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Soutenance des mémoires de fin d’étude

Année universitaire 2018-‐19

Présentation des travaux

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Lundi 23 septembre

NOM Prénom Sujet Direction Assesseur heure salle

BARON Emilie

Impliquer les personnes dans la conception, gestion et gouvernance d'une bibliothèque comme moyen d'encourager sa fréquentation.

Hélène Montagnac

Julie Calmus

9:00 Salle 2

BERNHARDT Emma A partir de la meca et de ses problématiques de mixité d'onjectifs et "d'habitants"

François Pouthier

Elisabeth Douzille

9:00 Salle J. Bordes

NEBOT Cassandre LA CULTURE À CUZCO, PÉROU : Le cas de l’Ukukus Bar

Alexandre Péraud

François Pouthier


BONNINGUE Zoé

LA REPRÉSENTATION DES CULTURES QUEER DANS LES CENTRES DRAMATIQUES NATIONAUX

Arnaud Alessandrin

Hélène Montagnac


GUERMOULE-‐NDAW

Leïla Le potentiel et les limites d'une approche tarifaire de l'accès à la culture

François Pouthier

Sylvie Minvielle

14:00 Salle 2

STRUVE Claudia Les artistes plasticiens, de réels acteurs du territoire.

Eric Chevance


LALEVEE Marie

Les projets art.s et science.s : Etat des lieux et focus sur la résidence universitaire de la Kunsthalle de Mulhouse et de l'Université de Haute Alsace.

Hélène Montagnac

Camille Forgeau


GUIBOUT Iseult La question de la parité dans les programmations théâtrales des structures subventionnées

LEGRAS Gwenaëlle

Pierre Katuszewski

15:30 Salle 2

FERRU Sarah

Les collectivités territoriales face à la participation des citoyens dans le champ culturel. Étude de la commune de Talence

Hélène Montagnac

Eric Chevance


CONGES Mélanie La participation citoyenne à la co-‐construction des politiques publiques culturelles

Sarah Montéro

François Pouthier

16:30 Salle 2

D'ORNANO Madeleine

La fleur en fête : de l’éphémère à la création du lien social durable. Étude de cas des corsos fleuris de Funchal, Luchon, Soustons et Riscle.

Olivier Dubos

Cheikh Sow 17:00 Salle J. Bordes

PLISZCZAK Manon

La fabrique de la ville à travers les dispositifs culturels d’aménagement urbain : le cas de Reborny

François Pouthier

Sarah Montero

17:30 Salle 2

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Mardi 24 septembre

ILCHEVA Mariya Un quartier créatif peut-‐il naître d'une initiative

publique ? Le cas des Terres Neuves à Begles.

Sophie

Guénebaut

Hervé

Castelli 09:00 Salle 2

KHINIBILLA Sabrine Le rôle et l’organisation des politiques culturelles départementales depuis 2003 en

Dordogne, Gironde et Loire-‐Atlantique.

Alexandre Péraud

François Pouthier


KOLLAROVA Alexandra

Les festivals d’architecture et les centres d’architecture, leurs efficacités sur les habitants

et la ville. Etude menée sur le festivals d’architecture DAAD à Bratislava et le centre d’architecture CAMP à Prague.

Sophie Guénebaut

Jeanette Ruggeri

10:00 salle 2

RICHARD Paola

Dans un contexte de ruralité bretonne, les

dynamiques de coopération au sein des lieux intermédiaires, nouvelle réponse aux enjeux de

développement local.

François Pouthier

Hervé Castelli


HARFOUCHE Medyna La survie de l'héritage musical afro-‐colombien

sur le marché musical actuel.

David

Pucheu 11:00 Salle 2

WANG Jing Aperçu du développement du domaine culturel à partir de la proclamation de République

populaire de Chine.

Sophie

Guénébaut

Hélène

Montagnac 11:00

Salle J.

Bordes

BATHIER Garance Nouveaux espaces publics de projection cinéma-‐

tographique en France : déambulations, utopies

Camille

Gendrault

François

Pouthier 14:00

Salle J.

Bordes

CLAPSON Apolline Graffiti et street art : quelle place pour les femmes artistes ?

LEGRAS Gwenaëlle

Yves Raibaud

14:00 Salle 2

BERTHET-‐

HILAIRE Celia

La question du genre aux postes techniques et de direction dans les musiques actuelles :

compréhension d’inégalités systémiques et spécifiques

LEGRAS

Gwenaëlle

Yves

Raibaud 15:00 Salle 2

MOREL Gaetan Comment le médium artistique permet-‐il de lever des freins pour contribuer à l’inclusion

sociale de populations en situation de précarité

Sophie Guénébaut

François Pouthier


DERANCY Emma C’est financé près de chez vous Joël

Augros

Pierre da

Silva 16:00

Salle J.

Bordes

ROUSTAN Colin

Dans quelle mesure les établissements culturels artistiques de la métropole de Bucarest

développent-‐ils des modèles propres au contexte dans lequel ils s’inscrivent ?

Sophie

Guénébaut

Eric

Chevance 16:00 Salle 2

KAHAN Elie Les communs dans les lieux intermédiaires et indépendants

Eric Chevance

Sophie Guénébaut

17:00 Salle 2

VARGAS Solea La révolution numérique radiophonique: le cas

de France Culture

François

Pouthier

J.-‐Jacques

Cheval 17:00

Salle J.

Bordes

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Emilie BARON Impliquer les personnes dans la conception, gestion et gouvernance d'une bibliothèque comme moyen d'encourager sa fréquentation. Direction / assesseur : Hélène Montagnac -‐ Julie Calmus Résumé D’un côté, la bibliothèque, lieu public ouvert à quiconque souhaite passer sa porte, reste encore parfois considérée comme inaccessible. Pourtant, elle offre biens culturels, informations et services. Elle est indéniablement ancrée sur un territoire. Les bibliothécaires redoublent d’effort en proposant une multitude d’actions innovantes, toujours plus liées avec les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Mais les chiffres de fréquentation ne progressent pas. De l’autre, démocratie et citoyenneté sont des enjeux plus qu’actuels, tant au niveau national qu’européen. Une pluralité de mouvements de la société civile se sont formés et ont pris de l’ampleur ces dernières années. Des dispositifs participatifs fleurissent dans les communes pour encourager les citoyens à s’exprimer sur des décisions qui les concernent directement. Une prise de conscience du pouvoir citoyen est en cours. Ce travail de recherche relie ces deux éléments, déjà connectés par une dimension sociale, humaine. Les liens entre élus, bibliothécaires et personnes, et plus encore ceux entre politique, culturel et social, sont questionnés. La participation serait-‐elle l’évolution inévitable de la bibliothèque ?

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Garance BATHIER Nouveaux espaces publics de projection cinématographique en France : déambulations et utopies Direction / assesseur : Camille Gendrault -‐ François Pouthier Résumé A l’heure où les pratiques de visionnage évoluent sans cesse et où se développent toujours plus les possibilités d’accès aux œuvres cinématographiques sur tous les supports, quel avenir se dessine pour le cinéma en salles ? Ce travail de recherche entend explorer les lieux qui remodèlent aujourd'hui la salle de cinéma en France, et interroger l'émergence des nouveaux espaces de projection cinématographique qui font la part belle à l'imaginaire.

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Emma BERNHARDT A partir de la meca et de ses problématiques de mixité d'objectifs et "d'habitants" Direction / assesseur : François Pouthier -‐ Elisabeth Douzille Résumé Dans la logique d’un processus de décentralisation des compétences de l’Etat, les collectivités publiques ont développé des politiques à l’échelle de leurs territoires et attributions de compétences. La compétence culturelle, n’ayant pas fait l’objet d’une attribution exclusive à un échelon de collectivité, s’incarne dans les cadre des collectivités publiques qui ont vocation à travailler avec les opérateurs culturels oeuvrant sur leurs périmètres respectifs. L’action des collectivités, conjointe à celle des acteurs privés ressortissant du territoire (local, départemental ou régional), s’organise au sein d’équipements culturels dont la gestion met en commun des acteurs et paramètres issus de secteurs, d’histoires et de sensibilités de tous horizons, supposant un niveau plus ou moins élevé de formalisation de la prise de décisions concernant leur vie commune ainsi que toutes les conséquences qui en découlent, et qui font osciller les partenaires entre un système de gestion de l’équipement et un système de gouvernance, bien plus formalisée, pour organiser leurs rapports au sein de l’équipement culturel. Les partenaires tant publics que privés, cependant de plus en plus conscients qu’il convient d’assouplir les règles de gestion des équipements culturels, tendent cependant à sortir de cette formalisation, posant de façon de plus en plus explicite la question de l’intégration des nouvelles formes de gouvernance des équipements culturels.

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Celia BERTHET-‐ HILAIRE La question du genre aux postes techniques et de direction dans les musiques actuelles : compréhension d’inégalités systémiques et spécifiques Direction / assesseur : LEGRAS Gwenaëlle -‐ Yves Raibaud Résumé L’étude des inégalités de genre aux postes de direction et techniques dans le secteur des musiques actuelles révèle à la fois des causes systémiques inhérentes à tous les secteurs professionnels mais également des causes spécifiques au secteur, directement tiré de ses origines, son fonctionnement, ses valeurs. Zoé BONNINGUE LA REPRÉSENTATION DES CULTURES QUEER DANS LES CENTRES DRAMATIQUES NATIONAUX Direction / assesseur : Arnaud Alessandrin -‐ Hélène Montagnac Résumé Ce travail s’intéresse à la représentation actuelle des cultures queer sur les scènes des Centres Dramatiques Nationaux. Il s’agit d’étudier la part de spectacles qui proposent une visibilité aux minorités en faisant exister leur réalité sur les plateaux de théâtre. L’analyse s’appuie sur un corpus de six structures dramatiques publiques et en étudie les différences et les similitudes. Quels systèmes de domination sont encore à l’oeuvre dans le monde culturel et artistique ? Dans quelles mesures les institutions publiques françaises respectent-‐elles les droits culturels ? Quelles sont les avancées et les défis qu’il reste à relever pour atteindre une représentation respectueuse et égalitaire de toutes les orientations sexuelles et identités de genre ?

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Apolline CLAPSON Graffiti et street art : quelle place pour les femmes artistes ? Direction / assesseur : LEGRAS Gwenaëlle -‐ Yves Raibaud Mélanie CONGES La participation citoyenne à la co-‐construction des politiques publiques : quel décalage entre les objectifs des politiques culturelles et la réalité ? Le cas de la Ville de Paris. Direction / assesseur : Sarah Montéro -‐ François Pouthier Résumé La démocratie participative et la participation citoyenne sont aujourd'hui largement étudiées ; les définitions qui en résultent sont nombreuses, de même que les angles sous lesquels elles sont abordées. Nous nous positionnerons dans la lignée des recherches menées sur la démocratie participative et sur la démocratie citoyenne, mais essayerons de les mettre en perspective dans le champ qui nous concerne, en admettant ses particularités et en les inscrivant dans le référentiel des droits culturels. Si les projets et dispositifs participatifs se déploient de manière significative dans les entreprises artistiques et culturelles, la participation citoyenne dans la vie politique culturelle, à la coconstruction des politiques publiques reste, à quelques exceptions près, « une vue de l'esprit ». C'est à partir de ce constat que nous avons décidé d'entamer notre travail. Nous avons voulu étudier le décalage qui peut se créer entre les objectifs des politiques culturelles et la réalité.

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Il y a un décalage entre les objectifs des politiques publiques de la Ville de Paris, qui intègrent la participation citoyenne, et la réalité sur le terrain. Mais ce travail nous oblige à nuancer notre conclusion. Madeleine D'ORNANO La fleur en fête : de l’éphémère à la création du lien social durable. Étude de cas des corsos fleuris de Funchal, Luchon, Soustons et Riscle. Direction / assesseur : Olivier Dubos -‐ Cheikh Sow Résumé Ce mémoire a pour objet l’analyse d’une pratique culturelle festive : les corsos fleuris. La fleur est célébrée dans des manifestations populaires qui sont de véritables installations artistiques. Les festivals de fleurs existent dans de nombreux pays et rassemblent des milliers de spectateurs de tous âges et de toutes conditions. L’étude suivante vise à explorer en quoi les manifestations populaires autour des fleurs sont porteuses d’humanité et de sens, et constituent ainsi des espaces favorisant la création de lien social (interculturel et intergénérationnel) durable. Une première partie est consacrée à la notion de fête et de son impact social afin de délimiter le contexte dans lequel se situent les fêtes de fleurs. Quatre études de cas, présentées dans une seconde partie, ont été réalisées pour répondre à la problématique. Entretiens, témoignages et observation participante des corsos fleuris de Funchal (Madère), Soustons, Luchon et Riscle nourrissent ainsi une analyse sur les fêtes de fleurs au XXIe siècle.

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Emma DERANCY C’est financé près de chez vous. Direction / assesseur : Joël Augros -‐ Pierre da Silva Résumé Il n’y a peut-‐être rien de plus compliqué que d’essayer de résumer des systèmes. Celui du financement en est un des exemples les plus conséquents. Attelé aux industries culturelles, le mécanisme économique prend des consonances qu’il prévaut de définir par un angle d’approche spécifique. Ce travail tente alors de révéler les conséquences des financements publics du long-‐métrage à l’échelle de deux nations. La Belgique et la France, en ce qu’elles participent à la création d’industries culturelles et plus particulièrement cinématographiques propres à leur territoire, se constituent comme partenaires cinématographiques privilégiés, mais dissemblables. De la construction à la déconstruction d’identités cinématographiques, cette réflexion poursuit ainsi l’idée d’une projection à l’échelle d’une nation.

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Sarah FERRU Les collectivités territoriales face à la participation des citoyens dans le champ culturel. Étude de la commune de Talence Direction / assesseur : Hélène Montagnac -‐ Eric Chevance Résumé La notion de participation est une notion actuelle que s'approprient un grand nombre d’artistes, d’associations, de collectivités territoriales etc… à travers des projets aussi créatifs les uns des autres. Cela dans le but de créer des espaces propices aux échanges, aux rencontres, aux débats favorables, au décloisonnement social. Par ces constats et ces appétences pour ce sujet, nous pouvons nous interroger sur les liens qui existent entre les collectivités territoriales et la notion de la participation des citoyens à la vie culturelle. Il convient alors de se poser les questions suivantes : Comment les collectivités territoriales s'approprient-‐elles et s’interrogent-‐elles sur la participation des citoyens dans le champ culturel ? Pour cela nous allons émettre l’hypothèse que les projets culturels deviennent des leviers et des champs favorables à l'expérimentation de la participation dans le but d'aider les collectivités à replacer les citoyens dans leur position de «sujet». Pour répondre à cette interrogation, nous utiliserons le territoire de la commune de Talence pour asseoir notre réflexion.

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Leïla GUERMOULE-‐NDAW Le potentiel et les limites d'une approche tarifaire de l'accès à la culture Direction / assesseur : François Pouthier -‐ Sylvie Minvielle Résumé Les questions tarifaires dans le secteur culturel se posent depuis de nombreuses années, tant sous l'angle des politiques de démocratisation culturelle que de l'économie des biens culturels. Même s'il ne constitue pas le premier blocage à la sortie culturelle, le prix entre néanmoins en compte dans le choix de la sortie culturelle. Il a également toute son importance pour la stratégie de développement des publics d'un établissement et la valorisation de son offre. Cette recherche actualise les questions de prix et de gratuité dans la culture, notamment dans les liens qu'elles entretiennent avec l'accès aux biens et aux pratiques culturelles. Dans un premier temps, la question de la barrière tarifaire est abordée via les dispositifs d'accès à la culture type cartes, chèques et pass culture. L'histoire de leur déploiement, leurs objectifs et finalités ainsi que leurs modalités d'action sont analysés afin de montrer les effets qu'ils peuvent avoir sur la jeunesse, ce « public en devenir ». L'initiative nationale du Pass culture, actuellement en pleine expérimentation dans plusieurs départements français, y est bien sûr présentée. Dans un second temps, l'étude aborde les politiques tarifaires des établissements culturels : droits d'entrée, principes et modes de tarification, freins d'accès à la culture et gratuité sont autant de thèmes analysés. L'étude finit en présentant des modalités originales de tarification, anciennes et émergentes, dont la vocation est avant tout sociale et solidaire, à l'image du prix libre, du billet suspendu ou du panier culture.

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Iseult GUIBOUT La question de la parité dans les programmations théâtrales des structures subventionnées Direction / assesseur : LEGRAS Gwenaëlle -‐ Pierre Katuszewski Résumé Au début des années 2000, la question de l’égalité entre les femmes et les hommes dans la société prend peu à peu de l’ampleur. Cinq ans plus tard, le secteur culturel intègre à son tour cet enjeu, interrogeant les pratiques et les caractéristiques d’un domaine en constante évolution. Dès lors, des initiatives, publiques et privées, visant à rendre visible les inégalités entre les deux sexes se multiplient. Pourtant, les chiffres et les témoignages des acteur.trice.s culturel.le.s démontrent une situation longtemps figée, et ce même dans les structures subventionnées. Ce bilan atteste d’une certaine inaction de la part du ministère, malgré l’affirmation successive des ministres d’assurer un environnement propice à l’égalité. Liées par un cadre législatif conséquent au ministère, ces structures intègrent peu à peu des mesures en faveur de l’égalité dans leur programmation, encouragées par le conditionnement progressif de leur financement public. Souvent contestées, ces mesures constituent-‐elles un passage obligatoire dans l’évolution des mentalités et l’obtention d’un système plus égalitaire? L’exemple du festival d’Avignon permet de dresser un portrait plus précis des réflexions et enjeux liés à ce sujet.

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Medyna HARFOUCHE La survie de l'héritage musical afro-‐colombien sur le marché musical actuel. Direction / assesseur : David Pucheu Résumé Ce mémoire traite de la place et du rôle de la musique des afro-‐descendants dans l’industrie musicale colombienne. En effet cette communauté représente 20% de la population totale du pays. Arrivés avec les espagnols lors de la colonisation, ils ont un apport incontestable dans la musique de la scène actuelle. Bien que vivant dans des conditions en dessous de la moyenne nationale, les afro-‐colombiens font preuve d’une grande survivance dans la musique et leur impact sur le marché musical actuel est considérable, faisant survivre des traditions venues d’Afrique dans la plupart des genres musicaux écoutés à travers le pays. Bien que le gouvernement tente de faire de la diversité et des Industries Culturelles et Créatives une priorité, les initiatives semblent parfois insuffisantes. En effet, ce sont les indépendants qui soutiennent et rendent le marché viable. Les genres musicaux, qui sont en fait des fusions, ravivent les traditions en les mélangeant à des rythmes plus actuels. C’est aussi grâce à l’apport des institutions internationales et nationales notamment, et leur rôle de patrimonialisation que la musique afro-‐colombienne survie. C’est précisément grâce à l’hybridation musicale que les afro-‐descendants ont réussi à s’adapter au marché musical actuel bien qu’étant minoritaire sur le territoire colombien.

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Mariya ILCHEVA Un quartier créatif peut-‐il naître d'une initiative publique ? Le cas des Terres Neuves à Begles. Sophie Direction / assesseur : Guénebaut -‐ Hervé Castelli Résumé En France, les années 1990 marquent un tournant des politiques publiques associant développement économique et cultuel. Il s’agit de sortir les villes postindustrielles d’une crise profonde, par la reconstruction autour de projets urbains qui mettent en avant les industries culturelles et attirent une classe sociale définie par Richard FLORIDA comme « classe créative ». La ville de Bègles s’inscrit dans cette stratégie de redynamisation territoriale dite de la « ville créative ». Le cirque et l’économie créative prennent place au cœur d’un quartier prioritaire en friche, voué à devenir une nouvelle centralité urbaine. Dix-‐sept ans après le début de l’Opération de Réaménagement Urbain (ORU), le quartier des Terres Neuves a su dessiner un nœud de réseaux collaboratifs et une synergie locale propres au quartier créatif. Né d’une planification fondée sur des intérêts publics à plusieurs échelles, le quartier fait face aujourd’hui à la Cité Numérique, totem de la French Tech et partie d’un projet urbanistique d’envergure nationale : Euratlantique. Cette recherche vise à situer les Terres Neuves dans le contexte des enjeux métropolitains pour estimer son impact sur la redynamisation socio-‐culturelle et économique de son territoire. Le but est de déterminer dans quelle mesure il rassemble les caractéristiques d’un quartier créatif porté par les pouvoirs publics.

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Elie KAHAN Les communs dans les lieux intermédiaires et indépendants Direction / assesseur : Eric Chevance -‐ Sophie Guénébaut Résumé : Ceci est une étude des lieux intermédiaires et indépendants au regard des communs, une notion traversée par plusieurs courants de pensée. Aujourd’hui les lieux intermédiaires et indépendants apportent leur pierre à l’édifice des communs. Cela n’est pas étonnant compte tenu de l’environnement composite dans lequel ils évoluent et dont ils tentent de rassembler les acteurs. Trois acteurs en particulier : les habitants, les structures partenaires et les pouvoirs publics. Trois dialogues avec chacun ses codes, ses enjeux, ses possibilités, ses limites, ses dépassements… Trois dialogues riches et continus qui font des communs un système de ressources partagé, inclusif et qui n’en finit pas de questionner.

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Sabrine KHINIBILLA Le rôle et l'organisation des politiques culturelles départementales depuis 2003 en Dordogne, Gironde et Loire-‐Atlantique. L’équité territoriale est-‐elle véritablement possible ? Direction / assesseur : Alexandre Péraud -‐ François Pouthier Résumé Le présent travail propose une réflexion sur l’équité territoriale en France à travers le rôle et l’organisation des politiques culturelles départementales depuis 2003 en Dordogne, Gironde et Loire-‐Atlantique appuyée sur l’analyse des Schémas Départementaux des Enseignements Artistiques. En 2003, la notion de décentralisation de la France est inscrite dans la Constitution. Ce travail retrace les grands changements et les conséquences induits par les lois de décentralisation en France sur les départements et, indirectement, sur les politiques culturelles publiques. Bien qu’étant un pays aux paysages et cultures très diverses, la question de l’équité territoriale se pose ; est-‐ce véritablement possible ?

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Alexandra KOLLAROVA Les festivals d’architecture et les centres d’architecture, leurs efficacités sur les habitants et la ville. Etude menée sur le festival d’architecture DAAD à Bratislava et le centre d’architecture CAMP à Prague. Direction / assesseur : Sophie Guénebaut -‐ Jeanette Ruggeri Résumé Ce mémoire porte sur l’étude de l’efficacité des manifestations (culturelles) d'architecture, et des effets qu’elles créent sur les visiteurs et le tissu local, d'une ville. À partir du festival l’architecture DAAD -‐ Days of Architecture And Design101 de Bratislava et du centre d’architecture CAMP -‐ Center for Architecture And Metropolitan Planning102 de Prague, le travail tentera de déterminer leurs effets, leurs retombées et plus-‐values sur le tissu (social, économique et politique) de ces deux villes, sachant que ces formats sont différents mais centrés autour du même domaine, l’architecture. Pour mieux comprendre le contexte, le travail exszquera quelle est la relation e l’homme envers l’architecture, et les théories générales liées éclairciront l’origine et le but des événements culturels, leurs typologies et leur signification aujourd’hui, qui également aideront analyser des entretiens et des enquêtes. L’idée de ce sujet vient d’un besoin de découvrir la signification et l’utilité de ces manifestations d’architecture dans les villes où la concurrence joue un certain rôle. Le travail aborde des biais et des évaluations différents, et propose les outils qui pourraient aider à assurer le caractère unique du festival ou centre d’architecture. Enfin, il proposera une réflexion sur la collaboration internationale.

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Marie LALEVEE Quels sont les objectifs et les impacts des projets réalisés entre artistes et scientifiques ? Direction / assesseur : Hélène Montagnac -‐ Camille Forgeau résumé : Ce mémoire a pour sujet les projets qui rassemblent des artistes et des scientifiques au cœur de programmes montés par des institutions universitaires et culturelles. Il s’agit de dégager les intentions qui peuvent être à l’origine de résidences d’artistes au sein d’unités de recherche. Nous nous intéressons tout particulièrement à l’idée d’art comme potentiel médium de connaissance en direction du grand public. Après avoir effectué dans une première partie un tour d’horizon des intérêts et points de tensions de projets artistiques pluridisciplinaires, nous effectuons une enquête de terrain pour en apprendre plus sur les résidences telles qu’elles peuvent se concrétiser dans des centres et musées d’art contemporain et les laboratoires universitaires. Une attention particulière est portée à la résidence universitaire proposée par la Kunsthalle -‐ centre d’art contemporain de la ville de Mulhouse et l’Université de Haute-‐Alsace.

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Gaëtan MOREL Comment le médium artistique permet-‐il de lever des freins pour contribuer à l’inclusion sociale de populations en situation de précarité ? Direction / assesseur : Sophie Guénébaut -‐ François Pouthier Résumé Les personnes en situation de précarité représentent de nos jours une trop grande partie de la population française. Face à cela, l’état et ses partenaires sociaux se mobilisent et tentent le plus possible de rassembler des ressources adaptées. Cependant, plusieurs raisons font que ces aides sont peu attractives, difficilement atteignables ou peu efficaces pour lever les freins de la précarité et permettre l’inclusion sociale de ces personnes, victimes de leur situation. Ces limites peuvent être dépassées sur tous les plans, grâce à l’intervention de la culture, et plus spécifiquement grâce à l’utilisation du médium artistique. Les arts vivants sont alors utilisés de différentes manières pour faciliter l’accompagnement social des personnes en situation de précarité. Nous retrouvons dans les arts vivants des vertus indispensables pour outiller ces publics. Différentes approches sont exploitées dans les actions socio-‐artistiques pour mobiliser les besoins réels de la personne. Les acteurs du domaine socio-‐culturel confrontent également différentes méthodologies de conceptions de projet. Enfin, le médium artistique dans l’accompagnement social apporte aussi de nouvelles visions au milieu social, liées à la conception de projets, à la gestion et au développement d’activités, afin de rendre leurs démarches plus pérennes.

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Cassandre NEBOT LA CULTURE À CUZCO, PÉROU : Le cas de l’Ukukus Bar Direction / assesseur : Alexandre Péraud -‐ François Pouthier Résumé Un passé historique chargé et une position géographique extraordinaire ont engendré à Cuzco, dans le sud du Pérou, un développement socio-‐politique particulier. Comme isolée au cœur de la cordillère des Andes et loin de la capitale, siège étatique et décisionnaire, la ville de Cuzco fait face depuis longtemps à un désintérêt total voire à l’absence des politiciens dans le champ des politiques culturelles. Avec un Ministère de la Culture péruvien né en 2013, développer la création, les infrastructures, la protection de l’artiste, les formations artistiques et bien d’autres aspects qui font qu’un pays puisse prétendre mener un plan de politiques culturelles national, n’a jamais été une préoccupation. De lourds manques et un budget alloué à la culture inexistant ont mené la société civile et les groupes d’artistes à s’unir et inventer des schémas qui puissent être viable économiquement pour promouvoir l’art et la culture. Le statut de patrimoine culturel de l’humanité en 1983 donne à Cuzco une visibilité mondiale qui provoquera un tourisme qui n’a de cesse de croître. Aujourd’hui très cosmopolite, dans une certaine mesure, Cuzco est fortement touchée par la mondialisation et se doit de répondre à une demande touristique forte. Cette demande inclut des infrastructures touristiques, des transports et autres services nécessaires à l’accueil temporaire de nombreux étrangers mais aussi une demande moins palpable qui est celle de “l’expérience culturelle”. C’est ce contexte socio-‐politique, cette arrivée massive de touristes, cette prise d’initiatives par la population locale, qui ont naturellement amené un regard curieux vers l’Ukukus Bar. Anciennement dit “centre culturel”, le lieu se présente aujourd’hui comme “bar culturel”. Peu importe son appellation, il est aujourd’hui le plus ancien et l’unique modèle qui a pu et su se maintenir économiquement tout en œuvrant à la diffusion des arts. Son concept unique à Cuzco a permis aux artistes de s’y montrer, s’y rencontrer, s’y produire et à faire de ce lieu un emblème et une référence au Pérou.

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Manon PLISZCZAK La fabrique de la ville à travers les dispositifs culturels d’aménagement urbain : le cas de Reborny Direction / assesseur : François Pouthier -‐ Sarah Montero Résumé Reborny, “laboratoire culturel urbain”, est un dispositif d’actions culturelles orchestré par la Ville de Metz, la Cité musicale-‐Metz et l’association Bouche à Oreille depuis deux ans, dans le cadre du plan de rénovation et réhabilitation de la Cour du Languedoc, au cœur du quartier de Metz-‐Borny. Raser pour reconstruire, tel est le crédo des grands plans de rénovation urbaine des centaines de quartiers prioritaires qui parsèment le paysage urbain français. Il convient alors de se demander la place des habitants, de leur opinion, de leur expérience. Quelles sont les difficultés rencontrées dans ce type de dispositif, où le registre de la familiarité, de la solidarité, l’entraide, les conflits entrent en jeu ? Comment un dispositif d’intervention publique peut engager les acteurs et les habitants d’un territoire dans la construction de l’histoire commune d’un quartier prioritaire de la ville ?

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Paola RICHARD Dans un contexte de ruralité bretonne traversée par des mutations, les dynamiques de coopération au sein des lieux intermédiaires serait une nouvelle réponse aux enjeux de développement local. Direction / assesseur : François Pouthier -‐ Hervé Castelli Résumé Afin d’appréhender les dynamiques de coopération au sein des lieux intermédiaires, j’ai opté pour une étude de trois structures en milieu rural en Bretagne. Il s’agira de comprendre en quoi les mutations de notre société sont à l’origine de nouvelles dynamiques, comment ces lieux sont vecteurs d’une économie non marchande qui serait créatrice d’une valeur ajoutée pour le territoire ou bien encore comment la prise en compte des singularités du territoire et des besoins des habitants facilerait l’implication des parties prenantes. Colin ROUSTAN Dans quelle mesure les établissements culturels artistiques de la métropole de Bucarest développent-‐ils des modèles propres au contexte actuel dans lequel ils s’inscrivent ? Direction / assesseur : Sophie Guénébaut -‐ Eric Chevance Résumé Nous étudierons dans le cadre de ce mémoire le contexte Bucarestois actuel et tenterons, par des entretiens avec des porteurs de projets culturels et artistiques, de voir s'il est possible d'établir une typologie des modèles de lieux culturels bucarestois. Nous essaierons ainsi de comprendre dans quelle mesure le rapport de ces organisations au contexte local induit des modèles propres à celui-‐ci.

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Claudia STRUVE Le déplacement de l'artiste, acteur sensible, dialoguant avec un monde culturel, politique et économique. Direction / assesseur : Eric Chevance Résumé « Le déplacement de l’artiste, acteur sensible, dialoguant avec un monde culturel, politique et économique » aborde de quelles façons les artistes opèrent de perpétuels déplacements. En mettant en lien des mondes, en créant des ponts entre des idéologies et des observations, il est un véritable caméléon. Les artistes plasticiens sont amenés à travailler avec les collectivités territoriales, dans le cadre de divers projets, ayant un lien direct ou indirect avec le territoire. Le territoire est constitué de plusieurs entités, que les artistes savent embrasser. Nous verrons lesquelles. Les artistes plasticiens qui travaillent sur le territoire, avec le territoire et pour le territoire nous intéressent. Nous étudions tout d’abord qui ils sont, à travers l’étude de la pédagogie dispensée au sein des Écoles Supérieures d’Art qui amènent au DNSEP (Diplôme National d’Expression Plastique) au terme de cinq années. Nous parcourons différentes initiatives de démarches artistiques personnelles mais aussi collectives, qui s’inscrivent culturellement, économiquement, et politiquement sur le territoire. En abordant les projets de réaménagements urbains menés par les collectivités, nous mettons en lumière les possibles dialogues entre artistes, collectivités et maîtres d’oeuvre. Cela tend à ouvrir vers de nouvelles formes de collaborations et à questionner la fonction de l’artiste dans la société.

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Solea VARGAS La révolution numérique radiophonique : le cas de France Culture Direction / assesseur : François Pouthier -‐ Jean-‐Jacques Cheval Résumé En 2019, selon des études menées par Médiamétrie (sur la période avril-‐juin), 1,5 millions d’auditeurs écoutent France Culture quotidiennement. La chaîne a connu la plus forte progression du paysage radiophonique avec une augmentation de son audience de presque 30% par rapport à 2018. Le 3 septembre 2019, France Culture emporte le prix de la meilleure station de radio lors de la cérémonie du Grand Prix des Médias organisée par CB News. La chaîne est récompensée autant pour la qualité de ses programmes que pour son développement numérique. Le succès de France Culture semble intimement lié à l’influence de la révolution numérique qui a bouleversé le paysage médiatique lors de l’avènement du web 2.0. Comment le choc technologique de ces dernières années a-‐t-‐il impacté le fonctionnement et l’offre culturelle de France Culture ? L’identité de la chaîne a-‐t-‐elle été modifié ? Comment définir la nouvelle France-‐Culture 2.0 ? Dans ce mémoire, nous étudierons l’apparition de France Culture dans le paysage radiophonique français et la façon dont la station a construit son identité de chaîne culturelle de service public. Nous verrons l’effet de la révolution numérique sur le rapport que France Culture entretient à la fois au temps (entre l’accélération de la diffusion d’informations et la lenteur de l’approche analytique propre à la chaîne), et à l’espace (le dépassement des frontières à la fois physiques et médiatiques). Il sera enfin question de définir ce qui caractérise actuellement la chaîne, et de comprendre si sa nature médiatique a été modifiée par son passage au numérique.

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Jing WANG Aperçu du développement du domaine culturel à partir de la proclamation de République populaire de Chine. Direction / assesseur : Sophie Guénébaut -‐ Hélène Montagnac Résumé Basé sur une perspective diachronique, ce mémoire énumère et trie systématiquement le développement du domaine culturel et les tendances de la politique culturelle depuis la proclamation de République populaire de Chine. Avec l'augmentation rapide du niveau économique de la Chine depuis la réforme et l'ouverture en 1979, les demandes de la population pour la culture sont aussi devenues de plus en plus élevées. L'art contemporain chinois et les industries culturelles chinoises ont commencé à émerger. Ces dernières années, les industries culturelles de certaines villes chinoises ont commencé à jouer un rôle important dans la promotion du statut culturel de la ville, en cultivant un point de croissance de l'économie urbaine, en augmentant le taux d'emploi et en améliorant l'ensemble des villes. Avec le développement de la modernisation chinoise, les problèmes d'urbanisation apparaissent, le développement des industries culturelles et créatives devient une stratégie importante pour améliorer la structure économique de la Chine. Les stratégies de développement culturel de chaque ville chinoise sont différentes en raison de l’influence de différents facteurs, tels que l'environnement historique et géographique, le niveau de développement économique, etc. Cette thèse vise à montrer que Shanghai, en tant qu’une grande ville internationale, le leader des industries culturelles et créatives chinoises, comment s’est-‐elle affirmée progressivement comme vitrine culturelle de l’industrie créative au détriment des autres des grandes villes comme Pékin, Shenzhen et Chongqing. D’ailleurs, il est nécessaire de se demander s’il y a des problèmes se sont posés dans ce processus, et si les solutions ont été trouvées, etc.

soutenance des mémoires de fin d’étude année universitaire ...€¦ · soutenance des...

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