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Ex. 12, p. 175, LIVRE DE GRAMMAIRE Et comment nous FERIONS pour vivre si JE ME RETROUVAIS au chômage. J’AI TENTÉ de la rassurer. D’abord, ce N’ÉTAIT qu’un entretien préalable. Ensuite, d’un mal, il PEUT toujours sortir un bien. Si JE DEVAIS être licencié CE SERAIT peut-être l’occasion de prendre un nouveau départ, par exemple en créant une entreprise. Et puis, J’AVAIS une clause de mobilité dans mon contrat de travail. S’ILS VOULAIENT me faire partir, ils FINIRAIENT bien par y arriver. ILS POUVAIENT très bien

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Ex. 12, p. 175, LIVRE DE GRAMMAIREEt comment nous FERIONS pour vivre si JE ME RETROUVAIS au chômage. J’AI TENTÉ de la rassurer. D’abord, ce N’ÉTAIT qu’un entretien préalable. Ensuite, d’un mal, il PEUT toujours sortir un bien. Si JE DEVAIS être licencié CE SERAIT peut-être l’occasion de prendre un nouveau départ, par exemple en créant une entreprise. Et puis, J’AVAIS une clause de mobilité dans mon contrat de travail. S’ILS VOULAIENT me faire partir, ils FINIRAIENT bien par y arriver. ILS POUVAIENT très bien me proposer une mutation dans une de nos usines dans le Jura ou en Auvergne. Un refus de ma part SERAIT donc un cas de rupture de mon contrat de travail. Il VALAIT donc mieux un départ bien négocié, plutôt qu’un pourrissement de la situation qui FINIRAIT inévitablement par jouer en ma défaveur. Une seule chose ÉTAIT sûre :

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nos projets d’acquisition de logement TOMBEAIENT à l’eau.

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