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Opéra de Reims
13 rue Chanzy 51100 Reims
Location tél : 03 26 50 03 92
SAISON 2011-2012
UN DE LA CANEBIERE operette de V. Scotto Pour faire les beaux, deux pêcheurs de
Marseille racontent des calembredaines
et se laissent embarquer dans une affaire de
huit cent mille boîtes de sardines. Seul hic, leur
conserverie fièrement installée sur la corniche
n’existe que dans leurs rêves. Cette grosse
menterie aurait pu, à elle seule, boucher
l’entrée du Vieux Port ou faire couler la solide
amitié des « pescadous ».
Mais l’esprit joyeux et ensoleillé des oeuvres de
Vincent Scotto ne pouvait être démenti sur cette
belle Canebière. Le mistral emporte les
tracasseries et fait place nette pour la noce
finale.
Impossible de ne pas être pris dans les filets de
Jacques Duparc et de sa mise en scène à
l’allégresse communicative. On s’y verrait bien
sur cette corniche à danser Le plus beau de
tous les tangos du monde et à chanter
la Cane… Cane… Canebière !
Sommaire
Zoom sur Jacques Duparc 2
A propos de la mise en scène 2
Argument 3
Vincent Scotto 3
L’opérette marseillaise 4
A exploiter en classe 4
Pour en savoir plus 5
Partition 6
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amet, consectetuer
Samedi 18 février – 20h30
Dimanche 19 février – 14h30 Durée : 2h45 avec entracte
Tarifs : 40€-30€-20€-10€
Chanté en tchèque, surtitré en
français
Jeu
ne p Service
Jeune Public
2
A PROPOS DE
LA MISE EN SCENE...
AVEC "UN DE LA CANEBIERE", COMMENT
EVITER LA CARICATURE MARSEILLAISE ?
« Cette opérette une véritable BD, avec
trois pieds nickelés et trois pieds
nickelettes. Trois hommes qui mentent à
trois femmes ; des pêcheurs fainéants,
bons à rien, mais sympathiques. J'ai
imaginé un bateau, leur univers, mais
qui reste à quai puisqu'ils ne travaillent
pas. Tout se passe dans et sur cet
univers, sauf le bal. Mais à côté du pur
divertissement, moi qui suis vendéen je
suis sensible à ce qui émane de cette
oeuvre, toute la poésie du Sud. Dans
cette "Canebière", la 2e pour moi, je veux
une respiration poétique, au-delà du rire,
avec des mots simples, des silences. De
la poésie autant que de la légèreté.»
L'OPERETTE EST-ELLE TOUJOURS
D'ACTUALITE ?
« Elle est l'héritière de son époque, le
XIXe siècle ; Il faut donc trouver pour
aujourd'hui d'autres formes de création,
qui conviennent plus directement à notre
époque : comme Laurent Petitgirard ou
comme la compagnie des Brigands. Mais
on a toujours grand plaisir à revoir les
grands classiques du répertoire ; dans ce
cas, il faut certes conserver l'esprit
d'origine, mais surtout varier les regards,
donc les plaisirs. »
Extrait d'une interview parue dans le
dauphine.com
Rencontre avec Jacques Duparc
Opérette et comédie musicale de nos jours
Mercredi 29 février – 18h / Entrée libre
Zoom sur Jacques Duparc
Durant ses études universitaires à la
faculté de droit et de lettre de Nantes, il
poursuit le cycle intensif à vocation
professionnelle de Comédie au
Conservatoire National de Région auprès
de Jacques Couturier. Il collabore ensuite
avec Jean-Luc Tardieu à la Maison de la
Culture de Nantes dans plusieurs
spectacles dont Irma la Douce et Si Guitry
m’était conté à la Comédie de Paris. Il
poursuit sa formation au Conservatoire
National Supérieur de Musique de Paris
où il obtient un premier Prix à l’unanimité
du jury. Cela le conduit à interpréter des
rôles de jeune premier sur les scènes
lyriques francophones, avec une
préférence pour Offenbach, Lehàr et
Messager. En tant qu’interprète, il
participe à la nouvelle production de
L’Homme de la Mancha mis en scène par
Antoine Bourseiller à Liège, aux côtes de
Jose Van Dam.
Dans ce même opéra, il a interprété la
comédie musicale Titanic et l’opérette
Trois Valses mis en scène par Jean-Louis
Grinda, spectacles repris sur de
nombreuses scènes. Parallèlement,
Jacques Duparc se tourne vers la mise en
scène de comédies musicales, opérettes
et opéras comiques, notamment : La
Veuve Joyeuse, Le Pays du Sourire, La
Chauve-souris (Avignon, Marseille et
Tours), Valses de Vienne (Toulouse,
Rouen), Phi-Phi, Ta Bouche, La Vie
Parisienne (Bordeaux) , Dédé de Chritiné
(Nancy), La Route Fleurie, Yes (Tours,
Rennes, Reims et Metz), Le Mikado
(Tours, Rennes, Metz, Nancy, St-Etienne
et Avignon), La Belle Hélène (Nancy,
Tours, Avignon, Menton, Reims,
Bordeaux…). A Paris, il met en scène Dédé
à l’Opéra-Comique, L’Auberge du Cheval
Blanc à Mogador (spectacle repris à
Avignon, Reims et Toulon). Il écrit et met
en scène la revue French Cancan pour
Les Folies Bergères et Le Sporting Club de
Monte Carlo. Parmi les plus récentes
productions mises en scène citons,
Passionnement (Rennes, Tours et
Avignon), Princesse Czardas (Metz,
Avignon et Reims), Un de la Canebière
(Avignon et Metz), L’Auberge du Cheval
Blanc (Avignon et Toulon). Outre son
activité de metteur en scène et de
chanteur, il écrit des comédies musicales
(livret et musique) inspirées par l’histoire
de sa région, La Vendée : Charette ou la
victoire des vaincus (1992) joué à La Cité
des Congrés de Nantes et à l’Opéra de
Tours (1994), Clemenceau, la tranchée
des baïonnettes (2005) joué à l’Opéra de
Reims (2008), 1588, De sel et de Braise
créé au Festival Musical de L’Abbaye de
L’Ile Chauvet en Vendée (2007),
Bonchamps, la Force du Pardon créé au
printemps 2010.
Jacques Duparc soutient et participe à la
formation de jeunes chanteurs dans le
cadre de L’Académie Internationale de
Comédie Musicale à Paris.
3
Argument ACTE I
Le petit port de pêche du Vallon des Auffres, situé
sur la corniche, abrite de joyeux pescadous. Trois
d’entre eux forment un trio inséparable : Toinet,
petit patron pêcheur et ses deux camarades
Pénible et Girelle.
Lorsque l’action débute, Toinet et Girelle viennent
de passer une partie de la nuit dans un dancing
où ils ont fait la connaissance de deux jolies filles,
Francine et Malou, simples revendeuses du
marché. Le champagne aidant, les deux
pescadous déclarent être les directeurs d’une
usine de conserves, tandis que les jeunes filles se
sont faites passer pour des vedettes de cinéma.
Les trois amis ont en effet un ambitieux projet,
créer une usine où seront mises en boîtes les
sardines de leur pêche. Pénible a demandé à sa
tante Clarisse de financer le projet mais il s’est
heurté à un refus. Pénible est amoureux de
Margot, une marchande de légumes, mais celle-ci
aime Girelle, qui pourtant dédaigne l’amour de
cette femme trop encombrante à son gré.
Lorsque Francine et Malou racontent leur soirée à
Margot, elle ne tarde pas à identifier les soi-disant
directeurs. Toutes les trois décident de donner
une petite leçon aux pescadous. Elles s’assurent
la complicité du riche Bienaimé des Accoules, vieil
admirateur de Malou, présenté au trio comme un
riche négociant, désireux de leur acheter une
grande quantité de boîtes de sardines. Heureux,
les trois amis acceptent de passer un contrat et le
jour de la signature, Pénible n’hésite pas à se
déguiser en tante Clarisse, commanditaire de leur
affaire.
Mais une clause embarrasse les trois pescadous
car ils devront verser une somme importante en
cas de dédit. Ils décident alors de faire disparaître
tante Clarisse, ainsi, il y aura un cas de force
majeure pour annuler le fameux dédit. Le trio
espère faire croire que la tante s’est noyée en
laissant dériver en mer une barque contenant des
effets de la pseudo tante Clarisse. Coup de
théâtre, lorsque le lendemain, ils reçoivent la
visite de Garopouloff, riche négociant russe, qui
avoue avoir éventré leur barque avec son yacht et
qui est persuadé d’avoir causé la mort de la tante.
Les pescadous acceptent généreusement de ne
pas prévenir la police, à condition que
Garopouloff commandite leur usine à la place de
la vieille dame.
ACTE II
Margot veut savoir comment les trois amis ont
trouvé l’argent. Elle fait mine de répondre enfin
aux assiduités de Pénible, lequel lui confesse
l’essentiel de l’affaire. Margot va pouvoir se
venger de l’indifférence de Girelle en prévenant
Bienaimé qui s’empresse d’avertir à son tour
Garopouloff.
Entre temps, Pénible raconte à ses amis son
entretien avec Margot et tous trois organisent la
parade. Lorsque Bienaimé et Garopouloff se
présenteront, on affirmera que la tante Clarisse
existe bien, qu’elle a été retrouvée vivante, mais
qu’elle est maintenant frappée d’amnésie.
En effet, Bienaimé et Garopouloff sont convaincus
à la vue de Pénible/tante Clarisse sur une chaise
roulante, poussée par Girelle. Mais Pénible,
quelques instants plus tard, raconte bêtement
tout à Margot. Le coup de théâtre est l’arrivée de
la véritable tante Clarisse qui va finalement
accepter de commanditer l’affaire et de
rembourser Garopouloff. Le pauvre Bienaimé se
trouve avec huit cent mille boîtes de sardines sur
les bras…
Toinet, ayant appris la vérité sur Francine,
retrouve enfin et se jette dans ses bras. Un triple
mariage récompensera les trois amis de toutes
leurs peines.
Tout est bien qui finit bien.
Photo du petit port du Vallon des Auffres
VINCENT SCOTTO 1876-1852 - Compositeur
Vincent Scotto est né à Marseille en 1876. Il nous
a légué une soixantaine d’opérettes et près de
quatre mille chansons parmi lesquelles : J’ai deux
amours, Sous les ponts de Paris (1913), Le plus
beau de tous les tangos du monde (1934) et La
Java bleue (1938).
UN MUSICIEN INSTINCTIF
Vincent Scotto joue de la guitare et compose des
chansons sans avoir véritablement appris la
musique. En 1906, il propose à Polin, étoile du
Café-concert, alors de passage à Marseille, une
chanson, El navigatore, dont les paroles
transformées par celui-ci vont devenir La Petite
Tonkinoise.
Cette chanson connaît un très grand succès à
Paris et elle fera ensuite le tour du monde
chantée par Joséphine Baker.
Après le succès de La Tonkinoise, Scotto s’installe
à Paris dans le quartier du Faubourg Saint-Martin
où il devient l’un des compositeurs les plus en
vogue, écrivant pour Mistinguett, Maurice
Chevalier, Joséphine Baker, Tino Rossi et Edith
Piaf.
Parmi la soixantaine de productions scéniques de
Scotto, dont les fameuses Violettes Impériales en
1948, on relève dix opérettes marseillaises. De
celles-ci, trois se distinguent : Au Pays du Soleil
(1933), Trois de la Marine (1932) et Un de la
Canebière (1935).
MUSIQUE ET CINEMA
La popularité toujours actuelle de Scotto
s'explique aussi par les nombreuses
musiques qu'il a composées pour le cinéma.
On ne dénombre pas moins de 200 films à
son actif, dont ceux de son ami Marcel
Pagnol. Ce dernier lui confia même le rôle-
titre dans Jofroi en 1933.
Marcel Pagnol lui écrivit un jour ce bel
hommage :
« Mon cher Vincent, quand tu partiras, tu
laisseras cent ou deux cents chansons, des
sentiments à toi, des idées à toi, qui feront
encore du bien à des gens qui ne sont pas
nés. »
4
L’OPERETTE MARSEILLAISE
Marseille et son fameux Alcazar, la célèbre et
très exigeante salle avait vu, depuis le début du
siècle, outre les spectacles parisiens de music
hall et d’opérette, la naissance de vocations
régionales brillantes comme celles de Raimu,
Fernandel et Tino Rossi.
L’opérette marseillaise fut tout d’abord un
genre local avant de monter à Paris en 1937
dans le sillage de son représentant le plus
célèbre : Vincent Scotto.
Il meurt en 1952, un an avant la création de
son dernier ouvrage, Les Amants de Venise.
L’Alcazar fut construit en 1857 sur le
Cours Belsunce, à deux pas de la
Canebière. C’est à l’époque un café-
concert pouvant accueillir jusqu’à
2000 personnes où les plus grands
artistes nationaux viennent se
produire lui apportant rapidement
une belle renommée.
A EXPLOITER EN CLASSE
La culture marseillaise à travers l’œuvre de Marcel Pagnol
Les chansons de Vincent Scotto très abordables dès le collège : J’ai deux
amours, Sous les ponts de Paris, la Tonkinoise… et celle tirée de Un de la
Canebière « la cane canebière »…
DEFINITION
On a désigné sous le terme d'opérettes
marseillaises une suite de spectacles
méridionaux qu'avait crée Vincent Scotto,
René Sarvil et Henri Alibert en 1932 à Paris.
Les livrets de René Sarvil sont écrits pour le
rythme, l'intrigue, les rebondissements et la
vis comica comme un théâtre de boulevard.
La partition à l'italienne de Vincent Scotto
adaptée à la tessiture des voix du music-hall,
est structurée comme pour l'opérette lyrique.
C'est une synthèse de tout ce que
produisirent depuis le 19ème siècle les
spectacles de divertissement marseillais.
Ce théâtre musical chanté eut un tel
retentissement artistique, qu'à partir de cette
date, il donna son nom à un nouveau genre
et à tous les spectacles avec accent. Il fut
souvent plagié non sans talent, et confondu
avec les revues.
Le label d'opérette marseillaise reconnu par
la critique dès le soir de la première ne peut
être appliqué qu'aux seuls spectacles crées
par Scotto et Sarvil, produits et interprétés
par Henri Alibert et sa compagnie de 1932 à
1945.
Le corpus est composé de 7 opérettes et de
51 chansons.
Sarvil : Revue à l'Alcazar
RENÉ CRESCENZO dit SARVIL 1901-1975 - libretiste
Premier fils d’un émigré napolitain tailleur
d’habits, et d'une ciotadine, il naît à Toulon au
Pont du Las lors d’une pérégrination temporaire
de ses parents. Il passa son enfance à Marseille,
y fit ses débuts amateur à 15 ans, puis comme
beaucoup d’autres, « monta » en 1930 à Paris, où
il fit carrière. La famille de sa mère (Lotéro)
d’origine génoise était installée depuis le début
du XIXème siècle dans les vieux quartiers de
Marseille, Rue Torte (une des plus vieilles rues de
la cité) chassée vers 1860 par l’installation du
grand lupanar, ces Sanjanins émigrèrent à
nouveau à La Ciotat, où ils travaillaient dans la
charpenterie de marine et la voilerie. Cette
filiation lui transmettra une parfaite connaissance
de ce petit monde de marins et de pécheurs, dont
il s’est fait le chroniqueur au second degré. Il
connaît bien le parler marseillais et comprend le
Provençal que parle une de ses grand-mères. Sa
femme Juliette Clinchard dite Saint Giniez auteur
dramatique 1908-1980, petite fille d’un Capoulé
di Tambourinaïre félibréen du Var, ami de Mistral,
lui apporta en dot l’autre partie de ce qui
constituera l’ossature de leur parfaite maîtrise de
la culture de la Provence littorale. Toutes ces
influences contribueront à donner un caractère
traditionnel à ce qui va devenir Les Opérettes
Marseillaises. Parolier, auteur d’un millier de chansons sur 50
années de carrière, il a écrit pour les plus grands
de l’époque : Mayol, Chevalier, Fernandel, Tino
Rossi, Edith Piaf, Marie Dubas,
Reda Caire etc… Il excellait dans de nombreux domaines. Adrien
Eche, historien du music hall, le définit ainsi : Possède plus d’une corde à son arc. Il est à la fois
chansonnier, Auteur dramatique, Acteur.
Remarquablement doué, il réussit dans les trois
genres* (Marseille sur Scène) Chansonnier sous contrat à la Lune Rousse de
1930 a1936 il écrivait tous les spectacles et les
revuettes du lieu mythique de l’esprit
montmartrois, pour son complice Pierre Dac.
Végétant, il n’en jouait pas moins les utilités et le
Marseillais de service auprès des touristes Rue de
Clichy, lorsque Alibert vint le chercher pour écrire
la Revue Marseillaise. Cette initiative installera
définitivement le genre marseillais dans la
capitale. Puis avec Vincent Scotto, ils vont créer
ce qui restera la synthèse de la longue tradition
de spectacles marseillais. A la demande de son commanditaire, il produira
ainsi les sept livrets et toutes les paroles des
chansons de ce corpus qui entrera dans le
patrimoine de la cité phocéenne, les Opérettes
Marseillaises Il est aussi en 1935 avec Hyppolite Ackerman, le
créateur de ce qui restera comme le dernier Noël
de la tradition calendale le naïf et populaire Noël
des Petits Santons. Il sera enfin l'auteur de la
majorité des revues qui se jouaient à Marseille
entre 1939 et 1944 à l’Odéon de la Canebière,
ainsi que celles qui clôtureront le cycle
mémorable de l’Alcazar du Cours Belsunce
(1951-1965) avant qu'il ne prenne en 1968 une
retraite bien méritée. Il se retire aux Arcs sur
Argens(Var)village de sa femme Juliette.
5
POUR EN SAVOIR PLUS
FILMOGRAPHIE
UN DE LA CANEBIERE (1937)
BIBLIOGRAPHIE
CRESCENZO, Georges, La véritable histoire de l'Opérette Marseillaise, Autres temps, "temps mémoire', 2005, 214 pages.
De Georges Villars, premier parolier de Vincent Scotto en 1906, à René Sarvil (dont c'est l'anagramme phonétique), son dernier porte-parole dans Marseille mon pays (1951) pour Tino Rossi, c'est toute l'histoire des opérettes marseillaises qui nous est proposée.
Etiquetées dans le répertoire comique de divertissement, elles eurent à souffrir d'un dédain provoquant un déficit de respectabilité.
Cet ouvrage, le premier sur le sujet, devrait permettre à ce théâtre musical chanté (comédie musicale),
authentique et populaire, d'être reconnu comme faisant partie du patrimoine culturel marseillais.
SUR DEMANDE
LE CD d'accompagnement de la chanson célèbre "un de la canebière", tirée de l'opérette éponyme
.
Script: Henri Alibert, Vincent Scotto
Photo: Nicolas Toporkoff
Musique: Vincent Scotto
avec :
Henri Alibert (Toinet), Germaine Roger (Francine),Rellys (Pénible),
René Sarvil (Girelle),Maximilienne (La vraie tante Clarisse),Charles
Dechamps (M. Bienaimé des Acoules)
Durée : 98 minutes
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