el du noir ur,: tutu ripublicilimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/b315556101... ·...

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ABONNEMENTS .12 ". mois 23 fr. 1 an 43 fr. GRÉDir ruptnaunz ALI JOUR Lt JOUR La Bonne Manière Banque Populaire de l'Aude airait ddmanene dernier, dans le e l'ancienne banque Aynard, de Verdun, sa nouvelle installa. Dès g heures, des délégués venus peu partout Paris, Limoges, lisstsuban, Albi, Foix, Montpellier, flan Toulouse, etc... se pres- " tint dans le vaste hall et admi- 'rallient l'ingénieux agencement d. guicbe1s, bureaux, salles de coffres, ;d ne le cèdent en rien non pas s'ad installations des banques de pro- ne mais aux aménagements des banques persiennes les plus réputées. Bien n'a été laissé au hasard. Tont 'té préau et bien prévu. Le Direc- leur de la banque, de son bureau, prorogation, l'Etat demande à notre wrveille /e personnel en contact di- grand établissement de crédit, une ,ect avec le public; le sous-directeur, avance de 20 millions destinée au toujou'rs de son bureau, dirige le per- petit et au moyen com perce, à la pe- smsel comptable, distribue et vérifie tite et à la moyenne industrie. le travail si important des comptes et Avant que la discussion en soit de la correspondance. amorcée à la tribune de la Chambre, Le personnel trouvera rarement le les commissions compétentes mien, nnfort agi lui est donné par la B,P A. étudié la question. LI impdrte que Chauffage centrai en hiver; bouellea l'on connaisse le rôle joue dans IF, dais et aération, en été, Pur des yen- sein de la Commission des Finances litateurs; maximum d'éclairage su- par notre ami Be:tao,. a ée Hre; vastes espaces ou les vingt- député de Toulouse, qui avait reçu quatre employés de la banane peu- mandat d'un groupement de commer- cent envisager t'énuque prochaine où leur nombre sera augmenté, sans crainte d'être entassés dans des lo- rand insuffisants ou insalubres. Pour les visiteurs qui ont lutté pen- dant plus d'un quart de siècle pour réesation du crédit au moyen et au petit commerce oui ont cousu-ré I cet idéal et leur temps et leur ar- ion, La vigile à la B. P. A. a été un doux et précieux réconfort. Ils tou- chent au but car si Carcassonne et ils s'en félicitent est aujour- d'hui à l'honneur, d'autres Banques poputaiças suivront son exemple et, bas vouloir dépasser ce uni a été fait s'efforaeront de faire aussi bien. La coorération en matière ban- mire, n'est o' effet, une théorie. been ee Immanent trop M.C'est une rée n u :s té. Dans bea roup de ous participons à leur joie légitime. aaaaada,ia. . 4,aaa, aaa ming kres pour te rendre prao aentille rentres industriels commerciaux, iels et com Q,1s ' nous permettent cependant de POIL DE neon CAROTTE. qui usant du crédit ont enfin comblm une lacune. Oompris colis devaient 'etre leurs De ceux qui ont pris la parole au !genres ber/niers. Tl y a encore des banquet d'inauguration, bien peu pa- a antre delesee peereis hésitants. Dans quelques mois, n'y ra1ssaient au courant de l'histoire du aura p us. Crédit populaire et du g martyro- lb 0^/e timidement, peut-être, et loge n nies précurseurs de l'idée. Ne patent tees tardivement, le léesis'a- méritaient-ils pas une mention sué- tear nui avait d'abord protégé le pro- ciale dans la chaleur communicatiee piétaire-r/moItant en le dotant du d'urne flic ? eédit agricole, a voulu défendre le Petit et moven commerçant et in- dustriel dont le nombre constilue Is cellak le n/us solide et la plus intéressante du navs contre le m é- Pria le déddin Pommes, et les exi- Pm. des grands établissements de crédit Le légialatcur de 1914 à 1919 e'est à son honneur a commets en- il, nom ms durait nus seul bénéficier 11, crédit celui oui en était g cai' a- ble o, mais surtout celui qui en était 'diane n. La, évadés du salariat ils sont lgrabreux dans Ire rangs de noirs Parti enipnrandeant quelle est la Perlée de la loi du 31 mars 1917 qui, Inaréam Ta donné la resibilité de s'organisée ,e :50 l'unifier. de réunir leurs mo- dilgrelleités et de se Ifisérer si de In httelle néfaste et de..no- morne exaacée sur leurs onérations t /es maisons de crédit dont i's ment tributairen. Bans l'esprit du législateur m ,°,11ne Populaire devait être crées har département. Ce résultat est atteint ou presque, rame on compte netueliement 81 es populaires départementales, lis q,e entrer en ligne les banques si florissantes ales trois dé- 1 nts d, Alsace-Lorraiue organi- 7, NAIS ie régime allemand, une force Citai se constitue po corps et dont le déovelup' lent sera considérable. gendre un hommage patati °actionnaire du Ministère ce qui est le metteur en cette activité nationak fis pas l'habitude, dans les LI Midi. de flagorner. Nom Pour tradition de nous inspi de justice. C'est au °,r° nrinciPes nue nous te/ligente activité de M ds iambe, inspecteur génér / ni no 34inistênè du Commerce. e, conseille, encourage, jsus les points du terri- veddent bénéficier des e ln lui du 31 mars 1917, Réalart;se et .riciminissation 38, Rue Roll/daine - TOULOUSE - Tél. o-43 - Compte Chèqus postaux r BUREAUX A PAR rS . ré Ree ite Trévis. (TX". Arrondisses/sel Téléphone Reser. 36-ao Mais s'il est équitable de payer un Une femme bien ennuyée, eas aaar..sasasa tribut de reconnaissance aux arasai. I Shne de l'heure actuelle il serait proton- dément injuste de ne pas parler. de Pic fro, ceux qui furent les insdgateurs, les na, s.l.., t, am 1 Attention, a la cendre de novateurs de l'institution elle-même. ta c,sar.sa, ta a.» =ais 1. ras.. o Tu D'où est partie la loi du 31 mars m°17, 1917, quelles en sont ses origines ? As°éonna,, Sa gestation fut longue nous en nus Md 1-eSt o mon pareil r a mut dirons un jour es rMsons six Aral années furent nécessaires pour mel- a ,s, rose Ire sur pied Pceuvre qui, à Carcas- sonne est dans son plein épanouis' C'est en 1911, au moment de la discussion de la prorogation jusqu'en 1919 du privilège de la Banque de France qu'en compensation de crie çants, appartenant tous à la Banque Popubire de cette vil e sur a nee de celles créées depuis 1917 de de- mander que le petit et moyen com- merce, /a petite et moyenne indus .rie soient traités de pair avec l'agricul- I ure. Bedouce obtint gain de cause au- près de la Commission des Fies e s, cita Chambre ratifia ce que le député de 1 milouse avait si efficacement ce,- posé devant ses collègues de ladite commission. Dons la joie diane inauguration, on pense au présent, on songe a l'ave- nue, mn OiliSsin un peu Ira, le passe. Nous ne reprochons rien aux organi- sateurs de la fête de Carcassonne. Et, puisque nous rendons hommeee aux mettrons en oeuvre d'une loi de renovation croyons-nous de notre de- voir, en adressant notre expression de reconnaissance à M Léon 1/cid- marche, d'y asmcier ceux qui, comme Bednuce furent, bien avant le 31 mars 1917, les artisans de l'idée, et dont l'action efficace a permis l'édi- lication d'une institution solide et .'a'de. devenue l'un des éléments principaux de la richesse nationale. E. BILLIERES, Ausseu Adjoint au Maine de Toulosue Conseil de, Ministres Paris, 13 décembre. Les ministres se ovo r(o.e, se matin, à l'Ela-site, sous la présidence de M. Millerand, M. Poincaré a nais ses collègues au esurant des /lege- -aliomu de lAusanne et des entretiens qui ont commencé à Larecm et duivent conti- nuer le 2 iansier à Paris. lu Marets ti cama!In été consamtée la l'ex- pedltion deu affair. celtisantes. e t I ad fi e GACHEUSE er, (Cliché du m Canant Enehalné Au prix où est la farine/ SOCIALISTE semblable, d est sari( pour aller secouer un peu d'air km, et panser une heure ealme petit café art il poeme es. esid ses, se. eut,, mettre sa cendre ou il lui ph.. et renverser tont son aperutd eu lu, nem peu Cette suite casa tellenient naturelle sue Mute Lieuboey ctiennérne ne s'en inss;éto et an'en Sem-ne soigneuse, elfe avait crié d son mnii qui s'en ait. Auguste, il va .extv-oir o prends done ton perlai:Re Dnale letsou'ett bout Annelle. amet pa, son pempluie, ef a tiré le porte sur lui. douce- me., gentiment en hamme qui le noir ro. viendra de ies-meme tendre la tête ou joug seuil/nef Ale, imité. il n'es/ pas revenu. Pm un den rie, mite de sen/pute, il est rentré eth-eptt cernent deka', le parapluie oit renerenbrait. P., il a di.oget Sa Serna,. a, attendu vainement ce soiolé et les antres, coi, elle a averti kr Wien oel elle a pleuré toutes les larmes de 4n,, smes e'est une eseellente ésevse 000 aime 'fort sun nu. en oontemplant te fuiteoil creggé ser Ic, sem., ps,ssasts Auguste, ses vieille, pantauffles qui lattendent dament le fou, Elle a ou du remorde C'est mai, S.,4 de Mets uoici qu'après manse jours de reeher. ehes, oient de déconna* M. Leabasa Lemme eornedbeble, petit promeléteire non- romdet ancien4. .as accon.' nnnernent en, ts,ous de lo tem; si-;ns gine fer, su d s'étsil fois embauches ma,,,,,, deu dlements dirigeants Mt parti rietcbdate m'émisse tua, ...ILI déplaré, "1"teida d'en'''. en rel' en en fraction a elé dm ponts nuages nuages abrite en M. Leubsen Manant que la Ircest a été .01- ni,-e, reaherakil en dom,,te En turs cm, té, Lieubrau visu, du meOr, bu sr, sréeéd,,st redoulebte tas,, asass asase as» lemme. . sisfistda, eunne niai,,,,,.Moirer...ne este s,...sstes ,se esti,' du b. Auarrete, et ,s-e, trois,, les honneurs de /a einem, en (bicheront r la droit de taxer les farines Paris, 13 décembre. On reprend la discussion sur la spécula- tion illicite qui avait hier Matin si vivement nné I Chambre. M. Bernier longuement répondu ii des critiques précédentes de M. Dumesnil sur les bénélle. exogérés des meuniers et M. Durnesnrl 'obrievement maintenu toutes suaaffirnutions. M. BERNIER. Meunier moi-même, l'ai détourné mon fils de le devenir à son tour, parce que c est une pro essoon ou Ion es sans cesse vilipendé. M. DUMESNIL. Nias n'attequons pas le commerce .honnête mais lins faudrait p. qu'il servit. d, bouclier aux mercantis. (Très bient à gauche./ A tnidis la discussion générale est clone. L'assemblée passe à l'examen des articles qui ne soutèvent pas grandes objections et sant adoptés. En voici ressenti. a Les préfets pourront désormais prendre da. tout ou part. de leur département des arrêtés fixant /es prix limites pour la vente des produits de moulure du blé tendre (PA- H,. et sou). ainsi que pour la vente des farines de succédaces dont l'emploi sera prescrit dans la fabrication du pain. Les préfets pourront également fixer dans chaque commune les prix limites pie la vente du pain de consommation courante, mit sur la demande des Maires, soit sur ce- fus des maires d'exercer leur pouvoir de taxation du pain. Tout vendeur de f.ine sera tenu d'affi- cher les prix Limites préfectoraux. Tout vendeur de pain sera tenu d'of. clore, oit les prix liant. préfectoraux, soit les erré. de taxation des maires_ Les prêle paumant prendre les mesures uéemssaires pour assurer la vente du pain courant son pieds réel et, défaut de ce dernier pain, pour faire vendre le pain de fantaisie au poids et au prix du pain cou- rant. » Notre ami Barthe demande qu'il soit in- terdits aux membres du Parlement de faire suivre leur en, dans I. prospect. gelas tifs I des émissions financières de leur qua- Pté de députés ou de sénateurs. Ceci pour que la qualité d'élu ne serve pas au succès d'eutrepiises de meunerie. M. CI1ERON. II faut en effet, séparer la politique des araires. Dais, au Sénat, un in- ticle du règiement extste qui interdit pré- cisément ce one propose M, Barth, La Chambre n'a qu'à introduire dans sus. clair- ment une diertesirtion semblable. Tiarthe les ale Mutile cour que se ma- posttion sog incorporée au projet dols Rua lion du farines. Il en est ainsi déciirld me 430 vola contre 80. Chaussy fait agsgraver, en cas de réai- dive les peines prévues comtre les infrac- tions au projet. La primn pour. atteindre dix mois et l'amende 50.000 franco. M. Marine. demande et etient que tous ces textes soient au/plinthes à l'Algérie. A 13 heures I'msemble du projet est roté à mains levées, Au Congrès Mondial L'Union da Rouge de la Paix el du Noir Ceuredgondtince guliettlière du Midi Smash LES RUSSES A LA HAYE Dimsvche 12 décembre. Qu'on le vesille ou non, il est désidé qu'a la veil:e de toutes les grand. cos iérenc. intuernationales, slagise de conférences de gouvernesents ou de grandes assis. politiques, Ien Ruases ap- porteront element de myotere ou de rorrsn.que. Y en aurst-il au congrès déjà .? Cst-ils obtenu, sur leur passeport, le visa hollandais ? Les néqoorses les Pus contradsteares sont bines a cea ourfor rentes quesvons. Les bruits les plus étrier gss =suent au sujet de Radek et Lu- sowsky et ne sont pas sans jerer à l'av..- ouun peu de confeou parmi les delé- guja, est évident qu'on un homme Van- dorvelde ne peut trouver à sem goat qu on le fasse voisiner dans un congrès avec un Radek qui, malgré du engage- ments solennels, pris à Bez2n. a outragé. notr, ami pendant le procès de Museau accomPlissait ck.seir sacré, se croyant couvert par les engagements de Berlin, auxquels Radek lui-même a sus- crit. Mais comment m'a-il pu être question d'une présence des Ruses à ce congrès de La Haye ? Un dss membres du co- mité organisateur nous ra pnscisé dans une conversation intéresante. Au. congrès de Rome, au printemps d.,rnier, confédératjsn des sévi/cas russes avait demandé à êve ,présentée. Le deputé travailliste Will Thom insista particulièrement pore que cette demar, de fut agréée. lofais le Congrès dée.d../ qu'une erquête devsit êb, faite :sur la force et les tendances réelles de cette narre. Lu Porta comenuniste a l- confddédation dLe bureau de :1r/te/r.6natio- `""'nierTee !'"line eer'nre ea d'Amsteram, ayant exami cette predébariat et ta taule° aie. Mais une vue du oenures de La Haye, von pou avec la confédjration syndkro.le affiljis à jInternatiosale de Moscou:nsis avec le syndicats ruses parmi Insquels il en est qool n'ollt rien do COMM.,. avec le cons munlsrne et la leIntensionale. La cerintude de l'ukase est aujourd'hui astewoe lb muges de la tue tarenualso- mr.e ....torrs du Krem- lin rouge intemn todt codumete fran- Cals itapArfetar os trqm-ameennerm ou a lu cloue ue. Drette de l'Homme. Hien plus, la guerre g à outrance » est debbaree Ilitee nuçonnique. o Et la deep. miasme on on jugera par mn texte, na paà etc renie en Mun. Cebu.. m on c suit bre au Cl.- mont : o. La kraus-Maçonnerie est la pals poila. et la plus beau ois dupe- ries du proletanat par une bourg... a Voilà donc l'union touchante dru extrê- m.. LIS... notre et frbese rouge vont combattre ensemble la grand andocutron an pue. d'exaseattort mutuelle, it e Moi ulusuises ernments ces deux dominas sise. ont al mur Marne on trepett... leur emaramation parfaite de tout! les peelugée. Cette umen au eue et du muge, ms no/chevilla Oies-rot -.e.pa, ioneeMils, ,iusque sur leur dra- peau. Ma m ns le 'vertigo/le snns au syorliame ou leurs' coeurs avait Mo ignoré Maintenant, Pou ne s'y trompera plus. pla per-fada et la pl. Infâme dm du- peries au peuple » par ms d.etateurà haut- geois b !Mures proetaires vient de mon- trer enfin sen visage à tous les Français que le masque suaitaborne, Ce vlsage est untracté pur la haine de touions tee i.tituties quo peuvent, en l'écleant, claver le peuls. de l'anime néo-commu- mste au fond duquel on le dévorerait- Et peut-être pas au figuré, hétus ! Cela s'est vu, en 100001e, l'hiver dore or. LE TEXTE DEL UKASE v* lu teste air d.1 des décidé. Morue Il faut que les couches dirigeant. du parti mipent tous les monts conduisant vers la bourgeoisie et accomplissent roui- cerne. la rupture avec la fra.-maçon- sigivint dus loges de francs-auee. an La fr11.-MaçO11110110 0.5t la plus per- Utte et la plus infâme dma duperies du pro- létariat par une bourgeoisie b allures ra- dical.. Il faut gan ncas la combattis. I! outrance. Cette lutte ne manquera pas de prodiguée nue cris, salutaire au sem des otrigesnts du parti mania De .trelme, il est de rien., gue les com- mun ets sortent de la Ligue d. Droits elti l'Homme. Celte mesure est três irrepqs- tante, parce qu'elle eat s.ceptible de puri- fier le parti do Pus 1m arnate.ues, dilettan- tes ct carriéristes. Mais voilà que de Berlin, on a.nrionce l'arsivée au congrès cl, ri/miens Rusa., Rv- parmi lesqusla, à cêt' Losossrkv, dicalise notoire, un homme corom.- dek, qui n'a jamais rien eu cl, coma, m avec les organisations sr-dictais ! 11, é sent encore Jas la csscalo rlle- nsncle, errtlxnreillés, stendaril du gou- vernement hollandalc reutoriosion teciloolietT-1.-iggreagis b-dootgees-atetias.> ver. à Ln Have. Ils dannandsiére 1,sr télé/somme au /vveau de rinterreri.ona- le, cuc le congrès fût retardé juscy.ilà leur arrivée Le gouvernement délicat hrik,vhs refusait le visa à d'armes déllguré. r.s nove pourtant don dô bole.heviste, me notre ami Benteiro, entité! aux Cc,. tés, professeur à rUnive-sté de Mééll.id Or, aux derrééres nouve/les, b, tari titre de la justice s'étnnt ravis& tout en 11,11ine tenant le refus à Restgiro, était prêt à Faticesder à... Radsk. Et voici comment j'ai entendu expliquer en revirement Cs vms donne l'exélication pour ce qu'elle vaut) 7 les conj....Purs pu/ utangeserit gnuvanagin,ent hollandmin res fâchés de voir le congrès échmsr &cil: la confusion et ils compte,: cala sur Rad-ck. grand spécialiste de la pêche en eau trouble. Enfin t qui VIVT* RADEK EST LA.. La séance d'ouverture tirait à sa fin quand on vint avertir discrètement le bu- reau que Radek, Losowsky et deux ',- Ires Russes étaient arrivés. C'était sai. lls étaient dam une se> de dégustation attenante à la salle des fêtes. Radek est eue:é d'une Tacon extra- ordinaire. Il porte une ample casquette jaune dont /a longue visière met son on, bre sur un visage dont mn ne sait due s'il ce d'aspect jeune ou vieillot Menton pointu, yeux noirs, très mo- biles derrière les larges burettes. Ah 1 l'étrange honhommel Sa mise est du decnier bohème. le Mn caps-oie Teint, chmine. en frac et cravate Inleahe, dans les salons de la préfecture de Cfme_ et in. ms dis que le parti bolcheviste russe tan certainement pas réalisé l'unité de front es point de vve vestimemaire. Fiers. et Jouhaux arrivent. Présenta- tions rapides r Loasskv, après un mo- ment de gêne et d'hésitation, tend la moin à Jouhaux. qui la serre. « Et voilà Radek a, dit Firnmers ruse toumsne vola le cmieux être à tête de horaire. Ruin dé. signast le secrétaire de la C.G.T. Voi- la JouhJouhaux aux s. Jou du haut *de tot vue v-llt`PP de boa néant, laies, ttydréer ces nets sur le netit Radek « Oui, Jouhaux, le social traître et semigIgnotriotee Le gouvsnement hollsrvlsjc a dors danne: le vise nécessaire à R,dek. farmé cls kslcheviste, mei,- il l'a reflué au détésué des mignlimeistes et au reprS. ament des conoireves russ-s. Os lit bel hien dace son jeu et c'est désrldement reér,'atior orle nous doms., plus haut qu'il favt accepter comme plausible... LISEZ ET PATTES LIRE LE u MIDI SOCIAILSTE » Qu'a décidé la Conférence de Londres ? Ce tenir une autre conférence à Paris. Et qui s'en étnne ? Co n'est pas en tout cas les lecteurs du tàidi ». Partout 00 il os MUSSOLINI est l'Imanne le mieux gaulé du monde, des fidèles se sant attaches I sa personne et. nint et jour, ne te quittent puera. Le voici causant avec le chef de sa garde. acteleolt-1-14-41-4> soteciestews-1-4.-nieset Comment rit apprécie l'ajournement de la Conférence de Londres Rune, 13 demi... Dans sea commen- taires sur hies. de la conférence de Lon- dres. la presceitalienne en geéral met prame d'une modération digne d'éloges. On était habitué, dans ce pays. au tende- usin riltiq e réunion ou conférence ternatiore, voir D Fran.'l le g nye, nement français accablés do reproches et rendas reeponsablen du fait que les ridul- es n'étsient pas satisfaisants. Ceint foi., au contraire. les Peruun en- visage., astre un esprit d'onjeetivité ne marqueta. D situation sans en dissimu- ler toutefois la gravité. C'est la Périodà d'attente mir commence et durs& laquelle l'opinion semble prévoir que dra ascoma- dements et, des conciliations su produi- ront. Le conseil tba, miniet-res, qui se réunira samedi, déridera probablemen la publica- tion du mémorandum Pollen sor la (l'an, l'os- dea.négerations al.; des dattes latéral- liées. _ JEUDI 14 DECEMIIRE 1922 tafflispaimmiameffalWiellIMEIMIMIBM Un Radical bon teint Ur,: tutu ripublicil: Paris, 12 décembre. Castel, député radical de l'Au- de, ce eu un beau succès... réaction. +mire, samedi dernier, à la Chambre. Oncques on ne vit autant de mains cléricales et réactionnaires, condui- tes par Daudet, applaudir... un ora- teur de gauche, complètement abats donné par ses amis. a Turellement » Albert Sarraut était absent I Comment exnlionce 04 spectacle peu base! Voici M. Castel nul ne l'ignore dans l'Aude, mais nul ne le sait à Paris et au Palais-Bourbon où cet Immune est totalement inconnu doit tout aux idées démocratiques et socialis- tes et aux instituteurs. Or, M. Castel a prononcé de telles paroles contre les membres de l'en- seignentent primaire qu'il s'est attiré de la part du ministre de l'Instruction publique, M. Bérard, et de la part de deux de ses collègues dom groupe ra- dical-socialiste, 111211. Bouligand et Guichard, députés du Morbihan et de Vaucluse, de véhémentes protesta- tions. Pour prouver les affirmations ci- dessus voici les termes dont se sont servi M. Bérard, d'une part et MM. Bouligand et Guichard, d'autre part (extrait de rOffiéisd du 10 décembre, poses 4.013 et 4.014). M. Bonligand. Vous permettrez à un humme oui, pendant trente ans a été instituteur, de répondre très bt iro mtent aux paroles Praiss,a- esssives, pour ne pas dire plus, qui vientt,tt d'être prononcées it lé-surit du personnel enseignant. (Applaudis- sements à gauche et à l'extrême-gau- che.) Les accusgtions de paresse, de grande paresse, Mie vous avez por- tées contre tout le personnel ensei- gnant M. Castel, ne sont nullement io,t fiées t elles sont une injure gra- tulle. » M. Bécard, ministre de l'Instruc- tion publique est un 00 ntodéré », parlementaire dans le neme de M. Tureel, si connu des Méridiolmat et de M. Castel surtout. Or, M. Léon Bérard voyait pour la première fois, le sous-verge d'Albert Sarraut t il a bondi à la tribune bien. dont pte Léon Daudet criait a Très bien foi à M. Castel et n'a pas hésité o dire ce qu'aurait dit M. Tarnb t a J'appuie énergiattement les ob- servations de M. Boulisme., et je m'oppose à l'adoption de l'amende- ment Castel.» M. Louis Ouicharel, est député rad?. cal-sorialiste de Vaucluse. C'est tin vieil ami de Pelletas. AI143i est-il per- mis de comprendre avec quel écu- rement et quel soulagement, Ce Sin- cere démocrate ami écrié, au mo- ment où ce pauvre M. Castel relirait son amendement, a honteax comme UR renard q'une poule aurait pris ,1 M. anis Guichard. Je suis hem relit de constater que vous pard, rot votre 110171 personnel et que ce n'est pas au nom de notre parti que 1,0118 avez formulé votre proposition. » Je trouve un tel incident formida- ble et monumental et je m'étonne que les républicains ne soient pas Lutant- mes à chasser de semblables traitrrs. Autre, ois. en 1818, du temps de nos grands-pères. lorsqu'on était républi- cain, on n'aurait pets hésité une sont. Aujourd'hui, en 1922, parce que la vie est chère, parce qu'il faut vivre parce qu'on est blasé, sportif et qu'on s'a pas de convictions, on pardonne tous les reniements. Gare au réveil, demain, et à sa cruauté ! Mme FRANCES. Plus de mariages par T. S. F. New-York, 13 derrinbre. Las ruarieeit par T. 3. F. viennent d'être déclarés Hien Faux non AIreirique. On ns veut pis adrnet- Ire mu le clertyman récite 1er prières tu.. à San-Feanrisce, pour unir is gui se trouvent datte un grand .helet de Few-Pork. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ABONNEMENTS

.12 ".mois 23 fr. 1 an 43 fr.

GRÉDir ruptnaunz ALI JOUR Lt JOUR

La Bonne ManièreBanque Populaire de l'Aude

airait ddmanene dernier, dans lee l'ancienne banque Aynard,

de Verdun, sa nouvelle installa.

Dès g heures, des délégués venuspeu partout Paris, Limoges,

lisstsuban, Albi, Foix, Montpellier,flan Toulouse, etc... se pres-

" tint dansle vaste hall et admi-

'rallientl'ingénieux agencement d.

guicbe1s,bureaux, salles de coffres,

;d ne le cèdent en rien non pass'ad installations des banques de pro-

ne mais aux aménagements desbanques persiennes les plus réputées.Bien n'a été laissé au hasard. Tont'té préau et bien prévu. Le Direc-

leur de la banque, de son bureau, prorogation, l'Etat demande à notrewrveille /e personnel en contact di- grand établissement de crédit, une,ect avec le public; le sous-directeur, avance de 20 millions destinée autoujou'rs de son bureau, dirige le per- petit et au moyen com perce, à la pe-smsel comptable, distribue et vérifie tite et à la moyenne industrie.le travail si important des comptes et Avant que la discussion en soitde la correspondance. amorcée à la tribune de la Chambre,Le personnel trouvera rarement le les commissions compétentes mien,

nnfort agi lui est donné par la B,P A. étudié la question. LI impdrte queChauffage centrai en hiver; bouellea l'on connaisse le rôle joue dans IF,dais et aération, en été, Pur des yen- sein de la Commission des Financeslitateurs; maximum d'éclairage su- par notre ami Be:tao,. a éeHre; vastes espaces ou les vingt- député de Toulouse, qui avait reçuquatre employés de la banane peu- mandat d'un groupement de commer-cent envisager t'énuque prochaine oùleur nombre sera augmenté, sanscrainte d'être entassés dans des lo-rand insuffisants ou insalubres.

Pour les visiteurs qui ont lutté pen-dant plus d'un quart de siècle pour

réesation du crédit au moyen etau petit commerce oui ont cousu-réI cet idéal et leur temps et leur ar-ion, La vigile à la B. P. A. a été undoux et précieux réconfort. Ils tou-chent au but car si Carcassonneet ils s'en félicitent est aujour-d'hui à l'honneur, d'autres Banquespoputaiças suivront son exemple et,bas vouloir dépasser ce uni a étéfait s'efforaeront de faire aussi bien.La coorération en matière ban-

mire, n'est o' effet, une théorie. been ee Immanent tropM.C'estune rée n u :sté. Dans bea roup de ous participons à leur joie légitime. aaaaada,ia. . 4,aaa, aaa ming

kres pour te rendre prao aentillerentres industriels commerciaux,iels et com Q,1s' nous permettent cependant de

POIL DEneon

CAROTTE.qui usant du crédit ont enfin comblm une lacune.

Oompris colis devaient 'etre leurs De ceux qui ont pris la parole au!genres ber/niers. Tl y a encore des banquet d'inauguration, bien peu pa- a antre delesee peereishésitants. Dans quelques mois, n'y ra1ssaient au courant de l'histoire du

aura p us. Crédit populaire et du g martyro-lb 0^/e timidement, peut-être, et loge n nies précurseurs de l'idée. Ne

patent tees tardivement, le léesis'a- méritaient-ils pas une mention sué-tear nui avait d'abord protégé le pro- ciale dans la chaleur communicatieepiétaire-r/moItant en le dotant du d'urne flic ?eédit agricole, a voulu défendre lePetit et moven commerçant et in-dustriel dont le nombre constilueIs cellak le n/us solide et la plusintéressante du navs contre le m é-Pria le déddin Pommes, et les exi-Pm. des grands établissements decrédit

Le légialatcur de 1914 à 1919e'est à son honneur a commets en-il, nom ms durait nus seul bénéficier11, crédit celui oui en était g

cai'a-

ble o, mais surtout celui qui en était'diane n.La, évadés du salariat ils sont

lgrabreux dans Ire rangs de noirsParti enipnrandeant quelle est laPerlée de la loi du 31 mars 1917 qui,InaréamTa donné la resibilité de s'organisée,e :50 l'unifier. de réunir leurs mo-

dilgrelleités et de se Ifisérersi de In httelle néfaste et de..no-morne exaacée sur leurs onérationst

/es maisons de crédit dont i'sment tributairen.Bans l'esprit du législateur m

,°,11ne Populaire devait être créeshar département.

Ce résultat est atteint ou presque,rame on compte

netueliement 81es populaires départementales,lis q,e entrer en ligne les banquessi florissantes ales trois dé-

1 nts d, Alsace-Lorraiue organi-7, NAIS ie régime allemand,

une force Citai se constituepo corps et dont le déovelup'lent sera considérable.

gendre un hommage patati°actionnaire du Ministèrece qui est le metteur encette activité nationakfis pas l'habitude, dans lesLI Midi. de flagorner. Nom

Pour tradition de nous inspio° de justice. C'est au°,r° nrinciPes nue nous

te/ligente activité de Mds iambe, inspecteur génér /

ni no34inistênè du Commerce.e, conseille, encourage,jsus les points du terri-

veddent bénéficier dese ln lui du 31 mars 1917,

Réalart;se et .riciminissation 38, Rue Roll/daine - TOULOUSE - Tél. o-43 - Compte Chèqus postaux r

BUREAUX A PAR rS . ré Ree ite Trévis. (TX". Arrondisses/sel Téléphone Reser. 36-ao

Mais s'il est équitable de payer un Une femme bien ennuyée, eas aaar..sasasatribut de reconnaissance aux arasai. I Shnede l'heure actuelle il serait proton-dément injuste de ne pas parler. de Pic fro,ceux qui furent les insdgateurs, les na, s.l.., t, am 1 Attention, a la cendre denovateurs de l'institution elle-même. ta c,sar.sa, ta a.» =ais 1. ras.. o Tu

D'où est partie la loi du 31 mars m°17,

1917, quelles en sont ses origines ? As°éonna,,Sa gestation fut longue nous en nus Md 1-eSt o mon pareil r a mut

dirons un jour es rMsons six Aralannées furent nécessaires pour mel- a ,s, roseIre sur pied Pceuvre qui, à Carcas-sonne est dans son plein épanouis'

C'est en 1911, au moment de ladiscussion de la prorogation jusqu'en1919 du privilège de la Banque deFrance qu'en compensation de crie

çants, appartenant tous à la BanquePopubire de cette vil e sur a neede celles créées depuis 1917 de de-mander que le petit et moyen com-merce, /a petite et moyenne indus .riesoient traités de pair avec l'agricul-I ure.

Bedouce obtint gain de cause au-près de la Commission des Fies e s,cita Chambre ratifia ce que le députéde 1 milouse avait si efficacement ce,-posé devant ses collègues de laditecommission.

Dons la joie diane inauguration,on pense au présent, on songe a l'ave-nue, mn OiliSsin un peu Ira, le passe.Nous ne reprochons rien aux organi-sateurs de la fête de Carcassonne.

Et, puisque nous rendons hommeeeaux mettrons en oeuvre d'une loi derenovation croyons-nous de notre de-voir, en adressant notre expressionde reconnaissance à M Léon 1/cid-marche, d'y asmcier ceux qui, commeBednuce furent, bien avant le 31mars 1917, les artisans de l'idée, etdont l'action efficace a permis l'édi-lication d'une institution solide et.'a'de. devenue l'un des élémentsprincipaux de la richesse nationale.

E. BILLIERES,Ausseu Adjoint au Maine de Toulosue

Conseil de, MinistresParis, 13 décembre. Les ministres se

ovo r(o.e, se matin, à l'Ela-site, sous laprésidence de M. Millerand, M. Poincaréa nais ses collègues au esurant des /lege--aliomu de lAusanne et des entretiens quiont commencé à Larecm et duivent conti-nuer le 2 iansier à Paris.

lu Marets ti cama!In été consamtée la l'ex-pedltion deu affair. celtisantes.

e t I ad fi eGACHEUSE

er,(Cliché du m Canant Enehalné

Au prix où est la farine/

SOCIALISTE

semblable, d est sari( pour aller secouer unpeu d'air km, et panser une heure ealmepetit café art il poeme es. esid ses,se. eut,, mettre sa cendre ou il lui ph.. etrenverser tont son aperutd eu lu, nem peu

Cette suite casa tellenient naturelle sueMute Lieuboey ctiennérne ne s'en inss;étoet an'en Sem-ne soigneuse, elfe avait crié dson mnii qui s'en ait.

Auguste, il va .extv-oir o prends done tonperlai:Re

Dnale letsou'ett bout Annelle. amet pa, sonpempluie, ef a tiré le porte sur lui. douce-me., gentiment en hamme qui le noir ro.viendra de ies-meme tendre la tête ou jougseuil/nef

Ale, imité. il n'es/ pas revenu. Pm un denrie, mite de sen/pute, il est rentré eth-epttcernent deka', le parapluie oit renerenbrait.P., il a di.oget

Sa Serna,. a, attendu vainement ce soioléet les antres, coi, elle a averti kr Wien oelelle a pleuré toutes les larmes de 4n,, smes

e'est une eseellente ésevse 000 aime 'fortsun nu. en oontemplant te fuiteoil creggéser Ic, sem., ps,ssasts Auguste, ses vieille,pantauffles qui lattendent dament le fou,

Elle a ou du remorde C'est mai, S.,4 de

Mets uoici qu'après manse jours de reeher.ehes, oient de déconna* M. LeabasaLemme eornedbeble, petit promeléteire non-romdet ancien4. .as accon.'nnnernent en, ts,ous de lo tem; si-;ns ginefer, su d s'étsil fois embauches ma,,,,,, deu dlements dirigeants Mt parti

rietcbdate m'émisse tua, ...ILI déplaré, "1"teida d'en'''. en rel' en enfractiona elé dm ponts nuagesnuages abrite en

M. Leubsen Manant que la Ircest a été .01-ni,-e, reaherakil en dom,,te

En turs cm, té, Lieubrau visu, du meOr, bu

sr, sréeéd,,st redoulebte tas,,asass asase as» lemme. . sisfistda,eunne niai,,,,,.Moirer...ne estes,...sstes ,se esti,' du b. Auarrete, et ,s-e,trois,, les honneurs de /aeinem, en (bicheront r

la droit de taxer les farinesParis, 13 décembre.

On reprend la discussion sur la spécula-tion illicite qui avait hier Matin si vivement

nné I Chambre.M. Bernier longuement répondu ii des

critiques précédentes de M. Dumesnil surles bénélle. exogérés des meuniers et M.Durnesnrl 'obrievement maintenu toutes

suaaffirnutions.

M. BERNIER. Meunier moi-même, l'aidétourné mon fils de le devenir à son tour,parce que c est une pro essoon ou Ion essans cesse vilipendé.

M. DUMESNIL. Nias n'attequons pasle commerce .honnête mais lins faudraitp. qu'il servit. d, bouclier aux mercantis.(Très bient à gauche./

A tnidis la discussion générale est clone.L'assemblée passe à l'examen des articlesqui ne soutèvent pas grandes objections etsant adoptés. En voici ressenti.

a Les préfets pourront désormais prendreda. tout ou part. de leur département desarrêtés fixant /es prix limites pour la ventedes produits de moulure du blé tendre (PA-H,. et sou). ainsi que pour la vente desfarines de succédaces dont l'emploi seraprescrit dans la fabrication du pain.

Les préfets pourront également fixer danschaque commune les prix limites pie lavente du pain de consommation courante,mit sur la demande des Maires, soit sur ce-fus des maires d'exercer leur pouvoir detaxation du pain.

Tout vendeur de f.ine sera tenu d'affi-cher les prix Limites préfectoraux.

Tout vendeur de pain sera tenu d'of.clore, oit les prix liant. préfectoraux, soitles erré. de taxation des maires_

Les prêle paumant prendre les mesuresuéemssaires pour assurer la vente du paincourant son pieds réel et, défaut de cedernier pain, pour faire vendre le pain defantaisie au poids et au prix du pain cou-rant. »

Notre ami Barthe demande qu'il soit in-terdits aux membres du Parlement de fairesuivre leur en, dans I. prospect. gelastifs I des émissions financières de leur qua-Pté de députés ou de sénateurs. Ceci pourque la qualité d'élu ne serve pas au succèsd'eutrepiises de meunerie.

M. CI1ERON. II faut en effet, séparer lapolitique des araires. Dais, au Sénat, un in-ticle du règiement extste qui interdit pré-cisément ce one propose M, Barth, LaChambre n'a qu'à introduire dans sus. clair-ment une diertesirtion semblable.

Tiarthe les ale Mutile cour que se ma-posttion sog incorporée au projet dols Rualion du farines.

Il en est ainsi déciirld me 430 vola contre80.

Chaussy fait agsgraver, en cas de réai-dive les peines prévues comtre les infrac-tions au projet. La primn pour. atteindredix mois et l'amende 50.000 franco.

M. Marine. demande et etient que tousces textes soient au/plinthes à l'Algérie.

A 13 heures I'msemble du projet est rotéà mains levées,

Au Congrès Mondial L'Union da Rouge

de la Paix el du NoirCeuredgondtince guliettlière du Midi Smash

LES RUSSES A LA HAYEDimsvche 12 décembre.

Qu'on le vesille ou non, il est désidéqu'a la veil:e de toutes les grand. cosiérenc. intuernationales, slagisede conférences de gouvernesents ou degrandes assis. politiques, Ien Ruases ap-porteront element de myotere ou derorrsn.que. Y en aurst-il au congrèsdéjà .? Cst-ils obtenu, sur leur passeport,le visa hollandais ? Les néqoorses les Puscontradsteares sont bines a cea ourforrentes quesvons. Les bruits les plus étriergss =suent au sujet de Radek et Lu-sowsky et ne sont pas sans jerer à l'av..-ouun peu de confeou parmi les delé-guja, est évident qu'onun homme Van-dorvelde ne peut trouver à sem goatqu on le fasse voisiner dans un congrèsavec un Radek qui, malgré du engage-ments solennels, pris à Bez2n. a outragé.notr, ami pendant le procès de Museau

accomPlissait ck.seir sacré, secroyant couvert par les engagements deBerlin, auxquels Radek lui-même a sus-crit.

Mais comment m'a-il pu être questiond'une présence des Ruses à ce congrèsde La Haye ? Un dss membres du co-mité organisateur nous ra pnscisédans une conversation intéresante.

Au. congrès de Rome, au printempsd.,rnier, confédératjsn des sévi/casrusses avait demandé à êve ,présentée.Le deputé travailliste Will Thom insistaparticulièrement pore que cette demar,de fut agréée. lofais le Congrès dée.d../qu'une erquête devsit êb, faite :sur laforce et les tendances réelles de cette narre. Lu Porta comenuniste al-confddédation

dLebureau de

:1r/te/r.6natio-`""'nierTee !'"line eer'nre

ea d'Amsteram, ayant exami cette predébariat et ta taule° aie. Mais une

vue du oenures de La Haye, von pouavec la confédjration syndkro.le affiljis àjInternatiosale de Moscou:nsis avec lesyndicats ruses parmi Insquels il en estqool n'ollt rien do COMM.,. avec le consmunlsrne et la leIntensionale.

La cerintude de l'ukase est aujourd'huiastewoe lb muges de la tue tarenualso-mr.e ....torrs du Krem-lin rouge intemn todt codumete fran-Cals itapArfetar os trqm-ameennermou a lu cloue ue. Drette de l'Homme. Hienplus, la guerre g à outrance » est debbaree

Ilitee nuçonnique.oEt la deep. miasme on on jugera par

mn texte, na paà etc renie en Mun.Cebu.. mon c suit bre au Cl.-mont : o. La kraus-Maçonnerie est lapals poila. et la plus beau ois dupe-ries du proletanat par une bourg... a

Voilà donc l'union touchante dru extrê-m.. LIS... notre et frbese rouge vontcombattre ensemble la grand andocutronan pue. d'exaseattort mutuelle, it

e Moi ulusuises ernments cesdeux dominas sise. ont al mur Marne ontrepett... leur emaramation parfaitede tout! les peelugée. Cette umen au eueet du muge, ms no/chevilla Oies-rot

-.e.pa, ioneeMils, ,iusque sur leur dra-peau. Ma mns le 'vertigo/le snns au syorliameou leurs' coeurs avait Mo ignoré

Maintenant, Pou ne s'y trompera plus.pla per-fada et la pl. Infâme dm du-

peries au peuple » par ms d.etateurà haut-geois b !Mures proetaires vient de mon-trer enfin sen visage à tous les Françaisque le masque suaitaborne, Ce vlsageest untracté pur la haine de touions teei.tituties quo peuvent, en l'écleant,claver le peuls. de l'anime néo-commu-mste au fond duquel on le dévorerait-Et peut-être pas au figuré, hétus ! Celas'est vu, en 100001e, l'hiver dore or.

LE TEXTE DEL UKASEv* lu teste air d.1 des décidé.

MorueIl faut que les couches dirigeant. du

parti mipent tous les monts conduisantvers la bourgeoisie et accomplissent roui-cerne. la rupture avec la fra.-maçon-

sigivint dus loges de francs-auee.anLa fr11.-MaçO11110110 0.5t la plus per-

Utte et la plus infâme dma duperies du pro-létariat par une bourgeoisie b allures ra-dical.. Il faut gan ncas la combattis. I!outrance. Cette lutte ne manquera pas deprodiguée nue cris, salutaire au sem desotrigesnts du parti mania

De .trelme, il est de rien., gue les com-mun ets sortent de la Ligue d. Droitselti l'Homme. Celte mesure est três irrepqs-tante, parce qu'elle eat s.ceptible de puri-fier le parti do Pus 1m arnate.ues, dilettan-tes ct carriéristes.

Mais voilà que de Berlin, on a.nrioncel'arsivée au congrès cl, ri/miens Rusa.,

Rv-parmi lesqusla, à cêt' Losossrkv,dicalise notoire, un homme corom.-dek, qui n'a jamais rien eu cl, coma, mavec les organisations sr-dictais !11, é sent encore Jas la csscalo rlle-nsncle, errtlxnreillés, stendaril du gou-vernement hollandalc reutoriosion teciloolietT-1.-iggreagis b-dootgees-atetias.>ver. à Ln Have. Ils dannandsiére 1,srtélé/somme au /vveau de rinterreri.ona-le, cuc le congrès fût retardé juscy.ilà leurarrivée

Le gouvernement délicat hrik,vhsrefusait le visa à d'armes déllguré. r.snove pourtant don dô bole.heviste,me notre ami Benteiro, entité! aux Cc,.tés, professeur à rUnive-sté de Mééll.idOr, aux derrééres nouve/les, b, tari titrede la justice s'étnnt ravis& tout en 11,11inetenant le refus à Restgiro, était prêt àFaticesder à... Radsk. Et voici commentj'ai entendu expliquer en revirement Csvms donne l'exélication pour ce qu'ellevaut) 7 les conj....Purs pu/ utangeserit

gnuvanagin,ent hollandminres fâchés de voir le congrès échmsr&cil: la confusion et ils compte,:cala sur Rad-ck. grand spécialiste de lapêche en eau trouble.

Enfin t qui VIVT*

RADEK EST LA..La séance d'ouverture tirait à sa fin

quand on vint avertir discrètement le bu-reau que Radek, Losowsky et deux ',-Ires Russes étaient arrivés.

C'était sai. lls étaient dam une se>de dégustation attenante à la salle desfêtes.

Radek est eue:é d'une Tacon extra-ordinaire. Il porte une ample casquettejaune dont /a longue visière met son on,bre sur un visage dont mn ne sait dues'il ce d'aspect jeune ou vieillot

Menton pointu, yeux noirs, très mo-biles derrière les larges burettes. Ah 1l'étrange honhommel Sa mise est dudecnier bohème. le Mn caps-oie Teint,chmine. en frac et cravate Inleahe, dansles salons de la préfecture de Cfme_ etin. ms dis que le parti bolcheviste russetan certainement pas réalisé l'unité defront es point de vve vestimemaire.

Fiers. et Jouhaux arrivent. Présenta-tions rapides r Loasskv, après un mo-ment de gêne et d'hésitation, tend lamoin à Jouhaux. qui la serre. « Et voilàRadek a, dit Firnmers ruse toumsne volale cmieux être à tête de horaire. Ruin dé.signast le secrétaire de la C.G.T. Voi-la JouhJouhauxaux s. Jou du haut *de totvue v-llt`PP de boa néant, laies, ttydréer cesnets sur le netit Radek « Oui, Jouhaux,le social traître et semigIgnotriotee

Le gouvsnement hollsrvlsjc a dorsdanne: le vise nécessaire à R,dek. farmécls kslcheviste, mei,- il l'a reflué audétésué des mignlimeistes et au reprS.ament des conoireves russ-s. Os litbel hien dace son jeu et c'est désrldementreér,'atior orle nous doms., plus hautqu'il favt accepter comme plausible...

LISEZ ET PATTES LIRELE u MIDI SOCIAILSTE »

Qu'a décidé la Conférence de Londres ?

Ce tenir une autre conférence à Paris.

Et qui s'en étnne ?

Co n'est pas en tout cas les lecteurs du

tàidi ».

Partout 00 il os MUSSOLINI est l'Imannele mieux gaulé du monde, des fidèles se santattaches I sa personne et. nint et jour, nete quittent puera. Le voici causant avec lechef de sa garde.acteleolt-1-14-41-4> soteciestews-1-4.-nieset

Comment rit apprécie

l'ajournementde la Conférence de Londres

Rune, 13 demi... Dans sea commen-taires sur hies. de la conférence de Lon-dres. la presceitalienne en geéral metprame d'une modération digne d'éloges.

On était habitué, dans ce pays. au tende-usin riltiq e réunion ou conférenceternatiore, voir D Fran.'l le g nye,nement français accablés do reproches etrendas reeponsablen du fait que les ridul-es n'étsient pas satisfaisants.

Ceint foi., au contraire. les Peruun en-visage., astre un esprit d'onjeetivité nemarqueta. D situation sans en dissimu-ler toutefois la gravité. C'est la Périodàd'attente mir commence et durs& laquellel'opinion semble prévoir que dra ascoma-dements et, des conciliations su produi-ront.

Le conseil tba, miniet-res, qui se réunirasamedi, déridera probablemen la publica-tion du mémorandum Pollen sor la (l'an,l'os- dea.négerations al.; des dattes latéral-liées.

_

JEUDI 14 DECEMIIRE 1922

tafflispaimmiameffalWiellIMEIMIMIBM

Un Radical bon teint

Ur,: tutu ripublicil:Paris, 12 décembre.

Castel, député radical de l'Au-de, ce eu un beau succès... réaction.+mire, samedi dernier, à la Chambre.

Oncques on ne vit autant de mainscléricales et réactionnaires, condui-tes par Daudet, applaudir... un ora-teur de gauche, complètement abatsdonné par ses amis.

a Turellement » Albert Sarrautétait absent I Comment exnlionce 04spectacle peu base!

Voici

M. Castel nul ne l'ignore dansl'Aude, mais nul ne le sait à Pariset au Palais-Bourbon où cet Immuneest totalement inconnu doit toutaux idées démocratiques et socialis-tes et aux instituteurs.

Or, M. Castel a prononcé de tellesparoles contre les membres de l'en-seignentent primaire qu'il s'est attiréde la part du ministre de l'Instructionpublique, M. Bérard, et de la part dedeux de ses collègues dom groupe ra-dical-socialiste, 111211. Bouligand etGuichard, députés du Morbihan et deVaucluse, de véhémentes protesta-tions.

Pour prouver les affirmations ci-dessus voici les termes dont se sontservi M. Bérard, d'une part et MM.Bouligand et Guichard, d'autre part(extrait de rOffiéisd du 10 décembre,poses 4.013 et 4.014).

M. Bonligand. Vous permettrezà un humme oui, pendant trente ansa été instituteur, de répondre trèsbt iro mtent aux paroles Praiss,a-esssives, pour ne pas dire plus, quivientt,tt d'être prononcées it lé-suritdu personnel enseignant. (Applaudis-sements à gauche et à l'extrême-gau-che.)

Les accusgtions de paresse, degrande paresse, Mie vous avez por-tées contre tout le personnel ensei-gnant M. Castel, ne sont nullementio,t fiées t elles sont une injure gra-tulle. »

M. Bécard, ministre de l'Instruc-tion publique est un 00 ntodéré »,parlementaire dans le neme de M.Tureel, si connu des Méridiolmat etde M. Castel surtout.

Or, M. Léon Bérard voyait pour lapremière fois, le sous-verge d'AlbertSarraut t il a bondi à la tribune bien.dont pte Léon Daudet criait a Trèsbien foi à M. Castel et n'a pas hésitéo dire ce qu'aurait dit M. Tarnb t

a J'appuie énergiattement les ob-servations de M. Boulisme., et jem'oppose à l'adoption de l'amende-ment Castel.»

M. Louis Ouicharel, est député rad?.cal-sorialiste de Vaucluse. C'est tinvieil ami de Pelletas. AI143i est-il per-mis de comprendre avec quel écu-rement et quel soulagement, Ce Sin-cere démocrate ami écrié, au mo-ment où ce pauvre M. Castel reliraitson amendement, a honteax commeUR renard q'une poule aurait pris ,1

M. anis Guichard. Je suis hemrelit de constater que vous pard, rotvotre 110171 personnel et que ce n'estpas au nom de notre parti que 1,0118avez formulé votre proposition. »

Je trouve un tel incident formida-ble et monumental et je m'étonne queles républicains ne soient pas Lutant-mes à chasser de semblables traitrrs.

Autre, ois. en 1818, du temps de nosgrands-pères. lorsqu'on était républi-cain, on n'aurait pets hésité une sont.

Aujourd'hui, en 1922, parce que lavie est chère, parce qu'il faut vivreparce qu'on est blasé, sportif et qu'ons'a pas de convictions, on pardonnetous les reniements.

Gare au réveil, demain, et à sacruauté !

Mme FRANCES.

Plus de mariages par T. S. F.

New-York, 13 derrinbre. Las ruarieeitpar T. 3. F. viennent d'être déclarés HienFaux non AIreirique. On ns veut pis adrnet-Ire mu le clertyman récite 1er prièrestu.. à San-Feanrisce, pour unir is

gui se trouvent datte un grand .heletde Few-Pork.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: el du Noir Ur,: tutu ripublicilimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101... · 2010-03-05 · l'ingénieux agencement d. guicbe1s, bureaux, salles de coffres,;d ne le cèdent

,11,10 3

Notre Chronique Syndicale

Irdxpériezce ZocialeLa défense ouvrière par plus dadoilde-

Mon syndlealiste, exige un trio les tri/-Veneurs, une union étroite/ une VOMI.-nion cf idées larges et êtes ors, tardent dé-

5i, de cimenter tes limes de fraternelle so-lidarité encore trop epars dans la clauseOSMIUM, et rendus frugales et cassants, parIn hurle des démagogues et 1:hypocrisie po-liticienne-; toutes deux voulant s'êlever surla oasso des meneau..

Il est indipensable que les camarades hla téta des syndieats, confiants en em-mènes aient la certitude qu'un jour oul'autre la masse indifférente nrnondra à

leur elenal n pour qu'Ils puissent s'acharneris la lutte à I. fois contre la veulerie, l'in-compréhension de leurs camarades, et can-ne t'égoïsme des patrons que sert admira-blement la routine de leurs procédés.

-Ce n'est ras le front uninne aloImime combinai.n de chefe à. la Manquequi répondra au besoin d'entente et de-nier.

Les événements sociaux nrous mrantrentqu'en regard dune banicécoluirdomination, tous les ouvriers et ouvrièresse doivent. dans la mères iorganiononeentrale, à releed le plus solidaire pourIn propagande syndicale la plus étendue.

Il cet inupuesilde,ainsi pensensnous,aux producteurs salaries de se dérober

plus longtemps au grand mouvement quisoulève taus les prolétaires dans tous les

pays. Ce mouvement donne un caractèreinternational des plus vastes avec le soucide solutions, de réalisations internationa-les; à Pensera/ale des questinns économi-

ques et socialcq qui s'imposent dans chaqueniés. Ainsi sont reléguées dans le placard

aux vieilles lunes, las soucis de 1a questionde pure politique avec toutes ses.rnesquinescombinaisons dintérêt électoral et de Per-

sonnalités./I mos appartient et il appartient aux

dirigeants -de toutes nos co-ganisatiOns syn.dicales d'inviter nos camarades à joindreleurs efforts contre la miasère sociale auxefforts jamais intervenants de notre EGT.;à la pensée .et à l'action de ses syndicatset de ses syndiqués, lesquels, il ne tient je-ovnis l'oublier, se sent tonjour.s dressés euxplias tragiques circonstances de la vie so-ciale, contre les gouvernements assassinset bonrcaux quels qu'ils soient et contre

In capitalisme voleur.La but du syndicalisme, son objet, n'est

pas seulement de modifier faverablmnentont intérêts ouvriers, les relations entrepatron et personnel; de réaliser dans la vile-ouvrière des conditions idéalesde travailot de liberté, mais qui maintiennent quandmente l'esclavage du salariat!.

Le but, l'objet du syndiCalisme, est de..ordonner toutes les pensées dérnamito-/fan, tous les sentiments de révolte, toutesles initiatives, toutes /es hardiepes qui ca-reetérisent la puissance de création du peu-pie; de discipliner toutes les volontés, tousles efforts tendant la la réalisation d'unmieux-être social.

Le Mit, herbiet du syndicalisme est dedonner conscience à la classe ouvrière deen force inealcu/eble, par le jeu de groupe-ments et d'organisations concourant tous,dans leub auteneranie, b la liberté humaineet y l'Indépendance individuelle.

Et, par le moyen de cette force, anéantirjamais, dans l'organisation du travail p00-

rée sur un plan supérieur à toute domina-tion d'EMS met que soit le carartére decette domination; anéantir il jamais disons-nous, tout eseclavage et :autorité brutalequelles qu'en soient les formes et les in-aérations.Syndiertinne est le mot, syndicat est laclose. 11 y a aussi une outre chose oui seul.tale dériver des principes syndicalistes a lacoopta,Clac,

Syndicat et cooperrtive, dans les cadresdit régime existant et en opposition arecla mentalité générale des etres humains,devraient réaliser en tous les lieux ou ils

trouvenn une expemence tonale.C'est matoir- dire que la ruse, la haine,

la méfiance, /es formes malicieuses ou mé-chantes de la discussion, ne pourraients'exercer dans l'organisatien syndicale quia pour objet essentiel de faire ressentir àchacun la plus grande somme de. fraternitépossible entre tous.

Est-ce ta dire que nous pensons que parla seule vertu de l'organisation syndiesleles travailleurs, femmes et hommes, de-vront su transfermer en singes? Nous nesomesespas naïfs é ce point.

Mais nous devons réelamer avec forceles tons et les autres, les plus instruits etles mieux avertie. qu'on ne rapporte p.dans k syndicat le caractère de féroceégoïsme "et lés" flacons de méfiance et demereduanceté dont on use, croyant mieux sedéfendre, dans l'ordinaire de la vie so-ciale, au dehors de nes organisations.

Et nous élever avec vigueur contre ceSpratignes et les condamner sons recours.

flous arriver à établir la p/us grandesomme de fraternité entre nous, dans lesyndical, par dm uvres notérirtles pais-sées et longuement mûries, faire 1. quenos syndicats trouvent en eux-mômes lapuissance d'action nécessaire pour que

s'attfIL__Estit

21 FEUILLETON DU NOM

Quand il lui apprit sa nouvelle posi-tion, la paanne petite fut grandementaffligée et versa cl abondantes lumens.

11 laissa passer, les leurs ainsi que Lesreproches et la consola ensuite paireraisonnement

- Etant à Paris, mi dit-il. - je vine-'citais te voir tous les jours, et, à daterde mon départ, régulièrement tu rece-yras de mes n.ouvelles.

Il fane bien .quielle en prit son parti,eailleurs le jeune homme n'était pas

inquiet sur son compte, puisque MrnePassepoil D, mentrait de plus en plussatisfaite de ses services et la considé-rait ph/têt comme une amie que commeune ouvrière.

Mèis en s'engageant, Philippe n'avaitpas seulement fait de la peine à Moine,il avait aussi blessé une autre amitié.

Il pouvait y avoir quinze jours qu'ilPunit ineorpoida, harequ'un matir il se

remonta au quartier, avec Boniface, re-vêtu, lui aussi, de Puni/for:ne des gaddos,

rodent respectés contrats, conventions, an-cords, lois sociales; 2, que nos syndic,atsaadent moralement et matériellement lescamarades vielme,s des manuvres et pro-vocations patronales (grève., remets, misein l'index, révocations, emprisonnements,etc., etc.); 3. que nos syndicats préparentl'avenir a de l'amour de son métioa on pas-se h l'amour de ses camarades de travail;en s'occupant du relèvement professionnel,de l'accroissement eu du maintien de lavaleur teclunguo des ouvriers, en un mot,que les syndicats s'ocoupent de l'apprentis-sage pie /c mrven des cottes professionnels.

La coopérative, production ou onusien-malices devrait constituas, elle AUSSI, con-nue le syndical( une expérience sociale dansIn vie actuelle et contribuer ainsi ana relè-veront de la mentalité humaine na, la dr-mahntion de l'égoïsme humain.

En coopérative, ks sociétaires ne de-vraient evoir aucune propriété individuelleclans l'entreprise. Tons les bénéfices réali-sés devraient 'etre ihtégralement versésln ratisse sociale et servir an développementde la société moi attrait ainsi, suivant l'é-cole de Ssint-Clande, ne came-tête nette-ment collectif.

Afin d'éviter tout accaparement de lin-rte par une majorité qui Pourrait, dem finmorit égoïste, fermer len mutes de la so-crête ou en partager croit sismal mue for-tee de boni ou d'amélioration: les béné-fices de toute enopérative devraient se ré-ons. ainsi 25.pour cent aux fonde déréserve, 65 pour cent aleihe'een'ameeis de la société (maladie, nerfs

n s. dédis, arphelins, chômage et retrai-ta.). 10 nom rent aux fends de garanti°.

Si nous prenions raillel l'habitude. /es Unset les autres, de considérer le syndicat, laconcérarive, comme une expérience souriaiscontre pe.moïsme humain: nonne une affinmarina de la oniamtace de création du peo-ple: nous rfrvilserions, dans la classe ou,vrière organkée, noue /e plus grand biende la transformatinn sort., une sommeénorme d'organisation, d'éducation et desolidarité.

MARTY-ROLLAN.Semestre de ru. D. Haute-Creenno

Délénud à la propadenda de la C. G. T.

On apprend à l'Allemagne

le rejet de ses propositions

Londres, 13 décembre. LtAgenee Reu-ter apprend que la dérision des prcrniersminStres cons:amant in note agenoode'le' envoyée à Berlin, nier au W., soue larem d'une note comtoise, mais brève,do al. Borne Law h M. Cano.

119 Benne Law se contente darnes. ré-eeption air la note allemande et do déclarerqu'elle ailé examinée par lm premieres mi-sistres alliés réunis. 11 ajoute l'expressionda ses reagets sincères quo les premiersministres soient d'avis que dama les cir-constances arturil. les propositions alle-mandes n'offrent pas die solution PM dif-ficelé, des réparations.

les derniers marsCa eont les Boschimensde l'Afrique aus-

trale. On n'en corniste plus qu'une vingtaineole famiiies. Il y a une cinquantaine d'an-/Ides, ils étaient un millier; il est donc àprés-air que, d'ici peu, la race sera tout àfait dieparue, comme crtle des Caraïbes.aux Antilles, los Indigèneido Tasmanie etmin. des Canaries. Ce Sont presque airenone, le plus grand no dépasse pas1 na. 30 et son poids, 38 kilog. Les jarrefssont très développés; la tête est grosse; lenez est apiati cOrnine pal un coup de mas-sue. La laideur atteint chez eux une peu-leotion lnnocauneancuui as.e ram.

La peau est s tuaajou foncé ». L'admetn'existe presque pas, mals la me et ibn.sont d'une finesse invraisemblable.

Es sont extrvmement bornée et 'M'ana-biles d'aucun travail. C'est h peine si quel-tmes-uris sont décidés à garder des trou-peaux.

//s sont an dernier degré de l'échelle Ma-rnais.. Ils ignorent l'agrieurturv, l'élevageet Même la pêche.

Leur langage est me succession de gro-gnements sourds et de cris aigus. Us necomprennent pas plus de 369 mots, alorsmint les plus pauvres langages européenson -comptent 405000. Les femmes passentleur temps à regarder grandir leurs en-fants et lu attendrn que l'homme leor ap-porte à manger. Ils aiment par-dessus toutla aboie du lion, mais ils se nourrissentaussi de sauterelles, de vers de terre, d'a-saignées et de fournie.

Lorsqu'un Boschiman tombe malade, sesparents et ses amis le em traignent à boireove prnfusion d'eau chaude et è hou/spi-ter des poignées de sol. S'il meurt, onlaisse son cadavre où h est.

En un mot, il n'est pas sur tout le globeune race nuasrt dégradée que -rellealia.

LE FILS DE LINGI't DEREPREMIERE PAETtE

Le Sergent BeHe-EpéePar 'aui FÉVAL Fils luzum

- Ah ! ça, que fois-ta 3 Li demanda,t-il étonné..

- Co que tu fais toi-même, Philippe.répondit le jeune Paesepail.

- Comment, ce que j y fais moi-mê-me-. tu es soldat ?

- Mais oui.- Pour mut de bon- Certainement.- Et depuis quand 3- Depuis hiee.- 'oyons, explique-mei co mystère,

cèr je n y suis plus jamais tua ne m'a-vais fait part de ton goût pour le mé-tier des armes.

- Auesi n'estree pas par goût que jeme euis engagé.

-- Alors, je saisis de moins en moins.- Voilà, expliqua Boniface. - Le

iendemain de ton départ de chez /MUS,je me sida senti tout triste, tout chagrin;il me manquait quelque chose et met-ehinalement je te cherchais sans cesse

'd'ans /a maison.

LE MIDI SCCIALISTE rawintssammatarade

APRÈS, LONDRES PETITS FAITS luit sulletin

OE QUE DIRA M. POINCAREA LA CHAMBRE

Hier soir, en étais dans les couloirs dele ()radiale, un peu Indris agité que laveille.

D'abord un fait est absolument tert2inet IVI1 Poincaré no commettralt

cette erreur aucune prise de gag an'est en vue malt la date du 15vies 19923. C'est du moins son erganeofficieux l' ni Fred/ de Pada a, qm l'af-firme.

NI. Poincaré a l'intention d- sain eXPli-quer ai:dès-Ou/nain vendredi à Io Cam-bra laissant dondin fol Bada Law four-nie à la Chanide des Communes l'expe.té ,tter.lu d, ta pvlitiv,, anglititela réduction des dettos interalliées liéesà la question clés réparations.

D'ici le 2 janvier, des pourparlers actifsvont damais se paursuivre avec Lo;.-dues, et gra sait si. 3 ce moment, biendes angles ne pourront pat être arrond.«?

Quant à l'Allemagne, va-t-elle,réaltérance du 15 janvier, faire da nou-velles propositions 3 Ou offrirat-elle el-le-même des gages ? Personne in n aconfiance due s«s ncevelles tentatives.

Il s'y e pas plais à attendre du fou.vernernent Omo que de cella deson preedà. torperd", a, sait dis reste que.limmée prochaine, des (ambles gremessont en prévision en Allemagne, et ilfaut bien qu'Il soit entendu que notmtaa éventuelle n'euita amers e corrélationnye, les ésénements escompté..

CE QU'IL NE DIRA PASJe e <lek: pas que Mi Poincaré duos-

amen, a L 0rarobite, pas plus qu'il ne l'afait jusqu'à présent, des éclaireissemestssur la façon dont il compte prendre desgages, ni sur lr lieu où il les arendra.Men ce dont jia guis sût. c'e,1 que l'entre-prise projetée n'occasionnera aucun ap-pe/ de dusse ers'. fera avec les taupe',actuellement 5 picd d'oeuvra, eur I- Rhia.

Enfin, le président da conseil réclame-ra un ordre du jour de cc-fiance de la,Ebs-al.a. et il n es« nes ' moins dumonde &Meng qu'une immense Makis

e ratifiera ses capa a; i'er,eno-rosiers à l'adtion.

Maintenant, une sud pros^ out toujourspossible qui mettra le 2 janvier et ksijours suivants, la France entière antd'accord avec l'Angleterre et les autresalliés pour une action carrarnme.

LES SAN0"TIC3NS EVENTUSI-LESPROVCOUFRONTELI YS UNE

CONVOCATM DES COMMUNES?Cd Kensporthy a demandé en outre sit

le gouvernement ne feçait pas une tomedécla-ation s ne Id réparatimas all mea-des, indéperietwarneis des d pdattes intealliées, et s fiait pertibie que la Fran eappdiq,a0 de,, aanctens à l'Allemagneaven la rentr'n du Padan- nt de Lon-dres (le Chambre des Communes s'ajone le 15 décerdae jusaue vers le 20 jan-vier)

M. Bond Law r. réponduIl é- net pas douteux qu'en grand

nombre da quesdoss elf CP sujet tue'seront adressées dans le clébat da jeudi.

M. Rarnesv Macdonald est ale, -venu po» demander que la reatréeParlement soit avancée, afin qu'il soittenu au course'. de ce qui se passera tou-chant les sanctions.

fid Boam; Law a rémoeda cria la Orageshua des Communes Fer-Lit convoquée siIre circonstances l'exigaient.

Trois milliards de pluspour la marine I

ids esta.connersion des finances de la Cham-vbre des dalmates en l'absenta d'un grandnombre de sou Meadeva ri par 7 voixseusement centre 6, a adopte, hier, unedenonfe dn eafitits supplémentaires deM. Raiberri, ministre do la mari/nase mon-tant- (1. 2.800.000 francs.

Ces m'Y: ide .nt destinée à pennettreltintstrtlafron da batteries terrestres mecles canonn des cuirassés du type a Nor-rnaadao s Le ministre a :ans doute pensequ'eu cahier do crédite supplémentairesêtait na procédé plus diseret, pour ente.-ver na vote parlonentaire, qadun chapi-tre spécial au projet de budget, an Omansinge les dépenses navates de l'année deprès de 3 matliarde.

Cours des ChangesLondres. o5.51 Mint-Yark. l4 06 Albrassee

0.175 n Boissaue, 92 20 ; Danemark, 2948laittneeme, 225.50 a 'b lueur, 265 25 a halas P038%nue, 43.f8 n tua-cène, 389,,75 Renonaie.9 1.5 ; &aède, 37030 ; Suasse, 267 a Vannas20.50.

fane émana. à Londres I 0 1. 384,ben-Yod soi, tes, lacuoelene se'il. 451:à Genève à 0 fr. 374; à Baba à 705

piens° que depuis deux ana je no t'a-yai.s. pas quitté un instant et que j'étaiàhabitue à etre près de toi à toute heuredu iner. Donc ça n'allait plub et je

voyais tout en nen.Papa, qui ne s'était d'aboad aperçu

de rien, finit cependant par remarquersur mon visage une teinte de coing maket mien demanda In cause

- Ah I el 1 fit-il en l'apprenant -c'est Philippe qui te manque...

Eh bien I va lé retrouver, men garaçon, puisque tu ne peux pas te passerde lm, ça vatit mieux que ele te laissessaseher sur pied et de tournés- au sque-

.Là-desus, il m'amena près du colonelde ce régiment, lui taule pour moi rom«me il avait parlé pour toi, et l'affaire futarrangée, France tenante... C'est pour-quoi me voici...

Cette marque d'affection que Li don-naît le israve garçon toucha sincèrementPhilippe, et désormais leu deux jeunesgens feernt inséparables.

Un mens apte:, le corps auquel laapparteame dem l'ordre de sejed.cire le maréchal mie Se. qui Feev yeifen Bohème et denianeart ciden lui en«voyât rias troupes fraiche,.

Il fell"itdonc se mettre en campagnean Plin tôt, oral-à-dire avant qu'unesemaine. sr fût écoulée

L'avant-veilla d/1 jour fixé pour le dé-part, les driux soldats allèrent faire unedernière visite -O la maison

Philippe s'attendait, de la part de Mo-rine, à nne seéne de larmes encore plusviolente que la précédente,

L' a FLAN BLANC a CHEZ GEORGES VUn Peamliouge Va etre reçu par le rai

dfAngleurre. C'est Blair, le chefdes Imbus da la Colombie britannique.

Il a quitté .VAncerique le 9 décembre. Lebut da sou voygo set Un soumettre h Geor-

V leu griefs des Peaux-Ronges. pelant-ment Le ce qui coicerne les OdlinUltee quis'opposent h MM Meta-. lion

L'Etna Sone connan Majà le prince deavec qui il 8. voyage en An sérique,

il y a troM ans.LA REIIABILITATION

DE POIL DE CAROTTELes auteurs du moyearége ont toujours

Ira peur dignes de désla a Ms personnesgui avaient les cheveux SailX. Daill9 lepièces de théâtre, on a longtemps donneaux roux km rôles Ms -.mins honorables.Or, un professeur anglais vimn de décla-rer qu'il a observe, depuis de Magnes an-nées, les garçons et les ables qui luiMd confiés et gare cette longiae expériencedémontre clairement, que, d'une façon ge-rénale, I. roux et les ro.ees sont km Muscomaciencieux et le pins robustes.

LA REINE DES BELGES A OASISBruxelles, 13 drvemore. La reine, se

rendan b Parie, a quitte Bruxelles, hier,rendant b Paris, a quitté BruxolleS, hier,

Ce dosage a tud .minulare tout à fait,privé I la reine va faire visita h sa belle-sur, la duchesse de Vendôme.

L'ANGLETERRE VA NOUS DOTERDU 'TAXI-AVION

Londres, fi deo ombra.Le a Daily Mail a annonce qu'un nouvel

aéroplane, qui caarquera, uni ni, un guandOserde dans le probtême de daviatienaà bon marche a, va être prochainementfano don Angleterre.

C'est un eimple petit a taxi a biplan, ce-pair. de namporter un pilote et ale-asi pas-sagers avnv leurs bagages.

Le moteur, qui développe une force de100 chm-aux, et founit une vitesse de80 milles à l'hebre, consuma° si peu des-sola. et d'huile que, diapres los calcule des

eonstrusteure'voyage aller et retour

entre Parts et Londres ne reviendra Min35 shillings par passager, alors qu'il encoûte 6 livres sterling ,A 15 ehdbuse pourpour effectuer In rnebse parcours ers pre-miêre elae. par le paquebot mile chemindo fer.. QUAND LE CANON 'TONNERA

UN IIERIT1121 PRINICIER SERA NEié 61,e régiment d'artillerie de campa-

gne, b Mea:, vient d'envoyer au luxe.-neurg una pire° de 75 av. ses ServantsC'est ce canota français qui, dit c Eschedo Paris a, innoncera prochainement lanoass.. do l'héritier, ou de l'héritière,qu'attend la grnde-duchesse Charlotte delilllafffirimirg. Ce 3O3. /e deuxième enfantbel de sen marioge avec le prince FeraJe Sn:bon-Parme.

C'est à la dtenande du gouvernement In-xclanbourgeois, qui ne possède pas d'artil-lerie, que le Me régiment darliPerie fran-çais a été invité ti fournir ne canon. Nosiri ite rs sen nt loges, pendant leur séjour

a Laxnti'Je oicg à la c.erne osecipée par2'e bltadïon de chasseurs à pied qui y

Iras garniSou.UN TRUST DE PRIERFS

Caire, 13 d'aembre. Jérusalem afêté l'amliversaire de la residitien de dé-rasalcm. par les Teel. Len cenémortiessuntcouine cs- dans la ville sainte par la la-use dru troupes britanniques.

A celte occasion, le patsiarehe grec Da-mien. a Mel me dkeration anglaisé

A la cérémonie rgigaeuse qui a FU lieuMx l'honneur de la passe de Jérusalem parles alliés, deux grande rabbins, le grandmufti, les consuls alliée et les chefs reli-aient des diverse (ganses orientales étaientprésents, Dec prières furent récitées enara.. et en hébreu.

Le grand rabbin lut dune la langue hé-ma femme de toute, ses obligations à emnppassage fet, lu par le psi ruche grec.

Pourvu quo le Père Eternel se sot re-connu. dans cette salade I

DONNEZ3MOI VomteE AUTOJE VOUS (EDE MA PERME

Eyra/Paso (IL S. A.). un Aujourd'hui18 septembre 1922, je cédé par la paierai.°mon épouse è Grover Cotant. en échange deson automobile. et de tous ses acces.ires,y compris attestante de secours, une pompe00 tont l'outillage de la ordure. Je dégagema fersmn de toutca es oSigatioas O anno-te,- d'aujnurd'hui, 18 septembre 1922. Si-gné. F. \Y-coda-off, Grever Coant .SaWood. ruff.

En vertu de eet accord, Pana Woedruff,suivit Grever Conf. et F. Woodruft s'ins-Talla lerenéfliondent el mitant de Pante-Mobile ce.rnitée.

Malheureusi usent, dans en troc, on admittaulitie les enfants, et la jaesties intervint,découvrant le pot-ato-roses. On sut aussique, malgré la béatifié et les qualités no-tules de lime, Grever Cemal, se montra peusatisfait du marché, tandis que le nou-ante propriétaire de l'autemonile apprenaitque la voiture, acbetise la tempérament,tgétait Des enracina complètement payée.

L'affaire en est la. et le juge reste per-plexe entre Ica dupés -mécontents

Mals elle fut hénakue et seules, la pâ-leur de son visage ct une légère altéra-Bon de la voix loi dévolèrent sa peine.

Elle se boula à lui rappeler sa pro-messe 4e Li faire earvenir son-vent deses nouvelles, ce dont il l'assura formel-lement pour la seconde fois.

Leurs adieux terminés, ils rentraientau quartier, lorsqu'en longeant le parvis Notre-D.3mo ils se croisèrent avecun grand vieillead barlso hlaache etassez richement vêtu, qui, à la vue ducompagnon de Boniface, eut un surseetet resta un moment mondiale, semb)anteldié eur place par la du:réfaction,.

Urine de cette etrange attitude czalnc savait à quoi attribuer, Philippe ce'fisrobr le medlant anterrogatIvernent pourt'inviter à lui apprendre ce qui, durasson individu, pans oit othrer son atter,tire

Plein reterlftant preanne analitatmarche l'homme poursuivia. tranquille,ment sen chemin sans plus s 'caper desdeux amis

Pensant qu'il avait été abusé par Aceressers/Vence, conoci ne cherchèrentpas à en savoir davantage et cordnuè-rent également leur route

Un peu rios loin, sur le point de tra-verser le Patt-auChanee, ils se trouvè-rent da nouveau en race du vieillardqui, pour les rencantrer avait dû reve-nir sur ses pas et faire un long détour-.

Cette foie, il dévisages si /onguementPhilippe et aVee Une acuité de regardsi extreinedinaire, que le jeune hommequoltave peu gêna eut cosse. le vaguesouvenir. de la façon presque semblable

de l'EnseignementTITULARISATION DES REFORMES N. I

LI° instiebste, blem6 de pneus, reformé N2 en 1915, pua réformé N I en juin 1922 doitbénéficier des dnpositions 'ele /a loi du 27 août

erttle 2.74i ,e,esre tinuinuimé è caca, do les

envi la réserve, love-fois, qu'il fo meg., ouORve-metne d'école nedmale eu remmont de sonappel soa les drapeau:, ou rame ou'imirmaireà nette da, I ait On nommé madone avantpeomulgation de la lai précité,

DLE:],,RES,,-,!W.0e117:RES ET INTERIMAIRES

éeo..,,,...da'9a, 'eshcArer eaesorsti deduos

le peejet de de 123 l

lui dr 37,1=edeTelr O

tommes. Des atm semas à la ampute devantetre peononcees procliainement si le Pulememucmede I. créda smaplémenniee sui lui a été

d erdescende à eet effet on peut espér pourvond'an poste non emdement Icamaliennes, niais un antan nombre d'inannel-

da sien,,

normaliens a nor-

r7m pour le rapprochement des mem.. de fe-

LM NOUVEAU GENRE DEPROPORTIONNELLE SCOLAIRE

Un journal :iationnsire breton présente cenouveau male de premennnelle scolaire

L'Emt canonnatu et subventionne dere souesd'écoles n Pétale tienne et l'école eonfession-nette (caiholioue, protestante ou ismélnel. Il

noessenett'.''tS' i'reere:Ives.dolUr chao' nel'''ccemen. one, gassure aux faealles l'enseignement de leur choix.A cet elle, mus Les dix ans, les gicla. de fa-mille sont atm, lés à explemer leur vola.' dans

sccutin Bloc 1D,ns une cent:nana, Baal.mité ou la preconeananimité se ne.unce-t-ellePeur l'ensegnorneet neutre ou renseignementconfessionnel 1 L'ecao entretenue dans cetteammune sem neutre. ou confessionnelle Lesro, sont-ils purtigis O L'école suleventi.onnéedonnera renseignement danende Pa le nein-roi n et si la minorité représeete miMmunaels 15 on 23 enfants es,, scoleire, ute ou réa'entres classes spéciales seyant réservées ou or-eaeisOes ccns O,,enlastr.

A La Haye

LE DISCOURS DE WHEN

La flore. 13 décembre. Le Gengaes deI, Paix n ponsuni ms nasaux.

Edo Fnrtmen, morinat de La Feeletrution in-ternationate des Syrukoote, a par/é de la mècheces ouvriers orgaMcés, dans le rnommanmt Pa-cifiste.

La préparation de tonu anon définihve,I entre amres. doit Mie cmitista à en Curetéinstitué per le Congrès de la Fédération inter-nationale de Rome, composé de membres dubureau de la Fédinaion Mternatonde des syn.

'elloats et 1, sceraariat internaticust des ou-vrasse dm nanspods, des mines et de la métal-

- La:direction de tome mina définitive reposedons la mains du COMité exéeutif de la FédA-cation. La pax universelle ne pourra eue as-surée définitivement avant le romplameem de!a médeale e, production: actuelle bas4 an larecherche de motta. nes vin méltivsk do nomMagon costume am !survins et aux intérêtsde la collectivité

LOZOVSKI. ET RADEK INTERVIENNENT

Après le cideses de Fiances et des inter-captions de Mme Pecten au du doyen de la dé-légation angle., Lem, i a Radek praestenteontre In non.edenesion en Hollande de la mcdo-ON de la eié.11-gaion russe et cerne finntationpua le Cemhé do Congrès des oenilisme, bour-geois, tandis rue l'Internationale rage de Mos.au n'a ras d'el

dinola carton dun front unique mine lesouvriers peut mena à un résulta réel.

La conférence actuelle nen pas une eonférenenue:nation:de, eest plutôt un congréa euro.

péen où la classe moulé, est représentée aveclaeemble des aunes éléments pendis:es.

REPUÇUE DE DUMOULIN

Dvorogin ré-alerta à Lusaski en soulignantk fat eme 'ml mosnimtions russes sant sous La

dépendance dirente dx gonverrx,ent de Mos-cou et ne dicoonert dancune liberté Il e m-eulé n came la bolchevistes &voir: en créantla division &ms le prolétariat, failité les répc-Pons canal, e fascisme mima. Il s acacia endéclarent soc' fermeté que In da.e,o ouvrikefennaise n'approuvait pme plus la pénétrationrévolutiormaire per La force nue les musées os-oltalistes et unnécalisies,

Caessmos. (Allem/met abrases, mn parolesDurnalind Il, ensuite n'a en luedeye les

eonséqummes fuma 'es du truité de pan, omneime menam pour un des plus et...As 91.1C-

Cu, de la °anse enarrve la journée de Innbene,

Voir en quatrième pagetes Dernières Nouvelles

dont Arnable Pasepoil l'avait considéréà leur peenuère entrevue.

- s'ah I ça, mensieur, finit-il pat laidemdider, voyant cet examen se pro-longer outre mesure - vous plairaitEde mn chie ce qu'il y a en moi de saparkare que yens m'observiez de lasorte ?

crut l'entendre marmonner entre sesdents a

Sa voix orpin c'est étrange IMais affectant aussitôt l'indifférence a

Excneezinvil, jeune boraine, dit-il;je croyais ma-ana/titre en vous le fils donde mes fermiers que je muai pas vu dmpuis tan certain temps. Jr dois évidera.nient po tromper, car je ne sache pasqu'il soit à /*armée. Au surplus, il vomest facile de na éclairer à cet égard enme disant votre nom Voulez-vous avoircotte obligeance ?

- Mbn nom n'est qu'un prénomPhilippe., réplinua, le jeune homme; -et je n ai jamais eu de père fermier,ou du moins je ne crois pas Ainsi, vousle voyez, monsieur, je ne saurais être lapersonne dont voue padez.

- Non, en rtimt, reprit le vieillanl,- Maintenant, j en mais tout à fait sûr.Meis entament se fait-il que vous n'ayezqu'an prénom ?

Philippe ne crut pas devoir lui cacherqn'il était sans famille

Peavre. gaaçoni, fie Einteeloctieurparnioaant s onitoyer sur son sort vousseriez un enfant trouvé é

A peu près.cuti vOre a. ?

Le nom du père et la mère Moutier

La Chambre per7i-----

son après..inidiP0 Losachh. dano-e

lorpollation su -lee°'- lk-sandeproduisent stirdenrées de prenait.° nogis,s'I,Piali' et'M, L.ache

domandemigiate.t's-Eusalez 5M DE

LASTEYETE,isidr:U.7.r elûmb'Zet'e'elà7e,monts divers.)

M. Le.ohé réitère es deduteeeCiOlrle516a11:«min. ist;

Je propose le premier tausono la joenstnissiDon dee''dconanusisn de spéculenoue aurons cette done ,sera pi. sur d

Îlig7 Ps

1a.ir7mbre

G. :Apl,i>t

bien ur de no

premaer vendredi de jM. Anélrd LEPEVRE.

mais la Chambre ne peuco_mia..ede1

ecetiide s eI {,123.13 juan de la

Mef:tuele0a itM,.,,e°S17-neo,:lAveFinrpipes,due.

aenamenn ii'mmerats

pa's!'elee°LaArepoTrier etir I;endr!''Mon, elle discutera aveedry

EmetoaiIMSuctiont.LEVA&SECE (é PeetnVous avrs toute ma conta%maestion des spécule/tiers soupays une trop CiVe

"11',7,-tee ir' rlYi"'"éstident. extre''-dre"')

date premier vendredi t

pàhnMlo'noAemnbeirosLeepEe'rerliralo jn:t

nomelle session, e'est-asdireavvendredi que la liberté de la re, dstuer Ean ondre du jour en "di've(ft.liA T. 20 me rallie tin ersde M. André Lefèvre et j'acee»traTSdate de di.ussion le pange qui suivra là rentrée.

Cotte date a fois pnisnsr clmise ars se

tin public. F.. est aussitôt:5'6:as%,397 voix contre 155, et la mile tlei'Zt,e,ë,

" 'Apkire Pseer'g'hor's-dbeuvre qui a danheure (I1) on ab.de /e budget de le

erv0m,bel encore on peid son temps en ma.sidérations sans portée.Un petit incident lorsque Vaillant

fustanier.ralsPorteles excès d'un airnmanhatdc vrnmeau dont une 0130{)&.atiYe de Dzeste a eu à seuffrato C'est un point ledétail sans rappport avec le budget, Miltôt réglé, la Chambre se sépare. Mbperdu son après-midi.

aam.

erteelste la

VIE SPORTIVET-Tri peu de tout

Le maire aie Condom Gera de urane asaleté ioteelnant le foot-bell mgby, nad sei01 50m, iris Ocussu ire ddule nanqin-

Pauvre foot-hal 1 Pauvm Mare /La ielLL1269C amant, moto sprat aris

à fart la bicyclete Mais aujeed'hui. elle nadde La découvor. Les toutes ssà elloséesde nombre,,, saki de tomes messes.

Les Allemands cherches le notarbessasno In aunes Enta Ils annum deouatine po 1923 un match' de Raban nef

UNE DEROPADE

Il e nc,ralmns .e.e le antehoevanehepenuaddiki n'aura pas lieu Go noue couà dit

qu'un généreux aportmen 'abat une Joonde 300.000 fracs et ma le match n'ait dna

lanéfiee de noa Labo:noires. Man le con'

non gêne:eux préase auiotod'ha. ta'iI Immun

ef ses frai, a, :nig ne ra,BB9'.11 00510 imans sinon en garantie. a a.,1,AOrrssta Sis caisse d L,hnosta'nn In 115"

ton Française de Boxe mcepte le eider,dma

I. Au himnetion dos nooj a,da,du la

2 A le condition qu'il :es soit Psflmlé

u7se'axas:::;:' 145.

meus, iman/Ides, en.. osso,MalsI. Il km ace Ski vienne dire a

bonuiono à la Fédération et tatfI9 d'as "'

uml.mair;,s,

' dpou,

le otlabliccement

''''Es'et-ceogUae''écobua, Sud .00

teri'' e' kéta den: f'25. d'e'rp-aacsimg:Iraà'Paris,

arts

fut prononcé en rnème anan

oie écoume Ill

- Comment donc rr.7.e0,ont-ils été amenés à vous

dPmely ndenezaa rondoee;'jatup

j'aurai

cl'ipr' '61. dr!asuc'er,1f

Il svnit mm de ni

ecrIntesonif....r:c

ymPrei'iornençoidntee:nerieusie;:Ph'e'effi'pd,7,e':iln:o:motdttem,...e.,

et, tout en continuant am 1; ,omenr

savait été aeourdli pue leu doux

de son auditeur se ema ,romane slI eu

société, elinwmernune

e terme%aom

yeraient

s s'allumait flean

A ce/tains moments rn'èln

au ellehiclhidett

h::/itscit,sq:1:e

ougrn:e,ntf asturo

jeuomme n

ndkf ZPeg ru; t'S'net eonlroder' val con`

I sectiAudi' rri.ervmOa

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: el du Noir Ur,: tutu ripublicilimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101... · 2010-03-05 · l'ingénieux agencement d. guicbe1s, bureaux, salles de coffres,;d ne le cèdent

fore!,"'Mid,' a

fr"YUI/ r es 1

Igaseanew

Un dernier mot sur les trams

l'action de l'administration

socialiste

Noue rayons démontré amplement :laeeeeipalité actuelle no rien fait dans taquestion des tramways.

ane g, permis aux T.C.R.T. de sedérober tt ses obligations les ne-i.

contestables » selon leu termes mêmesermert du Conseil général.

Elle n a rien fait - eue des d:Sentescontre

ralatinetien sinus partie rie lane essaim, laissant el r Etat le soin de

Idecee len propriétés de la ville.Elle n'a rien fait ,Pour dimi rnue les ta-

efs, parce qu'elle a rien fait pour avoirles cemetes de r exploitation.

S'il est vrai, qu'elle les a plaseeursfois demandés en vain, un moyen simpleet décisif s'offert à elle imposer d of-fice les tarifs anciens. Alose, les T.C.R.T auraient bien foutni leurs livres

et prouver leur déficitCest ana opera la nnunieapalîté

socialiste lorsque la Societ6 Pont lui de-manda augmentation de tarif.

a Prouvec votre déficit »Meis, monsieur le moise, puisque

aies vous disons qu'il existe ».,, le /e crois, Mnip1110Mree vos livres. s55 Vais c'est de l'Inquisition

Non pas 1 c est l'exercice de mendroit de contrôle sur un domaine quiaarmartient Depuis quand le pMerietteite n etal pas le droit de vois ce alle faitmn fermier ? »

Et la Société. Socs s'inclina. Elle y mitdu temps. File rechigna. Mt plus ellemerdait le contrôle. plie la popeintionen bénéficiait, puisqu. en effet lo déficitexistat, et puisque par conséquent aus.sitôt dariontee il fallait, en toute justicey remédier.

Et non seulement l'adiminieration so-eicliste n'imposa une augmentation detarifs qu'après cette preuve indiscutable,mais enc.e, elle spécifia que cette aug-mentation riait preerisoire, et surtout, elleen subordonne le maintien à t'accomplis-serrent strict et complet de certaines ré-lawces tant pour le peson./ que dansle matériel.

Nous les avons indiquées au cours deroc précédents articles.

En eoste qu'à l'heure actuelle, les di-verees améliorations apportées depuisdeux ans dans l'exploitation générale, etdont 1. Compagnie et In municipalité, selent gloire et naériteene sent que aexéce-lien des clauses imposées pet las aortamlisser dans la ceneention au 31 octobre1919 cl cul cardent dû etre toute rav-ie., au chas tond le 15 nooembre 1920.

Cl, à l'heure actuelle, trois ans après.une perte de ces clauses - les Plue im-portantes -- ne sont pila encore enta-niées (retraites euvriares, abonnements,cenespendance, client hydro-électri-que nehat de matériel, achèvement duoé.rou.ubuibaiu, etc. etc...)

Elles seraient terminees si les soldalis-tes étaient resté3.

Et si les n'evaient point vou-lu les réaliser, nos amis auraient fait.dans l'altérés de /a ville, osque le con:teil galérai a fait dans l'intérêt ria ela-parterre., : ils eussent proclamé la dé-chéance. Cm enfin, il n'est pas admissi-file eu un particulier se paye si bene-Senne, si cyniquement la tate d'une menielp.alita. S'il le fait c'est qu'elle levent Tout le monde le dit.

Et na le dit parce que c'est vrai.

nécessaire de prao., la cora-(eleison ? Eseil mile de fournir de nom,eaux dmente.

Après les cinq articles que miles ve-nons de consacrer à la queetion y a-t-il un seul lecteur qui noue saigne:necd'avoir exagéré en accus.t nes Capi-touls d'avoir montre une inertie tellequ'elle ressemble à de la complicité

Anesi secs sono reine/gué que leifi-che municipale, la fameuse affiche oùlice nous donnait dees le détail l'actifde la municipalité, ne parle pas de cettequestion des trains ? Ils sont tellementhonteux de leur nttitude, geais n'ont pasOse évoquer /infinies. Mais nuis raavionsDOS de raison de l'oublies nous, dansnotre riposte.

Et si nous lei avone donne une placepiepondarante dons netre polémiquec est perce que, rimas la question duana, celle-ci nous paraît la plue grave et

nas démonstrative da je rrienfichis-Me municipal.

Mais nous ne percions pas de vue lesnotret ehepitres de l'affiche.!die nous pardonnera sans doute de

voir ras sure l'assise du texte effi-del et d'avoir préferé sérier nos refuseéees demie l'intarêt que porte le pu-lie aux divers points en discussion,

Un office de placement

pour nos étudiants

ans exposé lei la grande Pitié dede nos &dents de province quid'eppseenir r le catégorie des

n fuSilla iminteité, relis 5.social en s'est décidée, pour per-

te !noies foreras'. nie phis mat,unré,.,tel:L5tpoïtellet,I,Ieerdeure études,

t ie. ignorer que les élèves deheiques de l'Universitésouvent obligés, en elfes

ires et coittensis étira., deli5 d'autres professions leu

subsistance. De même, tandiscommunes offrent une Peu,

titi Inta s'établir des ellemédersas vont dans les Juan-

, Par suite du trop grata nom-deeteg erreese_na

Cette initiative si intéressante a trouvéappui auprès des mailles de l'Université etle recteur, les directeurs des instituts entfélicité nos jeunes gens et leur ont promisleur plein coneours.

Note prévoyons le genre TuceePeileesutiles qu'on procurera ainsi aux étudiantspauvres munis de titres amplemee suffi-sants, ils pourront aider à l'éducation deleurs camarades plrsa jeunes et seeonder latâche de lems maîtres par des repaitions.

Cette organisation demandant une largepublicité, ils ont fait appel à la Per., lu.este afin qu'elle leur accorde ses colonnes.

Ce qu'elle fait entièrement de grandeur.

Ils adiessent, par notre organe, un appelaux personnes qui désirent faire donnerdes legeit particulières a leurs enfants etles engagent A trac écrire. On nous prie deles assurer, encore une fois, que, seuls, lasétudiants diplômés et ramis 51e, sérieusesréférences, sont appelés fi en bénéficier.

Bonne chance aux studieux qui uns latenue volonté d'apprendre même en tra-vaillant doublement pour gagner leur vie.

Une Conférence sportive----Crut ce soir à ramphitheâtre de 'mi,

vienne Faculté, des Lettres, que débutela série des conférences organisées parle Comité du Monument Mayssenié.,faveur de la caltes dudit monument.

M. le clameur Voieenél, orateur disertet sportsman distingua eue, le feu.

c Peut-quoi rckrne le Rugby s. Eh t ehlvoilà qui promet d'être intéressant, aussiMes pour les amis que pour les adversai-res elle Rugby.

Pemi les premiere bea.uccup ne serendent pas compte des matifs Pai.earisqui les incitent à tout Vacher pour allervoie un grand match. Parmi les seconde,beaucoup éprouvent à régired du roda'une aversion eu'ils seront fait génes d.'s-nalyser et de justifier.

le decteur Vaiveniel ouvrira lesyeux et l'esprit eux ans et aux autres.

Voivenel -- alias husis - possèdepour disséquer les états d'âme et les étatsd'ealit un Mitent de psaehoilogrue. Sa

iperole est chaude, son verbe élégant, sesidées souvient peradaxeles et merciersjudicieuses. Le sujet est neuf. Le modeeue droit creneée passe diens la caissedu mosannent eux Semas. Que faut-il deplus pour inciter la foule à envahir cesoir à 8 h. 45 l'amphithéâtre de la ruede Rémusat ?aaellEatallIZEffliaaligleElaifflaltaalealiaialialer

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Un agresseur peu commode-Aatant-Iiiier tablai, vers 1 h., la nommée

Virginie Mialet, âge, e de 27 ans, fille sou-derneurant rue Boucle., et, g été

agressée, boulevard do la Gare, par deuxindividus qu'elle a prétendu ne Pas' een-naitre er lai ont pris la fuite apris luiavoid enlevé son sa, à main renfermantdivereaebjete. 'Aux cris arra » potas-sés par cette femme, des agents cyclistesen touillée, de passage à re moment, ontpoursuivi les malfaiteurs, mais un seuld'elle eue a pu être rejoint à proxinatedu pont do PEeole Vétérinaire.

C'est un nomma Sageela Joseph, âgé de59 ans, patissier, qui a été lacet, à maicuisse d'un coup de revolver tire par eaagent, leune! avait luieralme esuyé un

le7ec;si r'°dis re' itcliqiJu, ii,

sii1 leu partb mmm n'ont litre'trouvée est pe.ssein du blesse; if s'est,kabarr.sé de sen am. en la jetant dans

eanal. D a été Daesporté à I'llôtel-Dieu,où il a Cl éateras selle Saint-Lazaret'.

Une enquéte est ouverte au le aronde-sellent.

Cà etOFFICE DEPAIITEllENTAL

DES PUPILLES DE LA NATIONL'Office départemental des Pupilles de la

Nation rappelle aux banéfloiaie, de sub-venir., d'apprentissage qu'ils doiyerafournir eu Secrétariat ma celai.nt cons-tatna qao leur eisfailt est toujours em-ployé chez le patron envers lequel il estengagé par contrat.

Seules le personne qui auront produitce e.estifiraf de présence avare le 20 dé-cembre pourront se inaeenteis ii Si percep-tion aux dates habluelles qui seront ili-aque. par la voie de la presse.

RECENSENIENT11128 PIGEONS \i0VAGUila EN 1320

Le Maire de 'relions, rappelle à sead/ranatres qu'aux termes de la loi et dudécret. du 22 j'aille 1896, ainsi que de ludr.:aire de 31 le blinistre de l'Intérieur,eie date de ler tlecentlere laff, la eleveuesicolds ou s.iités celombeibles sont tenusdo dérlarer à la Mairie, avant le lot' jan-vier procherm le !terme de leera colom-biers, I nombre de pieeona voyageurs. eiisIsont clavés et di faire eohn ealtiel M-I:Tétinsou dans lequel]ea ils sont entrain..

Ces déclarations seront reçu. au Bu-reau aulatere. toue les joue, de 10 beares

taatie à 4 heures du soir, les dimerelonea jours féale exceptéeREGENSECENT DES CHEVAUX, JUMENTS

MULES Er /aULE'TSre de Toulenee fermette à ses aire

auras qu'en exacution de lu loi sue les

Zir.eitrioes lie sont terme de

el a i 11,' Co Ire 3! rn".tas jsnoiocrn

el rairlete de tote âge qui sent ertourpoesesen, sia alleueo dia ine rem ut es-casier, HANAP GAMA gui ont Afid elejà ajour-nés asts nlasseme.nb anteriettle, el den

:Meier rus, et !é signeleeant.Pte PlaPrialaire 11 ont pas à attendre

d'autre emeteeetion aie coite qui résultedo ree. piiié pst M. le Prélat Is oc na.

vernbre dernier e du présent avertis.- I

ment.Ceux qui eedlgerient de faire les dd,-.

canulions prescrit.'s sont passibles d'uneamenide de a) à 1.000 francs et ceux quiferaient sciemment de fausses declarationsseront frappés d'une amende de 50 a2.000 frarles.

Les detelaralione sent reçue.s au capi-tule 13e bureau!, de 9 à 16 haies, tueles Mme, eacepté le dimanthe et joue delate

Greene priaalemment, le reeenmentdonl il eeteit PSI une mesure dentée:fi el-nées! qui n'apporte secune restriction audan de propriete. ai Alla trensaetions dettles animaux peuvent être l'objet.

CeIMITE DE LA GOUTTE DE LAITMlle Roussel et M. Dm id Devi. au Thea-

tre des VarletésC'est cet après-midi, à 2 heureo tria

précises, que sens &unie es magnifiquespectacle, si Laiera e, -organisé par le Coenete de la Goutte de Lat, e, qui sema laplus bals .rnilestation Ont organisée,celte an.née, t Toulouse.

Location ouverte de 10 haie. b midi.Les places de parleuse serras sont rete-nues par les école; les porteurs de bil-lets de parterre seront minas aux prome-noir des premières galeries.

De très bonnes pleces sont disponiblesnue troisièmes galeries.

LvetickLE DES POILUS DU FRONT17. Mu de Rémusat. 17

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UN TURBULENTUne infeemation ea ouvert, au tee ate

rondissenient oestre le nomme SmalaLaurent, âgé de 21 ans, menuvre, sansdomicile fixe, pair bris de eibture et voiesde fait exercées sur la personne du nom-ma, ineaéi Nouhmt, dit 5. Petit Jean », ma-nette., &Maniant rue Saint-Georges, 8.

ARRESTATIONLe Servioe de la Sûreté, agiseut duos'eau

d'un mande d'amener de M. le juge d'ins-tilla ion de Cashes, a mis à !a dispositionde ete megietrat la nonenile tranne-MariGeErnest. Dale, Gee de 2I ans, fileie'e,dem.rant man' de sande extérieur de tu-anaux. ineurpee do vol.

DISPARITIONLe nommi François Villeneuve, aga de

18 ans, de nationalité ieepagnote, maçon, adisparu du armicile paternel, elle de laRiepe. u. 11,11-1113 lier 12 deceenette courant,vers raidi.

Sen signa...ont a ale transmis au Ser-vira de la Sûreté aux fine de reeheerees,

CAMBRIOLAGEDans le cannant de ravant-dernière nuit,

des malfaiteurs se sont introduits à l'aie,de fausses-elés dana les magasins de M.Victor Gay, marchand de boa, boulevardde Strasbourg. 28. On a fraeluté en tiroir-eaiSSe dans lequel Ont aérebe la SOM:MO de47 francs.

RENVERSE PAR UNE AUTOHier soir, vers 14 heures, la voiture au-

taneraiée numéro 3677T-3, conduite parAI. Sauteur Serie, demeurant eue d'au,fertile 2, a renversé, ala. du Salin, M.Gifle avoua, demeurant rue Saint-Rorne,28, <NU a reçu une le-gère blessure El, cuirohovelu.

!M. Gay a deaare ne pas vouloir porterplainte.

TROUIAILLESDéclamer r a,r magasin, de eleuesuresTrianon,,, rue Alsace, une pelle somme:

fi Mem Lagesei rue dalmbarthe, 19, taripanier en osier contenant des assiettes; aM. Casampourre rue Durerai, 2 bis, ua.sas fi main fiNEC petite somme; b MmeBastehe, rue Pargarninières, 3, a part,11001.1M1ir erre: petite senurie; à Mme Baseehe sue de PFeharpe, 5, une montre deCime avre chalne; à M. d.om, Bruer,rue Waal, la (51e raidi à 2 heurese un senà main evra petite eomme et divers ob-jets; A. Cl. Galbera, marchand de frontales,IMO: du Tsar, ample place Saint-Sernin, unetable de nuit en noyer; au Berceau closlapa.a, an étei sec chapelet; à 51. Lat-tent, watmann, route de Launaguet, 37,une roue d'autemobile; à M. Boira rueRiquet, 52, un loue de cama,ss avec crans',à lAdmInistration des tramways bé-let do banque, trois parapluies, liste mon-Ire, un portemonnaie eontenant 'une cer-taine sdnune, un portefeuille contenant unipetite somme, deux photogemarme et di-vers papiers.

AN PalaisMERCANTIS CONDAMNES

Dans son audien. d'hier, le tribunalcorrectionnel a condamné à quinze joursd prison sans eneis et 1500 fraucs d'amen-de un mardis. de charbon Pierre Fortqui, sur deux hvraihoes, de 100 kilos che-mine, 13 un client 51. 0..., n'avait livré lapremière fois que 08 kiks et la seconde 78.

Avis aux commerçants peu serve:lieux.

Parti Socialiste (S.F.I.O.)CANTON OUEST

Rev.on générale du Centoe. le rteirsdi 15décerne., à g h. aurai:, se satoo.

Ordre du jour i Cau.rie éducative', le frontunique u Queenoa dives., le P.Isme u De,nie, délai mu, la nie à icur deo cotiselons.

OrtvrièrSur:di,. de EAlinzeutotion, - Coma, uns

loul.aers, pâtislless, meuniers. eu,rens de eaiés s.murants, vous êtes cenvotan5esena meeting ne anse leu ce scie jeudi à9 h du sate dans la de la Boucs.da Travel, pace SESernm

Pour les huit heures ; Pour in 2oPoo; Prie les assurances sselides.

Came3.ass, pour debtention do tomes ces ré-faunes vous vous foret un dee, d'ei.i5mtrnaaand nomine ce avaetinn er prendront /aparole Savoie. ses :émirs fédéral Feenes P-lan du Con. Inteendical ; MarteRalan.

Sendkat des Cuisiniers, _Tou, len ouvrierssyndiqués ou non soot inees à d,uisteu à leeunion de l'Alimentation. oui arra 1:en, st soiraudi 14 aécen,b,e à 9 h à la Berse du 'Cr.,»el, ou les larent.,deu Mmtu-Rmlau. iereStalrese l'Umm Sa, Sund .arrur Savoie, suu-Auire d.

Fédé,tion de l'Alimenta., teiteent danaie sala.

Le surah., cermet eue les chefs de cuelnesevidés au, 4,,u ,uUciuleu, donueyont ,uitu suaindiatiena ad leur seront données.

IMMEMAIMEIBIBIBIIMMIaMefflaWetre eelabkr

Aujourd'huiDistrlituttsn aux enfants do

- st

bat atita: è partir de 10 fr.411@liMefflivam,ear,rgent,,,,,,P,

Courrier eLetis tiqueCONCERT BOUCIIERIT-TAGLIAFERROAutant je trouve pénible une séance en-

tièrement .cupée par les ébats d'un pia-niste, autant me &tee° itee audition danslaquelle le piano cite via/on .mbinentleurs timbres parfaitement complémentai-res l'un de l'autre. Quand le violoniste etM pianiste sont M. Jules Boucherit et MlleMagdalena Tagliaferro, le mot 3 délecta-tion » n'est pas trop fort.

Oui, la soirée de hindi à l'Olympia comp-te parmi les plus intélessantes quel feusait été donné de goûter depuis plusieurshivers.

Bouchait est un virtuose prodigieux ilbrille par la netteté de ses a stoe-catipar Eideele cureté de ses doubles cordes

A voir réfifigante silhouette de Meg& Ta-gliaferro s'arencer timidement vers sonPleyel, on ne devine guère quels trésorsd'énergie sont en puissance dans ses dixdoigts reteo : le Men° frémit sous /euesbattements frénétiemes. Parfois, cependant,l'aimable pianiste se fait pins tendre ellecherche h faire oublier aux touches son em-portement de naeuère, elle en tire des sonsplus doux. Bref, elle serre de près la penséeet le sentiment du ...sieur, la traduitavec un relief partieuliauernent vigoureux

A quoi servirait une analyse des uvresinterprétées et une critique détaillée de leurinterprétation? Quand on est charmé, onn'aneese point, et on critioue seulementlorsqu'on n'a pas toute satisfaction.

Ce n'est point le cas, et nous nevons quedes remerciements à décerner à l'impre-sario Ileum! et A son dévoué représentanttoulousain, M. Peul de Max.

Je leur soulmite Vles auditeurs plu, men-bre. encore pour leur prochaine réanimecas, aujourd'hui, la maindre organisationentraîne de gros frais et time couvrir degros frais, il faut un gros publie.

Lundi soir également une tournée Balainous a apeerte tee pièce de 111. Deeourcel/ec, L'autre Fut», dont le moins qu'on puissedire ers que, quoique récente, elle n'estpas de notre temps elle fait songer eueveux mélos qui faanient pleurer nosgrandeenèree; c'est naît et c'est noteneuxloui à la foie. L'intererétation était 51e11-teurs excellente Mme jure Grimaschelle seule aurait Oslo pour assurer le sue-rès de la soirée. INT.

CHORALE DE DEODAT DE SEVERACC'est dimanche 17 déu.nbru à 4 h 30 de l'a

PReenidi, que nous aurons le rare Plaisir d'en-t..el,dre le Trio iliepona L. Bensterra 1108./11., Palma (aimas); R Pichet (violoncelle).

Au promena. Haydn (Trio en In 'bémolmajeur); A Rfamand (Trio cm fa mineur op. 18- Première auditiont: César Franck (11. sa ladeo. mer op

Piano spécelee.a11, abet par la Mese. PleyelSale charité=Pen des plecss i Preml.e. 6 P r Sem.-

des et Calorie, 4 fr. ; Rédetten da 40 el sesles els.,, do premières en faveur des membrehcnorsires dam Cheale

La Retea Mu7icsia duneOur édit., spéciale tous es sermeienememsRe concernant les oeuvres du PropionoW A'Iris Mima

ANIS MATAI:An»EXIGEZ LA MARQUE « NIAT111 D

(1,te'

Ao, à MM lis latuakiens - L.3 Musioenss'occupar,l do. mss'que de bels, fêtes locales,et soirées, .nt priés d'amis., à le réunion AMaura lieuu dons une allu di, ode Andrea à 9

houes d. loin-dl 14 cament.Le Ceuarlssol, - Ce sols à 8 h sassent/sie-

mens en tehue au théatte d. Vasietés, de tonsIvo élève ...tee. à le Serin é pou+ Piotripe, à la denièce sa...ration, des Fêteads.Union Sportice dei Cheminots do Midi. Cesoir, ieue, à 2/ h réunion des joueurs ct d.la Comas,. d, Reeby au ria. Anbau, ela-os du Caetol Lnestnernent de raie. phy-sieue. Présence' indrmen.bls ds tous tes jouéesColIivClob Toutnesstn. - Ré.ion à 20 h, 45au ses,

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te réustion.

'Vie sportiveL'A. S. CARCASSONNA1SE

PARC DES SPORTSDmenche. le fameux quinze de Siloidlunins.

de rencontre /e tes= rems du T. 0 E. CAvant tes poules de ci, d Sera tas iniéressande sole eux rases ses deux eaellentes équipes,die 5, conuoite a diffeence de eleu, entreles clubs de Pyrénées et du lenaued..

-----Ccrunsuelv)res

Avis A nniversaiPs7,124riu fiLANC, Coresteadea des

Chemins de Fdr du Midi et d'Osier, eteeent Ires amis et connesenees, de

vouloir bien assister à 1, Mu d'A.:repaire,si

rosacélébrée tr Vendredi 15 Dee embe à

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Société Toulousaine du Bazacle

TRIAGE D'OBI-MAT/0NaLes parterre d'obligations de la SOCIETE

TOULOUSAINE D'ELECTRICiTE sentrageas que le 20e tirage amortisse:meaaura lira en séance publique au sage dela Compagnie des Agents de Change, Pa-lais ée la Bourse, le lundi 18 deeembre,11 heures.1,98.311.S.181111.1.

lEAUTE-GARONNEParti Socialiste (S.F.I.O.)

r aBRATION DE LA HAPTE.GARONNEAux secrétaires des Sections

Le vingtième Conaas National du Partiest définitivement fixé au e 4, 5 et 6 fé-vrier pro aise.

Il se Stencils à Lille, salle des tht,Palais d'été.

liordre du jour est le suivant1. Rapport du Secrétarait, de /a Tréso-

rerie, du Groupe Parlementaire, du a Fe-pulaiiçep.pot la terri en urnsiuoWciUritrAtre,otecia_

listes et le pouvoir central.L'éducation s.ialistc (P,apporteur

SeveraceLa politique intérienee et le pro-

gramme d'action du Parti.La situation socialiste internation.

Les secrétaire, sont priés de coneoquerleurs secte,us pour délibérer smt ces diffé-rentes questions ,ainsi que sur Mutes au-tres questions qu'ils désireraient voie por-ter.é lardon du jour du prochain Congrede la Fédération.

Nous publierons a cette même place désleur réceptioe, les rapports 00 dammentseue la C. A. P. en-verra ultérieurement pourfaciliter /a discussioe.

C0:311TE FEDERALLe Comité Fédéral se réunira dimanche

prochain 17 décembre, à 10 heure du ma-tin, au nouveau siège du Parti, café Cha-beau, arcades du Canitoie, salle du lerétage

Ordre du jour u Examen des questionspostées à t'ordre du jour du Congrès Na-tonal; fixation de la date et de la te.edu prochain Congrès de la Fédération;propagande dans le département.

MRINTESaU/EU-VOLVESTRECONSEIL MUNICIPAL. - Le Conseil

umnicipal s'est rami, dimanehe dernier,

Fanant présents l MM. Castenet maire,Pierre Fourmes, premier adjoint, Defoe,de Méritais. Faucon, Abribat, Lai con, Piscard, Dee., Fauroux Louis, Sentenac,Combes, Armenté.

Les délibérations du conseil municipaln'ont pas le don de passionner le publie,et si ce:eau été le sympathique corres-pondant de s la Dérmehe » qui étaie làpar devoir professionnel H os, aurait enpersonne

L'assemblée conerme dans leurs Pomoirsles délégués à la confection des listes Mec.torales et aux réclamations les concernant;maintient dans leurs famtions les réparti-teurs déjà en exercice 'si noée dernière;dorme avis favorable à diverses demandesd assistance aux via lar s.

ri COUISONXES MORTUAIRES ru A propos d'assistance ausvileillards, no-A l'h...tau, rue da Rémusat, B. I tee calearale Fief. Fauroux, adjoint au

maire, dépose la motion suivante, sons fer.me de men ft transmettre à M. le Préfet

a Le .nsell municipal de la .renmnado Montesquieu-Volvestre, réuni en séancepublique, 10 3 décembre 1922, à l'Hôtel-de-tille

Considérant que, dans certains cas, /essommes versées aux assistés ont fait l'objetTarir reprise, par le département sm leurshéritiers;

« Considérant que les vieillards qui Pos-sèdent même une modeste maison ou quel.eues endente de terre le plus souvent in-culte, ne peuvent tirer de cette propriétéun revenu suffis.t pour subvenir à leurspremiers besoins;

O Considérant que les héritiers directsou indirects, à défaut des premiers, peu-vent, égalenent, se trouver dans l'impossi-bilité niatérrelle d'aider lems vieux parentsd'une minière efficace:

Emet le eue dans les cas envisagéseelessue les héritiers des vieillards quiavaient, de leur vivant, bénéficié des dis-positions de là loi d'assistance aux vina-lards ne soient pas contraints de reverserau département les sommes atioue.es par luiS ce titre, quand Itt seecession dc 'assisténe sera pas supérieure en capital à 3000 fr,et que les dits héritiers ne seront pas pro-priétaires par laitues on ne jouiront pasde revenus notoires. »

Après une courte intemention de M.Faunes dans le même sens, ee estadopté runaninr:té des membres présents.

le coeseit muelcipal procède ensuite àla révision de la irise d'assistance Itédi-eae gratuite.

Fauroux reproche un peu 'vivement à M.le Maire ils n'avoir pas fait adniettre dol.Soc à l'hôpital un administré devant subisUne opération et ne disposant pas demoyens personnels pour /a faire Maquerà ses frais.

Notre camarade dit que ni la paille. alles questions do clientèle ne doivent inter-vieele dans les questions d'Essistailre etque et du devoir dc 10 municipalité desecourir rapidement les victimes d'un ace-dent nécessitant une opérai.. .

N. le Maire reconnaît e'être trompé, Famcous ese

M le elheeldaeleGrideleicdon.': eeilliaariauation de remettre en vigueur une délibé-ration datant de 1860, donnant aux habi-tants de la commune la armeedes concessions temporaires au inetirre.

Auteri.tion est donnée; des coneessionGtemporaires et renouvelables Isourroatélceaccordées aux tarifs suivants : pour 15 ans,

raison de 25 francs le mètre carré; Poile30 ans. à rale. tic 30 franna le mere carré.

1Bont également sOlPris eu calbleil, Ir &-YU' éleS Tellerations Ma hale MIK grains:d'un puits ovee. pompe MM le pie, da marthé; de la grille Jetant entourer le montemeet de Sauveur; de trameftirmationla baseuée du pont; tons ces projets ntrenvoyé, à la ceer.ission dus alle."( poulamplement dénudes et mise au point.

Au sujet de monument du tamanoir,Fauroux eamame le regret que Ifis Ometten'aient pas été O0111101rIlers b lendroa fixépar le Conall trinieipal, et demande envertu do qua ordre lai a pue le plarer touecontre la basieule - ban que l'édicule quil'abrite doive disaaraitre - et trop présdes maisons ou il ne sharmoneen pas510 tee avec la plare quf r.loure.. Notre <tenace& demande agalement uP,

Ira travaux de traneforteation de le bas-cule soient activée de ai nièri à permet».- 515Is que les ,limensio. 51e la grille demonement seront arrêtée - la plantation'd'arboetee autour du monument:.

Faure. drrarele m'acre au Conseilnieipail do derricke qu'à louas, oc demarne:Mt denauguration, ROHE. Mail,

1 ilre P 1

taiie et quelle ne déroule dans le calmeel la dignité, dans Pintitnita de la ...ne,av. 151 moins do perol. possibles. LeConseil se range entiesement à cale na-Mère de voir.

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PARTI aOCIALISTE (S. le I. O.!. -- Tousles mente., de la Section d'Auterive sontpriée craseiers à la relaiera qui aura lieu

dimanche 17 courant, à là !retires sallede l'Orphéon.

Ordee da jour l Questions diverses; sr,21,1 banquet annuel. Présence M..

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Questions Viticoles

à la Chambre

LES BOLAILLEURS DE CRUParis. M. Taurines, député de la

Loire, a déposé son rapport ap none dela commission des boissons sur la régie-mentzaion &Unitive applicable aux bondleurs dc

hl ressort de ce rapport que la comamission accorde l'allocation familiale àtous les propriétaires récoltants, apportsdes ternpéramments à la lai de 1910 tepsigma eJse en ram,enent par exemple, leminimum de prise en chargi, 210 litres à50 lites:, d'alcool pur, et cor instituant, le-dépendentneid de l'atelier public, div reseras systèmes de distil!ation à dorni-cile. sous certaines conditions garantis-eant le domicile du contribuable et lesinté/êts du Trésor.

LA REPRESSION DES FRAUDESET LES TARIFS DE TRANSPORTPer', Le groupe viticole de la

Chambre s'est réuni sous la préside-ced - Burthe.'.Pet piesent, M. Mirer, x, pré-sid -nt de la C.G.V., à qui Berthe sou-haite la bienvenue.

M Brousse invite M. helrernix à ex.Mme' b Pesitirvn d- t, CG V essuies&a d'ires propositio00 soumises auxcommissions die la Chambre.

.N1..Mtsepoix expliqus que lacc ne ne poivrait accepter le projet Lasteg-rie cuii si en accord avec le Nord é aieltré -éna le queuta- du carburant nstio-n-i' e' re'le é- 3. sert lion',.. a rhums.

C'est l'avis du groupe, dit Bethe: qui

h CO S. 9070110 ETTES° Ajoutons que l'Ahnanach Poyet estk, li ,t 570 72811e.S

c. 'Watts* [sautedoté de 20000 francs de prix pour troisconcours qui passionne... ana aisées liers et es. r'nt

e4,les écolièr

leu

Ji Bientôt les souffrances me priverontsans doute de ma force, je mets duneà profit les dernières lueurs de mon in-telligence pour vous supplier encore deremplacer auprès de mes édens, kcorsedont vousles aurez privés. Je vous irnrpo-serais cett,. charge mec muoute si Jevous ainmis moins: mais je Préfère vousla bisser prendre de vous-même, parl'effet d'un saint repentir, et aussi com-me une continuation de votre amourl'emom ne fut-il pas en nous constatez-ment or ais de repentantes melte.,et de craintes expiatoires ? Et, je le sais,nous nous aimons toujours.

Votre faute n'est pas ai funeste parvous me par le retentissement me jelui si donné au dedans de mcg-même.Ne vous avoir-je pas dit que j étais heekoto, mais ido.e à mourir ? Eh ! bien,je meurs. Cpreolez.vous, cependantnous DUC, satisfait aux lois humaines.

LEglise, par une de ses voix lesplot pures, ose in-dulgent à ceux qui avaient immolé leurspenchants naturels à se, commande-ments. Mon aime, apprenez donc tout,

rend compte de ses dernières démarches.M. Viala indique les conclusiors du

comité scientifique.Sur la proposition de m. de Cassagnao,

le groupe décide de faire une démarcheauprès de EL Lesteyrie, afin que celui-ciprenne l'initiative de demander la jonc-tion à la loi de finances de la révision desdroits de circulation d ucarburant natio-nal et de k question de la rectificationdes rhums.

Berthe rend compte des décisions erra-ses par le service de la répression desfraudes, par suite de l'augnaentationcrédit obtenu lors de la discussion dubudget de l'agriculture il expose les mo-dalités obtenues hier à la suite d'une dé-marche de MU Mirepoix et Surgis, duSyndicat de Béziers, pour l'organisationde la réoresnon des fraudes à Paris eldans la Seine par les agents des syndi-cats. Le grouna.approuve

Le groupe fixe ensuite en avril le voya-ge d'études en .edgégie du groupe ami

M. Castel donne Iroture d'un rapportsur la révision den tarifs de transports. Ilconsidère que des réduction dmventêtre rée isées sans retard sur leP. V. 6et 106, P. V. 25 et 125, ainsi qu'uses révi-sion et des réductions sur les wagonsréservoirs et vs taxes mie chômage.

M. de Rodez-Béneverit &mande Muele groupe examine si la réduction pré.vue pour le transport des vins en fûtssera appliquée également au transportIrise ttaateatee réservoirs.

Rarthe indiqué le marasme que l'eue,geration des turfs tour le tomeport d,fats isoles à créé s il e reçu des protesta,rions, tant du cédé ouvrim que patrosaal.

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Le I rIvs Jans la Va 1éePAR

Honoré De BALZAC

car je ne veux pas que vous ignoriezune seule de mes pensées. Ce que jeconfirai à Dieu dans mes derniers mo-ments, vous devez le savoir aussi, vousle roi de mon c us, comme il est le roi

Jusqu'à cette fête donnée au ducd'Angonlème, la seule à laquelle j'aieesuisté, le mariage m'avait laissée daol'ignorance qui donne à râneie des jeu-nes filles la beauté des anges. J'étaismère, d est vrai; rama !amour ne m'a-vait point environnée de ses plaisirs per-mis. Commuent suis-je restée ainsi ?n'en mis rien, je ne sais pas davantagepar quelles lois tout en moi fut changédans un instant.

cf Vous souvenez-vous encore aujour-d'hui de vos baisers ? Ils ont dominé mavie, ils ont sillonné mon âme; l'ardeurde voter sang a réveillé l'ardeur demien; votre immesse a pénétré ma leu.nesse, vos désirs sont entrée dans monefettr.

0 Quand je me min levée si fière,prouvais une sensation pour laquelle jene sais de mot dans aucun !engage, car

L'EPAR G N

Le rapport Castel est soloPO5. 11 seratranervis à la commission consultativedes chemins de fer et au Ministre destravaux publics

La Russie proteste contre

l'exclusive dont elle est frappée

Lau.nne, 13 décembre. Les Russesont adresé, hier soir, comme ils l'avaientannoncé, au président de la conférence depaix, une note écrite voue protester contrece qu'As appellent l'incident de la réuniclatdm experts, qui avait eu lieu le matin.

Daou cetui noie, la dénégation rusvc dé-velopine les metnan argument., que lesRu.. avaient fait saisir clans leurs pré-cédentes ni, tes à la presse Ele termine endi.nt qu'ailée eginère quo I. puissances in-mitantes prendront noie de la dérision MC-branIalde do /a Russie el de ses alliés deno pas renoncer à Mumdroit de participer

la solution d'un importante q2eation iv-cru ri affectant directement leurs In-tiéets n sus.

11 est douteux quo les représentants despm.angm répondent à cette nouvelle noteétant donne qu'A leur avis l'incident atIfilgnépar !es Suants est inexistant.

I Ceux-ci se sont déclarvis surpris Io n'ê-tre pis admisà discuter au boni la ,proietrelatif au passage d. Détroits, alore qu'illeur a été répandit niveleurs finis que /esOutres avaient été pr ivenUs on set,,c olé-mère de la comosisison eu' Is n'avaient liffeà. prendre paetb la di.ussion sur !a démi-litarisation de ter-entassa qui ne tenue ap-partenaient pas.

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L'alma/Ieoh du Combattant pariait purla deuxieme fo s Cette année, -en un grosvolume de 448 pages, honoré d'une préfacedo Maréchal F0011 et 'illustré de phis de300 dessins.

Son rédacteur en chef, Jacques PERI-CARD, a su grouper autour de lui tout cequi compte comme littérateurs, dessina-tours et spécialistes.

200 pages de documents brefs, clairs,précis, disent comment nous devons ga-gner rette pals qui nous est disputée aussiâprement que la victoire .et que nous vou-lons pourtant fermement.

Une rubrique nouvelle l Les Témoigna-fies lionceaux aur ta guerre sera lue aveeun intera passionné, car elle nous donne,de larges extraits de ce qu'ont publié/922 t !Ambassadeur America, a Bruxel-les on rail. von K/fick, ven Hansen. bah-mann-Rolver, la princesse ne ItffloW, lacolonel &minet., ete., etc.

260 pages de contes tragiques ou gais,oc' rds par les meilleurs écrivains st 'Plus-trés par les artistes les plus vigonroliv, fe-ront, enfla de ce livre magnifique, le Ivrede famine pour tes longues soirees d'hiver.

Oct rédacteor de I' Algoma./ du Corn-holient ont en effet réalise ce eln.f.d5rmme, de bon sens, d'émotion et calme,,.1Ite qu'une seule ligne ou un srui dessinpuises scandaliser même un enfant,

En somme, c'est une splendéle uvrefrançaise au plus beau sens du mol.Elic fait honneur A toutes les gcan les as-setoellons d'ancieua combattants qui, sanseximpr en, lui ont donné leur patronaceego lie.

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Euvoyer manse» st claie <ante naissance.

MECs seirselssrestus, grau, un

les enfante n'ont pas encore trouvé deparole pour exprimer le lamine de lalumière et de leurs yeux, ni le baiser dela vie sur leurs lèvre..

e Oui, c'était bien le son arrivé dansl'écho, la lumière jetée dans les tenê-bre,, le mouvement do& à l'univers; cefut du moues rapide comane toutes ceschoses; mais beaucoup plus beau, carc'était la vin de l'âme le compris qu'ilexistait je ne sais quoi d'inconnu pourmil dans le monde, une force plus belleque la nen, 'née, c Était toues les pensées,toutes les forces, tout un avenir dansune émotion partagée.

e 1,0 Me sentis pla mère qu'à de-mi En tombant sur mon cur, ce coupde fumé, y alluma des désirs qui aormmeilleient à mon insu; je devinai 0,1.6.ricin tout ce que voulait dire ma tantequand elle me baisait sir lb front en s'é.-criant r Pauvre Henriette

c En retournant à Clochegourde, leprintemps. Ire premières feuilles, le par.fis-es des fleurs, les jolis nuage, blancs,l'Indre, le ciel, tout me parlait un bar>ourse illeep.a.10e3 inconsolés, et qui mn-doit à Men âme un pou du mcnivernentque vous aviez imprimé à mes sens. Sivoes avez oublié ces terribles baisera,mol, je n ai jamais pu les effacer de mansouvenir C j'en ntettr8 ! O'Ui. Chaette foisque je votre ai vu depuis, haus en rani-miez l'empreinte; j'étais émue de la têteaux pieds par votre aspect par le seulpressentiment de votre arrivée. Ni letemps ni ma ferme volonté n'ont Pudompter velte impérieuse volupté.

e Je me demandais involontairement,u Que doivent être les plaisirs ? Nos

Justice de classe

Le *Populaire Normand,'est poursuivi

Corsa, 13 derembre. Le e PopulaireNormanol eest pourstuvi. Ibos ptuosuitmsont engagées par Ir Parquet pourmff e contre la natalité u,, Aes numéros177 h 185 quir sont irterimbais Contiennentdes pens'es d'aUteUrs connus, des étudeosur taccro moment de la poputalion,croissement o Ie plOdUction et fournis-sent la comparaison.

T0116 leu niten ros ont été saisis. La po-lice a perq initionnt aux bureaux de jour-.1. (3,11.-. art, germa, est allé chez le juged'hier/affins,

LESLaziervem 13 décembre. Goum des vie, 12

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regards échangd-c, les respectueux bai-sers que vous mettiez sas nies mains,mon bras posé sur le âtre, votre voixdace ses tons de tendresse, enfin kamoindres choses me remuaient si vio-lemsnent, que presque toujours il se ré-pandait un nuage sur mia yeux : le bruitdes sens réveltés remplissait alors monoreille. Ah ! si dans ces moments où jeredoublais de froideur, vous m'eussiezmise dacs vos bras, je smais morte dabonheur.

41 J'ai parfois désiré de VOUA quelqueviolence, mais la prie, chamois porno-terrent cette mat-valse pensée. VonieMOUlft prononcé Poe Prea

brefanfe mi...-plissait le cur d'un sang plus chaudqui colorait aussitôt mon visage, et jetendais des pièges à ma pauvre Made-leine pour le lui faire dire, tant j'aimaisles bouillonnements de cette sensation.

o Que vous dirai-je ? Von, écritureavait un channe, je reparlais vos lettrescomme on contemple un portrait. Si, desce premier jour, vous aviez déjà conquisEUT Mai je ne nain quel fatal pouvon,vo. comprenez, mars ami, qu'il devintinfini quand il me fut donné de lire dansvotre âme. Quel!a-s délices m'inondèrenten nous troravant si

pur'si complètement

-ive., doué de qualités si belles, capablede si grandes choses, et deéjà si éprouvé!Homme et enfant, timide et courageux 1Quelle joie quand je vous trouvai sematcev deux par de communes souffranees1'Danois cette enicée où nous non

ames 1 un à 1 autre, vous perdre, pourmoi c'était mourir auesi vous ai-je lais-se pres de ruai par apparue. I, certitudequ'eut M. de la Berge de la mort queme causerait votre éloignement le toi,

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clu beaucoup, car lisait da. men .âme. isagea eg'était nécessaire àmes enfants, au comte il ne MaJdonnepoint dé Vo. fermer l'entrée de nea. mai-son, Car je lui promis de rester pured'action et de pensée. Purruuinvolontaire s. msoItil.v,coiscllrpaalêtre gardée au milieu des supplices.Si je pense s, lui :répondis-je, e tout semaperdu; sauvez-moi de moi-Mène. Faitmqu'il demeure peès de mai, et que jereste pue ! a Le bon vieillard, quoiquebien sévère, fut alors indulgent à tantde bonne fol. c Vous pouvez l'aimercomme on aime un fils, en lui destinantvotre fille, é me dit-il J'acceptai courIAgoum:ment une vie de souffrances peUrne pas vous perdre, et je souffris avecamour en voyant que nous étions attelésau même joug. Mon Dieu 1 je suis gesta,neutre, fidèle à mon mari, ne Vous lais-sant pas brime un seul pas. Félix, dansvotre propre roYamnie

e La grandeur de mea passions arésa.n sur mes facultés, j ai regardé lestourments que m'infligeait M. de Mort-sauf comme des expiations, et je les eu.dmiajs avec orgueil pour insulter à mespenohants coupables. Auttefois, j'étaisdisposée à murmurer, mais, depuis quevoue êtes demeuré près de moi, j'ai re-mis quelque gaieté., dont M. de Mot-sauf s'est bien trouve. -ans cette tomeque vous me prêtiez, j'aurais succomÉtédepuis longtemps à ms vie intérieureque je vous al raconter.

Si vous avez été beaucoup dam mesfautes, vous avez été pour beaucoupdans Pexerciee de mes devoirs. Il enfut de même pour mes enfants.

i! Je croyais les avoir privés de ceile'l

51. chose, et je craignais de ne fanjamais assez pour eux. Wis vie fut dèelors une continuelle douleur quemais.

r eentant que j'étais moins inérei

moinu honnête femme, le remords intioe dem mon cceuré et, craignantmanquer à mes obligations, j rd remtamment voulu les outre passer. Fm,m Pas faiblir, rai donc rois Medeleieentre vous et moi, et je vous ell'on à l'autre, en élevant ainsi des bac

rières entre nous deux. Barrières elle'sertes 1 rien ne pouvait étouffer les tersaillernents que vous me camiez- Aledou présent, vous aviez la même force.

.iere.)

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POU/DONT ETRE F.TFECTI/E4 1b 41

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