travail de diplôme, 2 mai

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// SITUATION ACTUELLE

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évolution de mon travail de diplôme

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// SITUATION ACTUELLE

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nom féminin(latin consummatio, -onis, accomplissement)

Action de consommer une chose quelconque: Il fait une grande consommation de tickets de métro.

action, fait de consommer un produit, une matière, de les utiliser comme source d’énergie ; quantité consommée pendant un certain temps : La consommation d’électricité, de gaz.

Action de consommer un aliment, une boisson : Conserve avariée, impropre à la consommation.

CONSOMMATION

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Aujourd’hui nous vivons dans une société de consommation, c’est une société dans laquelle l’achat de biens est prioritaire.

L’homme satisfait non seulement ses besoins vitaux (alimentation, logement, santé,...) mais également ses besoins dits secondaires tels que les loisirs ou l’esthétique. Ceux-ci sont parfois utilisés uniquement dans un but de représentation, afin de justifier d’une certaine classe sociale.La société crée sans cesse de nouveaux

besoins dans le seul but que l’homme consomme.

Les magasin d’alimentation fleurissent dans toutes les rues, aucun d’eux ne permet au consommateur de prendre le temps de connaître réellement les produit, il croit en apprécier l’odeur, la texture la couleur. Mais en réalité il accepte ce que le monde de la consommation veut lui faire croire.

CONSTAT

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Le consommateur ne peut plus seulement acheter, il à besoin d’aller plus loin qu’un simple acte d’achat.

Il devient un “consom’acteur”, il choisit les produits non plus par simple besoin de consumerisme mais pour une raison citoyenne. Il se tourne vers des produits avec une étique sociale et respectueux de l’environnement, il veut consommer moins et mieux.

Aujourd’hui 77% des français évitent les produits issus de marques dont ils critiquent le comportement (cabinet Ethicity).

Le chiffre d’affaire du commerce équitable à tripler entre 2004 et 2007. (Ipsos)

CONSOMMATEUR

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L’homme ne sait plus ce qui est bon pour lui ou ce qui ne l’est pas, l’essentiel étant d’aquérire de nouveaux biens. Le consommateur se surcharge d’objets

inutiles, uniquement par beosin de consommer et d’aquerir des biens materiels. Il ne sait plus à quoi servent les produits, il les achète

Aujourd’hui, il a besoin d’un retour aux vraies valeurs.

CONSÉQUENCES

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Cette consommation excessive engendre de sérieux problèmes environnementaux.

En effet, notre surconsommation se répercute également sur l’environnement. La planète court un grave danger.

ENVIRONNEMENT

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“Back to basics” est une tendance qui prône un retour aux valeurs autehentiques.

Que ce soit dans le domaine de la mode, de l’alimentation ou des cosmétiques, ce mouvement de retour aux sources est en plein essor.

Suite à un comportement de surconsommation et de surproduction, les plus grandes marques ressortent leurs modèles originaux.

BACK TO BASICS

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// CONCEPT

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adjectif et nom(bas latin *ab oculis, privé des yeux)

Qui est privé du sens de la vue.

Se dit de quelqu’un qui se refuse à voir la réalité, qui manque de jugement : La passion la rend aveugle.

AVEUGLE

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Chaque produit peut-être identifié grâce à ces propriétés sensorielles. Son goût, sa forme, son odeur dépendent de facteurs biologiques. Mais c’est surtout grâce à ces expériences

avec l’aliment que le consommateur définit un produit.Les saveurs qui nous évoquent des

émotions sont celles qui sont associées à des événements. Les aliments que nous préférons sont associés à des souvenirs positifs.

Si l’un des 5 sens est diminué les autres se décluplent et prennent une ampleur et deviennent plus sensibles.

5 SENS

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Sans la vue, les aliments sont parfois difficiles à identifier.Elle donne des informations importantes

sur l’état de l’aliment, solide ou liquide, sa couleur, sa forme, sa taille, ...L’oeil révèle l’aspect visuel des produits.

Ainsi si le consommateur à un bon ou un mauvais souvenir face à celui-ci, il influencera son choix.Aujourd’hui la cuisine se transforme certains

plats en oeuvre d’art.

LA VUE

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La perception des goûts est également inspirés par des émotions tactiles, un liquide gazeux n’auras pas le même texture qu’un jus de fuit.Ainsi certaines sensations sont considérées

comme des goûts par exemple: le piquant du poivre ou du piment, la fraîcheur à le menthe. Proportionnellement à la main, la bouche

compte deux fois plus des papilles tactiles, qui permettent de reconnaître la forme, la texture, la température ou le dimension d’ un aliment.

LE TOUCHER

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L’odorat est également important pour identifier le goût d’un produit. Il permet à l’individu de reconnaître le goût d’un aliment avant de la mettre en bouche. L’odeur de certains produits tel que le vin est parfois aussi importante que le goût. l’odeur aide le consommateur un choisir un produit parmi plusieurs. Par exemple, sur un étalage de melons, le consommateur choisira celui qui à la meilleur odeur. L’odorat permet également de donner envie

au consommateur, une bonne odeur de boulangerie donne de manger du pain.

L’ODORAT

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L’ouïe informe non seulement des bruits extérieurs mais également des bruits internes (en bouche). Les vibrations transmises par la mâchoire informe le cerveau sur la texture de l’aliment. Certains bruits sont directement associés à un aliment: le bruit d’un oeuf que l’on casse, le bruit d’un récipient de boisson gazeuse que l’on ouvre, le bruits d’une boisson que l’on verse dans un verre, le bruit d’une morse dans une pomme,...

L’OUÏE

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Le goût permet d’analyser la saveur des aliments ingérés.La langue est composée de plus de 4000 papilles servant à différencier les goûts.En réalité ce sens ne peut fonctionner seul,

c’est grâce à l’assimilation des 5 sens que le cerveau développe ce que l’on appelle couramment le goût.A la naissance, les bébés ont une attirance

pour le sucré et une aversion pour les goûts amers. en grandissant, l’homme se construit un répertoire de saveurs basé principalement sur des souvenirs.

LE GOÛT

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Création d’un espace de vente dans lequel le client ne voit pas les produits afin qu’il utilise ses autre sens.

Dans le magasin, le client peut sentir, toucher ou gouter les produits. Ils sont placées dans des packagings noirs afin que le consommateur ne les vois pas. Un espace de dégustation dans le noir est

mis à disposition des clients afin qu’il puisse goûter le produit avant de l’acheter. Afin qu’il ne soit pas perdu, l’acheteur est guidé par des personnes mal-voyantes durant cette experience.

Le consommateur ne voit les produits qu’une fois hors du magasin.

VISION

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Créer un espace de vente basée sur une expérience, une aventure sensorielle. Inclure une dimension sociale à un espace commercial en offrant un emploi à des personnes mal-voyantes.

MISSION

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Création d’un espace de vente dans le quel le produit n’est pas visible. Le consommateur peut toucher, sentir, goûter ou entendre le produit mais en aucun cas le voir.

Le client achète un produit pour ce qu’il lui fait ressentir et non pas pour son aspect visuel.

Les materiaux porte un rôle important dans le concept. En effet, privé de la vue, le client doit pouvoir se reperer grâce à ces autres senses.

L’aspect social à également son importance dans mon concept. La clientèle est prise en charge par des personnes mal-voyantes.

CONCEPT

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Le but n’est pas de cibler les personnes aveugles. Mais de permettre au public de découvrire leurs sens.

Dans la société actuelle, les personnes atteinres de cécité, n’ont pas facilement accès à un poste de travail solide. “Contre sens” leurs donne la possibilité de travailer dans un espace qui leur correspond et de faire découvrire leur monde.

La majoritée des consommateurs sous-estiment les capacitées de cette partie de la population. En se mettant dans leur peau ils comprendrons leur mode de vie et estimeront leurs capacitées à leur juste valeur.

PROJET SOCIAL

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Les produits ne sont pas visibles, le client peut les sentir, les toucher ou les gôuter mais à aucun moment les voir.Ils sont de type alimentaire, mais aucun

d’entre eux ne subit de modifications. Exemples: le pain est un porduit alimentaire “non modifier”, une tartine est un aliment modofier par un autre goût, une autre texture.

Des associations de goûts permettent aux clients de découvrire de nouvelles saveurs. Les produtis sont vendus bruts et ne subissent aucunes modifications (pas de produits cuisinés). Dans l’espace de dégustation, les produits

sont également dégustés bruts. Mais grâce aux nouvelles technologies certaines saveurs peuvent être extraitent et transfomées en odeurs (cuisine moléculaire).

Dans l’espace de vente, les produits sont embalés dans un packaging noir. En revanche, la texture du packaging rappelle celle du produit.

Le magasin s’associe avec des producteurs locaux et se positionne comme une marque.

PRODUIT

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L’espace de vente se situe au centre ville.Il est entourée de divers magasinsde design,

placés dans le quartier des musées.

Il est important que le magasin soit implanté dans une zone culturelle. Dans le but que les passants se sentent concernés par le concept. Et deviennent des clients portetiels.

Ici l’exemple du quartier des bains à Genève.

L’aspect exterieur du bâtiment est sans importance.

EMPLACEMENT

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Contre sens propose à ses clients de vivre une experience d’achat. De redécouvrire de “vrais” produits et leurs valeurs.

Cette experience répond à un nouveau besoin de consommation. Celui-ci donne au consommateur une façon differante de consommer et d’apréhender le produit.

Le client ne vient pas dans le magasin pour faire ses courses, il vient pour vivre un experience. Il gardera un souvenir de celle-ci et reviendra non par manque de stock mais par envie de vivre un moment fort.

IDENTITÉE DE LA MARQUE

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Contre-sens cible une clientèle qui prend le temps de consommer de bons produits. Une clientèle qui a envie de vivre une réelle experience d’achat.De 25 à 65 ans, le consommateur ou la

consommatrice est urbain actif qui à envie de découvrire de nouvelles sensations d’achat.

Le “consomm’acteur” est un nouveau type de consommateur, qui ‘sinvesti dans son acte d’achat. Il ne fait plus un simple d’achat, il vit une réelle histoire avec le produit qu’il achète. Ce type de consommateur correspond à

l’image du magasin, le client achète pour les sensations que lui procure le produit, l’experience qu’il lui fait vivre. Non pas pour ce qu’il lui évoque.

Les clients facillitent aussi de communication de la marque grâce au bouche à oreilles, de ce fait ils se doivent d’avoir un esprit ouvert et l’envie de partager leur experience avec d’autres.

PUBLIQUE CIBLE

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// LIGNEGRAPHIQUE

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// LOGO

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Naoto fukasawa est un designer japonais né dans les années 1950.

En 2008, il a l’idée brillante de créer une gamme de packaging de jus de fruits dont la texture reprend celle de la peau du fruit concerné. Les jus sont alors emballés dans leur “propre” emballage.

Grâce à ce packaging, le consommateur est invité à vivre une experience. En voyant et en touchant l’emballage du produit, il à déjà l’impression de reconnaitre le fruit, de la déguster.

PACKAGING, INSPIRATION

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