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52- Année 13.116 Le Numél«*- 25 centimes Dimanche 26 Janvier 1936 LE LITTORAL Fortuné ROBAUDY, Fom ORGANE DES STAfïONS IIIVEUNA1.ES Administration et Rédaction : 34. me llncbe, CANNES — Tél. 4 88 Journal Littéraire et Mondain de Câlines et de l'Arrondissement de Cannes Publie le« «niKineen Jud 'ttlrw et légale», les uvt» deil Tribunaux de Commerça, AakB de loclétéi. Ventes et tensions de fonds de romraerre, etc.. K. C. Cannes 4.3C2 ABONNEMENTS Caoneg et Départe- } u « {*<* menti limitrophes .. 12 t. 6 L Autres Département*.. 14 » 7 > Union Pottale 26 » 18 > ANNONCES Echo» ( l" Page) 12 fr. Chron. locale et régionale .... 7 > Après chronique fl > Page Sportive et T.S.F. 5 » Réclame 4 » Annonces (4* Paje) 9 > Petites Annonces X » A la Mairie de Cannes Nous nous faisant l'échu iine affaire qui vient de se . .user en notre ville et qui a iirovoqué au sein du Conseil Mu- nicipal des événements qu'il est utile de rapi>orter. M. Emile Boulingue. 1er ad- joint délégué aux Finances, était la semaine di-rnière, sollicité par m individu, Baptiste Cambréa. "in- unsecoure. Motrr Adjoint, ému de la si- tuation qui lui était exposé, car le demandeur annonçait qu'il allait subir l'expulsion de son domicile sur J'ordre de son pro- priétaire, fit remettre à Cam- '•réa la somme de 100 frs. Mais ttc aide fut jugée insuffisante t. comme k- réclamant voulait '") frs, M. Boulingue, se lais- i-'iil apitoyer, signa un bon de 'M frs. payable le lendemain par la Caisse du Receveur Mu- nicipal. Malheureusement, pour donner une authenticité régle- mentaire à ce paiement, M. Bou- lingue fît ce bon au nom d'une tiurce personne. Cambréa se servit de cette , uVe pour déclencher un scan- dale, bien que le lendemain ma- tin ce bon n'aît pas été payé par i*s finance 1 » de la Ville et que M. Boulingue donnait l'ordre de 'tirer le bon et versait de ses :< niiTs la somme convenue. Devant certaines attaques, immédiatement lancées contre la Municipalité, le Conseil Municipal s'est réuni Lundi soir t a communiqué la décision sui- -ante : Les membres duConseil mu- i icipal soussignés, réunis en • ance extraordinaire, le 20 i.itivier 1936, à 18 heures, pour < tudier l'incident crée par le u'ur Cambréa Baptiste ; Après avoir entendu l'exposé impartial des faits par M. Nou- veau, maire et président de la u'ance ; • Après avoir, enoutre, enten- du les explications de M. Bou- lingue, 1er adjoint, mis en cause luns cet incident, au sujet du- quel il (limande que soit recon- nue sa bonne foi ; L'Assemblée à l'unanimité <U-B membres présents ; « Estimant que ces faits sont tout d'abord d'une extrême gra- vité et qu'ils pourront rejaillir sur l'honorabilité de ses mem- bres si ceux-ci se solidarisaient avec leur adjoint ; << Mais estimant, en outre, que la bonne foi et l'intégrité de M. !*• '.jui^ue ne sauraient être mi- .s. .s m doute ; Se contentent de lui demander sa démission de 1er adjoint ; '< Lui demandent de la donner nelon l'engagement qu'il a pris de se ranger de l'avis de l'una- i nimité du Conseil. ! «Et lui envoient une délégation sous la conduite du maire pour lui apporter en même temps que leur décision l'expression de leur .sympathie ; «• Décident, en outre, de se fier à M. le Maire pour la sanction à appliquer àl'employé Gioanni, coupable de négligence, deman- dant toutefois, que cette sanc- tion .soit légère et surtout de principe. «Les membres présents étaient MM. Nouveau, maire ; André, Bousquet, adjoints ; Monnet, Escoute, Garbiès, Daumas. Bo- de, Poyaud, Verdet. Saramito, Allavenna, Jourtau, Ruas. Mou- lin, Espagnac, Tramier, Vallois, Pons, Martin, Murracioli, Nami, Chiozza et Wcibel. Puis, mercredi soir, M. Pierre Nouveau, maire a pris un Arrê- que nous reproduisons ci- dessous : * Nous, Maire de la Ville de Cannes, * Vu l'article 82 de la Loi mu- nicipale du 5 avril 1884 ; » Vu notre arrêté en datedu 20 mai 1935, portant délégation d'une partie de nos fonctions aux adjoints et, notamment, à M. Boulingue, 1er adjoint, délé- gué aux finances, octroi, con- tentieux, sociétés concessionnai- res des services publics et état civil ; « Arrêtons : Article unique. Notre arrê- en date du 20 mai 1935 est rapporté en ce qui concerne les délégations attribuées à M. Emi- le Boulingue, 1er adjoint ». * * M. Emile Boulingue reconnaît qu'il a obéi à un sentiment de pitié et qu'il ne pouvait aucune- ment penser être victime d'un piège [wlitique. Enfin voici le communiqué de M. Pierre Nouveau, maire de Cannes : Les commentaires de la presse et la réponse do M. Boulingue exigent une mine au point. M. Juillet. Receveur, ma demandé un Jour, par téléphone. l'putotisaticm de verser un secours de trois cents francs a un rieses * amis * menacé d'expulsion. Apprenant qu'il s'agis- sait du sieur Cambréa et cdnnatss&nt la personne, je refusais catégorique- ment et défendais formellement au Receveur de lui verser quoi que«eu soit. Enfreignant' mon ordre, Jamet con- duisit Cambréa chez M. Boulingue et plaida sa cause. Mon adjoint vint &son tour me de- mander de lui signer un mandat de secours de 300 francs. Plus formel- lement encore, je refusais et mettais mon adjoint en garde contre le sieur Cambréa et le priais de 1'éconduiru Boulingue était donc bien prévenu et sa faute est inexcusable. Sans tenir compte de ma défense formelle et pour éviter que je puisse m'en apercevoir un jour. M. Boulin- gue demanda à M. Gioanni, chef du Bureau des Finances, d'établir un mandat sur autre article. Gioanni fit établir par Osenda un mandat de 11 journées à 30 francs. Mais attendu que le nom de Cambréa pouvait en- core mettre le Alaire en éveil, on con- aulta Cambréa qui suggéra le nom d'un autre ami, Laugero Joseph, em- ployé au Casino Municipal ! Il est inadmissible que Gioanm. employé depuis 25 ans, se soit prêté en toute connaissance decause, a un acte aussi grave ! La caisse était fermée, heureuse- ment pour le Receveur municipal, car rien ne prouve que le mandat n'eût pas été payé. Le Receveur déclare aujourd'hui qu'il aurait refusé le mandat établi au nom d'un autre, peut-être, mais il eut beaucoup mieux agi en suivant mes ordres. Le lendemain, Gioanni qui avait en- fin réfléchi et compris toutes les con- séquences de cet acte, d'accord avec M. Boulingue, demandait instamment au Receveur de retirer le mandat à tout prix et Cambréa reçut, en échan- ge, 1.000 francs versés personnelle- ment par M. Boulingue, mais l'affai- re n'était pas étouffée, car le fameux mandat était passé par d'autres mfcins. Il y a donc trois coupables dans cette affaire : le Receveur qui a reçu Cambréa, a plaidé pour lui et enfreint mes ordres ; l'adjoint qui ne m'a pus écouté et qui a fait établir un man- dat irrégulier ; enfin l'employé qui s'est prêté à la chose. Je les al interrogés et confrontés devant témoin» vendredi 17. Chacun a reconnu sa faute. Je pensais que mon adjoint n'hési- terait pas un seul instant à démis- sionner. Devant son silence, je con- voquais le 20 courant, ô 18 heures, mes amis duConseil et après expose de l'affaire, tous reconnurent la gra- vité du fait et demandèrent la dé- mUslon de M. Boulingue. • Celui-ci était venu présenter sa défense de- vant nous, excipant de sa bonne foi surprise par un malheureux, et a dé- claré s'en remettre à notre jugement. Mais, a la Délégation qui est allée lui faire part de la décision du Con- seil, à 20 heures. M. Boulingue a opposé un refus formel de démission- ner tant qu'il n'aurait paH répondu aux attaques dirigées contre lui. Sa déclaration ne nous a pas satisfaits nous avons néanmoins convenu d'à 1 tendre 48 heures encore avant c prendre une décision définitive et t n'est qu'après uneultime et inutile démarche faite auprès de M. Bouiin- gue. le 22 janvier, a 17 heures, qu'en plein accord avec les membres Conseil présents à ren réunions. J'ai pris l'arrêté rapportant celui du 20 mat 1935, relatif aux délégations attribuées à M. Boulingue. !>• Maire P NOUVEAU. AvU à MM. les Hôteliers et Restaurateurs ront comprendre pour la chambre. U- pet vice comprit. fé, servie .i héberger ..•s qui part.t des a mars prochain, sont prit 1 * du s'ins- crire au plus tôt au niègv du Comité Leurs prix d l'hébergement déjeuner, If s Pour les repas : nu-nu, compris Indiquer également le nombre d< personnes qu'ils pourront héberKiT«• nourrir. Tes indications seront transmises aux intéressés qui s'adresseront dira term-nt à eux. La Mort de S.M. George V Le Rotary Club de Cannes à reçu le nouveau Bureau de la Chambre de Commerce des Alpes-Maritimes En nous associant à et- deuil de la Maison Royale d'Angleter- re, nous rendons avec toute la déférence que mérite le noble •iéfunt et sa famille un devoir, ieux et légitime. Si l'Histoire de Cannes a été nssi brillante c'est, nous ne de- [)ii9 pas l'oublier, parce qu'un lien s'est, quelque jour, établi ntre les représentants, parmi ?a plus célèbres, d'une dynastie .iniversellement respectée et no- re cité, fière de les accueillir. La Reine Victoria avait trou- vé dans notre région un aimable t réconfortant séjour, le Roi Edouard VII, avant son règne, avait établi en notre ville ses quartiers d'hiver, son frère le ")uc de Connaught, prit part à de nombreuses manifes et le Prince de Galles, qui demain sous le nom d'Edouard VIII, avait obéi à cette attirance familiale. A leur suite, nous avions eu ie privilège de recevoir les plus hautes personnalités d'Outre- Manche. Nous ne pouvons pas oublier, en effet, que Lord Wester We- myss est venu se reposer ici jusqu'à son dernier souffle, re- cueilli par nous avec une respec- tueuse dévotion, des fatigues d'une brillante carrière ; que Lord Derby, citoyen d'honneur de la Ville de Cannes, était no- tre hôte, il y a quelques jours, •t a repartir pour répondre aux devoirs impérieux de ses fonctions ; que les plus nobles familles britanniques ont acquis droit de cité sur la Côte d'Azur. Depuis Lord Brougham, d'il- ustre mémoire jusqu'aux plus humbles sujets d'Angleterre, nous avons connu le trait d'union qui a pu, en certaines occasions, provoquer la dénomi- nation de *Cannes, Cité britan- nique ». Et cette appellation nous ho- nore. Chaque année nous atten- dons avec impatience ceux, qui délaissant les brumes de Lon- dres ou d'autres villes, revien- nent pour nous prouver leur be- soin de soleil et de ciel bleu. Il est donc bien permis de dé- clarer hautement que la popula- tion Cannoise s'incline aujour- d'hui avec émotion devant le cercueil de ce grand souverain. Il est permis aussi de présen- ter à Sa Majesté la Reine-Mère, à S.M. le Roi Edouard VIII, à Leurs Altesses ses frères, à tou- te sa famille, nos condoléances les plus respectueuses. Mais si le Roi est mort, vive le Roi ! Au douloureux gl.-i.s tin rnril- lon de Westminster, aux pleurs d'une famille unie, aux regrets d'une foule inclinée, nous mê- lons aujourd'hui nos voeux de bon avènement pour Celui, qui était encore, il y a quelques mois, un Prince familier et sur lequel maintenant pèse la lour- de charge des attributs royaux. Que son règne soit pacifique et brillant ! que les plus nobles exemples de sa famille dictent sa ligne de conduite ! Et qu'en- fin, à travers les soucis que ré- serve le pouvoir le mieux com- pris, Edouard VIII se souvienne du Prince de GaUes et de cette rive heureuse sa jeunesse, encore dépourvue des préoccu- pations absorbantes, aimait à trouver des h• •:- ' ' — le beauté ~: que le» font dans u I 'M.. ni.i cc.line ancien (>r le Suint- rt -Mi pi.. :, ,1, (.„,, . .l l Vrhy, ..i d r lîi«-t."uïn<-n i' ii.-1'Miiit-Angli- Tiiylor, vice-co n-ttàM. John il d'Angleterre A l'issue de ces visites. M Nouveau a «dressé le télégram vant : Maire à Ait" lirn.. \'ou< prie .. • •>ndo- ville ( i lle f A St ier, I. O'autre part, voici le texte du télé- irammc -JUC'r vire consul d'Angle- rrri- .i ii ; tairt* (lu Fo- •-•s d, plu, <t de ce vice-f > L U I 1 K 1 - A H 1 l ' I l . " k l i l ' I i : u \ A la nouvelle de la mort du souve- rain. IAÏTA et Lad y Derby, qui étaient arrivés le 4 janvier dernier, ont décidé d'abréger leur séjour à Cannes et de rentrer a Ixmdres La présence de l'ancien ambassa- deur de Grande-Bretagne à Paris et président du Comité France-Angleter- re, est, en effet, rendue indispensable dans la capitale anglaise en raison de la prochaine réunion de la Chambre •les Lords. Sur le quai de la Rare, I-nrd l'erhy M. L. I^uis-Dreyfiis, député de ("an- nés •Antilles, qui partait pour Paris, et qui lui a renouvelé ses condoléances pour le deuil qui frappe la nation britan nique. Xos hôtes lidéles ont pris le train bleu et ont été salués, leur départ, par le Capt. C.unningham, représen- tant M. |ohu Gruy Taylor, vice-consul, ( eux qui frappe la famille royal»- et e ruyaunn- uni de Cr.indt- Bretagne. M. Henry Mouchet. préfet des Al «-. M,intimes a, éRalrment, rendu vi- - K. 1-or.l IVrby. t-n sa villa Aussitôt que la mort de S.M. Ge V .-dis de Cannes. ments iiUn.->t«.-a date L,- NB u: M • KI.I-HK1-I :iby. 1 .1 Au NII-. RKI.K;II;I:SI: CANShS. LV. JitVK. Nl'-.HiUl.l.KS . -;*•• jnnvirr. nu mo- ' Lon- ,—téle i-elëhn- • n • George ( hun <e.in. Tous le cérémonie M-I.OH ,,,.,... le vice-consulat Britannique del a I'N Livrtr î-'(V n**; COV.-MK L.- 1 •• • • p<)st'- .. d'An;.: tion du public jusqu'au jour dérouleront les funérailles de S. il- U-st< l.ii reu <lition a. rtk- 1" leur ' Club . ' <|lt H table M ' lllll .[!,. Avant l'ouibes. ussueier au deuil exprimer h -ii\ la) Hoy.i l'n ' .U-lrai et a.!: anKl., l'u, le In la p., lilr \l Ue> îles .'• \ 1. l'un. cl.- M. C Ui- iton K (le '•• 1 Cl .le en ..,1 fut toi» donner re-a.l.nt lli .III il itleti 1 s, il est •muer, Sitiinl, 1" ( habaud, Alfred Martin, ne il est de tra- [.lu- . urdi.ile-. IL priM- .!-• :n des organis- vivants et les la parole à M. C.imbert tint à 1 , > ,],- ( uni-.. qur lou» k-.> le Rotary en (tour te grand France et teui i ii la l'amill. .t mêlée à l'his iniant les cou mi.-: furrMisi- 11 r . 11 i.uqua- luriltv ••1 <!n , ,ict au wui.-. 1. partie aux : li.ik-, il 111 mit 1 . est là \t- d.• 1 onférence de plus en plus ... . .. . ( «minière défenseur 1 ..un. itx \ 1 1 était t riens agrral.le voir des deux prii du litfctr national ^.ini-...!:. n:iti<- de !.. le K..u nir. .»tre M Ho- 1 h.itnhrr de M .nt: i:e, M. 1' M (. hs- .le Commerce M préside aux •:, ,•. se -M-tn- ; , j,,,. s d e a l'ans, i interprète et le d un VILU demandant au m m de t.,11. ..iiv r.-présen- -• une ,., ^m !-• 1 Of- 1tte fort intéressante f.iinlH-Tt M- réjouit de : • L.lnptcr. nli.de . Kota- ,:i très îens étrojts se créer entre les cipales villes de notre dépar- " -T.irv Club de pour être, en -!r |;i conférence tt liauvu.^ du Kot.iry Inter- •t (Miursiiit .ntuelleineiit l'or- i - 1 . 1 • - j..un«'< >iui . I I I K ' M C '•l'-s aspects, au cours . .•-,.,,(,Ans et d'excur- 1 j.ropre- " i.tUX IV L , [ntt-r- nt. la situation r,ipi>orts avec .. r t..-ii^ et son ave- C'e-.t la pour notre ville une oppor- tunité p le séjour tous les plu» util vue de 1 irticulièrement heureuse, et parmi nous de Kotartcns de pavs aura certainement les •s conséquences au point di 1 pn>p.iK.tn<le mondiale Nous Minimes heureux de remercier W Club a notre cadre à c le Cannes d'avoir su assurer ville l'honneur de servir rie •tte imposante manilestatioq ÉCHOS ET MONDANITÉS BILLET DE LA SEMAINE Dans la Lésion d'Honneur M. le Docteur Jouffray C'est un Cannois que nous fêtons. car It- l>' Paul Jouffray fut l'élève brillant de notre Institut Stanislas, iivant d'aller conquérir en la I acuité île Médetim- de Lyon, son diplôme de Doiteiir iuiompanné du titre, sutfi- sammi-nt diflicile j-ninr être souligné, il'Interne des Hôpitaux. ( nnqiiis par notre pays 011 il con- servait les plus puissantes attaches familiales, le \>' Joutfray vint séta- lilir coin me cliirurK>vii en 1008 et, piu de ti-nips après, en uni, il devenait CluruTKtL-n de l'Hôpital Civil. A l.i Kwrri 1 . il u'.i 1'-'- «l'nMiK.itiiwis l militaires. élogieuses d:m taires 1I11 im < utile. Il dés le M. Emile Boulingue M I'.mile Itoiilinnii. pirM<!.Tit du Conseil d'Arrondissement et premier adjoint au Maire de Cannes, a été fait chevalier en raison d>-< rtnmbtrîix services rendus à dc-> •: faisanre, telles que l.i ' de St Vallier. dont I dateurs, en m dait la 1 .»M'" d, l'Avenir. , de la Nation ,-i .mm M. Thomas Garbiès M. 1h.>lli. (-.r., 1|i ,: , i.. • .. i cipal de Caiin- valier de la I - Mariage nite de nos pronostics Dans la Police " " " . nous tnen- est-à- ju'ail- :;\ 1 nti- » nto- ^ llttl- f"'tir J,\ t-p- MM rai .1 d<- * ..:. Ma/amet Ile puis délicates tence rei tion ii» « un n\ ani passé br An COU.] ' lm-n réjoui» M ment qu , tl . son k | .lu f .1 iiftectatmn M follttlor t.nl eim ll.u il V le félicitons MM^H^^BI^H uab de nt n t. ent bien Uou ' s ,, e fi , OII1III1 enté , 1 •- u 1 •!. pl.lMI que 1'" < l-i-,se a h Canne*, en -.UU' 11 M-(,tJlt ue justifie un amis qui n-, la région n départ. ••• •>•«•. >lu bel avance d'obter cordi ir, dont nou> lement élu joint. L I 1 qui sous la Municipalité l<.iit il s'évade en nmpar •r de la Légion M. A. de Cesti Le IK Paul Joutïray a d e m -unis à ( iit vient dêtr |ui iipprér ij{etK<- et s J'ai plaisir Ile-, l.,l .ll^t 111c tlOI l'dlijet rejouira ti eut >a droiture, si in habileté profess ml d us on 11 reux nt il ceux Iitel lelle. eux Km Tr.r, M.!! du 1 Vice p " ;• i ' 1 <!• l'I 1 f i I11.I11 tt!< -lu lUtiment d .uiwtldt- i •ésident ment lie .Unt ilii non de.s .des des r t ,-!-• A l'International Sporting -Club de Monte - Cario 1 .- derii Club a e succès l 1 ' trappe Us trots a>uf- •'.{ fit* ' (Juetair< l,-n\ mil, nert • : nMre coeur . •1 d'un succès. {iuttnd Hi-UA nous serons lamen- tés sur d'hypothétiques malheurs, 1.,.;,v .tnmns tué le présent et n notre inertie qui est .•'..r fatale de la dêses- II faut lutter contre les ivén, ' hles et U ^ uneleçon d'énergie avec •. Mi momie et puis lais- M. de la Palisse disait : * II n'y a rien à entreprendre contre ce que twus ne pouvons pas en%pè- clier. » M. de la Palisse avait raison mais on pourrait peut-être ajout* > « Sourions à l'inévitable. »

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52- Année — 13.116 Le Numél«*- 25 centimes Dimanche 26 Janvier 1936

LE LITTORALFortuné ROBAUDY, Fom ORGANE DES STAfïONS IIIVEUNA1.ES Administration et Rédaction :

34. me llncbe, CANNES — Tél. 4 88

Journal Littéraire et Mondain de Câlines et de l'Arrondissement de CannesPublie le« «niKineen Jud 'ttlrw et légale», les uvt» deil Tribunaux de Commerça, AakB de loclétéi. Ventes et tensions de fonds de romraerre, etc.. K. C. Cannes 4.3C2

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ANNONCESEcho» ( l " Page) 12 fr.Chron. locale et régionale . . . . 7 >Après chronique fl >Page Sportive et T.S.F. 5 »Réclame 4 »Annonces (4* Paje) 9 >Petites Annonces X »

A la Mairie de CannesNous nous faisant l'échuiine affaire qui vient de se

. .user en notre ville et qui aiirovoqué au sein du Conseil Mu-nicipal des événements qu'il estutile de rapi>orter.

M. Emile Boulingue. 1er ad-joint délégué aux Finances, étaitla semaine di-rnière, sollicité parm individu, Baptiste Cambréa."in- un secoure.Motrr Adjoint, ému de la si-

tuation qui lui était exposé, carle demandeur annonçait qu'ilallait subir l'expulsion de sondomicile sur J'ordre de son pro-priétaire, fit remettre à Cam-'•réa la somme de 100 frs. Mais• ttc aide fut jugée insuffisantet. comme k- réclamant voulait'") frs, M. Boulingue, se lais-

i-'iil apitoyer, signa un bon de'M frs. payable le lendemain

par la Caisse du Receveur Mu-nicipal. Malheureusement, pourdonner une authenticité régle-mentaire à ce paiement, M. Bou-lingue fît ce bon au nom d'unetiurce personne.

Cambréa se servit de cette, uVe pour déclencher un scan-dale, bien que le lendemain ma-tin ce bon n'aît pas été payé pari*s finance1» de la Ville et queM. Boulingue donnait l'ordre de' t i re r le bon et versait de ses:< niiTs la somme convenue.

Devant certaines attaques,immédiatement lancées contrela Municipalité, le ConseilMunicipal s'est réuni Lundi soirt a communiqué la décision sui-

-ante :Les membres du Conseil mu-

i icipal soussignés, réunis en• ance extraordinaire, le 20i.itivier 1936, à 18 heures, pour

< tudier l'incident crée par le• u'ur Cambréa Baptiste ;

Après avoir entendu l'exposéimpartial des faits par M. Nou-veau, maire et président de lau'ance ;• Après avoir, en outre, enten-

du les explications de M. Bou-lingue, 1er adjoint, mis en cause• luns cet incident, au sujet du-quel il (limande que soit recon-nue sa bonne foi ;

L'Assemblée à l'unanimité<U-B membres présents ;

« Estimant que ces faits sonttout d'abord d'une extrême gra-vité et qu'ils pourront rejaillirsur l'honorabilité de ses mem-bres si ceux-ci se solidarisaientavec leur adjoint ;

<< Mais estimant, en outre, quela bonne foi et l'intégrité de M.!*• '.jui^ue ne sauraient être mi-.s. .s m doute ;

Se contentent de lui demandersa démission de 1er adjoint ;

'< Lui demandent de la donnernelon l'engagement qu'il a prisde se ranger de l'avis de l'una- inimité du Conseil. !

«Et lui envoient une délégationsous la conduite du maire pourlui apporter en même temps queleur décision l'expression de leur.sympathie ;

«• Décident, en outre, de se fierà M. le Maire pour la sanctionà appliquer à l'employé Gioanni,coupable de négligence, deman-dant toutefois, que cette sanc-tion .soit légère et surtout deprincipe.«Les membres présents étaient

MM. Nouveau, maire ; André,Bousquet, adjoints ; Monnet,Escoute, Garbiès, Daumas. Bo-de, Poyaud, Verdet. Saramito,Allavenna, Jourtau, Ruas. Mou-lin, Espagnac, Tramier, Vallois,Pons, Martin, Murracioli, Nami,Chiozza et Wcibel.

Puis, mercredi soir, M. PierreNouveau, maire a pris un Arrê-té que nous reproduisons ci-dessous :

* Nous, Maire de la Ville deCannes,

* Vu l'article 82 de la Loi mu-nicipale du 5 avril 1884 ;

» Vu notre arrêté en date du20 mai 1935, portant délégationd'une partie de nos fonctionsaux adjoints et, notamment, àM. Boulingue, 1er adjoint, délé-

gué aux finances, octroi, con-tentieux, sociétés concessionnai-res des services publics et étatcivil ;

« Arrêtons :Article unique. — Notre arrê-

té en date du 20 mai 1935 estrapporté en ce qui concerne lesdélégations attribuées à M. Emi-le Boulingue, 1er adjoint ».

* *M. Emile Boulingue reconnaît

qu'il a obéi à un sentiment depitié et qu'il ne pouvait aucune-ment penser être victime d'unpiège [wlitique.

Enfin voici le communiqué de M.Pierre Nouveau, maire de Cannes :

Les commentaires de la presse etla réponse do M. Boulingue exigentune mine au point.

M. Juillet. Receveur, ma demandéun Jour, par téléphone. l'putotisaticmde verser un secours de trois centsfrancs a un rie ses * amis * menacéd'expulsion. Apprenant qu'il s'agis-sait du sieur Cambréa et cdnnatss&ntla personne, je refusais catégorique-ment et défendais formellement auReceveur de lui verser quoi que«eusoit.

Enfreignant' mon ordre, Jamet con-duisit Cambréa chez M. Boulingue etplaida sa cause.

Mon adjoint vint & son tour me de-mander de lui signer un mandat desecours de 300 francs. Plus formel-lement encore, je refusais et mettaismon adjoint en garde contre le sieurCambréa et le priais de 1'éconduiruBoulingue était donc bien prévenu etsa faute est inexcusable.

Sans tenir compte de ma défenseformelle et pour éviter que je puissem'en apercevoir un jour. M. Boulin-gue demanda à M. Gioanni, chef duBureau des Finances, d'établir unmandat sur autre article. Gioanni fitétablir par Osenda un mandat de 11journées à 30 francs. Mais attenduque le nom de Cambréa pouvait en-core mettre le Alaire en éveil, on con-aulta Cambréa qui suggéra le nomd'un autre ami, Laugero Joseph, em-ployé au Casino Municipal !

Il est inadmissible que Gioanm.employé depuis 25 ans, se soit prêtéen toute connaissance de cause, a unacte aussi grave !

La caisse était fermée, heureuse-ment pour le Receveur municipal, carrien ne prouve que le mandat n'eûtpas été payé. Le Receveur déclareaujourd'hui qu'il aurait refusé lemandat établi au nom d'un autre,peut-être, mais il eut beaucoup mieuxagi en suivant mes ordres.

Le lendemain, Gioanni qui avait en-fin réfléchi et compris toutes les con-séquences de cet acte, d'accord avecM. Boulingue, demandait instammentau Receveur de retirer le mandat àtout prix et Cambréa reçut, en échan-ge, 1.000 francs versés personnelle-ment par M. Boulingue, mais l'affai-re n'était pas étouffée, car le fameuxmandat était passé par d'autresmfcins.

Il y a donc trois coupables danscette affaire : le Receveur qui a reçuCambréa, a plaidé pour lui et enfreintmes ordres ; l'adjoint qui ne m'a pusécouté et qui a fait établir un man-dat irrégulier ; enfin l'employé quis'est prêté à la chose.

Je les al interrogés et confrontésdevant témoin» vendredi 17. Chacuna reconnu sa faute.

Je pensais que mon adjoint n'hési-terait pas un seul instant à démis-sionner. Devant son silence, je con-voquais le 20 courant, ô 18 heures,mes amis du Conseil et après exposede l'affaire, tous reconnurent la gra-vité du fait et demandèrent la dé-mUslon de M. Boulingue. • Celui-ciétait venu présenter sa défense de-vant nous, excipant de sa bonne foisurprise par un malheureux, et a dé-claré s'en remettre à notre jugement.

Mais, a la Délégation qui est alléelui faire part de la décision du Con-seil, à 20 heures. M. Boulingue aopposé un refus formel de démission-ner tant qu'il n'aurait paH réponduaux attaques dirigées contre lui. Sadéclaration ne nous a pas satisfaitsnous avons néanmoins convenu d'à1

tendre 48 heures encore avant cprendre une décision définitive et tn'est qu'après une ultime et inutiledémarche faite auprès de M. Bouiin-gue. le 22 janvier, a 17 heures, qu'enplein accord avec les membresConseil présents à ren réunions. J'aipris l'arrêté rapportant celui du 20mat 1935, relatif aux délégationsattribuées à M. Boulingue.

!>• Maire P NOUVEAU.

AvUà MM. les Hôteliers

et Restaurateurs

ront comprendre pourla chambre. U- petvice comprit.

fé, servie

.i héberger..•s qui part.tdes

a mars prochain, sont prit1* du s'ins-crire au plus tôt au niègv du Comité

Leurs prix dl'hébergementdéjeuner, If s

Pour les repas : nu-nu,compris

• Indiquer également le nombre d<

personnes qu'ils pourront héberKiT «•

nourrir.

Tes indications seront transmises

aux intéressés qui s'adresseront dira

term-nt à eux.

La Mort de S.M. George VLe Rotary Club de Cannes

à reçu le nouveau Bureaude la Chambre de Commerce des Alpes-Maritimes

En nous associant à et- deuilde la Maison Royale d'Angleter-re, nous rendons avec toute ladéférence que mérite le noble•iéfunt et sa famille un devoir,ieux et légitime.Si l'Histoire de Cannes a été

nssi brillante c'est, nous ne de-[)ii9 pas l'oublier, parce qu'un

lien s'est, quelque jour, établintre les représentants, parmi?a plus célèbres, d'une dynastie.iniversellement respectée et no-re cité, fière de les accueillir.

La Reine Victoria avait trou-vé dans notre région un aimablet réconfortant séjour, le Roi

Edouard VII, avant son règne,avait établi en notre ville sesquartiers d'hiver, son frère le")uc de Connaught, prit part àde nombreuses manifeset le Prince de Galles, qui

demain sous le nomd'Edouard VIII, avait obéi àcette attirance familiale.

A leur suite, nous avions euie privilège de recevoir les plushautes personnalités d'Outre-Manche.

Nous ne pouvons pas oublier,en effet, que Lord Wester We-myss est venu se reposer icijusqu'à son dernier souffle, re-cueilli par nous avec une respec-tueuse dévotion, des fatiguesd'une brillante carrière ; queLord Derby, citoyen d'honneurde la Ville de Cannes, était no-tre hôte, il y a quelques jours,•t a dû repartir pour répondreaux devoirs impérieux de sesfonctions ; que les plus noblesfamilles britanniques ont acquisdroit de cité sur la Côte d'Azur.

Depuis Lord Brougham, d'il-ustre mémoire jusqu'aux plus

humbles sujets d'Angleterre,nous avons connu le traitd'union qui a pu, en certainesoccasions, provoquer la dénomi-nation de * Cannes, Cité britan-nique ».

Et cette appellation nous ho-nore. Chaque année nous atten-dons avec impatience ceux, quidélaissant les brumes de Lon-dres ou d'autres villes, revien-nent pour nous prouver leur be-soin de soleil et de ciel bleu.

Il est donc bien permis de dé-clarer hautement que la popula-tion Cannoise s'incline aujour-d'hui avec émotion devant lecercueil de ce grand souverain.

Il est permis aussi de présen-ter à Sa Majesté la Reine-Mère,à S.M. le Roi Edouard VIII, àLeurs Altesses ses frères, à tou-te sa famille, nos condoléancesles plus respectueuses.

Mais si le Roi est mort, vivele Roi !

Au douloureux gl.-i.s tin rnril-

lon de Westminster, aux pleursd'une famille unie, aux regretsd'une foule inclinée, nous mê-lons aujourd'hui nos vœux debon avènement pour Celui, quiétait encore, il y a quelquesmois, un Prince familier et surlequel maintenant pèse la lour-de charge des attributs royaux.

Que son règne soit pacifiqueet brillant ! que les plus noblesexemples de sa famille dictentsa ligne de conduite ! Et qu'en-fin, à travers les soucis que ré-serve le pouvoir le mieux com-pris, Edouard VIII se souviennedu Prince de GaUes et de cetterive heureuse où sa jeunesse,encore dépourvue des préoccu-pations absorbantes, aimait àtrouver des h• •:- ' ' —

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ii .-1'Miiit-Angli-

Tiiylor, vice-con-ttàM. Johnil d'Angleterre

A l'issue de ces visites. MNouveau a «dressé le télégramvant :

Maire à Ait" •lirn.. \'ou< prie .. • •>ndo-

ville ( i

llefA St

ier, I.

O'autre part, voici le texte du télé-irammc -JUC ' r vire consul d'Angle-rrri- .i ii;tairt* (lu Fo-

• - • s d,

• plu,

<t de ce vice-f >

L U I 1 K 1 - A H 1 l ' I l . " k l i l ' I i : u \

A la nouvelle de la mort du souve-rain. IAÏTA et Lad y Derby, qui étaientarrivés le 4 janvier dernier, ont décidéd'abréger leur séjour à Cannes et derentrer a Ixmdres

La présence de l'ancien ambassa-deur de Grande-Bretagne à Paris etprésident du Comité France-Angleter-re, est, en effet, rendue indispensabledans la capitale anglaise en raison dela prochaine réunion de la Chambre•les Lords.

Sur le quai de la Rare, I-nrd l'erhy

M. L. I^uis-Dreyfiis, député de ("an-nés •Antilles, qui partait pour Paris,et qui lui a renouvelé ses condoléancespour le deuil qui frappe la nationbritan nique.

Xos hôtes lidéles ont pris le trainbleu et ont été salués, .à leur départ,par le Capt. C.unningham, représen-tant M. |ohu Gruy Taylor, vice-consul,

(

eux qui frappe la famille royal»- ete ruyaunn- uni de Cr.indt- Bretagne.

M. Henry Mouchet. préfet des Al«-. M,intimes a, éRalrment, rendu vi-

- K. 1-or.l IVrby. t-n sa villa

Aussitôt que la mort de S.M. GeV

.-dis de Cannes.

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tion du public jusqu'au jourdérouleront les funérailles de S.

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Alfred Martin,

ne il est de tra-• [.lu- . urdi.ile-.

• IL priM- .!-•

:n des organis-v ivants et les

la parole à M.C.imbert tint à1 , > ,],- ( u n i - . .

qur lou» k-.>le Rotary en(tour te grandFrance et teuii ii la l'amill.

.t mêlée à l'his

iniant les coumi.-: furrMisi-

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i.uqua-

luriltv

• • 1 < ! n

, ,ict au wui.-.

• 1. partie aux: li.ik-, il

111 mit1

. est là\t- d.• 1 onférencede plus en plus

... . .. .( «minière

défenseur1 . . u n . itx

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était triens •agrral.levoir desdeux prii

du litfctrnational^.ini-...!:.

n:iti<-

de !..le K..unir.

• . » t r e M Ho-

1 h.itnhrr de

M .n t : i:e, M.

1' M (. hs -

.le CommerceM préside aux

•:, ,• . s e

- M - t n -

; , j , , , . s de

a l'ans, i interprète et led un VILU demandant au

m m de t.,11. ..iiv r . - p r é s e n -

• -• u n e

,., ^ m!-• 1 O f -

1 tte fort intéressante• f.iinlH-Tt M- r é j o u i t d e

• : • L.lnptcr.

• n l i . d e

. Kota-,:i très

îens étrojts se créer entre lescipales villes de notre dépar-

" -T.irv Club depour être, en

-!r |;i conférencet t liauvu.^ du Kot.iry Inter-•t (Miursiiit .ntuelleineiit l'or-i - 1 . 1 • - j . . u n « ' < • > i u i . I I I K ' M C

'•l'-s aspects, au cours. .•-,.,,(,Ans et d'excur-

1 • • j . r o p r e -

" i.tUX

IV L , [ n t t - r -

nt. la situation

r,ipi>orts avec

.. r t..-ii^ et son ave-

C'e-.t la pour notre ville une oppor-tunité ple séjourtous lesplu» utilvue de 1

irticulièrement heureuse, etparmi nous de Kotartcns depavs aura certainement les•s conséquences au point di1 pn>p.iK.tn<le mondiale

Nous Minimes heureux de remercierW Cluba notrecadre à c

le Cannes d'avoir su assurerville l'honneur de servir rie•tte imposante manilestatioq

ÉCHOS ET MONDANITÉSBILLET DE LA SEMAINE

Dans la Lésion d'Honneur

M. le Docteur JouffrayC'est un Cannois que nous fêtons.

car It- l>' Paul Jouffray fut l'élèvebrillant de notre Institut Stanislas,iivant d'aller conquérir en la I acuitéîle Médetim- de Lyon, son diplôme deDoiteiir iuiompanné du titre, sutfi-sammi-nt diflicile j-ninr être souligné,il'Interne des Hôpitaux.

( nnqiiis par notre pays 011 il con-servait les plus puissantes attachesfamiliales, le \>' Joutfray vint séta-lilir coin me cliirurK>vii en 1008 et, piude ti-nips après, en uni, il devenaitCluruTKtL-n de l'Hôpital Civil.

A l.i Kwrri1. il u'.i 1'-'- «l'nMiK.itiiwislmilitaires.

élogieuses d:mtaires 1I11 im <

utile. Ildés le

M. Emile BoulingueM I'.mile Itoiilinnii. pirM<!.Tit du

Conseil d'Arrondissement et premieradjoint au Maire de Cannes, a étéfait chevalier en raison d>-< rtnmbtrîixservices rendus à dc-> •:faisanre, telles que l.i 'de St Vallier. dont Idateurs, en mdait la 1 .»M'"d, l'Avenir. ,de la Nation ,-i .mm

M. Thomas GarbièsM. 1 h.>lli. (-.r.,1 |i ,: , i . . • .. i

c i p a l d e Caiin-

valier de la I -

Mariage

nite de nos pronostics

Dans la Police

• " " " .

noustnen-est-à-

ju'ail-:;\

1 nti-» nto-

^ llttl-

f"'tir

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M Mrai .1d<- * ..:.

Ma/ametIle puis

délicatestence reition ii» «un n\ anipassé br

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lm-nréjoui» M

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le félicitons

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h Canne*, en

-.UU' 11 M-(,tJlt

ue justifie un

amis quin-, la régionn départ. •••

•>•«•. >lu bel avanced'obter

cordiir, dont nou>lement

élujoint.

L I

1 qui sous la Municipalitél<.iit il s'évade en nm par

• •r de la Légion

M. A. de Cesti

Le IK Paul Joutïray a d e m-unis à ( iitvient dêtr|ui iipprérij{etK<- e t s

J'ai plaisir

Ile-, l.,l .ll^t 111c tlOIl'dlijet rejouira ti

eut >a droiture, siin habileté profess

mld

us

on11

reuxnt ilceuxIitellelle.eux

KmTr.r,M.!! •

du 1V i c e p " ; • i ' 1 < ! • l ' I 1 f i

I11.I11 tt!< - lu l U t i m e n t d

.uiwtldt-i •ésidentment lie.Unt ilii

non de.s.des des

• r t ,-!-•

A l'InternationalSporting -Clubde Monte - Cario

1 .- deriiClub a esuccès l 1

' trappe Us trots a>uf-

• •'.{ fit* ' (Jue tair<• • l,-n\ mil, nert

• : nMre cœur .•1 d'un succès.

{iuttnd Hi-UA nous serons lamen-tés sur d'hypothétiques malheurs,1.,.;,v .tnmns tué le présent et

n notre inertie qui est.•'..r fatale de la dêses-

II faut lutter contre les ivén,

' hles et U

^ une leçon d'énergie avec•. Mi momie et puis lais-

M. de la Palisse disait : * IIn'y a rien à entreprendre contre ceque twus ne pouvons pas en%pè-clier. »

M. de la Palisse avait raisonmais on pourrait peut-être ajout* >« Sourions à l'inévitable. »