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OCTOBRE 2012 Du 8 au 11 octobre, s’est tenu à Québec, le Sommet international des Coopératives auquel était associé le Mouvement Desjardins. Pas moins de 130 conférenciers de renommée internationale y participaient, récipiendaires de prix Nobel, économistes, universitaires et chercheurs de diverses provenances ont présenté leur vision des défis actuels et futurs du modèle coopératif. En cette année des coopératives, nous vous invitons à vous inspirer de ces quelques citations de monsieur Alphonse Desjardins, fondateur de la première Cais- se populaire à Lévis, dont la pensée est encore novatrice et de madame Monique Leroux, présidente du Mouvement Desjardins. « Aujourd’hui comme à l’époque, de nombreuses personnes se sentent laissées pour compte par un système économique et financier mondial déconnecté de leur réalité. Certaines deviennent cyniques ou grossissent les rangs des indignés. L’en- gagement personnel, qui est à la base de la formule coopérative, peut autant faire partie de la solution en 2012 que c’était le cas en 1900. » (Monique Leroux, présidente du Mouvement Desjardins, 2012) Alphonse Desjardins (1905—1911) « L’effort individuel a presque seul, créé ce vaste mouvement coopératif, il est juste de reconnaître que la part principale de ce phénoménal succès revient à l’initiative individuelle de courageux pionniers. C’est donc l’initiative individuelle, qui est la pierre fondamentale sur laquelle doit reposer cet édifice économique. » (1907) « Puis cette accoutumance de recourir à la subvention de l’État n’est-elle pas déprimante en soi, n’amène-t-elle pas une anémie redoutable dans l’effort, une quasi-somnolence des énergies, par l’espèce de conviction qu’elle crée, que l’État doit tout fai- re. » (1906) « Ce qui caractérise surtout la société coopérative et la différencie de toute autre association fondée dans une pensée de pure spé- culation ou de bénéfices directs, c’est la parfaite égalité des sociétaires quant à leur droit individuel de régler sa marche et de peser sur ses décisions. Cette différence constitue une force, une sauvegarde presque irrésistible contre toute tentative d’accapare- ment de la part d’une ou de plusieurs individualités à leur avantage personnel, et au détriment des concurrents plus fai- bles» (1905-1906) « Sans l’épargne, tous les efforts sur le terrain économique seraient à peu près nuls. C’est le travail qui crée les richesses, mais c’est l’épargne qui les accumule et les perpétue. Sans l’épargne, jamais les capitaux n’auraient existé, et sans les capitaux, rien n’aurait été accompli. » (1911) «La coopération n’est pas une simple entreprise, elle est par-dessus tout, une école, un enseignement à la solidarité.» (1905-1906) S’engager plutôt qu’être spectateur. Contribuer plutôt que critiquer. Faire sa part pour améliorer les choses. C’est cette impulsion, cette volonté d’agir qui a été à la source de la naissance de toutes les coopératives. On ne parle pas assez de «l’aide-toi toi-même» en 2012. Devant les limites de l’État providence, il faut redécouvrir la puissance de l’initiative individuelle et son visage collectif, LA COOPÉRATION. (Monique Leroux, présidente du Mouvement Desjardins, 2012) Volume 4 No 3

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Du 8 au 11 octobre, s’est tenu à Québec, le Sommet international des Coopératives auquel était associé le Mouvement Desjardins. Pas

moins de 130 conférenciers de renommée internationale y participaient, récipiendaires de prix Nobel, économistes, universitaires et

chercheurs de diverses provenances ont présenté leur vision des défis actuels et futurs du modèle coopératif. En cette année des

coopératives, nous vous invitons à vous inspirer de ces quelques citations de monsieur Alphonse Desjardins, fondateur de la première Cais-

se populaire à Lévis, dont la pensée est encore novatrice et de madame Monique Leroux, présidente du Mouvement Desjardins.

« Aujourd’hui comme à l’époque, de nombreuses personnes se sentent laissées pour compte par un système économique

et financier mondial déconnecté de leur réalité. Certaines deviennent cyniques ou grossissent les rangs des indignés. L’en-

gagement personnel, qui est à la base de la formule coopérative, peut autant faire partie de la solution en 2012 que c’était

le cas en 1900. » (Monique Leroux, présidente du Mouvement Desjardins, 2012)

Alphonse Desjardins (1905—1911)

« L’effort individuel a presque seul, créé ce vaste mouvement coopératif, il est juste de reconnaître que la part principale de ce

phénoménal succès revient à l’initiative individuelle de courageux pionniers. C’est donc l’initiative individuelle, qui est la

pierre fondamentale sur laquelle doit reposer cet édifice économique. » (1907)

« Puis cette accoutumance de recourir à la subvention de l’État n’est-elle pas déprimante en soi, n’amène-t-elle pas une anémie

redoutable dans l’effort, une quasi-somnolence des énergies, par l’espèce de conviction qu’elle crée, que l’État doit tout fai-

re. » (1906)

« Ce qui caractérise surtout la société coopérative et la différencie de toute autre association fondée dans une pensée de pure spé-

culation ou de bénéfices directs, c’est la parfaite égalité des sociétaires quant à leur droit individuel de régler sa marche et de peser

sur ses décisions. Cette différence constitue une force, une sauvegarde presque irrésistible contre toute tentative d’accapare-

ment de la part d’une ou de plusieurs individualités à leur avantage personnel, et au détriment des concurrents plus fai-

bles» (1905-1906)

« Sans l’épargne, tous les efforts sur le terrain économique seraient à peu près nuls. C’est le travail qui crée les richesses, mais

c’est l’épargne qui les accumule et les perpétue. Sans l’épargne, jamais les capitaux n’auraient existé, et sans les capitaux, rien

n’aurait été accompli. » (1911)

«La coopération n’est pas une simple entreprise, elle est par-dessus tout, une école, un enseignement à la solidarité.» (1905-1906)

S’engager plutôt qu’être spectateur. Contribuer plutôt que critiquer. Faire sa part pour améliorer les choses. C’est cette impulsion,

cette volonté d’agir qui a été à la source de la naissance de toutes les coopératives. On ne parle pas assez de «l’aide-toi toi-même»

en 2012. Devant les limites de l’État providence, il faut redécouvrir la puissance de l’initiative individuelle et son visage collectif,

LA COOPÉRATION. (Monique Leroux, présidente du Mouvement Desjardins, 2012)

Volume 4 No 3

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La tarification des opérations a pour but d’assurer entre les membres un partage équitable des coûts engendrés par

l’utilisation des produits et services de la coopérative. Elle permet également le maintien d’un vaste réseau de guichets et

de points de service. Elle sert aussi à faire évoluer les services électroniques mobiles et Internet qui vous donnent toute

l’accessibilité à laquelle vous vous attendez de la part de votre institution financière.

Conseil no 1—Choisissez le bon forfait

� Combien de transactions effectuez-vous chaque mois ?

� Fonctionnez-vous en mode automatisé seulement ou faites-vous des transactions au comptoir ?

� Êtes-vous en mesure de conserver un solde minimal mensuel dans votre compte ?

SAVIEZ-VOUS QUE VOTRE FORFAIT POURRAIT ÊTRE TOUT À FAIT GRATUIT ?

Si vous maintenez, en tout temps, dans votre compte le solde minimal associé à votre forfait, celui-ci sera sans frais !

COMMENT ÊTRE SÛR DE CHOISIR LE BON FORFAIT ?

Visitez desjardins.com/forfaits et faites l’essai du sélecteur de compte et de forfait. Cet outil convivial et simple à utili-

ser vous permettra de trouver le forfait qui vous convient. Ou contactez-nous directement à la caisse, il nous fera plaisir

de vous conseiller.

Conseil no 2—Passez en mode autonome

� Inscrivez-vous gratuitement à Accès D

� Adhérez au relevé de compte en ligne

� Utilisez les guichets automatiques Desjardins

� Automatisez le paiement de vos factures

� Adhérez au virement en cas de découvert

� Privilégiez le dépôt direct

� Profitez du paiement direct lors de vos achats

Conseil no 3—Regroupez vos comptes

� Simplifie la gestion de vos comptes

� Peut permettre de conserver le solde minimal mensuel requis pour bénéficier gratuitement de forfait.

Pour comprendre et réduire vos frais de servicePour comprendre et réduire vos frais de servicePour comprendre et réduire vos frais de servicePour comprendre et réduire vos frais de service

Nouveaux billets en polymère Les nouveaux billets de 50$ et 100$ (et bientôt ceux de 20$) en polymère sont sensibles à la cha-

leur. Si vous exposez vos billets trop longtemps à une source de chaleur, ils risquent de se détério-

rer et même de fondre. Cela vaut aussi pour la sécheuse à linge ou le fer à repasser. Prenez note

que les nouveaux billets de 20$, ils arriveront sur le marché au cours du mois de novembre pro-

chain.

Retrait du sou noir (1¢) Vous avez sans doute entendu dire que la pièce de monnaie de 1¢ serait retirée du marché, c’est vrai ! Cela se

fera progressivement au cours des prochains mois, nous n’avons pas de date exacte encore. Il est bon de savoir,

que le sou noir conservera toujours sa valeur, ainsi vous n’aurez pas à vous précipiter pour vider vos tirelires.

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Maître de sa vie et de ses biens...Maître de sa vie et de ses biens...Maître de sa vie et de ses biens...Maître de sa vie et de ses biens...

S’informer pour mieux planifier sa retraite Le 18 septembre dernier, pas moins de 61 membres de la

Caisse Desjardins de la Vallée des lacs ont assisté à une

conférence portant sur le Régime de rentes du Québec (RRQ).

La conférencière invitée, une spécialiste en la matière, après

avoir expliqué les différentes normes reliées au programme de

retraite de la Régie des rentes du Québec, a généreusement

répondu aux questions des participants. De façon unanime, les

membres présents se sont déclarés très satisfaits des informa-

tions reçues.

La prochaine conférence se tiendra le mardi 30 octobre, à

Dégelis et aura pour thème « Le transfert d’entreprise et

ses impacts ». Contactez votre caisse pour réserver votre

place.

Atelier d’informationAtelier d’informationAtelier d’informationAtelier d’information

En septembre dernier, une invitation a été adressée au Club

des 50 ans et plus du territoire pour qu’ils manifestent leur

désir d’obtenir une séance d’information pour leurs membres

et la population en général portant sur « L’exploitation finan-

cière des aînés ». Dans cet atelier d’information, nous abor-

dons les points suivants:

�Qu’est-ce que l’exploitation financière ?

�Qui peut vouloir abuser financièrement d’un aîné ?

�Quels sont les signes d’abus financier ?

�Que faire si vous êtes victime ou témoin ?

�Quelques conseils de prévention et de sécurité ?

Cet atelier d’information s’adresse aux personnes aînées,

mais également à toute personne qui se sent interpellée par

le sujet. Si vous souhaitez que cet atelier se tienne dans votre

municipalité, contactez Ryna St-Pierre, par courriel à l’adres-

se : [email protected] ou par téléphone au 418-

855-2344 poste 236.

Les organismes avaient jusqu’au 7 septembre dernier pour déposer leur inscription de projet au Fonds d’aide au développe-

ment du milieu. Cinq projets intéressants ont été reçus. Les investissements proposés par ces projets s’élèvent à 182 411$.

Le conseil d’administration étudiera les projets déposés et fera connaître sa décision quant aux projets acceptés au cours du

mois de novembre prochain.

Nous vous rappelons que le conseil d’administration a défini 2 axes prioritaires d’intervention:

1. la rétention des jeunes

2. le développement économique par la diversification et l’emploi.

Je vous invite à la réflexion avec cette citation de M. Alphonse Desjardins, datée de 1905, qui nous rappelle que dans le mouve-

ment coopératif « l’argent doit être au service des gens et non le contraire »:

« Mais ces organismes ne se contentent pas d’accumuler des fonds, ils les rendent productifs par le crédit qu’ils accordent à

leurs sociétaires et aux corps publics de la localité, faisant ainsi un bien immense en provoquant l’épargne, en la gardant

dans le milieu où elle s’est formée, distribuant dans ce même milieu les bénéfices réalisés sur ces emplois, stimulant, fé-

condant les énergies appliquées au travail et l’esprit d’entreprise si favorable au développement des ressources locales. »

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Vous avez maintenant un outil génial à votre disposition sur AccèsD pour savoir où va votre argent à chaque mois,

sans avoir à compiler vos factures ou faire de longs calculs. Le nouvel outil « Mon budget », vous permet d’obtenir la

répartition de vos dépenses mensuelles et d’établir votre budget.

� Vous bénéficiez d’une catégorisation automatique de toutes vos transactions inscrites dans votre compte de caisse

et votre compte VISA Desjardins, vous pouvez l’adapter selon vos besoins.

� Vous avez accès au calcul de vos dépenses moyennes mensuelles par catégorie et pouvez ainsi équilibrer votre

budget de façon à fixer vos objectifs.

Voici à quoi cela ressemble:

Où va votre argent?

Obtenez la répartition de vos dépenses sans avoir à faire le moindre cal-

Alimentation 45%

Épargne 32%

Frais financiers 12%

Habitation 11%

Loisirs 7%

Santé / soins personnels 4%

Vos dépenses Septembre 2011 Ce mois-ci �

43 transactions n’ont pas pu être catégorisées 43 transactions n’ont pas pu être catégorisées 43 transactions n’ont pas pu être catégorisées 43 transactions n’ont pas pu être catégorisées Catégoriser ces transactionsCatégoriser ces transactionsCatégoriser ces transactionsCatégoriser ces transactions

%%%% $$$$

AlimentationAlimentationAlimentationAlimentation 45 % Santé / soins personnelsSanté / soins personnelsSanté / soins personnelsSanté / soins personnels 4 %

ÉpargneÉpargneÉpargneÉpargne 32 % Item 02Item 02Item 02Item 02 0 %

Frais financiersFrais financiersFrais financiersFrais financiers 12 % Item 03Item 03Item 03Item 03 0 %

HabitationHabitationHabitationHabitation 11 % Item 04Item 04Item 04Item 04 0 %

LoisirsLoisirsLoisirsLoisirs 7 % Non catégorisésNon catégorisésNon catégorisésNon catégorisés 0

Voir les transactionsVoir les transactionsVoir les transactionsVoir les transactions

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Il existe, malheureusement, différentes façons d’extorquer des fonds à

des personnes. L’une d’entre elles: une personne proche de vous com-

munique avec vous pour vous mentionner un besoin urgent d’argent.

Voici de quelle façon les choses se passent généralement.

Dans le scénario type de la fraude du « besoin d’argent urgent », un

parent reçoit un appel d’un fraudeur qui se fait passer pour un de ses

proches. Il affirme être en difficulté et avoir besoin d’argent immédiate-

ment. En général, il est question d’un accident, des difficultés éprou-

vées pour revenir au pays et d’un besoin d’argent urgent pour payer sa caution.

Vous pourriez recevoir l’appel de deux personnes, l’une prétendant être votre parent proche (frère, enfant, petite-

fille,etc.), et l’autre se disant policier ou avocat. Votre « parent proche » vous pose des questions lors de l’appel

pour vous amener à divulguer spontanément des renseignements personnels.

Les fraudeurs insistent pour que les autres membres de la famille ne soient pas au courant de leur situation. Ils

vous demanderont de leur transférer des fonds. Souvent, les victimes ne se rendent compte de leur méprise qu’a-

près avoir envoyé l’argent.

Dans certains cas, les fraudeurs prétendent être un ancien voisin ou un ami de la famille, mais en général, ce type

de fraude s’adresse directement aux grands-parents et parents proches.

FRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDE ---- pour mieux la détecterpour mieux la détecterpour mieux la détecterpour mieux la détecter

Réf.: Bureau de la concurrence Canada, Le petit livre noir de la fraude

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Une nouvelle dirigeante au conseil de surveillance

Nous sommes heureux de vous informer que Madame Annie Pelletier, de Lejeune, a

été nommée dirigeante au conseil de surveillance de notre Caisse, poste demeuré

vacant à la dernière assemblée générale annuelle. Nous la remercions et la félici-

tons au nom de tous les membres pour son engagement personnel à contribuer au

développement de notre coopérative. Madame Pelletier est une jeune maman de 3

enfants, qui habite à Lejeune, elle est une jeune femme entrepreneure qui travaille

dans le domaine acéricole. Ses connaissances et compétences sauront certainement apporter un point

de vue renouvelé au sein du conseil.

«Plus de 111 ans après la fondation de la première caisse, nous les membres, les dirigeants des caisses, les

gestionnaires et les employés, sommes en 2012 les fiduciaires de ce grand Mouvement. Il nous appartient, dans

le respect de sa nature et de ses valeurs, de le remettre à la génération suivante encore plus fort et encore mieux

adapté au monde d’aujourd’hui qu’il ne l’était quand nous l’avons reçu. » (Monique Leroux, présidente du Mouve-

ment Desjardins, 2012)

Le monde change... Le monde change... Le monde change... Le monde change... Pensez-y, il y a à peine 100 ans l’automobile, l’avion, la radio, la télévision, les bas de nylon, la fermeture éclair, la gomme, le

papier hygiénique n’existaient même pas. Le salaire moyen était de 300$/année. Plusieurs personnes mourraient de la grippe.

Les femmes n’avaient pas le droit de vote et l’espérance de vie n’était que de 47 ans.

Il y a environ 55 ans seulement… le déodorant, le baume pour les lèvres, le velcro, le McDonald, la carte de crédit, la pilule

anticonceptionnelle et la fameuse poutine n’existaient pas !

Il y a environ 25 ans… le disque compact, le téléphone cellulaire, le fax, l’ordinateur personnel et l’Internet n’existaient pas !

Il y a 5 ans, personne ou presque ne connaissait Facebook et Twitter.

Alors qui peut dire à quoi ressemblera le monde dans 25 ans ?

Oui, le monde a changé, pourtant, Socrate qui vivait dans la Grèce antique, il y a plus de 2400 ans et dont la sagesse a tra-

versé les siècles, disait en parlant des jeunes de son époque: « Notre jeunesse aime le luxe. Elle est mal élevée, elle se

moque de l’autorité et n’a aucune espèce de respect pour les anciens. »

Étrange n’est-ce pas qu’il ait parlé ainsi des jeunes, il y a 2 400 ans! Les façons de faire les choses évoluent, mais ce que

nous sommes, ce que nous pensons, les valeurs auxquelles nous nous rattachons ne changent pas aussi rapidement. La fa-

çon dont nous abordons les changements, nous appartient. C’est nous qui décidons d’être positif ou négatif devant ce qu’on

nous propose.

« Résister aux changements et à l’évolution, c’est comme essayer de remettre de la pâte dentifrice dans son tube.

C’est pratiquement impossible et ça fait tout un dégât. » (Patrick Leroux)