« IL TROVATORE »

d’après l’opéra de G.Verdi,

Un spectacle proposé par l’association Voix En Développement

dans le cadre de l’opération « Une diva dans les quartiers »

menée par Malika Bellaribi-Le Moal, mezzo-soprano

Malika Bellaribi - Le Moal, mezzo-soprano, chante en soliste depuis 1987. En dehors de la scène, désireuse de mettre le chant lyrique à la portée de tous, Malika Bellaribi-Le Moal, met en place des ateliers pédagogiques, dans les quartiers populaires. Avec le soutien de partenaires sociaux, elle anime, depuis 11 ans, des ateliers de chants pour enfants, adolescents et adultes qui se produisent sur scène, aux côtés des professionnels, lors de ses différents spectacles. Depuis décembre 2010, elle travaille avec les ateliers de Colombes, Bondy et Paris afin de préparer son nouveau spectacle « Il Trovatore » d’après l’opéra de G.Verdi (réduction de 1h30). Ce spectacle sera joué, avec l’orchestre philharmonique de la RATP sous la direction de Martin Lebel, le dimanche 27 novembre 2011 à 16h00 à l’Avant-Seine/théâtre de Colombes et le mardi 20 décembre 2011 sur la scène de l’Unesco Ce spectacle sera également présenté, en version récital, le samedi 3 décembre 2011 à la Salle Gaveau à Paris, (spectacle réservé aux ayants-droits RATP).

Un spectacle en deux parties :

En première partie, les enfants issus des ateliers lyriques de Colombes et Bondy interprèteront des mélodies et airs d’opéra aux cotés de Malika Bellaribi-Le Moal, et de musiciens professionnels.

Des ateliers ouverts à tous Depuis septembre 2010, Malika propose des ateliers hebdomadaires de chant lyrique à Colombes, Bondy et Paris où enfants, adolescents et adultes, sans aucune connaissance musicale particulière, s’initient au chant lyrique. Leurs objectifs : monter sur scène aux cotés des professionnels en novembre 2011 pour jouer ce nouveau spectacle « Il Trovatore? » d’après l’opéra de G.Verdi. A côté des objectifs affichés aux participants, Malika s’en rajoute d’autres. Réussir l’opération « une diva dans les quartiers », c’est aussi pour elle les aider à s’affirmer, à réussir le pari qu’ils se sont lancés à eux-mêmes, à avoir envie de continuer cet apprentissage du chant ou de la musique...

Pour ce faire, Malika s’est entourée d’une équipe technique qui travaille en étroite collaboration avec les structures et organismes mettant en oeuvre l’opération “Une diva dans les quartiers “, notamment le centre social et culturel des Fossés - Jean de Colombes et l’association Le Rocher à Bondy.

IL TROVATORE DE G.VERDI:

Un drame romantique espagnol médiéval

Le soir du 19 janvier 1853, « Il Trovatore, en francais « Le Trouvère », opéra en 4 actes de G. Verdi était créé au théâtre de l’Apollon à Rome. Le succès du Trouvère a été si grand que le lendemain les rues étaient encore pleines de monde pour acclamer Verdi.

Contexte :

Le père du comte de Luna a eu deux fils d'un âge proche. Une nuit, on découvrit une gitane près du berceau du plus jeune des deux frères. On la chassa, mais l'enfant tomba malade peu après et on pensa qu'elle lui avait jeté un sort. Elle fut retrouvée et condamnée au bûcher. La fille de la gitane, Azucena, décidée à venger sa mère, s'introduisit dans le château et s'empara du jeune enfant dans l'intention de le jeter lui aussi au bûcher. Mais elle fut prise d'un accès de folie et jeta au bûcher son propre enfant à la place de l'héritier. Elle éleva alors l'enfant de Luna comme son propre fils. Il prit le nom de Manrico. Au début de l'opéra, Manrico est devenu adulte et trouvère, et Azucena est toujours décidée à exercer sa vengeance contre le comte de Luna à travers Manrico.

Un drame romantique :

Au palais d'Aliaferia en Aragon. Ferrando, le capitaine de la garde du Comte de Luna raconte une histoire à ses hommes : Le père du comte de Luna a eu deux fils d'un âge proche. Une nuit, on découvrit une gitane près du berceau du plus jeune des deux frères. On la chassa, mais l'enfant tomba malade peu après et on pensa qu'elle lui avait jeté un sort. Elle fut retrouvée et condamnée au bûcher. La fille de la gitane, Azucena, décidée à venger sa mère, s'introduisit dans le château et s'empara du jeune enfant dans l'intention de le jeter lui aussi au bûcher. Mais elle fut prise d'un accès de folie et jeta au bûcher son propre enfant à la place de l'héritier. Elle éleva alors l'enfant de Luna comme son propre fils. Il prit le nom de Manrico. Au début de l'opéra, Manrico est devenu adulte et trouvère, et Azucena est toujours décidée à exercer sa vengeance contre le comte de Luna à travers Manrico. Pendant ce temps, dans les jardins, Léonora nous raconte son amour pour Manrico, un jeune trouvère (pauvre) qu’elle a entendu chanter sous son balcon. Entre, alors, le Comte de Luna qui, fou amoureux de Léonora, se dirige vers sa belle. Il entend le chant de son rival. Trompée par la nuit, Léonora accourt par erreur vers le Comte, croyant retrouver son amour. « Infidèle ! » lui crie alors Manrico. Se rendant immédiatement compte de son erreur, Léonora se précipite auprès du Trouvère pour lui jurer son amour. Jaloux, le Comte, le défie en duel.

Dans le camp des gitans, Azucena (gitane et mère de Manrico) raconte l’histoire tragique de sa mère.

Manrico, en entendant ce récit s’écrit alors : « Je ne suis pas ton fils ! » Azucena le rassure et lui jure son amour de mère. C’est alors qu’un messager vient annoncer à Manrico que Léonora, le croyant mort, s’est cloîtrée dans un couvent.

De nouveau, Manrico et le Comte de Luna s’affrontent pour l’amour de Léonora. Notre Trouvère parvient à mettre Léonora en lieu sûr dans son camp de Castellor, pour pouvoir l’épouser.

Le Comte de Luna, capture Azucena, découvre qu’elle est la mère de Manrico et décide de la condamner au bûcher.

Manrico, prévenu par un messager de l’arrestation de sa mère (Azucena), se précipite à son secours. Il ne parvient pas à la sauver et se fait arrêter.

C’est alors que Léonora élabore un plan pour venir en aide à l’homme qu’elle aime. Elle propose au Comte de Luna de l’épouser à condition qu’il libère le Trouvère. Le Comte de Luna accepte, sans savoir qu’elle a décidé d’absorber du poison dès que son amant sera libéré, pour échapper à ce mariage qui lui est insupportable.

Elle rejoint Manrico dans sa cellule, le presse de partir. Celui-ci ne comprend pas que Léonora s’est sacrifié pour lui. Quand les effets du poison se font sentir, il prend conscience de l’horreur de la situation.

Le Comte de Luna entre et trouve Léonora morte dans les bras de Manrico. Fou de rage, il ordonne que le Trouvère soit condamné à mort. Entendant cela, Azucena essaie de l’en dissuader. Il ne veut pas l’écouter. Elle finit, alors, par lui avouer que Manrico était son propre frère en s’écriant : « Tu es vengée, ô ma mère ! »

Une mise en scène de Caroline DUMAS, de l’Opéra de Paris

« Verdi a écrit là un opéra d'un grand romantisme. Il nécessite des voix exceptionnelles, où chacun des interprètes a de splendides occasions de prouver tant son art du chant belcantiste que son engagement dramatique. Les airs de la mezzo(Azucena), du ténor (Manrico) ou de la soprano (Léonora) sont particulièrement redoutables. Il est très difficile, de réunir les grandes voix de cet opéra, Malika Bellaribi-Le Moal, a réussi ce véritable exploit, car elle se déplace pour entendre et découvrir des talents exceptionnels. "Il trovatore" est un opéra particulièrement complexe à représenter, pour plusieurs raisons tout d'abord, une partition vocale exigeante qui nécessite des voix exceptionnelles larges et très étendues. Concernant la mise en scène, pour éviter l'utilisation d'un décor très chargé, j'ai mis l'accent surtout sur les lumières pour mettre en valeur les différents caractères des personnages et un déplacement sur scène des choeurs et solistes en cohérence de la trame dramaturgique. »

Caroline Dumas

Elle est la seule française à avoir chanté Lulu de BERG à l’Opéra Comique, sous la baguette de Manuel ROSENTHAL. Elle a été aux cotés de José VAN DAM, Elvira dans le Don Juan de Mozart, Micaela dans Carmen sous la direction de Michel PLASSON. Elle a interprété Elektra à la Halle aux Grains à Toulouse dans une mise en scène e Nicolas JOEL. Au théâtre du Capitole, elle a interprété Musette dans la Bohème, Leïa dans les pécheurs de Perles, Valses de Vienne…. Sa carrière étrangère la conduit au Canada (Faust de Gounod), à l’Opéra de Dublin (Louise de Charpentier), en Allemagne, Etats-Unis, Belgique, Israël, Grèce, Japon, Bulgarie, l’opéra de Sofia l’accueille pour le Festival des Nations (Carmen avec Alain VANZO et Nadine DENIZE). Elle a été conviée par le Roi du Maroc pour des Masters Classes au Conservatoire Nationale Supérieur de rabat. Elle était fin décembre 2000 au Japon où elle a donné deux récitals à Tokyo et une Master Class à l’Université. Elle a également fait des Masters Class en Russie (Moscou), en Chine, à Pékin et à l’Opéra de Changaï. Elève de Charles PANZERA, elle perpétue la tradition de l’école du chant français et en continuant sa carrière, donne des cours de technique vocale et d’interprétation à l’Ecole Normale de Musique de Paris. Donnant des concerts de mélodie, elle est régulièrement invitée au Conservatoire National Supérieur et à l’Opéra du Caire.

Caroline Dumas commence très jeune des études musicales au

Conservatoire National de Nîmes. Elle y obtient de nombreuses récompenses et passe brillamment le concours d’entrée au Conservatoire National Supérieur de Paris et en sort la plus jeune récompensée avec trois premiers prix. Elle est engagée à l’opéra de Paris où elle crée un opéra de Sauget. Elle est sous la direction de Georges PRETE, une brillante Mimie de la Bohème, Isoline des Contes d’Hoffmann.

Assistante mise en scène : Sophie Magnaud En tant que comédienne, elle a notamment travaillé sous la direction de Jean-Pierre Vincent, Carlo Boso, Guy Pion, Aurélien Portehaut, Lesley Chatterley (en anglais), Christine Farenc (en anglais), Luis Rabell (en espagnol)... En 2007, elle co-fonde le Théâtre Dell’Arte, compagnie avec laquelle elle tourne des spectacles en Europe. En tant que traductrice, elle est membre du comité anglais de la Maison Antoine Vitez depuis 2006. Elle participe aux traductions collectives de SHOOT/GET TREASURE/REPEAT de Mark Ravenhill et LES CINQ FEMMES DE MAURICE PINDER de Matt Charman. Elle a également traduit DE BRAVES GENS de Trevor Griffiths et CANCRELAT de Sam Holcroft (partenariat Traverse Theatre d'Édimbourg / Maison Antoine Vitez / Théâtre Ouvert – Festival d’Avignon In, 2011). Elle est également l’assistante de Jean-Pierre Vincent (CANCRELAT de Sam Holcroft / théâtre) et Caroline Dumas (LE TROUVERE de G. Verdi / opéra). Parallèlement, elle monte des ateliers de théâtre dans des contextes sociaux sensibles (jeunes de cités, détenus, primo-arrivants dans des cours d’alphabétisation...)

L’Equipe Artistique

LE CHEF D’ORCHESTRE : Martin LEBEL

L’ORCHESTRE : Orchestre philharmonique de la RATP

LA MISE EN SCENE : Caroline DUMAS, de l’Opéra de Paris, assistée de Sophie MAGNAUD

LUMIERE : Jacques Deliot LES SOLISTES :

Malika Bellaribi-Le Moal, mezzo-soprano, dans le rôle de Azucena Catherine Manandaza, soprano, dans le rôle de Léonora Georges Wanis, ténor, dans le rôle de Manrico Christian Le Moal, baryton, dans le rôle du Comte de Luna Alexandre Belikian, baryton-basse, dans le rôle de Fernando Joseph Kauzman , ténor, dans le rôle de Ruiz Pierre Babolat, baryton-basse, dans le rôle de Fernando (représentation à l’Unesco)

LES CHORISTES : Ateliers d’art lyrique menés par Malika Bellaribi-Le Moal à Colombes, Bondy et Paris (Opéra Dévoilé). Les adultes : Andréa, Annie, Bineta, Bruno, Christine L., Christine M., ClaireV., Claude, Claudie,

Daniel, Dominique, Farida, Fatna, Leyla, Luc, Malika G., Marie, Martine P., Mounira B., MouniraR., Nahima, Nordine, Noria, Odile, Olivier, Philippe, Rahma, Roseline, Sylvie, Véronique, Vincent, Zahra, Lydia, Guylène, Marion, Claire L., Martine L., FrançoiseV., Fatiha, Malika C., Viviane, Françoise C., Martine D., Danielle, Alain, Jean-François, Louis-Jean, Laurent T., Marc, Denise.

Les enfants : Ebony, Nisrine, Lilia, Yassmine, Backtage, Avesta, Mélissa, Saufiane, Sarah, Camille, Ta-Merry, Sabrina,

Charline, Wesley, Shenice, Mahawa, Aminata, Dala, Haby, Emma, Fatou, Siga, Nomotoutou, Bruce,

Hadja, Mélissa, Sandy, Coralie

MUSICIENS PREMIERE PARTIE : PIANISTES : Hye Jin Yoon-Ferry CLARINETTE : Vincent Lochet VIOLON, Clément Brechet VIOLONCELLE : Olivier Schlegelmich COORDINATION ARTISTIQUE ET PRODUCTION: Valérie-Anne Moniot

MALIKA BELLARIBI-LE MOAL,

Une voix d’un timbre rare :

Douée d'un timbre rare, plein d'ombre et de velours dans les graves et le médium comme chez les

chanteuses noires américaines, sonore et généreux dans l'aigu, Malika Bellaribi-Le Moal manifeste aussi

une grande aisance dans la communication avec le public dont le contact galvanise son goût de la

représentation.

Son répertoire allant de l'art lyrique italien du XVIe et XVIIe siècle aux compositeurs contemporains en

passant par les grands classiques du XVIIIe et XIXe siècle, la porte à aborder des oeuvres très

différentes. Mais toujours, c'est le même sens communicatif des émotions qui la guide, des pages les plus

dramatiques de Carmen aux airs les plus gais d'Offenbach.

Malika Bellaribi - Le Moal, chante en soliste depuis 1987. Parallèlement à la création de spectacles d’airs d’opéra, elle propose des concerts « à la carte » sous forme de récitals ou de concerts de musiques sacrées. Artiste engagée, cantatrice reconnue, Malika Bellaribi-Le Moal s’est produite sur les scènes les plus prestigieuses en France et à l’étranger. Mais connaître un tel succès quand on est né dans un bidonville à Nanterre, voilà qui est proprement stupéfiant, tant on imagine nombreux et dissuasifs les obstacles à surmonter. C’est peu dire, en effet, que rien ne la prédestinait à suivre ce parcours exceptionnel. Son histoire est bouleversante. C’est un grave accident qui va faire basculer sa vie et lui ouvrir les portes de la musique et de l’art lyrique. Aujourd’hui, son ambition est de démocratiser l’art lyrique et de faire découvrir l’opéra à des enfants et adultes de quartiers défavorisés qui n’ont pas la chance d’y avoir accès. Parce que la musique l’a aidée à surmonter les épreuves de la vie, Malika Bellaribi-Le Moal veut transmettre sa passion aux plus défavorisés et rendre à la vie ce qu’elle a reçu. Son actualité : Son roman autobiographique « Les sandales blanches » chez Calmann-Lévy et son nouvel album « Melting Op’.

Elle met au service des œuvres qu'elle interprète, un désir passionné de

transmettre les émotions. Sa recherche musicale consiste

essentiellement dans l'exploration de son propre vécu émotionnel vis à

vis des grandes œuvres et s'ouvre à un répertoire très large. Certes, une

évidente prédilection la porte vers l'art lyrique et la mélodie.

Elle ne néglige pas pour autant la musique sacrée où elle trouve

l'occasion d'exprimer une foi catholique qui dans son cas marque

l'authenticité du choix personnel plutôt que l'habitude culturelle.

La grande force suggestive de sa voix, capable d’exprimer aussi bien la

puissance des émotions charnelles que la joie de vivre d’une femme

maîtresse de son destin, la simplicité chaleureuse avec laquelle elle

entraîne l’auditeur dans le phrasé voluptueux des vocalises lui donne un

contact privilégié avec le public des salles de concerts.

Femme dynamisante Clarins 2011 :

Le prix Femme Dynamisante, 14 ans de liens du cœur Depuis 1997, Clarins a su rester fidèle à sa vocation d’entreprise citoyenne et à ses valeurs de générosité en tendant la main aux générations futures. Chaque année, le Prix Clarins « Femme Dynamisante » récompense l’engagement d’une femme d’exception qui, par le travail de son association, redonne bonheur, espoir et dignité aux enfants victimes de violence, de pauvreté ou de maladie. A ce jour, elles sont 54 femmes de cœur, en France et dans le reste du monde, à avoir ainsi été honorées, financées et soutenues dans leur généreux combat en faveur des enfants qui souffrent. Cette année encore, Clarins ouvre avec bonheur une nouvelle page pleine d’amour et d’espérance en distinguant une lauréate qui fait de sa vie une bataille au service des enfants les plus démunis. Pour sa 14ème édition, le Prix Clarins Femme Dynamisante met à l’honneur la chanteuse lyrique Malika Bellaribi-Le-Moal. Cette mezzo-soprano, qui a fait de sa vie un hymne à l’amour, entre aujourd’hui dans la chaîne du cœur que Clarins tisse avec ses lauréates pour que chaque enfant ait une chance d’avenir et pour que la vie ne leur vole pas le droit incompressible à l’amour et au bonheur.

L’orchestre philharmonique de la RATP, dirigé par Martin Lebel

Un partenariat avec la Fondation RATP :

A travers son programme « Parcours d’émotion », la Fondation RATP propose de rendre la Culture accessible à ceux qui en sont d’ordinaire éloignés. En offrant l’accès à des ateliers pédagogiques, à des parcours d’éveil culturel, à des solutions de transport adaptées ou encore à des tarifs préférentiels, la Fondation RATP permet de réduire les freins sociaux qui entravent l’accès à la richesse et à la diversité du patrimoine culturel français, que ce soit à travers les musées, le théâtre ou la musique. C’est dans le cadre de ce programme qu’elle soutient l’association « Voix en développement » et ses ateliers pédagogiques dans les quartiers défavorisés, pour les enfants et les adultes. L’orchestre philharmonique de la RATP, dirigé par Martin Lebel et composé de musiciens salariés de l’entreprise, organise des concerts dans des salles prestigieuses. Il propose également des concerts pédagogiques, dans le cadre de sa mission de diffusion culturelle. Toujours en quête de nouvelles programmations à partager avec leur public, Martin Lebel et son équipe souhaitaient mettre en scène un opéra. La Fondation est heureuse de jouer, entre les deux projets, un rôle de passerelle initiant une collaboration entre les deux structures, afin de proposer les meilleurs moments de l’opéra « Il Trovatore » de Verdi, dans trois lieux culturels reconnus.

En 2000 il est nommé, sur concours, premier chef invité permanent de l’orchestre de Karlsbad (Allemagne). En avril 2003, il remporte le Premier Prix au Concours international Prokofiev à Saint-Pétersbourg. Il est le premier chef français à y recevoir une distinction. Martin Lebel est invité à diriger de nombreuses et prestigieuses formations telles que l’Orchestre philharmonique de Prague, de Saint-Pétersbourg, l’Orchestre métropolitain de Lisbonne, de Montevideo, nombre d’orchestres en Pologne et en France Depuis 1996, il a été nommé directeur des formations musicales de la RATP.

Martin Lebel, Chef d’orchestre

Pianiste et violoncelliste, Martin Lebel a été quatre fois primé au Conservatoire national supérieur de musique de Paris : en fugue, contrepoint, orchestration et direction d’orchestre. Il s’est perfectionné à Tanglewood USA où il fut choisi par Seiji Ozawa pour diriger l’orchestre Dimitri Mitropoulos à Athènes.

PARTENAIRES

Voix en Développement tient à remercier pour leur soutien : ACSE Ministère de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des collectivités territoriales et de l’Immigration Secrétariat Général à l’Immigration et à l’Intégration Ministère de la Culture et de la Communication DRAC Ile de France Centre Social et Culturel des Fossés-Jean de Colombes Association le Rocher Clarins Mairie de Colombes L’Unesco l’Avant-Seine/Théâtre de Colombes Fondation RATP L’orchestre philharmonique de la RATP Fondation Abbé Pierre Fondation Devoteam L’Opéra Dévoilé Et l’ensemble de l’équipe de production et artistique.

INFORMATIONS PRATIQUES Pour rendre l’opéra accessible à tous, le tarif des places de ce spectacle n’excédera pas 10 euros et sera gratuit pour les moins de 12 ans.

SPECTACLE « IL TROVATORE? »

Dimanche 27 Novembre 2011à l’Avant-Seine/Théâtre de Colombes à 16h00 88 rue Saint Denis 92700 Colombes Tarif unique et placement libre : 4 euros Points de vente des places : CSC des Fossés-Jean Tel : 01 42 42 86 76 CSC du Petit Colombes l'Avant-Seine / Théâtre de Colombes

Samedi 3 décembre 2011 à la salle Gaveau-Paris à 20h30 Spectacle en version récital réservé aux ayants-droits RATP

Mardi 20 Décembre 2011 à l’Unesco – Salle 1 à 20h30 125 rue de Suffren 75007 Paris. Métro : Ségur-Cambronne Tarifs : 10 euros – 5 euros et gratuit pour les moins de 12 ans Vente des places : 07 60 13 58 58 et réseau Fnac-Carrefour 08 92 68 36 22 (0,34€/min)- www.fnac.com et billet réduc

CONTACT PRODUCTION : CONTACT PRESSE : Voix en Développement Prod/uctive 4 avenue Winston Churchill 94220 Charenton Le Pont Valérie-Anne Moniot Tel : 07 60 13 58 58 6 rue Vavin - 75006 Paris v_en_d@club-internet.fr Tel : 06 07 91 59 18 www.malikabellaribi.com moniot-va@club-internet.fr