2jouimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1919/b315556101...c nom d'un iri.00n qui lui aur1...

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' & RDACT1t A .g33. Ruo Rociueh:d!3 t, TOULOU$ 1:.? U 13 t X C IT Ê S.,, ru rUX 'a foTri&, Z,' rzs $ e ' - e Ç4Ufl)érO DX Le SOCIhSC et 'r&s 4ÇOit l'autre jour !tmonLré pal' n(.ataUOfl des 6irtnements do la vie Jcju jOU1.fl'', (1110 1O seuleienL '0j3Ijiï1O a t6 jusqu'ici le seul à pro- 1ter rat'cI profouc e; cltir sur le rcnt rural; mais aussi a -' k setil h soutenir sims relâche d6faillanco les in1rs des petits t) ictinieS de crises ccaiomqJes ital;lcs e"- rgin:le capitaliste et destj- is se multiplic dans la mesure mtIne i;tcoi3&u rgitiiO so fortifler. Coijeadant, rnagr6 I'rideuce des fniL, uelc1eS11flS semblent ne1tro en doute la de notre action agraiLe, Une ar.- politiquo nous guido, prteu- jt-iiS, dtfl nos dmonstraios damLe rnvers la petite propri6t. D'apr? eux, COUS eaheic'n aux paysans le fouit 1c ra- Ire qui est e3sentie!1emcr& des- çuctrec; e lorsque nous delarons quo les petiis detDaines peu\-eu parfaitenlelit 5j54L daus Otr3 nouveau ÎNgLrnO cttS propriété eoliccljV@, dont is pauvroftt en outc utilicr le voisinage ls uget ceite delartion en opposiiior& avec Fespri(i ualo (la seiai!sne ''éfrolut.ion- caire, qui doit s'opposer cette survivance 1)Ufr't1 *0 durnerait 501CR WUX dan iUo iomUlC bi&t connuo : Supp'es Jj( la pojritt indtucluofle » I VoiU qu'c!fl nous objce .vec une ioa-e foi plus ou incius certain; voilà Jerreuc fOndnueEltalo quo nos adversaires eu scrup'ileux ou iïI reRseigtus propa- at tians les masses payswancs, afin d'.t- eflltr ecatie nous une definco inunernie Or, cette formule avec .lquelte on eayo b_nous fag&lcr, n'est pas l'expression do la pensée socialiste. Il est inexae de dire quo nous pouruivon san rdserves l'ex- jftCijOfl do l propri*t indiyidnelle; nous fl poursuivons h vrai dire que la des-truc-- fia delt propriL6 capitaliste, cc qui n'est p autee c-lwse que la suppression du sa- LiriaL L4 oiaisre n'dne pas qu'un r-otd)re corisidralle dliornnies soient obli- I;t de travailler pour le cornpte d'une cga6o td'Oiif dont les icliesses 'ae--- CrDisen par la sueur de aulces. Il n'ad- n1c, pas que Vaergie hnrninc so1 assi- mibo i ttue nie1aniise sourriise aui flue- uaLon comtuercialeg et quo ci qu iejnent soient ù la dispesiLioa de ceux qui T1G foti rien. Cette chipendanco inat.5rielle. iu'aueune raison-morale n juStifie, appa- 'dt au ociatisme comme une source d'im- parce qu'elle est do toute cvi- enee l'ohstace le plus sérieux au dôveiop- J1!1eaL 40 la personnalit6 humaine. flotte Luatioa de l'ouvrier moderne, si voisine ar cadroits do l'esclavage anUqua et du servahe du Moyeu Age, cette siivat.ioii qui ¶'4iSSc la raison e qui iieure les hacntaircs priacipCs dmccratiques, voi- a prcjstnen1, ce qu le sUeiaIisn3 veut le('uire par la substitûtion de la propri&b £Gsale la propriU capitaliste. Mais il iefaut pas oublier que Ta propri5t capi- !tse u'es qu'un niode dc la propritd in- C1ducdle, un simple modo drivé; et telle- (neal. du modo originaie, tellement. 1ave{i e perverti qu'il est bien diffleile - .COiuparc.e aujoUrdliui avec la petite ;:::oPr1et paysanne 1c possessions innoni- IJ-oe et di3tnjaes des socit5s a.uony- ra, celles dc messieurs (le flots- ld'1jes bien elii qu'e;n:t ac'Y ce- Ionnare de chemins de fer pa- eXemp;e, t- vdicujbtL propriLaire de deux bc- 9gnes, la dif. érence et bien c.bl,e_ qu'entre . ce mtnio propriiaire et çc vOisj salari3 a-ec lequel i s'eoLreiieot rflllement et sw-' m pied d'aIit. distjneLjo que nous tabl'sson. (e e no ad'ersajrcs feignent d'ignorer) en- laproprjCtd cpitaliste et la pciLc pro- '- te0 q constii'te uos ycu': la sc.u1 ir ItaurellG de la propvii individuel- lr'e ,ait CO3.ilm-endre que nos attaques con- ii'-' I)rOEinkre ne sont pas neessairen.enL .; fl1CRacs coutre Ta seconde. . siaht5f1e ne s'insurge pv. propre- f' 4 Lij.j' contre ce fait naturel qu'il :- S4i "opritaires, mais contre ce t qu0 Çtu3 grand noni!n e dkornmes Sont Propriétaires et; ne jouisseril; , Par uito de la S(Curit( ncesaire à 'anQuieme cia leurs teadaees ' un-. - Il Pense comme les phutoophs et 103 , G!fli5tCs do toute opinion que la liberté ;:11u mo 5Ono'e et ci'cu ,si eUe na peut' - d::trtt Pour sauveg&rde la proprih. i - PCiUL-quoj jj pr(conise 1u nouveau ré- Ocenorniquc où tout le inonde aura Irt et; jt&nib[o do posses- t'(lI,iiSS0ytnt de e es nouvelle't , 1tos uriuiqtte j fa prpritt u'est I' esru! e 5O0iaj-j0 le bu i atteiuiL'o; 1lutt,, en dnuue, le moyen de Ideal F'Up5Cn14) : la liberation - tic et nerle do t'indjvid. ct - . - lre 9 Cencepto Lm1l\r1dtaljst do . 's el:rn? Perfuet dc r55rCt' lc, pe- ernLar,s te soj:t qui leur cs .?ls t r:ts V0flO5 de I \oir, co qui ' (o f&i& (1i$..parait-', cct 1j, et Luet1erie de la pro- _(coe Capitttljtc i_________. -. TtLe?l 0.43 QUOT D EN SOCAL laire invita-blo le. saiarial. Or, le petit pi-opritaire rtest. pas un capitaliste, ni un salarié. hue va pas promener son spleen et 50x1 ennui de vivre de la plage la. VIILO cl; do la ville à la montagne. tandis cjuodes ouvriers travaillent pouilui ur son do- 1Tnil1e. Il n'est pas davait.ag-c à la solde (t tfl nulte Il h c nue, mats l U c uI1e pour sn propre compte, etIa sueur de son front arrose et f3coiule une terre qu'il cul- tivo à son gré. TI est son prope niaitre; et par l, il nc.st pas exag&t de, prétendre (!UOfl !an sens il ralisn une partie eIC 1udaI sociniiste, et que, vi'ainrnblable- nient- si le Ntgilno de la petite propriStS s'tait universalis6, le socialisme. n'aurait pas vu le jour, puisque l'antagoniuuo irr- duetibh des deux classes capitalistes e proIttarienne ii'aurait jamais fiu surgir. Si one mous v0u1i0113 dpossder ces llomrflcs d'un domairio qu'ils font fructifier eux-mêmes; et remettre h la collee.tjyjtt ce qui n eL ps exp'oik. L)lcctacme si nous cberch on 't joLi' Pi lutb. dt Ufl e'toins n,c'le de tra- vailleuis, qui par leur situation spdcialc peut demeurer traugro à cette lutte, non seulement nos csp5rance.s iecuIeraicn et deviendraidnt (10 plus eu puis inceiaine. n devenant Plus ambiUeuses, mais encore o_is P1ti1I()flS Cil cont adicion ces °ctc nos pr.neipc-, Fa nou'-, cftorymt o ver la propridid à ceux (lui en ont trûp pour ceux qui iion oiL pas du tout, noue elierehoiv non p- z iodtlkr les formes de la produt t on mcdii cation ou h pe- file proprit eta t 1ntL50S,L - inc i modifier le igmn dc o-ploiritions et le rgimo (les personnes, aflur de periuettro salarks de se rapprocher' autant que POsOl0 de lcus fiuc, \tttabIes tes petite propr-ita4rns auxquels nous voulons onsorvc-e cette iirdpciidanc.e d'etion, cet- sicurii du travail, cette possessiou in- tdgralo des produits de leurs effet L quo wus voulons assurer en numetemps ii eux qui en ont t5 rivtis jusqu'ici. C ist ce quo le saanl, cot'orn sto Ci (.i- , adversaire &'udit et loyal du socialisme admet san difficultd lo.r. - qu'il dent dans ',c- « Pi ineipes d Eeononio poil que n (Livre III, chapitre II) : « .,lo Parti cl-. Iectivisto dans son proi'ruumo a pu o prsebter comn le vrai, le seul dtÇcnseur de la propritt du petit paysan, du petit stisan, du petit boutiquier ». La formule eaco o peut se cristalliser 'ida1 'ers Icquol lendent tous nos eû'ort, ce n'est pas » Abolition de la propriti5 », mais liien n Abolition des e.lass'e s », ilire ralisation d'un Stat social oà n'eis fera Iius quune SCUIC eaLdgoeie d'lom- 1-nos : des travailcurs iroprkLaircs. Et voila pourquoi ni notre. doctrine, iii notx action IIC sauraient inqui6ter, en bonne logique, _es petits propr'itairc- qui sont- auss des travailleurs, . . Lioa HUflELL, thie nilreuse 'nce dc 'el tileUtu srie la I'canee : t1Ti rie n obus- I&'cment gi'Iuj' peda;ut u lue'ee. ciii, tucnu tp'tsu eiaisL Ira 1iis. .Eu ral4(t1 on n'a ikn ttI[ peui' la ct,uattu'e eîfice»ueuut. ' L'Ofl!GZNE Dl] NOM DE if nI'jj.i-j On s toujours prc'tendu que ce sobriquet vul_ gaire (lfCe?It5 - Npo1on HI avait pour origilie c nom d'un iri.00n qui lui aur1 i -ii(tl fi VRilCi' de la prison de IPtrn. Or, cctto tyrnotogio et fausse. ,ztma un maton ne s'est appchi ladirtguct ; mi nons a-fait dico'avrir l'origine tic ce sobtiunet, (l(iSOI'maiS historique, eu feuillettut un ceIec- flou de vieux journaux franc--cqmtojs. L'orlgiie dc ce nom est due h rue ac6lie 10- cale. A- l3csanron, vers f5.8, florIsset la Compsnie lc vilies Balin, Giy e! Cic, Qusnd Napo1ou Vint datu cette ville, cii il lut i ma i'ea, les voiturs do la CQmprgrLi0 de viaaties, (Uieen- dard; la rua Dati.aul, ftirnt açiue(lie par les cris de : « \'clft les -oitrires tie la cour, vive L':mpe-eur ! ' - Le soiniçrCl t'la et B on tour .dr 1'rance. * *8 SCOL4STIQUE ZtL1THiW. u'exeeIie.nf esprits se demantient: si la guerre est re1ianent ou virinoltemeri termin6c. ils serout clai!'C pir ce pas-2gt, 1u repport que M; Clcrnen.cesu n adres i cc suet au prsi- deut do la I(tpnblique £i'aaCaise en datu du ii oiObrO, (' Lt 101 quI est n f:tee Li (lote do e.essrtien des hostilitCs no saurait tl* rCe comice int.arit auLeunrtquornent ti-i n do rniitIisctiou. Cet étet, dans oa erm tuit flint (1u'initlsl, s» pnseuto a -oc une ceriiue indépendance vls-tt--vi de I'(st do guerre pro- ironi-t dit, Legiquenierit, il est nai'rael qu'fr li- trc d t.u'6cati0a ii devisuco 1'tat do nierr ci que Is ii*- t de sa cessatien soit o - b cjiC fie cessa1lon des hostilil&. 'I I,n sit.nLi0i actuelto permet d' n n-ê&u taIfs la cessation LICS h0siiis et la d&bliiatien g6o&&-aln. Pat' eù l'on V(di inse. claiefttenl quo la ue.rre ne csst pas du fait qu'elle s tnrltre, usais que tout d zdCino on 1eut dke quiir se ter- ani1r ii peu prin le jour e elle lin1. u j, llt'1 IÉONDIIES CONQUIS . PAR LE PARTI OUVRIER Voilà que sorulain, scion l'expression dti Dail lIail s, qui aime es titi-es frappants « Lc Parli du 'l'rnvail balaie tout devaiit lui, t Londrcs o. I)'oprs le-s u-ensciiumnonts incornplct$ fa_le nous possédons, le Parti (lu Travail n Conquis, dans la majorit des 28 conseils uflunIclpaux de l'agionuratiou loudo- n1dnne, 22G siùges soit plus qre tois les autres uai'tis réduis !.Dans huit de ce conseils, dont on n les résultats complets, il n réuni 284-000 voix contre 75.000 aux soi-disant r'foj-mateurs municipaux (les (it'fenseIu's des mohopoles capitalistes) et (i5,Otfli aux p\-ogressistcs (ou radicaux). Il n'est I)S jUs{Jtt'au quax'licr très boni'- greis de Clielset &ù, dans un (les (lisiriets, ,es travaillistes ont conquis 7 siège s sur Ol Et jendarit cm avait fait contue nos camarades anglais la mème CampgTie que contre nous. Le pcctre du bolchevisme avait été-'partout promené u rand renfort (le grosse caisse (dans les deu;x SCflS (lit une!). On avait affieltù sut' tons les murs 1ue la victoire des Labour Party se tïa- duirait par 'ètablisscnuciit &in régime des Soviets I Le peuple ouvrier denorme cité o r&. pondu comme il conv'otiait, en ensevelis- :ant sous des centaines de milliers sic bul- letiu rouges les calomniateurs et les pro-. filent-s. Et le t Matiti j- nous fait cannai-.- 1'C qu'en aieprçtmant les rsultats du scrt- , notre camarade J.4J, 'I'homas, le se- toit e gerci I des t-ieiuunots c decLr& (lue cela &uifiait qu'avant peu la classe onvrire aurait cpnquis le pouvoir politi- (t1ç Cil Anglelcrrc. Anleteiiç, comme en Fi'aace, corn- en Russie,cornuie partout, si etuiquc aitieur conscient fait son devoir, la victoire lo nos amis anglais est d'excel- Jeri atugute oni' le 1G noveinbi-c. . LA JOIE DJ1S CIi1FS TBAVAÏLLTSTES Londi-es, 4 novembre. L:'s élections pour les vingt-htiit cou- seillers riiuuicipau (le Londres donnent les résultats definitifs suivants : 600 r formatent-s municipaux, 5G5 travi1listcs, 149 progres.sï sies, 14 ind'peiidants, 5 an- i0fl S()tdtriS ou marins Les trnvi1listes ont aussi gagru de rombu'eux sièges en province. ïes chefs Iravaillistes iautcrvicvs ne cc!ient pat leur,joic : (t rOjt, disent-ils la preuve que la c1s- e ourt'iêi'e est capable de gouverner le 0%S et est. r-so1ue û le tire, tes iee- curs ont voté uour les travaillistes afin je ceux-ci les tirent des griffes (les ac- capareurs cl des profiteurs » - Les travaillistes ont ii Loadres ifTnab,.. i-it (lads quatorze (leS irouveutix conseils, Lcs ruornaieurs municipoex A nuance consci s 'itric. ont h majou ut. da s na seîl co useil. l)ans l'élection mnnicipnie pour le cou- sit du quartier ouvrier de Stepur'y, fou- bourg ouest di' Loudi-us, 42 repr4seuitants travailisles ont ét ltus ; le pr&cédcnt couac-il en comptait trois. Une de candidates élues, Mile ,Jcssie Stel)l)CflS, n été bonne à tout faii-c. lile coropie un jjui' (IC-venir membre du Par- Jernent. POURTANT SEMBAT N'EST : PAS ffiMST!IE Voitit l'hivei-: les pauvres cii lotir taudis et les høuros eu leur demeure contai--- table, regam-dent d'erriim-e les \rjjres, avec mélancolie, la chute des feuilles. Pendant cc tL-nips, M . Loucheur dngoncu dans sa peiussc, (,'ilfOklc.é dans son coupé capitour- nt', uu-court les routes (lu Nord, soliici- tant les sufiraes du peuple souverain (lui gèle. Ah l si M. Louehcui' s'appelait Marcel Setubet et se i'éclamait des dodu-i- nos sociaistcs, lion chahut, nues amis. ics (( joturnatur >) pisseraient hume copia plus froide ruc le temps que nous subis- sous, 1>1115 abondante (1110 la iiuisèi-e qui étend ses tentacules sur le moude Ah I -sous lcs enlendios les piaisaoieu'ies sur le charbon I Mais Motus, Loucheur est un gsird luouirne, un profiteur de tuei're, et M. Pagès (l1 e Téiégramnro o lèche ses baLles, nous couipm'euions ça, - S. AUX !ifil DE LI PRlïL1 s ws 3 iii. t:LI;5JiNcE1U A TR4SLOUF.G . Strasbeurg, 4 novemtire. M Clemneoceru, eccempag!tÔ (15 MM. Nomu1eL3, f,c,run, (1sveitr, (a1tiori et 1gtere, ainsi (lUS par M. Âut'ittcl prûfet de la Seine Ci le grhrl M0rlas(t, cci rr'5 Ici ce tsctru tu miuf hetues. li n tt rcu s u' le quai de la ae turr M. Mlllr- jan-d, liant eatuuunisstuirc e la 1ièpusiçnc, ; 1'c-i-- uNt5, tare do Stau1ieUrg et le erv.t ilmu- Isert, sinM s'itaenl luixutes de rueui.urease nelaliliis asaceouurs. A riuldI tu-ente, un C3tI1C2 itilinle tr offert prur M. Mine Miiiraii Cli !'I'.orrste (lu Pt'6- uirle.at- dt.een5eiu»4flj s'est u-CO1il it t0i heures li ta sa1l ds tics heur PiCt1C5 k dis- rouis q(_ rûÏ,vCitE EV fl'e-s tiui prociuin que M. POlnc st ien- ,.,a ra AileteCt, tC0tPCM..d, M.uno. Petu- n I etas jwt u' strsraIa ero'i C O - tt,rs pu no k, u'L ttJSI ttn n1sms et trtuilZi RONAL 2JOU T p IjiIs ailcz p'l''s cinq aria de haillon, 1a n1ion est enfin auto-ssée û par1erTcsélectjoks sont pu-orties, Vous allez voler. Jamais pous I1'aurcz accon.'uli cet acte tIans des circonstances aussi ravcs. La guerre a boulcvcrs? le monde.. Des hunes ont ci-otilé, des révolutions omit Surgi. Foui' la pu-cmiére fois (IonS l'llistcIi-e, le 1)rolétariat d'un, grand pays conquis (le htuute lutte le potuvoit-. La classe ouvrière n balayé .non .seule- ucnt son tsar niais Son capitalisme et cll s'effOrce, nu milieu dc difficultés immouics drues au blocus et u l'ac,iouu mniRtaire dc JEntente, à réaLiser rum régiaic d'cnti"aidc de fraternilé et (10 bonheur. Dans tous les pays deux frccs se heur- lotit, xiuises en mouvement par l'éclosion tIc la jeune Eépublique socialiste des Sa- 'lets. 1.25 Producteurs de la vilic 'des chaiup.s dcn côté. lia Bourgeoisie de l'autre Partout le u-avail se dresse contu-c le l'a- j 3Sut'stn Ilfaut qte le Parasitisme soit vaincu. Vous allez votou- : vous voterez pour le Pai-ti d-a I'i'vail, ctsst-à-diu'e voulu' le P.ru socialiste - J) ad% er nu es dLlcn uru'. I uccusent d êt o un pai it de ik s n dcc, d ' m ( iuc c t de VlOiCflCO, C'est faux. tLes désordres, lanarcLie et la violence sont engendrés par le régime capitaliste (lui affame les individus, les exploite hOu- teus'eunent ou les u1vele mourir sur les champs de 'bataille pour les iuitéréts qui sont pas les leurs. (I;c Parti Socialiste veut an contraire e sociét( d'hau-rnouiic et de ,jgsticc où chacun travaillera scion ses forces et con- sonufle-ra selon 5es besoins, - Dmis cette société il n'y aura plus guerre. ' j ' Les ParUs (lUI VOUS offrent la panaeu!e iverseiie Vous trompent. ils ne nt tons réalité jtie (105 Paitis consci-vateurs. Sous d'outres étiquettes et avec des for- uIe.s diff'i'entes, ils enienderd garder les privilèges sociaux ù une settic classe : la l3ouvgeoisie. Vous ne vous engagerez pas derriZ'i-e eux. Vons voterez poilu' le' Pai-li Sociahste- Seul, il a'iit ioré'u la guerre et l'avait, peuudaut .des années, annoncée et combat- tue. Seul, i'I avait signalé 1e t'rmincls (1)!- plomates, poiticiens, gCnclau,x, fournis- seurs militaires) qui, dans tous les pays, la voulaient. Seul, il m'ait indiqué les moyens d l'empêcher en pi-écoruisant une politique d'entente iultc'atiou1a1e nu lieu (le la Oli iique tIc la défiance et dc suiai'mement pmatiquée par tous les gouveinemnents ca- pi'talistes. Seul, iI u (léVOilê et flétri les fautes (les êtals-nsojOr-s incapableis, dcf ministres aveugles ou complices et de la'diploiuiatie secrète. Seul, il n protestL' contre la suiDres- siaul des libei'tés publiquei, contre I'ins- tauration de la censure, état de : siège, poursuites pour délits l'opiniOn, conseil (le guerre, cours matialcs Scul il n (léflOfleé i l'opinion le:s pi-o- fiteurs(le. la guerre qui ont i-amassé daru.s 'le siung des autres des - dizaines dc mil- liai'ds. - Scûl, il s'esl opposé ii la prolongation dc la tuerie (fui, l)0tI la Frauce seiiemnent, n coûté dix-sept cent mille morts, un niil lion et deuil de mutilés ou de malades et li-ois cents nuilliards. Seul enfin, il n u'efus (le ratifier un traité qui n'est pas un traité de paix munis nui trnitè de guerre puisqu'il kdssu subsister le miiilairisrne en Allcmagae et narlout et puisqu'il comporte des au- nexions oavcrtcs ou ulèguises qui seront et sont mêutie déjà la sont-ce (10 nouycau:r conflits. La guerre est finie : la faillite 'ient Il ne peut y avoir (le réorganisation écono!uiqUe que dans et par le Socia- lisnio, La Société capitaliste suceombe sots le poids de ,son incapacité et (le ses crimes. Le Salut est laus le Socialisme. I.e Sociahis 1m c, c'est la Paix, -In Liberté, le l3ieui-Etce poru' lotis. Ciloypns, vous a1ie coter Diuus les cauuupsgn('S et les villes, agri- colleurs et uv&'iCl'ï 'VOUS VOTEREZ TOUS POUR LE SQCI&I'-JSME .1 14ç,ix a'1s J Votre Labeur es' un l facteurs fiels (10 114 VO doonouruque ' du puq-s, et ce- -nduut vos ea'ntlit[oits eistenoe et tic it-avail ne se sont pas améiiores tiers Les inars 1)l'oporticns qua cottes de uos éa-. u]i'iealcr4 th, l'usine ou de a luine. (iC retssd st dft t1 votre isolement' par t'appcu't ts uns art auh-i.I4e LutrtJ secf- liste ceusacir ses effo-ls b &dse-r" votu-o - upnti'cnt et 5ç) entit'c ija1n la o'-aadi' e -- -e- -e - famille des travailleurs, dont la solida'it assurô le triompha do leurs droite. ' ,_p. urtoit il faudra que surgissa un ducat des tra\ailleu'rs de la terre et 103 étu'i ocia1jtes scient à \OS cûtcs pouc soutenu f iOS revondjcatiouis sur du're du teavail L les al'ut C (Uci ces geci. jwu±eqts riOt*s. éltuborées ' .,,,j__) t,t_i_.. .1 [lztlE t%Àt44,1. 'k-. 1 D T O î'1] 3 PlNLES £T LANGUî.X) TARN ET AVEYRON TOULOUSC ET EÎ'iVIRO13 i Ax Travrs s t!o f; Nos cariruraijes souiennent le prograxui rue quo vos congrès corporatifs ont adoptd1 Avec -ous et eoumyie vous, nous vouions La NatJonalisaiioru des chemins de fci avec i'epréser,tat.ion dans la direction dot producteurs, des consonirnatours et du pci sorunci; ' La moclifionfiomr de la loi sur les retu'uiie. anciennes et. ncuvnlles, conformément auç résolutions do Caeh : ' L'application de nouvelle écliellô do ts'siJ teniruLs; ' La oration de dé!égu à la écuriLé, 'hiygiine et à l'a discipline; L'application du statut du personne k cirt (13 ta . t k u titan £' anoual,j L'application intgraie do la loi do liuiI- heui s aeo dc commisuons i U( ptfl person pour la surveiller; la rcconnaissanoo officielle du Sndioat La revisien de l'avancement cl, des 1-c'--f traies des rivoqués de 1910; La revisiori do la situation péruniairo eU, qualificative des cheminots des pays l(- vastis; Lkuid ol; l soutien officiels des.ortie lins do la guerre: L'entrde en ligne de compte des auné campagne (19lt-l013) pour le calcul de.' âge do la retraite. Dans l'inti5rèt dim Ta stcurit.5 du pubiin us réclamons avec vous : l'adoption dit. 'attelage automatique ; l'aniéiioi'atioa de signaux; la création de commissions mn- s ouvrières p9i4r Iarception des core- iute, (- LES flESIJITATS SEiWNT (DMJS Lt '-.- --LENiEMMN DU VO'I'i . L'application du nouveau système brai c'mut,iainera-i-elie una prolouugatioa considérable dci la durée du d('pouilleinetn4 des scrutins? Oit n parlé do plusieurs jours do huit- jeurs icôme, Tel n'est pas l'avi d'une persognalité compt.ente que nous avons interrogée : (( Lfi gouvernement n pris ses mesures pour que, d'une purt, la loi soit st-rictmneutl observée, et patio due lodépouillement dt - scrutin soit mapide. 111. Parue est eu train d<s préparer une circulaire tu tous les préfeisi pour itur expliquer le mécanisme électo-- rai. D'autre part., il fait savoir aux pri3tek Cit'il les rendrait responsables de toutes les fautes qui seraient commises le joue scrutin. f n - aura partout tin mentie pour faie le. d5oomptc et on pourra savoir o laatio-i main matin quels sont les élus, sauf eut- étre dairs le Nord. s . - LE BLOC NATIONAL S'tFFAIS Dcicllment, le gin6raI iorv n'a pas chance av cc son fameux bloc. t'ous les jours celui-ci se dsagrège et i .J)atoau e uiatiosual e Lait. eau detoutes partsl <u dupit des efoits du père « Gisaillo » et du baron MilIeu-sud. M. Soeplu Denais, un des plus. n1arquaul:t réactionnaires dc cc pot-pourri, s'en at. triste. l'erisez donc, 'oi1à déjut quatre listc '( bourgeoises » à côt de ce bloc qui devaW unir tous les antisocialistes M le vent do: la défaite ppsse sur tous les blocards nous venu style. Adieu veau, vache, cochon, couvée L' "oIc:; LES IUiQUINS Les patrons do combat no se contentcn pas de soutenir do leur bonne gaIcto les candidats de la réaction économique et se claie. Nombre ïontre eux figurent sur les li'' tes plus ou moins bIocarde. C'cs ainsi quo M. rettu, préziideut Syndicat do 11ipiOrie française e, manitou de l'Union des Intôréts écontuuui- ques (des profiteurs de la uerru et (1es fauteurs do vie chère), se pr'seat sur ,unt. Iite de t auche « daims I'Eur'-el-Loi, .Ç_ VA BARDER On cornencC à s'amuser dans les tes-Pyriinées. L lo,ieur c'rnp, ChCVQUCF cia la IL gic'n d'lflncur, conseiller d'arrondjr,, ment tic i'rbes, qui (ait1ist ai M. nec do lt-ot.hsehuld. adresse Li son COfleur reuit, I.'t, Arinand 1"ouicl, une lettre violen(e d lui repro(hn dc se eeftirr l se CII duri avec' tui CO'1AT1N : . (1" I as o grin cl ff.'re tic soie, vient- Vas'ir litai, danic 'huctaux di cc journal, une céunion inp tim(. Tous Ls direot-etir. co bien pnnnui'L,- de-iij celui titi . 1i AOfNfM prifle .,,, ,, , _3 1o1I filraner , . f0 23 ''-"- s,_._------.- Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 1: 2JOUimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1919/B315556101...c nom d'un iri.00n qui lui aur1 i-ii(tl fi VRilCi' de la prison de IPtrn. Or, cctto tyrnotogio et fausse. ,ztma un maton

'& RDACT1t

A .g33. Ruo Rociueh:d!3t,

TOULOU$

1:.? U 13 t X C IT ÊS.,, ru rUX 'a foTri&,

Z,' rzs $e ' -

e Ç4Ufl)érO DX

Le SOCIhSC et

'r&s 4ÇOit l'autre jour !tmonLré pal'n(.ataUOfl des 6irtnements do la vie

Jcju jOU1.fl'', (1110 1O seuleienL'0j3Ijiï1O a t6 jusqu'ici le seul à pro-

1ter rat'cI profouc e; cltir sur lercnt rural; mais aussia -' k setil h soutenir sims relâche

d6faillanco les in1rs des petitst) ictinieS de crises ccaiomqJesital;lcs e"- rgin:le capitaliste et destj-

is se multiplic dans la mesure mtInei;tcoi3&u rgitiiO so fortifler.

Coijeadant, rnagr6 I'rideuce des fniL,uelc1eS11flS semblent ne1tro en doute la

de notre action agraiLe, Une ar.-politiquo nous guido, prteu-

jt-iiS, dtfl nos dmonstraios damLernvers la petite propri6t. D'apr? eux,COUS eaheic'n aux paysans le fouit 1c ra-Ire qui est e3sentie!1emcr& des-çuctrec; e lorsque nous delarons quo

les petiis detDaines peu\-eu parfaitenlelit5j54L daus Otr3 nouveau ÎNgLrnOcttS propriété eoliccljV@, dont ispauvroftt en outc utilicr le voisinage lsuget ceite delartion en opposiiior& avecFespri(i ualo (la seiai!sne ''éfrolut.ion-caire, qui doit s'opposer cette survivance1)Ufr't1 *0 durnerait 501CR WUX daniUo iomUlC bi&t connuo : Supp'esJj( la pojritt indtucluofle »I VoiU qu'c!fl nous objce .vec uneioa-e foi plus ou incius certain; voilàJerreuc fOndnueEltalo quo nos adversaireseu scrup'ileux ou iïI reRseigtus propa-at tians les masses payswancs, afin d'.t-

eflltr ecatie nous une definco inunernieOr, cette formule avec .lquelte on eayob_nous fag&lcr, n'est pas l'expression dola pensée socialiste. Il est inexae de direquo nous pouruivon san rdserves l'ex-jftCijOfl do l propri*t indiyidnelle; nous

fl poursuivons h vrai dire que la des-truc--fia delt propriL6 capitaliste, cc qui n'estp autee c-lwse que la suppression du sa-LiriaL L4 oiaisre n'dne pas qu'unr-otd)re corisidralle dliornnies soient obli-I;t de travailler pour le cornpte d'unecga6o td'Oiif dont les icliesses 'ae---

CrDisen par la sueur de aulces. Il n'ad-n1c, pas que Vaergie hnrninc so1 assi-mibo i ttue nie1aniise sourriise aui flue-uaLon comtuercialeg et quo ci quiejnent soient ù la dispesiLioa de ceux qui

T1G foti rien. Cette chipendanco inat.5rielle.iu'aueune raison-morale n juStifie, appa-'dt au ociatisme comme une source d'im-

parce qu'elle est do toute cvi-enee l'ohstace le plus sérieux au dôveiop-

J1!1eaL 40 la personnalit6 humaine. flotteLuatioa de l'ouvrier moderne, si voisinear cadroits do l'esclavage anUqua et du

servahe du Moyeu Age, cette siivat.ioii qui¶'4iSSc la raison e qui iieure leshacntaircs priacipCs dmccratiques, voi-a prcjstnen1, ce qu le sUeiaIisn3 veutle('uire par la substitûtion de la propri&b£Gsale la propriU capitaliste. Mais iliefaut pas oublier que Ta propri5t capi-!tse u'es qu'un niode dc la propritd in-C1ducdle, un simple modo drivé; et telle-(neal. du modo originaie, tellement.1ave{i e perverti qu'il est bien diffleile

- .COiuparc.e aujoUrdliui avec la petite;:::oPr1et paysanne 1c possessions innoni-IJ-oe et di3tnjaes des socit5s a.uony-ra, celles dc messieurs (le flots-

ld'1jes bien elii qu'e;n:t ac'Y ce-Ionnare de chemins de fer pa- eXemp;e,

t- vdicujbtL propriLaire de deux bc-9gnes, la dif. érence et bien

c.bl,e_ qu'entre . ce mtnio propriiaire etçc vOisj salari3 a-ec lequel i s'eoLreiieot

rflllement et sw-' m pied d'aIit.distjneLjo que nous tabl'sson. (e

e no ad'ersajrcs feignent d'ignorer) en-laproprjCtd cpitaliste et la pciLc pro-

'- te0 q constii'te uos ycu': la sc.u1ir ItaurellG de la propvii individuel-lr'e

,ait CO3.ilm-endre que nos attaques con-ii'-' I)rOEinkre ne sont pas neessairen.enL

.; fl1CRacs coutre Ta seconde. .

siaht5f1e ne s'insurge pv. propre-f' 4

Lij.j' contre ce fait naturel qu'il:- S4i "opritaires, mais contre cet qu0 Çtu3 grand noni!n e dkornmes

Sont Propriétaires et; ne jouisseril;, Par uito de la S(Curit( ncesaire à'anQuieme cia leurs teadaees ' un-.

- Il Pense comme les phutoophs et 103, G!fli5tCs do toute opinion que la liberté;:11u mo 5Ono'e et ci'cu ,si eUe na peut'

- d::trtt Pour sauveg&rde la proprih.i - PCiUL-quoj jj pr(conise 1u nouveau ré-

Ocenorniquc où tout le inonde auraIrtet; jt&nib[o do posses-

t'(lI,iiSS0ytnt de e es nouvelle't,

1tosuriuiqtte j fa prpritt u'est

I' esru! e 5O0iaj-j0 le bu i atteiuiL'o;1lutt,, en dnuue, le moyen deIdeal F'Up5Cn14) : la liberation

-

tic et nerle do t'indjvid.ct - . -

lre 9 Cencepto Lm1l\r1dtaljst do. 's el:rn? Perfuet dc r55rCt' lc, pe-ernLar,s te soj:t qui leur cs.?ls t r:ts V0flO5 de I \oir, co qui' (o f&i& (1i$..parait-', cct1j, et Luet1erie de la pro-_(coe

Capitttljtc

i_________. -.

TtLe?l 0.43 QUOT D EN SOCAL

laire invita-blo le. saiarial. Or, le petitpi-opritaire rtest. pas un capitaliste, ni unsalarié. hue va pas promener son spleen et50x1 ennui de vivre de la plage la. VIILOcl; do la ville à la montagne. tandis cjuodesouvriers travaillent pouilui ur son do-1Tnil1e. Il n'est pas davait.ag-c à la solde(t tfl nulte Il h c nue, mats l U c uI1epour sn propre compte, etIa sueur de sonfront arrose et f3coiule une terre qu'il cul-tivo à son gré. TI est son prope niaitre; etpar l, il nc.st pas exag&t de, prétendre(!UOfl !an sens il ralisn une partie eIC1udaI sociniiste, et que, vi'ainrnblable-nient- si le Ntgilno de la petite propriStSs'tait universalis6, le socialisme. n'auraitpas vu le jour, puisque l'antagoniuuo irr-duetibh des deux classes capitalistes eproIttarienne ii'aurait jamais fiu surgir.

Si one mous v0u1i0113 dpossder cesllomrflcs d'un domairio qu'ils font fructifiereux-mêmes; et remettre h la collee.tjyjttce qui n eL ps exp'oik. L)lcctacmesi nous cberch on 't joLi' Pi lutb.dt Ufl e'toins n,c'le de tra-vailleuis, qui par leur situation spdcialcpeut demeurer traugro à cette lutte, nonseulement nos csp5rance.s iecuIeraicn etdeviendraidnt (10 plus eu puis inceiaine.n devenant Plus ambiUeuses, mais encoreo_is P1ti1I()flS Cil cont adicion ces °ctc

nos pr.neipc-, Fa nou'-, cftorymt over la propridid à ceux (lui en ont trûppour ceux qui iion oiL pas du tout, noueelierehoiv non p- z iodtlkr les formesde la produt t on mcdii cation ou h pe-file proprit eta t 1ntL50S,L - inc imodifier le igmn dc o-ploiritions et lergimo (les personnes, aflur de periuettro

salarks de se rapprocher' autant quePOsOl0 de lcus fiuc, \tttabIes tespetite propr-ita4rns auxquels nous voulonsonsorvc-e cette iirdpciidanc.e d'etion, cet-

sicurii du travail, cette possessiou in-tdgralo des produits de leurs effet L quowus voulons assurer en numetemps iieux qui en ont t5 rivtis jusqu'ici.C ist ce quo le saanl, cot'orn sto Ci (.i-, adversaire &'udit et loyal du socialisme

admet san difficultd lo.r. - qu'il dent dans',c- « Pi ineipes d Eeononio poil que n(Livre III, chapitre II) : « .,lo Parti cl-.Iectivisto dans son proi'ruumo a pu oprsebter comn le vrai, le seul dtÇcnseurde la propritt du petit paysan, du petitstisan, du petit boutiquier ».La formule eaco o peut se cristalliser

'ida1 'ers Icquol lendent tous nos eû'ort,ce n'est pas » Abolition de la propriti5 »,mais liien n Abolition des e.lass'e s »,ilire ralisation d'un Stat social oà n'eisfera Iius quune SCUIC eaLdgoeie d'lom-1-nos : des travailcurs iroprkLaircs. Et voilapourquoi ni notre. doctrine, iii notx actionIIC sauraient inqui6ter, en bonne logique,_es petits propr'itairc- qui sont- auss destravailleurs, . .

Lioa HUflELL,

thie nilreuse 'nce dc 'eltileUtu srie la I'canee : t1Ti rie n obus-I&'cment gi'Iuj' peda;ut u lue'ee. ciii, tucnutp'tsu eiaisL Ira 1iis. .Eu ral4(t1 on n'aikn ttI[ peui' la ct,uattu'e eîfice»ueuut.

'

L'Ofl!GZNE Dl] NOM DE if nI'jj.i-jOn s toujours prc'tendu que ce sobriquet vul_

gaire (lfCe?It5 - Npo1on HI avait pour origiliec nom d'un iri.00n qui lui aur1 i -ii(tl fi

VRilCi' de la prison de IPtrn.Or, cctto tyrnotogio et fausse. ,ztma un

maton ne s'est appchi ladirtguct ; minons a-fait dico'avrir l'origine tic ce sobtiunet,(l(iSOI'maiS historique, eu feuillettut un ceIec-flou de vieux journaux franc--cqmtojs.

L'orlgiie dc ce nom est due h rue ac6lie 10-cale.

A- l3csanron, vers f5.8, florIsset la Compsnielc vilies Balin, Giy e! Cic, Qusnd Napo1ouVint datu cette ville, cii il lut i ma i'ea, lesvoiturs do la CQmprgrLi0 de viaaties, (Uieen-dard; la rua Dati.aul, ftirnt açiue(lie par lescris de : « \'clft les -oitrires tie la cour, viveL':mpe-eur ! ' -

Le soiniçrCl t'la et B on tour .dr 1'rance.**8

SCOL4STIQUE ZtL1THiW.u'exeeIie.nf esprits se demantient: si la guerre

est re1ianent ou virinoltemeri termin6c. ilsserout clai!'C pir ce pas-2gt, 1u repport queM; Clcrnen.cesu n adres i cc suet au prsi-deut do la I(tpnblique £i'aaCaise en datu duii oiObrO,

(' Lt 101 quI est n f:tee Li (lote doe.essrtien des hostilitCs no saurait tl*rCe comice int.arit auLeunrtquornent ti-i ndo rniitIisctiou. Cet étet, dans oa erm tuitflint (1u'initlsl, s» pnseuto a -oc une ceriiueindépendance vls-tt--vi de I'(st do guerre pro-ironi-t dit, Legiquenierit, il est nai'rael qu'fr li-trc d t.u'6cati0a ii devisuco 1'tat do nierrci que Is ii*- t de sa cessatien soit o -b cjiC fie cessa1lon des hostilil&.

'I I,n sit.nLi0i actuelto permet d' nn-ê&u taIfs la cessation LICS h0siiis et lad&bliiatien g6o&&-aln.

Pat' eù l'on V(di inse. claiefttenl quo la ue.rrene csst pas du fait qu'elle s tnrltre, usaisque tout d zdCino on 1eut dke quiir se ter-ani1r ii peu prin le jour e elle lin1.

u j,llt'1

IÉONDIIES CONQUIS . PAR LE PARTIOUVRIER

Voilà que sorulain, scion l'expressiondti Dail lIail s, qui aime es titi-esfrappants « Lc Parli du 'l'rnvail balaietout devaiit lui, t Londrcs o.

I)'oprs le-s u-ensciiumnonts incornplct$fa_le nous possédons, le Parti (lu Travail nConquis, dans la majorit des 28 conseilsuflunIclpaux de l'agionuratiou loudo-n1dnne, 22G siùges soit plus qre toisles autres uai'tis réduis !.Dans huit de ceconseils, dont on n les résultats complets,il n réuni 284-000 voix contre 75.000 auxsoi-disant r'foj-mateurs municipaux (les(it'fenseIu's des mohopoles capitalistes) et(i5,Otfli aux p\-ogressistcs (ou radicaux).

Il n'est I)S jUs{Jtt'au quax'licr très boni'-greis de Clielset &ù, dans un (les (lisiriets,,es travaillistes ont conquis 7 siège s sur Ol

Et jendarit cm avait fait contue noscamarades anglais la mème CampgTie quecontre nous. Le pcctre du bolchevismeavait été-'partout promené u rand renfort(le grosse caisse (dans les deu;x SCflS (litune!). On avait affieltù sut' tons les murs1ue la victoire des Labour Party se tïa-duirait par 'ètablisscnuciit &in régime desSoviets I

Le peuple ouvrier denorme cité o r&.pondu comme il conv'otiait, en ensevelis-:ant sous des centaines de milliers sic bul-letiu rouges les calomniateurs et les pro-.filent-s. Et le t Matiti j- nous fait cannai-.-1'C qu'en aieprçtmant les rsultats du scrt-

, notre camarade J.4J, 'I'homas, le se-toit e gerci I des t-ieiuunots c decLr&

(lue cela &uifiait qu'avant peu la classeonvrire aurait cpnquis le pouvoir politi-(t1ç Cil Anglelcrrc.

Anleteiiç, comme en Fi'aace, corn-en Russie,cornuie partout, si etuiqucaitieur conscient fait son devoir, la

victoire lo nos amis anglais est d'excel-Jeri atugute oni' le 1G noveinbi-c.

.

LA JOIE DJ1S CIi1FS TBAVAÏLLTSTESLondi-es, 4 novembre.

L:'s élections pour les vingt-htiit cou-seillers riiuuicipau (le Londres donnentles résultats definitifs suivants : 600 rformatent-s municipaux, 5G5 travi1listcs,149 progres.sï sies, 14 ind'peiidants, 5 an-

i0fl S()tdtriS ou marinsLes trnvi1listes ont aussi gagru de

rombu'eux sièges en province. ïes chefsIravaillistes iautcrvicvs ne cc!ient patleur,joic :

(t rOjt, disent-ils la preuve que la c1s-e ourt'iêi'e est capable de gouverner le0%S et est. r-so1ue û le tire, tes iee-curs ont voté uour les travaillistes afinje ceux-ci les tirent des griffes (les ac-

capareurs cl des profiteurs » -Les travaillistes ont ii Loadres ifTnab,..

i-it (lads quatorze (leS irouveutix conseils,Lcs ruornaieurs municipoex A nuanceconsci s 'itric. ont h majou ut. da s na seîlco useil.

l)ans l'élection mnnicipnie pour le cou-sit du quartier ouvrier de Stepur'y, fou-bourg ouest di' Loudi-us, 42 repr4seuitantstravailisles ont ét ltus ; le pr&cédcntcouac-il en comptait trois.

Une de candidates élues, Mile ,JcssieStel)l)CflS, n été bonne à tout faii-c. lilecoropie un jjui' (IC-venir membre du Par-Jernent.

POURTANT SEMBAT N'EST : PASffiMST!IE

Voitit l'hivei-: les pauvres cii lotir taudiset les høuros eu leur demeure contai---table, regam-dent d'erriim-e les \rjjres, avecmélancolie, la chute des feuilles. Pendantcc tL-nips, M . Loucheur dngoncu dans sapeiussc, (,'ilfOklc.é dans son coupé capitour-nt', uu-court les routes (lu Nord, soliici-tant les sufiraes du peuple souverain(lui gèle. Ah l si M. Louehcui' s'appelaitMarcel Setubet et se i'éclamait des dodu-i-nos sociaistcs, lion chahut, nues amis.ics (( joturnatur >) pisseraient hume copiaplus froide ruc le temps que nous subis-sous, 1>1115 abondante (1110 la iiuisèi-e quiétend ses tentacules sur le moude Ah I-sous lcs enlendios les piaisaoieu'ies surle charbon I Mais Motus, Loucheur estun gsird luouirne, un profiteur de tuei're,et M. Pagès (l1 e Téiégramnro o lèche sesbaLles, nous couipm'euions ça, - S.

AUX !ifil DE LI PRlïL1

s ws 3

iii. t:LI;5JiNcE1U A TR4SLOUF.G. Strasbeurg, 4 novemtire.

M Clemneoceru, eccempag!tÔ (15 MM. Nomu1eL3,f,c,run, (1sveitr, (a1tiori et 1gtere, ainsi (lUSpar M. Âut'ittcl prûfet de la Seine Ci le grhrlM0rlas(t, cci rr'5 Ici ce tsctru tu miuf hetues.li n tt rcu s u' le quai de la ae turr M. Mlllr-jan-d, liant eatuuunisstuirc e la 1ièpusiçnc, ; 1'c-i--uNt5, tare do Stau1ieUrg et le erv.t ilmu-Isert, sinM s'itaenl luixutes de rueui.ureasenelaliliis asaceouurs.

A riuldI tu-ente, un C3tI1C2 itilinle tr offertprur M. Mine Miiiraii Cli !'I'.orrste (lu Pt'6-uirle.at- dt.een5eiu»4flj s'est u-CO1il it t0i heuresli ta sa1l ds tics heur PiCt1C5 k dis-rouis

q(_ rûÏ,vCitE EVfl'e-s tiui prociuin que M. POlnc st ien-

,.,a ra AileteCt, tC0tPCM..d, M.uno. Petu-n I etas jwt u' strsraIa ero'i C O -

tt,rs pu no k, u'L ttJSI ttn n1smset trtuilZi

RONAL

2JOUT pIjiIs ailcz

p'l''s cinq aria de haillon, 1a n1ion estenfin auto-ssée û par1erTcsélectjoks sontpu-orties, Vous allez voler.

Jamais pous I1'aurcz accon.'uli cet actetIans des circonstances aussi ravcs.

La guerre a boulcvcrs? le monde..Des hunes ont ci-otilé, des révolutions

omit Surgi.Foui' la pu-cmiére fois (IonS l'llistcIi-e, le

1)rolétariat d'un, grand pays conquis (lehtuute lutte le potuvoit-.

La classe ouvrière n balayé .non .seule-ucnt son tsar niais Son capitalisme et clls'effOrce, nu milieu dc difficultés immouicsdrues au blocus et u l'ac,iouu mniRtaire dcJEntente, à réaLiser rum régiaic d'cnti"aidcde fraternilé et (10 bonheur.

Dans tous les pays deux frccs se heur-lotit, xiuises en mouvement par l'éclosiontIc la jeune Eépublique socialiste des Sa-'lets.1.25 Producteurs de la vilic 'des

chaiup.s dcn côté.lia Bourgeoisie de l'autrePartout le u-avail se dresse contu-c le l'a-

j 3Sut'stnIlfaut qte le Parasitisme soit vaincu.Vous allez votou- : vous voterez pour le

Pai-ti d-a I'i'vail, ctsst-à-diu'e voulu' leP.ru socialiste -

J) ad% er nu es dLlcn uru'. I uccusentd êt o un pai it de ik s n dcc, d ' m ( iuc c tde VlOiCflCO,

C'est faux.tLes désordres, lanarcLie et la violence

sont engendrés par le régime capitaliste(lui affame les individus, les exploite hOu-teus'eunent ou les u1vele mourir sur leschamps de 'bataille pour les iuitéréts qui

sont pas les leurs.(I;c Parti Socialiste veut an contrairee sociét( d'hau-rnouiic et de ,jgsticc où

chacun travaillera scion ses forces et con-sonufle-ra selon 5es besoins,

- Dmis cette société il n'y aura plusguerre. '

j '

Les ParUs (lUI VOUS offrent la panaeu!eiverseiie Vous trompent. ils ne nt tonsréalité jtie (105 Paitis consci-vateurs.

Sous d'outres étiquettes et avec des for-uIe.s diff'i'entes, ils enienderd garder les

privilèges sociaux ù une settic classe : lal3ouvgeoisie.

Vous ne vous engagerez pas derriZ'i-eeux.

Vons voterez poilu' le' Pai-li Sociahste-Seul, il a'iit ioré'u la guerre et l'avait,

peuudaut .des années, annoncée et combat-tue.

Seul, i'I avait signalé 1e t'rmincls (1)!-plomates, poiticiens, gCnclau,x, fournis-seurs militaires) qui, dans tous les pays,la voulaient.

Seul, il m'ait indiqué les moyens dl'empêcher en pi-écoruisant une politiqued'entente iultc'atiou1a1e nu lieu (le la Oliiique tIc la défiance et dc suiai'mementpmatiquée par tous les gouveinemnents ca-pi'talistes.

Seul, iI u (léVOilê et flétri les fautes (lesêtals-nsojOr-s incapableis, dcf ministresaveugles ou complices et de la'diploiuiatiesecrète.

Seul, il n protestL' contre la suiDres-siaul des libei'tés publiquei, contre I'ins-tauration de la censure, état de

:siège,

poursuites pour délits l'opiniOn, conseil(le guerre, cours matialcs

Scul il n (léflOfleé i l'opinion le:s pi-o-fiteurs(le. la guerre qui ont i-amassé daru.s'le siung des autres des - dizaines dc mil-liai'ds. -

Scûl, il s'esl opposé ii la prolongation dcla tuerie (fui, l)0tI la Frauce seiiemnent, ncoûté dix-sept cent mille morts, un niillion et deuil de mutilés ou de malades etli-ois cents nuilliards.

Seul enfin, il n u'efus (le ratifier untraité qui n'est pas un traité de paixmunis nui trnitè de guerre puisqu'il kdssusubsister le miiilairisrne en Allcmagae etnarlout et puisqu'il comporte des au-nexions oavcrtcs ou ulèguises qui serontet sont mêutie déjà la sont-ce (10 nouycau:rconflits.

La guerre est finie : la faillite 'ientIl ne peut y avoir (le réorganisation

écono!uiqUe que dans et par le Socia-lisnio,

La Société capitaliste suceombe sots lepoids de ,son incapacité et (le ses crimes.

Le Salut est laus le Socialisme.I.e Sociahis 1m c, c'est la Paix, -In Liberté,

le l3ieui-Etce poru' lotis.Ciloypns, vous a1ie coterDiuus les cauuupsgn('S et les villes, agri-

colleurs et uv&'iCl'ï 'VOUS VOTEREZTOUS POUR LE SQCI&I'-JSME .1

14ç,ix a'1s JVotre Labeur es' un l facteurs

fiels (10 114 VO doonouruque ' du puq-s, et ce--nduut vos ea'ntlit[oits eistenoe et tic

it-avail ne se sont pas améiiores tiers Lesinars 1)l'oporticns qua cottes de uos éa-.u]i'iealcr4 th, l'usine ou de a luine.

(iC retssd st dft t1 votre isolement' part'appcu't ts uns art auh-i.I4e LutrtJ secf-liste ceusacir ses effo-ls b &dse-r" votu-o

-upnti'cnt et 5ç) entit'c ija1n la o'-aadi'

e -- -e- -e -famille des travailleurs, dont la solida'itassurô le triompha do leurs droite. '

,_p. urtoit il faudra que surgissa unducat des tra\ailleu'rs de la terre et 103 étu'iocia1jtes scient à \OS cûtcs pouc soutenu

f iOS revondjcatiouis sur du're du teavailL les al'ut C (Uci ces geci. jwu±eqts riOt*s.

éltuborées '.,,,j__) t,t_i_.. .1

[lztlE t%Àt44,1. 'k-.

1 D T O î'1] 3PlNLES £T LANGUî.X)

TARN ET AVEYRONTOULOUSC ET EÎ'iVIRO13

i Ax Travrs s

t!o f;Nos cariruraijes souiennent le prograxui

rue quo vos congrès corporatifs ont adoptd1Avec -ous et eoumyie vous, nous vouionsLa NatJonalisaiioru des chemins de fci

avec i'epréser,tat.ion dans la direction dotproducteurs, des consonirnatours et du pcisorunci; '

La moclifionfiomr de la loi sur les retu'uiie.anciennes et. ncuvnlles, conformément auçrésolutions do Caeh : '

L'application de nouvelle écliellô do ts'siJteniruLs; '

La oration de dé!égu à la écuriLé,'hiygiine et à l'a discipline;L'application du statut du personnek cirt (13 ta . t k u titan £' anoual,jL'application intgraie do la loi do liuiI-

heui s aeo dc commisuons i U( ptflperson pour la surveiller;

la rcconnaissanoo officielle du SndioatLa revisien de l'avancement cl, des 1-c'--f

traies des rivoqués de 1910;La revisiori do la situation péruniairo eU,

qualificative des cheminots des pays l(-vastis;

Lkuid ol; l soutien officiels des.ortielins do la guerre:

L'entrde en ligne de compte des aunécampagne (19lt-l013) pour le calcul de.'

âge do la retraite.Dans l'inti5rèt dim Ta stcurit.5 du pubiinus réclamons avec vous : l'adoption dit.

'attelage automatique ; l'aniéiioi'atioa designaux; la création de commissions mn-

s ouvrières p9i4r Iarception des core-iute, (-

LES flESIJITATS SEiWNT (DMJS Lt'-.- --LENiEMMN DU VO'I'i. L'application du nouveau système

brai c'mut,iainera-i-elie una prolouugatioaconsidérable dci la durée du d('pouilleinetn4des scrutins? Oit n parlé do plusieurs joursdo huit- jeurs icôme, Tel n'est pas l'avid'une persognalité compt.ente que nousavons interrogée :

(( Lfi gouvernement n pris ses mesurespour que, d'une purt, la loi soit st-rictmneutlobservée, et patio due lodépouillement dt

-

scrutin soit mapide. 111. Parue est eu train d<spréparer une circulaire tu tous les préfeisipour itur expliquer le mécanisme électo--rai. D'autre part., il fait savoir aux pri3tekCit'il les rendrait responsables de toutes lesfautes qui seraient commises le jouescrutin.f n - aura partout tin mentie pour faie

le. d5oomptc et on pourra savoir o laatio-imain matin quels sont les élus, sauf eut-étre dairs le Nord. s . -

LE BLOC NATIONAL S'tFFAIS

Dcicllment, le gin6raI iorv n'a paschance av cc son fameux bloc.

t'ous les jours celui-ci se dsagrège et i.J)atoau e uiatiosual e Lait. eau detoutes partsl<u dupit des efoits du père «Gisaillo » et du baron MilIeu-sud.

M. Soeplu Denais, un des plus. n1arquaul:tréactionnaires dc cc pot-pourri, s'en at.triste.

l'erisez donc, 'oi1à déjut quatre listc'( bourgeoises » à côt de ce bloc qui devaWunir tous les antisocialistes M le vent do:la défaite ppsse sur tous les blocards nousvenu style.

Adieu veau, vache, cochon, couvée L'

"oIc:; LES IUiQUINS

Les patrons do combat no se contentcnpas de soutenir do leur bonne gaIcto lescandidats de la réaction économique et seclaie.

Nombre ïontre eux figurent sur les li''tes plus ou moins bIocarde.

C'cs ainsi quo M. rettu, préziideutSyndicat do 11ipiOrie française e,manitou de l'Union des Intôréts écontuuui-ques (des profiteurs de la uerru et (1esfauteurs do vie chère), se pr'seat sur ,unt.Iite de t auche « daims I'Eur'-el-Loi,

.Ç_ VA BARDEROn cornencC à s'amuser dans les

tes-Pyriinées.L lo,ieur c'rnp, ChCVQUCF cia la IL

gic'n d'lflncur, conseiller d'arrondjr,,ment tic i'rbes, qui (ait1ist ai M.nec do lt-ot.hsehuld. adresse Li son COfleurreuit, I.'t, Arinand 1"ouicl, une lettre violen(ed lui repro(hn dc se eeftirr l seCII duri avec' tui

CO'1AT1N : .

(1" I as o grin clff.'re tic soie, vient- Vas'ir litai, danic'huctaux di cc journal, une céunion inptim(. Tous Ls direot-etir. cobien pnnnui'L,- de-iij celui titi . 1i

AOfNfMprifle.,,, ,, ,

_3 1o1I

filraner , . f0 23

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: 2JOUimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1919/B315556101...c nom d'un iri.00n qui lui aur1 i-ii(tl fi VRilCi' de la prison de IPtrn. Or, cctto tyrnotogio et fausse. ,ztma un maton

r&JIsb la tas\!son sa3i2

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Ete1oppcs Fc-- ctur

g--s de Lettre Pri-Cou rarit- Carnet i souche 4 Mandatsegrçs -

Etiquette -4 TJ . èses

---:; _5 --

Çatalogucs 4 PrOtitjjtesde 'Visite et d e ConrnerceProgrammes pour Socîcts

Iic pour Elections et Ftà

-.-

-Roiixan de UCLIC et d'Ainoui

Pr 1 Paiii usss D Pzac

. L'cibeFàtioi1 Cs UI dlIiense. Point n'est besoin d'a1l au

itrc pour e;o1]i1attpc l 111m d Ii_vie. Chaque pas, un brc de prome-

ade, un trottoir de gare, le devantd'rne afflelie, un pout.. voici deslTVe.ilIçus sene çle plhi air

r t rapide fuit vers Nice, A Toulon, unfficier (le chasseurs jeune, 1lond, éh-

- gant apparaît à l'entrée de notre compar-;ttlndllt . Mon père lève les - bras - an ciel,youisc (les exclamations tic joie. La têtehenuc dounc l'accolade à la toison d'or...

-

tMa fille Giselle.

. - -, t6 lieutenant Galiet dc Saint-Char-Je.

Le basard a-t-i1 voilu cette rencontre?; Etait-elie réglée k l'si'vance ? Que ni'ini-

pote Je note ninnte par minute cè qui;'csi passé. Je veux itre sincère avec rnoi;1têfl3e, calquer nies sensations le long (lett- feiillets. -

14e lientenant 'est tsts en face de nous.

- En vente ehe Mu.e', titeu C hs.

Paris. 3 fr. 75.

-t - ;,,___ ._

Ls --,,eubles 1e

Avtc LiuC &snce tè natureUe, il odan-s- te fict sort sobre., es gants en pirtIc chamois, puis crrgagC sa rnaia dans labrazsiere. -

Vous allez vers le poys dii soleil ettics fleurs... -- - -

S'i p ol cIiadc cu r e copti\e, Con..quiefl trs vite la synpathie. - - -

vous serez cajolé, dorlotté, ave-c unetelle infirmière !

J'étais obligée dc remercier. Je le1 fisdu regard. -

Mon père approuvait-, rcnchér!.sssit. -SesCU( s'illuminaient. La. conversation erra

sur 1))ile sujets. Je lieutenant se joeait -de l'tiii ù l'autre, ayec Un brio un éclat trèsvif.

Ceirnes. Tis voyageurs envahissent- le'wagon. Une dame accolée d'un tonton, quirêpondait au nom de PipeIts. Deux sne-sieurs. Le premier paraissait agé, malgrêles artifccs, les accessoii-es Il aiuones-tait le porteur et parraissait très en en-3èrc. Celui-ci ne se- lttait pas trouvanttrop lourde ta valise de - cuir voiumi-ueue!joursouflêe, chargée à bloc jusque t!anles courroies. Je - inonsieui respirait difil-.ci1emer-. Sa figure moite bleuissait. Onenteiidait l-es sifuernents de sa poitriie.Parfois sa toux prenait un tiinhre de n&..tal. On aurait (lit que des chalumeoux ac-colés barbottaient à qui mieux nieu(l-ans le fond d'uii épais 1qnide. Il s'inipa-entendait les sifflernent de sa poitrine.était close, et refusait lc s'ouvrir malgréles secousse-s qu'il Imprimait, rageur, antirant d'étoffe. Le lictenant se levn. Desyeux il mous demanad s'il pouvait ouvm'ir.Le châssis déplacé d'un irnpei'cepbblccoup de poignet s'-enfouit d-aras IR pur-tièe. - -

Le voyageur rcs-ph'a !ruyarnmCn%. lE nedit pas

- Mrrc!.

f; rt

-. Sortant -'(ht cacle-possière, un étuIdllorn-re, il en retira le i)l1vêriSateuî', en-voyant vers ses fosses nasales (lçs vapeursOsurces de menthol et (le goménol. Lespiaulements cessêrent. Calant sa tête - daiïsune encoiginire, il essaya 1e dormit-, non-s-ans avoir (légrafé le. haut pantalon et lemilieu dc la veste. -

Nous reprinics la causerie interrompué.HorriHes ênetj-s I Lliomrne irascible-enU"ouvrit les paupières. Ses regards fou-droyants firent ta navette de -notre grou-PC, -au voile bleu dc -la ltïrnièère ôù fré-tilJat le pompon htanc Mon père et -lelicutenant se regardaient en souriant. Quevoulez-vous t scsnb-laient-ils dire, c'est unniatade ! Je baissai moi-même la -partiecôtcléè qui dcva4t !anger notre banquet-

dans lombre. Nous a(lnes le silencé..3e fis celle qui dort. Je penchai la tête enavant, très douccneat, de f-açonque monregard puisse errer à travers la. berdureen denleiIc dc moi chapeau.

Lohservation est une chose délicieuse.Point n'est besoin d'aller au théâtre poursavourer le filin de la vie. Chaque pas,nu banc le promenade, un trottoir dcgare, le devant d'une -affiche, un pont...v91ci des merveilleuses scèèRCs de pleinair -

Lc nionsieur dort la bouche ouverte.C'est bien ceJa : cinquante à cinqante-cinq ans. Le dentier trop blanc dépasse,près à aortir. La figure est glabre, bouf-fie, cadavérique. La moustache torturéepar le fer, laisse au-dessous de la tein-turc la pousse des racines d'un gris sale;l'aspect élégant de tout à l'heure, rehaussé -par la coupe inseccable du tailleur chic,a fait place au type bourgeois, classifié,encarté, dan-s les traités dS ialadies dela cincruautainc. La daine n'est pas nial.Un peu volumineuse. Elle comprime souvoisin dc droite qui n'en peut mais. Lnssê

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Une 'iconle (10 EO zoii- cent de navoii, '

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I rir.F(iU1 Ç) LLET

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TARIF DES Aç,. -()J

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om...............

_(1e CC po-kis; il s'est ratatinê,puis endormi. iDieu (JU'ii CSt Ion-g I Sa tête frisottante -

touche le filet. - Ses grandes- quilles ontl'air de- ficelles -entortillées dont lcs ge-noux sailleut en noeud. -'fout à l'iiei,re, les-yeux louchaient aiYreusciuent. ; la barbeeoii.e en efifiochure cherche Ù équilibi-er1'asynittrjc du visage. Il n l'air d'uii pïontle lycée 1iaJicum-eux li (luit être aigri,: -

suseepiible,caneanier, vindicatif ; le boa-heur des antres lui pèse certainemeut. Ilrêve eu ce mnomcnt ; les doigts crochusont des crispations; le plissement des lé-vres esquisse un m-ictus. Songes irréalisa-bIc-s ! Le voici dé»ulê, sénateur, grand'-croix. L'arriviste parti de si bas, nanti

tout bagage d'onu chemise de nui-t,de chaussci raceoniodées... mais d'une

blague et d'une audace infernales a percé,-par -lintrigue et le ulensonge...

Oh te vilain no1isieur I

- S'il est marié, il doit rendre sa femmeniaiheureuse; certainei-rient il la bouscule,il la bat I II doit exiger dc tous les siens,la- servilité, les flatteries, les na;-quesd'admiration. li est arrivé à se prsuadc.rqu'il est un être snpérieu.r... -

Popetta hurle.Ce caniche de luxe ressemble i't une

-toile dnraigiée, i l'une de ces fleurs surJaqueltle on souffle poum- épar-piller millefIéors.On choisirait un nez minuscule etluisant comme point dc mire. J de voisdé1)ouillé de son cnveioI)l)e, . nu, tel unpoulet passé à la flamme.- Pauvre chou IDes treinbiemeus de drainte coléreuse leseouent.

l-i suit (les ycui, du niusean, de tout soncorps souple les lumiéres qui piquent lanuit, et fuient. li vous donne des enviestic le plier comme un foulard. Un chaf-feur que ses drderies agacerauuit lex-piiu-ieinit (IUh1e niain 'VigOLiLe1-5C, Pu'en- uetivye.- sa. e-rrQ5sciiç.

e Franoe

4_ Qtr$ vou trrt cYadr3, -

DTL

Di-nan-is ..........- --..- .- . .-. . f. .-, ------------. -----------------.\-rAffC ,. _ - s- i G I Lta1itrt -

-- - --_t_fJ_,, ,

grç' - -.-lir.iLr- /

Déclare ouscrirc tin abon!lemclit au t MIDI . - Inehis un :

-': p-r A&L'L

, 1» s:c';4

1_ : X;) itJiz z-Eai-2s:.gr- Dir-4ss, L3ty-ia. F-;; J-g' arer-- ;

an- du BcuiVd de

J

Le train a repris son allure FOIIC. LL

-mdaton,s retombent suiS les poitriUCS lei

tete -ont de-s hochements (le n)ajiOnaettLe lieutenant lit un rcna11. Il pareolUICS pages de gatchc pour erriVCr lU so1rrct des feuillets 4lrots. LI il déplace le-

gere-ment sou et le pOq spn 'tiou '-ir-ignieute ÇJJJIIÇL. le J4

-use emotiOiict cirt'--. . L!.....-- Juan-lesPilis. n viéi de motcr U

de Jeunes femme-s. Elles rient et pfOVO

quent. Un jouvenceau les accon1Pbaguenaude. Celles-ci est raViSatCostume ti'amazone, ses gants rnaoeiit

te, sou canotier sili. lequel elle ala voilette, sa badine, en fOflt clic.

lYifl(le parfait. Celle-lm nC )OUValt

choisir que ce velours ctlé. TOUI5 .;hornt (les fleurs au ereuN de la p4)1ll

Les ilaces sont prises.. Elles lIC

dent que -mieux. 'Le couioiî est Pld

rable.Mon- voisin s'est réveillé. I ne e

ne plus, -malgré l'accès d eOUX qu P50

siste. Ses yeux luisent. B red'55 vesteifaux-col, boutonne hâtivement I' sadLe hareng maigre clignote desques. Les doigts ciochti ont (1C -

seniciits,.. -L

Antibes. Le lieutenant st arri'',- Rendez-vous, n'est-ce p°5'

la Terrasse ? C'est bien cnlCIl-1 traverse le flot des ,jUfl05,

eL'une d'elles s'accoude û la pO1i} '

se penche pour le s-iiFre d rega ..

.4 saiflL

----LE D1 eompo4

aTo:lnifCiflj!fOt70t 1!.

-1

Un bom'.eEvtdeuz7a y

, ?2:;wM.r ' ----.. -

;;t;LAbrège tes Cø)aZCSCCflCCS.

: -. (gmer.te fa force de iVr.--

Permet 1c ristcUWe ax' :.Guri t'arémie, la fib1esse.

:k 1'puicrnert, le

ttoP1) EI3CAL 'k ps afrrmei que le obQ 3h g nta1 t cnt &

teuçe. cl ceI sexptqwe ais1eflt Mais. d'une éérak. oî;eut due qu'I xprscnt u cfque pa e-Ucc de t-utFfl3l3dC de anguen Ccs un kuque de prcrnr crdre qu:. con-ratrcrnerL aux eXl1t5 rnbtLue1s. manifeste une action s'eflinnV

. uhie e perstst-ane. R brg iti cuvacseer;oe et augmentc.: pouraInsi dire. k farce vivie. ian; OU le secr% réside. notrs.vÙ dans c souttvn des roudions ssertrI de rstac.-- Cost oirquo rnDus pr5crwojs les CUr Ie G]obol ia p1ur.d nos - mat1 :('t? fidcaior nc' rencontrant ucunc- cant'c.ndcaticn et Iteie con'r la JV1fle

-: Ete'ne CcMtJ - _&nc1 tnrne

(hat 1n r ''e'i Pii T s &i npy 'CI# r' fco4frats t-tcu rO f.o Jf

.

I:2 (O?Î 5 &;nco1îî)rtrns,roia -\ hîtme(rês va!Ofl 4e!k

ri-o.&.)_ ii-r:

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\9 L 1Ç!. .,- --, . ---- -.-, :'c, r"-"Q' f' ii

'z r-' t% ;L1t; j,:J-I- r'

&Irze Lbc:'; 51FY :a:.

l, L_. '!zdainc .çc' C-)SCU' t C'(' C('tt(' b(ff'(!c U,'rnldos S&'S uilcse SerQr t rtic dj.ips.

7;

y;opix!nx !îL'D1CiL1i -

i -:o I'.' s Li Ic ncbrcfl Ch3tG!S CVI'tiu co,c'iUrni .

;t prjnIs 1c _iia av Ii Uyra'!. f F t QUa--trn!n tOUswtjours s-n 'mploi 1iiz 1 ; iiobrCiSs fcfl' deI'urerI!. laSp'dajCITII (Ft113 ?2C'VI, vuh-aUcue le rnriecr'ja 51pngLe, tt en ttrs lcs ti7oflSra1C, !Ç

: vOuITL l'a cûrnr;i'('. ï (.lT r,wpe:P?ra re n connu ;:_ i dt t & 1Jte .ie t311 h,'4 Inrime. ;

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:.rftD1;{ONS iHOIS U(CE

.çde nos sept ccIida

(fl1)iit.'flCt .. (flt5 cIlicureux -au-

'L' -

naade Bcdouc, Ellen Pr&v(,', etfl

-trj01, flieux, Crast, Fontaniflcs,':,'de. C doiii les roi premières

ljr à Saiie-ciu-Sadat, Mazr tctC\-aTlt des auditei rs

rbreUX... p(CCJ ù: ( CGif(S 1tlV'Su:\ .! ie éeiitanL ieC

; atiiuoI1o11u1ant, ]a parole socia1itijai1 pour re.onforter et pour faire pi'&.0ier meI!eUS espoirs.partbut' 5 font jour IasyrnpaUiie, Faf--ti° io la c1aSe ouvrlere et paysanne,.iFtC)l1t.

sent et l'on devine. que 1'idea1iB CS la Ijjenvenu. Elle et goût&.

:prei' ile triomphe. Et cela se cnç; elle apPOtC avec elle des so1ution.flans (iésarroi des groupements pou-1Ue

amis sont les seuls qui parlentt son qui piû0osnt dts se uon prat-

.iue& O comprend qui! ny a plus le chiu'entIC les solutions socialistes ou la dé-

jgele générale. Onéeoute, on approuve, cit atisfa1t et on a confianco avec eu

:4js 1111 niiilieur I. rou les travailleurs, ouvriers paysans,)C t 'ricultpjrg »iod .4

:iateiltés, ont senti lCl)Soifl de sunir pou.outen Parti s()CiaitSte qui seul le;

iriiiq t18 Totilon

Les "

--;Tion p»» , l'OffIco des Pilpi1es

-

t de ubventioa. Alloue,-),oe fran_ - -

Ttfui.s, maie-lié (le gr gré, avis. Marslijole d'OinTes : dernaade ch bUrc; avis.'Lport

-

AIIlv5 (bSpa?emiilairs vente ds papicavI?uces approbation d coutrala. Vte -

tmical Po tlii rroi:it : deuande -deTIçnUan. 1:000 ïancs.,1u1On Nttioiiac des Combattant : 1nnane

JbV4nfllon M1on 2O) Ù'anc.b!sLitDtOn kls &ruils-rniels : eaaitiei; av. Ripport apnouv.' wi cpa?iia:nitaie uiinî5o a; vnl d'ar-

i'iiYred Ungla; avis. Jtpps ppoinC.

1r d1pai1risntai numj'o 8 : vr dr-,

lo j. H)13-C ; avis favorable.flte Prment.al in-'o 10 : abandon:s Caritnnien, vis. llapport apprs'J-fl!5uia vicinaux : crecie {913 ; rJpartiiion;ssoae; avis. Rpartition appriuve.jIo Chirnjn-S:ae quisitiori tie CamIonsR0b1le; avis favoFable.

deoFtmen.tale : jeatc d'un arbre;p,', voraMe.

'ltCmcnia1as nurnros 3. 23, 28 e-k . ;iPbrcs aux O5ebpC3 ub1iF.

Ftrnntale flurniro : enCCa)ff?C M. Sero. Avis rrT; -alialua Clai{n nnffiato -14 :lo-aaeau; ubvenUoii. Ieappoil

nhi! pCna le n-Iols CI ÂttlSbr,l9. Avj. ïonn a"tO.Utoa boI1Fe jn cs -Iye citIappFt aPtoav3

; 1Wa1 d'institueun cl d'inatutrI-rra eeour oup araveuacnt

-!&Ùlt tj °eaa. RappoF approuv&. McLeel! : atttpe :.llij etmalr : airlp9 de bous.

stîosal (JE Muiqt 'w-;& -bt 44 11abpol ai)-trbiO. sela;es ; 'icmaud-35 ta uv:n-

N d'Usu d _-

pdéfend. ''st t'nnion des exploités tItravailkw's, desse contra tons les réac-teurs ettous lés financiers,

Bonne ji'urnée-. l3oris débuts, Haute-Garenne oin'i'iin cL paysanhic-:r econînses vrais (unis; t)OW (jUi élle vol-a cn 1)10ele -1G nov0ah1)I, - ' . . - -

**

t (%MP1GNI ElECT()RALE DU P-RTISOClALISTi

Les caniidats du Parti socialiste dû ;u1oni aujou.Ld'hui iierrrcdi les réuriinsuivajites :

A Aspet; ii 2 1cas de FapCès-nliéi.A Monlréj.eau c.t à Sanit--(Taud ri ;,

IleuTes du soir,Jeudi, flieumes 7 beurc, sal4 4e o

flinirie; l'Isle-en-Dodon, 8 heures; aBoulogne, à 8 heures. - -

Vendredi : h Aurignac, à 8 Iieui : auFousserei, à 8 heures. -

Samedi : i Ga-zres à 2 heures; ii Tua-buse, 8 heures. - - .

-

Dimanche -: ù Nailloux, Il heures tmat-in; L 1'duret, à 2 lIeHres après-midi; iAuterive, h 8 heures du soir; Cintégabel-b, à 8 heures du. soir.

I,ns citoyens l3e(0UCo.. JtIen Prévot, 'Vin-cent Aunai, députés de la Haute-Garenne,Jean Rieu, maire de Toulouse; Fontanil-les, avocat ii Saint-Gaudens, Craste, c-on-sellier municipal do Touions-e. .Tuls, Agède,propriétaire au Fouser.et, y développ.er>ntleur programme, - - -

flparations à Féglise do Camhsrnard :flian1e ic subvention. ATiutu 100 f-r.

-

Sur la ,prposition de M. Dalla, eoxiseUe'aérai du canton dc Cararnsn, la c0n-in'dsiori d-laicternantale pria M le lr6ft d'inviter d'aronce la Ctnupagnia des chemiss fc 'lu Sud-)uest mettre eu m-arc-ho immdtatemrut deux

trains de voyagdu-i's par joui, un das cbqucseas, conformément aux obiira-tions jn'cIe &

onl-raotée dans l'a)t. G de .1'.aveïiat aprc[)vi-paF drt Iu 27 sapt»ab.re. i)1. -

A 1 ni uuniu ' ft motion est aiol)- Pro-haine anco le 21 aovaoin;e i)i:).)o{--la Mau(achr des Tabac

Notre ami Eliei PrSvot, dépuid do lHiute-Garonne,, nous prie -d'irisdier la notesuivante qu'il v-int de recevoir de N. leDirecteur de la 'anu-facture des Tabacs dTouleuse : . - - - -

1onscur l* Déi)llié, -

Jai l'honneur dc. vous faire cuauiaHtc:iu tous Jes emplois tian-s nos etc- lier -somexclusivement rEe-rvé : -

2u:: ab0ins miIitdres yéformés ra Ià la suite (te blessures repues ou do mala-dies contractées au e-ous de la u-crre ce-tuclie (loi du 7 avril '1-9i6) ;

Aux -an.cians -inilitai-ros ayant- acconipianaies de service au minimum, en vertu

engagement ou d'un rengaguio-ont I9fI 21 anars 1005). - - -

candidats remplissant Les conditionsrequises doivent adresser leur demande au

n&al commandant k siihd-ivisio de réion dans laquelle i1 sen. en résidence.A défaut de -candidats se réclamant d

ces deux lois, il a'ait été fait appel - jus-qu'ici Ixhul' certaines oaté-gori-es de métierstelles CIUC forgeron, ajusieur, tourneur,chaudronnier,etc., z queiques postulants h-titre civil; mais mon administration, surl'intetv-ontioia du Président du Conseil, - asuspendu ce mode de rscrut-enaent jusqu'au-

. ?e ;n e se demnnde que1I fua.}idabl'-s ressources peuvent permettre'tnion des InVrts 'eonomicp.es la déban-

die de affiebes (lu-i ,'étalc-nt suc les -mure nO- ville. - -

Un jour, c'est la- c-olossate pieuvre quicae1're dc- es tentacules étatistes les clac-iiinS de fer. les mines et. les assurances;t. IrndUiaII auti chnasou ks aîikhs4pFsf3I;teet- un pa-ys:a appU3' sur sonucil et- qui -voyant s'avrw-er un brave mi-saur (Iciitant le travail, lui e-rie : « Si jese travaillais comme toi que huit heuresç liangei'i-tu? » -- - . -

L'Union des Intrts - économiques esiemiue, eornrie laien l'on pense, dans tous

ic milieux ouvriers, comma l'Union denrtdes gros c».pit-alistes auxquels riene ooûl pour garder les mines qu'ils on'

)YUlées à ta nation, ou des chemins de fersi doivent Jui faire retour.Derrière eeett Union des anciens et non-

eaux-riciie, potentats d-e la mmc et- durail, ii y a ie millions du Comit6 des For'a9 et du cornib; des Houi11rc de FrancoI au ceux de Loucheur de la lieu-flIc

b1&fiCb0 ac-caparein de- nos forces éleetr-i-qtiss,

Mais n faee de c-es ep1oitcur-s et dcft-&jrs co.i s il , a J-es oranisation s adoles, 1lya']e Parti ônialiste c1ui, d'accorwee eSJuicure, les cheminots, et les md-aIluea deiaanden1 la transforma lion

en niaiopo]s puhles des grose tirraeerapifalistes de mines, des transo'jj-t, di:-mer(:e et. dc la grosse indsre.

---)e(_-- - moment cii la situation des ouvicrs auii-. liatres reeru-Lds au cours de la guerre aura.Commo i Pu tflre ré1de pour l'ensemble de admi-- uist-ral-ioas de l'Etai.

a:i;;;;c.koPt, 10 V-cuiUtz aTder, Monsieur -le D-dpnt. l'as-OIIDRE i)l.J JOUR : guce.

! surance de rna consbjd-r atiori trs dietin-

d'A.!i

À l'lieuae où la Franec a besoin d'en-gants, il es-t à dépl-or que les cours d'as-sises aient à juger de ces orte d'ara' ires- JIier c'était li'ois personnes q-ui ét-aienlinculpées -du crime d'avortement ou -deonipIioiE.é. C'étaient : An-ne- Coust-ea-ux, Ma-

houa, et 1-a fille Lianas.L'audieiice fut longue. les témoins vin-

'ent nonibreux défiler à la barre et 1-c ver-dit fut rendu h 8 h-eure et d4amie.

Après plaidoirie de Mes Deyres, Arnal etPontons, Arme Couateaux se vit eoniamiich 2 années d'emprisonnement. Quant à Ma-lions et la fille Llana, ils sont--3*t

A TPAVE1 TWMUSCai,se &ic (LuaO

Le sezuurs de c'iiOmageo sara 1:'ayé aujourd'hui nidrdadi, h partir de neuf heu-ras, au Foyer du Théâtre du Capitole. pomles lettres I, J, K, L-, -

La caisse est ferm.e- - 4 heures.

kdjut!iaUon d'uno etiepiisc dc baaspei'de dépêelie- postole

-

Le O d4cimdnc 1I9, i 15 beui'e, - iipreodd-, à 'fouloue (diettjon te pstes), Al'adjudication d 1ntre.prje d-e tranpoi't doicheM de Poulue-gar.s I1egue 'Foulon-se-garc Matabiau, t iécuter eu voiture ii-alion ani-Lnal Ou en automobi'o.

J .lFn-ais gij 'J5Sj$'Ct odi'e par Aiutlo djulaaon divot en fain ia dem-n-4O C)'j t u (Urcetour pu1e et des t-

g]--pls, a l.r -O pyomtr 5:T)-:' 5-cr!. - -

'cs1-lsseussnt . iuôJ'adznin isti'atiou lcs 'féégraphcs a

J e J)i'(JCédeI h I 'Labl 1ssui1er) t (l'al u J:ru j

1e lignes téléphoniques Carainun.,I.e-s, 1tioumc, taint-Fél-ar, Bevel, Mn()t-Cs-

- Lanta, la Plan, Saint-1aneard, Fouserct, fiontréjesw, Ltgu-vin. Montaajtruo et Arpet. ' -

Un état d) ces ligues indiquant les pr)-priéiis J)FiVét'S (fl'1 il -doit être placé, (iciipports ou conduits, restera 1)eflCia-ut troisjours consécutifs b jJariit- du G -novembre-19-19, déposé à la naairie (les conamunes ci-debus dignc ou I) int ir, '-.( s p)5L p:L'endre co1uiaissane -ot préseulci.- leursobscvnt.ions ou a'6clarnatjon;.

Cours (FEtiucat ion physiqueJ rapj)elé auv familles que lcs Cû1.OS

gratuits d'l(ii5C,-tjCf -physique organiséa13-y l 1 ) rition s o-sali d Ldutioriphysique, dans Je but d'assurer la santédes nfarits, oie développer' leurs fosietlosisorganiques et dc lés soustraire aux dan.g-crs de ta rue, ont lieu tous les jcùdis, d13 h.. 30 ia 17 heu-ras, sur 10 terrain du Paredes Sports. (Ionts-J-uineauj).

Ces cours sont largement ouvei-ts b tousIra élèves garçons e-t fillettes) des écWeslaïques ci libres de la ville de Tou1ouc.

i\_ l'issue de la leçon dl. 1. -des jeux en-fanin..s seront 'organisés et s'effectuerontsous la surveillance des moniteurs naili-taires de la oc subdivision.

Par niesure d'ordre, les éIZ)VCS des écoleslaïques se rendront aux points de co-ucen-tration l3 plus rapproché de leur domicile-où ils trouveront -un moniteur militaire qules rassemblera et Is conduira en groupasur le-terrain des jeux.

Lea points -do con-cent-ration sont le-s sul-'iiits Placa Incr eus Saint-Cyp"n i

Square Rolland, Place Matabian, Place Ai'-uiaud-ernard, Place de la Daurade.

A l'isua de la réunion les moud-cura rc-conduiront tes groupes aux mémos polntfde rassemblement.

Rien n'est ehang en ce qui concerne le;disosiLions prises pour les anssemblcincuts-des iêves de-s dCOiOS libres.

Les fi-ii-ttes pourront se prdseute auPare des Sporta,-oit par Hr'CUPCS aeco)n-p.gncs Dcl lcuia, u'"illan ot ro-nient. - - - -

Ces mera es dordro ser-in ppî CJJLtoutes -le-s l)reeliaines sé -[)ei-5 hebdoniadai--Tes. - - -

iiis et Fauta-tsdes-

Belles Nouvei/j1)E%L TE)UL4MJS

fljina lad6t aux VariéUsLa ioprésentat-toit extraordinaire - que

_IIa' le Thdittre de la Porto-Saiit-, - avec le coucours de - Mmc Ilgiru

&te-test f1CI&iTIIeIVt flxée au lundi -10 no-vemljro. Nous avoua dit que )mc Ré-giflaBadet intcrprtrait--ler)le lo MarguerileGautlaier, dans « La Darne aux Camélias

La troupe qui l'entourera es.t de toutremier ordre.. Elle comprend, iu effet.; ?1J

Louis Javrt et, Maur-ic-e L-ehmnaii, tous lesX traasfugea de la Comédie Franeise,

rd'Jiui pènsioi-inaires -du TiSdI.'-te-e dete-Saint-Mari-in; M. Renoir, que d'-i-m-

portantes créations oni réoemnie-ni encoreluis en valeur; M. .Almette, Reyval, Coi-7eau (0gt et MmP hwy Lrdc JnieCai-vé, etc. Ccttc.-reprsentation qui naui'apas de -lendemain. aonstit'ca donc un vé-ritabie-sj) oct-acte de go-la.

Une querefle -qui aurait pu na IluJi!Une - querella qui aurait pu avoir . de;

8uiies- tragiques a dcl-atc avant-hier eirvers .si l]cUre5, -h la suc-c-ui-sale do i'Epar-gue do la route do Muret-, dans les circons-aisces suivantes :- - --- - - - - - -

La ULette du sieur P..., domicili. rue Ca-fluzac, -se présentait h la succursale termepar M. Passebosc, gé-rant-. Au moment depayer in marchandise qu'elIe-vc-nait d'a-eiÀetr, l'enfant offrit un bil1et de cinquantefrancs q-ne .M. Passehose déclara garder, le's aur P étant ou ulJiteur pou la onrnipde 250 francs. - -

Dès qu'iiipprit l-a résolution -dc M. Pas-bose-, -le père do la - fillette entra dans

une violente colère et-, armé d'un fusil, p-d-néti'a chez le .gdrant, -le sommant d-e rest-i-t.Ller le billet-.

Une altercation s'ensuivit ent-i'e -le-s dculie-mines; tout à coup; M. Paseiiosc poussaun cri : une bali-o du fus-ii de P., venait del'attc-indr au bi-as. -

- p., appréliendd quelques iiistan-t plu!tard s'est défend u Twvoir voulu .tii'er surh gérant de l'Epargne. il -sera ruis aujour(Yin-Ii la dis1uisition du Parquet.

- VohUne enquête et ouverte au Go arrondis-

scinent relative à un vol dc linge et d'unlapine, commis au cours de la nuit dernièredans im jardin au préjudice do Mmc Sa-bis Antoinette, ru-e du Fértra-, 20.

- Trouvailles-

Rclamor h M. Vaissirea, rue du Puits-Vert, 3 bis, un pendentif en or; -au Bui'eades Epaves, un porte-billet-s contenant unportenionnaic avec petite sommc; unechaînette tour de cou aveo-mddaillofl i M.oint-Pie, rue Montnrdy, 22, un tour d cfourrure; h l'administi'aliori des Ojiinibuet Tramways, deux parapluies, paquetcontenant des gants, des bas, etc., une plie-tograpbie h Al. Pujol, allée de Garenneun liteul; h M. Danis, allée Cha1'le5-dC''itt-40, une paire de soulire caoutchoucs.

OIFBE D'EMPLOI11)rise-dants esuandés pour vente :Ie-

lÏliCllC particuliers, montres divres.itions avantageuses. Eciire : Hoi1logerio

Ï pe;'-. , are l-ndis!ri'. lesannn- T)erbs).

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('.-dt'e du loin' (JUOstlifls i!r,iuea!ei;Cflhe' I c:iis-ponMa-ble.

Le '('tuétOi)e : -rAnlaeii.

.l'-TON CENTREI L J ri u,udi G novea nt ,i O iei '

(tu soir', au taté boussés, Sf5, br:I!C!r,-1 1.ci-srige rue Const-asIliL', e-ntrae par leOrdre. du leur : !C()))fliSCtiOlJ des -on es

(! lua1'tie); 1eetioan (1j1)1jCiS iTD-)OItl-.,reCDCC. indlslcJiîaifle. -

Le so-u'élaiïe -t C-uu:. r.

f9M1TE flj'i CANTON SUt).Toue le riaililants du eantao Sud, m-in1n&'i

do Parti soriatisLe søflt prids d'assisler tt 1r ir--C-r:i))o du canton (lui U11'O lieu ejCr!di (bi-e 1919,, :L O li. .prdci5os. (10 soir, 'ae t)auiiar-gues. liatol TOUr))i'. -

)}r-de lti tour : ec-tisalions : compr i'mnCiides travaux de t commission dia!i1t!strrrtv.

- I.e srcrélaa'c : E. fJLLri:-.- CiNTON OUErT

iur.tir1ûi-i ieni:Ii G n-oveeibre, it 9 heiu- rdu soir, s-aile dc la Justice tic l'ais.

Ordrs du .1011) t('-S imped-rtnt.Le SCCT('ea)ÏO

GIWUPE MUaIC.4L Sj)CL-1LJ/'1EMci'nred coorat, -rép-Hitjon b D hea-res

pcur te conecri du S e-sur-ont.COurS- ratu-t de sotfdge et de viole-s par

papopoit eds.)iijce -

Cis ûurs Ont lieu le ansi'crcdi ojr, tIA.,5

- ii) heures, ci -Je djnaaehc maUii, de 10 lieu-iÇi S midi. -

- 4ileux q-id désirent )l'aPe'- oo cet avantage1'on-t. qu'S se f:ie ifls-aj.'- T'-j joui 1cs e0uF,au si-g-, eaf \!:j.

- La Vi ouvrière -

yau',a d £Eclai.)e-gr et Fas-cs -inojs-ccs.-----SPCtjO;) 3(Ofsii div.cTscs - Tous les eanaara-d-e-s sd" 'ui (). syri-diqudz sont p.is deS -efld'C h a nétiniot) g5rie'ae -de- la C-ti):je C J ; nu trabni S 'icu-'e', - p

4J-nes.-tiens importantes ;: co[jaal-jona.z'éC-nCC 10dispensable. - - -

OmniOns ' 5:oiiswnyr. Ce jour, caresse-d, arseriiblée gC!draiO aux iieure auiv5ritCr,

j3 tiens-se rOi Travail -: -

- 47--lieu--res &O : d.ipûi, e-hanters, ate1ic,iiifl0 (l force, voie a-érdn1e.

22 boni -, ero" l diiira r

:- du jourevjaon dCS :arte cceaféd

-servicu,' :il \igucur ;

it'eim-o-n; '-te5 4nr-ica5 4o1nhettazLts. -1,' (iOfl f( t preg aiPsne d s&i1 ce seir, snercreeLi, 21 hru!'es. auige, -café des P-r tn&, jars da Mtz (pe

:nier dt&ge),Socïdld rte ?j/C.15 rC lei

-;__ - L;es e-u-ur d'ent-nenint pliysi-que -atsront lieu le j-u4j j novembre, ?1)lieuses fl, au $.lnisasc inOni-epa1, rie MalIses, t e diina-rrctie t jao'veenbrs, i 8sus Para -des pefls.

-nicTnt're-s dc ta p-rmj"--.-cation SOIItri creiia- il patis , j' ,i r-tu-ion de icudi.

--

ii st supprld qise les inerjpfjon sOnt cf.-fcet)ede$ mi :ddJjit -41f-s chaque sdane Cl, dan-s'iflteF%ajl", no seoréariat 3, 5-Uc dU

Salé.-

Pu-liclio»5 de Mariagea- Du 3 novembre t9ltè

Derna-r G-cadran, ajst-cur-m6canlciea,-Mw'e-, '7-4 o rsuois ourcjeJ, sans_io-a. rue Bdteifl-e, 3.Fernai.cl OmiiCs, coureur, ii TouIii et Cor-a-ine-j;ouyDe, modiste, à Paris 3 .e 05F.pierre (;ouder*, -e-uli-i-val!ur, à Lanfonare try'e C'utn' néeam-ur'ni 1ae u i rentai--Lo-stang. -

- -(--.' M Cari Oflfl .r députer cntCl . Buzet-

et Maria Ool, CUVi'irO aii: tabacs; rue

JJigu, in-entons loe*ricien. faubourg- -D-onefoy, o et 1!ladelci-ue Pc-lit-, sans prolessiçn-,Sanit P (p 41Cuiilaumo Oouin maron o J arduoe e Chlotte Ii]ondej, cu4livatrice & Larde-une. ---Aiunaai Bergon, nicmi-iier, nie Nzarcth, 3S

Ci Rose Cha-pal, inénagire, à aint-J-nlia. -

Em-i-ie Bxieo4. t Ufle et Mai'cei,'r Aiidr(', A cour-nontcrra-i. -

j-oc-i Bibes, charpentier, rue des 3-Pouts, 'TOcl iléloïso Fleur, passeuiacniièie, mdnie adresse.

Feriianl Mon-tai.dgre, -dtud-iant-, rue d'Astoa'g, 3et Enailie Ctiouvel, sans profession b Saiut-ap-iiu-d-u-Toiic-h..

Marceii-ri Clair, emplayd de eoinmeac.e, i-neetJrnaid-lulé cl Moue Olivier, sans professionii Landallay. -

Jear! Loriot, voit-uicr, iu.e Malabian, 2 e-t Ma-lia BOite, s .- p. rue -Benjamin-ConsLant-, 43.

ChaFles Rafld, repr-tsentaiit de comme-sec pie-Ce Saint-Ga-orges, 5 et Juliotte Gen-ids, saii pro-.iessiOn, inme adr-ess.

Alexaade Souloumias, propildtairc A T{ienx-MinervOis et Jeanne necail, A Castelnoudary.

- Bacul Pdliir, l)U]JitCtSiC, A la-' I)pêclie »,r-ne Arzae ot Qeorgetic Gd-ly, passemcntidna,- pued'Aulipoul, 9.

Mai-tin AnilO1, COrdonnier, Gtc-Pavie. 57 et(lai-berme Salies, s. p. h SalaIs-Marie-des-ChampsCd te-Pavée.

Mnrcel Deseampa, agriculteur, t Bilques ciFranebic L051a130u5, ménagr-e, rue 4es Couteliers

Ce-lien lia-cri, employd de eo,nmeree, à- Alger,t Vickiii'e flat, s. p,, grande-rue Saut-MicheI.

Luclen Boseredon, -fttelier, à Laviiledimn etScanne ggame1il, . p. avenue Cainile-Pujel, il.

Jean Pujol, rn&aanicien, canal de filon-ne, 7et Prospérifle Ferre, empiye à Tououse.

Aiidrd Mathreil enrpioy3 de. banque, place dOS1aFrnO e% Clotilde Cliabert, emplolde de banque.a arLs, oavicie:i, rue Refile, O9 et B3r-'Ihe Caî*assiis, brodeuse, rue des Champs-Elysecr

Jean Dernai'dllei, éiudtant en mtPlscino uTulouse el M-arc-die Cres, sans piofeision, Rovel

Geogc5 Vern1ui, OEuila1oIa de commenre. aTou-luuse et MaFie-Louise Mtn1ou5, aas profes-alun, au Foussoiet.

Fvanoi Bufflt, camionneur, Touloase et n- -

I-iete Bouail, . p. £ Savfldnn.-Marins Germa, mplcyé, ru de lLehnrp e

M-svie-lcniss Bro. .bi'odense . ie rs.tr1l-Pan-

!TT CWIL D TLOU

f,

Iran r,an-!t-. c?uiueu-r-mdean1Co!l. - fOUbOiI'Suri' --:lirie'. M- ,i-ua 'riniu, s. p. â JoiIflhIC5.

Aiiioiiie tC5I)Ol!X, File di la CCJOflIh5tie, di)oriIIl1nit, lierntd5s, l'US fliqoet. '7i).

i3eoit.liac.l.tou, .CiUV10'.é àJizeoui.pagnie d'155,), fi i'0Ulflhe et MailS Cassai!, emlr10yio de'-wnm;uee, o P'igeac. - -

Marcel j,r,ng, mani(lcn-dentk1e 5. Ileailco(.-e aniic (3).Jla1i, eniplo'4s de -bai-eau, Jiolinhlu

F erna nU lr5ir cd, sans profession, r ds Aiphon-,sc-Peyi'at et Ailce LotIs, s. p. rue l'ocrer, D aUliasse.

lcii-i-Mi' Dezombes, deiuinal.eUr. Oust et.&drieufle I.atapie, s. p av enue do la Pitta-d'Oi",

J_con Puntous, houli-ugel', i-us d'Enibarthie, 2Set 1-lenrielie I':iffe), s.- p. iir)i ie 'J'nuflls., 34. - -

Na!ssaicaDii 3- i1s-'cnihïre -i9l

Aiitlid flouzaud, rue Bayniil, r)8. - -- )l5Fia Cfl'tf'ius, .5 -fard-enfle.- -- (5(leik) i.eyre, IU.e 'J'saavei-sidrC siiut-te0i'gC 24. _- nuhert Marat, rue dPla Paix, il. Ilcari Maury. r;ie 'i'riversiere Sali!-te-Lucie il. -- RayCn'Dnde Mej'u- '-u des icol-es A,nidonhie's). ,

I3cès -

tIn 3 novembre .t91. ---lisons - Bowasanaison, 12 ans, rue Ctonpan-,

;io. -- Pierre .kmoloti, 8-1 ans, rue de l'iaisa-fle.a5;_ Leasus, 1)us 'I'o , O eus, l'ue des Me-hi-lifls, 6. Mai'ie Armaiu1, 73 ans, Petite-yu':3airit-l-lonie -4-. J-con 1305e- Or) ans i-0e 1c I

l)sibaeie, 0. AuiiOl. VCUVC ilugwrt-, '7o aTi%

place des Carmes, 18. -J,dliieU, VCJV5 Boila1i07 ans b Lalaii-de. Bernaflrd Àrlraod) (i lh

il_T_e 2inau1-Vida!, 29. IIOîpICCS, 2. -

COURONNES %IORTUAIIIES, ii VImnlot"''11e, rue de .i{ému.sa-i, G. - -

'îEATflE ET CEAS'PII.&%TRE -DES VABJETES, .---- Us cir, -ec

crcdj, i'prisC - de l'op-dra - comj.qU,e popul-air'.';arrnen, avec le ldsior -tTl'Jïdyu, dU -(-rand-'iiad-tlu de i\-Ni'sejiJ, Mite Biar-c, - lIiie t)arci3alLet 'att-0, -

Joli'11 ccuxlrjru 'ifiTlitatjos du gr.rs_1_iCès La 1Ijtc DCIU?)OC. aa'cc -Ioule latrooriei'opéretie.

-

-iMCOt-lOïi ouva-lc pous' Ces 5Cpré5Cflla(iO1is.-j i-e; otst>s LO

rie la revr JJc-Pla sera -dpas5ée e-t teuonrs-n"ec le -mdnic e-t :jégitj-me s1ic;ds. C'est Eu-r-cotte 511-peI'ISO envolée -qu'eJe éIdvc vers l1ici1liè)w. 'Fout -le nasoicto 501idT 'VCii'

}Oc!je Jj)57C --

LJ iIOYAL, En ir.aie seulement. gvan-dsa i a"l(fl a;'!u) 'e (r'CO'l"i 4 I or--»st-m:)liciij.que. A-u- prcgraniiiic : eS

jJr.iIa, IOs SCr&s eisaeisIr4es --

'ouverluro du floi J:isiiitcomcde -nae q, J Tm'io riCt..'

e e fpbrqet t dane r - pre.ieT)i- -SUJeic de l'Opi\'-a de -iPars, -

Poui' termjner, prdar-ntaiJe de Gaz m°ki$,r'cmel épl5ode 4ir -iifesager fe r Mort, 'ra-dI-ijn&rdman pnbhid -dans 'ta J3-5pêce.

U) soirée : Abagaion, drame pihtiquetj.o 'a 'vie, duirabiCmnt jeui .ai' 'anie

i'd., hdmïn de e Ciç'jo ps-.e, combles dssQpj.1nt. . -

A l'Orchestre : la- $ym-phoni, pt4e-ale iieltio!yen, :

- - -

4:l cut lieoer -ae. san anistiieprix.AMEIIUCN COS'IOIM.WI1

: -Lf-ur.1' -csejc-1-'e ; 1Jc s'en rr tirttetoai1ts. ,

- La diaas com&lis-dnaruatlqus LosS(lO-C.Cs et l'hilarant vau4-ev1ic ,7oi- )% -ej

«t- .smrit lend5 jS1sjU' jCudi-, l novembre.- ---------. \entlreili, sa1 l)Fhin iirar-rjnrmr :

D0ugb15, oirvees 'Aitjsaej, e:t, FOOlIai-'l"m-t LLae,ae, de Lou Fuil ie paG!'CStd, le i-idr.o.s de JutMr, - -

nMA-TI1lrATPE LAFAYEPTE.amine dx -1U2d1 au udj d novoYtra

&a4se, lr-ams -O 111 -o..lji dtvos si demis à 6 itoure, oirds 8 t'n-

3:'l5. -. V

£LN-FiMA PA'I-t. -PrOan--om du -I rap9 *iovsmiir'e i9 - : La F-hle t?Ctzt, oO-dICI) -i par-i-je-s ; L Osi4e lSj-Oule, 7e clpioUe Le Destin) ; Le Tiyrc s.ier, le

dIa I..Cs Ynux quI -bTiJleo) ;-Toto va-gaiaa. - -- -

ADOLLQ-TRE---AT;I-t. -Mainde C .JdC 'MCS0)i dO Buhj7OiLP, grand diarn, inten

piètd par M5L -Liun Beanard et C-apljan, -n'Compagnie - fr'auaise ; -

rcmjer !pi5te 'vai C! }e cdldr roman il ltmilu Zok

ProeiaaieTcj)l, CGSu) d Or r

Suie sO-ei-al jndjtNU1I-J3IPILNR D4-'rLF21A, k

Te--3 r Le. dèi-r Gosses, -tIrio -vrssïj-époqur : .J.a Faute d'un .u-tr-o). Le Megs.'355, joué as Luj, oom)jue.

eroe-llo?i. Laubi3, ?. (

wuj tkW

Allez au C!IAPON FI

Ci%IIAMAN-ÂMICALE DE NJrLrs DIT I'RONT. JYcmai

,CUdi, 6 novembre, t 2 J-i; '1-u soir, r-irntonpropagande organisée par 1'rnicale 'ies P-oiuidu Front.

Les candidats La-porte, Erujaflnart, Sa-lut-Pari.Tavern, Legand, Lant et B]ard exposeront iprogramme - des Poilus. ------ -

AT-ULPICE-SUB-LEZ1AMICALE DES POTLUS DU FRON'r.

3orurd'bu-i 1.fle}'OrOtli 15 novembre, 2 iL (lU S!irirdunion 1e propaganile erganirde par 'miea!'ies Poilus du Fient.

Les candidats Lapoite, Efl,1aUert Seuil-PeutTavcrnd, Legj'aad. Lanta et uporroi1tlÇprogramme des Poilus.

-

I VOt VOULEZ flN MANtIIII r

l'hace du C-itolC, 2i, TouZuischambve conrertables ilenui i fr.

.- çviee la carte. Prii rnodetll-Cutel remis A neuf -

FruîUères d'Urf,tGeiirc Port-SaiutY

r du Rt d'EpgQ !ia l'to1 du Paiais. a Diarrili I£L' . Janfi GrAci CrL ,(.-P.»'

oulc pers)naeai, smu& SCCpljOn, 5sidi112

I

sa!*lde re-sper'tivs, ii -suJe lin l'appcu-ter leu - -ai-on s:radtqu' .st i-cou 4'assster ù SO i5-

' U ar'd O) et a (IjQtC ut w .rcpour -e -r-peet d droits s--ndieaux.

Parsnaneiice 1 ui'tjr 5s 20 heures 30 au - bu-seau etc S-)id.l5-2t pour le-s cot5atpqas

Le-e Soc-s

iuOuvsWCJlt et

sy-iidjealc-

; nrodi-lle-s(iO!test,ioiis j!flpOSr»

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: 2JOUimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1919/B315556101...c nom d'un iri.00n qui lui aur1 i-ii(tl fi VRilCi' de la prison de IPtrn. Or, cctto tyrnotogio et fausse. ,ztma un maton

---Pr ras a

- -,-

J4.OL2CILiI FAIF ALLLI\i;; J

LES FINLANDAtJ.'3fl!jc, 4 novnb;o

Lcorcsoudant du Moruni Pose a 1va1tt-

« accord est nteveflu ertr 1oltcliaj eto g(i,LVC(fleLfleflt li1atiJrti. Au tn'rne (te) Oct(Ord, a Finlando 'enag0 ii comrnence trS

uflo fote oIcniv contre ieto4heviste. On dca orilejeLement qu'en r-M(r, ta p&itnsu10 de 1(ola tout cntIère y com-r(s la cote rnourmui secait c6Ue ii h Fin-nde iru, en autre, rccevrat ehaue jour 7 fuI-

iofls 4o mrS il!t1a!Ldi3 pcndrU i diic dc3

jratiOftf .»

;4flMrf Iwss-F: P17 ?sORIi-OUEST POIJItSUfl'srs O1'E1A2iONS AVEC I)ÀS 1tLSifLT.1LS

. liVEflSfleIsingrO, 1 novcrnIre

Le eommunicTu de 'acni&e du No'd-01tCSL tilt:

C' Ijawi la direction tie PsIOf, 1'tMlntfli a at-acjuÔ ive(; des fovees coniddabIeS su la roule

Pskof_Stctgib-3a18i{t. Ptc suite do la sflpPCNtumdciquo (l l'crtueahi, uous avOns ovacu laiIte 4e Louga

« Sur le frtflt do P1cOaa, 1'attaqu' enlie-nïe ofltc le viit&gn 10 PoeeIaeOV' \otkOi(,+tou 1OCS Ct 267 irsoniCcS.

Lf. ALLEIAXP ,1TTtQTiENT LES LETTOfr;tÏfl LE F1OYT Di tOïJflLAXDE

Copeilbague. 4Le elflmtlltlfU du gouvernh3men letton dI

D r0000ntcCS ont (U UCU sue tout le frCio la Dvina, h 1Ingmu1iSh')f ot un. dtaohetiefl (le euvlie1'ia CflUIIh 1 (t nuis cii fuite pUc

to tt?oUeS, et Frie(friehatlt. Do noitVeIlcrtt&quea aiiemande on (IÔ deleaCht'tiS

&kurLaudI. 4an la (lirectioa d WifldaU. lafltiaUt t6 cornDl(.ofluC0t pUlû pec. es teucf cuflQ-tte q attaquent Talsen.

( frt loUe conUOUC. )

DEiVIME 1rAfllUiJ LE PA4

Ui comrnUniPit (lu rnjoitCco (te l gucr

.nince jiw la stuatiOa est. sana OLlkflgifl

uc I £iCfl O1iOUQt £uC.

'oire P) COUi du GatOS » Cil PZIS-

ant pac Le ( Eïgato « &tient QCit OUtCpLéentl.

t kt ((iscLtt[ tMcctions.- EOCtiOflS dabord, pii répaïtiUOn,ttcs iègeE, du mOinS des tt3 millions rcuuUpour coirbatice le eROdi(ati « holehevis-

cs «. Procammo aflclunnt commo ou voit.

T!ne perbe offensic va être (l(ClCflChOe.

C et t rau h it.ohtiofl qU tr' ttttt (lftcns1\c 110 r(uaLs1t i; le'

ieglion's taiCUt mauvaires, MaflgU,queIqles-ufl dt CS COignèle ttCU-

ont. llft Lk COU1iSO 1Ptt3 tffttt tVOfl-

Liittt' II pantt (JUC tcu , e t poula Erace! 011 ïour: les intr(Is d quel-

(lues requii. Mais, comni disait Ilenry33éengc t Mrna LenoIr ; «est la neci:hO3C!

4L! CAWAGNE DE MANDEL

l'J. Mudel cornmene(5 a caiuipagWt.ale . IL y ait foÀIo L I{l preuirOE

LUltiOfl :. tout 10 inoacte VQUI'1Lt VOC le

he' du ctIDh:et du pcai(leLtt chi Cunsil.t4s ttve ont eciejre du pre.stge, eu pro-

Qjt d o!u opereut Pi 1'ce b'ne et ill5

- tIit eoadjuteut d M. C!cietaCeaU, Soncors tin grinaIct eIsa scoliose, toute la

rnurintr : ' Ce net que ç Ladotion fut iiurnense. :

M. Mandel ptr! Il prononça ses p1ra-ses- intuninnhIes et macaroniques u

lccrdt et frotLqui lui est habituel.- Li n'est ptis do chez iwu, tuiien les

deoteue..M. rian4oi nenteudait ps ces rticxioas.

[l ecntiniiait t.ouôurs Au bout dola pre-fflie heure, 103 moins rssttmtss'erdon-iuireit.. Au cours do It deuximtu heure, onit dautro(tes se pcher, e la plupart

iïs .astantss'aseoupirc:nt. M. Mandel acultiitL jusqu'au bout. Tout io passa tcs trali-Mtullernen; ii lie fut interrompu (lue parL onflncnt do ees quch(ern

DANS LYONNJiÏicn ïYoune trois Iistc sont en pré-

enca : la Iate des socialistes, oiL .obert,(6put6 sortant a ltt exclu eell des racli-'au-sociaiisLes, sur lqae1lo Tl. oiert estiiusert; eiliu. celle d'jJtuiocu rtpullicaine.

' P%RLiriiG iruuet, dl5pu1{ soran du ITu

iondissement qui' fait partio du group1es oe iaIisLes dissidenf a ndress une

kWo t ses 6lecteurs, dans IqaeI1e il décta-50 reticr moaentanémet-t dû 1L.:.IUtte

oototao.En raiaoide cette rcLruit.e, CUi est défi-

_1 tl\C les .sodaliSteS d ldent ne préseuteint de candidats que daua In 2a secteurt:io Pais : Lauohe, Péjéafle, Adrien Vober,et claris b

trsiènue secteur : LevnsretuPaul Auriot, Artbui Liozier,

CATELNAU NG...UHtLNlto gt3tuCwal de Castelnau, qui est eanddt

çmu: tMeciiôns 1égisIatves dans PAveyren,a accueilli hiv au chant do I'Intrna-ionalc par cieux mille travailleurs do Mii-.

tau. DOS cric nourris {FsaSSiu asassiaIUcnit OmpCLtO do prendre la parolc

La 6union a (4é disout pi la poIice: ET MTiIOU ITOU

rLS 'rtiteZ (Ba' ses_p3-réiuSec), les paysans

arnais 5agittnt. Un grantinl?eting a eulieu en plein air au rnrohn aux beStat3x

et la co-vLiclatUr0Barihou fUt conspuée au

lÏ1&no tite Ce1R3 du futur anademieten1?rancis ,amuI°S, pieux patron d'une autre

liste. Le pi:re do la kn de Lai ai4 uara (iu

al i fir abùudre pr ses Bearnai.

, WWRES %UTous îe ultra_patriotes vont avoir dii, 1

r1et(ilNJVO. (

anflOarO qua te vïce-rr,-cnt dc la Lig\Jo de-s Patriotes; M. Barr's,

lt(Cltd polu Se priflOflGe.0 (ivailMurs que le grand patron at tau i Sre -bourg.

..CES ffIEUR OT r[.tJRaiunnfl'O quo plusieurs d6pIt(5 i

att de1 (tLØjM et du ceitrG ne ) rePr-eRtOTOat pas. Est-ce bien S'ir? Uuo tt-

. ation trdive 01.1 Ut1C ailiguic pi-adru-i? Le SCflG O5 liii .0;1t. Pc

uaut at. fl9nbve de (si. . lesçj(MCC5 L Cite l)Ilya CGc19. IOi(.3(,o (tt'' In b'ot drsr4 de 1ur' t,ou. Ca' ) 1tou1ec ï'1. dL ttgtl I' M

tfln' Lis po ht:u r& Il, ( ( Ite d I

!iea 1nfiu4

y, CONE1L ECO?,TOM!tJUT i)V TR!V.4ll: ;iT i;TR CfiIE.toUJj L' IEtEVE1?'iT

Par!, Pi flovenubre,vûrc; une analy:e 1areénuejt lCOiiOtC (lU

manJfekt !paP icciUCi La CoflfédcaUon g(n&1ale du Teavaj (wnoice 1 coflititlioa £I'Ut2Coseit &OOOEnlj(fue.

Le maulfeste emn1ea'e pat' faire e procèst.lii l}oavoir, (liii, 44t-.jl, n'a eu ni ja Ciir-VOyalc, ni le COUr() ti plendr de dei-S1Oi d'en3cmble, de suivre uuo pc,lit1'lt gd-Ilers,e, do rérinuer srjc:lscta1e,t latiu . IO1bS les degrés il (19 frapper les lent-i-

Fa(l'aleUX. Citons ii e mari-

C, Tin elaie ouvrière dai, de la taQc !aplus oagorjque., dtSgacrEe doit dénoeoer la nlar.ouvre (I3 CUX (Ujc-iierciucn à fajrc eioits' a l'actIon -Syndi-cala ouvriére la cause du niSlaise présent.

La C. O. rj leaostSte, e.a.luilr, qU'iL & COO-Sll'1011 de rlcr WI Conseil ationa1 conon'-(Pla, le POU10i1 n'a rttpoflfia 'c'en offtaflt liasrotesquo cariiaalura de oc prjet clone, con-

Druémni &uu( d&e-i5ioui du corts dc Lon,la (. ( rj u ( e- t' ecr- iii nutravaj I.

cjn encGr c docunw(C La f. G. T Cfl51d Irciurjc i 04e orgai_

aÇioIt -nouvoflo et iflhOdUut'O, aveciXi6thOds, une diCtjo clxsngc daits l'laona-mie du pa), afin d'ti&siirei largan*rnequelle a cr& le niXirnum alee-s5ajrc de co;n..)étenre cl d'aut@rl-t.

' La C. G. 'J'. a Çs at&e eux OrgaflajOnscooiUmaeun o do toeinioii ci_ara

(jai olt dcIaré- liii ePPeirP Icur ctiier con.-

(OUr : FéddraUon atjana!e (les Coopérati-'le- Fédratoi1 nattonse (las forliQrnai-ce3 ; Union sdjcaI ténfri7's dc l'in-ductric, du conierc 4 !'agrian1Iuc »

(o conseil e3t PISleé sous l'égide tia la C.G 'f.

-r, Sur e ut pMu5ujV par le COSeiI éco_nonii-lue du taavil, en prrneUant la colla-hoation de tou. le irnents techniques sa-innés ul I ccuet, esi 10 ntrnieiau relvcniet 5iujqtC par dc3 foenlcse - réalistjon uaUjurnent SoudeUse de l'ue-

gturaI et u.soaplibles (le doiinc (uti'ait la pac detjon Ot de catr'le (tu j

iU rcient dans la podueio. 0:1 la ipartj-tien des richesses. -

( Ujia-tello e-e-- re ne peut Cire que I r.t d'lude fragmeïttajros e effoel par, Dans IC CUO3 e.9tomjpsc ccéi par lae, aprht 10 fa.tauljpio ieUs ic aicha..

niittéajejics et tiuiiii quIe at C plus f0 e d actmc{t que i io_

lt \C, jr-idti Uss(fl( . 1 lcutc p ( -sente, fiCre faCc aux prbl?irne. :p-oss ; lin-divj(lualinie est ua tade aujouiïihuipisC

(I I n iau LGrn' ia cc'ort o dc ta iitidustt'inlise 4°nt il S'&ppli-

quera c dttinir les cundjion fie ré1tljsctjc2,ie Cotei-1 doouionhiine de t4avat ii'etcnd 1)-as,'i11eurle, perp1uer ci consolider la formule

actuelle d'itatjsirc e qui Lu'L Cit riai -au ju-tiller les espoirs que l'on-avoit s en ellO.

« TrIle que lLu c4ntrera - et ta rejame leven-en-t ouvrjer, la atieoMjsatioti ct ta

iea'ïso etrc les mai1Ïs tira rotiuotour,-c :1 desconsolnraateules asOCi des moyejus tir pro_

hi-ûtjo etd'civanga dct j eut té dpos-sédé5 au pToflt ilo quelucs-nuS. -

- i)arincr l'Et-at en te faisutt traiucr verso rcioiteUl ofi il ne sera r4us «ce s reprcu-alien (tas oogaUjrncs colec-ti do podirtiou

et (10 part[iii, la retirer alu1s-i -lc f osocscoecjtei -- qu'il rceo, - oustiuiee - tic-s

nuj (lu oaplal a direction de l'éeoaonieatioaile, (loUrer -au travail 103 dn)-tt aux-unis il apirc - Ct les - rcsponabjljtés qu'il estrndme d'utniucr, telle et i'ccuvre

plu» -

Le maLf te IPt pie e 5Iut t I tiun.e production jntrnjfiéc, peur lmuoll i

wt fajrc appel -ait «'uaui's 4e cmx qu par-.

ii)Cl1t I I' oC'a '( 4)-lu e'tc mkue .q est_'t-lire : le )-uvrjorS, les techniciens ,:1r OatO-

jomajce-s-let ceux pai repT.&:antCtat lCs Lat-t-ttS des cotison1neeurs : les

j5 CtiC prodn-otii)a -juteasive n'est iite, dewe- eontiuiiueu, - (UO 10 majfetc forma-

I :1C Ouifl1C suit :C

I Qu e'le 'ri1 O''(C (ii'is le tiP

jes')-'lt-e qti Lis rjcltCO ivattwelios, le----nie dc l-a race, 1't1sf011atjon jUtitiStillelile et 1a-

rnnagenuent tiCS ffl1)Ofls thanga soient-titis en plefac' 'rair-ur et que participentau travll comuin quj produit 1- ohjets i-ceSsairca it -1 VjO iadjvkuolle et uthecive-

2; QUC ls priuteu daat os iu-trtsont juscu'jri, niti- ou rceo-anus aient l.

I certjtude que truc lseUr esl tlo:rt au prafflido - la col-1oet(vit t-eut otiro e- non pmw la

5ata-etioii de5 jiOt t-ar-tuIicrs du;eei e qui n° IY&ct rno plu.. cu

.tl: 1 t 4t 11 1uC) 1u . ulc (U (IIC prc_sento auï yeux - les tauclua ieVCris, iavt}cluet,)eut. -ar-idte ses pri\'il. UC tni!5aii di-ec-trjce remplir an CCjii IC la aoeié6 l)- Jo rnanjfesie, afl cutrer e dit-aiI dc

'c plan d ogar 5( 'n ccii4 t t cli t iOflfafl'la traftsfOr-iatLien COÎ)1PIètO t1q sc.-oiés : -

c Ajttl, par eie effsts natoiucuucCOnV.!lti lerlul que let {onféddeoUon- géaérao -travail VO. entreprendre, par des CITOt.-S inter.atjo$aex qui--V ont dire t'obet (tc l'action dUp' olétar 't raa1ttii...l s tt In a L 'u e j

10 rjmo OuVCUU, CUi-5 C

_ve la uatjCC SceiAC 1'tmjOn 1(Cs peupIc'éuuis iis Ui.flC 1TuCilC -eictjoi -lj -icOT-s et iteCjX.

trs d L

UNE ÇtTASWPi-E UU LE '.-.L.-M.

cnS, isoveinbre.Un- Lamponnenueut- &est produit hier soir

ors 2Z - hcuaes, cato Poat-sur-Vonua etns.Le train 1-33 n impoa-iiscprcs s »

arrêté au poste do bloc- u kilonuètre 1O&5lorsque le tra(u 66-i. se dirigeaffl sur C1c-.

3ve Fa rejoint après avct.tr frcuaclii i

rôt les signawc dû la gare de. Pont-sur-!os-in.ct rouez du posLo de 5oc. - -

On n inallieuroueaaot a, (téplorer la1eaG4t; do ptusi1r5 voyageura.. Ïo nombreclos blessds uest----pas erteolec tit-iall. Listr-ins sortt ndueflcnieic doijr-ns arMoritorgia.

PfliIIERZ PETILSLe tra.t Sjm?tou-.EfpreS, &éise -

aux stnaux, dttji iUrê{-, le O ?cstre O, oupC;te (le bleu cia lciionétre fOi-ti, quaat teira(ti 6G1, It (l GStiCT& (liii (levir.artjr do PCj & tlÇ Lmcreg P u.is qui ce-tI,iii, était pa-rlj o-yee n.jut; lIC VOiXCt,-e_.ai1t frocil, pnleat-4. Ut5 IEi1K. (t t-& ga-mc de nj itLaent & larrlt, tcuç 4U 1)(-5 dbisr, Nuit. S. jcte s4t ltti.

Cc nualiji, tiotrr i&ul OVjtt éI-é feite&3--'e-a- dlcoiabces, 4otit oazs vaont éttI jdU-

t&-tcO-l-si:e d- ZU- -aVaeaété tr11ts ( i't '-.

A t fc--sc (-''apri5-m.ti, loil peclst ie%

l.s et te o xl

tende-am; -4 novembeC.M. W-Ul-er Loie, n - ilatre do la matiac', s

noacé aux Conninas que les autritlsturqusavaient enfin eécé, & Const-anliioplc, la remisec l'ancien navire de guefe nileamiid (ben,

j si_ été --iaatleurneat rilpa't, confornalinent-ux conditions de t'acrniatice.

Uti équipsga -britannique réduita élépIac tbord c-fi-ont-es prcaut-ictns prises pour eupdC-lie

e le nsvire TIC sOit sabOrti ou eoul,

Ls TrOjJS d'AiexarieLe Caire, 4 novembre.

r:es troahe fMeïsnalriC ont ciutté duc VIC-tiffie p 11U lu populauca Inil cit' I S t JE-qcdtliti' rtgne ctitjouud'tint, niais le rl'tpart desgens - restent (I1CZ crin IJOa - praclaaaattcn ducaiinuaUtlant en chef établit uu zone militaire(iu_ SU,i(5 tes peseones naunirs il'uu pcuais

uvent traversce. --*'-i---Peur faire excutcr le frait

LE PETiT TflAVAii. QGO'I'IDIENDU CONSE1-L SUflMF

. - Paiis, 4 iuovenibrr.Le conseIl supric seeit réuni ce ma-

sous la présidence de M. Stéhen Pi-chon. L'italie était représentée par M. de-artieo. -

-

Le conseil a déCi&1d que la présidenceles coruinissions de plébse-ite ainsi queile commandement ds détatelteineuts in-teralliés seraient attribués, pour le dis-trict diUlensteiu, i la Grudc-Brei&tgiue;

our celui de - .Taritnverdcc, à l'italiejio&ii' la iiaute-Siléie, à la Franco ; pain'Tesehen, nux litote-Unis déclaraient ne

as pouvoir tussurem ees fonctions avant laification du- traité; elles seraient provi-'ement conqiécs ù. la France.

Le coilseil n égnleancr.t aceopt la de-andu p fésentée par- la commission euro-

uduenne thi Danube dans le but d'être me-piésentôc i la conférence sur le régimeintetea-tianal du Dauube pr&vua pal' l'ar-ticie - 347 du traité de Versailles.

Enfin, le conseil u pris coniuiissancr dur,':port rcl.t hier de. Sir Geot-ge Ciern,aeiucllcm-ciui en mission ù Budapest.

L-a prochaine SdLillC-C aura lieu demain.et

G1t1lJ ,IUX G.4LEÏ?!L' L1FA1ErTEremis, 4 novenihr.

Canfocamément e la tl6eislon prise, hie-r, le p-ce-soUrd des Galeries Lafoyette s'est mis eu rve,ce matin.

D'autre part, la Clmniliic patronale n 1rf.arme syr4, c-at. 4es ernp'1oys que les cireonstiucesrtlseules re.ndaieial les pourparlers lautile et

qu'elle oppossit une lift (I ilan-recevoli auxrcve:utiicatioris p-eéseetécs.

Le Trai wii t-J-I

LE SENAT AMEHICAIN VA-T-IL- .-. - LE ltATIFIEII?

, \Vasidnton, 4 IiOVCiid)l'e.-Le gouvernement prépt-e un projet de

rtsoiUuon (lrmandae-t au Sénat dc se pro-noncer définitivement celle Seinajien surla ratification du trailé de paix.

Q les t32PCS

QUE BEPONDIWNT LfS EULG{RESParis,- 4 novembre.

MM, TIa$atiûroff et Stctie-t oit quitteront Pemisc- soir pour Sofia, cii. ih doiveu conférer a"eoleur gouvnuuinerd tin sujet de la rtiponse desktik-s eux obaeva4ieus préseatées par la délé-goUo Ijilecc.. - .

POJII qu s st a-Us()X ?j-:.,il U ('AYAD4 o0 .V1LL IONS

I,o I: £1 DEMOIL!SE, Oilw, 4 noycmtre.

ïcs tioauarair p-a4irleirmcrtticoda crédits tOP-lTiIriitoicC- CUit été- ti0îes sur te buecou de

It trt.nue tiet 'u3aur. 1 1te ce apo r-i'tmr ml-é L*Ule 4i-r ctaam PréittUt' 'e'l1' ' r lL'e ' SC JI C i t JU. ( -d.ane e-t, ti'ttuie ftct li tiiiier-- de dcilepiir -a-ble- tec . reprendre Icurs Oc eut-

ei'-lks; -.--

%; o

L

4-

IL EN AVAIT DON( UNE-M. filemencosu a prnoncé hier à Slrasbaueg

tua discours où il a dulni sa Politique. Tiens,il en avait donc una 1 O-n ne s'en était jamaisaperij jusqu'ici. Au demeurant le Tlre a parlédans la capitale de l'Alsiee-Lorra3no pnnt-dtreparce qu'a-n y comprend mal le franals. De--main, la Franco bIouio, apprendra que butest pour le nieu, CUO la consterne est do miI)aS s'en faire et qn'i-1 faut votr pour Is citt-didats dltinuencistes. -

Nous verrons le 10 novembre si le peuplefrançais est assez lononuime our absoudre sesmalices qui lui fan-t poyer a vietoiro militaireaue paix de la déCaite econsialque.

M. Clernonceau donc n eommeiie par fairesa propre panégrique. l'uis ii s bras . ut; l'oeuvreacconaplie. iendant qu'il était iii pouvoir : lemilitarisme priission idtatt'i (031.00 bleu sr ?)I'Atsacc-Lorraitie rendtae t la Ftat3ce.

Li? TTL4IÎE Zi(

Prelant du tralié de rak, ru. C1einnccaudtuiare t -

« Les plus - difflciIc prblm . rie la 'iCont dIe abordés dans un espeit do ,iustice et doconciliation supérietn'e dont aucun temps n'a-vint pu menue imaginer l'aventure. Que dIs-je,-la recherche du droit fut poussée jusCru'it lapritectlon des minorit6s de race et de reltgioa,trop longtemps vIctimes daims le passé de l'in-tel6rauce m9urtrifte. Et, pour tout achever, nousvculu organisant mine Itigisiation utivorse-Ile iiitravati par le moyen dci coimférence intemnatle-urel, aule puissacte pour garantit la paix C-i-vUe du monde. Le moins qiï'on puisse dire c'esthue itOîS autans teoté. On voudra bien peut-t-reajouter quo nons n'aaons pas élô gatds parl'exc-s d'encouragement. Le grand service que-nous- rendirent les eritiqùcu sans miinagemeutni rcutielte fat tic nous mieux écl-aire nous-mO-mes sur la grandeur d'une oeuvre qui, je n'aipas craint dc l'afflimcr, sera dans 1'iIitOire dugeilmo humain une date honorée.

( 11 est ceux qui ont -acomli cetteoeurre na - catit que tic s-impies exemplaires dofailliliilité. cl je ne crois pas qu'au-cnn d'eauxse suit fait ihlsiofl sur les fsib!eses doc-octal-0es parUes d'une construction fatalement tiC-tIVO. Tel quel, db ouvre -d' assez larges avenuesvers les installations d'une- justice meilleure auCré-lait des homnies do -bonne volo.leté.

{' li faut le reconnaike sans récriminer. Les1.ruI IOt! qui nomn clai'nt dn polir I atirou-se dérastation tics (1IX départomeett-s tes plusiches é,. Frnee nous ont trop p'ircicloIiieu

nt Inesurtes. Les conversations suc ce pointle fument jamais aauonnes, et douter do leur

SUC-i5flal SCrait faire iainre nos Alibis; L'idetlu sang usus fat magnifiquement donitée; on1C c-ompredmait pas le refus du concours finan-(ter tl h nu'ton qut '1 le plus souffeit et q t ona -publiquement mecenutue comme la sentinolleavancée dc la civilisation.

s -A travet-s les (16-bats 1e plus èoneplexes, -Itrait le plus ttiiiulcatit, c'est que le pays lui

éme, au nom dequi certains avaientla pni-eatiou de palIer. garde san.s effort ta pleineibertO èe son jugement saprmo, et malgré

tdtt tl'appels ilu doulo pernicieux, III preuved'une ipettubable confiaele') eu 5CCreisøurcCs de voIonh. u

Quel aifreux-- patlos !TContinuant, le Tigre a-ffim -Y-t:

-(' Le réimo ct désoraua au-aOslis de toéleiLehntp. Nous avons vu le gouvernement reuzi-

senlattf suffire a des:%ache:s qui praissaientdepassor la mesure do - ferres huntalues-,' pea-dai-tI quettro ans et pius, au pire tics suprruesptr-ils, tes IilerLt otiUques ont éL sauvegar-1ces -nias le contrôle du Parlement, demis I

[liu de i'aclioi ciuverutemeaLaJe. as geanleur. -

'I Enlia, l'évoluiln de la ji-istlC-e seciaiC, cnn-cuto des stipuUitioris du traité de - p&, pour-suit laborieusement se-s vOies dans-tous les paysquI veulent une vie de nslicb, mais ne cou-t.o it ps 'a 't san t-e 1 lie te

,-LES LOIS DE L.-IICITL' '

-<. Ceperiilanit-. la tiiparition des anciens pactisra peur premier effet de dégager (l'allianoes

pesantes eei de no cou-efte-ns qui tiennent,iustennt a garder intact - le- libre exercice deleur ernyaucC. -

C' L'une des pi-omi(,rcs nlaflifest-at(ons (le laliber-te -de percale, les lOis de lOïcisation, doivent

tro tntdgrahcmerit maintenue-s. On nous dit ami-.jouil-'hai, dans le camp da ceux qui les ont00m-bat-tues, et c'est l'un des graittis évènemeatsde ce débat électorat, que la laïeik de l'Etatdoit se concilier aveu les droits et les ibCrtsdes citoyens, ri quelque croyance qu'ils oppar-tiruneul et qttut 1i prL' seuicuacut la pala me-ligieuse era entin assnm6e. -

u Comtneiit n'en serioris-noets pas (t'aCef,ptiisquo c'est le princlps mêrsie du r-gime rû-publicaiti ? -

Sans la libert (le-conscience, la Républlqueserai tqtt'uii mensonge et-,. s'il était- udres-

saire, je montrerais ait priu de quels combat-s110es l'avoua défraclue dans les persutcUlionS clsauvéa

« Le nialilCur est que la -politique clla roi!-ioiu se sont trop souvent cciutntiuies tians l-es

violents eltùrts de moteur au r('gime du passd.C' Le delarations qui octtms viennent aujour-

tïhui des défenseurs attitrés dc I'E"Sise nou.'POnlïiCl[d11t enfin d'espérer, commue art tians l'in--i-mmtec. que la paix religieUse pourra èLe assu-rée dls. qua les légitimes revendicai-ions des ¶i-lecrtét COUfCSSi(".IIWIICS 110 seaibarnasseronl- 13lu-5

poids mort des anciens partis.(' ;t'y \u-rrOE!S, poUr ma pin-. l'une des plus

j belle-s s'iet-oir-e.s dc Itt Rdpubliqae-, et le joii oit

I les faits prC'oVe-laieLtt qu'il ii'y ti PiUt il arcleroTICilSéC. 1-umi rie pourrait. colBifietiro la toute doeituipro l'aémirable union du temps tic guerrepour réveiller d'arwiCtne5 querelles . it1 dans!'drCre- nouveau tic -mi' 'ted pe3, no dcavoee: plusavidi' de raison utéirr.

!LUdCS5US mCme de-s t'a' tits steics de la L-herté lqaiC. il y s les larges hri!ons de l'uni-verselle toliranC(', oti les csprit.s pc-ut\'rrlt se

dot t cc fi" ur' "a"s mC. e t__ o tu T

ci de s'eimcr. s

Il y n 1.-tieda0s ilt quel iiti cl dc quoi:utant;cr. Tciute cea tiirsses c-remises et sommesiferanédac-nt pas que la Paiiee est en plciaauI;;s. n plein déscmdre -et que ce n'est fcss le t

dscutrs ele Clec'ieacoau qUi l'en rlim-ri. D.

ers Jo(wm â trois us I

-- aie, -t n-embre.iiie o n lier. eu vatiiès,!. de la iccrse pC-

risieune, une réuuiion dcc dtecleuro de jour-nouL

E,'i réseaco dc l'imminenca de 'f giye (lesLutas et tie correote-urs, lUi VCOtt u Mé iiiS te-c-

deutt à la réunion dans le plus bref ddit'ttasae-mblée de laits les directeurs dc ourua.x-tieFan.ee atia tt'crsivrr li u-n stmor oci-r-1'Gd-'-velio (10. des ,aeicuauta-& qu-iee centimes.-

On sait qu'éPiaI -dOEuteé le pcL du papier et-fe, tt5I' C CfIL5L tan e 1 ei'iibk.Ati(rflS des 4eurn nç saut aiseu-'icil di1eitaicec.

Çie voeu a ié e{o-LC- C l'uu&oi-eeitd uotus. urrtOJ' CL1 " é 4 U i.i I -.'-ejii -'

1'iflUlle Ll4ie - -' .-- -

Sue '750 fr., 1s0 POtIS cent, co ,Suç 1.050 D!, 'JpOUr cent, nSur 4.200 fa, peur ceit, o- 105I) fr'

Au total, une mL'eiDn rijuaipfrancs, qui porteroti la pCusjoi- (t 0.O (r..a25 fr., la itensi la (le 7.uo etc.

Les pausions pmco-Uounetles etveuve-s semaient ma.torees dans tics ce:lèjiicuanalogues; mais ieStrQl auxo-,eeiles s'quai't respott mtt ls m e ,i .., ffj('pour cent, O peur cent et 2... peur relit. Seralc.ntmoItié de celles des pCnsiy1 d'aueieaaeté,50do O b 3'iSïr.. de 3i5 li 05O, tIO ,,minimum serait- de 750 franc9, -

IIe!Qpe au traviNous connaissions déjà l'état dc déliqiie..nec dais lequel sont tombées plusieurs

e Ï1135 manufaetuoes, net-uniment eello-dulle. -

On nous sïgntde aujourd'hui l'effort fou!iii par les 1°ondcrie-s Natiortales. L per-sound- nombreux do ces établiseemeut

'est acharné, depuis l'armistice, i tranE

ormer on wagons plate-forme tes wa.geins citernes que le service des poudreavait fait construire, par centaines, POOl

le transport des ne-ides; alcoolo e 1sydr

carbures destinés ii la fahric-ation des ex

plosifs. i\e cherchons pas ii comprelldT

les motifs qui ont décidé éetto transfor1natian, alors que des quantités de pétrole Od'essence crmc-ombrent, Ioule do nsoyene d

trauspor, nos quais maritimes. Les nOU-

eaux wagons à plat-fomnue Piment -offert

aux Compagnies de chemins de.fer, maistelles-e-i, liées par leur cahier des chargelit

- purent accepter ces wagons d'un mode

e imprévu. L service des Poudres nes découragm, il travaille h reconstruire

-- --- wagons-citernes, mais s'est-il prétiecU-

p6 de savoir ii pIes Compagnies les a0Cpi

raont? 11 lui restera, il est vrai, lace de les dtmnonter à nouveau. -

Carne JjHaire

TB-1l'EiEE »E L'Anl1fE P O'

.

Tufli. ' nove

' Le lmeulenanl pilOI ptaUci1Ofl t n5

ttant Clioutia, ebaf de l'aviati0i ami arot l.

tpt d'arriver a 'f-unis, aprds aV'

impie rhi Nord sur li1i IiiPta

Tout ami du « Mi4i oAchûte le jnaliii sofl cxemp10

3l

u az'claulJtl. . .Le soh céde sôn Mi »

):.:e 53et fC C5

t-ite- (l-rh:e(ourfiøe f jfa

Ne perd f:eii U41Ct,ie

la ré(1iilB(!-!dI * quo 4Cf -

Iu lcnauorairc ' aux lletï51t'inititaiii'es propoiLiOnnclS ';'

L lûj du 21 octobre lOI9 public «

al Officiel ,> du 22 du mme nisPat'liClletnt (lUX retraites mjlitaire' t»ope.

ijonnU:; Je béjudfice cls lois des 1S. ûc(Of

1017, 29 et 31j avi-il fOIS et '23 févrierlb-ut .11e aajont (té for,neilcmc°l rachiS.

r'trmt1lés dc cetie catigot'ie t?cci3r0fl15e

location réduite (le 30 faiiGs )OI' i'15effet ictroactif du 1er juilct iP1.

Les condhE.ioits d'ttributjOn ot lC 1" -

(I le pour 1e autres retrajt*9.Les jilléressés ti iøt 5e mettre !ITI1U

tement eu laslanec et d51i0ser leur

et leur titra Le ila unjrie do lCU' t50l.Ton te fois tes retraiWs miliLi ires pr.oporicisq'ei at&raiet t (I6IIO'd antrieUremC't flC

(te n'anrou Is lt h renouveler. l IL»d'adiessm 1ifllO lette t ta Jè4CCL1IIO P°

mondi:semesit do TcmuouC i3t aU

turcs pour les aUlrs arronilts50meodent la révision de leur premier t105-' pt

Pour pouvoir prêleniire au rspPla 1ri précitée, les deV't,0 pa5è

L'ut', èernaoul avant le 1er Ionslc10uos l

C' Il' nue le pnt- de départ de I -

tixé au icum de la d'mn{le.

A TRAVERS LES 41M '-

La

Itaru im sl,i d'ravons rendu compte ds tIi,2'.toa lntcrrn!uiQt,;rlie

Cll5C dela

dç1lsio11 géniral du rj des pa°mUirre jtr'vtes, ClyllOs et milItaire,, 'le rI-;Cette commission tout eti

1

entiire du rmiglme 4s iien,cOsombia de diSpejtjon5 eabor ,.ionnes aetu1s do l'Eht et °Udront leur retrait5 da les plus proeh1 Pinées une améliotation de dCum Sittt0 lfli,jiort avec i'ÔIdVtttli)fl du pni u la v eu

La fSÇCflL dont l'échelle dc majo0Iraites a éte arrêfe par laImouve par le gouremnem ap..lu Chiffre glosaI des Pensions, eoirmepu le crolie, mats li Casque peusloit tou fraetlon,. Ain.si, tet0

peUslon Cirj1lilair actucltomeuf liquléac reee,-,,tUnjoration permanente de ;

100 pour cent su ria fraction tj'iOfl intrieuro ix '750 fr.; lleTt*00 pour cent sur ta fraj00 tie eeqcompIie Cotre 750 et t.Soçj t.!.() peur cent sur la fraotio

,-j0 c'%SiOJI comprise entre et O.00 t!!o sur la portion de cotte PCnSiOn0.000 fi'.Le minimum de tOUS? pCneie

SCraitL'Oo fr.Pain, voir comment jouera ce taj il eu,Cri-' prendre deux ou trais erQmplC, - "Dibord toute rn_s;on a'iueIle

!;oo fr. et .ilisqu'a O te. Portes a mie':mnrTt de 1.500 francs.hue pension de l.)0O franc aurait l.i T"rnliCe t."OflCIlC do 7tO fi'. dopi, i

reSta01 smn'.'o fi'. serait majo(e du to PCUr cent mi"t; fn.. ce qui cum un miler!n dc(j parierait I't peut-oa ia t.'t75

tiser ca1îea de ii ) fr. FOCOvj . 1C3 lBa,raticits suivnues :Sïir fr., 100 Pour cent OuSt.r l.00 fie., 50 pour cent, tt, b25 f&'ar 1.200 fa, 25pour cent, oj sop ç,Soit une mac.iyit4or tt'tate tic fr,, kurli) teEait la eusion ii 4., /,,

I." maloraIili P.ia\lmflom sc:a'POu

,, pensions de O {JCQ îm. etiljaflière suivantû z

Ile çh tr

-:sL-'tiT1tGIa

\Vnhinton, 4 fI)vcmbr(l.Les chfs travaillistes &eiYorceiut dos-.

reindoe les chefs luineurs iL donnt'r l'ordredo cesser -la grève. Ces erner auraient,dit-on, I.2Çu l'assurance que Je gouverar-meut est ciisposti it tenter de régltf 117 0011-fit auositt que lordre do grève aura éttiiapport.

on eroit savoir que Gonupers et le pFli-ident do la i'6dtiratjon fraternelle des md-

oanieiefls cic loeomotj5 ont fait des cl-forts similaires auprès des chefs mineurssans cependant avoir juaqu' Présent oh-t-eau aucun résultat appréciable.

LA (ONFEIIENCE DE WASmN(TONs:OcctTPE »ES SANS-TftAvi.n

\Vashingten, 4 novembre.La conférence internationale du travail -

n disetd hier la question des sacs-travii.Artijiir Fonlaino, président (lu comite

fladmninistra-tion, a expliqué que la ques-tion du traitemenU des travailleurs alliésdnns les pays ennomis et des travailleursoliflomis erir le ol allié, serait ecamnincepar fi cêrnrinsîon du chomuace Une autre-commission, a -été nommée pour faire unrapport " I adm scion des délguLs fin-landais, luxembourgeois et aùtres. -

Une proposition a ét faite pour la par-ipption des femmes - i la ronférence in-

ternationaic du travail. On a demandé éga-lemeal que l'article 3 du traité cIa Vorsail-les fût amendé. afin qu'une femme repré-sentant le parti ouvrier et une autre em-me roprsentant b gouvernenuent, fassentpaci- de chaque délégation nationale,

le Tr contre e Capital

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