akiko l’amoureuse - chateau-rouge.net · cet album fait partie de la catégorie des contes. ......

10
Château Rouge Grande Salle Durée : 45 mn conseillé dès 5 ans PT 12 € TR 10 - 20 ans 7 € akiko l’amoureuse Chorégraphie de Davy Brun Ando Danse Compagnie SCÈNE CONVENTIONNÉEE Danse DOSSIER d’accompagnement Service des relations avec le public +33 450 43 24 27 Représentations scolaires ma 21 et je 23 à 9h30 et 14h30 me 22 à 9h30 Représentation Tout Public mercredi 22 novembre à 14h30

Upload: trinhngoc

Post on 15-Sep-2018

212 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Château RougeGrande Salle

Durée : 45 mnconseillé dès 5 ans

PT 12 €TR 10 €- 20 ans 7 €

akiko l’amoureuse Chorégraphie de Davy BrunAndo Danse Compagnie

Scène conventionnéee

DanseDOSSIER d’accompagnement

Service des relations avec le public +33 450 43 24 27

Représentations scolairesma 21 et je 23 à 9h30 et 14h30

me 22 à 9h30

Représentation Tout Publicmercredi 22 novembre à 14h30

Chorégraphie de Davy Brun

Interprètes Yuika Hokama, Leonardo Jin Sumita, Côme Calmelet Collaboration artistique Antoine Guilloppé Musique Julien Tarride Scénographie Bruno de Lavenère Costumes Philippe Combeau Création lumière David Debrinay

Production Association Ando/Ando Danse Compagnie Coproduction Opéra Théâtre de Saint Etienne / Très Tôt Théâtre de Quimper / Centre National de la Danse de Lyon / Théâtre du Vellein à Villefontaine / Théâtre de Vénissieux / Le Trait d’Union

Spectacle accueilli avec le soutien du Sou des Écoles d’Annemasse

Dosssier réalisé à partir d’un dossier élaboré par le Théâtre de Sète

l’équipe

Renseignements : service des relations avec le public - 04 50 43 24 27 Edwige Nuellec, secrétaire générale – responsable jeune public / [email protected]

Note d’intention du chorégraphe

«La découverte du travail d’Antoine Guilloppé, m’a tout de suite amené à me projeter dans la réalisation d’une pièce jeune public. Cette envie était présente en moi depuis longtemps. Le travail d’Antoine, centré sur les ombres et les lumières allant jusqu’à la disparition des textes pour laisser la place entière de la narration à l’illustration, m’a de suite inspiré, et plus particulièrement le personnage d’Akiko.» ll y a dans cette pièce une rencontre entre deux auteurs qui souhaitent créer une réelle collaboration de travail et d’échange artistique. L’idée est de proposer un spectacle aux enfants à forte valeur esthétique, en utilisant le travail d’auteur illustrateur d’Antoine Guilloppé et l’écriture chorégraphique de Davy Brun. Il s’agit de donner à voir un spectacle de danse où l émotion et le récit passent par le langage corporel et le visuel.

Note d’intention de l’auteur de l’album

«La réalisation d’un spectacle vivant inspirée d’une œuvre écrite et dessinée est le fantasme de tout auteur. La rencontre avec Davy Brun est donc la première étape d’un travail artistique qui verra l’accomplissement de ce fantasme. Je suis ravi que son choix se soit porté sur «Akiko l’amoureuse» car cette histoire, qui est de papier, va prendre corps et entrer en mouvement. La passerelle entre ces deux arts existe, nous nous y sommes rencontrés.»

le spectacle

Renseignements : service des relations avec le public - 04 50 43 24 27 Edwige Nuellec, secrétaire générale – responsable jeune public / [email protected]

Un album : Akiko l’amoureuseCet album fait partie de la catégorie des contes. La relation texte-image est particulièrement intéressante car l’enfant non lecteur n’a pas de difficulté à faire le lien entre les deux et peut ainsi se laisser porter par l’ histoire en rêvant, en s’identifiant à un personnage (Takiji pour les garçons et Akiko pour les filles). Le comportement des personnages principaux ne correspond pas à l’image encore traditionnelle donnée par la société française du garçon courageux et de la fille fragile. En effet, Takiji a peur et Akiko, courageuse et décidée, tente par tous les moyens de faire disparaître cette peur.

La raison et la parole : toute la nuit, Akiko essaie de raisonner Takiji et l’écoute.

La recherche de médiateurs : des animaux comme les oiseaux et les renards, l’arbre qui conseille Akiko sur l’attitude à adopter, la visite chez la sorcière, son attente de revoir Takiji pendant de longues nuits. L’enfant entre facilement dans ce conte car l’image entretient un rapport riche avec le texte qui est du coup rapidement à la portée de l’enfant.

Même s’ ils n’ont pas les connaissances de la culture japonaise dans laquelle se déroule ce récit, les jeunes spectateurs peuvent procéder aux processus d identification, entrer dans l’univers onirique du conte.

Nous allons donc reprendre quelques éléments de cette culture qui vont nous aider à avoir une autre lecture, plus culturelle de cet album. Quelques éléments de culture japonaise

Le Japon, le Pays du soleil levantLe Japon est un archipel formé de quatre îles principales : Honshu, Hokkaido, Kyushu et Shikoku et d’un millier d’îlots éparpillés dans la mer du Japon, l’océan Pacifique et la mer intérieure. La plus grande de ces îles et la plus peuplée est Honshu. Le pays est essentiellement montagneux et ses terres longent les grandes fosses océaniques du Pacifique. Cet emplacement constitue une zone de fracture ; c’est pourquoi le Japon subit de nombreux séismes. De plus, le nombre de volcans en activité est important. On en dénombre pas moins d’une vingtaine, dont le plus célèbre est le mont Fuji qui atteint 3776 mètres.

Caractéristiques de la culture japonaiseCette culture fut établie au fil des millénaires : même de nos jours, des rites ancestraux sont toujours ancrés dans les esprits. Le Japon n’a jamais rejeté sa culture d’origine. La transition d’un pays médiéval avec ses samouraïs à un pays qui est une des premières puissances du monde a été faite en une dizaine d’années. La culture japonaise est extrêmement différente de notre culture occidentale. Tout se passe dans la retenue et l’absence de démonstration. Leur art de vivre est un éloge à la nature et à la lenteur. Chaque détail est important, chaque geste est étudié. C’est un mélange de tradition et de modernité.

La lenteur Dans la lecture de l’album, on ressent un certain apaisement malgré la situation stressante du scénario. Ce sentiment est sans doute dû au «temps pris», à la lenteur du récit. Le lecteur est soumis à prendre le temps, à ne pas se précipiter pour lire. Cette lenteur est encore aujourd’hui une des valeurs traditionnelles conservée lors de la cérémonie du thé, dans les arts martiaux (budo, bujudsu), la danse buto et dans les décisions importantes que les japonais prennent dans leurs affaires. Même la médecine chinoise se pratique de manière lente car elle est toujours accompagnée d’une démarche spirituelle. Cette lenteur est valorisée et fait partie de l’art de vivre japonais.

Renseignements : service des relations avec le public - 04 50 43 24 27 Edwige Nuellec, secrétaire générale – responsable jeune public / [email protected]

La nature Les éléments naturels sont très présents dans le texte et l’image. On voit un volcan, des paysages, des animaux, la lune, le soleil, un arbre ami, des arbres en fleurs, des oiseaux, un papillon.La nature est très importante pour les japonais. Les tremblements de terre fréquents leur rappellent sa place dans leur vie et façonnent leur psychologie. Les japonais sont très attentifs aux changements de la nature et aux changements des saisons, qui leur rappellent constamment combien ils sont vulnérables en vivant dans ce pays. Rendus fragiles par la situation géographique du Japon, les habitants savent que la nature ne leur est pas acquise et à quel point ils en sont dépendants. Pour célébrer ces forces de la nature, en chaque début de saison, les japonais vont admirer les arbres dans les montagnes. Au printemps, ce sont les fleurs de cerisier. La célébration des cerisiers en fleur, le hanami ce qui veut dire « Allez voir les fleurs ». La célébration de cet événement réunit toute la population dans une ambiance d’insouciance et de nostalgie. Les japonais partent alors faire un « pèlerinage», faire un pique-nique entre amis ou en famille, pour admirer les “hana” (fleurs) et rendre hommage à leur beauté éphémère. En fait, le cerisier (sakura) est l’emblème du Japon. Les fleurs de cerisiers nous montrent comme la vie est fragile : la fleur, d’un seul coup de vent peut disparaître... Ainsi, la floraison symbolise un nouveau départ. De nos jours, le hanami est plutôt un moyen de se retrouver entre amis pour boire, manger et faire la fête... À l’automne les japonais se rendent dans des sites de montagnes pour apprécier les fleurs des érables qui rougissent. Cette célébration s’appelle d’ailleurs « Momijigari» qui signifie littéralement « la chasse aux érables ».

Le kimono vêtement traditionnel Akiko et Takiji sont vêtus de kimono, vêtement traditionnel encore porté aujourd’hui. Constitué de deux longues robes superposées et malgré une longue évolution historique, sa structure actuelle est sensiblement identique pour les hommes, les femmes et les enfants. De couleur très sobre (indigo, beige, marron, gris), le kimono masculin est porté avec un haori sorte de veste trois-quarts fermée sur le devant par un simple cordon tressé, et, dans les grandes occasions, avec un pantalon ample rappelant la forme d’une jupe (hakama). Le kimono féminin, de couleurs plus vives, est maintenu en place par une haute ceinture ornementale (obi), richement décorée, et jusqu’à la veille de leur mariage les jeunes filles portent des kimonos à longues manches (furi-sode).

La discrétion et le respect de l’intimité On ressent dans tout le conte un très grand respect de l’autre. Akiko ne porte jamais de jugement sur ce garçon qui a peur ; elle ne se moque jamais de lui. Même la sorcière (mais en est-elle vraiment une?...) rit gentiment de la farce qu’elle a faite à Takiji ! Tout le récit se déroule dans un climat de respect, de politesse. De même, il n y a aucun contact physique, pas plus à l’image que dans le texte. Même la fin en est exempte et pourtant on comprend tous que Takiji et Akiko sont amoureux. Un sourire seul nous le fait comprendre. De manière générale, au Japon, il convient d’éviter les contacts physiques trop chaleureux. Les Japonais les considèrent comme une intrusion dans leur intimité.

Un ballet Donner vie par le mouvement à ce conte zen, c’est le pari du chorégraphe. C’est pourquoi, le ballet reste près du texte du conte dans son déroulement. Deux danseurs d’origine japonaise interprètent Akiko et Tajiki ; un danseur est la «sorcière». Le décor est sobre car les animaux apparaissent dans un théâtre d’ombres et par des phrases musicales facilement identifiables par les enfants. Le support musical est essentiellement d’inspiration japonaise avec des insertions de musique contemporaine de Julien Tarride pour signifier les éléments de nature comme l’arbre, les animaux (les grenouilles, les oiseaux, les renards ) mais aussi des sentiments comme la peur ou l’amour. Le jeu chorégraphique se fait autour des rencontres et des relations entre les personnages.

Renseignements : service des relations avec le public - 04 50 43 24 27 Edwige Nuellec, secrétaire générale – responsable jeune public / [email protected]

Davy Brun - chorgrapheDanseur et chorégraphe, Davy Brun a commencé sa formation au Conservatoire National de Région à Lyon puis à l’Ecole de Danse de l’Opéra de Paris et avec son maître, Max Bozzoni. Les huit années passées au Ballet de l’Opéra de Lyon et les trois années au Grand Théâtre de Genève lui ont permis de découvrir de multiples gestuelles. Le travail avec les plus grands chorégraphes contemporains Mats Ek, Trisha Brown, William Forsythe, Maguy Marin, Philippe Decouflé, Mathilde Monnier, Jirí Kylián, Nacho Duato, l’a orienté vers un désir fort de vivre d autres expériences en free-lance et l’a incité à créer ses propres chorégraphies : Ando Centre Chorégraphique de Valencia - Pointless Monkey Conservatoire National Supérieur de Lyon - Nosotros La Move Compagnie Zaragoza - à contre danse Compagnie ANDO/Davy Brun - Curse Bouandedance Compagnie Portland - Soldaten Ballet de Mainz (Allemagne) - Consursus Concours re-connaissance - Christoffa Maison de la Danse de Lyon - L’oiseau de feu Scène nationale de Sceaux, théâtre les Gémeaux

Antoine Guillopé – auteur / illustrateurAntoine Guilloppé est né à Chambéry. Après des études de dessin à l’école Emile Cohl de Lyon, il se dirige vers l’illustration jeunesse. Il vit actuellement à Montrouge dans la région parisienne. Il a illustré de nombreuses couvertures de romans pour les éditions Thierry Magnier, Philippe Picquier, Rageot... Il a publié plusieurs albums jeunesse en tant qu’auteur-dessinateur, parmi lesquels Akiko la curieuse, Akiko la rêveuse et Akiko l’amoureuse (Ed. Philippe Picquier), Prédateurs (Thierry Magnier) ou encore Loup Noir et Grand blanc (Ed. Casterman). Il collabore également avec des auteurs comme Béatrice Fontanel sur l’album Grand corbeau (Ed. Sarbacane) ou encore avec Ghislaine Roman sur l’album Un jour, deux ours (Ed. Milan). Il reçoit le Prix “L’Écailler du livre” 2012/ le Prix “La nuit du livre” 2011 catégorie album jeunesse/ le Prix de l’album jeunesse 2008 de la Foire du livre de Brives/ le Prix des jeunes lecteurs - Calenzana 2011/ le Prix “Écolire “

les créateurs

Renseignements : service des relations avec le public - 04 50 43 24 27 Edwige Nuellec, secrétaire générale – responsable jeune public / [email protected]

pour allerplus loin...

Réaliser un collage à partir de photos trouvées dans des magasines (revues papiers, sites internet // en référence au Japon)

Créer des haïkus à partir d’observation de la nature // en s’inspirant des albums d’Akiko

Ecrire une autre version d’Akiko avec d’autres animaux, d’autres personnages // en dessinant

Création de la silhouette d’Akiko pour une recherche sur l’ombre ou la manipulation en marionnette // pour réaliser divers kimonos en papiers colorés ou en tissu colle sur une feuille.

Ecouter de la musique japonaise traditionnelle les yeux fermés

Créer paysage de coupe avec du papier cartonné découpé // avec des empreintes noires faites de tranches de le gumes ou autres formes... // avec des collages ou pochoirs

Faire des recherches documentaires sur les différents animaux rencontrés dans l’album ours, loup, renard, écureuil, chouette,../ / les saisons et les climats // le travail des ombres

Découvrir les albums d’Antoine Guillopé

Renseignements : service des relations avec le public - 04 50 43 24 27 Edwige Nuellec, secrétaire générale – responsable jeune public / [email protected]

GUIDE DUSPECTACLE

Vous allez bientôt emmener vos élèves découvrir un spectacle à Château Rouge. Pour certains d’entre eux, ce sera peut-être la première fois qu’ils découvriront l’univers du spectacle vivant. Et comme toutes les premières fois, ce moment particulier mérite qu’on lui porte toute son attention.

Dans tous les cas, il s’agit d’une démarche d’ouverture culturelle nécessitant d’être préparée. Préparation au contenu de la représentation qu’ils vont voir, mais également sensibilisation au monde du spectacle, ses règles, ses codes. En effet, être spectateur n’est pas inné, c’est un apprentissage qui se fait aussi dans le cadre de l’école.

Avant le spectacle...En classe avec mes élèves

• Je leur explique ce qu’est le «spectacle vivant» si cela n’a jamais été fait auparavant : les artistes sont présents physiquement sur scène, face au public. Bien que la salle soit plongée dans le noir, les artistes «voient» les spectateurs dans le sens où ils ressentent leurs attitudes, leurs réac-tions, leurs émotions. Il y a une véritable interaction entre les artistes et le public. En cela, le spectacle vivant diffère du cinéma ou de la télévision, qui demandent notamment moins de concentration et d’attention.

• J’informe mes élèves sur le spectacle qu’ils vont voir : * Le titre du spectacle * Le genre : cirque, théâtre, marionnettes, danse, théâtre d’objets, concert, conte, etc. * Le nombre d’artistes sur scène, le nom de la Compagnie

• Je collecte et étudie avec eux différents documents liés au spectacle afin de susciter leur curiosité sur le spectacle qu’ils verront bientôt. Pour cela, plusieurs documents sont disponibles auprès de Château Rouge ou dans le dossier péda-gogique (disponible en ligne sur le site internet de Château Rouge) : * une affiche (sur demande) ou une photo du spectacle * le résumé du spectacle (dans le dossier pédagogique) * des extraits vidéos sur le site internet de Château Rouge

Ces éléments doivent permettre aux élèves de se faire une première idée du spectacle et laisser aller leur imaginaire sur ce qu’ils vont voir sans pour autant dévoiler la totalité du spectacle.

• Je leur explique les codes et rituels du spectacle : * L’attente avant l’entrée en salle * L’installation en silence * Le «noir» avant et pendant le spectacle * L’espace de l’artiste – la scène – et l’espace du public – le gradin * Les applaudissements à la fin de la représentation

• Je leur présente les règles de comportement à avoir dès leur entrée dans la salle de spectacle et pendant toute la durée du spectacle : * Ne pas parler avec son voisin, ne pas commenter le spectacle : cela gêne les autres specta-teurs et surtout les artistes sur scène. * Garder en tête ses commentaires, ses impressions pour en discuter à la fin du spectacle avec les autres élèves (sur le chemin du retour par exemple), puis en classe avec l’enseignant(e).

Renseignements : service des relations avec le public - 04 50 43 24 27 Edwige Nuellec, secrétaire générale – responsable jeune public / [email protected]

AL’usagedesenseignants

* Ne pas manger ou boire : expliquer par exemple la différence avec ce qui est permis au cinéma : un film continuera à se dérouler quoi qu’il se passe dans la salle alors qu’au théâtre, tout se joue en direct, tout est donc plus fragile.

Il est important d’expliquer ces interdits aux élèves afin qu’ils comprennent qu’il ne s’agit pas d’une punition, mais bien d’une question de respect pour les artistes, pour les autres spectateurs et avant tout pour eux-mêmes. Avec les parents-accompagnateursJe les informe de leur rôle pour cette sortie culturelle : ils encadrent le déplacement des élèves de l’école à Château Rouge, mais aussi sur place, pendant le spectacle.

Pendant le spectacle...- Je laisse les enfants vivre et expérimenter différentes émotions : s’émerveiller, rire, sursauter, etc.- J’ai le droit d’intervenir auprès des élèves pendant la représentation, par exemple si un élève est trop agité ou parle pendant la représentation.- Je n’hésite pas à sortir de la salle avec un élève si celui-ci pleure, a très peur ou ne se sent pas bien, et ce pour ne pas déranger le bon déroulement du spectacle.

Après le spectacle...Il est important qu’un retour sur le spectacle soit fait en classe avec vos élèves afin qu’ils puissent exprimer leur point de vue et leurs sentiments sur l’expérience esthétique qu’ils viennent de vivre. Cela peut prendre plusieurs formes, voici quelques pistes :

- rassembler et lister les différents éléments du spectacle : les personnages : quel costume, quelle voix les couleurs dominantes du spectacle les éclairages, les lumières : leur rôle, fort/faible, qu’apportent-ils au spectacle le décor, les accessoires la musique, la bande-son

- exprimer son point de vue : par la parole : cela peut prendre la forme d’un débat par le dessin : demander aux élèves de dessiner leur moment préféré par le jeu, par exemple à l’aide du portrait chinois (Si le spectacle était un animal/un parfum / etc.)

Renseignements : service des relations avec le public - 04 50 43 24 27 Edwige Nuellec, secrétaire générale – responsable jeune public / [email protected]

chateau-rouge.net