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La médiathèque proposait un très agréable conte musical pour les 2-5 ans dans la salle Gaston-Lachèvre le 19 avril. Petit à petit, c’était l’histoire de Lili qui aime la cuisine, les zanimaux petits ou grands, le ciel bleu, les rêves, les doudous… Zaza contait et manipulait des objets, Nico chantait et jouait de la guitare, de l’harmonica, de la guimbarde, du kazoo et de la fl ûte à nez. Après le spectacle, enfants et parents ont pu découvrir les objets et les instruments vus et entendus.Plus de photos sur la page Facebook de la Ville.

Les 22 et 23 avril, une machine à remonter le temps a ramené le quartier Jacques-Duclos en l’an mil. Avec le soutien de la Ville, l’association de quartier a permis aux habitants de vivre un moment au cœur d’un village viking fi dèlement reconstitué par les compagnons pour Hasting. Des ateliers artisanaux, des reconstitutions de scènes de la vie quotidienne et des pitreries de la compagnie SDF ont ponctué les journées. Retrouvez les photos sur la page Facebook de la Ville.

Comme chaque année, une délégation du comité de jumelage s’est rendue à Teltow (Allemagne) pour participer à la Fête du 1er Mai. L’occasion de visiter Potsdam, de rencontrer les autres villes jumelles de Teltow et de tenir un stand de produits régionaux dans un parc rempli de cerisiers en fl eurs où la célèbre Traban connaît toujours autant de succès. Un représentant du Front Polisario était également sur place. Retrouvez les photos sur la page Facebook de la Ville

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La médiathèque a organisé pendant les vacances d’avril une matinée pleine de surprises pour les enfants jusqu’à trois ans. Le thème du printemps a été décliné par les agents des différentes sections. Entre parcours de motricité, conte sur les grenouilles, chasse aux papillons et aux fl eurs dans les rayonnages et lectures en musique, les enfants se sont pris au jeu... Un moment de partage et de découverte apprécié de tous ! Plus de photos sur la page Facebook de la Ville.

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Gonfreville l’Orcher bénéfi ciera bientôt pleinement de son nouveau centre ville. D’ici peu les bâtiments abritant l’ancienne zone commerciale seront détruits pour laisser apparaître une place du

Colombier élargie, aérée et modernisée. Mais au-delà de cet aménagement, la municipalité se bat pour y maintenir et développer l’offre de services de proximité.Ce mot de “service” recouvre plusieurs signifi cations. Il y a d’abord les services purement commerciaux que nous avons tenu à conserver (supérette, distributeur de billets, boulangerie, pharmacie…) On y trouve également les services publics dont certains dépendent directement de la mairie comme le centre social ou le pôle santé inauguré en décembre dernier. Pour d’autres enfi n, nous sommes malheureusement dépendants du bon vouloir de décideurs extérieurs. C’est le cas avec La Poste qui a consenti à maintenir son bureau dans les futurs locaux. En revanche, notre commune ne dispose toujours pas d’un commissariat ni même d’ilotiers, malgré nos relances régulières. Vous êtes pourtant un certain nombre à interpeller régulièrement vos élus de quartier pour des problèmes de délinquance ou d’incivilités. Par ailleurs le travail que nous menons en commun au sein de la cellule de veille communale porte ses fruits en prévenant les confl its ou en évitant qu’ils ne dégénèrent. Idem avec le réseau de vidéo-protection étendu. La ville est même disposée à mettre à disposition de la police nationale un local ainsi qu’un véhicule !Quelle position tenir face à ce refus ? La municipalité doit-elle boycotter les réunions organisées par les services de l’Etat, comme elle l’a fait récemment pour obtenir que la police intervienne pour faire partir les gens du voyage installés illégalement sur notre territoire ? La question se pose. En tout état de cause, la rentabilité ou les restrictions budgétaires ne doivent jamais être des critères quand il s’agit d’assurer la tranquillité de nos concitoyens. Et sachez que vos élus continueront à se mobiliser pour que les Gonfrevillais bénéfi cient d’un accès à tous les services de proximité essentiels, sans exception.

Annonce des résultats locaux de l’élection présidentielle.

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Le 3 mai, le complexe sportif Maurice-Baquet recevait les jeux de l’UNSS (mélangeant épreuves d’athlétisme et handball) le matin et les fi nales départementales UNSS d’athlétisme l’après-midi. 160 jeunes issus de neuf collèges du département ont participé à différentes épreuves : sauts en hauteur et en longueur, courses de haies, lancer de poids.... Des collégiens de Gustave-Courbet étaient engagés mais n’ont pas réussi à se qualifi er pour les fi nales académiques.Retrouvez les photos sur la page Facebook de la Ville.

Le Désaxé, le Tridem, le Vélo Caddie ou encore le Mathy Bike ! Des noms étranges pour des vélos bizarres… En mai, les élèves du collège Gustave-Courbet ont pu essayer de drôles de véhicules imaginés et fabriqués durant l’année par les élèves de l’atelier métallerie de la 3ème Segpa avec l’aide de leur professeur Xavier Miloux. Des heures de travail de découpe, de soudure et surtout d’ingéniosité ont été nécessaires pour créer ces quatre vélos, issus de récup’. Sélectionnés grâce à un quiz sur le thème du vélo, les élèves d’une dizaine de classes ont pu tester la solidité, la maniabilité et l’équilibre de ces engins improbables. Cascades et rigolades étaient incontournables !Voir plus de photos sur la page Facebook de la Ville et des infos sur le projet sur le blog municipal www.jeunesgonfrevillais.fr.

Résultats locaux de l’élection présidentielleFormation : prévention et secours

Préparer le quartier de demain

Le Tout Petit Théâtre : Gilles AdamLes galas de l’École municipale de danses

Photo de Une : Avec le collectif Urbs !, les résidentes de l’EHPADLes Charmettes participent aussi à la préparation de la fête du quartier en créant des fanions.

Directeur de la publication Jean-Paul LecoqCoordination Carole Meunier

Rédacteurs en chef Pascal Coléet Stéphanie Pouteau-Debris

Conception graphique Sabine TurpinOnt collaboré à ce numéro Eddy Lejeune,

Romuald Malandainet Sylvestre Hautot (Atelier d’Impression)

et Alicia Rose, Stéphane Tigharghar, Tao Grammont, Gaël Pasquier (photographes) et Jason Grönert (pigiste)

Nombre d’exemplaires 4500Distribution ESAT de l’Estuaire

Numéro de Commission paritaire 41 770Rédaction, photographies, montage PAO

et impression Service Communicationde la Ville de Gonfreville l’Orcher

Tél. 02 35 13 18 95 et 02 35 13 18 38Courriel [email protected].

Insertion : dispositif Garantie JeunesAide : consommer moins d’eau

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Maxime Fouineau, 16 ans, enchaîne les compétitions de mini-bolides depuis qu’il s’est inscrit au club gonfrevillais (MBGO) il y a quatre ans. Mi-mai, il a remporté la troisième manche du

championnat de France organisée à domicile.

“Maxime est un peu trop fougueux, il n’écoute pas assez les conseils qu’on lui donne, annonce d’emblée le président du club de mini-bolides, Jean-Luc Cavé. Mais c’est un bon pilote, un battant, je veux en faire un champion.” Voilà qui vient rassurer Maxime Fouineau. Cette passion pour la course de voitures radio-commandées semble être héréditaire chez le jeune havrais. “C’est grâce à mon père que je pilote aujourd’hui des mini-bolides. C’était un pilote également.” Ce qui n’était au départ qu’un loisir s’est avéré être un véritable sport depuis son inscription, il y a quatre ans, au MBGO. Maxime fait partie des cinquante licenciés, âgés de treize à cinquante-deux ans, que compte le club. “Le fait d’évoluer avec des pilotes expérimentés est très positif, c’est important pour progresser. J’ai reçu des conseils sur le mental, un aspect qui compte beaucoup avant une grande compétition. C’est un échange, ça marche dans les deux sens.”

Des similitudes avec la Formule 1Champion de Ligue de Normandie, le jeune pilote consacre beaucoup d’énergie dans sa passion qui demande un minimum d’entretien. Le matériel est assez coûteux, il faut tout d’abord investir dans une voiture, mais aussi se procurer les différentes pièces, les huiles, les pneus, etc. L’aspect mécanique lui a été transmis par son père, mais aujourd’hui il est complètement autonome quand il a besoin de réparer, entretenir ou améliorer sa voiture. En effet, c’est une course automobile, mais c’est aussi un sport mécanique à l’instar de la Formule 1 ou du Grand Prix moto (MotoGP).

Les amateurs ont pu s’en rendre compte lors de la troisième manche du championnat de France qui se tenait à Gonfreville l’Orcher les 13 et 14 mai. Le jeune homme s’est offert la pole position ainsi que la victoire dans la catégorie 4X2 Promotion. “On peut constater des similitudes en ce qui concerne la technique, les réglages et même l’instinct du pilote.” Maxime nous confi e qu’une des clés de la réussite c’est “de bien négocier les virages”. Évoluant dans la catégorie 4x2 Promo, comprenez deux roues motrices avec moteur imposé, le jeune havrais a pour objectif de courir dans la catégorie 4x2 Open (moteur libre) qui lui permettra d’aller encore plus vite sur la piste. “Je suis un compétiteur, j’aime défi er les autres pilotes.”D’ailleurs, il est déconseillé de défi er Maxime sur moquette, c’est la surface où il est le plus à l’aise ! Les compétitions de mini-bolides se déroulent dans un temps imparti de cinq minutes durant lesquelles les pilotes doivent assurer un maximum de tours à l’aide de leur voiture modèle réduit. Ces courses se déroulent un peu partout en France, ce qui a permis à Maxime de visiter quelques villes comme Lille, Vierzon ou encore Neuville-de-Poitou.

Maxime est admiratif du Français Renaud Savoya, pilote professionnel de voiture radio-commandée, trois fois champion d’Europe (2008, 2009 et 2010) dans la discipline 1/8ème Tout terrain. Maxime garde tout de même la tête sur les épaules. “Je suis passionné, mais je ne souhaite pas aller trop loin dans cette discipline pour ne pas perdre les valeurs de ce sport.”Avant de conclure l’interview, Maxime invite tout le monde à venir essayer le pilotage des mini-bolides et tient à remercier la ville de Gonfreville l’Orcher qui fait “beaucoup d’efforts pour cette discipline”, notamment en permettant l’installation d’une piste de qualité dans le complexe sportif Maurice-Baquet, mais aussi le MGBO, “une bonne école pour apprendre”.

Jason Grönert

Le premier tour des élections législatives est fi xé au 11 juin. Le second tour se déroulera le 18 juin.

Si vous êtes absent le jour de l’élection, vous pouvez vous faire représenter par un électeur de votre choix s’il est inscrit dans la commune. La démarche doit se faire auprès du commissariat, de la gendarmerie ou du tribunal d’instance le plus tôt possible pour tenir compte des délais d’acheminement et de traitement de la procuration. Le mandataire ne recevra aucun document. C’est à vous de le prévenir. Le mandataire devra se présenter dans votre bureau de vote muni de ses papiers d’identité.

Inscrits : 6 625Votants : 5 089 (76,82%)Exprimés : 5 010 (98,45%)Nuls : 10 (0,15%)Blancs : 69 (1,36%)Abstentions : 1 536 (23,18%)

Nicolas Dupont-Aignan : 154 (3,07%)Marine Le Pen : 1461 (29,16%)Emmanuel Macron : 524 (10,46%)Benoît Hamon : 121 (2,42%)Nathalie Arthaud : 29 (0,58%)Philippe Poutou : 61 (1,22%)Jacques Cheminade : 6 (0,12%)Jean Lassalle : 16 (0,32%)Jean-Luc Mélenchon : 2330 (46,51%)François Asselineau : 36 (0,72%)François Fillon : 272 (5,43%)

Dix bureaux de vote sont mis en place à Gonfreville l’Orcher. Ils sont situés dans la salle du conseil municipal, dans les écoles Turgauville, Arthur-Fleury, Jean-Jaurès, Langevin-Wallon, primaire de Gournay-en-Caux ainsi que dans la salle des fêtes de la mairie et au Clec.Avant de vous déplacer, prenez bien le temps de vérifi er le numéro et l’adresse du bureau de vote qui fi gurent sur votre carte d’électeur.

Attention, contrairement à l’élection présidentielle, les bureaux de vote seront ouverts de 8h à 18h sans interruption.Si vous voulez participer au dépouillement, il suffi t de le préciser quand vous irez voter.Le bureau centralisateur est situé dans la salle du conseil municipal. C’est là que sont publiquement proclamés les résultats.

Inscrits : 6 619Votants : 4 534 (68,50%)Exprimés : 3 792 (83,63%)Nuls : 176 (2,66%)Blancs : 566 (12,48%)Abstentions : 2 085 (31,50%)Emmanuel Macron : 1 629 (42,96%) Marine Le Pen : 2 163 (57,04%)

Emmanuel Macron est le nouveau président de la République pour cinq années. Voici les résultats obtenus

dans la commune par tous les candidats au premier et au second tour les 23 avril et 7 mai 2017.

Cette année, 100 étudiants au total rejoindront les effectifs de la mairie (53 en juillet, 47 en août). Par ces embauches estivales, la municipalité gonfrevillaise souhaite donner un véritable coup de pouce fi nancier aux Gonfrevillais inscrits en études supérieures, en plus de la bourse d’aide communale, versée sans condition de ressources, en début d’année scolaire. “Nous souhaitons vous donner la chance de travailler dans de bonnes conditions à la mairie et ainsi vous offrir une expérience dans le service public. Nous avons fait le choix de retenir toutes les candidatures, a souligné le maire lors de la réunion d’accueil.

Le 29 avril, la municipalité organisait une réunion avec les étudiants gonfrevillais retenus pour travailler cet été dans les

services municipaux.

En remplissant ces diverses missions dans nos services, vous vous rendrez compte du travail fourni au quotidien par nos équipes et de l’utilité du service public pour les administrés.”Après une présentation de la ville, des services municipaux et des différents métiers, le maire

a procédé à la répartition des postes. Chaque jeune a pu se porter volontaire pour le poste de son choix. Avantage était donné aux étudiants travaillant pour la première fois à la mairie cette année. Puis le tirage au sort a fait le reste.

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Le réseau des monnaies locales complémentaires et citoyennes (MLCC) tenait sa 14ème rencontre nationale à

Gonfreville l’Orcher du 14 au 17 avril.

Installés dans le centre d’hébergement, les représentants des diverses monnaies locales, parmi lesquelles Le Grain, ont notamment débattu sur l’évolution parfois problématique des monnaies alternatives. En effet, depuis 2014, quelques projets naissants vont à l’encontre des valeurs initiales portées par de forts engagements locaux et citoyens. Les nouvelles venues sont critiquées sur leurs orientations

économiques et leur gouvernance autocratique. Ainsi, l’entreprise Coopek SA qui propose une monnaie uniquement numérique sans aucune concertation avec les monnaies existantes. La critique visait également la “monnaie unique” voulue par le Conseil régional de Normandie qui est suspecté de vouloir supplanter les initiatives citoyennes en cours. Le réseau des MLCC a donc dénoncé des méthodes qui tentent d’aspirer la force vive des monnaies locales pour détourner l’appropriation citoyenne qui en est le moteur. Le 5 mai, l’assemblée générale de l’association Le Grain a confi rmé son refus de voir la monnaie locale se dissoudre dans une monnaie régionale.

Du 8 au 15 avril, dix jeunes gonfevillais participaient à un séjour éco-citoyen à Magland.

La Ville porte régulièrement des projets qui permettent à des jeunes de s’engager volontairement dans des actions utiles (bricolage, nettoyage de la nature, petits travaux d’entretien..). Ponctués par des loisirs, ces moments favorisent l’entraide, le don de soi, l’esprit d’équipe qui trouvent des prolongements positifs au retour dans la vie quotidienne.

Une délégation du comité de jumelage s’est rendue dans le désert algérien du 16 au 25 avril.

Après les inondations de 2015, le camp de réfugiés sahraouis de J’Réfi a reprend vie. La population a reconstruit les habitations en utilisant un enduit en ciment qui évite les infi ltrations d’eau. Les écoles ont été refaites. Les cours se font dans des classes et non plus sous tentes. C’était un engagement du ministre sahraoui de l’Education. Grande nouveauté, chaque maison est à présent reliée au réseau électrique. Ce qui apporte un peu de confort lors des fortes chaleurs, notamment avec l’apparition de réfrigérateurs et de climatiseurs. Reste à connecter les bâtiments administratifs et les écoles. L’apprentissage du français se poursuit en primaire. La classe dirigée par Mohamed Lamin

a reconduit un cycle pour trois ans avec 13 élèves. La délégation a également rencontré les familles qui confi eront leurs enfants durant les vacances d’été. Dix enfants, quatre fi lles et six garçons âgés de 9 à

12 ans, arriveront le 25 juillet à Gonfreville l’Orcher avant de partir à la colonie de vacances de Magland du 31 juillet au 21 août. Ils repartiront dans leur famille le 25 août.

Dans le cadre de la dynamique engagée sur le développement durable, la municipalité a choisi de renouveler

petit à petit son parc automobile pour tendre vers l’électrique.

Le parc de véhicules municipaux étant vieillissant, de nombreux achats ont été programmés depuis l’année dernière. La volonté municipale est de continuer à privilégier les énergies renouvelables.Ainsi, en 2016, quatre voitures hybrides, un véhicule utilitaire électrique et cinq voitures 100%

électriques ont été achetées en remplacement de véhicules diesel. Cette année, l’investissement va se poursuivre avec l’achat de cinq nouvelles voitures électriques, un véhicule hybride ainsi que deux vélos électriques. Au total, ces véhicules propres représentent près d’un tiers du parc automobile municipal.Pour 2017, le budget consacré s’élève à 190 000€. La Ville devrait bénéfi cier d’aides fi nancières de la Région et de l’Etat pour cet investissement et l’achat de bornes de recharge en interne.

Eclairer moins, mieux et de façon raisonnée, c’est l’axe qui guide la réfection de l’éclairage public en cours.

Pour réduire la pollution lumineuse, améliorer le confort visuel et faire des économies d’énergie, la Ville va se doter d’armoires électriques “intelligentes” et installer des ampoules-Leds. Les premières peuvent réguler la puissance lumineuse selon les moments et les besoins. Les secondes consommeront moins en offrant une meilleure qualité d’éclairage et une durée de vie plus longue. En plus de son impact économique, ce dispositif aura un effet écologique en respectant notamment les habitudes des chauves-souris, animaux chasseurs d’insectes et particulièrement de moustiques…Fin des travaux octobre 2017. Coût : 873 400€ qui permettront de réaliser 30% d’économies par an sur la facture d’éclairage public. La première phase concerne les avenues Jacques-Eberhard et Charles-de-Gaulle.

Les rendez-vous proposés par la Ville dans le cadre de Ticket vacances sont toujours très enrichissants.

A l’occasion des vacances d’avril, les deux semaines ont additionné sorties (pêche, patinoire, vélo, accrobranche…), soirées, sports, cuisine, secourisme… Un atelier a également mêlé arts plastiques et histoire contemporaine en réalisant un portrait de Nelson Mandela, militant anti-apartheid devenu président de l’Afrique du Sud entre 1994 et 1999 à qui la commune a dédié une promenade au Chemin-Vert. Encadrés par Miguel do Amaral, peintre muraliste havrais co-fondateur du collectif Les Amarts, les jeunes ont travaillé à partir d’une photographie connue. La réalisation très colorée sera installée cet été sur un mur du local jeunes du centre, rejoignant ainsi d’autres productions réalisées avec le concours d’artistes locaux.

Du 31 mars au 5 avril, deux jeunes gonfrevillaises ont participé à un voyage de mémoire en partie fi nancé

par la Ville. Elles ont découvert des camps de travail et de concentration en Allemagne.

Tous les ans, l’association Buchenwald, Dora et Kommandos organise une visite des camps de concentration allemands pour une cinquantaine de jeunes seinomarins. Cette année, Lisa Delamare et Margot Galopin, élèves de 3ème à Gustave-Courbet, faisaient partie du voyage de mémoire.Les jeunes fi lles ont donc découvert les camps de travail de Dora et d’Ellrich ainsi que le tristement célèbre camp de concentration de Buchenwald. Entre 1937 et 1945, 250 000 personnes, de plus de trente nationalités, ont été déportées à Buchenwald. Plus de 56 000 déportés y ont laissé

leur vie. “Ce qui m’a le plus impressionnée, ce sont les fours crématoires, retient Margot. Il y avait une atmosphère bizarre, un silence et une froideur dérangeante. Je ne m’y suis pas sentie à l’aise, j’avais mal au ventre…”Lisa a été marquée par les conditions de travail inhumaines des détenus dans le camp Dora. “Ils travaillaient dans une usine souterraine, un long tunnel sombre et très humide, pour fabriquer des missiles. Ils y restaient jour et nuit pendant des mois”, explique Lisa.Cette année, la cérémonie du 8 mai a eu une résonnance particulière pour les deux jeunes fi lles, présentes au Monument aux morts, aux côtés des anciens combattants et des élus municipaux. “Ce voyage est important pour se souvenir. C’est incroyable qu’aujourd’hui des gens nient encore ce qu’il s’est passé dans les camps.”

Le 72ème anniversaire de la Victoire contre le nazisme était commémoré le lundi 8 mai par les élus municipaux et les associations d’anciens combattants.

Après un moment de recueillement devant la tombe des soldats britanniques dans le cimetière de Gournay-en-Caux, la cérémonie offi cielle s’est ensuite tenue devant le Monument aux Morts au centre ville.

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Adem Raho-Moussa, 7 chemin de la Courte-Côte, le 6 avril à Montivilliers • Sohane Le Balanger, 3 route d’Orcher, le 14 avril à Montivilliers • Horlane Leroux, 15 rue Marcel-Cachin, le 17 avril au Havre

Jean-Jacques Saupé, 46 rue Frédéric-Joliot-Curie, le 31 mars, 49 ans • Nicole Paumier veuve Ledoux, 32 quai Bellot, le 5 avril, 79 ans • Angelo Pacoric, 5 route d’Orcher, le 9 avril, 78 ans • Michel Levasseur, 26 rue Frédéric-Joliot-Curie, le 16 avril, 89 ans • Raymonde Tasserie épouse Chapelle, 30 rue Frédéric-Joliot-Curie, le 19 avril, 86 ans • André Bunel, 95 avenue Marcel-Le-Mignot, le 21 avril, 79 ans • Ghislaine Drouet, 15 rue des Corderies, le 25 avril, 62 ans • Denise Decaens, 4 bis allée Henri-Barbusse, le 5 mai, 88 ans.

Le 18 avril, le Point Information Jeunesse (PIJ) a organisé une journée de formation au certifi cat “Prévention et Secours Civiques de niveau 1”.

Thierry Gironi, formateur de la Société nationale de sauvetage en mer, a présenté les bases du secourisme à la dizaine de personnes présentes (jeunes, membres d’associations et animateurs) à la session fi nancée par la Ville. Au programme, les bons gestes pour stopper une hémorragie, gérer l’inconscience, mettre en position latérale de sécurité, utiliser un défi brillateur… La formation a commencé par un apport théorique avant de passer à des mises en situation. L’objectif est de “permettre à des Gonfrevillais d’avoir une action civique, et de savoir réagir si une personne est dans le besoin”, explique Cyrille Flaman, animateur au PIJ. Des attestations Prévention et Secours Civiques de niveau 1 ont été délivrées aux participants.

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Whitney Bouetle 6 mai

Le 21 avril, le PIJ de Gonfreville l’Orcher organisait une journée d’informations sur les emplois saisonniers. Plusieurs partenaires étaient présents pour orienter les démarches : la Mission Locale, le Pôle Emploi,

le Pôle d’Insertion-Fodeno. Ainsi, les jeunes ont pu bénéfi cier de conseils à la fois sur la rédaction de CV et lettre de motivation, sur la préparation aux entretiens d’embauche, sur les secteurs d’activités qui recrutent pendant l’été. En juin, il n’est pas encore trop tard pour faire ces démarches. N’hésitez pas à aller consulter la sélection d’offres d’emplois saisonniers, repérés par le PIJ et à demander le guide Trouver un job - Normandie 2017.Le PIJ se situe au 2 rue Maurice-Thorez. Tél : 02 35 13 18 27.

Du 16 au 23 avril, 24 jeunes gonfrevillais ont représenté l’ESMGO Echecs au championnat de France jeunes à

Belfort. Une expérience riche et inoubliable.

Pendant huit jours, Belfort a accueilli 1449 joueurs, battant ainsi le record de participants détenu l’an dernier par Gonfreville l’Orcher. Deux Gonfrevillais ont atteint le podium. Lola Bureau Leroyer termine 4ème dans la catégorie Junior fi lles et Sami Faidi se classe 5ème dans l’Open des plus jeunes pour la plus grande joie de leurs entraîneurs Hervé Lefebvre et Stéphane Vaugeois.En marge de la compétition était organisée une partie simultanée avec Anatoly Karpov, le parrain prestigieux de ce championnat de France.Trois jeunes du club Orcher la Tour ont eu la chance de jouer avec cette légende de

l’échiquier : Thibault Désert, Mathys Vaugeois et Elisa Herouard (de gauche à droite). Un souvenir inoubliable !

Organisées par le service municipal des Sports dans le complexe Maurice-Baquet, les Foulées scolaires 2017 ont

réuni 592 élèves issus de 30 classes le 28 avril.

Chaudement encouragés par leurs camarades, leurs enseignants et leurs parents, les jeunes sportifs ont mis de l’ambiance sur la piste et autour. La Ville et l’OMS ont remis un beau lot de

médailles et de coupes. Les récompenses allaient aux cinq premiers de chaque catégorie, du CP au CM2, fi lles et garçons. La coupe de la meilleure classe a été remise à celle de Thierry Rodange (CM1-CM2 Arthur-Fleury). L’école Arthur-Fleury obtient par ailleurs la coupe de la meilleure école. Le challenge du nombre de participants est allé à l’école Jacques-Eberhard.

Chaque année, la Fédération française d’athlétisme (FFA) honore des clubs méritants. Le 17 avril, l’ESMGO

Athlétisme a reçu son trophée.

Retenu pour son engagement sportif depuis 56 ans, le club labellisé or et argent dans les domaines de la formation, des loisirs, de la santé et de la compétition, l’ESMGO partage avec une douzaine de clubs de métropole et d’outre-mer les distinctions de la FFA.Marc Guérin, président de l’ESMGO Athlétisme a ramené le trophée 2016 d’Amiens, où se tenait le congrès de la FFA, avec une grande satisfaction. “Le président de la FFA a également voulu saluer les efforts de la Ville qui a consacré 350 000€ à la rénovation des installations. Un investissement qui devient rare en Normandie.” Une reconnaissance nationale sans précédent que Marc Guérin a dédié à Michel Horion, à Danielle Le Moal et à Jacques Mérien.

immeubles que sur les espaces extérieurs. Entre réunions publiques à l’Espace culturel de la Pointe de Caux, déambulations et ateliers, les choses ont bien évolué en s’inspirant de la concertation qui avait déjà prévalu pour la rénovation du quartier Teltow/1erMai/Elsa-Triolet.

Comme le quartier “d’en face”, le quartier Barbusse/Hugo/France présente les nombreux atouts d’un cœur de ville. Il est proche de la médiathèque, de la salle de spectacles, des commerces, du centre social, de la mairie...

Evidemment, il est indispensable que les familles s’y sentent bien. La réfl exion a donc été continuellement participative. Le diagnostic s’est fait en marchant et des animations joyeuses ont mis de l’huile dans les rouages. Les moments festifs (fête de la musique 2014 avec l’école municipale de musiques et le “Jeudi de l’été” qui avait suivi) avaient été des succès.La Ville, en lien avec les ateliers Santé ville de la Codah a également proposé des échanges sur le bruit et l’environnement pour améliorer les rapports de voisinage.

Depuis 2009, la rénovation du quartier Henri-Barbusse/Victor-Hugo/Anatole-France est dans toutes les têtes. Dans

et autour des immeubles, élus, bailleur et habitants dessinent les contours d’un nouvel environnement avec le renfort d’interventions artistiques.

On se souvient des premières rencontres, parfois animées, où les habitants listaient leurs récriminations et avançaient leurs propositions à propos des aménagements à apporter tant sur les

L’idée est d’aménager le quartier d’aujourd’hui tout en pensant à celui de demain. Ce “demain”, ce sont les enfants qui l’incarnent évidemment. C’est pourquoi la Ville a invité des artistes à encadrer des ateliers dans l’école Jean-Jaurès. Avec le concours de la plasticienne Claire Le Breton et l’atelier Bois de l’Agies, des écoliers ont construit une maquette de quartier idéal imaginaire. Les réalisateurs Jean-Marie Châtelier et Christophe Le Forestier ont monté des fi lms documentaires ou poétiques qui ont été diffusés pendant le festival de cinéma Du grain à démoudre. Des adultes sont également venus raconter des anecdotes sur le quartier aux enfants. Suite à une belle mise en couleurs du quartier, une association, Peinture et compagnie, a par ailleurs pris possession d’un local rassembleur pour proposer des activités artistiques et de loisirs.

Parallèlement, ça bouge sur le terrain. Habitat 76 a nettoyé les façades. La Ville a créé de nouvelles places de parking, un kiosque a été installé pour permettre aux jeunes de se rassembler sans gêner le voisinage, une placette a été réaménagée provisoirement avec l’installation d’un terrain de pétanque, l’accès aux garages de la rue Victor-Hugo a été modifi é, une chicane a permis de limiter la vitesse sur la rue Pierre-Glénisson… Bien sûr, ce genre de changement ne va jamais assez vite selon les uns. Mais un tel chantier ne s’improvise pas et ne se réalise pas en un mois.

Pour passer de la “fi ction” à la réalité, les architectes du collectif URBS ! (nom latin désignant une ville dans l’Antiquité) sont à pied d’œuvre depuis 2015. En organisant des déambulations collectives, en faisant du porte

à porte ou lors d’ateliers animés autour de maquettes du quartier, ils ont croisé les points de vue des habitants pour les faire fi gurer dans un cahier de préconisations qui a été remis aux élus et au bailleur Habitat 76 en mai 2015. Une soirée théâtralisée par la compagnie Les Improbables a exprimé très librement les demandes. Si tous les désirs, aussi sympathiques soient-ils, ne pourront pas être retenus (l’ensoleillement du quartier n’étant pas par exemple une compétence de la municipalité…), la concertation fonctionne et se poursuit.

En 2017, le collectif URBS ! (dite “compagnie de terrain, enchanteur des possibles”…) a répondu à un nouvel appel d’offre de la mairie pour accompagner les habitants dans la réfl exion concernant l’aménagement durable de la placette située derrière les immeubles Victor-Hugo et Anatole-France. Cela passe par des ateliers qui préparent l’événement du samedi 1er juillet appelé Troc et Puce. Ceux-ci sont destinés aux classes primaires de l’école Jean-Jaurès, aux adhérent-e-s de l’Agies et de Peinture et compagnie, aux habitué-e-s du local Jeunes et globalement à tous les habitant-e-s. Depuis mai, de curieux vélos désossés laissent des “traces” sur les sols et les murs pendant que des personnes âgées découpent et cousent des fanions qui pavoiseront la placette. Des tressages et des installations confectionnées par les écoliers serviront de signalétique.

Mais, n’en disons pas plus pour ne pas tout dévoiler. Ce qui est certain, c’est que le rendez-vous sera original, joyeux, convivial et donnera le top départ d’un nouvel échange sur l’aménagement des espaces extérieurs.

Dans l’Ehpad Les Charmettes, un atelier prépare des fanions qui fl otteront sur la fête.

Des objets du quotidien sont utilisés pour créer des visuels originaux.

Ouverts à tous et notamment aux habitué-e-s du local jeunes du centre qui, dans leur élan, ont également créé un bel orifl amme.

en lien avec le service Jeunesse

dans le garage prêté par Habitat 76, situé derrière la salle de spectacle de l’ECPC.

en lien avec l’Agies, dans le garage situéderrière la salle de spectacle de l’ECPC.

installation de structures temporaires à partir de grands tapis en plastique.

en lien avec l’association Peinture et compagnie dans le cadre des Jeudis de l’été

Cékoi ? Une fête de quartier et un vide-greniers fait de trocs et de puces, sur un lieu revisité par les habitants, jeunes et moins jeunes, orchestrés par les artistes, paysagistes, et architectes du collectif URBS! L’installation collective détourne la fonction usuelle de différents objets et invite à une réfl exion sur la notion de territoire, sur la place de chacun dans l’espace public. Vous y verrez de nombreuses animations et interventions artistiques parmi lesquelles la réalisation d’une fresque sur les grilles de l’Ehpad et de la RPA par l’Atelier Kiosque et des habitants du quartier ainsi qu’un spectacle de la compagnie Artgonotes… Suivez les affi ches confectionnées par l’association Peinture et Compagnie et les enfants du quartier à partir d’objets récupérés.Infos et inscriptions au Troc et puce avant le 27 juin au 06 33 23 65 21.

Chaque membre de URBS ! dispose d’une adresse mail personnelle pour échanger avec les partenaires des ateliers dont ils sont référents.

N’hésitez pas à les contacter :[email protected]@gmail.com

[email protected]@[email protected]@gmail.com

Après des séances prometteuses en avril et en mai, les ateliers se poursuivent avec le local jeunes du centre, l’Ehpad Les Charmettes, l’école Jean-Jaurès et l’Agies en vue du Troc et Puce du samedi 1er juillet qui lancera de nouveaux rendez-vous d’échanges.

Une large majorité de Français et une écrasante majorité de Gonfrevillais ont exprimé, lors de l’élection présidentielle, leur colère face aux

mêmes politiques conduites depuis plus de 15 ans à la tête du pays.En colère quand ceux qui ont déjà trop en veulent toujours d’avantage.En colère quand la grande majorité des gens doit se partager la misère et la pénurie.En colère quand ses enfants risquent de vivre moins bien que leurs parents.En colère quand on doit tout payer y compris pour se soigner.En colère contre les injustices produites par une société qui n’a jamais été aussi riche.Ignorant visiblement le message, le nouveau Président de la République a confi rmé, par la composition de son gouvernement et ses premières annonces, qu’il poursuivra ces mêmes politiques : plus de liberté pour ceux qui s’accaparent les richesses et de nouveaux efforts pour tout le reste de la population.Il change les visages mais maintient le cap, relooker n’est pas changer. Il mise ainsi sur la résignation, répondons-lui par la mobilisation !

Abasourdies par les résultats des élections présidentielles de notre commune, un rapide coup d’œil vers les résultats de nos proches

voisines et nous voilà atterrées. 57% des votes exprimés sont allés à un parti d’extrême droite.On peut comprendre le ressentiment, la frustration de nos concitoyens et la désorientation provoquée par un choix cornélien mais on ne peut pas admettre un vote aussi radical. On nous explique que cela n’est pas aussi alarmant, que l’on connait bien les Gonfrevillais et que ce résultat n’est que l’expression d’une colère, pas si sûr… D’autres communes avaient massivement votées pour les Insoumis (Le Havre, Harfl eur,…) mais n’ont pas pour autant reportées leurs voix vers le vote bleu Marine, malgré tout.Qu’envoyons-nous comme message à nos communes jumelées ? Aux Allemands, aux Sahraouis… Alors pourquoi sommes-nous dans cette situation ? Nous croyons qu’il est temps de se poser les bonnes questions et de ne pas cacher les problèmes sous le tapis afi n d’éviter d’éventuelles confrontations. OUI, le vote Front National progresse à chaque élection dans notre ville, NON, ce n’est pas uniquement une manifestation de colère car faire ce vote n’est pas anodin. On ne met pas volontairement ce type de bulletin dans l’enveloppe quand on est un démocrate averti. Il va falloir rappeler l’Histoire, faire de la pédagogie, expliquer et rappeler que nous sommes une commune pour la Paix, ne pas banaliser certaines idées et paroles, replacer le débat politique dans le respect de nos institutions. Même si combattre l’injustice et le désespoir est diffi cile, il ne faut surtout pas succomber à la haine et se tromper de discours.

P. Labbé, C. Nordet

La nomination du premier magistrat du Havre à Matignon est un joli clin d’oeil à la cité océane qui fêtera les cinq cents ans de sa création à

partir de ce mois de mai. Cependant les 48h qui ont suivi sa prise de poste à consulter afi n de constituer l’équipe gouvernementale ne sont pas sans rappeler l’attente des journalistes et des Français de la sélection nationale de football avant une grande compétition internationale tel qu’un euro ou un mondial. Ainsi la liste doit être l’amalgame entre l’expérience, la compétence, la jeunesse mais aussi et surtout la probité. En effet la volonté de moralisation de la vie politique, vu l’actualité récente, est un préalable valable tant pour les élus que pour les sportifs qui se doivent d’être irréprochables pour être force d’exemples tant pour les citoyens que pour notre jeunesse.

La Garantie Jeunes s’adresse aux 16-25 ans, diplômés ou non, qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni en études, et dont les ressources ne dépassent pas le plafond du RSA. “Ce dispositif a pour but de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes en multipliant les expériences en entreprises. Il peut s’agir de visites d’entreprises, de rencontres professionnelles, de stages, de contrats en alternance, de contrats aidés et d’emploi, souligne Hugo Usai, conseiller Mission locale référent du dispositif sur le secteur de Gonfreville l’Orcher. L’objectif est d’amener le jeune sur le chemin de l’autonomie, que ce soit dans sa recherche d’emploi ou dans sa vie quotidienne.”L’accompagnement dure un an. “La première étape est l’atelier collectif. Pendant quatre semaines, à raison de 35 heures hebdomadaires, un groupe d’une quinzaine de jeunes est constitué pour travailler sur des compétences clés : révisions

Après une phase d’expérimentation, le dispositif d’Etat appelé Garantie Jeunes est généralisé sur tout le territoire

depuis le début de l’année. La Mission locale est chargée de le mettre en œuvre.

des savoirs de base (maths, français), techniques de recherche d’emplois, culture professionnelle, gestion d’un budget, démarches administratives… Ensuite, il s’agit d’enchaîner sur une mise en situation professionnelle, entre deux et quatre semaines, afi n de découvrir un métier, une entreprise…” En parallèle, le conseiller Mission locale suit chaque mois individuellement chaque jeune pour préciser son parcours, résoudre les éventuelles diffi cultés, appuyer les recherches d’emploi ou de formation…En échange de son engagement à temps complet, le jeune perçoit une allocation de ressources

mensuelle (soit 472,37€) pour faciliter ses démarches d’accès à l’emploi. “Cette aide fi nancière est cumulable avec les ressources d’activité tant qu’elles ne dépassent pas un montant de 300€ nets par mois. Au-delà, l’aide est dégressive. Elle peut aussi être suspendue si le jeune ne respecte par l’engagement de départ. Dès lors qu’il entre dans le dispositif, il s’engage à s’investir pleinement, à suivre un accompagnement personnalisé, à rechercher des opportunités d’emploi et à accepter les mises en situation professionnelle, ainsi qu’à déclarer chaque mois ses ressources d’activité.”

Dolorès Guérin est la nouvelle conseillère en insertion sociale et professionnelle de l’antenne gonfrevillaise de la Mission locale.

Elle accompagne les jeunes (16-25 ans) dans leurs démarches d’accès à une formation qualifi ante et/ou à l’emploi. Elle est présente à Gonfreville l’Orcher le mardi toute la journée et le mercredi après-midi.

Pendant l’été, si vous avez envie de prendre le large par vos propres moyens, la municipalité peut participer à votre projet par le biais de

la bourse d’aide aux projets. Il s’agit d’une aide fi nancière (jusqu’à 300€ par personne). Pour en bénéfi cier, il faut être Gonfrevillais et avoir entre 16 et 25 ans. Le dispositif est limité à une bourse par participant et par année. Si vous souhaitez partir seul ou entre amis, l’Aide aux projets peut vous aider à mettre en place votre séjour. Les animateurs du pôle Education sont à votre disposition pour vous conseiller sur les démarches à effectuer.

Dans le cadre préventif du plan canicule 2017, le CCAS de la ville de Gonfreville l’Orcher recense parmi ses habitants toutes les personnes isolées et/ou vulnérables. Vous avez la possibilité d’inscrire l’un de vos proches, voisins ou vous-même sur cette liste en vous rendant à l’hôtel de ville, en contactant Stéphanie Sauvage au 02 35 13 18 00 ou par mail [email protected]

Pendant les travaux sur la route de Saint-Laurent, des élus tiennent des permanences dans la mairie annexe de Gournay-en-Caux pour répondre aux questions des habitants. Les prochaines ont lieu les lundis 12 et 26 juin, de 17h30 à 18h45.

Le comité des fêtes propose une sortie à Saint-Malo le 6 septembre. Participation aux frais de car : 20€. Inscriptions au 02 35 49 10 54.

L’association de quartier Jacques-Duclos organise un vide-greniers le 9 juillet. Inscriptions du 1er au 30 juin au local d’Habitat 76 (3 rue Jacques-Duclos), de 10h à 12h et de 15h à 18h du lundi au vendredi, et de 10h à 12h le samedi. Tarif de l’emplacement : 2€/mètre. Infos au 02 35 51 78 03 ou au 06 59 99 20 92 ou au 06 10 24 04 58.

Relevé de pollution au dioxyde de soufre sur Gonfreville l’Orcher

En avril 2017, une moyenne de 5 mg/m3 a été relevée. Le maximum a été signalé le 24 avril à 7h (186 mg/m3). Nombre de dépassement de 300 mg/m3 : 0.Plus d’infos sur www.atmonormandie.fr

Le saviez-vous ? Le CCAS relaie le “contrat de solidarité eau” mis en place par la Codah. Une expérimentation qui va durer

jusqu’en 2018.Mis en place dans le cadre de la loi “Brottes”, ce dispositif est une opportunité pour garantir l’accès au service de l’eau à tous les habitants. Tous les ménages dont la facture d’eau est supérieure à 3% de leur revenu peuvent bénéfi cier d’une aide au paiement. Cet abattement n’est pas immédiat. Il survient un an après le paiement si vous n’êtes pas en défaut de règlement. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rapprocher du Centre communal d’action sociale (CCAS) qui accompagne le dispositif pour tous les foyers. Vous devrez alors fournir votre facture d’eau annuelle, une pièce d’identité,

un livret de famille s’il y a un ou des enfants, vos dernières attestations de la CAF et de Pôle emploi, votre feuille d’imposition. Vous recevrez des astuces pour mieux consommer au quotidien (toilette, vaisselle, WC, cuisine, arrosage…) et vous devrez vous engager à mieux consommer.

Le CCAS mène par ailleurs des actions de sensibilisation en faisant par exemple visiter Ecopôle, la station d’épuration du Havre, afi n d’expliquer le coût de l’eau du fait des nombreux traitements nécessaires. Ces visites, individuelles ou collectives, sont gratuites.

Pour aider les habitants concernés par les travaux prescrits par le Plan de prévention des risques technologiques (PPRT), la Codah et la Ville tiennent des permanences gratuites dans la salle Jean-Jaurès (près de la mairie) jusqu’en septembre 2017. Les jours de permanence sont les lundis (9h-12h), mercredis (14h-17h), vendredis (14h-17h) et samedis (9h-12h).

Dans le cadre d’un projet municipal, la Ville recherche un/e responsable de culture maraîchère afi n de démarrer une exploitation maraîchère de 5 hectares qui produira des légumes issus de l’agriculture biologique en étant aidé par un chantier d’insertion socioprofessionnelle dans le but d’approvisionner la restauration collective. Le/la futur/e embauché/e devra lancer, dès son arrivée, l’installation de l’exploitation : diagnostic de la parcelle, aménagement de l’exploitation agricole, plan de culture, préparation des sols, demandes de matériel, etc.

Distribution des chèques d’accompagnement personnalisé le jeudi 29 juin dans la salle des fêtes de la mairie (8h30-12h et 13h30-16h) et dans la mairie annexe de Mayville (9h-11h45 et 13h45-15h45) et le vendredi 30 juin dans la mairie annexe de Gournay-en-Caux (9h-11h45).

Les services du centre de recyclage sont accessibles aux particuliers du lundi au samedi (8h30/12h et 14h/18h).

du lundi au vendredi : 9h/12h et 14h/17h7, rue Pierre-Glénisson

lundi : 8h30/12h et 16h/17h30du mardi au vendredi : 8h30/12h et 13h30/17h301bis, avenue Jacques-Eberhard

du lundi au vendredi : 8h/12h30 et 13h30/16h30(à partir de 10h, les 1ers mardis de chaque mois)Service d’astreinte 24h/24 : 02 35 13 18 00CCAS : Accueil du lundi au vendredi de 8h à 12h pour les mises à jour des dossiers ; de 13h30 à 16h30 pour l’accueil social, la vente de titres de transports, les retraités…

mardi et jeudi : 9h/11h45 et 13h30/15h45Fermeture pendant les vacances scolaires.

lundi et vendredi : 9h/11h45Fermeture pendant les vacances scolaires.

du lundi au vendredi : 8h30/12h30 et 13h30/16h30

Démarches administratives sur le site de la ville (rubrique e-mairie).

24h/24

lundi et mercredi :8h30/12h et 13h30/16h30vendredi : 8h30/12hVous pouvez également déposer vos

chèques aux accueils (Mairie et Services Techniques). Un terminal carte bancaire est aussi disponible devant la mairie 24h/24h.

En vente à l’accueil du Pôle Éducation (2, rue M-Thorez) du 25 au 5 de chaque mois.

Le Comité pour le Logement et l’Habitat des Jeunes de Seine-Maritime (CLHAJ 76) vous accueille au Pôle Éducation (2, rue M. Thorez) les lundis de 14h à 17h.

Le PIJ vous accueille sans RDV pour toute recherche d’informations. Point multimédia gratuit.

Propose aux jeunes (16/25 ans) en recherche d’emploi et de formation, un suivi social et professionnel.

Personnel communal, Sécurité publique, prévention de la délinquance

Finances, Commerces

Solidarité, CCAS, Logement, Politique de la Ville, Monnaie locale

Nouveaux quartiers, Enfance Jeunesse Loisirs, Vacances, Projet éducatif Global

Culture, Espace mémoire

Relations internationales, Culture de Paix

Urbanisme, Sport

Démocratie, Vie des quartiers, Vie associative

Cadre de vie, Patrimoine, Accessibilité

Affaires scolaires, Education à la santé

Communication, Nouvelles technologies, Mairie numérique

Environnement, Risques majeurs

Etat civil, Elections, Fêtes et manifestations, Anciens combattants, Transports, Signalisation et sécurité routière, Commission de sécurité

Animation et Vacances des personnes âgées

Permanences du CAUE dans les locaux des services Techniques, av. Jacques-Eberhard, les jeudis 8 et 22 juin. Gratuit sur rendez-vous.

Prochaine collecte d’encombrants blancs et bruns (électro-ménagers, matériels informatiques, etc.) le mercredi 28 juin, de 13h15 à 16h45.

Un conciliateur de justice reçoit, sur rendez-vous, en mairie, tous les vendredis du mois.

Permanence le 1er mercredi du mois, de 14h à 17h, au centre social Agies. Permanence le mercredi, de 17h à 19h, salle Erkonwald.

Centre social 02 35 47 77 88Mmes Laplace, Sampic et Douchain : sur RDVCarsat 02 32 74 07 86Mme Leclère : 1er et 3ème vendredi du mois

Centre social : mardi après-midi (sur RDV)

Un temps d’échange pour partager vos coups de cœur littéraires.

L’ESMGO Football organise le 27ème tournoi réservé aux joueurs de moins de 17 ans. Huit équipes sont en lice pour un grand week-end de compétition amicale : l’USL Dunkerque, Le Havre AC mais aussi l’AS Monaco, le Hamilton FC (Ecosse), le Charlton Athletic (Angleterre), le FC Dunajska Strad (Slovaquie), le Dynamo Moscou (Russie).

L’ESMGO Football vous y attend.

La Fédération régionale d’improvisation théâtrale organise son traditionnel tournoi international d’impro du 2 au 4 juin.

Elle recevra Les Zatilas (Belgique), Les Buccodéridants (Suisse) et Le Poil (Luxembourg). Comme les éditions précédentes, il est prévu de faire deux matchs par soir. La salle de spectacle de l’ECPC va se transformer en patinoire, où les glissades humoristiques seront de rigueur.

Le 3 juin, ce sera la 3ème édition des Vikings Masters, tournoi international vétérans. Cette année, ce tournoi est labellisé fédéral niveau A, ce qui

permettra aux judokas de gagner des points dans la rankinglist nationale et internationale.Près de 200 judokas venant de France, d’Algérie, d’Espagne, d’Italie, des Pays Bas, de Belgique, de Grande Bretagne, du Portugal… sont attendus.Le dimanche 4 juin, place au challenge Joël-Donnet qui attend entre 250 et 350 judokas, des catégories benjamins à vétérans, venant de toute la région et des régions bordant la Normandie.

Village sportif. Brasserie. Entrée gratuite.

Séance de lectures pour les 0/3 ans

Les trois coups vont retentir plusieurs fois pour les ateliers théâtre. Les enfants joueront le 6 juin (à 20h30) et le 11 juin (à 15h). Les pré-ados seront sur scène pour une série de sketches les 7 et 10 juin (à 20h30). Les ados interprèteront une pièce d’Eric Maniable, Le Dernier, le 10 juin (à 20h30) et le 11 juin (à 15h). Les adultes présenteront Le Malade imaginaire de Molière, les 8 et 9 juin (à 20h30). La chorale accompagnera les représentations théâtrales les 6 et 7 juin (à 20h30) avec des reprises de Michel Berger, de Boris Vian, de Benjamin Biolay...

Du 6 au 11 juin, il sera par ailleurs possible d’admirer les réalisations des ateliers dessin, poterie, peinture, photo numérique, tissu, encadrement, bois, cartonnage. Notons que l’atelier vitrail exposera quatre des six éléments qui composeront la grande réalisation destinée à des baies de la cuisine centrale. Inspiré par des branches de cerisier japonais en fl eurs, le superbe vitrail commencé en 2015 sera achevé en 2018.La saison de l’Aglec se terminera par le traditionnel pique-nique qui réunira les adhérent-e-s sur l’esplanade de l’ECPC le jeudi 15 juin.

Du 6 au 11 juin, les adhérents de l’Aglec présentent le travail de leurs ateliers à l’ECPC. € €

Une voix et une guitare accordées en seul ! Jeux de mots, jeux d’acteur, il se sert de tous ses atouts pour s’exprimer sur scène et vous propose

des morceaux choisis de ses deux opus, Rupture(s) et le tout frais Mon tour de champ est un hectare. Dans ses chansons, Gilles Adam dévoile sensibilité et autodérision, humour et tendresse, arpèges ou rock, le tout sans artifi ce. On y fait des rencontres insolites, on côtoie le sport ou l’éternité, l’amour des gens ou l’ivresse...

Dans le cadre de la promotion de la culture guadeloupéenne, le groupe Laplisitol organise un dîner dansant jusqu’à l’aube. Au menu, salade créole, poulet boucané accompagné de riz au safran, salade de fruits de saison. Une prestation de musique et de danse gwoka sera présentée durant la soirée.Tarifs : 25€ (adhérents) / 30€ (non-adhérents).

L’ESMGO Basket organise le tournoi Lucien “Lulu” Hubschwerlin pendant deux jours, sur trois sites différents. La compétition réunit quatre catégories : U13, U15, U17 et U20.

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La ludothèque propose de fabriquer des fusées à eau. Dès 6 ans.

En lien avec l’association Grandir et vivre, la médiathèque propose deux ateliers Montessori, les dimanches 11 et 25 juin. Le premier concerne les besoins des enfants et des adolescents. Le second présentera des activités pratiques.

Projection du thriller dramatique Frozen River de la réalisatrice Courtney Hunt. Conseillé à partir de 16 ans.

€ € €

Du 16 au 18 juin, puis du 23 au 25 juin, les élèves de l’Ecole municipale de danses seront sur la scène de l’ECPC pour leurs

traditionnels galas de fi n d’année.

Deux histoires légendaires ont inspiré les artistes en herbe : Le livre de la jungle est le fi l conducteur du spectacle des plus petits et Dracula, le comte des Carpates, est celui des adolescents et des adultes. Les deux galas seront rythmés par des tableaux imaginés et mis en scène par Carole Coustham (directrice de l’EMD) et Anne-Sophie Docteur (professeur de danse jazz). Toutes les disciplines seront représentées : classique,

contemporain, jazz, danses de société, danse africaine, ragga, hip-hop… Entre chorégraphies et passages théâtralisés, les galas ont été conçus comme de véritables comédies musicales. Plusieurs

élèves ont été choisis pour tenir les rôles principaux tout au long du spectacle. Plus de 350 costumes ont été créés par les membres de l’association Danse si t’es et des décors composés de grands panneaux de cinq mètres de haut ont été conçus par Vincent Le Bodo et peints par Stéphanie Bellec.Du 16 au 18 juin, 130 enfants se déhancheront sur les rythmes de la jungle pour trois représentations, ce qui devrait rendre le public heureux !Puis du 23 au 25 juin, environ 90 ados et adultes emmèneront les spectateurs dans la froideur de la Transylvanie sur des airs de la comédie musicale Dracula, L’amour pus fort que la mort.

Des historiens, des collectionneurs mémorialistes et des artistes s’associent pour donner une vision plurielle des Résistants et des Français libres de

l’agglomération durant l’occupation.Plusieurs reportages vidéo vont ponctuer l’exposition qui présentera documents, objets et habits sur la période concernée. Plusieurs conférences sont

également programmées. Nous en retiendrons deux particulièrement. Le 20 juin, à 14h, Pierre Lebas fera un exposé sur les Francs-Tireurs et Partisans déportés du Havre. Le 21 juin, à 14h, en attendant une prochaine publication, le travail mené par David Fouache et Michel Touzan s’arrêtera sur Gonfreville l’Orcher à l’heure de l’occupation et de la Résistance.

Les élèves des cours d’éveil à la danse présentent le travail de la saison écoulée.

Tout au long de l’année, le Centre communal d’action sociale (CCAS) propose, en lien avec divers partenaires, des rendez-vous informatifs sur divers sujets dans l’espace de prévention Ambroise-Croizat du Pôle Santé (rue Danielle-Casanova).

en présence de l’association Soliha (Solidaires pour l’habitat), des ateliers Bien chez soi seront proposés.

avec l’atelier santé famille de la Codah, l’information portera sur la place et les effets des écrans (téléphone, tablette, ordinateur, télé, jeux) au quotidien.

Suite des rendez-vous animés par Anne Chieze en compagnie de Max et Lili. Cette fois, enfants et parents échangeront autour de l’album “Max veut se faire des amis”.

Bienvenue dans la guinguette des enfants animée par la compagnie Fais pas ci, fais pas ça. Avec Arthur, Lola et Ornicar, on danse la java, le

charleston ou la polka en s’habillant avec des habits d’autrefois piochés dans une grande malle. Ce concert-

spectacle amusant refait vivre des airs de Bourvil, de Ray Ventura et d’autres revus par un orchestre composé d’un accordéon, d’un piano, d’un ukulélé, d’une autoharpe.

Makitouch et Cies présente Les p’tites histoires de Lulu, un spectacle pour les petits de 18 mois à 3 ans. Diffi cile d’être parent tous les

jours…Un métier qui ne s’apprend pas que dans les livres… Une série de trois petites histoires courtes de 6 à 10 minutes qui traitent de la notion du temps, de la nourriture et de l’annonce d’un petit frère ou d’une petite sœur. Des histoires qui retracent des épisodes de la vie courante entre une mère et son enfant. Avec jubilation, simultanément le clown joue le rôle de la mère puis de l’enfant. Chaque histoire se déroule dans une des pièces de la maison. Un changement d’accessoires indique le début d’une nouvelle histoire.

Les élèves de l’école municipale de couture présentent leurs créations de l’année (couture, tricot, crochet…)

Voir les pages 12 à 14.

Les vacances approchent. Pour terminer l’année de manière très conviviale, un pique-nique est organisé. Il sera ponctué par de nombreuses animations familiales. Un pari est lancé : faire une photo aérienne. Pari tenu ?

La réputation de l’association dans l’organisation de vide greniers attire du monde. Le prochain se déroulera le dimanche 9 juillet dans le quartier. “C’est pas de la rigolade pour placer tout le monde entre les habitants et les gens qui viennent d’ailleurs. Une année, des gens de Neufchâtel-en-Bray se sont inscrits. Certains appellent plusieurs mois à l’avance.” Un succès en appelant un autre, c’est l’association de la rue Jacques-Duclos qui met en place le vide-greniers de la Fête de la Ville, entre l’avenue Jacques-Eberhard et la rue du 1er Mai, qui a lieu début septembre. Pour tout salaire, les membres de l’association se retrouvent deux fois par an avec des ami-e-s autour d’un pot de l’amitié où d’autres idées naissent en toute camaraderie.

Si personne ne bouge, un quartier manque de vie. C’est en faisant ce constat que l’association a démarré. “C’était un peu triste…” L’imparfait s’impose. Le présent est tout autre. Les bénévoles s’en félicitent. Les murs de leur local sont recouverts de photos montrant plusieurs années de rendez-vous chaleureux. Du buffet campagnard au concours de pétanque en passant par les excursions (cette année au Mont-Saint-Michel), le barbecue, la Fête du hareng, le Jeudi de l’été, le colis des anciens ou les moments destinés aux enfants qui ne manquent jamais de friandises. Chaque date est un succès. “Sauf les concours de manille. Alors, nous avons arrêté.”

Tout est décidé en réunion. Les animations, les dates, les préparations. Cela demande parfois pas mal de courage. “Vider trois cents harengs, c’est du boulot !” Mais les coups de main ne manquent pas. “Les gens du quartier nous aident, même quand ils ne font pas partie de l’association. C’est très sympa et convivial.” Autre temps fort, le grand barbecue. “Attention, il y a à manger, prévient Christian Simon. Une entrée, une saucisse, une merguez, une côte de porc, une cuisse de poulet, des pommes de terre en “robe de chambre”, fromage, salade, dessert et café, tout ça pour 10 euros par personne. Nous cuisons plus de 500 pièces sur le barbecue bricolé avec un ancien cumulus.” Le prochain est prévu le 20 août. Mais l’idée originale de l’année, c’était la Fête médiévale organisée en avril avec le soutien de la Ville. “Les gens se demandaient ce qu’il se passait parce que les compagnons pour Hasting qui animaient le week-end ont même dormi sous des tentes autour d’un feu !”

L’association de quartier de la rue Jacques-Duclos existe depuis le 21 avril 2009. 145 adhérent-e-s gonfrevillais, mais aussi de l’agglomération, bénéfi cient des nombreuses animations proposées toute l’année.

Les membres de l’association se réunissent régulièrement dans le local mis à leur disposition par Habitat 76. Christian Simon, le président, y est souvent entouré de Jacqueline Péligrin (vice-présidente), de Gérard Péligrin (secrétaire), de Renée Simon (trésorière) et des membres du bureau Denis Basile, Monique Courchai, Christine Dubois, Josette Friboulet, Guy Geneix, Bruno Malandain et Dominique Yvelin.