sentinel ufo news - 003

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TRIMESTRIEL — octobre / novembre / décembre 1996 numéro

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Page 1: Sentinel UFO News - 003

octobre - novembre - décembre 1996

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SENTINEL NEWS n° 3

TRIMESTRIEL — octobre / novembre / décembre 1996

numéro

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SENTINEL NEWS n° 3 octobre - novembre - décembre 1996

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La revue SENTINEL NEWS est éditée par le GROUPE SENTINELLE

Reproduction autorisée après demande écrite faite

auprès du siège social de l’association. Fondateurs : Hervé Clergot, Philippe Guignard, Nathalie Nawoy & Patrice Roger. Fonctions : Président & Rédacteur en Chef : Patrice Roger - Trésorier: Philippe Guignard - Secrétaire : Hervé Clergot - Secrétaire Adjointe : Nathalie Nawoy - Dessinateur : Roger Roux - T r a d u c t eu r s : Frédéric Lienhard, Philippe Guignard & Hervé Clergot - Relectures & Corrections : Claudine Cheneby - Actualité U f o lo g i qu e : Christian Macé & George C. Andrews (pour les USA) - Documentaliste Expert-Défense : François Couten - Représentant pour la Suisse : Michel Oberson - Collaborateurs : Guy Gruais & Guy Mouny (écrivains égyptologues).

GROUPE SENTINELLE est le correspondant en FRANCE de MAGAZIN 2000, revue ufologique allemande, éditée par :

Gather Druck & Verlag - Lupinenstr. 103 41466 Neuss - Allemagne

Les documents, textes, articles et photographies publiés sont sous la seule responsabilité de leurs auteurs. Nous les publions sans nécessairement en approuver tous les termes. Les textes non publiés ne sont pas retournés. Pour remercier quelques amis (services rendus, dons, etc...) GROUPE SENTINELLE passe des textes publicitaires à titre gracieux dans cette revue qui ne revêt aucun caractère commercial.

4 Possibles connexions du phénomène OVNI avec

plantes, minéraux et mutilations animales

8 Propos de l’indien Robert Morningsky

sur l’affaire Roswell

9 Enlèvements par des OVNI en Allemagne

et en Suisse

13 Retour en 1944

14 Astronomie

17 La Jérusalem Céleste, l’Étoile de David, et Pétra

20 Une autre approche de l’ufologie

23 Rencontre avec des E.T. à Porto-Rico - Partie 3

27 Le grand secret de François Premier

29 Les OVNI en Chine

32 États-Unis : Preuves physiques des

enlèvements par les OVNI

34 L’armée capture deux extraterrestres au Brésil

36 Ces sociétés qui nous gouvernent... dans l’ombre

40 Nouvelle Invention : Dispositif de fusion

des métaux à ondes de gravité

42 Nouvelles brèves du Monde

45 Le Projet Montauk

n°3 L’info du Trimestre

Jésus disait :

« J’ai encore de nombreux troupeaux qui n’habitent pas l’étable de la terre mais qui vivent à leur manière sur d’innombrables autres mondes et autres terres. Tous ceux-là doivent être conduits dans l’étable de la vie éternelle » (Soleil Spirituel I, 61, 9).

Source : Tiré du livre de Kurt Eggenstein « Le

Prophète Jacob Lorber révèle les catastrophes à venir et le vrai Christianisme », éditions SUM.

GROUPE SENTINELLE

Siège social : 8, rue Bertrand de Vogue 51100 REIMS

℡& 03.26.06.68.59

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SENTINEL NEWS n° 3

Le mot du Président :

C ela bouge à GROUPE SENTINELLE. Vous êtes plusieurs à nous avoir fait part d’une observation d’OVNI ces derniers temps et je vous recommande de vous promener avec un appareil photo en cas de nouvelle rencontre. Si vous ne voulez pas vous encombrer d’un bon gros appareil, prenez un appareil

jetable et léger, qui tient dans une poche. Ces appareils font néanmoins des photos de qualité.

Lors d’un récent séjour chez notre ami Christian Macé en forêt de Fontainebleau,

nous sommes allés enquêter sur le terrain pour vous proposer dans la prochaine revue un article sur cette mystérieuse forêt. Nous sommes également montés à Paris pour soutenir la radio FM parisienne « ICI & MAINTENANT » (88.2) que le CSA à interdit d’émettre depuis le 03 septembre dernier. Motif : quelques propos racistes à l’antenne. Pour une radio qui donne très souvent la parole à ses auditeurs, cela ne pouvait qu’arriver un jour et cela pouvait aussi bien être un coup monté car « ICI & MAINTENANT » recevait beaucoup d’ufologues connus pour des débats avec ses auditeurs. Y aurait-il un rapport ?

En tout cas, nous avons dit à l’antenne notre soutien à cette radio et suite à cela, les animateurs ont lancé un débat avec les auditeurs sur les OVNI et nous sommes restés la nuit entière à répondre aux questions. Vraiment dommage que cette radio disparaisse car nos libertés s’épuisent un peu plus chaque jour. Vous trouverez d’ailleurs un petit reportage sur cette soirée en page 7 de ce numéro.

Dans Sentinel News n°2, je vous avais promis la parution du dossier sur « Le Grand

Secret de François 1er », mais son auteur, Didier Coilhac, a fait de nouvelles découvertes qui l’ont amené à retourner enquêter sur le terrain. Donc, nous reculons sa parution pour le début de l’année mais nous vous faisons découvrir en avant-première quelques extraits de ce dossier très riche.

Vous avez certainement suivi cette histoire de la bactérie martienne et de l’eau

trouvée sur Europa, une des lunes de Jupiter. Sachez que pour Mars, ce n’est qu’une tentative de récupération précipitée de la NASA, obligée maintenant, devant les preuves visibles à la surface de la planète rouge, de lâcher un peu de lest, dixit Guy Mouny. La suite ne devrait pas se faire trop attendre. Si vous voulez vraiment avoir des détails sur les ruines martiennes, nous vous proposerons bientôt un dossier détonnant et unique de nos collaborateurs Guy Gruais et Guy Mouny qui ont parfaitement étudié le site de Cydonia Mensae avec de gros moyens d’étude.

La parution de ce numéro de Sentinel News correspond avec la sortie en salle de «

Independence Day », qui raconte l’invasion de la Terre par des extraterrestres et que vous ne manquerez certainement pas d’aller voir. Sachez que, d’après une très bonne source d’information, les engins extraplanétaires de ce film auraient été fabriqués directement d’après des engins véritables récupérés par l’Armée de l’Air américaine. Ce long métrage fait actuellement un “tabac” aux USA et bat tous les records d’affluence dans les salles.

Bonne lecture à toutes et tous. Patrice ROGER

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POSSIBLES CONNEXIONS DU PHÉNOMÈNE OVNI AVEC PLANTES, MINÉRAUX ET

MUTILATIONS ANIMALES

Par Christian MACÉ

P age 70 du livre “Le Voyage Interrompu” par John G. Fuller1, paru en France en mai 1982, concernant l'affaire Betty

- Barney Hill; ce couple enlevé à bord d'un OVNI dans la nuit du 19 au 20 septembre 1961.

Commentaire de Betty Hill, citation : « Cette histoire de nitrate, par exemple. À cette époque, j’avais toutes sortes de plantes dans la maison. En fait, j’avais même dans le living, un avocat qui atteignait le plafond. Ils se promenaient partout, observant mes plantes, me demandant quel genre d’engrais j'utilisais et d'autres questions aussi surprenantes. »

Les enquêteurs Hohman et Jackson,

particulièrement bien informés du sujet OVNI ont mis à jour les “heures manquantes” du trajet du couple Betty et Barney Hill !

Dans sa lettre adressée aux Hill, Robert E. Hohman précise : « Nous avons une grande connaissance de la plupart des rapports (militaires) confidentiels traitant du sujet et remontant jusqu’à 1947 », page 68 du même livre.

Les enquêteurs Homan et Jackson demandaient entre autres, aux Hill, s'ils transportaient dans leur voiture des nitrates ou des dérivés de nitrate, page 69 du même livre1.

Page 69, citation : « La raison pour laquelle ils posaient cette question, précisèrent-ils, c’est que l’on avait remarqué que plusieurs personnes ayant rapporté des rencontres avec des OVNI vivaient dans des régions rurales où il leur arrivait d’être exposées à des nitrates ou à des engrais à base de nitrates. C'est alors que, brusquement, il nous revint que Betty avait déposé un

sac d'engrais dans le coffre de la voiture et que je n'avais pas pris la peine de l'en sortir avant de partir. »

Page 71, même livre, la période de double amnésie se situait entre la première série de “BIP-BIP” et la seconde, qui paraissait provenir du coffre de la voiture ! Similitudes parfaites avec le cas de la petite Jessica (15 ans), qui avait pu apercevoir de son domicile de La-Chapelle-la-Reine, en Seine et Marne, une énorme “soucoupe volante” le 16 juillet 1994 à 23h45.

C'est un “BIP-BIP”, comme celui émis par une montre, qui avait attiré l'attention de Jessica ! De plus, sa mère utilise un engrais liquide (à base de nitrates) pour arroser ses plantes ! De surcroît, La-Chapelle-la-Reine est en plein coeur d'une zone rurale (en Seine et Marne), à vocation agricole, où il y a un silo à grains dans le secteur. Qui dit cultures, dit aussi usage d'engrais !...

Autres similitudes concernant le bruit de “BIP-BIP” entendu par Jessica pendant la durée de son observation (2 minutes environ), le “BIP-BIP” entendu par Mr Severin, 21 ans, quelque temps auparavant, avant son observation rapprochée du 14 février 1974, à Petite-île, Île de la Réunion, si ma mémoire ne me fait pas défaut. Le procès-verbal de gendarmerie sur cette affaire, est publié intégralement dans un ouvrage de Jean-Claude Bourret.

Voir aussi le “BIP-BIP” entendu et enregistré par le jeune Laurent, le 07 septembre 1987, en zone rurale, à Nord-sur-Erdre, à 40 kilomètres de Nantes... Voir l'enquête du GEPAN2 sur ce cas, évoquée dans le livre de Robert Roussel “OVNI, Les Vérités Cachées de l'Enquête Officielle” (Éditions Albin Michel - 1994), pages 198 à 206.

Dans nos régions, ces “BIP-BIP”

entendus sont le fait d'adolescents, c'est un constat; Mr Severin a 21 ans, Laurent est un enfant, Jessica a 15 ans ! De surcroit, ces trois cas concernent des zones rurales ! Le 14 février 1974 à 13h30, au moment de sa rencontre rapprochée avec l'OVNI et ses occupants, Mr Severin longeait un champ de maïs : Le 07 septembre 1987 à Nord-sur-Erdre, les parents du jeune Laurent sont cultivateurs ! L'observation du 16 juillet 1994 de La-Chapelle-la-Reine, se situe en plein coeur d'une zone rurale !...

D'après les infos données par n'importe quel dictionnaire :

∗ Nitrate = Sel de l'acide nitrique (syn. Azotate). Sert pour les engrais.

∗ Acide nitrique = Composé oxygéné dérivé de l'azote. Syn. Acide azotique.

∗ Azote = un des principaux éléments dont les animaux et les plantes ont besoin pour se nourrir. Les animaux trouvent cet azote dans leur alimentation végétale ou animale.

Concernant les “mutilations animales”, le livre de Michel Granger intitulé “Le Grand Carnage” (Éditions Carrère - octobre 1986), est particulièrement riche d'informations. Voir notamment le chapitre intitulé “Prospection de minerais ou d'autre chose”, pages 345 à 347. Page 345 : « Et il est connu que les éléments chimiques contenus dans les herbages s'accumulent dans les tissus des animaux qui absorbent ces végétaux... ». Plus loin, « ... le concept de tissu de mammifère accumulateur de certains éléments chimiques existe. »

Cet azote associé à certains éléments composants les sous-sols peuvent avoir

1 - John G. Fuller : Le Voyage interrompu, éditions Du Rocher - 1982.

2 - Le GEPAN est aujourd’hui remplaçé par le SEPRA, avec la même inutilité.

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in téressé les responsables des “mutilations animales”, aux USA, dans les prairies du middle-west...

Page 347 du même livre : « David Perkins soutient cette thèse en avançant que le Colorado et le Nouveau-Mexique ont un sous-sol riche en uranium... »

Les mutilateurs ont effectué des prélèvements d'organes à une grande échelle sur les bovins surtout, dont la substance doit les intéresser à un très haut niveau. Pour d e s expérimentations biologiques si l'on sait que les é l é m e n t s composant les sols peuvent “se fixer” dans les t i s s u s d e s animaux, alors l'idée de la relation “OVNI et nitrates” émise en 1961 par les e n q u ê t e u r s H o h m a n e t Jackson, et leur vif intérêt pour les plantes de Mme Hill et du genre d'engrais qu'elle utilisait (p.70 du livre de Fuller) est tout à fait judicieuse et... prémonitoire !

Dans cette optique, voir la brochure “Opération Cheval de Troie, la Terre aux mains des Petits-Gris”, Éditrice Louise Courteau, notamment la page 43 : « Le 02 février 1984, un article transmis par l’agence U.P.I. (United Press International), annonçait la découverte du professeur James Womack de l’université A&M du Texas. » Ce généticien avait réussi à isoler le chromosome surnuméraire de la 21ème paire, correspondant à la trisomie 21 responsable du syndrome de Down ou mongolisme, caractérisé par l'arrièration mentale. Ce faisant, il aurait constaté la “parfaite similitude de ce chromosome à la fois chez l'homme et le boeuf”. Cette ressemblance lui fit dire que “nous partagions avec les bovins, beaucoup plus de caractéristiques que nous ne l'avions d'abord cru3 !”

Plus loin, même page 43 : « Certaines glandes de bovins nous fournissent des sécrétions hormonales, ou protomorphogènes, qui sont aussi efficaces dans le traitement du cancer

que les hormones secrétées par les glandes des foetus humains... »

Quels pourraient être les genres de substances qu'auraient besoin les mutilateurs pour leurs expérimentations biologiques ?

Voir page 346 du livre “Le Grand Carnage”, pour une piste à suivre : « On peut lire dans la revue Science Progress, sous la plume de P.J. Peterson que le “concept de tissu de mammifère

accumulateur de c e r t a i n s é l é m e n t s c h i m i q u e s e x i s t e . p a r exemple, l’iode dans la thyroïde, l’arsenic dans le poil et les ongles, l’étain dans l'intestin, le t i t a n e e t l ' a l u m i n i u m d a n s l e s poumons, le zirconium dans le sang, et le sélénium dans la

rétine de l'oeil !! » Les organes prélevés par les

mutilateurs sont très généralement les organes sexue l s , l e s yeux, oreilles, langue et queue. Très souvent l'animal est délesté de bandes de peau, et vidé de son sang !.. Comparez ces organes et les éléments chimiques énoncés ci-dessus !!!

Par ailleurs, concernant la relation

“OVNI et minéraux” il convient de parler du sel qui a un rôle aussi important à jouer. C'est le Canadien Henri Bordeleau, qui dans son ouvrage intitulé “J'ai percé le mystère des soucoupes volantes”, éditions “Nefer enregistrée”, paru en janvier 1970, qui aurait pu mettre à jour cette relation ! Il évoque d'ailleurs à cette occasion les bolides verts, et...les triangles en rapport avec le sel ! Et oui, les fameux triangles ! Page 223, Henri Bordeleau affirme : « En effet, partout où on a observé des concen t ra t ions de soucoupes il y a du sel : la tête du fleuve Amazone, la mer des Sargasses, les états du Michigan et de l’Ohio, le sud de la province d’Ontario, les dépôts de sel gemme de la Lorraine en France et la vallée de la Salz, près de Rennes- le-Château dans l’Aude.La présence de sel dans le sous-sol de certaines régions coïncide toujours avec les atterrissages répétés et prolongés dans ces régions...!

» En effet, à certains moments, et dans

certaines régions, on peut établir une recrudescence des apparitions d’OVNI liée au recueil du sel, selon les besoins du moment !

Voir par exemple, l’article du journal “Le Républicain” de l’Essonne du jeudi 16 septembre 1976 intitulé “Le nouveau défi des OVNI”, qui évoque la recrudescence des OVNI durant l’ÉTÉ 1976, dans... l’EST de la France !

Incroyable confirmation de la découverte de Henri Bordeleau, concernant le sel.

En effet, dans le livre “la Corse Base d’OVNI” par Jean-Pierre Chambraud (Éditions Du Rocher - achevé d’imprimer le 29 mai 1979), le contacté Corse Michel-Ange Mozzigonacci, du village de Loréto, affirme : « Ils utilisent un produit tiré du sel de mer !!», page 123.

Le contacté Michel-Ange aurait commencé à assister à des manifestations d’OVNI, dés le mois d’août 1976 ! (voir p.42 du même livre).

Autre similitude aussi avec le... sel ! Ainsi, à l’état actuel de nos

informations, deux régions de France, durant cette même période d’ÉTÉ 1976, ont connu des recrudescences d’OVNI, dans des secteurs géographiques concernés par le sel : dépôts de sel gemme en Lorraine, et sel de mer dans la région de Corse du Sud, près du Golfe de Propriano !!!

L’uranium et le sel, deux matières qui intéressent les OVNI !!! en résumé...

Toujours à propos de la découverte du Canadien Henri Bordeleau concernant la relation “OVNI et sel”, d’après son ouvrage “J’ai percé le mystère des soucoupes volantes”. Un chapitre entier, chapitre n° V, pages 199 à 217, concerne les fameux “Triangles Volants” !

Voir également la page n° 300 : « Il est probable que les journaux, à la fin des trois mois qui suivront les arrivages des “bolides verts”, rapporteront que des gens ont observé dans le ciel le passage généralement très lent de “tr iangles” ou de “losanges” lumineux. » Fin de citation. Similitudes parfaites sur la vague des “triangles”, en Belgique, fin d’année 1989 ! Notamment la lenteur de déplacement de ces fameux “triangles” !!!

Concernant un cas de “triangle”, voir pages 204 à 206 du même livre. Il s’agit d’une observation effectuée par un pilote militaire le 28 janvier (ou peu avant le 28) 1953, à 21 h 35, à bord de son avion

3 - Ne trouvez-vous pas que cela “colle” bien avec l’affaire des vaches folles ou encéphalopathie spongiforme bovine, transmissible àux humains. Peut-être que les extraterrestres étudiaient déjà cela ? Allez savoir ! - NdS.

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F-86, dans le secteur d’Albany, au-dessus de l’état de Géorgie (USA). La chasse à cet OVNI avait été suivie au radar, de surcroît ! Voir particulièrement la page n° 205 : « ... la lumière changea de forme et se mua en un triangle parfait. Puis la chose se divisa en deux triangles l’un au-dessus de l’autre. » Fin de citation.

Comparez avec le cas suivant, survenu pendant la vague Belge du 29 novembre 1989, le soir. A 18 h 40, au nord de Liège, Mr Jean-Marie Leburton observe un objet triangulaire... Mr Leburton, qui s’approche alors du phénomène, voit soudain “deux autres engins identiques au premier, qui s’en détachent et partent, légèrement inclinés, l’un à gauche, l’autre à droite”. Fin de citation. Tirée de la revue “Lumières Dans La Nuit” n° 300, page 32.

Similitudes parfaites entre ces deux cas, celui de l’état de Géorgie, USA, en janvier 1953 et celui du témoin Mr Leburton, au nord de Liège le 29 novembre 1989... Dans ces deux cas, on assiste à une division des triangles !!!

L’observation du militaite, de janvier 1953, état de Géorgie, avait été rapportée à l’origine, dans le livre de E.J. Ruppelt, “The R e p o r t O N Unidentified Flying Objects”, éditions Doubleday/Inc., 1956, page 245...

Ruppelt avait été responsable du “Projet Blue Book”, à un moment, à cette époque... En 1953, les “av ions f u r t i f s ” n’existaient pas !!! mais y-a-t-il du s e l s u r c e s s i t e s Belges ? À vérifier !

Aux pages 237 et 238, Henri Bordeleau précise : « L’état américain d u N o u v e a u -Mexique, on s’en souviendra, fut le témoin de très nombreux passages de “bolides verts” pendant les années 1948, 1951 et 1954. Les dépêches émanaient presque toujours d’Albuquerque, ville située en plein centre des grandes salines de l’ouest américain. Plus au sud, on trouve Las Cruces. La rivière Salado se jette dans le Rio Grande qui l’arrose et on peut voir, non loin, la rivière Salt Creek et le pic de Salinas, près des

grands lacs salés désséchés. A l’est, d’autres grands bolsons de Salt Flat s’étendent pas très loin des cavernes de Carlsbad. » Au sujet de cet état du Nouveau-Mexique, David Perkins avance aussi qu’il a un “sous-sol riche en uranium”, voir page 347 du livre “Le Grand Carnage”. Cet état, par ailleurs, connait des activités nucléaires importantes, et l’on sait que les OVNI affectionnent tout ce qui touche au nucléaire, et donc à l’uranium !!! La boucle est bouclée !!!

Toujours à propos de l’aspect particulier de la relation “OVNI et sel”, découverte du Canadien Henri Bordeleau, confirmée par la révélation du contacté Corse Michel Ange...

La consultation du livret “le sel”, n°339, aux éditions “Que sais-je ?” apporte des éléments supplémentaires d'informations.

C'est ainsi que l'on apprend à la page 122 : « Enfin, le sel est également utilisé comme engrais, en particulier dans la culture de la betterave sucrière. Le sel peut encore être utilisé pour le salage des fourrages... » Ce qui rejoint la question surprenante posée à Betty Hill par l e s e n q u ê t e u r s Hohman et Jackson qui lui demandèrent quel genre d'engrais elle utilisait ! On apprend par ailleurs qu'il y a du sel ignigène en Belgique, à Jemeppe (région de Namur), page 106, et l'on sait qu'il y a de la culture de betterave

dans ce pays. Ce qui expliquerait la présence des fameux “triangles” sur-volant le pays ?

En Lorraine, rég i o n à s e l , u n “ t r i an g le ” q u a s i -identique à ceux de la vague belge fut observé le 08 Décembre 1977 , à 17h1 5 , à Brettnach, Moselle. À part la différence mineure où à Brettnach les trois phares étaient jaunes, tout y était déjà ! Voir “ufologia n°16,p.7, 1°trim.79”.

Le livret “le sel” nous apprend, p.25, que le sel est matière première de base de la grande industrie chimique, mais surtout qu'il est indispensable à la vie, voir p.23 & 24, chapitre “le sel et

l'organisme humain”. P.23 : « La majeure partie du

sodium, non fixé dans les os, se retrouve dans les différents liquides qui circulent dans le corps humain... Il intervient dans la régulation de la pression et du volume sanguins. À l’équilibre, le sérum sanguin contient 8g./l. de sel... ».

P.24 : « Enfin, l’ion sodium, principal facteur physiologique du sel, permet la transmission de l’influx nerveux (impulsion électrique créée par les changements de polarisation à la surface des nerfs, induits par les échanges entre ions sodium et potassium au travers de cette membrane). De ce fait, le sel joue donc un rôle capital à la fois au niveau du cerveau (transmission des ordres et réception des informations au travers des neurones) et au niveau du coeur... »

Rappelons-nous que les animaux mutilés avaient été vidés de leur sang. Or, en Mars 1967, année où commença les mutilations, une camionnette de la Croix-Rouge transportant du sang, faillit être enlevée par un OVNI, aux USA, Ouest Virginie, secteur de Euntington ! Voir à propos de ce cas, l'étude de Jean Sider sur les mutilations animales, parue dans un numéro spécial de “ufologia n°17, 1°trim.79, p.22”.

Le sel contenu dans le sang

intéresse-t'il les “mutilateurs”, pour leur survie, ou des expérimentations biologiques ?

En France, les régions à sel sont

nombreuses, et coïncident souvent avec des recrudescences d'OVNI : les côtes méditerranéennes, par exemple, où en été 94, il y eut une vague d'OVNI dans l'Hérault. Or, dans le département voisin de l'Aude, il y a trois salins (Gruissan, La Palme et Sainte Lucie) ! Voir p.109, “le sel”.

N’oublions pas également la petite rivière de La Salz, proche de Rennes-le-Château et du mystérieux Pic de Bugarach. À cet endroit, à côté de Sougraigne, un OVNI avait atterri il y a quelques années.

Il y a aussi, par exemple, un salin à Porto-Vecchio, Corse du Sud, voir p.110. Elle est située seulement à 40 km, sur un même alignement, que la région de Sartène, où demeure le contacté Corse Michel-Ange !

Du sel, région de Manosque (p.67). Or, Manosque est tout près de... Valensole ! Atterrissage d'un OVNI en 1965, et souvent des apparitions d'OVNI dans ce secteur ! Dans son ouvrage,

L’usine de dessalement de Roswell (Nouveau-Mexique) , prévue pour fournir 3.000 m³ d’eau par jour. Les coûts d’exploitation de cette usine pilote se sont avérés trop élevés, ce qui rend incompatible une bonne exploitation de celle-ci.

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Henri Bordeleau citait l'embouchure du fleuve Amazone, comme région à sel. Or, Jacques Vallée avait enquêté sur place dans ce secteur, à propos des fameux “chupas”, OVNI avec faisceaux, qui avaient blessé de nombreuses personnes. Voir l'un de ses derniers ou-vrages.

Et maintenant, le nec plus ultra pour

la fin ; on sait que l'état du Nouveau-Mexique est un endroit salé. Beaucoup d'apparitions d'OVNI dans cette région. En Juillet 1947, il y eut le fameux crash de Roswell. Or, tenez-vous bien, il y a

une usine pilote de dessalement à... Ros-well !!!

Voir p.140 & 141, le livre “l'eau dans le monde”, éditions Larousse, collection Technique d'aujourd'hui, paru en Août 1970.

Et puis, concernant le “genre

d'engrais” qu'utilisait Betty Hill, question posée par les perspicaces enquêteurs Hohman et Jackson, voir aussi le livre “Ils n'étaient pas seuls sur la lune” par George Léonard (Belfond édit. - 1978), page 200 : « Bien que les occupants de la Lune se suffisent à eux-

mêmes pour la plus grande partie de leurs besoins, il est néanmoins probable qu’ils sont, jusqu’à un certain point, des parasites de la terre. La Lune est, à sa surface, totalement désertique. Bien qu'il soit concevable que les abris souterrains puissent accommoder certaines formes de culture ou même d'élevage, il leur faut des matières premières essentielles telles que l'eau ou les engrais qu'ils prennent chez nous ». Fin de citation.

Là aussi, on retrouve les engrais.

Nos libertés sont parties !

D epuis le 03 septembre dernier, la radio ICI & MAINTENANT (88.2 F.M., en région parisienne) est

morte. Cette radio était la doyenne des radios F.M. et une des rares à laisser la parole aux a u d i t e u r s . T rop peut-être ? Car quelques m a l h e u r e u x propos racistes non stoppés dans l’immédiat par les animateurs ont condamné toute une région à être privée de bonnes animations et de bons débats.

Parmi ces débats, nous défendons bien sûr les débats

ufologiques que cette radio proposait régulièrement à ses auditeurs en invitant de grands noms de l’ufologie dont Groupe Sentinelle faisait partie depuis peu. Nous avons en effet été les derniers à boucler les débats ufologiques dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 juillet dernier. Comment cela s’est-il passé ?

Christian Macé, fidèle auditeur de cette radio a décidé de dire un message de soutien à l’antenne de cette radio qui campait devant le siège social du CSA et nous sommes donc allés dire notre mot à l’antenne lors de ma visite chez lui. Suite à cela, les animateurs, très sympathiques, ont décidé de lancer un débat ufologique avec les auditeurs. Nous sommes donc restés toute la nuit pour répondre aux

questions des nombreuses personnes qui appelaient. L’une d’entre elles, très sympathique, nous a rejoint au

petit matin pour continuer la conversation jusqu’à 11 heures et adhérer par la suite à notre association. Suite à la pétition que nous avions signée sur place, la radio nous a appris que plusieurs de ses collaborateurs venaient d’entamer une grève de la faim devant le siège du CSA. Parmi eux, notons Didier de Plaige, directeur de la radio, qui n’en est pas à sa première grève de la faim et Nade Fitzgerald, présidente de l’ARRIME, Association pour le Rayonnement de la Radio Ici & Maintenant ! Expérimentale, qui ont besoin de votre aide pour contraindre le CSA à faire marche arrière. Si vous voulez soutenir notre liberté d’expression et

cette radio, contactez-nous et nous vous indiquerons l’adresse de l’association pour les aider concrètement.

© Patrice ROGER

Christian MACÉ

© Patrice ROGER

Le camion servant de refuge aux contestataires d’Ici et Maintenant

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PROPOS DE l’INDIEN ROBERT MORNINGSKY SUR L’AFFAIRE ROSWELL

Par Robert MORNINGSKY

(extraits)

J e n'ai pas besoin de répéter ici à nouveau toute l'histoire1, il suffit que je dise que moi, et beaucoup d'autres autochtones américains

savent que l'être montré dans le film est authentique. Presque chaque culture des autochtones américains est au courant de légendes sur des « êtres des étoiles », comme faisant partie intégrante de leur cosmogénèse ; ces êtres ont apporté connaissances et sagesse à l'homme et l'ont ainsi fait évoluer du stade de sauvage primitif à celui d'être humain. L'origine à partir des étoiles fait par t ie de chaque tradition des autochtones américains.

L'ini tiation d 'un

Hopi-Katchina, d'un danseur “Gans” des Apaches ou du Yei-bechuai des Navajos permet aussi, sans grand effort d'imagination, de reconnaitre un « alien » ou une caractéristique non-terrestre. Pourrait-il s'agir d' «êtres des étoiles ? » Oui. L'histoire des relations entre les hommes « civilisés » et les autochtones américains est traumatisante pour les autochtones. La plupart des autochtones se méfient du monde et/ou de leurs représentants ou de leurs institutions. Chaque tentative, dans le passé, de parler d' « êtres des étoiles », a fait l'objet de sarcasmes. Nous l'avons essayé, mais la vérité pèse lourd. Aucun chercheur « civilisé » ne veut prêter l'oreille à l'histoire d'un « primitif ».

Alors que moi et d'autres autochtones américains sommes silencieusement conscients du fait que le film de SANTILLI est authentique, nous savons

tout aussi bien que la conclusion de cette controverse sera que l'on démystifiera le film comme étant une imposture. La communauté ufologique doit être discréditée, tout le contenu du film doit être sali, les pouvoirs en place doivent garder le contrôle sur le peuple. Je ne sais pas comment tout cela se passera, mais le film sera dévoilé, oui, devra être dévoilé comme étant une imposture, une

supercherie. Ce qui est tragique dans cette affaire... c ' e s t que l e c o n t e n u correspond à la vérité ! De nombreux films ont été tournés sur l'assassinat de John F. KENNEDY. Ils n'ont cependant pas été tournés en 1963. Les p r o d u c t e u r s n'avaient pas participé aux événements de

l'année 1963. De plus, les documents filmés utilisés ne datent sûrement pas de 1963. ces films constituent-ils pour autant une supercherie ? Doit-on, pour cette raison, simplement passer à côté du contenu des films ! De nos jours, des cinéastes documentaires rejouent des événements du passé ! Parfois, des documents cinématographiques très anciens subissent une nouvelle exposition à l'aide de caméras modernes. Le résultat est un événement du passé, enregistré avec un appareil des années 90. Ce film est-il pour autant une tromperie ? Devons-nous oublier le contenu du film, pour cette raison ?

Moi et d'autres autochtones

américains, nous n'avons pas assisté à la

première projection du film de SANTILLI, annoncée à grand fracas. Pour une raison toute simple. On n'éprouve finalement pas le désir de voir un membre intime de sa famille ou une personne avec laquelle on passe sa vie, chirurgicalement disséquée. Et beaucoup d'entre nous ont reconnu l'être étendu sur la table. Depuis longtemps, les autochtones américains ont l'habitude de dormir de préférence à la belle étoile, plutôt que sous un toit. Depuis des siècles, de surprenantes lumières brillantes au ciel nocturne captivent l'attention de nos jeunes.

Bizarrement, aucun ufologue n'a fait la remarque que sur les seize crashs d'OVNI, qui ont eu lieu entre 1945 et 1950, quatorze ont eu lieu sur ou à proximité de réserves indiennes.

Dans les réserves, on évoque depuis longtemps ce fatal été de 1947. En murmurant, on raconte qu'il n'y a pas eu seulement un disque, mais trois différents qui se sont écrasés ! Le crash de ROSWELL, au Nouveau-Mexique, fut le deuxième incident. Le premier a eu lieu début juin, à l'extérieur de SOCORRO et le troisième, mi-août à FOUR CORNERS au Nord-Ouest du Nouveau-Mexique.

Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 6/7-96.

1 - Voir revue Sentinel News n° 2.

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SENTINEL NEWS n° 3

D és février 1993, Magazin 2000 a é t é l a première revue

à faire état de cas d'enlèvements par Ovni en Allemagne. Depuis lors, des dizaines d'autres cas nous ont été soumis. Suite à diverses émissions télévisées ayant abordé ce problème, nous avons décidé de publier trois récits sur ce thème. A cet égard, nous donnons la parole aux témoins, sans nous livrer à des explications ou hypothèses échevelées, comme le font certains auteurs peu sérieux.

EXPÉRIENCES A BERLIN

Le récit de Maria STRUWE Maria STRUWE a participé à

plusieurs émissions télévisées où elle a fait part de ses expériences. La raison de cette démarche : encourager d'autres personnes concernées à tenir bon, avec leur expérience. Lors du congrès ufologique de DUSSELDORF, elle a rencontré, suite à notre suggestion, le Pr John MACK, le célèbre psychiatre de HARVARD qui, pour la première fois, a étudié scientifiquement le phénomène des enlèvements. MACK a été très impressionné par la droiture de la jeune femme, dont il pense beaucoup de bien. Elle révèle pour la première fois son histoire dans MAGAZIN 2000 :

Cher Mr HESEMANN, Je commence par ma deuxième

rencontre consciente du 4° type, que je ne voudrais pas seulement qualifier d ' e x t r a t e r r e s t r e , m a i s a u s s i d'interplanétaire. De plus, je ne démords

pas du fait que ces êtres ont beaucoup d'analogies avec les insectes, et possèdent malgré tout une langue, qui ressemble à celle d'un lézard.

Au cours de la nuit de la St Sylvestre 1993/1994, mon fils Sébastien et moi, nous nous trouvions à la fenêtre de notre mansarde. Nous observions, fascinés, le feu d'artifice. Huit minutes après minuit, je vis quelque chose de flamboyant venir de l'Est, dans le ciel nocturne. Ce point lumineux devint de plus en plus grand, et me fit penser, au premier abord, à un avion qui avait pris feu. L'instant d'après, l'objet devint plus grand et prit une forme ronde, avec une couleur orange intense. Il se plaça devant notre fenêtre, à une altitude de 150 mètres à peu près, avec la taille d'une pleine lune, et se stabilisa. Il resta là pendant 1 minute environ, de sorte que Sébastien et moi purent l'observer en toute tranquillité, avec des sentiments mélangés. Sébastien fut même pris de peur, recula de la fenêtre de quelques pas et dit craintivement : « Maman, les monstres sont là-dedans » Lorsque Sébastien a eu deux ans et demi, il parlait de bons et de mauvais monstres, qui l'emmenaient et l'examinaient et qui examinaient aussi d'autres enfants, et de bébés qui se trouvaient dans des bocaux

en verre. Tout cela avait l'air comme si une

puissante énergie concentrée, ronde venue du ciel venait délibérément me visiter, moi et Sébastien, devant notre fenêtre. Après 1 minute environ, cet objet (ou cette énergie) se mit très lentement en mouvement, puis, accéléra de plus en plus. En très peu de temps, il ressemblait déjà à une étoile dans le ciel, jusqu'à sa disparition complète. Après la rencontre, j'ai su que quelque chose venait vers moi. Je pensais que cet objet a très bien pu être vu également par d'autres personnes, et fis paraître une annonce dans un journal de REINICKENDORF, avec mon n° de téléphone, en demandant que d'autres personnes ayant vu un corps lumineux à la St Sylvestre, ne pouvant être confondu avec le feu d'artifice, se manifestent.

Il y eut énormément d'appels. Certains parlaient d'une montgolfière, mais la plupart étaient d'avis qu'ils n'avaient jamais vu quelque chose d'aussi surprenant.

À cet égard, je voudrais vous parler brièvement de ce qui m'est arrivé le 15.08.94. Vers minuit, je regardais — comme souvent déjà — le ciel nocturne depuis ma fenêtre. C'était la pleine lune,

ENLÈVEMENTS PAR DES OVNI

en ALLEMAGNE et en SUISSE

© MAGAZIN 2000

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de sorte qu'on ne pouvait distinguer que quelques étoiles individuelles, à proximité immédiate, à travers le clair de lune. Tout à coup, je vis à nouveau une étoile filante, mais cette fois-ci elle paraissait un peu plus grande que d'habitude. Je pensai en moi-même : « Êtes-vous des satellites, ou peut-être quand-même des vaisseaux spatiaux ? Ne pourriez-vous pas me donner un signe ? Peut-être scintiller brièvement ou quelque chose d’analogue. » À peine avais-je exprimé cette pensée, que cette étoile filante, que j'observais depuis un certain temps déjà, commença à scintiller, et ce, tout le temps qu'elle resta dans mon champ d'observation. J'étais tellement contente de cette pensée m a n i f e s t e m e n t c a p t é e télépathiquement que je ne doute plus que les étoiles filantes sont quand-même des vaisseaux spatiaux. Je suis sûre que ce scintillement ne venait pas d'un avion.

Déjà dans la nuit du 3 au 4 janvier, quelque chose de merveilleux s'était produit. J'étais étendue dans mon lit dans un état de demi sommeil lorsque je vis au-dessus de moi une bulle transparente dans un bleu clair. Cette bulle descendit vers moi, entoura ma tête et éclata. Bien que je ressentais un sentiment de protection en regardant cette bulle, j'étais malgré tout saisie de peur du fait de la chaleur intense qui entourait ma tête. Puis vint la nuit du 24 février 1994. Je m'étais couchée vers 23h45 et j'étais juste en train de m'endormir. À ce moment, je remarquai que quelqu'un découvrait mes couvertures. Une peur intense m'envahit. Malgré cela, ou peut-être précisément à cause de cela, je tournai ma tête vers le côté et vis devant moi deux énormes yeux dépourvus de pupilles et une partie du front. Je frappai instinctivement ce petit être, dont j'estimais la taille à 90 cm.

Tout à coup, ma main avait agrippé son poignet, mais je le lâchai à nouveau, immédiatement, saisie d'une grande frayeur; de même, le petit être, qui semblait également avoir peur, tint ses bras devant sa poitrine, comme pour se protéger. En même temps, il émit un son bizarre, aigu. Sa peur me redonna du courage, et je voulais précisément sortir de mon lit, lorsqu'il se trouva debout ou

assis sur mon lit, devant moi. Je n'avais pas remarqué avec quelle rapidité il avait pris cette position. J'entendis une voix masculine, amicale, dans ma tête, qui me disait : « Regarde moi ! ». Il me semblait, d'ailleurs, que je n'avais pas le choix. C'est ainsi qu'un contact visuel s'établit immédiatement entre moi et cet être, et à partir de là, je n'ai plus gardé de souvenirs. Après cette interruption, je me rappelle des faits suivants : l'être grimpe maintenant dans mon lit, et je sens qu'il me touche le derrière avec une partie molle charnue. J'éprouve des sensations agréables, à cet égard. Là s'arrêtent mes souvenirs pour

cette nuit. Lorsque l'être m'avait découvert, j'avais regardé sur la montre. Il était 0h20.

La prochaine rencontre eut lieu le 12

mars 1994. Je m'étais couchée vers 0 h 30. J'avais étendu mon bras gauche au-dessus du lit. À un moment donné de la nuit, je remarquai que quelqu'un avait saisi mon poignet et l'avait ramené doucement le long de mon corps. Bien que je n'avais pas encore ouvert les yeux, je savais qu'il y avait un être à mes côtés. J'ignore s'il s'agissait du même être que celui de la nuit du 24 février. Cet être lui ressemblait, mais n'était pas pareil. Bizarrement, je ne ressentais aucune crainte, mais plutôt de la joie.

Aussi, j'ouvris les yeux, et remarquai que le visage de l'être se trouvait au-dessus de mon visage, à une distance d'environ 30 à 40 cm. En même temps, son visage se rapprochait lentement du mien. Puis, une langue analogue à celle d'un lézard sortit de sa bouche et toucha ma lèvre supérieure. Maintenant le contact visuel était à nouveau rétabli; et une fois de plus, j'ignore ce qui s'est passé par la suite. Je ressentis le contact de la langue sur ma lèvre comme légèrement humide, ni froid ni chaud. Le lendemain, le 13 mars 1994, Sébastien jouait précisément dans sa chambre. Je me trouvais sur le même étage lorsqu'il

déclara, très effrayé et avec une voix excitée : « Maman, sur le palier il y a un monstre » Je m'empressai d'aller vers lui, car il était visiblement pris de panique. I l aurai t vu un monstre “médiéval” sur l'escalier, mais celui-ci était parti aussitôt. Il m'avait souvent déjà parlé de ce monstre qui apparaissait dans ses rêves. Depuis cet incident, il n'a plus été possible de le laisser seul dans sa chambre. Quelques semaines plus tard, tout cela se répéta encore une fois, avec la différence que cette fois-ci il me dit avoir vu un petit enfant, avec une peau et des cheveux ébouriffés très clairs. Le 10 août 1994, je me réveillai au cours de la nuit, parce que je sentais que l'on tâtonnai mon visage. Cette fois-ci aussi, je ne ressentais nulle crainte. J'ouvris les yeux et vis la main d'un être. Mais cette fois-ci, non seulement les doigts de cet être

étaient minces, mais la main était aussi petite. J'avais l'impression que c'était la main d'un enfant. Doucement, cette main minuscule, dont l'apparence était celle de la peau glissante d'un foetus, tâtonnait mon visage. Je m'apprêtais à tourner mon visage pour voir à qui appartenait cette main, mais, à ce point précis, à nouveau, je n'ai plus gardé aucun souvenir.

Voilà les trois rencontres dont j'ai

voulu vous faire part. Rien d'autre ne s'est produit à ce jour, mais je voudrais vous relater l'expérience suivante, en relation avec ces événements :

En me réveillant, le 16 mars 1994, je ressentis un picotement brûlant au-

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dessus de mon sourcil droit. En me regardant dans le miroir, je découvris à ma joue droite, entre l'oeil et l'os de la joue, une minuscule piqûre. Le picotement brûlant dura toute une journée. Je ressentais une légère pression derrière l'oeil droit, et l'oeil était légèrement trouble.

Le lendemain, tout était à nouveau rentré dans l'ordre avec mon oeil. De plus, on ne voyait plus trace de la petite piqûre, après deux jours. Puis, fin mars début avril, mon oeil droit se mit à trembler au début des cils. Dans un premier temps, je ne me suis pas fait de soucis, en pensant qu'il s'agissait d'un t ressai l lement nerveux, comme beaucoup de gens en ont de temps à autre. Lorsque ce tressaillement persista au bout d'une semaine, je commençais à noter à quel moment il survenait. Je remarquai très vite que le tressaillement était lié à des émotions et à des dangers sans gravité me menaçant. Pour citer quelques exemples : si je vais à la cuisinière, pour remuer un plat qui s'y trouve, je peux m'attendre à ce que le tressaillement commence. Il est pour ainsi dire associé à la chaleur. Si je me trouve dans le jardin et coupe mes roses, donc, si je me rapproche trop d'une source de danger avec mon visage, alors l'oeil commence à tressaillir. Si je ne fais que gronder un peu mon fils, rien ne se passe. Mais si je regrette par la suite mon acte, alors l'oeil tressaille. Si je gronde plus violemment mon fils, l'oeil tressaille à nouveau. Si je vois à la télé la souffrance qui règne partout dans le monde, par exemple la souffrance d'enfants atteints du cancer ou les pauvres enfants affamés du Rwanda, qui se cramponnent à leurs parents morts jusqu'à ce qu'on les en arrache, je peux m'attendre à ce que l'oeil tressaille. Ce qui est surprenant, c'est que ma compass ion e t mes pleurs ne s'appliquent qu'aux enfants. Mais si je m'énerve contre un adulte, mon oeil ne tressaille pas. Lorsque l'oeil pleure parce qu'un rayon lumineux m'éblouit, il tressaille. Si je pince délibérément le bord des sourcils, alors il tressaille aussi.

Récit de Brigitta MORF

E n 1995, nous avons reçu une longue lettre d'une suissesse du

canton de Berne, qui voulait créer un « Centre pour non-terrestre ». Ce centre doit être un groupe d'auto-assistance pour des personnes « qui ont

fait des expériences avec des non-terrestres, difficiles à intégrer ». Les premières rencontres sont déjà programmées. Mme Morf nous a fait part de ses propres expériences.

C'est arrivé lorsque j'avais entre 12 et 15 ans. J'étais rentrée de l'école, j'ai mangé, puis me suis rendue directement à ma chambre et me suis laissée tomber sur le lit. En face de moi, il y avait un réveil qui indiquait 14 h. J'avais poussé un profond soupir, la tête appuyée contre le mur, en réfléchissant quels seraient les premiers devoirs que je ferai. Lorsque cinq minutes après, environ, je regardai à nouveau sur la montre, il était 15 h. Qu'une montre puisse retarder, de temps à autre, cela, je pouvais le comprendre, mais qu'elle aille plus vite, cela, je ne pouvais le concevoir. Tout en ruminant encore sur cet incident, je remarquai, flottant dans ma chambre, de grands éclairs de lumière, blancs argentés. Je ne pouvais pas les voir directement, mais je n'avais pas non plus l'impression qu'il s'agissait d'une réflexion lumineuse ou d'une illusion sensorielle. Peu de temps après, ils avaient disparu, et je contrôlai sur ma montre-bracelet et sur l'horloge de la cuisine l'heure. Mais il était toujours 15 h.

Je ne sais plus très bien, si avant ou après cette expérience, je ressentis la forte impulsion d'écrire un livre, et ce, avec le titre : « Mon enlèvement par des extraterrestres ! »

J'ai toujours été attirée par les étoiles, et comme enfant, déjà, je regardais souvent le ciel étoilé, le soir. En même

temps, je ressentais un étrange sentiment de nostalgie. Je me suis toujours souhaité un télescope, et on m'en a offert un à l'occasion de l'un de mes anniversaires. Je me suis choisi une étoile, avec cet instrument, que je regardais régulièrement. Quelque temps après, je repérai deux planètes au ciel, et entre elles, un petit point blanc se balançait, à intervalles irréguliers.

Donc, un vaisseau spatial. (Bien que l'on ne puisse pas reconnaitre cela dans la réalité). J'observais ce trafic aérien durant des semaines et des mois, sans constater , pour tant , de grands changements. Un an, environ, après ma découverte, je faisais une promenade, un soir. Après avoir marché durant un certain temps, je découvris entre les arbres et les buissons une brillante source lumineuse, mais pas d'une clarté éblouissante ; c'était plutôt une clarté agréable. Je me rapprochai de ce phénomène, en me penchant un peu, et lorsque je découvris l'origine de la lumière, le sang se glaça dans mes veines. Il y avait là une grande sphère lumineuse, qui flottait dans une clairière, avec un diamètre de 10 à 15 m. Cela ressemblait à une boule de verre, à l'intérieur de laquelle brillait une source lumineuse laiteuse. Normalement, la lumière de cette grande boule aurait du s'étendre beaucoup plus loin, mais à partir d'une certaine zone extérieure, c'était à nouveau l'obscurité de la nuit qu i p r édomina i t . I l s ' ag i s sa i t certainement d'une mesure de protection des extraterrestres.

Je m'approchai donc le plus près possible, et me cachai derrière les

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buissons. À présent, je pouvais aussi voir les occupants du vaisseau spatial. Ils se déplaçaient dans l'environnement lumineux du vaisseau, en brisant une branche par ci, une feuille par là, en grattant de la terre, et en mettant tous ces objets dans de petits récipients.

Ces êtres avaient une grosse tête, pas d'oreilles, pas de cheveux, pas non plus de nez, uniquement des orifices; ils avaient certes une bouche, mais pas de lèvres. Bref, tout ce qui marque et caractérise vraiment un visage manquait. Même les yeux étaient tout simplement grands, sans pupilles, sourcils ou paupières. Leur corps était asexué et du fait de leur peau ressemblant à du cuir, on avait comme l'impression qu'ils portaient une combinaison recouvrant tout leur corps.

Les êtres se déplaçaient lentement, mais sûrement. Chaque mouvement de la main semblait être programmé à l'avance, et soigneusement réfléchi. Moi, dans ma cachette, malgré ma peur, j'étais fasciné par l'assurance que ces extraterrestres manifestaient en se déplaçant sur terre. Notre planète ne leur semblait pas étrangère.

L'un de ces extraterrestres se rapprocha finalement assez près de ma cachette, et, je voulus m'enfuir rapidement. Il semblait me dévisager à travers les buissons, et dans un premier temps, je fus incapable de me sauver. Sans qu'il ait prononcé la moindre parole ou fait le moindre mouvement, sauf qu'il ne me lâchait pas des yeux, les autres s'étaient arrêtés dans leur travail de cueil let te et s 'approchaient maintenant de moi. En peu de temps, j'étais complètement entourée par ces êtres. À présent, il était trop tard pour m'enfuir. Pendant un certain temps, ils me dévisagèrent en silence, ce qui me donna des sueurs froides. Bien que ces êtres n'étaient pas plus grands que des enfants de 8 ans, et que je les surplombai, je ressentais malgré tout une autre force émanant d'eux.

Finalement, lorsqu'ils m'eurent observé durant un certain temps, ils se rapprochèrent lentement de moi. J'inspirai profondément et poussai un grand cri pour les effrayer, ce qui me réussit en partie. Mais après quelques instants d'hésitation, ils vinrent vers moi, et chacun toucha une autre partie de mon corps, qu'il me fut impossible de bouger dans l'immédiat. Puis, en un rien de temps, je flottai horizontalement dans l'air, et accompagnée par les êtres, je flottai en direction du vaisseau spatial, et finalement à l'intérieur blanc de l'engin.

Puis, je me trouvais en position allongée sur une couche et pus apercevoir une partie des machines, dont le pupitre de commande. L'un de ces extraterrestres manipulait différents tableaux de commande. Pendant un bref moment, le brouillard blanchâtre s'éclaircit, surtout à la paroi du vaisseau spatial arrondi, en permettant ainsi de regarder au dehors. Une chose était claire : ils voulaient m'emmener et je me faisais peu de souci sur l'endroit où j'allais atterrir ; je pensais plutôt à mes proches, et sur ce qu'ils entreprendraient, et sur le fait qu'ils n'avaient aucune idée de tout ce qui se passait.

Nous quittâmes la Terre, et un extraterrestre vint vers moi et me dit de dormir. En fait, il ne bougeait pas ses lèvres, mais il me le dit par transmission de pensées — une méthode de communication merveilleuse — d'ailleurs à peine me l'avait-il « dit » que je tombai dans un profond sommeil.

Je m'arrête là, pour le début de mon livre. Je le répète encore une fois : à l 'époque, tout cela m'est venu spontanément en mémoire, et j'ai ressenti une forte impulsion à le consigner par écrit. Je ne peux malheureusement pas savoir dans quelle mesure mon imagination a enjolivé des faits réels.

Mais je peux encore bien me rappeler qu'à l'époque je me trouvais souvent dehors, la nuit, en regardant avec nostalgie le ciel et les étoiles.

En même temps, je me disais avec mélancolie : « Ah, si seulement je me trouvais chez moi, dans ma patrie. »

Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 6/7-96.

L’assemblée générale aura lieu le

samedi 15 mars 1997 à Reims.

Nous vous informons que la revue ufologique UFOmania (20 pages), que nous vous recommandons ardemment, vient de déménager :

Mr Didier GOMEZ

4, place de la Renaudié 81000 ALBI 05.63.45.91.10

Notre ami Pascal Pautrot vient de fu-sionner son bulletin OVNI-FORUM avec UFOMANIA, ce qui enrichit considérablement ce dernier. Vous pouvez contacter Pascal Pautrot à l’a-dresse suivante :

88, avenue Gambetta 75020 PARIS 01.43.64.47.19

Abonnement à UFOMANIA : France : 80 F. pour 4 numéros

Dans ce dernier numéro de la revue du C.E.O.F. (Centre d’Études OVNI France), vous pourrez trouver un article très intéressant sur les recherches germaniques d’avions en forme de soucoupes volantes. Ces armes nouvelles étaient appelées V7 et ressemblaient beaucoup aux vaisseaux du contacté George Adamski. Ces recherches allemandes ont commencées dés 1941. Qui les aidait ?

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F rançois Couten, toujours en quête de renseignements de première main touchant les ren-contres rapprochées avec des

occupants d’ovni, nous a transmis un t r è s i n t é r e s s a n t c o mp l é me n t d’information au texte “Un cas d’atterrissage datant de 1944” paru en page 20 du numéro 116 — juin 1972 — de la revue “Lumière dans la Nuit”1.

En l’occurrence, il s’agit de la photocopie d’une lettre manuscrite de 4 pages adressée à Michel Figuet, responsable du SERPAN2, lettre datée du 13 mars 1996 et signée par le témoin de l’époque, Madeleine ARNOUX.

En voici de larges extraits : « Cher Monsieur, ... Je ne puis que

redire exactement ce que j’ai relaté, les faits sont encore très précis dans ma mémoire malgré les années qui ont passé. J’ignore votre âge, mais je peux vous assurer que pour une petite jeune fille de 13 ans, en 1944, ces faits ont été assez exceptionnels, assez surprenants, assez fantastiques, pour que je m’en souvienne encore très bien ! À l’époque, nous n’étions pas nourris de littérature de science-fiction, la télé, les BD n’existaient pas pour moi : je préparais mon Brevet Elémentaire et mon entrée à l’école normale, j’avais des lectures beaucoup plus... classiques ! (Je vous signale que les deux dessins qui illustrent l’article (de LDLN) sont de moi-même, et n’ont fait qu’être reproduits par ce Monsieur Lagarde, que je ne connais pas et dont je ne me souviens pas qu’il eut été en relation avec moi en 1972 — Qui était-il ?)

À votre question : « Un enquêteur est-il venu sur place à Toulon sur Arroux après 1944 ? », je réponds non (à ma connaissance), car si j’ai reçu pas mal de courrier après la publication de l’article en question (toutes les revues traitant du sujet, à l’époque (1972) m’ont écrit pour me questionner et me demander la relation des faits. On m’a même raconté qu’un jeune homme de Toulon sur Arroux, étudiant à l’UCLA

(Université de Los Angeles), quelques années après, avait lu mon article dans une revue américaine, dans la

bibliothèque même de cette prestigieuse Université).

Mais il faut croire que ma modeste personne n’intéressait pas les enquêteurs, car jamais personne n’est venu à mon domicile. Que certains journalistes soient venus sur les lieux, c’est fort possible mais ils ne se sont jamais manifestés auprès de moi. Moi-même, je suis retournée sur les lieux, il y a une dizaine d’années. Tout a changé, et si je n’avais pas dans la mémoire c e t t e v é r i t a b l e “ i m p r e s s i o n photographique” de la scène de juin-juillet 44, je n’aurais rien pu reconnaître. (Il y a maintenant un terrain de motocross à proximité, tout a été bouleversé).

J’avais également été contactée par Jean-Claude BOURRET, qui préparait alors l’un de ses livres. Je lui avais répondu, relaté les faits.

Je pourrais tout de même ajouter quelque chose, rapporter des faits qui me sont revenus en mémoire après la parution de l’article, qui n’ont peut-être aucun rapport avec les faits, mais qui sont assez bizarres.

Quelques années avant, c’est-à-dire dans les 1ères années de la guerre, peut-être en 1942 (les Allemands occupaient Toulon sur Arroux, assez pacifiquement, il faut l’avouer), presque chaque soir, au cours de l’été je pense (car les soirées étaient belles et tièdes), et pendant plusieurs jours d’affilée, le quartier où j’habitais avec mes parents, le “Faubourg” (tout à côté de la petite gare de chemin de fer départemental Etang-Digoin) fut en émoi. En effet, nous pouvions observer une lueur blanchâtre, légèrement brillante (une l u n e “ t e r n e ” ) d a n s l e c i e l ,

approximativement à un point situé nord-ouest. Cette lueur était fixe, parfois semblait s’éteindre un peu, puis se ranimait.

Inutile de vous dire que chaque soir, c’était le rassemblement de tout le quartier et chacun y allait de ses commentaires et suppositions... bien réduits, il est vrai, à : “des ballons captifs”, “un zeppelin” (souvenir d’autres guerres...), des “saucisses” observatrices, alliées ou ennemies...

Je sais que de courageux jeunes hommes s’en allèrent, le jour venu, examiner les environs et ne virent jamais rien... À présent, je suis à peu près sûre qu’à vol d’oiseau, l’endroit où nous pouvions voir cet objet lumineux et fixe, se situait à la verticale du lieu où je vis, quelques années plus tard, mon “OVNI”. Y avait-il une relation entre ces faits ? Nous observaient-ils déjà, d ’ e n h a u t , a v a n t d e t e n t e r l’atterrissage ?

Ces faits cessèrent un beau jour, au bout de quelques semaines peut-être, et nous ne revîmes plus jamais “la lune terne” suspendue au-dessus des bois... »

P.S. : François COUTEN nous a communiqué l’adresse exacte ainsi que le téléphone de cette dame qui désire, néanmoins, rester discrète et ne pas communiquer au public ses coordonnées exactes. Cette dame habite “Le Cannet - dép. 06”.

RETOUR EN 1944

Par François COUTEN

1 - LDLN : BP 3 - 77123 LE VAUDOUÉ - Tel et Fax : 64.24.74.17 2 - SERPAN : Michel FIGUET - La Roche - 71970 DOMPIERRE-LES-ORMES.

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A vant une observation du ciel, il convient d’attendre 15 à 30 minutes

dans l’obscurité afin que les yeux puissent s’habituer. Il est préférable d’installer votre télescope dans un lieu tranquille, éloigné des villes et de leurs lumières.

Si vous le pouvez, installer votre télescope sur le site choisi une heure et demie avant pour avoir une bonne stabilité de celui-ci. Lorsque vous observerez le ciel à travers votre télescope, il est conseillé de garder les deux yeux ouverts pour ne pas en fatiguer un en le fermant, pendant que l’autre est occupé à regarder dans l’oculaire. Si vous désirez repérer une étoile à partir d’une carte du ciel, il conviendra de prendre une lampe de faible intensité pour ne pas vous éblouir.

Commencez toujours par prendre le plus petit des grossissements : par exemple : 20 ou 25 mm de focale. Ceci permet déjà de bien distinguer les détails à la surface de la Lune. Plus l’on choisit un grossissement élevé et plus la luminosité se perd. Par contre avec un grossissement de 150 x et plus, peut être bon selon les turbulences atmosphériques à haute résolution. Plus l’astre sera lumineux, mieux les détails apparaîtront nets. Le grossissement maximum sera rarement utilisé, car trop sensible aux turbulences, par contre, il est indispensable pour séparer les étoiles doubles et lorsque les turbulences atmosphériques sont faibles. Le grossissement moyen est utilisé pour l’observation du disque entier de la Lune, pour les amas, pour les galaxies ou les nébuleuses. C’est un oculaire dont la focale est égale à 3x le rapport d’ouverture : Exemple : avec un 115/900,

le grossissement moyen est égal à :

900/115x3 = 23,5 mm donc on choisira la focale la plus proche, soit dans notre exemple 25 mm.

Les filtres colorés :

L’utilisation de filtres colorés est

recommandée pour regarder certains planètes. Ainsi :

Mercure : filtre rouge ou orange Vénus : filtre rouge ou orange Mars : filtre rouge ou orange Saturne : filtre bleu Lune : filtre vert foncé neutre ou

polarisant, lorsque l’image est trop brillante, un filtre jaune quant à lui, améliore le contraste.

Champ de vision : Pour déterminer le champ de vision, il suffit de diviser le champ apparent

de l’oculaire par le grossissement. Le champ

apparent des oculaires est indiqué pour chacun d’eux et abrégé CA. Le CA est une valeur en degré. Ainsi :

Exemple : un oculaire de 20 mm et de CA 40° monté sur une lunette de focale 800 mm,

aura un grossissement de 800/20 soit 40x. Le champ de vision sera donc de 40° (40x1°).

Pour se représenter ce qu’est un

champ de 1°, il suffit de savoir que le diamètre apparent de la Lune est de 0,5°. La méthode la plus précise pour mesurer le champ de vision consiste à pointer une étoile située sur l’équateur céleste et de mesurer en combien de temps elle traversera le champ de vision. Avec une

monture fixe, il suffira de multiplier le temps (mesuré en minutes) par 15. Ce moyen permet de déterminer le champ de vision en minute d’angle.

Exemple : si une étoile met 4 minutes

pour traverser le champ de vision du télescope son champ sera de

4x15 = 60 soit 1°

La connaissance du champ de vision

permet donc d’estimer la taille relative des objets que l’on recherche. Il est également à noter que le grossissement réellement utilisable ne peut dépasser une valeur égale au diamètre de l’instrument multiplié par 2,5.

De ce fait, attention aux publicités

qui annoncent des grossissements inutilisables, comme un grossissement de 450x pour un télescope de 115 mm ou 350x pour un télescope de 60 mm.

Des turbulences et des astronomes : L’agitation atmosphérique ou les

turbulences de l’air sont souvent responsables de la scintillation des étoiles. Ce phénomène de scintillation ou de « changement de couleur » d’une étoile est nettement visible à l’oeil nu. L’on comprend tout de suite, que dans l’oculaire d’un télescope ce phénomène ne peut être qu’amplifié.

Il est toutefois possible « d’agir » sur

les sources locales de turbulences. Aussi, le site idéal pour poser votre télescope sera un sol en terre battue ou herbeux, bien dégagé et loin des habitations. Sont à proscrire les sols maçonnés ou goudronnés ou encore les observations faites depuis une fenêtre ou un balcon d’immeuble. Il faut également mieux éviter de pointer un astre qui est au ras d’une toiture ou d’un immeuble. Il est

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conseiller de ne pas installer son matériel à côté d’une source de chaleur comme les radiateurs par exemple. En effet, ces derniers peuvent être une source de turbulences.

Un dernier point, mais qui a son

importance. La journée, votre télescope est rangé « au chaud » dans un placard, dans une boîte ou encore, il trône dans votre maison. Mais lorsque vous désirez observer le ciel, il vous faut sortir votre matériel de son cocon.

En hiver, pour prendre une condition

extrême, votre télescope que vous aurez sorti à l’extérieur après avoir passé une journée douillette chez vous, ne sera pas à température ambiante. De ce fait, il se comportera lui-même comme une sorte de radiateur qui provoquera des turbulences instrumentales. Rassurez-vous, celles-ci sont maîtrisables, par o p p o s i t i o n a u x t u r b u l e n c e s atmosphériques qui elles ne le sont pas.

Pour éviter ce genre de désagrément,

il existe une bonne méthode qui consiste à sortir son télescope au coucher du soleil et d’ouvrir le tube en le plaçant légèrement incliné vers le sol, l’ouverture dirigée vers l’est. Une heure et demie plus tard (selon la saison) votre télescope sera « à bonne température » et la qualité des images nettement améliorée.

Il ne reste plus qu’à souhaiter aux

amateurs du ciel, de passer une bonne nuit d’observation en leur rappelant de nous prévenir, si au lieu de comètes, ce sont quelques OVNI noctambules qui passent par l’oculaire de votre télescope.

Didier Lefort

De la glace au pôle Sud de la Lune

C ertains visionnaires prompts à s’emballer y voient un heureux

présage pour l’installation de l’homme sur la Lune : il y aurait de la glace au pôle austral de notre satellite ! Protégée de la chaleur du Soleil au fond du large bassin qui occupe ce pôle, l’eau gelée proviendrait de comètes. Des chercheurs américains l’ont découverte à partir des données radar recueillies par la sonde Clementine lancée le 25 janvier 1994 et qui resta 71 jours en orbite autour de la Lune. Par ailleurs, le CNES vient de créer un serveur qui permet d’accéder aux deux millions d’images prises par la sonde

Clementine dans onze longueurs d’onde. On y trouve une cartographie complète de 100 à 200 m de résolution et des images d’une résolution de 15 m. A d r e s s e I n t e r n e t : h t t p : / /clementine.cst.cnes.fr. Extrait de Ciel & Espace n° 310 (février 1996).

La Lune divise les géologues

L a Lune a été au centre d’une controverse lors de la conférence

annuelle de la Société américaine de géologie, fin 1995 : pourquoi sa face visible a-t-elle été beaucoup plus renouvelée que la face cachée lors de l’épisode volcanique survenu voilà deux milliards d’années ? Selon J. Head et R. B r o w n , c h e r c h e u r s à l’université de Providence, c’est parce que la croûte de la face cachée de la Lune est en moyenne plus épaisse que celle de la face visible, comme l’ont montré les relevés de la sonde Clementine. Pour preuve, la plupart des roches basaltiques éruptives sont situées dans des zones où la croûte est peu épaisse. Certes, mais la face cachée comporte aussi des zones où la croûte est très fine et celles-ci n’ont pas été recouvertes de basalte, objectent certains, qui estiment qu’un déficit en éléments radioactifs dans les profondeurs de la face cachée aurait limité la tempé-rature du basalte, et donc ses éruptions.

Extraits de Ciel & Espace n° 311 (mars 1996)

Les yeux du ciel à votre portée

B ientôt, la terre entière sera sous haute surveillance. Une nouvelle

génération de satellites espions, financés par le secteur privé, est sur le point d’être mise sur orbite. La société commerciale Earthwatch lancera le sien à la fin de l’été. Orbimage et Space Imaging s’y mettront l’année prochaine. Quiconque aura les moyens — État, société ou même riche particulier — pourra louer les services de ces engins capables de discerner sans problème une voiture d’une autre, depuis les profondeurs de l’espace. Ces satellites, équipés de capteurs et de caméras hyperpuissants, devraient fournir des images d’une précision inégalée. Les spécialistes — a révélé « The Observer » de Londres — prévoient que les clichés dévoileront cent fois plus de détails que les photos

obtenues jusqu'à présent par Spot ou Météosat. Leur résolution devrait atteindre 1 mètre. Elles ne seront plus floues comme les traditionnelles images satellites et montreront avec précision une modification apportée sur une maison d’habitation. Les applications civiles (agriculture, météorologie, prévention des risques naturels, travaux publics) et militaires sont illimitées. C’est justement ce qui inquiète certains États. Ainsi, Israël ferait pression sur Washington — sécurité oblige — pour que la résolution de clichés pris sur son territoire ne dépasse pas 3 mètres. On peut imaginer l’aubaine que de tels satellites représenteront dans les régions instables du monde : le Proche-Orient, les Balkans, les ex-Républiques d’U.R.S.S., le sous-continent indien. On peut imaginer que

rien n’empêchera désormais Kurdes, Indonésiens du Timor, Bosniaques et autres minorités opprimées de révéler à l’opinion, grâce à ces images, les sévices qu’elles subissent. Toutefois, les bienfaits pour la d émo cr a t i e pou r r a i en t

pourtant être contrebalancés par les questions que soulèvent cette nouvelle atteinte à la vie privée. Les yeux du ciel pourront en effet surveiller les allées et venues de n’importe quel individu dans le plus petit jardin privé.

Laurent Léger Source : PARIS-MATCH n° 2466 - 29.08.96.

Une photo du big-bang primitif

D es savants britanniques de l'Université de Cambridge ont

réussi à prendre en photo l'origine de l'univers, à l'aide du nouveau radio-télescope CAT. Les astrophysiciens partent du point de vue qu'au début de l'univers, il y a 15 milliards d'années, les galaxies ont vu le jour à partir de conglomérations d'énergie et de matière. De telles variations dans la densité se traduiraient par des variations de température dans le cosmos, du fait que l'univers, à sa naissance, présentait une chaleur énorme. Même aujourd'hui, l'espace n'est pas complètement froid — les scientifiques en estiment la température effective à 2,7° C au-dessus de zéro.

En 1992, la NASA a présenté les premières preuves de cette hypothèse, lorsque le satellite COBE a produit une image globale de l'espace, indiquant des

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vagues de température, pouvant être interprétées comme des conséquences du big-bang. La plus récente photo CAT, qui montre un extrait du ciel de 0,00001 degré et qui a été prise à l'Est de la Grande Ourse, illustre ces modèles de température avec des détails beaucoup plus précis. Les présentées se trouvent à une distance de 15 milliards d'années-lumière de nous — et remontent à une époque où l'univers venait précisément d'avoir 300.000 ans. CAT réagit avec 40 fois plus de sensibilité à des variations de températures que COBE, le coût ne s'élevant qu'à 250.000 Livres Sterling (2.030.000 F) — alors que le satellite de la NASA s'élève à 300 millions de dollars (1.750.000.000 F). Trois antennes radio, chacune large de 70 cm et séparées l'une de l'autre de deux mètres, filtrent les effets atmosphériques et produisent les images, d'une manière synchrone. A présent, le gouvernement britannique compte installer un dispositif, coûtant 20.300.000 F, de dix de ces antennes, sur le mont Teide de l'Île de TÉNERIFFE. On espère en obtenir d'autres conclusions sur l'âge de l'univers et sur l'origine des galaxies.

Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 6/7-96.

Une cinquième étoile à planètes

D eux objets de taille jovienne tourneraient avec une période de 30

ans et de 6 ans autour de Lalande 21185, petite étoile rouge située à 8,1 années-lumière du Soleil. La découverte a été annoncée par George Gatewood, de l’université de Pittsburgh. Celui-ci a analysé les observations photographiques et astrométriques réalisées pendant les soixante-six dernières années avec la lunette de 76 cm de l’observatoire Allegheny. Or, le mouvement propre de l’étoile suivie présente des accélérations et des ralentissements qui traduiraient l’ influence gravitat ionnelle de compagnons obscurs en orbite autour d’elle. C’est le cinquième cas de planète extrasolaire connu depuis octobre 1995. Mais à la différence des voisines de 51 Peg, 70 Vir, 47 Uma et 55 Cnc, celles de 21185 se tiendraient à relativement grande distance de leur étoile — à la place de Saturne ou de la ceinture d’astéroïdes dans le Système solaire. De très bonnes candidates, donc, pour une tentative de photographie directe à l’aide des grands télescopes terrestres.

Source : Ciel & Espace n° 316 - 09/96.

Les cratères lunaires

font vieillir Vénus

À partir des images de la face cachée de la Lune, prises par la sonde

Clementine en 1993 et 1994, des géologues américains ont dénombré deux fois plus de jeunes cratères de taille inférieure à 10 km que ne le laissait présager la distribution des cratères de la face visible, plus altérés il est vrai. En revanche, les cratères de diamètre supérieur à 20 km, eux, semblent moins nombreux, révélant un bombardement récent par de grosses météorites plus modéré qu’on ne le pensait. Les planétologues tirent deux conséquences de ces données : les corps de taille comprise entre 300 m et 1 km susceptibles de menacer la Terre seraient plus nombreux que prévu. D’autre part, la surface peu cratérisée de Vénus serait âgée de 700 millions d’années, et non de 300 à 500, chiffres en vigueur jusqu’à présent.

Source : Ciel & Espace n° 315 - 07/08.96.

L’espace tourne au vinaigre

L es radioastronomes américains ont détecté la présence d’acide acétique,

constituant du vinaigre usuel, dans un nuage de gaz et de poussières situé à 25.000 années-lumière de distance, non loin du centre de la Voie lactée. La signature spectrale de la molécule a été enregistrée au cours d’observations du nuage dense Sagittarius B2, réalisées à l’aide nouveau réseau de radiotélescopes “Berke leyn I l l ino is Maryland Association”. la découverte d’acide acétique dans l’espace interstellaire enchante les astronomes qui voient en lui l’un des premiers ingrédients à partir desquels ont pu s’élaborer la glycine et autres acides aminés constitutifs de la vie.

La Terre frôle un nuage de gaz

L es mouvements de masse de gaz dense qui s’opèrent dans le milieu

interstellaire pourraient pénétrer d’ici 50.000 ans dans le Système solaire et y perturber la climat terrestre, affirme Priscilla Frisch. Selon cette astronome de l’université de Chicago, le Système solaire se trouve depuis quelques milliers d’années à la périphérie d’une coquille de gaz très inhomogène en expansion qui semble avoir été expulsée par

l’association d’étoiles en formation Scorpius-Centaurus. Le Soleil pourrait être amené à rencontrer une région du nuage un million de fois plus dense que celle qu’il traverse actuellement — avec des effets “dramatiques” sur le champ magnétique et l’atmosphère de notre planète.

Le Lunar Prospector s’envole

L a NASA doit lancer le 9 octobre prochain une mission scientifique

d’exploration de la Lune : le Lunar Prospector ira se satelliser autour de la Lune afin de la photographier et de l’analyser pendant un an. L’engin, une sorte de cône de 300 kg et de 1,2 m de diamètre, est construit par Loockheed Martin (Californie). À son programme : une carte de la composition chimique de la surface lunaire, la mesure des champs magnétiques et gravitationnels ainsi que la recherche de glace d’eau dans l’ombre des cratères polaires. Le projet, dont le coût est estimé à 63 millions de dollars (330 millions de francs), fait partie du programme de petites missions Discovery de la Nasa.

Source : Ciel & Espace n° 316 - 09/96.

La Terre frôlée par un astéroïde

U n astéroïde de 300 à 500 m de diamètre (soit six fois la taille

présumée du bolide responsable du Meteor Crater, en Arizona) a frôlé la Terre, le 19 mai dernier, à quatre cent mille kilomètres, soit à peu près la distance de la Lune. C’est le sixième du genre dans la liste dressée par le programme Spacewatch de l’université d’Arizona, dont le but est de détecter les bolides croisant très près de la Terre. Les cinq précédents avaient toutefois des tailles plus modestes, entre 5 et 100 m. L’astéroïde 1996J a été découvert par Tim Spahr et Carl Hergenrother, deux étudiants de l’université de Tucson travaillant sur un Schmidt de 40 cm. La particularité de leur recherche, baptisée Bigelow Sky Survey, est de balayer le ciel 35° au-dessus du plan de l’écliptique, auquel se cantonnent les programmes du même type. Source : Ciel & Espace n° 315 - 07/08.96.

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Q ui ne penserait à l'Étoile de David qui pourrait logiquement figurer dans la Géométrie. Mais, cette composition a

besoin d'un cercle pour être dessinée ; or la Jérusalem Céleste est carrée. Mais, on peut passer du carré au cercle, aux cercles : le cercle de quadrature et le cercle de périmètre. De chacun d'eux, on tire facilement une étoile à six branches. C'est bien le sceau de Salomon ou l'étoile de David, aux traits ainsi doublés, donnant consistance à la figure et la rendant conforme à la représentation qu'en fait la tradition. Les six pointes correspondent à six des douze portes, créant un plus petit cercle au centre de celui qui illustre la zone d'influence de ces portes. Cette zone est donc dédoublée ouvrant de nouveaux c h a m p s d'investigation. Mais, surtout, on voit s'animer la géométrie par la liaison, en vis à vis, des six autres portes. Trois axes é m e r g e n t d o n c passant par les creux de l'étoile. Porte supérieure gauche à p o r t e i n f é r i eu r e droite. Une belle droite N.O.S.E.

Les deux portes centrales interpellent. L'axe Ouest-Est part de Guizeh, or c'est l'axe du Sphinx. évoqué p. 122 du S e c r e t d e s Pyramides. Cette étoile qui apparaît est obligatoirement antérieure à l'histoire du peuple hébreux et on peut constater que. jusqu'à preuve du contraire, ceux-ci

n'ont jamais expliqué pourquoi ils en ont fait leur signe symbolique. Pas plus que la Bible ne dit mot sur l'attribution de la figure à David ou la raison de la reprise, par son fils, en Sceau de Salomon. Curieux.

On peut se demander aussi pourquoi la tradition a entrelacé les deux triangles qui composent l'étoile, alors que le dessin ne le suggère pas. De même l'entrelacement va toujours de gauche à droite, d'abord dessus puis dessous, alors que c'est l'inverse qui aurait pu se produire. Il y a sans doute une raison autre qu'un choix arbitraire.

Il reste encore un axe S.O/N.E, porte inférieure gauche vers porte supérieure droite. Il passe par ....Jérusalem ! À défaut d'autres précisions, on peut penser détenir une réponse cohérente

a u x q u e s t i o n s concernant l'origine de l'étoile de David, des lieux clefs de l'Histoire Ancienne (Guizeh, Pétra, Jérusalem) et de la vocation initiale du Mont Sinaï, à déterminer les tracés. On peut rappeler que la méthode des tracés en étoiles est déjà omniprésente dans l'implantation des pyramides sur le site de Guizeh, ainsi que nous l'avons montré dans notre p r e m i e r ouvrage. Ceci

quels que soient les points sur Iesquels on s'appuie pour la poser. Il y avait d'abord l'étoile à cinq branches mais aussi celle à six branches, l'étoile de

David. Si l’on veut prendre un peu de recul,

ou plutôt d’élévation, on peut se reporter

également à notre 4ème livre (De Guizeh à Mars, au-delà des grands secrets, exclusivité Groupe Sentinelle), presque terminé. On y voit que l’étoile de David permet de passer à une géométrie mondiale.

Cette approche d'une géométrie mondiale a mis en évidence un méridien d'origine — appelé par nous lumineux — Sa définition serait trop longue à expliquer dans cette étude et pourtant, il faut en préciser les effets. Ce sera une

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LA JÉRUSALEM CÉLESTE, L’ÉTOILE DE DAVID, ET PÉTRA

Par Guy GRUAIS et Guy MOUNY

Membres de l’I.C.B.M. ( Institut des Civilisations du Bassin Méditerranéen et du Proche-Orient)

2ème & 3ème parties : L’Étoile de David et Pétra Compilation de quelques extraits du quatrième ouvrage en cours

L’Étoile de David se forme par deux cercles issus du carré de 550 km de côté : le cercle de périmètre (2200 km) et le cercle de quadrature (1950 km). Les six pointes correspondent à six des douze portes et leur créent une deuxième zone intérieure. Jérusalem se place sur l’axe de l’Étoile S.O/N.E.

L’Étoile de David symbole de l’Alliance, se projette de l’espace sur le globe. Elle indique, par ses mystérieuses correspondances, des emplacements importants concernant l’histoire du monde.

s

© VSD

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imple évocation. Le méridien de Greenwich a été choisi en 1884, au cours d'une conférence internationale tenue à Washington, en raison du rôle important des anglais en matière de navigation. Les accords ont été signés seulement en 1911, et ont substitué ce méridien à celui de Paris, que l'on retrouve parfois (avec des mesures en grades et non en degrés). L'écart du point de départ est de 2° 20' entre ces deux méridiens de référence.

En conséquence, c'est donc en degrés que l'on trouve la position des points-clefs de nos travaux : Lhassa 91° 10' E, Guizeh 31° 10’ E ou le Yucatan 88° 50' Ouest. Or, ce 1° 10' empêche d'avoir des chiffres ronds, plus cohérents, qui donneraient pour les mêmes points 90° E, 30° E ou 90° Ouest, plus conformes à une harmonieuse division.

C’est alors qu’on peut remarquer que 1° 10’ est la moitié de ce qui sépare les deux méridiens, celui de Paris et celui de Greenwich : 2° 20’. De là à penser qu’un méridien d’origine plus naturel existait, juste entre les deux, il n’y avait qu’un pas et nous l’avons franchi. Ce nouveau méridien s’inscrit en outre dans une géométrie impliquant un triangle lumineux d’où le nom que nous lui avons donné. Cet équilibre ne peut provenir de coïncidences, il y a quelque chose de beaucoup plus puissant à l’origine.

Comme dans la plupart des recherches, nous remontons le courant. Il faut donc bien considérer que si le méridien lumineux est l’axe de départ des divisions géométriques de la terre, cela n’avait pas été décelé par nos contemporains. En revanche, ces derniers

ont utilisé d’abord celui de Paris puis celui de Greenwich, indirectement liés — toujours sans que cela se remarque — et

il faut trouver une explication plausible. On peut alors imaginer que Paris (Lutèce) et Greenwich n’ont pas été implantés au hasard, mais qu’ils étaient des hauts-lieux, pris à un endroit intéressant sur une ligne verticale (méridien) formelle.

C’est d’ailleurs ce type de raisonnement qui peut s’appliquer à Jérusalem, situé sur le carré des portes centrales (voir ci-contre) ou à Pétra. On a vu que la géométrie d u P r o c h e - O r i e n t a é t é vraisemblablement articulée en partant du Mont Sinaï — seul point naturel — pour poser ensuite les autres, façonnés par l’Homme.

Avant de quitter la Jérusalem Céleste, remarquons que son carré de 550 km peut devenir un rectangle d’or (de 890 x 550) en multipliant le côté (550) par Phi (1,618), parfaitement centré cette fois sur le Mont Sinaï.

III - PÉTRA, CLÉ DE LA GÉOMÉTRIE

N ous avions mentionné plus haut une probable présence de Moïse dans ce

secteur. Présence ne veut pas dire passage. Il y a eu des interrogations sur le trajet des enfants d’Israël lors de leur longue marche vers la Terre Promise. La voie d’Alexandre, le long de la mer, a été re je tée depuis longtemps. Celle, dite des Rois, plus à l’est, n’est pas démontrée. A u s s i , d e s tentations assez fortes s’étaient manifestées pour le chemin de Pétra. N é a n m o i n s , Reckem, le chef des Edomites (cités à

plusieurs reprises dans l’Ancien Testament) aurait refusé aux Israëlites, le droit de passage par la montagne de Hor. Cette dernière est mal localisée, mais l’Ancien Testament dit que c’est là que mourut Aaron, ce qui pourrait s’accommoder de la version rapportée plus haut de la présence du tombeau d’Aaron. Les Hébreux seraient repartis par le chemin de la mer Rouge (Nombres 21-1 et Deud. 2-1= dans un long périple, ponctué par la nuée se posant sur l’Arche d’Alliance, ou s’en échappant. Ces épisodes étant fort connus, leur relation s’imposait dés lors que ce site apparaissait dans l’étude.

Dans un tel contexte, il convenait d’enchaîner et de se pencher attentivement sur la position de Pétra qui, manifestement, était trop occultée pour qu’il en soit réellement ainsi. Cette technique du montrer sans montrer,

cacher sans cacher et dire sans dire, devrait trouver, là, une fois encore, son application. C ’e s t l e c a s . D’abord, on peut tracer un rectangle d’or, vertical, ayant Pétra pour centre. Les d iagona les d o n n e n t respectivement : pour l’une —

descendante — porte centrale supérieure de la Jérusalem Céleste à porte inférieure droite, et pour l’autre — remontante — Mont-Sinaï à coin supérieur droit. Voilà bien une géométrie flagrante et pourtant insoupçonnable, même vue d’avion ! Une géométrie mettant en liaison des références bien étrangères en apparence.

On ne peut que poursuivre et l’on découvre alors au moins cinq rectangles d’or qui jouent avec le site de Pétra (centre, coin, côté) et une liaison avec t ou s l e s points-clés de la région.

Pétra est le point harmonique de cette z o n e , v é r i t a b l e centre doré. Il se trouve a u croisem e n t d e s diagonales, angles et côtés de tous c e s r e c t a n g l e s d ’ o r ,

Projection conique de Lambert

Rappel des méridiens de Greenwich et Paris. Entre les deux, parfaitement centré à 1°10’, le méridien lumineux, véritable point zéro.

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engendrés par les portes et leur zone circulaire, démontrant inéluctablement un lien entre les implantations humaines et la Jérusalemn Céleste, verrouillant au passage le concept égyptien. Qui pourrait — à ce stade — parler de coïncidences ?

Tous ces angles, rayonnant vers les portes, ne sont pas innocents. Les rayons partant de Pétra respectent une règle de progression arithmétique telle qu’on avait déjà pu l’observer sur le plateau de Guizeh. En outre, ils respectent le rapport doré : Exemple Pétra-Guizeh / Pétra-Mont Sinaï = Phi.

Ce constat d’une relation basée sur

Phi conduit à poursuivre dans cette voie et l’on découvre alors la plus étonnante série qui soit :

PA/PE = 435/269* = 1,617** PB/PG = 416/257 = 1,618 PB/PC = 456/282 = 1,617 PD/PN = 296/183 = 1,617 PF/PK = 243/150 = 1,620 PH/PO = 230/142 = 1,619 PU/PI = 322/199 = 1,618 PV/PJ = 382/236 = 1,618 PX/PQ = 417/257,5 = 1,619 PL/PE = 263/162,5 = 1,618 PS/PM = 330/204 = 1,617 PQ/PP = 257,5/159 = 1,619 PC/PQ = 417/257,5 = 1,619 PA/PR = 469/290 = 1,617 PZ/PT = 526/325 = 1,618 PY/PR = 467/288,5 = 1,618 PC/PW = 417/257,5 = 1,619 PD/PR = 463/286 = 1,618 * Distance en km. ** 1,618 = Phi.

Il n’est plus possible de parler

d’une géométrie de hasard. Toutes les implantations de main d’homme ont été faites en application d’un tracé directeur formel.

Il semble que si

l’histoire a privilégié le mot et le geste à Jérusalem, c’est Pétra qui, en fait, est le centre “voulu” de tout le dispositif. Certes, situé à environ 35° 28’ E, le site n’est pas sur un méridien susceptible de s’inscrire dans les règles apparues, mais il

faut y réfléchir. D e même, il n’est pas sur le 30e parallèle, mais — avec 30° 20’ — il est tout près de cette couronne du 30e parallèle. D’ailleurs, on a vu que cette notion du 30e était souvent adaptée au terrain lui-même. Quoi qu’il en soit, il est maintenant évident que PÉTRA n’est pas qu’un pôle culturel et artistique. C’est, dans son silence majestueux, la nécropole provisoire de nos racines. Pour le futur, c’est le sarcophage — de pierre —

qui ne demande qu’à s’ouvrir aux

premiers mots adaptés. Mots ou verbe. Mots qui peuvent venir du cerveau et non de la gorge.

Langage synthétique peut-être ? Pourquoi pas ?

Partant du cercle inter-portes d’en haut, on voit qu’on peut y inscrire un hexagone suggéré par le petit segment de la diagonale du carré long supérieur (Guizeh-Jérusalem, si l’on veut plaquer sur le Proche-Orient). L’hexagone permet de passer à l’étoile à 6 branches. En bas, la partie du carré de la Jérusalem Céleste, laissée libre par le rectangle d’or vertical permet de dresser un carré dont les cercles de périmètre et quadrature conduisent au dessin de l’Étoile de David, à trait doublé. On note la superbe Croix de Malte qui apparait au centre du dispositif.

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J e me propose de décrire ci-dessous les observations et expériences qui m'ont amené à prendre une position anti-

conformiste, présentée au Congrès Ufologique International, organisé les 18 et 20 octobre, par le C.E.R.P.A.1, à Marseille.

À Chatelguyon, en 1972, au retour

d'une veillée solitaire infructueuse sur un site d'atterrissage OVNI, j'étais couché, au bord du sommeil, quand une soudaine impulsion me fit lever, aller devant la fenêtre pour voir passer au-dessus des toits d'en face, un grand disque brillant argenté. Au réveil, je crus avoir rêvé ; mais une évidence s'imposait : en fermant les yeux, je voyais repasser sur écran mental le même disque lumineux. Un ophtalmologiste de Riom, consulté, confirma l'absence de tout trouble visuel. Conclusion : effet rémanent ? Liaison télépathique ?

En région parisienne, j'ai par la suite

recherché des personnes partageant une approche voisine du phénomène, c'est-à-dire non matérialiste étroite. Nous organisâmes des veillées d'observation “sur le terrain” pour rechercher les différents paramètres pouvant agir dans ce domaine.

Au cours d'une veillée à

Champmotteux (Essonne) furent essayés des appels lumineux basés sur la constitution électronique du carbone (6), de l'oxygène (8), de l'azote (7), de l'hydrogène (1), constituants de la matière vivante terrestre. Nous utilisâmes aussi des effets de groupe. Résultat : vers une heure du matin, apparition à l'extrémité d'un champ de deux boules rouges, pulsant alternativement, et visibles seulement à l'intérieur d'un étroit couloir dans lequel

nous nous trouvions. Sur le même site, une autre fois,

j'attendais une personne venant d'Étampes. Lorsque nous fûmes réunis, dans le ciel, apparurent deux “étoiles” venant l'une du Nord (direction Paris), l'autre de l'Ouest (direction Étampes). Toutes deux clignotaient, en se rapprochant suivant les côtés d'un angle droit; elles fusionnèrent ensuite, avec un

vif éclat. Question : symbolisaient-elles notre parcours ?

Dans le midi, à la Chapelle St-

Baudile, près de Fabrègues, sur un site d'atterrissage enregistré par la Gendarmerie, un soir d'Août 1978, j'étais en compagnie de quelques amis, devisant de choses et d'autres. Alors arriva dans le ciel un ovoïde lumineux, dérivant lentement vers nous... Malheureusement, un mauvais réflexe me fit éclairer en blanc et il disparut instantanément... Toutefois, à la jumelle, j'avais pu distinguer, à l'avant, deux points rouges lumineux évoquant une paire d'yeux. Mes amis eurent les leurs irrités durant un certain temps.

Par la sui te , un cer ta in

rapprochement me parut possible avec la présence de mégalithes, notamment de dolmens.

Près de Thionville-Congerville

(Essonne), une veillée fut organisée près d'un dolmen. Après un conditionnement emprunté au yoga, je me sentis emporté dans une spirale ascendante, avec rappel de scènes passées et de toute leur intensité émotive. Au sommet se détacha un groupe de trois sphères lumineuses bleu foncé, groupées en triangle. Au même instant, mes amis virent passer

une énorme étoile filante... Coïncidence ou corrélation ?

Une autre veillée m'amena à confier

(non sans appréhension) le volant de ma voiture à un sujet psi, conduisant selon sa perception des champs magnétiques, et cela dans la région de Guillerval-Saclas. Nous aboutîmes, au bout d'un chemin de terre, au bord d'un champ dans lequel nous nous installâmes. Naïvement, je lançais des appels lumineux vers un ciel uniformément couvert. Soudain, l'un des veilleurs déclara : « Ils me disent qu'il est inutile de les appeler, car ils savent que nous sommes là; dans un moment, un phénomène prouvera leur présence... » Gros émois parmi nous ! Peu après, à la verticale, le ciel s'ouvrit comme un diaphragme pour laisser apparaître la pleine lune. Assez déçus, nous allâmes près d'une ancienne voie romaine, où le même phénomène se reproduisit.

Après recherche, il apparut que la

lune de cette nuit n'était pas pleine et, de plus, n'aurait pas dû se trouver à cette hauteur en raison de l'heure. Avions-nous vu un vaisseau de l'espace ?

Plus tard, je songeai à appliquer à

l'Ufologie le procédé spirite du Oui-jà (petit verre retourné sur une planchette marquée de l'alphabet et de chiffres). Les participants posent le bout du doigt sur le verre qui se déplace en formant des “messages” éventuels. Je considérais surtout cela comme un branchement de l'inconscient sur un certain ailleurs.

Début octobre 1981, nous étions

réunis chez une amie, à Chalou-Moulineux, en prévision d'une veillée et pour décider du lieu possible. À chacun de nos appels par Oui-jà interposé, éclatait dans le ciel, pourtant serein, un flash puissant; sur la planchette s'inscrivait le nombre 154. Attribuant ce nombre à une voie de communication, nous ne trouvâmes aucune voie ainsi codifiée, et partîmes pour un autre rendez-vous à Chamarande. Or, la même

UNE AUTRE APPROCHE DE L'UFOLOGIE

Par Louis ESTIVAL

1 - C.E.R.P.A. — BP 114 — 13363 MARSEILLE cedex 10.

Après recherche, il apparut que la lune de cette nuit n’était pas pleine

et n’aurait pas dû se trouver à cette hauteur. Avions-nous vu un

vaisseau de l’espace ?

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nuit, sur la route de St-Hilaire, au point côté 154, au sommet d'une côte, deux passagers d'un véhicule aperçurent trois flashs avec apparition de boules rouges après chacun d'eux. Les trois boules rouges se dirigèrent ensuite vers la voiture, dont les occupants firent demi-tour ! Détail surprenant : la passagère en était à sa troisième confrontation avec le phénomène, une fois dans son enfance, une fois dans l'adolescence... Il nous manquait seulement une précision : le mot mètre après 154. Par la suite, J.-C. BOURRET traduisit cet évènement en bande dessinée dans le magazine Télé Poche sous le titre “Le Troisième OVNI”.

Le lendemain, un dimanche, une

panne de courant se produisit après 13h, dans Paris; or, de très importantes lignes à haute-tension passent à proximité de St-Hilaire, y-eut-il effet retard sur ces lignes ?

Une remarque s'impose quant au

nom des lieux évoqués : l'identité de la p r e m i è r e s y l l a b e C H A , d a n s CHAte lguyon, CHAmpmot teux , CHAmarande, CHApelle... avec ces trois lettres, je réalisais le signe suivant :

Par la suite, j'ai retrouvé un symbole

voisin sur des ovni observés à Socorro (Nouveau Mexique). Il existe encore un a u t r e f a c t e u r f a v o r i s a n t c e s manifestations : la modification de notre état de conscience.

En octobre 1983, nous étions réunis

près des lignes à haute-tension de Congerville. Un participant suggéra de répéter des sortes de mantras d'inspiration mystique. Peu après se manifesta dans le ciel un point lumineux à trajectoire aléatoire. Vers trois heures du matin, nous fûmes survolés par un gros disque lumineux jaune-vert, légèrement chuintant, nanti d'une courte traînée, durant quelques secondes.

Pour préparer une autre veillée, peu

après Tchernobyl, nous avions médité, écouté une musique vibratoire. Sur le terrain, passé minuit, se matérialisa à distance une sphère lumineuse légèrement bleutée d'où se détacha un faisceau lumineux dirigé vers l'ouest, et de même couleur. Il se mit à balayer, puis se rétracta dans la sphère, en

p l u s i eu r s s é q u e n c e s , c h a cu n e agrandissant l'angle formé, donc se rapprochant de nous qui étions vers le nord. Notre impatience l'emportant, nous voulûmes aller sur place et tout disparut... Par la suite, la Gendarmerie confirma l'absence de tout spectacle laser ou manoeuvre militaire; par contre des voisins du lieu déclarèrent avoir entendu leurs portes et volets claquer vers l'heure de notre observation à distance.

Dans nos lieux expérimentaux existe, entre Chalo-St-Mars et Chalou-Moulineux, une importante variation du champ magnétique terrestre ; or, la présence d'un ovni perturbe souvent ce dernier. Inversement, une perturbation volontaire pourrait-elle induire un phénomène ?

Le complexe dolmen / haute-

tension / magnétisme / tellurisme correspondrait-il à une possible provocation ?

Plus récemment, en septembre 1989,

rentrant chez moi tard dans la nuit, je remarquai une lueur diffuse dans la couche nuageuse uniforme, au-dessus de l'immeuble voisin... Avec une torche halogène, j'envoyai trois appels vers cette lueur, aussitôt, elle se rétracta en trois temps et s'éteignit. Nouvel appel triple : la lueur se rétablit en trois temps, chacun élargissant sa superficie. Détail supplémentaire : après l'extinction, il sortit des nuages un point très lumineux comparable à une goutte de métal fondu qui, à une vitesse fulgurante, disparut derrière les toits voisins ; son retour, aussi rapide, rétablit la lumière qui, ensuite, décrut progressivement. Conclusion : une réponse s'est produite sur le plan lumineux.

Début juin 1991, je décidai d'une

veillée tout seul. Pour en déterminer le lieu, j'utilisai un pendule que je codai sur une photo d'ovni. Muni de la carte IGN n°20, j'explorai l'étendue entre Paris et Orléans. Le pendule fut affirmatif au-dessus du dolmen de Janville-sur-Juine, auprès duquel je me rendis. Je m'établis à peu de distance, près d'un endroit où furent observés deux cercles dans un champ de blé, à une époque où l'on n'y prêtait pas attention.

La fraîcheur me fit rester dans le

véhicule et je me mis en relaxation approfondie, éprouvant l'impression de fusionner avec tout l'environnement. À

un certain moment, je vis sortir du bois voisin un lièvre de couleur foncée auquel j'adressai télépathiquement un appel amical; il s'arrêta, les oreilles dressées, regardant vers la voiture et reprit son chemin. Sortant de la voiture, mains levées (sans fusil !), j'envoyai un nouvel appel, accompagné d'un geste de la main : nouvel arrêt, même attitude, et reprise de la marche. Une troisième fois, mon appel fut encore reçu... puis l'animal se perdit dans le champ de blé voisin... Environ une demi-heure après, à la verticale de son lieu de disparition, éclata en silence une boule orange, d'aspect flamboyant, environ à une hauteur de 4 m. À sa disparition, je refis mon geste, et elle réapparut, décalée vers le bas ; deux fois encore le phénomène put se reproduire. Puis, un point lumineux très brillant partit très vite vers l'ouest. Tout cela se passa en silence, sans traînée suspecte, ce qui exclut l'envoi d'une fusée d'artifice ou tout autre moyen matériel.

En définitive, que conclure de ce

vécu ufologique ? D'abord, la complexité indéniable de

ce qui doit être une des facettes d'un phénomène plus global, encore inaccessible à notre compréhension actuelle mais qui possède son intelligence propre. Toute recherche ufologique doit être expérimentale, pragmatique et empirique, en dehors des sempiternelles démarches ne menant à rien depuis cinquante ans. Il faut accepter de “vivre” la manifestation pour essayer de la comprendre, et cela de l'intérieur.

En effet, où en est-on aujourd'hui

dans l a compréhens ion d 'une manifestation qui semble accompagner l'Humanité depuis très longtemps, qui nous interpelle et dérange notre confort intellectuel ?

Les observations str ictement

matérielles (traces, prélèvement, témoignages...) ont-elles apporté un commencement d'explication aux questions fondamentales : ORIGINE ? FINALITÉ (BUT) ?

L'ufologie actuelle se trouve dans

l'impasse, chacun campant sur ses positions.

Plusieurs facteurs pourraient

expliquer la situation : le décalage entre la manifestation elle-même et les

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recherches consécutives, l'enquêteur arrivant, comme les carabiniers, toujours trop tard. Ce décalage favorise d'ailleurs les distorsions de tous ordres, la cristallisation sur l'aspect uniquement matériel, alors que le phénomène semble évoluer dans les domaines matériel, énergétique et spirituel en continuité.

L'application à une manifestation hors

logique de notre raisonnement étriqué et limité.

Un possible déblocage résiderait dans

la recherche d'un contact direct avec la conscience ou l'intelligence directrice, au travers d'apparences souvent trompeuses.

Il semblerait donc judicieux : ∗ De se trouver volontairement sur

place, après obtention d'une sorte de rendez-vous explicite ou potentiel, de façon à pouvoir espérer se brancher physiquement ou psychiquement. Partir en veillée le nez en l'air et les mains aux poches

n'apporte rien, sinon désillusion et découragement !

∗ De dépasser le plan matérialiste, en changeant notre niveau vibratoire actuel, en développant nos facultés extra-sensorielles encore en sommeil.

∗ D'oublier un “cartésianisme” mal compris pour s'ouvrir à une attitude véritablement scientifique et sans à-priori exclusif.

T o u t e s l e s t e c h n i q u e s

parapsychologiques devraient être envisagées dans cette nouvelle approche (hypnose, télépathie, dédoublement, états modifiés de conscience...).

Cela permettrait, en quelque sorte, de

parler non pas d'OVNI, mais AUX OVNI.

Diverses “clés” sont ainsi à essayer,

selon les aptitudes individuelles. Alors, de deux choses l'une : ou bien la réponse nous est refusée, ce qui ne changera pas

grand chose à l'état actuel ; ou bien cette nouvelle approche répond à une attente des Visiteurs, déjà présents en Russie, et surtout en Belgique, encouragée alors par notre esprit ouvert et accueillant.

Dès lors, toute une évolution

inimaginable s'ouvrirait pour notre Humanité, encore très en retard, malgré une technicité bien trompeuse...

Ainsi, l'ancienneté de la Galaxie

autorise l'espoir d'une évolution continue, et d'un rapport d'amitié, sinon d'amour, entre tous les niveaux de vie manifestée.

Si ce modeste article trouve un écho

chez ceux qui le liront, je suis prêt à coordonner cette nouvelle approche vers le contact recherché avec le phénomène OVNI.

Faîtes découvrir SENTINEL NEWS

autour de vous

Revue de

Presse

Non ! Ce n’est pas le numéro d’avril de Ciel & Espace et ce n’est pas un “poisson” de leur part, mais la parution datée juillet-août. Cette revue se pose la question de savoir si nous sommes seuls dans l’Univers et nous propose la photo d’Aldrin faite sur la Lune au cours du vol Apollo 11. Pourquoi se poser cette question alors qu’un OVNI est visible sur cette couverture, dans la visière du casque d’Aldrin très exactement. Lisez Les Mystères de la Lune de Groupe Sentinelle où nous vous présentons un agrandissement et où vous trouverez toutes les réponses à nos affirmations.

Le Figaro Magazine du 31/08/96 aborde aussi le phénomène OVNI dans un dossier relativement sérieux. Sauf pour la série Aux Frontières du réel où ils ne voient rien qui s’appuie sur des faits historiques. Ces messieurs manquent malheureusement de renseignements.

Le 22 août dernier, le Daily Mirror (Angleterre) et quelques jours après, le Bild am Zeitung (Allemagne), proposaient des photos prises par Apollo 12 & 13 dans l’espace.

Groupe Sentinelle dispose des originaux de ces photos et vous les proposera d’ici peu. Ce n’est pas en France que nous verrons cela dans nos quotidiens.

Pour Mars , la presse quotidienne et hebdomadaire française à fait fort en publiant bien l’information.

N’oublions pas Science & Vie d’août avec un dossier OVNI toujours aussi insipide. On s’habitue.

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“C'était un être grêle...”

U ne nuit de juillet 1987, quatre membres de la Garde Nationale de Porto-Rico, qui étaient de permission,

visitèrent avec leurs trois enfants un lieu appelé “Las Tres T” (les trois T), se trouvant dans une zone boisée près de El Yunque. En fait, ils s'apprêtaient à pêcher, mais au lieu de cela, ils eurent une rencontre avec des êtres vivants étrangers. L'incident se déroula entre 8h et 9h du soir. Deux des hommes étaient des officiers de la Garde Nationale; l'un d'eux, qui est également un collaborateur bien en vue dans une des chaînes commerciales les plus connues de P o r t o - R i c o , n o u s a c o n f i é confidentiellement ce qui s'est passé ce soir là, après qu'un ami commun, Pachin Fernandez, également membre de la Garde Nationale, eut arrangé la rencontre. « Je ne peux pas me permettre de passer pour fou » dit l'homme. « Vous savez bien que les gens ne comprendront pas cela. Je ne veux pas mettre ma réputation en jeu. » L'officier expliqua qu'ils se trouvaient près du fleuve lorsqu'il aperçut tout à coup la petite silhouette de 3 à 4 pieds de haut, qui bougeait dans les buissons. Il ne put, tout d'abord, pas la distinguer nettement, mais la suivit par curiosité. Les enfants se trouvaient à proximité, qu'est-ce que cela pouvait donc être, dans ces conditions ?

« Cela eut la même influence qu'un enfant sur moi » dit-il. Mais qu'est-ce qu'un enfant avait à chercher le soir en pleine forêt ? L'être continua à bouger dans le fourré, et je le suivis. Sa manière de bouger était bizarre... comme s'il titubait. Les autres remarquèrent que je me distanciais d'eux et ils me suivirent. Je leur fis comprendre de rester silencieux. Le petit personnage continua

à s'enfoncer dans les bois, et je le suivis. Lorsque je me rapprochai, je vis que c'était un drôle d'être : il était chétif, avec une grosse tête et de longs bras. À cet instant, les autres m'avaient rattrapé et virent également l'être, mais de derrière seulement.

« À ce moment p r é c i s , u n e soucoupe vo lan t e s u rg i t comme du néant et atterrit en plein milieu du bois. Nous ne pûmes saisir beaucoup de détails à travers les lumières brillantes, m a i s c ' é t a i t certainement une soucoupe volante. Elle possédait trois projecteurs très brillants. Nous étions là, incapables de bouger, en nous demandant avec angoisse ce qui allait arriver maintenant. Je n'ai pas honte de l'avouer, car ce qui se déroulait n'était pas banal du tout. Ensuite, une ouverture ou une porte du vaisseau s'ouvrit, et deux êtres, analogues au premier, sortirent. Ils descendirent le long d'une rampe et se placèrent à gauche et à droite de l'être que nous avions suivi. À présent, nous pûmes parfaitement les reconnaître à la lumière du vaisseau spatial. Ils avaient la même taille, de grosses têtes ovoïdes et de grands yeux sombres. Ils étaient livides et avaient de longs bras et doigts grêles. L'être que nous avions vu en premier leva ses bras et tous, nous pûmes voir quelque chose comme des palmures, reliant les bras à la cage thoracique. Elles atteignaient presque les coudes. Je ne sais pas si c'était une

partie de son habillement qui se tendait, mais en fait je n'avais pas vu d'habits du tout. Mais je ne peux pas être trop précis, à cet égard, sinon je mentirais. »

Il déclara par ailleurs que les deux autres êtres posèrent chacun une main sur les épaules du premier être. Puis ils

d é v i s a g è r e n t l'homme et ses amis. Il ressentit ce geste comme étant une mise en garde de ne pas s'approcher de plus près, du fait qu'ils protégeraient l'autre être. « Nous eûmes peur, et ne savions pas quoi faire. À ce moment précis, le premier être émis un son. Il prononça quelques mots en espagnol avec un drôle d'accent, qui semblaient vouloir

dire : “Nous venons à ...”. Il continua alors à parler très vite dans une autre langue, que nous ne comprenions pas. Puis, il déclara à nouveau en espagnol “...et nous allons à...”, et enchaîna à nouveau avec la langue inconnue. Puis soudain, tous les trois se retournèrent, se précipitèrent vers le vaisseau spatial et grimpèrent dans l'engin. L'ouverture ou la porte se ferma derrière eux et le vaisseau s'éleva, en volant à grande vitesse jusqu'au sommet de la montagne El Yunque. Nous restâmes complètement abasourdis. »

Selon leurs dires, l'objet était également venu de cette direction. Après cette expérience qui les avait fortement affectés, ils jurèrent de n'en parler à personne. Ils ne retournèrent jamais à cet endroit.

L'employé déclara en conclusion : «

RENCONTRE AVEC DES EXTRATERRESTRES À PORTO RICO

Par Jorge MARTIN

(extraits)

Partie 3

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Vous savez, cette expérience m'a profondément angoissé. Parfois, au cours de mon travail, j'y repense tout à coup. Je vois alors à nouveau toute la scène devant mes yeux et suis très excité. Je me sens alors bizarre, d'une manière que je ne saurais vous expliquer. » B e a u c o u p d ' e m p l o y é s d e l'Administration Forestière ont eu des expériences identiques dans la forêt tropicale, ainsi que des agents de police, des militaires, des visiteurs et des rive-rains.

Des policiers ont rencontré des êtres vivants étrangers dans le domaine de El Yunque. Fin février 1991, Luis Torres et sa femme Margarita, qui habitent la ville de Loiza, ont également fait la rencontre d'êtres vivants étrangers, dans le domaine de El Yunque, avec deux autres couples.

Nous avons eu connaissance de leurs expériences par l'intermédiaire d'un ami commun, qui nous en a parlé. Je me suis mis en rapport avec les Lopez qui se sont aimablement offerts de s'entretenir avec nous dans leur maison. C'est là que Luis Torres nous a raconté ce qu'il s'était passé le dernier vendredi de février 1991.

Avec deux autres couples, ils avaient visité le domaine de El Yunque. Luis Torres était policier, autrefois, et il t r a v a i l l e m a i n t e n a n t d a n s l'Administration Portuaire de Porto Rico. Les deux autres personnes, dont l'une est son beau-frère, travaillent à la police de Porto Rico.

Voici son récit : « Nous roulions sur la route 191 et garâmes nos voitures sur des emplacements de park ing directement à côté de la piscine. Là, se trouve une maisonnette qui est utilisée

par l'Administration Forestière comme lieu d'information pour les touristes. Nous étions curieux de savoir si nous allions observer quelque chose, car nous a v i o n s a p e r ç u , auparavant, quelques O V N I à A d j u n t a s (Adjuntas est une ville au centre de l'île, où il y a eu beaucoup d'incidents OVNI depuis juin 1991). Nous voulions tenter à présent notre chance à El Yunque. Vous savez, beaucoup de gens ont dit avoir vu quelque chose là-bas. Mais nous ne nous serions jamais attendus à y voir ce que nous avons vu. »

Selon Torres, il était environ 3h du matin lorsqu'ils virent tout à coup deux petits personnages alors qu'ils se trouvaient à côté de leurs voitures et observaient le ciel. « Nous vîmes devant nous deux petits personnages marchant sur la route 191. Nous regardâmes plus attentivement et ne pûmes en croire nos yeux. Ils avaient comme l'air de deux petits enfants, mais ce n'en étaient pas ! Leurs corps étaient comme ceux d'enfants de 5 à 6 ans, ils marchaient sur la route en s'entretenant dans une langue bizarre. C'était comme si une bande magnétique défilait trop rapidement. C'étaient des sons comme “Nyiii nnyii nyuu nyammm...”. C'était une langue que nous ne comprenions pas.

Ils avaient pour ainsi dire une apparence bizarre. C'étaient de petits hommes, hauts de 4 pieds presque, très minces et revêtus des pieds à la tête d'une combinaison moulante vert-gris.Vous connaissez le genre de tenue que l'on porte en faisant du sport (aérobic). Cela ressemblait à ça. Leur tête aussi en était recouverte, seuls leurs visages et leurs mains étaient libres. Leurs bras étaient plus longs que les nôtres et atteignaient presque leurs genoux. Les mains et les doigts, aussi, étaient longs. Nous ne pouvons pas nous rappeler combien de doigts ils avaient.

Leurs têtes étaient assez grandes, en forme de poire, et présentaient comme un arrondissement au sommet. Leurs v isages auss i présenta ien t un aplatissement, ils n'avaient pas de sourcils, mais de grands yeux foncés, assez proéminents. Leur cou était mince, leur nez presque méconnaissable; ils n'avaient que de petites ouvertures en

guise de narines. Leurs bouches étaient une sorte de fente, sans lèvres. Il ne faisait pas très clair, mais à la clarté de la Lune, leur peau était grisâtre ».

Torres déclara encore que les deux “pe t i t s h o m m e s ” passèrent devant le groupe sans le remarquer. Tous l e s t é m o i n s estiment que les êtres auraient dû les voir, en fait, m a i s q u ' i l s poursuivirent tout simplement leur route. « Alors qu'ils étaient éloignés d'une t ren ta ine de m è t r e s , i l s r e b r o u s s è r e n t

chemin et vinrent à notre rencontre. Nous nous étions retirés derrière les voitures, en dis a n t à n os épouses d'y rester. Lorsque les petits hommes passèrent devant nous, nous saisîmes nos fusils, car nous ne savions finalement pas ce qui se passerait. Je jure que nous ne voulions rien leur faire. Nous voulions simplement être prêts à toute éventualité, du fait que nos épouses se trouvaient avec nous. Lorsqu'ils furent passés, nous les suivîmes à quelque distance. Lorsqu'ils remarquèrent cela, ils quittèrent la route et se rendirent dans le sous-bois. Nous les suivîmes encore pendant une ving-taine de mètres, mais ensuite ils disparurent dans les épais taillis. Cela se passa près du restaurant “El Yunque”, sur un chemin qui conduit aux cascades “La Mina”. Bizarrement, ce chemin est barré depuis 1989 et personne n'a le droit de s'y arrêter. Durant cette nuit, nous restâmes encore jusqu'à 5h du matin, mais il ne se passa plus rien. »

Nous demandâmes à Torres ce qu'il croyait avoir vu. « C'étaient des extraterrestres, je n'ai aucun doute à ce sujet. Ils existent vraiment. Nous les avons tous vu là-bas. Je ne fume pas et ne bois pas, et les autres qui se trouvaient avec moi, pas non plus. En fait, nous sommes des personnes croyantes, et ce que nous avons vu nous a beaucoup ébranlé. Nous sommes sûrs de ce que nous avons vu. Certes, ces êtres avaient un aspect pour ainsi dire humain, mais ce n'étaient sûrement pas des hommes. Je suis maintenant

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persuadé qu'ils demeurent effectivement à El Yunque, comme les gens le disent. Je ne sais pas ce qu'ils font là-bas, mais ça m'intéresse. J'aurais souhaité qu'ils se mettent en relation avec moi en me faisant part de leurs desseins. Je n'ai plus peur d'eux, depuis que je les ai vus... ils ne nous feront pas de mal. J'espère beaucoup les rencontrer un jour et les interroger personnellement. » Il ajouta : « Autrefois, j'étais policier, et je sais, de ce fait, que beaucoup de gens, à El Yunque, ont connu des expériences similaires, et certains collègues, des expériences encore plus étranges. »

Boules de lumière et êtres “gris” Nouveaux aspects

Depuis quelques années, nous

analysons aussi à Porto Rico des cas de rencontres avec des extraterrestres “gris” présentant des aspects étranges : comme par exemple la faculté de ces êtres (ou tout au moins une catégorie d'entre eux) de transformer leurs corps en boules de lumière ou d'énergie. L'un de ces cas est celui de Norma Melendez.

Norma, qui vit à Canovanas, dans le domaine de Campo Rico, à proximité de El Yunque, avait eu le dimanche 17 avril 1990 une rencontre assez extraordinaire. C'était peu avant minuit et elle était couchée au lit, lorsque la pièce fut soudainement inondée d'une lumière claire blanche-bleuâtre. Le plafond de la chambre semblait disparaître et une ouverture avec un genre de “jalousie”, à travers laquelle perçait la lumière devint apparente. Elle se leva et vit à sa grande stupéfaction beaucoup de boules lumineuses, de la grosseur d'une balle de base-ball, volant dans la chambre.

Une de ces boules de lumière heurta le téléviseur éteint qui se trouvait dans sa chambre. Quelques secondes plus tard, il y eut un phénomène bizarre : une lumière claire commença à prendre forme sur l'écran, et après quelques vacillements, l'image d'un être étranger se dessina clairement... C'était l'image d'un être “gris”, grêle et fragile. L'être présentait une grosse tête en forme de poire, de grands yeux sombres allongés, deux narines au lieu d'un nez... et bien sûr, sa peau était grise. Sur sa poitrine, il

portait également un “joyau” clair, brillant ou un signe “analogue à un dia-mant”.

L'être “gris” la dévisagea, sourit avec sa bouche édentée et lui fit signe de se rapprocher, avec ses mains. Elle fut tout d'abord dans l'incapacité de croire à ce qui se passait et dit au “petit objet qui se trouvait dans le téléviseur qu'elle ne se rapprocherait pas”.

L'être continuait à faire des signes pour qu'elle se rapproche, mais elle ne le fit pas. Elle “sentait” que l'être était inoffensif, un gentil petit être, quoi. Tout à coup, l'image de l'être qui se trouvait encore dans le téléviseur se transforma à nouveau en une boule de lumière et il s'envola. Il fit encore quelques tours dans la chambre et s'envola ensuite au dehors, après être sorti par la fenêtre.

Puis, d'autres boules de lumière surgirent de tous les coins de la chambre, qui s'envolèrent également par la fenêtre. Norma ne put en croire ses yeux.

Lorsqu'un peu plus tard, après s'être calmée, elle essaya de retrouver le sommeil, au cours de la même nuit, le plafond de la chambre recommença à briller. Elle regarda vers le haut, et perdit conscience au même instant. Lorsqu'elle revint à elle, la première chose qu'elle remarqua, c'est qu'il lui manquait des heures. Elle ressentit un chaud picotement sur tout le corps et nota, en plus, la présence d'un triangle rougeâtre sur sa cage thoracique, qui disparut au bout de deux jours.

Quelques jours après, elle se rendit à un examen médical de routine, du fait qu'elle se trouvait dans une mauvaise condition physique en raison d'une arthrose des hanches. Le pronostic mé-dical était mauvais. Au cours de cet examen de routine, cependant, on constata que sa maladie avait disparu.

Elle présentait une rémission totale. Elle est persuadée que sa guérison est due aux événements qui se sont déroulés au cours de cette fameuse nuit. De même, elle est convaincue que le petit être, qui la visita encore deux fois par la suite, a contribué à son rétablissement. Elle lui a donné le nom de “Tirito” (c'est à dire “pétillant” ou “étincelant”), en raison de sa faculté de se transformer en boule de lumière et en raison de ses mouvements rapides.

Il y a beaucoup de témoins qui, à El Yunque, dans la forêt tropicale et dans d'autres parties de l'île, ont eu des expériences analogues, au cours desquelles les petits êtres gris ont manifesté leurs capacités à transformer leur corps en boules de lumière.

Morphologie des

“EBE gris” Voici une synthèse de témoignages d 'un millier d'observateurs à l'échelle mondiale ayant eu des rencontres avec des extraterrestres “gris”, ou ayant été enlevés par eux, et décrivant ces êtres : • Deux yeux ronds, foncés, avec ou sans pupilles. Parfois, les t émo ins no tè ren t également une lueur

é t r a n g e d a n s l e s y e u x d e s extraterrestres. Sous un front haut, les yeux sont décrits d'une manière variable comme grands, en forme d'amandes, allongés, enfoncés, écartés les uns des autres, avec une apparence “orientale”.

• La tête est grande par rapport à la longueur des membres et du tronc.

• Les voies auditives des deux côtés de la tête ne comportent pas de pavillon.

• Il n'y a pas de nez visible, uniquement deux narines.

• La bouche ne présente pas de lèvres; la plupart du temps, il n'y avait pas de dents visibles dans la petite cavité buccale.

• En règle générale, la tête des humanoïdes “gris” est décrite comme chauve. Occasionnellement, les témoins font état d'un léger duvet.

• La plupart du temps, le corps est décrit comme étant petit et grêle, revêtu

OVNI

© MAGAZIN 2000

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d'une combinaison métallique moulante; parfois, les corps étaient nus.

• Les bras sont longs, minces et vont jusqu'aux genoux. Les mains possèdent trois, quatre ou cinq doigts et pas de pouce, deux doigts semblent être plus longs que les autres. Certains êtres avaient des ongles aux doigts. Une palmure ou membrane se trouvait entre les doigts. Dans deux cas à Porto Rico, les témoins ont éga lemen t no té l a présence d'une membrane entre le haut du corps et les bras.

• Les jambes sont décrites comme étant courtes et grêles, d'apparence fragile. Dans certains cas, les pieds n'ont pas d'orteils, dans d'autres cas ils sont décrits comme étant analogues aux mains, avec des membranes entre les orteils.

• La couleur de peau est décrite comme étant vert-gris. Certains témoins pensent qu'elle serait beige/brunâtre ou grise avec un soupçon de brun ou de rouge. À deux occasions, les témoins l ' o n t d é c r i t e c o m m e é t a n t “maladivement pâle, jaunâtre, comme chez quelqu'un souffrant d'une grave

jaunisse”. • La structure de peau est décrite comme

étant brillante et quelque peu écailleuse ou reptilienne.

• On ne pouvait pas reconnaître d'organes sexuels. • La grosseur des têtes s'explique sans doute par le fait que leur cerveau est plus grand que le nôtre. • Il n'y a pas de sang, uniquement un liquide incolore. • Il y a plus d'une sorte de “gris”. Certains ont des oreilles analogues aux o r e i l l e s h u m a i n e s , d'autres ont des oreilles longues, pointues, ou pas du tout. La plupart ont une

taille de 1 m à 1 m 30; d'autres, par contre, ont une taille de 1 m 50 à 1 m 80 et certains ont une taille inférieure à 60 cm. Certains de ces “gris” ont la faculté de changer leur forme en boules de lu-mière ou d'énergie.

• La plupart du temps, ils établissent le contact par voie télépathique. Mais lorsqu'ils parlent, leur débit est très rapide. Les témoins disent que c'est comme si on faisait défiler trop rapi-

dement une bande magnétique. Si nous comparons la description qui

vient d'être faite avec les caractéristiques physiques visibles sur la photo du cadavre de Salinas, il y a beaucoup d'analogies.

Selon nos sources, toutes les activités

sont coordonnées et contrôlées, d'une part par une unité spéciale de la CIA, qui a un bureau secret à San Juan, et d'autre part, par une unité spéciale de la base de la Marine “Roosevelt Roads” à Ceiba. De plus, le gouvernement américain avait prévu de rendre public, début 1996, un rapport renfermant certaines informations sur les événements ufologiques qui se sont produits.

On peut se rendre compte que pour beaucoup de gens, à Porto Rico, la présence des extraterrestres est devenue évidente. Certains sont inquiets du grand nombre de manifestations, tandis que d'autres souhaitent un contact avec ces formes de vie. D'autres encore, comme moi, pensent qu'un contact officiel a déjà été établi entre le gouvernement américain et au moins une race extra-terrestre. Nous aborderons plus en détail ce sujet dans quelque temps.

Source : MAGAZIN 2000 n° 108 - 12/95.01/96.

© MAGAZIN 2000

Supplément d’information à l’étude “Ce phénomène X qui perturbe notre technologie spatiale”

Revue SENTINEL NEWS n° 1

« Une chose très étrange arriva à la sonde américaine “Mariner IV”, en 1965, lorsqu’elle passa derrière la

planète Mars... Lorsqu’elle réapparut, celle-ci subit un mystérieux ralentissement, qui lui fit perdre... plus de douze minutes, tandis qu’elle était cachée à nos yeux par Mars !!! et observée et constatée par la station d’observation de Tidbinbilla, en Australie. par ailleurs, quand “Mariner IV” réapparut, cette même station d’observation attesta que la sonde se mit... à transmettre de bizarres petits signaux !!! De surcroit, les experts de Tidbinbilla furent confrontés à un nouveau problème : ils recueillirent des signaux troublants — désignés techniquement comme « anomalies » dans leurs rapports — tandis qu’un OVNI était dans le secteur, entre la station d’observation et l’aéroport de Canberra !!! » tiré du livre de feu Franck Edwards (décédé d’une “crise cardiaque”) « Du nouveau sur les soucoupes volantes », Éditions J’ai lu, 1978. (titre original : “Flying Saucers : Here and Now !”).

Autre citation , du même livre, page 76 : « L’image

numéro Un transmise par Mariner IV était caractérisée par

un grand signe blanc, qui fut promptement affublé du nom de “patte d’oie”. Il rappelait le grand “W” qui avait été photographié plusieurs fois par le Pr Slipher, dix ans auparavant. Quoi qu’il en soit, la photo n° 1 de Mariner IV fut retouchée et publiée sans ce détail caractéristique. »

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SENTINEL NEWS n° 3

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LE GRAND SECRET DE FRANÇOIS PREMIER

Par Didier COILHAC

C omme vous avez pu le lire dans l’éditorial, mon dossier sur François 1er est légèrement retardé car

je viens de retrouver des pistes à suivre et je dois donc retourner sur le terrain pour enquêter. Néanmoins, je vous propose quelques extraits de celui-ci pour vous permettre de patienter jusqu’à sa parution prévue au début de l’année prochaine.

En ce qui concerne la renaissance Française, tout n’a pas été dit. Un regard novateur sur l’architecture du roi François 1er permet de dégager la figure 1.

Les châteaux de Chambord et Fontainebleau, palais majeurs de ce roi, sont exactement alignés, avec la

basilique Saint Rémi de Reims. Il s’agit de 3 lieux hautement symboliques de la Royauté. La basilique rémoise contient le corps de St Rémi, qui baptisa Clovis, le premier roi Franc Chrétien, archétype d’une longue lignée. La Sainte Ampoule, réceptacle de l’huile miraculeuse du Sacre, était conservée dans la basilique St Rémi.

Figure 2 : Le château de Chambord présente une façade orientée à peu près sur l’axe royal. Une lucarne attire notre

attention : on y lit FRF, François Roi de France, m a i s a u s s i Fon ta ineb l eau Reims. Cette inscription est du côté Nord-E s t , v e r s Fontainebleau.

Quand on regarde les toits de Chambord, on y voit des fleurs de lys : plusieurs dizaines du côté de l’axe royal, une seule de l’autre côté. Les lys semblent attirés par Reims et Fontainebleau.

Figure 3 : Le donjon de Chambord comporte 4 salles en croix autour d’un escalier central. les plafonds sont faits de caissons représentant alternativement un F ou une Salamandre, animal emblêmatique du roi. Un F est sculpté à l’envers :

Une Salamandre est également figurée à l’inverse des autres (en S retourné). Quand on retourne les plafonds, on remer l’F et la salamandre en question dans le bon sens. La ligne qui les joint alors se prolonge exactement vers le château de Fontainebleau. F pour Fontainebleau. La Salamandre en S indique le ruisseau de l’Esse, à mi-chemin de Chambord-

Fontainebleau. Figure 4 : Loury, village situé sur la ligne royale, entre les 2 palais. On peut voir sur le petit château de Loury une étrange plaque affirmant : « Dans ce pourpris (cette enceinte) le grand François Premier — Trouve toujours jouissance nouvelle — Où il est heureux. Ce lieu suave recèle — Fleur de beauté Diane de Poitiers. » Les majuscules sont placées n’importe comment ; les mots sont mal découpés les uns par rapport aux autres, bizarre... Il n’y a pourtant rien à Loury qui aurait pu charmer à ce

point le roi de France. Jean Thenaud écrivit pour le

monarque un traité kabbalistique. On y

découvre un anagramme exprimé en 2 affirmations :

FRANCOYS PAR LA GRACE DE DIEU ROY DE FRANCE PAR F L’EAGE D’OR DURERA D’ICY A C ROYS EN FRANCE

Dans les 2 formulations, les lettres sont les mêmes, excepté un R supplémentaire dans la seconde. On voit comment F et C sont singularisés. C F R, initiales de Chambord, Fontainebleau et Reims, les 3 lieux alignés.

Figure 5 : Château de Fontainebleau,

la fameuse statue de Diane. La déesse semble vouloir extirper une flèche de son carquois. Pourtant, elle n’a pas d’arc. Son coude levé est une flèche indicative donnant l’exacte d i r e c t i o n

Chambors Château de

Villers - Cotterets

Basilique St Rémi

de

Reims

St Barthelemy

Château de Fontainebleau

Loury l’Esse

Château de Chambord

Fig. 1

© Didier Coilhac

vers Fontainebleau et l’Esse

Fig. 3 © Didier Coilhac

© Didier Coilhac

© Didier Coilhac

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d e Chambord, donc de Loury et de sa plaque “ D i a n e d e Poitiers”.

Le milieu de

la droite château de Fontainebleau - basilique St Rémi coïncide avec le cimetière d e S a i n t Barthélémy. La tombe principale est celle de la Marquise de Flamareus, « dame de compagnie de Madame Adélaïde, fille de Louis XV. » La stèle funéraire comporte une faute sur le prénom de la marquise : ELSABETH. Toutes les lettres de ELSABETH sont contenues dans S. BARTHELEMY.

Figure 6 : Sur la tour-lanterne du château de Chambord se trouvent 8 grands disques (2 mètres de diamètre)

portant l’F royal, avec un curieux motif en 8. Ces disques sont totalement illisibles de l’extérieur, même des terrasses du château. On ne peut les entrevoir que de la tour-lanterne elle-même, malhabilement. F-8. À Fontainebleau, les salamandres

des façades ont la queue nouée en 8. 8 à Chambord, 8 à Fontainebleau.

À l’époque du roi François, on tissa

une suite de 10 tapisseries relatant la vie de St Rémi ; elles ornaient le choeur de la basilique St Rémi. La tapisserie n° 8 focalise sur elle le message codé. 8 à Reims. 8, le nombre d’Hermès.

Figure 7 (tableau) : Parmi les 10

tapisseries de Reims, on remarque que la 8ème possède les records du plus ou moins grand nombre de lettres liées à l’angle de 45°. S pour le ruisseau de l’Esse, F pour Fontainebleau, V pour Villers, R pour Reims, C pour Cotterets et Chambord (Dans ce dernier cas, la tapisserie 8 n’arrive qu’en seconde position; il serait trop long de l’expliquer ici). Z est la dernière lettre de Cotterz (Cotterets).

La 8 comporte également le record des P et le record du mot PUIS. D‘ailleurs, cette tapisserie, en plus des 4 quatrains habituels, possède un distique supplémentaire, au milieu : « Puis que aves veu ce beau mistaire, Je vous supplie de la taire. » Y aurait-il donc un puits secret qui serait l’aboutissement de toute cette mise en scène ?

Figure 8 : Château de Villers-

Cotterets, plafond de l’escalier principal. Parmi les dizaines de motifs sculptés, on en trouve 2 qui échappent aux catégories habituelles : un enfant tenant une tête de Mort et un Miroir, un homme tenat 2 Serpents. Entre ces 2 caissons, la symbolisation d’un PUITS. La lettre P est justement à égale distance des lettres M et S. Autour du puits, 4 chérubins (ou putti) ; le chérubin est le gardien de l’Arche d’Alliance, le gardien des Trésors. L’escalier est structuré dans ses 3 parties avec les nombres 14, 15, 16. Les nombres de chaque catégorie de caissons redonnent les mêmes nombres 14, 15 et 16. Or, 15, au milieu, correspond à la lettre P, initiale de Puits.

(À l’époque, en guématrie, le J ne comptait pas).

Les architectes royaux nous

i n d iq u e n t d o n c q u ’ i l s c r é e n t volontairement l’angle de 45° de départ. Ils nous orientent ensuite vers le concept d’un PUITS sis au milieu d’une certaine distance... Le puits est le symbole de ce qui est caché dans le sol, le début d’un TRÉSOR...

Où donc peut-on découvrir ce puits ? Quel est le trésor royal balisé avec tant de soins ? C’est une autre histoire...

© Didier Coilhac

© Didier Coilhac

© Didier Coilhac

T = tapisserie T1 T2 T3 T4 T5 T6 T7 T8 T9 T10

“S” en hors -texte

8 3 4 6 9 3 3 11 4 5

“S” 26 18 33 34 29 41 34 43 32 40

“F” 6 4 5 8 9 4 8 2 6 12

“PUI(T)S” 1 0 1 1 0 0 1 3 0 0

“P” 17 8 14 10 14 15 13 19 18 17

“C” 15 9 18 22 19 19 15 28 23 30

“V” 9 2 12 11 9 11 9 13 4 9

“Rmaj” 3 4 5 2 3

“r” 28 27 17 19 16

TOTAL 33 38 29 36 52

“Z” (au lieu de r)

0

0

0

0

0 2

7 7 15 1

“ ” 2 0 0 1 0 0 0 0 0 0

“zmin” 1 3 4 0 1 1 4 6 1 3

LE

S 4

FOR

ME

S D

E L

A L

ET

TR

E “

R”

Figure 112 - 2 motifs sortent de l’ordinaire car n’appartenant à aucune catégorie habituelle. Ils encadrent un PUITS dont l’importance est prouvée par les lettres et les nombres intégrés dans l’escalier.

Fig. 109 Caisson B2-7

Fig. 110

Caisson A2-12 Fig. 111 Caisson B3-11

LONGUEURS VOLÉES

14 15 16

M N O P Q R S

14

Puits

15 16

PUTTI

PUITS PEUR

DIAG.

Figure 112

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LES OVNI EN CHINE

Par François Couten

L 'objet de mon exposé concerne un rapport d'enquête sur une R.R.41, texte encore jamais publié hors les frontières de

l'Empire du Milieu. Son auteur, Liu XIAOQIANG, est un

enquêteur émérite, membre important du C.U.R.O. (China UFO Research Organization), en Français : Société Chinoise de Recherches sur les OVNI.2

Voici donc la traduction fidèle de ce

très intéressant document titré :

UNE RENCONTRE INCROYABLE

Date: Samedi 13 août 1988. — Lieu : Dans le centre de reboisement JIULONGSHAN, province du Hu Bei, centre de la C h i n e . — Témoins : Un vieux couple de forestiers dont le mari s'appelle H u a n g Y o n g s h e n g , s a femme, Zhang Jiuhua.

Huang Yongsheng, 62 ans, peu cultivé, travaille toujours comme bûcheron et Garde de la forêt étatique, il sait à peine lire et écrire. Sa femme, illettrée, habite avec lui depuis à peu près 40 ans dans une maison en bois située dans une vallée couverte de bois épais.

L'automne 1988 est particulièrement

chaud, sombre et pluvieux dans cette région de Jiulongshan, une des vallées de forêt vierge de la province du Hu Bei.

À 16 h 20 environ ce 13 août, une tempête s'abat sur Jiulongshan, le ciel, aussi noir que dans la nuit, est de temps à autre sillonné par des éclairs serpentants,

la forêt tremble sous des coups de tonnerre assourdissants. Un orage frappe violemment les branches des arbres et le toit en bois de la maison du vieux couple, construite dans une clairière sur une pente. Soudain, le tonnerre explose au-dessus de la cime d'arbres proches de la maison...

- « Il faut que j'aille examiner les jeunes arbres de la pépinière, d'ailleurs, le vieux Lin Shuiqing est en vacances, il m'a confié la surveillance de son parc de cerfs, j'ai peur qu'il arrive quelque chose de fâcheux a ses jeunes cerfs... »

Sa femme lui répond, non sans réticence :

- « Mais, par cet orage battant... de plus, tu souffres depuis deux semaines de ton rhumatisme articulaire ! »

H u a n g Y o n g s h e n g insiste : - « Mon devo i r e s t d e veiller de près sur cette v a l l é e o ù poussent de s

a rb r es rares et précieux. Je dois garantir la sécurité de la pépinière et du parc des cerfs. »

L'éclair serpente dans un ciel bas et

ténébreux. Quand le vieux forestier ouvre la porte à deux battants de la maison, sa femme et lui sont frappés de stupéfaction : ils voient une forme plus sombre que le ciel suspendue à un mètre de la cime des arbres dans la vallée, à 120 mètres d'eux.

Cette forme couleur plomb foncé vibre légèrement. En un clin d'oeil, elle se pose aux lisières de la clairière en se secouant de gauche à droite et vice-versa, tout en s'éclaircissant pour devenir enfin brillante.

Le vieux couple tombe en extase devant ce spectacle jamais vu et oublie tout danger et toute prudence.

Tout à coup, la forme brillante perçue

comme un énorme bol renversé sur le sol, stoppe net ses balancements et projette presque en même temps deux faisceaux de lumière rouge sang... Cette lumière bi-

zarre a l'apparence d'un liquide très épais, comme la peinture rouge des peintres. Un faisceau se dirige vers la forêt, l'autre frappe droit sur la maison, le vieux couple est momentanément aveuglé. La femme terrorisée tombe par terre en état de syncope, le forestier se débat avec énergie et s'efforce d'ouvrir les yeux pour regarder ce qui se passe devant eux.

La colonne rouge sang se rétrécie peu à peu et aspire Huang Yongsheng près de l'engin devenu tout à fait transparent tel du verre.

Huang Yongsheng, trempé par l'orage, se sent légèrement brûlé par l'engin qui, selon son estimation, a un diamètre de 5 mètres environ. Il voit deux bonshommes maigres aux visages de souris, poilus, avec deux oreilles pointues, deux yeux minuscules mais pénétrants. Il n'a pas l'impression d'avoir vu le nez et la bouche, car le menton des deux bonshommes est tellement pointu qu'il semble n'y avoir pas de place pour le nez et la bouche. Le bonhomme vêtu d'une combinaison grise, assis devant un levier fait un signe au moyen de bras disproportionnellement longs au vieux forestiers dont les yeux éblouis peuvent à peine voir les choses. Aspiré par la lumière rouge sang, ou plus exactement par une force invisible, Huang Yongsheng entre par une porte coulissante dans l'engin, où, lui semble-t-il, règnent une douceur, un calme, une euphorie extraordinaires.

Le deuxième bonhomme prend une boîte grande comme une boîte d'allumettes, et du plafond descend lentement un écran de 2 m sur 2, brillant comme du papier d'aluminium. Ensuite, il braque la boîte vers Huang Yongsheng qui flotte d'un seul coup à 30 cm du plancher et perd connaissance tout en étant lucide. Les yeux fermés, il a dans sa tête un petit écran allumé où défile un paysage tout à fait inconnu, une voix se fait entendre derrière ce petit écran spirituel :

- « Ce que vous voyez sont différentes topographies de notre planète située hors de votre système solaire. »

Le vieux demande mentalement : - « Que signifie le système solaire ? »

1 - Rencontre Rapprochée avec enlèvement ou embarquement du ou des témoins à bord d'un OVNI. 2 - Fondée en Mai 1979, elle compte des milliers de Membres actifs répartis entre Centres, Départements et Sections locales dont les activités s'exercent sous contrôle de sa Commission permanente : Bât. N°44 de l'arrondissement 3 de l'Université de Wu Han (Capitale de la province du Hu Bei), responsable : Cha Leping, dont le recueil des données, (tirage restreint - 300 ex.) est l'organe.

Il voit deux bonshommes maigres aux visages de souris, poilus, avec deux

oreilles pointues, deux yeux minuscules mais pénétrants

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La voix lui répond : - « Vous autres humains vivez sur

une planète qui tourne autour de votre soleil. Nous avons notre soleil. »

Le bûcheron ne comprend rien de rien, il demande :

- « Dans le ciel je ne vois qu'un seul soleil, d'où vient le votre ? »

- « Vous ne comprenez pas évidemment que l'Univers est composé de milliards et milliards de soleils que vous ne voyez pas. Pourtant, dans la nuit, lorsque vous regardez le ciel noir, vous y constatez la présence de nombreuses étoiles lumineuses, ce sont des soleils qui forment chacun leur système solaire. »

Le petit écran multicolore montre un soleil moins brillant que le notre, autour duquel tournent trois globes dont l'un est habité.

Sur ce globe — planète-mère des bonshommes gris au visage de souris — coulent des ruisseaux et des rivières, moutonnent des collines et des montagnes, s'étendent des plaines et des déserts. Huang Yongsheng voit plusieurs aires d'atterrissage où sont posés des engins de couleur sombre en

forme d'assiette, de bol, de toupie, des bonshommes de deux mètres s'affairent autour de ces machines.

Le petit écran dans la tête de Huang s'éteint. Une passerelle se déroule aussitôt jusqu'au sol et Huang est conduit par une force invisible devant sa maison où un bonhomme lui fait comprendre par signes s'allumant dans son esprit qu'il doit garder le secret de son aventure et se rendre le samedi suivant (le 20 août) dans la forêt ouest, pour une leçon d'initiation sur les constellations des étoiles.

Sa femme est clouée au lit. En le voyant soudain tomber devant le seuil de la maison, elle descend à la hâte du lit et accourt vers lui, le secouant, le réveillant difficilement.

- « Mais, réveille-toi ! D'où es-tu revenu ? Tu as disparu durant deux jours et deux nuits ! Je t'ai cherché dans la vallée et sur tous les sentiers autour de notre maison. »

Huang Yongsheng qui se réveille, en faisant clignoter ses yeux, ne comprend plus :

- « Mais pourquoi suis-je dans cet état ? »

Sa femme répond, inquiète : - « Avant-hier, il y a eu un grand

orage. Une lumière m'a aveuglée pendant toute la soirée, et depuis je ne te voyais plus. J'ai crié ton nom sur la terrasse devant la maison et le lendemain je t'ai cherché dans la forêt. Ces derniers jours, personne n'est venu ici, d'ailleurs nous n'avons toujours pas le téléphone tant d'années réclamé, aussi je n'ai pu appeler les secours. Je t'attendais dans le lit, tristement... »

Huang Yongsheng console sa femme :

- « Mais, je n'ai passé que quelques minutes là-haut, maintenant me voilà auprès de toi, tout ira bien. »

- « Qu'est-ce que c'est là-haut ? » - « Ce machin sombre posé au bord

de la forêt, tu ne l'as pas vu ? » - « Non, plutôt si, tout juste une

énorme ombre, tu y es monté ? » - « Oui, très intéressant... » Huang Yongsheng raconte ce qui lui

vient à l'esprit concernant son aventure dans un objet inconnu, il dit enfin :

- « Je ne comprends pas pourquoi ces bonshommes ne parlent pas, mais je peux savoir ce qu'ils veulent me

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communiquer par le petit écran. D'ailleurs, je n'ai pas besoin de parler non plus, ils peuvent deviner ce que je pense. »

Intriguée par l'histoire de son mari, Zhang Jiuhua demande :

- « Et alors, qu'est-ce qu'ils t'ont expliqué ? »

- « La chose est très compliquée. Ils ont dit qu'il y a dans l'espace notre soleil, leur soleil et beaucoup d'autres soleils. Je ne les crois pas, car nous n'avons jamais vu d'autres soleils. »

- « Ce sont peut-être des trompeurs, des fabulateurs, des escrocs. Comment se peut-il qu'il y ait dans le ciel un deuxième, un troisième soleil ? Impossible ! Et enfin, comment sont ces bonshommes ? »

Huang Yongsheng, paysan qui n'a jamais quitté cette vallée reculée ne sait pas décrire l'aspect des occupants de l'engin inconnu, il maugrée :

- « Je ne les ai pas examinés, je n'ai pas fait attention à leur corps. En tout cas, ils ont une tête chevelue et pointue, deux petits yeux, pas tellement beaux !... »

Après un court silence, Huang Yongsheng confie à sa femme :

- « Entre nous deux, je te confie un

secret : ils m'ont invité à les rencontrer le 20 août prochain dans la forêt ouest. »

- « Il ne faut pas y aller ! » - « Pourquoi ? Ils sont gentils ! » - « Méfie-toi ! Je ne te laisserai pas y

aller. » Le 20 août, dans la soirée, Zhang

Jiuhua enferme son mari dans la cuisine, lui sert du vin et de bons plats. Pourtant, à la nuit tombante, son vieil homme se sent fort mal à l'aise et un son aigu — ZI...ZI... — lui fait mal à l'oreille. Ses muscles gonflent, son visage rougeoie, il veut à tout prix sortir de la maison. Voyant son mari s'étouffer, Zhang Jiuhua se résigne aux caprices de son homme et le laisse partir.

Une fois dehors, Huang Yongsheng prend ses jambes à son coup et court à son rendez-vous.

Dans une large clairière est posé un grand engin au pied duquel deux bonshommes l'attendent. Ils lui font comprendre qu'il a révélé le secret et qu'ils ne veulent plus le recevoir. Sur le champ l'engin et les bonshommes s'éclipsent.

Texte fourni par Liu XIAOQIANG

N.B. : Pour l'heure, plutôt que de procéder à des commentaires par trop t echn iques su r ce cas , vo ic i l'énumération succincte des points significatifs et communs aux récits des témoins impliqués dans le sus-dit et de ceux concernés par le cas “Aventure dans une vallée perdue”3, à savoir :

− Engin hémisphérique à dessous plat ;

− Bonshommes gr is à tê te triangulaire, deux yeux perçants ;

− Faisceau de lumière dense aspirant les témoins vers l'engin ;

− Echange de pensées sans prononcer aucune parole ;

− Questions et réponses s'allumant sur l'écran du cerveau comme à la télévision ou au cinéma ;

− Origine prétendue extra-terrestre.

3 - Nous vous proposerons cet article dans un futur numéro de Sentinel News.

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D epuis des années, on essaye de les dépister. Ils ont été d é c e l é s p a r d e s tomographies informatiques

et il y a eu des cas où on les a extraits des personnes concernées, du nez ou du genou. Il s'agit des implants, qui ont été introduits chez certaines personnes enlevées par les OVNI. Ils constituent, s'ils peuvent être décelés, la seule preuve physique que l 'expérience de l'enlèvement ne se déroule pas , comparable à un voyage astral, mais qu'elle s'est bel et bien passée sur le plan physique. À présent, on a pu mettre en évidence la présence d'implants chez deux examinés par le HOUSTON UFO NETWORK (HUFON) et son directeur Derrel SIMS, implants qui ont été extraits et analysés sous des conditions contrôlées.

Le 18 août 1995, le Dr LEIR, de HOUSTON, a extirpé chirurgicalement plusieurs implants à deux , un homme et une femme. Ils se trouvaient des deux côtés du gros orteil chez la femme, et dans le dos de la main, dans la région entre l'index et le pouce, chez l'homme. Dans les deux cas, les implants ont été décelés par des radios. Les deux personnes s'étaient adressées à SIMS, parce qu ' i l s se souvena ien t d'enlèvements par des OVNI. Avec leur autorisation, SIMS sollicita leurs radios — et se rendit compte des « anomalies ». Aucun des deux ne put se souvenir de leur implantation, ne présentait de cicatrices ou n'avait été rendu attentif, auparavant, aux objets étrangers dans son corps.

Avant l'opération, le Dr LEIR analyse d'une manière externe les implants, à l'aide d'un gaussmètre, un appareil de mesure de champs électromagnétiques. Lorsqu'il passa le gaussmètre sur la main de l'homme, où se trouvait l'implant, l'appareil s'affola. Le DR LEIR avait pratiqué ce test dans son cabinet, et au dehors, pour être sûr qu'aucune autre influence magnétique ne puisse perturber la mesure. Les résultats furent les mêmes. Ensuite, il utilisa un voltmètre, passa avec lui au-dessus du bras et de la main de l'homme — au-dessus de l'implant, il s'éclaira vivement.

Bien que les opérations furent pratiquées sous anesthésie locale, les deux patients ressentirent une « douleur atroce ». Cela ne se produit que si un nerf est directement concerné. Le Dr LEIR suppose que les implants ont été, soit placés directement à côté de cordons nerveux, soit même reliés aux nerfs.

Le premier implant était plat et pratiquement triangulaire, chaque côté ayant une longueur d'un demi centimètre. Bien que métallique, à l'intérieur, il était entouré d'une épaisse membrane grise. Le Dr LEIR essaya, sans succès, de l'inciser avec son scalpel. Lorsque des corps étrangers se trouvent pendant un certain temps dans le corps humain, ils s o n t g é n é r a l e m e n t encapsulés par un épais réseau de fibres, mais cette structure peut facilement être enlevée par un couteau. Mais les trois implants étaient entourés d'une membrane qui ne put être raclée.

L a g r a n d e préoccupation du Dr LEIR fut de préserver les implants jusqu'à ce qu'ils aient pu être acheminés au laboratoire, pour analyse, car SIMS lui avait parlé de cas où les implants étaient tombés en poussière après leur extraction, s'étaient désagrégés ou disparurent de toute autre manière. Le Dr LEIR pensa que le plus sûr était de conserver les objets dans les liquides physiologiques des patients. Aussi, il leur fit une prise de sang, le mélangea à un anti-coagulant et mit chaque implant dans une éprouvette remplie de ce liquide.

Par ailleurs, le Dr LEIR nota encore que le tissu entamé des patients tout autour des corps étrangers n'était pas, comme habituellement pour des corps étrangers, enflammé, mais incolore et gris. Il préleva des échantillons de tissu et les envoya à un pathologiste, qui ne décela aucune trace d'inflammation. De même, il n'y avait eu aucune réaction de rejet de l'objet, de la part des cellules corporelles.

Et il trouva encore une autre anomalie : le tissu, dans lequel se trouvaient les implants, était entouré également de terminaisons nerveuses qui n'auraient même pas dû se trouver à cet endroit. Quelqu'un a dû modifier les voies nerveuses, en les acheminant à l'objet, qui constituait visiblement une sorte d'appareil de surveillance pour le système nerveux.

Derrel SIMS fit procéder à divers tests, au laboratoire. Sous une lumière ultraviolette, les trois implants scintillaient dans un vert fluorescent. Derrel savait, par d'autres cas d'enlèvements, que le corps de la

v i c t i m e , a p r è s l'enlèvement, présentait souvent encore des traces d'une substance, invisible à l'oeil, mais qui présentait une luminosité fluorescente sous une lumière noire. Ensuite, il sécha les trois objets, et le matériau m e m b r a n e u x l e s enveloppant devint friable et put être enlevé. Lorsqu'il le remit à nouveau au Dr LEIR, pour analyse, ce dernier

se rendit compte, que sous les membranes, il y avait un objet hautement magnétique, métallique, d'une luminosité noire. Il envoya des échantillons de la membrane à trois pathologistes, qui lui expliquèrent que la membrane dure se composait de substances émanant du sang humain. Ils trouvèrent en elle des granulés bruns qui avaient été produits par les pigments porteurs d'oxygène des globules rouges de l'homme. En plus, ils décelèrent des

ÉTATS-UNIS : PREUVES PHYSIQUES DES ENLÈVEMENTS PAR LES OVNI !

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traces de kératine, qui constitue la couche extérieure de la peau, des cheveux et des ongles de l'homme.

L e D r L E I R souligne que si la médecine était en mesure de dupliquer cette membrane, elle pourrait résoudre un de ses plus gros problèmes, à savoir celui du rejet d e s g r e f f e s . Manifestement, la membrane avait été créée à partir de matériau issu du corps du patient, avant implantation des objets, en vue d'éviter des inflammations et un rejet par le corps.

L'un des implants extraits du gros

orteil de la femme, était plat et triangulaire, lors de son extraction.

Après enlèvement de la membrane, l'objet proprement dit fut mis à jour ; il se composait de deux parties d'un métal d'une luminosité noire, reliées l'une à l'autre, par une forme en « T ». Le

premier rapport d'enquête fut publié le 22 février 1996 par le laboratoire. À l'heure actuelle, SIMS et le Dr LEIR doivent avoir les résultats définitifs et prévoyaient de les communiquer à l'opinion publique en juillet 1996, lors d'un Congrès Ufologique.

« Après avoir obtenu les premiers résultats, nous avons envoyé les implants à deux autres laboratoires. Si les trois analyses aboutissent au même résultat, nous pourrons dire que nous avons vraiment découvert ici quelque chose qui aura des répercussions mondiales. »

MAGAZIN 2000 continuera à enquêter sur ce cas. Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 6/7-96.

Ce trimestre, nous vous présentons S y l v a i n e CHARLET, artiste de talent (cinéma, théâtre) et Initiée aux forces secrètes de l’Homme et de la nature, amoureuse de cette même n a t u r e q u ’ e l l e défend en vraie guerrière. F i l l e sp i r i tu e l l e d e C l a u d e S e i g n o l l e s , s a

biographie écrite par Andrew Warren, intitulée « Sylvaine Super Star », fut éditée en 1979 aux Éditions M.N.C. (Mouvement Nouvelle Civilisation). Ouvrage tiré à 303 exemplaires numérotés de 1 à 303.

Sylvaine est la traductrice des ouvrages parus aux Éditions “Presses de la Cité” dans la Collection “Les Dossiers de l'Étrange” de notre ami Jimmy Guieu. Les ouvrages traduits étaient : E.T. CONNECTION de Timothy Good (1994), LES KIDNAPPEURS D'UN AUTRE MONDE de David M. Jacobs (1995) et DOSSIER EXTRATERRESTRES, L'AFFAIRE DES ENLÈVEMENTS de John E. Mack (1995).

Lors d'une récente conversation avec Sylvaine, je lui ai demandé combien de temps prenaient les traductions et pour le livre de John Mack, entre autres, il a été traduit en trois mois alors que son délai pour le faire était de quatre mois. Sylvaine Charlet est une personne très sympathique et nous avons passé un bon moment à discuter de choses et d'autres.

Vous avez d'ailleurs pu la découvrir dans ses nombreuses

pièces de théâtre avec par exemple : « Les Frères Karamazov » à Bruxelles, « La révolution Française », comédie musicale, « Le Rhinocéros et Harold et Maud » au théâtre d'Orsay avec J.L. Barrault et M. Renaud, « le Soulier de Satin » dans le même théâtre. Pour la télévision, dans une quinzaine de dramatiques dont certaines pour la T.V. Belge et la BBC de Londres. Au cinéma, dans « Touch of the Sun », avec Peter Cushing et Oliver Reed.

Titulaire d'une licence d'anglais et cascadeuse, musicienne,

peintre, dessinatrice, créatrice de parfums et de potions féeriques, auteur du curieux livre « Lits de Pierres » sur l'étrange des cimetières, Sylvaine possède de multiples talents.

Sylvaine apprécie notre revue Sentinel News comme beaucoup d'autres personnes qui ont l'occasion de la lire et cela nous fait grand plaisir de recevoir des messages de sympathie de la part de telles personnes, que nous apprécions beaucoup à Groupe Sentinelle.

Patrice Roger

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L’ARMÉE CAPTURE DEUX EXTRATERRESTRES AU BRÉSIL

L e 20 janvier 1996, il s'est produit à VARGINHA, au Sud de l'état fédéral brésilien de MINAS GERAI, l'un des

incidents OVNI les plus significatifs des années 90. Au cours de cette journée, l'armée brésilienne a capturé deux extraterrestres – un fait qui a depuis lors été confirmé par de nombreuses personnes impliquées, après que les ufologues locaux, le Dr Ubirajara Franco RODRIGUES et Vitorio PACCACCINI eurent analysé le cas et informé la presse brésilienne.

L'après-midi du 20 janvier, vers 15 h 30, trois jeunes filles, les soeurs Liliane de FATIMA (16 ans), Valquiria Aparecida SILVA (14 ans) et leur collègue plus âgée Katia de Andrade XAVIER (22 ans) aperçurent un être bizarre sur un terrain comportant de petits buissons, situé à quelques pâtés de maisons seulement de leur maison. C'était un samedi, les jeunes filles revenaient du travail, et leur chemin passait par cet espace vert. L'être, qui se trouvait à peu de distance d'elles, était agenouillé et semblait blessé ; il avait en tout cas l'air de souffrir. Aucun OVNI n'était visible. Les jeunes filles observèrent durant quelques minutes la créature, puis elles prirent leurs jambes à leur cou, croyant avoir rencontré le Diable.

Les jeunes filles subirent un interrogatoire serré de la part des deux ufologues. Elles décrivirent l'être comme étant brun sombre, d'une taille de 1,20 m à 1,50 mètre, glabre et avec un cou grêle. Sa peau était recouverte d'huile sombre, graisseuse. Il avait deux grands yeux rouges, sans pupilles, une très petite bouche, un petit nez et trois proéminences sur la tête. Lorsqu'elle entendit les cris de ses filles, la mère de Liliane et de Valquiria, Luiza, sortit de sa maison et trouva les jeunes filles en état de choc.

Elle essaya de les calmer. Peu après, elle retourna avec elles à l'endroit en question, mais l'être avait disparu entre-temps. Au lieu de cela, Luiza nota une odeur bizarre, intense. Dans l'intervalle, une jeune fille et une dame d'un certain âge, qui avaient entendu les cris d'effroi

des jeunes filles, et qui voulaient voir de quoi il s'agissait, avaient remarqué que des pompiers communaux avaient capturé l'être, et l'avaient emmené.

Après en être arrivés à la conviction que les jeunes filles avaient dit la vérité, RODRIGUES et PACCACCINI interrogèrent d'autres habitants et, de fait, ils trouvèrent toute une série de témoins qui avaient précisément vu l'être à cet endroit, et d'autres êtres, aussi, identiques, à d'autres endroits. D'autres témoins précisèrent qu'ils avaient également vu des camions militaires et d'autres véhicules militaires, ainsi que des soldats, le matin du même jour – entre 10 h 30 et 11 h –, à quelques p â t é s d e m a i s o n seulement de l'espace vert où les jeunes filles avaient rencontré l'« extraterrestre ». Les ouvriers agricoles Oralina AUGUSTA et Eurico R O D R I G U E S e x p l iq u è r en t qu’ils avaient été réveillés le 20 janvier par le bruit de leur bétail. Ils étaient sortis, pour voir d'où venait tout ce tapage, lorsqu'ils remarquèrent la présence d'un objet gris, ayant la forme d'un sous-marin et la taille d'un mini-bus, qui volait au-dessus des pâturages à cinq mètres seulement d'altitude. Une fumée blanche sortait de l'OVNI.

Ensuite, les deux ufologues prirent contact avec des soldats et des adjudants d'une installation militaire située à proximité. L'un d'entre eux « déballa » – et leur donna une interview confidentielle. L'adjudant confirma, qu'on avait appelé les pompiers de VARGINHA le 20 janvier vers 9 h 00 du matin, pour capturer « un animal bizarre » dans la région. Lorsque quatre pompiers vinrent avec des filets, ils se rendirent compte qu'il ne s'agissait absolument pas d'un animal, et c'est ainsi qu'ils en informèrent le commandant de la « Army Sergeant School » de la ville voisine de TRES CORACOES, située à environ 20 km à l'est de VARGINHA.

Un camion militaire se rendit sur les

lieux et avec l'aide des pompiers, la créature fut capturée avec des filets, tout comme une bête sauvage. Encore en vie, et « émettant des sons bourdonnants comme une abeille », la créature fut mise dans une caisse, et emmenée en camion à TRES CORACOES. Toutes les personnes ayant participé à l'opération reçurent comme consigne de ne parler à personne de cet incident. « Il s'agit d'une opération secrète » leur expliqua le commandant de cette action, le l ieutenant-colonel Olimpio WANDERLEY.

Après la publication de cette interview confidentielle, d'autres militaires se firent conn a î t r e , ma i s en demandant qu'on respecte leur anonymat. Tous c o n f i r m è r e n t q u ' u n d e u x i è m e ê t r e – vraisemblablement le même que celui que les jeunes filles avaient vu – avait été capturé par l'armée et les pompiers, l'après-midi du 20 janvier. Il ressemblait comme un frère jumeau au premier et fut tout d'abord transporté à

l'Hôpital Régional Publ ic de VARGINHA, où il resta pendant quelques heures, avant d'être transporté à l'Hôpital Humanitas, mieux équipé.

Des infirmières de l'Hôpital Régional Public confirmèrent la présence de 1'être et les mesures de sécurité draconiennes ayant entouré cette action. On leur enjoignit de n'en parler à personne et d'éviter tout spécialement la presse et les ufologues. La créature resta encore deux jours à l'Hôpital Humanitas, où l'on essaya vainement de la conserver en vie.

Elle mourut le 22 janvier, et sa dépouille fut emportée au cours d'une grande opération militaire. Des interviews effectuées avec certains militaires ayant participé à cette nouvelle opération ont révélé que trois camions militaires étaient intervenus, dont chacun était conduit par deux soldats : les soldats ne devaient pas savoir dans quel camion se trouvait la

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dépouille de l'E.T. Alors que les conducteurs avaient reçu dans l'hôpital, l e p e r s o n n e l d u S e r v i c e d e Renseignements de l'Armée, S-2, connu pour sa brutalité, veilla à mettre en oeuvre toutes les mesures de sécurité lors de l'entreposage de la dépouille dans une caisse, qui fut mise dans l ' u n d e s camions. Les trois véhicules militaires se rendirent alors à une base militaire à CAMPINAS dans l'état de SAO PAULO, à une distance de 300 km de VARGINHA. De là, la dépouille fut t r a n s p o r t é e à l ' u n i v e r s i t é d e CAMPINAS, un des meilleurs centres scientifiques du pays. Là, elle fut disséquée par le Dr Badan PALHARES, l'un des pathologistes les plus réputés du Brésil, le même qui, il y a dix ans, avait pratiqué aussi l'autopsie du nazi MENGELE.

« Depuis, les ufologues du monde entier ont contacté RODRIGUES et PACCACCINI », nous a expliqué notre correspondant brésilien le Prof. A.J. GEVAERD. « Les media brésiliens n'ont jamais été aussi actifs et la plupart des gens sont convaincus de la réalité du cas, et pensent que les autorités militaires et civiles impliquées étouffent cette affaire.

Depuis, des soldats qui avaient témoigné ont été mis aux arrêts, d'autres

furent spontanément mutés. Les téléphones de beaucoup d'ufologues sont officiellement sur écoute, alors que d'autres subissent des menaces. En

même temps, le t e r r i t o i r e a u t o u r d e VARGINHA, le sud de MINAS GERAIS, a été l'objet de l'une d e s p l u s grandes vagues d'OVNI de tous

les temps, avec de nombreuses observat ions rapprochées , des atterrissages et des contacts. »

Comme l'a expliqué Luiza Helena, la mère de Liliane et de Valquiria, les jeunes filles ont reçu la visite de quatre hommes en costume, en mai 1996, qui leur ont proposé de l'argent, si elles niaient publiquement la réalité de leur rencontre.

L'une des premières personnes à enquêter sur place, sur ce cas, fut le professeur de Harvard et détenteur du prix Pulitzer, John E. MACK. MACK s'entretint avec les trois jeunes filles, ainsi qu'avec un autre témoin, « la dame qui a peut-être la plus grande notoriété à VARGINHA, et qui fait partie des classes sociales les plus élevées » comme il l'a expliqué, lors d'un entretien avec le rédacteur en chef de MAGAZIN 2000, Michael HESEMANN. MACK : « Les jeunes filles sont absolument dignes de foi et ont été traumatisées par leur expérience. Entre-temps, les autorités

ont indirectement confirmé l'incident tout en prétendant, cependant, qu'elles avaient capturé un homme. » MACK considère que ce cas est un des plus significatifs de la récente histoire ufologique.

De même, le physicien nucléaire Stanton FRIEDMAN, qui avait pris la parole lors d'une conférence à CURITIBA, au Brésil, a eu l'occasion d'interviewer un témoin et d'enquêter sur ce cas. « Ce cas a fait grand bruit au Brésil », expliqua-t-il à MAGAZIN 2000 par téléphone, « il a fait la une des journaux, et a été traité sur six pages par le magazine “ISTOE”, l'équivalent du TIME, au Brésil, un magazine politique, très sérieux, d'une façon tout à fait positive et objective. Plus j'avançais dans mon enquête, plus le cas me semblait plausible. La plupart du temps, c'est l'inverse qui se produit : un cas semble être sensationnel, et plus on approfondit la chose, plus il devient inconsistant. Mais là, tout colle ! »

Ainsi que FRIEDMAN l'a appris, le gouvernement U.S. était intervenu, et a manifestement pu convaincre les autorités brésiliennes d'acheminer l'être encore vivant (le premier) aux États-Unis. On a dû certainement faire aux Brésiliens une offre qu'ils ne pouvaient pas refuser...

Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 8/9.96.

D'après des informations de notre ami George

C. ANDREWS, l'ufologue A.J. GEVAERD aurait disparu pendant quelques temps après cette fameuse capture des deux extraterrestres et cela serait bien lié à cette histoire.

Ce cas a fait grand bruit au Brésil et a été traité sur six

pages dans l’“ISTOE”, l’équivalent pour ce pays du “TIMES”. Cela a été fait de façon positive et objective

Le document JANAP 146, AFR. 200-2 et les mensonges de Franck BORMAN

AFR. 200-2, document confidentiel, comporte 20 pages d'instructions et de questionnaires destinés aux seuls militaires de carrière.

JANAP 146, non moins confidentiel, est un rappel

impératif qui impose aux témoins d'observations de respecter le secret sous peine de sanctions allant de 10.000 dollars d'amende à 10 années de prison militaire. En somme, malgré la “fuite” dont avec AFR. 200-2 nous fournissons la preuve, ces documents ne sont pas sensés exister.

Or, lors du passage en Europe du cosmonaute Franck BORMAN, quelqu'un lui posait laconiquement sur une carte de visite le petit piège suivant :

− Que pensez-vous de AFR. 200-2 et JANAP 146 ?

− Le commandant d'Apollo VIII répondit au dos du carton :

− Je n'ai jamais vu ni ouie dire d'UFO, signé : Franck Borman.

Voilà qui permet, à défaut des UFO même, de ne plus douter de l'existence des documents officiels qui les concernent.

L'observation de Borman a été étudié par Allen Hyneck dans le livre bleu (Blue Book).

Source : À identifier et le cas Adamski par J.G. Dohmen, Guy Dohmen éditeur, 1972.

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CES SOCIÉTÉS QUI NOUS GOUVERNENT... DANS L’OMBRE

Par Patrice ROGER

À partir de ce numéro, nous commençons notre grande enquête pour vous informer des dessous du monde politique mondial. Avec l’aide de Pierre de Villemarest, Henri Coston, Georges Virebeau, Robert Camman

& Jacques Bordiot, nous allons vous faire découvrir les dessous cachés de la politique mondiale dont le but est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial, servant non pas à équilibrer le monde actuel mais à instaurer une nouvelle dictature où tous les pouvoirs seraient entre les mains de quelques personnes nous dominant, et qui se cacheront dans les « terriers » proches de la base américaine de Pine Gap, près d’Alice Springs au centre de l’Australie, si tout ne se déroule pas comme elles le veulent. Nous aurons l’occasion de vous reparler de cette base hyper-secrète dans un futur numéro de Sentinel News.

Suivez bien l’information mondiale et notez que tout est basé sur le mondialisme actuellement. La plupart des informations recueillies ici proviennent de « Diffusion de la Pensée Française1 » et de la « Lettre d’Information de Pierre de Villemarest2 » dont Groupe Sentinelle a obtenu l’aimable autorisation. Vous découvrirez ainsi les sociétés suivantes : Bilderberg, la Trilatérale ou encore le Council on Foreign Relations.

Partie 1 : Le Monde Secret de BILDERBERG (Dossier écrit en 1986)

BILDERBERG en quelques phrases

Conférence élitiste permanente fondée en 1954 pour maintenir un « pont » entre les membres américains et européens de l’OTAN, afin d’organiser les marchés occidentaux et créer une base de négociations supranationales avec l’Empire soviétique. Ses membres sont choisis par cooptation, et se réunissent chaque année à huit-clos. Des discussions, se dégage une ligne commune.

Fondation du Bilderberg Group

C ’est en mai 1954 que fut créé le Bilderberg Group. Cette année-là, une centaine de banquiers et d’universitaires,

de politiciens et de fonctionnaires internationaux, de diplomates et d’hommes d’affaires, furent réunis sur l’invitation du prince Bernhard des Pays-Bas, à l’hôtel Bilderberg, à Oosterbeek, en Hollande. Objet : construire l’unité occidentale contre

l’expansion soviétique. L’organisation, dés lors, fut connue sous le nom de Bilderberg Group et ses membres s’appelèrent : Bilderbergers.

Ses dé l ibéra t ions res ta ien t rigoureusement secrètes et ne donnaient lieu à aucun compte rendu. La presse en était exclue et, d’ailleurs, il n’existait, dans la salle, aucune possibilité d’enregistrement manuel, mécanique, électrique ou électronique.

Jusqu’en 1976, la présidence était exercée par S.A.R. le prince Bernhard de Lippe, « l’ami des industriels les plus puissants », notait Philippe Bernert3, qui ajoutait que le prince consort des Pays-Bas regroupait ceux-ci « au sein de

l ’ a s s o c i a t i o n « B i l d e r b e r g » , extraordinaire franc-maçonnerie du monde international des affaires », le terme « affaires » devant être pris dans son acception la plus large.

Le scandale des pots-de-vin de Lockheed et le « mea culpa » du prince Bernhard contraignirent le mari de la reine des Pays-Bas à quitter la présidence du Bilderberg Group. Mais l’organisation n’en poursuivit pas moins ses activités, son « patron » véritable n’étant pas le prince, mais le milliardaire David Rockefeller.

Mondialement connu, ce financier américain est à l’origine du Bilderberg Group. Son nom figure sur les premières listes de participants, notamment sur celle des personnalités présentes à la

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1 - SA D.P.F. : B.P. 1 — 86190 CHIRÉ-EN-MONTREUIL — ℡ 05.49.51.83.04 — 05.49.51.63.50. 2 - Centre Européen d’Information : Pierre de Villemarest — La Vendômière — 27930 CIERREY — ℡ 02.32.67.00.24 — 02.32.67.49.69. 3 - L’Aurore, 27 août 1976.

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conférence de St Simons Island, en Géorgie (USA), à côté d’autres noms prestigieux : Retinger, l’instigateur, naturellement ; F.D.L. Astor, éditor du London Observer ; Georges Ball ; Pierre Commin, de la S.F.I.O. ; Allen Dulles, de la CIA ; le sénateur américain Fulbright ; Robert Murphy, Dean Acheson et Henry Kissinger, hommes d ’ É t a t s a m é r i c a i n s ; R o b e r t Oppenheimer, le père de la bombe d’Hiroshima et de Nagasaki ; et Nelson Rockefeller, futur vice-président des USA.

Lorsqu’il prit la tête du Bilderberg Group, David Rockefeller venait de créer la Trilatérale. Il en est aujourd’hui le c h a i r m a n p o u r l’Amérique, tout en présidant le Council on F o r e i g n R e l a t i o n s (C.F.R.) , organisme considéré comme le promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale. (Mais le C.F.R. ne groupe que des affiliés américains).

Des liens très étroits unissent

les trois groupes

Les liens entre les trois sociétés occultes sont si étroits qu’on s’est souvent demandé si lesdites sociétés n’étaient pas les tentacules d’un même monstre... Ce qui expliquerait la présence de nombreux affiliés du Bilderberg Group au sein du C.F.R. ou de la Trilatérale.

Nous avons vu que le financier Rockefe l l e r an ima i t l e s t ro i s organisations. D’autres personnes sont affiliées, en même temps, à deux ou trois de ces sociétés. Par exemple : Georges Bush (C.F.R., Trilatérale) ; Z b i g n i e w B r z e z i n s k i (C . F . R . , Trilatérale, Bilderberg) ; Henry Kiss inger (C.F.R. , Tri latéra le , Bilderberg); Robert McNamara (C.F.R., Trilatérale, Bilderberg) ; Giovanni Agnelli (Trilatérale, Bilderberg) ; Baron Edmond de Rothschild (Trilatérale, Bilderberg) ; Thierry de Montbrial, président de l’Institut Français des Relations Internationales (Trilatérale, Bilderberg) ; Jean-Claude Casanova (Trilatérale, Bilderberg), homme de conf iance de Raymond Bar re (Trilatérale) et le dernier en date : Lionel Jospin (Bilderberg) ; etc.

L’instigateur : Joseph Retinger

Le Bilderberg Group est sorti tout arme du cerveau d’un étrange aventurier, Joseph Retinger (1887-1960), fils d’un riche Polonais d’origine israélite4. Affilié aux hauts grades de la Franc-Maçonnerie suédoise, il semble avoir été un « noble voyageur », voire un « Supérieur Inconnu » des sociétés secrètes, à la manière du chevalier de Ramsay, du comte de Saint-Germain, de Cagliostro et de quelques autres « itinérants », dont parlait le franc-

maçon Pierre Mariel dans le Miroir de l’Histoire5.

En relations suivies avec le fameux « colonel » House — en fait un habile politicien double d’un homme d’affaires appelé Edward Mandell House, ami des Warburg, de Morgenthau et d’Herbert Lehman — Retinger fut, pendant près d’un demi-siècle, de 1913 à 1960, l’un des personnages-clés de la politique mondiale.

Il a été mêlé à nombre de g r e n o u i l l a g e s d i p l o m a t i q u e s , notamment, en 1917, à la tentative de paix séparée avec l’Autriche, négociée entre le prince Sixte de Bourbon-Parme et son beau-frère l’Empereur Charles 1er d’Autriche, et en 1939 à la constitution du Gouvernement polonais en exil, par le général Sikorski, avec siège à Paris, puis à Londres après l’armistice franco-allemand de 1940.

Il fut le deus ex machina du mondialisme dans les années qui ont suivi la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie et l’Italie fasciste. « Sans lui, note le Bulletin du Centre de Culture européenne n’auraient jamais vu le jour. Le congrès de l’Europe, à La Haye, fut son œuvre et le Council de l’Europe en résulta. Plus récemment, ce fut lui qui conçut et anima le Bilderberg Group, consacré à la compréhension et à l’union Atlantique6. »

Après la guerre, Retinger était en liaison avec les politiciens belges Paul-Henri Spaak et Paul van Zeeland, qui appartenaient au Mouvement Européen pour la constitution d’une « Europe unie ». Et en 1947, on le retrouve à Paris comme correspondant de l’Association Internationale pour l’Unité Européenne, présidée par van Zeeland, association dans laquelle s’étaient infiltrés trois agents soviétiques : Udeanu, alias Dolivet, de son vrai nom Ludwig

Brecher, et deux Belges, Aceer et Ennals. En 1948, Retinger organisait à La Haye un Congrès de l’Europe, auquel participa le Conseil pour une Europe Unie, fondé en 1946 par Jean Monnet et Robert Schuman7. De fréquentes réunions

secrètes

La grande presse a fait le silence sur leurs révélations. Si bien que le grand public ignore tout des véritables desseins des politiciens et des financiers qui se réunissent, périodiquement, pour déterminer l’avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages e s s e n t i e l s d e s o r g a n i s m e s supranationaux.

La conférence de 1976 fut annulée après le scandale des pots-de-vin de Lockheed, qui provoqua la démission du prince Bernhard des Pays-Bas ; mais la tradition fut reprise, l’année suivante, à Torquay, en Grande-Bretagne, les 21, 22 et 23 avril 1977, sous la présidence de Lord Home, ancien Premier ministre britannique (Sir Alec Douglas-Home).

Le Daily Mirror avait dévoilé, trois semaines plus tôt, le 4 avril exactement, les noms des personnalités qui devaient y participer. Parmi elles, naturellement, le financier David Rockefeller et Henry Kissinger mais aussi, le président Giscard d’Estaing. De son côté, le canard Enchaîné indiquait, le 13 avril, que parmi les invités figuraient : Helmut Schmidt ; Niarchos, le célèbre armateur grec ; Agnelli, le « patron » de Fiat ; le Premier ministre britannique ; le président de la Chase Manhattan Bank ; etc...

« Seulement, révélait peu après Lectures Françaises8(mai 1977), le bruit fait autour de cette information par

« Trois cents hommes, dont chacun connaît tous les autres, gouvernent les destinées du

continent européen et choisissent leurs successeurs dans leur entourage. » Ainsi s’exprimait Walter Rathenau (1867-1922) dans le journal autrichien Wiener Freie

Presse, du 24 décembre 1912

4 - Joseph Retinger, « Memoirs of an Eminence Grise », edited by John, Pomian, with a Foreword by H.R.H. Prince Bernhard of the Netherlands, 1972. 5 - Miroir de l’Histoire,, n° 9, octobre 1950. 6 - Bulletin du C.C.E. n° 5, (1960-1961).

7 - Lire les détails dans « Une main cachée dirige », de Jacques Bordiot (La Librairie Française - 27, rue de l’Abbé-Grégoire, Paris, 1974). 8 - Information visible sur la page suivante.

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le Canard Enchaîné, a dû décourager le président : d’Afrique où il était, V.G.E. est rentré directement à Paris et n’a pas fait le crochet prévu en Angleterre . Autre s igni f icat ive coïncidence , remarquai t Pierre Hofstetter, dans cette revue : la réunion de Torquay précédait de quelques jours seulement des deux « sommets » de ce mois de mai à Londres, l’un des « grands » de l’économie mondiale et l’autre des membres de l’O.T.A.N. »

Ce que complotent les participants

Ainsi en dépit du secret dont le

Bilderberg Group entoure ses réunions, celles-ci sont l’objet d’indiscrétions qui, confirmées par les événements, ont permis de connaître les principaux sujets proposés aux délibérations des Bilderbergers.

Jacques Bordiot résume ainsi, dans son livre « Une main cachée dirige... », les principaux sujets proposés au cours de ces discrètes délibérations :

• les problèmes financiers internationaux,

• la liberté d’émigration et d’immigration,

• la libre circulation des produits sans entraves douanières,

• l ’ u n i o n é c o n o m i q u e internationale,

• la constitution d’une force de police internationale avec suppress ion des a rmées nationales,

• la création d’un Parlement international,

• la limitation de la souveraineté des Etats, déléguée à l’O.N.U. ou à tout autre gouvernement supranational.

« C’est, comme on le voit, le

processus vers la constitution d’un Gouvernement mondial », conclut Jacques Bordiot9.

Visées conformes aux voeux de Paul Warburg, le célèbre financier lié au C.F.R., qui déclara un jour :

« N O U S A U R O N S U N GOUVERNEMENT MONDIAL, QUE CELA PLAISE OU NON. LA

SEULE QUESTION EST DE SAVOIR S’IL SERA CRÉÉ PAR C O N Q U Ê T E O U P A R CONSENTEMENT 10. »

Le prince Bernhard des Pays-Bas,

alors président en titre du Bilderberg Group, en a apporté lui-même la confirmation en s’élevant à plusieurs reprises contre les « particularismes nationaux » qui entravent l’institution d’une « Europe unie ».

Dans une interview publiée le 2 novembre 1971 par le Niewe Rotterdamsche Courant, il avait proposé :

• de museler le c o n t r ô l e parlementaire par l’octroi aux gouvernements nationaux des pleins pouvoirs p e r m a n e n t s , dont l’exercice serait soumis au contrôle des élus du peuple tous les deux ans seulement — à posteriori, donc —, et sur simple rapport établi par le gouvernement lui-même, ce qui revient à une dic ta ture collégiale ;

• d’instituer une monarchie hérédi ta ire , régnant sur l’Europe unie, soumise tous les deux ans, toujours sur simple rapport, au contrôle d’une sorte d ’ O . N . U . , c ’ e s t - à - d i r e pratiquement irresponsable.

L’ingénuité avec laquelle le prince

posait ainsi sa candidature n’était qu’apparente. Sa proposition était, en fait, un ballon d’essai pour jauger les réactions des « démocraties », lasses de leurs institutions incohérentes, devant un projet de Fédération de l’Europe occidentale sous une autorité dictatoriale héréditaire.

Les gros bonnets du Bilderberg Group

C’était, sans doute, aller vite en

besogne. En posant ainsi sa candidature au trône européen, le prince s’était condamné : il avait compromis l’honorable société ; les Bilderbergers ne pouvaient l’admettre. On lui jeta dans les jambes le scandale Lockheed qui l’obligea, le 26 août 1976, à se démettre

de ses fonctions. David Rockefeller et ses amis

organisèrent une conférence du Bilderberg Group au Club Hôtel de Baden, à 10 km de Vienne en Autriche, du 27 au 29 avril 1979.

La liste des participants fut aussitôt publiée par le Spotlight11, revue américaine admirablement renseignée grâce à un réseau d’informateurs d’une grande habileté.

Parmi les participants, la présence de Michel Rocard au sein d’une assemblée du Bilderberg Group est significative. Ce t anc ien P .S .U. ( soc ia l i s t e

révolutionnaire) devenu ministre socialiste et prétendant social-démocrate à l’Elysée, bénéficie depuis plusieurs années d’appuis mystérieux, qui sont à l’origine de cette popularité insolite dans les sondages (quoique maintenant... ?, NdS). Certains observateurs politiques ont attribué cette « montée » de Rocard aux liens de sa famille avec la H.S.P. (Haute Société Protestante), dont l’influence est grande dans les affaires et la politique.

Mais ses nombreux séjours aux USA et son affiliation au Bilderberg Group pourraient aussi expliquer son relatif succès auprès de patrons et de cadres de l’industrie.

La brochure de Robert Camman, Les

véritables maîtres du monde12, dont le succès a obligé Raymond Barre à avouer publiquement (émission L’Heure de Vérité, 4 décembre 1985) qu’il appartenait bien à la Trilatérale, a mis en garde les Français contre les puissances politico-financières qui tirent les ficelles de nos politiciens. Nul ne peut ignorer aujourd’hui, malgré le mutisme des media apeurés ou complices, que la plupart de nos politiciens sont tenus en laisse par la

« Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se

l’imaginent ceux dont l’oeil ne plonge pas dans les coulisses. » Ces lignes ont été écrites par

Disraëli (1804-1881), dans Coningsby (page 183)

11 - The Spotlight (Vol. V, n° 21, 21 mai 1979), édité par Liberty Lobby, 300 Independence Avenue, S.E. Washington, D.C. 20003, U.S.A. 12 - Cette publication contient la reproduction photographique des pages de l’Annuaire confidentiel de la Trilatérale : 350 noms des « grosses têtes » de la politique et de la finance.

10 - Déclaration faîte devant les sénateurs américains le 17 février 1950.

8 - Lectures Françaises est un mensuel édité par D.P.F. et disponible uniquement par abonnement au prix de 290 Fr. par an. Cette revue parle des dessous de la politique mondiale. 9 - L’auteur a publié également, sur le même sujet : « Le Gouvernement invisible », Paris, 1983.

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Trilatérale ou par le Bilderberg Group. Tous les noms que nous livrons à la publicité ne sont pas ceux d’agents des forces occultes. Certaines de ces personnalités ont probablement été trompées13, elles ne participent que par aveuglement au plan mondialiste de d e s t r u c t i o n d e s p a t r i e s e t d’asservissement des peuples.

Mais nous sommes bien obligés, si elles persévèrent dans leurs erreurs, si elles continuent de pactiser avec l’ennemi et de faciliter sa tâche, de les considérer e l l e s - m ê m e s c o m m e d e s adversaires.

Un Rocard, p a r t i c i p a n t empressé du B i l d e r b e r g Group, un Barre affilié influent de la Trilatérale, complices actifs d u p u i s s a n t f i n a n c i e r i n t e r n a t i o n a l R o c k e f e l l e r , s e r a i e n t i m p u i s s a n t s , d é s a r m é s , inoffensifs, s’ils n’étaient pas e n c o u r a g é s , épaulés, soutenus, par ces milliers d’honnêtes citoyens de droite ou de gauche qui n’ont pas encore vu le danger qu’ils représentent.

Arrachez le bandeau qu’on leur a

placé sur leurs yeux ! Parlant des structures du Bilderberg

Group, Jacques Bordiot écrit : « Ce qui frappe dans l’organisation du Bilderberg Group, c’est son étroite analogie avec le Council on Foreign Relations, la Table Ronde et les autres associations issues de la société Rhodes-Stead, articulées sur le modèle des Illuminés de Bavière14.

Le « cercle extérieur » est constitué

par les membres des conférences, comportant à la fois des affiliés et des invités en vue de recrutement ou de paravent.

Le premier « cercle intérieur », dont tous les membres sont des Bilderbergers, est le Steering Committee (Comité de Direction), composé de 24 Européens et de 15 Américains. Ces derniers sont à peu près tous — ou ont été — affiliés au C.F.R. On y retrouve en effet : George W. Ball, Robert Murphy, David

R o c k e f e l l e r , Arthur Dean, Dean Rusk, etc. Certains de ses membres font par t ie d’un second « cercle i n t é r i e u r » encore plus f e r m é , l e B i l d e r b e r g A d v i s o r y C o m m i t t e e ( C o m i t é c o n s u l t a t i f ) , dont on sait seulement qu’il comprend des m e m b r e s européens et américains, ces d e r n i e r s appartenant tous au C.F.R., dont

le secrétaire général du Bilderberg pour les États-Unis, David Rockefeller.

Le colonel Curtis B. Dall, ex-gendre du président Roosevelt et bien placé dans les milieux de Wall Street, est d’avis que le Bilderberg Group représente la « phase mondiale » des deux organisations : Council on Foreign Relations, des États-Unis, et (Royal) Institute of International Affairs, d’Angleterre. (...)

Dans ce cas, les conférences bisannuel les des Bilderbergers constitueraient, en quelque sorte, les sessions d’un Parlement, ayant pour objet l’échange d’informations et de points de vue entre les deux organisations jumelles, et la prise de décisions communes.

Le Bilderberg Advisory Committee ressemblerait fort à un Conseil des ministres, élu par le Parlement, et élisant lui-même un Secrétariat général, le Steering Committee, dirigé par le prince Bernhard.

Depu is , l e banqu ie r Dav id Rockefeller, également animateur de la Trilatérale, a pris en main la direction

de ce Committee. La « Lettre d’Information de Pierre

de Villemarest » nous propose dans son numéro du 15 juillet 1996 la liste des participants à la dernière réunion du Bilderberg Group ayant eu lieu au Canada, du 30/05 au 02/06/96. Parmi les Français apparaît cette année Lionel Jospin, auprès des habitués : Pierre Lellouche (conseiller de Chirac), André Levy-Lang (P.D.G. de Paribas), Thierry de Montbrial, également membre de la Trilatérale comme Bertrand Collomb (P.D.G. des ciments Lafarge). Pour la première fois, un communiste est intégré au groupe : Walter Vetroni, directeur de L’Unità.

S u r 1 1 8 p a r t i c i p a n t s , 2 3 appartiennent aussi à la Trilatérale. Parmi eux, Kissinger, Dwayne Andreas, Richard Holbroocke. Vingt-deux délégués américains dominaient, tous membres du C.F.R., donc d’influence internationale : Stanley Fischer (Premier directeur adjoint du F.M.I.) et James D. Wolfensohn (Président de la Banque mondiale) ; sans parler de George Soros et de David Rockefeller.

La reine des Pays-Bas siégeait ès-qualité, tandis que le Prince d’Orange assistait à titre d’observateur. La reine d’Espagne est désormais intégrée à Bilderberg. Le Suisse Klaus Schwab, président du Forum annuel de Davos est membre à part entière. A. Olechowski (ex-ministre polonais des Affaires étrangères et P.D.G. de la Banque Handlowy) et Giorgy Suranyi, de la Banque nationale de Hongrie, sont à présent membres de ce directoire euro-a m é r i c a i n d e s i n s t i t u t i o n s mondialistes.15

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13 - Par exemple, l’ex député-maire radical de La Rochelle, Michel Crépeau, figurait parmi les affiliés de la Trilatérale en 1977, ainsi que le notait Henry Coston dans son livre « Les 200 Familles au pouvoir » (page 72). Lorsqu’il se rendit compte de ce qu’était réellement cette mystérieuse société, il la quitta. C’est pourquoi il ne figure plus, désormais, dans l’annuaire de la Trilatérale. 14 - Société secrète fondée en 1776 à Ingolstad (Bavière) par Adam Weishaupt, apparentée à la Franc-Maçonnerie

15 - La liste des participants à cette conférence sera disponible dans notre futur dossier annexe consacré à toutes ces sociétés secrètes.

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NOUVELLE INVENTION : Dispositif de fusion des métaux à ondes de gravité

Recueilli et présenté par Michel OBERSON

Présentation de l'invention :

L a présente invention prend pour base le “Dispositif Générateur de Champ de Gravité” présenté lors de la

même exposition en 1993 (Cf. Bulletin de l'Exposition 1992, page 80, Figure B). Le principal avantage de ce système est qu'il est capable de réaliser la fusion de tout métal en consommant très peu d'énergie. La principale caractéristique de ce dispositif est que les ondes de gravité ne se dispersent pas, et qu'il est capable de faire fondre toute structure métallique éloignée de plusieurs milliers de mètres, telle que véhicule, navire, aéronef, etc. Le schéma de principe de ce dispositif ainsi que son schéma électrique sont donnés ci-dessous :

Schéma de principe :

A) Source d'électricité : Cet

élément est celui qui fournit l'électricité à tous les autres ;

B) Généra teur de couran t magnétique : Cet élément est celui qui génère en grande quantité des lignes de force magnétique, utilisées pour générer le champ de gravité ;

C) Compresseur de courant magnétique : cet élément est celui qui est destiné à

comprimer les lignes de force magnétique générées, ce qui permet d'accroître la distance d'émission possible ;

D) Générateur d'ondes carrées : Cet élément est celui qui transforme

le courant magnétique en c o u r a n t m a g n é t i q u e à impulsions. Il peut être de deux types : 1. à interrupteur mécanique ; 2. à déconnexion électromagnétique.

E) Générateur de champ de gravité : Cet élément est celui qui transforme le courant magnétique à impulsions en ondes de gravité à impulsions, qui servent à la fusion des métaux.

Nomenclature du schéma électrique :

A ) C â b l e c o n d u c t e u r magnétique : Câble métallique (par exemple câble en fer) permettant de conduire les lignes de force magnétique. Ce type de câble est similaire à un câble conducteur d'électricité ;

B) Cou ra n t mag n é t iqu e : Lorsque les lignes de force magnétique passent par le câble

conducteur magnétique, le phénomène produit est similaire à celui d'un courant électrique transporté par un câble électrique, c'est pourquoi nous p a r l o n s d e “ c o u r a n t

magnétique” ; C) Pression magnétique : Par

exemple, si la bobine électromagnétique A est plus cour te que la bobine électromagnétique B, la pression produite par les lignes de force magnétique générées par la bobine électromagnétique A est plus importante. En d'autres termes, plus la bobine est longue, plus la pression des lignes de force magnétique est élevée ;

D) R é s i s t a n c e magnétique : C'est la résistance que rencontrent les lignes de force magnétique lorsqu'elles passent par le câble conducteur magnétique ; E) Les relations entre le courant magnétique ( C M ) , l a p r e s s i o n magnétique (PM) et la

résistance magnétique (RM) sont les suivantes :

CM = CP : CR Pression magnétique

Courant magnétique=Résistance magnétique

A) La puissance de la gravité générée par le générateur de champ de gravité (nombre de dynes) est proportionnelle au nombre d'enroulements de la bobine du câble conducteur magnétique ;

B) A v a n t a g e s d u c o u r a n t magnétique par rapport au courant électrique :

C) Lorsque le courant électrique passe par le fil conducteur (fil de cu iv re ) , i l r i sque d'électrocuter quiconque touche ce fil. Mais, lorsqu'un courant magnétique puissant passe par le fil conducteur (fil de fer), il

n

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e présente aucun risque pour une personne touchant le fil, il est tout à fait sûr ;

D) Les piles et batteries utilisées pour le courant électrique ont une durée de vie limitée. Mais les lignes de force magnétique des aimants permanents utilisés pour le courant magnétique ont une durée de vie illimitée. En outre, ils sont faciles à fabriquer et moins chers que les piles et batteries traditionnelles ;

E) Les fils (par exemple fils de fer) uti l isés par le courant magnétique transmettent la force magnétique sans aucun délai, ce qui n'est pas le cas du courant électrique. Par exemple, il faut 40 années pour que l'onde électromagnétique produite par un courant électrique puisse parcourir la distance séparant la Terre et l'étoile la plus proche (située à 40 années-lumière), ce qui nécessite, pour une seule communication, 80 années au total. Mais si l'on utilisait pour les communicat ions les impulsions de champ magnétique produites par le courant magnétique, aucun délai ne serait nécessaire et la communication serait instantanée. C'est là le principal avantage du courant magnétique produit par les lignes de force magnétique.

Ce produit a participé à la 24ème exposition de l’invention de Genève (Suisse).

JH 30 ANS — Passionné par les OVNI, recherche correspondant(e)s sur la Bretagne pour échanger idées sur le sujet. Écrire à Philippe DANCOISNE — 11, rue Le Bastard — 35000 RENNES.

LES TEMPS PRESSENT !

Dés 1992, Richard C. HOAGLAND avait évoqué, dans son discours aux Nations Unies, les possibilités offertes par l'énergie rotative, en précisant que l'on travaillait déjà à la mise au point de cette découverte scientifique. Une éventuelle présentation du prototype en vue de l'exploitation de cette énergie libre tomba à l'eau. Depuis, on n'a plus entendu parler de cette technologie révolutionnaire. Maintenant, il n'y a plus qu'un an qui nous sépare de l'arrivée du planétoïde HALE-BOPP. Le danger est grand, car son arrivée prévue à 150 millions de km de la Terre ne tient compte, ni du détournement de sa trajectoire par Jupiter, ni du fait que son cours orbital traverse la ceinture des astéroïdes. Les cercles dans les champs, qui nous ont déjà rendu attentifs à l'énergie libre, annoncent également cet événement. Avec la “roue de feu” , ils confirment aussi nettement ses répercussions, qui ont été révélées à la Mission RAMA : un danger menace la Terre lors de son entrée dans la Quatrième Dimension. Alors, un astéroïde pourrait frôler la Terre, ce qui entraînerait une perturbation dans le champ électromagnétique de la Terre. En une réaction de chaîne, tous les réacteurs nucléaires présents sur Terre exploseraient alors, une catastrophe qui provoquerait la mort d'une grande partie de l'humanité.

Le pronostic astrologique pour 1996 décrit les conséquences de cet événement : compte tenu de ce fait, et des pollutions de l'environnement quotidiennes, dues à la plupart des sources d'énergie que nous exploitons actuellement, la solution réside incontestablement dans l'énergie libre ! En raison de l'urgence de la situation, je vous prie de bien vouloir demander à Richard C. HOAGLAND où en est l'état actuel des recherches et de communiquer ces informations dans MAGAZIN 2000.

Mark D. Fischer, PINNEBERG (Allemagne)

N.D.L.Réd. : En ce moment, Richard HOAGLAND s'occupe avant tout des monuments sur la Lune (Voir le Dossier Lune édité par Groupe Sentinelle). Rien de nouveau, encore, sur ses recherches sur la libre énergie. Dés qu'il y aura du nouveau, nous le signalerons.

Note de Sentinelle : Au vu de ce passionnant courrier, nous avons pris la décision de vous le présenter, en attendant de constater ce que nous réserve l’arrivée de HALE-BOPP.

Source : MAGAZIN 2000 n°111 - 6/7-96. Lettre de Philippe DANCOISNE

Suite à ma lettre publiée dans le dernier numéro de la revue, je voulais apporter quelques précisions. Il est certain que des faits dus au hasard peuvent bâtir toute une histoire. Faute de preuve, je ne peux donc rien affirmer avec une totale certitude définitive.

Toutefois, le 3 février 1996, j’ai appris, grâce aux indiscrétions d’un barman que j’étais surveillé ce jour là par un groupe d’une dizaine de personnes de 25/30 ans. Ces personnes semblaient parfaitement me connaître puisqu’elles parlaient de moi. Bien sûr, j’ignore qui sont ces gens. Voici donc cette fois-ci un fait avec témoignage à l’appui. Sommes-nous chacun surveillés sans le savoir ?

Étrange...

Philippe Dancoisne

Quelques observations

d’adhérentes et d’adhérents

Observation de Françoise Ballet Département : Creuse

Ce soir là, nous étions au village où se

déroulait une petite fête de campagne. Nous étions au bal et nous sommes sortis quelques instants pour prendre l’air. C’est à ce moment qu’une boule lumineuse, d’abord jaune, puis orange et par la suite bleue, est passée devant nous dans le ciel étoilé. Cet objet a décrit une large courbe et a même stoppé arrivé face à nous. Il est reparti et s’est arrêté sur notre droite. Comme il ne bougeait plus, nous sommes de nouveau rentrés au bal et n’avons pas assisté à sa disparition.

Observation de Didier Lefort Département : Oise

Lundi 26 août, vers 23 h 58, ne pouvant

dormir, j’ai fumé une cigarette à une fenêtre de mon appartement et, étant assez haut, j’ai tout de suite remarqué en direction des jardins de Creil, 2 boules orange très brillantes dont l’une éclairait plus que l’autre.

En direction de Creil, la grosse boule orangée est restée stationnaire pendant 10 minutes. L’autre boule, qui était en direction de la forêt, s’est déplacée lentement et a fait un aller-retour sur l’autre boule. Bien entendu, ces boules étaient parfaitement silencieuses.

Ne soyez pas surpris par mes fréquentes observations. Je ne divague pas du tout mais je suis confronté à cela depuis très longtemps.

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ESPRIT ET MATIÈRE

U ne équipe de chercheurs américains dirigée par le professeur JAHN a découvert, après d'innombrables

expériences, que des ordinateurs produisaient, statistiquement, des résultats significativement différents si une personne, à l'aide de sa force mentale, lui indiquait à l'avance un résultat déterminé.

Ces conclusions sont surprenantes, pour beaucoup de scientifiques, car elles impliquent d'un point de vue scientifique, une révolution analogue, avec ses conséquences imprévisibles pour tout l'édifice scientifique, que jadis la théorie de la relativité d'Einstein pour la physique de son temps. Donc, pour des savants, aussi, la matière ne pourra plus être de « la matière morte », car les pensées humaines, qui sont des forces, peuvent l'influencer dans son comportement. Un ordinateur se comporte différemment, suivant les pensées et les sentiments de la personne qui s'en sert.

Beaucoup d'utilisateurs d'ordinateurs auront certainement remarqué dans leur pratique quotidienne que des utilisateurs stressés et/ou irrités déclenchent beaucoup plus d'anomalies de fonctionnement au niveau de leurs PC et imprimantes laser que des utilisateurs harmonieux et concentrés. La même constatation peut certainement s'appliquer aussi à tous les appareils basés sur la micro-électronique. Source : CHRISTUSSTAAT n° 10 - 5/96.

UN BON GRAIN DANS LE CERVEAU

U ne société américaine a mis au point un électroaimant de la taille d’un grain de riz que l’on introduit sous la

surface du crâne et téléguidé dans le cerveau jusqu’au site concerné, telle une tumeur. L’aimant délivre alors de la radioactivité et, après quelques jours de traitement, est retiré par le même procédé. Les essais chez l’homme seront effectués en 1997. Source : PARIS-MATCH n° 2453 - 30/05/96.

LES HIÉROGLYPHES DE PÂQUES BIENTÔT DÉCHIFFRÉS

L 'un des nombreux mystères de l'Île de Pâques, des hiéroglyphes gravés sur des tablettes en bois, dont le sens

était jusqu'ici inconnu, a été déchiffré par un chercheur américain, selon un article de la revue britannique New Scientist paru le samedi 15 juin. Steven Fisher, ethnologue spécialiste des langages du Pacifique installé en Nouvelle-Zélande, a établi que cette écriture, connue sous le nom de « Rongo-Rongo » qui veut dire chant ou litanie, est une sorte de « chant cosmologique », inscrit sur des tablettes en bois par des prêtres de l'île au XVIIIème siècle pour expliquer les mystères de la création, rapporte l'hebdomadaire. Le rongo-rongo consiste en une série de hiéroglyphes, avec une base de 120 éléments stylisés, des créatures et des objets, qui, combinés, forment quelque 1.500 à 2.000 glyphes (traits gravés en creux). Dans les années cinquante, le chercheur Thomas Barthel de l'Université de Tübingen en Allemagne avait pu identifier ces éléments et établir que le rongo-rongo était un langage primitif, dont les motifs ne formaient pas un alphabet, mais n'avait pu leur donner un sens.

Il semble que cette écriture soit un phénomène , inspiré par la visite d'Espagnols en 1770. Le chef de cette expédition avait proposé aux chefs et aux prêtres de l'île de signer une proclamation d'annexion dans « leurs caractères natifs », rapporte New Scientist. Pendant six ans, Mr Fisher a visité les musées qui abritent les tablettes de rongo-rongo. C'est dans celui d'Histoire naturelle à Santiago du Chili, en février 1993, que le chercheur a eu « la révélation », devant une tablette de 1,26 mètre de long et 6,5 centimètres de large, porteuse de 2.300 glyphes.

Le scientifique a établi que des sections, environ tous les trois motifs, étaient séparées et que l’on y voyait la représentation stylisée d'un phallus. Les habitants de l'île de Pâques, comme les anciens Polynésiens, expliquaient les mystères de la création du monde en terme de copulation primitive, a découvert Fisher. C'est ainsi que la première phrase déchiffrée par le chercheur représente un oiseau, suivi d'un phallus, d'un poisson et d'un soleil et veut dire : « Tous les oiseaux ont copulé avec les poissons et de leur union est né le soleil ».

Steven Fisher avait déjà révélé les secrets de la plus ancienne littérature européenne en décryptant l'écriture minoenne. (A.F.P.).

Source : La Tribune de Genève du 14.06.96.

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LES OVNI SONT ATTIRÉS PAR L'ÉCOSSE

D epuis des années, BONNYBRIDGE, en ÉCOSSE, est le centre d'une vague d'apparition d'OVNI. Maintenant,

même les médias des États-Unis et du Japon s'intéressent à la petite ville dans les HIGHLANDS.

La vague a commencé il y a trois ans, lorsque Billy BUCHANAN a entendu le témoignage de son ami George WILSON, très excité, qui croyait avoir vu une soucoupe volante. « Il me raconta qu’il avait encore travaillé tard dans la soirée à FALKIRK et qu’il était rentré, ensuite, par les routes départementales » expliqua BUCHANAN. « Il m’a dit qu’il avait vu quelque chose, un OVNI, qui flottait au-dessus de la route. Il l’observa pendant dix minutes, ensuite, l’objet disparut à grande vitesse. Je ne savais pas ce que je devais penser de tout ça, mais je lui conseillai de s’adresser au journal local et de demander si quelqu'un d'autre avait encore pu observer quelque chose d'inhabituel. »

La réaction fut extraordinaire. 2.000 des 5.500 habitants de la localité se manifestèrent, en prétendant avoir vu des soucoupes volantes, des cigares, un “toblerone” et un objet en forme de chapeau. Mais chacun évoquait d'éclatantes lumières claires, la plupart du temps blanches, mais aussi rouges, oranges et vertes.

Il y a deux ans, Mr et Mme PROCEK roulaient dans la nuit noire, claire, lorsqu'ils virent un OVNI. « Je roulais dans un passage souterrain, et lorsque j’en sortis, je vis ces lumières à ma droite », expliqua Mr PROCEK. « Un objet elliptique avec des lumières brillantes sur ses bords. Nous avons ouvert le toit ouvrant. Un objet absolument identique se trouvait de l’autre côté. les deux ne faisaient absolument aucun bruit. Vus d’en bas, ils étaient triangulaires. » Mr WILSON, 26 ans, rentrait chez lui, après une fête de Noël, lorsqu'il se rendit compte que quelque chose se trouvait au-dessus de sa voiture. Il accéléra jusqu'à 140 km/h, pour le semer, mais l'objet restait au-dessus de lui, tantôt à gauche, tantôt à droite, avant de filer pour se retrouver, peu après, à nouveau directement au-dessus de lui. À nouveau, WILSON appuya sur le “champignon”, pour retrouver, peu après, l'OVNI en forme de cigare à nouveau au-dessus. Malcolm ROBINSON, 38 ans, était initialement un sceptique, en ce qui concerne les OVNI. Maintenant, il analyse objectivement le phénomène, vérifie chaque apparition auprès de la station météo, des aéroports régionaux et du ministère de la défense. Certes, il continue à croire comme auparavant que 90 % de tous les OVNI peuvent être expliqués d'une manière « naturelle », mais il est convaincu qu'il y a eu au moins 250 apparitions « authentiques »d'OVNI dans la zone de BONNYBRIDGE depuis 1993. Maintenant, les habitants de la localité réclament des investigations sérieuses. D'ores et déjà, le député Dennis CARAVAN a demandé l'ouverture d'une enquête officielle, à la Chambre des Communes britannique, mais le Premier Ministre John MAJOR n'y était pas intéressé. Et le ministère de la défense affirme qu'aucune enquête n'est nécessaire, ces objets ne représentant finalement aucune menace pour le Royaume-Uni. Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 6/7-96

D epuis de nombreuses années, déjà, le nom de “ASHTAR SHERAN” hante la littérature OVNI.

Il représente “un commandant d’une flotte spatiale» qui , de temps à autre, apparait personnellement à des contactés ou qui communique des messages à travers des médiums. Maintenant nous savons en tout cas, d’où provient le nom “ASHTAR”. Car à l’occasion de travaux de construction à ELYAKHIN dans la plaine de SHARON qui s’étend de JAFFA jusqu’au mont CARMEL, on a trouvé un certain nombre de récipients en bronze datant de l’époque des Perses (5 siècles av. J.C.) qui contenaient visiblement des offrandes faites à des dieux-des offrandes destinées aux “ASHTARS,qui sont à SHARON”. Une coupe de bronze particulièrement belle porte l’inscription : “C'est ce que TH a donné à BAGOI, pour la vie de son âme, aux ASHTARS”. Une autre inscription votive dit: “c'est ce que ESHMUNYATON et MAGON et BAALPILLES ont donné à leurs maîtres, les ASHTARS”. Dans son édition de mars/avril 1996, la célèbre “Biblical Archaeolology Review” a écrit : « Les ASHTARS ont du être un groupe de divinités qui ont été adorées

collectivement sur le territoire de SHARON”. ESHMUNYATON, MAGON et BAALPILLES sont tous des noms phéniciens traditionnels, ce qui montre quel groupe de population adorait “les ASHTARS”. Leur équivalent féminin était vraisemblablement la déesse ASHTARS ou ASTARTE la déesse de l'amour et de la fécondité, que les BABYLONIENS vénéraient en tant que ISHTAR. Nous trouvons la première allusion à un dieu masculin du nom de ASHTAR ou ATHTAR dans la mythologie de la ville cotière syrienne de UGARIT, telle qu'elle est consignée sur des tablettes d'argile issues du 14ème siècle avant J.C. Par la suite, ASHTAR essaye d'occuper la place de BAAC, le seigneur de la Terre, lorsque

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La coupe d’ASHTAR trouvée dans la plaine de SHARON. L’inscription phénicienne s’énonce : « C’est ce que TH a donné à BAGOI, pour la vie de son âme, aux ASHTARS. »

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celui-ci fut retenu prisonnier dans le monde souterain (ou selon Z. SITCHIN, dans la Grande Pyramide ). Mais il était trop petit pour seulement s'asseoir sur ce trône, ce qui montre qu'il n'était effectivement pas un dieu très important. Il ne réapparait qu'au cours du 9ème siècle avant J.C, et ce, sur la célèbre stèle MESHA, où MESHA, le roi MOAB, décrit sa victoire sur les Israélites. Il sacrifie ses prisonniers à son dieu ASHTAR-CHEMOSH. Ainsi, ASHTAR semble être en parenté avec SHAMASH, le dieu du soleil mésopotamien. Théodore H.GASTER, par contre, pense que les ASHTARS sont les dieux de l'irrigation artificielle, ce qui expliquerait pourquoi ils ont été vénérés dans la plaine de SHARON, fertilisée par des canalisations. Les médiums d'ASHTAR devraient peut-être éclaircir, un jour, ce problème...

Source : MAGAZIN 2000 n° 112 - 08/09.96.

“Triangle des Bermudes” au Sichuan

D es hommes disparaissent, des boussoles s'affolent , depuis des années on peut toujours, à nouveau, lire dans

la presse de la Chine du Sud des comptes-rendus sur une mystérieuse zone. le “Triangle des Bambous” — l'équivalent chinois du Triangle des Bermudes — se trouve au Sichuan, au Sud-Ouest de la République Populaire. Il semblerait même qu'en juillet 1950, cent soldats auraient disparu dans cette région d'une manière mystérieuse. À présent, des savants se sont intéressés à la “zone magique” tout autour de la gorge des bambous. Près de 50 experts, sous la direction d'un géologue et d'un botaniste, se sont mis à analyser le phénomène. La solution de l'énigme : le champ magnétique est tellement fort aux abords de la gorge, que les boussoles se détraquent et que les avions peuvent s'écraser. En plus, les plantes poussant sur le sol de la gorge dégagent des émanations toxiques. Enfin, la géographie des montagnes environnant cette région est à ce point compliquée que l'on peut facilement s'égarer dans les gorges et les vallées de la région. Selon l'agence de renseignements chinoise Xinhua, l'Université du Sichuan, en liaison avec d'autres organismes, doit maintenant se livrer à des investigations plus approfondies sur le “triangle des bambous”. Un institut de recherche, avec un budget annuel de 17.600 Dollars, a déjà été créé. Un amortissement de cette somme devrait être escompté dans un proche avenir, selon la République Populaire. Car la publicité autour de cette mystérieuse zone pourrait également attirer des touristes aventureux dans les sites pittoresques de cette région. Source : MAGAZIN 2000 n° 107- 10/11.95.

Terreur contre les ufologues et les contactés

E lle est révolue, l'ère dorée de la post-glasnost, lorsque l'ufologie, en Russie, avait été pratiquée plus librement et

plus ouvertement que dans n'importe quel autre pays. Selon la presse russe, des membres du Centre Ufologique de Moscou ont; à maintes reprises, été pris à partie et agressés depuis 1993, par des fanatiques religieux et des membres de diverses sectes. Selon l'agence de presse “NOVOSTI”, des ufologues ont reçu des menaces par téléphone, des tracts diffamatoires ont été distribués et leurs appartements privés et bureaux ont été barbouillés de graffitis. Dans un cas, la porte d'entrée d'un ufologue a été brulée. La terreur téléphonique a même sévi contre l'animateur de l'émission ufologique de la T.V., “Extra-NLO”, A.V. MYAGCHENKOV et sa collègue L.S. MAKAROVA, productrice de la populaire série télévisée “l'univers non identifié” a été passée à tabac, en pleine rue et en plein jour, avec des coup-de-poing américains au visage. À la suite du traumatisme subi, l'émission fut retirée du programme. Des ufologues réputés comme le cosmonaute Pavel POPOVITCH, V.P. KAZNACHEYEV, A.S. JUZOVKIN et le prof. AZHAZHZ se trouvent déjà sous protection policière. Ce dispositif est efficace à Moscou, et certains terroristes anti-OVNI se trouvent déjà sous les verrous. Mais la terreur continue à régner en province, à PENZA, YEKATERINBURG et TVER. En octobre 1995, le savant et ufologue russe A. SOLOTOV a été assassiné à TVER. SOLOTOV avait été l'un des enquêteurs les plus sérieux sur “l'incident de la TUNGUNSKA”, sur le crash d'un OVNI en Sibérie en 1908. De même, notre ami Victor KASTRIKIN, conférencier lors du Congrès “Dialogue dans l'univers” en 1990, à Munich, n'a pas été épargné. Le 9 décembre 1995, des fanatiques firent incursion dans son logement, vers 16 h, dévastérent le mobilier, et rouèrent de coup le septuagénaire, en n'épargnant aucune partie de son corps. Leur brutalité fut telle qu'ils le laissèrent à demi mort.

Source : MAGAZIN 2000 n° 112 - 08/09.96.

David DUCHOVNY (alias Fox MULDER dans « Aux Frontières du Réel ») ne tient pas sa langue. Il a annoncé les nouveautés que connaîtrait la série lors de la prochaine saison : son mariage avec sa partenaire Gillian ANDERSON (Dana SCULLY) et la naissance d’un enfant.

Source : TÉLÉ STAR n° 1032 (13 au 19/07/96).

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V oyage dans le temps — ce concept éveille chez l'un la pensée à un film de science-fiction, chez l'autre, des

constructions mentales de savants modernes. Les ésotéristes pensent à des voyages dans l'astral et à des projections de conscience, mais aucun ne pense au contenu effectif du mot — à savoir tout simplement le voyage dans le temps.

Et pourquoi donc ? N'y a-t-il pas eu quanti té d 'astrophysiciens, de mathématiciens et d'électromagnéticiens qui ont fait des thèses sur les univers parallèles, les quasars, les trous noirs, les plans d'existence multiples, les corridors de l'espace-temps, et qui ont en partie prouvé mathématiquement la possibilité de voyager à travers le temps ? Ces « génies » réputés ne croiraient-ils pas eux-mêmes à leurs constructions mathématiques ? Qu'y a-t-il donc de si invraisemblable à toute cette histoire ?

De nos jours, il est communément

admis que la vitesse d'expansion de l'univers est la vitesse de la lumière, et que, de ce fait, un corps dont l'accélération est portée à une vitesse supérieure à celle de la lumière doit impérativement quitter notre continuum de l'espace-temps. Le sceptique rétorquera : C'est juste, on ne peut pas accélérer un corps à ce point, mais on peut faire tourner un champ de tachyons, de quanta o u d e p a r t i c u l e s é l e c t r o m a g n é t i q u e s , s a n s problèmes, autour d'un corps, à une vitesse supérieure à celle de la lumière, ce qui produit le même effet. Or, il se trouve qu'une partie de ces « génies » a participé au cours de la 2ème Guerre Mondiale, sous la supervision du « Gouverne-ment Mondial Secret »(voir Jan Van HELSING) à un projet dénommé « Rainbow-Project » pour précisément

u t i l i s e r l a procédure décrite plus haut à des f i n s u l t r a -secrètes. Preston NICHOLS, co-auteur du livre sur le projet M O N T A U K , affirme avoir participé à ce p r o j e t , q u i découla plus tard du Rainbow-Project, et ce, en q u a l i t é d e d i r i g e a n t

technique. Après avoir pu mettre fin à son lavage de cerveau par son travail sur l'électromagnétisme, il commença à rechercher les racines de son passé ; à cette occasion, non seulement il fut confronté aux histoires les plus incroyables qui puissent se concevoir,

mais en plus, il se rendit acquéreur de presque toutes les machines utilisées à l'époque, connaît une grande partie des personnes qui y étaient impliquées, et peut renouveler aujourd'hui, les expériences qui ont été pratiquées à l'époque, si le désir s'en fait sentir. En collaboration avec Peter MOON, l'éditeur du livre aux États-Unis et Duncan CAMERON, l'acteur principal, en fait, ils racontent leur histoire personnelle dans ce livre, qui a été écrit comme un exposé de faits réels, mais qui pourrait se révéler un véritable casse-tête pour bon nombre d'esprits cartésiens. C'est pourquoi, les auteurs laissent le lecteur libre de croire si ces récits sont authentiques ou non. Non seulement Nicholas TESLA et Albert EINSTEIN étaient associés au « Rainbow-project », comme plus tard sous le nom de

LE PROJET MONTAUK

L'un des projets les plus secrets de l'histoire de l'humanité

Par Uli HEERD

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« Philadelphia Experiment », mais aussi celui qui, selon les dires même d'EINSTEIN, était le « super-cerveau » de tous les mathématiciens de ce temps, le Dr John Von NEUMANN (ex-savant allemand Hans Von NEUMANN). Le « Rainbow-Project » consistait notamment à expérimenter des techniques rendant impossible tout repérage par un radar ennemi. On aboutit à ce résultat en édifiant un champ électromagnétique fermé autour d 'un obje t , ce qu 'on appela i t « electromagnetic bottle », et en essayant ainsi de détourner les ondes radars autour du navire. Cela eut pour conséquence qu'un v a i s s e a u a i n s i emprisonné ne pouvait être reconnu par un radar ennemi, et a p p a r a i s s a i t pratiquement comme « invisible » au radar. Le bombardier furtif, le « Stealth Fighter » est directement issu de ces expériences.

On commença à pratiquer les premières e x p é r i e n c e s d'invisibilité sur de gros objets de matière solide (bateaux, avions, etc...) à partir de 1933, à « l ' I n s t i t u t e f o r Advanced Study » spécialement aménagé à c e t e f f e t à l ' U n i v e r s i t é d e Princeton, à partir des fondements de David HILBERT (“Hilbert Space”, 1912), du Dr LEVINSON (Levinson Time E q u a t i o n s : Équation du temps de Levinson), du D r J o h n HUTCHINSON S e n i o r , e t d u D r KURTENAUER. En 1936, le projet connut une expansion ultérieure et Nicholas TESLA en fut nommé directeur. Avec son aide, on arriva à la fin de cette année à obtenir les premiers succès en matière d'invisibilité partielle. Les recherches se poursuivirent jusqu’en 1940, lorsqu'on pratiqua le premier test complet dans le port maritime de BROOKLYN, et qu'a cette occasion, un navire sans équipage

est vraiment devenu invisible aux yeux des témoins, sous l'effet de l'accélération du champ. A cette époque, un autre savant, T. TOWNSEND, un génie en matière de gravitation et de mines magnétiques, a été intégré au projet. Les progrès réalisés au niveau de l'invisibilité de navires sans équipage avançaient à grand pas, ce qui inquiéta fort TESLA. Il déclara aux « hommes en gris » à l'arrière-plan qu'il y aurait des problèmes au cas où un équipage devait se trouver sur un bateau, mais on ne tint

aucun compte de son avis. C'est pourquoi, TESLA sabota le projet en

mars 1942. VON NEUMANN reprit la direction, et l'on utilisa un nouveau navire — l'USS ELDRIDGE. Les premiers essais furent pratiqués en cale sèche, et les essais suivants dans le port de PHILADELPHIE. Le premier essai tourna court, et un technicien subit une attaque qui le plongea dans le coma durant quatre mois. Le second test eut lieu le 20 juillet 1943. Duncan CAMERON et son frère Edward (aujourd'hui Al

Bielek) se trouvaient sur le b a t e a u e n t a n t q u e techniciens. Le bateau resta

invisible pendant 15 minutes, mais les membres de l'équipage se sentirent mal, et tous furent affectés de désorientation et de troubles psychiques. L'expérience proprement dite, connue plus tard sous le nom de « Philadelphia Experiment », fut pratiquée le 12 août 1943, après que

six jours auparavant, déjà, trois OVNI étaient apparus au-dessus du navire. Tout semblait bien se dérouler, les observateurs pouvaient discerner les contours du navire invisible dans l'eau, puis, l'incident eut lieu. Lorsque le bateau réapparut plus tard, un spectacle de désolation s'offrit aux spectateurs. Le mât radio, ainsi que l'émetteur, étaient détruits, les matelots étaient comme agglutinés aux parois du bâtiment, du fait que leurs molécules s'étaient mélangées à celles du navire, d'autres

couraient dans tous les sens, comme pris de folie. Que s'était-il passé ? Duncan et Edward, qui s'étaient trouvés eux-mêmes dans les locaux protégés du générateur, ont raconté plus tard que le même jour, donc le 12 août, mais quarante ans plus tard, une autre expérience s'était déroulée à MONTAUK, Long Island, et que le navire avait été attiré à travers un vortex temporel, un tunnel du temps, dans l ' h y p e r e s p a c e . D e s recherches avaient montré que la terre, comme l 'homme, présente un biorythme, qui atteint son

apogée tous les vingt ans, et ce, toujours le 12 août. C'est ainsi que l'expérience de Philadelphie coïncida avec le projet MONTAUK et eut pour conséquence supplémentaire, par l'association avec le champ magnétique terrestre, d'attirer le « Eldridge » dans l'hyperespace. Cependant, les frères CAMERON ne furent pas en mesure d'éteindre les générateurs, du fait que tout était lié en plus, de par le temps, au projet MONTAUK, et ils pensèrent que le mieux était de sauter par-dessus bord. Mais au lieu de tomber dans l'eau du port, ils se retrouvèrent en cale sèche à MONTAUK, le 12 août 1983. Là, ils rencontrèrent John Von NEUMANN, qui était devenu plus âgé de quarante ans, et qui leur dit qu'il les attendait depuis 40 ans. Il expliqua aux voyageurs du temps que les techniciens de MONTAUK n'avaient pas pu éteindre les appareils, et qu'ils devaient ainsi retourner sur le « Eldridge » pour détruire les installations. Donc, après différentes autres excursions, ils retournèrent sur le « Eldridge » et détruisirent les appareils. Duncan retourna en 1983 et Edward réapparut sur le « Eldridge » à Philadelphie en 1943.

Montauk Air Force Base — Vue partielle en direction Nord. À droite se trouve la salle de contrôle des ordinateurs. La bâtiment arrondi à gauche est la station radar, qui a également servi d’entrepôt.

Circulaire interne pour le fonctionnement de la base de Montauk.

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L'état-major de la NAVY était indécis sur la façon de procéder, mais se décida quand même, en fin de compte, à pratiquer un dernier essai, au cours duquel, en octobre 1943, le navire sans équipage resta invisible pendant 15 à 20 minutes. Lorsqu'il réapparut, certaines pièces de l'équipement manquaient et la salle de contrôle n'était plus qu'un tas de décombres brûlants. Quelqu'un avait dû être à bord, mais qui ? La NAVY commença à avoir peur et mit ainsi fin a u p r o j e t . C o n t r a i r e m e n t a u Gouvernement Secret, qui avait supervisé toute l'action.

Au milieu de 1949, c'est le « Phoenix Project » qui vit le jour, pour éclaircir les phénomènes qui s'étaient produits au cours du « Rainbow-Project ». On rappela le Dr John Von NEUMANN et son équipe de chercheurs pour se consacrer aux nouvelles tâches. Le nouveau plan avait, en fait, un nouvel objectif : déterminer la défaillance qui s'était produite en 1943 au niveau du « facteur humain ». Au début des années 50, on décida d'associer les survivants du « Rainbow-Project » au contrôle météo (au moyen des radio-sondes mises au point par Wilhelm REICH) dans le « Phoenix Project ». La centrale de commandement se trouvait dans les laboratoires de BROOKHAVEN à LONG ISLAND et le Dr John Von NEUMANN en prit la direction. Mais lorsqu'il commença les recherches, il se rendit bien vite compte qu'il faudrait i n é v i t a b l e m e n t s ' o c c u p e r d e métaphysique, du fait que la structure physique, biologique, aussi bien qu'électromagnétique de l'homme avait été influencée, et que certains matelots avaient vu leur structure moléculaire c h a n g e r j u s q u ' à e n d e v e n i r méconnaissables. Mais selon le Dr John Von NEUMANN, dans tous les cas, c'était l'activité ésotérique de la conscience qui avait été mise à contribution en tout premier lieu.

Les recherches effectuées au niveau du secteur humain s'étendirent sur presque 10 ans jusqu'à ce qu'on puisse indéniablement prouver que chaque homme naissait avec un « point de référence temporel », ce qui prouve aussi que le corps spirituel doit être vu séparé du corps physique. L'âme est ce que nous sommes réellement. Notre compréhension en tant qu'être physique et métaphysique se fonde sur le point de référence temporel qui, à son tour, est en r e l a t i o n a v e c l e c h a m p électromagnétique de la terre. Ce point de référence temporel nous sert comme

point d'orientation fondamental pour notre compréhension de l'univers et de ses processus, de même que pour nos sensations linéaires. Or, ce qui se passa au cours de la mise en invisibilité de l’« Eldridge », ce fut la séparation des matelots avec leur point de référence temporel, ce qui engendra un chaos au niveau de leur corps électromagnétique, ainsi que spirituel. Ce qu'il fallait donc créer, et ce fut le prochain objectif du projet Phoenix, c 'é ta i t une « réal i té artificielle », une sorte de heaume d'invisibilité. Mais comment créa-t-on une cloche électromagnétique autour d'un homme ?

À l 'a ide d 'énormes ordinateurs qui, à l'époque, étaient déjà à la disposition des unités d'élite, il relia la « réalité artificielle » naissante à la surface naturelle de la terre, ou, en tout cas, à suffisamment d'informations, pour créer l'illusion d'un courant temporel continu et communiquer ainsi au sujet d'expérience, à un certain degré, le sentiment de normalité. Le « Phoenix Project » connut son apogée en 1967, et un rapport final fut soumis au Congrès. Les députés furent tout d'abord fascinés par les résultats, qui prouvèrent, d'une part, qu'il était possible d'influencer la conscience humaine au moyen d'ondes électromagnétiques et d'autre part que l'on était en mesure de construire des machines à l'aide desquelles on pouvait manipuler les pensées humaines ! Mais en fin de compte, le Congrès refusa quand même de donner son accord et décida d'arrêter le projet en 1969.

Mais avant que le Congrès ne mette f in au p ro j e t , l e g roup e d e BROOKHAVEN avait déjà constitué un puissant centre de force autour de lui. On y comptait des initiés élevés des services secrets, ainsi que du « Gouvernement Mondial Secret », du fait qu'il disposait, d'une part, de la technologie « Stealth », et d'autre part, des techniques de Wilhelm REICH, et pouvait ainsi agir, avec une certitude absolue, sur l'esprit humain. Lorsque le Haut-Commandement militaire eut vent de cela, il fut évidemment fasciné par ces perspectives. Imaginez-vous des troupes ennemies courant au-devant de l'adversaire, les mains levées (c'est précisément cette technologie qui a été mise en oeuvre, du côté américain, dans la Guerre du Golfe). Les militaires

furent enthousiasmés et se déclarèrent prêts à apporter leur collaboration. L'argent fut fourni par le groupe de BROOKHAVEN et les militaires mirent à disposition l'équipement (un vieux

radar SAGE pour l'émission de 425-450 Mégahertz en vue du contrôle de la conscience) et la base aérienne abandonnée à MONTAUK. Le projet fut baptisé du nom de « Phoenix II », mais fut appelé « Projet MONTAUK » par les initiés. Le financement fut assuré, d'une part, par 10 milliards de dollars en or, raflés en 1944 par l'explosion d'un train transportant de l'or des Nazis, d'autre part, par le soutien de la famille KRUPP, qui contrôlait également le trust ITT.

C'est ainsi que le « Projet MONTAUK », proprement dit, fut véritablement mis sur les rails en 1971. À l'aide du radar SAGE, les techniciens furent en mesure de modifier, à leur gré, l'état d'esprit sur la base, en manipulant tout simplement la fréquence et la durée d'oscillation du radar. On utilisa, comme cobayes, des corps d'armée entiers, qu'on invita à passer le week-end à la base. De même, les habitants de LONG ISLAND des environs de NEW-YORK, ainsi que du CONNECTICUT, furent soumis à ce test, pour vérifier la portée du rayonnement, et la réaction des différentes personnes individuelles. On passa un certain temps à observer les effets des différentes vibrations et impulsions. On put tester les points les plus divers. Pour toutes ces expériences, on rassembla soigneusement toutes les données, qui furent stockées dans de gigantesques banques de données. Le résultat en fut la mise au point d'un appareil pouvant émettre certaines impulsions, modulations et fréquences, dont l'action avait été soigneusement

Réflecteur radar : il se trouvait sur le toit du bâtiment d’émission, et avait environ la longueur d’un stade de foot. Au début des expériences, on s’en servit pour émettre des signaux en vue du contrôle de la conscience.

© MAGAZIN 2000

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déterminée au préalable — et qui pouvait notamment copier des schémas de pensée humains ! L'agression délibérée sur l'esprit humain pouvait ainsi commencer.

Preston NICHOLS, qui devint plus tard le directeur technique du « Projet MONTAUK », avait travaillé sur des bases purement scientifiques avec des télépathes, au cours de ses recherches en tant qu'ingénieur électronicien au début des années 70, et avait découvert à cette occasion une onde, analogue à l'onde radio, qui transmet des pensées.

Mais les gens de MONTAUK eurent encore plus de chance et reçurent d'autres soutiens inespérés. Au cours des années 50, le consortium ITT avait mis au point une technologie de sensors qui pouvaient littéralement enregistrer les pensées d'une personne — une machine à lire les pensées ! Une personne était assise dans une chaise — qu'on appela plus tard la chaise de MONTAUK — entourée de bobines Tesla, et qui e n r e g i s t r a i t l e s i m p u l s i o n s électromagnétiques du cerveau. Celles-ci, à leur tour, étaient exploitées dans de gigantesques installations informatiques, interprétées et retransmises sur un moniteur.

Cette chaise fut intégrée au projet MONTAUK et restructurée de manière à constituer une sorte d'émetteur. La personne d'expérimentation dans la chaise, un médium spirituel — dans 95 % des cas Duncan CAMERON, qui avait été spécialement formé par la NSA (Agence Nationale de Sécurité) à cette fin — émettait en direction de l'équipage du navire une réalité de substitution, pour réduire ainsi le risque humain lors des expériences d'invisibilité. De cette manière, le navire, à l'état d'invisibilité, se trouvait en synchronisation avec la réalité émise. Edward CAMERON fut également associé à nouveau au projet, mais cette fois-ci en tant que conseiller métaphysique.

Il fallut encore attendre trois autres années jusqu'à ce qu'on eut réglé les ordinateurs, les émetteurs et les amplificateurs de manière à ce que tout se déroule selon le programme prévu. En fin de compte, on avait mis au point un amplificateur de pensées. Fin 1977, on était arrivé au point de pouvoir reproduire des formes-pensées avec une très grande précision. Le médium dans la chaise de MONTAUK n'avait qu'à se représenter un objet matériel et celui-ci apparaissait à un endroit ou un autre de la base. Imaginez-vous cela. Une personne dirige sa conscience sur un

objet, et celui-ci se forme directement à partir de l'éther ! On expérimenta cette technique de matérialisation pendant une autre année, jusqu'à ce qu'on puisse franchir le prochain obstacle. Au moyen d'une boucle de cheveux ou d'un autre indice d'une personne, et par le renforcement de l 'émetteur de MONTAUK, Duncan était en mesure de voir à travers les yeux de la personne visée, d'entendre à travers ses oreilles, de sentir à travers son nez et de penser à travers ses pensées. Plus tard, il réussit, par la technique disponible, à imprimer son esprit dans celui d'une autre personne et à manipuler ses pensées — à l'inciter à commettre des actes que la personne ne commettrait pas librement.

O n u t i l i s a d e s p e r s o n n e s individuelles, des foules, des animaux, des appareils ; tout fut testé.

Ces recherches furent pratiquées jusque vers 1979, jusqu'à ce que l'on découvrit, par hasard, un a u t r e p h én o mè n e . Le médium envoyait un signal mental vers 6 h, mais l ' o b j e t n'apparaissait pas à la même minute à partir

de l'éther, mais seulement une demi-journée plus tard. Il y avait eu visiblement un décalage du temps. Les savants se rendirent clairement compte qu'ils pouvaient utiliser les facultés médiumniques de Duncan pour une distorsion temporelle !

On enquêta sur ce phénomène, jusqu'à ce qu'on découvrit que l'on pouvait mettre le projet MONTAUK en résonance avec la référence temporelle zéro de la terre, au moyen d'une construction d'antenne spéciale (Delta T), et que l'on pouvait créer un corridor temporel vers le USS Eldridge en 1943, ce dernier devint plus tard le vortex principal, qui fut utilisé pour voyager à travers les différents tunnels du temps. En 1980, on en arriva au point où Duncan, par une projection astrale, pouvait par exemple ouvrir un portail vers 1990 qui, à nouveau par la technique existante, pouvait à ce point être renforcé qu'il resta solide. Si solide qu'on put filmer à travers lui. D'autres raffinements techniques permirent aux chercheurs de renforcer toute une série

de tunnels temporels en un état solide et d'y envoyer des hommes à travers eux. C'est ainsi que commencèrent les voyages dans le temps à MONTAUK. Durant trois longues années, les équipes spéciales de MONTAUK voyagèrent, depuis tous les passés possibles jusqu'à tous les futurs les plus intéressants, filmèrent, enregistrèrent sur micro-puces, firent des recherches, des comparaisons, en confrontant des événements du passé avec les livres d'histoire, visitèrent Jésus, etc... Tout ce qu'on peut s'imaginer dans ses rêves les plus hardis.

Le livre s'achève avec des données sur Nicholas TESLA, Wilhelm REICH, sa radio-sonde, et plus encore, et le lecteur se réveille comme après un mauvais rêve. Il se trouve confronté à quelque chose qu'il ne connaissait jusqu'à présent que de la science-fiction, mais dont les auteurs affirment cependant avec gêne, qu'ils y ont eux-mêmes participé.

S'il faut accorder quelque créance à tout ce qui est écrit dans ce livre, il faut avouer qu'un projet a été exécuté, derrière notre dos, qui n'a pas seulement coûté la vie à des milliers d'hommes, mais qui a également mis en péril l'existence de notre planète et l'existence ultérieure de l'humanité, et qui continue très vraisemblablement à les mettre en péril.

Les lecteurs de Sentinel News, bien qu'habitués à certaines notions exposées précédemment, mettront peut-être un certain temps à bien assimiler et structurer toutes ces informations.

Le « Projet MONTAUK » allie les

modalités de la science moderne aux techniques ésotériques les plus élevées et catapulte le lecteur au-delà du seuil de l'univers et de sa conscience.

Aurez-vous le courage de vous confronter à ce thème ?

Note de la rédaction de MAGAZIN 2000 : Cet exposé passionnant doit inciter à la réflexion. Son contenu peut paraître fantastique à plus d'un, mais c'est précisément pour cette raison que MAGAZIN 2000 publie aussi des articles pouvant inciter les lecteurs à des recherches et réflexions personnelles.

Note de la rédaction de SENTINEL NEWS : Dommage pour nous que cet ouvrage ne soit pas encore traduit en français. Dans ce domaine, vous avez déjà remarqué que nous sommes à la traîne.

Source : MAGAZIN 2000 n° 105 - 6/7.95.

Chaise de Montauk Chaise de Montauk

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Très intéressant livre qui nous conduit dans cette belle île de CUBA, où des événements étranges n’ont cessé de se multiplier : apparitions d’O.V.N.I., disparitions de MIG et de sous marins atomiques etc. Andrès ALFAYA, mandaté par le Ministre de l’Intérieur de l’époque, a eu pour mission de diriger un groupe pour effectuer des recherches sur ces étranges affaires. Son analyse est précise et présente les faits avec une réalité objective. Fantastiques révélations.

Livre très agréable à lire où l’on retrouve Jimmy GUIEU avec le même humour décapant qui lui est caractéristique et qu’on aime, mais qui nous surprend néanmoins avec ce roman plein de tendresse dont le personnage principal est un petit garçon doté de facultés psychiques, entouré d’une brochette savoureuse de personnages authentiques et sympathiques avec bien sûr en toile de fond les O.V.N.I.. Attachant !

L’événement INDEPENDENCE DAY

© SFX n° 38

Ça y est ! Il est arrivé !

Qui ?

Independence Day bien sûr. Ce fameux film qui bât tous les records aux États-Unis et qui nous prépare une invasion américaine de films relatant les visites d’extraterrestres sur Terre. Ceux-ci ne sont pas très sympathiques et cherchent tout bonnement à s’emparer de notre planète. Bien entendu, les TERRIENS gagnent à la fin.

Dans la réalité, nous ne sommes pas du tout certain, mais vraiment pas du tout, que nous serions les vainqueurs potentiels d’un tel combat; notre technologie étant largement à la traîne. Mais, c’est du cinéma ! Et cela ne peut bien sûr pas arriver puisque nous sommes censés nous occuper de choses qui n’existent pas !

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Suivi après installation

Nouvelles photos de la NASA qui montrent

des OVNI en orbite autour de Saturne

U n nouveau livre écrit par un scientiste de la NASA, le docteur BERGRUN, affirme qu’un grand OVNI

de la forme d’un cigare a été photographié en train d’orbiter autour des anneaux de SATURNE.

Dans son nouveau livre “The Ring-Makers of

Saturn” (les faiseurs d’anneaux de SATURNE), le docteur BERGRUN affirme que la sonde Voyager a pris des photographies de l’engin qui est estimé avoir approximativement la taille de la TERRE.

Lors du show rad iophonique d’Alan HANDLEMANN qui a eu lieu le 30 janvier 1996, le docteur BERGRUN a révélé que l’engin semblait contrôlé intelligemment et que l’on pouvait distinguer des hublots tout au long.

Il a dit qu’à en juger par les photographies, l’engin était tellement énorme qu’il pouvait contenir « une civilisation entière. »

Il a fait référence à cet appareil comme étant un véhicule électromagnétique.

Lorsqu’on lui demanda pourquoi la NASA n’avait pas

fait part de cette observation, le docteur BERGRUN répondit que l’Acte de l’Espace de 1958 stipule que le public devrait être informé uniquement des faits concernant l’espace et des photographies simplement s’ils sont qualifiés de “non-hostiles”.

« Un engin de cette taille » dit-il « serait sûrement classé comme hostile et par conséquent ne serait pas révélé au public. Cela aurait une beaucoup trop grande signification militaire. »

François Couten

Robert Alessandri se sépare du CERPA (d’un commun accord) et reprend à son compte la revue UNIVERS OVNI qui tirera désormais à 10.000 exemplaires et sera disponible dans tous les kiosques suite à sa distribution par les messageries de presse. Nous lui souhaitons bonne chance et bon courage pour cette dure tâche qui l’attend. Le n° 2 paraîtra début octobre.

04.91.48.31.66