troisième journal de l'association malezi de hasseindjé oichili
DESCRIPTION
Nous publions ce journal éducatif, ‘’MALEZI’’. Ce mot signifie la bonne éducation, il constitue à premier vue, le meilleur héritage que chaque parent doit léguer à sa descendance, pour leur assurer une bonne vie d’ici bas et l’au-delà. De ce fait, ce titre constitue la seule garantie d’un bon avenir aux générations successives, comme il marque un meilleur passé qu’ont vécu les ancêtres. Ce terme qui est souvent utilisé pour distinguer ceux qui ont eu une bonne éducation de ceux qui ne l’ont pas eue, par le terme : « KUTSINA MALEZI », pour insulter un jeune homme de mauvais comportement et lui qualifier d’une mauvaise éducation familiale. La solidarité, l’évolution sociale et économique d’une société, dépendent donc de la qualité éducative qu’elle a eue de la part de ses responsables spirituels et politiques. Sans ‘’MALEZI’’, on est près de rejoindre un monde qui n’est pas celui des êtres humains. Puisque tout dépend de l’éducation, agissons ensemble pour que vive notre Association “MALEZI’’.TRANSCRIPT
“L’éducation est notre objectif, la solidarité est notre force”
MaleziJournal associatif éducatif de Hasseindjé
Première année N° 3- août 2013. Prix 200fc
On a plusieures années les examensnationaux se passent, comme d’habi-tude catastrophique. Pourtant l’aug-mentation des écoles privées etpubliques ne cessent de se multiplierd’une région à l’autre. Comme lesystème de décentralisation deslycées publics au niveau des
régions.Ces établissements multi-plient leurs efforts pour organiserdes cours de soutient; on constatemême qu’il y des associations régio-nales qui financent des cours de sou-tient supplémentaire aux élèves issude leur région, pour assurer leuradmission.
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Le Pétrole aux Comores
Tu m’as tout donné dans ma vie, je
suis né parmi tes surfaces. J’ai
grandi et joué parmi tes enfants.
J’apprends dans tes écoles, je
porte tes quatre couleurs. Nous sommes
presque dans la même race, c’est grâce a toi
que j’ai une nationalité comorienne. J’ai
une coutume et une culture, nous avons un
Etat et une constitution, nous avons notre
meilleure façon de vivre, et si quelqu’un a
osé nous vendre, nous serons capables de
lui dire que notre territoire, notre aire et
notre mer n’ont pas de prix. Ce que je pos-
sède pour te défendre toi ma patrie, je ne
peux pas hésiter quant il s’agit de mourir
pour que tu continu de vivre.
Lorsqu’ on nous a pris, Mayotte nous
devrons avoir la tristesse. Mais l’objectif de
ma vie est de te libéré de tes chaines pour
que tu galopes à quatre pattes. Dans la cour
s’ouvert le bonheur, Anjouan, Mohéli,
Mayotte, Ngazidja. Notre cher patriote
MOHAMED ALI MBALIA a fait ce qu’il
a pu faire dans son pays, nous devons suiv-
re ses caractères. Il a construit des écoles
pour les pauvres, il voulait faire tout le
moyen possible pour que l’homme como-
rien travaille. Nous l’aimons bien, nous le
remercions tous ce qu’il a fait.
Mohamed ALI MBALIA n’était pas par-
fait bien sur et aucun de nous ne l’est sauf
le prophète Mohamed. Mais Mohamed Ali
Mbalia avait dans son cœur une seule
chose : que tout le monde peut vivre en
paix (le jour de l’indépendance).
Oubeidllah Ishaka Mdohoma
3eme lycée de la pléiade
PATRIOTISME
Ma patrie
Les examens nationaux : résultatscatastrophiques à qui la faute?
Il y a environ huit ans que le peuple comorien commence à entendre l’exis-tence du pétrole aux Comores. Par tout, on sait qu’il y a des politiciens quiconnaissent cette histoire déjà il y a plusieurs années.
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Mwana udjokauka-hindru mdru mrabuwa
rangu ho trabayoni
Malezi aoûtt 2013
Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 2
n a plusieures années les examens natio-
naux se passent, comme d’habitude catas-
trophique. Pourtant l’augmentation des
écoles privées et publiques ne cessent de se
multiplier d’une région à l’autre. Comme
le système de décentralisation des lycées
publics au niveau des régions. Ces établis-
sements multiplient leurs efforts pour orga-
niser des cours de soutient; on constate
même qu’il y des associations régionales
qui financent des cours de soutient supplé-
mentaire aux élèves issu de leur région,
pour assurer leur admission. C’est le cas de
NDRODJE (AEOC), cette association
estudiantine de oichili qui c’est donnée la
peine de louer même des classes. Ce n’était
que pour la réussite de leurs élèves. Malgré
les résultats obtenus au niveau de notre
région. Si bien que le sous centre de oichi-
li reste parmi les sous centres qui ont bien
travaillé dans ces examens en tenant 4,27
% des admis sur 21% au niveau de
Ngazidja. Ce pourcentage que détient le
sous centre de oichili, entre 11 sous centre
dans l’ile, nous permet de dire que certains
sous centres n’ont pas pu atteindre le 1%.
Il est obligatoire qu’une grande responsa-
bilité de cette décroissance continue de la
réussite aux examens nationaux revienne
aux élèves eux mêmes. Et pourquoi pas
alors que leur participation dans ces cours
organisés par leurs établissements ou
régions, n’est considérée qu’une occasion
de coïncider un(e) ami(e). Au moment où
les cours des classes ne sont pas aussi ténus
comme il fallait.
D’autre part les parents d’élèves ont leur
contribution pour ses résultats.la plus part
d’eux n’arrivent même pas à orienter ou
exiger d’une façon ou d’autre les systèmes
de comportement de leurs enfants. Parmi
eux, ils ne savaient même pas le jour ou
l’heure de ces cours de soutient. Et ils arri-
vent en fin à dire que les enfants n’ont pas
eu des bons résultats. Les élèves, les
parents sont vraiment tous responsables,
mais les professeurs et l’Etat deviennent
les tètes de cet échec. On pense que les
épreuves sont faciles, l’affirment certains
candidats juste après l’épreuve, pourtant
beaucoup des pièges restent cacher dans
ces examens. On constate même que peut
être l’Etat voulait faire des limites sur les
résultats. Il pense qu’il ne peut pas engager
vu aux manques des filières dans l’univer-
sité des Comores. Il nous comporte comme
dans la période coloniale. Car les colons
avaient de limites de réussite quelques soit
les efforts des élèves. Voila pourquoi, il
voulait écraser cette bombe à retardement.
L’Etat se voyait incapable d’embaucher le
peu qui réussit. On peut dire qu’il considè-
re meilleur solution pour qu’il soit stable
vis-à-vis du chômage. En fin l’Etat doit
prendre ses responsabilités de cet échec,
car c’est lui qui recrute des pseudo-profes-
seurs qui ne contribuent qu’à endommager
le niveau des élèves et on craint un taux
définitifs de la réussite.
La rédaction
Les examens nationaux
Résultats catastrophiques à qui la faute?
O
Le Pétrole aux Comores
Il y a environ huit ans que le peuple
comorien commence à entendre
l’existence du pétrole aux Comores.
Par tout, on sait qu’il y a des politi-
ciens qui connaissent cette histoire déjà il y
a plusieurs années. Mais une fois qu’ils
voulaient faire un pas, la mort les sépare de
leur vrai rêve. Quand monsieur le président
Mohamed Taki Abdoulkarim paix a son
âme dit « Ngarendao Rehémanie », Je pen-
sais dès mon entrée à l’université en 2010
qu’il s’agit de cette même histoire. Peut
être raison pour la quelle il n a pas pu ter-
miner son mandat. L’homme qui voulait la
justice musulmane pas celle de l’autrui et
l’unité nationale.
Parmi les premiers hommes qui annoncent
dans les medias on peut citer Mohamed Ali
Mbalia paix à son âme. L’homme qui vou-
lait l’indépendance politique dès les années
1960, avec le parti socialiste des Comores
(PA.SO.CO).
Il voulait encore éliminer l’ignorance, d’ où
la création de la première école privée des
Comores nommée école privé six juillet
1975. Il voulait en fin une indépendance
économique. On peut aussi citer Izdine
Abdoussalam (Dojo). L’homme qui voulait
éclairait toutes les vérités devant les como-
riens grâce au Radio Kharthala il y a envi-
ron 18 ans. On peut dire tout simplement
que c’est l’IREX (institut des recherches et
d’exploitation du sous sol aux Comores).
le petrole est découvert dans
les eaux comoriennes depuis 1980
Dès 2006, la population et même les poli-
ticiens considèrent ces hommes là comme
des hommes qui ont perdu la raison. Il faut
savoir que la première diffusion télévisée
est faite à Comores TV qui siégeait à l’é-
poque à Moroni Badjanani. Aujourd’hui
ces mêmes hommes se trouvent par fois
dans des problèmes des signatures. Pour
tant ses politiciens savaient très bien
l’existence du pétrole dans les années
1980. Mais cette époque l’Etat était aux
mains du réseau France-Afrique (Foccart).
L’actuel ministre de l’Energie Mr Abdou
Nassur Mmadi déclare dans la télévision
nationale des Comores (TNC) en juillet
2013 qu’il y a six blocs déjà déterminé,
grâce aux chercheurs étrangers .Plusieurs
pays et sociétés procèdent le système d’ex-
ploitation pétroliere.
Et si les trois blocs se trouvent au large de
l’ile comorienne de Mayotte, Peut on
accepter les sociétés françaises d’exploiter
notre ressource ? La France savait très bien
l’existence du pétrole au Comores. Mais
elle voulait que ces marionnettes soient au
pouvoir pour bien l’en profiter de plus. Car
« la France n’a pas d’ami ni d’ennemi mais
elle a des intérêts à défendre ». Peut être
c’est l’un des raisons que la France s’ins-
talle à Mayotte depuis la déclaration unila-
téralement de notre indépendance le 6
juillet 1975.
Moustoifa Ahamada licencié en histoire UDC
Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 3
Malezi aoûtt 2013
L’Association des Etudiants de
Oichili aux Comores (AEOC)
« NDRODJE » est une
Association far dans la région
de Oichili. Crée le 24/Avril
/2009 sous l’initiative de notre chère pro-
fesseur Mr Assaf Issa avec ses compa-
gnons (Mr Seda, Obama, Soifoin, Abkaria
…etc) suivi du deuxième mandant de notre
frère Mr Saïd Ali et ce troisième mandant
avec Mr Hachim Bourhne.
Les efforts fournis par nos prédécesseurs
nous ont permis de bien prendre le pouvoir
et de placer la barre un peux plus haut.
Notre politique est basée sur la
“Faisabilité“.
C’est dans ce sens que, dès le premier pas
nous nous sommes mis d’acore pour la
‘Nationalisation’ de notre Association «
NDRODJE », et cela a été mise en place
dans notre investiture sous la présence de
l’Exe Ministre de l’Education Nationale
Mr Mohamed Ismail ainsi que les autorités
du pays. Cela nous a donnée une grande
ouverture au niveau national et internatio-
nal avec plusieurs partenaires.
Notre deuxième phase de travail a été
basée sur les aménagements des
Bibliothèques dans les différentes localités
de la région. Et Dieu merci, nous avons pu
mettre en place deux Bibliothèques dont :
Dzahani et Kouhani.
Cela ne s’arrête pas là, mais nous avons
déjà mise en route des travaux de ce même
sens dans d’autres localités comme :
Chomoni, Mtsamdou, Boueni, Sima,
Sadani… et nous espérons faire autant
dans toute la région. Nul ne doute l’impact
d’une bibliothèque dans la vie scolaire
d’un élève et étudiant.
Troisièmement, nous avons fait un acte de
solidarité et de réconciliation au niveau de
tous les jeunes Bacheliers et Licencié
2011/2012 de la région en leur donnant des
Attestations de Mérites.
Cela a donné une grande ambition au
niveau des jeunes élèves et étudiants de la
région de bien vouloir travailler beaucoup
plus pour faire autant. Celui-ci a été suivi
par une sensibilisation maximal faite par
l’AEOC avec le Conseiller de la région Mr
Idi Bacar dans toute la région au niveau des
écoles et dans les cours de soutiens qui ont
été assuré par les micro-associations dans
les différentes localités de la région et à
Moroni. Et cette année, la région de Oichili
occupe le premier rang avec 4% de taux de
réussite des Bacheliers 2013.
Quatrièmement, pour la première fois dans
notre Association, nous avons initié à célé-
brer le 24 AVRIL la journée de l’AEOC «
NDRODJE » reconnu comme :
“La Journée de la Jeunesse Oichilien“
Et dans ce sens plusieurs activités ont été
mise en place dont :
� Une émission à Djamaan Radio.
� Une Conférence débat basé sur l’éduca-
tion avec Dr Said Omar et Mr le Conseiller
Idi Bacar. Notre Association doit être
exemplaire par tout et nous devons être
solidaires pour aller au-delà.
Cinquième phase, nous travaillons déjà
pour la création d’un Site Internet de notre
association Ndrodje à fin de pouvoir assu-
rer les relations entre nous nos frères et nos
partenaires qui sont à l’extérieur. Dans ce
domaine nous travaillons avec Mr
Chamsoudine (Chimist) depuis
Bangladesh et Dr Said Omar.
« Sachez que personne ne viendra bâtir le
Oichili à notre place, c’est à nous de faire
la transmutation de notre région. »
Pour finir nous remercions à tous les per-
sonnes qui nous ont aidé et soutenu de prêt
ou de loin ; nous tenons à leur exprimer nos
profondes gratitudes.
Hachim Bourhane
AEOC « NDRODJE »
Bilan de l’Aeoc “Ndrodje” 2012/2013
Les os ne sont pas tous de même forme. Certainssont longs, d’autres sont courts, plats ou ronds. Lesos grandissent jusqu’à l’âge de 20ans puis, ils arrê-tent de grandir. C’est pour cette raison que lesadultes ne grandissent plus. Il faut une alimenta-tion équilibrée pour que les os grandissent. Les osgrandissent …, ils vivent …pour ce là, il faut leurapporter des aliments indispensables : de vitamineD et des aliments riches en calcium et en phospho-re. Les aliments riches en vitamines D : le beurreet le jaune de l’œuf. La vitamine D naturelle estproduite par la peau grâce aux rayons solaires. Lesaliments riches en calcium : le lait et le fromage.Les aliments riches en phosphore : le poisson.Pour grandir, il faut boire du lait, marcher en pleinsoleil et faire du sport. Ces sont les élémentsindispensables que nous devons apporter à nosenfants pour leur assurer une meilleur croissance.
Toiymina Issa classe 3em
La croissance de l’enfant
La timidité débute par un point noir dans le cœur,Qui se repend progressivement pour tout envahir,Et qui finira par contaminer tout les membres du corps.La timidité est une maladie presque incurable,Une maladie qui mène à être isolable,Qui nous empêche d’être ensemble,Et qui profite de nous rendre incapable.Par fois la timidité présente des résultats positifsMais qui sont toujours vifs quantitativement Par rapport à ceux qui se présentent négativement.Je conseille aux élèves, aux étudiants et étudiantes, avantd’affronter vos études, étudiez d’ abord comment ne peutpas être timide. Car la timidité est une pire ennemie de laréussite.
Houzam Takim 2nd GSBT
La timidité
Maquette et réalisation:
Faissoil Iliassa
Journal associatif éducatif de Hasseindjé
La vérité de l’homme comorien
Malezi aoûtt 2013
tant un être humain l’homme a
toujours des choses qui se
cachent derrière lui. Mais une
fois que l’autrui lui découvre
la vérité, il commence à avoir
des rancunes devant l’autre.
C’est comme tous les êtres
surtout les comoriens.
L’homme comorien ne veut
pas avoir ou entendre la véri-
té. Dans la politique, les peu-
ples ne voulaient écouter que
des mensonges. Ils voulaient
que les politiciens leur disent
beaucoup des promesses dis-
ant par exemple qu’ils électri-
fieront tout l’ensemble de l’ar-
chipel et ils construiront tou-
tes les routes même des routes
des chindini (grande
Comores) à Mohéli. Il va
chasser toutes les maisons en
pailles et en tôles. Pour accé-
der au pouvoir il suffit dire
tout ce qui est impossible. Et
si on n’arrive pas à dire
quelque chose, il arrive en fin
au pouvoir grâce à la corrup-
tion mais pas aux activités
politiques, sociales ou écono-
miques faites depuis son
enfance. Je pense que pour
ramener l’homme comorien
dans la raison, c’est de lui dire
son histoire. Car l’histoire va
lui apprendre tout ce qui est
vrai. Si l’homme comorien
cherche à comprendre sa
vraie histoire en se référant
non seulement aux sources
européennes mais aussi
Africaines, et Asiatiques, je
crois qu’il va changer et il se
trouvera en ce moment là dans
la vérité. Si on sait très bien
l’origine de notre famille, je
pense aussi qu’il y aura une
stabilité politique, écono-
mique devant l’ensemble de
l’archipel. Et si on sait vrai-
ment l’objectif des français
aux Comores, la quatrième
patte sera aux mains des
comoriens. Pour finir « la vie
ou la mort » nous vaincrons la
France pour libérer Mayotte.
Moustoifa Ahamada,
licencié en histoire Udc
E
L’islam qui est unereligion mono-théiste, révélée aup r o p h è t e
Mohamed vers 610, elle estla religion admise par l’en-semble des iles Comores,dont la grande Comore,Anjouan, Mohéli, etMayotte. Selon les recher-ches menées par le cher-cheur Tanzanien (FelixChami) et l’Université desComores, l’islam est arrivéau VII siècle. A l’époque,les Comores figuraientparmi les iles fréquentéespar les navigateurs et com-merçants arabes. Ces ara-bes ont été admis par la
population comorienne quiest de nature tolérante.Leurs attitudes ayantimpressionné les como-riens, poussèrent ces der-niers à vouloir les imiter. Apartir de là, l’organisationsociale aux Comores chan-gea et devint analogue àcelle des royaumes arabes.Ainsi apparue la construc-tion en pierre, l’instaura-tion du sultanat qui destituales anciens chefs locaux,Bedja et Fani. De nombreu-se coutumes arabes furentadoptées, la religion aussichangea car autre fois lescomoriens étaient poly-théistes. C’est ainsi quel’islam fut adopté auComores tout en gardantcertaines pratiques poly-théistes.
Ahamed Mouslim, élève de la 1er s G S A
Histoire : l’islam aux Comores
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321 11 73 [email protected]
“Nous devons apprendre”C’est un ordre venant de saint coran,Je sais que tout le monde en set au courant,Obéir en ceci on n’a pas à nier, Apprenons à chaque soir et à chaque matinée.Nous devons apprendre quelque soit les cir-constances,Nous devons apprendre pour éliminer l’ignorance,Les portes sont ouvertes, on doit s’inscrireApprendre est notre avenir.Il y a plusieurs disciplines à apprendre bien sûrIl y a les mathématiques, il y a l’agriculture,Pour quoi pas la phtisiques, pourquoi pasl’astronomie,Il y a aussi la pêche et même économie.Investissons dans l’éducation Oh ! Peuple deHasseindjé,Unissons- nous ensembles pour s’y plonger,Préservons- la du fait que c’est un héritage,Hasseindje est populaire pour l’apprentissage.
Elkabir Younousse étudient en L2 économie