troisième journal de l'association malezi de hasseindjé oichili

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“L’éducation est notre objectif, la solidarité est notre force” Malezi Journal associatif éducatif de Hasseindjé Première année N° 3- août 2013. Prix 200fc On a plusieures années les examens nationaux se passent, comme d’habi- tude catastrophique. Pourtant l’aug- mentation des écoles privées et publiques ne cessent de se multiplier d’une région à l’autre. Comme le système de décentralisation des lycées publics au niveau des régions.Ces établissements multi- plient leurs efforts pour organiser des cours de soutient; on constate même qu’il y des associations régio- nales qui financent des cours de sou- tient supplémentaire aux élèves issu de leur région, pour assurer leur admission. Lire page 2 Le Pétrole aux Comores T u m’as tout donné dans ma vie, je suis né parmi tes surfaces. J’ai grandi et joué parmi tes enfants. J’apprends dans tes écoles, je porte tes quatre couleurs. Nous sommes presque dans la même race, c’est grâce a toi que j’ai une nationalité comorienne. J’ai une coutume et une culture, nous avons un Etat et une constitution, nous avons notre meilleure façon de vivre, et si quelqu’un a osé nous vendre, nous serons capables de lui dire que notre territoire, notre aire et notre mer n’ont pas de prix. Ce que je pos- sède pour te défendre toi ma patrie, je ne peux pas hésiter quant il s’agit de mourir pour que tu continu de vivre. Lorsqu’ on nous a pris, Mayotte nous devrons avoir la tristesse. Mais l’objectif de ma vie est de te libéré de tes chaines pour que tu galopes à quatre pattes. Dans la cour s’ouvert le bonheur, Anjouan, Mohéli, Mayotte, Ngazidja. Notre cher patriote MOHAMED ALI MBALIA a fait ce qu’il a pu faire dans son pays, nous devons suiv- re ses caractères. Il a construit des écoles pour les pauvres, il voulait faire tout le moyen possible pour que l’homme como- rien travaille. Nous l’aimons bien, nous le remercions tous ce qu’il a fait. Mohamed ALI MBALIA n’était pas par- fait bien sur et aucun de nous ne l’est sauf le prophète Mohamed. Mais Mohamed Ali Mbalia avait dans son cœur une seule chose : que tout le monde peut vivre en paix (le jour de l’indépendance). Oubeidllah Ishaka Mdohoma 3eme lycée de la pléiade P ATRIOTISME Ma patrie Les examens nationaux : résultats catastrophiques à qui la faute? Il y a environ huit ans que le peuple comorien commence à entendre l’exis- tence du pétrole aux Comores. Par tout, on sait qu’il y a des politiciens qui connaissent cette histoire déjà il y a plusieurs années. Lire page 2 Mwana udjokauka- hindru mdru mrabuwa rangu ho trabayoni

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Nous publions ce journal éducatif, ‘’MALEZI’’. Ce mot signifie la bonne éducation, il constitue à premier vue, le meilleur héritage que chaque parent doit léguer à sa descendance, pour leur assurer une bonne vie d’ici bas et l’au-delà. De ce fait, ce titre constitue la seule garantie d’un bon avenir aux générations successives, comme il marque un meilleur passé qu’ont vécu les ancêtres. Ce terme qui est souvent utilisé pour distinguer ceux qui ont eu une bonne éducation de ceux qui ne l’ont pas eue, par le terme : « KUTSINA MALEZI », pour insulter un jeune homme de mauvais comportement et lui qualifier d’une mauvaise éducation familiale. La solidarité, l’évolution sociale et économique d’une société, dépendent donc de la qualité éducative qu’elle a eue de la part de ses responsables spirituels et politiques. Sans ‘’MALEZI’’, on est près de rejoindre un monde qui n’est pas celui des êtres humains. Puisque tout dépend de l’éducation, agissons ensemble pour que vive notre Association “MALEZI’’.

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Page 1: Troisième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

“L’éducation est notre objectif, la solidarité est notre force”

MaleziJournal associatif éducatif de Hasseindjé

Première année N° 3- août 2013. Prix 200fc

On a plusieures années les examensnationaux se passent, comme d’habi-tude catastrophique. Pourtant l’aug-mentation des écoles privées etpubliques ne cessent de se multiplierd’une région à l’autre. Comme lesystème de décentralisation deslycées publics au niveau des

régions.Ces établissements multi-plient leurs efforts pour organiserdes cours de soutient; on constatemême qu’il y des associations régio-nales qui financent des cours de sou-tient supplémentaire aux élèves issude leur région, pour assurer leuradmission.

Lire page 2

Le Pétrole aux Comores

Tu m’as tout donné dans ma vie, je

suis né parmi tes surfaces. J’ai

grandi et joué parmi tes enfants.

J’apprends dans tes écoles, je

porte tes quatre couleurs. Nous sommes

presque dans la même race, c’est grâce a toi

que j’ai une nationalité comorienne. J’ai

une coutume et une culture, nous avons un

Etat et une constitution, nous avons notre

meilleure façon de vivre, et si quelqu’un a

osé nous vendre, nous serons capables de

lui dire que notre territoire, notre aire et

notre mer n’ont pas de prix. Ce que je pos-

sède pour te défendre toi ma patrie, je ne

peux pas hésiter quant il s’agit de mourir

pour que tu continu de vivre.

Lorsqu’ on nous a pris, Mayotte nous

devrons avoir la tristesse. Mais l’objectif de

ma vie est de te libéré de tes chaines pour

que tu galopes à quatre pattes. Dans la cour

s’ouvert le bonheur, Anjouan, Mohéli,

Mayotte, Ngazidja. Notre cher patriote

MOHAMED ALI MBALIA a fait ce qu’il

a pu faire dans son pays, nous devons suiv-

re ses caractères. Il a construit des écoles

pour les pauvres, il voulait faire tout le

moyen possible pour que l’homme como-

rien travaille. Nous l’aimons bien, nous le

remercions tous ce qu’il a fait.

Mohamed ALI MBALIA n’était pas par-

fait bien sur et aucun de nous ne l’est sauf

le prophète Mohamed. Mais Mohamed Ali

Mbalia avait dans son cœur une seule

chose : que tout le monde peut vivre en

paix (le jour de l’indépendance).

Oubeidllah Ishaka Mdohoma

3eme lycée de la pléiade

PATRIOTISME

Ma patrie

Les examens nationaux : résultatscatastrophiques à qui la faute?

Il y a environ huit ans que le peuple comorien commence à entendre l’exis-tence du pétrole aux Comores. Par tout, on sait qu’il y a des politiciens quiconnaissent cette histoire déjà il y a plusieurs années.

Lire page 2

Mwana udjokauka-hindru mdru mrabuwa

rangu ho trabayoni

Page 2: Troisième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Malezi aoûtt 2013

Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 2

n a plusieures années les examens natio-

naux se passent, comme d’habitude catas-

trophique. Pourtant l’augmentation des

écoles privées et publiques ne cessent de se

multiplier d’une région à l’autre. Comme

le système de décentralisation des lycées

publics au niveau des régions. Ces établis-

sements multiplient leurs efforts pour orga-

niser des cours de soutient; on constate

même qu’il y des associations régionales

qui financent des cours de soutient supplé-

mentaire aux élèves issu de leur région,

pour assurer leur admission. C’est le cas de

NDRODJE (AEOC), cette association

estudiantine de oichili qui c’est donnée la

peine de louer même des classes. Ce n’était

que pour la réussite de leurs élèves. Malgré

les résultats obtenus au niveau de notre

région. Si bien que le sous centre de oichi-

li reste parmi les sous centres qui ont bien

travaillé dans ces examens en tenant 4,27

% des admis sur 21% au niveau de

Ngazidja. Ce pourcentage que détient le

sous centre de oichili, entre 11 sous centre

dans l’ile, nous permet de dire que certains

sous centres n’ont pas pu atteindre le 1%.

Il est obligatoire qu’une grande responsa-

bilité de cette décroissance continue de la

réussite aux examens nationaux revienne

aux élèves eux mêmes. Et pourquoi pas

alors que leur participation dans ces cours

organisés par leurs établissements ou

régions, n’est considérée qu’une occasion

de coïncider un(e) ami(e). Au moment où

les cours des classes ne sont pas aussi ténus

comme il fallait.

D’autre part les parents d’élèves ont leur

contribution pour ses résultats.la plus part

d’eux n’arrivent même pas à orienter ou

exiger d’une façon ou d’autre les systèmes

de comportement de leurs enfants. Parmi

eux, ils ne savaient même pas le jour ou

l’heure de ces cours de soutient. Et ils arri-

vent en fin à dire que les enfants n’ont pas

eu des bons résultats. Les élèves, les

parents sont vraiment tous responsables,

mais les professeurs et l’Etat deviennent

les tètes de cet échec. On pense que les

épreuves sont faciles, l’affirment certains

candidats juste après l’épreuve, pourtant

beaucoup des pièges restent cacher dans

ces examens. On constate même que peut

être l’Etat voulait faire des limites sur les

résultats. Il pense qu’il ne peut pas engager

vu aux manques des filières dans l’univer-

sité des Comores. Il nous comporte comme

dans la période coloniale. Car les colons

avaient de limites de réussite quelques soit

les efforts des élèves. Voila pourquoi, il

voulait écraser cette bombe à retardement.

L’Etat se voyait incapable d’embaucher le

peu qui réussit. On peut dire qu’il considè-

re meilleur solution pour qu’il soit stable

vis-à-vis du chômage. En fin l’Etat doit

prendre ses responsabilités de cet échec,

car c’est lui qui recrute des pseudo-profes-

seurs qui ne contribuent qu’à endommager

le niveau des élèves et on craint un taux

définitifs de la réussite.

La rédaction

Les examens nationaux

Résultats catastrophiques à qui la faute?

O

Le Pétrole aux Comores

Il y a environ huit ans que le peuple

comorien commence à entendre

l’existence du pétrole aux Comores.

Par tout, on sait qu’il y a des politi-

ciens qui connaissent cette histoire déjà il y

a plusieurs années. Mais une fois qu’ils

voulaient faire un pas, la mort les sépare de

leur vrai rêve. Quand monsieur le président

Mohamed Taki Abdoulkarim paix a son

âme dit « Ngarendao Rehémanie », Je pen-

sais dès mon entrée à l’université en 2010

qu’il s’agit de cette même histoire. Peut

être raison pour la quelle il n a pas pu ter-

miner son mandat. L’homme qui voulait la

justice musulmane pas celle de l’autrui et

l’unité nationale.

Parmi les premiers hommes qui annoncent

dans les medias on peut citer Mohamed Ali

Mbalia paix à son âme. L’homme qui vou-

lait l’indépendance politique dès les années

1960, avec le parti socialiste des Comores

(PA.SO.CO).

Il voulait encore éliminer l’ignorance, d’ où

la création de la première école privée des

Comores nommée école privé six juillet

1975. Il voulait en fin une indépendance

économique. On peut aussi citer Izdine

Abdoussalam (Dojo). L’homme qui voulait

éclairait toutes les vérités devant les como-

riens grâce au Radio Kharthala il y a envi-

ron 18 ans. On peut dire tout simplement

que c’est l’IREX (institut des recherches et

d’exploitation du sous sol aux Comores).

le petrole est découvert dans

les eaux comoriennes depuis 1980

Dès 2006, la population et même les poli-

ticiens considèrent ces hommes là comme

des hommes qui ont perdu la raison. Il faut

savoir que la première diffusion télévisée

est faite à Comores TV qui siégeait à l’é-

poque à Moroni Badjanani. Aujourd’hui

ces mêmes hommes se trouvent par fois

dans des problèmes des signatures. Pour

tant ses politiciens savaient très bien

l’existence du pétrole dans les années

1980. Mais cette époque l’Etat était aux

mains du réseau France-Afrique (Foccart).

L’actuel ministre de l’Energie Mr Abdou

Nassur Mmadi déclare dans la télévision

nationale des Comores (TNC) en juillet

2013 qu’il y a six blocs déjà déterminé,

grâce aux chercheurs étrangers .Plusieurs

pays et sociétés procèdent le système d’ex-

ploitation pétroliere.

Et si les trois blocs se trouvent au large de

l’ile comorienne de Mayotte, Peut on

accepter les sociétés françaises d’exploiter

notre ressource ? La France savait très bien

l’existence du pétrole au Comores. Mais

elle voulait que ces marionnettes soient au

pouvoir pour bien l’en profiter de plus. Car

« la France n’a pas d’ami ni d’ennemi mais

elle a des intérêts à défendre ». Peut être

c’est l’un des raisons que la France s’ins-

talle à Mayotte depuis la déclaration unila-

téralement de notre indépendance le 6

juillet 1975.

Moustoifa Ahamada licencié en histoire UDC

Page 3: Troisième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 3

Malezi aoûtt 2013

L’Association des Etudiants de

Oichili aux Comores (AEOC)

« NDRODJE » est une

Association far dans la région

de Oichili. Crée le 24/Avril

/2009 sous l’initiative de notre chère pro-

fesseur Mr Assaf Issa avec ses compa-

gnons (Mr Seda, Obama, Soifoin, Abkaria

…etc) suivi du deuxième mandant de notre

frère Mr Saïd Ali et ce troisième mandant

avec Mr Hachim Bourhne.

Les efforts fournis par nos prédécesseurs

nous ont permis de bien prendre le pouvoir

et de placer la barre un peux plus haut.

Notre politique est basée sur la

“Faisabilité“.

C’est dans ce sens que, dès le premier pas

nous nous sommes mis d’acore pour la

‘Nationalisation’ de notre Association «

NDRODJE », et cela a été mise en place

dans notre investiture sous la présence de

l’Exe Ministre de l’Education Nationale

Mr Mohamed Ismail ainsi que les autorités

du pays. Cela nous a donnée une grande

ouverture au niveau national et internatio-

nal avec plusieurs partenaires.

Notre deuxième phase de travail a été

basée sur les aménagements des

Bibliothèques dans les différentes localités

de la région. Et Dieu merci, nous avons pu

mettre en place deux Bibliothèques dont :

Dzahani et Kouhani.

Cela ne s’arrête pas là, mais nous avons

déjà mise en route des travaux de ce même

sens dans d’autres localités comme :

Chomoni, Mtsamdou, Boueni, Sima,

Sadani… et nous espérons faire autant

dans toute la région. Nul ne doute l’impact

d’une bibliothèque dans la vie scolaire

d’un élève et étudiant.

Troisièmement, nous avons fait un acte de

solidarité et de réconciliation au niveau de

tous les jeunes Bacheliers et Licencié

2011/2012 de la région en leur donnant des

Attestations de Mérites.

Cela a donné une grande ambition au

niveau des jeunes élèves et étudiants de la

région de bien vouloir travailler beaucoup

plus pour faire autant. Celui-ci a été suivi

par une sensibilisation maximal faite par

l’AEOC avec le Conseiller de la région Mr

Idi Bacar dans toute la région au niveau des

écoles et dans les cours de soutiens qui ont

été assuré par les micro-associations dans

les différentes localités de la région et à

Moroni. Et cette année, la région de Oichili

occupe le premier rang avec 4% de taux de

réussite des Bacheliers 2013.

Quatrièmement, pour la première fois dans

notre Association, nous avons initié à célé-

brer le 24 AVRIL la journée de l’AEOC «

NDRODJE » reconnu comme :

“La Journée de la Jeunesse Oichilien“

Et dans ce sens plusieurs activités ont été

mise en place dont :

� Une émission à Djamaan Radio.

� Une Conférence débat basé sur l’éduca-

tion avec Dr Said Omar et Mr le Conseiller

Idi Bacar. Notre Association doit être

exemplaire par tout et nous devons être

solidaires pour aller au-delà.

Cinquième phase, nous travaillons déjà

pour la création d’un Site Internet de notre

association Ndrodje à fin de pouvoir assu-

rer les relations entre nous nos frères et nos

partenaires qui sont à l’extérieur. Dans ce

domaine nous travaillons avec Mr

Chamsoudine (Chimist) depuis

Bangladesh et Dr Said Omar.

« Sachez que personne ne viendra bâtir le

Oichili à notre place, c’est à nous de faire

la transmutation de notre région. »

Pour finir nous remercions à tous les per-

sonnes qui nous ont aidé et soutenu de prêt

ou de loin ; nous tenons à leur exprimer nos

profondes gratitudes.

Hachim Bourhane

AEOC « NDRODJE »

Bilan de l’Aeoc “Ndrodje” 2012/2013

Les os ne sont pas tous de même forme. Certainssont longs, d’autres sont courts, plats ou ronds. Lesos grandissent jusqu’à l’âge de 20ans puis, ils arrê-tent de grandir. C’est pour cette raison que lesadultes ne grandissent plus. Il faut une alimenta-tion équilibrée pour que les os grandissent. Les osgrandissent …, ils vivent …pour ce là, il faut leurapporter des aliments indispensables : de vitamineD et des aliments riches en calcium et en phospho-re. Les aliments riches en vitamines D : le beurreet le jaune de l’œuf. La vitamine D naturelle estproduite par la peau grâce aux rayons solaires. Lesaliments riches en calcium : le lait et le fromage.Les aliments riches en phosphore : le poisson.Pour grandir, il faut boire du lait, marcher en pleinsoleil et faire du sport. Ces sont les élémentsindispensables que nous devons apporter à nosenfants pour leur assurer une meilleur croissance.

Toiymina Issa classe 3em

La croissance de l’enfant

La timidité débute par un point noir dans le cœur,Qui se repend progressivement pour tout envahir,Et qui finira par contaminer tout les membres du corps.La timidité est une maladie presque incurable,Une maladie qui mène à être isolable,Qui nous empêche d’être ensemble,Et qui profite de nous rendre incapable.Par fois la timidité présente des résultats positifsMais qui sont toujours vifs quantitativement Par rapport à ceux qui se présentent négativement.Je conseille aux élèves, aux étudiants et étudiantes, avantd’affronter vos études, étudiez d’ abord comment ne peutpas être timide. Car la timidité est une pire ennemie de laréussite.

Houzam Takim 2nd GSBT

La timidité

Maquette et réalisation:

Faissoil Iliassa

Page 4: Troisième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Journal associatif éducatif de Hasseindjé

La vérité de l’homme comorien

Malezi aoûtt 2013

tant un être humain l’homme a

toujours des choses qui se

cachent derrière lui. Mais une

fois que l’autrui lui découvre

la vérité, il commence à avoir

des rancunes devant l’autre.

C’est comme tous les êtres

surtout les comoriens.

L’homme comorien ne veut

pas avoir ou entendre la véri-

té. Dans la politique, les peu-

ples ne voulaient écouter que

des mensonges. Ils voulaient

que les politiciens leur disent

beaucoup des promesses dis-

ant par exemple qu’ils électri-

fieront tout l’ensemble de l’ar-

chipel et ils construiront tou-

tes les routes même des routes

des chindini (grande

Comores) à Mohéli. Il va

chasser toutes les maisons en

pailles et en tôles. Pour accé-

der au pouvoir il suffit dire

tout ce qui est impossible. Et

si on n’arrive pas à dire

quelque chose, il arrive en fin

au pouvoir grâce à la corrup-

tion mais pas aux activités

politiques, sociales ou écono-

miques faites depuis son

enfance. Je pense que pour

ramener l’homme comorien

dans la raison, c’est de lui dire

son histoire. Car l’histoire va

lui apprendre tout ce qui est

vrai. Si l’homme comorien

cherche à comprendre sa

vraie histoire en se référant

non seulement aux sources

européennes mais aussi

Africaines, et Asiatiques, je

crois qu’il va changer et il se

trouvera en ce moment là dans

la vérité. Si on sait très bien

l’origine de notre famille, je

pense aussi qu’il y aura une

stabilité politique, écono-

mique devant l’ensemble de

l’archipel. Et si on sait vrai-

ment l’objectif des français

aux Comores, la quatrième

patte sera aux mains des

comoriens. Pour finir « la vie

ou la mort » nous vaincrons la

France pour libérer Mayotte.

Moustoifa Ahamada,

licencié en histoire Udc

E

L’islam qui est unereligion mono-théiste, révélée aup r o p h è t e

Mohamed vers 610, elle estla religion admise par l’en-semble des iles Comores,dont la grande Comore,Anjouan, Mohéli, etMayotte. Selon les recher-ches menées par le cher-cheur Tanzanien (FelixChami) et l’Université desComores, l’islam est arrivéau VII siècle. A l’époque,les Comores figuraientparmi les iles fréquentéespar les navigateurs et com-merçants arabes. Ces ara-bes ont été admis par la

population comorienne quiest de nature tolérante.Leurs attitudes ayantimpressionné les como-riens, poussèrent ces der-niers à vouloir les imiter. Apartir de là, l’organisationsociale aux Comores chan-gea et devint analogue àcelle des royaumes arabes.Ainsi apparue la construc-tion en pierre, l’instaura-tion du sultanat qui destituales anciens chefs locaux,Bedja et Fani. De nombreu-se coutumes arabes furentadoptées, la religion aussichangea car autre fois lescomoriens étaient poly-théistes. C’est ainsi quel’islam fut adopté auComores tout en gardantcertaines pratiques poly-théistes.

Ahamed Mouslim, élève de la 1er s G S A

Histoire : l’islam aux Comores

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“Nous devons apprendre”C’est un ordre venant de saint coran,Je sais que tout le monde en set au courant,Obéir en ceci on n’a pas à nier, Apprenons à chaque soir et à chaque matinée.Nous devons apprendre quelque soit les cir-constances,Nous devons apprendre pour éliminer l’ignorance,Les portes sont ouvertes, on doit s’inscrireApprendre est notre avenir.Il y a plusieurs disciplines à apprendre bien sûrIl y a les mathématiques, il y a l’agriculture,Pour quoi pas la phtisiques, pourquoi pasl’astronomie,Il y a aussi la pêche et même économie.Investissons dans l’éducation Oh ! Peuple deHasseindjé,Unissons- nous ensembles pour s’y plonger,Préservons- la du fait que c’est un héritage,Hasseindje est populaire pour l’apprentissage.

Elkabir Younousse étudient en L2 économie