ imprimeur (prévenu

m i t e f e u ) ? 0, Prt5ld9nt d° 19 ,eUnes8e aali8d'

■ T Ï T ? de'caenfdétenu)5; 0’618*1*9 d“

aa^l.d d® C ^ u (détenu)''PrdS*den* du ‘ r m >° Renne?(dé?ènu?’ a‘re du 8rouP0 antisémite de

(prévenu Ubr™' Habart’ dl!puld d6 Rambouillet

L e procès Dreyfus.A u d iu n o e d u m e r o r e d i 6 s u p t o m b r e .

dnrA ^fla n t ., aad ience de huis-clos, qui a d u ré deux h eu res , on a en ten d u M. Cser-

sec re t? PU' S & 6“ li8U ,,exam en du dossier

L audience pubjique a élé ouverte à 8 h 45 devan t une salle com ble. ’

„ f l r ' e^ . « ncien M inistre de la ju s -n ronflm ianr H irU n. est intorveQ u que pour p re n d ie la défensn 3 a mnFanH™ h, dAf . m te rv e n u que pouico n h o nû i ï “ ° d0 S ch eurer-K estner,

?a • 010 lm P°steu r, apportan t délé™oi? na8 0 s (Savigniaud).

p è i i l b ï ï 6»11* sexl>l' lJu6 eusui(e su r lo

ro ^ a Ù 4111!!1 ?.-d Ü d” 6 le com m andant L auth a pliquéc® nUe“ Ce d0 “ uchm ations com”

M. T rarieux p résente la défense du lioute- F hnnr™ 2” ? R icquart e t constate que l 'a u - th en tic ité du « p eu t bleu » est prouvée.

Le com m andan t L au th rep roche au lieu - eu a n t-co 'o n e i P ic q u arld 'a v o ir tou jours Z i

fessé un profond m épris pour les offleiers do son b u reau . Il raconte qu ’un jo u r , à l ’arriv ée d 6.n n T E ?r0Ur d0 Russie, le lieu ten a n t! f i i n r ! J ,.C(Iul?| r t a m is en p résence de .M*3** H enry et L au th , une femm e qui n ’é ta it nasfrtmnP H6 en ,e u r coœ Pagnie. « C’éta it une fem m e de m ag istrat! »

Lo lieu tenan t colonel P icquarl proteste.£ e général Z u r lin d e n v ien t à la b a r re et

Hu 11 n a ttach a pas d ’im portance audu . 4 petu . bl0u » Ï ü ajoute q u ’il fu“

fin iro m in is tre de la ju s tice à tra-fa u x H « va n f8 H .n a P t*c 9 10 De 1 P i c q u a r t p o u r fa u x d e v a n t la ju r id ic t io n m il i ta i r e .

Le colonel Jou au st fa it rem a rq u e r au té-m p P in ïn i ‘î® S a.glt^Pas ac tuellem en t de j u ­g e r P icquart, m ais D reyfus. JftaMao«abori Protesto e t rép lique qu ’il s ’agit ferhazy p rouvan l la trah ison d ’E s-

M. T ra rie u x s 'a ttac h e à dém o lir ra cn isn - i î î . P ÿ ? ,0 C(ÎP l r0 ,e lieutenant-colono! P ic - S L a 6 1 ^g en t de ,a fam ille Dreyfus

dé rf le -d u -D U b le .e r aU 0011119111116

m iss io n d a n s la c o m m u n ic a tio n d e s déD ô- c lie s s e e r t t e s , lo r s d u p ro c è s d e 4894

d u PaT v d e ( t e !l,i0 “ ' 10 l ie u l8 " C " l - io lo n e l u u » a ty d e C lam te rm in e e n d é c la r a n t n n « ja m a is i l n ’a d i t A D re y fu s - . i l „ P „ q. 6 s a i t q u e v o u s é le s in n o c e n t , "» I l c o n f irm e r e

silinn0 14 d lt d f 08 868 pvêéédentes dépo- 110 8 »h su je t dos rapports qu 'il . u t avec

À . B sé ' ,cit6 la le llr* de Mme D revfus avne eije” rapporl8 00“ rl° l8 « « H « "l

** *

domain'’. '00 ' 6 6S‘ lovéo 01 ra n ™ Jê8 a n le n -

c l m ' r ’E iourll6al18 Publient une dépê-G ê rH é re a r ç ç n diAtL è n F 6a | ^ ec0( ^ ^ ~ ad6I1 (

K ah '? ! u rUi,rappela,-U les term es de r à r !r d e c a s saU o n , in s is ta n t s u r

n é c e s s ite , p o u r le c o m m issa ire d u c o u v e r

sn r i ! Qd«v r S S0Q fd q o is ito ire , d e n e p as s o ü t r d e . l im ite s tra c é e s p a r l 'a r r ê t d e la

.mL„6 npré8.idellt du ®6*n a l “ déjà en l'occa- r i d du nS» u W r ,d0 ( “ “ ênagem ent m atô-

r é u n i t f f i l a H i m ^ c r ^ i r r a û r a d i v e l îlra rT . d'installation à effectuer™ t ÔÎS une des raisons pour Iesoueilos Ia n n n ... i1? 1?0?? 8 i ubsliluô ia date du 48 à celle du U septembre, qui avait été primitivement

.„~n Parllcuiier, on va prendre des mo- m nf8, p0Ur quo *68 prévenus, qui seront maintenus en état de détention préventive puissent être incarcérés au^ Luxembourg même tent pendant la durée d ë l C f f i d 'aîim I p6nda,lt “ lie des débats, afin ren ix ié r?ur lran ,P°r t quotidien d 'une pri­son extérieure jusqn au palais du Sénat

I , , VlD8t' six inculpés se trouvent donc A | 1 heure actuelle, à la prison de la SaSfé.’

** *

sont6; a?0Cal9 ,Ui défendro“ ‘ les inculpés

A n te“n e F a u rAe0 d ré DUtr6t’ M” N orm and 61

Pmrr M u T M daC lle,iIly ' M* Rézenas. PnnbëÜT d Menieourt, comte de Sabran- Cafrm Fréchencourt, M" César

de‘S l t e o CoO m l0 d 6 ,-Ur- Sa,O™s' “ * Boyob j,’oor le eomte de Ramel, M* Loyson.

nouvtlîe! ° ° d° Vaua’ 0h0PPm d’Ar-

et B ertrou.I)6roal6d6’ M" Falaleuf, Reulier

p i f 000 M» ' J a |es et Louis Guérin, comte de

R ™ n etaM Î j „ S / „ t d S S 6 ï6 r i0 ’ l a l “ b8’

PpS? fei freéÆSenD rê „ T ck" aR?JkCiefr? r Fna ^ -M“ Së Fa"iîoënEvt„PTi 168 défenseurs;Jacquemont, etc. Gr6pat’ Bai™ 1011-

— ‘ Eiu-uu-T/iauio.v ii ' ailc.i6n m in is tre critique d ’une façon très v ive le jugem en t re n d u en /avem- d 'E sier- Î S ^ r 8 JiFésident p ro teste conlro les apprécia tions de M. T rarieux .

Le général B i l lo t s 'associe à ia protesta lien d u colonel Jouaust. p ro testa-

S u r u n e in terpe lla tion de M" Lahnri I.

b if i te d n m r01 d é c lar8 prondr6 la resPou’sa- bl ll0.d0 ld Femiso du docum ent lib é ra te u r a E sleihazy e t d it que la cu lpabilité de ce d e rm e r n in n o cen te ra it pas D reyfus , Lab? n veut re le v er ces paro les et in te rv ie n t vivom ent. ' “ m

Le p résiden t lui re lire la paro le (M urm ures e t applaudissem ents.) Le c ilm ,ë iJouaust m enace alo rs do fa ire évacuer la

f e u il l e t o n

LE P E T IT -F IL SI ' ' V ’' '' * DE '

D A R T A G N A N

ruAl S,R V E|V * A . 81ÉG1ÎL

IS 'Tfo.PnUlso éDB?,tpas 1>ré™n“ do votre ar- N dflIlvoyé secret nn . votre seule qualité l ! f r Prentpiemëë? m 'Û .K ’”?6,"0 F88 d '»r r i -

f K » » ^ û « , / q a„ r r i t ae0n , r e !

r i S i S j ^ t e ? 1'610”1-l , j ' D’"s™te vnm louri? ,q“'ê Nancy. ■»era russes faite , internés des olll- B v 11 y ans™ pri80,n" ier» * Zurich. T?Porfe qu,, J ' n6ni deux hommes dont il

d6b* V nérèn?'?n 108 R™8' C*ecneranx : pnn e„ |e ■t#al#

z â ÿ 5

DortelL a° ’ r a t “ r6 081 10 p rinoe D im iW

m en t d A rte g n a n 6 ’ D0™ ff’ répdta bri6y° -

f i8na,^s0^ m Uû;oru?s^lu,,, rÛ „P^ i , ^ e ë r r ; „ ,

— O n le d it , répond it d 'A rtagnan sans aucune fausse modestie

choisirez c l f u T q S J ï o L ^ U f e n d r a ^ Æ comme com pagnon de voyage.

— Sous q u el p ré tex te ?d’a > lo u t prévu . Vous d irez à ce gen­

tilhom m e que le P rem ier C onsul, désireux n ê.,y0 ORvéabl0 au tsa r, en ab régean t la cap- ë 'n re m "a d e 868 offleiera les p lus dévoués, a profité d e v o tre voyage à Pétersbourg pour le renvoyer p lus tê t à son m aître , e n “ S i fa isan t fa ire fa rou te d an s vo tre b e r lin e _ c a r vous voyagerez n atu re lle m en t en ber­line. E u échange de ce serv ice, vo tre c o ï l pagnon vous re n d ra celui de v o is p ré sen ter à I E m pereur, afin de p re sse r l 'heu reuse conclusion d e vos affairés personnellra “ m seules q u i, aux yeux de tout le m onde m u s a m è n en t en R ussie. E st-ce d it ?

— C’est d it, m on général.

d . r i / S ü i ü i f f f 680,'0 d,6 T0» 8 recom m an­d e r la cé lérité . L e d e rn ie r co u rrier d u tsa r

SaSnLPétënûbourg!*6 J° “ r ' m t " R 11- de— Je lâcherai de n’en mettre que douze

qSîlTe Arta*Ran aT,° RR* ««urance tran-

s Z . Ca r ! ' m ,pour ,ll6r de Paris t Saint-Pétersbourg I w réoria Bonaparto"

, Le co m m a n d a n t G alopin, dans sa dénn- St ion , d it que jam ais û rey fus “lui 5 t m anda do ren se ig n em en is ; m ais il a io u tn qu 'il v ,t un jo u r, d an s la r i e . T c c û s é C -

grâëh fque ° tS S6' r6 ‘8 au se rïic o l (0 - A lfred Dreyfus d it q u 'il ne se souvient

pas d avo ir em porté des pap iers chez lui.Le co m m a n d a n t d u génie llir sc h a u e r

anc ien stag ia ire , en te n d it D reyfus e x p r i S je d ésir d assister aux m anœ uvres. Copen d am , ajou te le tém oin, il é la it im possible nœu'vres.8 63 d ° 1e‘J ‘ d 'a l le r aux m a!

Le co lo n e l d u P a ty de C lam . — Le e re f-

du P a ty de cfa°m.tl0a “ U

d éconsidé re r comme officier ju d ic ia ire en 1894, le lieu tenant-co lonel du l 'a tv d o Clam

cassation . Sili611 <ï u ’en toudit la Cour de Le lieu tenan t-co lonel du P atv rie n . m

rappel e son rê le d 'o lficier de police jPu d ? f w î™ ° n 8 d “ Preeés Dreyfus, e t déc laré que 1 o rd re de I arres ta tio n d e l'accusé ém it d onné av a n t 1 éprouve d e la dictée r répète à ce su je t que cette p reu v e avait été fourate devan t a Cour de cassation et dém en t la ^ la™lion qu 0» lu i p rê te au su je t d e la dépêche Pam zzardi.

Le lieu tenant-co lonel du Paty de Clam déclare ensu ite qu 'il fii - Vnc u i ■ S a n d h e rr des com m entaires s !,r « 5 ° " el secret destiné à éU biir la ™Ûh, son d e^D re! ' fus, puis ajoute q u 'il fut i C n t d e f f i - '

A udience du jeudi 7 sep tem bre .L aud ience du conseil de guerre est m.

v erte à six h eu res e t dem ie. U~enntf m i ,r ^*Ia ^ ih'(}n de M. Savigniaud le

^n8-. i1 d,onD© acte d e ce que M. T rarfêux M ^r i - lém oin ©t d ’im posteur M Lnbori annonce que MM. de Schw ari?

koppen e t P anizzard i n e v iendront n i dé poser, p o u r raison d ’o rd re D u b li> n , o t (*apfin,| tp ? n dro ? 1 p a r com m ission rogatoire

la >L Ly cll el!:r‘t - le c h e fdo la S d re té ,ra c o n te la M ène de la dictée que l'on lit fa ire a l 'a c -

J* «roifier Coupois lit la lettre du cani ta m e l lu m b e r t d éc lara n t q u ’Alfred D revois m ani esta te d ésir d 'e n tie r au s e r v i c e ^ renseignem en ts, m ais que le colonel S-imi b01T '" ( “ « d 'a c c u e i l l iA a dem ande “ n d '

L accusé d ém en t le fait.

P an izzard î. P0S1I'° 0 aU 8UJ'e ‘ de ,a dépéeltè Le général rappelle les variations Ra i^

déposition du cap ita ine F revsiæ lte r e t rîiA ses actes de désobéissance, pu f r e îé c u . io n M 1» d° 41alBacb®8 ovèonnée par

t a b ' r ^ ^R rcioO '^hh’ ro u b îe^d 'es 'p rit^u^ëp^

z z T pI:nuzky com m e d é n u ^ d ’hon n êle te e M e Cm r "

soignem ents à l 'ag e n t A, 811 da* Jên -

e t.fa a & a '

b6= . ' i ï i ï z z ' s ; K si6 rtia2y '

Le co m m a n d a n t H a r tm a n n répète « e s ex

L aud ience es t suspendue.

co .nm euc7srr r ê q 1uisite“ om a0dan l C arrièr0

Le réq u is ito ire .

sai?0éSH?, ddbul d u Fêquisitoire du commis­sa ire du g o uvernem en t, tous fa . « m l? !.

L a salle e s t arch i-hondée : le nuhlic . 'z craso litté ra lem en t. p é "

Le com m andant C arrière - com m ence^

S ï ï * . m onsieu r le Gascon, qu 'ilnas dnrm fû p0ar, T0US ré8igoer a ne pas d o rm ir une seu le fois dans un l i t?

a u 7 u r n ? J 0 ?’? S 0U faci.,e ' m on »én ^ ra l, et, nln«f m »! inîa^ n,e <ï u o n ne do it pas être

fine qu an bivouac!0 d a° 8 ""R bo“ “ 6 b 9 r!

j e M u fa d 'd R 008 ° ’aT6Z rllm o a b lié d h M Q fe

m on^irom 'son ' ï ïm ettan t la m ain s u r son cœ ur., ~ £.e vo tre côté, n ’avez-vous rien à ma

d em an d er av a n t d e p a r t i r ?y°}£ ? b ien v e illan c e , m on général

S v e u r ! BU P° in l d e soI,iciter QQ© légère— L aquelle?

■ D ans la 32e dem i-b rigade actnelln- m en t en garn ison à P aris , il ex iste un

d ° D,t je suis sû r. I l es t b rave , in te l-

dévouem en t9 p l° S d ’un6 Pronvo da

vous s e r r i r ? ^ ’™2 eln m en er ro t hom m e pour— O ui, m on g énéra l.— T rès b ien . Son n o m ?— G oliath, tam bour.— G oliath , tam bour A la 3 2 » dem i.hri

rien % w frela i ie n ? r in ,0 r F0,Î.8U,• In u ,iIe d®

X ™ n a ' J h o “ 60a v r t e . 0& „ , e d { a uvous's'ùivre.taml><>0r Golia,,l 681 ,lbre da

« Bt maintenant, capitaine. d’Artagnan ôrlls qui peuvent vonm nlla .nm .nl -1— .

“ .w uw iiiiu i, caquais que soient los pêr

i S r L t ï c ’hanre0™6™4 6 4 ?0US 80“ '

î ï S r K S Ï Æ W

sa b o n n e hum eifr h a b R u e lte ''4 ' 1 096 4V0C

i w a p ' i ç r ; 1;jou ta s u r un ton d ém otion so len n e lle ’;

3 «» 081 p o a r ,a v ie d« ts a r q u ’il fau t faire

d è à ° S ^ - p o u r 16 bI° " d - lu R ussio m

m /i‘ 8'/n,cllr du v an t B onaparto, q u i, de la à la fa is! 4 ° 88a u n 8alul nob le e l Pulernol

'« P re m ie r Consul s ’approchadûs M te r t e 6. ' V d 'A riagnan qui, s o S ! das T u ilerie s, s élo ignait d 'u n pas allègre

C0 0 . u ? épë8„8, ^

f n T i ^

vaillan ts qu i tr io m p h en t d e tout

~ S Æ ,a A t . r . ï ;? i , ï j f i w * ! - ® * « î .ard d aigle cherchait son étoile, et con­tint dans sa destinée, il murmura • ’

«onTdts géns^heurauz!U’ ”‘m m lé l ' ^

i v . . . . . . . . .la C03ITESSE DOÜÀtKIÈRB TÔOERHAN

ET SON CONFIDENT HAHTYK

1 T?derm an e l 1e prince D im ilri n è r e n ïv éta ien t les nom s des deux g é -

nefte du ts a r ! honoré8 'd a '« faveur p e r so V

„ n i £ a ‘l .Po® de ces deux hom m es d ési- dnuf,P -K 0 R rem ier Consul, qu e d ’A riagnan d ev a it ch o is ir comme com pagnon de voyage t J T parte ' aoaa ^ovona dft, s ’en S r - ’ ta it su r ce po in t au fla ir d u Gascon. m ; ma r U6e coïncidence curieqse, le jour môme o ù , d an s son cabinet des T uileries

I a c.0Um rec°m m andation è son en- î ï ï d , ! Ï m 01* 11 86 passa il des choses é !ran - ges d an s le m agnifique pala is que possédait

c ' e s t T d t e h r r ^ 1® CK°m t0 Æ m a nd ’AHn J n in i . W de8 <!e u x hom m es e n tre qui

I n T n A Ï 0ppe,é à se P i o n e e r .La su p eib e résidence élevée au ce n tre de

108 b 0Ar d s d0 la Néva, é ta it u n e S à ü ^ 0? 80aS récom penses que le pôre du com te d e v a it à la générosité de la d éfun te im p éra tr ice , C atherine la G rande, p o u r le

é £ Td ë p ° e ; , r ê da r , ” f ,,Œ dë is’éteît Atehui»8 e*ll0i “ R"*6 °d faorfamille sétait établie depuis moins d’on demi- stêcie.

II y *y«ll cinq au. qu’était mort le vafn- queur el, noat devom l’ajouter pour reater«srÆ i i; & in dé-

^ tu tu a iiu a iu i.a rr ié re com m ença on d éc la ra n t que, com m e eu 1894, le conseil ?te g u erre d on ju g e r si Dreyfus a liv ré “ ï 'é t r a î ge t, les docum ents m en tionnés au bordereau* il s incline d ev a n t l ’a r ré l do la r n n r j » ' sa tion lim itan t les d S s Cour do cas-

* O.uent à lu i, déclare le com m andant ii re m p lira son d ev o ir avec calm e, m odérationn o re c h e r c,,a o iq u 'u n e s e u ie ch é s e 6œ

Le m in is tère public fait l 'h is to riq u e d a

^ ^ r t ’^ û r 9' 8' 0 0 9 ^ 4^ ^ 116

f S S X S S S K s û!ë. r„ ë .M Z

S H ï S r S Sl?L{,ao;.7escdsr ^ f i c i ^ “ t ta“° 'Æ i z

ttlitô que de*mauvais goût, s'élérA i« h*

Œ or . 6ed„'cë?rrg6iv f f i6. rCp l|g ? o re ;q „y te i'irq 'U e0|'o„fl7uD ,7v!!i^Sa bouche, d oû s’échappe un ronflement

î ï î f f i 08.1 oarof.l6l éd0ntée. entre l H i crochu qui, pareil à celui de Polichinelle,“ dX , m le,W m ,ld re,6rt6 ‘J'unmen-’

Ca00âi^d6|edoay6b^ ” 6h»t’Mh8*teilfud noneareyé de lu veille. lard no#

( d r é i t r e j ,

Page 2: Année. — JV° 7S. Paraissant le Dimanche et le Jeudi.bmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_09_10_MRC.pdfdlnsdrucüon de ^Haute-Cour4 Comm'ssio11 A U T O U R d u c o m p

l ’affaire , e t exam inan t le b o rdereau au point d e vue techn ique , il estim e que l 'a u te u r en es t Dreyfus.

Au p o in t d e v u e d e l ’éc ritu re , il pense que l ’accasé , qu i es t u n hom m e « com pliqué », a b ien p u d o n n er & son éc ritu re la facture de ce lle d e son frè re M athieu ou ce lle d ’Es- terhazy .

L e com m andant C arriè re passe au dossier secret. I l ré su lte p o u r lu i de ce t exam en que Dreyfus a eu des re la tio n s avec u n e pu is­sance étrangère e t l ’agen t A. . La pièce « D oute, épreuve », ce lle de B ... re la tiv e à la réceptiou des docum ents re la tifs aux che­m in s de fer frança is, e t celle enfin qu i porte ce tte p h rase : « O n est tran q u illisé ici » e t d o n t le conseil co n n a ît l’au te u r , tou t cela

E sterhazy , il n e pou v ait l iv re r de docum ents sériaux ; i l p a r la it d e tou t, m ais d isa it des bêtises.-.

A yant exam iné ces charges, le com m issaire d s qiurarzbaatanl s e d e s tz a d e c e <?a q ee linvoquer en faveur d e la réh ab ilita tio n de D reyfus. Il y a b ien les rech erch es du lieu ­tenant-co lonel P ic q u a rt, m ais on n e sait com m ent le « pe tit b leu » a r r iv a à destina­tion . •

P u is , c r itiq u an t les procédés d u lieu ten a n t- colonel P icquart, le com m andant C arrière reco n n aît que le lieu ten a n t colonel du Paty de Clam éta it doué d’u ne im agination ex tra o r­d in a ire e t qu ’E slerhazy est un hom m e peu re co m m an d ab le . •

Il ajoute : « Q uand j ’abordai l ’affaire , je ' 1ns le réqu isito ire d e P ic q u art, — l ’au teu r

d e la révision ; — il é ta it parfaitem ent cons­t ru it , e t j ’eus un m om ent l ’espoir que nous

fiou rrionsacqu itte r Dreyfus e t ré h a b ilite r un nnocent ; m ais pour o b ten ir ce ré su lta t, qui

e û t apporté l ’apaisem ent dans tous les esprits, il fa lla it des preuves.

« Je vis a lo rs , ajou te le m in is tè re public, que l ’édiüce du lieu tenan t-co lonel P icquart p éc h ait par sa base e t avait des tissures. Ma conviction de l ’innocence de Dreyfus se transfo rm a ; l ’aud ition des tém oins m e con­firm a dans le sens de la cu lpabilité .

« A ujourd’h u i, conclut le com m andant C arriè re , en m on âm e e t conscience, je viens vous d ire quë D reyfus es t coupable e t je de- jn a n d e l ’application de l ’a r tic le 76 du Code p én a l. »

La séance est levée e t renvoyée au le n d e ­m ain vendredi, p o u r la pla ido irie de M* Dé­m angé.

Q uand Dreyfus se re tire , il se rre les m ains à ses défenseurs. O n lu i c r ie dans l ’aud ito ire « C ourage! » __

Audienoe du 8 septembre.Les défenseurs de D re y fu s .

M« Démangé com m ence sa p laidoirie .L’avocat de Dreyfus p ro teste co n tre l ’ac­

cusation je tée à la face des rév isionn istes de m arc h er con tre l ’arm ée e t la P a trie .

Me Dém angé explique ses souffrances q uand il v it les a ttaques e t les discussions provoquées p a r « l ’A ffaire». Il fit son devoir, qu i est celui du conseil, de voulo ir la justice, tou te la justice. C’est au m in is tè re public de prouver la cu lpab ilité de l ’accusé et non à la défense de p rouver son innocence. « S i, a jou te Me Dém angé, les juges de 1894 avaien t v u l ’éc ritu re du com m andant E sterhazy , ils a u ra ien t rendu un a u tre jugem en t. »

Le défenseur rappelle les p ro testa tions d ’innocence de D reyfus, ses le ttre s font con­n a ître le v éritab le éta t d e son âm e, dans tou tes ses lignes on trouve un cri d ’inno­cence.

« Les m in istres e t les gén érau x , déclare M° D émangé, qui n llirm éren l la cu lpabilité d e D reyfus n ’ap p o rtè re n t pas d e p reuves, m ais seulem ent des présom ptions. »

« Ils é tud ièren t l ’affaire lo rsque l 'a b e rra ­t io n dés esp rits posa la question e n tre Dreyfus e t l’h o nneur de l ’a rm ée. »

M# Démangé re n d hom m ago à la loyauté des généraux , qu i n e po u v aien t pas agir au trem en t. Il s ’é tonne que le g én é ra l Mer­c ie r n ’a it pas fa it q u estio n n er D reyfus lo rsqu’il ap p rit les aveux, e t m o n tre que les p ièces secrètes a ttrib u ée s au condam né de l ’Ile du D iable, s ’app liquent p lu tô t à Es­terhazy .

Le défenseur d it qu ’il cro it à la paro le d ’h o n n eu r des attachés m ilita ires é tran g ers, qu i n iè re n t avo ir eu des révélations avec D reyfus, puis il d it que la F rance conna il la com position du d o ssier secret, g râce auquel on je ta la cra in te de la g u erre d an s le pays affolé.

»* *

L ’audience est suspendue â n eu f heu res q u aran te-c in q . A la re p rise , Me Démangé exam ine les preuves m orales ; il re trac e la scène de la d ictée , et d it que le troub le de D reyfus fut un iquem en t causé p a r l ’apos-

..trophe du lieu ten a n t colonel du P aty de C lam : «Vous trem blez I » D’a illeu rs , ajou te- t- i l . les tém oins av a ien t l ’idée préconçue de

qui p en d an t 47 an s e n c a d ra des artifices de son sty le t les m illésim es successifs, a cessé de p laire .

Aux b ranches de la u rie rs de ce filigrane — des lau rie rs qu i n e co u ronnaien t d ’au tres exploits que ceux d es hu issie rs — on subs­titue des in itia le s posées en su rch arg e e t encadrées à gauche d es deux d e rn ie rs ch if­fres d u m illésim e.

Il p a ra it que ce p ap ie r tim bré au ra un c a c h e fa r lis liq u e .

B elle consolation p o u r ceux qui seron t obligés de p ay er « le coût du p ré sen t ».

S E N L I S

6a cu lpabilité.A près avo ir ju stifié les dém arches de

M. M athieu D reyfus, M ' Demango fa it r e ­m arq u e r que la « personne honorab le » qui signala les fuites no nom m a jam ais Dreyfus comme en é tan t F au teu r.

M* D émangé s’ingénie â fa ire ju stice des accusations de libertinage et de je u portées co n tre son cliBnn_ II_d it“qtiü~l’an im osilé^üer ce lu i-ci é ta it trè s n a tu re lle e t son a ltitude h au ta in e en v ers ses cam arades est tout op­posée à celle d ’un espion.

Lo défenseur veut m o n tre r l ’in an ité des tém oignages de MM. M erlian de M illier, du P re u il, du général G onse et d e M. de Cser- u u zky . « La seu le preuve d it M® Dém angé, e s t le bordereau : il s’ag it de savo ir qui a pu l’envoyer. » Il c ra in t que la lum ière à ce su jet ne soit pas com plète. Le général D eloye a d it qu ’il n ’é ta it pas im possible que les pièces du bo rdereau fussent en tre les m ains, de Dreyfus.

<r Voilà où nous en sommes quand il s’agit de condam ner un hom m e pour trah iso n ! On «ap p u ie su r des hypothèses. »

Mais M° D ém angé déclare que lui aussi va fa ire des hypothèses e t m o n tre r qu 'il faudra

• éc arte r la v a le u r techn ique du bordereau .L 'audience est a lo rs levée et renvoyée â

dem ain m atin , sam ed i, a sept heu res et dem ie, pour la con tinuation de la p la idoirie de M* Démangé.

CHRONIQUEL . e s p l a q u e s v é l o c i p é d i q u e a .Un décret v ien t de fixer le m odèle de h

p laque de con trô le pour 1900 que doit porter tou t vélocipède ou appareil analogue, en v e r tu de l ’artic le 8 de la loi du 13 avril 1808. T rois m odèles seiont fabriqués : uri pouf le- vélocipèdes o rd in a ires , un a u tre pour les vélocipèdes m unis d 'u n e m ach in e m otrice, o t le troisièm e pour les vélocipèdes appar­te n a n t aux adm in is tra tions publiques ou

fiossédés conform ém ent aux lèg iem en ls ini- tta ires ou adm in istratifs .

L e n o u v e a u p n p i c r t i m b r é .Après la nouvelle m onnaie, les nouveaux

iitnbres-poste : on ve rra éclore en 1900 un nouveau type de p ap ie r tim bré.

jLe vieux filig rane gravé p u r feu D uquel,

4L 4 r « . « e r e J S e n l i s .C o n s e i l m u n i c i p a l . — L e Conseil m u n i-

m a rd i p ro c h a in , le 12 sep tem bre, à h u it h eu res a u so ir , à l ’H ô tel-de-V ille .

Oiidiie nu J our :1* Nom ination d ’u n secré ta ire ;2 ‘ Service des e a u x . — D ivers tra v a u x e t four­

n itu res ; u. .3 ' Petite vo irie . — D em ande d ’acquisition de

te rra in par M. T urquet. — R apport de la com ­m ission ;

U tilisation du sol de l 'anc ienne m aison B lan­che!. — Nom ination d ’Wne, com m ission ; •.

■V Octroi. — P ro je t d ’in sta lla tion d ’u n e b ascu le . — R apport de la com m ission ;

5* Legs de M. L auavit. — A liénation de d i­v erses valeu rs ;

6 ' Service d e l’en lèvem ent des boues e t des tran sp o rts . — R enouvellem ent des ad judications ;

7‘ Fourn itu re d u com bustib le daus les étab lis­sem ents com m unaux . — A djudication.

8* T ribunal de Com m erce. — N om ination de deu x délégués chargés d ’é ta b lir la liste des é lec­te u rs :

9* A ssistance com m unale . — A vis à ém e ttre s u r u n projet de loi re la tif à l’assistance ;

10* Allâmes concernan t l ’IIôpital.C om ité secret :

A ssistance m édicale. — R évision trim estrie lle .D em andes de sou tiens de fam ille.

T r ib u n a l d e C o m m e r c e . — Les com m er­çants pa ten tés de la v ille de S en lis son t in ­v ités à fo u rn ir de su ite à la m airie , les re n ­seignem ents nécessaires à le u r inscrip tion su r la liste é lectorale du T rib u n a l d e Com­m erce.

Aux term es d e la lo i, son t in sc rits su r cette liste les com m erçants figu ran t au rô ' des paten tes depuis au m oins c inq an n ées et dom iciliés dans l ’a rro n d issem en t aussi d e ­puis au m oins cinq ans . — (C o m m u n iq u é officiel).

* *

M a r ia g e . — Nous som m es heu reu x d ’ap ­p re n d re le m ariage d e M,I# M ariv-T hérôse D elaporte, fille de n o tre hon o rab le e t sym ­path ique concitoyen, M. P au l D e laporte, l ’avoué b ien c o n n u , avec M. R om ain D elhaye, pr< fesseur au collège e t à l ’école no rm ale d ’A rras.

La bénédiction leu r se ra don n ée en l ’église N otre-D am e de S en lis, le jeud i 14 sep tem ­b re , à onze h eu res du m atin .

Nous ad ressons aux deux fam illes nos sin ­cè res com plim ents e t au x fu tu rs époux nos m eilleu rs vœux d e b o n h eu r.

A u 2 ° H u s s a r d s . •— M. G obert, aide-vé té rin a ire au 2e ré g im e n t de h u ssa rd s, à Sen lis, es t nom m é v é té rin a ire en 2e e t affecté au môme rég im ent.

L e s M é n e s t r e l s d e S e n l i s . — Le d i­m anche 17 sep tem bre, a u ra lieu la p re m iè re sortie des Ménestrels de Sen lis ; ce tte jeu n e Société va p rê te r son concours à un sa lu t solennel qui au ra lieu à q u a tre h eu res ap rès- m id i, à l’ég lise p aro issiale d e B arbery .

Sous l ’habile d irec tion d e M. Edm ond T inel, son d irec teu r, les m em bres de la Société se p ré p are n t ac tivem en t à cette solennité qui prom et d ’é tre trè s réussie .

C’est une h eu reu se ten ta tiv e que d e vou­lo ir m ener de fron t les voix e t les in s tru ­m ents p a r les m êm es artis tes . Aussi leu r souhaitons-nous lo succès e t app lau d isso n s- nous à leu rs efforts.

A la cérém onie de B arbery , le chanoine M üller, le savan t curé d e S a in t-L e u -d ’Esse- re n l, p rononcera u n e allocution.

La quête sera fa ite p o u r a id e r à la cons­truction d ’une trib u n e d a n s l ’église de B ar­bery.

O r a g e s . — Deux orages ex trêm em ent violents se sout déchaînés su r S en lis e t no tre rég ion , dans les soirées de m ercredi e t jeud i dern ie r—P endanl-p lus-d2u n e -h e u re rla -p lu io a fait rage, accom pagné de to n n erre , éc lairs e t g rê le , convertissan t les ru e s de la v ille en to rren ts.

H eureusem ent les dégâts n ’on t pas été considérables : quelques b ra n ch es cassées, quelques tu ile s enlovées. D ’aucuns m êm e se réjouissent de ces ondées qui o n t été accueil- ii£!Lavec p la is ir p a r les c u ltiv a teu rs e t ho rti­cu lteu rs, ap rès les trop longues sécheresses de cet été.

L’H jver. — On signale dopuis quelques jo u rs , le passage do bandes nom breuses de cauards sauvages su r n o tre ville .

On sait que, d ’ap rès les d ire s des obser­vateurs cam pagnards, l 'ap p a ritio n p rém a­tu rée do ces volatiles est l ’ind ice d ’un h iv e r rigoureux.

E spérons que, celle fois, le diclon n e se Vérifiera pas.

♦ *

La m o n t e d e s é t a l o n s e n 1900. — Un a r rê té préfectoral décide que la com m ission chargée de consta te r l 'é tal san ita ire des é ta ­lons p résentés pour lé serv ice de la m onte en 1900 dans l ’a rro n d issem en t de S en lis , se ré u n ira à .Senlis, le jeud i 7 décem bre 1899, à dix heu res et dem ie; à la gare.

Les d éclaran ts dev ron t p ré sen ter à celle com m ission leu rs éta lons aux jo u r e t heu re ci-de>sus-indiqués.

Des certificats conféran t lo d ro it de faire la m onte seron t dé liv rés p a r l ’a d m in is tra tio n préfectorale.

Tout p roprié ta ire ayant l’in ten tio n d e con­sac rer on éta lon à la "monte de ju m en ts ap ­parten an t à d 'au tre s q u ’à lui-m êm e est tenu d 'en faire la déclara tion à la p réfec tu re ou à la ‘■ous-préfecture d e son arrond issem en t.

l ’o u r la m orne de 1900, les d éclara tions seront reçues ju sq u 'au l*r octobre 1899, date extrêm e.

D-s formules spéciales seron t tenues à la disposition des proprié taires qui en fe ront la dem ande. Le m odèle de ces déc lara tions se trouve en ou tre m séré au R ecueil des Actes a d m in is tra tifs de 1886, page 230.

L e s F o u r r a g e s d e l a . G e n d a r m e r i e . — Le 6 o îlo h re p rochain , à deux heures de l 'ap rès-m id i, il sera procédé, à la m <irie de S en lis, à l 'ad jud ica tion i o ir la fou rn itu re des fourrages à fa ire pendan t un a n , du 1,r novem bre 1899 au 31 octobre 1900, aux

brigades d e gen d arm erie d e l ’arro n d isse ­m en t, savo ir :

Creil, Beiz, Verberie, Nanteull-le-Haudouln, Crépy-en-Valois, Neuilly-eu-Thelle et Montataire.

L’im portance des liv raisons & fa ire m en ­suellem ent pour les cinq chevaux d e chaque b rig ad e es t d ’en v iro n 375 k ilog r. d e foin, 525 k ilogr. d e p a ille e t 750 k ilo g r. d ’avoine.

O n peut p re n d re connaissance d u cahier des charges chez MM. les sous-in ten d an ts m ilita ire s d e B oauvais e t dje Compiègne, M. le cap ita ine com m andan t l ’a rro n d isse­m en t do Sen lis e t d a n s toutes les brigades à cheval de l ’arrond issem en t.

J ’o u r n i 1 u r e s d e s F o u r r q g e s < à l a r a t i o n .

L’ad jud ica tion des fourrages A la ra tio n â fou rn ie d u i er novem bre 4899 an. 34.1900, p o u r les places de Compiègne, Senlis

•VLf& yws, s m vrtto toe p m ta r in , àla m airie de Compiègne. Effectif de Com­piègne, 750 chevaux ; effectif d e Noyon, 760 ch evaux ; effectif d e SeDlis, 720 che­vaux.

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Les m agasins sont p leins ; chaque ra y o n regorge D 'élégants appare ils o ù règne un go û t parfait E t qu i sem blent so r tir — si g ran d e s t leu r effet — De l’a te lier div in don t.V u lcain tien t la forge.

ETAT CIVIL OE SENLISd u 1*r au 9 sep tem bre 1899.

Naissances.Néant.D écès.

1. M. Violet (A chille-D ésiré), 30 ans e t dem i, typographe, ru e de la C hancellerie, 1.

3. M enuet (E douard ), 3 m ois, ru e d e Ville-ve rt, 1.

4. Lo R oux (D aniel-Louis-Em ile), 4 an s e t demi,ru e de V illevert, 16.

4. M“ Lefebvre (Félicité-M arie-Thérèse), veuve B ourgeois, 61 ans e t dem i, à l ’Hôpital.

4 . M“ D acier (M ario-Victoire), veuve D étachasse, 83 ans e t dem i, ru e de la Biguë, 5.

7. M " D outreleau (L u c ie ) , v euve L em o in e ,77 ans e t dem i, ru e Afforty, 6.

8 . M” B erge (V ictorine-Joséphine), veuve De-breb an t, 81 an s e t dem i, ru e de Ville- ve rt, 1.

P u b lica tio n s de M ariages.3. M. F risch (Ju les-E rnest), em ployé des Postes

e t T élégraphes, dem euran t à Senlis, et M'" Gaussin (M arie-Juliette), san s profes­s ion , dem euran t à A m agne, arrondisse­m en t de R ethel (Ardennes).

M a r ia g e s .Néant.

M. DESJARDINS, PLOMBIER, 3 , r u e S a in t-H ila ir e ,a l 'h o n n e u r de p ré v en ir sa nom breuse clien­tèle qu ’il a un g ra n d cho ix d ’a rtic les de chauffage et d’éc la irage e t qu ’à p a r tir du 1er Septem bre , il s’es t jo in t au pétro le e t .à l ’essence, de l ’h u ile à b rû ler e x tra de pre­m ière m a rq u e ; i l fa it le nettoyage e t les ré ­p ara tio n s de lam pes à l’hu ile .

A v e i - t i s s e m e n t ( l ’E n q u ê t e(Exécution de la loi du 28 ju ille t 1885).

L’A dm inistration des T élégraphes.va faire p ro céd er à l ’é tab lissem ent de la ligne élec­triq u e destinée à re lie r le châ teau de M. le p rin ce R adziw ill (à E rm enonv ille) au réseau té léphonique de S en lis.

Un tracé de cette ligne, in d iq u an t les p ro­prié tés privées où il doit ê tre placé des sup­p o rts , re s te ra pendan t h u it jo u rs , à p a r tir du 11 sep tem bre couran t, aux m airies de M ontlévéque et E rm enonv ille , où les in té­ressés peuvent en p re n d re connaissance et p ré sen te r leu rs observations ou réclam a­tions.

Beauvais, le 7 sep tem bre 1899.Le D irecteur de l’Oise.

F i è v r e a p h t e u s e .P a r a r rê té en date des 5 e t 7 septem bre

couran t, les locaux, cours, enclos, herbages ou pâtu res ap p arten an t à M. Léon D um ont, cu ltiva teu r à T hury -en -V alo is, son t déclarés infectés par su ite de l ’existence d e la fièvre aphteuse .

P a r a r rê té de m êm e date , son t levées les déclara tions d ’infection de fièvre aphteuse qui pesa ien t su r les exploitations de MM. H u b e rt Sagny, cu ltiva teu r à M orienval; T ri­cot, cu ltivateu r à P o n t; F ré ry , cu ltiv a teu r à H ocquigny, com m une de M orienval.

P a r décret en date du 22 aoû t, sont nom ­m és au g rad e de sous-lieu tenan t dans les sapeurs-pom piers :

A Saint-V aast-les-M ello, M. Hausse (Noël). A l ’oulangues, M. Millet (G eorges).

O b je t s t r o u v é s(C o m m u n ic a tio n du C om m issaria t

de police).Les personnes qui se ra ien t en possession

d ’objets tro u v é s , sont in form ées qu ’elles do iven t en effeclüer |e dépôt no n au tam ­b o u r de v ille , m ais au com m issariat de po­lice, ou il en sera d éliv ré récépissé.

Sen lis, 9 sep tem bre 1899., ,, , V J f . C om m issa ire de police,

S a i n t - R a y m o n d .

F a i t s d i v e r s .Un incendie a éclaté m ercred i d eru ie r, vers

q u a tre heu re s ap rès-m id i, dans u ne pièce du prem ier é tage d ’uu pavillon ap p a rten an t à M. I.ahoure ix , ru e d u M oulin-Saint-Rieul, à Senlis.

La locataire, M'1' C rochat (H enriette), cou tu ­riè re , é ta it absenlo à ce m o m en t; e lle avait laissé allum ée u ne lam pe à alcool p ou r p rép a re r des a lim en ts ; la lam pe é tan t fêlée, l’alcool a dû so rép an d re su r la tab le , s 'enflam m er e t com m uni­q u e r le feu à des ten tu res .

La pièce a é té sérieusem en t endom m agée ot ving t ca rreau x ont éclaté sous l'influence de la cha leu r. Les dégâts sub is p a r l ’im m euble son t évalués à 500 francs. M. Laboureix est assu ré à la C om pagnie d u S o le i l . La locataire a perdu aussi des effets d 'hab illem en t p ou r u n e v a leu r de 303 francs ; elle n ’é ta it pas assu rée .

Notons la prom ptitude avec laquelle les secours m u été portés par la Compagnio d e s S apeu rs- Pom piers de Senlis, q u i dès l’incendie signalé se sont portés im m édiatem ent s u r le lieu d u s in istre ; le cap itaine é ta it un des p rem iers a rriv é s avec le s^rgeu t-m ajo r Leduc et p lu sieu rs a u tre s sous-of­fic iers; aussi le feu, qui au ra it p u . Fana eux , p rend re de g randes i ^ p o r tio n s , a -t-il été rap ide­m en t maîtrisé,

BARBERYLe d im anche 17 sep tem bre 1899, un sa lu t

so lennel se ra donné en l’ég lise de B arbery , avec le concours d e la Société les Ménestrels d e S en lis, o rc h estre com posé de m andolines, violons, violoncelles, ha rp e , Oûle, orgue e t ch œ u r, sous la d irec tion de M. Edm . T inel.

PROGRAMME :

E ntrée. — M arche re lig ieuse , p a r l ’orchestre (G anne).

M agnus D om in a s. — Solo d e b asse avec ohœ ur e t accom pagnem ent (Bulher).

A llo cu tio n .In vo ca tio n . — P a r l ’o rchestre (Mezzaeapo).0 . S a lu ta r is . — Solo e t ch œ u r avec accom pa­

gnem en t de h a rp e , violon e t violoncelle (Rous­seau ).-^nelaaât

orgue (W idor).Ave M aria . — Solo de soprano aveo c h œ u r e t

accom pagnem ent de h a rp e , violoncelle, violon e t orgue.

Bénédiction. — Are ve ru m . — P o n r q u a tuo r d e m andolines (Mozart).

Lauda te ü o m in u m . — Chœ ur avec accom pa­gnem ent d ’orgue e t de piano (J. M. Garin).

Sortie. — M arche n u p tia le . — P a r l ’o rchestre (M endelsohn).

PLAILLYP a r déc re t en date du 26 août 1899, la

délibération p a r laquelle le Conseil m uu ici- p a l de P lailly a a ttrib u é à l ’une des voies publiques d e ce tte com m une la dénom ina­tion d é A n a to le P a ren t, es t approuvée.

BETZListe des abonnés au téléphone.

MM. A udrain (F rédéric).M ézière, no taire .R oblin , p rop rié ta ire .

ACY-EN-MULTIENListe des abonnés a u téléphone.

M M. Acy (com te Jacques d ’) , p ro p rié ta ire . B acquet (G aston), v ins en gros. G uôret (J e a n ), négociant.M enot, constructeur-m écanic ien .

C R E ILLa future Eoole primaire supérieure.

Donation du terrain.On nous écrit :L e compte re n d u de la séance d u Conseil

m unicipal du 5 août d e rn ie r nous apprend q ue l ’Ecole p rim aire supérieu re sera cons­tru ite su r un te rra in donné p a r M. Somasco.

Celte libéra lité de la p a r t de l'honorab le M. Somasco n e p eu t ê tre refusée, —■ bien que le te rra in offert so it en dehors d e la v ille , — si le d onateu r n ’im pose pas à la v ille de Creil des charges è t conditions désavantageuses, onéreuses.

I l faut penser à l 'aven ir.Ni dans la délibération du Conseil m u n i­

c ipal, n i dans le ra p p o rt de M. le M aire, il n ’est question des conditions d e la donation .

Nous serions reconnaissants à n o tre Mu­n icipalité de nous d o nner quelques re n se i­gnem ents à ce sujet.

Un groupe de C ontribuables.

Association des Sooiétés de gymnastique

et de tir de l’Oise.U ne assem blée g én éra le ex tra o rd in aire se

t ien d ra à C reil, d im anche 10 sep tem bre, à d eu x heures et dem ie précises, en la salle B euvelet, avenue de la G are.

ORDRE DU JOUR

Election d ’un tréso rie r, en rem placem ent de M. Dauzet, décédé ;

Election d ’u n e com m ission de finances;Com m unications d iverses.

Le Secrétaire, Le Président,G. B o u f f e t . C. L a l ï .

Le sieu r C ram pon, can to n n ie r de la Ville de Creil, âgé de 69 ans , qu i n ’avait pas re­p a ru depuis d im anche, onze h eures du m a­tin , m om ent où pendan t quelques in stan ts il s’é ta it en tre ten u avec l'éc lu sier p o u r se d iriger ensu ite , p a r le chem in de halage, vers le pont T h éra in , a été re tiré de l ’eau m ard i soir, à cet endro it.

C’est à la tom bée du jo u r q u ’un corps fa t aperçu e n tra in é p a r le c o u ra n t; les p er­sonnes présen tes se m ire n t de su ite en quête d 'une barque, pendan t que d ’au tres a lla ien t p ré Y e n i r la g e n d a r m e r ie ; le c o r p s ,r a m e n ê à bord, fu t v ite reconnu pour celui du vieux can tonn ie r e t recondu it chez ses enfants, hab itan t place Carnot, où le funèbre cortège a r r iv a vers dix h eu res du soir.

La victim e, en pro ie aux idées no ires, av a it déjà, à p lusieu rs re p rises , m anifesté le d ésir d ’en fin ir avec la vie ; néanm oins,, on suppose que c’est p a r su ite d ’u n accident que le m alheureux est tombé à l ’eau ; l ’ex­pertise m édicale a écarté tou te idée de crim e e t a constaté que la m ort rem o n ta it à deux jou rs.

M. Teste, m archand ta illeu r, avenue de la G are, s’apercevait depuis quelque tem ps que son vieux bordeaux d im in u a it avec une ra ­p id ité effrayante ; ayan t rem arqué un beau m atin que sa cave, qu ’il av a it ferm ée la v eille , é ta it ouverte , il n ’eu t p lus un in sta n t d e doute qu ’il n ’é ta it pas seu l à déguster ce délicieux crû .

11 exerça alo rs une surveillance ac tive et n e tarda pas à p incer le d é linquan t, un s ieu r Louis M artin, em ployé à la fabrique de p roduits ch im iques, qui va ê tre pour­suivi pour ce fa it; I hab ile gourm et s’in tro ­du isa it dans la cave d u ta illeu r & l ’aide d ’u n e fausse clef.

A ntoine D uconseil, p è re de q u atre en ­fan ts, est m arié depuis le mois de ju ille t d e rn ie r à u n e fem m e qui en a égalem ei 1 deu x ; il ne v il pas en trè s bonne in te lli­gence avec ce tte d e rn iè re , la lu n e d e m iel n ’ayan t pas d u ré longtem ps.

M ercredi so ir, il re n tra it à son logem ent, cité Sain t-M édard , à onze heures e t dem ie, croyant qu ’il é ta it sept h eu res; sa femme, tou t en lui servan t son d in er, lu i fit quel­ques observations, no tam m ent su r ses trop nom breuses libations, où il dépensait l ’a r­gent indispensable pour n o u rr ir la nom ­breuse famille.

Ces justes reproches firen t e n tre r l ’iv ro ­g ne dans une folle colère, au cours de la­q uelle il b risa tout ce qui lui tom ba sous la m ain ; il asséna aussi à sa femme deux vio­len ts coups de pied dans le v e n tre ; elle n ’eu t que le tem ps de s’en fu ir chez u n e voi­s ine en em portan t l 'a iné de ses en fan ts, qui a 5 ans, pendant que Duconseil, pour se ven g er lâchem ent, se saisissait de la petite fille de sa femme, âgée de 2 an s , e t la jo tait dan s sa cour, où, ju sq u ’à une h eu re du m a­t in , il la laissa exposée sans vêtem ents aux J n te m p é r ie s de la n u it, e t em pêchant une

voisine, a tt iré e p a r les c r is d e l ’en fan t, de v en ir la p re n d re .

P la in te a été po rtée éo n tre D uconseil, qui sera p oursu iv i p o u r ces faits.

Le 5 sep tem bre, vers neu f h eu res e t dem ie d u so ir, le garde cham pêtre D esjard ins é ta it e n tra in d e fa ire sa ro n d e en su rv e illan t tou t particu liè rem en t u n e pièce de te rre située P o rte M arteau, e t a p p a rten a n t à M. J a - counne, p ro p rié ta ire , q u i s’é ta it aperçu que depuis quelques tem ps des m arau d eu rs re n ­d aie n t v isite à son cham p, lorsque b ien tô t le gard e v it lesd its m arau d eu rs en tra in d ’a rra c h e r les pom m es e t se p ré p a ra n t à em porte r le u r bu tin .

Il p a rv in t à les a r rê te r ; c 'é ta ien t les nom -

ta ta ire , e t M equignon (L a u re ) , son épouse, à qui il s ’em pressa de d re sser procès-verbal. Q uinze LU»* d»ç r m iB D lé a n ie y e r /u çq n t re n d u s a u p ro­p rié ta ire .

Jeu d i so ir, des m arau d eu rs in connus se sont in tro d u its dans u n ja rd in ap p a rten a n t à M. D essat, ho rticu lteu r , e t situ é d an s le bas de la ru e des Tufs. Ils on t dérobé tout le ra is in qu i s ’y tro u v ait en saccageant com­p lètem ent u n e p la te -b an d e d e ch ry san ­thèm es p o u r fa ire le u r cueille tte . M. Dessat estim e la v a le u r d u ra is in volé à 40 francs e t le dégâ t des fleurs à 20 fraucs . .

A ucune em p re in te n ’ay a n t pu ê tre re levée , on suppose que le vol a é té com m is av a n t l ’orage q u i s’es t déchaîné su r C reil, & neuf heu res . 1

Les filles F ourm en t, Je a n n e e t L éontine, qui on t été vues la sem aine d e rn iè re a r ra ­ch a n t des pom m es de te rre d an s u n cham p a p p arten an t à M. A rth u r B iguet, cu ltiv a teu r , vont ê tre poursu iv ies pour ce fait.

L’o rage qui a sévi j e u d i io i r su r Creil avec u n e g ra u d e violence, accom pagné de trom bes d ’eau e t de b ourrasques de ven t, a occa­sionné quelques dégâts d an s les ja rd in s en b risa n t les arb res e t en d ég rad an t les te r­ra in s ; les couvertures o n t eu égalem ent â souffrir, des tu iles e t des ardoises ay a n t été. en levées d e ci de là ; la v io lence de l ’eau dans les pen tes a fo rtem en t dég radé la chaussée en ce rtains en d ro its . P lu sieu rs caves o n t égalem ent été rem plies d ’eau .

Le to n n e rre est tom bé chez M. M erlette , ru e des M oulins, e t a ab îm é u n e chem inée.

Deux P aris ien s en excursion , P . . . e t R. , trav e rsa ie n t C reil m ard i, rev en an t d e B erck , se sont vu d re sse r procès-verbal pour avoir circu lé e n bicyclette su r les tro tto irs .

Le 7 co u ran t, un s ieu r B ..., c h a rre tie r au service d ’un cu ltiv a teu r de N ogent, s’es t vu d resser p rocès-verbal p o u r ê tre m onté dans son tom bereau sans avo ir de guides pour d irig e r son attelage.

Un bœuf qui se mire dans une glaoe.M ardi d e rn ie r u n troupeau de bœ ufs, v e ­

n a n t d e L a V illetle e t condu it p a r un garçon bouv ier, passa it ru e de la R épublique.

E n face des m agasins de M. F ria rd , b ijou ­t ie r, u n de ces an im aux s ’a r rê ta e t se con­tem pla d an s u n e des glaces de côté. Le résu lta t de ce tte inspection n e lu i p lu t sans doute pas , ca r d ’un coup de corne il b risa en m orceau la glace qu i ré tlé la it son image»

Un b o u ch er de n o tre v ille e s t in te rv e n u à la su ite d e ce t inc iden t e t a p rom is au bijou­tie r lésé d e le fa ire d ésin té resse r p a r le p ro ­p rié ta ire de l ’an im al.

CHANTILLYE ta t c iv il d u 4tT a u 31 a o û t 1899.

Naissances. — 3 : Cixinn William Jnan-Loau.— 11 » H o w n E tle n . — 1 2 : H o y e W il l ia m . — 14 : B o d m L ô u a - R é g ia a - E u g é n ie . — 16 : W i l ­liam » W i l l i e .— 2 0 : O o n c k b o itz M û r ie M a d e le in e .— 22 : Malezwrki Malhitde-Juliette. — 28 : Vaillant Madeleine-Charlotte. — 31 : Goblet Hélène.

Décès. — 2 : Bongue Germaine-Gabrielle Ho­norine, 6 moi*. — 10 : Mélayo Robert, 1 an 7 m.— 11 : Hardy Erneat, 2 moia. — 16 : Benoît Henri, 14 moia. — 20 : Malugnonx Lucie-Made­leine, 1 an 9 moia. — .29 : Geoffre (aexe féminin, préaentêe aana vie). — 30 : Leolère (aexe fémi­nin, présentée aana vie).

Mariages. —21 : Leduo Arthur-Erneat, peintre, et Petit Marie-Blanche, couturière, tous deux demeurant à Chantilly.

26 : Langran William- Robert, garçon d’éaurie, demeurant a Lamorlaye et précédemment à Chan­tilly, et Fourment Marie-Charlotte, sans profei- aioa, demeurant A Chantilly.

— 28 : Paul Charles, dit Smith, propriétaire, de­meurant i Chantilly, e t "Robin Marie-Augustine, rentière, demeurant A Boulogne-aur-Seine.

Publications de Mariages. — 6 13 : Leduo Arthur-Erneat et Petit Marie-Blanche, ci-deisus nommés.

6-13 : Paul Charles, dit Smith, et Robin Marie- Augustine, ci-dessus nommés.

6 13 : Ellis Willie-Julian, e t Lejeune Marie* Eugénie, tous deux demeurant A Chantilly.

13 20 : Langran WilUam-Robert et Fourment Marie Charlotte, ci-deasus nommés.

13 20 : Lorion Eugène-Hubert, eoehor, et Bnche Amélie-Mane-Josèphe, couturière, tous deux demeurant A Chantilly.

13 20 : Lamontagne Maurice- Hippoiyte Félix, peintre, demeurant a Paris, et Dachaielet B'anche- Alnhonsine, institutriee, demeurant à Chantilly.

13-20 : Doré Louis Augustin, manoi^vner, et Tiercelin Augustine-Etèomo, veuve Naudet, cui­sinière, tous deux demeurant A Chantilly.

MONTATAIRELa sem aine d e rn iè re , le je u n e T erry n

(A ndré), âgé de 1 4 ans, dem eu ran t à M on- la ta ire e t trav a illa n t aux F orges, s 'es t blessé le pied g au c h e eu a id an t a p lacer un e p laque de tôle p o u r cou v rir u n e transm ission ; cette b lessu re lu i occasionnera une incapacité de trava il d e v ing t jo u rs .

Le 5 couran t, u n d e ses cam arades, D eshayes (O liv ier), d em e u ran t égalem ent à M ontataire e t âgé de 38 an s , s 'es t fa it une p laie contuso au pouce d e la m ain gauche, en m anœ uvran t un fond de boite à recu ire , avec u n e ch a rre tte . Le blessé d ev ra su b ir de ce fa it u n repos forcé d ’u n e d iza ine de jo u rs .

Un cycliste de M ontataire , qui passa it à toute v itesse ru e de M ontataire , à C reil, a re n v ersé d an s sa course le nom m é Delorm e, qui a été blessé assez sérieusem ent.

L’a u te u r de ce t acc iden t a p ris la fu ite , m ais il es t assez connu p o u r q u 'il lu i soit d ressé procès-verbal.

> ( g | i l 0 jJ R S« j S f L i - A n ' é m l e

mmtorie* m i s U tsm m i . f w I mmIIW»*», l'rfKNW «feM IM

x g x m a ^ u c H jA rr iT é t .— ewirt— . w •o taa r, »»•»»•» n w ÿ .N t .

IN VENTE DANS TOUTES LES PHARMACIES

C R É P Y - B N - V A L O I 8

Fêtes de jour et de nuitLES 1 0 , I l ET 12 SEPTEMBRE 1 899 .

Le D im anche 40 :A tro is h eu res , place de la fê te , concert

public p a r la fan fare les E n fa n ts d u Valois, A q u a tre h eu res , su r le C hem in-V ert, ou­

v ertu re des jeux , annoncés p a r les irom-

fiettet le R a llie m en t. — Les séb iles , pour es garçons; je u d e ciseaux, p o u r les filles;

la course on sac, Dour les g a rço n s ; la glané d ’aoû t, pour les filles. — Des p rix seront décernés aux v a inaneurs .

A la n u it, b rillan tes illu m in atio n s par M. G iraud , en tre p re n eu r des fêtes de Paris.

<âmf<àssmr^<smt<3easRs!6séi < & 'Saint-Thom as.

A n eu f heu res e t dem ie, o u v ertu re du

Le L u n d i 4 i :A deux h eu res , con tinuation des jeux , sur

le Chem in-V ert. — Les boules e n brouettes, p our les garçons; les œufs cassés, p o u r les filles; la course aux drapeaux , p o u r les gar­çons ; la course aux œ ufs, p o u r les filles. _ Des p rix sero n t décernés aux vainqueurs.

A q u atre h eu res , bal d 'en fan ts sous la ten te de M. G ourle t, sous la d irec tio n des dam es com m issaires.

A la n u it, illum inations générales.A n euf heures; place d e la République,

brillant-feu d 'a r tif ic e d e la com position de M. Ballossier, de P aris .

A d ix .Heures, g ra n d b a l d e n u i t , sous la ten te.

Le M ardi 42 :C ontinuation de la fête . Je u x forains.Le so ir, bal public.Les m archands tro u v ero n t pro tec tion ei

em placem ents convenables.Le M aire de C répy, o ffic ier d’Acadimit,

D octeur C hopinbt.

La fête qui a lieu dem ain d im an ch e s’ao. nonce, si le tem ps se m et d e la partit, comme devan t ê tre aussi b r illa n te que 1m années précédentes. De nom breux forains sont in sta llés su r la p lace d u Jeu-de-Pauma, a tten d an t les v is iteu rs qu i n e manqueront pas de v en ir en foule. U ne vaste ten te pou le b a l es t in s ta llée su r le Jeu-de-P aum e.

A ce su jet, ce lte question n ous e s t posée: La fête n e sera it-e lle pas p lu s a ttra y a n t p lus agréable , p o u r les p ro m en e u rs , si U ten te du bal, au lieu d 'ê tre hermétiquement ferm ée, éta it en p a rtie ouverte , permettant d ’exam iner le b a l e t de tro u v e r là une &t< trac tion qui m anque chaque a n n é e â la fête? Le concessionnaire n ’y p e rd ra it rie n , et la personnes qui n e p re n n e n t pas p a r t au bal y trouvera ien t u n e ce rta ine dis trac tion , sam com pter que les danseurs s e ra ien t aérés.

L’horloge de l ’HÔ tel - de-V i Ile es t placée, m ais ne m arche pas encore. Espérons qu pendant les jo u rs de fê te , e lle nous donuen l ’heu re .

D ans no tre d e rn ie r nu m éro , nous aroni annoncé que la pe rsonne qn i av a it offert dt do nner 50.000 francs à l'H ospice de Grépj avait m is son p ro je ta exécution .

Nous pouvons affirm er au jo u rd ’hui qu l ’acte de donation es t passé, e t q u e le géné­reux donateu r, que sa m odestie avait poussé à g a rd er l’anonym at, n 'e s t a u tre que M. Ht- za rd , d ’O rrouy.

I l crée :‘Deux lits d 'hospice, qui do iven t porter,

l ’un le nom de : li t d ’O rrouy; l ’a u tre : litdi Duvy.

Deux lits d ’hôp ital, où les malades d< toutes les com m unes du can ton devront élu adm is, soit su r certificat d u m aire de leu com m une constatan t qu ’ils son t indigente, soit su r leu r dem ande, en p ayan t, le dos* leu r vou lan t que les m alades reçoivent du soins im m édiats, sans qu ’ils pu issent leu ê tre refusés sous u n pré tex te quelconque.

Trois personnes désignées p a r les maint du canton do iven t ê tre ad jo in tes à la Cote* m ission adm in is tra tive , sans voix délibéré* tives, m ais seu lem ent consultatives, afin dt su rve ille r l ’exécution des prescrip tions dois donation.

Nous n e pouvons que fé lic ite r M. Hazari de cette généreuse ac tion , ce rta in à l’avant» que toutes les com m unes du canton lui (i seront égalem ent reconnaissan tes.

Nous l ’avons d it, espérons que celte libé­ra lité sera acceptée p a r l ’au to rité compà ten te. __

BETHISY-SAINT-PIERRE Terrible aooident.

Un pulaatler enaevell vivent. A’ous donnons dans le u r ord re les (M*

pîches que n ous avons reçues de Béthisp S a in t-P ierre depuis n o tre d ern ier numirtl

Béthisy, mercredi, 5 heures.Les sapeurs trav a ille n t avec u n e vire ar­

d e u r ; on ad m ire le courage d es officie^ sous-officiers e t soldats.

Les pom piers m anœ uvren t toujours.Des boissons, du v in , du café, sont appor­

tées avec abondance.L e docteur C hopinet, dép u té , qui est H

depuis dix h eu res , re p a rt; M. Boyenvala deux au tres m em bres d e la Société des SiJ-l ve teu rs de Compiègne a r riv e n t.

On n e voit que p iétons, bicyclistes etrtn* tu re s ; c’est d ite qu ’i l y a tou jours foule.

8 h e u re s .On v ien t d ’am en er la pom pe de la gu*

p our épu iser l’eau qu i v ien t au fond d< puits ébou lé ; des hom m es a id e n t les po®J p iers qu i sont fatigués e t o n t toujdurs* m anœ uvrer la pom pe asp ira n t l ’a ir vicié.

M. le comte D o n a , M. le vicomte Dow M. l ’abbé Cauette sont su r les lieux.

11 heures.E n présence des dangers qu ’ils présente^»

les travaux n ’avancen t que lentem ent; 0 » on ne découvre tou jours pas la victime.

Jeudi, 1 heure du matin. E nfin on v ien t de d éco u v rir u n bras.Peu ap rès, on découvre la tô le et enstm*

une faible p a r tie du corps.* * 3 h. 1 fi.

M. le S ous-P réfe t, suivi de M.R ésibois, lequel é ta it su r les lieux, dest*»* d en t d an s le pu its; le docteur ne constater le décès d u m alheureux Thon» qui p a ra it re m o n te r au jo u r de l ’enfoui*^ m ent.

4 beuros.

P a r su ite d ’un p e tit éboulem ent qui de se p ro d u ire , les travaux sont susponu ju sq u ’a u jo u r . , . n lu

Le cadavre es t en effet enserré dan» p ierres ; les plus g ran d es difficulté* s* g issent p o u r l ’en dégager.

7 heures.

Le trav a il recom m ence avec une n o n . ac tiv ité , et, aü n d ’év ite r to u t nouvel j r r den t, un p lan c h er es t étab li à t ie n pnits, en su ite d e la gale rie w eusevr le génie.

Page 3: Année. — JV° 7S. Paraissant le Dimanche et le Jeudi.bmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_09_10_MRC.pdfdlnsdrucüon de ^Haute-Cour4 Comm'ssio11 A U T O U R d u c o m p

Jeudi, 10 heures.Le Conseil m un ic ipal v ien t d e se ré u n ir .I l a décidé :Que les obsèques, auxquelles il assistera it,

seraien t faites aux fra is d e la com m une’ dem ain ven d red i, & d ix h eu res e t d em ie; ’

Q u'une couronne se ra it offerte p a r lu i, e t qu’une souscription se ra it o uverte dans le b u t de v en ir en a id e & la veuve e t aux enfants de la m alh eu reu se victim e.

Il a voté :Des rem erciem ents & M. le lieu ten a n t P a -

tard e t à M. l ’a d ju d a n t L eblond, p o u r la décision e t la ténacité q u 'ils o n t m on trés ;

Une allocation de 50 francs qu i sera d is­tribuée aux so ldats à ti tr e d e g ra tiûcation *

I l a été aussi question d ’in d em n ise r lés

p iété le u r concours.1 heure soir.

q p e r r e t ir e r in ta c te la victim e, les m atériaux sont coupés, e t ce n ’est qu ’à m idi v ing t que le corps es t en tiè rem en t lib re e t p eu t être remonté.

L a m esse es t d ite p a r u n P è re B énédictin. L a F an fa re jo u e quelques m orceaux fu

nébres.L ’absoute e s t donnée p a r M. le Curé M »' Thom as es t ob ligée de so rtir deux

fo is, u n e belle-sœ ur de la victim e tombe

S b S t a ! f e ï l e . ‘r e ,r a “ !p 0 r lto dehors- A u cim etière.

. « r t * » •« d irige vers le cim etièreI église8 m 8 0 q0 '4 son erriv ée â

re lir e !|e«V lr™ "!reS p riér0 s ' 10 cler«é «• n i S 01 . d iscours son l prononcés au m i-!L T .W .Ph" 8 Pr0f00d »üence, Iroublé p a r les nn ïflÜ veuve, des en fan ts e t desJJdTODlS. ■ <?

D iscours de H. le S ous-P ré fe t.

d i S S S S W d“ % ‘.s I'r,!,el d« l'Oise, dom/a vous apport» les condolâanr.As lU N enna'u . t*.

Nous nrTo“ “SoSbîiorou0s“ pSser TI‘0maS’

D iscours de i l . le fè e r e - le q u e u x . a d jo in t. ‘ Mesdames, Messieurs,

m mM “"‘.viiujou II1UU

th isy-S aiu t-P ierre ,On constate alo rs que l ’in fo rlu n ée victim e “ « .patronale, ce deuil irrôparabte ,1ait la colonne ve rle b ra le cassée, p lusieu rs Î 2 ' r, " „ dmquvenl, sa Municipalité e t ’ses

J - - 1 " “.ft,SD 1,1' municipaux ont voulu, à juste titre5?_!!/4!, PUW“ '.il provoque de tuas célés, ot eu'

ecchymoses s u r u n e p a r tie dn corps e t un tibia luxé.

Thomas. sympathie profonde pour la familte

n i f i ï Ü » *a. mrorÇ arrache aux siens, que nous S i l . ?D • était an remarquable ouvriar- o Œ „ S,°" ‘“ “ '"eeute activité,B u t lo iîn .IeC 0 0 0 te e e l ta u te a d m i tn i io n r lF a v a i l u n e f i S " e “ ™W

Sa position dans le pu its éta it la su ivan te - elle était assise su r l e 's e a u , p rê te à ê tre remontée, les jam bes d an s l ’ea u , u n e m ain crispée à la corde, son chapeau s u r la tête

Dés qu’i l a été rem on té , le cadavre a été transporté sons u n e len te où ap rès avo ir été lavé e t enseveli, i l a été m is en b ière puis transporté su r u n b ra n card à son dom icile accompagné de U . le S ous-P réfe t, de m ’ l ’Ingénieur e t de M. le C on trô leu r des m in es’ de M. l ’Adjoint e t des Conseillers m un ici-Paax* . .. i - î : r — «•»*>! uu lautmr, sans aoi

Pauvre Thom as I il n e sava it pas , en d ’accomplir son piquittant d im anche sa m aison à cinq heu res I ton? 8ang' froid e‘ soa adresse reconnue ici Ju m atin , q u 'il n 'y re n tre ra it p lu , v tvan l. | Son double s,„ v e .„ e . été tenté aveu nue „

l™îd”j ? m t e 0trdig3ei?e“ f,is de fdussir aussi M l» Pré?., a 8 1 {“ tuteur, dès hier, de prier

. le Préfet de vouloir bien signaler au Couver-

ce I0111' de féle, pourquoi fau t-il q u ’un i i ^ tjuiilie rem bruuisso le , fron ts.

énoiivaniuM qU0’ no “ 1010 de la > 0 0 d rum e «peuvanlubie se passa it ; des hom m es en™ ns fuldcbe, trav a illa ie n t à re tro u v er

U n ii n A , 1 1 , e1' 8 d a n , un p u its, avec i 'a, !r u d0 p ierres 61 do sab le su r lui.

altan .m ! q a 000 i 0000 ,0 u v e 0 0 Pleurs a ttendu t, anxieuse, la découverte du chef

revaîd ,1 f r pie“ d,a 0 t ‘I00 dü 100008 0llfa01s.re g a id a n tl cb o u lem en tuppela ien t: « P ap a» ,.t. est sous ces d iverses im pressions nue

nos am is nous on t fa it leu rs ad ieux aux cbn- llns du terriio ire .

atSxreK. -(C e t f e s s ï l s - . «âessesst , cd iiiva. tour, a tte in t de su rd ité depuis quelques an - & v F K s 1 Ü a? S 0L li; 0 ? il I0 m us du

Le lundi, continuntiou des jeux : tir à l’oie au* “ “lions tricolores!

m.iiiîrî.a « 0 de!nie. embrasement do la placo loreîs, piuiu (io'conf^ip T ' 1" ’ ™ufiico.

cl.PSlM.SBro u ;6. i , S Sr T « m " T b , , reï“mi6rCl,0‘Xeisï.“."f ffrd - 'i'10™01, i10 1,oij' marchands élala- gisteb, tir a la carabine, Zuwouwhi. chanteur russe, massacre des innocents, etc.

nedilly-en-thelle

E ’ à T o S “ “ <P° 0,‘’ 0 0 l ,4r0 si d é v o u é m î

I u n l i ü ü è o l ë d e u r c h b v a u x 1de vive et respectueuse sympathie ^ | J j f f i i l , éprouva comme un m alaise e t fut

Puissent ces seutimonls annorter un • - ' co^ ‘fa ,n t de se coucher a i« r.« n „ -----adoucissement à votre douleur r n

p ris la fommo avec laquelle il vivait o t n » ' i

• f æ ÿ a K S s a i a a f, U t, est le m atin mémo de celle so rlio q u e

à votre douleur !

cher * 00,0 de l008’

T u » il «f88a'« O Tn h ! f ,Djq ? terribles que vous savez, il tombe an

[ n avant mi°a»hUr du lrf , .“il' 808 “ «lia 4 la main, raîra malt m?.™» 0,n , SMS dontetém é-

D iscours de II . Latande o u vr ier m açon de II . Itappenaut.

Mesdames, Messieurs,Cher Camille,

'résents, d o n n e r a derniS-8té m o i r 'mara- es'

Sa m alheureuse épouse, ses r . u , l w „„ fants, ses parents so n t désespérés; c’es t en sanglotant e t p le u ra n t qu ’ils reço iven t le corps.

Dés hu it heu res, M. le S ous-P réfe t ac ­compagné de M. L efôvre-L equeux, éta ien t allés apprendre la tris te vérité è la veuve qui n a pas encore p ris un in s ta n t de r e Dos et à qui on a b ien d u m al à fa ire p re n d re un peu de nourritu re .

5 heures.M, l ’Ingén ieu r e t M. le C ontrô leur des

mines sont repartis p a r le tra in de 2 h 28 Les soldats sonl lib res ju sq u ’à dem ain

matin à s u houres e t à p a r t i r d e ce m om ent lis sont logés c h e i les conseillers m unicinan > et chez quelques-uns des hab itan ts

Tout le m onde voulait e n loger. 'Du rosie, iis so n t trè s satisfaits de l ’accueil

qutls rencon tren t d an s le v illa g e ; on le u r offre à boire, d u tabac, des cigares e t des ci­garettes.. I l es t v ra i qu ’ils o n t élé à la pe ine e qu tls sont fa tiq u é s; ils se p ro m èn e n t d ’aller coucher d e bonne heu re . Les lieu te nant et ad judant n ’o n t pas , depuis le u r a r r i-

a s ? : ifermé les y e u i e t son t re s té s à le u r poste. mines on i'ô m ? 3’, d»x8dnie’ à M- •'lugënlëürdêï

Préfet

c f ï ï j r j K , ^ i » i , z : i eiC a m i l l e 'M Î T , ,ol!s ™ lu , M e s s S , ' que C'eût é t l lïïn luj-mémo prononçât leurs noms. Dense l u n 'an . i sttf ’ “ 0r meilleure récom- B S J î iF J ïZ J ‘ s è ,e i Pt'imer Ici notre gra- mudo jiarUcubère d on céle a sos braves compa-

Edouard Luc,Philippe Lefôvre,François Picard.

t b i s y - S - P i e r r ? Sap00rs-I’0“ Piers de Bd-

à 1 adjudant Leblond, au sergent Haupelit, au caporal Delattro,““n x x l tW 8 ^ e!“un°y et Dessinges.

i q n S a æ s

nant, bêlas Fsi'Çroitblée.'6'1 °rd“ 0é0 01

M È È Ë S i

Vendredi, 6 heures.Le génie com m ence à procéder au rehnn

chage du puits e t de la gale rie e t à l ’en lève ment du m atériel. en teve-

Il n 'aura guère fini av a n t d im anche soir.

■Les obsèques.

Vendredi, 10 heures.Les cloches je tten t le u r g las fu n è b re dans

lé bourg de B éth isy ; de toutes p a r ts des groupes de personnes se d irigen t vers la’ d e t meure où, dans son cercueil, le m alheureux Thomas dort du d e rn ie r som m eil, veillé e t emouré nar sa veuve é p lo ré e ,pàr sésen fauls qui, bien jeu n e s, ne peuven t h é ­las comprendre la p e r te qu ’ils

t e œ à s S l S * - *restera toujours dans nos cœûraî ’ ! °n SO0,60,r

â p S l S S S S

D iscours de u . P a u l P épin , au tre o u vrier m açon de M. R appenaut,

Mon cher Camille,

4»= .U a, rivais au dernier moment de la

1S S 0„V™!;.C00r,0• “ “ a l “ tte

I „ „ „ ï ï i n t .d8 s“ “ “ citer à le rre . Un prom e­n eu r étan t venu a passer et c ra ig n an t eu loZ i î L r . i i " SOi‘ a r r iv é un acciden t, le

l S i . ’ 0111 sü fè thottu tt au trava il ; m ais J »a,0 teulPs. après il fu t re p n s de nouvoau

n ? lse 01 ollliffè encoi e d e so ré p o ­n d aP . i 00 lou rd , il no larda it| pas à s endorm ir. ‘

Les chevattx. s ’im patien tan t sans doute dS i r a a 0ni p,,ac0. . s’00 a llè ren t, e t au lieu nns ^ i , ? chem in p a r où ils é ta ie n t ve­nus, Ils descendaient p a r le Val, rem on­ta ien t p a r la ca v ée de P ie rre fonds e t des-

dn°Pni?.mi 4 Béhld isy ' S a im ' M arli0 Pa r la ru e du Puits-1 H erb ier, t ra în a n t d e r r iè re eux la ch a rm e , qui laboura it le sol su r son p a s -

. » h es l l a ^ i la n ts d 6 B é th is y - S a in t - M a r t inapercevant ces chevaux sans conducteu r là » ïn iH 8 S a0S , lra l00a0’ 01 socltaot à qui*ilsôtait ïn -rfx f 0? sèr0 0 t qu 'u n accident ém it a r r iv é , pendant que l ’un d 'eu x , M

ram enait les chevaux à B élhisy- ®hi 0 l: I l0r™’ d au tres, su ivao t la trace du S m S aT,a ie n i p r i “ 005 d ern ie rs , s ’en i K Ï Ï k . ! i c5am ps a fe c des lan tern es , hnft heures0 e t d en d e .i,0su00r ’ ^ alors

Quand les chevaux arriv è re n t Lesueur, qui s 'inqu iétait

, P H flM B LY„.,V,n. c\®rc ûe notairo , nom m é D ..., dom i­cilié A iNaours (Som m e), vohlait em p ru n te r i ----------- . «n r ^°,ram0 t(,eilx ,,îi!1° francs- i l S’adressa do J*a Salle.rieu 7 | e K ,,,a: r ° à Une ,1,ais,on d0 ‘-‘O'iten- . 0,1 a p p o s e donc quo c ’est à la suito «tn Ulieux (lo i a n s , m a is com m e il é ta it insol- * sêoaratinn «m en a ?lut0 doVau e. il ln iifim iii.i.iiiin.i..,xn i. . .. .. . .

ï ï i g ï a i s i i Æ ï i :

> ce que sou p a rtie aussi

rempilé* ol pëEt K “ I e ,ï i ? “ > bien jo u rs au travail, p ren an t m S m L i ° ï ' To0-

qnn.Pnur leM Bus. d'SlraC-

or deP°m™ „v:0ea,‘0r,ePs“Ucbèar'mer do0-cruellement éprouvées. Pentes, si

tonjoursSÛtonClsoSvmSîlë t ’ q “ l ”rester8aar'if 008 parmi nous. . ^ 1 restera vivantAdieu! cher Camille, adieuI

Après ces dern iè res paro les la nn»»™

c^ çu trrldfsabn1?7 î | dr ‘S r i8

Souscrip tion .

conseilUrne de l ’accident de dimanche,^°1 e Uconseil m unicipal, comme nous l ’avnne h î» - i h au t, a décidé q u ’nne souscription sera îtouverte & leu r bénéfice,

et bien-âimée^’qih0— ’ si Weu’ est^m sn .'^M M « K u ^ S S 8' i 8 “ * “ 00™8 ‘Î S W ™ sà ardemment de les voir jointes

légère et douce à votre pauvre concitoyen.

Ce discours a élé trè s rem arqué e t a fa it une profonde im pression.

Résum é.La population en tière de B éth isy -Sain t apres' ûem am 1UQdi» 4 dix

£ ! Æ rt0 0 d 0 8 i c « i ^ . . . . . . . -----------

ôm.a.r l “A re T a i l P“ ’ eliu l hèjà aussiI f r0 t 00 y° ï a 0 t l'a tte lage re v en ir

aussi ™ 8m* 01 108 paren ts p a r tire n t

» . ^ r ‘ ,h00re0s6.m ent' Peu après M. L esueur r e n tra it , avec la fraîcheur de la n u it il l o i r 11 r6v?lllé . 0t. 1001 su rp ris de no p’| Us ™ f ,80s chevaux, il é ta it p arti im m édiate-

1 uür ,race* p erd it b ien tô t | W J ! J f.a r .la 0u j l i il trav e rsa lo bois, oà i l tom ba p lusieurs fois, se fa isan t m al

Des personnes coura ien t alors rappeler celles qui é ta ie n t partie s d an s les chaorns pondant que M. le docteur Résibois d onnait

nerveuse. 8d r’ aUeiB1 d 'U00 cri80

ou 'm r h0Jli! 0 4 C00t mélr0S d0 PUÜSoù M. Thom as a été enseveli : o n d o itu e n se r combien les hab itan ts du q u ar tie r et les Der- 800.ne8 q01 regarda ien t trav a ille r les soldats

ém otionnés, lo rsqu’ils en te n d iren t annoncer qu il avait ôté, lu i aussi, v ictim e d un accident. P en d an t p rès d 'u n e h eu re il y a eu ici une vive a le rte . ’

A van t-h ie r m alin jeu d i, à six honn»»

i n S e t a ^ , ^ ~ t éCraS’é p a r

d o ^ je™ ™ ?” 1 0 4 re ll0 s d 'a u “ 0i 08

d e ^ a lc ^ 8 se l il0'ôPargne’8de8 S en li^ 80CC0r?.a *0 ap rés-dem ain lund i, à dix heures’.

vable, il tourna ingénieusem ent la dillicuMé- i i siyna sos lejtres du nom do AI. Louoivro

quinca illier à Buaum onl, e t so (it a.VrJsser i les réponses poste rostau io à Chamhiyc u e i l l i t , f « e î C e,,-m s !? H«oi«»em ents t« - cue tn is su r Al l.epoivro , l ’affaire fut conclue.

? an l des ,n *érêts fixés, un p rê t de i 2.000 francs fut consenti. I l devait so faire p a r ’tn term éiiiair0 de la poste, e t toujours ' p a r le bureau de Cham hiy, où le faux Lepoivre a llait p rendro les le ttrés . ■

M alheureusem ent npur lui, l ’ae en re ,1a rer|aUvoUà 1 " " f fois la recom m andation I m i» î t , . posto r0sla0ll‘. ad ressa une J? ï fn c i LeP°lv're . 4 Beaum ont, e t ce lu i- annoi a i Pi'^yeuu de ce qui se passait, fit appel à 1 assistance de la gendarm erie . « n w î aAn ? ’ à mi.d i ' au moiu e n t où l’escroc en tra it à la poste de Cham hiy, pensan t enllnDaïCM6rr p h / 1X de sf , P aiDeSa 11 é ta it a rrê té p a r AI. Leclôre, m arécha des logis de Boni, m ont, qui |e guettait depuis le E n

ChnmhiSP° iVre s é l a u égalem ent re n d u à Cham bly. Supposant, avec ra ison , uue le m alfa iteur le connaissa it de vue, il avait mis comme G ribelin , des lunettes bleues et s ’é ta it fa it couper la barbe p o u r no pas év e ille r larh » m M ° a q0i ba ltail l0s rues doChambly depuis p lusieurs jou rs.

confronté im m édiatem ent avec AI f p . po ivre, D ... eu t l ’audace de l'ap p e le r escroc m en teu r . vni«.ir “ r r r . . escro?»

ùparat.on de sa concubine què“ h an té Dâ r la a lo u sio o tla persécution , le paàv ro hom m e

■perdant un in stan t la tét„ so liv ra â S ô“ Ile escapade su r les toits. 10

e s t r e e s -s a i n t -d e n is

4 u x .'P rév o ya n ts de l ’A v e n ir de l ’Oise, SOCIÉTÉ DE 1IE31BOLHSEME.M MUTHR1

EN « s D E D É C È S D E S t ’a É V O ^ T S D E L ’o i S E

\o ic t ces résu lta ts :i ces résu lta ts ;Cotisations verséos Cotisations restant dues à c Livrets,- etc..............

674 fr. 212207

1.123 fr.Total............................

S iiiw n'ïn-1 de Çaisse d 'épargne d ’Éstrées-

00£ d0 ;a s o d ^ r i . r ; s r ï ! î i ^vin , ' don.,lero ,,s A chaquo recette de ian - le nom de!",,1, 0 [l,r" .d ’e0couragem ent

ob tiendron t les me?IleS?“ résu1tatsCl‘0aS qUi

m ^ K e ^ „ ; an r lt; . d! . i 0B!0 -m e n te u r , v o le u r , fa u s s a iro , e P d . s o u ï Z '" .p h 'è e S - S a i n t - D o n ï ï i - B e a iv ü sm rn f L0P o l ï r e é la h 0 0 fa u x L e p o iv re e t ' -1 J 0 l0 u l l - lo - i la u d o u in , 4° ( lu is c a rd . '

r i 6 f ™ . » ™ . 0 '0 ' a “ ‘« i- S l ’a u r a i t | o b î é n ? ^ d S ' ^ ! i 0 0 r0 0 a r é s u l ta .cmh aî‘desri'oPgPi i SaDS ,,in l0rï001i00 d a m u r t-

0st 1)0010 hm dem ain , après p lusieurs son idftnHirt°Ur t r?™1>e‘' la gen d arm erie sur

ô to?» !i 0 ” • s 051 décidli a décliner v éritah te «» çontrOfô depuis e t reconnu

prison de’ PonteU o86 “ “ 810 inCarCér4 4 la

obtenu au débu t sera un précïoux s ! ” 181 gem ent pour les sociétaires ayan t l ’in ten tion d e fa ire partie de la société. JniflüDon

Le Secrétaire, Lhi'èhe.

Le C om ptable, D cm ontib r,

Le P résident, D o uviiy .

P0NT-S1INTE-M1XENCELE HEUX

fie j e te z r ien p a r les portières.

„ . i f 0 i0 J 3 b is, vouant de P aris à desilUn des ouvriers m açons do M. Chovet mn'mü ,0 Co“ P1L'8 0o e t de P éronno et

e n tre p re n eu r, nom m é Deinouy, âgé de 57 I P0n ' 00a0 t e0VII'ou 400 voyageurs, pas’sait

S » t e t . 10nibÔ d '000 éonge^tion cé- ^ a 's ta U o ^ 'd n u 'X 1,00,08 qu,0Z0 d 0 Œ ré b ra ie en m ontant au p rem ie r élage uour I m i . du Moux sans a r rê te r , lo rsou’an y trav a ille r. Ses cam arades V î i T g J S I S |m ort e t transporté à son dom icile.

Arrondissements Toisins.C O M PIE G N E

T ir de la Compiégnoise.

résu lta t8; l8“ r8 0x0rSc0s" dB hr.UE ^ v o ic U e

i n ’S ü ' V m èlre s’ - '■ M ouchenez, 3 Lacsèn’e^ . Ï I “ f ° ï « ’. 1?. P0i0 ,8 l 5.

le long de la voie, reçut au côté dp in^ow. une bouteille je tée pa r la po rtière p a r .fn dos voyageurs. La bouteille éta it tombée sans se casser, m ats le choc avait été si violem quo 6 m alheureux can to n n ie r s ’affaissah aussitôt ot perdait connaissance im m édiate- m ent. Le chef de station s ’em pressa annrAi\vJ h UT M0mme> taQdis M- le docteur AAarde. du Mnnv n riu o n ,. ' ’icc iden t

b lessé, dontD im anche 87 qoùt, les gym nastes de la M e. ’, du “ ? 0,l..P''«<'e0 u de la à c id e n t a ï -

Ç o m p té g n m e on t procède a la deuxièm e ! il jugea I é ta t 'h ^ T g ra v e ° iDS 8U bl6ss4, d 00‘

Cooien fut placé su r une civ ière et condnit

^ “ “ b l0™ 0' 10, ! ‘i 1™.000» '

3. Lacagne, 9 po in ts; 4. B oudin, 8 p à in is ; Acolet e t M ourton, 7 points ; 6. Bonnet e

*ali,aa Pied de la b iè re e t je te r d e l'eau . ' r £ a ,U q00.s P0r800008 ad ressen t descroies do consolation à M-* T hom as. I

u i 10 b. l/g .M. le Sous-Préfet e t M. le docteu r Cho-

D iscours de H . C hopinet, député. Mesdames, Messieurs,

r a t a f i a f t ô ï ï j 1

^ n i r ’icid ire un d e ^ e r ^ d ie u ’au Muraganx’ou- vner. à 1 exce ent ciinvpn nni « c ,e,ou* u u -

de chose p rè s à celui o Æ n o m ™ ' , ro K ï D0al00- « P o iu tÏÏ l" EmVn, 6 points T Le

enfants n e seroüs pas oSbfiés e t que la sous­crip tion ouverte comme il est d it plus hauT recev ra le plus chaleureux accueil II faut

I en effet songer à la veuve et aux o r p h e lin l

Un hom m e, possédant une m aison h. ho ru e , e t qui é ta it s u rn o m m é e “ “ p ÿ 08

*" iS8Pn n8,4' 1. q0 ’1.1 t a ? a it uni snn nmia

cetio Quiuze-Sons

“ r«r„“ 0h4„ df-ns. ! 00 P0ils o‘ s 'obstina it à , I

d d’ d°y008 du Conseil m unicipal e t ' î 00'’ V ’o1061180! citoyon qui est tonib”é sur 7»(légué» par celui-ci, so n t a llés ch e rch e r à ^ s m p de b .u llle de la vie? à cette “ • 60r 16gare, arrivent à le u r to u r, su iv is d n tn , , . h ™ 0 .,1!0» 0»08 Pleurons aujourd’hui,membres du nonsoii tous 1 r«m.ito x.-».Camille Thomas ôtait un enfant dn‘ peuple et cie00>0 l8 a M. le Sous-Préfe t MM Im S '

le meilleur parm. les meilleurs. C’était un tea- 0 'é u r e t C ontrô leur des mtao’s M 'iL ? 10! 4'

dea ouvriers 0°.“ d e s " ^ 0” 4 NnT''cl.ntentd d 8 Ma ”châuve?dr d a n ‘ '8! l0?’ S0ldals d “ 7 0“ i » ™ r ,,4 .? 00 P.”'™0 808 “ rocs et sem fnleUi? | 01

ifAvpA /'Dhâi;nn«\ / ’

ri» Al i HdU Gonseil “ unicipal, y com . n» M Hardy m aire , re n tré h ie r so ir et

il T . 1616. M’ L e ^ v re -L e q ae u x âd-! s finirent aussi un in s ta n t d an s la

i:r4nrii!e8:prés8”i8ri00" “0d0- |I c o m r l b u e r à ' u u t i t r o ^ q u r à ^ u v r

s “ a s - s s i t rde ï,sro10J ,O0r consoler d ’un pa- f 0,0 0 ! 8 « “ '• 4 00 «1™ officiel ou n o n , assis!

î S S ! ï r’ P,a lh6ur u outaot plus irréparable la ie0 < 0ux obsèques, c’e s t-à -d ire tni,« t f lr o r b ? r ? ? i F r prë7 l0ca8o4cohoPv assi8lants sons excepl on d ‘r0 ,O0S lesces orpneHns si intéressants resteraient dans lé '

R em erciem ents.

M ademe veuve Thom as, en son nom e t I parla«a r 00 caa 'ào 'ré tT ssü o ‘,|» i„ a5.aT0.ir 4

descendre p o u r trav a ille r à «n mou - r * refusant tou . concours p o u r no p e s ^ o T '

cas d« rzinooi.^ t-..F «voir

l ’eudan t tro is jo u rs , on ‘trav a in V a les p ierres e t les décom bres, e t o ram ciln01'

S u » ? d & “ i m p r = -

e8 “ nVd8o t nu8à e Œ e h S ; S , “ t -P i0- .

monde, et que la mort imbécile frappa souvent | les meilleurs et les plus méritants, s°uvent

Ï Ï Î S » q0‘ “ “ S ,Je ne veux pas insister sur les heures crnellei

que nous venons de traverser, sur œUe J E angoissante qui a duré plus de quatre jours et 2“h“? „ . î ° " lbi ^ décce0pd^ terminée Tous les

commune ont oublié qu’ilshabitants do i w ^ . . .Uuo uui| étaient dans un jour de fôte nourn n r l S u m a lh o n n , —x.— t I .

Le cortège.

t ! 80 form0 da08 l ’o rd re su ivan t • l ^ r S ' o ' r 18’ p récédé0 d é sonJ e clergé ;

m! ^ I m ie n a n F n 6™!!S008 la d ir0 otion M. le sons-lteuten^ m UGrHdy*1"M arl' n0 t 01

:|U de° M°" |e U1 ioq1?’° ' *?“d “ “ “ o nde- djndant Lebinno ? ? an x d 01 d0 « •“Il rend, 0 a l00,!1,??08 b raves soldats on t :li®8 qu'ils ?ë a n d . ,0 r hom m age à laîe ’cor ? m o r t) ; '0 0rc4s-d 'ar-

nes p ïm i tes' adUef!!r,i88ait 8008 le8 cou- Is du Conseil m »? • . 11008 rem arquons i» des ouvi i e r ? ! K pan 00116 du 3’ ffé0 i0,-nier, celle i l . B°PPOoaut e t de ce t le défunt; “ m08 ay a n t Uré 00 80r t

fô 'c ô n selft,iJîn'l a .doî l6 0 r C hopinet,Et-voyer ’ U t , ? , x B 1, “ • C hauvel,

'“ " ^ ■ ' ' ' ' u m ^ r o r d o ^ ^ f o . 1? ; ^

' " { r ? a “io0 da ” b o l 8 s n s s aT ? v ?™ 14 » ' - t t v x t v ™•XiïWT’d0 •’O K . Î a n f ï ï ; .1

J U t a J U do l ’Oise, a la ^ & r . ”o',id.ri,e qui gronpon. p,„6 trouve M. B âton , vice- I étroitement devant le malheur les m n m h r Æ

C o n tin u a tio n des travaux.A deux heures e t dem ie, les soldais on t

recom m encé les travaux de robouchago I ls son t de p lus en plus satisfaits de l ’ac­

cueil sym path ique de la population dont ils reconnaissen t la parfa ite hum an ité

P lu s d u n d ’en tre eux m anifesta it son f i L r M , 0. ! ? 1/ 1? 0 ' d0 m onde su r

se trouverdait quo M hom m es"™ ; T ..° „ 0 ,!aL r.6l100' la pli

part du m alheur Irrtparable'qui'vènah da frannnr l 'accid00t 0t supposaitune famille universellement estimée et aimée daii n n ï H P » . e » e t ,0 r8,ï u ’0n Aveo quelle persévérance, avec quelle éneroln I i 1 hom m es qui trav a illa ien t raiïn

s S i S S ’ T ® t p S v r ' rB„m:u:is„f'4“T,?ib8?ycT „ èI redoutable tâche. Les

|* tren ie^uvrjyrsf3^ 011 de 1,inforl“ “ é,

ÿ S r d8 B4thisy-st-PieiTe

'd ire mi"»".?,?person0es d u pays — on lé 00 moins par^un i nénaKe « « U re p ré - 81 beaucoup T " n d e w m e s f f - 0

’ de personnes des

' " l ? . ” » 008

rô n » n ? .° ? Ç ? ^ i0xd,’a ro d 0 S aint-SauvG ur, enfrères do t?éth?av° ,0?i,ta ,“ ,io,n de 808 don-ireres a e B élhisy, s es t ren d u e d im ancho

etedemieaiîar ro m Z' ' ° 08 as!ig“ 6’ A 000 h00re An tôte é . m ?, -Ç ° 10’ 800 « c e l lo n t lapin

, , , “ l i 410- 8 0 “ 0Ua/ ‘ 0 " rou te, en fa isan t m i-malheur les membres do ro ,le r» a,u * chauds rayons du soleil les nlls

Rnnr°r8/ ^ nnfLMnii . qu C0D8,iluent la commune, a°yeux de son nouveau d rapeau . V ers deuxsont réconfortants et nous prouvent n..-nn ““ .î I h eu res , à la frnniiA™ h* n Æ Î T U:._®L8 ae ax tout espérer d ’un pays où

— e t pays voi-

ÿ rry f f l e s , MM' AI-t 1,8’ MM. p r0uit |d0cl00r; D elouard et I 481- B saudeon in n D e ,a u , . A llô n ic , Jf-Dicart, u " l 0 ,0 ;E 8m ery , V érecque"«r, si ,o„ fll“ e tl! “ a ire d a S al0 t-

’égii, l e « ro icc .

’ï î 18’ r'V uolun»?1' 10 1>O0r “ m frh ir les

o b U |6 , i a

Je laisse à d ’au tre s plus qualifiés lo soin a « ? ? n c e » d ra p e a n e n tê terem erc ie r, com m o ils le m ériten t, tous c o S l mw î J qu B lre m ô tr6 8 . ° n e n te n d : H a lte lo n t co llaboré, d an s la m esu re do leu rs m oyens ^ lîie n t a 8 x c h a m P8 « t a u s s itô ta u sauvetage irréalisab le d e ce m a r ty r du tra v u ii ' a P ^ 8 lo s a lu t a u d ra p e a u ; a p rè s q u o i le s n o i.

co n tre tou to 'espérance . m om enL ont

S9s°aIint8COœnnusraè d0inronnns' "ap p o rto ^ f0? . d a n s ^ ^ h îs v ^ c e ’o’m riô110' 09101!11001' 001rdflfomillo Thom as le tém oignage de n o lîé svm » 0 v iv e vo . n ? ’»»??1 dér4 ,0 g 0 P ’08 d '» “ ™ -tb ie e t de no tre profonde do u leu r e t lui é io r im w r iv x n t te r z j î . i , P f,s 0 r L08 a r a h e r s . E n a r -la part nue nous prenons i ron deuil cruel fro™ , l l . n S a l ! dlgne d e »<>8 con-

Mon c h e r Tbom as, |e no pu is quo vous d ire nn î f,ilcuns so d é b o u c h a ie n t p e n d a n tdernieradieu, et. en présence de cette manîfos- i g- 80 .[léconpalenl.

H ier, vendred i, au m om ent où xi u »’éfet e t M. le docteu r G h o ï i n e r ï i l i n m - i

gare, passa ien t s u r le pon t du mo’nHn ï î près des lavoirs, accompattSé? ,n, a- l0 ’ personnes, no tam m ent de m ! î i , diversesseil, ils é n te n d a S m d e , f e S m T dU, Co0-appeler au sec o u rs; c’é ta it MmT n r .e l laquelle , en Ira in de laver v „ » ? ? g !i?x011'

W û a â ? ?- ^ ‘. “on^tfnVrVd^Æ

M. le S ous-P réfe t e t M r h n» t— . m anqué le u r tra in , M D e l r S a ? aya0conduits àC répy-en-V alois PmY xi F8 »0 ™ 'a p ris le tra in p o u r S enlis. M’ A“ dig ter

S ER Y-M A G N EV A LD issolu tion du Conseil m u n ic ip a l.

Le Journal Offlciel publie le décret suivant •

P i m S ^ ^ n i l S 4 1 0 0 3 ^ 0» 0010" ^Vu 1 ar tic le 43 do la loi du 5 av ril 4 r s a •Le conseil des oSt§tfc?u ** ' '

cap^ mÏ Î , Ie conseil m unicipal de

deux fractions opposée? e^num V riauem fln1! I v é f l ^ K - ’ ^ demi H.a rn ‘lu re s 'é ta ie n t c re -

C onsidérant qne cet é ta t de choses en so p ro longeant, se ra itd e n a tu re â com prom ettre gravem en les in té rê ts do celle cotnmuTo 1

Décrète : *

Préfet

. F ournaise, 8 points ; 2 . Alahieur e f ü a l a - vom e, 4 poin ts; 3 . B ras, 2 points.

Violent incendie.Un incendie d 'une g rando v iolence s ’est

déclaré, dans la n u it du 26 au 27 août vers m in u it, à la m aison de to lérance de r -" ip iôgne, p o rtan t les gros num éros 3 e t 4

des Sablons. ’Le feu s’es t déclaré d an s la cham bre de

l ’une des femmes de ce t établissem ent alors que la salle du cafô, au rez-de-chaussée re ten tissa it des chants e t des r ire s des « nom breux clien ts ».

Les flammes fu ren t aperçues p a r deux hôtes de la m aison ; m ais déjà il é ta it troD tard pour a r rê te r l ’incend ie , et on d u t don-

Com|rue

^a,t^r;^i,0c „ r n & ca0io0a-I est m arié e t père d ’uo bébé.

r èd Seu

lesro'spnOôsOa b iS L Une0nq0Cl0 0,10 d '4‘ald*II est m alheureusem ent à c ra in d re on ’on

s a o ^ s s 1,au:e u r d° 0000wde laM. le docteur C hevallier, m édecin

Compagnte, a visité égalem ent le btessé et

de C o m p te g T 1'*91' 6am0di m ali“ 4 ‘ •‘ «P iW

SAINT-SAUVEUR

frappée d 'u n e congeatio r rüfiîl»V?,D?!/. ,d 4trenortôA im m ôatn i.tna» , ’ , 8 été tra n s - , . . . . . . . . . . uo

m e de 1 Im ago, chez Plus précieux . Quant aux au tres , don t les in sp ire de vives in - | cham bres éta ien t envah ies p a r les ilam m es

n o r l'a larm e en ville.Le fou ayan t gagné les cham bres de « ces

dam es », au nom bre de sept ou h u it, ce fut alo rs des p la in tes , des gém issem ents, des réclam ations, des cr is ; chacune voulait sau v e r ce qui lui appartena it. Celles qui logaient aux ex trém ités du bâtim ent pu re n t sauver quelques objets e t ce qu 'elles avaien t

R evenan t sam odi 86 août do Comniton»

a I* re s ta u ra tio n d e l ’églisêS ain t-A nto ine, un vo tturier do W rv Dassait

m ^ l 3 ™ 0010840” 'lieu d it « l à c 7 à iV ;\à m te r» U,r aro c sSa°ch’» r ' re lie a ttelée de deux chevaux e t lit m a len " contreusem ent la rencon tre d e ? g « n “ ai q »17 ;ayant rem ürqué quo ie c o n d n r , ^

v e rb a lis é ? d0 lan terü0 à sa v o ilu re ' d u ren l

elles du re n t se résoudre à se sauver « dans le sim ple appare il d ’une je u n e beauté q u ’on arrac h e au sommeil » , sous la sauvegarde de deux sapeurs-pom piers q u i, jam ais ne v iren t le feu d ’aussi p rés e t ne co u ru ren t d ’aussi g rands d an g e rs ... pour le u r vertu

Jugez du tab leau qui a t t ira i t la curiosité des passants e t de ceux qui couraien t no rter secours. *

Le com m issaire de policé eu t p itié d e ces

4P l ’b éte l dü P U . d ’E ,am d0“ n er ' h0Spitam6 L’incend ie avait rap idem en t fait des p ro­

grès eflrayan ts, e t toute la m aison fut bien?- tôt qn f e u . . 5 ? ■

La pom pe du haras e t tro is pompes de la v ille fu ren t m ises en b a tte r ie ; m ais l ’eau

leu rs «hagrinâ. J?àUX m arseillais causent intim es.

». r fla

■ W W ? ë £ o mua ,l ic ip a ,d e S 6 r!" ? * ! ! & *

Les pompes de M argny, V enelle, C laircix e t la pom pe m ilita ire , qui ava ien t été am e­nées vers u n e heu re e t dem ie du m atin , n e s e rv iren t pas. ’

é te fn tU a,re heUre8 d “ m a,in » ,,,ncondie é ta itLés dégâts sont très im portan ts <iqtnnf tl'tllicirjl ,lnn . In 1 _ t. . .

M ’in teH .™ pfé8j d00l'd “ conseil, m in istre 1, i ? dos cultos, es t charité de l ’exécution dn p ré sen t décret!

F a it à R am bouillet, le 6 soptom bre 1899.E m il e Louhet.

e t en su ite dans celle do l’am oublem ent Ils sonl évalués à 40.000 francs environ

I l y a assuranco . '.« iix caus0 d u s'Histro es t ju sq u ’à p résen t restéo in co n n u e ; on somblo devoir ’la llr i- b u er à l'im prudenco d e l'u n e ' '

tstlon unanime de sympathique so lhU rtiéT m . prim er le vœu que l’accord qnf règno aujourd'hui dans le malheur, au sein de cetio g é n é r a » î» pulallon de Bélhisy, se perpétue, et quo tous les membres de cette nandefam llle soient désormais

S îÜ nîlîÎM S™ ' " “ , a l I '*ld8r « ” ! ï î

L’on v r iv e 7 n 7 u l te “a”uJ f r e “., -.p rés I , P .d r o n a r ï ACï n avec en ,ra >“ pour p ren -

S ' * , ™ 1 106 ' «n appelle le . » . 4 din * : 168 P"r l |o» term inées,ion à V i n c e n t s u r les vainauours

Ÿ ow î d l" n t ! C’M' *

nantedil-le-haddooiw

b o is s y - f r e s n o y iu u io iVoici la socondo an n é e quo la fêle do I / a ï^ n è ra le do in S a lle , no fu ren t nas

? lrouye remi8e au deuxièm e d i- P®u, in ,rJ gué8, en voyant un ind iv idu juchém anche d e sep tem bre. Telle q u ’e lle a’a n - "00000' 8116 beau tem ps roste d e la p a rt e nous espérons, d o res e t d é jà , qu ’e lle su r­passera celle de l ’an n é e d e rn iè re ;

■ . ï 1™ ' . ' ' ? 11 8ePtembre, 4 six heures dnds P sp rtP m iÆ j™ °d iv M ? O0X ‘ b , m ‘ ,

Un noctam bu le .Sam edi 26 août, vers cinq heures , dos ou-

Jn!?!?A8<! ï enma n t à L0®1, trav a il 61 Passant, ™ l A“ 8.l®ï, il?’ e.n faC0 l ’hôtel h ab ité p a r

le, n e fu ren t pas i in d iv id u juché

toi sur les Accidents de travail.p r im e s 'ü x e ^ à r a n tf u e ^ p a t r o n r d e s consé^ quences de la Loi et rem bourse à la Un da

^ ë s e a r aa s9sOu Pé°s,,rC 9n‘ d e l 'eIOéd00‘ d08

(D (D (aZü (£□ 1?A G ENT- G EN ERAL

des q u a tre Compagnies « l'A be ille » INCBNDIB, GRÊLE, VIB, ACCIOBNTS.

» 5 . R u e d u O l i f t t o l , a s

2 ‘Lrr d“ P ri* (Lyo" ,89v Dororaux I8*V)E a ï ï f r ,“ 5 . OU J U O ^

À «LC00LDIM ENTHE

d i Rouih 1896, Biuxili.ii I897

RIGOLESI toooi do ndSlha E A rttaU .)(L e s e u l Alcoo lHYQIÉN

tantanément lae u x i r

Excellant

L9 G érant : Bbaqdit.

to u t en h au t du to it se liv ran t & une m im ique des p lu s expressives. 1

B ientô t |e flot des passants augm enta , si J b ien qu il fa llu t a lle r a v e rtir la police. Un agent se re n d it aussitôt s u r les lieux , m ais / eu ra p erc ev a n t l ’ind iv idu se dissim ula au ssi- /

qu 'un*p iu ’ p lü » "ta rd q tp o n p a î* )* p re n d re .' I Im p rim e r l0 * ^ 5 ^ ( 5 * * * «ffM lw oia l*

Page 4: Année. — JV° 7S. Paraissant le Dimanche et le Jeudi.bmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_09_10_MRC.pdfdlnsdrucüon de ^Haute-Cour4 Comm'ssio11 A U T O U R d u c o m p

. , , , |-M a - >, V 4 / V 4 i . ' i

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S i! iih » :-M

BULLETINCOMMERCIAL

Marchés de la Région

. Si n u s , 5 sep t. 1 0 0 k . hect.

F ram en t, 1” q u a lité .. 19 oo 14 82- 2* - 18 00 18 68— «• — 17 00 12 58

12 50 9 0018 00 8 4617 00 7 65

Seigle..............................Avoine, 1" q u a l i té .. .

F a r in e 28 00P ain , le k il. 1** q . 0 81 1* q . 0 28

S an s varia tion .

Ch épt - en-Valois , 2 sep t.

________________ h e c t. 100 k .Blé, 1" q u a lité ..... 14 63 19 00- f - .......... 13 87 18 50- 8* - .......... 13 14 18 00

Seigle...................... 9 18 12 75Avoine, 1 " q u a lité .. . 7 67 17 00

- 2* - . . . 6 88 16 00Orge........................ 10 90 16 50Farine, 1” q u a lité ..................... 28 00

— 2* - ...................... 27 50Pain, le k i l . 1" q . 0 29 2*q . 0 25

P ont-S “-Ma x in c i , 1” sept.

: hec t. 100 k .

From ent, 1” q u a lité .. - 2 ' - .- 3* - .

Seigle. V*O rge................................Avoine, 1'* q u a lité .. .

— 3* — . . .- vieille 1** q .

— — --------------- 2* q . rFarine, 1" q u a lité . . .

— 2* — ... B eurre , — — 3Œ ufs, le c e n t................P ain , le k il. 1N q 0

15 20 19 00 14 43 18 50 13 28 18 00

8 70 12 26 10 90 17 00

9 23 17 7fr 7 59 16 60

>» »» i» »*» i l i i i i »» » >» i i •> i i > • >»

80 - 3 60 7 »»29 2* q . 0 24

BiAUVAis, 2 septem bre.

les 100 k .

B l é . . . . . . . . . . . . . . . 18 00 à 18 50F arine d e cy lin d re .. 28 00 29 25

— de m e u le s ; . . 26 75

O r g e ; . . . . : ; r . T , r rA v o in e .......................S o n ..............................R em ou lage .................Fo in , l e s 6 2 0 k i l . . . . L uxerae, — . . . . Sainfoin, — . . . . Paille d e b lé , 520 k .

— de seigle —— d ’avoine —

P a in . , le k . , 1" q . , 0

12 25 17 06 17 60 14 25 16 »>

28 00 12 7517 8518 50 16 25 18

34 »» à 44 »»34 » 4228 »» 3220 a» 25 aa30 «a 32 aa18 aa 22 aa

r q . , 0 29

Cl u m o n t , 2 sep tem bre.les 100 k il.

Blé b lan c . . . . . . . . . 18 0 0 19 00— ro u x ..................... 17 60 18 00

MéteU............................ 16 0 0 16 00Seigle............................ 1 2 0 0 1 2 5 0O r g e . . . . . , . , . , . . . . 16 0 0 . 16 00A voine nobre. 17 0 0 17 60

- b l a n c h e . . . . 16 50 16 00B eurre , le k i l ............................... 3Œ ufs, le c e n t................................ 10 00P ain , le k iL , 1” q . , a 30, * q . , a 25

C oM Piiom , 26 août.le s 100 U

F rom ent, 1” qualité . 19 0 0 à a a aa- » — 18 60 »a aa

Moison.........................Méteil............................S e ig le ...........................O rg e .. .A voine.........................F a rin e ..........................Son................................R e m o u l a g e . . . . . . . .F é c u le .........................Pom m es d e t e r r e . . . Foin, le s 104 b ottes. Pa ille , —Sainfoin, —______L uzerne . —

P a in , le k il. 1" q .

N o io n , 26 aoû t. B l é . . . . . .....................

a a aa aa aa13 aa1 6 00 18 00 27 00 16 0014 0081 aa aa aa30 0018 aa25 aa26 aa

0 81 , 2*

aa aa aa aa13 60 17 00 19 00 28 00 a a aa

.1» aa a a aa a a aa 82 aa 21 aa 30 aa 80

q* 0 26

Seigle .....................A v o in e .................O rge.......................F a r in e .

le s 100 k il . 18 25 à 1 8 50

12 00 12 5018 aa 19 aa16 aa 17 0027 aa 2 8 aa

P ain le k il. 0 3 0 0 2 6

S o n sio n s , 31 aoû t.

Seigle....................O rge ...........A v o in e ................B eu rre , le k i l . ., Πufs, le c e n t . .,

P a in , le k i l . , 1”

les 100 kil.

. . . 17 50 1 1 6 25

. . . 12 32 aa aa

. . . 18 74 a.

. . . 18 48 aa aa. . . 2 60 a aa. . . 9 50 aa aa

q . , 4 30, r q . , 0 25

R o u ih (S eine-In f.), 1” sept.les 100 k ü .

B lé................................. 18 48 i a a aaS e ig le .......................... 12 58 aa aaO rge.............................. 18 00 a a aaA voine.......................... 22 27 a a aaF a rin e , le s 1 5 9 k i l . . 4 1 6 0 a * a a

Soissons (A isne), 26 août.le s 100 U l.

B lé................................. 19 20 4 18 25A voine.......................... 18 25 17 25F a rin é de oy lind res. 27 50 a a a iP aille d e b lé , 620 k . a a aa aa aa

— d 'a v o in e ,— aa aa aa aaL u ze rn e — i a aa aa aaP a in , le k i l a 81 a aa

» ,

A vis important.Noos avoua l ’h onneu r d ’appe le r

l ’a tte n tio n d e MM. le s In d u s tr ie ls e t C om m erçants d u d ép a rtem en t de l'O ise , s u r le s av an tag es q u ’oSre la p u b lic ité d a n s le s co lonnes du J o u r n a l d e S e n t i s .

N os é d itio n s b i-h eb d o m ad a ire s e t h eb d o m ad aires , rép an d u es p a rto u t, ■ 'ad re ssen t 4 là c lie n tè le l a p i n s p r o d u c t i v e de la rég io n .

L a rép u ta tio n d u J o u r n a l d e S e n t i s , d o n t l ’o rig in e rem o n te à 7 0 an s , défie to n te c o n c u rre n te pour ceu x q u i v e u le n t fa ire de l a p u b lic ité q u i r a p p o r t e .

B ien q ue n o tre t i ra g e so it en c o n s ta n te p ro g re ssio n , nous m a in te ­n o n s n o tre an c ien ta r if :A nnonces : l a l ig n e O fr. 20R éclam es : l a l ig n e 0 40F a i ts d iv e rs : l a lig n e 0 5C

On n ’accep te p as d 'in se r tio n au- dessous de 1 fr .

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docteur en d ro it , avoué à Senlis, rue

. . m a - i de Ville v e r t, n’ 7 ,Etudes de 8UCC. de gm ileDém k l m ;

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Veille ef A d j u d i c a t i o n E n la s a lle d o la M airie d e C hantilly

(Oise),P a r le m in is tè re de M* L ombois,

no ta ire à P récy-sur-O ise ,L « V e n d re d i s ix O o to b re 1899,

d d e u x heures de relevée,

D’UNE CRÉANCEAn capital de 6.851f' 60

S u r M. SU ximilibn C n o u z ir , m a r­ch an d de c h a u s s u re s , e t Madame L ouisk-Ma u ii Sa l ig n ï , sa femme, dem eu ran t ensem ble à Chautilly payablo d an s le délai de q u a tre ans, p a r fraction annuelle de d ix -h u it cen ts francs e t productive d ’in térêts a u ta u x do q u a tre p ou r cen t par on, à com pter d u quinze Ju in nul bnit c en t q u a tre -v in g t-d ix -n eu f; dépen­d a n t de la faillite do Madame Cêline- Marik P e t it , ancienne m archande d e chaussu res à Chantilly , veuve de M. Mauik-P ikrrr-E bnkst Dugardin, e t ré su ltan t d ’un acte de cession do fonds de com iporco d u quiuzo Juin m il hu it c en t qua tre -v ing t-d ix -hu it, e n reg is tré ;

Mise à prix: 1.200 Ir.C o nsigna tion p ou r e n c h é rir : 500 fr .

Cette vente a lieu en v e rtu d ’une ordonnance rendue par M. C hris­tophe, jugo-com m issairo de la faillite de la dam e veuve Dugardin, e t à la requôto de M’ Louis E scavy, avoué à Senlis, synd ic de la faillite de la dam e Dugardin, en présence de celte d e r­n iè re , e t sous les charges, clauses et conditions d u cah io r des c h a rg es , d ressé p a r M* L ou ibo is , no taire à P récy-sur-O ise, déposé e u son Etude, o ù chacun peu t eu p rend re connais­sance.

Senlis, le 9 S eptem bre 1899.Sigué : L . ESCAVY,

S 'adresser p o u r les renseignem en ts :1* A M* Louis ESCAVY, avoué à

S enlis, p o u rsu ivan t la v e u te ;_______2 ‘ A M’ LOMBOIS, n o ta ire à Précy-

su r-O ise , déposita ire d u cah ie r dos charges.

T our insertion :293 Sigué : L. ESCAVY.

LE 16 SEPTEMBRE 1899

Reprise de la Sa ison HARDYn place de la Halle, Senlis.

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Robinetterie, Ferblanterie, etc. P r ix t r è s r é d u its ,

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E n l’E tude de M‘ M knn isson , n o ta ire Le D im anche 10 S ep tem bre 1899,

à d e u x heures.P a r le m in istère d e M’ M bnnbsson,

no taire & V erberie.

B tode d e M* d o l l a r , n o tâ te s A ' Mello (Oise).

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de M* Collas, n o ta ire ,Le D im anche 1” Octobre 1899,

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le de M* D E L A U N A Y , notaire i Senlis.

Successeur de M' Driard .

B I E N SA p p a r te n a n t à l'H ô p ita l généra l

de S en lis ,S is t e r r o i r s d e S e n l is , E r m e n o n ­

v ille , M o n ta g n y -S a ln te -F é llo lté , L e P l e s s l s - B e l l e v l l l e , R ully B ra y , M on tép lllo y , B r a s s e u s e , B a r b e r y , O g n o n , N é ry , S a in t- L eu - d ’E s s e r e n t , C r a m o ls y e t T h iv e rn y ,

A Affermer par AdjudicationP ar le m in istère de M* Dblaunat,

n o ta ire à Senlis.En l ’nno d e s sa lle s d e 1 H ôpital

g én é ra l,A S enlls, ru e d n F aubourg -S ’-M artln ,

Le M ARD I 10 OCTOBRE 1899, d u n e h e u re de relevée.

E tude de M* o . LOMBOIS, n o ta ire 4 Préoy-iur-OLse.

Vente aux Enohâres publiques n i

0010 Gabes de FumierLe D im anche 17 S ep tem bre 1899

d u n e heure ,A PRÉCY-SUR-OISE

d ans la co u r d e l’ancienne ferm e F r é m y n ,

P a r le m in istère de M* Lombois, no ta ire à Préoy-sur-O ise.

E tu d e de M ’ T H IR O U IN , no taire à A oy-en-M ultien.

b o îT f w d s ” *d ’E n t r e p r e n e u r d e C h a rp e n te ,

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Abt . 2.

E lude de M’ rn iL ir iR MARTIN, avoué à Senlis (Oise),

ru e de la République, n ’ 20, ruccesseu r de M” Lionkt e t Quêter.

Dl VOIR CE

A ssis tance Jud ic ia ire .

Décision de la C our iTAppel d 'A m iens d u s t Octobre 1898.

D'uu jugem ent rendu p a r le Tribu nal civil de prem ière instance de S en lis, le d ix ^ e p t Mai mil hu it cent q u a tre -v iug l-d ix -iieu f, enreg istré etsign ifié ; . i.

Au profit de Madamo Zélie Télicio RicitB, épouso d u sieu r Vio l e t t e ,

,, c y p r è s vnqintno.,,riaoit à Dam m artin-en-G oélo (Seiuo- el-M arne) ;

Par défau t con tre le sieu r Fernand Vio l e t t e , m auouvrie r, dem eurant a u P lessis-aux-B ois, com m une de V auciennes ;

Il appert :Que le d ivorce a é té prononcé entre

les époux Vio lette , a u pro lit de Ma­dam o Violbttb .

Tour insertion : S03 Signé : MARTIN.

A rt. 3.

Suivant conventions, enregistrées, M. Ju les Ba ptiste , débitan t a Chau- m o n t,co m m u n e d eG ouvieux, a vendu son fonds de com m erce q u ’il exploi­

t a i t àC h au m o u t, à M. Gabriel Ra io n , d em eu ran t au d it Chaum oul.

Los oppositions se ron t reçues chez M. Raton . 295

E lude do M’ L éo n B A R A N G E Rc o m m issa ire -p riseu r

dos ville e t a rrond issem en t de Senlis (Oise).

A S E N L I S F a u b o u r g S a in t-M a r t ln , n ' 15,

VENTE MOBILIÈREA près d ép art do M“ J. P .,

Le D im ancr.e 10 Septem bre 1899, à u n e heure ,

P ar le m in istèro do M* Baranghr, com m issa ire -p riseu r & Senlis.

E x p r e s s é m e n t a u C o m p ta n t.

On p o u r r a v is i te r le D im anche d a m la m a tinée .

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E tude de M 'LEVAIRE, hu iss ie r à P récy-sur-Oise.

VENTE MOBILIÈREAtJX ENCHÈRES PUBLIQUES

A PRÉGY-SUR-OISE en la sa lle d e M. L aq u e , négocian t,

Le D im anche 17 S ep tem bre 1899, d u n e heu re ,

P a r le m in istère de M' Lbvairb , hu issier.

E tude de M* RICHARD, notaire à Pont-Sainte-M axence.

R écem m ent c o n s tru ite ,Aveo Coup, Communs, Jardin

ETTERRE LABOURABLE

D’u n e superficie de 1 hect. 34 a res, Sise à SARRON,

p rè s la ville de P ont-Sainte-M axence, en face la nouvelle écluse,

A v en d re p a r a d ju d ica tio n En l’E tude e t p a r le m in istère

de M* R ic h a rd , n o ta ire à Pont-Sainte- M axence,

l e D im anche 10 Septem bre 1899, à d e u x heures.

MÊME ÉTUDE

T E R R E S & PRÉ SSitués te rro ir de VERNEUIL,

A vendre par adjudicationE n l a M airie d e V erneull,

P a r le m in istère de M* R ichard , n o ta ire ,

Le D im anche 17 Septem bre 1899, d d e u x heures.

Etude d e M* DHERBE, hu issier 4 Pont-Sainte-M axence.

VENTE VOLONTAIREPOUR CAUSE DB DÉPART

A PONT-SAINTE-MAXENCE ru e D esm outiers,

Le D im anche 17 Sep tem bre 1899, d d e u x h eu res ,

P ar le m in is tè re d u d it M' D hsrbb .

E tude de M' D H E R B E , hu issier à P on t-S a in te -M axence

(Suce’ de M* Conin).

BELLE

VENTE MOBILIEREAUX ENCHÈRES PUBLIQUES

A PONT-SAINTE-M AXENCE qu a i d u M esnil-Sarron,

au dom icile de M*’ v euve Bbrthillibr m ère,

' p ro p rié ta ire en ladite ville,Le D im anche 94 S ep tem bre 1899,

d 1 heu re 1/9 d e relevée, e t j o u r s s u iv a n ts s ’i l y a l ie u , P a r le m in is tè re d e M‘ Dhbrbb,

h u iss ie r à Pont-Sainte-M axence.

Vins Nouveaux p m l i »Rouge 8’ natu re l, 75 fr . la pièce de

220 l itre s , fût perdu .Blano sec 9* natu re l, 90 f r . la pièce

de 220 litres, fût perdu .R endu ga re ache teu r, congé e t P ort payé . P aiem ent 90 jo u rs ne t contre rem boursem en t 3 ’/ , escom pte.S’ad r . à M. le R égisseur d u Pontil,

p rè s A ubais (Gard). 934

E tude d e M 'FERRY, notaire à Béthisy- Sain t-P ierre .

A L o u e r p a r A d ju d ic a tio n E n la M airie de FreB noy-la-R lv lère .

Le D im anche 17 Septem bre 1899, d u n e heure,

P a r le m in istère de M' F k r r t , n o ta ire à Béthisy Sain t-P ierre,

r ENVIRON

24h 04“ 03° (le MaraisTERRE * FRICHE

2 ' LED R O I T D E P È C H E ,

3* ET LE D R O I T D R C H A S S E

Le tou t appartenan t à la com m une de Fresnoy-la-R iv ière .

f N S T i r u r m (aiM mMil racuiattdé)PARIS, Ruo Oay-lvtovri 3 S>; >.w f u » > * » , » X S t

__ — . - ■ DUBRHUIL, Directeur. ETUDES COMPLÈTES an DEUX «t TROIS ANS. pM fam tioh u i c u u k m

BACCALAURÉATSI » Cctliila Qm irataiat: Salit-Cyr,Caitrali, Brigua, Alfort, IoiUtat i|rom i<ai.X/InstitntlonLelarfeesteltnSefcl'en- '* * — '• ■- J— ---trée du Jardin du Luxembourg, dans ce megnlOnuaquartler. l'on de* mieux aérés et des plus salubres de Parla. Cet éta­blissement l'a dresse plu* particulièrement : _________

LeProepectns, leTiMeutaCoanetlaUiitflca tUra nçu Mat ear. au TaaIl]MiudB)la taaa*. C’eat t la dladpllne t la Ibla ferme et bienveillante et à la bonne or|— de aea coure que l'institution doit aea remarquables aucoèa.

(•Au* H tm trrilrit d u t h u n iludtt; ------ ml oollelmd tu* ilU ito i.

7,.“* «jmporU qu'un . —. _ J lèves et a aea profoe- _ jnOdaux tous U candie ou agrégée de 1Université.

>• *u* t a n t trriirtt ifMua/tvatifiaaevfMi Cliûquo dlvlulqn r nombre limité d'Elèv

Douze cen t d ix -h u it (1818) E lèves reçu s au x de rn iè re s sessions. 3

L A NATURE. R evue des sciences il lu s tr é e , H e n r i d e P a r v i l l b , ré d a c ­te u r en chèf (M asson e t Cu, éd iteu rs , 1 2 0 , bou levard Sain t-G erm ain , P aris).

Som m aire d u n ‘ 1372, d u 9 S ep ­tem b re 1899. — G aston T iisand ier, p a r H enri d e P arv ille . — L a L y re et la transfo rm ation des n é b u le u s e s , p a r Louis R abourd in . — L a trac tio n é lectrique à T ours, p a r J . Laffargue. — L a M ésange d e N ankin , p a r E. O ustalet. — C om bustion spon tanée d es foins, p a r A lbert L arba lé trie r.

Ancienne Fécnlerle Félix AJNCKL.

A V e n d r e à V A m ia b le

26 LOTS DE TERRAINS BATIS ET A BATIRA 2 00 m ètres de la g a re de C om piègne, en tre la voie d u chem in de fer et I

la ro u te de Clerm ont, à p ro x im ité d e la r iv iè re d ’Oise. |Ces te rra in s , q u i fa isa ien t au trefo is p a r tie d e la FéoulaH* Aneel, sont I

d esserv is p a r trois rues nouvelles (d o n t u n e le long d e la voie ferrée) et f p a r la ro u te d e C lerm ont. I

S u r ces te rra in s , ex is ten t deux Maleons bourgeoises, u n e auberge I des éourles tou t agencées, des magasins e t b â tim en ts d ivers j

Les prem iers acquéreu rs p o u rro n t, en o u tre , p ro fite r d e l’aohat d e maté-1 r ia u x p o u r la construction . 1

P O S I T I O N D'AVENIRR e p r é s e n ta n ts dem andés par les Producteurs Réunie, 78, rueRichelieu, P aris, p ou r la vente de di­vers produ its d’alim entation de pre­mières marques. 19

MÊME ÉTUDE

M A I S O NSise au ham eau des ELUATS,

com m une d 'O rrouy , s u r le bord d e la rou le d O rrouy à

Compiègne, à proxim ité de la forêt de Compiègne,

ET

l b 56“ 64“ de T errePR É A BOIS

E n SS1 P a r c e l l e s ,T erro ir d ’ORROUY,

A vendre par adjudicationEn la M airie d ’O rrouy,

Le D im anche 94 Septem bre 1899, d d e u x heures,

P a r le m in istère de M' F ebry , no taire.

Agonoo générale d’Atsnrancoa

H . M A H O N4 , r u e d o 3 V é t é r a n s , 4 ,

A SENLIS

ASSU RAN CES CO NTRE L 'IN C E N D IEDE TOUS RISQUES MOBILIERS

OU IMMOBILIERS

ASSU RAN CES S U R LA VIEE n cas de Décès — M ixtes— A term e

fixe, e tc ., etc.R E N T E S VIAG ERES

A SSU RAN CES CONTRE L E S AC CID EN TSdes R isques

a ssu je ttis o u n o n a ssu je ttis à la L o i d u 9 A v r i l 1898.

ASSU RAN CES CO NTRE L E BR IS D E S GLACES

CORRESPONDANTS d an s tous les can tons de l’a rro n d is -

som ent. 261

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p o u r m a is o n d e c o m m e r c e , p e r s o n n e s é r ie u s e p o u r le m é n a g e e t s a c h a n t f a ir e la c u is in e .

B onnes références exigées. S ’a d re sse r chez M. DAGUCT, 9, ru e

Bellon, Senlis. 283

•npr O n d e m a n d e , p o u r une m aison bourgeoise des env irons Senlis, u n M é n a g e sans enfan t. Le m ari cocher, dom estique, sachan t très b ien so igner u n cheval, le se r­vice de tab le , e t la fem m e com m e fem m e de cham bre , sachan t coudre, rep a sse r e t au ssi le service d e tab le .Ne p a s se p ré se n te r s a n s de bonnes

r è / in n e e s .S’ad re sse r an B ureau d u Jo u rn a l. 276

d T M a r é c h a l m a r ié d e m a n d e p l a c e , f e r m e ou u s in e .S’a d re sse r a u B ureau du Jo u rn a l. 977

«■T D e m a n d e : c o c h e r c u is in iè r e e t v a le t d e c h a m ­b r e , environ 17 ans.

Sérieu ses références. S’ad re sse r au b u re a u ü u Jo u rn a l. 279

*ar M*' PASQUAL-CHEVAUX d e m a n d e u n e a p p r e n t ie Mercerie, Bonneterie, Lingerie, Modes. 256

O n d e m a n d e u n e A p p r e n t ie d e s u i t e , M aison H. A G U E T , Nouveautés et Confec­tions, à Senlis. 218

sar O n d e m a n d e u n a p ­p r e n t i c o m p o s i t e u r - t y p o ­g r a p h e .S’ad resser a u x B u reau x d u Jo u rn a l.

O n d e m a n d e u n J eu n e h o m m e , M aison FOUQUÉ-MOURET à Senlis, Bonneterie * Chaussures, o n g a g n e d e s u ite . 988

«qp O n d e m a n d e dans une malson de commeroe u n e p e r ­s o n n e d ’u n c e r t a in â g e , pour soigner enfants et faire le mé­nage.S ’a d re sse r a u B u reau d u Jo u rn a l. 291

pair O n d e m a n d e d e s u i t e u n o u v r ie r c h a r r o n .

S’adressor i M. MOREL, C ar­ro ss ie r à Sonlis. ' 271

S’a d re sse r, p ou r les rense ignem en ts , s u r les lieux , à M. H ip p o lv te ANCKl, I b ra sse u r à C om piègne. U t |

S S S S IS m S à

A V I SLes GRAND S M A G A SIN S de h SAMARITAINE I

de PARIS, n'ont de Succursales ou Repré. I sentants dans aucune ville de FRANCE.!

La SAMARITAINE de PARIS n'a aucun | rapport avec les m aisons qui se servent | du même TITRE.

les Pommes i Cidre seront ebères.A g r ic u lte u r s , p e r so n n e sq u ib u v e x

d u C idre , ne je te z p lu s vo tre v ie u x c id re , m ais servez-vous d e la Poudre

oh* O n d e m a n d e d e s u i t e u n a p p r e n t i p o u r v o itu r e .

S’ad resser à M. MOREL, C ar­rossie r. 294

m e O n d e m a n d e , p o u r le 25 cou ran t, uno b o n n e c u is in iè r e , p our u n chef-heu do can ton de l’a r ­rond issem en t d e Senlis. Appointements suivant bapaolté.

I n u t i le de se p ré sen te r s a n s des références d e p r e m ie r o rdre . S ’a d re sse r a u B ureau d u Jo u rn a l. 297

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FRANCS 1 0 0 . 0 0 0 FRANCS

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TYPOGRAPHIE, T m i S i  P H I E , GRAVURE AFFICHES, IMPRESSION DE VOLUMES dBRO

Vu par nous. Maire do la Ville de Senlis, pour la tlguoluro do M. Daudb.ntun, apposés à M o l e . Le

Enregistré 4 Sonlis, Reçu

Imprimerie Administrative et Commerciale de Senlis, E. DAUBENTON. direoteur ger** 9 et U , place de l’HÔtel-de-VUle.