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RésuméRéalisation

Bilan

Approche théorique et expérimentale desprincipes fondamentaux de la

supraconductivitéSoutenance orale du Travail de Maturité

Julián Cancino

Maître accompagnant : Pierre Bach, Collège Rousseau, GenèveJuré : Dr Ivan Maggio-Aprile, Université de Genève.

17 mars 2006

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

RésuméApproche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

RéalisationExtra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Bilan

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Résumé

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à bas Tc

Découverte"En 1911, H. Kammerlingh Onnes découvre le phénomène étonnantde la supraconductivité (SC) 1." Cette phrase, véritable leitmotivdes introductions de livres sur la SC, paraît bien froide au jourd’aujourd’hui.

Mais qu’a-t-il donc vu au juste ?

1H. Kammerlingh Onnes, Comm. Phys. Lab. Univ. Leiden 119, 120, 122 (1911).

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à bas Tc

Découverte"En 1911, H. Kammerlingh Onnes découvre le phénomène étonnantde la supraconductivité (SC) 1." Cette phrase, véritable leitmotivdes introductions de livres sur la SC, paraît bien froide au jourd’aujourd’hui.

Mais qu’a-t-il donc vu au juste ?

1H. Kammerlingh Onnes, Comm. Phys. Lab. Univ. Leiden 119, 120, 122 (1911).

Julián Cancino ATEPFS

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Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à bas Tc

La resistance du mercuredisparaît totalement endessous de 4.2 K : c’est satempérature critique (Tc ).

Les pointillés montrent lavaleur qu’aurait le mêmeélément s’il restait normal.

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à bas Tc

À la suite de cette découverte, on étudie de façon très systématiquede nombreux composés et on voit la SC apparaître dans :

I Des éléments purs : 9.2 K, Nb.I Des alliages métalliques : 23.3 K, Nb3Ge.I Des composés à ions magnétiques : 14.7 K, PbMo6S8.I Des composés à fermions lourds : 0.87 K, UBe13.I Des composés organiques : 1.2 K, (TMTSF)2PF6.

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à bas Tc

À la suite de cette découverte, on étudie de façon très systématiquede nombreux composés et on voit la SC apparaître dans :

I Des éléments purs : 9.2 K, Nb.I Des alliages métalliques : 23.3 K, Nb3Ge.

I Des composés à ions magnétiques : 14.7 K, PbMo6S8.I Des composés à fermions lourds : 0.87 K, UBe13.I Des composés organiques : 1.2 K, (TMTSF)2PF6.

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à bas Tc

À la suite de cette découverte, on étudie de façon très systématiquede nombreux composés et on voit la SC apparaître dans :

I Des éléments purs : 9.2 K, Nb.I Des alliages métalliques : 23.3 K, Nb3Ge.

I Des composés à ions magnétiques : 14.7 K, PbMo6S8.

I Des composés à fermions lourds : 0.87 K, UBe13.I Des composés organiques : 1.2 K, (TMTSF)2PF6.

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à bas Tc

À la suite de cette découverte, on étudie de façon très systématiquede nombreux composés et on voit la SC apparaître dans :

I Des éléments purs : 9.2 K, Nb.I Des alliages métalliques : 23.3 K, Nb3Ge.I Des composés à ions magnétiques : 14.7 K, PbMo6S8.

I Des composés à fermions lourds : 0.87 K, UBe13.I Des composés organiques : 1.2 K, (TMTSF)2PF6.

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à bas Tc

À la suite de cette découverte, on étudie de façon très systématiquede nombreux composés et on voit la SC apparaître dans :

I Des éléments purs : 9.2 K, Nb.I Des alliages métalliques : 23.3 K, Nb3Ge.I Des composés à ions magnétiques : 14.7 K, PbMo6S8.I Des composés à fermions lourds : 0.87 K, UBe13.I Des composés organiques : 1.2 K, (TMTSF)2PF6.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à haut Tc

Révolution suisseEn 1986, deux physiciens du centre IBM de Rüschlikon aperçoiventla SC à 38 K dans un oxyde 2. Une nouvelle ère commence.

On parle dès lors de SC à haut-Tc .

Dès l’année suivante, on passe au dessus de la température del’azote liquide (77 K) avec le composé YBa2Cu3O7−δ qui devientSC à 92 K.

Le record actuel de Tc est atteint en 1993 par le composéHg0.8Tl0.2Ba2Ca2Cu3O10 : 135 K.(Sous pression on peut encore gagner quelques degrés.)

2J. G. Bednorz and K. A. Müller, Z. Phys. B 64, 189 (1986).

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à haut Tc

Révolution suisseEn 1986, deux physiciens du centre IBM de Rüschlikon aperçoiventla SC à 38 K dans un oxyde 2. Une nouvelle ère commence.

On parle dès lors de SC à haut-Tc .

Dès l’année suivante, on passe au dessus de la température del’azote liquide (77 K) avec le composé YBa2Cu3O7−δ qui devientSC à 92 K.

Le record actuel de Tc est atteint en 1993 par le composéHg0.8Tl0.2Ba2Ca2Cu3O10 : 135 K.(Sous pression on peut encore gagner quelques degrés.)

2J. G. Bednorz and K. A. Müller, Z. Phys. B 64, 189 (1986).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à haut Tc

Révolution suisseEn 1986, deux physiciens du centre IBM de Rüschlikon aperçoiventla SC à 38 K dans un oxyde 2. Une nouvelle ère commence.

On parle dès lors de SC à haut-Tc .

Dès l’année suivante, on passe au dessus de la température del’azote liquide (77 K) avec le composé YBa2Cu3O7−δ qui devientSC à 92 K.

Le record actuel de Tc est atteint en 1993 par le composéHg0.8Tl0.2Ba2Ca2Cu3O10 : 135 K.(Sous pression on peut encore gagner quelques degrés.)

2J. G. Bednorz and K. A. Müller, Z. Phys. B 64, 189 (1986).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

SC à haut Tc

Révolution suisseEn 1986, deux physiciens du centre IBM de Rüschlikon aperçoiventla SC à 38 K dans un oxyde 2. Une nouvelle ère commence.

On parle dès lors de SC à haut-Tc .

Dès l’année suivante, on passe au dessus de la température del’azote liquide (77 K) avec le composé YBa2Cu3O7−δ qui devientSC à 92 K.

Le record actuel de Tc est atteint en 1993 par le composéHg0.8Tl0.2Ba2Ca2Cu3O10 : 135 K.(Sous pression on peut encore gagner quelques degrés.)

2J. G. Bednorz and K. A. Müller, Z. Phys. B 64, 189 (1986).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Résistivité nulle

La propriété la plus connue des SC est celle qu’évoque leur nom :sa capacité à transporter un courant sans opposer de résistance etdonc sans dissipation d’énergie sous forme de chaleur.

Dans une boucle SC, un courant permanent pourrait persisterthéoriquement plus de 100’000 ans !

Cette propriété offre des perspectives intéressantes dans le domainedu transport de courant sans pertes.

Il serait trop réducteur de définir la SC par cette seule propriétécomme on va le voir.

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Résistivité nulle

La propriété la plus connue des SC est celle qu’évoque leur nom :sa capacité à transporter un courant sans opposer de résistance etdonc sans dissipation d’énergie sous forme de chaleur.

Dans une boucle SC, un courant permanent pourrait persisterthéoriquement plus de 100’000 ans !

Cette propriété offre des perspectives intéressantes dans le domainedu transport de courant sans pertes.

Il serait trop réducteur de définir la SC par cette seule propriétécomme on va le voir.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Résistivité nulle

La propriété la plus connue des SC est celle qu’évoque leur nom :sa capacité à transporter un courant sans opposer de résistance etdonc sans dissipation d’énergie sous forme de chaleur.

Dans une boucle SC, un courant permanent pourrait persisterthéoriquement plus de 100’000 ans !

Cette propriété offre des perspectives intéressantes dans le domainedu transport de courant sans pertes.

Il serait trop réducteur de définir la SC par cette seule propriétécomme on va le voir.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Résistivité nulle

La propriété la plus connue des SC est celle qu’évoque leur nom :sa capacité à transporter un courant sans opposer de résistance etdonc sans dissipation d’énergie sous forme de chaleur.

Dans une boucle SC, un courant permanent pourrait persisterthéoriquement plus de 100’000 ans !

Cette propriété offre des perspectives intéressantes dans le domainedu transport de courant sans pertes.

Il serait trop réducteur de définir la SC par cette seule propriétécomme on va le voir.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Effet Meißner

En 1933, W. Meißner et R. Ochsenfeld montrent que dans un SC lechamp magnétique est nul 3 :

B = 0

C. J. Gorter propose alors d’adopter cette propriété comme laprincipale caractéristique des SC.

3W. Meißner and R. Ochsenfeld, Naturwiss. 21, 787 (1933).

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Effet Meißner

En 1933, W. Meißner et R. Ochsenfeld montrent que dans un SC lechamp magnétique est nul 3 :

B = 0

C. J. Gorter propose alors d’adopter cette propriété comme laprincipale caractéristique des SC.

3W. Meißner and R. Ochsenfeld, Naturwiss. 21, 787 (1933).

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Effet Meißner

En 1933, W. Meißner et R. Ochsenfeld montrent que dans un SC lechamp magnétique est nul 3 :

B = 0

C. J. Gorter propose alors d’adopter cette propriété comme laprincipale caractéristique des SC.

3W. Meißner and R. Ochsenfeld, Naturwiss. 21, 787 (1933).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Cond. parfait, SC, Ba : champ appliqué, B : champ interne, t , TTc

Refroidissement sanschamp magnétique

Refroidissement avecchamp magnétique

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Cond. parfait, SC, Ba : champ appliqué, B : champ interne, t , TTc

Refroidissement sanschamp magnétique

Refroidissement avecchamp magnétique

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Cond. parfait, SC, Ba : champ appliqué, B : champ interne, t , TTc

Refroidissement sanschamp magnétique

Refroidissement avecchamp magnétique

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Mais...

L’hypothèse de C. J. Gorter subit très vite une défaite notoire.

En effet, L. V. Shubnikov montre en 1936 que certains alliagesmétalliques présentent une conductivité infinie, mais ne rejettentpas totalement le champ magnétique au dessus d’un certain seuil.Autrement dit,

B 6= 0

On décide alors de diviser les SC en deux types.

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Mais...

L’hypothèse de C. J. Gorter subit très vite une défaite notoire.

En effet, L. V. Shubnikov montre en 1936 que certains alliagesmétalliques présentent une conductivité infinie, mais ne rejettentpas totalement le champ magnétique au dessus d’un certain seuil.Autrement dit,

B 6= 0

On décide alors de diviser les SC en deux types.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Mais...

L’hypothèse de C. J. Gorter subit très vite une défaite notoire.

En effet, L. V. Shubnikov montre en 1936 que certains alliagesmétalliques présentent une conductivité infinie, mais ne rejettentpas totalement le champ magnétique au dessus d’un certain seuil.Autrement dit,

B 6= 0

On décide alors de diviser les SC en deux types.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Mais...

L’hypothèse de C. J. Gorter subit très vite une défaite notoire.

En effet, L. V. Shubnikov montre en 1936 que certains alliagesmétalliques présentent une conductivité infinie, mais ne rejettentpas totalement le champ magnétique au dessus d’un certain seuil.Autrement dit,

B 6= 0

On décide alors de diviser les SC en deux types.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Deux types de SC : Type-I

Ba < Bac ⇒ MeißnerBa = Bac ⇒ I ntermédiaireBa > Bac ⇒ Normal

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Deux types de SC : Type-I

Ba < Bac ⇒ MeißnerBa = Bac ⇒ I ntermédiaireBa > Bac ⇒ Normal

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Deux types de SC : Type-II

Ba < Bac1 < Bac2 ⇒ MeißnerBac1 < Ba < Bac2 ⇒ ShubnikovBac1 < Bac2 < Ba ⇒ Normal

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Deux types de SC : Type-II

Ba < Bac1 < Bac2 ⇒ MeißnerBac1 < Ba < Bac2 ⇒ ShubnikovBac1 < Bac2 < Ba ⇒ Normal

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Effet isotopique

On a aussi découvert que différents isotopes du même élément ontdes Tc différent suivant la loi empirique

Tc ∝ A−α

Dans cette loi A est la masse atomique de l’élément considéré et αest un coefficient déterminé expérimentalement.

La théorie BCS prévoit α = 12 (si la SC est uniquement due aux

vibrations du réseau).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Effet isotopique

On a aussi découvert que différents isotopes du même élément ontdes Tc différent suivant la loi empirique

Tc ∝ A−α

Dans cette loi A est la masse atomique de l’élément considéré et αest un coefficient déterminé expérimentalement.

La théorie BCS prévoit α = 12 (si la SC est uniquement due aux

vibrations du réseau).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Thermodynamique

Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.

Sur la diapositive suivante, on peut voir :

I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).

Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :

Tc(Ba) = Tc(Ba = 0)√

1− Ba/Bac(T = 0)

De sorte que Ba → Bac ⇒ Tc(Ba)→ 0 .

Julián Cancino ATEPFS

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Thermodynamique

Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.

Sur la diapositive suivante, on peut voir :

I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).

Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :

Tc(Ba) = Tc(Ba = 0)√

1− Ba/Bac(T = 0)

De sorte que Ba → Bac ⇒ Tc(Ba)→ 0 .

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Thermodynamique

Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.

Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),

I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).

Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :

Tc(Ba) = Tc(Ba = 0)√

1− Ba/Bac(T = 0)

De sorte que Ba → Bac ⇒ Tc(Ba)→ 0 .

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Thermodynamique

Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.

Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),

I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).

Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :

Tc(Ba) = Tc(Ba = 0)√

1− Ba/Bac(T = 0)

De sorte que Ba → Bac ⇒ Tc(Ba)→ 0 .

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Thermodynamique

Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.

Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),

I La chaleur spécifique C(T ).

Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :

Tc(Ba) = Tc(Ba = 0)√

1− Ba/Bac(T = 0)

De sorte que Ba → Bac ⇒ Tc(Ba)→ 0 .

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Thermodynamique

Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.

Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).

Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :

Tc(Ba) = Tc(Ba = 0)√

1− Ba/Bac(T = 0)

De sorte que Ba → Bac ⇒ Tc(Ba)→ 0 .

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Thermodynamique

Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.

Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).

Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :

Tc(Ba) = Tc(Ba = 0)√

1− Ba/Bac(T = 0)

De sorte que Ba → Bac ⇒ Tc(Ba)→ 0 .

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Modèle des deux fluides de Gorter et Casimir 4

Inspiré du modèle expliquant les propriétés de l’hélium superfluide.

PrincipeLes électrons sont de deux types :

I Électrons normaux,I "Superélectrons".

Chaque type contribue à l’énergie totale du système en fonction desa densité relative.

La densité de superélectrons dépend de t , T/Tc :

ns(t)/n = 1− t4

4C. J. Gorter and H. G. B. Casimir, Physica 1, 306 (1934).

Julián Cancino ATEPFS

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Modèle des deux fluides de Gorter et Casimir 4

Inspiré du modèle expliquant les propriétés de l’hélium superfluide.

PrincipeLes électrons sont de deux types :

I Électrons normaux,I "Superélectrons".

Chaque type contribue à l’énergie totale du système en fonction desa densité relative.

La densité de superélectrons dépend de t , T/Tc :

ns(t)/n = 1− t4

4C. J. Gorter and H. G. B. Casimir, Physica 1, 306 (1934).

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Modèle des deux fluides de Gorter et Casimir 4

Inspiré du modèle expliquant les propriétés de l’hélium superfluide.

PrincipeLes électrons sont de deux types :

I Électrons normaux,

I "Superélectrons".

Chaque type contribue à l’énergie totale du système en fonction desa densité relative.

La densité de superélectrons dépend de t , T/Tc :

ns(t)/n = 1− t4

4C. J. Gorter and H. G. B. Casimir, Physica 1, 306 (1934).

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Modèle des deux fluides de Gorter et Casimir 4

Inspiré du modèle expliquant les propriétés de l’hélium superfluide.

PrincipeLes électrons sont de deux types :

I Électrons normaux,I "Superélectrons".

Chaque type contribue à l’énergie totale du système en fonction desa densité relative.

La densité de superélectrons dépend de t , T/Tc :

ns(t)/n = 1− t4

4C. J. Gorter and H. G. B. Casimir, Physica 1, 306 (1934).

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Modèle des deux fluides de Gorter et Casimir 4

Inspiré du modèle expliquant les propriétés de l’hélium superfluide.

PrincipeLes électrons sont de deux types :

I Électrons normaux,I "Superélectrons".

Chaque type contribue à l’énergie totale du système en fonction desa densité relative.

La densité de superélectrons dépend de t , T/Tc :

ns(t)/n = 1− t4

4C. J. Gorter and H. G. B. Casimir, Physica 1, 306 (1934).

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Modèle des deux fluides de Gorter et Casimir 4

Inspiré du modèle expliquant les propriétés de l’hélium superfluide.

PrincipeLes électrons sont de deux types :

I Électrons normaux,I "Superélectrons".

Chaque type contribue à l’énergie totale du système en fonction desa densité relative.

La densité de superélectrons dépend de t , T/Tc :

ns(t)/n = 1− t4

4C. J. Gorter and H. G. B. Casimir, Physica 1, 306 (1934).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Modèle des deux fluides de Gorter et Casimir

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Équations des frères London 5

Ajoutées aux équations de Maxwell, elles décrivent l’effet Meißner.

Introduit une longueur caractéristiques des SC : la profondeur depénétration du champ magnétique λ ,

√ms

µ0nsqs.

Première équation LL

E = µ0λ2 dJs

dt

Seconde équation LL

λ2∇2B = B

5F. London and H. London, Physica 2, 341 (1935).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Équations des frères London 5

Ajoutées aux équations de Maxwell, elles décrivent l’effet Meißner.

Introduit une longueur caractéristiques des SC : la profondeur depénétration du champ magnétique λ ,

√ms

µ0nsqs.

Première équation LL

E = µ0λ2 dJs

dt

Seconde équation LL

λ2∇2B = B

5F. London and H. London, Physica 2, 341 (1935).

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Équations des frères London 5

Ajoutées aux équations de Maxwell, elles décrivent l’effet Meißner.

Introduit une longueur caractéristiques des SC : la profondeur depénétration du champ magnétique λ ,

√ms

µ0nsqs.

Première équation LL

E = µ0λ2 dJs

dt

Seconde équation LL

λ2∇2B = B

5F. London and H. London, Physica 2, 341 (1935).

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Équations des frères London 5

Ajoutées aux équations de Maxwell, elles décrivent l’effet Meißner.

Introduit une longueur caractéristiques des SC : la profondeur depénétration du champ magnétique λ ,

√ms

µ0nsqs.

Première équation LL

E = µ0λ2 dJs

dt

Seconde équation LL

λ2∇2B = B

5F. London and H. London, Physica 2, 341 (1935).

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Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Équations des frères London

En résolvant la seconde équation LL avec comme conditions auxlimites x = 0⇒ B = Ba et x →∞⇒ B = 0, on obtient lavariation du champ magnétique à l’intérieur du SC :

B(x) = Ba e−x/λ

Dépendance en températureLe modèle GC prévoit la variation de la densité de superélectronsavec la température. Comme λ dépend de cette grandeur :

λ(t) = λ(0)√1−t4

On voit bien que t → 1⇒ λ→∞. Autrement dit, le champpénètre dans tout le matériau et la SC est détruite.

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Équations des frères London

En résolvant la seconde équation LL avec comme conditions auxlimites x = 0⇒ B = Ba et x →∞⇒ B = 0, on obtient lavariation du champ magnétique à l’intérieur du SC :

B(x) = Ba e−x/λ

Dépendance en températureLe modèle GC prévoit la variation de la densité de superélectronsavec la température. Comme λ dépend de cette grandeur :

λ(t) = λ(0)√1−t4

On voit bien que t → 1⇒ λ→∞. Autrement dit, le champpénètre dans tout le matériau et la SC est détruite.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Équations des frères London

En résolvant la seconde équation LL avec comme conditions auxlimites x = 0⇒ B = Ba et x →∞⇒ B = 0, on obtient lavariation du champ magnétique à l’intérieur du SC :

B(x) = Ba e−x/λ

Dépendance en températureLe modèle GC prévoit la variation de la densité de superélectronsavec la température. Comme λ dépend de cette grandeur :

λ(t) = λ(0)√1−t4

On voit bien que t → 1⇒ λ→∞. Autrement dit, le champpénètre dans tout le matériau et la SC est détruite.

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

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Équations des frères London

En résolvant la seconde équation LL avec comme conditions auxlimites x = 0⇒ B = Ba et x →∞⇒ B = 0, on obtient lavariation du champ magnétique à l’intérieur du SC :

B(x) = Ba e−x/λ

Dépendance en températureLe modèle GC prévoit la variation de la densité de superélectronsavec la température. Comme λ dépend de cette grandeur :

λ(t) = λ(0)√1−t4

On voit bien que t → 1⇒ λ→∞. Autrement dit, le champpénètre dans tout le matériau et la SC est détruite.

Julián Cancino ATEPFS

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Équations des frères London

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau 6

PrincipeLa transition N-SC est du second ordre et dépend d’un paramètred’ordre ψ pouvant varier dans l’espace.

Introduit une longueur caractéristique des SC : la longueur decohérence ξ.

Définit κ , λξ comme une caractéristique du matériau indépendante

de la température, dans la limite de T → Tc .

Construit une énergie libre en fonction de ψ et du vecteurpotentiel A ; puis par des condition de stabilité établit les deuxéquations GL.

6V. L. Ginzburg and L. D. Landau, JETP 20, 1064 (1950).

Julián Cancino ATEPFS

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Bilan

Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau 6

PrincipeLa transition N-SC est du second ordre et dépend d’un paramètred’ordre ψ pouvant varier dans l’espace.

Introduit une longueur caractéristique des SC : la longueur decohérence ξ.

Définit κ , λξ comme une caractéristique du matériau indépendante

de la température, dans la limite de T → Tc .

Construit une énergie libre en fonction de ψ et du vecteurpotentiel A ; puis par des condition de stabilité établit les deuxéquations GL.

6V. L. Ginzburg and L. D. Landau, JETP 20, 1064 (1950).

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Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau 6

PrincipeLa transition N-SC est du second ordre et dépend d’un paramètred’ordre ψ pouvant varier dans l’espace.

Introduit une longueur caractéristique des SC : la longueur decohérence ξ.

Définit κ , λξ comme une caractéristique du matériau indépendante

de la température, dans la limite de T → Tc .

Construit une énergie libre en fonction de ψ et du vecteurpotentiel A ; puis par des condition de stabilité établit les deuxéquations GL.

6V. L. Ginzburg and L. D. Landau, JETP 20, 1064 (1950).

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Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau 6

PrincipeLa transition N-SC est du second ordre et dépend d’un paramètred’ordre ψ pouvant varier dans l’espace.

Introduit une longueur caractéristique des SC : la longueur decohérence ξ.

Définit κ , λξ comme une caractéristique du matériau indépendante

de la température, dans la limite de T → Tc .

Construit une énergie libre en fonction de ψ et du vecteurpotentiel A ; puis par des condition de stabilité établit les deuxéquations GL.

6V. L. Ginzburg and L. D. Landau, JETP 20, 1064 (1950).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau

Première équation GL(normalisée)

ψ′′ = κ2[(A2 − 1)ψ + ψ3]

Seconde équation GL (normalisée)

A′′ = Aψ2

En résolvant la première équation GL avec comme conditions auxlimites z = 0⇒ ψ = 0 et z →∞⇒ ψ = 1, on a la variationspatiale du paramètre d’ordre :

ψ(z) = tanh(

zξ√

2

)

Julián Cancino ATEPFS

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Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau

Première équation GL(normalisée)

ψ′′ = κ2[(A2 − 1)ψ + ψ3]

Seconde équation GL (normalisée)

A′′ = Aψ2

En résolvant la première équation GL avec comme conditions auxlimites z = 0⇒ ψ = 0 et z →∞⇒ ψ = 1, on a la variationspatiale du paramètre d’ordre :

ψ(z) = tanh(

zξ√

2

)

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Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau

Première équation GL(normalisée)

ψ′′ = κ2[(A2 − 1)ψ + ψ3]

Seconde équation GL (normalisée)

A′′ = Aψ2

En résolvant la première équation GL avec comme conditions auxlimites z = 0⇒ ψ = 0 et z →∞⇒ ψ = 1, on a la variationspatiale du paramètre d’ordre :

ψ(z) = tanh(

zξ√

2

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Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau

Première équation GL(normalisée)

ψ′′ = κ2[(A2 − 1)ψ + ψ3]

Seconde équation GL (normalisée)

A′′ = Aψ2

En résolvant la première équation GL avec comme conditions auxlimites z = 0⇒ ψ = 0 et z →∞⇒ ψ = 1, on a la variationspatiale du paramètre d’ordre :

ψ(z) = tanh(

zξ√

2

)Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau

Énergie de surfaceÀ l’interface entre une zone N et une zone SC, il y a une énergie desurface σns que l’on peut calculer :

σns =2B2

acλ

µ0

+∞∫−∞

1κ2ψ

′2 + B(B − Bac)dz

Par le calcul numérique de σns , on voit que

κ� 1⇒ σns > 0κ� 1⇒ σns < 0

Julián Cancino ATEPFS

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Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau

Énergie de surfaceÀ l’interface entre une zone N et une zone SC, il y a une énergie desurface σns que l’on peut calculer :

σns =2B2

acλ

µ0

+∞∫−∞

1κ2ψ

′2 + B(B − Bac)dz

Par le calcul numérique de σns , on voit que

κ� 1⇒ σns > 0κ� 1⇒ σns < 0

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Théorie phénoménologique de Ginzburg et Landau

Énergie de surfaceÀ l’interface entre une zone N et une zone SC, il y a une énergie desurface σns que l’on peut calculer :

σns =2B2

acλ

µ0

+∞∫−∞

1κ2ψ

′2 + B(B − Bac)dz

Par le calcul numérique de σns , on voit que

κ� 1⇒ σns > 0κ� 1⇒ σns < 0

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Vortex d’Abrikosov 7

La théorie GL est explicitement prévue pour des matériauxrespectant la condition κ� 1 .

A. A. Abrikosov a utilisé les mesures de L. V. Shubnikov pourdévelopper sa théorie des SC ayant κ� 1 .

Deux types de SC

I κ < 1√2

: Type-I

I κ > 1√2

: Type-II

7A. A. Abrikosov, JETP 32, 1442 (1957).

Julián Cancino ATEPFS

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Vortex d’Abrikosov 7

La théorie GL est explicitement prévue pour des matériauxrespectant la condition κ� 1 .

A. A. Abrikosov a utilisé les mesures de L. V. Shubnikov pourdévelopper sa théorie des SC ayant κ� 1 .

Deux types de SC

I κ < 1√2

: Type-I

I κ > 1√2

: Type-II

7A. A. Abrikosov, JETP 32, 1442 (1957).

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Vortex d’Abrikosov 7

La théorie GL est explicitement prévue pour des matériauxrespectant la condition κ� 1 .

A. A. Abrikosov a utilisé les mesures de L. V. Shubnikov pourdévelopper sa théorie des SC ayant κ� 1 .

Deux types de SC

I κ < 1√2

: Type-I

I κ > 1√2

: Type-II

7A. A. Abrikosov, JETP 32, 1442 (1957).

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Vortex d’Abrikosov 7

La théorie GL est explicitement prévue pour des matériauxrespectant la condition κ� 1 .

A. A. Abrikosov a utilisé les mesures de L. V. Shubnikov pourdévelopper sa théorie des SC ayant κ� 1 .

Deux types de SC

I κ < 1√2

: Type-I

I κ > 1√2

: Type-II

7A. A. Abrikosov, JETP 32, 1442 (1957).

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Vortex d’Abrikosov 7

La théorie GL est explicitement prévue pour des matériauxrespectant la condition κ� 1 .

A. A. Abrikosov a utilisé les mesures de L. V. Shubnikov pourdévelopper sa théorie des SC ayant κ� 1 .

Deux types de SC

I κ < 1√2

: Type-I

I κ > 1√2

: Type-II

7A. A. Abrikosov, JETP 32, 1442 (1957).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Vortex d’Abrikosov

En développant de nombreux interfaces N-SC un SC de type-Iabaisse son énergie car σns < 0 !

VortexUne façon simple d’augmenter les interfaces est de laisser le champentrer dans le matériau sous forme de tubes de flux, les vortex. Cesderniers s’arrangent en un réseau régulier. Dans le cœur du vortex,le paramètre d’ordre est réduit à zéro, le gap se referme.

Imagerie par STMLe microscope à effet tunnel permet de sonder localement ladensité d’états. On peut alors localiser les vortex.

Julián Cancino ATEPFS

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Vortex d’Abrikosov

En développant de nombreux interfaces N-SC un SC de type-Iabaisse son énergie car σns < 0 !

VortexUne façon simple d’augmenter les interfaces est de laisser le champentrer dans le matériau sous forme de tubes de flux, les vortex. Cesderniers s’arrangent en un réseau régulier. Dans le cœur du vortex,le paramètre d’ordre est réduit à zéro, le gap se referme.

Imagerie par STMLe microscope à effet tunnel permet de sonder localement ladensité d’états. On peut alors localiser les vortex.

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Vortex d’Abrikosov

En développant de nombreux interfaces N-SC un SC de type-Iabaisse son énergie car σns < 0 !

VortexUne façon simple d’augmenter les interfaces est de laisser le champentrer dans le matériau sous forme de tubes de flux, les vortex. Cesderniers s’arrangent en un réseau régulier. Dans le cœur du vortex,le paramètre d’ordre est réduit à zéro, le gap se referme.

Imagerie par STMLe microscope à effet tunnel permet de sonder localement ladensité d’états. On peut alors localiser les vortex.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Vortex d’Abrikosov

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Vortex d’Abrikosov

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Vortex d’Abrikosov

Quantification du fluxLe flux dans un SC ne peut prendre comme valeur que desmultiples du quantum de flux :

Φ = nΦ0 avec Φ0 = hqs

= h2qe

D’une part, ceci montre qu’on a affaire à un phénomène quantique.

D’autre part, le dénominateur 2qe a interrogé les chercheurs àl’époque. À la parution de la théorie BCS, le facteur pritlogiquement son sens : il annonçait les paires de Cooper qui ontune charge électrique deux fois plus grande que celle de l’électron.

Julián Cancino ATEPFS

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Vortex d’Abrikosov

Quantification du fluxLe flux dans un SC ne peut prendre comme valeur que desmultiples du quantum de flux :

Φ = nΦ0 avec Φ0 = hqs

= h2qe

D’une part, ceci montre qu’on a affaire à un phénomène quantique.

D’autre part, le dénominateur 2qe a interrogé les chercheurs àl’époque. À la parution de la théorie BCS, le facteur pritlogiquement son sens : il annonçait les paires de Cooper qui ontune charge électrique deux fois plus grande que celle de l’électron.

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Vortex d’Abrikosov

Quantification du fluxLe flux dans un SC ne peut prendre comme valeur que desmultiples du quantum de flux :

Φ = nΦ0 avec Φ0 = hqs

= h2qe

D’une part, ceci montre qu’on a affaire à un phénomène quantique.

D’autre part, le dénominateur 2qe a interrogé les chercheurs àl’époque. À la parution de la théorie BCS, le facteur pritlogiquement son sens : il annonçait les paires de Cooper qui ontune charge électrique deux fois plus grande que celle de l’électron.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer 8

Paires de CooperOn fait l’hypothèse que les phonons (vibrations du réseau) sont lesvecteurs d’une interaction attractive entre les électrons. Il se formeainsi des paires d’électrons, dites "de Cooper", ayant un spin entieret se comportant comme des bosons.

8J. Bardeen, L. N. Cooper and J. R. Schrieffer, Phys. Rev. 108, 1175 (1957).

Julián Cancino ATEPFS

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Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer 8

Paires de CooperOn fait l’hypothèse que les phonons (vibrations du réseau) sont lesvecteurs d’une interaction attractive entre les électrons. Il se formeainsi des paires d’électrons, dites "de Cooper", ayant un spin entieret se comportant comme des bosons.

8J. Bardeen, L. N. Cooper and J. R. Schrieffer, Phys. Rev. 108, 1175 (1957).

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer

Gap ∆Il existe une différence d’énergie entre ce nouvel état fondamentalet les premières excitations, les quasiparticules, qui correspondent àla brisure d’une paire de Cooper.

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer

Gap ∆Il existe une différence d’énergie entre ce nouvel état fondamentalet les premières excitations, les quasiparticules, qui correspondent àla brisure d’une paire de Cooper.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer

Densité d’états et effet tunnelLe microscope à effet tunnel (STM) permet de mesurer la densitéd’états localement. Il s’agit d’un moyen performant pour étudier,par exemple, le réseau de vortex. En effet, comme les vortex sontdes zones N, la densité d’états n’est pas la même que pour leszones SC.

Rapport de BCSLa théorie prévoit aussi la valeur du rapport entre les énergies dugap et celle liée à la température critique :

2∆kBTc

= 3.52 (s-wave) 2∆kBTc

= 4.3 (d-wave)

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer

Densité d’états et effet tunnelLe microscope à effet tunnel (STM) permet de mesurer la densitéd’états localement. Il s’agit d’un moyen performant pour étudier,par exemple, le réseau de vortex. En effet, comme les vortex sontdes zones N, la densité d’états n’est pas la même que pour leszones SC.

Rapport de BCSLa théorie prévoit aussi la valeur du rapport entre les énergies dugap et celle liée à la température critique :

2∆kBTc

= 3.52 (s-wave) 2∆kBTc

= 4.3 (d-wave)

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Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer

Densité d’états et effet tunnelLe microscope à effet tunnel (STM) permet de mesurer la densitéd’états localement. Il s’agit d’un moyen performant pour étudier,par exemple, le réseau de vortex. En effet, comme les vortex sontdes zones N, la densité d’états n’est pas la même que pour leszones SC.

Rapport de BCSLa théorie prévoit aussi la valeur du rapport entre les énergies dugap et celle liée à la température critique :

2∆kBTc

= 3.52 (s-wave) 2∆kBTc

= 4.3 (d-wave)

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Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer

Densité d’états et effet tunnelLe microscope à effet tunnel (STM) permet de mesurer la densitéd’états localement. Il s’agit d’un moyen performant pour étudier,par exemple, le réseau de vortex. En effet, comme les vortex sontdes zones N, la densité d’états n’est pas la même que pour leszones SC.

Rapport de BCSLa théorie prévoit aussi la valeur du rapport entre les énergies dugap et celle liée à la température critique :

2∆kBTc

= 3.52 (s-wave) 2∆kBTc

= 4.3 (d-wave)

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

YBa2Cu4O8 sur l’Hélium 4

Tc = 80 K, Bac2 > 100 T, ξ = 18 Å, λ = 1700 Å, κ = 95.

Topographie

I Zones très planes,I Marches de 13.6 Å.

Julián Cancino ATEPFS

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

YBa2Cu4O8 sur l’Hélium 4

Tc = 80 K, Bac2 > 100 T, ξ = 18 Å, λ = 1700 Å, κ = 95.

Topographie

I Zones très planes,I Marches de 13.6 Å.

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YBa2Cu4O8 sur l’Hélium 4

Tc = 80 K, Bac2 > 100 T, ξ = 18 Å, λ = 1700 Å, κ = 95.

Topographie

I Zones très planes,

I Marches de 13.6 Å.

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YBa2Cu4O8 sur l’Hélium 4

Tc = 80 K, Bac2 > 100 T, ξ = 18 Å, λ = 1700 Å, κ = 95.

Topographie

I Zones très planes,I Marches de 13.6 Å.

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YBa2Cu4O8 sur l’Hélium 4

Tc = 80 K, Bac2 > 100 T, ξ = 18 Å, λ = 1700 Å, κ = 95.

Topographie

I Zones très planes,I Marches de 13.6 Å.

Spectroscopie

I Spectres présentant un gap :∆ ≈ 20 meV ,

I 2∆kBTc

= 5.8.

Julián Cancino ATEPFS

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Tc = 80 K, Bac2 > 100 T, ξ = 18 Å, λ = 1700 Å, κ = 95.

Topographie

I Zones très planes,I Marches de 13.6 Å.

Spectroscopie

I Spectres présentant un gap :∆ ≈ 20 meV ,

I 2∆kBTc

= 5.8.

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YBa2Cu4O8 sur l’Hélium 4

Tc = 80 K, Bac2 > 100 T, ξ = 18 Å, λ = 1700 Å, κ = 95.

Topographie

I Zones très planes,I Marches de 13.6 Å.

Spectroscopie

I Spectres présentant un gap :∆ ≈ 20 meV ,

I 2∆kBTc

= 5.8.

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Approche historiqueApproche empiriqueApproche théoriqueApproche expérimentale

Bi2Sr2CaCu2O8+δ sur le Mésoscaphe

Tmaxc = 92 K, Bac2 > 1000 T, ξ = 10 Å, λ = 2000 Å, κ = 200.

Topographie

I Pas très concluante,I Structures mais à des

échelles trop grandes.

Julián Cancino ATEPFS

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Bi2Sr2CaCu2O8+δ sur le Mésoscaphe

Tmaxc = 92 K, Bac2 > 1000 T, ξ = 10 Å, λ = 2000 Å, κ = 200.

Topographie

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échelles trop grandes.

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Bi2Sr2CaCu2O8+δ sur le Mésoscaphe

Tmaxc = 92 K, Bac2 > 1000 T, ξ = 10 Å, λ = 2000 Å, κ = 200.

Topographie

I Pas très concluante,

I Structures mais à deséchelles trop grandes.

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Bi2Sr2CaCu2O8+δ sur le Mésoscaphe

Tmaxc = 92 K, Bac2 > 1000 T, ξ = 10 Å, λ = 2000 Å, κ = 200.

Topographie

I Pas très concluante,I Structures mais à des

échelles trop grandes.

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Bi2Sr2CaCu2O8+δ sur le Mésoscaphe

Tmaxc = 92 K, Bac2 > 1000 T, ξ = 10 Å, λ = 2000 Å, κ = 200.

Topographie

I Pas très concluante,I Structures mais à des

échelles trop grandes.

Spectroscopie

I Spectres reproductibles sur1820 Å : ∆ ≈ 62 meV ,

I 2∆kBTc

= 16.8.

Julián Cancino ATEPFS

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Bi2Sr2CaCu2O8+δ sur le Mésoscaphe

Tmaxc = 92 K, Bac2 > 1000 T, ξ = 10 Å, λ = 2000 Å, κ = 200.

Topographie

I Pas très concluante,I Structures mais à des

échelles trop grandes.

Spectroscopie

I Spectres reproductibles sur1820 Å : ∆ ≈ 62 meV ,

I 2∆kBTc

= 16.8.

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Bi2Sr2CaCu2O8+δ sur le Mésoscaphe

Tmaxc = 92 K, Bac2 > 1000 T, ξ = 10 Å, λ = 2000 Å, κ = 200.

Topographie

I Pas très concluante,I Structures mais à des

échelles trop grandes.

Spectroscopie

I Spectres reproductibles sur1820 Å : ∆ ≈ 62 meV ,

I 2∆kBTc

= 16.8.

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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Réalisation

Julián Cancino ATEPFS

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Bilan

Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Extra-muros 2003

Le choix du sujet de mon TM remonte à la fin de mon premierstage dans le groupe du Prof. Ø. Fischer. Durant celui-ci, j’ai apprisles bases de ce que sont la SC et le STM 9 : je ne connaissaisabsolument rien à ces deux sujets en arrivant.

Le Dr I. Maggio-Aprile s’est occupé de m’expliquer la plus grandepartie des sujets. Les autres membres du groupe répondaientégalement volontiers à mes questions. Ce stage m’a permis de mesensibiliser au climat de la recherche.

9J. Cancino, Quand le supraconducteur découvre l’humain, Collège Rousseau, Genève, 2003, 46 pp.

Julián Cancino ATEPFS

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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Extra-muros 2003

Le choix du sujet de mon TM remonte à la fin de mon premierstage dans le groupe du Prof. Ø. Fischer. Durant celui-ci, j’ai apprisles bases de ce que sont la SC et le STM 9 : je ne connaissaisabsolument rien à ces deux sujets en arrivant.

Le Dr I. Maggio-Aprile s’est occupé de m’expliquer la plus grandepartie des sujets. Les autres membres du groupe répondaientégalement volontiers à mes questions. Ce stage m’a permis de mesensibiliser au climat de la recherche.

9J. Cancino, Quand le supraconducteur découvre l’humain, Collège Rousseau, Genève, 2003, 46 pp.

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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Extra-muros 2004

Ayant choisi mon sujet de TM, j’ai eu la chance d’avoir la possibilitéde réintégrer le groupe durant un second stage de trois mois.

Cette fois-ci, le TM était l’occupation dominante (lecture, calculs,rédaction). Tous les membres du groupe, et plus particulièrementCédric Dubois, m’ont accordé un temps non négligeable enexplications.

Actuellement, le groupe rédige un article scientifique pour Reviewof Modern Physics au sujet des recherches sur les SC à haut-Tc parSTM. J’ai eu l’occasion d’apporter ma modeste contribution enrecherchant et traitant des données qui serviront pour cet article.

Julián Cancino ATEPFS

RésuméRéalisation

Bilan

Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Extra-muros 2004

Ayant choisi mon sujet de TM, j’ai eu la chance d’avoir la possibilitéde réintégrer le groupe durant un second stage de trois mois.

Cette fois-ci, le TM était l’occupation dominante (lecture, calculs,rédaction). Tous les membres du groupe, et plus particulièrementCédric Dubois, m’ont accordé un temps non négligeable enexplications.

Actuellement, le groupe rédige un article scientifique pour Reviewof Modern Physics au sujet des recherches sur les SC à haut-Tc parSTM. J’ai eu l’occasion d’apporter ma modeste contribution enrecherchant et traitant des données qui serviront pour cet article.

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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Extra-muros 2004

Ayant choisi mon sujet de TM, j’ai eu la chance d’avoir la possibilitéde réintégrer le groupe durant un second stage de trois mois.

Cette fois-ci, le TM était l’occupation dominante (lecture, calculs,rédaction). Tous les membres du groupe, et plus particulièrementCédric Dubois, m’ont accordé un temps non négligeable enexplications.

Actuellement, le groupe rédige un article scientifique pour Reviewof Modern Physics au sujet des recherches sur les SC à haut-Tc parSTM. J’ai eu l’occasion d’apporter ma modeste contribution enrecherchant et traitant des données qui serviront pour cet article.

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Extra-muros 2004

RevueLa figure qui va suivre contient les données récoltées au sujet duBi2Sr2CaCu2O8+δ .La courbe verte représente ce qu’on s’attend à voir dans un SCd-wave.Les points montrent ce qui est mesuré dans ce composé.La droite rouge est une régression linéaire des points montrant latendance des mesures.Certains théoriciens aimeraient bien que la droite intercepte laparabole au sommet pour qu’apparaisse un point critique quantique.La recherche dans la littérature semble ne pas appuyer cetteaffirmation.

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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Extra-muros 2004

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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Finalement, grâce à la proposition du Dr Alfred Manuel, j’aiparticipé à la première école d’été de MaNEP à Saas-Fee.

Cette dernière a été une sorte de grande révision pour la rédactionde la fin de mon TM, mais elle m’a également permis d’être aucourant des dernières avancées en sur les SC : un nouveau composéSC à 1.5 K, le Sr2RuO4, y a été présenté.

J’ai pu y rencontrer et écouter des gens spécialistes dans ledomaine de la SC venus du monde entier.

Julián Cancino ATEPFS

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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Finalement, grâce à la proposition du Dr Alfred Manuel, j’aiparticipé à la première école d’été de MaNEP à Saas-Fee.

Cette dernière a été une sorte de grande révision pour la rédactionde la fin de mon TM, mais elle m’a également permis d’être aucourant des dernières avancées en sur les SC : un nouveau composéSC à 1.5 K, le Sr2RuO4, y a été présenté.

J’ai pu y rencontrer et écouter des gens spécialistes dans ledomaine de la SC venus du monde entier.

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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

MaNEP Saas-Fee Summer School 2004

Finalement, grâce à la proposition du Dr Alfred Manuel, j’aiparticipé à la première école d’été de MaNEP à Saas-Fee.

Cette dernière a été une sorte de grande révision pour la rédactionde la fin de mon TM, mais elle m’a également permis d’être aucourant des dernières avancées en sur les SC : un nouveau composéSC à 1.5 K, le Sr2RuO4, y a été présenté.

J’ai pu y rencontrer et écouter des gens spécialistes dans ledomaine de la SC venus du monde entier.

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Bilan

Bilan du travail

ConnaissancesCette recherche m’a permis d’apprendre et d’approfondirénormément mes connaissances en physique des SC.

MéthodologieLa rédaction du TM, les recherches expérimentales ainsi que dansla littérature spécialisée m’ont appris les bases de la méthodescientifique. J’ai aussi utilisé la méthode cartésienne en particulierpour les sources sur Internet qui sont peu fiables à ce que j’ai puconstater.

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ConnaissancesCette recherche m’a permis d’apprendre et d’approfondirénormément mes connaissances en physique des SC.

MéthodologieLa rédaction du TM, les recherches expérimentales ainsi que dansla littérature spécialisée m’ont appris les bases de la méthodescientifique. J’ai aussi utilisé la méthode cartésienne en particulierpour les sources sur Internet qui sont peu fiables à ce que j’ai puconstater.

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Bilan

Bilan du Travail

RencontresPar ce travail, je suis entré en contact avec des gens passionnés etpassionnants qui m’ont aidé et envers lesquels je suis énormémentreconnaissant.

AvenirJ’ai été sélectionné pour le concours national La science appelle lesjeunes qui aura lieu du 22 au 24 avril 2005 à Lucerne. De plus, jecompte participer au Prix des matériaux de l’EPF de Lausanne.

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RencontresPar ce travail, je suis entré en contact avec des gens passionnés etpassionnants qui m’ont aidé et envers lesquels je suis énormémentreconnaissant.

AvenirJ’ai été sélectionné pour le concours national La science appelle lesjeunes qui aura lieu du 22 au 24 avril 2005 à Lucerne. De plus, jecompte participer au Prix des matériaux de l’EPF de Lausanne.

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Bilan

"Fais-le, ou ne le fais pas, mais il n’y a pas d’essai !"Yoda, in Star Wars.

Merci !

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"Fais-le, ou ne le fais pas, mais il n’y a pas d’essai !"Yoda, in Star Wars.

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