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Languedoc-Roussillon L’information avant l’information 1 La lettre d'information de l'onisep Languedoc-Roussillon 16 17 décembre 2010 Conférences En quoi le processus de décrochage scolaire interroge-t-il l’École ? Rémy David – enseignant de philosophie au Clept (collège lycée élitaire pour tous : Grenoble) Mercredi 26 janvier 2011 de 14 h à 17 h à l’IUFM de Montpellier Roms, Tsiganes, gens du voyage... Mercredi 19 janvier 2011 de 14 h à 17 h – IUFM de Montpellier, Amphi D Alain Montaclair – maître de conférences, IUFM* de Franche-Comté Clarisse Decroix – chargée de mission CASNAV.** * institut universitaire de formation des maîtres ** centre académique pour la scolarisation des nouveaux arrivants et des enfants du voyage Informations complémentaires : www.crdp-montpellier.fr ; www.montpellier.iufm.fr Inscription des personnels 2 nd degré de l’Éducation nationale : http://www.ac-montpellier.fr/sections/personnelsen/formation-personnels Inscription des personnels 1 er degré de l’Éducation nationale au volet départemental de formation sur le site de l’inspection académique. (GAIA individuel) : https://gaia.orion.education.fr/gamon/centrale/centrale Source : communiqué AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10 Comment loger les jeunes en alternance ? Les besoins d’hébergement des 600 000 jeunes en alternance sont en effet extrêmement variés : il leur faut tout d’abord non seulement un, mais parfois jusqu’à trois logements (centre de formation, lieu de travail, résidence personnelle). Ensuite, une part importante de ces jeunes sont mineurs, ce qui pose des problèmes spécifiques pour les loger. Les apprentis sont les plus souvent des jeunes hommes (en raison notamment des métiers concernés) : or l’âge médian de départ du domicile parental est plus élevé pour les hommes (23 ans) que pour les femmes (21 ans). Les plus jeunes n’ont évidemment pas les mêmes besoins d’autonomie que les plus âgés. Les CAP et bacs professionnels, tous ces jeunes ont une «faible solvabilité». Les deux tiers des jeunes concernés trouvent donc des solutions de logement plus ou moins choisies dans leur réseau familial. Environ 50 000 sont logés une partie de l’année en internat, 8 000 en foyer de jeunes travailleurs et environ 10 000 en résidence universitaire Crous. Article à lire ici : http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&cid=1250260828098 Source : in Lettre de localtis.info 214 AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10 Table des matières page 2 Top départ pour les études après bac ! Les 20 compétences du cher- cheur idéal page 3 Les motivations des jeunes à l’entrée de l’université Claude Allègre et le dévelop- pement durable De vrais mensonges : un tour- nage régional page 4 Métier : luthier, luthière L’entrée est libre pour chacune des conférences. IUFM de Montpellier 2 place Marcel Godechot 34000 Montpellier 04 67 61 83 00 Apprentie ébéniste © Jérôme Pallé/Onisep

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Page 1: Actualité.net 16 17dec10

Languedoc-Roussillon L’information avant l’information 1

La lettre d'information de l'onisepLanguedoc-Roussillon

La lettre d'information de l'onisepLanguedoc-Roussillon

La lettre d'information de l'onisepLanguedoc-Roussillon

1617 décembre 2010

Conférences En quoi le processus de décrochage scolaire interroge-t-il l’École ?Rémy David – enseignant de philosophie au Clept (collège lycée élitaire pour tous : Grenoble)Mercredi 26 janvier 2011 de 14 h à 17 h à l’IUFM de Montpellier

Roms, Tsiganes, gens du voyage...Mercredi 19 janvier 2011 de 14 h à 17 h – IUFM de Montpellier, Amphi D Alain Montaclair – maître de conférences, IUFM* de Franche-ComtéClarisse Decroix – chargée de mission CASNAV.**

* institut universitaire de formation des maîtres** centre académique pour la scolarisation des nouveaux arrivants et des enfants du voyage

Informations complémentaires : www.crdp-montpellier.fr ; www.montpellier.iufm.fr

Inscription des personnels 2nd degré de l’Éducation nationale :http://www.ac-montpellier.fr/sections/personnelsen/formation-personnels

Inscription des personnels 1er degré de l’Éducation nationale au volet départemental de formation sur le site de l’inspection académique. (GAIA individuel) : https://gaia.orion.education.fr/gamon/centrale/centrale

Source : communiqué AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10

Comment loger les jeunes en alternance ?Les besoins d’hébergement des 600 000 jeunes en alternance sont en effet extrêmement variés : il leur faut tout d’abord non seulement un, mais parfois jusqu’à trois logements (centre de formation, lieu de travail, résidence personnelle). Ensuite, une part importante de ces jeunes sont mineurs, ce qui pose des problèmes spécifiques pour les loger. Les apprentis sont les plus souvent des jeunes hommes (en raison notamment des métiers concernés) : or l’âge médian de départ du domicile parental est plus élevé pour les hommes (23 ans) que pour les femmes (21 ans). Les plus jeunes n’ont évidemment pas les mêmes besoins d’autonomie que les plus âgés. Les CAP et bacs professionnels, tous ces jeunes ont une «faible solvabilité».Les deux tiers des jeunes concernés trouvent donc des solutions de logement plus ou moins choisies dans leur réseau familial. Environ 50 000 sont logés une partie de l’année en internat, 8 000 en foyer de jeunes travailleurs et environ 10 000 en résidence universitaire Crous. Article à lire ici : http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&cid=1250260828098

Source : in Lettre de localtis.info 214 AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10

Table des matièrespage 2

Top départ pour les études •après bac !Les 20 compétences du cher-•cheur idéal

page 3 Les motivations des jeunes à •l’entrée de l’universitéClaude Allègre et le dévelop-•pement durableDe vrais mensonges : un tour-•nage régional

page 4 Métier : luthier, luthière•

L’entrée est libre pour chacune des conférences.

IUFM de Montpellier2 place Marcel Godechot 34000 Montpellier04 67 61 83 00

Apprentie ébéniste© Jérôme Pallé/Onisep

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Languedoc-Roussillon L’information avant l’information 2

La lettre d'information de l'onisepLanguedoc-Roussillon

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La lettre d'information de l'onisepLanguedoc-Roussillon

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Top départ pour les études après bac !Le guide régional Onisep distribué aux futurs bacheliersLes élèves de terminales de l’académie reçoivent actuellement leur guide Onisep Après le Bac en Languedoc-Roussillon. Ils y trouvent les informations nécessaires pour choisir leur voie, connaître les différentes filières d’études, les formations en région et les adresses des établissements d’enseignement supérieur publics et privés sous contrat de la région.Un guide pour réfléchir à la suite de leurs études et passer à l’action.Disponible dès maintenant en téléchargement gratuit sur le site régional. Source : communiqué Dorothée Douriez AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10

Les 20 compétences du chercheur idéalL’Apec et Deloitte Conseil ont mené une étude sur les compétences professionnelles attendues lors de l’embauche d’un chercheur, aujourd’hui mais aussi au cours des prochaines années.Le chercheur idéalLe métier de chercheur s’est considérablement transformé, notamment en se professionnalisant de plus en plus, c’est-à-dire en demandant au chercheur d’élargir sa palette de compétences en complément du strict champ scientifique qui est le sien. Cette étude internationale prospective dessine le portrait idéal du chercheur à partir des réponses de l’ensemble des acteurs de la recherche interrogés dans l’étude. Ainsi, dans le cas d’un cadre expérimenté, le « chercheur type » doit posséder 20 compétences clés pour avoir toutes les chances d’être recruté, aussi bien dans le public que dans le privé. Les compétences incontournables. Pour six d’entre elles, le niveau d’exigence des recruteurs ira croissant dans les années à venir et les rendra déterminantes. Au premier rang, figure la capacité à savoir prendre en compte la pertinence de la recherche, compétence jugée comme la plus importante de toutes. Le chercheur devra aussi faire davantage preuve de capacités en gestion de projet et savoir développer un réseau. On attendra de lui qu’il ait une culture d’entreprise. Concernant les compétences scientifiques discriminantes, il aura à maîtriser les outils informatiques à haut niveau de technicité et travaillera en interdisciplinarité.

Des marges de progrès Aux yeux des acteurs de la recherche, les niveaux de maîtrise perçus de ces compétences clés sont très disparates selon les pays. La palette des compétences maîtrisées la plus large est reconnue chez les chercheurs anglo-saxons et, à l’inverse, la moins complète chez les chercheurs français et japonais. Pour autant, trois compétences présentent un niveau de maîtrise jugé moyen ou mauvais dans tous les pays : l’interdisciplinarité, la gestion d’équipes et la prise en compte de la pertinence de la recherche. Enfin, tous les acteurs interrogés s’accordent à dire que le marché de l’emploi pour les chercheurs sera mondial dans les prochaines années. Cela conduira les entreprises à renforcer l’attractivité et la fidélisation de leurs chercheurs. Et pour les chercheurs français, d’améliorer significativement leurs compétences linguistiques.

Source : jd.apec.fr AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10

www.onisep.fr/montpellier

© Jérôme Pallé/Onisep

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Languedoc-Roussillon L’information avant l’information 3

Les motivations des jeunes à l’entrée de l’universitéL’université des sciences de Montpellier vient de publier les premières conclusions d’une étude menée sur les étudiants de L1 en 2009/2010. Elle donne la tonalité des diverses motivations qui sous tendent l’inscription à l’université et montre combien il est important d’accompagner ces jeunes dans l’évolution de leurs projets. La plupart des étudiants s’informent correctement et assez complètement avant d’effectuer leur choix à la fin du lycée. Mais, si près de 70% envisagent au moins 5 années d’études, 24% d’indécis se projettent plutôt à bac + 3. Parmi eux, 79% déclarent n’avoir pas fait le choix de l’université, ce qui est loin d’être le cas chez les premiers. Les jeunes peu motivés se sentent très fragiles et 7,8% ne se sentent pas impliqués dans leurs études. L’expression d’un projet professionnel serait l’apanage des plus ambitieux. Notons enfin que 75% des étudiants redoublants expriment aujourd’hui leur volonté de réussir, bien que l’université ne fut pas leur choix premier en fin de classe terminale.

Source : Jean-Marie Quiesse, délégué régional onisep AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10

Claude Allègre et le développement durable. Comment économiser la planète ? L’Union nationale des industries des carrières et matériaux de construction (UNICEM) réunissait son assemblée générale mi-novembre. Ce secteur intéresse près de 2 700 emplois dans la région. L’économie est, à l’origine, l’organisation domestique. Il n’est donc pas étonnant qu’économiser la planète se traduise d’abord par un aménagement adéquat des lieux de vie. En termes de construction, l’objectif est de réduire par 5 les consommations d’énergie et aller vers la maison qui produira plus d’énergie qu’elle n’en coûte. Le choix des matériaux joue un rôle prépondérant dans ce processus. Pierre traditionnelle, béton prêt à l’emploi, utilisation des minéraux industriels pour la fabrication de peintures isolantes, mais aussi récupération des matériaux de démolition. Claude Allègre, géologue et ancien ministre, était l’invité de la soirée. Au delà de l’aspect des subventionnements, il a plaidé pour un mariage étroit entre le développement durable et l’économie de production. De la construction d’unités de stockage du CO2 à la voiture électrique, il conçoit ce développement durable non comme l’application d’une mesure unique mais comme une combinaison de procédés complémentaires qui visent à répondre au problème énergétique tout en changeant le paradigme consumériste du «je prends, j’utilise, je jette». Pour cela il convient d’optimiser la gestion informatique, développer du nucléaire de plus en plus propre et le combiner avec l’éolien et le photovoltaïque. Pour Claude Allègre, la protection de l’environnement doit être envisagée dans un esprit de création de richesses et d’emploi.

Source : Jean-Marie Quiesse, délégué régional onisep AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10

De vrais mensonges : un tournage régionalCe film, réalisé par Pierre Salvadori (France, 2009, 1 h 40 mn), a été tourné intégralement en Languedoc-Roussillon, à Sète et à l’Abbaye de Vallemagne (Hérault) du 8 juin au 5 août 2009.Acteurs : Audrey Tautou, Nathalie Baye, Sami Bouajila, Daniel Duval, Judith Chemla, Didier Brice.Le film a bénéficié du soutien financier de la Région Languedoc-Roussillon en partenariat avec le Centre National du Cinéma et de l’image animée (CNC) ainsi que de l’appui logistique de Languedoc-Roussillon Cinéma (Commission du Film) et de la collaboration de la ville de Sète. Des techniciens, des comédiens et des figurants de la région ont participé à ce tournage.Synopsis : Un beau matin de printemps, Émilie reçoit une lettre d’amour, belle, inspirée mais anonyme. Elle la jette d’abord à la poubelle, avant d’y voir le moyen de sauver sa mère, isolée et triste depuis le départ de son mari. Sans trop réfléchir, elle la lui adresse aussitôt. Mais Émilie ne sait pas encore que c’est Jean, son employé timide, qui en est l’auteur. Elle n’imagine pas non plus que son geste les projettera dans une suite de quiproquos et de malentendus qui vont vite les dépasser…

Source : communiqué Image LR AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10

La lettre d'information de l'onisepLanguedoc-Roussillon

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Motivation à l’entrée à l’université. Cassiopée Montpellier UM2, mission observatoire. Marthe CALIFA, chargée d’études et Sylvie DIAZ, assistante technique. 04 67 14 30 61. [email protected]

© LoopAll Fotolia.com

De vrais mensonges, un film entière-ment tourné dans notre région. Affiche gralon.net

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onisep.fr/montpellierOnisep Languedoc-Roussillon : 31 rue de l’Université - CS 39004 - 34064 Montpellier cedex 2 Directeur de la publication : Pascal Charvet et par délégation Olivier Brunel - Responsable de la publication : Jean-Marie Quiesse Rédactrice : Sophie Salvadori - [email protected] - 04 99 63 67 78 - Relecture : Chantal Sciabbarrasi, Fanon MartinMaquette : Emilie Rousseau - Date du Dépôt légal : en cours - Numéro de la commission paritaire - N° 1 253 AD - N° ISSN : 1148-0432

Métier : luthier, luthièreLuthier est un métier pour les passionnés de musique et d’instruments. Solitaire, habile et patient, le luthier est avant tout un musicien mais possède aussi de bonnes connaissances des instruments et des matériaux. David Ayache, luthier à Montpellier (violons, altos et violoncelles - modernes et baroques), répond aux questions de Fanon, stagiaire de 3e à Onisep.

•Qu’est-ce qu’un luthier ?Le luthier fabrique des instruments de musique, les restaure, les accorde et les vend. Il s’occupe des instruments à corde (violon, guitare…) mais aussi des orgues, des pianos, des accordéons, des cuivres (trompette, flûte traversière…)Il réalise seul, à la main l’instrument dans son intégralité, en utilisant des essences de bois communs (érable, épicéa, etc). Pour cela il utilise des outils comme le rabot, le canif, le ciseau à bois, la lime ou la scie électrique. « C’est un métier qui nécessite beaucoup de précision et de connaissances ».

Le luthier qui exerce depuis longtemps peut se lancer dans l’expertise. Il procède alors à des évaluations techniques et financières, notamment pour le monde de l’art.•Quelles compétences à avoir pour ce métier ?Pour exercer ce métier, le luthier posséde un sens musical développé et pratique l’instrument dont il s’occupe. Une bonne oreille est indispensable pour accorder les instruments et la mémoire visuelle constitue la base de l’expertise.Patience et grande habileté manuelle sont également de rigueur pour fabriquer des instruments de qualité. Par ailleurs, il doit connaître le travail des différents matériaux (bois, feutre, cuir, métal) mais aussi l’acoustique et parfois la mécanique.Quant à la restauration, elle requiert une importante culture technique et historique. Enfin, la maîtrise d’une langue étrangère constitue un sérieux atout pour se former dans des écoles ou des ateliers à l’étranger, et « également pour vendre ses instruments à l’étranger, le marché se développant de plus en plus vers les pays européens ou asiatiques ». De bonnes compétences en communication sont utiles pour se faire connaître du plus grand nombre». Les professionnels conseillent de travailler 6 à 8 ans chez un maître-artisan pour acquérir les bases du métier, se perfectionner, élargir ses compétences, ou assister à des concerts. « Il faut être passionné et apprendre pendant longtemps ». « C’est un métier un petit peu dans l’ombre car on fabrique les outils des musiciens, mais il arrive que des musiciens disent au public lors de concerts : " je joue avec un violon fabriqué par "... Quelle récompense alors ! ».

•Où exerce-t-il son métier ? Avec qui ?La plupart du temps, le luthier travaille en solitaire, dans un petit atelier comportant de 1 à 3 personnes. Selon les commandes passées, il peut collaborer avec d’autres professionnels de l’artisanat d’art (« je ne fabrique pas d’archets alors je travaille avec des archetiers »). Elles proviennent essentiellement des musiciens, des professeurs de conservatoire, des élèves, des professionnels du marché de l’art, des collectionneurs... Installé à son compte, il doit assumer les responsabilités d’un chef d’entreprise. «Parfois le luthier peut se spécialiser soit dans l’entretien, la réparation, la restauration, l’expertise ou la revente d’instruments.»

Source : Fanon Martin, stagiaire 3e du collège Simone de Beauvoir à Frontignan AN16/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/17dec10

La lettre d'information de l'onisepLanguedoc-Roussillon

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Les différentes formations :Les formations pour devenir luthier dépendent de l’instrument choisi. Il existe le diplôme CAP assis-tant technique en instruments de musique, op-tions guitare, accordéon, instruments à vent, piano; accordeur de piano ; facteur d’orgues ; lutherie (pour les niveaux CAP) ; le Brevet des métiers d’art (BMA) technicien en facture instrumentale, options guitare, accordéon, instruments à vent, piano (pour les niveaux bac) et le diplôme des métiers d’art (DMA) lutherie et Facture instrumentale options accordéon, guitare, piano, vents pour les niveaux bac +2.Pour exercer ce métiers il y a différentes formations possibles comme :Avant le bac :CAP Lutherie ; CAP Accordeur de pianoCAP Assistant technique en instruments de musi-que option accordéon ; option guitare ; option ins-truments à vent ; ments de musique option pianoCAP Facteur d’orguesBMA Technicien en facture instrumentale option guitareBMA Technicien en facture instrumentale option instrument à vent ; option piano.Et après le bac : DMA Lutherie.

David Ayache, luthier, 5 rue Cauzit, Montpellier, www.davidayacheluthier.com

Groupement des luthiers et archetiers d’art de France : www.glaaf.com

Les adresses des lieux de formation se trouvent dans le guide Après la 3e (téléchargeable sur le site www.onisep.fr/montpellier) et sur le site www.onisep.fr

•Salaire Un luthier débutant peut gagner environ 1280 euros par mois.

•En savoir plus… Ce métier nécessite un long apprentis-sage. La fabrication d’instruments reste un secteur artisanal. Avec moins d’une centaine d’emplois chaque année, l’activité concerne près de 240 entreprises, dont 140 pour les instruments du quatuor (violon, alto, violoncelle, contrebasse ou viole de gambe) et une centaine pour les guitares.

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