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INTRODUCTION AU WEB 2.0 INTRODUCTION AU WEB 2.0 & quelques pratiques «Bibliothèque 2.0» quelques pratiques «Bibliothèque 2.0» Par Par Antonin Benoît DIOUF Antonin Benoît DIOUF Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis, le 11 mai 2009

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INTRODUCTION AU WEB 2.0INTRODUCTION AU WEB 2.0&&

quelques pratiques «Bibliothèque 2.0» quelques pratiques «Bibliothèque 2.0»

ParPar

Antonin Benoît DIOUFAntonin Benoît DIOUF

Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis, le 11 mai 2009

Web 2.0 ?

•• OriginesOrigines

•• DéfinitionDéfinition

•• PrincipesPrincipes

•• Services & applicationsServices & applications•• Services & applicationsServices & applications

•• DangersDangers

•• ConclusionConclusion

211/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Web 2.0 : Origines

• Date & lieu de naissance : automne 2004 à San Francisco (Californie)

• Père : Tim O’Reilly, éditeur spécialisé dans l’informatique, initiateur de l’expression l’informatique, initiateur de l’expression « Web 2.0 »

• Signes particuliers : une multitude de réalités qui le composent

� Fils RSS, Blogs, Réseaux sociaux, Wikis, Indexation sociale,…

311/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Web 2.0 : Définition

• Pas de définition précise, plutôt un concept avec lequel il faut comprendre une (r)évolution du Web classique tel qu’imaginé par Tim Berners-Lee en mars 1989, informaticien au CERN, qui émit l'idée d'un système de partage des informations entre scientifiques basé sur un maillage d'adresses.scientifiques basé sur un maillage d'adresses.

• Définition possible : « Le web 2.0 désigne généralement le "web nouvelle génération" c’est à dire l’ensemble des fonctionnalités communautaires et collaboratives (blogs, avis consommateurs, flux RSS, plateformes d’échanges vidéo, etc.) qui se sont fortement développées sur Internet à partir de l’année 2005 ». (source : définitions-marketing.com)

411/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Web 2.0 : Définition

• Web 1.0 (classique) VS Web 2.0

511/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Web 2.0 : Définition

• Web 1.0 (classique) VS Web 2.0

611/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Web 2.0 : Principes

Selon Tim O’Reilly le web 2 repose sur les principes suivants :

• Le Web comme plate-forme de services : il fournit des applications web aux utilisateurs

• Internautes considérés comme co-développeurs des applications

• Richesse dans les données : en privilégiant les données • Richesse dans les données : en privilégiant les données libres sur les données propriétaires

• Intelligence collective : impliquer les utilisateurs dans la production de contenus

• Souplesse et légèreté des interfaces : logiciel n’est plus arrimé au PC mais va vers les objets nomades

• Mettre à profit l’effet de la longue traîne : plus il y d’utilisateurs, plus le service s’améliore

711/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0

• TechnologiesTechnologies

• BlogsBlogs

• Fils RSSFils RSS

•• FolksonomieFolksonomie

•• WikisWikis

• Réseaux sociauxRéseaux sociaux• Réseaux sociauxRéseaux sociaux

• Sites de partageSites de partage

•• Courrier électroniqueCourrier électronique

•• BureautiqueBureautique

•• Bureaux virtuelsBureaux virtuels

•• Univers virtuelsUnivers virtuels

•• Cartes heuristiquesCartes heuristiques

•• DiversDivers

811/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0

• Une multitude d’outils et d’applications

911/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

technologies

� Reposent sur des technologies qui sont nées pour la plupart

avant l’émergence du concept.

� Une qui constitue l’élément-clé de ces services et applications � Une qui constitue l’élément-clé de ces services et applications

= AJAX (Asynchronous JavaScript And XML), solution

informatique libre qui permet des temps de chargement plus

courts, l’affichage dynamique des nouveaux contenus sans

recharger une page entière ou pré-charger des images, (mais

seulement les éléments sur la page qui ont besoin de l’être)

1011/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

• Les Mashups :

applications «composites» mixant

plusieurs sources pour fournir un

Services et applications Web 2.0 :

technologies

plusieurs sources pour fournir un

nouveau produit ou service

1111/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Blogs

• Définition : « Un blog est un site Web constitué par la réunion de billets agglomérés au fil du temps, et souvent, classés par ordre antéchronologique (les plus récents en premiers). Chaque billet (appelé aussi note ou article) est, à l'image d'un journal de bord ou d'un journal intime, un ajout au blog ; le blogueur (celui qui tient le blog) y délivre un contenu souvent textuel, enrichi d'hyperliens et d'éléments multimédias, sur lequel chaque lecteur peut d'éléments multimédias, sur lequel chaque lecteur peut

généralement apporter des commentaires. » (Wikipédia)

• Chiffres : + de 150 millions, 120.000 blogs créés chaque jour, avec une majorité pour les particuliers (internaute lambda)

• Plateformes de blogs : Wordpress, Blogger, Dotclear, etc…

• Notions connexes : blogosphère, blogroll, biblioblog

• Pour les trouver : Technorati, Google Blog search, Ask Blog

1211/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Blogs

• Dans les sciences de l’information– Notion de biblioblog : « le biblioblog est un blog spécialisé

dans le domaine des sciences de l’information et de la documentation, réalisé par un bibliothécaire, un archiviste ou un documentaliste de manière personnelle ou pour sa collectivité. Le biblioblog a pour objectifs principaux de collectivité. Le biblioblog a pour objectifs principaux de favoriser la formation continue, la veille informationnelle, le partage des savoirs et la communication intra-professionnelle (source bibliobessession.net) »

– Quelques exemples

– Bibliobsession ; Senbibdoc ; Figoblog, Sous la poussière, Marlene’s corner, etc. Voir la page biblioblogs sur Bibliopédia.

1311/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Fils RSS

• Création en 1999 par Netscape

• De quoi parle-t-on ?

– de syndication de contenu, c’est-à-dire : la possibilité de

publier automatiquement sur un site web des publier automatiquement sur un site web des

informations issues d'un autre site web. Syndication

matérialisée par les fils RSS : des fichiers texte au format

XML (eXtended Markup Language)

• RSS = Really Simple Syndication, Rich Site Summary,

ou encore RDF (Resource Description Framework) Site

Summary

1411/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Fils RSS

• Reconnaissables sur les sites ou pages Web généralement

grâce aux icônes suivantes

• Principe de fonctionnement : lors de la mise à jour • Principe de fonctionnement : lors de la mise à jour

d’un site web, un fichier texte au format XML contenant une

description synthétique des nouveautés du site est généré en

temps réel. Ce fichier texte est accessible en cliquant sur les

icônes matérialisant la présence du flux RSS

• 3 principaux formats : RSS 2.0 , Atom, RSS RDF 1.0

1511/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Fils RSS

• Outils de lecture : les agrégateurs dont

plusieurs types

– Agrégateurs en ligne : Netvibes, iGoogle, xFruits…

– Agrégateurs en local : FeedReader…

– Agrégateurs intégrés au navigateur : Firefox,

Safari…

1611/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Fils RSS

• Les agrégateurs permettent :– d'être informé des mises à jour réalisées sur d'autres sites quasi en

temps réel

– de rassembler toutes ces informations en une seule et même – de rassembler toutes ces informations en une seule et même

application.

• Netvibes ou iGoogle : ces deux services présentent des

fonctionnalités utiles, intéressantes et/ou ludiques. En effet, on peut :

– classer ses informations par onglets (thématiques ou autres, selon son choix),

– personnaliser le thème de la page, y compris avec des dessins dont les couleurs évoluent

en fonction de l'heure et du temps!

1711/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Fils RSSAgrégateur de la bibliothèque de l’UGB de Saint-Louis :

http://www.netvibes.com/bugb#Accueil

1811/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Fils RSS

• Pour nous professionnels de l’info-doc, outil

de veille inestimable

• Quelques applications possibles en

bibliothèquesbibliothèques

– Créer des flux RSS pour de nouvelles acquisitions,

des actualités, etc.

• Exemple : http://www-scd.univ-

lyon3.fr/nouvacq/rssTOUL.xml (nouvelles acquisitions

du SCD de l’université Jean Moulin – Lyon 3)

1911/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Fils RSS

• En résumé : Le standard RSS représente un moyen simple

d'être tenu informé des nouveaux contenus d'un site web,

sans avoir à le consulter.

�Pour plus d’infos voir dossier RSS sur le blog

http://louisar.wordpress.com/ (search : RSS)

�http://www.commentcamarche.net/contents/

www/rss.php3

2011/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Tags & Folksonomie

• Tags = Mot-clé sous forme d’étiquette apposé sur un

document numérique

– Eléments constitutifs de la « folksonomie » ou indexation

sociale, taxonomie populaire, etc.

– Une des manifestations concrètes du Web 2.0 où – Une des manifestations concrètes du Web 2.0 où

l’internaute indexe les contenus qu’il consulte

• Folksonomie : néologisme d’origine anglophone

(Folksonomy) contraction de FOLK (populaire) et TAXONOMY

(taxonomie)

2111/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Tags & Folksonomie

• Folksonomie : peut être présentée comme un thésaurus libre, c’est-à-dire avec une absence d’uniformisation, de hiérarchisation et de contrôle �donc absence des notions de vocabulaire contrôlé, liste d’autorités, etc. vocabulaire contrôlé, liste d’autorités, etc. « Classification collaborative décentralisée et spontanée » (URFIST de Rennes, 2008)

– S’applique à des images animées ou fixes, des bookmarks, des articles de blog,…

– Facilite la description des contenus et la recherche d’information

2211/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Tags & Folksonomie

Notion de « tag cloud » ou « nuage de tags » où les mots-clés les plus mots-clés les plus populaires s’affichent en caractères plus grands

2311/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

En bibliothèque :

• Notion d’OPAC 2.0 ou OPAC social. (catalogue en ligne incluant les fonctionnalités du Web 2.0)– Possibilité donnée à l’usager de proposer des mots-clefs (tags) sur les notices,

directement à partir de l’OPAC, ensuite validation ou invalidation par le bibliothécaire. Vise à enrichir la description des notices. Car les usagers sont souvent plus spécialistes d’un domaine que le bibliothécaire lui-même et donc

Services et applications Web 2.0 :

Tags & Folksonomie

souvent plus spécialistes d’un domaine que le bibliothécaire lui-même et donc qualifiés pour fournir des mots-clefs adéquats concernant ce domaine (surtout scientifique)

• OPAC social c’est aussi– La possibilité d’évaluer les contenus des notices par ces usagers� système de

vote, commentaires, critiques et suggestions d’emprunts (permet d’avoir une idée de la pertinence de son fonds documentaire et agir en conséquence pour qu’il réponde toujours aux besoins des utilisateurs)

– D’autres fonctionnalités à découvrir sur Bibliopédia• Exemples : les OPAC générés par le logiciel PMB, AFI OPAC 2.0 (logiciel

open source)

2411/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Tags & Folksonomie

• Retenir : – Dans le cadre du Web 2.0, un tag est un mot-clé associé à un objet (une

image, une vidéo, un message dans un blog, ...) qui permet de classer les

objets.

– Les tags sont généralement définis de manière personnelle par l'auteur ou par

l'utilisateur de l'objet. l'utilisateur de l'objet.

– Il n'y a actuellement pas de standardisation dans le choix des tags.

– Les sites Web 2.0 proposent souvent des nuages de tags qui présentent les

contenus d'un site de manière plus visuelle que les habituels menus (slide

précédent)

– La taille du tag détermine le nombre d'articles ou d'objets qui y sont liés

– Si on se trouve face à un nuage de tags, il suffit de cliquer sur un terme pour

voir apparaître la liste des objets tagués avec ce terme

2511/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Wikis

• Le mot vient de « wiki wiki » terme hawaïen qui veut dire « rapide ».

• Définition : « Site Web dynamique permettant à tout

individu d’en modifier les page à volonté. Il permet de communiquer et diffuser des informations rapidement, de communiquer et diffuser des informations rapidement, de structurer cette information pour permettre d’y naviguer commodément » (Wikipédia)

• Sites collaboratifs qui peuvent être – généralistes : Wikipédia (le plus populaire sans doute)

– spécialisés : Bibliopédia (sciences de l’information), Wikimini (enfants), ALPHABib (accueil des handicapés en bibliothèque maintenu par la BPI)

2611/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Wikis

• Généralement la création et la modification

d’articles dans un wiki sont libres après une

inscription préalable.

• Mais il peut arriver que l’accès et la modification • Mais il peut arriver que l’accès et la modification

d’articles soit soumis à autorisation, par exemple

dans des Wikis d’entreprise. Là, la validation des

créations et modifications d’articles est faite par

un modérateur (porte-à-faux avec l’esprit web

2.0)

2711/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Réseaux sociaux

• Ou encore « Social networking »

• Une des composantes les plus populaires du

Web 2.0. Web 2.0.

• Espaces de socialisation virtuelle où les

motivations sont aussi diverses que les

catégories de personnes qui les investissent

2811/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Réseaux sociaux

• Nombreux sites généralistes ou spécialisés, gratuits et ouverts et où l’identité numérique est dévoilée à dessein avec les profils individuels

– Réseaux généralistes : Facebook, MySpace, Hi5, Ning (qui permet de créer son propre réseau social et donc de le particulariser exemple : http://personnelbugb.ning.com/ réseau social interne de

la Bibliothèque de l’UGB de Saint-Louis, ou http://librarians.ning.com/ réseau de bibliothécaires.

2911/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Réseaux sociaux

– Réseaux spécialisés :

• Professionnels : LinkedIn, Viadeo, Ziki… profils avec CV

+ liens et « hubs » regroupant des utilisateurs autour

d’un centre d’intérêt

• De chercheurs : Scilink

• D’apprentissage : Babbel, plate-forme d’apprentissage

linguistique. Notion de « langues 2.0 ». On peut y

apprendre 5 langues principalement (Allemand,

Anglais, Espagnol, français, Italien), s’y faire des amis,

etc.

3011/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

• Parmi les réseaux sociaux généralistes on peut aussi

citer :

– Twitter : outil de microblogage (microblogging) gratuit

• Sert à dire à son réseau "ce qu‘on est entrain de faire".

Services et applications Web 2.0 :

les Réseaux sociaux

• Possibilité d'envoyer et de recevoir ces messages par

Internet, par messagerie instantanée ou par SMS (valable

dans certains pays seulement : USA, Canada, UK, Inde)

• Ces messages sont appelés tweets (gazouillis en anglais).

• Leur particularité : ils sont courts, longueur maximale de 140

caractères, ce qui permet de mettre à jour son Twitter de

manière brève et spontanée.

3111/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

• Twitter en bibliothèques

– Usage plus fréquent dans les bibliothèques anglo-

saxonnes, moins dans la sphère francophone

– Peut aider à vulgariser les activités de et dans la

Services et applications Web 2.0 :

les Réseaux sociaux

– Peut aider à vulgariser les activités de et dans la

bibliothèque

• Exemples : http://twitter.com/UniSheffieldLib

(Bibliothèque de l’université de Sheffield, UK)

• http://twitter.com/bugbactu (Bibliothèque de

l’Université Gaston Berger, Saint-Louis, Sénégal) voir la

page d’accueil sur slide suivant

3211/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Réseaux sociaux

3311/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Réseaux sociaux

• Leur développement repose sur le « postulat »

: les amis de mes amis sont mes amis, donc

une fois que l’on devient ami de quelqu’un sur

le réseau il vous ait suggéré de lier « amitié » le réseau il vous ait suggéré de lier « amitié »

avec les membres amis de votre ami. Dans un

réseau social de type professionnel, les

suggestion de liaison se font par similitude de

profil.

3411/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Réseaux sociaux

• MySpace

– Fondé en 2003 aux USA / Filiale française créée en 2006

– 230 millions de membres– Nombreuses applications

• Facebook

– Fondé en 2004 par Mark Zuckerberg (USA)

– 100 millions de membres– Réseau

Comparaison des deux leaders mondiaux

– Nombreuses applications• Blogs, messagerie instantanée,

e-mail, clips vidéo, partage de MP3, listes d’amis …, pages perso complètement modulables

– Acquis en 2005 par News Corporation (R. Murdoch) pour 580 millions de dollars

– Dominant en Amérique du Nord

• Source : URFIST de Rennes 2008

– Réseau • pour lycéens et étudiants• ouvert aux entreprises• puis à tous

– Plus de 8000 applications différentes agrégées en 6 mois (2007)

– Croissance en voie de ralentissement / fragilité ? (116% « seulement » sept. 2007/2008…)

3511/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• On y partage un peu de tout : signets ou bookmarks, photos, vidéos, diaporamas, documents textes, références bibliographiques, etc.

• Utilisation libre

• Espace de stockage ouvert à tous jusqu’à un certain volume (généralement le stockage devient payant au-delà d’un certain seuil admis par les propriétaires de l’application)

3611/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de signets : notion de Bookmarkingsocial (réseau de partage)

– Les signets sont externalisés

– Folksonomie : indexation libre par tags– Folksonomie : indexation libre par tags

• Pour les bibliothèques : intérêt

– Signalement de ressources fiables

– Création de réseaux de partage de signets

– Régulation du tagging et formation des usagers à la création des tags

3711/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Plates-formes de partage de signets

– Généralistes

• Del.icio.us : plus ancienne, créée en 2004 par Joshua

Schachter, et revendue à Yahoo en 2005, le meilleur Schachter, et revendue à Yahoo en 2005, le meilleur

système actuellement. Il a trois caractéristiques :

– il s'agit d'une application en ligne

– les liens sont organisés grâce à des tags

– les liens sont partagés avec d'autres utilisateurs

• Aussi,Yahoo! MyWeb2, Furl, Blogmarks, …

3811/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Plates-formes de partage de signets

– Scientifiques

• ConnoteaConçus pour aider les

• CiteUlike

chercheurs et les étudiants à conserver et à partager leurs références

3911/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

Exemple : site de partage de signets de la bibliothèque de l’UGB de Saint-Louis, http://delicious.com/bugb

4011/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Exemple : Sélection et partage d’articles scientifiques par la bibliothèque de l’UGB de Saint-Louis, http://www.connotea.org/user/bugb

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

11/05/2009 41Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

Exemple : Sélection et partage de travaux académiques (thèses & mémoires) par la bibliothèque de l’UGB de Saint-Louis, http://www.citeulike.org/user/bugbsl

11/05/2009 42Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de photos

– Flickr, propriété de Yahoo.

• Mise en ligne de millions de photos par les utilisateurs. Banque

d’images

• Tagging et description détaillée possible des photos• Tagging et description détaillée possible des photos

• Profilage des utilisateurs qui partagent les mêmes centres

d’intérêt photographiques

4311/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de photos (suite)

– Picasa Web Album : lancé par Google en 2006.

• Permet de publier très facilement sur Internet les photos stockées sur le disque dur de l'utilisateur, que Picasa gère localement.

• Orienté Web 2.0 : utilisation de flux RSS pour télécharger un album entier avec une interface qui peut aussi gérer les commentaires. *avec une interface qui peut aussi gérer les commentaires. *

• Dispose d’un moteur de recherche (comme Flickr d’ailleurs) et d'indexation (à partir du nom de fichier, de la légende ou de mots clés) dans lequel on retrouve l'approche de celui de Google.

• Capable de compresser à la volée des photos afin de prendre moins de place.

• L'espace alloué à chaque membre a évolué de 100 Mo au lancement, à 200 Mo ensuite, avant d'atteindre actuellement, 1 Go (1024 Mo). Estimation de 86 millions de membres en septembre 2008

4411/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de vidéos online (podcasting : combinaison des termes iPod et broadcasting, désigne le fait de rendre disponible en ligne un fichier audio au format

numérique). Exemples :– Youtube : site web d’hébergement de vidéos sur lequel les utilisateurs peuvent

envoyer, visualiser et se partager des séquences vidéos.

• Propriété de Google depuis 2006

• Utilise le format Flash pour afficher toutes sortes de vidéos : des extraits de films, d’émissions de télé et des clips de musique, mais aussi des vidéos

• Utilise le format Flash pour afficher toutes sortes de vidéos : des extraits de films, d’émissions de télé et des clips de musique, mais aussi des vidéos amateurs provenant de blogs par exemple.

• Indexation par tags des vidéos, en plus du titre et de la description

• Propose des Fil RSS pour surveiller l’ajout de vidéos dans une catégorie donnée

• Commentaires et notation des vidéos possibles

• Possibilité de poster une vidéo sur un blog grâce à des codes HTML générés au moment de l’enregistrement de la vidéo sur la plate-forme

� Exemple d’utilisation en bibliothèque : présentation de la Bibliothèque publique d’Amsterdam (visite virtuelle d’une bibliothèque en complément d’un guide de l’utilisateur par exemple)

4511/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de vidéos online (suite)

– Dailymotion : Origine France

• 2ème place au niveau mondial des sites de sa catégorie, juste après YouTube

• environ 40 millions de pages vues par jour et plus de 3 millions de visiteurs

uniques par jour (mai 2007). uniques par jour (mai 2007).

• Importation de près de 15 000 nouvelles vidéos par jour.

• Nombre d'inscrits s'élève au total à environ 7 millions d'internautes

– Metacafe : Origine USA

• fondé en 2003

• 3ème place sur les sites de partage de vidéo derrière YouTube et

DailyMotion

• plus de 25 millions de visiteurs chaque mois

4611/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de documents : sites où les

internautes diffusent des documents textuels

(rapports, brochures, cours, articles,…) ; des

diaporamas ; …diaporamas ; …

• Même principe que dans les autres sites de

partage : tagging, fil RSS pour les nouveaux

ajouts, évaluation par vote et commentaires

possibles, etc.

4711/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Publication et partage de documents

– Calaméo : • Permet de transformer des documents en de superbes publications Web

à partager

• Chargé sur Calaméo et automatiquement converti au format flash, un simple document Word devient un magazine Web qui se consulte comme simple document Word devient un magazine Web qui se consulte comme un magazine papier.

– Autres services : Scribd, Docstoc (documents professionnels)

En bibliothèque, peuvent être des outils de vulgarisation des rapports d’activités et autres documents informatifs (règlements intérieurs, …)

4811/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de Diaporamas

– Slideshare : sans doute le plus populaire

• permet de partager des présentations PowerPoint ou Impress (OpenOffice)

• Intègre le son et la vidéo (de Youtube)• Intègre le son et la vidéo (de Youtube)

• Génère un code HTML qui permet de poster la présentation sur un site web (par exemple un blog)

Exemple d’utilisation à la bibliothèque de l’UGB de Saint-Louis (Sénégal) voir slide suivant

– Slideburner

4911/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

Espace de partage de diaporamas de la bibliothèque de l’UGB : http://www.slideshare.net/bugb

5011/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de références bibliographiques : en fait ce

sont des plates-formes de partage de bibliothèques

personnelles en ligne.

• Principe : soumission, dans une plate-forme de ce

type, de livres que nous possédons. Cette

bibliothèque est visible par tous les utilisateurs

inscrits qui ont la possibilité d’émettre des critiques

et commentaires sur ces livres, de les évaluer par des

votes etc.

5111/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de références bibliographiques– LibraryThing : application web de catalogage social et en ligne

• But : enregistrer et partager des bibliothèques personnelles et des listes de livres.

• Développé par Tim Spalding, ouvert le 29 Août 2005.

• 650,000 utilisateurs et 37 millions de livres en catalogue (mars 2009)

� Exemple d’utilisation par la bibliothèque de l’UGB de Saint-Louis qui y propose ses nouvelles acquisitions

http://www.librarything.fr/profile/BUGBSAT (page de profil)

http://www.librarything.fr/catalog/BUGBSAT (bibliothèque des nouvelles acquisitions) http://www.librarything.fr/tags/BUGBSAT (bibliothèque accessible par mots-clefs (tags) )

5211/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

• Partage de références bibliographiques (suite)

– Babelio :

• Catalogage, indexation (tagging) et classement de livres

• Notation et critique de livres

• Discussion avec d’autres utilisateurs ayant les mêmes • Discussion avec d’autres utilisateurs ayant les mêmes goûts

– Libfly : propose de

• Prêter, emprunter ou acheter des livres près de chez soi

• Partager sa bibliothèque personnelle ...

• Commenter ses lectures, ses coups de coeur ...

5311/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Sites de partage

Page de profil de la bibliothèque de l’UGB dans LibraryThing

5411/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Courrier électronique

• Nouvelles façons d’envoyer du courrier électronique

– Les services de messagerie traditionnelle (Hotmail, Gmail, Yahoo

mail, etc.) ne permettent pas toujours d’envoyer des fichiers

volumineux

– De « nouveaux » services proposent de convoyer ces fichiers de – De « nouveaux » services proposent de convoyer ces fichiers de

grande taille (type image)

– Principe : les fichiers transitent d’abord sur un serveur de

stockage (upload), le destinataire étant averti par un courriel

avec un lien de téléchargement pour récupérer les fichiers

(download).

– Service généralement gratuit en deçà d’un certain volume de

données

5511/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Courrier électronique

• Exemple de plate-forme

– Filemail :

• Envoi de fichiers jusqu’à 2 giga sans besoin de

s’enregistrer.

• Envoi gratuit si c’est à des fins non commerciales

• NB : ces types d’applications sont différents de ce qu’on

appelle webmail 2.0 qui veut dire autre chose (voir :

http://www.arobase.org/gratuit/webmails-2.0.htm)

5611/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Bureautique

• De nouvelles fonctionnalités

– La grande révolution des applications bureautiques en ligne

tient en partie au fait que les documents ne sont plus stockés en

local dans le disque dur des utilisateurs mais sur Internet. C’est

ce que l’on appelle le stockage à distance

– Outre certains avantages (sécurité, accessibilité), cette façon de

faire a permis à de nouvelles fonctionnalités d'émerger assez

naturellement, ce qui a alors donné lieu à de nouveaux usages.

En effet, les utilisateurs ont modifié leur façon d'utiliser les

applications et Internet, et ont même sous certains aspects

modifié leur façon de travailler

5711/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Bureautique

• Publication, partage et collaboration

– Etant donné que les documents issus d’application bureautique en ligne ne

sont plus stockés sur le disque dur de l’utilisateur mais sur Internet,

l’utilisateur peut facilement publier ses documents sur Internet mais aussi

donner accès à ses documents à d’autres utilisateurs.

– Que cela concerne un document de type traitement de texte, tableur ou – Que cela concerne un document de type traitement de texte, tableur ou

encore un agenda, les utilisateurs peuvent ainsi :

• publier un document : le rendre visible aux utilisateurs ;

• partager un document : permettre aux utilisateurs de consulter son document ;

• collaborer sur un document: le créateur du document permet à d’autres utilisateurs de

modifier directement le document, et donc d’élaborer un document commun. C'est la fonction

la plus avancée.

– Ces trois fonctions sont très facilement réalisables. L'utilisateur doit

simplement spécifier l'adresse mail de l'utilisateur avec qui il souhaite

partager un fichier ou collaborer sur un document.

5811/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Bureautique

• Traitements de texte

– Google documents : fusion de Google docs pour les traitements de texte et

Google spreadsheet pour les feuilles de calcul

• permet un travail en ligne et collaboratif (inscription de collaborateurs par e-mail)

• Possibilité de partage des documents

– Zoho Writer : traitement de texte en ligne comme Google documents. Ces deux

applications permettent :

• formater un document ,

• insérer tableau et image, en tête et pied de page, hyperliens et signets ,

• imprimer ,

• vérifier l’orthographe, etc.

• En plus des fonctionnalités typiquement traitement de texte, ces applications proposent une arborescence de type Windows afin d'organiser dans des dossiers les différents documents de travail.

5911/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Bureautique

• Agenda et calendrier

A l'instar des outils de traitements de texte et des tableurs, l'utilisation

d'agenda en ligne est simple car ces applications contiennent des

fonctionnalités traditionnelles.

– monagenda.net : permet – monagenda.net : permet

• D’entrer des événements divers (dates d'anniversaire, de réunions,

etc.) ,

• De classer les entrées en fonction de leur importance ,

• De consulter l'agenda avec une vue journalière détaillée ou une

vue globale par mois.

6011/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

Bureautique

Par exemple, voici une boite de

dialogue pour le partage et la

collaboration sur un document

texte dans l'application Google

Document

Il suffit de paramétrer la boite de

dialogue pour donner un accès

plus ou moins important aux

autres utilisateurs.

• Ces nouvelles fonctionnalités offrent une très

grande flexibilité et ont d'énormes avantages

puisqu'elles permettent de rendre son travail

visible, d’échanger des ressources mais aussi de

travailler ensemble tout en étant à distance.

• La collaboration est une fonctionnalité

particulièrement utile dans les travaux de groupe particulièrement utile dans les travaux de groupe

ou encore dans l'organisation d'équipe de travail.

• En effet, celle-ci ne nécessite plus la présence

simultanée des collaborateurs dans une même

pièce, ou encore d'utiliser d'interminables

échanges par mail. Les utilisateurs peuvent

quand ils le désirent apporter des modifications

à un document de travail et ces modifications

seront quasi immédiatement visibles par tous les

autres collaborateurs.

6111/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Bureaux virtuels

• Définition : espace de travail personnel en ligne qui allie en même

temps les caractéristiques du Web 2.0, à savoir le partage et la création de contenu. Ce service, vise à satisfaire des utilisateurs de plus en plus nomades en leur offrant la possibilité de disposer à tout moment de leur espace de travail à partir de n'importe quel ordinateur.

• Exemples• Exemples

– Mondesk :

• 1 Giga d'espace disque pour stocker, partager et sauvegarder tous ses documents dans le bureau virtuel

• Synchronisation du bureau virtuel avec Outlook, son téléphone portable …

• Envoi de fichiers volumineux par e-mail depuis le bureau virtuel

• Partage d’agendas et organisation de réunions

• Possibilité de déployer le bureau virtuel comme plate forme de travail collaboratif dans son service ou entreprise

6211/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Bureaux virtuels

• Exemples (suite)

– OODesk : après inscription le service permet

• le stockage des fichiers,

• L’utilisation d’outils bureautiques (traitement de texte, tableur,

etc.), etc.),

• l'accès aux courriers électroniques,

• le streaming multimédia pour l'écoute de musiques,

• l'organisation et la visualisation de photos (diaporamas),

• la gestion des flux d'information et de messagerie instantanée, etc.

6311/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Bureaux virtuels

• Application : avec OODesk en cliquant sur démarrer on peut facilement

– importer des fichiers de son ordinateur à son espace virtuel et

inversement. Cela permet d'avoir en permanence ses fichiers

– organiser ses fichiers comme dans une arborescence Windows

traditionnelle.

– configurer son espace personnel en choisissant un thème et une – configurer son espace personnel en choisissant un thème et une

couleur à appliquer à son écran.

– partager ses fichiers avec d'autres personnes en entrant simplement

l'adresse de l'utilisateur voulu.

– Rassembler ses pages Web favorites et y accéder très simplement.

6411/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Univers virtuels

• Métavers (autre appellation) = Néologisme tiré de

l'anglais metaverse c'est-à-dire méta-univers

• Définition = « Un univers virtuel 3D ou monde virtuel est un monde

créé artificiellement par un programme informatique et hébergeant une

communauté d'utilisateurs présents sous forme d'avatars et pouvant s'y communauté d'utilisateurs présents sous forme d'avatars et pouvant s'y

déplacer, y interagir socialement et parfois économiquement. Ils peuvent

également interagir avec des agents informatiques. Ce cyberespace peut

simuler le monde réel ou non. Il peut reproduire les lois physiques du

monde réel telles que la gravité, le temps, le climat ou la géographie. Ou

au contraire s'affranchir de ces limitations physiques. Les lois humaines

peuvent également y être reproduites : la communication entre les

utilisateurs se fait le plus souvent sous forme de texte. » (Wikipédia)

6511/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Univers virtuels

• Les métavers qui nous intéressent ici, offrent

un espace de réseau social se différenciant

ainsi, des autres univers virtuels orientés

exclusivement vers le jeu en ligne, comme le exclusivement vers le jeu en ligne, comme le

célèbre World of Warcraft

• Quels sont ces univers ?

6611/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Univers virtuels

• Second Life : créé et édité en 2003 par la société Linden Lab.

Comme son nom l’indique permet de se créer une « seconde vie »

virtuelle. Constitué d’îles et d’îlots

– A télécharger sur son PC ou Mac

– Après inscription les utilisateurs peuvent

• créer le contenu du jeu : vêtements, bâtiments, objets, animations et sons, etc.

• acquérir des parcelles de terrain dont ils obtiennent la jouissance.

– Possède une économie propre basée sur une monnaie virtuelle, le

dollar Linden, convertible en dollars US auprès de bourses d'échange

gérées par Linden Lab ou indépendantes.

6711/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Univers virtuels

• Second Life (suite)– Second Life est à la fois un jeu et un réseau social. C'est un espace de

rencontre où s'expriment les engagements sociaux et politiques de manière

libre et internationale ; les débats, expositions, conférences, formations,

recrutements, concerts, mariages sont des événements courants sur Second

Life.Life.

– Pour les bibliothèques et bibliothécaires un lieu à découvrir impérativement

: http://infoisland.org/ île regroupant des bibliothèques virtuelles, ou encore

la bibliothèque francophone de Second Life à laquelle on peut accéder par

téléportage, en cliquant sur http://slurl.com/secondlife/Ebeoplex/55/178/21

– Plus d’info sur http://fr.wikipedia.org/wiki/Second_Life

6811/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Cartes heuristiques

• Définition : une carte heuristique (Map Mind) est un moyen

visuel et symbolique de décrire la relation entre plusieurs éléments. On l’appelle carte conceptuelle, carte mentale ou encore topogramme.

– Chaque élément est lié à un autre élément par un lien de type hiérarchique. Il s'agit d'une représentation principalement hiérarchique. Il s'agit d'une représentation principalement arborescente des données.

– Le Web 2.0 a ajouté une dimension supplémentaire aux cartes heuristiques, celle de la collaboration.En effet, à l’heure actuelle, on peut avoir accès à des applications en ligne permettant l’élaboration de carte heuristique commune. Travailler ensemble, à plusieurs sur une même carte et ce de façon simultanée ou différée est possible.

6911/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Cartes heuristiques

• Avec quels outils les créer ?

– Initialement dessinées à la main, aujourd’hui elles peuvent être

crées à l’aide de logiciels comme

– Bubbl.us : (en ligne) après inscription– Bubbl.us : (en ligne) après inscription

• Prise en main très facile et rapide

• Construction de carte très simple, collaboration avec des amis

ou collègues sur une même carte (même éloignés),…

– Aussi grâce à des outils hors-ligne à télécharger comme

FreeMind

7011/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Services et applications Web 2.0 :

les Cartes heuristiques

• Exemple de création avec Bubbl.us représentant les applications Web 2.0

utilisées à la bibliothèque de l’UGB de Saint-Louis

7111/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

• Messagerie instantanée et VOIP : exemples

– Skype : permet principalement de passer des appels téléphoniques à partir de votre ordinateur et via Internet + service de Chat (voir aussi Yahoo! Messenger et Windows Live Messenger)

– Meebo : webmessenger permettant de se connecter simultanément à Jabber et plusieurs protocoles de messagerie instantanée dont AIM, Yahoo! Messenger, Google Talk, Windows Live Messenger, etc. sans installer un seul de ces logiciels

• Moteurs de recherche : exemples

– Yoono : recherche et partage d’informations

Services et applications Web 2.0 :

les Divers

– Yoono : recherche et partage d’informations

– Technorati : moteur de recherche de la blogosphère

– Kartoo : présentation cartographique des résultats

– Et tant d’autres : (plus de 300 voir : http://bobstumpel.blogspot.com/2007/08/search-20-more-than-threehundred.html)

• Navigateurs : exemple– Flock : navigateur social capable d’interagir avec des services 2.0 (blogs, sites de partage,…)

• Sites moralement répréhensibles : comme pornographie 2.0 : Exemples

– Désolé pas d’exemples, l’autocensure est passée par là � transition vers les dangers du Web 2.0

7211/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Web 2.0 :

Dangers

Sur le Web,

personne ne sait

Une image pour (presque) tout dire

73

personne ne sait

que je suis un

chien

11/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

• Le Web classique était loin d’être un espace aseptisé où rien de fâcheux ne pouvait arriver. Y est apparue le concept de cybercriminalité

• Ces dangers sont multipliés dans le Web 2.0 où tous les internautes assez familiers avec l’outil informatique peuvent devenir des producteurs de contenus et ainsi :

Web 2.0 :

Dangers

peuvent devenir des producteurs de contenus et ainsi : – véhiculer tout un ensemble d’idées, d’images contraires aux

normes établies

– élaborer des arnaques (dans le web 2.0 les amis se mélangent avec les faux… amis) Faire donc attention aux demandes «d’amitié» sur les sites de réseaux sociaux

– utiliser ces sites comme vecteurs pour injecter des spywares et autres menaces informatiques

7411/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

• Florilège de dangers possibles– Hacking : les pirates peuvent se constituer de vastes bases de données

en passant au crible les profils des internautes inscrits sur les sites sociaux,

– Spamming : messages utilisés pour attirer les internautes vers d’autres sites web. Le phishing ou hâmeçonnage est une évolution de cela et vise

Web 2.0 :

Dangers

sites web. Le phishing ou hâmeçonnage est une évolution de cela et vise usurper les données sensibles d’un tiers (notamment ses mots de passe, son numéro de carte bancaire) en l’attirant sur un site factice enregistrant toutes ses actions. Via les blogs on parle alors de Splog : des messages de commentaires postés dans des blogs , uniquement pour ajouter des liens vers un ou plusieurs sites web à promouvoir.

– Walling : utilisation d’informations écrites sur le mur de votre compte d’un site Web 2.0 (exemple Facebook) par un autre utilisateur véreux, qui va exploiter ces infos pour concocter une stratégie d’attaque contre vous

7511/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Quelques précautions

• Ne jamais faire de ces sites (notamment les

réseaux sociaux) des cercles de confiance

• En dire le moins sur soi

Web 2.0 :

Dangers

• En dire le moins sur soi

• Faire attention à toute offre d’amitié, toute

invitation suspecte (même sous le couvert

« d’amis » que l’on connaît déjà)

• Etc…

7611/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Les sites Web 2.0 ont connu une expansion brusque et

incontrôlée

• Risque d’éclatement de la bulle Web 2.0 : actuellement, calme et

remise à niveau naturelle, beaucoup de produits ayant disparu à cause

concepts légèrement farfelus ou simplement inutiles et sans perspectives

Web 2.0 :

Dangers

concepts légèrement farfelus ou simplement inutiles et sans perspectives

économiques rentables.

– Risque de perte (disparition) de données personnelles confiées à ces

plateformes

• Risque, dans l’avenir, de voir les données échapper à la

propriété des utilisateurs (marchandisation du stockage et de

l’accès)

• Risque de les voir utilisées à d’autres fins

11/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF 77

•Entourées par un cercle

vert les entreprises Web

Carte des logos du Web 2.0 revisitée par Meg Pickard

Web 2.0 : Dangers

Pour avoir une idée de ce qu’on vient d’évoquer

vert les entreprises Web

2.0 qui ont été rachetées à

coup de millions de dollars

•Barrées par une croix rose

celles qui ont échoué et

ont complètement disparu

11/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF 78

Source : Flickr (16 mai 2009)

CONCLUSION• Web 2.0 : réalité effective qui a démocratisé le Web et mis de l’eau dans le vin des

tout-puissants webmasters. Merci JavaScript et XML

• Web 2.0 est à certains égards un Web "Moi Je". On peut s'y montrer et s'y raconter,

quitte à mettre en ligne des données personnelles qui intéresseront une entreprise. On

peut "bricoler" ses propres applications (ou du moins sa propre combinaison d'outils

sur une plate-forme) ; on peut disposer de ressources d'information illimitées, la

plupart du temps remises à jour instantanément (par des fils RSS, par exemple)

• Beaucoup d’avantages : simplicité, interactivité, personnalisation, réutilisabilité, • Beaucoup d’avantages : simplicité, interactivité, personnalisation, réutilisabilité,

valorisation des compétences individuelles (sagesse des foules)…

• Inconvénients aussi : questions sur la pérennité, fiabilité, traçabilité (environnement

dynamique où le contenu change continuellement )

• Appropriation par les géants classiques du Web (Google et Yahoo!) qui ont racheté

plusieurs services 2.0 et sont entrés de plain-pied dans la mouvance (exemple : Google

Custom Search : recherche personnalisable)

• Tout ou presque se décline en 2.0 : entreprise 2.0, archives 2.0….

7911/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

Autre exemple :

La pyramide des besoins de

Maslow illustrée 2.0

En sociologie, la pyramide de Maslow

représente la hiérarchisation de la

motivation chez l’homme. Elle est

constituée de cinq niveaux. Nous

recherchons d’abord, selon Maslow, à

satisfaire chaque besoin d’un niveau

donné avant de penser aux besoins

situés au niveau immédiatement

CONCLUSION

situés au niveau immédiatement

supérieur de la pyramide. Sans surprise,

on recherche par exemple à satisfaire

les besoins physiologiques avant les

besoins de sécurité : c’est pour cela que

dans une situation où notre survie

serait en jeu, nous sommes prêts à

prendre des risques.(source Wikipédia)

Cette illustration applique, à chaque

niveau de la pyramide, des services

Web2.0.

8011/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

CONCLUSIONGalaxie web 2.0

11/05/2009 81Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF

• Merci de votre attention

• Pour la détente voici un petit film illustrant

tout ce qui précède

––The Machine is UsThe Machine is Us--inging Us Us

CONCLUSION

––The Machine is UsThe Machine is Us--inging Us Us

• Avant d’éventuelles questions et contributions

pour mieux dissiper nos zones d’ombres sur le

sujet.

8211/05/2009 Présentation à la bibliothèque de l'UGB de Saint-Louis - © Antonin Benoît DIOUF