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techn ques& RCHITECTUR Revue publiée avec le concours du Centre national des lettres - 9 GIU_ 1989 REVUE BIMESTRIELLE PUBLIÉE PAR LES ÉDITIONS REGIREX-FRANCE 54 bis, RUE DOMBASLE, 75015 PARI S. TÉL. (1) 45.31.06 05 HUBERT MOULET, PRÉSIDENT-DIRECTEUR GÉNÉRAL RÉDACTION JEAN-MICHEL HOVET, RÉDACTEUR EN CHEF ANNI E ZIMMERMANN, SECRÉTAIRE DE RÉDACTION MARIE-CHRISTINE LORIERS, RÉDACTRICE-ÉDITORIALISTE JEAN-FRANçOIS POUSSE, RÉDACTEUR CONCEPTION GRAPHIQUE.: LUCETIE DUÉDAL TEXTES ANGLAIS : DIANE VAUGHAN MEMBRES FONDATEURS : AUGUSTE PERRET, A. HERMANT, LE CORBUSIER, R. LE RICOLAIS, J. PROUVÉ. PRÉSIDENT D'HONNEUR : MAX BLUMENTHAL. PUBLICITÉ REGIREX-FRANCE, TÉL. (1) 45.31 .06.05 GÉRARD CHEVALIER, DIRECTEUR DE LA PUBLICITÉ CAROLIN E CLOIX, CHEF DE PUBLICITÉ DANitLE LEFRANC, CHEF DE PUBLICITÉ DANIEL THOREL, DIRECTEUR TECHNIOUE RELATIONS EXTÉRIEURES ATIACHÉES DE DIRECTION: DENISE DE LA REDONDA- PROMOTION DES VENTES (pour la France) BÉATRICE LOYER- RELATIONS INTEHNATIONALES ABONNEMENTS CARMEN LORENZO TARIFS FRANCE, LE NUMÉRO: 140 F t.t.c. ABONNEMENT ANNUEL (SIX NUMÉROS): 670 F t.t.c. ÉTUDIANTS · 480 F t.t.c. ÉTRANGER, LE NUMÉRO: 160 FF ABONN EMENT ANNU EL (SIX NUMÉROS): 790 FF DISTRIBUTEURS A PARIS Galignani, 224, rue de Rivoli (1 •'). FNAC Forum des Halles, 1 à 7, rue P. Lescot (1•') . Brentanos, 37, avenue de I'Opéra (2•). Centre Georges Pompidou, Plateau Beaubourg (4•). Eyrolles, 61, boule- vard Saint-Germain (5•). Graphigro-Beaux-Arts, 133, rue de Ren- nes (6•) La Hune, 170, boulevard Saint-Germain, (6•). Librairie ENSBA 13, quai Malaquais (6•). Librairie du Moniteur, 7, piace de I'Odéon (6•) et 15, rue d'Uzès (2•). FNAC Montparnasse, 196, rue de Rennes (6•). Gibert Jeune, 5 piace St Miche! (6•). Librairie Magnard, 122, boulevard Saint-Germain (6•). Artcurial, 14, rue Jean-Mermoz (8•). Dupré et Octante, 42 , rue de Berri (8•). Printemps de la Maison, 64, bld Haussmann, (9•) . Librairie Ormezzano, 189, rue du Faubourg Saint-Antoine (11 •). Alias, 21, rue Boulard (14•). Cité des Sciences, avenue Corentin- Cariou (19•). Boutique Afnor, 7, square de Corolles, Paris La Dé- fense (92). DISTRIBUTEURS EN PROVINCE ET A L'ÉTRANGER Voir page 175. Les articles publiés dans cette revue n'engagent que la respon- sabilité de leurs auteurs. Tous droits de reproduction, de traduc- tion et d'adaptation réservéS pour tous pays. Copyright by Techniques et Architecture 1989. En couverture : Projet de R. Gabetti et A. Isola pour la Biennale de Venise, 1989. Photo Nanni Orcorte. A para/tre, le n° 384 "Bibliothèques et médiathèques Nota: un encart non-paginé recto- verso avec rabat est placé entre la deuxième de couverture et la page 1 pour les exemplaires diffusés à Paris. 47 - - - - - - - - - - - - EXPOSITION « Temps sauvage et incertain » à l'Ifa ' l - '"' -- ) ... . -\) '·\ - ------------------------------ = 68 - - DOSSIER Présences en Europe - - - - - - - - - - - - --- --"*i · --· v ---,---., ...... , ------- - -------- = 144 - - CULTURE TECHNIOUE La pierre réinventée - - - - - - - - - - =15 4 - - DESIGN Richard Sapper, - - formes subtiles - - - - - - - - - -

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techn ques&

RCHITECTUR Revue publiée avec le concours du Centre national des lettres

- 9 GIU_ 1989

REVUE BIMESTRIELLE PUBLIÉE PAR LES

ÉDITIONS REGIREX-FRANCE 54 bis, RUE DOMBASLE, 75015 PARI S. TÉL. (1) 45.31.06 05

HUBERT MOULET, PRÉSIDENT-DIRECTEUR GÉNÉRAL

RÉDACTION

JEAN-MICHEL HOVET, RÉDACTEUR EN CHEF

ANNI E ZIMMERMANN, SECRÉTAIRE DE RÉDACTION MARIE-CHRISTINE LORIERS, RÉDACTRICE-ÉDITORIALISTE JEAN-FRANçOIS POUSSE, RÉDACTEUR CONCEPTION GRAPHIQUE.: LUCETIE DUÉDAL TEXTES ANGLAIS : DIANE VAUGHAN

MEMBRES FONDATEURS : AUGUSTE PERRET, A. HERMANT, LE CORBUSIER, R. LE RICOLAIS, J. PROUVÉ.

PRÉSIDENT D'HONNEUR : MAX BLUMENTHAL.

PUBLICITÉ REGIREX-FRANCE, TÉL. (1) 45.31 .06.05

GÉRARD CHEVALIER, DIRECTEUR DE LA PUBLICITÉ CAROLIN E CLOIX, CHEF DE PUBLICITÉ DANitLE LEFRANC, CHEF DE PUBLICITÉ

DANIEL THOREL, DIRECTEUR TECHNIOUE

RELATIONS EXTÉRIEURES

ATIACHÉES DE DIRECTION: DENISE DE LA REDONDA- PROMOTION DES VENTES (pour la France) BÉATRICE LOYER- RELATIONS INTEHNATIONALES

ABONNEMENTS CARMEN LORENZO

TARIFS

FRANCE, LE NUMÉRO: 140 F t.t.c. ABONNEMENT ANNUEL (SIX NUMÉROS): 670 F t.t.c. ÉTUDIANTS · 480 F t.t.c.

ÉTRANGER, LE NUMÉRO: 160 FF ABONN EMENT ANNU EL (SIX NUMÉROS): 790 FF

DISTRIBUTEURS A PARIS

Galignani, 224, rue de Rivoli (1 •'). FNAC Forum des Halles, 1 à 7, rue P. Lescot (1•') . Brentanos, 37, avenue de I'Opéra (2•). Centre Georges Pompidou, Plateau Beaubourg (4•). Eyrolles, 61, boule­vard Saint-Germain (5•). Graphigro-Beaux-Arts, 133, rue de Ren­nes (6•) La Hune, 170, boulevard Saint-Germain, (6•). Librairie ENSBA 13, quai Malaquais (6•). Librairie du Moniteur, 7, piace de I'Odéon (6•) et 15, rue d'Uzès (2•). FNAC Montparnasse, 196, rue de Rennes (6•). Gibert Jeune, 5 piace St Miche! (6•). Librairie Magnard, 122, boulevard Saint-Germain (6•). Artcurial, 14, rue Jean-Mermoz (8•). Dupré et Octante, 42, rue de Berri (8•). Printemps de la Maison, 64, bld Haussmann, (9•) . Librairie Ormezzano, 189, rue du Faubourg Saint-Antoine (11 •). Alias, 21, rue Boulard (14•). Cité des Sciences, avenue Corentin­Cariou (19•). Boutique Afnor, 7, square de Corolles, Paris La Dé­fense (92).

DISTRIBUTEURS EN PROVINCE ET A L'ÉTRANGER Voir page 175.

Les articles publiés dans cette revue n'engagent que la respon­sabilité de leurs auteurs. Tous droits de reproduction, de traduc­tion et d'adaptation réservéS pour tous pays. Copyright by Techniques et Architecture 1989.

En couverture : Projet de R. Gabetti et A. Isola pour la Biennale de Venise, 1989. Photo Nanni Orcorte. A para/tre, le n° 384 "Bibliothèques et médiathèques " ·

Nota: un encart non-paginé recto­verso avec rabat est placé entre la deuxième de couverture et la page 1 pour les exemplaires diffusés à Paris.

47 ------------

EXPOSITION

« Temps sauvage et incertain » à l'Ifa

' l -

'"'

-­) ... .

-\) '·\

- ------------------------------= 68 -- DOSSIER

Présences en Europe ------------ -----"*i·--·v---,---.,......, -------- --------

= 144 -- CULTURE TECHNIOUE

La pierre réinventée -----------------------------------------~ =154 -- DESIGN

Richard Sapper, -- formes subtiles ----------

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~J_~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

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SOMMAIRE - CONTENTS

, _ ___ PRESENCES EN EUROPE ___ _ Avant-propos Hòpital Robert Debré à Paris, Pierre Riboulet Conservatoire de musique à La Courneuve, Lipa et Serge Goldstein Bureaux de gestion de la société Ami à Paris, David Ventre Banque du Crédit industrie\ de Normandie à Évreux, Patrice Mattini Paris visions Les mouvances architecturales à Graz Musée et centre culture\ à Graz Modernité déviante, Berlin, Hans Kollhoff Berlin, lignes, points, plots, déchirures Barcelone, la perspective des jeux Hòpital de Mora d'Ebre, Catalogne, Jose Antonio Martinez Lapeiia et Elias Torres Tur Jardin de la Villa Cecilia à Barcelone, Jose Antonio Martinez Lapeiia et Elias Torres Tur Londres, du revival victorien aux modernes victorieux lmmeuble de bureaux à Stockley Park, Londres, Norman Foster BiHiment Appie Computerà Stockley Park, Londres, Troughton-Mac Aslan L'architecture italienne entre incertitude et espoir, par Aldo Benedetti Quartier d'habitation du Cannaregio à Venise, Vittorio Gregotti Palais de Justice d'Alba, Roberto Gabetti et Aimaro Isola Hollande, le temps de la dé-tradition, par Wiel Arets

ACTUALITÉS - MAGAZINE Concours pour la Fédération française de judo, Architecture Studio Couverture des arènes de Nlmes, Labfac Exposition à l'Ifa : « Temps sauvage et incertain » La pierre réinventée Serge Mouille, des lignes de lumière Richard Sapper, formes subtiles lmages et identités du design britannique Espaces pluriels, show-room Marcatré Le bureau par touches successives lnformations Nouveaux produits lnfos techniques Resumenes en espagiiol

Foreword Robert Debré hospital at Paris, Pierre Riboulet Courneuve Academy of Music, Lipa and Serge Goldstein Administrative offices far the company Ami at Paris, David Ventre Banque du Crédit Industrie\ of Normandy at Evreux, Patrice Mattini

· · Paris visions Architectural changes at Graz Museum and cultura\ centre at Graz Divergence from modernity, Berlin, Hans Kollhoff Berlin : lines, points, blocks and ruptures Barcelona, perspective of the Games

II!I:J Mora d'Ebre hospital, Catalogne, - Jose Antonio Martinez Lapeiia et Elias Torres Tur 11!1 Garden of the Villa Cecilia at Barcelona, Jose - Antonio Martinez Lapeiia et Elias Torres Tur IJlil London, from the victorian revival to the victorious moderns IIIiJ Offices at Stockley Park, London, - Norman Foster lliJ Building far Appie Computer in Stockley Park, London, - Troughton-Mac Aslan llmJ ltalian architecture between uncertainly and hope, - by Aldo Benedetti llmJI Residential area of Cannaregio at Venice, - Vittorio Gregotti IlEI Alba Law courts, Roberto Gabetti and Aimaro Isola 1m Holland, the time of de-tradition, by Wiel Arets -- FEATURES ANO REGULAR SECTIONS EiJI French Judo Federation competition, - Architecture Studio 111111 Covering Nlmes arena, Labfac lllJI Ifa exhibition : « Wild and uncertain times »

1111 Stone-reinvented la Serge Mouille, light lines mJI Richard Sapper, subtle shapes 1m lmages and identities of British design lm!JI Plural spaces, Marcatré showroom Imi The progressive office .:1!11 lnformation 1fi1 New products I:DJI Technical news lliJI Spanish summaries

__________________ AVRIL-MAI 1989 _ ________________ _

Hospital infantil Robert Debré , Paris, p. 68

Cual bella nave en libertad ,esta obra mayor de P. Ri­boulet se eleva e n los confines de Pari s. A través de sus masas horizontales y verticales perfiladas contra el cielo, puede percibirse una palpitaciòn interior, una humanidad simple . El arquitecto decidiò poner espa­cios nuevos y libres al servi cio de los ninos y optò por unidades autònomas que respondìan a la exigencia de tratar especìficamente los servicios médicos.

El terreno, elemento siempre primordial para Ribou­let, sugiriò el tema de la curva, que al modelarlo ha generado el vocabulario de compoc ic iòn. Trabajo que, sim ilar a la fuga musical, agota el tema en variaciones y, lejos de ser juego formalista, constituye el principio organizador que rige el conjunto Uti lizando ademas un repertorio limitado de materiales y formas, una de las maneras mas sencillas de conseguir la unidad como demostrado por el tempio griego, y azoteas ajardina­das cuyo abandono casi total en la actualidad deplora el arquitecto.

La intenciòn, en el terreno situado entre los dos bulevares de circunvalaciòn de Parìs, era de instituir una unidad en dialogo con la ciudad. Hacia el bulevar interior, el frente, fuerte pero acogedor, recuerda la murai la de Thiers. Hacia el bulevar exterior, la protecciò de una composiciòn contrastada: un edificio rectilìneo y cerrado al norte y otro curvo pero abierto al sur.

La labor de concepciòn ha sido guiada en buena parte pour maquetas que, trabajadas esculturalmente, crean una relaciòn in mediata entre el trabajo intelectual y manual. "La obra de arte, en su origen, es lodo menos una obra manufacturada · no hay progreso posible e n la m an era de crear e n arte, como siempre, es una confrontaciòn a la angustia de hacer algo a partir de nada." Riboulet trata de crear espacios abiertos a los hombres, de inventar relaciones verda­deras entre volumenes, materiales, colores, luz. T area que no es simplificada ni por el farrago de los reglamentos n i por la forma de operar de las oficinas de proyectos. Para Riboulet son importantes ciertas con­quistas modernas como la luz, trabajada como un materia! de interior, y la mezla de espacios interiores que cambian el limite de lo publico y lo privado, e introducen una reflexiòn sobre el vinculo de la fachada con el interior del edificio. Esta debe ser penetrable, atravesada por el uso social, la luz, via aun insuficien­temente explorada.

El arquitecto se muestra satisfecho del partido urbano. Habia que elegir, y en todos los casos optò pour la integridad del proyecto, la abundancia del espacio construido, el gran desarrollo de fachada: lodo ello sumamente caro. Queda el consuelo que los accesorios envejecen rapido y deberan transformarse; de haberse sacrificado la superficie, el volumen, la luz, era perderlos para siempre.

Conservatorio de Musica en La Courneuve, p. 80

En un suburbio sin gracia de Parìs, surge, metalica y densa, esta obra sorprendente. A partir del encargo de un hangar para ensayos de orquesta, ha resultado un edificio !ripartito compuesto del chalé existente, un c rudo hangar hacia atras y el pabellòn que los comunica, pequeno pero visible al lado de la entrada de doble altura.

·La distribuciòn interiore n medios nivei es acentua la impresiòn de espacio. La sala de ensayos, invis ible desde el exterior, es ull'a especie de traspatio techado. A pesar del uso intensivo del metal, la o bra no evoca la tecnologia sino un objeto de cerrajeria incrustado en albanileria.

Oficinas de gesti6n de la lmprenta AMI, Parfs, p.83

La arquitectura a veces se enfrenta con piacer a tareas imposibles , como aqui: diez meses para la ejecuciòn, construcciòn al fondo de una percela accesible por un corredar de 1 ,20 m de ancho, cuatro muros ciegos, maxima economia.

lmperturbable ante tales limitaciones, el edificio se asienta, molnolitico, sobre un plano rectangular, utili-

zando pocos materiales, espacios y formas. Bloques de hormigòn , vidrio, meta l y hormigòn ordenan y su m an sus cal idades. El edific io se ab re a sì mismo mediante bloques de vidrio y al cie lo a través de un lucernario abierto en sesgo en el techo. El techo es en efecto una qu inta fachada y la fal la de luz desciende profunda­mente en el volumen, dividiéndolo en cuatro partes desiguales unidas por una escalera que aspira al vacfo del aire.

Banco de crédito industriai en Évreux, p. 86

La creaciòn de espac ios no exige inmensidades. Utilizando 140m2, oficinas, luz, materia y color, esta ex ferreteria en forma de corredar se transforma en un espacio estructurado y profundo. Composiciòn simple pero sutil. Tabiques y estantes combaten la estrechez dellocal, ritmando el es paci o con una diagonal entre la entrada y la parte posterior.

Tres espacios conforman ellugar. El primero acoge al publico, con puerta corrediza clara que de dia constituye el techo, mesa de marmol y mostrador. El segundo, separa al cliente y su banquero. En el sòtano, la sala de reuniones del personal.

Los acabados, carpinteria y materiales son muy cuidados; asi, h asta el materia! mas modesto revela cualidades ocultas y enriquece a sus vecinos. Las lineas, curvas y aristas que trazan participan en una busqueda profunda.

Parfs, p. 90 Actualmente, los t'emas de discusiòn acerca de Paris, donde la arquitectura ocupa un lugar importante, giran en torno a evitar los cor\flictos entre la ciudad y el Estado, a reforzar su condiciòn de capitai internacional y a la elaboraciòn de nuevas reglas de juego.

El Estado, movido e n sobre lodo por la firme voluntad del presidente, se ocupa prioritariamente de ezquipa­mientos dirigidos a un publico internacional. El Gran Louvre, modernizado y empliado, es el simbolo de e sta reanudaciòn de la tradiciòn històrica de la capitai y actua sobre la ciudad por su envergadura espacial y temporal. El eje històrico de la ciudad que parte del museo se ha enriquecido con dos nuevos elementos: la polémica piramide de cristal de Pei y, en el otro extremo, el Gran Arco de la Défense. La reconquista del este parisiense comenzò con ellnstituto del Mundo Arabe, signa de una profunda mutaciòn e n la arquitec­tura francesa, continuò con la Opera de la Basti l la y el Parque Omnideportivo de Bercy y se ha visto confir­mada con el Ministerio de Hacienda en Bercy. Por su parte, el parque de La Villette es un equipamiento metropolitano concebido como un nuevo modelo de espacio urbano que activa la mezcla de publicos y culturas, donde rivalizan la Ciudad de las Ciencias, la Gran H alle de exposiciones y, la Ciudad de la musica.

El Estado ha cumplido un papel inci tador que actualmente otros poderes tratan de emular. Los concursos internacionales, los portavoces de la renon­vaciòn y los j6venes han transformado este impulso e n un movimiento durable. Surge por doquier una verda­dera arquitectura en tono menar, variada pero sin cacofinia, que valoriza los rincones pobres de la ciudad. hospital Robert Debré, zona norte de La Vi­llette. La morfologia urbana es una preocupaciòn constante de los aquitectos, que dan prioridad al espacio publico o inventan dispositivos generadores al mismo tiempo de la calle y el ensamble de la vivienda en inmuebles. El menar intersticio es aprovechado para afirmar una plastica formai interesante y los equipamientos son tratados con el mismo cuidado.

Ante la escasez de viviendas, quizas sea necesario abandonar la volumetrìa haussmanniana y construir mas alto. En ese caso, el orden del dia padria ser construir un nuevo cielo de Paris.

Austria: las tendencias arquitect6nicas en Graz, p.92

Dentro de la riqueza de la arquitectura austriaca contemporanea, hecha de tradiciòn, innovaciòn , ideo-

logìas y suenos, destaca la de los diferentes Lander disociados de la capitai en diferentes regionalismos '

La cuidad de Graz, desde hace veinte anos, viene rechazando los viejos valores y experipentado La influencia de los grandes maestros del racionalismo es aun sensible , pero van abriéndose nuevas sendas a la creaciòn arquitectònica La producciòn local, aparen­temente incoherente, refleja la diversidad de enfoques. Si, a primera vista, los proyectos de comienzos de esta década paracen imbuidos de tecnicismo e innovaciòn, en realidad denotan una fuerza viva, expresada con seguridad y humor.

En la década del 60, la primera generaciòn, " Idea­lista" , desarrolò por un l ado la vivienda de origen tradicional y por otro el estructuralismo o funciona­lismo. Hasta mediados de la siguiente, la arquitectura de Graz se inspira en el Movimiento Moderno unido a referencias vernacu lares. A partir de entonces, una nueva generaciòn expresionista dramatiza mas el espacio, quizas en exceso, pero al mismo tiempo otra tendencia imprime a sus obras formas mas o menos experimentales y se nota una persistencia del funcio­nalismo.

En los ultimos anos se nota una tendencia descons­tructivista paralela a la de los vieneses Coop Himmel­blau (Broek, Hammerl) , a la que deben anadirse los estudios urbanos provocadores (Zechner), los edifi­cios culturales (institutos universitario de Kapfhammer y de bioquimica de Kowalski + Szyskowitch), la vivienda unifamiliar tratada con gran libertad formai.

La vivienda colectiva se debate entre el pasado tradicional y moderno, debido a que municipalidades y habitantes provinciales no aprecian la architectura de vanguardia, situaci6n que tratan de remediar las 140 oficinas de arquitectura de graz cuyos proyectos, a pesar de un cierto clasicismo, denotan una voluntad constante de experimentaciòn que es presa simultane­amente tecnic idad y poesia.

Locales para una exposici6n nacional en Graz, p.95

El proyecto rac ionalista de K. Kada ha ganado el concurso para un edificio, contiguo a una fabrica de vidrio, destinado a albergar una exposiciòn temporal y luego el museo del vidrio y centro cultura! de la ciudad.

La estructura de hormig6n y acero del antigua edificio ha sido conservada, cubierta por una nueva piel de vidrio. Los frentes oeste y norte son de albannilerìa y la fachada a la calle es una pared de placas de vidrio sin marco arriostrada interiormente con aletas de vidrio y tirantes de acero. Esta contrasta con la fuerte materialidad del techo de pianta triangu­lar, apenas posada sobre el volumen. La secuencia de salas de exposiciòn en tres niveles es luminosa y elegante, compuesta de espacio abiertos entre si y al exterior. En este museo, invirtiendo nuestras imagenes corrientes, lo invisible se hace esencia, soporte de lo visible.

Conjunto de viviendas de alquiler, Berlin, p. 100 Frente al palacio de Charlottenburg, este conjunto sombrio y brillante se instala en curva fragmentada en el centro de un barrio pintoresco.

Esta compuesto de dos edificios curvados hacia el centro de la manzana, que parecen atravesar un edificio antigua, y orientados hacia la Luizenplatz y el parque del palacio. Tras la fachada de ladril los negros y recubierta de vi d rio y metal se encuentran las loggias de los departamentos y las galerias de acceso que contrastan agradablemente con las construcciones existentes. A pesar de su fuerza, el conjuncto es cortés, intimo y habitado por reflejos.

Berlin; linea, puntos, desgarrones, p. 104 El urbanismo berlinés responde a un principio de composici6n por relleno de vacios, sea de manera continua o por "dados " · Ultimamente, parece surgir una nueva alternativa que se funda en el fracciona­miento, la opocisiòn y la aceptaciòn de las rupturas.

El urbanismo de esta c iudad, deliberado y apoyado por las instituciones, ha estado siempre abierta a las diferentes corrientes, d es de la exposici6n de 191 O y las obras del Bauhaus, hasta las exposiciones lnterbrau (1957) y a l BA (1979~87) . Los grandes de la arquitec~ tura moderna han dejado su huella. Behrens, Gropius, Taut, Wagner. La guerra la dej6 en escombros y con enormes baldios dejados por el ferrocarri l ; el Muro la muti lò y redujo la parte occidentral a un polo econ6~ mi co. La década del 60 fu e la era de las demoliciones, renovaciones y autopistas urbanas y de los grandes ed ificios publicos de Mies y Scharoun.

El IBA, creado para repensar el urbanismo berlinés con staba de dos partes: el "viejo" para rehabil itaci6n y el" nuevo" para la renovaci6n. El primero, que actu6 sobre lodo en los barrios màs densos y pobres, ha dado edific ios pequenos, en generai innovadores e interesantes, que reconstituyen el tejido urbano y se interesan en la participaci6n de los habitantes. El IBA nuevo tom6 un giro tradic ional, intentando comlpletar la ciudad mediante la reconstituc i6n de los paramentos de las cal les y la ocupaci6n del centro de la manzana con "dados", sus resultados, a pesar de la cali d ad de los participantes, han sido màs bien decepcionantes No puede negarse que las realizac iones de los dos IBAs, cuyas acciones son hoy continuadas por el organismo llamado Stern, han sido notables: interrum~ pieron el avance del Bulldozer y propusieron a lterna~ ti vas. Fu e la expresi6n de una reflexi6n pero también de los limites de la misma por el fracaso de los conceptos reputados màs avanzados.

Luego del IBA, los proyectos (Z. Hadid, Koolhaas, Libeskind) asi como las obras (piscina de Langhoff, sala de deportes de los Baller) muestran una fuerte tendencia a desestabilizar los trazados, limites y formas. El conjunto de viviendas de H. Kollhof se emplaza en un tejido ortogonal de manera inédita, desl izàndose en curva y traspasando los edificios existentes, y, organizada por una galeria, la actual exposic i6n de propuestas para Berli n de 82 arquitectos del mundo entero es en verdadero calidoscopio que qu izàs exprese el nacimiento de una conciencia.

Barcelona, p. 1 06

Barcelona, màs allà de su particumarismo fogoso, se niega a encerrarse en una perspecti va unicamente espanola. Capaz de confrontarse a las cu lturas inter~ nacionales e integrar sus contribuciones, posee ade~

màs una gran riqueza propria. Con motivo de los Juegos Olimpicos, aparece de pronto como un foco de creaci6n.

Poderoso acelerador, la mani festaci6n deportiva revela una capacidad creativa aneja. una metropoli e n ebull ici6n, enfrentada a si misma, a su pasado y futuro. Pienamente europea.

Hospital de Mora d'Ebre, Cataluna, p. 108 Esta vasta acr6polis , visible desde muy lejos, se alza al borde una alta meseta cuyos acantilados dominan la vieja ciudad medieval.

Las exigencias de rac ionalidad y agrupaci6n en unidades de los servicios complementarios han Ile~ vado a un edificio alar~ado (200M), bajo, conectado a los servicios complementarios y, màs lejos, a las habitaciones. De éstas, unas se abren al norte para protegerse del viento y el sol, otras, perpendiculares a las primeras , al este a azoteas ajardinanas y, final~ mente, otras al sur a patios entoldados.

Para romper la li neal idad monumental, el hospital està fraccionado e n entidades casi aut6nomas, lo que, sin quitarle prestancia, le da un aire hogareno. La entrada està constituida por un edificio perpendicular adosado al centro la fachada. Grandes bloques pinta~ dos de bianco, ladrillos, pavimentos lisos, volumenes y espacios c laros camponen una arquitectura tranquila que, de no disimularse en el verdor, seria casi imperiosa.

Jardin de la Villa Cecilia, Barcelona, p. 112 El jardin anadido a esta vil la convertida en centro cultura! està separado de la calle por un muro alto y claro. Una sola entrada, màgica, conduce a él.

Cerca del pequeno parque secu lar de la villa, bosquecillos y senderos hacen eco a su diseno. Los bordes de piedra bianca trazan lineas francas, que recuerdan vagamente un laberi nto. Un estanque cerca de la entrada refleja la escultura posada en el. Los arbustos, naturales y racionales, se instalan a la par de las escultu ras, bancos y faroles. la simbiosis entre jardin y esculturas rige el misterio del lugar.

Edificio de oficina B3 en Stockley Park, Londres, p. 118

Este edifi cio elegante y singular situado en los subur~ bios de Londres es, aunque a m il mi l las de la elaborada aparatos idad del banco de Hong Kong , una las rea lizaciones màs logradas de Foster por su claridad de concepci6n e ingensodidad prodigada en las soluciones.

Dos cuerpos de espacios de trabajo se reparten a lo largo de una galeria de circulaci6n, tratando de optimizar los paràmetros programàticos: estructura de techo, profundidad de piso util, aportaciones solares, volumen y ubicaci6n de los espacios de servicio. La estructura en forma de paraguas, repetida dos veces, genera tres cuerpos principales y aligera la silueta del edificio. El problema de las aportaciones solares directas ha si do resuelto con paneles de vi d rio tratados con una pelicula de pintura bianca en degradé que crea una calidad de luz lechosa y hace que el edificio parezca flotar envuelto en una bruma fil trante.

Italia: entre la incertidumbre y la esperanza, p. 126

La busqueda de una identidad de la arquitectura ital iana resulta dificil debido a la complejidad y amplio espectro de las posiciones, La producci6n de esta década es variada, contradictoria, dividida entre las idiosincracias de la década anterior y la necesidad de una renovaci6n de los métodos y enfoques.

la desapèarici6n reciente de varios grandes arqui~ tectos dif ixulta la lectura segun "escuelas ". El esce~ n ari o se organizaba en un sistema polarizado en Roma, Milàn y Venecia y en las grandes interesados en sus busquedas personales que en un replanteamiento de objetivos comunes.

Hoy los arqu itectos niegan su pertenencia a un programa cultura! y se han embarcado en sendas conceptuales divergentes. Las màs interesantes se desarrollan al rededor del tema de la vinculaci6n de la arquitectura a su contexto. Surge entonces una meto~ dologia que hace aparecer desde un àngulo di ferente las relaciones entre lo antiguo y lo nuevo, el tipo y la forma, la permanencia y la modificaci6n.

En Venecia, luego de anos de mimetismo exacer~ bado, nuevos conjunctos de viviendas, animados de un espiritu de transformaci6n, de continuidad de tejido y de defin ici6n de los bordes , son una respuesta apropiada al tema de la rehabil itaci6n . Rossi parece prestar hoy màs atenci6n a las exigenc ias de lo edificaco y al detalle, pero la vitalidad de la nueva arqu itectura viene de un interés renovado pero critico por las ideas del Movimiento Moderno, visible en las ultimas obras de Anselmi, pero tambièn en las de E. Pugl ielli y otros .

El porvenir de la arqu itectu ra italiana parece cons~ truirse en la periferia. Al permiti r verificar las capaci~ dades de las nuevas generaciones, las provincias se vuelven puntos de surg imiento de nuevas orientacio~ ne s.

Barrio residencial del Cannaregio, Venecia, p. 128

El conjunto de Gregotti comp leta, integràndose y reforzàndolo, un tejido urbano desgarrado. El arqu i ~ tecto, resolviendo simultàneamente urbanismo y arqui~

tec tura, ha dispuesto dos unidades que conforman dos campi y nuevas callejas de escalas y proporciones cuidadosamente estudiadas. De la ciudad al edi fic io, la construcci6n se hace morfologia urbana, espacios publicos, tipologia res idencial, contribuyendo a rege~ nerar la imagen permanente de Venecia.

Palacio de Justicia de Alba, Italia, p. 132

La obra de R. Gabelli y A. Isola, penetrada de ref inamiento y elegancia, es una de las màs interesan~ tes de la arquitectura italiana. Su obra, lejos del eclecticismo que se l es rep rocha, se fundamenta e n la tradic i6n piemontesa. La originalidad de su enfoque artesanal, dificil de catalogar, parte de su riguroso método de trabajo que permite definir con precisi6n las opciones técnicas y formales.

En el Palacio de Alba reaparecen las temàticas de su obra anterior y prosiguen su reflexi6n sobre la compo~

sici6n del paisaje natura!. La volumetria està com~ puesta por una sucesi6n de estratos macizos y, como en el conjunto de Olivetti en Ivrea, los ed ificios estàn medio enterrados. A la edif icaci6n habitual, oponen una concreci6n que recuerda la explanada de una fortaleza. El ed ificio, introvertido, està encerrado por terrazas ajardinanas y recorrido por un fino voladizo que le confiere una escala doméstica.

La acc i6n de estos arquitectos, se sitUa entre la integ raci6n y la innovaci6n y confirma el valor de las técnicas tradicionales. uti lizan un lenguaje creativo, cargado de multiples tensiones, sin cesar renovado .

H olanda: la hora de la des-tradici6n, p. 136 En la arquitectura holandesa se manifiestan varios extremos. Los grandes proyectos de reestructuraci6n urbana donde participan los astros internacionales y las actuaciones rigurosas donde se ex presa con fuerza una solida arquitect6nica nutriqa en las fuentes de la modernidad. Estas tendencias comparten la primacia de la reflexi6n y del proceso de proyecto sobre la ejecuci6n espectacular de éste.

La cultu ra arquitect6nica en Holanda, gracias a la estabilidad religiosa y politica, es fu erte y centenaria. El papel del gobierno en la reglementaci6n, planificaci6n y financiaci6n urbanas es considerable. La ley de vivienda de 1901 , imbuida de modernismo y espec ifi ~ cidad local, contribuy6 a impiantar una pràctica o rigi~ nal. La anti~ciudad de los anos 60, al reemplazar los destreozos de la guerra, produjo algunos grandes conjunctos, como el centro de Totterdam.

Holanda no tiene una verdadera cu ltura urbana; un comité de estética se encarga de controlar el paisaje construido, lo que resu lta en una cierta homogenei~ d ad.

La influencia de Berlage, Oud van Doesburg , asi como la de van Eijk o Koolhaas, es considerable. Koolhasse fu n da su enfoque e n su curiosidad por todo lo existente: ver y escribir forman parte del proyecto, investigaci6n y Selecci6n de elementos son concilia~ dos en teorias plausibles .

Lo que distingue la arquitectura holandesa de la del resto de Europa es que, generada por el contexto cultu ra! del momento, produce edificios que escapan a los c6digos de identi fi caci6n en vigor : insignificantes - de considerarlos como obras de un est ilo - pero transmisores de identidades de otro orden.

El panorama actual es dominado por los proyectos de gran escala e n ejecuci6n, los concursos i n ternacio~ nales lanzados por las grandes ciudades: en Rotter~ dam el conjuncto de Van der Hove, en La Haya el de Rossi y Foster asi como la municipalidad de Meier, veci n a a un proyecto de Bofill. Las pequenas ciudades siguen el mismo camino y ofrecen oportudidades a los arqui tectos màs j6venes.

las razones del actuel interés mundial por la a rqui~ tectura tienen raices no solo culturales sino economi ~ cas y politicas. Esperemos que no pierda sus funda~ mentos te6ricas .

Traduction: Rata el Aspillaga

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42 35

54, 55

176 63

66

52, 53 26, 27

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170, 171

61 177 64

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62

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163 2e C

25 59

7

44 177

21 , 22, 23, 24 56

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