txt ribambelle-2 les-secrets-veritables exploi-peda ... · 3 les secrets véritables, partie 2...

Nom prénom : …………………………………………………………………………………………………………...

2

Les secrets véritables, découverte de l’album Lecture

Complète la fiche d’identité de l’album. 1

Auteur : Titre :

Illustrateur : Illustrateur de la couverture : Editeur : Collection :

Coche la définition exacte du mot encadré. 2

secret véritable

� Toute petite chose que l’on ne peut pas voir.

� Quelque chose qui est difficile à comprendre.

� Quelque chose qui doit rester caché, qui ne doit pas être répété.

� Se dit d’un objet posé sur une table en verre.

� Se dit de quelqu’un qui est énervé, irrité.

� Se dit de ce qui est vrai, réel.

Complète le texte de la 4è de couverture avec les mots proposés. 4

devenir - changer - marcher - guérir - ouvrez - sont - hésitez

Les secrets véritables

Vous voulez savoir comment ………………………………………... en or les couteaux en argent de votre mémé ? Vous

voulez ………………………………………... les blessures, ………………………………………... invisible, ………………………………………... les

pieds en l’air et la tête en bas ?

N’ ………………………………………... plus, ………………………………………... ce livre.

Les secrets véritables du Grand Albert ………………………………………... à vous, maintenant.

Les secrets véritables, partie 1 Lecture

Ecris une phrase contenant le mot « secret » et une autre contenant le mot « véritable ». 3 �

Quel autre secret aurais-tu aimé découvrir dans ce livre ? 5

Coche les réponses exactes. 1

Cette histoire se passe :

� chez le Grand Albert � chez Vincent � chez Jessica � chez mémé Thérèse

� en hiver � en automne � au printemps � en été

Souligne en vert ce qui indique la durée des vacances chez mémé Thérèse. Colorie en bleu ce que pense celui qui raconte l’histoire. Entoure en rouge ce que dit Vincent.

2

– C'est long, un mois, dis-je à mi-voix.

Nous sommes pour un mois chez mémé Thérèse.

« Un mois sans les parents, c'est la belle vie », comme dit notre cousin

Vincent.

�

3


Colorie la phrase, sur les deux, qui correspond à l’histoire. 3

�

Jessica est la sœur du narrateur.

Jessica est la sœur de Vincent.

Vincent est le frère du narrateur.

Vincent est le cousin du narrateur.

Le narrateur est le petit-fils de mémé Thérèse.

Le narrateur est le fils de mémé Thérèse.

On ne connaît pas le nom du narrateur.

On connaît le nom du narrateur.

Réponds aux questions sur ton cahier. 4

a) A ton avis, qui raconte l’histoire ? b) A quel moment de la journée sommes-nous ? c) Que font les enfants ? d) Qu’est-ce que les enfants ont trouvé caché dans la pile de journaux ?

Avec les étiquettes, reconstruis le résumé du texte sur ton cahier. 1 �

� Réponds aux questions sur ton cahier. 2

a) Comment s’appelle l’enfant qui raconte l’histoire ? b) Copie la phrase du texte qui t’a permis de trouver la réponse. c) Pourquoi les enfants écrivent-ils leurs prénoms sur la couverture du cahier ?

3 � Dans le texte, Robin dit : « Moi aussi, j’ai un secret. A ton avis, quel est ce secret ?


Coche ce qui correspond au texte (une ou plusieurs bonnes réponses). 1

Les enfants...

� sont dans le jardin de leur grand-mère. � sont dans le marais.

� pensent que le caillou est de l’onyx. � discutent d’un des secrets véritables.

� préparent une recette à partir d’orties et d’onyx.

� cachent la pierre noire dans les orties.

Réécris ce passage en remplaçant les mots soulignés et en gras par les vrais mots du texte. 2 � « Si l’on veut faire de la peine et effrayer quelqu’un, on prendra la pierre d’onyx dont la couleur est

noire. Si on la met sous l’oreiller de quelqu’un, il deviendra malheureux et il fera des cauchemars. Ce secret est véridique. »


a) Pourquoi Vincent pense-t-il que le caillou est de l’onyx ? b) A ton avis, pourquoi les enfants ont-ils dessiné une tête de mort sur le pot ? c) Si mémé Thérèse trouve ce pot avec une tête de mort, que va-t-elle faire à ton avis ? d) A ton avis, pourquoi les enfants n’ont-ils pas le droit d’aller dans les marais ? e) Qui les en empêche ?

4


Numérote les phrases dans l’ordre de l’histoire. 1

�La grand-mère leur parle puis s’éloigne.

�Ils lisent le quatrième secret.

�Les enfants font semblant de jouer à chat.

�Mémé Thérèse arrive.

�Ils se demandent où trouver les ingrédients pour le réaliser.

�Vincent, Robin et Jessica sortent alors le cahier caché dans un seau.

� Dans ton cahier, écris la liste des ingrédients nécessaire pour changer l’argent en or. Attention à la manière dont tu présentes ta liste.

2

Entoure la fin de la phrase qui correspond à l’histoire. 3

Jessica tape sur le bras de Robin comme si

elle chassait une mouche.

elle le taquinait.

elle jouait « à chat ».


a) Pourquoi les enfants ne vont-ils pas chercher des orties pendant la journée ? b) Crois-tu que mémé Thérèse sera vraiment contente ? Pourquoi ? c) Pourquoi les enfants ont-ils caché le cahier ?


Ecris « vrai » ou « faux » ou « on ne sait pas ». 1

• Le couteau spécial de mémé est en or.

• Vincent et Jessica sont embêtés de voir que Robin a choisi le

couteau spécial de mémé.

• Les enfants se lèvent à trois heures du matin.

• Quand les enfants sortent, mémé entend le bruit de la clé dans la

serrure.

• Les oiseaux bizarres sont des chauves-souris.

• Au retour, les enfants ne ferment pas la porte à clef.

• Ils ont quand même réussi à cueillir deux orties.

……………………………………………………………….

……………………………………………………………….

……………………………………………………………….

……………………………………………………………….

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……………………………………………………………….

……………………………………………………………….

Complète chacun des deux textes avec les mots de l’album. Puis illustre chacun d’eux. 2

1. Le ciel est …………………………………………………. , d’un

…………………………………………………. un peu

…………………………………………………. , et par moments, il

s’illumine à l’horizon.

5


Complète les bulles avec les paroles des personnages.

2. J’ai peur de l’orage. Soudain, ma sœur pousse un

cri. je lève la tête. Il y a deux oiseaux bizarres qui

…………………………………………………. près du noyer. On ne

…………………………………………………. comme une balle et

…………………………………………………. .


a) Pourquoi les enfants n’ont-ils pas demandé à regarder la télévision ? b) Pourquoi les enfants ont-ils pris des gants en caoutchouc ? c) Pourquoi les enfants n’ont-ils ramené que deux orties au lieu de trois ? d) A ton avis, pourquoi Vincent et Jessica sont-ils embêtés que Robin ait pris le couteau de mémé ? e) Que se serait-il passé si mémé n’avait pas été un peu sourde ?

1

Coche ce qui correspond à l’histoire. 2

Robin appelle sa maman : � « Maman ! Viens me retrouver ! C’est trop long un mois. »

� « Maman ! Viens me chercher ! C’est trop long un an. »

� « Maman ! Viens me chercher ! C’est trop long un mois. »

6



Barre les mots intrus. 3

�


a) Quel est le secret de Robin ? b) Qu’est-ce qui a réveillé Robin ? c) Pourquoi Jessica et Vincent ont-ils caché le caillou sous l’oreiller de Robin ? d) E toi, aurais-tu mis ce caillou sous l’oreiller de Robin ? Pourquoi ?

� Les ingrédients trouvés et ramenés par les enfants sont-ils exactement ceux du secret de « pour changer de l’argent en or » du cahier ? Pour chacun, indique « oui » (ce sont ceux du secret) ou « non » (ce ne sont pas ceux du secret). Si tu réponds « non », explique pourquoi.

1

a) les orties b) les pattes de poulet

Coche ce qui correspond à l’histoire. 2

� Vincent

� Robert

� Albert

� Là-bas, personne ne les verra.

� Là-bas, il y a des herbes sèches.

� là-bas, ils trouveront des allumettes.

a) Quel est le prénom du voisin de mémé ? b) Pourquoi les enfants vont-ils derrière la cabane ?

Ce n'était pas un très gros feu. On l'a éteint avec le marais tuyau d'arrosage comme font les

pompiers. La gamelle manteau du chien était toute fondue. Vincent a joli ramassé le couteau

sans que mémé le voie. Il est vraiment spécial maintenant : tout police noir et tout tordu. On

l'a jeté dans jamais les orties.

Sur ton cahier, recopie les paroles de mémé lorsqu’elle gronde les enfants. 4

c) le lait d) le couteau en argent


a) Qui est Mme Servat ? b) Pourquoi la gamelle du chien a-t-elle fondu ?

Numérote les phrases dans l’ordre de l’histoire. 1

�Pendant ce temps, Jessica va chercher le citron et un couteau.

�Les enfants relisent le secret qui permet de devenir invisible.

�Robin coupe la peau du citron avec le nouveau couteau spécial de mémé.

�Les garçons écrasent les grappes de sureau pour en faire du jus.

�Il se blesse.

�Aussitôt, Vincent lit le secret pour guérir les coupures et les enfants fabriquent un onguent avec du plantain, un œuf et du roquefort.

7

Colorie en jaune les ingrédients pour devenir invisible et en bleu les ingrédients pour arrêter le sang de couler. 2

un anneau la pelure d’un citron du plantain du jus de fleur de sureau

un ognon du jaune d’œuf du suc de raifort des clous de girofle


a) Que ferais-tu si tu étais invisible ? b) Essaierais-tu sur toi le secret pour guérir les coupures (la potion) ? Pourquoi ?

� Les enfants ont-ils eu raison d’utiliser du roquefort à la place du raifort ? Pourquoi ?

Plante médicinale utilisée pour lutter contre la toux. On le prépare souvent sous forme de tisane (infusion), de capsule (cachet) ou de sirop.

Plante à très grandes feuilles, et une longue racine pivotante, charnue, de couleur blanche. On utilise la racine pour cuisine, un peu comme des radis.

Fromage fabriqué avec du lait de brebis.

�

8


Colorie les mots qui conviennent. 2

Avec les étiquettes, reconstitue le texte dans l’ordre sur ton cahier. 1

�

Retrouve et recopie la phase de l’album qui signifie la même chose que ceci :

Dans le cahier, il y a la recette pour rester toujours jeune.Dans le cahier, il y a la recette pour rester toujours jeune.Dans le cahier, il y a la recette pour rester toujours jeune.Dans le cahier, il y a la recette pour rester toujours jeune. 3 �


a) Pourquoi Robin va-t-il vers le robinet et fait-il couler l’eau longtemps ? b) Pourquoi les enfants veulent-ils fabriquer le secret de l’éternelle jeunesse ?

« pourquoi », pas « pour qui », fais attention… c) Pourquoi les enfants ne vont-ils pas fabriquer le secret de l’invisibilité finalement ?

9


Barre les trois phrases intruses qui se sont glissées dans ce résumé. 1

Il pleut. Tant mieux. Les enfants ont posé une tasse sur le bord de la fenêtre

pour recueillir l’eau de pluie. Vincent lit. Le Grand Albert va au marché.

Mémé entre, parle aux enfants et aperçoit le cahier des secrets. Elle le

reconnait :

- Ce sont des recettes magiques que vos parents ont écrites quand ils étaient

petits !

Le père Mauvoisin a vu le feu. Les enfants comprennent alors que le Grand

Albert n’existe pas. Il faut trois orties cueillies au lever de la lune. Dehors le vent souffle, la tasse se

renverse. Tant pis !

Trois phrases ont été mélangées. Reconstitue-les en les coloriant d’une couleur différente chacune. 2

Pour le secret de l’éternelle jeunesse,

demande mémé Thérèse. quand ils étaient petits.

- Vous ne vous ennuyez pas trop, les enfants ?

écrivaient des recettes de magie dans laquelle on met des pétales de rose.

- Votre maman et votre papa il faut de l’eau de pluie en entrant dans notre chambre.


a) Qui sont les véritables auteurs du cahier de secret ? b) Pourquoi Jessica fait-elle un signe à Robin quand mémé entre dans la chambre ? c) Pourquoi Robin dit-il « Tant pis ! » quand la tasse se renverse ?

� Dans l’histoire, Robin nous dit : « Quand je serai grand, j’habiterai sous les arbres. » Et toi ?

Complète : Quand je serai grand, ...Quand je serai grand, ...Quand je serai grand, ...Quand je serai grand, ... 4


A Robin est en train de lire le n°233. Il s’aperçoit que Jessica et Vincent ne sont plus là. Il pense qu’ils doivent être au marais. Il sort dans le couloir mais rencontre un fantôme qui lui fait très peur et qui lui tombe dessus. Robin éclate de rire et appelle mémé pour qu’elle s’amuse avec eux.

B

Robin est en train de lire le n°233. Il s’aperçoit que Jessica et Vincent ne sont plus là. Il pense qu’ils doivent être au grenier. Il sort dans le couloir et retrouve ses cousins qui jouent avec des vieux rideaux. Robin qui a vu un fantôme pleure à gros sanglots mais mémé qui arrive du grenier le console en le serrant contre sa poitrine.

C

Robin est en train de lire. Il s’aperçoit que Jessica et Vincent ne sont plus là. Il pense qu’ils doivent être au grenier. Il sort dans le couloir et rencontre un fantôme qui lui fait très peur et qui lui tombe dessus. Robin pleure à gros sanglots mais mémé le console en le serrant contre sa poitrine.

Colorie le numéro du résumé qui correspond au texte de l’album. Barre les mots faux ou les phrases fausses dans les deux autres.

1

Les enfants vont bien, il n’y a que Robin...

10

Relie chaque personnage à ce qu’il dit. 2

�

� – Vincent... C'est toi ?

� – Ah, ah, tremble, carcasse ! Je suis le Grand Albert !

Vincent � � – Mémé !

Robin � � – Mon dessus-de-lit. Sors de là, Robin !

mémé Thérèse � � – Je savais bien que c'était Vincent !

� – Je veux ma maman ! Je veux ma maman !

Dessine ce qui est caché sous le drap. 3

Pourquoi Robin réclame-t-il sa maman ? 4


Imagine ce que répond la maman de Robin lorsque mémé Thérèse l’appelle. Ecris-les. 1

… Non, ça ne fait rien, si tu ne peux pas, tu ne peux pas. Ne t’inquiète pas. Tout ira bien.

Non, pas de rhume. Mais sa maman lui manque. C’est le plus bébé des trois.

Viens donc le voir samedi. Ça lui fera une surprise.

11

Coche ce qui correspond au texte. 2

1. Robin pleure parce que... 2. Jessica a un secret de magie pour…

� un mois, c’est long. � devenir invisible.

� il a une poussière dans l’œil. � ne pas faire de cauchemar.

� Jessica vient le voir. � ne pas pleurer.

3. Lorsque les lettres commencent à s’effacer, il faut…

4. Ce secret est véritable parce que…

� les repasser au stylobille. � Robin a écrit dans sa main.

� écrire le même mot en dessous. � Robin a retrouvé sa maman.

� attendre qu’on ne voit plus rien. � Robin n’a plus pleuré depuis.

Fais un dessin qui explique à quoi ressemble le secret de Jessica. 3

Vrai ou faux ? 4

a) Robin ne pleurait pas tout seul dans son lit. ………………………………………...

b) Jessica écrit le mot « maman » dans sa main tous les soirs. ………………………………………...

c) Robin rougit parce que mémé Thérèse a dit que c’était le plus grand des trois. ………………………………………...

d) La maman de Robin appelle pour prendre des nouvelles. ………………………………………...

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Les secrets véritables, partie 5 Activité de recherche

Colle chaque étiquette au bon endroit, en faisant correspondre chaque situation. Souligne au crayon de papier dans le texte, les mots qui t’ont permis de répondre.

Mémé Thérèse et les enfants dans la cuisine

Pendant le dîner, Vincent et Jessica me font des grimaces. C'est moi qui débarrasse la table, ce soir. Il faut que je mette un couteau dans ma poche. J'ai choisi le couteau préféré de mémé. Elle sera fière quand il sera en or. – Mais qu'est-ce que vous avez à vous agiter ? dit mémé. C'est l'orage dans l'air qui vous énerve ?

Discussion dans la chambre

La clef de la maison est sur la cheminée. Elle fait un bruit énorme quand nous la tournons dans la serrure. Heureusement, mémé est plutôt sourde. Nous courons jusqu'au jardin. Le ciel est étrange, d'un noir un peu rouge, et par moments, il s'illumine à l'horizon. – C'est l'orage dans l'air, dit Vincent. Passe-moi les gants ! Nous avons pris les gants en caoutchouc qui servent à faire la vaisselle. Vincent les enfile et coupe une ortie. – Combien j'en prends ? – Cent, dit Jessica. Elle est idiote. – Trois, dis-je.

Sortie nocturne dans le jardin

Pour une fois, on ne lui a pas demandé de regarder la télé. On monte vite dans notre chambre. – Tu en as un ? me demande Jessica. – Le voilà ! – Oh, c'est le couteau spécial de mémé ! Vincent et Jessica ont l'air embêtés. – Et alors, qu'est-ce que ça fait ?

Attaque des chauves-souris dans le jardin

Nous nous sauvons jusqu'à la maison, nous fermons la porte à clef, nous montons dans notre chambre et nous nous enfouissons dans nos lits. On a deux orties. Je crois que ça suffira.

Retour précipité dans la chambre

J'ai peur de l'orage dans l'air. Soudain, ma sœur pousse un cri. Je lève la tête. Il y a deux oiseaux bizarres qui tournoient près du noyer. On ne dirait pas qu'ils volent, mais qu'ils tombent comme une balle et rebondissent. – Des chauves-souris ! hurle Vincent. On les appelle aussi pipistrelles.

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cou

teau

dan

s m

a po

che.

J'a

i ch

oisi

le

cout

eau

préf

éré

de m

émé.

Elle

ser

a fiè

re q

uand

il

sera

en

or.

–

Mai

s qu

'est

-ce

que

vous

ave

z à

vous

agi

ter

? d

it m

émé.

C'e

st l

'ora

ge

dans

l'ai

r qu

i vou

s én

erve

?

La c

lef

de

la m

aiso

n es

t su

r la

che

min

ée.

Elle

fai

t u

n br

uit

énor

me

qu

and

nous

la t

ourn

ons

dans

la s

erru

re.

Heu

reus

em

ent,

mém

é es

t pl

utôt

so

urde

. N

ous

cour

ons

jusq

u'au

jar

din.

Le

cie

l es

t é

tran

ge,

d'u

n no

ir u

n pe

u ro

uge

, et p

ar m

omen

ts, i

l s'il

lum

ine

à l'h

oriz

on.

–

C'e

st l'

ora

ge d

ans

l'air,

dit

Vin

cent

. Pas

se-m

oi

les

gant

s !

Nou

s av

ons

pris

les

gant

s en

cao

utch

ouc

qui s

erv

ent

à f

aire

la v

aiss

elle

. V

ince

nt le

s en

file

et c

oup

e un

e or

tie.

– C

ombi

en j'

en p

rend

s ?

–

Cen

t, di

t Jes

sica

. E

lle e

st id

iote

. –

Tro

is, d

is-je

.

Pou

r un

e fo

is,

on n

e lu

i a

pas

dem

and

é de

re

gard

er

la t

élé.

On

mon

te

vite

dan

s no

tre

cham

bre.

–

Tu

en a

s un

? m

e de

man

de J

essi

ca.

– Le

voi

là !

–

Oh,

c'e

st l

e co

utea

u sp

écia

l de

mém

é !

Vin

cent

et

Jes

sica

ont

l'a

ir em

bêté

s.

– E

t alo

rs, q

u'es

t-ce

qu

e ça

fait

?

Nou

s no

us s

auvo

ns ju

squ'

à la

mai

son,

nou

s fe

rmo

ns l

a po

rte

à cl

ef, n

ous

mon

tons

dan

s no

tre

cha

mbr

e et

nou

s no

us e

nfou

isso

ns d

ans

nos

lits.

On

a de

ux o

rtie

s. J

e cr

ois

que

ça s

uffir

a.

J'ai

peu

r de

l'o

rage

dan

s l'a

ir. S

ouda

in,

ma

sœ

ur p

ouss

e un

cri.

Je

lève

la

tête

. Il

y a

deux

ois

eaux

biz

arre

s qu

i to

urno

ient

prè

s du

no

yer.

On

ne

dira

it pa

s qu

'ils

vole

nt,

mai

s qu

'ils

tom

bent

co

mm

e

une

balle

et

re

bond

isse

nt.

– D

es c

hauv

es-s

ouris

! h

urle

Vin

cent

. O

n le

s ap

pelle

aus

si p

ipis

trel

les.

A

– Je

toui

lle, d

it V

ince

nt.

Beu

rk !

fai

t Je

ssic

a, h

eur

euse

men

t qu

e ce

n'e

st p

as m

oi q

ui v

ais

le

man

ger.

Ce

qu'e

lle e

st b

ête

! C

e n'

est

pas

pour

man

ger.

Il f

aut

le m

ettr

e là

où

on

s'es

t ble

ssé.

Vin

cent

éta

le l'

ongu

ent s

ur m

on

doi

gt.

B

On

le f

abriq

uer

a po

ur m

émé.

Mai

s le

sec

ret

de l

'inv

isib

ilité

, on

a d

écid

é

de n

e pa

s le

fai

re, p

arce

que

, com

me

dit J

essi

ca :

– E

t si o

n re

devi

ent p

as v

isib

le a

près

?

C

– À

tabl

e, le

s en

fant

s !

Il y

a du

rôt

i et d

es fr

ites.

–

Mai

s en

fin, d

it m

émé,

où

est e

ncor

e m

on c

oute

au

?

– T

on c

oute

au s

péci

al ?

dem

ande

Jes

sica

. M

émé

cher

che

dan

s le

s tir

oirs

, de

rriè

re l

a cu

isin

ière

. P

uis

elle

s'a

ssoi

t en

so

upira

nt :

D

Je c

ours

au

robi

net d

u ja

rdin

et j

e la

isse

l'ea

u co

ule

r lo

ngte

mps

. –

C'e

st g

uéri

? m

e de

man

de J

essi

ca. E

n to

ut c

as, ç

a n

e sa

igne

plu

s.

– Ç

a m

arch

e bi

en, l

a m

agi

e, d

it V

ince

nt.

On

ente

nd a

lors

mém

é q

ui n

ous

appe

lle :

E

– Je

per

ds to

ut. J

e de

vien

s vi

eille

…

Dan

s le

cah

ier,

il y

a le

sec

ret d

e l'é

tern

elle

jeu

ness

e.

F

– H

ou, a

ïe, h

ou là

là !

Ça

brû

le, ç

a fa

it m

al !

–

Par

ce q

ue ç

a se

re

ferm

e, d

it V

ince

nt.

– N

on, n

on, ç

a br

ûle,

j'ai

mal

!

A

– Je

toui

lle, d

it V

ince

nt.

Beu

rk !

fai

t Je

ssic

a, h

eur

euse

men

t qu

e ce

n'e

st p

as m

oi q

ui v

ais

le

man

ger.

Ce

qu'e

lle e

st b

ête

! C

e n'

est

pas

pour

man

ger.

Il f

aut

le m

ettr

e là

où

on

s'es

t ble

ssé.

Vin

cent

éta

le l'

ongu

ent s

ur m

on

doi

gt.

B

On

le f

abriq

uer

a po

ur m

émé.

Mai

s le

sec

ret

de l

'inv

isib

ilité

, on

a d

écid

é

de n

e pa

s le

fai

re, p

arce

que

, com

me

dit J

essi

ca :

– E

t si o

n re

devi

ent p

as v

isib

le a

près

?

C

– À

tabl

e, le

s en

fant

s !

Il y

a du

rôt

i et d

es fr

ites.

–

Mai

s en

fin, d

it m

émé,

où

est e

ncor

e m

on c

oute

au

?

– T

on c

oute

au s

péci

al ?

dem

ande

Jes

sica

. M

émé

cher

che

dan

s le

s tir

oirs

, de

rriè

re l

a cu

isin

ière

. P

uis

elle

s'a

ssoi

t en

so

upira

nt :

D

Je c

ours

au

robi

net d

u ja

rdin

et j

e la

isse

l'ea

u co

ule

r lo

ngte

mps

. –

C'e

st g

uéri

? m

e de

man

de J

essi

ca. E

n to

ut c

as, ç

a n

e sa

igne

plu

s.

– Ç

a m

arch

e bi

en, l

a m

agi

e, d

it V

ince

nt.

On

ente

nd a

lors

mém

é q

ui n

ous

appe

lle :

E

– Je

per

ds to

ut. J

e de

vien

s vi

eille

…

Dan

s le

cah

ier,

il y

a le

sec

ret d

e l'é

tern

elle

jeu

ness

e.

F

– H

ou, a

ïe, h

ou là

là !

Ça

brû

le, ç

a fa

it m

al !

–

Par

ce q

ue ç

a se

re

ferm

e, d

it V

ince

nt.

– N

on, n

on, ç

a br

ûle,

j'ai

mal

!

Ecris le titre

qui co

nvient dans la bonne case

:

Le s

ecre

t de

Rob

in

Dis

cuss

ion

avec

Vin

cent

et J

essi

ca

Déc

ouve

rte

de la

pie

rre

d’o

nyx

Le

cau

chem

ar

de R

obi

n

les

titre

s le

s pa

ragr

aphe

s

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

– A

lors

, me

dit l

e pè

re M

auvo

isin

, c'e

st to

i qui

as

vol

é le

cou

teau

spé

cial

?

– N

on, c

'est

pas

moi

. C'e

st le

Gra

nd A

lbe

rt !

Le

Gra

nd A

lber

t s'a

ppro

che

de m

oi :

– M

ente

ur, v

oleu

r ! Q

ue t

ous

les

feux

de

l'ora

ge d

ans

l'air

te to

mbe

nt s

ur la

tête

, que

to

utes

les

pipi

stre

lles

te m

ange

nt le

s ye

ux !

Grâ

ce, p

itié

! M

on c

œur

bat

à to

ute

volé

e. Il

va

se

décr

och

er.

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

– A

h !

Je m

e su

is r

évei

llé.

Le v

ole

t cog

ne

cont

re la

fe

nêtr

e. O

h, q

uel r

êve

! La

tem

pête

s'e

st le

vée.

«

Mam

an, v

iens

nie

ch

erch

er. C

'est

trop

lon

g,

un m

ois.

»

Ça

y es

t, je

ple

ure.

C'e

st m

on s

ecre

t.

Je p

leur

e to

utes

les

nuits

. Je

serr

e m

on o

reill

er

à pl

eins

bra

s.

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

Tie

ns, q

u'es

t-ce

qu

e c'

est q

ue ç

a ?

J'a

i tou

ché

quel

que

chos

e d

e du

r, d

e lis

se, d

e fr

oid.

Le

caill

ou !

L'on

yx.

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

Ce

mat

in, j

e de

man

de à

Vin

cent

et à

Jes

sica

:

– C

'est

vou

s qu

i l'a

vez

mis

là ?

Ils

dis

ent q

ue n

on.

Il n

'est

pas

ven

u to

ut s

eul,

quan

d m

ême

! –

C'e

st d

e la

ma

gie,

me

dit

Vin

cent

. Il

men

t. Ils

men

tent

tou

s le

s de

ux.

Ils n

e so

nt

pas

touj

ours

ge

ntils

av

ec

moi

, V

ince

nt

et

Jess

ica.

Ecris le titre

qui co

nvient dans la bonne case

:

Le s

ecre

t de

Rob

in

Dis

cuss

ion

avec

Vin

cent

et J

essi

ca

Déc

ouve

rte

de la

pie

rre

d’o

nyx

Le

cau

chem

ar

de R

obi

n

les

titre

s le

s pa

ragr

aphe

s

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

– A

lors

, me

dit l

e pè

re M

auvo

isin

, c'e

st to

i qui

as

vol

é le

cou

teau

spé

cial

?

– N

on, c

'est

pas

moi

. C'e

st le

Gra

nd A

lbe

rt !

Le

Gra

nd A

lber

t s'a

ppro

che

de m

oi :

– M

ente

ur, v

oleu

r ! Q

ue t

ous

les

feux

de

l'ora

ge d

ans

l'air

te to

mbe

nt s

ur la

tête

, que

to

utes

les

pipi

stre

lles

te m

ange

nt le

s ye

ux !

Grâ

ce, p

itié

! M

on c

œur

bat

à to

ute

volé

e. Il

va

se

décr

och

er.

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

– A

h !

Je m

e su

is r

évei

llé.

Le v

ole

t cog

ne

cont

re la

fe

nêtr

e. O

h, q

uel r

êve

! La

tem

pête

s'e

st le

vée.

«

Mam

an, v

iens

nie

ch

erch

er. C

'est

trop

lon

g,

un m

ois.

»

Ça

y es

t, je

ple

ure.

C'e

st m

on s

ecre

t.

Je p

leur

e to

utes

les

nuits

. Je

serr

e m

on o

reill

er

à pl

eins

bra

s.

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

Tie

ns, q

u'es

t-ce

qu

e c'

est q

ue ç

a ?

J'a

i tou

ché

quel

que

chos

e d

e du

r, d

e lis

se, d

e fr

oid.

Le

caill

ou !

L'on

yx.

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

……

……

……

……

……

……

……

……

…

Ce

mat

in, j

e de

man

de à

Vin

cent

et à

Jes

sica

:

– C

'est

vou

s qu

i l'a

vez

mis

là ?

Ils

dis

ent q

ue n

on.

Il n

'est

pas

ven

u to

ut s

eul,

quan

d m

ême

! –

C'e

st d

e la

ma

gie,

me

dit

Vin

cent

. Il

men

t. Ils

men

tent

tou

s le

s de

ux.

Ils n

e so

nt

pas

touj

ours

ge

ntils

av

ec

moi

, V

ince

nt

et

Jess

ica.

Les se

crets véritables, partie 6

Lecture

Le

s se

crets véritables, partie 6

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