webzine dbc numéro 2

numéro 2

WEBZINE ACTUALITÉ COIFFURE MUSIQUE PHTOTOGRAPHIE ART

ÉDITO

CE MOIS-CI DBC A CHOISI DE NE PAS SE LAISSER INFLUENCER PAR LES DERNIÈRES TENDANCES VERSION PAPIER-GLACÉ-PRESSE-FÉMININE-AUS-SITÔT-SORTIES-AUSSITÔT-DÉMODÉES. EN JUIN NOUS PARLERONS PARTI-PRIS VOIRE MÊME RE-VENDICATION SANS ROUGIR. PARCE QUE NOUS SOMMES DU GENRE À ÊTRE OBSTINÉS ET NE RIEN FAIRE DANS LA DEMI-MESURE, CE SERA BOMBE DE PEINTURE À TOUS LES ÉTAGES OU RIEN. ACCOMPAGNÉS DE NOS AMIS, NOUS PARTI-RONS À BICYCLETTE RÉGLER SON COMPTE À CES MURS GRIS ET TRISTES JUSQU’AU PETIT MATIN. LES FLOWS INTEMPESTIFS DE LA PSYKEDELIK CLIK NOUS GUIDERONT DANS NOS SLOGANS EN-GAGÉS. FINI D’ÊTRE EMPRISONNÉS DANS NOS STUDIOS DÉSENCHANTÉS, NOUS PRENONS LA POUDRE D’ESCAMPETTE POUR INVESTIR DES LIEUX OÙ L’IMAGINATION PEUT S’EXPRIMER. DE NOMBREUSES PERSONNES ONT RÉPONDU PRÉSENT POUR CE DEUXIÈME NUMÉRO ET NOUS LES EN REMERCIONS. UN ESPRIT D’ENTRAIDE SOLIDAIRE COMMENCE À ENVAHIR LE FOND DE L’AIR ET CELA SEMBLE ASSEZ RÉCONFORTANT.

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ACTUALITÉ BY MUTATION X DBCDEAD IS HYPE X DBC

COIFFUREJESSICA

MUSIQUEPSYKEDELIK CLIK

AGENDA

SOMMAIRE

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by mutationx dbc

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Escale parisienne pour DBC impulsée grâce à la ren-contre avec Tamara, créatrice de By mutation : «

griffe engagée qui décèle les plus belles étoffes pro-venant des maisons de haute couture pour leur offrir une seconde vie de séries limitées et numérotées, l’ambition de créer une mode porteuse de sens et durablement désirable. Prendre le parti pris d’une production entièrement locale made in France». Dy-namique, elle envisage aujourd’hui de se diversifier dans l’évènementiel et d’ajouter une nouvelle corde à son arc créateur. Nous avons retrouvé Perrine, attaché de presse à ses heures perdues, sur les rails d’une voie à l’aban-don pour une séance shooting : ambiance fin de soirée, dernière bouffée d’euphorie avant d’aller se coucher. Notre coiffeur attitré a imaginé une coque crêpée mise en valeur par un lissage des cheveux sur les côtés. Nous avons ensuite retrouvé Karla, étudiante pas-sionnée par l’art contemporain, dans un loft typi-quement parisien pour une atmosphère backstage. Allure rock avec des lignes strictes et géométriques, dichotomie de l’ombre et de la lumière, pudeur et provocation…

Photographe : Audrey PerzoCoiffure : Clément RuspilTexte : Aurélie AlexModèles : Karla Voleau et Perrin AelionLieu : XXe Arrondissement de Paris

Vêtements : By Mutation,www.bymutation-paris.com

Robe Devon By Mutationsac Sandrine ColinStylisme Tamara Tung Modèle: Karla Voleau

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by mutationx dbc

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Veste (No) Smoking

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Top Raven Blakk 65€Blouson cuir vintageChaussures Patricia Blanchet Stylisme Tamara Tung Modèle: Perrine Aélion

Dead is Hype X DBC

À mort les hipsters avec leur barbe travaillée, leurs lunettes monture écaillée et leur vélo à pignon

fixe. Avec Nico et John, on parle coups de pédales mais sans prétention et sans stéréotype. Ils se sont lancés un peu par hasard dans cette histoire de roues et de rayons. Au départ, il s’agissait de retaper un vélo laissé à l’abandon plus pas distrac-tion que par passion. Seulement, ils ont pris goût à cette mécanique et depuis ils ne s’arrêtent plus. Vous pouvez trouver leur création dans certaines boutiques autour des Terreaux (Sample, WeSC..) ou passer commande et oser un peu de fantaisie : avec eux tout est permis, du bleu électrique au rouge ver-nis, du cuir au cuivre, du look hippie au look street. L’été approchant, nous nous sommes dit qu’une col-laboration avec ces deux compères serait la bienve-nue. Pouvoir se balader, cheveux au vent mais pas n’importe comment!

Photographe : Antoine MagnienCoiffure : Clément RuspilModèle : Camille MathieuTexte : Aurélie Alex

http://deadishype.blogspot.com/

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JessicaX DBC

Hanter les zones désaffectées, prendre une bombe de peinture dans chaque main et crier ses désirs

cachés. Nous sommes partis dans un endroit où les graffs sont rois et les murs libres de droits. Am-biance usine désaffectée pour une collection avec l’échevelée Jessica. Un parfum de laque a envahi les lieux pour arriver à dompter sa lourde tignasse. Inspiration rock&roll avec une touche folk pour cette étudiante aux Beaux-arts qui porte et assume comme personne la lionne attitude : coiffure sculpturale avec un jeu sur les volumes au-dessus de la tête accentuée par des mi-longueurs savamment crêpées. Sur les toits nous sommes montés, histoire de se sentir invulnérables et de regarder la ville à nos pieds. Cheveux relevés, attaches faussement négli-gées, nuque dégagée pour se sentir libre d’explorer cet endroit atypique et inspirant.

Coiffure1 : Crêpez le dessus de la chevelure et rame-nez les cheveux du dessus vers un même point que vous bloquerez avec des pinces plates. Laissez retom-ber des longueurs pour un effet lionne.

Coiffure2 : Gardez le même point d’attache du dessus de tête de la coiffure1, seulement remontez les lon-gueurs vers ce point d’attache pour un rendu flou de l’attache.

Photographe : Audrey PerzoCoiffure : Clément RuspilTexte : Aurélie AlexLieu : Ancien Bâtiment des Beaux Arts de Saint-EtienneModèle : Jessica Pichet

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Psykedelik Clik

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Ils sont trois à déverser leurs flows devant un public de plus en plus nombreux. Pour ceux qui ne les connaissent pas encore, nous vous proposons de rencontrer la Psykedelik Clik. Parce que ces lyonnais savent plutôt bien manier la plume, nous avions envie de vous faire partager cette découverte musicale.

Pouvez-vous vous présenter chacun en quelques mots?

Ilybak : Ilybak, 22 ans. Futur président de la république, rappeur à mi-temps depuis 8 ans et aujourd’hui membre de la Psykedelik Clik.

Djankh : un brin barjo et plutôt borné...

K-lixt : Moi c’est K-lixt, 20 ans. Je me suis mis à écrire et à rapper dans l’urgence il y a un peu plus d’un an.

Y a-t-il une fausse rumeur que vous aimeriez lancer autour de la naissance de votre groupe?

Ilybak : Pour tout vous avouer, on s’est rencontré à un congrès du Front National. (Si les autres ont trouvé mieux, on gardera la leur!)

K-lixt : Je n’avais pas vu Ilybak depuis longtemps, on m’a dit qu’il s’était laissé pousser les tifs, je voulais vérifier ça de plus près. Ça lui va bien n’empêche!

Djankh : Non.

Comment l’inspiration vient-elle à vous dans l’écri-ture?

Ilybak : C’est l’inspiration qui guide l’écriture. On est malheureusement maître de rien. Pour K-lixt, je pense, comme pour moi, c’est surtout l’écriture qui nous a amené au rap. Je trouve que c’est ce « genre » musical qui nous laisse le plus de liberté pour écrire. Après, pour en revenir à l’inspiration, sur le plan personnel, elle vient plus particulière-ment pour couvrir des failles ou dénoncer certaines situations sociales ou politiques qui ont tendance à me révolter.

Djankh : C’est quitte ou double, soit je passe la nuit pour tout effacer soit je ponds le rif qui va bien en une heure.

K-lixt : C’est ce que je vis, ce que je vois tous les jours. Ces choses plus ou moins belles qui me poussent à mettre à plat ce que je ressens. A partir du moment où cela constitue un besoin, cela vient assez naturellement.

Êtes-vous plus proche du hip hop hexagonal ou US?

Ilybak : Je suis plus proche du hip hop hexago-nal, déjà parce que j’accorde plus d’importance

aux textes, et qu’il m’est plus simple de les com-prendre en français. Mais j’ai quand même beau-coup de respect pour des mecs comme Gill Scott Heron. Ils ont fait partie de la naissance du rap, et ils défendaient des valeurs, qui je pense ne sont pas très éloignées des nôtres.

Djankh : J’apprécie les deux qui sont différents de par la langue et leurs influences musicales.

K-lixt : J’aime les deux, je suis beaucoup plus tourné vers le rap français, j’y trouve des messages qui me touchent plus. Mon anglais est catastro-phique, j’écoute l’US pour la musicalité des flows et des instrus.

Avez-vous le sentiment au travers de vos textes de parler de votre génération? Y a-t-il une part de reven-dication?

Ilybak : Je pense oui, puisqu’à travers nos mor-ceaux on tente de décrire, ce qu’on vit aussi. Je pense qu’on parle donc indirectement de ce que beaucoup de personnes de notre âge vivent. Même si notre approche est très personnelle, on touche à des sujets communs.Et oui, il y a des revendications, mais on n’écrit pas forcément pour revendiquer des choses, plus parce qu’on décrit un malaise, un état de fait.

Djankh : Écoute...

K-lixt : On en revient souvent à parler de ce qui nous touche directement, des constats sur ce qui nous entoure et sur ce qui peut nous gêner. Alors oui cela peut passer par la revendication. Et bien sûr que la situation de notre génération à sa place.

Si vous ne deviez garder qu’un album à emporter avec vous?

K-lixt : Où je vis de Shurik’n.

Djankh : A défaut je prendrais le Suprême NTM même si je n’aurais pas de lecteur CD là où j’irais.

Ilybak : L’école du micro d’argent de I AM.

Et un morceau pour faire la fête?

Ilybak : La Caution – Thé à la menthe

Djankh : Joris Delacroix - She (faut bien varier des fois).

K-lixt : Shantel – Disco Party

Texte: Aurélie Alex

http://soundcloud.com/psykedelikclik

J'AI FAILLI COMME À L'HABITUDE,LE POIDS DES RESPONSABILITÉS CROULANT SUR MES ÉPAULES,J'AI PRIS CE QUI ÉTAIT RUDE,POUR EN OUBLIER DORÉNAVANT MON RÔLE.J'AI PERDU LA TÊTE,JE SUIS UN PEU RÊVEUR ET TELLEMENT TERRE À TERRE,JE RÊVE D'AMOUR ET D'INSOUCIANCE,MAIS J'AI TELLEMENT DE PEINE À PERDRE.DEPUIS L'ENFANCE,JE TANGUE ENTRE AMOUR ET MANQUE,ET JE REPENSE À CETTE CHANCE DE VIVRE DANS L’INCONSCIENCE.JE RETROUVE CE SENTIMENT DANS MES ERRANCES,AUSSI PRÈS DE LA MORT, LA VIE EST SA RÉSONANCE.

REFRAIN :ALORS JE DANSE, JE DANSE AVEC ELLE,LE DIABLE M'EMBRASSE, ET J'EMBRASE LE CIEL.MAIS JE PENSE, JE PENSE AVEC CELLE,QUI ME COGNE, ME COGNE ET ME DONNE DES AILES.

JE VAIS MAL ALORS JE RAP,JE REMPLIS CETTE FEUILLE BLANCHE,IL FAUDRAIT PAS QUE JE DÉRAPE,COMME POUR CRÉER UN SILENCE.J'ÉCRIS À LA LUMIÈRE DE LA TÉLÉVISION,J'AI LES PAUPIÈRES SI LOURDES QU'ELLES TROUBLENT MA VISION,LES PHASES VIENNENT COMME PAR MIRACLEET SI JE FAIS PAS ATTENTION,ELLES PEUVENT ÊTRE COMME UN ORACLE,QUI PRÉDIT UNE MALÉDICTION.ET SI CE SOIR JE VEILLE,JE N'EN CONNAIS PAS LA CAUSE,PEUT ÊTRE PARCE QU'IL FAUT QUE J'ESSAYE,D'ALLER AU FOND DES CHOSES.EN MOI LE CLIMAT EST RUDE,MAIS JE TIENS LES RÊNES,ILS VOUDRAIENT QUE JE TOUCHE UNE PLÉNITUDE,DANS UNE VIE SEREINE.L'OBLIGATION D'ÊTRE DÉPENDANT,ME RAPPELLE QUE JE TRAÎNE,ALORS JE ME MENS,POUR POUVOIR RESTER ZEN.CHAQUE SOIR JE POUSSE L'HEURE DU COUCHER,POUR REFOULER MA HAINE,EN QUÊTE D'UNE IDENTITÉ,ENVOLÉ COMME L'OISEAU À L'ORÉE DE MA PEINE.COMME L'OISEAU, À L'ORÉE DE MA PEINE.

POUR MA PART JE FÊTE MES 20 ANS,MAIS J'AI PAS TOUTES MES DENTS,DU COUP JE MET LES GANTS,STYLE, PAS TELLEMENT ÉLÉGANT,QUE JE RELÈGUE EN SECOND PLAN,HORIZONS ORAGEUX,POUR L'AFFRONT ON M'A DIT, T'AS QU'A ÊTRE COURAGEUX.AH OUAIS, LA VIE C'EST PAS UN JEU,OU ALORS IL EST HASARDEUX,ET MOI JE FAIS PLUS DE VŒUX,PRENDS CE TEXTE POUR UN AVEU.OUVRES GRAND TES OREILLES,DIS MOI SI JE SUIS MORT À L'ESSAI,CE QUE J’ESSAYE

DE FAIRE, ÇA TU ME L’AURAS LAISSÉ.C’EST DES CIRCONSTANCES CRITIQUES,QUI M’ONT DONNÉ L’ENVIE D’ÉCRIRE.DONC EN THÉRAPEUTIQUE,LE RAP JE ME SUIS FAIT PRESCRIRE.ET ÇA ME PLAIT,DE RETRANSCRIRE DES PLAIES, JE ME SENS PRÊT,PUIS LA SITUATION S’Y PRÊTE.ENCRE ROUGE COULEUR SANG,LARMES DE TRISTESSE ET HAINE COULENT ENSEMBLE,C’EST LA VIE ET PARFOIS FAUT SAVOIR FAIRE SANS.J’AI PLUS DE CENTS RAISONS DE CROIRE,QU’ELLE EST BIEN ABSURDE,QUAND LE CLIMAT EST RUDE,LAISSE PLACE À LA SOLITUDE.DONC JE TAILLE MA MINE,JE SUIS EN MANQUE DE VITAMINE,Y A QU’À REGARDER MA MINE, MINÉ,EN ABSENCE DE RICTUS,NOIR EST LE PROSPECTUS,LA MÉLANCOLIE FUSE,SOUVENT DE MONTRER JE REFUSE,ET CE AVEC BEAUCOUP DE RUSE.POUR RESSORTIR CE MAL J’AI EU DE L’INSPI, EN DE-SPEE,CETTE PAGE À L’ENCRE JE LA NOIRCIT,UN RAP DE PLAIGNANT AIGRI,CIEL H-24 GRIS,MAIS JE LE PRIE PAS JE L’ÉCRIS,COMME ÇA DANS MA TÊTE JE FAIS LE TRI.MES APPUIS DEVIENNENT FRÊLES,ET DANS MON JARDIN IL GRÊLE,IL NE POUSSENT QUE DES CHRYSANTHÈMES,DONC JE POUSSE DES CRIS SANS THÈMES,PAR CENTAINES, ET PAR TEMPS TERNE,EN D’AUTRES TERMES, POUR QUE TU COMPRENNES,QUE LE STYLO ET MA FEUILLE, POUR MOI UN PUTAIN D’EXUTOIRE,LE TRUC QUI M’AIDE PEUT-ÊTRE À UN PEU MOINS BRASSER DE NOIR.ET FAITES PLACE AUX REMORDS,LA TEMPÉRATURE BAISSE,C’EST UN SILENCE DE MORT,MON CŒUR DUR SE BLESSE.SE REMETTRE SUR LES RAILS,J’Y TRAVAILLE,EVITE FUME ET RAIL,UN RAP DE FUNÉRAILLES,JE DÉPLOIE TOUT MON ATTIRAIL.JE M’ENDURCIS, JE FAIS DES POMPES FUNÈBRESDU MAL À ME LE FARCIR,J’EN AI EU MAL AUX VERTÈBRES.JE COMMENCE TOUT JUSTE À SORTIR DES TÉNÈBRES,MON BLAZE C’EST K-LIXT,DANS CE MONDE JE SUIS PAS VENU EN TOURISTE,J’AI L’ASSURANCE TOUS RISQUES,JE SUIS UN PEU ÉQUILIBRISTE,MÊME QUAND CES DÉMONS DÉFILENT,ET QUE JE REPOSE SUR UN FIN FIL.MÊME QUAND CES DÉMONS DÉFILENT, JE REPOSE SUR UN FIN FIL.

REFRAIN.

DANSE AVEC ELLE

photographe: Gwendolyne Lipari

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Exposition

INSTITUT D’ART CONTEMPORAIN :

STANLEY BROUWNDu 06 juin au 19 août

GALERIE LE RÉVERBÈRE:Pierre Canaguier, Juste un avion dans le ciel / Thomas Chable, Site de LucyJusqu’au 21 juillet

GALERIE DATTA :THTF – ALCHIMIEDu 1er juin au 31 juillet

GALERIE LA BF15 :Iain Baxter& + Paul RaguenesDu 08 juin au 28 juillet

GALERIE 360 m³ :Nouvelle AireJusqu’au 16 juin 2012

OUVERTURE DU FESTIVAL MUZZ’ EN FÊTE PAR LA PSYKEDELIK CLIKplace du 8 mai 1945LYON 6900806/07

Soirée

Le 02/06 Gøing Steady Cløsing - Dockside Crew, Mojo, Nyco @ LA FÉE VERTELe 02/06 DANIEL BELL vs CHLOÉ @ LA PLATEFORMELe 08/06 GOURMETS REC // REUNION DE FAMILLE @ LE BLOGGLe 08/06 MAUVAIS GENRE #5 w/ ART DEPARTMENT - AQUARIUS HEAVEN - OUTBAK @ NINKASILe 15/06 One Night Stand #14 w/ Amirali + Outbak @ DV1

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