traite d’or sur la pierre des philosophes

8/14/2019 TRAITE DOR SUR LA PIERRE DES PHILOSOPHES

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ANONYME TRAITE DOR SUR LA PIERRE DES PHILOSOPHES 1

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Traite D'orConcernant sur la Pierre du desuPhilosophes.

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Tractatus Aureus de Lapide Philosophico

MUSEUM HERMETICUM- TEXTE ANONYME

La prface de l'Auteur au Lecteur Aimant lart.

Le lecteur digne et le vrai quteur des secrets de nature, ne s tonnera pas dece que dans la vieillesse de ce monde, lorsquil semble que lon ai dj un pieddans la tombe, j'ai dcid d'crire ce trait, bien que toutes les bibliothquessoient dj pleines de livres ce sujet, duquel, cependant, la plus grande partiesoit fausse et souille simplement le rouge et la poudre de la philosophie. Je nel'ai pas crit pour mon propre plaisir, mais pour votre avantage en indiquant labase de la vrit, je pourrais vous ramener du dsert impraticable la voie juste- qui est certainement votre propre intrt. Autant quil me concerne, j'ailongtemps rflchi sur tout ce que je cherchais savoir ce sujet, et n'ai pasbesoin de beaucoup de livres, voyant que pendant ces vingt-deux derniresannes, j'ai lu et ai relu tous les travaux qui sont tombs dans mes mains -incluant de nombreux manuscrits, ainsi que beaucoup de volumes imprims.

Dans ce trait vous trouverez le sujet expos et la vraie solution sera donne,non seulement thoriquement, mais aussi d'un point de vue pratique etallgorique, avec une clart et une lucidit comme je crois presque ingalesdans n'importe quel trait philosophique prcdent. Dans les citations, jai ttoujours prudent de donner la rfrence exacte, pour que vous puissez trouverle passage, et en le considrant diligemment, aiguiser votre comprhension. Jepourrais plus facilement composer ce trait, et me faire connatre aux Frres dela Croix D'or, si j'avais laiss de ct ces rfrences ; mais votre gard, je mesuis dcid autrement. Ne vous demandez pas pourquoi je cache mon nom, etrefuse de vous apparatre face face. Je suis venue davance, pas lgard den'importe quelle gloire drisoire ou d'loge temporel, mais pour vous fairebon. De plus, mes matres, comme les vrais philosophes, m'ont conseill non derisquer ma vie pour l'obtention d'une haute place dans l'estime du monde, ni

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de m'exposer aux voleurs avides ou donner l'occasion de beaucoup de crimespar la divulgation de ce secret profond. Sans doute le lecteur doux a appris parles travaux de Sendivogius que chaque fois qu'il se montre ouvertement aupuissant, il une crainte constante pour sa vie. L'exprience apprend quebeaucoup de philosophes qui n'ont pas pens leur scurit personnelle, ontt tus et privs de leur teinture par des voleurs avides et puissants ; et il estraisonnable de pense que n'importe quelle personne allant avec un grandtrsor entre ses mains, devient une proie de brigands. Sendivogius a cach sonnom par un anagramme. Ainsi, aussi il y a peu de temps, un autre philosophe

et le Frre de la Croix D'or, dont leur noms rels mont longtemps tfamiliers, l'ont cach sous un anagramme, et sest fait connatre ses amis parune dsignation nigmatique. Pourquoi alors devrais-je me placer la merci dece monde impur ? Permettez-moi plutt mon cher ami, de suivre l'exemple dessages, laisser le reste Dieu trois fois grand et bon, qui vous fera connatre monvrai savoir temps, si c'est pour la gloire de Son nom, et pour votre et monbien. Ne soyez pas dsireux de demander aprs mon nom. Et mme si vousparveniez le connatre, ou deveniez personnellement satisfait et mis aucourant, vous devriez tre satisfait du contenu de ce trait. Car j'aisolennementsolennellement promis deux philosophes - Bernard, le Comte deTrevisan Trvisan et Neigens - que je ne trahirai pas quelqu'un plus qu'il na

t rvl dans ce livre.Si daucun est trs dsireux de demander si je possde en ralit ce trsorprcieux. Demandez plutt si j'ai vu comment le monde a t cr ; si je connaisla nature de l'obscurit gyptienne ; ce qui est la cause de l'arc-en-ciel ; ce quesera l'apparition des corps glorifis la rsurrection gnrale ; ce qui est lacouleur la plus indlbile. Vous qui comprennezcomprenez correctement cepetit livre, je me renseignerai si vous avez vu cette grande mer de sel, sansaucune corrosion, lever une suffisante humidit de toute la nature aux sommetsdes montagnes les plus hautes. Dites-moi o y a-t-il du soufre hors du soufre etdu mercure hors du mercure sinon o y a-t-il du soufre qui apparat dumercure, et de nouveau, du mercure dans le soufre. Quand a-t-il t plac

devant vos yeux l'ide de l'amour le plus fervent, le mle et la femmes'embrassant si troitement qu'ils ne pourraient plus tre dchirs enmorceaux, mais travers un amour introuvable devenu un ? Si vous comprenezceux quoi je fait allusion et rapporte avoir excut l'exprience de mespropres mains et voyez-le de vos propres yeux, je vous accueille commeparticipants pareils du mystre et je n'ai aucun dsir plus cher qu'aimer vosrelations familires cest pour cette raison que j'ai aussi montr au monde cepetit trait.


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Si quelqu'un se plaint de la difficult de notre Art, sache qu en soi c'estparfaitement simple, et ne peut prsenter aucun obstacle pour ceux qui aimentDieu, et sont tenus dignes par Lui de cette connaissance. Si quelquun meblme d'exposer les vrits de cet Art trop simplement et clairement, rendantpossible ainsi quelquun de gagner une connaissance de cela, je rponds queje les ai en effet expliqu avec la lucidit suffisante pour ceux qui sont dignes etprdestins de Dieu, mais que l'indigne ne peut tirer aucun bnfice d'eux. quelques personnes faibles et peu profondes j'ai plusieurs fois expliqu cet Artdans la faon la plus simple et mme mot par mot, mais ils l'ont seulement

mpris, et ne me croiyaientcroyaient pas quil est expos dans notre travailune rsurrection double des morts. Notre Art, sa thorie aussi bien que sapratique, est en tout un don de Dieu, qui le donne quand et qui Il choisi : cen'est pas de lui qui veux, ou de lui qui court, mais simplement travers la pitide Dieu. Quoique j'ai diligemment tudi cet Art pendant 17 ou 18 ans,cependant j'ai d, aprs tout, attendre le temps propre, et l'accepter comme undon de Dieu. Personne n'a besoin de mettre en question la vrit ou la certitudede cet Art. C'est une vrit et une certitude, et srement prescrit par Dieu dansla nature, comme le soleil brille au midi de la marre, et la lune se montre sisplendide la nuit. Mais je dois conclure cette prface, me garder afin dcrire letrait entier. Mais vous, aims Frres de la Croix D'or, qui sont sur le point

d'apprendre comment aimer et utiliser ce don le plus prcieux de Dieu dans lesecret, ne me restez pas inconnus et si vous ne me connaissez pas, soyez srsque les fidles seront approuvs et leur foi deviendra connue par la Croix,tandis que la scurit et le plaisir l'clipsent. Dieu est avec nous, Amen!

Traite D'or

sur la Pierre des Philosophes.

Les philosophes Anciens tant que modernes, et le lecteur le plus aim et lechercheur consacr auprs de la vraie sagesse, quand par la grce de Dieu ilsavaient atteint le but de leurs dsirs, ont essay de faire connatre leurdcouverte aux quteurs identiques dans toutes les parties du monde - nonseulement parce qu'ils ont voulu les informer que Dieu trois fois grand et bon,avait clair leurs esprits, bni les labeurs de leurs mains, et leur a montr leplus grand et plus profond secret de la sagesse terrestre (duquel bnfice toutloge, honneur et gloire sont justement pour Lui) - mais aussi qu'ils pourraientpermettre daider les dbutants dans l'Art, par lequel, avec la permission deDieu, ils pourraient aussi parvenir la connaissance de ce mystre le plus saint.De tels hommes il y en avait dans tous les pays. Parmi les Egyptiens, HermsTrismegisteTrismgiste tient la plus haute place; La venue des Chaldens,


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Grecs, Arabes, Italiens, Gaulois, Anglais, Hollandais, Espagnols, Allemands,Polonais, Hongrois, Isralites et beaucoup d'autres. Quoique les Sagesmentionns ci-dessus aient crit plusieurs fois et dans des langues diffrentes,cependant leurs travaux montre si merveilleusement une concordance, quen'importe quel vrai philosophe peut facilement voir car leurs curs ont trjoui par Dieu dans la dcouverte de cette pierre, et qu'ils ont tous excut cetravail de leurs propres mains. Maintenant, comme la vrit de leurs avis estperue selon leur concordance, ainsi les dsaccords de certains autres lesmontrent comme de faux philosophes. Puisque, ignorant les fondations de cet

Art glorieux, et composant des thories imaginaires, montrent leur ignorance tous.

La sus-dite concordance existe en regard la matire, sa solution, son poids etla rgulation et l'augmentation du feu.

En ce qui concerne la matire, elle est une, et contient en elle tout ce qui estncessaire. De cela l'artiste prpare ce qu'il veut. Sa Naissance est dans lesable , comme le philosophe Anastratus dit dans la Tourbe : rien n'estplus prcieux que le sable rouge de la mer; c'est l'humidit distille de la Lune jointe la lumire du Soleil, et congele . Seulement cette substance estncessaire, certifi par Agadmon dans le mme livre. Il dit : sachez qu'

moins que vous ne preniez mon corps [le soufre] sans l'esprit [le mercure] vousn'obtiendrez pas ce que vous dsirez. Cessez de penser beaucoup de choses.La nature est satisfaite d'une chose et celui qui ne le sait pas est perdu .

De la mme manire Arnauld, de Villeneuve, crit dans son la Fleur desFleurs ; notre pierre est faite d'une chose et avec une chose. De la mmemanire, il dit au Roi de Naples : tout ce qui est dans notre pierre est essentielpour cela, et n'a besoin daucun autres ingrdients trangers. Sa nature estune, et cest une seule chose. Et Rosinus dit : sachez que l'objet de votredsir est une chose, de laquelle toutes les choses sont faites. Lilium : vousavez besoin seulement d'une chose, qui n'importe quelle tape de notreexprience peut tre change dans une autre nature. Ainsi Geber dit dans son

Sommaire : notre pierre est une, une mdecine, laquelle nous n'ajoutonsrien, dont nous n'emportons rien, seulement retirant ce qui est superflu. Denouveau, Scites dans la Tourbe dit : l'essence de cet Art est dune certainemanire une chose qui est plus forte et plus glorifie que toutes les autreschoses, et est appele l'acide le plus puissant, parce qu'il change l'or en espritclair, sans lequel il n'y a ni blancheur, ni noirceur, ni rougeur. Quand l'espritest joint au corps il devient un avec cela; et devient alors nouveau un esprit, etest satur avec la teinture spirituelle et immuable, et ainsi de nouveau par la


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combinaison reoit une teinture physique qui ne peut pas tre annihile. Si vousplacez le corps sans l'acide sur son feu, il sera brl et dtruit. De ces mots deScites le lecteur pourrait conclure, que non pas une mais deux choses, savoirun corps et un acide (comme il l'appelle) sont ncessaire et qu'un liquide doittre combin avec une chose sche de peur que la chose sche ne doive treconsomme par le feu, afin que par la chose humide il puisse tre prservd'une telle combustion. Cette conclusion, si correctement accept, jy souscrisvolontiers. Mais des dictons philosophiques mentionns ci-dessus (exprimscependant obscurment), c'est plus clair que le jour que la substance de notre

Pierre Bnie est une (bien que les sages l'appellent par des noms diffrents) etla Nature l'a faite prte la main du connaisseur, ayant voulu cette seule chose,et aucune autre dans tout le monde, tre la matire de la Pierre. Ce sujet fait riredevant les yeux d'entre tous; tout le monde la voit, la touche, l'aime, mais ne laconnatrsse. C'est glorieux et vil, prcieux et de petit prix et sce trouve partout.Theophrastus Thophrastus Paracelsus, dans son livre peu connu concernant la Teinture des Choses Physiques, l'appelle le Lion Rouge, qui est nommpar plusieurs, mais connue de peu. Herms, dans le premier chapitre de sonTrait, l'appelle l'Argent Vif coagul dans ses chambres les plus secrtes. Dans le Rosaire des Philosophes reu le nom de Sel. Mais, pour tre bref,notre Matire a autant de noms quil y a de choses dans le monde; c'est

pourquoi lidiot ne la connat pas. Idiot j'appelle ceux qui, sans aucuneconnaissance antcdente de Nature et de ses proprits, entreprennentdapprendre cet Art, et y viennent (comme ArnoldArnaud dit) comme l'ne la huche, ne sachant pas pourquoi ils ouvrent leurs bouches. De l il est bien ditpar Geber, dans "la Somme de Perfection " : "lui qui n'a aucuneconnaissance lmentaire de la Nature est loin d'une apprciation appropriede cet Art. " Et Rosarius dit : Je ne conseille personne de s'approcher de cetArt moins qu'il ne sache le principe et le rgime de Nature : s'il esta mis aucourant de celaavec ceux-ci, Il lui manque peu except une choselui veut peusauf une chose, aucunni le besoin de se mettreil s'est mis une grande dpense,puisque la pierre est une, la mdecine est une, le navire vaisseau est un, la rgleest une, la disposition est une. "Encore quecelui-ci la substance est si divise

par l'opration de Nature, et l'habilet de l'Artiste, laquelle est detransmutere dans notre Aigle Blanc, ni la splendeur du soleil illuminer plusabondamment la matire spagyirique avec ses rayons ; ou, comme BasiliusValentinus dit, que de l estcette chose cache n un esprit blanc comme laneige, et un autre esprit rouge comme le sang, lesquels deux espritalcools sontcontenus dans une troisime chose cache. "De l le Roi Aros dit bien : "Notre mdecine est compose de deux choses ayant une essence, savoir, parl'union mercurielle dunpleine d'entrain solide et dun liquide, dun spirituel


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et dun corporel, dun froid et dun humide, dun chaud et dun sec, etd'aucune autre faon cela ne peut tre faite. "Et Richard l'Anglais dit : " lapierre est une, la mdecine est une, qui, cependant, selon les philosophes estappel Rebis ( deux choses), tant compose de deux choses, savoir un corpset un esprit [rouge ou blanc]. Mais beaucoup de ces personnes idiotes se sontgares, l'expliquant de faons diverses. " Rebis est deux choses et ces deuxchoses sont une chose, savoir, l'eau jointe un corps, par lequel le corps estdissous dans un esprit, c'est--dire l'eau minrale, dont il a t d'abord fait; etce corps et cetl esprit composent une eau minrale, ferment qui est appele

l'lixir, c-est--dire ferment ; cest pour cela que alors l'eau et l'esprit sont unechose, dont est compos une teinture et une mdecine pour purger tous lescorps. Et ainsi, selon les philosophes, nous avons la nature due soufre et dumercure en surface, tandis qu lintrieure le mtro(la rsistance) ilsdeviennent d'or et d'argent. Bernard, le Compte de Trevisan Trvisan , dit : "notre travail est excut au moyen d'une racine et de deux substancespleines d'entrain grossiresbrutes, tir et extrait d'un minral, pur et clair, tantuni par la chaleur de l'amiti, comme cette matire exige dtreetsoigneusement cuisine jusqu' ce que les deux choses deviennent unechose ," . Basilius Valentinus (Lib. Nat et Supernat., c. 4) dit : " Je vous feraiconnatre dans toute la vrit pour l'amour de Dieu, que la racine du soufre

philosophique, qui est un esprit cleste, est unie dans le mme matriauel avecla racine du mercure spirituel et surnaturel mercure, et le principe du selspirituel , dont est fait la Pierre et pas dautrese plusieurs choses. Cette choseuniverselle, c'est trsor le plus grand de la sagesse terrestre, c'est une chose, etles principes de trois choses sont trouvs dans un, qui a le pouvoir de changertous les mtaux en un. Les trois choses sont le vrai esprit du mercure et l'medue soufre, unis au sel spirituel et demeurant dans un corps; ils sont le dragonet l'aigle, le roi et le lion, l'esprit et le corps, etc ; . "

De cette faon notre matire prpare est aussi appele le mle et la femme,active et passive. Donc Zimon dit, dans "la Tourbe " : "savez que le secretdu travail consiste dans le mle et la femme, c'est--dire, un principe actif et

passif. Dans le plomb est trouv le mle, dans lorpiment la femelle. Le mle serjouit quand la femelle y est apporte et la femme reoit du mle une tinginggrainesemence tingente,de tinging et est ainsi est colore. " Et Diomedes dit : " joignez l'enfant masculin duavec le servant serviteur rouge ' au laconjointe parfume, et ils produiront l'objet de notre Art. Mais vous ne devezajouter aucune matire trangre, ni poussire, ni autre chose. La conceptionsera alors parfaite et un vrai fils sera n. Oh, que combien prcieuse est lanature de ce ' le serviteurant rouge , ' sans qui rien ne peut tre effectu! "


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D'autres l'appellent mercure, ou vif- argent etou soufre, ou feu, commeRoger Bacon dit, dans le troisime chapitre de son "Miroir " : " Du soufre etdu mercure sont tous les mtaux, et rien ne leur adhre, aucun ne leur est joint,ou ne les transmute, mais ce sont leur raison qui a d'eux. Et ainsi nous devonsaccepter le mercure et le soufre comme la matire de la pierre. " Ainsi,Doncaussi Menabadus dit aussi : " lui qui joint le mercure au corps de magnsie etla femme l'homme, extrait l'essence secrte par laquelle les corps sontcolors. "Lullius dans son le Codicilemplment " dit : " la proprit denotre mercure doit tre coagule par son soufre ". Et, dans la Pratique de son

Testament : " l'argent est une humidit gracieuse, flottant ci-dessuspreservant le tout de la combustion. . "

D'autres l'appelenappellentt, le corps, l'esprit et l'me. Ainsi ArnoldArnaud,dans son "la Fleur des Fleurs, " dit : "les Sages ont affirm que notre Pierreest compose de corps, me et esprit et ils ont parl vraiment. Pour la partieimparfaite ils lon compar un corps, parce quelle c'est fragileible. L'eau ilsl'on appel l'esprit et vraiment, parce que c'est l'esprit. Le ferment ils ontnomm l'me, parce qu'il donne la vie au corps imparfait (qui 'auparavanttait mort) et fait sa forme plus belle. "

De nouveau, il dit : "un esprit n'est jamais joint un corps, mais par

l'interposition d'une me. Puisque l'me est le moyen entre le corps et l'esprit,les joignants les ensemble. " Morienus dit : "l'me entre rapidement dansson propre corps, mais si vous avez essay de le joindre un corps tranger,vous travaillerez en vain. " Et Luillium dit : "le Corps, l'me et l'espritcomposent une chose, qui a tout en soi et auquel rien n'est ajout. "

Mais pourquoi devrions-nous mentionner et expliquer tous les noms parlesquels notre Matire est dsigne ? Nous serons contents de ce quiduprcdent, voyant qu'ils sont les plus communs et les plus pertinents notrebut. Dans les pages suivantes, aprs avoir d'essayer de trouver o notrenotremensonge de substance ss'e st cache et o elleil peut tre obtenue, nous dironsquelques mots au sujet due son mode de dissa solution, qui reste'tant aprs

tout l'objet principal de notre enqute. Et d'abord, en ce qui concerne larecherche de notre Matire, nous devrons rappeler quaue dans lecommencement, quand il n'y avait rien partqueLuiDieu, Dieu, qui est infinidans sa sagesse, a cr deux classes de choses, savoir, ceux qui sont dans leciel et ceux qui sont sous le ciel. Les choses clestes (dont nous n'avons pasbesoin d'en parler ici en dtail) sont lese cieux eux-mmesl et les habitants duciel, les choses qui sont sous le ciel ont t crcrs de quatre lments et sontgnralement divis dans trois classes. Ceux qui sentent tiennent la premire


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place et sont appels des animaux. La deuxime classe est les plantes, quigrandissent de la terre, mais nefont le sentents pPoint. La troisime classe,celleui des minraux, tirea son mtro(rsistance) d'origine sous terre. Ces troisclasses incluent tout ce quie (au-dessous de la lune) a t cr des lments. Ilsne peuvent jamais devenir changer,plus ou moins et Dieu a li chaque chose ssonongenre propre genre propre et espce, pour qu'il ne puisse pas changerd'un genre un autre. Si quelqu'un a essay de faire un homme ou un arbred'une pierre, ou un singe ou du plombemmener d'une plante, ou un animalou une plante du plomb, il serait empch de faire ainsi selon l'ordre ternel du

Grand Roi. Si une telle chose tait possible, toutes les classes d'objets naturelspourraient setre changeschanger endans une autre. Mais, parce qu'un telchangement mettrait fin le au monde, le Dirigeant de l'Univers ne le permetpas. Non, qui plus est, Il a non seulement limit tout sa sorte propre, mais adonn chaque chose cre sa graine propre, par laquelle il elle pourrait trepropage daprs sa faon propre - restant toujours dans sa classe propre etnon outrepassant des limites d'une autre espce. Si quelqu'un a voulu changerun homme en cheval, une pomme dans une laitue, un diamant ou un autrebijou dans l'or, il ferait une norme erreur. Pour uUne telle tentative seraitcontre la nature des choses soubslunaires. Et comme il tait dans lecommencement donc il sera dans la fin, quand le Tout-puissant, qui audans le

commencement a dit "Laisslaisser il tre, " dira "Laisslaisser il pririt. "Mais parmi ces choses qui ont une substance commune, la graine et unelacomposition lmentaire, il n'est pas difficile d'y accomplir une amlioration,amlioration, par la purification de leur matire. Donc nous pouvons voirqu'un homme desprit clair et subtil parvient un degr plus hautd'excellence humaine que d'autres qui sont moins dous. Cette diffrencersulte de la puret suprieure et de la subtilit de sa substance spirituelle, qui ade nouveau son origine dans un corps rectifi et bien constitu. Ainsi aussi nousvoyons qu'un cheval excelle la force et la vitesse d'un autre ;; et il est le mmeavec toutes les sortes de cratures vivantes. Une rgle pareille se tient bon undegr encore plus grand en ce qui concerne ldes plantes et ldes arbres - avecldes arbres, en transplantant, greffant et avec des mthodes analogues et bien

familires aux jardiniers; tandis que quant d'autres natures vgtales,l'exprience quotidienne nous apprend comment les plantes et les fleurs de lamme sorte diffrent l'un de l'autre dans la gloire, dans la beaut, dans leparfum et le got. De ces clous de girofle et tulipes se permettent un cassaisissant. Dans combien d'espce diffrente a ces fleurs ont-elle tdveloppe; et mme ces nouveaux dveloppmentsdveloppementsvnementssont faits plus beaux de jour en jour et il est universellement admis quen'taient jamais l de telles fleurs excellentes et parfumes auparavant. Ce

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qQue je dois dire des mtaux qui ont une substance commune, savoir, lemercure, digr et consolid par le pouvoir du soufre ? Concernant cettesubstance commune, Richard l'Anglais a dit : "la Nature a labor toutes lessortes de choses fusibles par un processus naturel du mercure, et la substancede son soufre, parce que c estlala proprit due mercure d tre consolidpar la vapeur, par la chaleur due soufre blanc et rouge qui ne brle pas. "

Le mme point de vue est exprime par ArnoldArnaud (pointla 1 virgule. Je.,chapitrep .II ii.) : "le Mercure est la forme lmentaire de toutes les choses

fusibles ;, quand elles sont mlanges lui, fondu,y sont changesen lui, et il semlange avec elles parce qu'il esta de la mme substance queux. De tels corpsdiffrent dans leur composition seulement du mercure seulement, selonautantquilse lui sont ou-mme nesont pas libre de la matire trangre due soufreimpur. " De la mme faon Rosinus (l'Annonce Saratantam) dit : "lasubstance de tous les mtaux dans le coeurcur de la terre est le mercureimparfait et solidifi ; car par la chaleur acclrante, le mercure etdule soufre,des mtaux diffrents (selon les varits diffrentes de soufre) sont produitsdans la terre ; leur substance originale est une et la mme, elle est modifieseulement par une plus grande ou plus petite influence externe plus grande ouplus petite. " De l nous voyons quotidiennement comment activement laNature est occupe dans les l'ammenpproeramenervisionnement d'eux la

mortification et la perfection. Maintenant la perfection des mtaux, etl'intention finale de Nature vis--vis deux, est l'or. Pour tous les mtaux, onvoit shew que la Nature a fait quelque chose pour eux vers la perfectionsuprme, aucun mtal est ainsi nommla b,ase pour ne pas contientir unegraine simple de nNature d'or ou d'argent qui d'or ou d'argent changeraittoujours le mercure quil a en lui,dans lui son soufre propre endans l' or, si ellen'tait pas souvent gne par un peu dpetit 'obstacle extrieur, viz., un soufreimpur, ftide et combustible. Dans la plupart d'or des cas(d'affaires), lor estsorticreus deu pur, clair, libre(gratuit) de l'ordure, et purnon mix avec ldesautres mtaux. Mais le plus frquemment une grande quantit de soufretranger se mlange avec le mercure, et empche ainsi son dveloppement

parfait ; et, selon la varit de ce soufre, des sortes diffrentes de mtaux sontproduites, comme Aristote dit (44. Mtore.) : " Si le mercure a une bonnesubstance mais le soufre est impur et combustible, il change le mercure enlaiton. Si le mercure est pierreux, impur et terreux et le soufre non pur, celadevient due fer. L'tain semble avoir le mercure bon et pur; mais le soufre estmauvais et pasnon bien mlang. Le pPlomb a unle mercure brut, mauvaisl,respirantentantet le mercure malade, et ntant pas correctement coaguln'estpas ainsi correctement coagule.. "


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De cette faon, le soufre combustible et ftide n'est pas le vrai feu qui hattise lapassion des mtaux; mais le mercure a son propre soufre propre en soi, qui estsuffisant pour le but de les modelerant de cela, comme Bernard, le Compte deTrevisanTrvisan, dit : "certains croient que dans la gnration des mtaux,une substance sulfurique est introduite de lextrieurprsente en dehors ;mais, au contraire, il est clair que dans le travail deu Nature le soufre est djprsentinclus dans le mercure. ECependantncore, il n'y a aucun pouvoir sauf travers par la chaleur se dplaant, par lequel le ditsouf soufre mentionn estchang ainsi que le mercure et avec cela dautres deux autres qualits du

mercure. De cette faon, alors, la Nature produit au moyen de ce soufre lesdiffrentes sortes de mtaux dans les veines de la terre, selon la diversit desdegrs et des changements. " Puis Ddans cles mtaux, selon ArnoldArnaud(pointvirgule. 1 Je., chapitrep.IIIiii.), "Il y a une double surabondance doublesuiperfluit : unecelui qui est incluse dans la nature la plus secrte du mercure,et est arriv l au premier mlange du mtal; l'autre n'en appartient pas sonl'essence, lui est externe, cela et corruptible. RetirerEnlever la premire'ancienest une tche difficile; la secondee dernier ne peut tre enlev sans aucunedifficult. Le soufre combustible est soustraitemport en tantsoumettantsoumis l'action due feu, ou est dtruit par des corps trangers ; maisl'autre, qui est dans le mercure, est prserv par cela de la combustion. " Mais

de nouveau, ce soufre intrieur quiefaonnemodle le mercure, y appartenant,et mrit en luicela vers la perfection, soitest pur ou impur, soit combustible ouincombustible. Le soufre impur gne la digestion du mercure, qui ne peut pastre transform endansl'or jusqu' celle quiuil soitn'yappartient pas en a tentirement spar; mais le soufre pur, incombustible, fix reste avec luicela etensuite, en dtail il passe soit endans or ou enl' argent, selon que le soufre estsoit blanc, soit ou rouge. Ce soufre interne nest rien que le mercure mr et lapartie la plus avance(promue) du mercure. Et cest pour cette raison que lemercure le reoit si avec autant de bont, comme tant de son essence propre,tandis qu'il rejette ceuxl'autre qui lui sontest trangers cela. Ainsi Richardl'Anglais dit, dans son neuvime chapitre : " Plus simple le soufre est, plusaisment il se combine avec le mercure simple et pur, et le plus intimement, ils

se combinent et le plus prcieux est le mtal qui est produit. " Mais un telsoufre, dit AvicennaAvicenne, " n'est pas trouv sur la terre, sauf dans lamesure o il existe dans des corps mtalliques par l'action du soleil et de lalune. Dans leAu soleil, il existe dans un tat parfait, parce qu'il estcela y amieilleuxr digr et a prpar une dcoction. " Selon Richard, dans sondouzime chapitre, le soufre rouge des philosophes existe dans leau soleil cause de sa digestion plus grande et le soufre blanc dans la lune cause de sadigestion infrieure. "


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Ainsi, la substance des mtaux est une et commune toust et puisque cettesubstance est (soit immdiatement, soitou aprs lavoircart et laisser suivre lacourse du temps au soufre tranger et mauvais des mtaux mise de ct, par unprocessus de digestion graduelle, du soufre tranger et mauvais des mtaux )change par la vertu de son soufre propre demeurant enpropre dansl'OR.qQuiest le termee but de tous les mtaux et la vraie intention de Nature - noussommes obligs d admettre, et librement avouer que dans le royaumeminral, aussi bien que dans le rgne vgtal et animalux, la Nature cherche etexige un accomplissement graduel de perfection et une approximation

graduelle du la plus haut degr de puret et d'excellence.

J'ai pens que ce serait le meilleurmieux, pour le chercheur ami de la Nature,dapprofondirmontrer la question plus en dtail, afin que vous puiossivez plusaismentssavoir plus aisment et vous servir de la substance de notre Pierre!Car si vous avez essay de produire notre Pierre d'une substance animale vouschoueriez, parce que les deux choses appartiennent aux ordres naturelsdiffrents. Car la Pierre est un minral, mais vous essayeriez de lae modelerd'une substance animale. "Mais rien, " dit notre Richard, dans son premierchapitre, "ne peut tre sorti dune chose qui n'est pas dans cela. Donc chaqueespce, chaque genre, chaque ordre naturel, est naturellement dveloppe dansses limites propres, portant des fruits daprs sa sorte propre et pas dans un

certain autre ordre essentiellement diffrent : Tous ce qui germe tout danslequel la graine est est seme doit correspondre sa graine semence propre. "Et BasilBasile. Valentinus dit : " Considrez et connaissez, mon ami, que vousne devez pas choisir une me animale pour ce votre but. Pour Car la chair et lesang ont donn par le Crateur aux animaux, etsont est appropri aux animauxet d'eux les animaux sont forms et apportents en avant leurs fruits. "Pourcette raison je me demande ceux qui veulent tre considrs comme de grandsconnaisseurs et chercher encore la substance de la pierre dans le menstruumsfminin, le liquide sminal, des oeufs, des cheveux, l'urine et des chosessemblables et n'avoir pas honte pour remplir tant de volumes de leurs recettesvaines et sans valeur et tromper l'ignorant avec de telles suppositions idiotes,

futiles et inutiles. Roger, dans son " le Miroir " (chapitre.IIIiii.), exprime sastupfaction la folie de ces hommes quand il s'exclame : " CComme cestnttrange que n'importe quielle personne de raisonnable doive chercher ce qu'ilveut dans les mondes animaux et vgtaux, qui n'ont rien du tout pour faire lesujetavec l'objet de sa recherche, tandis que le monde minral est tout faitcomme prt sa main. Il est incroyable que n'importe quel philosophe devraittablir son art sur une base(fon dation) si loigne, sauf en effet par voie del'allgorie. "" Pour Car notre Pierre (dit que BBasile) n'est pas fait de choses


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combustibles. En vrit cette Pierre et le sujet sous entendul'importe de cela ssont t srscuriss contrede toute telle violence, cessent donc de le chercherdans le rgne animal; Carpour la Nature elle-mme ne peouvait pas le trouverl. " De nouveau, quiconque esprent le trouver dans le monde vgtal,comme, par exemple, dans ldes arbres, ldes herbes, les fleurs, dautant setrompent tout fait ceque lui qui vchangeoudrait changer un animal en pierre.LeLes usines(plantes) et ldes arbres, avec tout ce qu'ils produisent, ne peuventtre consomms par le feu, et le cong rien derrire ne subsiste sauf lapoussire dont ils sont faits, et le sel qu' la premire cration de leur espce ils

ont reu de la Nature. Ne laissez personne tre induit en erreur par lesaffirmations confiantes d'entre ceux qui feignent qu'ils peuvent produire laPierre du Philosophe du bl, ou du vin. Ces personnes s'imaginent qu'ilscomprennent la signification d'un certain passage dans les critures deRaymond Lulleius, mais alorsils exposent la profondeur de leur folie selon lasupposition de sagesse profonde, et ainsi trompent seulement eux et d'autres.Je ne nie pas que quelques solvants excellents, indispensables tant au mdecin(physicien) qu'au chimiste, sont obtenus de ces sources ; mMais je nie fais leplus positivement nient que la Pierre du Philosophe peut tre prpare, ou sagraine mise jour, d'eux, puisque le Crateur l'a prescrit que rien ne devraitoutrepasser les limites de l'ordre naturel auquel il a t l'origine assign. De

l chaque vrai disciple de sagesse peut cueillir que la substance de la Pierrenedoit n'peutre tre obtenue ni deans l'animal, ni dans ledu monde vgtal,voyant que tous les deux sont combustibles. Nous devons donc le la chercherparmi des choses incombustibles, c'est--dire dans le monde minral, et de lseulement nous pouvons seulement nous lae prparer. Depuis, alors, la Pierredes Sages est le minrale et il y a diffrentes les sortes diffrentes de minraux,comme des pierres (incluant l'argile et les varits diffrentes de terre), des sels,des minraux gnraux et des mtaux, nous devons plus loin demander, danslequel de tout lequel de tout ceux-ci il est-il contenu. Nous pouvonsimmdiatement liminer ldes pierres, parce qu'elleils ne contiennent aucunmercure fusible et ne peuvent pas tre fondus, dissoutes, ou divises endansleurs constituantspices dtaches cause de la grande quantit de soufre

tranger et de la substance terrestre qui les lieur fend.

ToutNi fait(est)l'investigateur sage des secrets de Nature s'attend trouver lasubstance de la Pierre Bnie dans des sels, des aluns, ou des minrauxsemblables. EnDans eux il rencontre un tranchantpointu, la ccorrosifon,,l'espritdestructif, mais le mercure et le soufre, comme compris par ldes philosophes, ilchercherait en vain. Des minraux gnraux, comme la magnsie, le bismuth,l'antimoine, etc, ne peuvent jamais dans aucunes circonstances devienirnent


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des mtaux ; comment, alors, peut la substance de cette Pierre, qui est laperfection essentielle de tous les mtaux et des minraux, tre obtenu d'eux ?De plus, ils n'ont rien de commun avec ldes mtaux, mais brlent, vraimentcorrodent et les dtruisent : - comment alors peuvent-ils tre les moyens de leuramlioration ?

Entendez ce que Richard l'Anglais doit dire sur cette tte (chapitre.Xx.) : " Lesminraux moindres ne peuvent pas devenir des mtaux - D'abord, parce qu'ilsn'ont pas t produits de la substance lmentaire des mtaux, qui est le

mercure. Mais l'observation que leur gnration diffre de la gnration desmtaux en forme, et en la substance, et len a composition, ils ne peut jamaisdevenir des mtaux, parce que les choses appartenant la mme espce ont lamme substance lmentaire et apparaissent de la mme graine. Mais lesminraux moindres ne sont pas produits du mercure, comme nous apprenonsd'Aristote et AvicennaAvicenne. S'ils devaient devenir des mtaux, ilsdevraient changer dans en la substance lmentaire des mtaux. Et, puisqu'unetelle transformation est au-del du pouvoir(de la puissance) de la chimie, ils nepeuvent pas devenir des mtaux ; c'est--dire ils ne peuvent jamais tre lasubstance de la Pierre. Deuximement, puisque les moindres minrauxmoindres ne peuvent pas tre venus de la substance lmentaire des mtaux,qui est le mercure, ils ne peuvent jamais atteindre le milieu et la fin du mme

dveloppement, savoir, des mtaux et de la teinture. Mais parce que lesproprits des minraux moindres sont trangres ceux des mtaux, bienqu'ils puissent avoir certaines des vertus des minraux, cependant danslensemble,dans l'ensembleiils sont moins excellents et sont susceptibles d'treblesss(ls) par le feu. Donc la nature des plaisirs des mtaux nest pas denanseux, mais les repousse, tandis qu'il le reoit ce qui y convient. Pour cette raisonils sont idiots ceux qui introduisent tant de suppositions trangres danspour lebut de l'imposerition leurs auditeurs; paource que les choses quils avancentsont en tout point contraire la diffrenceauxdes mtaux et ne peuvent jamaisrecevoir, ni communiquer leur nature. "

L'tudiant ne doit pas souffrirse subir pour dtre induit en erreur par lalangue de temps en temps employe en ce qui concerne ldes sels par lesphilosophes que nous avons cit, comme, par exemple, quand il est dit, dans lalangue mystique de nos Sages, "Lui qui travaille sans sel ne lvera jamais decadavres " ; ou, de nouveau, quand il lit dans le livre de Monologues, "Luiqui travaille sans sel dessine(tire) un arcsalut sans une corde(srie). " Car vousdevezoit savoir que ces nonciations se rfrent une sorte trs diffrente de seldu minral commun. Cela vous peut voir du passage suivant "du Rosaire des


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Philosophes" : "le sel de mtaux est la Pierre du u Philosophe; car pour notrePierre est de l'eau congele dans lor et l'argent; il est hostile de tirer et peuttre dissoudres dans dont l'eau dont il est compos. aprs sa sorte.E" Et que "l'eau congele " des Sages ne signifie pas que l'eau ordinaire, peut treapprhendercueillie des mots suivants de Geber (livre b. 4ime (forn.), chapitre.XIXxix.) : " Cherchez rsoudre le soleil et la lune dans leur eau sche, que levulgaire appel mercure d'appel de mauvais got. " Les Sages ont aussi dcritleur terre sous le nom de sel - par exemple, dans " le Sondage de laTrompette , "o il est dit : " ce qui est laiss(quitt) au fond du

vaisseaunavire de distillation est notre sel - c'est--dire notre terre. "Et dans " les Allgories dues Sage s "un clats en avant dans ces mots : " Notelamarque bien que ces corps quie coulent en avant de nos corps esont des sels etdes aluns. "De temps en temps ils appellent la mdecine elleui-mme" leSel, " comme dans le passage suivant"de de l'chelle ": " la vertu de ladeuxime eau estdoit de glorifier la terre dans son propre sel minral propre,comme si l'assimilant de cela ppar sa force propre. " Et ArnoldArnaud, dansson travail concernant" la Conservation due Jeune homme, " (livreb. IIIiii.)dit :" : Ce sel prpar a unela grande vertuevertu dans la prservation dujeune homme. Les Sages l'ont compar la chaleur naturelle due jeune hommesain. La Pierre elleui-m mme tait parfois appele par le sage la Pierre

Animale, parfois le Secret Minral, et tenantsur le compte de cette similitude;parfois le Remde ternel, ou l'Eau de Vie. La prparation entire peut trerduite l'eau potable la plus pure, comme d'autres choses qui ont les mmesproprits. " Du sus-mentionn il apparat clairement que l'on nous interdittant par l'enseignement des Sages que par la nature de la chose de la chose supposer que la Pierre peut tre faite des minraux moindres.

Nous devrions ensuite nous renseigner plus soigneusement si la que questionde notre Pierre peut tre obtenue des minraux intermdiaires - comme lebismuth, l'antimoine, la magnsie, et ceteraainsi de suite. Ils sont certainementsouvent mentionns dans ce rapportsens(connexion) par les Sages. Ainsi Seniordit, dans un certain passage : "si lorpiment jaune orpiment n'a pas lae

pouvoir(la puissance) de coaguler le mercure notre Magistreery ne peut jamaisatteindre son but. " Thomas d'Aquinas nous recommande de prendre "notreantimoine ou la terre noire, " tandis que ParmenidesParmnides, dans "laFoule, " dit : "prenez le mercure et coagulez-le dans le corps de magnsie, oule soufre corruptible. " Mais dansdans tous cestels passages, ces termes sontutiliss mtaphoriquement ; ce n'est pas signifi que la Grande Pierre peut jamais tre faite de telles substances. L'orpiment et la magnsie des Sages nesont pas les minraux communs, mais la substance qui dans d'autres passages

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est appele l'Agent, le Lion, le Roi, le Soufre et par beaucoup d'autres noms. Ilsl'appellent orpiment parce qu'il donne une coloration plus profonde et plusbrillante l'or; la magnsie cause de l'excellence et de la grandeur de ceuxllequi en est gagn ; l'antimoine, avec Thomas d'Aquin, cause de la noirceurbrillante qu'il assume aprs sla solution. En fait, quand la Pierre a assum sacouleur d'bne, ils sont dans l'habitude de compareraison de cela toutes leschoses noires.

Mais il peut tre dit que certains de ces minraux intermdiaires sont, en fait,

composs de mercure et dle soufre et peuvent devenir des mtaux, parexemple, la magnsie s'unit avec l'avance(le plomb) et l'tain, et l'antimoine semlange non seulement avec ldes mtaux, mais produit aussi une avance(unplomb) non trs diffrente de l'avance(du plomb) naturelle. De plus, il estaffirm que beaucoup de personnes de degr plus ou moins haut et bas ont enralit vu de l'or fait de ces minraux. CIl 'est nouveau dit que comme cesminraux sont composs de mercure et dle soufre (et peuvent par des moyenschimiques leur tre rduit) et sont donc d'une origine commune avec lesmtaux, la substance de la Pierre peut aussi tre mise jour d'eux. Mais, enpremier lieu, nous devons faire une distinction entre les divers minraux diversde cette classe, savoir ceux qui contiennent le mercure et ceux qui lecontiennent rarementpresque jamais. Ceux qui sont pleins de mercure ont de

compte plus dintrtgrand, depuis, quau moyen de notre Mdecine, leurmercure peut tre transform endans or et enl' argent; Et, leur nature tant enpartie mtallique, ils peuvent bien tre appels la moiti de mtauxdemi-mtaux. Mais le reste, qui n'a aucun mercure, est inutile pour notre but. Maistant donn que, cause du soufre brut et combustible qui est endans eux,mme le premier deux sestont, en effet, trs loin en effet de lobjectiuf butmtallique, donc ils ne peuvent pas tre pris pour la substance de notre Pierre,qui doevrait tre un pure et perfectionner le mercure combin avec le soufrepur, subtil et incombustible. Qu'ils soient les plus impurs et profondmentinfects de la grossiret de leur soufre, on pepeuvent facilement senaperevoirapercevoirvoir par l'essai d'une exprience chimique. Un d'entre

eux (zinetum), par son la raison de son poids et brillance(grande intelligence),pourrait tre pris premire vue pour le mercure pur par le ngligent ; maisquand apport l'essai due feu, il est consomm enavec une fume, commecelui dle soufre. Le bismuth, d'autre part, n'est pas aussimme fusible par lefeu - tel est sa grossiret terreuse et impuret. L'antimoine, de nouveau, peuttre purg par un processus chimique et rduit un reguleus trs blanc etbeau. Comme nous le regardons dans cet tat pur, il semble difficile de croirequ'il ne peut pas tre transform endans quelque chose de glorieux. De l il est


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naturel que quelques personnes vaniteuses devraient puavoirsuppossupposerque la Pierre peut en tre prpare. Mais cependant beaucoup d'antimoineestant purg de sa noirceur, il conserve toujours sa grossiret, duret et desproprits sulfuriques ; ilcela ne peut jamais devenir mallable (comme lesmtaux) et donc, malgr ses nombreuses proprits, ne peut pas tre considrcomme un mtal. De plus, il a le mercure brut et impur ; et son soufre estcombustible. Vous, alors, qui seraiezt de grands philosophes et en tromperiezvraiment plusieurs avec vos critures volumineuses, dans lesquelles vousmettez ce minral en avant comme l'essence du remde universel - je vous

demande maintes reprises de reconsidrer votre avis et marquer l'nonciationd'ArnoldArnaud, en cela "il est idiot de chercher dans une chose celle qu'eillene contient pas. " Il dit aussi, dans son Commentaire "de la Foule " : "lapierre du philosophe est une substance pure. " De nouveau, Lulleius dans son "le Dernier Testament, " observe : "notre teinture nest rien que le feu rienque pur. " Il y a une expression au mme effet dans son "Vade Mecum " : "c'est un esprit subtil qui teintelesdes corps de teintes et les nettoie de leursinfirmits lpreuses. " Mais ce minral (comme tout le reste, sans uneexception simple) est si brut et impur que l'on ne peut seulement le nettoyercela lpar la mdiation de notre teinture. Donc, la substance de notre GrandePierre ne peut pas en tre mise jour, depuis que (Richard, chapitr. Je I.) Rien

ne peut tre obtenu d'un corps qui n'existe pas auparavantl- dedans. Quedirons-nous due vitriol, lequel induitsent en erreur plusieurs par sesmerveilleuses qualits, d'autant plus qu'une certaine partie de lui cela lescchangements endans le cuivre et lui-mme aont le pouvoir(la puissance) detransformeration les autres ensisur dans le cuivre ? En fait, c'est la substancelmentaire due cuivre et quand cette vapeur minrale (ou le mercureaerienform) trouve dans les veines minrales de la terre une place o sonamer(endurci), acide, sal, et vnneux le sel et le mensonge de soufrementvnrien se sont cachs, il amalgame immdiatement avec cela dans unmtal. Mais puisque la quantit du soufre sus-mentionn excde normmentcelleui du mercure, quand le pur est spar de l'impur et le combustible del'incombustible par laebureau de sparation de Nature, le mercure lui-mme

est chang dans une substance infrieure verdtre. Quand le soufre commun estajout au cuivre et le tout introduitlen contact introduit avec le feu (donc l'artpeut faire par la chaleur intense endans quelques moments faire ce qu'il prend la chaleur douce de Nature une longue priode de temps pour laccomplir) ilcorrode le cuivre et le change endans vitriol et, selon la proportion de et laquantit deu soufre, le vitriol assume une couleur plus riche ou plus faible ;d'o il vient qu'un peu de vitriol contient plus de cuivre et un peu moins. Dansle fer, aussi, il y a le soufre brut; de l il est corrod par le vitriol qui cherche son


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mercure (le mercure de fer tant trs semblable du vitriol) et (le mercure tantjoint(rejoint) au soufre) le fer devient le cuivre pur.

On devrait soigneusement le remarquer que l'esprit acide due vitriol estproduit du soufre ; capour l'odeur deu soufre est peru dans l'esprit duevitriol et l'esprit due soufre, comme l'esprit due vitriol, a le pouvoir(llapuissance) de changer endans le vitriol. Depuis, alors, ce soufre corrosif est s'estcach dans le vitriol et puisqu'il contient une si petite quantit de mercureimpur, nous pouvons tre srs quile cela ne peut pas tre l'objet de notre

recherche. Dans cela nous sommes d'accord avec Alphidius, qui dit : "tenezcompte, mon fils et vitez ldes cadavres et ldes pierres ; dans aucune de ceschoses n'est l vraie voie de la procdure, capourr leurs vie fruits ene conservede vie pas, mais dtruit. Tel sont ldes sels, orpiments, l'arsenic, la magnsie, lebismuth, tuttietutie, et d'autres de ce genre " Et ArnoldArnaud (La Fleuros desFleuors.) dit : "la raison de ces erreurs est que les quatre espritsalcool, c-a-est dire dviz., orpiment, le sel d'ammoniac, le mercure et le soufre, ne sont pas lagraine des mtaux parfaits ou imparfaits (sauf, bien sr, le mercure et le soufredpar eux). "

Mais de ces derniers mots d'ArnoldArnaud il pourrait tre dduit que lemercure commun et le vif-argentmercure sont la substance de la pierre, voyant

que ceux-ci sont attribus aux quatre espritsalcool et que l'e soufre estonsupposeque le soufre cconsolider le mercure. Mais je rponds, avec Richard l'Anglais, dans son onzime chapitre, qu'il ne fait pas vraiment ainsi. CarPourchaque sorte de soufre commun est rpugnant aux mtaux, comme le Sage dit : "en effet vous devez savoir que le soufre vient en avant de l'embonpoint de laterre et est paissi dans le mineralminral par la chaleur douce ; quand celadevient dur il est appel le soufre. "

Maintenant il y a deux sortes de soufre, lea vivante et le combustible. Le soufrerapide est le principe actif des mtaux et, quand il est purg de toute matirelaquestion trangre, est la MatireQuestion de notre Pierre. Mais la varitcombustible commune n'est pas la MatireQuestion des mtaux ou de notre

Pierre; cest plutt c'est injurieuox.us eux.Le sSoufre commun, combustible -commedonc Avicennea nous le dit ainsi queet Richard ll'Anglais - n'a aucunrapport aveec notre art.


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Cependant soigneusement prpar, il dsagrge toujours et dtruit toujoursldes mtaux, parce qu'il n'a aucune affinit avec eux. Quand il estjointenferm(inclus) avecdans ldes mtaux, il retarde leur fusion. On le voitclairement dans le cas due fer, qui contient le soufre dur, brut et impur. Quandce soufre est brl c'e nestst rien qu'une substance morte, terreuse,pulvrulente. Comment alors peut-il communiquer la vie d'autres choses ?IlPourcela a deux principes de dcrpitude (dcadence) - son inflammabilit et

son impuret terreuse. Le soufre des Sages,, et d'autre part, vit le feu ; C'estrapide, et s'acclre et mrit des substances sans vie. Le soufre commun, alors,ne peut pas tre la substance de la Pierre.

Mais que dduirons-nous concernant le mercure commun ? Les Sages nousdisent que la Question de notre Pierre est une substance pleine d'entrain etbeaucoup de ses qualits troitement(de prs) ressemblent beaucoup cellesuxdue mercure vulgairede mauvais got. Car c'est la substance lmentaire detous les minraux fusibles, comme ArnoldArnaud dit (Rosaire., Chapitre II,point I)virgule. Je., Cp. ii.) : D"depuis que toutes les substances fusibles,quand fondues, y sont chang entelleil seet se mlange avec eux cause de sanature commune : ils peuvent en diffrer seulement dans la mesure o elleIl

contient le soufre tranger impur. " Et, de nouveau (chapitre.IViv.) : " Leaviedu mercure vivant est clairement lea pluspart parfait,e et avrprouve danstoutes ses oprations, puisqu'il sauve(conomise) de la combustion et promeutla fusion. C'est la teinture rouge, la somme de perfection, et rapide comme lafoudre ; Non plus s il nn'en est coup dnon plus avec quoilequel il s'estmlang aussi longtempstant qu'il existe. Le semblablmme est plein d'affinit,fendant fidlement, et est le mdiateuroyen par lequel les teintures sont unies,car celacela se mlange le plus intimement avec eux, pntrant naturellementdans leur partie la plus secrte, carpour cela a de dela mme nature. Nousimitons la Nature exactement, qui dans son athanor mineralminral travaille,sans hath aucune autre question whereonmatire excepte elle travaille saufune pure forme mercuriellepl.eine d'entrain pure. C'est la seule chose quisurmonte le feu et n'est pas surmonte par luicela, mais enchante dans sachaleur amicale. "De nouveau, Bernard dit " Dans ce mercure est inclus lesoufre essentiel, celui queque le feu ne peut pas toucher; et il accomplit notreobob jet sans une aucune autre substance que celleui dune mercure pur. Voyant" L'observation, alors, que le mercure a de telles proprits excellentes,cela doit srement tre la substance de notre Pierre ? Vrai; mais comme il y adeux sortes de soufre, ainsi il y a deux sortes de mercure, le mercure commun et


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le mercure des Sages. Le mercure commun est brut et grossierbrut ; il nesupporte non plus l'essai due feu comme notre mercure, mais est dissip enforme de fume, mme par unela chaleur douce. De l les Sages ont fix cettergle(autorit) : "notre mercure n'est pas le mercure du troupeau vulgairedemauvais got. " AinsiDonc Lulleius dit (Clavicules. : chappitre. IJe.) : "lemercure commun, cependant soigneusement prpar, ne peut jamais devenir lemercure des Sages, car le mercure commun ne peut seulement supporter l'essaidue feu que par l'aide d'unentre certainsd'autre mercure sec et plus sec et plusfortement digr. " Mais la plupart des tudiants de cet art ont beaucoup parl

en grande partie de la sublimation due mercure commun et ont persist dans larecherche du trsor de la sagesse terrestre o il ne peut pas tre trouv, parceque la Nature ne l'a pas plac l. Et, vraiment, le travail mme due mercurecommun est si merveilleux qu'il ait induit en erreur certains certains qui ontsuppos qu'ilseuxont taientdes connaisseurs en cet art. La chose suivanteest un exemple. Je connaissais un homme qui a russisuccd dans l'octroi son amalgame de la une couleur orange, mais il ne pouvait pas l'obtenirn'importe quelle que soit la proximit plus p rdoeche la couleur d'or. Enfin cechimiste intelligent a dcid d'augmenter la chaleur du four, pensant que celaaurait l'effet dsirable de plus pour combiner plus intimement les ingrdientsdivers. Mais hlas! L'alembialambic clatae, lor fut projeton a lanc l'or dans

le feu, et presque entirement chang presque de sa nature par le mercuretoujours volatil. De l il apparuat que le mercure (qui est son corps) ainsi a sifortement affect l'or dans ses moindres particules minutest quil pour laerduitre en une teinture, bien que plusieurs couleurs aient t obtenues parl'action de la chaleur sur la masse fondue. Si ce bon homme avait eu coeurcur les mots d'ArnoldArnaud dans "la Fleur des Fleurs," il n'aurait jamais fait cette exprience. Car mentionn ArnoldArnaud fait la rfrence ceux qui adoptent cette mthode dans lesen termes suivants : "ils savaient quele mercure est le principe lmentaire des mtaux et qu'ils sont produits traverspar sa digestion par la chaleur due soufre ; ils ont donc sublimed lemercure par lui-mmeisolment, pensuiste fix et consolid cela, et ont denouveau fondu cela et l'ont vraiment de nouveau coagul : mais quand ils sont

venus pour examiner l'alembialambic, ils n'ont trouv aucun or, etc " Doncnous ne pouvons pas croire que le mercure commun est la substance de laPierre. En mme temps je ne nie pointas quile c'est indispensable tant auchymistechimiste philosophique qu'au mdecin.

Nous avons soigneusement cherch la substance de notre pierre dans le mondeanimal et vgtal, parmi ldes pierres, ldes minraux moindres, intermdiaires etplus grands, mais en vain. Nous devons maintenant voir si nous pouvons le


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trouver dans les mtaux et s'il en est dans ainsi si en toust ou seulement danscertains. C'est un fait bien connu (auquel Roger tmoigne, Spec.., chapitre.IIIiii.), que tous les mtaux sont produits du soufre et dule mercure, et que rienne deviendra un avec eux, ou les changera, mais ce qui provient(qui estoriginaire) d' eux ; puisqu'une chose peut tre dveloppe et amlioreseulement par celle qui appartient sa nature propre (Richard, chapitre I. je.).

Je n'ai pas besoin de dire que le Grand Artiste a prescrit cela lensemblepartout dans toutesdles choses de Nature qui doievvenrait produire

seulement ce lle qui leur ressemble, pour que, par exemple, un cheval ne puisse jamais tre le rsultat d'un homme. C" Comme des animaux brutaux , "ditBasilBasile Valentin, " ne peuvent pas se multiplier aprs aprs leur sortesortepar voie de la gnration sauf en vertu de leur nature commune; donc vous nepouvez pas attendre dobtenir la Pierre Bnie, horsmais de sa propre graine,dont eille a t faite adu commencement. Maintenant pour trouver la graine,vous devriez diligemment considrer danspour ce que le but vous exigez laprovisione Magasin(Dpt). Vous verrez immdiatement qu'il peut treseulement obtenu seulement de la racine mtallique de laquelleont Dieu l'aprescrit que les mtaux eux-mmes devraient tre produits. De plus, il y a unegrande similitudeconformit entre la gnration des mtaux et la Pierre. Cartant dans le soufre que dans le vif-argentmercure (contenant ce sel qui est leur

me acclrantequickening) est indispensablement exige ; n'importe quelmtal utile ne peut tre produit non plus jusqu' ce que ces trois (lacomposantition de la substance mtallique) n'ont t combins enpourldans lacomposition de mtaux ; il ne doit rien y avoir rien qui n'ai pas t obtenud'une source mtallique. "" Aucune chose externe dit Draco, " qui n'estpas tir de ces deux [le soufre et mercure] naont le pouvoir(la puissance) deproduire ou transmuter des mtaux. De ce fait,Sur ce compte nous devonschoisir une substance mtallique pour la production de la Pierre. "Nousdevons ensuite brivement nous renseigner s'il doit tre trouv dans desmtaux imparfaits. Plusieurs imaginent que la substance dues blancs (lateinture) peut tre mise jour de l'tain ou dul'avance(le plomb ) et celleui du

rouge du cuivre ou dule fer, ou tous les deux. Cette ide est indubitablementpar suite d'une ide fausse conception des mots des Sages. Pour Geber (lib. forn.Chapitre .IX, ix.) dit : " la masse pour la fermentation, nous la gagnonsgnralement de l'imparfait [la base] des corps. "Donc nous le fixons en rglegnrale que la pte blanche peut tre extraite deu Jupiter et dela Saturne, lerouge de la Vnus, la Saturne et Mmars. Et Basile. Valentinus dit (Lib. de phys.et hyperphys.), que la teinture est prpare d'une conjonction de Mars et deVnus. De nouveau (Triomphe de l. aAntimoine.), iIl utilise ces mots : "aprs


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que cette teinture du Soleil et de la Lune vient la teinture de Vnus et Mmars etque deux composent la teinture du Soleil, quand ils ont t fond perfectionnset condenss au maximum. Aprs que cllesux, viennent les teintures de Jupiteret de Saturne (pour la coagulation due mercure) et enfin la teinture due mercureellelui-mme. " Mais le chercheur de Nature doit savoir qu'il ne peut y avoiraucune contradiction d'avis entre Geber ou Basile, car il c'est impossible que lesvrais philosophes doivent jamaistre couchs(mentent un jour,ir) et donc cesmots doiventevraient tre compris mtaphoriquement compris. Car aucuneperfection ne peut tre obtenue des mtaux imparfaits, par eux seul ou

mlangse, puisqueni peut ce qui est imparfait ne peut porter d'autres choses la perfection. Car la substance la plus pure du mercure est necessairencessairepour notre but, comme il en est tmoigne dans "le Sondage de laTrompette, " et par Avicennea, Lulleius et presque tous les Sages, qui affirmentunanimement que nous choisissontchoisissons "la substance la plus pure duemercure est choisi par nous pour notre travail. " Maintenant cetteela que lasubstance fortement raffine due mercure n'est pas trouve dans les mtaux debase, puisqu'ils sont rendus si si bruts par leur soufre impur et non essentiel,que, comme des corps lpreux, ils ne peut jamais tre fondtotalement purgpurg et nettoy, car un tel procds est l'essence de notre artifice. Ils nesupportent pas non plus bien l'essai aude feu, qui est une des proprits

exiges a notre Matire. Laissez-nous entendreremarquer ce que Geber nousdit (La somme de perfection [summa]Summa, chapitre L.XIII ?ixiii.) concernantl'impuret des mtaux imparfaits et les proprits due mercure parfait : " Ainsi, dit-il, arrivons-nous sur deux des plus merveilleux secrets les plusmerveilleux. Le premierCelui est quil existe l une cause double pour ladestruction de chaque mtal [imparfait] par le feu : savoir, (1), le soufrecombustible ci- joint dans leur substance intrieure est allum par la chaleurfroce et (libre de toutepar n'importe quelles excellences dans leur mercure)annihile et convertit endans la fume leur substance entire ; (2), la flammeextrieure est alimente par eux, pntre dans leur intrieur et les dissoutendans la fume, bien qu'ils soienttre trs solide; (3), leur intrieur est mis nu par la calcination. Maintenant quand toutes ces conditions de destruction

sont trouves ensemble, les corps doivent tre dtruits ; s'ils ne sont pastrouvs ensemble, ils seront dtruits quelque peu plus lentement. Le deuximesecret est l'excellence que le vif-argentmercure communique aux corps.CarPour le vif-argent mercure (aucune autre condition de dcrpitude tantprsente) ne se permet pas d'tre spar endans ses lments, mais prouve saperfection en prservant sa substance intacte dans le feu. Bni soittre Dieu quil'a cr et lui a'a donn une telle ' une substance et de telles proprits quie nesont pas trouv dans toute la Nature en plus. C'est cela qui surmonte le feu et


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enchante dans sa chaleur amicale. " Ici Geber montre clairement montre que lasubstance de notre Pierre ne peut pas exister dans ldes mtaux imparfaits ;parce que les choses qui sont impures dans eux ne peuvent passupporter'observentpas le feu qui pourrait les purer, tandis que notre mercure( cause de sa puret) n'est pas bless dans le degr le plus lger du feu blessprs du feu. Ainsi nous percevons quaucune personne le mtal imparfait nepeut contenir la substance de notre Pierre. Mais il ne doit pas non plus tretrouv dans un mlange de mtaux impurs - capour en les mlangeant ilsdeviennent moins purs qu'ils ntaient auparavant. De plus, nous avons dit

susdit que la substance que nous avons exigeonseest unetait celui. Ce fait estclairement expos par Halys (lib. le secret., chapitre.VIvi.), quand il dit : "laPierre est Une Celui; rien d'autre ne doit y tre ajout : d'une substance lesSages obtiennent notre remde. Rien d'autre ne doit se mlanger avec la Pierreelle-mme lui-mme, ou avec sa substance. " Et Morienus dit : "ceMagistreery granditcultive d'une racine originale, dontque d les branchessortent de dans en plusieurs parties et due lequel fleuritdes printemps unechose. " Mais si les mtaux de base ne peuvent pas tre la substance de laPierre, pourquoi les Sages nous offrent-ils dle les employerient ? Je vous ledirai. Quand ils parlent de corps impurs, ils ne signifient pas(ne veulent pasdire) lde cuivre, le fer, l'avance(le plomb), l'tain et*c., mais son corps propre,

ou sa terre - comme ArnoldArnaud (La Fleuro dess Fleuror.) dit "le Mercureest uni la terre, c'est--dire, une substance imparfaite [ou le corps]. " Carquoique cette "terre " soit si parfaite et pure que pour celadans ces respectselleil semblerait atteindre la possibilit la possibilit extrme de Nature,cependant en ce qui concerne la Pierre, elle rc'este toujours imparfaite etimpure. Deans ce point de lart, de point laisse(quitte) la Nature partderrire,puisqu'il accomplit ce que la Nature ne pouvait pas excuter. Cesette cetteterre avant sa purgation complteplnire et sa rgnration qui est imparfaite,que lonpeutpeut voir du fait qu'eille ne peut pas encore accomplir plus dansans la question de teintureging que la Nature luiy a donn, tandis qu'aprs sargnration c'est lae plus puissante. Sa grossiret est clairement perue dansune exprience relle : enpour premier,ellec' est noir et ressemble l'avance(au

plomb) ou l'antimoine ; alors il elle esta d' une couleur blanchtre et estappel leJupiter (ou l'tain, ou la magnsie) et cecela aussi avant qu'eille n'aitatteint la vraie blancheur, mais lorsquelleand il a pass l'tape(la scne)blanche, elleil est appele Mmars et la Vnus ; aprs, celaelle cela devientparfaite etet rouge. Ce BasilBasile Valentinus est d'accord avec moi et n'a pasvraiment soutenu l'avis qu'il a exprim dans certaines de ses critures,notamment est claires de son tendue concernant la Grande Pierre o (parlantlaconversationau sujetde la Question de la Pierre) il dit que dans le'au sSooleil


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toutes les trois perfections sont trouves ensemble, d'o il tire sonpouvoir(puissance) de rsister au feu, et que la Lune, cause de son mercurefix, ne cde pas facilement au feu, mais supporte le procs(l'essai). " Cetamante noble Venus matresse Venus, continuant "il continue, " estpourvu(fourni) d'une abondance de couleurs et la partie la plus grande et laplus riche de son corps est pleine de teinture. La couleur est la mme que celleiqui demeure dans le plus prcieux des mtaux, et par ce que cause decettesonabondance a une apparenceition rougetre. Mais son corps est lpreux, etpourlequelpourcettela raison la teinture ne peut pas y rester fixe, mais s'vapore

lorsquequand l'a formencieneest dtruite. Car quand les dcrpitudes lde corpsdcrpit l'me ne peut pas rester, mais est dissipe et chasse. Son habitationest dtruite et brle paravec le feu et sa place ne la le sait(connat) non plus.Dans un corps fix eillesansaurait aucune difficult de rester. 'Le sel ' fixprocuredonne Mmars undecourageux un corps courageux, dur, fort et lourd;d'o la force de son me peut estre perue : car pour ce guerrier n'est pasfacilement surmont. Car son corps est dur et difficile de blesser. "

Mais ne laissez personne conclure de ces mots dede Basileius que cequi a fix lesoufre fix de Vnus, quand uni l'esprit due mercure parfait, deviendra lateinture. Nous devons de nouveau nous rpter que notrecette notre substancen'est pas rassemble de beaucoup de sources ; mais, comme Basileius le dit,

c'est une chose universelle, et est trouv et obtenu d'une cette chose, tantl'esprit due mercure, l'me due soufre et un sel spirituel, uni sous un ciel etdemeurant dans un corps. Plus avant, Lreaissez-nous donc tournonser nospices de derrire sur le sujet des mtaux de base, et tourner nos avis(esprits)versauxles mtaux prcieux, ayant coeurcur ces mots de Platon (qu. IIii.) :"pourquoi fondez-vous et dissolvez-vous d'autres corps avec grande peinelegrand travail, quand en euxdans ces [les mtaux prcieux] vous avez ce quevous cherchez ? Si vous voulez utiliser les mtaux de base, vous devez d'abordles changer en la substance des corps parfaits. " Donc, ll'enquteur aim dansldes secrets de Nature, laisseraz(quittez )d esur un ct ltout l'animal de choseset les vgtaux lgume, lensembletous dles sels, des aluns, des vitriols, des

bismuths, des magnsies, des antimoines et toutse les mtaux de base etimpurs,la b ase et des mtaux impurs et cherchez votre Pierre avec les nouvellesdArnauldold de Villeneuve.nov. (Point 1Virgule. 1., chapitre VII. vii.) : "dansle Mercure et le Soleil pour le Soleil, et dans le Mercure et la Lune pour la Lune;puisque la vertu entire de cet art consiste endans eux seul. "CarPour commela source d'ignition est le feu, si dl'or est le principe de fabrication de l'or, "dit Ripley, dans sa son " la PPremire Porte . " Si, donc, vous dsirezwouldestfaionret de lor et de l'argent par l'art desu philosophes, ne prennenzprenezt


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jamais cette pour ce but fin ndioeufsdufs, ni de sang, mais lor et l'argent,quie, tant soumis l'action due feu naturellementment, prudemment etpasnon manuellement, produisent de nouvelles substances aprs leuxr sortepropre, comme toutes les choses dans la Nature. Richard (chapitre.Xx.) nNousdit "de semer lor et l'argent, cceettela aide donnefacilitparpar notre travailqu'ils peuvent apporter en avant le fruit, par la mdiation de Nature : car cesdeux ont [et ont [et sont]] ce que vous recherchez et rien d'autre dans tout lemonde. " Et cest pourquoi sije nepas les fixe pas puisqu'ils contiennent le puret paerfaectionnent le mercure, avec le soufre rouge et blanc. (Richard, chapitre.

XVIIxvii.) Ainsi Avicennea apprend que, dans "dans tout l'argent est le blanc,comme dans dans tout l'or il y a le rouge, le soufre. Aucun autre soufre commea a qui existe dans ces corps n'e peust tre trouv sur toute la terre. DeplusDo,nc nous prparons avec astuce ces deux corps, dontque nous pouvonstiravoirlele soufre et lele mercure de la mme substance que celle qui produitlor et l'argent sous la terre. Car ils ont brillent des corps brillants, dont lesrayons la teignentte de rayons lesd' autres corps avec la vraie blancheur et larougeur, en accordselon avec la faon faon de leur propre prparationpropre. " Car"Pour notre Magistreery, " dit, ArnoldArnaud (Le Rosaire.Pointla virgule. 1., chapitechapitre. Vv.) aident "lLees allocationsperfectionnent des corps parfaits, et des travailleux sur l'imparfait sans

ladjonctione mlange d'autre chose. Lor, a*old, alors, tant le plus prcieux detous les mtaux, est la teinture rouge, teintanttinging et la transformantiontousde chaque les corps. L'aArgent est la teinture blanche, teintantging lesd'autres corps avec sa blancheur parfaite. " Laissez-moi dire au lecteur doux queles mtaux, c'est--dire lor et l'argent en leur forme mtallique, ne sont pas laMatireQuestion de notre Pierre - tant au milieu au milieu entre eux et lesmtaux de base, comme notre MatireQuestion est au milieu entre l'aformencien et notre Grande Pierre. MaintenantAucun, Bernard ne dit (Point lavirgule. I1i.) : restons" Laissez-les tre silencieux face ceux qui affirme quelon utilise'il y a n'importe quelle teinture, saufmais lanotre notre propre, ounimporteun quel autre soufre que celuile quierestele mensonge a cach dansla magnsie ; aussi ceux qui voudraiente extrairaient le vif-argentmercure de

nimportde ochacun, saufmais de l'esclave rouge, et qui parle de l'auntrecertaine eau autre, saufmaisde la notre propre qui esont incorruptibles et ne secombinent avec rien sauf cque qui appartient sa nature propre et n'humidifie[ne tedes teintes] rien sauf cque qui est un avec sa nature propre. Il n'y a aucunacide, saufmais le notre nprotpre, aucun autre rgime, aucune autre couleurs.De la mme manire, il n'y a aucune autre vraie solution, sublimation, laconsolidation, la putrfaction. Je vous conseille donc den 'aavoir finait avecldes aluns, des vitriols, des sels, des corps noirs, borax, eau forte (aqua fortis),


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des herbes, des animaux, des btes et tout ce quie des revientus d'eux, descheveux, le sang, l'urine, semencela graine humaine, la chair, des oeufs et detous les minraux et de considrerespecter les mtaux. Mais quoique le mercureexig pour notre Pierre est trouv seulement dans ldes mtaux seulement et encela dans ceux-ci est le dbut du travail, ils ne sont pas donc pas notre Pierre,tant qu'ils conservent leur forme mtallique. CaPour la mme substance nepeut pas avoir deux formes. Comment peuvent-ils tre la Pierre qui tient uneforme intermdiaire entre ldes mtaux et le mercure, moins que leur formeprsente ne soit d'abord dtruite et enleve ? Donc, aussi, Raymond Lulley dit

dans son "Testament " (chapitre. VIvi).) : "sur ce compte un bon artisteprend ldes mtaux pour sones mdiateurs dans le travail du magistreery etparticulirement le Soleil et la Lune, parce que endans eux la substance duMercure et du Soufre est mrie, pure et bien digre par l'artifice propre de laNature.. L'artiste essayerait en vain de produire cette proportion exacte deslments naturels, s'il ne les'a pas trouvait pas prt sa main dans cescorps. " Et dans "le CodicileCodicillemplment " il dit : " Sans ces deux,cest--direviz., lor et l'argent, notre art n'aurait aucune existence depuis quele soufre qu'ils contiennent ai t pur par la nature avec une perfectioncomme l'art s'efforcerait en vain d'imiter. De ces deux corps, avec leur soufreprpar [ou l'arsenic prpar] notre Mdecine peut tre mise jour, mais sans

eux nous ne pouvons jamais l'obtenir. "Dans la prface saon " la Clef " ildit : " je vous conseille, mes amis, dfonctioprnner sur rien dautres que leSoleil et la Lune ; mais ceux-ci vvous devrezaient les rsoudre endans leurssubstances lmentaires, cest--direviz., notre mercure et notre soufre. "De lamme manire, ArnoldArnaudus nous assure que " de ces corps l est lextrait un soufre extrmement blanc et rouge ; car dans ceux-ci il y a launesubstance la plus pure due soufre, nettoy au degr le plus haut par l'artificepropre de la Nature. "Nicarus, dans " la Foule, " dit : " Je vous conseille'aioffert devous prendre ez de l'or , que vous dsirez multiplier etreprendre(renouveler,) et diviser son eau en deux parties ; capourr ce mtaltombant endans cette eau sera appel la matirea question fermentantee del'or. "Comment ce Sage peut-il appeler son " l'eau "l 'lor ? Pour aider

l'tudiant dans la rsolution de cette nigme, je dois lui dire que l'or des Sagesn'est pas l'or commun, comme aussi Senior nous le dit. Ddans " la Foule "o il est dit : " comme le mercure est l'lment de tous les mtaux, alors sild'or est leur but suprmeultime ; de l dans tous les mtaux, purs et impurs, ily aestdl'or, ld'argent et lele mercure. Mais il y a un vrai or qui est l'essenced'entre toust. "AAinsi vous voyez qu'il y a un or des Sages, quie, quoique tirde l'or commun, est encore trs diffrent de cela. Les mots suivantsarriviennent deans " l'Aube Naissante "(chapitre. XVIxvi.) " l'or du


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philosophe ne ressemble pas l'or commun ni en couleurs ni endans lasubstance. Ce qui en est extrait est la teinture rouge et blanche. " " L'or duphilosophe peut tre achet bas un prix bas" (Aphidius). "Tout ce qui estachet un prix lev est faux. Avec peu d'or nous achetons beaucoup "(Morienus). De plus, notre or vit dans ll'or et notre argent vivent dans l'argent,pour qu'ils ne puissent causer rien rien que la vie et la croissance. LoOrcommun et l'argent commun sont morts. Ils ne peuvent rien effectuer rienjusqu' ce qu'ils soient levs des morts et acclr par le Sage. Alors, ils viventet possdent dans un haut degr le pouvoir(la puissance) de propagation et

dela multiplication de leur rgnecourse(race). Concernant la vie de nos mtauxque le grand philosophe, Sendivogius (qui vit toujours ), en a les mots suivants : " Laissez-moi vous conseiller de ne pas recevoir l'or et l'argent du troupeauvulgairede mauvais got, car ils sont morts. Prenez nos mtaux vivants. Placez-les dans notre feu et il en rsultera l un liquide sec. D'abord, la terre serarsolue dans l'eau [cestpour ainsi que le Mercure des Sages est appel]. Cetteeau rsoudra or et l'argent et les consommera jusqu' seulement la diximepartie pouravec une partie est laisse(quitte). Ce sera le radical humide desmtaux. "

Il doit tre not que les Sages appellent parfois leur eau, aussi bien que leurterre, or. Ici,Hereunto nous avons dj entendu les mots de Nicarus et aprs

dune faon pareille que l'on nous dit dans "le Rosaire des Philosophes : :"notre or et largent ne sont pas l'or et l'argent du vulgairees de mauvais got.Nous appelons de l'or l'eau qui monte dans l'air quand expos au feupourtirer. En vrit, cet or n'est pas l'or du communde mauvais got. Le vulgairedemauvais got ne croirait pas de leur or qu'il pourrait tre volatilis cause desa nature solide. "

"La terre " du philosophe, alors, est parfois dsigne leur or, comme le mmeauteur porte tmoignage : "savez que notre minerai, qui est l'or desphilosophes, est leur terre. " Cette "terre " est aussi appele le minerai, leferment, ou la teinture ; de mme que "l'eau " est appele "la terre "blanche et floconneuse. Donc nous lisons dans "le Sondage de la Trompette ": "pour quelle raison Herms dit," Semez votre or dans la terre blanche,floconneuse qui par la calcination a t faite rougeoyant, subtil et volatil. "C'est--dire : Semez de l'or, c'est--dire, l'me et la vertuevertuacclrantequickening, dans la terre blanche, qui par la prparation a t faiteblanche et pur et libre de toute sa grossiret. L'or aAinsi naturel n'est pas lamatirequestion fermentante, mais l'or du philosophe est le fermentacclrateurde quickening lui-mme. " De nouveau, dans le Septime Pas de


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[] l'est "l'chelle des Philosophes " : " Leur terre est blanche dans lequelleur or [qui est l'me] est sem et ce corps est le centre de la connaissance, slaaconcentration de cela et l'habitation des teintures. "Encore une fois : "doncHercule dit : "rsolvez le corps de magnsie qui est devenue blanche etcomme les feuilles(congs) de la mre sauvage. " Ceci' est le corps; l'me estl'essence qui est appele l'or du philosophe. "(caPour avec l'eau l'espritmonte dans l'air suprieur.) "Mlangezle Mlange, " dit Senior, " l'or avecl'or, qui est de l'eau [le mercure] et ldes cendres. "De nouveau, Herms dit : " semez de l'or dans la terre floconneuse blanche. "De ces expressions,

cependant obscurment exprim, il est clair que notre or n'est pas l'orcommun.

Mais pourquoi les philosophes appellent-ils une fois leur or maintenant "l'eau " et autres foismaintenant "la terre " ? Ne se Ils ne se contredisent-ilspas, ou l'un l'autre ? Non; nos Sages, dans l'explication de la vrit, lae voilentsous des expressions obscures et allgoriques, mais reconnaissent se corroborenanmoins avec l'un et l'autre si merveilleusement qu'ils semblent tous parler,en effet, avec une mme bouche. Ils ne confondent pas une chose avec uneautre, ils ne veulent non plus drouter les questeursenquirer srieux. Ilss'expriment endans des expressions mystiques pour cacher la vrit del'indigne et limpie, de peur qu'ils ne doivent sembler lancer des perles

deavant le porc, et l'octroi de la chose sainte serait foul tre march sousdlespieds par ceux qui pensent seulement satisfaire leurs dsirs laxscistefs. Maison a dit l'tudiant noble de notre art plus dqu'une fois, non seulement de ceque lquart de notre Pierre peut tre obtenu, mais aussi que sa substance doittre une, qui par l'habilet(la comptence) de l'artiste peut tre rsolueendansdeux, cest--direviz., terre et feu, ou mercure et soufre.

Les Sages, alors, russissent pour on bien fait dappeler leur terre d'or ou eau;car ils ont un droit parfait de lae nommer comme cela leur platdu tout ilsaiment. Donc ils appelaient frquemment leur Pierre leur or, leur or super-parfait, leur or rgnr, et par beaucoup d'autres noms en plus. Si quelqu'unne peroit pas leur signification asur le premier regard, il doit blmer sonignorance propre, pas leur jalousie.

Le lecteur sait maintenant que la substance de notre Pierre n'est ni animal, nivlgtablumee, et qu'il n'appartient pas aux minraux ou auxles mtaux debase, mais qu'il doit tre extrait de l'or et de l'argent et que notre or et argentne sont pas l'or et largent vulgaire etde mauvais got , mort et l'argent, maisl'or vivant et l'argent des Sages. Nous devons maintenant dire quelque chosedu mode de solution, comme tantcomme l'arcane le plus grand d'entre toust,


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mdiation due mentionn Art avec la avec Nature. " Et cela,qu'ils ne lavouentne peut pas tre fait moins que le corps soittre rsolu endans sa PremireMatireQuestion, qui est le vif-argentmercure, hors due lequel il a t faitaduans le commencement, sans mixture additionnelle mlange de den'importequelqules choses dextrieures ; puisque la matirequestion trangre ne peutpas amliorer la nature de notre Pierre. " CaPour aucune eau, " dit Bernard, "dissout nos corps, exceptm aiscequi est celui qui a de leur sorte, et peut trecondens par eux. " (EpitreEptre. Thomas. de Bononia.) Et dans lea mmeptre il crit : " La solution devrait tre permanente, capour ce qui este des

deux lments, cest--direviz., la graine masculine et fminine, une nouvelleespce peut rrsultera. Amen, je vous dis qu'aucune eau naturelle ne peutdissoudre ldes mtaux, sauf cque qui esont toujours endans euxconsidrablement et formellement, et que les mtaux eux-mmes, tant dissous,peuvent de nouveau se consolider. "' Ainsi Morfoleus, dans " la Foule " dit: " chaque corps est dissous avec l'esprit qui y est joint(rejoint) et sans aucundoute devient sans aucun doute aussi spirituel. Et chaque esprit est modifi etcolor par ldes corps, auxquels l'esprit est ainsi ajoute une couleur deteintureging qui supporte l'essai due feu. . "De l l'tudiant de notre art doitdiligemment se renseigner quelle est cette eau est. " Pour la connaissance delau menstrueum, "dit Raymond (Comp. AUn ., point.1je.) e"Est une chose

sans laquelle rien ne peut tre fait dans le magistreery de cet Art. Rien neprserve les mtaux qutandisqu'il les dissout, saufmais notre menstrueum,, "quie, comme lui de nouveaux tats dans son ' Complment ', est "l'eau parlaquelle les mtaux sont rsolus, tandis que toutes leurs proprits essentiellessont conserves. " Quoique ce soit le Grand Arcane que nos Sages tenaienttoujours secrets et nous ont interdit de rvler, cependant, autant que nouspouvons, nous vous mettrones sur la bonne voie par deux ciotationess. Laepremierer est trouve dans le Rosaire abrg et court comme suit : " Lapremire prparation et la base(fondation) de cet Art, esont la solution [c'est--dire, la rduction] du corps endans l'eau, c'est--dire, dans le vif-argentmercure, et cela ils lappellent la solution, quand ils disent : Laissez l'ortre dissous, qui est s'est cach dans le corps de magnsie, qu'il peut tre

rduit sa Premire MatireQuestion, de lcela il de l cela peut devenir lesoufre et le mercure, et ne pas tre de nouveau liqufi dans l'eau. L'e butobjetde notre solution est de le rendrefaire le liquide, et de le rsoudre endans lasubstance due vif-argentmercure dontque le fait d'tre sel de son soufre peuttre diminu, quei devine cele soufre divin est prpar enpar l'extrayantctionde deux soufres, quand l'esprit rencontre le corps. " La deuxime citation estdu " Proemium des Douze Portes, "par Ripley : "Je vous apprendrai toutde suite que vous devez mayest sait(connatre) qu'il y a trois mercures, qui


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sonttes les clefs de la connaissance [que Raymond appelle saon menstruea],sans laequelle rien n'est correctement fait. Mais deux d'entre eux sontsuperficiels. Le tiers(troisime) est de lessenctiel du Soleil et de la Lune, dontles proprits je vous dcrirai les proprits. CaPour le mercure, l'essence des'autres mtaux, est la substance principale de notre Pierre. Dans lOOr etl'Argent nostre menstruesa n'esont pas visible l'oeilil, et esont seulementperu par leurleur effet. C'est dont la Pierre dont nous parlons, si quelqu'uncomprend nos livres correctement. C'est l'me et la substance brillante duSoleil et de la Lune, cette influence de sous-btuile dont la terre tire sa splendeur.

CarPourquestcece qui estld'or et ld'argent (dit Avicennea) maisinon la pureterre rouge et blanche pure ? RetireEmportez-en la splendeur sus-mentionneet ce ne sera rien que la terre rien que sans valeur. Le compos entier nouslappellonsappelonsle notre avance(plomb). La qualit de la splendeur vient duSoleil et de la Lune. Et, en bref, ceux-ci sont nos solvants. Nous calcinonsnaturellement lDes corps parfaits que nous calcinons naturellement avec lepremier, sans ajouter n'importe quel autre corps impur, mais un gnralementappel par ldes philosophes le lion vert, et cesont le moyen pour parfaitementcombiner les teintures du Soleil et de la Lune. Avec le deuxime, qui est unliquide vgtal, ranimant ce qui 'auparavant tait mort, les deux principes [tantle matriel que formel] doivent tre dissousrsolus ; autrement ils nauraient

qude peu de valeur. Avec le tiers(troisime), qui est un liquide permanent,incombustible, de qualit onctueuse, l'arbre de Herms est brl enauxcendres. C'est notre feu naturel, le plus sr, notre mercure, notre soufre, notreteinture pure, notre me, notre Pierre leve avec le vent, n dans la terre. Ceschoses vont au coeur.cur. Cette Pierre, j'ose vous le dire, est l'essencepuissante du mtal, et vous devez tre prudents de la manirecomme ntdontvous l'obtenez vraiment. Car ce solvant est invisible, bien qu'avec l'eauphilosophique secondaire cela, par la sparation des 'lments, il puisse devenirvisible dansen la forme de l'eau pure. De ce solvant et avec celuia, vouspourriezmayst obtienirt le soufre de Nature, sil c'trest naturellementmtamorphos enun esprit pur. Alors,. vVous devrezmayst avec celadissoudrelvez votre masse fondamentale [c'est--dire lor et largent] avec lui.

"

Dans ces deux ciotationes le mystre entier de la solution est rvl. Si vousconsidrerez les proprits et les pouvoirs de Nature, et les comparerez avec cesmots, et annihilerez tous les travaux de Nature (c'est--dire les rduisrez.eEtles droulez-les comme le fil d'un cheveau), vous trouverez endans eux toutela vrit simplement et fondamentalement. Mais si vous ne pouvez pas


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comprendre deuxvous runir(conclure) d'eux lorsqueo sont les portes sontverrouilles, et ne connaissezsavent(connaissent) pas la substance et llespouvoirs de Nature, vous enleur serez condinstruits, nonpas par la vanitddaigneuse, mais par la prire ardente et l'tude infatigable.

CarPour (par la rvlation due grand et du bon Dieu) j'ai atteint cet Artseulement par la demande(l'application) persvrante, ldes veilles et ai rptla lecture rpte de livres authentiques. Je ne parle pas de la matirequestion -qui m'a t donnefait connu par la rvlation de Dieu seul ; mais j'ai par

l'tude a dcouvert le secret de sa solution, qui est la mme que celleavec desSages antiques et modernes, et le vrai arcane de l'Art, en dont lignoranceabseempchence ni devtant ni ldes Philosophes prsents que pass ne pourraitavoirde ne rien excuterriendutile, d'o c'est un secret d'Art et un arcanede sagesse que personne ne doit rvler saufmais Dieu ne doit rvler, pourlequelpour lequel l'avantage je donne avec le coeurcur et les lvres desremerciements ternels avec le coeur et des lvres au Crateur de toutes leschoses, le monde sans fin, Amen.

Pour qQue vous ne puissiez avoir aucune raisoncause de pour vous plaindre de

traite d’or sur la pierre des philosophes

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