5'yissise,or1egiaggs, ocia laimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1912/b315556101...par...

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1 els 1201 ADMINISTRATION RÉDACTION 39, Rtle RoqUolairte TOUliotISE remasx-noxem 043 ABOGIVEISZISTS f 5 fr 10 fr 20 fr Colonies ) Étranger 9 fr. 18 fr. 36 lrapranormi la ProsSeeeté Ammymo à Capital ya-r,,able CoustitsUe le 27 cure 1909 Social rà 31.0;..21°S., srue Requelaine yAIEMENT DINTERETS nes coupons échéance de 1er juillet 1912. MM. les propriétaires des Obligations de CENT FRANCS A 5 p.100 (émissien 1911) de la « Société l'Imprimerie de la Presse n, sont informés de la mise en paiement des coupons d'intérêts an- nuels. Les paiements de ces coupons seront faits mus déduction des impôts légaux : A PRESENTATION, à la Banque Richard Klehe et Cie rue des Arts' à Toulouse' de 9 heures à 11 heures et 51e 2 heuresà 4 heures; Par CORRESPONDANCE à la cais- se du « Midi Socialiste » SI, rue Hequelaine, à Toulouse.' ! Le, sonstript,ens au 705S flas Obligations de Gent franc, (5 pont cent) de l'Imprimerie de la Dyeme sera toujours reçues an eiègv e la Société, Ou, 39, rue Requelaine, à Toulouse. Jacques Bonhomme On (Loti la lin du mois de juin. De- puis plusieurs jours la pluie tom- bait sans discontinuer. Au bord de la soute toute ruisselante, mi honuneOtait oses sur risse borne, insouciant de l'eau touthant à torrent et regardant le na- vrant spectacle qu'il avait sons les yeux. TU11(1,9 qu'il demeurait plongé dans sa emitonplation, un homme reveu <hm impermérthie .s'approcha de lui et fut frappé de la douleur de ce paysan assis sur cette berne par un pareil temps et dont ,les yeux pleius de lar- mes erraient au loin sans avoir l'air .de s'or/téter sur aucun objet. --- -Eh bien l'homme ! que faites-vous bis? questionna l5iss000aesaj. A celte interpellation le paysan tourna la tèla tem l'étranger. ---- Ben, mon bon monsieur, dit-il, js regarde l'inondation. Voyez-vous ha- b., à quelee,s centaines de mètres, celle y.tiiu farines Elle an à mai. cul, le ferme a vu nain. mon Wire el l'a va mourir, elle appartiènt à la famille de- puis plusieurs enérations. C'est là où assai, Jacques Ifutat0111110e, je demeure st où demeurent ma- femme- et mes cinq enfants, trois garçons et deux fil- les, dont la plus jeune Vu encore à l'é- colo. Eh bien, mon pauvre momieur, cette ferma qui m'est si chère, je Suis &IV le poiut de la perdre. Voyer cotte maudite tarière, l' a In- cohérence s, qui coule près de nos pieds et qui, sous l'influence des pluies torrentielles que nous subissons depurs Plusieurs jours, a envahi et dévasté mes terres. Depuis vingt ans que te travaille la t+erme à mon compte, chaque année, pendant l'hiver, et quelquefois comme celle année, en plein cette maudite rivière fait des siennes. Ajoutes à cela la gelée, la grêle, la maladie du bétail, et vous comprendras continent j'en suis venu à prendre des hypothèques sur ma ferme et sur mes terres. Enco- re dem ou trois années comme celles ri et il rue faudra vendre cette ferme quo sseea. les Bonhomme, nous possé- dons depuis des générations. Mais, dites-moi, demanda l'incon- nu, quelles sont les limites ste votre propriété ? Regardes toute cette partie du terrain qui se trouve sous l'eau, c'est Impropriété qui part de cette route où nous sommes et qui se termine à ce petit talus en aval de la rivière -elle forme la limite de oc plateau que les eaux ne peuvent atteindre. Comment, s'écrie l'ineonnu, de- puis vingt anisasse subissez l'inonda- lion sans chercher à la combattre. Et que pourraFs-je faire ? deman- da le paysan. Eh hies, vous allez, avee vos fils, arracher des pierres à cotte carrière que vous triiez derrière nous. Lorsque VOUS anses assez de, pierres, vous fer. Me mur qui partira du bond de cette route et qui, longeant la rivière, ira rejoindre co talus qui marque la fin de votre propriété et que la rivière ne peut immerger et., dès lors, votre pro- priété sera à l'abri. Frappé par la justesse de cc raison- nernent, le paysan rmnercia Pétra, ger. Au inieme moment, la pluie cesus ne tomber et un rayon de soleil par- oint à percer à travers les Muges. Be retour à la ferre, Jacques Son- 'bossasse fit pert à e.es fils de son pro- jet rie construire un mur pour les pré- server de l'inondation et tous partirent È la carrière. Pendant plusieurs mois, sans se sou- che, des plaisanteries tics paysans dc eee," OCIA_LA environs, Jacques Bonhomme et Ses fils arrachèrent des pierres avec les- quelle ils firent ensuite un mur épaie et solide qui, depuis, a toujours résisté r a Incohérence z, Ce qui a permis È Jacques Bonhomme de bennes récol- tes avec le produit desquelles il s'est acquitté de ses hypothèques. Ne devant spi. rien à persemne et vivant, par son travail, Jacques Bon- homme est aujeurd'hui le plus heureux des hommes. L'histoire de Jacques Bonhomme est celle d'un bon nombre d'entre voua; bravos paysans. Chaque année, sous le poids d'un hn- pôt trop lourd et mol repartli, sons la coupe des trusteurs et des agioteur., sous rinllttert. néfaste d,e la gelée, de la grêle, do la maladie, boss nombre d'entre vans doivent placer leur bien sous les charges de l'hypothèque. or, que année vous vous enfonces davan- tage dans les dettes malgré tout votre courage et voire banne volonté et, beaucoup d'entre vous voient venir, la mort duras rame et l'amertume au coeur, Permisse où il faudra vendre I« vieille Maison de famille elles mor- pe,arik de 'terre qui aous ont été con- fiés par vos vieux parents, et qui étaient pour vous jusquà ce jour, à la trois votre richesse, mitre gagne-pain et vos reliques. Mais, dités-moi, paysans, cavez-cossa ipouriquoi vous suesombez plus nom- bre= Chaque ;jour mus des charges lis- estes Itrep lourds et très net réparties? C'est vous, braves leavailleues de la 1C1're, qui, inconeciemment, dève les un- tours d'une grande partie de y. maux, Des hypocrites qui se prétendent vas amis et dont vous faites vos mandatai- re. au Furie-ment, sont les auteurs de l'iniquité sociale dont vous soulte,e à présent En cherchant la vous éloigner des socialistes qu'ils vous montrent comme des s partageux s qui veulent vous prendre notre lopin do terre, co qui, du reste, est faux, ils n'Ont garde de Tells montrer Pexploitation, odieuse dont vous Mes lea Tietiraes et qui per- met! à /Mute une serie de parasites de vivre à vas dépens. Camarades de la campagne, 'fpite. &Imre neusegroupoz-vous pour défen- dre, vos droits. Voyez les t,availleurs des diverses corpsealione mentie ils savent se grou- per! ehaque jour davantage. Voyez nos 11.11lis ICS fonctiennaires -er les enrployés se constituer en syndicats et rejoindre le parti ouvrier pour, obtenir une amé- lioration générale. Vous aussi, camarades do la terre, re.ssaisisses-vous. Sortes de votre tor- peur et do verbe incohérence et vertes nous rejoindre dam le sein de la gran- de famille ouvrière à l'aide de nos cer- cles d'études sociales. Et, tous -rémois pour le, bien ôtre com- mun, marchant vers le /Mme idéal, paysans, !ouvriers, fonctionnaires ou employés, nous jetterons bas le vieil C,rliftee capitaliste, puant, vermoulu el Moisi, et nous établirons à sa place l'édifice socialiste basè sur la justiee, la bouté et la solides/Lé. Gabriel VALLVE ÉCHOS CNN canera-I; seoir 30,000 FRANCS Des mamie. °coupés à des répatutioam dose nue dee galeries eut6rieueos de l'église Notre. Dame. à Mantmen.r-Seàmo av.ent trouvé ào,sse as rédà,,., sa perammo n'alkitt jametes, osa vien, taple net:s c...toyaivat boa à scolie au eleffon- Mer, et dont Ils amiees fait use bûche puer lm erotég. .r1e la pluie. Or, 0m 'trouve que ce impie, pratiquement -LI...donné en 1,44,1,e, est nue adreientle tapie.reie peines dotant ai plus de quatre sOuci 11e gramsis se.e artistiq., c'eet en panne. de Imit oteres me quatre où l'on voit de, autmaax fantautiquee, ohitante;, 0050es SiseIG ans plumages banioUs, ilgo,es qui es ..- .chue tiorommea5 sus le fo,/ ter. M. Pujalet, du 515e-0e de Louvre elles fait dee offres d'..loat à la ville de Mantes, Il a proposé une somme do 3,0,0,00 franes maire, M. Crotte. Mais le Conseil municipal a dé- cidé de fere eaporquer se tau:. ayaut suons, aucun maredê. DEPOPULATION Q. n'a.t.on préconisé eontue la dépopulation dent 5e marelle croissante peéoeunpe esse jas. teem test de buse esprits. Les eousà,tere ...teins. de &Intenter se mut aeLgte esn moyen qui ne manque on Pour eouvainore lems potteitoyene, as peehent d'exemple. 115 -é. «semple est suggestif. Voità, en sec, le mondse do tees .enfants M. Lefebvna Os Preep, ISIGGe et député, 12; M. Magr,y, 12; M. Ionie Delattre, 9; M. Léon Oc' bu, 7; 11. Bataille, 6; 30. Peut Lue-oie-5e, 6; M. Persyn-Pàgo. 6M. Bussodos.Cassee, 5555. Haps.- mes, 5; M. Nen. Co.. 5. 11. 13,dende:, C M. Lonio Deetedt, 4. Le doateur Pou:ain. 3; M. D.6stré Betteloot, 0, Pa.1 'rselet. 3; Mt Bandry, 3; M. R.uw, 3, le doeteve ndon«, O. M. Amin, 'rainiez. 55 Sehrià.es., 2; M. Lu. den Beeteloot-Cot. 2; M. Léon Guilbert, 2. 11. Seeopl, Dumee, 1; 11, Joseph Ti:lie, 1; M. L,cen.Doyatder, 1. Sois on tout u eent mue enfants. N MEJAIQUE A New-York, dans 11,000e,, s'àrigo ce mommt. Le plus aluse,', ie- s graue-ele, Wootwurth BottO.Mg. do00 le paràteeuerto d,être fa, à 250 marie audemus da sot dase ses einquaute-ett, Ois- 005, le popuierion dtane petite vin, le,, gratte- del . doute auge, mer, 0c a trente ms 0 peind exeltateut l'é,anuernent, auprà, mt plutôt 4 ses pieds, ma.,,,ona de pou, p(às. Li, pregrèe On la oltarpe te est,er sena rdrave d'oser el monurse sassa,s5ssm yu, sa ti,re éa' une errerSs a truslieu ta de sesurit.é. Amui, les /nonnes do l'art po:rst à dtre eue le Wool,verth Build:tg no délien, t" pue 1.g'Unups il tem,te dont s'energnetlà1. Rion no s'oppose, sa,vent sur, Onu qu'us fasse sà,oux couvre, et Vtaa peut, dinnaM, bâtIr et» tome confiance isamaison Os 100 mêle., et nem° plue. zuessur DES AUTRES es femmes Ses pertteans do Pan ou l'autre des ean..litlois4 la-présidenee 01. Mate.13,nie s'as. opiuleue lion tuutts... Vrairnest biais o.! celles qui aspirent as stmeZe M. Taft ont ras raban en lett...a, s'ha- bele. as onie pour mreir as ,reelet. issus, ta,,,,lks que les admiratriees du à ..boy e raelerelàmt surtout le eghtmette ; Autose du ring Creàt inetà, tous de mrque. Oueds boxeur peut rappmtenau gee. Oies dture quêteuse ars pie elie y fut inànee ro,t. ayeo -- O, pelles. Education Populaire lemme Petit. empeeleur gene,nt, de l'Instruction publique, viel de dresser se rapport où Font de noe meure, d'enseigne- meut .t examine eorupuletmernent. Malgré sa volonté de tirer de cet examen Ors cormlusions optimistes, l'auteur n'a pu s'empêcher de constater Pécheé de tous les essais efreganisation de rieurs eradult. et Tereignenent postscolaire; et le nombre tentiouris stationnaire et beaucoup LSOS cou. sidéra», des Mettras. L'enseignemenl prof-es:muet ne Sorganee .9ue très timidement, au rale. des pires dineeles. Tout m5 Inné au hasard et n la boa. volonté individuel.. ne nieras des meates de conMren- ces, les queameeeDniversités .prretaires meere vivantes emelt avec un oomsge heruique, mais sens Pm et sols appui, ...relit orga- nisalMa da mitre enseignement. si peu démon.- eque. Les anus d'adultee, eat-il soi, Saut ...rapport, proee.ss,m,, kutement et sen, iTtiqüent,is Si f.a- ,On irregulière. Et M. Herriot, député-maire dedLyea qui s'afflige. dans le « Rappel a de ce mette, de cet engourdissement des facultés 'Menne- Welles de la plimmt das benne., mue ,ausaitôt à faire intervextir le gouverneneut «liusie savons, jusqu'a leevidence, que l'école ennuios ne suffit plue, Neas sa- von. m'il faut à tout prix organiser risa- mitmedient de Vaeloleseence. Par l'obliga- tion au de teste autre tacon. le gouverne- mou retirer:air doit tamer ce programme. S'il ne le faisan pas, r>11 pourrait enrouer qu'il s'est désintéressé de narre avenir po- litique et moisi. H. Herriot s'abuse sur l'influence possi- ble du gouvernement en lo. mstière. Saris dote, il est une obligation que tout gouvernement a le devoir d'imposer u o'.t refile de la fréquentation sectaire. Encore ridelle soit inscrite dans notre Cook: cho- se sait bien qu'elle West pas observée, soit par ta Wengen& des earents, soit par Eim- p.sibilité 51, ils sont do suresenee et S'an- campagrour tsars enfants, soit om,,Ore let trop souvont. [Am !) par /a nécessite où ils se tramerai d'arranher Imre MiSOIS, aux bancs de l'école e5 de [es donner lions' usine meurtrière et démoralisatrice en échange de quelques soue soit enfin pares que len autorités administrativee connectantes leeXftefellt pan. sur co point, lo eontrale qui leur échoit. IL est done certain que le gouvernement pourra. s'il le vent. rendre &festive cette obligation de la fréquentation scolaire et diminuer Mnsi, dans rie notables propor- rions. le nembre des Mettras. Mais s'imaginer qu'id peut faire mieux et davantage et s'aventurer 55 rendre obit- eateire les cOurs sEadultes ou Ise universi- tés populaires, voilà troc dengereise illu- sion of, M. Herriot, moire que tern mate, Sevrait se complaire. Si lee uvres oostseolsires vaelent, si los esprits se rouillent au sortir de la pris maire et niellent de s'alimenter .à de nou- velles+ sonreee de Vie spirituelle, ce n'est pas seulement par incetence si, pal! rné-- pris; ce n'et pas mulement parie qu'on .prérêre l'alcool et leS Cartes 501 plie.es dogmatiques d'un professeur; c'est ...si. c'est surtme parte que l'ouverte n'a pou le temps, na pas /a ferce s'ire.truire et sire penser. Toutes les initialises, toue les e.fforte, d'a- vance sent etnedanu.5 n avorter - tant dire l'organisation économique n'aune pas changé 'Rosé West lorganisation aemonnirene, et n'est elle seule qui dmese, devant ta mar- che dos idées sis obstmle infranchissable. C'est elle qui détourne l'ouvrier en le frappant par Fa fatigue physique .et l'apa- thie mmtale. Tout le jour. Lee ouvriers se meuvent dans la vapeue ou dans la poucier, et sous la con/raines. Le phis souvent il leur est interdit de parler. Et vous veules les obliger à s'en aller le mir vous Cniouter di.erter sur Mahomet ou Cakes-Maury; sur la tlearide-Ousse, ou le Pont-aux-Anes; sur le Prince des Pei:tee ou bol Orif0 Se patriotisme ? itt vOue rêne/riront solen erres goOts, Murs vices ou l'état do leur eusse si Lais, ses-nous', dom aveu vos balivernes Vos phraes ne changeront rien au aé-steme so- cial qui pi!. sur note. Laissez, que nous allie. noue re.po.r peur reprendre la che- ire au lever du jeur, Laissez. mie nOUS al- ti°. au cabaret voisin, disserter politique on syndicalisme ou nosie entretenir de scandales do la journée. C'.6 todt aussi Mile et pl. amurint. Vaimment hue objeeterez-vou.s ma- rient lavis de la brute en se herses au rommeil au sortir du travail. He voue ré- pondreat pour votre plus grande honte qu ils le savent bien, mais tem kg nécessi- tés do la vie len obligent à vereter Vainement leur direz-vous guets ernpoi- miment 101.11i poumon@ en rentrant au ca- lme& dès leur reine do l'usine. Car ils vous répondront qu'ils le savent. lleSS qu'ils n'ont de liberté qu'en cet endroit oheur et bruyant. Et d vous faudra bien convenir qu'ils mat raison. Et qu'Adam Smith avait raism, 1,si mese lorsque prévoyant les effets moraux Oe l'in- durstrie moderne, cet économie. claseique disait O a LE, prame. de Io division du travail font que rouàrier perd naturelle- ment l'habitude de déployer eu deameer tes familles et @talant, ois general, sues, ignorant qu'il soit possible b une OrGature humaine de le devenir, a lit rine M. Beugle avait raison. lai aime lorsque s'affligeant comme M. Petit, comme M. Herr:et, et comme nouerneme d'ai/leurs, de la pénurie spirituelle ria peuple, il avouait à la Beur. travail de elosepel- lim esse Clades-trie « tend h sevrer do la oie intellocluee tonte le partie de la popula- tion qu'elle assujettit et Innerve, as travail reimanique. Jioti voie, ic,tr,mis rquo,ir, uniquement pour- areigna-nent postsco- leire n'arrivent pas à praspérer. Voità Fmurquoi ?d. Herriot devrait rimer- oeyoir a travers l'expérience que , peur sauver de l'ignerance l'esprit du Protase Met, il na sursit pas de parler, il faut agie: ne suint pas de changer les idées mais les ch..; que rien ne servira de décréter l'obligation de s'instruire si l'on rea pas le temps d'obéir; cf quo ISS versifia populaires, tant que le même réar- me écommeque subsietera, auront tout jus- te, selon la forte parole de! Jules Guesde s, tout juste autant d'importune° ...sciais, que Pence des petits teigneux Léon HILDELLE, VIOLENCE ET DOREUR Naremicez-N-011o pishit avec mets ména- gements, aven geile rétorrve, jeurnaU. les plats modérés, les plus eon.evateurs, ,parient sue da grève dss offelers des Cens-, tuereu de navigation ? Car ils sent en grave, et ila réclament d'u.s augmentations tfe salaire, et ils ajoutent à la grève de re- vendit-al-ions la gree de solinarlit puie- qu'ils anner.nt que le mous' am.t truë.,, si !,,Iriu r,,,ante!!! raticeent plaie ou et .are remplacer par des &dotera de ln marine de iehtat. Cest cmaidel, Mais tmdis que Ma pauvres lus- tres emt &n011ees et ou.treeS comme des brout:Mus, con.o d'étern@le mécontents et manse pmfois cornue es ennemis de la France ;probablement .urloyés par Permes- ger, ln lemme 101eS.90 dit den air doux qu'il Mut espérer que le conflit mitre les ont- Mers et le.a Cougragnies se demuera Mais ni les «limera snecaniuiens et au- tree, ont tété sergés de se mettre en grêve pour faire ociemiliir des demandes fermes- Res eu vara depuis des années s'ils sant acaules-à cette «caréner@ par 7es difficultés erciessures Sa la vie. par rembarras où ils sent, avec leur faible mlite, d'entretenir leur Oaouulie, si les Compagnies ont 050 15 ce point improvoyantee el ladres envers les chefs eux-nemes de quel *nit aecnble-té on tes pousses mari. ? Mais voici qui démontre par le ptus sai- sissant paradoxe, eomble.nlest arbitraire et ahsurde la eolitique de riprecion pesai- quée contre les A proie les merles sont-Ph en grossi qu'eu renteace sue les navire dee Compagnies par due usarlio de eMat. On invoque le satin ipmloitu, 5à5es- sit4 de vine.. Eton nous demande triompha- ler.nt s Qu'avez-vous à repoudre ? Quelle mletien propreez-vaus ? Mais le grève des officiers eet bien plus efficace. Elle est bien ph/f1 dégisive. tille mEit le ar.rater uet tous les navires. Car on no peut dégarnir los navires de l'End de leurs officiers, .eurtout de leirm °anciens nepaniciens, pour les tran5'norter sur les navires des Compagnies. Voelileine que leu mêle/odes drunmatil, cm- ployées -us arbitrairement coutre la SISSSe des .lariés se révèlent serein impuiesan- tee. Il faudra done nagocier. er obliger len Compagnies à négocier q neeeprer Irae iliejà accepté par les inmrils. . Que es eiy eel-en eisoler plus tet. ? Jean SAURES. La Peste New-York, 8 iniEnt. Ou signale l'aparition de la peste bube nique à La Havane els Porto-Rien Il y au- rait dé,e plusieurs victimes. Lm étrangers Prient les districts atteints. BAVARDAGES irt s Poiri 05005550 enue et rom coneKte nuset les horaires de trains et res mea, dee siffl- a:rats distends:, peur cheeeher le petit Inn. Pas ches où se meure du sert, d t'abri des ardeurs easticaktires, leseansultalion des borrees est ers un, beso- gne plus laborieuse opte punie,y a peur ee seroke oSétel, instaure la notation ler ris heures, el,e[up000anususasueeooe getts. Mme Clerc ne dut-elle gus <Vaguer à reslsJel les enegishols ornas equillArtaa. sa.sitta sue la mort mystérieuse de ses mari et qui, au moment dli depart, ne partenaieed.pes e deccas:sir S guel- te hetes perlait le tinta de le heures ie. Le petit trou pas cher est ans,i diffiege dé- cent-tir, fris gebinstlentent cet& de tt Pas der. - nier L'on s'était tr.sé si bleu et en Me., daguet ou 0e0 fee, me retour, une.telle propa- gande muerte des unils, li rtessé de piteon : e lot relrsitot, muse le temps, on lai a treeeré dépuré, d on cherche mie.. Trouvera-Loo e Cli Io iiI r flua is the q.s- lion I lu UUlltature prmfflaiste fait le saja de luet- tes les cosusersatUns. Les pue modestes parlent daller à la earrefflue et, «ruse... Issus lot. sise t'ondulesso à eipiter les « oies a toner s. Ça ditteott, c'est ueu tira de lexeme2.41e en a Paluda,s lm instant ale, Utes OR appréeie t'ombrage <le la genette ratite, on essaye I. roc, triage et les erra:, on se rafralchie avec Veau Sua pues gati n'a jamais tari mea,e pendant te remette étti de Si.... » ; et reus se rette ea di- sent que ion reviendra. l'ai connu une ma', de nui ti aulique, Kesere ainsi lote ses disnaneltes, 5 la eampagne. autOt foi senconfflê un ruer r Je eherhe, sue dileit, eanspagse teeS fraiche.. l'horreur rte la chaleav.,, et si ose (manias sec es 'Miki< do la neige... 'lis naiiese de 15 neige, Pei ton affaire.., prends done Pt rempart. de Rire* ! En Ballade POINCARE (Henri) EN 11108IE Paris, 8 juillet, Le Peesident lia Censeil quitter-a proba- blement La Eme.e le 3 Sn 4 mût et sem barque., seion toutes provisions, à Dun- kerquii sus le moispurentirense ii Coudé qui roninaitera tà, tirertstedt, le 7 5051. Pendant isu joueur!. dee 8 et 9 août, le President. du Conel aura à. Saint-Péter. bourg the britrguesa entrevu. av. M. noir. Le 10 :met. Io tsar lui donnera audismue à. Peterahof. Peiueao't sera accompagné de son chef do cabinet, il. Dooschear, Les journées des 11 aIlé août, ecront con- sacre. O soir Mosami eue il. Puâtear4 vi- s'item es compagnie de 51. Isvolsky. suriras- @saleur de Russie, O Pisris, qui se trouvera SainlePelerstrourg pour y recmoir le pré- sidera- du Caressa. 1.5 13 août, le President du Conseil, de re- to. à fiaint-Pétembearg. s'embarquera sur le « limité s qui le rantenefn en Franoe le la août, apode avoir eroise en Baltique es da. la mer du Nord. ARISTIDE PPM L'INTERIM Paris, 8 Millet. Pondant l'absence dri M. Poincaré, Pinta- risn de la prieletersce au Commit et du mi- nistère des affeires étrangères sera assurée par M. Aristide Briand, gare, es memix. Le Livre Jause sur le Ume . rails. S On annonce que le livre Jaune, mr les siégea:Wou feance-allermailes, nal sujet du Maroc, parakra à kt /in Je cette se- maine. , Rarement remet de domments diploma- tiques aura été au.i volumineux, Seulement, il ne eontiendra rien de bien inédit. La Pressa Socialiste. L'installation d'un grand journat. Cr que psitt tilt que Soit vouloir le prolétariat Paris, 8 juillet, Hubert Lagardelto a fait un visage daou les sures de Pl/rient, ei en a rapporta une impression de 'force et de vie eetraordirmi se. Noie détestions de mn récit le pacage sui- vant, MI il reed Imemnage à ose cainarades de Vemune « Qui a vu 1:ancien local du Parti et journal, convenable mais restreint, et qui visite aujourrebui, à la «Beiges Vieeneeite ». le vaste immeuble, recenme.nt aménage, sur lequel flamboie la filme roeialiste « Druck und Verla.gmetalt Terence-se, .peut ju- ger" dus propres arecendle. eans doute, un mueront a rendu la La- dite plus aisée. Mais qu'on songe que /e ir Parti des Soeialide M'émane riduteichea Ineelde, à nui seul, dai.000 menthres insu- mes et 18600 Menthe. ferle., qu'il a 40 dé- putée ettr ed; qiii7 pucelle ais journaux quo- @inhala, duos tri-beremastaires sept hi- lutseiniadairee, orge hebetemadaires oin- g...le journaux seidioanu une rev. « Der Nantie », un journal pour la jellueSee fo- olagste Der Jagendlieihe Aemiler s une petite revae décimation ouverte « 1311- dung.nheie n, un organe antialcoolique « Der Ab.stinent e, une feuille satirique s Nem Cheldierher us, et enfin le joue.' des femmes « Di Arbereinuen Zedong a. (ie soiti. lû eas tierces seteles qui suffiraient. à expliquer, sam intervention e,CiSPiettre, mestere:lion dun persil édiffice. « Pen de journaux eue, mieux installés quo P Arbeiter Zeituete ». On est d'aboi,: ronge,ou par l'aspoet artistique quo donne atlx intênieurs le SWIC Vie11110S+, greee rutilisatiOn heureuse de la ligne mune, de- coulent. alaireu et. den mottes décoratifs. Mais àtst emrtout. In eonenodit,e, des dimo-- sitiOns qui frappe. Todt est- sm'unge. ltsur permettre fraya:14.'4e ,at esie. Veici la lsneue s Pre Eans l'internationale -- L'Effort ouvrier L'Effort parlementaire-- CEuvres à créer des /niveaux des res/mtmes..1. sont POUR son A.1118 lerm agreable.int meubles. musii du mmfort desi sable machin. à écrire, hi_ bliotheque. redlerbodes, lavais., etc, sue un E emple elmque porte, eue inscription indique la ru- brique effeelie au radoteur liai:aire. Ma- nie agence.rtt pour eadministration. Em- ployés de tout ordre setemeiseent leur bi- sou-. elans des locaux secuellients et h,ygld- niques. s les ateliers do composition sont aména- gés .len Re procédés les plus modernes. Les umehinee 100,upsoee, à clicher,* tirer ont les derniers perfectiounsments. J'ai pu admirer, dans do mile du tirage, suret° et haute mem. un 'longe, te plus reeente ac- quisition du jou,szlet une immense maehine, merveiltlk, mécanique, tirant tronte-deux pa- ges â la fois. n Il fau1 dire que, si le format de l' « boiter Zeitungs équivaut lb peu .près à la moitié de celui de « L'Hunnanité os, le nom- bre habituel' de pages est de 12, SUSGS il n'atteint pas 15 et M. Lee, annonees, brousns et fructueuses dans un pays d'au- dace ranimera:2.1e et d'intensité industrielle, expliquent de semblables tours de force que les 10.000 abormernehte ouI joirenal ne per- mettraient perd-être pas ctes « Je ne murais trois relever le luxe de précautions qui assure aux ouvriers os em- ployés des deux sexes la bonne observation des seins oorporels. Vieliaires salles de bains et de douches. salles de retses eilles de dist/mettes., etc., tout concourt à rendre au trama ce caractère di dignité phvsique et morde que le capitalisme lui °Wave. LA SOLIDARITE EN ACTION LES Meus dela diesse ourle Uen muera d'assurance maternelle. Cest l'Italie qui re cràée Rom, 8 On sait que le iParionmet italien a cré6 une forum ..uvellte .dasurance ohligaloire ras- eurs»e.e maternelle, nus devient One section indeemlaine 4,1, la Caisse -nationale de pK-. ÉDITIONS RÉDIONAgs IGIRAULI, 1.02GRE, 5'YISSISE,OR1EGIAGGS, EySeel,CORRÊZE,CANTAI., LO,SSGAIIONGS, Gase,GOT,RAUTESPYRGNÊte, BASSES-MÊSGES, TARN-E,SASONGE, AGDE, ARIGGle, TOIllets7 IlArrE-GASONNS, voyance pour P'evaliclite et la viertiesee VGiti le ,Ic tloi qui. r6glemed. ne te Toutes les einleres do l'industrie sont sorimisda Sasseeince attatenaelte dere,- teire. La confribution semelle est de 1 fr.., pour les mseileos eg.i. sie 45 à 20 ans de 2 frau. pour ereles Agies de 20 ià ut., La moitié de &Me mer:taon, serilemet, est à charge de Pouvriere, sont soumises. à Passas ranee materuege obligatoire. La e,utribution annuelle ost. 0e 1..frase rom I. ouvrîères rimées de 06 e 20 ans, de 2 fr, peur celles agri. de 20 O 25 ans. -ta rmitié de cet@ cotisation, sendement, est a &large de Poe:taire, sou empierre essmit- tant faut. anoi,liés Ces versement@ °belga- toiMs se fent par àoeuuel,e. L'ouvrière ateouchae touche une ...me de 40 dran. EUL dont GUI quart est poyé par P Ne béatifiaient de 10 lei ge les mères qui ont effectué an moise deux versements. se- mesteiele. '1`mlefeis, le droit. â Palloestimi persiste pendant tee six enois qui suivent le dernier ver.meed, l'ouvrière oût.e.,, cess5 Si travail au cours de cette périOdet -Le droit est protomel de deux mois self..s vrière quitte le trasàil ou est congédiée an mura de a.su deux derniers matis de pres- s... L'avortement, à dater du troisième mais emulit est amende à l'accouchement. Lie réalité de fabortrs et l'àe,e du foetus seront atiestels par un certificat du médeeire eis rie ln seae-femme do dist:tel. Colle pièm devra itre rédigée dans les de jous's e1 adressée I. la caisse drans tes meule jeu, qui suivront Veinettes; si l'eau vrière a été hospitalisée, ce délai prenil date à la Sortie ,de L'all.atiou least pas due si liouvellre est condanmee pour abortus pruvetsee, Es cas hie nmrt de la utero, ealkeation mers& â ta personne gui se chauge rar mouveau-wl; ai ke men, et l'enfant sumo:Meut, rallocatiern tet due in. pers-rime qui a pris sein de mire ou du uouveau-né. L'ouvriers qui repremd tle travail avant l'expiration du délai ligal perd es droit, ri la partie du erbside quai Mt revient. La première mbitié de Fatima/tee est, sera sic Sans les sept. jOurs Ineommiunceelt L1 recarde moitié are mei. plus Med Mc:mance maternelle etegateire eat d'autant 0100 5015e eu. Italie, mixt ne éclot@ pas d'assumann dEtat coutre ta maladie. Et celte loi est infinie-ace paus !mure.sss que celle qat danaplusimis pays. interdit le travail eux ouvrneou pendant lés quatre emaines oui euivent lareme(hented compensé/Hm Menne. Lsn malheureuSes que celle ,tei tatprece sort. préeisément celles pour lesquelses leur selaire ceristilue une remource indispeneable unique. suOseus En Fronce amine anesure ne protège les de la classe ouvrière. Il est véritabiement déplorable qu'il an soit ainsi. C'est pmuquoi quelques a,L7nin19- 11. pris Pinetriave e irer'at'es'orgauttremkee' liniment doc semeurs .es maternités. Learratranee ;maternelle. es Italie, s'amer- quiert à un demi-mit ion de femmes eed,een. ALLMLAGNE L'Assurance Populaire Beriin, e juMet. Au congres des mopérat ives, qui visul, de se terminer à Redise ie. elle a uSds ubsptid le projet d'assurance -pupillaire messes-ire par les eyndicats elles looparatives &Allemagne Celle 505 015 d'assume, errera do,ts dune-, tivIté le Ler janvier procharn.L'ainnieur de rame& entroprise est, eonsiderable car ras- surenee ouvrier, prisée qui campent, en téell, =flan° .personnes amurées SOUS 405100 mille mark en englobe actuellement 3,330,000 aeeuréssa pour imam° de marks ! La SOUS cICH soe ié s'appelle. Valtsfur- zore s fda, Préveyaime nopulaire). EN ANGLETERRE Les Trades Unlons Le treizième rapport annuel -de la Fédéra- tien gémisse des Trade Linges établit qua dans les 2,931 mannite qui ont ét,15141 durant les cinq derniéree années, il a Sté dépa.6 en indemnités de gneve 7 millions 600 'mille france. Le r.apport, partant de la fregSGSGO de con,flite dit c « 105 espoire Os paix lumé- Mate sent illusoires, Il no peut -y avoir de pais à moins d'un ehangement radical dans le s,esteme social a. CIIAMBRE eance est ouverte Il 9 h. 15, Sous lu présidence de M. Etienne. TOUJOURS DES CREDITS NORVEAUX On aborde, au debut do la séance, le dia- 150-mise dem projet ils lei portant ouver- ture et amulettes, de criants sur les exer- cire@ de 1911 et lie. C'est pour M. Emneanuel France l'o.a sien do renmveter ses critique.« habitue/- les sur, le gaspillage den denier,s publias par défaut de contrôle. Il, do Caileard-Baucel. O Pommion des médits prévus pour l'aménagement d.e Yhe Sel BirOn, proteste contre les opérations dont. ont &é victimes les r,eligieu.s qui IMeupaient. A propos dee sonne. insorges pour ea-, Imités agricoles in, Klein dereeo qu'il se tempoos de mettre inc pien une loi à basa d'assurance avec participation de PEtat. Après une protestation d^. M. Anuger sus- 511110 régime de lu séance â jet con.tinu qui ro permet plus eux delpulês d'étudier les projets, Ise, crédits eont adopté. Oie fait de mem, pour lue services .des pensions cimes et pour les erdlits relatifs au voyage de boy de 'ruais ' Apree quelemnn oleervations de M. Cier- Mill Perier. en Mente le projet portant ouverture de prédits spacieux d'emereiger cles et prennes. CONTRE LES PANNEAUX RECLAME On passe 5. l'examen du, projet taxant lus panneaux-réclame. M. ChérorOa rapporteur, expose lo, eeceseité urgente de cette taxe prohibitive. Il ajoute qu'un projet distinel, est en, préparatiOU pour l'affichage dans les ville, D'apnè, le projet du gouvernement, 75 le date del tee junlet 1915, 100 °outrais mité- rimlre au projet actuel Seront cémiliés sans dommagee-interels. Si quelques-uns de o. centrale erraient. à mpiration ne pmerment être reneumms qu'à charge d'aequdter la tax,, nouvell.e. Enfin, p,-,ur le, affiches appeeie. Merl. INFORMATIONS SPÈCIALES DU c Miel SOCIALISTE » CE QUE FONT LES 7IVTRE'S Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 1: 5'YISSISE,OR1EGIAGGS, OCIA LAimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1912/B315556101...Par CORRESPONDANCE à la cais-se du « Midi Socialiste » SI, rue Hequelaine, à Toulouse.'! Le,

1els 1201

ADMINISTRATIONRÉDACTION

39, Rtle RoqUolairteTOUliotISE

remasx-noxem 043

ABOGIVEISZISTS

f 5 fr 10 fr 20 frColonies )

Étranger 9 fr. 18 fr. 36

lrapranormi laProsSeeetéAmmymo à Capital ya-r,,able

CoustitsUe le 27 cure 1909

Social rà 31.0;..21°S., srue Requelaine

yAIEMENT DINTERETS nes couponséchéance de 1er juillet 1912.

MM. les propriétaires des Obligationsde CENT FRANCS A 5 p.100 (émissien1911) de la « Société l'Imprimerie de laPresse n, sont informés de la mise enpaiement des coupons d'intérêts an-nuels.

Les paiements de ces coupons serontfaits mus déduction des impôts légaux :

A PRESENTATION, à la

Banque Richard Klehe et Cie

rue desArts'

àToulouse'

de 9 heures à11 heures et 51e 2 heuresà 4 heures;

Par CORRESPONDANCE à la cais-se du

« Midi Socialiste »

SI, rue Hequelaine, à Toulouse.' !

Le, sonstript,ens au 705S flas Obligations deGent franc, (5 pont cent) de l'Imprimerie de laDyeme sera toujours reçues an eiègv e la Société,Ou, 39, rue Requelaine, à Toulouse.

Jacques Bonhomme

On (Loti la lin du mois de juin. De-puis plusieurs jours la pluie tom-bait sans discontinuer. Au bord de lasoute toute ruisselante, mi honuneOtaitoses sur risse borne, insouciant de l'eautouthant à torrent et regardant le na-vrant spectacle qu'il avait sons lesyeux.

TU11(1,9 qu'il demeurait plongé danssa emitonplation, un homme reveu<hm impermérthie .s'approcha de lui etfut frappé de la douleur de ce paysanassis sur cette berne par un pareiltemps et dont ,les yeux pleius de lar-mes erraient au loin sans avoir l'air.de s'or/téter sur aucun objet.

--- -Eh bien l'homme ! que faites-vousbis? questionna l5iss000aesaj.

A celte interpellation le paysantourna la tèla tem l'étranger.

---- Ben, mon bon monsieur, dit-il, jsregarde l'inondation. Voyez-vous ha-b., à quelee,s centaines de mètres,celle y.tiiu farines Elle an à mai. cul,le ferme a vu nain. mon Wire el l'a vamourir, elle appartiènt à la famille de-puis plusieurs enérations. C'est là oùassai, Jacques Ifutat0111110e, je demeurest où demeurent ma- femme- et mescinq enfants, trois garçons et deux fil-les, dont la plus jeune Vu encore à l'é-colo. Eh bien, mon pauvre momieur,cette ferma qui m'est si chère, je Suis&IV le poiut de la perdre.

Voyer cotte maudite tarière, l' a In-cohérence s, qui coule près de nospieds et qui, sous l'influence des pluiestorrentielles que nous subissons depursPlusieurs jours, a envahi et dévastémes terres.

Depuis vingt ans que te travaille lat+erme à mon compte, chaque année,pendant l'hiver, et quelquefois commecelle année, en plein cette mauditerivière fait des siennes. Ajoutes à celala gelée, la grêle, la maladie du bétail,et vous comprendras continent j'ensuis venu à prendre des hypothèquessur ma ferme et sur mes terres. Enco-re dem ou trois années comme cellesri et il rue faudra vendre cette fermequo sseea. les Bonhomme, nous possé-dons depuis des générations.

Mais, dites-moi, demanda l'incon-nu, quelles sont les limites ste votrepropriété ?

Regardes toute cette partie duterrain qui se trouve sous l'eau, c'estImpropriété qui part de cette route oùnous sommes et qui se termine à cepetit talus en aval de la rivière -elleforme la limite de oc plateau que leseaux ne peuvent atteindre.

Comment, s'écrie l'ineonnu, de-puis vingt anisasse subissez l'inonda-lion sans chercher à la combattre.

Et que pourraFs-je faire ? deman-da le paysan.

Eh hies, vous allez, avee vos fils,arracher des pierres à cotte carrièreque vous triiez derrière nous. LorsqueVOUS anses assez de, pierres, vous fer.

Me mur qui partira du bond de cetteroute et qui, longeant la rivière, irarejoindre co talus qui marque la finde votre propriété et que la rivière nepeut immerger et., dès lors, votre pro-priété sera à l'abri.

Frappé par la justesse de cc raison-nernent, le paysan rmnercia Pétra,ger. Au inieme moment, la pluie cesusne tomber et un rayon de soleil par-oint à percer à travers les Muges.

Be retour à la ferre, Jacques Son-'bossasse fit pert à e.es fils de son pro-jet rie construire un mur pour les pré-server de l'inondation et tous partirentÈ la carrière.

Pendant plusieurs mois, sans se sou-che, des plaisanteries tics paysans dc

eee,"OCIA_LA

environs, Jacques Bonhomme et Sesfils arrachèrent des pierres avec les-quelle ils firent ensuite un mur épaieet solide qui, depuis, a toujours résisté

r a Incohérence z, Ce qui a permisÈ Jacques Bonhomme de bennes récol-tes avec le produit desquelles il s'estacquitté de ses hypothèques.

Ne devant spi. rien à persemne etvivant, par son travail, Jacques Bon-homme est aujeurd'hui le plus heureuxdes hommes.

L'histoire de Jacques Bonhomme estcelle d'un bon nombre d'entre voua;bravos paysans.

Chaque année, sous le poids d'un hn-pôt trop lourd et mol repartli, sons lacoupe des trusteurs et des agioteur.,sous rinllttert. néfaste d,e la gelée, dela grêle, do la maladie, boss nombred'entre vans doivent placer leur biensous les charges de l'hypothèque. or,que année vous vous enfonces davan-tage dans les dettes malgré tout votrecourage et voire banne volonté et,beaucoup d'entre vous voient venir, lamort duras rame et l'amertume aucoeur, Permisse où il faudra vendre I«vieille Maison de famille elles mor-pe,arik de 'terre qui aous ont été con-fiés par vos vieux parents, et quiétaient pour vous jusquà ce jour, à latrois votre richesse, mitre gagne-painet vos reliques.

Mais, dités-moi, paysans, cavez-cossaipouriquoi vous suesombez plus nom-bre= Chaque ;jour mus des charges lis-estes Itrep lourds et très net réparties?

C'est vous, braves leavailleues de la1C1're, qui, inconeciemment, dève les un-tours d'une grande partie de y. maux,

Des hypocrites qui se prétendent vasamis et dont vous faites vos mandatai-re. au Furie-ment, sont les auteurs del'iniquité sociale dont vous soulte,e àprésent En cherchant la vous éloignerdes socialistes qu'ils vous montrentcomme des s partageux s qui veulentvous prendre notre lopin do terre, coqui, du reste, est faux, ils n'Ont gardede Tells montrer Pexploitation, odieusedont vous Mes lea Tietiraes et qui per-met! à /Mute une serie de parasites devivre à vas dépens.

Camarades de la campagne, 'fpite.&Imre neusegroupoz-vous pour défen-dre, vos droits.

Voyez les t,availleurs des diversescorpsealione mentie ils savent se grou-per! ehaque jour davantage. Voyez nos11.11lis ICS fonctiennaires -er les enrployésse constituer en syndicats et rejoindrele parti ouvrier pour, obtenir une amé-lioration générale.

Vous aussi, camarades do la terre,re.ssaisisses-vous. Sortes de votre tor-peur et do verbe incohérence et vertesnous rejoindre dam le sein de la gran-de famille ouvrière à l'aide de nos cer-cles d'études sociales.

Et, tous -rémois pour le, bien ôtre com-mun, marchant vers le /Mme idéal,paysans, !ouvriers, fonctionnaires ouemployés, nous jetterons bas le vieilC,rliftee capitaliste, puant, vermoulu elMoisi, et nous établirons à sa placel'édifice socialiste basè sur la justiee,la bouté et la solides/Lé.

Gabriel VALLVE

ÉCHOSCNN canera-I; seoir 30,000 FRANCS

Des mamie. °coupés à des répatutioam dosenue dee galeries eut6rieueos de l'église Notre.Dame. à Mantmen.r-Seàmo av.ent trouvé ào,sseas rédà,,., sa perammo n'alkitt jametes, osa vien,taple net:s c...toyaivat boa à scolie au eleffon-Mer, et dont Ils amiees fait use bûche puer lmerotég. .r1e la pluie. Or, 0m 'trouve que ceimpie, pratiquement -LI...donné en 1,44,1,e, est nueadreientle tapie.reie peines dotant ai plus dequatre sOuci 11e gramsis se.e artistiq., c'eeten panne. de Imit oteres me quatre où l'onvoit de, autmaax fantautiquee, ohitante;, 0050esSiseIG ans plumages banioUs, ilgo,es qui es ..-.chue tiorommea5 sus le fo,/ ter.

M. Pujalet, du 515e-0e de Louvreelles fait dee offres d'..loat à la ville de Mantes,Il a proposé une somme do 3,0,0,00 franesmaire, M. Crotte. Mais le Conseil municipal a dé-cidé de fere eaporquer se tau:. ayaut suons,aucun maredê.

DEPOPULATIONQ. n'a.t.on préconisé eontue la dépopulation

dent 5e marelle croissante peéoeunpe esse jas.teem test de buse esprits.

Les eousà,tere ...teins. de &Intenter semut aeLgte esn moyen qui ne manque on

Pour eouvainore lems potteitoyene, as peehentd'exemple. 115 -é. «semple est suggestif.

Voità, en sec, le mondse do tees .enfantsM. Lefebvna Os Preep, ISIGGe et député, 12; M.

Magr,y, 12; M. Ionie Delattre, 9; M. Léon Oc'bu, 7; 11. Bataille, 6; 30. Peut Lue-oie-5e, 6; M.Persyn-Pàgo. 6M. Bussodos.Cassee, 5555. Haps.-mes, 5; M. Nen. Co.. 5.

11. 13,dende:, C M. Lonio Deetedt, 4.Le doateur Pou:ain. 3; M. D.6stré Betteloot, 0,Pa.1 'rselet. 3; Mt Bandry, 3; M. R.uw, 3,

le doeteve ndon«, O.M. Amin, 'rainiez. 55 Sehrià.es., 2; M. Lu.

den Beeteloot-Cot. 2; M. Léon Guilbert, 2.11. Seeopl, Dumee, 1; 11, Joseph Ti:lie, 1; M.

L,cen.Doyatder, 1.Sois on tout u eent mue enfants.

N MEJAIQUEA New-York, dans 11,000e,, s'àrigo ce

mommt. Le plus aluse,', ie- s graue-ele,Wootwurth BottO.Mg. do00 le paràteeuertod,être fa, à 250 marie audemus da sot

dase ses einquaute-ett, Ois-005, le popuierion dtane petite vin, le,, gratte-del . doute auge, mer, 0c a trente ms 0 peindexeltateut l'é,anuernent, auprà,mt plutôt 4 ses pieds, ma.,,,ona de pou,p(às. Li, pregrèe On la oltarpe te est,ersena rdrave d'oser el monurse sassa,s5ssm yu,sa ti,re éa' une errerSs a

truslieu ta de sesurit.é. Amui, les /nonnes dol'art po:rst à dtre eue le Wool,verthBuild:tg no délien,t" pue 1.g'Unups il tem,tedont s'energnetlà1. Rion no s'oppose, sa,ventsur, Onu qu'us fasse sà,oux couvre, et Vtaa peut,

dinnaM, bâtIr et» tome confiance isamaisonOs 100 mêle., et nem° plue.

zuessur DES AUTRESes femmes Ses pertteans do Pan ou l'autre

des ean..litlois4 la-présidenee 01. Mate.13,nie s'as.opiuleue lion tuutts...

Vrairnestbiais o.! celles qui aspirent as stmeZe

M. Taft ont ras raban en lett...a, s'ha-bele. as onie pour mreir as ,reelet. issus, ta,,,,lksque les admiratriees du à ..boy e raelerelàmtsurtout le eghtmette

;Autose du ring

Creàt inetà, tous de mrque.Oueds boxeur peut rappmtenaugee.

Oies dture quêteuse ars pieelie y fut inànee ro,t. ayeo

-- O, pelles.

Education Populairelemme Petit. empeeleur gene,nt, de

l'Instruction publique, viel de dresser serapport où Font de noe meure, d'enseigne-meut .t examine eorupuletmernent.

Malgré sa volonté de tirer de cet examenOrs cormlusions optimistes, l'auteur n'a pus'empêcher de constater Pécheé de tous lesessais efreganisation de rieurs eradult. etTereignenent postscolaire; et le nombretentiouris stationnaire et beaucoup LSOS cou.sidéra», des Mettras.

L'enseignemenl prof-es:muet ne Sorganee .9uetrès timidement, au rale. des pires dineeles.Tout m5 Inné au hasard et n la boa. volontéindividuel.. ne nieras des meates de conMren-ces, les queameeeDniversités .prretaires meerevivantes emelt avec un oomsge heruique, maissens Pm et sols appui, ...relit orga-nisalMa da mitre enseignement. si peu démon.-eque.

Les anus d'adultee, eat-il soi, Saut ...rapport,proee.ss,m,, kutement et sen, iTtiqüent,is Si f.a-,On irregulière.

Et M. Herriot, député-maire dedLyea quis'afflige. dans le « Rappel a de ce mette, decet engourdissement des facultés 'Menne-Welles de la plimmt das benne., mue,ausaitôt à faire intervextir le gouverneneut

«liusie savons, jusqu'a leevidence,que l'école ennuios ne suffit plue, Neas sa-von. m'il faut à tout prix organiser risa-mitmedient de Vaeloleseence. Par l'obliga-tion au de teste autre tacon. le gouverne-mou retirer:air doit tamer ce programme.S'il ne le faisan pas, r>11 pourrait enrouerqu'il s'est désintéressé de narre avenir po-litique et moisi.

H. Herriot s'abuse sur l'influence possi-ble du gouvernement en lo. mstière.

Saris dote, il est une obligation que toutgouvernement a le devoir d'imposer u o'.trefile de la fréquentation sectaire. Encoreridelle soit inscrite dans notre Cook: cho-se sait bien qu'elle West pas observée, soitpar ta Wengen& des earents, soit par Eim-p.sibilité 51, ils sont do suresenee et S'an-campagrour tsars enfants, soit om,,Ore lettrop souvont. [Am !) par /a nécessite oùils se tramerai d'arranher Imre MiSOIS, auxbancs de l'école e5 de [es donner lions' usinemeurtrière et démoralisatrice en échangede quelques soue soit enfin pares quelen autorités administrativee connectantesleeXftefellt pan. sur co point, lo eontralequi leur échoit.

IL est done certain que le gouvernementpourra. s'il le vent. rendre &festive cetteobligation de la fréquentation scolaire etdiminuer Mnsi, dans rie notables propor-rions. le nembre des Mettras.

Mais s'imaginer qu'id peut faire mieuxet davantage et s'aventurer 55 rendre obit-eateire les cOurs sEadultes ou Ise universi-tés populaires, voilà troc dengereise illu-sion of, M. Herriot, moire que tern mate,Sevrait se complaire.

Si lee uvres oostseolsires vaelent, silos esprits se rouillent au sortir de la prismaire et niellent de s'alimenter .à de nou-velles+ sonreee de Vie spirituelle, ce n'estpas seulement par incetence si, pal! rné--pris; ce n'et pas mulement parie qu'on.prérêre l'alcool et leS Cartes 501 plie.esdogmatiques d'un professeur; c'est ...si.c'est surtme parte que l'ouverte n'a poule temps, na pas /a ferce s'ire.truireet sire penser.

Toutes les initialises, toue les e.fforte, d'a-vance sent etnedanu.5 n avorter - tantdire l'organisation économique n'aune paschangé

'RoséWest lorganisation aemonnirene, etn'est elle seule qui dmese, devant ta mar-che dos idées sis obstmle infranchissable.

C'est elle qui détourne l'ouvrier en lefrappant par Fa fatigue physique .et l'apa-thie mmtale.

Tout le jour. Lee ouvriers se meuventdans la vapeue ou dans la poucier, et sousla con/raines. Le phis souvent il leur estinterdit de parler.

Et vous veules les obliger à s'en aller lemir vous Cniouter di.erter sur Mahomet ouCakes-Maury; sur la tlearide-Ousse, ou lePont-aux-Anes; sur le Prince des Pei:tee oubol Orif0 Se patriotisme ?

itt vOue rêne/riront solen erres goOts,Murs vices ou l'état do leur eusse si Lais,ses-nous', dom aveu vos balivernes Vosphraes ne changeront rien au aé-steme so-cial qui pi!. sur note. Laissez, que nousallie. noue re.po.r peur reprendre la che-ire au lever du jeur, Laissez. mie nOUS al-ti°. au cabaret voisin, disserter politiqueon syndicalisme ou nosie entretenir descandales do la journée. C'.6 todt aussiMile et pl. amurint.

Vaimment hue objeeterez-vou.s ma-rient lavis de la brute en se herses aurommeil au sortir du travail. He voue ré-pondreat pour votre plus grande hontequ ils le savent bien, mais tem kg nécessi-tés do la vie len obligent à vereter

Vainement leur direz-vous guets ernpoi-miment 101.11i poumon@ en rentrant au ca-lme& dès leur reine do l'usine. Car ils vousrépondront qu'ils le savent. lleSS qu'ilsn'ont de liberté qu'en cet endroit oheur etbruyant.

Et d vous faudra bien convenir qu'ilsmat raison.

Et qu'Adam Smith avait raism, 1,si meselorsque prévoyant les effets moraux Oe l'in-durstrie moderne, cet économie. claseiquedisait O a LE, prame. de Io division dutravail font que rouàrier perd naturelle-ment l'habitude de déployer eu deameertes familles et @talant, ois general, sues,

ignorant qu'il soit possible b une OrGaturehumaine de le devenir, a

lit rine M. Beugle avait raison. lai aimelorsque s'affligeant comme M. Petit, commeM. Herr:et, et comme nouerneme d'ai/leurs,de la pénurie spirituelle ria peuple, ilavouait à la Beur. travail de elosepel-lim esse Clades-trie « tend h sevrer do la oieintellocluee tonte le partie de la popula-tion qu'elle assujettit et Innerve, as travailreimanique.Jioti voie,

ic,tr,misrquo,ir, uniquement pour-

areigna-nent postsco-leire n'arrivent pas à praspérer.

Voità Fmurquoi ?d. Herriot devrait rimer-oeyoir a travers l'expérience que , peursauver de l'ignerance l'esprit du ProtaseMet, il na sursit pas de parler, il faut agie:

ne suint pas de changer les idéesmais les ch..; que rien ne servira dedécréter l'obligation de s'instruire si l'onrea pas le temps d'obéir; cf quo ISSversifia populaires, tant que le même réar-me écommeque subsietera, auront tout jus-te, selon la forte parole de! Jules Guesdes, tout juste autant d'importune° ...sciais,que Pence des petits teigneux

Léon HILDELLE,

VIOLENCE ET DOREURNaremicez-N-011o pishit avec mets ména-

gements, aven geile rétorrve, jeurnaU.les plats modérés, les plus eon.evateurs,,parient sue da grève dss offelers des Cens-,tuereu de navigation ? Car ils sent engrave, et ila réclament d'u.s augmentationstfe salaire, et ils ajoutent à la grève de re-vendit-al-ions la gree de solinarlit puie-qu'ils anner.nt que le mous' am.ttruë.,, si !,,Iriu r,,,ante!!! raticeent plaie ou et

.are remplacer pardes &dotera de ln marine de iehtat. Cestcmaidel, Mais tmdis que Ma pauvres lus-tres emt &n011ees et ou.treeS comme desbrout:Mus, con.o d'étern@le mécontents etmanse pmfois cornue es ennemis de laFrance ;probablement .urloyés par Permes-ger, ln lemme 101eS.90 dit den air doux qu'ilMut espérer que le conflit mitre les ont-Mers et le.a Cougragnies se demuera

Mais ni les «limera snecaniuiens et au-tree, ont tété sergés de se mettre en grêvepour faire ociemiliir des demandes fermes-Res eu vara depuis des années s'ils santacaules-à cette «caréner@ par 7es difficultéserciessures Sa la vie. par rembarras où ilssent, avec leur faible mlite, d'entretenirleur Oaouulie, si les Compagnies ont 050 15 cepoint improvoyantee el ladres envers leschefs eux-nemes de quel *nit aecnble-téon tes pousses mari. ?

Mais voici qui démontre par le ptus sai-sissant paradoxe, eomble.nlest arbitraire etahsurde la eolitique de riprecion pesai-quée contre les A proie les merlessont-Ph en grossi qu'eu renteace sue lesnavire dee Compagnies par due usarlio deeMat. On invoque le satin ipmloitu, 5à5es-sit4 de vine.. Eton nous demande triompha-ler.nt s Qu'avez-vous à repoudre ? Quellemletien propreez-vaus ? Mais le grève desofficiers eet bien plus efficace. Elle est bienph/f1 dégisive. tille mEit le ar.rater uet tousles navires. Car on no peut dégarnir losnavires de l'End de leurs officiers, .eurtoutde leirm °anciens nepaniciens, pour les

tran5'nortersur les navires des Compagnies.

Voelileine que leu mêle/odes drunmatil, cm-ployées -us arbitrairement coutre la SISSSedes .lariés se révèlent serein impuiesan-tee. Il faudra done nagocier. er obliger lenCompagnies à négocier q neeeprerIrae iliejà accepté par les inmrils.. Que es eiy eel-en eisoler plus tet. ?

Jean SAURES.

La PesteNew-York, 8 iniEnt.

Ou signale l'aparition de la peste bubenique à La Havane els Porto-Rien Il y au-rait dé,e plusieurs victimes.

Lm étrangers Prient les districts atteints.

BAVARDAGES

irt sPoiri 05005550 enue et rom coneKte

nuset les horaires de trains et res mea, dee siffl-a:rats distends:, peur cheeeher le petit Inn. Pasches où se meure du sert, d t'abri des ardeurseasticaktires,

leseansultalion des borrees est ers un, beso-gne plus laborieuse opte punie,y a peur eeseroke oSétel, instaure la notation ler ris heures,el,e[up000anususasueeooe getts.

Mme Clerc ne dut-elle gus <Vaguer à reslsJelles enegishols ornas equillArtaa. sa.sitta sue lamort mystérieuse de ses mari et qui, au momentdli depart, ne partenaieed.pes e deccas:sir S guel-te hetes perlait le tinta de le heures ie.

Le petit trou pas cher est ans,i diffiege dé-cent-tir, fris gebinstlentent cet& de tt Pas der. -nier L'on s'était tr.sé si bleu et en Me.,daguet ou 0e0 fee, me retour, une.telle propa-gande muerte des unils, li rtessé de piteon : e lotrelrsitot, muse le temps, on lai a treeerédépuré, d on cherche mie..

Trouvera-Loo e Cli Io iiI r flua is the q.s-lion I

lu UUlltature prmfflaiste fait le saja de luet-tes les cosusersatUns. Les pue modestes parlentdaller à la earrefflue et, «ruse... Issus lot.sise t'ondulesso à eipiter les « oies a toner s.Ça ditteott, c'est ueu tira de lexeme2.41e en aPaluda,s lm instant ale, Utes OR appréeiet'ombrage <le la genette ratite, on essaye I. roc,triage et les erra:, on se rafralchie avec VeauSua pues gati n'a jamais tari mea,e pendant teremette étti de Si.... » ; et reus se rette ea di-sent que ion reviendra.

l'ai connu une ma', de nui ti aulique,Kesere ainsi lote ses disnaneltes, 5 la eampagne.

autOt foi senconfflê un ruer rJe eherhe, sue dileit, eanspagse teeS

fraiche.. l'horreur rte la chaleav.,, et siose (manias sec es 'Miki< do la neige...

'lis naiiese de 15 neige, Pei ton affaire..,prends done Pt rempart. de Rire* !

En BalladePOINCARE (Henri) EN 11108IE

Paris, 8 juillet,Le Peesident lia Censeil quitter-a proba-

blement La Eme.e le 3 Sn 4 mût et sembarque., seion toutes provisions, à Dun-kerquii sus le moispurentirense ii Coudéqui roninaitera tà, tirertstedt, le 7 5051.

Pendant isu joueur!. dee 8 et 9 août, lePresident. du Conel aura à. Saint-Péter.bourg the britrguesa entrevu. av. M.noir.

Le 10 :met. Io tsar lui donnera audismueà. Peterahof.

Peiueao't sera accompagné de son chefdo cabinet, il. Dooschear,

Les journées des 11 aIlé août, ecront con-sacre. O soir Mosami eue il. Puâtear4 vi-s'item es compagnie de 51. Isvolsky. suriras-@saleur de Russie, O Pisris, qui se trouvera

SainlePelerstrourg pour y recmoir le pré-sidera- du Caressa.

1.5 13 août, le President du Conseil, de re-to. à fiaint-Pétembearg. s'embarquera surle « limité s qui le rantenefn en Franoe lela août, apode avoir eroise en Baltique esda. la mer du Nord.

ARISTIDE PPM L'INTERIMParis, 8 Millet.

Pondant l'absence dri M. Poincaré, Pinta-risn de la prieletersce au Commit et du mi-nistère des affeires étrangères sera assuréepar M. Aristide Briand, gare, es memix.

Le Livre Jause sur le Ume

. rails. SOn annonce que le livre Jaune, mr les

siégea:Wou feance-allermailes, nal sujetdu Maroc, parakra à kt /in Je cette se-maine.

, Rarement remet de domments diploma-tiques aura été au.i volumineux,

Seulement, il ne eontiendra rien de bieninédit.

La Pressa Socialiste. L'installation d'ungrand journat. Cr que psitt tilt que

Soit vouloir le prolétariatParis, 8 juillet,

Hubert Lagardelto a fait un visage daoules sures de Pl/rient, ei en a rapporta uneimpression de 'force et de vie eetraordirmi se.Noie détestions de mn récit le pacage sui-vant, MI il reed Imemnage à ose cainaradesde Vemune

« Qui a vu 1:ancien local du Parti etjournal, convenable mais restreint, et quivisite aujourrebui, à la «Beiges Vieeneeite ».le vaste immeuble, recenme.nt aménage, surlequel flamboie la filme roeialiste « Druckund Verla.gmetalt Terence-se, .peut ju-ger" dus propres arecendle.

eans doute, un mueront a rendu la La-dite plus aisée. Mais qu'on songe que /eir Parti des Soeialide M'émane riduteicheaIneelde, à nui seul, dai.000 menthres insu-mes et 18600 Menthe. ferle., qu'il a 40 dé-putée ettr ed; qiii7 pucelle ais journaux quo-@inhala, duos tri-beremastaires sept hi-lutseiniadairee, orge hebetemadaires oin-g...le journaux seidioanu une rev. « DerNantie », un journal pour la jellueSee fo-olagste Der Jagendlieihe Aemiler s unepetite revae décimation ouverte « 1311-dung.nheie n, un organe antialcoolique« Der Ab.stinent e, une feuille satiriques Nem Cheldierher us, et enfin le joue.'des femmes « Di Arbereinuen Zedong a. (iesoiti. lû eas tierces seteles qui suffiraient. àexpliquer, sam intervention e,CiSPiettre,mestere:lion dun persil édiffice.

« Pen de journaux eue, mieux installésquo P Arbeiter Zeituete ». On est d'aboi,:ronge,ou par l'aspoet artistique quo donneatlx intênieurs le SWIC Vie11110S+, greeerutilisatiOn heureuse de la ligne mune, de-coulent. alaireu et. den mottes décoratifs.Mais àtst emrtout. In eonenodit,e, des dimo--sitiOns qui frappe.

Todt est- sm'unge. ltsur permettrefraya:14.'4e ,at esie. Veici la lsneue s Pre

Eans l'internationale -- L'Effort ouvrierL'Effort parlementaire-- CEuvres à créer

des /niveaux des res/mtmes..1. sontPOUR son A.1118 lerm agreable.int meubles. musiidu mmfort desi sable machin. à écrire, hi_bliotheque. redlerbodes, lavais., etc, sueun E emple elmque porte, eue inscription indique la ru-brique effeelie au radoteur liai:aire. Ma-nie agence.rtt pour eadministration. Em-ployés de tout ordre setemeiseent leur bi-sou-. elans des locaux secuellients et h,ygld-niques.

s les ateliers do composition sont aména-gés .len Re procédés les plus modernes.Les umehinee 100,upsoee, à clicher,* tireront les derniers perfectiounsments. J'ai puadmirer, dans do mile du tirage, suret° ethaute mem. un 'longe, te plus reeente ac-quisition du jou,szlet une immense maehine,merveiltlk, mécanique, tirant tronte-deux pa-ges â la fois.

n Il fau1 dire que, si le format de l' «boiter Zeitungs équivaut lb peu .près à lamoitié de celui de « L'Hunnanité os, le nom-bre habituel' de pages est de 12, SUSGS iln'atteint pas 15 et M. Lee, annonees,brousns et fructueuses dans un pays d'au-dace ranimera:2.1e et d'intensité industrielle,expliquent de semblables tours de force queles 10.000 abormernehte ouI joirenal ne per-mettraient perd-être pas ctes

« Je ne murais trois relever le luxe deprécautions qui assure aux ouvriers os em-ployés des deux sexes la bonne observationdes seins oorporels. Vieliairessalles de bains et de douches. salles de retseseilles de dist/mettes., etc., tout concourtà rendre au trama ce caractère di dignitéphvsique et morde que le capitalisme lui°Wave.

LA SOLIDARITE EN ACTION

LES Meus dela diesse ourleUen muera d'assurance maternelle. Cest

l'Italie qui re cràéeRom, 8

On sait que le iParionmet italien a cré6 uneforum ..uvellte .dasurance ohligaloire ras-eurs»e.e maternelle, nus devient One sectionindeemlaine 4,1, la Caisse -nationale de pK-.

ÉDITIONS RÉDIONAgs

IGIRAULI, 1.02GRE,5'YISSISE,OR1EGIAGGS,EySeel,CORRÊZE,CANTAI.,

LO,SSGAIIONGS,Gase,GOT,RAUTESPYRGNÊte,

BASSES-MÊSGES,TARN-E,SASONGE,

AGDE, ARIGGle,

TOIllets7IlArrE-GASONNS,

voyance pour P'evaliclite et la viertieseeVGiti le ,Ic tloi qui. r6glemed.ne te

Toutes les einleres do l'industrie sontsorimisda Sasseeince attatenaelte dere,-teire.

La confribution semelle est de 1 fr..,pour les mseileos eg.i. sie 45 à 20 ans de2 frau. pour ereles Agies de 20 ià ut., Lamoitié de &Me mer:taon, serilemet, est àcharge de Pouvriere, sont soumises. à Passasranee materuege obligatoire.

La e,utribution annuelle ost. 0e 1..fraserom I. ouvrîères rimées de 06 e 20 ans, de2 fr, peur celles agri. de 20 O 25 ans. -tarmitié de cet@ cotisation, sendement, est a&large de Poe:taire, sou empierre essmit-tant faut. anoi,liés Ces versement@ °belga-toiMs se fent par àoeuuel,e.

L'ouvrière ateouchae touche une ...mede 40 dran.EUL

dont GUI quart est poyé parP

Ne béatifiaient de 10 lei ge les mères quiont effectué an moise deux versements. se-mesteiele. '1`mlefeis, le droit. â Palloestimipersiste pendant tee six enois qui suivent ledernier ver.meed, l'ouvrière oût.e.,, cess5Si travail au cours de cette périOdet

-Le droit est protomel de deux mois self..svrière quitte le trasàil ou est congédiée anmura de a.su deux derniers matis de pres-s...

L'avortement, à dater du troisième maisemulit est amende à l'accouchement. Lieréalité de fabortrs et l'àe,e du foetus serontatiestels par un certificat du médeeire eis rieln seae-femme do dist:tel.

Colle pièm devra itre rédigée dans lesde jous's e1 adressée I. la caisse drans tesmeule jeu, qui suivront Veinettes; si l'eauvrière a été hospitalisée, ce délai prenil dateà la Sortie ,de

L'all.atiou least pas due si liouvellre estcondanmee pour abortus pruvetsee, Es cashie nmrt de la utero, ealkeation mers& â tapersonne gui se chauge rar mouveau-wl; ai kemen, et l'enfant sumo:Meut, rallocatiern tetdue in. pers-rime qui a pris sein demire ou du uouveau-né.

L'ouvriers qui repremd tle travail avantl'expiration du délai ligal perd es droit, rila partie du erbside quai Mt revient.

La première mbitié de Fatima/tee est, serasic Sans les sept. jOurs IneommiunceeltL1 recarde moitié are mei. plus Med

Mc:mance maternelle etegateire eatd'autant 0100 5015e eu. Italie, mixt ne éclot@pas d'assumann dEtat coutre ta maladie.

Et celte loi est infinie-ace paus !mure.sssque celle qat danaplusimis pays. interditle travail eux ouvrneou pendant lés quatreemaines oui euivent lareme(hentedcompensé/Hm Menne. Lsn malheureuSes quecelle ,tei tatprece sort. préeisément cellespour lesquelses leur selaire ceristilue uneremource indispeneable unique.

suOseusEn Fronce amine anesure ne protège les

de la classe ouvrière.Il est véritabiement déplorable qu'il an

soit ainsi. C'est pmuquoi quelques a,L7nin19-11. pris Pinetriave

eirer'at'es'orgauttremkee' liniment doc semeurs

.es maternités.Learratranee ;maternelle. es Italie, s'amer-

quiert à un demi-mit ion de femmes eed,een.

ALLMLAGNE

L'Assurance PopulaireBeriin, e juMet.

Au congres des mopérat ives, qui visul, dese terminer à Redise ie. elle a uSds ubsptid leprojet d'assurance -pupillaire messes-ire parles eyndicats elles looparatives &AllemagneCelle 505 015 d'assume, errera do,ts dune-,tivIté le Ler janvier procharn.L'ainnieur derame& entroprise est, eonsiderable car ras-surenee ouvrier, prisée qui campent, entéell, =flan° .personnes amurées SOUS 405100mille mark en englobe actuellement 3,330,000aeeuréssa pour imam° de marks !

La SOUS cICH soe ié s'appelle. Valtsfur-zore s fda, Préveyaime nopulaire).

EN ANGLETERRE

Les Trades UnlonsLe treizième rapport annuel -de la Fédéra-

tien gémisse des Trade Linges établit quadans les 2,931 mannite qui ont ét,15141 durantles cinq derniéree années, il a Sté dépa.6en indemnités de gneve 7 millions 600 'millefrance. Le r.apport, partant de la fregSGSGOde con,flite dit c « 105 espoire Os paix lumé-Mate sent illusoires, Il no peut -y avoir depais à moins d'un ehangement radical dansle s,esteme social a.

CIIAMBREeance est ouverte Il 9 h. 15, Sous lu

présidence de M. Etienne.TOUJOURS DES CREDITS NORVEAUXOn aborde, au debut do la séance, le dia-

150-mise dem projet ils lei portant ouver-ture et amulettes, de criants sur les exer-cire@ de 1911 et lie.

C'est pour M. Emneanuel France l'o.asien do renmveter ses critique.« habitue/-les sur, le gaspillage den denier,s publiaspar défaut de contrôle.

Il, do Caileard-Baucel. O Pommion desmédits prévus pour l'aménagement d.e YheSel BirOn, proteste contre les opérationsdont. ont &é victimes les r,eligieu.s quiIMeupaient.

A propos dee sonne. insorges pour ea-,Imités agricoles in, Klein dereeo qu'il setempoos de mettre inc pien une loi à basad'assurance avec participation de PEtat.

Après une protestation d^. M. Anuger sus-511110 régime de lu séance â jet con.tinu quiro permet plus eux delpulês d'étudier lesprojets, Ise, crédits eont adopté.

Oie fait de mem, pour lue services .despensions cimes et pour les erdlits relatifsau voyage de boy de 'ruais '

Apree quelemnn oleervations de M. Cier-Mill Perier. en Mente le projet portantouverture de prédits spacieux d'emereigercles et prennes.

CONTRE LES PANNEAUX RECLAMEOn passe 5. l'examen du, projet taxant lus

panneaux-réclame.M. ChérorOa rapporteur, expose lo, eeceseité

urgente de cette taxe prohibitive. Il ajoutequ'un projet distinel, est en, préparatiOUpour l'affichage dans les ville,

D'apnè, le projet du gouvernement, 75 ledate del tee junlet 1915, 100 °outrais mité-rimlre au projet actuel Seront cémiliés sansdommagee-interels. Si quelques-uns de o.centrale erraient. à mpirationne pmerment être reneumms qu'à charged'aequdter la tax,, nouvell.e.

Enfin, p,-,ur le, affiches appeeie. Merl.

INFORMATIONS SPÈCIALES DU c Miel SOCIALISTE »

CE QUE FONT LES 7IVTRE'S

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: 5'YISSISE,OR1EGIAGGS, OCIA LAimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1912/B315556101...Par CORRESPONDANCE à la cais-se du « Midi Socialiste » SI, rue Hequelaine, à Toulouse.'! Le,

rieurement au fer Mx, estapplicable immetelieleumet. La pénalite pré-vue pour Lou. afletto non timbre° est de00 trames au moine

L'ensemble du projet ratadopté le nana-

APPAIRES DIVERSESOn adepte encore

A Dinaninnild de 564 votenta le projetModifié par le Sema perlant modillon Ionfalgifne d.ourinier de Pa Corse.A Mains levéee, te projet de loi sur leliquidation des panai°ou do retraite des

gendarmes.En projet de ln de II. Bienalme eten-d.t aux officiers geaéraux du carpe des

.esecanicieus le bénéfice du cadre de réserveStant -jouissent tous les autres corps de lalemrines.

Séante levée te midi 15. Séance CL heures,&fana, de Saints-MM

La sti.ce est ouverte à 3 h. 15, toue lapr4sidence de M. Descha.l.Sont au baec du go.uvernem.t. MM. Steegpet tria., Les feavees .d.ee geoupes repu/st/-Laine de gauche sont désert..L'ordre de jour eppelle la descumion de

l'interpellation de M. Parte Meunier sur cer-tainna violationts de la lil.rtéeomsnis.es p. la police.

Steeg demande le renvoi â jeune, afinde ne pas int...rompre le debat suede de la reforme électorale.

M. Meunier y tonnent.

La Norme LobuleM. Poiracare arrive di sen hante La Cham-

bre reprend alors la discuseina de la ré-forme électorale.L'ARTICLE 19

L'article 19 se compost maintenant de cemsParagraphes que voici « La comas:d.j.determina le q.tient électoral en divisentle nombre total des votants per le nombreeles cIéeutés â élire daim la. enuonmription.Chaque liste refont misent de sièges que lenenesre des mffeages de cette liete centi.tdo fns le quotient elmtoral. Est attresue en-matte ti chacma des groupements de fiolesautant de fiesen que la somme des certes dece listes contient de Mis le suotientfocal, Puis cern siege ont attribué à ta lise ouiau grolip.lent de liste ayant obtenu la ma-jerité abeolue du nombre .d. votants, Sicette liste ou ce groupement de liste n'apaz dejà ebbenu la majorité absolue dutembre des eieges, s'il reste des sièges àpou:reser, ils sent repaire. par Le procédédes moyennes entre les groupements/ de lis-ta et te' lietes isolée...

Lee dem prennees paragraphes avaientété precedernment -adoptés; r.tst b statuersur lee trois autres paragrapbm qui ont etérapportes par la deennlissilln â la fin deMame de SPlintli matins

Le troisième paragmaptte est adopte sana&Mat.Au quatrième paragraphe se place l'amen-dement Landes-, de. présenté samedi enséance.En voici le texte

teees Après cette a.-relu-tien supplémenteire,

eiNgle qui emtenl sont ettrenees à laliste eu aux greupements do liete seant oh-teno la matterite absolue du .mbre de. ee-tare. Med, défunt las sont répartis par leso2oeo1ar'rlua groupements de liste auM. Landry explique eue ce t.te mt con-forme aux votes précedernmeet emis et e lajuste requête dia gare reopublicain.

MURES E' 35. POINCARE EN DESACCORD;mires. - L'amendement S'est pas dafen-dable pour des calmais semples de justice.Pourquoi intreduire Farterai. datte la-loi; bien plus, Pireto.ei ; -même la primela le n.jorite absolue va favori.ec des an-parentemeuts deue e seul but de profiter

de la paume. Que La Chambre den tie.e auprojet equiterne de la écume:mien qu'anesse penne/a cette Observation r /aus unpue/ est em minorité plue il pâtit des dé-neetione St Ha Mele do la ft. P.

Le parti seeieliste repre.ete le huitiemedra mem électorat poire quel fut assuresle son droit, cl eût fallu que la région ettau meino nuit représentants.

Ors le réduction du cadre edecteral nousst dee perte un premier préjudice.D'autre part, c'est î nul depene que fonc-

tionnera tout le syeteme des !minus, Nousavons déclaré, dès le dibta, que nous nenous chicanerions m., eue noue resterionsd'amont mea ha majorité proportiennaliemque mtte majorité noue tenant compte det'esprit de discipline dont nous avons faitpreuvaesionsente à se ralker au tonte de laeonsrntssion et ne yete pas un amende...dont la deepositiru se tournerait .rtoutcentre une partie ties en minorité, contraIn nôtre. (A,pplaudissemente o fextreme,gauche.)

Poincaré. - Je regrette de ne pas etred'accord sur te point avec la commissionje rappelle hiLl. Jaurès que, dès la premièredefileration, la prime à la majorité absolueavait 1010 aceordée à la totalite des slegesaestante.

Le gouvernement, fidèle à rattitude qu'il. a toujours eue, prie la Chambre de voter letexte de Faimudem.t Lamerty, qui eutrépétaino de celui que le gouvernementavait, présenté récemment m

Par 381 voix cer) ee 198, l'amendementLandsy .t

HL PAINLEVEOIL Painlevé prend alors la parole sur lc

teste du paragraphe 4 .de la tenamismen.dl cou ,,,rtuyne b la, tribune, Ses gauches

l'applaudissent aven chaleur.M. Pnieteoe. - Le texte do la commission

est purement proportismnallste. Il ut faitspl'uue conees.00 elegem-fiente aux majori-taires ; nous me.nee un certain nombrequi exprimons le regret que Je gouverna-ntes-d sa collaboration, que faitpe.har la projet vers ila comeptIon pro-portiennaliste ; aussi ne votemnsenous pasce teste. (Applaudissement.)

M. Poineare. - Je ne nrexplioue pas lelangage de M. Passasse, altos que lo gommer-nemont vient, a l'Instant même, d'appuyerun toxterqui était une .ncesion .nouvelleaux omatordaires, et qu'uu grand eembre derêpulaticaane eepemeant viennent du repou.ter. (Applaudimerneets au centre et et Fez-tr*ne étau..

Le gouvemement a soutenu ses textesaeee une modération que eertains ont appe-lée taibiiera I tc'eet ennoiement de l'espritde coneilietion.

'L'amendement Landey ven.t dlètre Ir:-poussé cl devant la neceseité d'about., lemette-einem,ul cous a densandd de vous ra-battre sur une c.cessieu moindre, deet,h-dire sur le teste de la eo.nission qui, n'estque la reprise dari atriend.ient ode MM.Lafferre et Pelisse.

L'u voue reuoinnnandant ce texte, le esesdvaillamment ne murait etre, je respere,eu. de faire oeuvre réactionnaire tVite ap-plaudiseernents au centre et h Foxtmoo-gauche.)ss. psistess. - La mec... aux "neje-efteires est, nulle ; dans menas colleges,e les groupie de gauche se joindront, a,n'aurne pas leur elfe

Cretaat donc une uére.ite pour le gouver-nement républicain de soutes. tretequi eût donné, tout au moine, ose primeà la majorité relate,. quo l'appmentenientotite te&Yett. pan 110000 Noterons donc COU-tee l'article. (epplaudiemments à

gaucheL'ARTICLE19 EST ADOPTE

Le citoyen Groussis. - La couceesiougis no. fanons eat coati-mes aérteuse.

a Chambre doit s'en tome la.La majoonté des uègee doit al na à la

nmjurite d. voix,C'eet ce que veut la justice.Peut-on reveediquer de benne fui, eue

60.000 aniS donneat traie meges et que 29.999

voix n'es temuunt tmats au centre el e Pexteeme gauehe).Une courte Mammalien de loi. Andrieux

Cfut prédis,sd que le tente de la camoniseionPola.. Préjudice à la majorité dans les de-parternents qui -n'one que deux deputes etl'on vote.

LM deux dernier, peragraphes 4 et 5 del'article 19, sont a.doptels par 291 voies contre251 et l'ensemble de l'article est edepte par330 voix contre 218.

On revient d l'article 9 bis, dont le pre-mier paragraphe emprunte hotu amende-ment Augagneur qui a été coté il y a quel-ques jours.

L'ART/ME 9 BISVoisti te teste de l'article 9 bis I oo Plu-sieurs Hetes apperte.nt b une enfle eir-

ce.eription peuvent déclarer mettreenCOMMIM leurs mitre. en vne l'attribuaMond. Megon correspondants aux restos.

Gee deolarations doivent etre faites it lapréfecture, dors I. Mêmee. délais que leseklaratione de candidatures; elles ne sontvelablm que et elles sont rée/protestes et si-gnetcn par le premier candidat de anse.Hem

Si ces déclarataons sont libellées sur desmentiee,.e expresse de tentes les estes fer-mant le groupemeet.

s Cette rnim en eu.. ue peut etre dé-nomee pour lens lete tere par le premiermndidat de cette liste dans les mêmes con-dieions et délais que le retrait de .rvelida-titre

L'artiete 9 me après pointage, ecloPté Per320 voix contre =1.On adopte ensuite sauo débat l'article 20

ainsi con. : Les sièges attribues en com-mun se en groupement de liste eont répartieentre ces listre per te prote.' d. meyennes.

La Chambre adopte ensuite la discussionde l'article 13, dont voici In texte Chaqueélmteur dispose «matant de suffrages qu'ily a de deputee à étire .dene la eirce.crip-times s

C'est le eystème du panachage que posecet artiele.

el. Landes- signet° les inconvénients de ceprocédé.

Dia que M. =dry a terminé, M. Deleheyedemande la mi. S. Perdre du joue de jeudila elecheance de M. Légitim.. -

Le maintien da l'ordre du jour demandeper la Breton est vote.

La Mente est levée e 7 h. 5. Prochaineeee.e 'demain matin,

La R. P.UNE REUNION DES « MARECAOEUX m -

UN onDRE DU JOUR TROMPE ECEIL.- LAMENTABLE AVORTEMENT,

Parie, 8 llunct.A une heure et demie s'est tenue la Muai.

dite réunion dm galettes que nous avonaannoncée oes joues-ci. Les arrondiesementterstentent toutno sertea de manceuvr., emmena(outra sortes de dereminatiomt e'mtbuteurs aboutr an meme reisultat, c'est-à-direau men. averbeelect.

Mmes cent ciestuentemne .moratieou avaienteté adressées. met muet Meutes eeele.me enoset trouves rueiu quend eL Fumet00 a ouveetla nonce, et .eore sur . nombre fleuraientme quar.taine de peopertenteleue da geeehevenus /4 eu ourle., désireux, Mame ce quenem de l'oc d'eux, demie euelle baies nmvelleniOninot faire les airrondeeerneettere inspenteme.

Auerne pmeosition ou motion quelconque n'a-vait lia pirépanee, de sorte que Pcs orateurs .qui out pris la parole n'ant expim que leurs vueepersonnellea.

Andeeux a d'abord esseso la thèse geelavait def.dup h la Ghsere r a savoir que le.il. P. est ./jeenstitudennelle.

On Pu S. peine SenuteM. Auden Lereven a essaye do Smala. que

I. seol ma,. en de Sevre l'entente &ait do volerson amendement, maintenant le second tour, pourPutelsation des reetes.

On a ...eu ensui. MM. Augameaur, Javelet Thomson qui, eus ont traite de la conduete à.ivre deus la smin de tanise:melon& ont étamoque les trois pmposticas pouvant elle aeeePlàend titre transactionnel par les groupes de gonelleelest-h-diro Ms alledernems Letevrc, Bouffa,de. et Paenteve usent fid rejetés, st n'y avaitphie den à faire.

IL Javel a soutenu que les républicains de/valent refuser av. Sole do oallabore. pliss leur-/mune avec .1.e gouvernement et deuoneen la si-tilation au paya

Froilifindemilleu lui a n'éperdu que 4,r-e:tee a une résolution pareille serait couvrir deridicule In parti radios/ et, radical-socialiste.

f comment, a-tel die nous uous eunismns pouexammer Ion moyens de fore une réforme ré-publicaine et nous adopterions une rois de plusana notion purement augstse. Le payv ne com-prendrait pouls.

foi Th..su a insisté dans le sens de 101. Javael es, eugagneur ee ensuite venu à le r.cousee.

Mas devons, ore-11. dit, voter contre tousles antic/eis de 100 Inn etunre adoptés, et nousersuete le 19on steMteens meuble centre eciseemble; 500 I' moyen dl:muras:nom, leSénat et do l'amener à rejeter le projet que 000-uns due del/MI/faons de La Chambre

Mals depuis un ...nt ber nome. de .usqui avaient re,pondu b la ,convocation deReynaud Sou vont,

A est. MSaa un groupe da cinq 0 sixnie î l'anglaise il am reete plus au medeutdu vote de l'ad. du jour, que lee areondiss.mentiers exaspares.

et mie; l'ordre du jour vote par un petitnombre d'arrondissemenhers empenderno

Amds toute* 1m coneessione faites, lee dé,mites dm quatre groupns de gauche, refuseondo nul/mbares plus longtemps ià illelaherationd'une lcq Pale, onfre les réor9bItenin6,

» Et rappell.t au gouverumnent ses dao..tins ..rieuras et leulogeruent qu'Il avait priedune realuer la remue électorale qu'av./ /ap-pui de La nuanute, rapin/mune.

AUTOUR DE LA HEUNI. ONA ,parlar de 2 heures ni dmue les dessules qui

ami/stemm à la réunion commencent à arriveau Palais Bourbon.

La sont très entoures nt en leur deria.de eoqui sent pas..

bestous que p.r la plupart, tee pramero se-rer.tn seent proportmnnalistes.C. saut fous, disent-de, es feraient

bien mieux de dire hautement qu'ils ne veulentioas 00 0000000. st quille ne déserent qu'une 033n-m, eonserver le scrute illarrundianenient.

En somme, che M, Bramer, Ue ne .nt deo-eord que .Sur 00000m I aper sur le /puys,nement, comme no. la petvoyseue. 11 a Néquestion de ratsuam le vote dan quatre soufflais-/Ions pour ensbareae.r les mie.

Le citoyen Jeutes, qui mierid cola, dol enriant

-- terne cool jeune, ! lue lue setra lee qua-Ire oontributions, mais nous eaa veterirms huit J.

On emastatia que lee Persoisnamea marquantesXatalent abstenu. mu, Caillaux et Barthou n'yétaient pas, ni !dal. Velem Boncour ottel,

-- Il u'y avait quo des ,eompernes s dli n.-

Un ddpuhl radical du rulelere, antiproportion-interro., Sopa. llnalcumnt

4 Ouf I la réunion est flan et nous en na"loua plea bêtes qu'avant,

LKPOkITIQUiELECTIONS SENATOIMALES

Montauban, 8 juillet.A troisième tour, II. Capeler, matira de

Mentaubmi, eet ela Mealeur en remplace-ment du dettesar itellaad, par 721001e 000e.loi 01 sois. a M. 111, Salers.

ELECTIONS LEGISLATIVES(Bouchea-du-Rboine)

Oat obtenu t Mel Brion, progressiste,3,2e9 vois; °Cheviller, radice1-soclaliste,

3,017; le citoyen Levy, socudiostu 10837; MM.Berge., smialaste independent, 1,358; Ar-taud, libleal, 20n. Ballottage.

Il s'agissait de remplaeer M. BrissonELECTIONS AU CONSEIL GENERAL

Brest, 8 juillet.Brut, 8 juillet.

Au scrutin do bretottage d'hier dans 3epremier eanton do. Brel, pour une eleetionau Conseil generel, le citoyen Philippot,commis de la marene, sen-Wh:fie, a été Mupar 2.9220010 contre 1,640 à M. Simon, avorab, pregreestete.

Lyon, 8 juillet.Dans. Le contas de Molestant, et. Chantre,

p009000' Oie, est Mu conseiller général par1,247 vade ...ro 90t1 h M. Bajerve, radical.

eaint-Ettenne, 8 juillet.Une élection au conseil général a eu Heu

dans le tonton de COmnabon-lemmeall. 1

le citoyen Brunet, socialiste, a étai élu sa.concurrent.

Chinon, 8 juillet.101, Foucher, député radicalesmielle., est

élu conseiller général à Chin., sans cent.rent.

1.8 Grtve gcs IQsordsDans le port du Havre

CALMES ET RESOLUSLe Havre, 8 juleet.

La bornoie a été retativernent calme.A Vierne de leurs réunions les inscrits,Ion dockers, tee ouvriers des doubo et en-tremets ont vote des ordres du jOur aulcatmont la greve b outrenee. L'état d'espritgréviste est merveilleux. La solidarité estcomplets La victoire ne tardera pas.

Dans le port de BordeauXREFUS DE SOLJDARITE

Bordeaux, 8 juillet.Lee camionneurs, les marins non inerits

et tes deekers en bois, aryant tenu des réa-mois, sent refusé de femme le mouvementgréviete.

Les nlariUS du t Magellan v, er partancepeur Marseitle, sont toujeurs indécis.

A la MartiniqueLES DENTINES D'ALIMENTATION

Pointe-à-Pere, 8 juillet.La grève dec iimerdis marne.na gêne te

revataleleament de la Cumleloupe et do laMartinique en denrées d'elimentatton.

La populatian eermit deeireeim oie voirallapendire 10 taeif douanier. La récoltecompromise par suite de la Meheresem leeorurneree se plaiet dia retard que subie-sert les, corrmeeneleneee et réclame que lescourriers soient assurés par un navire deguerre.

Dans te peul de LondresPAROLES ENERGIOUES ET SUPERBES

DE NEN TILLETDm... 8 jullet.

Lee grerVietes ont à remuais reenifeete,hier, de. HydesPark. les ont encore Mune/dec discomm des citasse. Cuefing et Ben

Ce dernier a declere r e Je ne veux Pasproférer sire menaces, mais si nous neprovonu pas remporter la victoire en usantdes meelaidee Damen. les capitalistes etle geuvereern.f disent que n 'aVe,P. droit à, la me, alors 050es prendrons lepouvoir antre noe mains. NOun damonsuser d'autreo mayens et jv deseare euverte-ment tei que ces mule antres messeca, dontne. diepemne .nt la vie/ente et l'emploide teute's nee formes physieuee. Noua se.roca bien ainsi faire vierneseedre â cettemule-ion brutale de capitalistes que nosfererem et .e esseretrise noue sont à nomtout aussi chers quo le sont pour eux leursfemmes et lemme enfants

Les grévistes le, termes aux Neuf, onténerannuement applaudi ces. 00011-« ruons,E il st certain ouc, dea-aui Or tees réso-lution,. les captaildes

Drame de la GrèveMarseille, 8 juillet.

coure d'une discussien sur la grève,on r nomma Zamala oa tiré plais corscoups de revolver sur plusieurs autresdon/fers.

Le nommé Fondacci a été Messit au poi-gnet gauche et trois autres personnes ontété atteintes par les bal. L'énat de l'unsde ces personnes est désespéré,

DANS LE PARTI SOCIALISTE ITALIEN

Le Congrès go Regqio

Milan, 8 Juillet.Le Congrès extraordinaire du Parti so-

cialiste a été ouvert. ce matin it Reggio, Lecamarade Lurmari, do Milan prévis.

Agrée la vérification des pouvoirs. qui adura as,0.0 longtemps la discussion du rap,poM de La direction du Palot 1:011..Gé

Le rapport a été présenté par le cito/...Porupeyo

DISCOURS DE VELLAVolet, eotaaliste révoledionneire de Herne

rédacteur en chea do je..1 Ardt/Rua,dia a, prend la premier la parole. Il a cri-tiqué tris durement la direction da Parti etle groupa parlementaire.

V000 n'avee rien fait - encrie Velle -nt pour empecher lu gerces ni Peel" vousjoindre ma manifestations international.du 5 novembre denuiee. Vous 0000 êteS at-tiré, et avec raisen, nos blême de toute l'In-ternationale .eialiste et ouvrière, Ve.avm mer. Olé incapables de publier unmanifeste adresse au pays pour vous diéso-lidari.r d'avec tee patriotards.

Quant an groupe paelemen,taire, O s'estréuni à Sologne pour n'aboutir à rien. mêmepou a000 simple déclaration contre la cana-agate en 'Tripolitaine. àLe oiteyen Velte emmena en disent que

reformietm de gaucho (Turati, Trèves etk;08 aruiS), Rant UU,Si coupable, que 100 ré,formiet.. droite YractIon Bisolatti.

REPONSE DE TURATILe citoyen Philippe Mame répond ever

vivacité. Il revenduo,o la responsabilité deses attee, de tous me actes.

O Je ate, mes pas une eu-mette, s'Annie-t-11.je me mis rmeité eentre la discipline lors-que j'états obligé de défendre ma dignité'elemme et de militant; mate je recon-nais mes la discipline est indispensable. a

ti ajoute eue dans /es circonsteneas ac-tuelles, la discipline ne pouvait pas emebareassee puisque personne peut mut...mir son sentiment hostile à la guerre.

Le débat a été sueop. renon/ pour être conti-nu« dans la prochaine alla.*Asistent us imitogrès 700 déléguée, repré.-

smtaut 1.003 sections et 28.687 enernbr..La 4:ongle5 a reçu une adrease do eynapathie des socialiste, français

Le Guêpier Marocain'ENFONCE LE PLAN DU GUERRIER

Le général Lyautey tarait ont..Vus de France, ou ml les avait meg.-pluie aueitsiet, .s projebe paraiesaienteletveilleux que le goevereemmt n'avaitpas .0 devoir moins faim non de tee pu-blier I ou eseteneo v.

TOUB lm délaite avaient été prévus. 13sfaigisseit, .mene on e'd. souvient mesdee., d'occuper miiquement /es 50..9 hom-mes de tronmos franosaan à contenir les

tetbres irone de Fee -et Merder labrela lan, rapitale h la mer.

Seul. comme on ne peet penser âMat, le Mus seeneral seyait oublie .e toute

icrematinhdar'LXqu'à s'enquerir de leur avis eur la 0.071-quntn.

Or, les .rnalicieux .integenes eont rbemeu-rite Menus/hies au style, do futur académi-e..

11$ sa firent d'abord un inlaisir de lui don-ner 40 111 à reterdre auto. de Fez. Toutolloil biee j.que Its, puisque tout rentraitdans les -1/révise:ms du gemme ; main, etuis. soucier rdtas pie de lour peu:nier bur-nous des emga. Messe. diep.itione du planLyautey et des ennuis .eteils allaient luicauser, les moricauds N'amusèrent tout sem-plement à fomenter de nouveaux troublesOU nard et au sud.

Dans te eines, ils élisent ...man sul-tan et leurs bande, menacent de plus enplus Marrakech. 110 n'était pas aseez enco-re r peur ne pas être en retard ear leurscc,relmiernmairee les indigestes du Nordviennent de se aboleir un nouveau reghei;auteur euquel ie ont formé une mure simen.aliante qu'il faut aujourd'hui envoyercentre nus la colonne Gouraud.

Le geeéral Lyautey prétendait rie damna-s-ler deux em au centre. Le voilà obligemaintenant de se tour.s la fois vers lenord et vers le sud I ea projeta ne val.tplus riPn, son pion est Rchu I

Le reste est clair et la conelusiondette inémventure toute simple. Le réeldent général a naturellement demandol desrenforts. On va lui comPedMr Pilléoldii77 ba-taillons de eol.ieux et ron en enverrad'aelres °more. 'Noue ne etesespereue lotde voir, avant trois mois le uorps eXIlddi-tionnuire atteinere tee000 hommes, setterplue mir, au train dont vont les choses, ilest douteux que tette armée eormidablesuffisante encore !

UNE SELLE VICTOIRE DE GOURAUD IIIlies, 7 juillet. par tetégreph le sana fil.

Suivant des renseignements indiennes par-venue ti l'instant, la cotonne Gouraud a sur-prie hier metin, et a cerné le rogue û De-eh ara

Apr." une veriteble ploie de mitraillel'ennemi a laissé ms tentes entra nos mai00et a prie la fuite.

Pro 7 juillet 4 le soir. jean T. S. p.Nous avons en daou le tombal ceetre le

rogue trois tuée et decbuit blesses,

êuurre lin-Turim8LA FLOTTE ITALIENNE AU LARGE

oSrayorre, 8 juillet.rois croie... italiens eort restée. hier

malin ne,ttain plusieurs heures, au largede Scala-Neva

UN ECHEC ITAIENConetareinople, 8 juillet.

Le maniere de la guerre annefice qu'audébut dora mois un combat a Eu lie0 avecun siégeront ttallen qui. mute= par unesert!. de [nitrai/leu., était parti de Sidi-Sald et alleit attaquer Saditeli, destant de5 M'ormier..

Les ittliene ont hem§ leur dr...an eue- leshaueure de S'idiot111 mais, à la mite dunevive attaque dos turee-arebes, as ont ell'amener et retourner t Reit-Saïd ave0 despertee considérables.

Lee pertes dies turco arabes ne sent pasennOne connue.

L'ETR AUERPORTUGAL '

Les Seehressaists szssarshistesMadrid, e Melba.

Les treupes m.archieto portugaims,corn...espar le eseitainuSepiersda, 01-100 odeaide de camp de 10 00000 Marta Pia,quia avaient attaqué Liu* la plate,Peetuffel-se de Valets. ont Me repens-M00 et die.,

Les troup...moisarchirtee ont ou 3 mortset plusieurs blemée

Ou ignore les perles do ta garnison.La -capitaine eilepuleetia. trois autres offi-

ciers, l'auseduler, dix sergents et 41 mfilatequi avaient pasmd le pont interrmtioluielegem co Espagne, ont été arrêtés et désnr-mes par ies matera. eepagnoke.

Madrid, S juillet.Suivant des nouvel:aa arrivé. de 'Fierai,

le capitaine -Commise serait entré, de soncelé, avee 400 brumes et dee ta.ns.

Le mestere de l'inter:mir s'Eepagne aprévenu le ministre de Portmeal à Madridque lm mormrchistou portageus et-ratée enEspagne seraient internes dans les m'Ovin-ees de Cuenca et Tretiu aux frais dee deuxgouvernements,

Le ,t Iferaldo mea gras tes armes deemanufactures mpag.l. mieim aux mainsdes Portugais faite prieonniers 'provenaientO une 0011111151,1e do soc Osé fissile talle ré-ceueneut b l'Espagne par le Mexique.

ui GÉISIllph§ Rb@ Ili»New-Votk, 8 juillet.

Pas uite épais betsuallard. 10 10 Com-momifie.. I et le cuirasse, Nsv-liernp-shire a sent ereree en teillan près de

or.g-fsland.rasant do paquebot I Cer.sonmean.

qui evait à bore 900 paesagers, a été defon-mOffmais los eomparnineents etimchoo réaistbrend et le steamer put Deep. e Nes_yorne .ddbareuer ses passage-Lis qui sit gaeldBeeten par chemin do fer.

Le Neetv-Ileinpahire a .subi quelques ava-ries.

Le Parricide de Villemomble

YVONNE HERTHELINDEVANT LES ASSISES

Paris 8 juilletYvonne &Tinette. qui le 39 janvier der-

nier, h Villemomble, tua à coups de reveleersa mère et M. La:reale nul habitailove'celle-el, va comparaltre devant la Com dus.aises de la Seino

Le crime a éomu l'opinion publique des lespremiers jours, non ...lesot parsi qu'ils'agissait d'un parient. et &ne assassinatcomania par mus jeune Mlle de 10 ans maispalme riteun inyetere planait sur les matifsqui avaient pri déterminer Yvonne Berthe-lier à ce double meurtre.

Le jour du mem, le 30 ...Mer Mie oncrut .deabord qu'il eagi.ait d'un double sui-cide ea jeune fille avait, co effet, déclarele matin même ou ernnUnneatre de polie.que c'était M. Langlois qui avait euemère et e'éLait tue eneuite.

Mais Yvorme Berthelier s'eserbrouille danssm explieations et las premiers mupçonede La police ferma conter.. par Le posi-tion meme des cadavr. les deuxunes avalent, &é Iode, pendant leur ms.

Cependant les voieaa partiemient conee-deur la faseille Bertheber nomma parla.t..aent anus, M. Langlpis, qu'on croyait êtrele mari de Mme Berthelier, setecupait acti,versent. do la jeune 1131e et il avait euivi avetsollieitude toute son eidueatien r on ne pou-vait donc soupçonnes" un Manse

Cependant, 0II se rappela bientôt eeoirtendu chez Nene Berthelier le lame de sri-0m et on Ms explorquait encore par Ire .souciqu'avait M. Langlois de ...garder le

jeune fille contre une basson qu'il nie-preuvalt prie.

En pilet, malteries, do piano, Yvonne Ber-tholue amut eu tree jeuoo asee dinelépeddance et elle avait fait la connalesanceM. Ro.seau, qu'elle faisait passer pour snnfiance, mais qui, en réalité, aurait deeetraitl la jeune fille â oirblier toute réservemalgre qu'il fût encore marte

Or, le 29 janvier, nec scene do reprmhesplue véhémente eut lieu la discussion seprolongea jusqu'et deux h.rm du matin.Puis on ales st co.her; msOa quelques ins-tants après, Yvonne Berthelier, qui ne s'é-tait pas déshabillée, sortit do osa bhambre,verele si M. Langlois et Mese Bertbelier<Halent bien endormis, puis elle pénétrada. la chambre. Cils reit le revelvee. Langlois, qui était pmé sur une min--mode, et tira trots murs de revolver à boutportant.

La mort des deux victimes fut instanta-née; les balles; avaient penêtre par la tem-pe dans le GerVeell des victimes qui na.050601 pas eu le moindre sooubresaut

onie.A l'instruction, la m.rtrioère a dû avouer

son trime, male elle a ajouté dm emplie.tiens qui sont déifier.oe irévraisemblabieepar le Parquet.

D'epree elle M. Langlois l'aurait poursui-vie do ses assifiettee depuis dm mets, et sejalousie violente n'aurait plue con. de'bornes quand il aurait au les fiançailles del'accusée. Elle dit a.si n's.. agi quepour se libérer de cette attitude inconve-nante qu'elle ne pouvait supporter; quantà se mers elle assure qu'elle n'a pas voulula tuer, mais on rn s'explique pas. alors, leblessure Inc portait à la tempe, Mme Ber-thelier, causée par un Mme de revolver tiréà bout portant.

'Petite, Mem., b phytionomie aesee agréahie, Pet de grande yeux bleue qui lui don-nent de la deueeur, d'autant qu'es sentnoyée tiens les .Ifermes, telle Se prêseute rat -cusée, vetue de grand dru 0.

A L'interrogatoire didentate elle rependd'une voix étouffée en se mutilant surbox, et pendent la lmture de l'acte d'aecu-satue nia mnglote et gémit, le rudueboosur lev yetut.

Pendant tee terreentoire, elle 0000011 ce-pensant â eulitriser son émotion pour re-pendre, e sa voix est harseioeieuee, sondehit eapide et nem.. Elle expeee le

es..,.. d'as...tu:té-6 dont la .pourenveit Lan-glois,

Il me disait, déclare-tee/1e, qu'après lamort Ge rntt Mate 0,1 ridepouserate.

Lt tices.lent -- Rien n'explique vitrehaine ü égard /

- Je ne ree pas frappé ipar haine,mais par peur, ce qui n'est pas la amerriecisme.

Ou en arrive enfin à la soiree du drame.La jeune amusée passe rapide/mut sur laecene et raeonte la tragédie même d'un tonsemer., en ntartelent tenon avec sa main.

- Le soir, il y a eu une mène, au meursde laquelle rai dlet mesuer à ma mare qu'illevait trompée et gai t se conduiseuj malaven moi. II m'a gifle° vanterna.nt. La nainea duré tengteeees et puis on gent ceeehéCUrrInte eferibearre, il est venu dans Msehambre peur me border. li ra «ait de la.sin gauche. ear il tenait dane la droite unrevolver et. il an'a dit

o ffesti entereiu, tu ne veux paS me eederTu as dout dit e ta mese, ffmt fini. Je tetuerai I a

J'étais effolie. Peu mires, j'ai entendu dubruit. J'ai eu peur. Je mo suie levée et mesuie randae dans la chambre voisine. Enpesant ma lampe mar la cheminée, j'et vuLa revolver. Adore, folle, tai Peeee 1 «vaut mieux le tUelt, que en, me tuait

Aprde 9 Mai mon vu (mouvernente)me suas epprnehee et lei tiré Pleteleeovfois o

A eee Mnté raCtOUSee ne remet à sang/oteret t.rne en arrière, entre les lares dengarde. Comme Ge parait pl. en Mat derépondre, .9 presideist continue en manne-Rue-

Par, une data. eoincidence, Langlois et samaltreese avaient changé da place dans lelit, eellemi pour une fo. étant .plecese surle bord, La jeune elle gest stoprocheo trèsmes et a fait feu cinq fele, tes deux pre-Miers Coups ayant atte et le dernier tiréaptes un intervalle veau =eine cinq mise-tee Tous deux furent tues net, en plein som-meil.

Je jure, sanglote Paccueee, que je /foipas tue nm Mère .pres.

LES TEPPO/NSDe membore. ténue00 détellent, qui n'ap-

portent aucun r.seiguement sur la mora-lité de 10000500, tant los assietteas sent. dol-ferentes,

ON A TUÉMixers,

Cs matin, 1 l'aube, a ea lieu reseoutim ca-pitate de Paul Aubert, col/dan/né a mort le 2 maidernter par le jury de evoute.

Au moka d'août tell, ene jeumhabitant \t'immisce, Berthe Johmeard, se trou-vait en encenses e. Venue/fou, pays d'orieinn desa famine.

Un soli- quiets ne paromenait dans la campagnedie en ignora en présume dc Pool Aloherl, 0e-emseon du pays, âgé de 25 tete, pli mettantpane esselement de nendesit, voulut lui parler.La jeune 505 le repoue.. Anlert bondit kikosur pile, la rems.as et lui eerma 10 mem àcoups de pioceo. Après sp. il Mn.. de la violer.

L'EXEGUTIONLa guillotine avait été dressee .r la ei.te

nationale, dev.t la priser, que est aitnee lersde la ville. Le montage de la sinistre reachtW,.etreente à mn heure yngt, 5 dtvld SOin hallreun quart.

A, db. 41 les emagisturats réveillent ln cou-

Colinut demie promudement et en, dut leseeouer pou, le réveiller. 11 s'était, mue. hiersoir très eu/me. 11 avait travaillé toute 010501eà la in/deo/ion de natte/ de lonon et avait pro-mis dlen faire b moine Ibn le lenclermenn.

Aubert no mainte.n anen,,m emnhon lerequeproeureur de la Rem/Mique lui annond/ le

rojet de son Peltrvili en gl008.A A/ Philippon, qui I exhortait 00 1000500,repondit Sec aurai I

Puis il enabuta eutnntiemement, but un cor-dial, entendit la mcsee et conenumia

$1, 08150e' et ers aides procéderent rapidsienta la tunes blettis. Loreme la perte de 10molelo omirent le conderurn pane, uses, setsaut te0e dr., levant la tete, E se dirlgesd'un pas ferme sena Idohafilud. Les aides lepousseront vivement sur la bascule 01 10 caoperattomba.

I/ etait exactement 3 h, 23. te enarps du sun-pLeiê o ete transporte au einetlère, où a eulieu Pinluenatntu,

nu, t'et& ntorme ..uintat h emétution. Au-tun Mondent ne s'est produit,

Le Drame de SèvresIns comme-aire de palme da Sievres a apparie

aujourd'hui au poquet de eisends le repai-sor qm a sol, e I aerinsnnut da M. uleit d gina MS 100,11110 gen,. Out Mme un teonf ne laGrand-Eus a Sevres,

Gest brec ana déclarer/ne radm per tabonne Rouie Lesse au commissure de SETtaquou a pu retrouver cette arme.

DECLARATTONS DE LimaroSe 'sesJe mus 100es, aelateesee en/U.10U firee

teute la verde, a dit 1,0 domeetrqua.» anres que M, Quo ent ete bleue, pour'

amen-0110, Panel rentre non trois mime, dumeen et sa rouais DIt. +Porc vint dana sac/neelere et 101 . col, Parala,_11.reintes M. Euro n'est per ins;

è-

parait nepondil 2 Gest hen 4 Indénoua,

Mme Clerc vint mo trnimsortie avec elle pour alles ebereherNoua gaver.. la Grand-Rue de 8arrivant 5 la hauteur du nundrotreeee aperçut, le long 00000000,00llegoet, Elle jeta dans rune d ellen

Wavell mem° pas pris stendans du papier

De ree, Faune a 010 retrouvée ce,d cet endroit. NI, llosenfcld, juge :dO charge el. Gintine limette, ennui,de l'examtner. C'est un browning duXbre. Il steit rom. Marge de maiMes .marquies mO. E,

parvenus auVer.illes au sujet de emgent lasseClerc. I deUtte que la fertum du mena, eOvo o 80,000 tramas amis.. s &encas._ainsir 12P00 fis osa tare« de rinate reaj,w,"h la vina ; 00.100 frura deposée dans uteque ; 30.000 Man« verses vase radea g.,peopriêté et las deux pavillons eondruieetenteurement. 00,5 l'époque de lois'

noemya 1112. vingtaine Marnais lea duaux Clenejlsedaient a eux deux, me Anneaue eeet;francs.

M, Gler° gagnait en moyenne 400 fran,gmois. Si l'on lent compote que le de.iltalt Tune /boa/larme qui °enfilait a havas,on peut eekmer d. 3.100 feue00 lu soninle mlaécenonnselt dlaque. a.s. A ès& sommenaient eiajouler 2,000 fr de rente que M.touchait d'une mes. der. sa femme ete,peoprietaire axes nes frères et provenant desuccession do leur mEre

precederi, dentain mardi, àterregatere de Ems Cime, de Paratt et delet. Ce decnier a fan Men. Muld élusse,Me Albert Willoon, demi. de la Sema.

Pour le Coeur d'une Bel

AU RATON ET AU FUSILRome, 8 Judlet;

Un sanglant d.reime d'a.,o.r ment dedereuler TUS. da Nelo, dans la prevanceNeples.

Deux jemes gens de viné --mon nOtn,,,d,Della Plaira et Francesco Nappt, airoasala môme jeune dile, d'on home morteentre lles deux rivaux.

Cons-ci décidèrent allers de recourir a,jugement des armes, et voici de quelle na.mère accompagnés chacun d'un nonesGgsl Eanes et tore armés do fusils, te,deux rivaux se rendirent en un lieu Selhtai., prise ode Liveri, oQuamll les deux augetfurent 00 erêsenee, le crnebat s'engagea da-bord à, campe de bâton. Après d'être an es.mmmt massés, lee emnbettanta eleherepeagdm coupe de f.il, et la bataille ne cesseque Pereque les dena jeunen gens tententFun et 'aube frappés à mort.

Le bruit des detonatitms avait attiro quaI.paysans qui emportèrent lm cade.*Les autr00 combattante, dont Muselet.rent Mem., prir.t la fuite

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Cham/ace, 8 /MIRA ILa lot emmené par Demy, Cheseephe LesdeN

était encore eempact à Chateard, Inl, daCliamonix, malgre une chute Mme dent dee,saine d'h/mimes de tête,

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- Parfait alors. Pour quand la rail-eontre

-- Le ,plus tût pessibIo sera le mieux.soir, si possible.- 12iatito I point de temps. à perdre.

dons s'il lutte et MiOus noir M. le

L nes eliones 'attirent plus aussi bien'lorsque Armand Sorel vol indiqué loscouda.. du duel : le pistolet, à qui.°pas, au visé. huit de lialies qu'il en 100-drait pour que l'au des tireurs restât surle terraim

-- Non, par exemple, se récrièrent lesingffnuieurs, c'est fou.

C'ese pourtimt Ce que je Len,Jamais. Lu duel, filais pas de dou-

ble meurtre..9n2is mie longue discussion, les té-

moins de Sorel réussirent à lui faire as-copteff dits conditions moins barber.viug2 pas au vissé, échange da quatre bal-

- Soit, murmura-LB, je viserai bien.erm imitèrent des armes de chea l

en n'or-

moisi. et Ionisent site voiture qui do-

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vziit conduiee les ingénieurs jusqu'à Ro-clugr'se. Armand descendrait is l'embrun-el... du chemin de Mon.tier et re-viendrait au devant d'eux VUS lys quotvelieurn'u du soir.

Ce programme. 0111.60/0::, ils ne, mirent enroide. Pendard tout le trajet, il ne futquestion que de souvenirs d'école et derégiment. Pus nue allusion à la rencon-tre prochaine.

- Ja t'admire, fit Romain, quand lavoiture arrisa en vue do Monestier, à troisquarts de /Mue sur la droite, Lu as unsartg-froid. de duelliste do prole.ion.

-- insouciance de véritable dIAr-taguan, ajouta l'autre.

-- C'est bien simple, répliqua-4i/ enleur serrant lés mains avant de les quit-ter, j'ai la tenue volonté de tuer le ducde Valbreuse. Et ce que l'on veut bienest à Innilie fait. A bieulCit. Eanes tousvos efforts pour que se suit ce soir.

Et, sautant à terrc, H prit à grands pasla direction de :douent.,

- Je orois, mon cher Lenoir, quo osva chauffer, pour peu que /e due .soit dansde semblables dispositions....

-Ceci Lieu mon avis, répOnd11 LadresIls Citaient sans doute Mendes au c.-

tuau, dès qu'ils se prérentnreilt, tout desuite; il furent iniscaluils au salon. 'Pres-que euseitOt le due parut, 11 répondit gra-vementà leur sabot, et sons,exposer le ,but de Isar visite

Messimirs. je crois- savoir ce qui vous.annine. 'Vous les témoins de M. 00-

?. .

- Parfaitement Moi je n'ai-rien-à vousdire. du' .1.15 tout me q. Pen vomira.,

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'alois je vais vous mettre ou rapport avecdeux de mes amis qui se troment ac-tuellement à llochegrise.

Quelques minutes après, les dents in-génie,rtss se trouvaient ou présente delord Holley et de sir James 'Party', man-dataires du due de Vallareuse.

Après les-sa/ut...us d'usage, Randolphpril la parole.

- Nota enteovue sera .urte, mes-skuns, car nous avons ordre de notre &niM. do Valbreuso do tia rime discuter.Veuilleu doue nous faire connaltre lesconditions quo vous avea arrêtées et quiseront odes de la rencontre.

Les témoins d'Armand Sorel firent im-médiatement droit à celle demandé.

--- Mais, ajouta Louis Humain, senstrouvons ces dispositions imposées parnotre ami, -- il voulait bien davantage- extraordinaires, anormales - et sivous aviea la même pensée, pent-éfiropourri/ms-nous_

- Mais sou, fit tord Randolph, M. doValibreuse na peut exiger moine que M.Sorel. Il On erra etnlenle vette aven dit.El maintenant, te jour et l'heure 1

plu.s tiff. possible I-,- C'est Missi notre .désir.' .

Ce soir alors ?- Parfaitement bien. Vers cinq hm,

reste à déterminer l'endroit !Nousne connaissons pas le pays, et....

- C'est facile. Il y a de merveilleuxemplaffements b Cheque p..

- Pour concilier tous 1i'., inteirets, litJames Teille, il faut que le temain

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- Nous avons remarqué cette tour enpassant, dit Gest. Lenoir.

-- Alors, point de difficultés. Ce soir àcinq heures, soit pied.

-- Entendu.Et les tentoins d'Armand Sorel se re-

tiril,iat, mirmétement reconduits par ceuxdo A1, de Valhreuse.

Quand ils /surent remontés mt voiture ,- E.h bien ! mon vieux, dit Ammien

à son camarade, voilà une négediatienqui ,ne ne. a pas coûté grand-peine ?

- /la morave tirOn ,luisit. J'ai peur dequelque solution tragique. Ils so.nt capa-bles de se torr tom les deux 0._

- - Ah bate b la chose ne se serait ja-Mais vue.

-- Ge n'est pas une raison...Pendant que /es deux ingénieurs dis-

Mitaient anini - non sans appréhensionsis sue l'issue probable du duel, lord Ron-dolph avait ele retrotrver fleuri de Viff-breuse dans sen appartement.

Oit bien ? III cet si-0v.Vous VOtrii bac. au pistolet. Cola

ne vous contrarie pas ?

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- Je demine à volonté des arabesqueset des fleurs sur des cartons Manas,

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Alors, vous Mes one de vielle allai-

- Oh I certainement. Ce sera O....bruis tout de suite, di cinq heures.

- lion. Je serai .plus vile debarr...(Mette heime se ? Voyons, deuxheures et demie. J'ai le temps de me re-faire la main. Descendons, voille,vous,Randolph ?

Certainement'.M. de Valbre.e sOnna un valet et com-

manda :Apportes les piskilets de tir et /es

Ellirtillinnn en bas, dans la salle dIternee.L'était la plus geande salle du château

de Rochegnse longue de trente-huitmètres, large de dix-issipt, airim deux ran-gées de pilier, massifs, et des voreesélancées, eu ogive, elle avait vu autrefoisse déployer en grande pompe, lors del'hommage anunel des feudataires, toutela gloire ct la puissance tic la maisonde Rtehegrise.

Maintenant, froide et nue, sana plusd'ornements que quelques cm/Mures demi-rouillées, elle servait do salle de tir auchic Henri quand il lui. plaisait, une oùdeux fois Pau, pendant see courts vii-jotas au château, de tuer le temps en brii-laut des cartouches.

le valet de chambre du due ne tardapas à les rejoindre, disposa les cartons etchaises les armes,-

vingt pas, dites-vous, R.dolph ?Je tirerai done à celte distance.

Et user une aisance merveinceee, il fltdu premier jet quelques umgaillques car-tons.

- Mais c'essi d'une eNteedine.cribterais le but les yeux fermies,

eeim,...e-AltheeeZZAZ2e.i.:11

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sont alkintes do Tumeurs,:Polype.)'Pli:môme, et autres engergerimmi

qui dirent plus mi moins la men "liseron, et Qui expliquent les Hémor-

ragies et les Pertes preSqnenue Ms. auxquelles elfes sont sujettoLa Femme se préoccupe peu d sem dde ces inconvanielm, puis, mens-

et /es menses iteL'.th?,e,ilL.i...0.!IBEUDIHE der,-noie-no ie,t,0 puis, Osionrye des dmileut dans le 1,,s'-'v'enet1.':emelletelje'S''i....malade s'affaire/1 ut les perles abondantes la luttent 4s'aliter presque cont:nuellement.euE FAIRE? iàrteoutes enen

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Compliments, mon obier. fit, Pan-dolph, je ne don...raie pas un rbihliiii0 dela vie de M. Armand Sorel.

-- Ma foi ! ni moi non pl.. D'ailleuss,ce sent de toute justice. N'est-ce pasqui a cherché l'occasion O Et qu'ai.,besoin de venir brutalement interroonue couvorsation qui devenait einguh-

? ,resto2a bien mérité de disparaître elle 1

muas se.sseo le champ libre, fit Aandolp111sem: nu rire équivoque.

- C,e qui m'interloque, reprit Ir .

c'est que te M. Sorel ait déviesenne de miss Riva et la miennglise, et qu'il soit accouru pourà point nommé.

Sans doute ce Monsieur, av,,,que vilaine jalousie au fond desurveillait élrollemant sa fiancée. hi t-'-osru vu arriver.

- (rua ce que James Tortyl. quiiait au dehors m'a eie l'eell,eleje n'ai pas Ires b,au diable O ce quiregrette rien.

Sur cette bellegarait de son esprit _

M. de Va/brease se remitdies, s'appliquant àreitphis le temps Ms la viisec.

Lord Itandotph, qui était ég,tireur do premien, force, roll -rl'exemple, esinya de disputer à. ,..le double prix do la vitesse et de la Pr'Î''

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