sentinel ufo news - 002

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TRIMESTRIEL — juillet-août-septembre 1996 numéro

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SENTINEL NEWS n° 2 juillet - août - septembre 1996

TRIMESTRIEL — juillet-août-septembre 1996

numéro

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SENTINEL NEWS n° 2 juillet - août - septembre 1996

4 Touche pas mon ufologie

5 Le danseur des étoiles - Robert Morningsky

9 Les disques de l’Apocalypse du XXème Siècle

10 Les OVNI existent malgré tout

15 Hypothèses sur les mutilations animales

16 Astronomie

20 Rencontre avec des E.T. à Porto-Rico - 2° partie

22 Le pillage de l’Amérique

24 Crash d’OVNI en Argentine en 1950

28 Activités E.T. du type 1

29 Réunion de G. Gruais et G. Mouny à la FNAC

30 E.T. dans les bases américaines

31 La Jérusalem Céleste

34 Les OVNI et l’art du camouflage... éventé !

36 Le phénomène X-FILES

38 Technologie... cachée ?

39 Déclaration de Budd Hopkins

43 Nouvelles brèves du monde

47 Mystérieux “Chupacabras” à Porto-Rico

48 Courrier des Lecteurs

La revue SENTINEL NEWS est éditée par le GROUPE SENTINELLE

Reproduction autorisée après demande écrite faite

auprès du siège social de l’association. Fondateurs : Hervé Clergot, Philippe Guignard, Nathalie Nawoy & Patrice Roger. Fonctions : Président & Rédacteur en Chef : Patrice Roger Trésorier: Philippe Guignard - Secrétaire : Hervé Clergot - Secrétaire Adjointe : Nathalie Nawoy - Dessinateur : Roger Roux Traducteurs : Frédéric Lienhard, Philippe Guignard & Hervé Clergot - Relectures & Corrections : Claudine Cheneby - Actualité Ufologique : Franck Marie & Christian Macé - Documentaliste Expert-Défense : François Couten - Délégué pour la Suisse : Michel Oberson.

Les documents, textes, articles et photographies publiés sont sous la seule responsabilité de leurs auteurs. Nous les publions sans nécessairement en approuver tous les termes. Les textes non publiés ne sont pas retournés. Pour remercier quelques amis (services rendus, dons, etc...) GROUPE SENTINELLE passe des textes publicitaires à titre gracieux dans cette revue qui ne revêt aucun caractère commercial.

GROUPE SENTINELLE est le correspondant en FRANCE de MAGAZIN 2000, revue ufologique allemande, éditée par :

Gather Druck & Verlag - Lupinenstr. 103 41466 Neuss - Allemagne

L'info du Trimestre

IRAN, JÉSUS EST-IL APPARU A TÉHÉRAN ?

Selon des chrétiens arméniens de la capitale

iranienne, Jésus est apparu à Téhéran. Quatre jours avant Noël 1995, il serait apparu dans une modeste maison à l’est de la capitale iranienne « avec barbe et bâton, habillé de blanc ». La fille du propriétaire de la maison vît tout d’abord la « lumière blanche au mur ». Depuis, des centaines de croyants sont venus dans la maison, ont prié, ont attendu un miracle — et beaucoup auraient vu l’apparition.

Source : MAGAZIN 2000 n° 110 - 4/5.1996.

n°2

GROUPE SENTINELLE

Siège social : 8, rue Bertrand de Vogue 51100 REIMS

℡& 03.26.06.68.59

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SENTINEL NEWS n° 2 juillet - août - septembre 1996

Le mot du Président :

N uméro 2 de Sentinel News et déjà le premier changement concernant le système de reliure, comme vous venez de vous en apercevoir. Nous avions remarqué, avec la revue n° 1, que la barrette de reliure rigidifiait trop celle-ci et ne facilitait pas son ouverture, donc sa lecture.

Nous avons donc remédié à ce problème en nous décidant pour des reliures spiralées,

beaucoup plus pratiques pour la manipulation de la revue et sa lecture. Nous gagnons également de la place sur les marges et cela fera toujours quelques lignes supplémentaires à lire.

Merci à vous, chères adhérentes et chers adhérents, de travailler pour Groupe Sentinelle en

faisant votre possible pour nous faire connaître à nos concitoyen(ne)s. Je sais que la tâche n’est pas facile et qu’il faut de la persévérance, mais je m’avoue assez surpris de votre enthousiasme à l’égard de notre association. N’hésitez pas à me demander des plaquettes de présentation, je vous les enverrai rapidement.

N’hésitez pas à contacter le journaliste de votre quotidien régional, chargé des enquêtes

ufologiques, pour nous faire connaître. Les quotidiens ont une courte rubrique destinée à présenter certaines personnes actives de nouvelles associations. Visitez aussi les librairies ésotériques, certaines d’entre elles acceptent de présenter nos plaquettes publicitaires.

Sachez que Groupe Sentinelle est déjà cité dans le journal local de la région de Reims,

L’UNION, et qu’un article publicitaire nous est consacré dans le numéro de juillet de Vous et Votre Avenir. Nous sommes également dans la “Lettre d’Information de Pierre de Villemarest1”, suite à notre envoi d’articles sur la génétique et le Projet HUGO. Nous vous présenterons ces articles, prochainement, dans Sentinel News.

Merci également aux autres associations ufologiques ayant accepté une collaboration avec

nous. Nous citerons le CERPA, le CEOF, UFOMANIA, le GAC, l’UEC et FRANCE-UFOLOGIE2. Sachez également que Richard D. Nolane a gagné son combat contre SOS-OVNI, mais que d’autres “chamailleries” entre associations ufologiques continuent. Quel dommage d’en arriver là ! Comme si cela était voulu !

Merci à nos traducteurs qui, par leur travail intense, vous permettent de découvrir des

articles en provenance de pays étrangers. Merci à notre ami George C. Andrews pour la richesse de sa documentation qu’il nous envoie des U.S.A. et actuellement en cours de traduction. N’oublions pas Geneviève Vanquelef, toujours en avance, dans notre pays, sur nous autres ufologues, avec ses livres en provenance directe de l’étranger.

Pour terminer cet édito, je tiens à remercier particulièrement nos amis Guy Gruais et Guy

Mouny, auteurs de plusieurs ouvrages sur l’Égypte, pour leur collaboration à notre groupe et notre revue. Vous découvrirez ainsi, en avant-première, la richesse de leurs recherches sur les mystères que notre planète recèle.

N’hésitez surtout pas à nous faire part de vos commentaires et de vos idées. Bonne lecture à toutes et tous. Patrice ROGER

1 - Lettre d’Information de Pierre de Villemarest : Centre Européen d’Information — La Vendômière — 27930 CIERREY. 2 - Pour les adresses de ces groupes, voir les publicités sur leurs revues en page 37.

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C es derniers temps, à la lecture de divers ouvrages et articles, j’ai eu la nette impression que certains ufologues, à défaut

d’avoir matière à s’occuper, s’en prenaient férocement à leurs semblables. J’ignore tout des motivations profondes de ces personnes, mais il reste que ces règlements de comptes, par livres et articles interposés sont franchement désagréables, pour les groupes ufologiques tentant de rester neutre.

Il n’est pas

rare, en lisant de tels articles, d’assister à un v é r i t a b l e autodafé de tel ou tel auteur u f o l o g i q u e , s u r t o u t l o r sq u e celui-ci n’épouse pas les convictions de tel autre, ou qu’il fait circuler de fausses informations. Il est certain qu’il faille dénoncer de telles malversations, mais cela ne pourrait-il être fait de vive voix entre les intéressés, au lieu d’avoir des « lessives publiques », traînant dans la boue la recherche ufologique ? En constatant que ce pugilat verbal risque de durer longtemps, je m’interroge sur l’avenir de la recherche ufologique et de sa crédibilité aux yeux du public. Je doute fort qu’avec ces querelles, nous puissions parvenir à sensibiliser les gens sur le problème que représente le phénomène OVNI.

Ne comptez pas sur moi pour vous

donner des noms, n’étant pas là pour faire de la délation ou pour me liguer contre untel ou untel. Je cherche simplement à étudier, en toute tranquillité avec des chercheurs privés ou d’autres groupes ufologiques, un phénomène qui nous dépasse tous et dont personne, du moins à ma connaissance, ne peut arguer détenir la solution.

Bien sur, on ne s’improvise pas ufologue du jour en lendemain, il faut tout de même connaître les bases principales de ce qui compose l’ufologie. C’est ce que j’ai fait, lorsque j’ai commencé à m’intéresser à l’ufologie. Un petit peu d’astronomie, une pincée de trigonométrie, beaucoup de lectures sur le sujet, et un nuage de physique pour compléter le tout. Voilà la potion ufologique permettant d’obtenir quelques bonnes bases. D’ailleurs, vous conviendrez qu’il serait plutôt risible et pathétique à la fois, pour un ufologue, de confondre un véritable OVNI avec la planète Vénus. Comment de cette erreur, cet ufologue malchanceux pourrait-il convaincre ses pairs et le public, de son sérieux et de sa maîtrise du phénomène ?

Fort de cela, je peux aujourd’hui

garder la tête haute, tout en la gardant froide, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. Ainsi, nous avons des personnes peu scrupuleuses, faisant de l’ufologie quantitative et lucrative, au détriment de l’ufologie qualitative qui, on s’en doute, est beaucoup moins porteuse de dividendes. De cette triste constatation il découle que, ces personnes n’ayant pas pris la peine de vérifier la véracité de leurs informations, font circuler des informations erronées, voire de grossiers canulars, qui sont repris de bon choeur, par les groupes ufologiques.

Il doit toutefois exister une justice,

puisque ces pratiques seront dénoncées par d’autres chercheurs, qui eux, auront pris la peine de vérifier les informations en se rendant sur place et en étudiant les faits avec les témoins. Mais avant que cela ne soit, le mal aura été fait et tous les pauvres ufologues déconfits auront été les dupes de ces ufologues de peu de foi. Les conséquences prévisibles qui feront suite à ces pratiques honteuses, seront les fameuses empoignades verbales ou écrites par livres ou revues interposés.

Je doute fort que nos voisins du

cosmos daignent encore poser le pied sur

notre planète, en constatant que certains ufologues paranoïaques, en mal d’inspiration littéraire ou de faits concrets, puissent raconter des histoires à dormir debout à leur sujet.

Que la période conjoncturale

actuellement en France, ne permette pas aux ufologues d’étudier une trace d’OVNI digne de celle de Trans-en-Provence, ne nous autorise en aucune manière, à faire circuler de fausses informations, provenant de sources douteuses et divulguées par des personnes ne voyant dans cette manoeuvre, qu’un simple intérêt commercial.

Il conviendrait donc que tous les

ufologues de bonne volonté puissent unir leurs efforts, partageant le fruit de leur travail entre-eux et avec toute personne désireuse de s’intéresser à la recherche ufologique, mais en restant toutefois sur le qui-vive, quant à la véracité des informations qu’ils pourraient détenir, provenant de sources douteuses ou de personnes persuadées de détenir la vérité. Ces dernières étant aussi néfastes et méprisables que celles faisant circuler des canulars.

En conclusion, le diktat de certains

ufologues et les digressions paranoïaques d’autres, me donnent l’envie de dire « Touche pas mon ufologie ».

TOUCHE PAS MON UFOLOGIE

Par HERVÉ CLERGOT

BANQUE OVNI

Banque internationale de données ufologiques

BP 41

92224 BAGNEUX Cedex

℡16.1.47.46.87.11 16.1.47.46.08.01

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MAGAZIN 2000 a interviewé

LE DANSEUR DES ÉTOILES

Robert MORNINGSKY

Par Natalia ZARHADNIKOVA et Michael HESEMANN

V otre grand-père a connu, en 1947, une rencontre très étrange, qui a changé sa vie...

Oui, en août 1947 (le 13, pour autant

que je me rappelle), plus d’un mois après le fameux crash d’OVNI près de ROSWELL, mon grand-père se trouvait, avec cinq amis, sur une recherche de vision. Il s’agit là d’une vieille cérémonie, d’une technique, pour sonder son propre avenir, pour savoir ce que les étoiles te réservent. Et ils virent une lumière au ciel qui descendit et s’écrasa.

Chez nous, les êtres et les hommes des étoiles font partie de la vie quotidienne.

Nous croyons en eux, nous savons qu’ils existent, nous leur parlons, nous dansons avec eux, aussi il n’est pas étonnant que mon grand-père s’intéressa pour cette lumière dans le ciel, qui des-cendait, et qu’il savait que des hommes des étoiles étaient à l’intérieur. Malgré tout, ces jeunes gens étaient très naïfs, ils ignoraient tous ces bruits qui couraient dans les réserves et qui disaient qu’il faut rester à l’écart, quand une étoile tombe du ciel, car peu après, on voit arriver des

soldats, et les soldats et les indiens ne vont tout simplement pas ensemble. Mais mon grand-père et ses amis déci-dèrent de chercher l’endroit où l’étoile était tombée, et qui ne semblait pas être très éloigné d’eux, et effectivement, ils trouvèrent le lieu du crash, avant l’arrivée des militaires. En inspectant l’épave, ils trouvèrent un survivant. Il était blessé, mais il avait survécu. Ils décidèrent de l’emmener, à leur camp de recherche de vision. Là, ils le soignèrent jusqu’à rétablissement. Parfois il était conscient, parfois, inconscient, et chaque fois qu’il le pouvait, il leur donnait des

i n d i c a t i o n s . A p r è s quelques mois, il était à nouveau rétabli. Au cours de cette période, ils avaient gagné sa confiance et l’avaient appelé l’« Ancien des Étoiles » ; un jour, il sortit un petit cristal vert. Ce cristal était rond et plat et rentrait dans sa petite main, et lorsqu’il tint le cristal en l’air, il put projeter des images et des ima-ges apparurent dans la

pierre. Grâce à ces images, mon grand-père et ses amis apprirent qui il était, ce qu’il faisait ici et d’où il était venu. Ils décidèrent de n’en parler à personne, parce qu’ils étaient préoccupés par la sécurité de l’être. Ils craignaient que des curieux viendraient, en posant des ques-tions, et finalement, les militaires auraient vent de cette affaire et viendraient chercher l’Ancien des Étoiles. Et lorsqu’il fut rétabli, et qu’il aurait pu être cherché, il décida de rester encore un peu. Les histoires qu’il racontait sur sa patrie et sur son mode de

vie étaient remarquables, car il parlait de guerres entre les étoiles. Le mode de vie de son peuple était très comparable à celui des autochtones américains primitifs. Notre expérience de guerrier était analogue à la sienne, et c’est ainsi que mon grand-père et ses amis furent dans l’étonnement le plus complet ; mais l’Ancien des Étoiles était étonné que des sauvages aussi primitifs connaissaient certaines de ses techniques, et c’est ainsi qu’il resta. Après quelques temps, il commença à leur raconter l’histoire de la Terre et des hommes, telle qu’il la connaissait. Et mon grand-père me transmit certaines de ces histoires ; c’est pourquoi, je suis ici. De nombreuses années durant, j’ai essayé de raconter ces histoires. Mon grand-père était mort et je lui avais promis de raconter ses histoires, et c’est pourquoi je suis ici aujourd’hui pour dire : Voyez, les êtres des étoiles sont ici, ils existent, et nous devrions écouter plus attentivement ce qu’ils ont à nous dire.

Comment l’Ancien des Étoiles a-t-

il quitté votre grand-père ? A-t-il été recherché ?

Il resta un certain temps, puis il se

rendit compte que ce serait trop dangereux s’ils le recherchaient. C’est pourquoi, il resta encore un peu, jusqu’à ce qu’il se sente assez en sécurité, et estime qu’il était temps de partir.

Ce fut à quel moment ? Après le crash, il resta encore cinq

ans avec eux. Finalement, un jour, il quitta tout simplement le camp, disparut, en leur laissant encore savoir qu’il était parti. Il revint encore à plusieurs reprises. J’hésite un peu à le dire, mais il doit revenir en août 1996. J’éprouve des

Natalia Zahradnikova, Robert Morningsky et Michael Hesemann

© MAGAZIN 2000

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sentiments mélangés — je ne sais pas si je reviendrais, je ne crois pas, c’est encore trop dangereux. Je ne crois pas que les hommes comprennent les êtres des étoiles, surtout le « monde civilisé ». Il me manque, je suis content qu’il revienne, mais je suis aussi un peu préoccupé. Mais il doit revenir en 1996.

Viendra-t-il dans la réserve ? Je ne sais pas. Je pense qu’il serait

plus en sécurité quelque part dans le désert, bien loin des voitures, des maisons et de la civilisation, mais je ne le sais pas. Il nous fera savoir où et quand.

Quelle fut sa vie durant son séjour

de cinq ans sur la Terre ? Eh bien, j’hésite à dire où il était, car

des curieux viendraient à nouveau, pour chercher des traces. Je sais que les militaires étaient déjà là...

A-t-il vécu dans une grotte, sous

une tente ? Partout, sur le territoire des Fours

Corners, entre l’Arizona, le Nouveau-Mexique, l’Utah et le Colorado, dans le désert, dans le Vision Quest Camp de mon grand-père et de ses amis. Il y avait là des arbres, des sapins, des rochers. Ils l’amenaient d’un endroit à l’autre. Il était toujours dehors. Ils n’avaient pas monté de tipi, mais un abri; ils essayaient de rester dans des régions où il faisait chaud et sec, mais ils l’amenaient à différents endroits, toujours quand ils craignaient que quelqu’un avait pu découvrir leurs traces.

Quelle était l’apparence de

l’Ancien des Étoiles ? Eh bien, cela va peut-être surprendre

beaucoup de personnes. Mais il y a quelques semaines, la télé a montré ici, aux États-Unis, un film, ils l’avaient appelé le « film Santilli », et quelqu’un m’a demandé si je voulais voir le film, en me montrant une image qu’il avait reçue par Internet, une image isolée de cet être ; je sais que beaucoup ne me croiront pas, mais l’Ancien des Étoiles avait exactement la même apparence que l’être sur le film de Santilli. Lorsque je vis cela — et tout le monde comprendra fort bien que je ne peux voir ni ma fille ni personne d’autre que j’aime beaucoup

sur une table d’opération — je décidai de ne pas voir le film, uniquement la photo. Ensuite, ils montrèrent encore une fois le film quelques semaines plus tard, et je le regardai quand même; ce fut très pénible pour moi, car cet être ressemblait exactement à l’Ancien, à l’être des étoiles. Et il y a quelques

jours, ils le montrèrent une troisième fois et les producteurs du film, du réseau Fox, m’appelèrent, demandèrent mon avis, si je l’avais vu, et ce que j’en pensais. Et à l’heure où je vous parle, je ne peux pas dire si le film est authentique, je ne suis pas un expert, mais je peux dire, l’être sur le film... si ce n’est pas un être authentique, mais un modèle ou une poupée, alors il ressemble vraiment beaucoup à l’Ancien des Étoiles que mon grand-père avait recueilli à l’époque, y compris les six doigts et les six orteils.

Qu’est-ce que l’Ancien des Étoiles

a appris à votre grand-père ? Il y a une chose que je voudrais dire

très clairement à ce propos : je ne suis pas un Ancien, je n’affirme pas être un chaman, et personne ne doit me croire, uniquement parce que je suis un Indien, un danseur ou quoi que ce soit d’autre. Je ne parle pour personne, mais uniquement en mon nom propre. Eh bien, beaucoup de gens qui entendent mon histoire ont l’impression que l’être des étoiles est venu sur Terre avec un merveilleux message pour l’humanité, mais ce n’est pas le cas. L’Ancien des Étoiles s’était écrasé, il ne voulait même pas être là. Mais ce qu’il a finalement appris à mon grand-père et aux cinq autres, et que nous, les enfants, avons appris, c’est qu’on a menti à l’humanité et qu’on l’a trompée. Les dieux, les démons, sur qui nous avons écrit dans le passé étaient des êtres des étoiles. Nous avons été abusés et

manipulés ; on nous a enseigné à croire à des choses qui ne sont pas vraies, mais qui ont été inventées pour soutenir les êtres des étoiles dans leurs plans. Je m’étonne toujours à nouveau que nous puissions croire aux anges et aux démons, mais pas aux hommes de l’espace. Nous acceptons la conception

d’un ciel loin là haut, mais nous ne croyons pas à la vie sur d’autres planètes.

Nous gobons même des histoires de tapis volants et de Mickey Mouse parlants, mais nous nous cabrons contre la croyance aux soucoupes volantes et aux hommes des étoiles. Le fond de son histoire était : nous sommes trompés. Nous devons cesser d’accepter aveuglément ce qui nous a été appris, et nous devons tout remettre en question. Ce qui nous est transmis comme étant la réalité n’est pas la réalité. La réalité est beaucoup plus vaste et merveilleuse que tout ce qui nous est enseigné dans nos livres et dans nos écoles. Et je ne veux inciter personne à s’éloigner de nos maîtres et de nos professeurs, beaucoup d’entre eux sont de braves gens, qui se donnent beaucoup de peine, mais ce qu’ils nous enseignent ne correspond pas à la réalité; c’est un système, une prison pour notre pensée, et leur job, c’est de maintenir ce système en vie. Mais notre job, en tant qu’êtres humains, c’est

d’être des guerriers, des renégats, dans notre vie, sans faire du tort aux autres, ce faisant, mais d’être ardents et passionnés, en tant qu’individus. C’est en gros ce que l’Ancien des Étoiles a essayé de nous transmettre. Il a aussi parlé de l’histoire de l’humanité... Oui. Il a dit aussi que l’humanité ne constituait pas une création naturelle,

mais qu’elle a spécialement été produite pour travailler pour le système, pour servir les êtres des étoiles.

L’homme a créé le mulet comme race

On a menti à l’humanité et on l’a trompée. Nous avons été abusés et manipulés ; on nous a

enseigné à croire des choses qui ne sont pas vraies, mais qui ont été inventées pour soutenir les

êtres des étoiles dans leurs plans

© M

AG

AZ

IN 2000

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hybride, par le croisement de l’âne et du cheval, et des plantes qui n’existent pas dans la nature. Si nous sommes déjà en mesure de faire cela, rendez vous compte des possibilités qu’ont des savants ayant des connaissances vieilles de millions d’années. Et c’est ce qui s’est passé : l’homme a été créé comme travailleur, comme esclave, pour servir les dieux. C’était un animal, qui a été génétiquement ennobli. Et ce n’est pas grave. Car maintenant que nous avons la conscience et l’expérience, nous sommes sortis de l’expérimentation. Certains d’entre nous, beaucoup d’entre nous, sommes arrivés à la prise de conscience que la vie était trop importante pour la passer en tant qu’esclave. Et ce fut là un des points qui surprit le plus l’Ancien des Étoiles : que nous, nés esclaves, nous ayons brisé nos chaînes en voulant vivre dans la liberté notre propre vie, et que nous soyons assez intelligents et engagés pour imposer cela. Dans

certains cas, cela se passe bien ainsi. Nous sommes en mesure de réaliser nos rêves ! Ce n’est pas facile. Mais quand on est un guerrier, on a le feu, et on est en mesure d’y arriver. Et il en a été fortement impressionné, c’est ce qui l’a le plus impressionné chez la race humaine, que nous portions ce feu en nous.

Qu’a-t-il dit sur son propre peuple,

sa structure sociale, sa religion ? J’hésite un peu à en parler, car la

religion est un thème brûlant. C’est quelque chose que nous croyons, que nous pensons, qui nous a été enseigné et que nous devons accepter. Dans son monde, sur son étoile, il n’y a pas de foi. L’univers est rempli de merveilles. La religion en tant que concept de foi n’existe pas chez eux. Leur religion est tout simplement leur mode de vie. J’aime cela. Ils n’ont pas de religion. Nous n’avons pas besoin de nous disputer sur ce que nous croyons, nous pouvons en discuter, sur ce qui est. Et c’est ce que nous ferons. La durée de leurs vies est infiniment plus grande que

la nôtre. Un homme de 100.000 ans est considéré comme jeune. Ce que l’Ancien des Étoiles en a dit, c’est la chose suivante : le corps humain a été conçu de telle manière qu’il se d é c o m p o s e rapidement ; notre nourriture et notre mode de vie font le reste.

Le corps humain, selon l’Ancien des Étoiles, pourrait effectivement atteindre un âge de 2 à 3.000 ans, si nous nous alimentions correctement, si la situation était correcte. Mais nous sommes programmés pour l’autodestruction. Nos corps ne vieillissent pas parce qu’ils le veulent, mais parce que nous les conduisons à ce vieillissement. J’aurais souhaité qu’il n’y ait pas de guerres, là-

bas, mais il y en a aussi c h e z e u x . Fondamentalement , tout ce qui concerne le mode de vie, la culture et la société des êtres dans la galaxie correspond à ce que nous avons aussi ici sur la Terre, à l’exception

de la religion, de l’espérance de vie et de leur manière de vivre, qui sont très différentes. Chez eux, tout est orienté sur une très longue vie, chez nous, sur une vie très brève.

Avez-vous rencontré vous-même

l’Ancien des Étoiles ? Oui, seul et avec d’autres. Je suis né

en 1947, et j’avais cinq ans lorsque mon grand-père et ses cinq amis décidèrent de faire participer deux ou trois membres de leurs familles à leur secret. J’étais l’un d’entre eux, un autre, c’était mon cousin. En tout, nous étions 25 personnes. Certains sont morts, depuis, d’autres déménagèrent et le cercle se réduisit. En fin de compte, nous n’étions plus que huit jeunes gens. Six d’entre eux décidèrent de faire des études, pour comparer les connaissances de l’Ancien des Étoiles avec ce que l’on nous enseigne dans les écoles.

Est-ce qu’il y a eu d’autres

rencontres par la suite ? Oui, il est revenu. La dernière fois, je

l’ai rencontré au cours de l’été 1994, vers la fin juillet. Il était revenu et il est r e p a r t i . C ’ e s t pourquoi ce fut tellement pénible pour moi de voir le film de Santilli. Car il a exactement cette apparence. C o m b i e n d e

rencontres avez-vous eu avec lui ? Une bonne douzaine. Parfois, trois,

q u a t r e a n n é e s s’écoulaient avant que je le revoie. Et je n’étais pas seul. Je le rencontrais, je passais du temps avec lui et je l’écoutais — si on peut utiliser ce terme. Il serait plus juste de dire : je communiquais avec lui.

Télépathiquement ? Non, pas tout à fait. Pour moi, «

télépathiquement » signifie tout simplement d’esprit à esprit. Ce n’est pas mon expérience. Peut-être parce qu’il est ce qu’il est, la communication ne se fait pas seulement par la raison. Je vous donne un exemple : lorsqu’il essaye de décrire une rose, alors je ne la vois pas seulement dans mon esprit, je la sens, je peux l’entendre. Télépathie n’est pas le mot correct : c’est une expérience holistique-sensorielle. S’il décrit un oiseau, on pourrait le voir, l’entendre, et parfois même sentir ses plumes. C’est beaucoup plus fort que la télépathie.

Une question toute bête : quelle est

la couleur de sa peau, comment est-il habillé ?

Lorsque je l’ai vu pour la première

fois, avec mon grand-père, il portait une sorte de robe, que mon grand-père et les autres lui avaient confectionnée, et il avait presque l’air d’un moine, ainsi. C’est comme ça que je me rappelle de lui. Je ne sais pas de quelle matière elle était, elle était brune, et je pense qu’ils la lui ont fabriquée. L’habit normal est une sorte de revêtement fait d’une seule pièce. Sa couleur ? Je ne dirais pas argenté, mais c’est un blanc lumineux, presque comme du nacre. Je ne sais pas si ce fut uniquement mon impression, mais je n’ai pas vu de fermeture éclair, pas de boutons, je ne sais pas comment il enfile cette combinaison. Il ressemble

Le corps humain, selon l’Ancien des Étoiles, pourrait effectivement

atteindre un âge de 2 à 3.000 ans, si nous nous alimentions

correctement, mais nous sommes programmés pour l’autodestruction

© MAGAZIN 2000

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pour ainsi dire au pyjama d’une petite fille. Sa peau varie entre une couleur rosâtre jusqu’à la couleur d’un homme blanc basané — mais pas brûlée par le soleil — un peu comme une couleur chair foncée. Il a une taille de 1,40 à 1,45 m et son corps est ferme et entraîné, comme celui d’un guerrier; non pas ballonné, comme dans le film de Santili, où le gonflement du ventre semblait plutôt provenir des gaz de pu-tréfaction.

Q u e re s s en t ez -vo us

quand vous êtes avec lui ? Une infinie sagesse. Ce qui m’intéresserait, c’est la

tradition de votre peuple, vous êtes à moitié Hopi, à moitié Apache, sur les contacts avec les êtres des étoiles dans le passé.

Ce qui a beaucoup surpris mon

grand-père, c’est que l’Ancien des Étoiles connaissait l’usage des plumes, qui constituent un élément essentiel de notre costume rituel. Effectivement, notre tradition dit que cette coutume provient des étoiles. Elle a débuté avec la race des Akhu, les hommes-oiseaux, qui portaient en eux le feu, la passion.

Vous avez trouvé des pétroglyphes,

des inscriptions dans des rochers d’êtres avec six orteils !

Un autre détail intéressant dans ce

film de Santilli, c’est que, dans le film, l’être a six doigts et six orteils. En 1995, j’ai conduit une expédition dans le Canyonland (autour du Grand Canyon) et je vous ai montré des inscriptions rupestres, décrivant l’histoire des êtres stellaires ayant jadis vécu sur la Terre, et qui se sont décidés ensuite à s’expatrier, à aller ailleurs. Et ils ont laissé une trace. Et cette trace est caractérisée par des empreintes de pieds comportant six orteils. C’est ainsi que les pétroglyphes confirment absolument le film de Santilli. Mais faisons encore un pas plus loin. Dans l’ancienne Égypte et dans l’ancienne Sumer, tout le système numérique était basé sur le chiffre douze. Notre système numérique est basé sur le dix. Pourquoi ? Parce que nous avons dix doigts. Et je ne peux que me demander si les êtres qui ont élaboré le système mathématique de ces a n c i e n n e s c i v i l i s a t i o n s n e

possédaient peut-être pas douze doigts. C’est ainsi que nous avons des preuves dans l’ancienne Égypte et à Sumer, nous avons des preuves dans l’ancienne Amérique, et tout à coup, il y a ce film

q u i s u r g i t , montrant un être avec six doigts et six orteils. Q u ’ a v e z - v o u s appris d’autres Indiens dans les réserves du Sud-ouest des États-U n i s s u r d ’ a u t r e s crashes au cours

de l’été 1947 ? Ce qui m’a le plus étonné, moi et les

autres Indiens vivant dans les réserves, c’est qu’une grande partie des crashes d’OVNI — à ma connaissance, il y en a eu 16 entre 1945 et 1950 aux États-Unis — et la plupart des ufologues semblent ignorer cela, que 14 sur 16 crashes ont eu lieu dans ou à proximité de nos réserves. Or, les Indiens préfèrent dormir à la belle étoile que dans une maison. Et il me semble que ceux qui étudient les crashes d’OVNI et qui cherchent des témoins devraient tout d’abord une fois interroger ceux qui vivent là-bas au dehors. Surtout ces hommes dont toute la vie, toute la tradition tourne autour des êtres stellaires. Mais bizarrement, au cours des 50 dernières a n n é e s , p e r s o n n e , vraiment personne, n’a songé à nous interroger, nous les Indiens. C’est assez étrange pour nous. Et si quelqu’un nous interroge vraiment — au cours des dernières an-nées, il y a eu quelques livres sur les Indiens et les OVNI — alors il connaît déjà la réponse à l’avance : oui, ce sont des mythes, ce sont des légendes. Or, ce n’est pas le cas. Il s ’ a g i t d ’ ê t r e s a u thentiques. C’est pourquoi, je me tourne maintenant vers l’opinion publique et vers les ufologues et je dis : voyez, il y a beaucoup d’histoires et de rumeurs que vous, dans le monde « civilisé » vous n’avez pas encore entendues. Et l’une de ces rumeurs est que le crash de Roswell, le 4 juillet 1947, ne fut pas le seul durant cet été. Nous, les Indiens, savons qu’il y

eu trois crashes au cours de l’été 1947. Le premier a eu lieu en juin, début juin, près de Socorro, au Nouveau-Mexique. Et je pense que c’est de ce crash que provient l’être du film de l’autopsie et non pas de celui de Roswell. L’incident de Roswell a eu lieu en juillet. Et le troisième crash a eu lieu à la mi-août dans le territoire des Four-Corners et l’Ancien des Étoiles, que mon grand-père a recueilli, provenait de ce crash. Mais les ufologues ne font que parler de « l’incident de Roswell » et pas un n’a entendu parler des autres crashes ou s’est donné la peine, durant les 50 dernières années, de se rendre auprès de nous, les Indiens, et de nous interroger, nous, qui sommes ouverts et honnêtes, qui n’excluons personne et ne trompons personne. S’ils étaient arrivés à les convaincre, à leur parler, alors vous en auriez entendu parler depuis longtemps déjà.

Vous avez relié la prophétie Hopi

du Kachina de l’Étoile Bleue à la comète Hale-Bopp. Pouvez-vous nous fournir quelques explications à ce sujet ?

Volontiers. La comète de Hale-Bopp

s’intègre très bien dans l’histoire du retour du Kachina de l’étoile bleue. Un Kachina est un esprit dans la nature,

l’essence de toutes choses. Un aigle a une âme, nous l’appelons kachina. Le vent a une âme, nous l’appelons kachina. Dans une de nos légendes, il est dit qu’avant la fin de ce monde, de ce cycle, une brillante étoile lumineuse, filante, son nom est Nan-ga-sohn, apparaîtra. Elle a un visage bleu. Sur son visage, il y a une croix noire composée de quatre points. Elle possède une longue trace de plumes qu’elle traîne derrière elle. Quand elle apparaîtra, le cycle

© MAGAZIN 2000

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s’achèvera sept ans plus tard. À mon avis, ce kachina Nan-ga-sohn représente la comète qui doit venir. On a remarqué que cette comète présente une traînée de plusieurs milliers de kms de long et les astronomes disent que ce n’est pas possible et malgré tout, elle présente une traînée d’une telle longueur. La comète devient plus claire, plus sombre. J’ai entendu qu’elle devient plus rapide et qu’elle ralentit à nouveau. Je le dis à l’avance car le kachina a un visage bleu, que l’on découvrira que la comète présente une lumière bleuâtre ou que quelque chose en elle est bleue. De même, on découvrira l’étoile à quatre points sur le visage du kachina : une

structure, un marquage, quelque chose à la surface de la comète qui ressemble à une croix. La longue traînée du kachina est la longue traînée de la comète Hale Bopp. La prophétie dit que l’homme blanc aura peur de la comète, parce qu’elle changera son monde, et moi j’y crois. Ils essayeront de détruire cette comète. Je crois que cela se passera ainsi, et cela a déjà commencé : nous verrons partout des astéroïdes et des comètes et ils sont dangereux. Et c’est ainsi que les militaires mettront au point une bombe, une fusée, une arme d’une nature ou une autre, pour détruire cette comète, parce qu’ils la considéreront comme dangereuse. Pour le moment, il

ne semble pas qu’elle veuille se rapprocher de la Terre. Mais je crois qu’ils trouveront une excuse, ils se sentiront menacés et s’efforceront de détruire cette comète, car c’est là une partie de la prophétie. Sera-t-elle détruite ? C’est fort possible. Je crois que certaines personnes, quand elles verront la croix apparaître à sa surface, considéreront cela comme un signe religieux : que le Fils de Dieu reviendra. Avec le plus grand respect, je le dis : ce n’est pas cela, et en même temps, c’est quand même cela.

Les Disques de l’Apocalypse

du XXème Siècle

Préface de

François COUTEN

Texte original de

Jean COCTEAU

1 961 fut l’année d’un événement marquant et sans précédent dans le monde de l’Édition Française. En effet, l’Éditeur Joseph FOREST, au prix d’un travail acharné et de longue haleine, était en mesure de

proposer à la vente un livre monumental, “L’APOCALYPSE”, exemplaire unique calligraphié sur parchemin.

Invité lors de sa toute première exposition publique à Paris,

j’eus le privilège d’être autorisé à relever sur le champ l’admirable texte qu’y écrivit en un savant désordre apparent le célèbre académicien, poète, dessinateur, etc... qu’était alors Jean COCTEAU.

Voici ces lignes où “l’enfant terrible” exprime avec

magnificence et force ses pensées intimes quant au sort futur des hommes d’ores et déjà confrontés aux Disques de l’Apocalypse du XXème Siècle :

“Alors apparurent dans le ciel des hommes et selon le vol

en triangle des grues sept grands disques d’un métal qui pense. Et ces disques pensaient et volaient silencieusement et ils

étaient faits du même métal que la trompette des anges mais ce métal avait pris forme de disques et il pensait et lorsque ces disques avaient survolé le désordre des hommes, ils décrivaient une courbe et le zéro les engloutissait dans sa bouche.

Et les hommes surent que ces disques de métal les visitaient, les jugeaient et que les temps étaient proches.

Et les hommes ne surent plus ni lire ni écrire. Et il y eu une langue nouvelle qui ne signifiait pas.

Mais les uns la parlaient cependant mieux que les autres et les uns haïssaient les autres parce qu’ils la parlaient mieux.

Et ils en firent une troisième langue signifiante pour

l’insulte et pour le trafic. Aéio ieao aieoioio iéiaiéao oa oa oaio aéiaiaio iéia iéiao io

io io io aéiaéio iéia iéiao ié ié ié io aoia iéao. Et l’ange lut la lettre et la lettre disait : Ils auront tous la tête en bas et comme ils tomberont ils

croiront qu’ils volent. Et peu importe qu’ils visitent les mondes Car les mondes ne voudront plus d’eux.”

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L a Commission d’Enquête du Congrès Américain (GAO : Congressional Investigative Agency) a achevé ses

investigations concernant la mise au secret de documents relatifs à la récupé-ration de l’OVNI écrasé en 1947 près de Roswell et à l’autopsie de l’équipage extraterrestre pratiquée à l’époque. La direction de l’enquête avait été confiée au député du Congrès Steven SCHIFF. De même, le sénateur Diane FEINSTEIN avait soutenu les investigations du GAO relatives à l’incident de ROSWELL.

Le rapport du GAO sur les documents relatifs à l’incident de ROSWELL et à d’autres crashes d’OVNI analogues a été remis le 28 juillet 1995 au sénateur FEINSTEIN et au député SCHIFF, qui le publia sans délai.

Le rapport sur ROSWELL déclare que les documents militaires clés, ont apparemment été éliminés sans autorisation. SCHIFF décrivit ces documents comme « importants », et qu’ils « auraient pu livrer d’autres informations. » SCHIFF expliqua que « les militaires ignoraient qui avaient éliminé ces documents et pourquoi. » SCHIFF ajouta que les explications données par l’Armée de l’Air « n’ont absolument pas justifié les mesures de sécurité militaires exceptionnelles prises à l’époque. »

Selon SCHIFF, l’enquête du GAO a éveillé l’intérêt de toute une série de membres du Congrès. Du fait que le GAO a interrogé un certain nombre de témoins et a appris ainsi certaines choses qui n’ont pas été évoquées dans son rapport, on peut en déduire que le Congrès procédera à une audition supplémentaire.

À cet égard, il faut souligner que l’US Air Force avait publié en septembre 1994 un rapport sur l’incident de ROSWELL, où elle a reconnu avoir menti à l’opinion publique américaine

pendant une période de 47 ans. L’US Air Force confirma qu’à l’époque, on n’avait récupéré aucun ballon météorologique à ROSWELL, dans des conditions extrêmes de sécurité. Le rapport de 1994 déclare qu’on avait « vraisemblablement » récupéré un ballon espion, pourvu d’un détecteur de radiations u l t r a s en s i b le ( P r o j e t MOGUL). À présent, cependant, on déclare que sous peu l’US Air Force présenterait un troisième rapport sur ROSWELL. Ce t r o i s i è m e r a p p o r t renfermerai t des in-formations issues d’un document classé jusqu’à p r é s e n t t o p - s e c r e t . Quoiqu’il en soit, l’Armée de l’Air cherche toujours encore un moyen de rendre publiques les informations sensibles concernant ROSWELL.

En avril 1995, au cours d’une conférence dans l’Arkansas, l’astronaute Gordon COOPER expliqua qu’en 1957, alors qu’une équipe de 4 membres de l’Armée de L’Air filmait un test de train d’atterrissage sur la Edwards Air Force

base, un OVNI descendit doucement et se posa sur la Base. L’équipe de filmage, choquée, remit plus tard le film au quartier général de la Base. Gordon COOPER a vu personnellement ce film. Les officiers responsables envoyèrent plus tard le film à WASHINGTON.

L’astronaute Gordon COOPER travaille avec le producteur de films

irlandais Jackie DUNN qui, en association avec une société de production canadienne, rassemble une volumineuse documentation sur les OVNI, et qui aurait dû être achevée fin 1995.

COOPER qui était autrefois aussi colonel dans l’US Air Force, a donné une interview à Sam SHERMAN. Ce dernier a produit un film intitulé « Au-delà de cette Terre », qui serait sorti à l’automne 1995. Dans ce film,

COOPER explique qu’il « a travaillé à un système d’OVNI, en association avec un contacté, dont il a obtenu certaines informations. » Cette personne avait mis au point un petit prototype d’OVNI et travaillait à un modèle d’une taille de 50 pieds. Jusqu’à sa mort, elle avait obtenu des soutiens financiers d’un pays arabe. COOPER a également parlé du « Centre pour une Technologie Avancée », qui n’existe plus à l’heure actuelle. On y travaillait apparemment à développer des technologies extraterrestres. COOPER a également fait allusion à un ami qui avait vu les cadavres des extraterrestres de ROSWELL.

Donna TIETLE qui, au cours de la mission APOLLO, travaillait en tant que laborantine photo au JOHNSONSPACE CENTER de la NASA à HOUSTON, reconnut lors d’une interview donnée à la radio le 6 mai 1995 que l’un de ses collègues, qui travaillait dans un secteur particulièrement protégé, était occupé à retoucher les OVNI des photos lunaires, avant que celles-ci soient vendues aux médias, par la NASA.

Le 18 septembre 1994, lors du forum international de la nouvelle science à Fort Collins, un autre ex-astronaute, le Dr Brian O’LEARY expliqua : « Depuis

LES OVNI EXISTENT MALGRÉ TOUT !

L’EXISTENCE DES OVNI EST DE PLUS EN PLUS ACCEPTÉE

Par Richard J. BOYLAN & Ph. D. SACRAMENTO

Le rapport sur ROSWELL déclare que les documents militaires clés, ont apparemment été

éliminés sans autorisation

Photo NASA n° 69-H-25. Disponible dans le livre de George Leonard : Ils n’étaient pas

seuls sur la Lune & auprès de la NASA.

Les flèches indiquent des « engins » en plein

travail

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près de 50 ans, les services secrets du g o u v e r n e m e n t d é t i e n n e n t d e s informations sur les OVNI et sur les contacts avec les extraterrestres. » En plus, il a déclaré : « Nous avons des c o n t a c t s a v e c d e s c u l t u r e s extraterrestres. » Il expliqua la dissimulation de ces faits par les propos s u i v a n t s : « L ’ é t o u f f e m e n t d’informations sur les OVNI et sur d’autres intelligences extraterrestres a été orchestré depuis 47 ans par un groupe d’élite d’individus de la CIA, du NSA (Agence de Sécurité Nationale) du DIA (Service de Renseignements de la Défense) et d’autres. Ce petit groupe semble être en mesure de très bien protéger ces secrets difficiles à croire... Ceux qui ont enquêté sur cette hydre monstrueuse à plusieurs têtes croient que le W a t e r g a t e cosmique des O V N I , d e s extraterrestres, du contrôle des pensées, de la manipulation génétique, de l’énergie libre, de la propulsion antigravitationnelle et d’autres secrets font apparaître le Watergate et l’Irangate comme des exercices de jardin d’enfants. »

E n 1 9 9 3 , L a u r e n c e ROCKEFELLER, depuis longtemps intéressé au phénomène OVNI, a commencé, en association avec son « expert en OVNI », le Commandant C.B. Scott JONES, USN — ONI I.R. (agent des services secrets de l’US Navy en retraite), attaché de Marine, officier de carrière des services de renseignements et ayant ses entrées à Washington, ainsi qu’assistant de longue date du sénateur PELL de Rhode Island et tout d’abord p r é s i d e n t d e l a F o n d a t i o n ROCKEFELLER, puis, de sa filiale, la Human Potential Foundation, une campagne, ayant pour nom, la « White House-Initiative », en vue d’inciter l’Administration actuelle à dire à l’opinion publique ce qu’elle sait sur les OVNI et les visites d’ET.

ROCKEFELLER et JONES ont rencontré le conseiller scientifique de la Maison Blanche, le Dr John GRIBBINS, en mars 1993 et ont présenté une étude « Matrice de la croyance aux OVNI. » Mr ROCKEFELLER a eu un autre entretien avec Mr GRIBBINS, à la Maison Blanche, le 4 février 1994. À la suite de cette initiative, on a annoncé de source sûre que le président CLINTON aurait donné son accord provisoire à la White-

House-Initiative. Finalement, le Dr John GRIBBINS, le conseiller scientifique de la Maison Blanche a été chargé de recueillir des informations sur les OVNI. Comme on l’a appris récemment par une demande faite dans le cadre du « Freedom of Information Act », le Dr GRIBBINS a mené une correspondance étendue avec divers experts sur le thème des OVNI. Ainsi, avec Laurence ROCKEFELLER et avec le Dr Scott JONES, avec des collaborateurs de l’US Air Force, ainsi qu’avec le Dr Jacques VALLÉE, ancien directeur de la com-mission d’enquête sur les OVNI (GEPAN) et avec l’ancien Secrétaire d’État à la Défense, Melwin LAIRD. Ce dernier a également écrit une lettre (que

j’ai moi-même lue) adressée à Lee ASPIN, Secrétaire à la Défense de CLINTON, avec la proposition de l’informer sur les cas d’OVNI.

Jacques VALLÉE informa en avril 1995 le conseiller scientifique de la Maison Blanche sur l’état actuel de la recherche ufologique. Le week-end du 19/20 août 1995, le président CLINTON r e n d i t v i s i t e à L a u r e n c e ROCKEFELLER dans son ranch situé dans le domaine des Grands Tetons. Selon le « New York Daily News », ROCKEFELLER aurait instamment demandé, à cette occasion, que les documents gouvernementaux sur les OVNI soient rendus publics. Ce journal possède les lettres que Laurence ROCKEFELLER aurait envoyées au Dr John GRIBBINS, le conseiller scienti-fique de la Maison Blanche, dans lesquelles il demande instamment que le gouvernement mette fin à la négation du phénomène OVNI qui a duré plus de quarante ans.

Récemment, ROCKEFELLER a financé une étude sur les activités d’OVNI, à laquelle ont également participé, trois anciens astronautes. Cette étude devrait être présentée à la Maison Blanche au cours du premier semestre 1996.

Lorsqu’il entra à la Maison Blanche, l e p r és iden t CARTE R essaya d’apprendre ce que le gouvernement savait sur les OVNI. Mais George BUSH, alors directeur de la CIA, lui

refusa l’accès aux informations ufologiques de la CIA, sous prétexte, selon lui, qu’il n’avait pas le niveau d’habilitation exigé. De même, le président CLINTON ne fut pas satisfait des informations qu’il reçut de la CIA concernant les OVNI, d’autant plus qu’elles étaient en contradiction directe avec les informations qu’il avait reçues de son conseiller scientifique John GRIBBINS.

Une source se trouvant en contact avec la section OVNI de la CIA au sein du directoire pour la science et la technologie a expliqué que le président CLINTON a déjà fait procéder à des tournages de vidéos-pilotes, sur la base de données alternatives publiques sur

l’existence des OVNI et des extraterrestres. Le Dr Steven GREER, président du CSETI ( C o m i t é p o u r l ’ É t u d e d e l ’ I n t e l l i g e n c e Extraterrestre) fit

part au conseil ler scientif ique GRIBBINS, également au cours de deux occasions, des connaissances dont il disposait sur le phénomène OVNI.

Au cours des dernières années, le Dr GREER a noué des con tac t s internationaux avec des représentants éminents de gouvernements européens, en vue d’arriver à une prise de position commune internationale sur le fait que les OVNI et la visite d’extraterrestres const i tuent une réal i té . Marie GALBRAITH, une connaissance proche de Laurence ROCKEFELLER et femme d ’ E v a n G A L B R A I T H , a n c i e n ambassadeur de REAGAN en France, travaille avec le Dr GREER.

Le 5 juin 1995, le Dr Steven GREER déclara, lors d’une conférence tenue près de SAN FRANCISCO, qu’il avait appris d’une source bien informée que l’Armée de l’Air, par l’intermédiaire du Service de Surveillance Nord-Américain de l’Espace Aérien, NORAD, situé dans une base des Monts CHEYENNE, au COLORADO, repère en moyenne, chaque année, 500 “engins ultra-rapides” (OVNI), pénétrant dans l’atmosphère terrestre depuis les profondeurs de l’espace.

Cela correspond à un rapport des i n g én i e u r s a é r o n au t i q u e s L e e GRAHAM et Ron REGEHR, qui avaient soumis à l’ufologue Don ECKER des documents d’où il ressort que le système de satellites Aerojet DSP repère en moyenne 2 à 3 fois par mois

Le Dr Steven GREER déclara qu’il avait appris, d’une source bien informée, que le NORAD repère,

en moyenne, chaque année, 500 “engins ultra-rapides” (OVNI) pénétrant dans l’atmosphère terrestre depuis les profondeurs de l’espace

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des OVNI pénétrant dans l’atmosphère terrestre depuis l’espace interstellaire. Le lauréat du prix Pulitzer Howard BLUM rapporte que le NORAD a pu détecter un grand nombre d’OVNI sur son système de radar.

Le Dr GREER a, par ailleurs, eu certains renseignements de l’un de ses collègues médicaux, le neveu d’un pilote du général Jimmy DOOLITTLE qui durant la 2ème Guerre Mondiale, avait reçu l’ordre du président Harry TRUMAN, de lui faire le point sur ce qu’on appelait les Foo-Fighters (Les Foo-Fighters étaient des sphères planantes, lumineuses d’environ un mètre de diamètre, qui volaient sans bruit devant les avions alliés et allemands, et qui n’ont jamais fait l’objet d’une communication officielle). Cet officier déclara à TRUMAN que les Foo-Fighters existaient vraiment, mais qu’ils n’étaient pas d’origine allemande, mais selon toutes probabilités, de provenance extraterrestre.

Deux sources de services secrets différentes fournirent des informations au Dr GREER, sur des unités des services secrets militaires opérant d’une manière secrète, disposant d’une caisse noire, qui s’étaient attaqués à des OVNI avec des systèmes d’armes SDI et qui avaient aussi abattu deux OVNI au cours des deux dernières années. Une des sources, un médecin des services secrets de la Marine expliqua que la destruction d’OVNI non hostiles avait été effectuée par des « cow-boys » arrogants, qui avaient perdu tout contrôle et qui avaient mis en oeuvre des « technologies inimaginables », sans aucune autorisation. Dans son nouveau livre « Breakthrough », l’écrivain Whitley STRIEBER affirme avoir vu toute une série de documents dévoilant que la même corporation EG&G impliquée

dans les activités de l’aire 51, était associée aux attaques contre des extraterrestres.

Le Dr GREER affirme encore que sur le plan national et international les personnalités-clés des gouvernements, de l’armée et des services secrets étaient « folles » d’informations sur les OVNI, et n’étaient malgré tout pas informées sur les activités hostiles contre ces visiteurs.

L’ex-collaborateur des services secrets de l’OTAN (SHAPE), le Sgt-Major Robert DEAN, a dévoilé le contenu de deux avis du SHAPE de l’année 1964 sur les OVNI et les extraterrestres, classés TOP SECRET. Les OVNI sont vraiment des vaisseaux spatiaux extraterrestres; quatre races au moins, peut-être plus, visitent la Terre; leurs intentions ne semblent pas être hostiles et il semble qu’ils observent la Terre depuis très longtemps déjà.

Le Sgt-Major DEAN rapporta également qu’en 1969 une soucoupe volante de la taille d’un terrain de football s’était écrasée près de TIMMENDORF en Allemagne. 12 cadavres de l’équipage extraterrestre auraient été récupérés ; leur sang n’était pas rouge, mais verdâtre.

En 1993, il y a eu plusieurs apparitions d’objets sous-marins non identifiés dans les eaux norvégiennes (USO). Ces USO avaient la taille d’un porte-avions et se déplaçaient à une vitesse spécialement élevée. En réaction, l’OTAN effectua des manoeuvres navales dans cette région, au cours desquelles un destroyer US disparut des radars des autres navires et n’a jamais réapparu depuis lors.

Récemment, le 19 juin 1995, six avions de combat F14 de l’US Navy rencontrèrent un OVNI au-dessus de Porto-Rico. Les communications radio entre les avions et la tour de contrôle furent interceptées par des civils. Les F14 et leurs équipages ne retournèrent jamais à leur porte-avions. DEAN a expliqué que des personnes bien i n t r o d u i t e s d a n s l e s c e r c l e s gouvernementaux sont d’avis que nous avons affaire à des centaines de civilisations extraterrestres, les unes étant intergalactiques, d’autres, interdimensionnelles. Il fit remarquer que la NASA a fait estimer, il y a dix ans, par des savants, qu’il pourrait y avoir 10 milliards de planètes avec une vie intelligente.

Le Sg-Major DEAN a réussi à convaincre 20 astronautes, anciens officiers des services secrets, militaires,

qui avaient participé à la récupération d’OVNI écrasés, généraux, amiraux et même cosmonautes, à faire part devant une Commission du Congrès de leurs expériences avec les OVNI, sous réserve qu’ils soient dégagés de leur obligation de secret. Des enregistrements vidéo de témoins, se trouvant sous serment, se trouvent sous scellés, auprès d’un bureau réputé, à WASHINGTON et sont à disposition, pour une audition publique.

Mr DEAN collabore avec le Dr Steven GREER (CSETI), avec l’ex-astronaute Gordon COOPER, ainsi qu’avec d’autres astronautes, avec un militaire de haut rang, et avec un général. Ils projettent de publier la documentation sur les OVNI qui est à leur disposition. Le Sgt-Major DEAN et le Dr GREER appartiennent à une organisation dénommée “STARGATE”, qui a rassemblé des preuves “en béton” sur l’existence des OVNI et des extraterrestres. Ces preuves ne comprennent pas seulement des déclarations de militaires et de membres des services secrets, ayant participé à la récupération d’OVNI écrasés et à des autopsies de cadavres extraterrestres, mais aussi des déclarations de pilotes, de généraux, d’as tronautes e t de cosmonautes, qui ont pu observer des O V N I d e p r è s . C es p r e u v e s comprennent aussi des part ies métalliques des OVNI et des fragments de tissus des membres d’équipages extraterrestres.

Le plan de la coalition est de faire parvenir leurs documents d’introduction aux dirigeants mondiaux, à l’ONU, aux Académies Scientifiques et aux dirigeants religieux. Une action publique est prévue pour les 8 prochains mois. Le 17 août 1995, le Sgt-Major Robert DEAN donna le signal de départ d’une initiative populaire, devant persuader le Congrès US d’accorder l’immunité pénale aux astronautes, militaires et agents des services de renseignements, ayant observé des OVNI, s’ils devaient faire leurs dépositions devant des comités d’audition OVNI du Congrès. DEAN parvint à obtenir le concours d’un stratège politique, qui élabora un plan pour faire du thème des OVNI un des thèmes de la campagne électorale de 1996, pour les élections présidentielles. Le but de cette initiative est de rendre publiques les informations sur les OVNI et sur la réalité des extraterrestres par l’intermédiaire des auditions publiques du Congrès, retransmises par la télévision. © FOCUS INTERNATIONAL - mai 95

Aire 51 - « Dreamland »

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Au cours du week-end du 18/19 mars 1995, la Disney Corporation diffusa, s a n s a n n o n c e p r é a l a b l e , u n e documentation sur les OVNI, dans le Connecticut, le Tennessee, l’Alabama, la Floride et la Californie. La fascinante documentation, établie par le Disney Chief Executive Officer Michael EISNER met en avant avec tout le poids de respectabilité de la Corporation, les affirmations suivantes :

« L’humanité se trouve au sein de l’événement le plus s i g n i f i c a t i f d e l’Histoire : le contact effectif avec une vie i n t e l l i g e n t e e n provenance d’autres planètes. »

« Une vie intelligente provenant de lointaines galaxies s’efforce maintenant d’entrer en contact ouvert avec la race humaine, et ce soir, nous vous en fournissons les preuves. »

« Au-delà des limites de notre perception, des êtres intelligents invitent l’humanité à participer à une communauté galactique. Il s’agit d’une invitation qui est tout aussi merveilleuse qu’effrayante. »

« Les vaisseaux extraterrestres semblent venir par vagues, et si les quelques dernières années constituent une indication, alors la planète Terre subit un raz-de-marée d’apparitions. »

« Dés 1947, de grands vaisseaux extraterrestres, pilotés par des créatures vivantes, ont fait leur apparition. Leur physique avancée leur a permis de sillonner la galaxie en tous sens et de pénétrer dans l’atmosphère terrestre avec une vitesse incroyable. »

« Plus d’un vaisseau spatial extraterrestre s’écrasa et fut récupéré par des unités de recherche secrètes de l’armée américaine. »

« Voici le lieu de découverte (ROSWELL), où l’on a trouvé le vaisseau spatial écrasé et les trois cadavres de l’équipage extraterrestre qui ne survécut pas au crash. On enleva l’épave et les cadavres, pour les examiner dans le plus grand secret. Un comité d’enquête de 12 personnes, inti-tulé « Majestic Twelve » fut créé par le président TRUMAN et commença une campagne de désinformation délibérée. »

« Pour les gouvernements qui veulent préserver leur autorité, le contact extraterrestre est de la véritable dynamite. »

« Lorsque Jimmy CARTER prit possession de son bureau de président

des États-Unis, son équipe essaya d’avoir accès aux investigations o f f i c i e l l e s s u r l e s c o n t a c t s extraterrestres. Ainsi que le montre ce document gouvernemental interne, il existe un certain nombre de secrets intéressant la sécurité, en dehors du domaine de compétence de la Maison Blanche. »

« En novembre 1975, presque chaque base du Commandement Nucléaire des États-Unis (SAC) a été

visitée par des OVNI. » « Beaucoup d’indices laissent à

présager que le gouvernement, les militaires et les savants autoriseront bientôt la diffusion de la documentation relative à un demi-siècle de rencontres extraterrestres sur Terre. »

« Les savants ont calculé que la probabilité que vous ayez un contact avec des extraterrestres au cours des cinq prochaines années est plus élevée que celle de gagner au loto. »

« La plupart des Américains exploreront vraisemblablement l’univers à bord de vaisseaux d’origine extraterrestre. »

Certains ufologues pensent que cette d i f f u s ion « s ec r è t e » de l a documentation DISNEY était un test, en vue de sonder la capacité de l’opinion publique à gérer la révélation de la réalité des OVNI et des manoeuvres d’étouffement du gouvernement.

Le vendredi 5 mai 1995, le producteur TV britannique Ray SANTILLI déc lara lors d’une conférence de presse qu’il était en possession de 22 bobines d’un film de 16 mm des services secrets, renfermant notamment la récupération d’un OVNI par des unités secrètes de l’Armée de l’Air, ainsi que des prises de vue de l’autopsie de différents cadavres extraterrestres.

Mr SANTILLI expliqua qu’il avait reçu ce film d’un ex-cameraman de l’armée, âgé de 82 ans, qui réussit à confectionner, en 1947, une copie s u p p l é m e n t a i r e d u m a t é r i e l cinématographique classé top secret et concernant la récupération d’un OVNI. Certains indices laissent à penser que le film sur l’OVNI écrasé et sur l’autopsie des extraterrestres a été lancé par les services secrets : une délégation

d’ufologues chinois qui virent le film en juin 1995 à Londres déclarèrent avoir déjà reçu deux ans auparavant des copies de ce film par la CIA, en échange de quelques films Taïwanais sur les OVNI. Un ancien officier des services secrets de l’armée de l’air, le Sergent Richard DOTY, affirme que le film sur ROSWELL lui aurait déjà été montré il y a un certain temps dans le Laboratoire National de LOS ALAMOS / Nouveau-Mexique. Deux mois plus tard, le

28.08.95, une émission télé intitulée « Autopsie d’extraterrestres - réalité ou falsification » a été diffusée à l’échelle mondiale1. U n e c o n f é r e n c e

internationale au plus haut niveau s’est tenue au SHERATON-HÔTEL, à WASHINGTON D.C. du 27 au 29 mai 1995 et a traité la question de savoir quelle serait la réaction appropriée de la Terre si l’on apprenait que nous sommes visités par des civilisations extraterres-tres. La conférence « When Cosmic Cultures Meet » (Quand des civilisations cosmiques se rencontrent) rassembla au plus haut niveau les présentations de savants, d’académiciens, de dirigeants gouvernementaux, de chercheurs p rofess ionne ls , d ’off ic ie r s , de journalistes et de représentants des religions mondiales. Cette importante conférence de la classe mondiale souligna clairement la solide acceptation que ce thème recueillait auprès de personnalités de haut rang de la politique, du monde académique, des sphères gouvernementales et auprès de journalistes réputés, ces personnalités qui, dans une série d’étonnantes révélations et explications, conclurent à la nécessité d’une préparation à un contact extraterrestre.

C’est ainsi que le conseiller présidentiel et spécialiste de la sécurité de l’Institut ARLINGTON, John L. PETERSEN, a comparé l’avancée sociale et culturelle actuelle vers de nou-velles sources d’énergie, vers des contacts extraterrestres et une nouvelle technologie avec le changement d’ère du Moyen-Age aux temps modernes. L’anthropologue et journaliste Michael HESEMANN a comparé le contact avec les extraterrestres à une deuxième révolution copernicienne. Il a déclaré,

1 - À prendre avec prudence comme nous le disions dans la revue n° 1. Bien que l’histoire de l’Indien MORNINGSKY dans ce numéro révèlerait qu’il s’agirait d’un autre crash. Peut-être saurons-nous bientôt la vérité, à savoir que Ray SANTILLI aurait été manipulé par quelque service secret.

Les savants ont calculé que la probabilité que vous ayez un contact avec des extraterrestres au cours des cinq prochaines années est plus

élevée que celle de gagner au loto

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par ailleurs, que les documents du KGB soviétique ont été rendus publics, entre-temps. C’est ainsi qu’en 1989, un OVNI a plané pendant deux heures au-dessus d’un dépôt d’armes nucléaires soviétique. Il disparut finalement lors de l’intervention d’un MIG de combat.

Le Dr John MACK, psychiatre enseignant à HARVARD, a montré des enregistrements vidéo de son interview avec plusieurs élèves du ZIMBABWE, qui ont observé l’atterrissage d’un OVNI près de leur cour de récréation. Plusieurs extraterrestres sont sortis de l’engin, l’un d’entre eux s’approchant même d’une écolière jusqu’à trois mètres3.

La journaliste du « Washington Post », Ruth MONTGOMERY affirme avoir reçu quelques rapports sur l’existence des OVNI de plusieurs militaires, avec qui elle s’était entretenue. Le producteur de la série TV mexicaine « Sixty Minutes », Jaime MAUSSAN, a montré plusieurs vidéos, sur lesquelles on pouvait voir des vaisseaux spatiaux volant en formation, des groupes entiers d’OVNI et une colonne verticale d’OVNI à l’intérieur d’un champ de plasma (?) transparent à la lumière. Le f i lm le p lus in téressant é ta i t l’enregistrement nocturne d’un OVNI planant au-dessus du sol; ensuite, on put voir un extraterrestre ressemblant à une « adoratrice de Dieu », qui se tourna vers la caméra à une distance relativement faible. Zecharia SITCHIN, un expert de la civilisation sumérienne, p résen ta d ’anc iennes t ab le t t es sumériennes en terre cuite, prouvant que nos ancêtres avaient déjà des contacts avec les extraterrestres.

L’organisateur de la « Cosmic Cultures Conference », le Dr C.B. Scott JONES présenta des enregistrements vidéo de cette conférence à d’importants collaborateurs du Congrès et de la Maison Blanche, afin que ces derniers soient convaincus que les représentants des diverses disciplines scientifiques et des médias étaient bien informés sur le phénomène OVNI et acceptaient l’existence des extraterrestres. Scott JONES a envoyé à tous les membres du Congrès un rapport sur l’intérêt public envers les OVNI et les prises de position à leur égard.

Compte tenu de la forte pression publique à ne plus nier plus longtemps l’existence des OVNI, et des élections présidentielles de fin 1996, des hommes politiques comme le député Phil GRAMM ou le sénateur Bob DOLE

devraient s’attendre à ce que les Démocrates, en vue d’assurer la réélection de CLINTON, leur servent peut-être une « surprise d’octobre » inattendue. Dan SMITH, ufologue, a proposé à l’équipe de campagne de Bob DOLE de l’informer en détail sur les OVNI, pour minimiser ainsi le risque d’être brutalement surpris par d’éventuelles révélations / publications sur le thème des OVNI. Tant les Républicains que les Démocrates sont conscients du fait que l’éventuel candidat d’un troisième parti pourrait placer le thème OVNI au centre de l’intérêt public, pour mettre ainsi en difficulté les deux grands partis. On sait que Ross PEROT, au cours de sa campagne présidentielle de 1992 avait posé certaines questions sournoises sur le thème des OVNI.

Des sources bien informées affirment que les comités nationaux des deux grands partis américains, républicains et démocrates, discutent, en vue de savoir dans quelle mesure les OVNI et le secret sur ce thème entretenu par le gouvernement pourraient devenir un thème électoral lors de la campagne pour les élections présidentielles. En vue, sans doute, d’éviter la désagréable surpr ise d’être confronté sans préparation à ce thème, le président du Comité National Républicain, Hailee BARBOUR, et d’autres Républicains de haut rang, ont d’ores et déjà pris contact avec divers astronautes pour apprendre de leur part ce qu’ils savaient sur les OVNI. Le Comité National Démocrate prévoit d’intégrer une ou plusieurs questions en relation avec les OVNI dans un sondage à l’échelle fédérale, au moyen duquel il est possible de déterminer les intérêts des citoyens et ainsi les prochains thèmes de la campagne électorale. Les deux partis savent qu’il pourrait aussi y avoir l’apparition d’un troisième candidat, indépendant, s’occupant du thème OVNI. On sait que le candidat indépendant Ross PEROT avait fait procéder, derrière les coulisses, à différentes investigations en matière d’OVNI, au cours de sa campagne présidentielle de 1992.

Mais il se peut aussi que la campagne OVNI ait déjà commencé. Après le 17 septembre 1995, deux personnalités publiques s’exprimèrent sur ce thème. Lorsqu’on interrogea l’ex-président US Jimmy CARTER sur les OVNI, il répondit que le Directeur des Services Secrets avait demandé à un voyant de lui préciser la localisation

exacte du crash d’un avion US secret. C’était là une allusion voilée à la collaboration de voyants dans les investigations sur les OVNI et les extraterrestres. La candidat à la présidence Robert DOLE critiqua la politique économique de CLINTON (qu’un taux de croissance supérieur à 2 % n’était pas possible sans inflation) avec ces termes « c’est comme lorsque l’Armée de l’Air déclare que les OVNI n’existent pas. »

Dans l’intervalle, le nombre des témoignages sur des apparitions d’OVNI / extraterrestres augmente notablement en 1995. Le 9 juillet, deux officiers de l’Armée de l’Air et une douzaine d’autres témoins virent cinq OVNI d’une dimension imposante (un vaisseau triangulaire et quatre discoïdaux, chacun ayant les dimensions d’un terrain de foot) planer au-dessus d’un champ. 20 à 25 extraterrestres environ évoluaient au sol. Il y avait là trois races différentes : certains êtres étaient petits, avec une peau violette et de grandes oreilles, d’autres étaient décrits comme des entités d’énergie lumineuses et le troisième groupe était composé d’humanoïdes revêtus de combinaisons.

Le 8 août, de nombreuses personnes virent quelques OVNI au-dessus de BAKERSFIELD, comme le rapportait le journal de BAKERSFIELD. le 7 septembre, on put apercevoir un OVNI gris argenté, en forme de cigare, grand comme un petit avion, à SEATTLE, au-dessus d’une base souterraine de la F E M A ( F e d e r a l E m e r g e n c y Management Agency), et y atterrir peu après. Le 21 septembre, deux policiers photographièrent une grande formation d’OVNI.

Le 22 septembre, deux femmes, dont l’une est astronaute, virent apparaître à SEATTLE un grand déploiement de vaisseaux spatiaux avec des lumières rouges pulsantes.

Le 11 juin 1995, on observe un OVNI, planant au-dessus du quartier-général de la CIA, à LANGLEY, VA, ainsi que le signalèrent le journal local de McLEAN, VA, et le Washington Post. L’OVNI dirigeait une lumière brillante sur le quartier-général. Ensuite, il changea d’orientation, en direction du Nord, vers GREAT FALLS, VA, où habite Ron PANDOLPHI, l’expert en OVNI de la CIA. Se pourrait-il que les ET voulaient ainsi lancer un message comme : « Il est enfin temps » ?

Source : MAGAZIN 2000 n° 110 - 4/5.1996. 2 - Voir l’interview du Pr MACK dans la revue n°1.

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HYPOTHÈSES SUR LES MUTILATIONS ANIMALES

Par Philippe GUIGNARD

C ela fait un certain nombre d’années, maintenant, que des animaux (principalement des bovins, mais aussi des

moutons, quelques chevaux et, plus récemment, des chats, des serpents) sont mutilés, tant aux États-Unis, qu’ailleurs dans le monde.

Le scénario reste, à peu de choses près, le même: un animal disparaît, parfois juste dans le dos de son propriétaire. Plus tard, entre un quart d’heure et plusieurs heures, il est retrouvé, mort, mutilé. Aucune trace du mutilateur. Pas de sang, ni autour, ni dans le cadavre. Un certain nombre d’organes ont été proprement retirés: pis, anus, organes génitaux, langue, parfois lèvres, yeux, oreilles ou morceaux de peau.

Dans ces cas-là, il s’agit véritablement d’actes chirurgicaux, cependant infaisables par les techniques médicales actuelles: plaies propres et cautérisées au fur et à mesure de la découpe, comme faites au laser; cellules contournées et non tranchées (en fait, seul le tissu conjonctif, entre les cellules, est découpé). D’autre part, certaines mutilations ont été pratiquées en un quart d’heure, alors que la plus petite de ces opérations chirurgicales prendrait, par les moyens connus, plusieurs heures

Dans cet article, nous ne reprendrons pas l’historique de ces mutilations, cela ayant déjà été fait par des personnes plus compétentes.

Les anglicistes liront avec profit les ouvrages, malheureusement non traduits en français, de Linda Moulton Howe (il est possible de les commander, à Paris, chez W & H Smith - rue de Rivoli, ou chez Golden Books - 3, rue de Larochelle, 75014 Paris; attention, ces livres sont assez chers).

Le seul ouvrage français est, à ma connaissance, Ultra Top-Secret, de Jean Sider, aux Éditions AXIS MUNDI.

Nous allons développer une théorie qui pourrait expliquer ces actions. Cette théorie, non vérifiée et non vérifiable par notre technologie actuelle, se base sur

l’Hypothèse Extraterrestre. Certes, cela fait beaucoup de spéculations, mais en ufologie, il est difficile de faire autrement, aucune hypothèse ou théorie n’étant actuellement vérifiable.

Par conséquent, une certaine attitude est nécessaire dans l’étude de ces phénomènes. Tout d’abord, comme le disait justement Aimé MICHEL, DOUTER DE TOUT ET NE RIEN CROIRE. C’est-à-dire savoir garder la tête froide, rester objectif. Garder à l’esprit que, les hypothèses ou théories avancées n’étant pas, aujourd’hui, vérifiables, elles sont toutes, à priori, valables, jusqu’à preuve du contraire. Donc ne pas hésiter à les modifier voire à les remettre totalement en question.

Le point de départ du raisonnement est le suivant: le niveau de développement technologique officiel de notre planète ne permettant pas de produire de telles mutilations, surtout dans des temps aussi courts, nous postulons qu’elles ont été commises par des êtres bien plus avancés que nous dans ces domaines.

Pour plus de facilité, nous parlerons d’Extraterrestres, sachant qu’il pourrait aussi bien s’agir de groupes terriens inconnus, survivants de civilisations disparues (Atlantide...) ou de Sociétés Secrètes avancées.

Ceci étant posé, voyons maintenant les motifs possibles ayant poussé ces êtres à commettre ce qui, à nos yeux, apparaît comme d’atroces mutilations.

Nous avons constaté que les organes

“prélevés” font partie, pour la plupart, du système digestif: lèvres et langue d’une part, anus d’autre part. Ajoutons à cela pis et organes génitaux.

Les mutilateurs semblent s’intéresser particulièrement aux moyens par lesquels l’animal absorbe sa nourriture, et à ceux par lesquels il rejette les déchets. De plus, en prélevant les pis, ils s’intéressent également à la sécrétion du lait, nourriture du veau.

Qu’est-ce qui peut les intéresser dans tout ça ? Est-ce réellement l’animal, ou

l’homme qui le mange ? Il est vrai que la viande de boeuf

constitue le principal apport carné de l’alimentation humaine. Doit -on comprendre que quelque chose “cloche” ? Ou bien ces êtres essaient-ils de mieux nous comprendre par une étude de notre alimentation ?

Voyons donc le cycle dans son ensemble. La vache mange de l’herbe, produit de la viande et du lait. Accessoirement, elle est aussi gavée d’hormones pour augmenter son rendement. Elle donne naissance à un veau, qui va boire son lait avant de s’attaquer aux pâturages.

Si le problème venait de l’herbe, nos E.T. se contenteraient certainement de “tondre” notre gazon ! Or, ils s’attaquent à ce qui le mange ! C’est donc à ce niveau qu’il faut chercher...

Les bovins sont, comme nous l’avons déjà mentionné, la source principale de notre alimentation, tant pour leur viande, que pour leur lait, crème et beurre.

Est-il possible que ces produits nous soient nuisibles ? Certes, nous les consommons depuis longtemps. Mais un facteur nouveau est à prendre en compte: ces fameuses hormones, ainsi que les additifs artificiels. De nos jours, nos vaches n’ont plus la même alimentation que par le passé. Il y a de fortes chances que beaucoup de problèmes viennent de là.

Penchons-nous un instant sur une autre facette de l’ufologie: les enlèvements de personnes. Celles-ci décrivent, sous hypnose, toutes sortes d’analyses qu’elles disent avoir subies. Doit-on conclure que ces analyses humaines sont la suite de celles pratiquées sur les animaux ? L’avenir nous le dira.

Quoiqu’il en soit, le débat est ouvert. Faites-nous part de vos idées sur le sujet...

Philippe Guignard

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NOTRE TERRE

Découverte de la vie dans l’univers

D epuis janvier 1996 même le savant le plus conservateur ne peut plus

exclure la possibilité de la vie dans l’univers. Car le 16.1.1996, les astrophysiciens Geoffroy MARCY et Paul BUTLER, ont annoncé, lors de la Conférence de la Société Américaine d’Astronomie, la découverte de deux au-tres planètes gravitant autour des étoiles 70 Virginis, dans la Vierge, et 47 Ursae Majoris dans la Grande Ourse. Les deux sont des mondes puissants, remplis de secrets - et seulement éloignés de 35 années-lumière de la Terre. La planète du soleil « 70 Virginis » possède neuf fois la masse de Jupiter et fonce autour de l’étoile en 116 jours, selon une orbite elliptique. Sa température est d’environ 85° C, ce qui rend possible la vie, depuis le gaz carbonique jusqu’à des liaisons organiques compliquées, de même que l’eau, les pluies et les océans. La deuxième planète, qui gravite autour de « 47 Ursae Majoris », ne possède que trois fois la masse de Jupiter et a besoin de 1100 jours pour une révolution sidérale. La température à sa surface semble être plus froide, aux environs de -80° C. Mais elle aussi pourrait avoir une zone dans son atmosphère, où les températures ne font pas geler l’eau — et là aussi, il pourrait y avoir des molécules organiques.

Les savants étaient tombés sur ces mondes étrangers, alors qu’ils observaient les infimes mouvements oscillants des deux étoiles. Ces mouvements de bascule pouvaient uniquement signifier que les soleils se trouvaient au centre de l’orbite d’une masse au moins. Et sur la base de l’analyse approfondie des mouvements, il a été possible de déduire les

caractéristiques des satellites. MARCY est persuadé que cette

découverte ne constitue qu’un point de départ et conduira à la localisation de nombreuses planètes nouvelles. Les milieux spécialisés escomptent un véritable « boom des planètes » au cours des prochains temps. Jusqu’à présent, seules deux planètes ont pu être découvertes dans d’autres systèmes stellaires, dans l’orbite de Pegasus 51, éloignée de 45 années-lumière de la Terre et de Bêta Pectoris. Mais l’abondance de planètes rend d’autant plus vraisemblable qu’il y ait aussi de la vie dans l’univers. Même la cynique revue STERN a écrit : « Personne ne peut exc lure to ta lement des développements comme ceux que prônent les fidèles des OVNI. » Aux États-Unis, on va encore un pas p l u s loin. « Y-a-t-il quelqu’un là-bas ? » demande TIME MAGAZINE sur sa page de couverture et laisse méditer Lance MORROW sur les conséquences de la découverte de la vie extraterrestre : « La Terre se trouve peut-être sous une forme de quarantaine. Si c’était le cas, la rencontre effective avec une vie extraterrestre pourrait constituer une étape supérieure dans le progrès terrestre, une libération. Alors la théologie, l’histoire, l’astronomie — tous les refuges de la pensée et quête humaines — fusionneraient dans un choc de la compréhension cimentant toutes choses, qui constituerait en même temps une auto-transcendance planétaire. »

HUBBLE PHOTOGRAPHIE LE LIEU DE NAISSANCE

DES GALAXIES

À côté du t i m o n de la « Grande Ourse » on trouve une zone sombre,

qui est apparue comme un trou noir aux télescopes terrestres, jusqu’à le télescope spatial américain Hubble eût fourni plus de précisions à ce sujet. Maintenant ce «

champ profond » (Deep Field) s’est avéré être un trou de serrure cosmique, à travers lequel nous pouvons porter notre regard jusqu’à l’horizon de l’univers. Car du fait qu’il est dépourvu de sources lumineuses perturbatrices, il permet d’observer les formations faibles en lumière qui se trouvent aux confins du temps et de l’espace. Et ce que Hubble a photographié a même dépassé les espérances des astrophysiciens les plus optimistes : plus de 1500 galaxies, chacune constituant une structure d’environ 100 milliard d’étoiles, se pressent sur un espace des plus réduits. Et certaines d’entre elles sont distantes de près de dix milliards d’années-lumière — une occasion unique de jeter pratiquement un regard sur les débuts de l’univers, d’étudier l’origine des voies lactées. Maintenant des astronomes estiment qu’il y a 50 à 100 milliards de galaxies dans l ’ u n i v e r s , a v e c j u s q u ’ à 10.000.000.000.000. (10 bi l l ions) d’étoiles — et encore, il ne s’agit là que d’une estimation prudente.

Source : MAGAZIN 2000 n° 110 - 4/5.1996.

LE COSMOS AUTOUR DE

NOUS

LE COSMOS EN NOUS

T out communique avec tout. Il n’y a pas de hasard. Il y a un ordre

transcendant. Chaque pensée humaine agit sur l’univers tout entier. Le temps et l’espace ne sont que des valeurs relatives. La passé et l’avenir ne sont pas séparés l’un de l’autre. Ce sont là les acquis de la physique de pointe actuelle.

Où se trouve l’homme dans le

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cosmos ? Quelle est son importance ? Osons

émettre une affirmation, pour commencer. Elle s’énonce : « l’homme se trouve au centre de l’univers matériel. » Cette affirmation semble de prime abord prétentieuse. L’homme ne peut quand même pas être tellement important, pensons-nous. Mais l’affirmation est correcte.

Considérons une fois les dimensions du cosmos autour de nous et aussi celles du petit cosmos en nous. Nous savons que l’homme vit dans le domaine des mètres. C’est là sa dimension naturelle. Ce dont il s’occupe, son logement, son champ de vision, le petit monde individuel — tout cela fonctionne selon l’échelle métrique.

L ’ é c h e l l e métrique indique j u s q u ’ o ù n o u s pouvons reconnaître quelque chose sans appareils, jusqu’où vont nos cinq sens. Si l’homme veut reconnaî tre quelque chose au-delà de cette échelle, il a besoin d’appareils adjuvants. Pour le cosmos, ce sont le télescope et les radiotélescopes, qui, à présent, gravitent aussi autour de la Terre dans des satellites.

Ces appareillages détectent un cosmos s’étendant jusqu’à 1025 mètres. L’homme n’est plus en mesure de se faire une idée d’une telle distance. 106 représente un million, 109 un milliard, 1012 un billion, 1015 un trillion, 1018 un quadrillion, etc...

Mais c’est là que se trouvent, selon nos connaissances actuelles, les limites de l’univers matériel, à savoir à une distance d’environ un milliard d’années-lumière. Si nous nous représentons que la lumière parcourt 300.000 km en une seconde, et si nous multiplions ce chiffre par le nombre de secondes que renferme une année, puis, par 1 milliard, nous aurons approximativement le diamètre de l’univers matériel.

La lumière a besoin d’un milliard

d’années. Si nous captons un tel signal ici sur

Terre, cela signifie en même temps que ce signal a été émis il y a 1 milliard d’années. Ce que nous percevons maintenant n’a, en fin de compte, pas été émis maintenant par l’émetteur, mais c’est archi-vieux, et remonte à 1 milliard d’années. C’est pourquoi, nous ne pouvons évidemment pas savoir quelle

est la structure actuelle de l’univers, car dans l’intervalle il a pu poursuivre son expansion ou son rétrécissement.

Nous ne pouvons précisément pas le savoir parce que Einstein a défini une fois pour toutes que la vitesse de la lumière constituait la plus grande vitesse possible.

Si nous prenons comme dimension de départ, non pas celle de l’homme, mais celle de notre Terre, avec son diamètre de 12.000 km, alors l’univers est plus grand de 1018 fois. Le principe de base de l’univers reste, à cet égard, toujours le même, à savoir : autour d’un centre avec une masse relativement grande gravitent, selon des orbites elliptiques, des masses plus petites. Cela s’applique à notre système solaire tout autant qu’aux

grandes galaxies, mais également aux atomes, à l’échelle microcosmique.

Si nous regardons maintenant en nous-mêmes, dans l’univers intérieur, alors nous avons besoin de microscopes é lectroniques et d’autres instruments analogues.

Ils montrent que les particules les plus petites, les briques de base, on

les appelle encore les quarks, ont une dimension de 10-15 mètres; en comparaison de la Terre, on peut dire : 1022 fois plus petites.

Lorsque nous voyons ces chiffres, alors, ce qui frappe, c’est que ce qui est au-dessus de nous présente des valeurs identiques à ce qui se trouve en nous.

Nous le voyons : le macrocosme et le microcosme. Les deux sont aussi fascinants l’un que l’autre. Et l’homme se trouve à peu près au milieu. On peut alors se poser la question : tout cela n’est-il qu’un pur hasard ? Même de nombreux savants, aujourd’hui, ne peuvent plus s’expliquer cela comme hasard.

Celui qui ignore tout des grandes lois cosmiques suit la politique de l’autruche, en se disant que tout cela ne le concerne finalement pas.

En est-il ainsi ? Ce ne serait le cas que s’il n’y avait aucune communication dans l’univers, si tout existait côte à côte, sans liens, comme on le pensait autrefois.

Mais la physique nucléaire actuelle constate qu’il n’en est pas ainsi, qu’au contraire, tout communique avec tout, comme si le temps et l’espace n’avaient pas d’importance.

Prenons à coeur une autre affirmation, pour nous rapprocher du petit univers. Elle s’énonce : « l’univers est tissé d’un réseau de relations quantiques, ce qui fait

que tous connaissent tout l’un de l’autre. » Et considérons une fois l’état de la

physique quantique sur la base de cette affirmation. Beaucoup ont encore en mémoire leurs connaissances scolaires sur la dualité des particules (corpuscules) et des ondes. Cette théorie soutient que les plus petits fondements de la matière, c’est-à-dire les quanta, mais aussi les électrons et même les atomes, peuvent exister soit sous forme matérielle, soit sous forme d’ondes électromagnétiques. Il semblerait que ce soit à leur gré que ces corpuscules peuvent avoir une masse ou transformer celle-ci en une énergie vibratoire. Il s’agit donc ici du passage de la matière à une énergie non matérielle.

On peut également exprimer cela de la manière suivante : il y a une matérialisation de l’énergie et une dématérialisation de la matière. Cela se déroule au niveau des quanta. Et il ne s’agit pas de spiritualisme, ici, mais d’une réalité physique.

Par ailleurs, beaucoup ont appris, à l’école, qu’il y a une relation d’incertitude selon la théorie de Heisenberg. Autrefois, on pensait qu’on pouvait analyser les plus petits corpuscules, dans leur mouvement de rotation. Mais alors Heisenberg a constaté que ces corpuscules échappaient aux in-vestigations. Il est impossible de déterminer, simultanément, pour un corpuscule, sa masse, sa localisation et son énergie. On ne peut que saisir l’un des deux facteurs, simultanément : soit, où il se trouve, soit combien d’énergie, respectivement quelle masse il présente. Cela signifie que ces corpuscules constituent une totalité. La science analytique a toujours estimé qu’on pouvait tout disséquer, selon la manière habituelle, et que cela était alors pratiquement mis à nu. Mais il n’en est pas ainsi. Les plus petits corpuscules échappent à l’analyse. Ils se considèrent comme étant partie d’un tout, qui ne se montre p a s i n t é g r a l e m e n t à l’homme.

La matière dans sa transition

vers la non-matière.

Nous ne pourrons donc jamais saisir l’état naturel à l’aide de la science, mais uniquement une partie de cet état ou un état artificiel. La matière dans sa transition vers la non-matière échappe à

l’approche humaine.

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Ceci pourrait être conditionné par nos pensées et par leurs influences. Et c’est ainsi que nous en venons à l’influence sur ces plus petits corpuscules. Car ces deux connaissances les plus anciennes, la dualité et l’incertitude renferment encore le préalable de la localisation. La localisation signifie que le comportement d’un système physique ne dépend que de la situation dans son environnement direct. Et cette localisation était une belle affirmation pour la physique, car elle constituait une base de travail.

De ce fait, des effets à distance, donc, des répercussions dans le cadre de la communication, ne seraient pas possibles, car des effets à distance engendreraient finalement des conditions incontrôlables dans le domaine subatomique.

Einstein s’en est tenu à ce qui est

mesurable. Et c’est ainsi qu’Einstein fut le dernier

à s’accrocher à cette localisation. Il savait que s’il y a des effets à distance incontrôlables, non mesurables, alors la physique s’arrête. Alors le présent, même, s’arrête. Car de tels effets à distance sous-entendraient finalement qu’il y a une vitesse supérieure à celle de la lumière. Einstein ne voulait pas admettre qu’une telle vitesse pourrait exister, car en cas de vitesse supérieure à celle de la lumière, le passé, le présent et l’avenir disparaissent. Et cela ne correspondait pas à sa pensée.

Einstein réfuté. Cependant, avec les derniers acquis de

la physique quantique, Einstein a été réfuté. Le physicien anglais David Bohm a émis, à cet égard, les hypothèses indispensables. Il ne voyait plus les plus petits corpuscules comme étant individuels et séparés les uns des autres, mais reliés les uns aux autres d’une manière intégrale ou, comme on le dit, d’une manière holistique — tous se trouvant dans une communication ininterrompue les uns avec les autres. Dans un premier temps, Bohm fut attaqué et on ne crut pas à ses hypothèses. Car alors, la non localisation des quanta deviendrait la loi fondamentale de la physique nucléaire. Et tel est le niveau des connaissances actuelles : la loca-lisation a été réfutée, la non localisation est prouvée.

En cas de vitesse supérieure à la

lumière, le passé, le présent et l’avenir disparaissent.

Cette vitesse hyper-lumineuse a été mise en évidence lors d’expériences effectuées à Paris par Alain Aspect, à Garching par Malon Scully, à Rochester et à Berkeley, aux États-Unis. Déjà en 1964, John Bell avait démontré mathématiquement que des particules de lumière émanant d’une origine commune — et en fin de compte, elles émanent, en fait, toutes d’une origine commune —

ne s’ « oublient » pas les unes les autres. Elles savent, à tout moment, comment se porte la particule soeur. Plus encore, toutes les particules savent dans quelle mesure des expériences sont effectuées sur les particules soeurs.

Ce dernier acquis de la connaissance signifie que les informations entre toutes les particules sont échangées sans perte de temps, depuis les endroits les plus éloignés et avec une vitesse hyper-lumineuse impossible à mesurer. Mieux encore : les expériences les plus récentes ont montré que les quanta peuvent même prévoir ce qui sera infligé à la partenaire soeur, avant que cela n’ait lieu. Toujours mieux : les quanta peuvent reconnaître ce qui arrive à la particule soeur, avant même que l’expérimentation ait arrêté une décision d’action.

D’une certaine manière, les quanta peuvent donc voir dans l’avenir. On peut même qualifier leur communication, les possibilités qu’elles ont les unes pour les autres, de sympathie ou d’affection.

Ces possibilités témoignées par des particules matérielles lors de la transition vers le non-matériel nécessitent la reconnaissance de deux mondes qui s’interpénètrent. Avec le seul monde que nous voyons autour de nous, on ne peut plus fournir d’explications. Il faut qu’existe le monde réel, physiquement perceptible, qu’il soit maintenant fait de masse ou d’ondes électromagnétiques et un monde d’informations supérieur. Ce monde d’informations est indépendant du temps et de l’espace, renferme toutes les

informations sur le monde matériel et le dirige en même temps.

Ces deux mondes constituent entre-temps la seule explication pour les plus récentes acquisitions de la physique nucléaire.

David Bohm a qualifié ce monde d’informations non matériel d’ordre implicite, du fait qu’il opère selon le principe du meilleur ordre possible. En d’autres termes, il s’oppose totalement au hasard et à ce qu’on appelle le chaos.

À cet ordre appartiennent aussi les constantes de la physique, qui sont, en fin de compte, absolument nécessaires, si l’univers doit fonctionner. Car ce n’est que par ces constantes que le chaos est évité. Considérons uniquement la constante de la gravitation. Elle ne devrait pas être plus petite ou plus grande d’un pouce si les systèmes solaires doivent fonctionner. Si la constante de la gravi-tation était plus petite, les systèmes solaires s’éloigneraient les uns des autres; si elle était plus grande, ils s’effondreraient sur eux-mêmes et imploseraient. Pourquoi la constante de la gravitation est donc exactement telle qu’elle est ? Elle représente une forme de cet ordre dans le monde des informations.

Qu’en serait-il, maintenant, si les hommes interféraient dans cet ordre, comme ils s’y essayent déjà, d’ailleurs ? Le système solaire pourrait entrer dans un tel désordre, sous l’action de l’homme qu’il n’existerait plus sous cette forme, qu’il se disloquerait ou s’effondrerait.

Le biologiste Sheldrake a émis des affirmations identiques, et en a apporté la preuve aussi, dans une certaine mesure. Il a nommé les composants de ce système d’ordre « champs morphogénétiques ». Ils ont notamment pour tâche de réparer des perturbations de l’ordre, à l’aide de calques, donc, de plans. Et ces champs permettent une capacité d’apprentissage de tous les organismes dans l’univers. Mais cette capacité d’apprentissage signifie que la théorie de la sélection naturelle de Darwin est inexacte. Car, selon Darwin, on n’accroît ses connaissances qu’au cours d’une seule vie, et ensuite, toute l’information est perdue.

Darwin est dépassé. Mais si les informations qui sont

apprises passent dans des champs, et si ces champs existent parallèlement comme monde d’information, alors rien de ce qui est appris ne vient à se perdre, mais c’est stocké et continue à agir sans cesse. Dans une prochaine vie, p.ex., je peux y

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revenir. Et ainsi, il est explicable que l’humanité apprend sans cesse de nouveau, et que lors de nombreux essais qui ont été pratiqués, des connaissances apprises peuvent être puisées d’ailleurs.

C’est ainsi que la physique et la biologie arrivent aux mêmes résultats, dans leurs connaissances les plus récentes.

Mais pour nous les hommes, c’est essentiellement la matière qui constitue toujours encore la réalité, et nous nous étonnons sur ses sauts évolutifs ou sur sa versatilité quand, p.ex., des faits sur-viennent comme surgis du néant, auxquels personne ne pouvait s’attendre. On a déjà dit, par boutade, que le battement d’ailes d’un papillon pouvait déclencher un ouragan, sous certaines conditions, de l’autre côté du globe. Certes, cela semble incroyable et extravagant, mais l’affirmation est correcte. Car, finalement cela ne signifie pas autre chose qu’un homme, par une seule pensée, exerce une influence sur l’univers.

Ce monde d’information est difficilement accessible à un homme avec ses cinq sens. C’est pourquoi, nous ne pouvons normalement pas reconnaître quelles sont les communications qui ont lieu et où s’accumulent des énergies qui n’attendent qu’un catalyseur pour se libérer, et devenir alors aussi visibles, matériellement. Nous ne pouvons pas reconnaître cela avec nos pensées, mais ce sont les pensées qui sont les catalyseurs.

La glande pinéale et le plexus

solaire sont des antennes et des émetteurs du corps.

Considérons le fait que nous avons

d’autres structures sensitives en nous, comme la glande pinéale ou le plexus solaire. Ces structures nous permettent de ressentir ce qui s’édifie p.ex. dans le monde invisible, ainsi, sous la forme d’une atmosphère tendue. La glande pinéale et le plexus solaire sont des antennes et des émetteurs du corps. La glande pinéale, p.ex., est un récepteur pour toutes les ondes électromagnétiques, mais aussi pour les informations issues du monde de l’information. Notre plexus solaire peut absorber des vibrations et y réagit en se crispant. Nos cinq sens pourraient certes nous le signaler, mais uniquement si nous y prêtons attention, si nous prenons au sérieux leurs indications, en ne les négligeant pas.

La communication se fait par

l’intermédiaire des quanta. Les espaces physiquement vides, en

apparence, de l’univers et des atomes, sont remplis d’une infinité de contenus. Nous ne disposons pas encore d’appareils de mesure à cet effet. Mais les effets de ces informations sont reconnus d’une manière croissante par la physique quantique, et ce, sur la base de leurs effets sur les plus petites particules, dont les quanta, précisément.

En d’autres termes : les quanta de l’ordre de grandeur de 10-15 établissent les connexions dans le réseau de communication de l’univers avec son échelle de grandeur de 1025 mètres. Et c’est ainsi qu’on peut dire : tout communique avec tout. Tous savent tout sur tout le monde. Il n’y a pas de hasard. Il y a un ordre supérieur. Chaque création d’énergie, p.ex. aussi par une pensée humaine, agit sur l’univers tout entier. Le temps et l’espace ne sont que des grandeurs relatives. Le passé et l’avenir ne sont pas séparés l’un de l’autre. Ce sont là les acquisitions de la physique la plus récente.

L’homme se trouve au milieu. Ce qui signifie : l’univers en nous est

l’interlocuteur de l’univers autour de nous. Nos quanta en nous émettent et reçoivent. Ils nous insèrent dans le réseau universel. Et ils peuvent, si nous le voulons, lire des pensées. C’est ainsi que le microcosme entrelace d’une manière continue le macrocosme. Dans cette optique, l’homme se trouve effectivement au milieu.

Source : CHRISTUSSTAAT n° 18 - 09/94.

ISO détecte de l’eau dans NGC 7027

L e télescope spatial infrarouge lancé en novembre dernier par l’ESA vient

de signer une première : la détection d’eau dans le milieu interstellaire. Pointé vers NGC 4027, une jeune nébuleuse planétaire, ISO a formellement identifié une ligne spectrale à 179,5 µm de longueur d’onde qui trahit la présence de molécules d’eau. Du même coup, c’est une sérieuse indication qui est donnée aux astronomes sur ce qu’ils appellent le problème de l’oxygène manquant. Alors que les théories prévoient que l’oxygène est le troisième élément chimique de l’Univers en abondance (après l’hydrogène et l’hélium), la moitié

demeure inrouvable, les molécules d’eau et d’oxygène étant difficilement détectables. Les chercheurs espèrent maintenant quantifier l’abondance d’eau dans NGC 7027.

Source : CIEL & ESPACE n° 314 - 06.96.

Le sous-sol lunaire révélé

L a Lune laisserait voir une partie de son manteau. C’est du moins ce

qu’avancent des astronomes du Hawaï Institute of Geophysics and Planetology, après étude des images du bassin Aitken, prises à différentes longueurs d’onde par le sonde Clementine en 1994. Une surabondance de fer et de titane a été détectée dans ce cratère d’impact de 2.500 km de diamètre et de 12 km de profondeur, situé au pôle Sud lunaire. Une telle signature indiquerait que le bolide ayant creusé le cratère a atteint le manteau. Ainsi le bassin Aitken serait-il un mélange de croûte et de manteau. Ce scénario reste à vérifier, notamment grâce au spectromètre du Lunar Prospector qui devrait être lancé l’année prochaine. A la fin des années 80, une équipe d’astronomes de Toulouse étudiant certains cratères à l’aide du 2 m du Pic du Midi avait déjà émis l’hypothèse que le manteau lunaire pouvait affleurer.

Source : CIEL & ESPACE n° 314 - 06.96

D’étonnants bras magnétiques pour

NGC 6946

L es deux astronomes allemands qui ont pointé les 27 antennes du

radiotélescope VLA, situé au Nouveau-Mexique, vers la galaxie spirale NGC 6946, distante d’environ 25 années-lumière, ont eu la surprise de voir surgir quatre bras spiraux (deux grands et deux petits) parfaitement symétriques et dessinés par les lignes de force du champ magnétique. On supposiat jusque-là que les champs magnétiques galactiques étaient liés aux bras dynamiques de la galaxie qui sont peuplés d’étoiles. Or, les bras magnétiques de NGC 6946 sont apparemment sans lien avec les bras spiraux stellaires, ce qui pose le problème de leur origine. Aucune théorie actuelle ne peut expliquer la forme des bras magnétiques de cette galaxie.

Source : CIEL & ESPACE n° 313 - 05.96

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RENCONTRE AVEC DES EXTRATERRESTRES À PORTO-RICO

Partie 2, rencontre du troisième et du quatrième type (extraits)

Par Jorge J. Martin (Rédacteur en Chef de la revue “Evidencia OVNI”)

E n avril 1992, j'ai organisé une rencontre entre le Colonel W. STEVENS, l'ufologue, et le r e p o r t e r T V J a i m e

MAUSSAN, qui avait participé à la documentation sur les cas d'OVNI à Porto-Rico, et Diego SEGARRA, un pêcheur de la région de Boqueron à Cabo Rojo, qui avait vécu certains événements en rapport avec les OVNI. C'est ainsi que ce dernier avait observé, près de son bateau dans la région de Cayo Margarita et de l'île Mona, des OVNI surgissant de la mer et se diri-geant vers l'Ouest, en direction de Porto Rico. Bizarrement, Diego ne voulut pas parler, cette fois-ci, de ce qu'il avait vu. Finalement, il nous confia qu'il avait été menacé par des agents du gouvernement; il ne voulait pas en dire plus. Maussan et Stevens peuvent confirmer ses propos. Avant de nous quitter, il me parla seul et me dit qu'il était prêt à me raconter ce qui s'était passé, si je revenais ultérieurement seul. Une semaine plus tard, je me rendis à nouveau chez lui et il m'expliqua les raisons de ses craintes.

Ce qui suit, maintenant, ce sont les propos de Diego sur un incroyable événement ufologique : « Jorge » dit-il, « nous sommes des amis de longue date, et je regrette de n'avoir pas pu parler en présence de tes amis. Il s'est passé quelque chose dont je veux te faire part. J'ai un ami qui est comme un frère pour moi. Cet ami s'était acheté u n e n o u v e l l e caméra vidéo qu'il voulait essayer. Il s'était rendu à un lieu situé entre deux montagnes, dans la Sierra B e r m e j a e t commença à filmer

les environs. Il était environ 16 h, lorsqu'il remarqua tout à coup une lueur dans le ciel. Lorsqu'il regarda en direction de cette lumière, il fut surpris de voir une soucoupe volante en train d'amorcer une m a n o e u v r e d'atterrissage. Il se cacha derrière des buissons et cont inua à f i l m e r. I l raconta que la s o u c o u p e volante s'était posée là, après que trois pieds eurent été sortis de la base de l'engin. La soucoupe volante avait une couleur gris métallique, un diamètre d'environ 8 mètres et une forme ressemblant à celle de Saturne. Une ouverture analogue à celle d'une porte s'ouvrit sur le côté et s'inclina vers le sol. Puis, deux petits êtres “gris”, hauts de 1,20 m environ, avec de grosses têtes, sortirent du véhicule, en regardant tout autour d'eux, comme s'ils voulaient s'assurer qu'ils ne risquaient rien en sortant du vaisseau, et que personne ne se trouvait dans les environs. Les petits hommes retournèrent à nouveau dans le vaisseau, mais ressortirent peu de temps après, cette fois-ci accompagnés d'un

g r a n d h o m m e mince, au teint pâle et avec des cheveux blonds argentés. Il ressemblait à un “albinos”, était très pâle et portait un simple costume noir, u n e c h e m i s e blanche, une cravate et des lunettes de soleil. Il regarda autour de lui, puis se rendit dans une certaine direction.

Mon ami n'arrêtait pas de filmer et enregistra tout sur vidéo. Il constata avec étonnement qu'il y avait là une jeep militaire U.S. (ou appartenant à la Garde Nationale de Porto Rico)

stationnée avec deux militaires. L'homme de grande taille sauta dans la jeep et les soldats s'éloignèrent en empruntant un chemin entre les montagnes. Après le départ de la jeep, les deux petits extraterrestres retournèrent dans le vaisseau, les portes se refermèrent, les pieds furent rentrés, et le vaisseau s'éleva de terre et disparut ».

L'ami de Diego ne pouvait pas croire à ce qu'il venait précisément de filmer. Tout l'événement avait été enregistré sur vidéo. Comme il connaissait l'intérêt de Diego envers les OVNI, il se rendit chez lui et lui fit part, très excité, de ce qui s'était passé. Diego lui demanda une copie de la vidéo, pour pouvoir me l'envoyer. Son ami fut d'accord et lui dit qu'il lui apporterait une copie lundi après-midi (la vidéo avait été enregistrée un dimanche). Mais tout allait se passer différemment. L'ami de Diego, qui travaillait dans une agence américaine à Porto Rico, raconta également à ses collègues de travail, dans son excitation, ce qu'il avait filmé la veille. Vers 16h30, lorsqu'il rentra à la maison après son travail, il y avait déjà là quelques agents gouvernementaux qui l'attendaient. On l'interrogea durant plusieurs heures sur ce qu'il avait vu, et ils lui confisquèrent la vidéo. Par ce sévère interrogatoire, les

Mon ami constata avec étonnement qu’il y avait là une jeep militaire U.S.

stationnée avec deux militaires. L’homme de grande taille sauta dans la jeep et les deux petits extraterrestres

retournèrent dans le vaisseau

© MAGAZIN 2000

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agents avaient voulu s'assurer qu'il n'y avait pas d'autres copies de la vidéo. L'homme et sa famille furent menacés par les agents (on ne sait pas de quelle autorité ils dépendaient), qui voulurent également savoir s'il y avait encore d'autres personnes au courant de la vidéo, indépendamment de ses collègues de travail. Saisi de panique, il avoua que Diego était le seul qui était également au courant.

Ils se mirent donc à la recherche de

Diego et l'interrogèrent également. Après qu'ils se furent assurés qu'il ne détenait aucune copie de la vidéo, ils le menacèrent également, lui et sa famille. On lui dit qu'il avait de beaux enfants et que « ce serait une honte s'il devait leur arriver quelque chose ». Ils revinrent quelques jours plus tard et le menacèrent à nouveau. Ils dirent que la fille aînée de Diego était une jeune fille agréable à regarder, et une bonne sportive à l'école et que « ma foi, un accident est vite arrivé » et que quelqu'un pourrait lui briser les jambes par mégarde. De plus, Diego avait un fils un peu plus âgé qui purgeait une peine de prison à New York pour un quelconque délit, et Diego devait prendre conscience, selon les agents, « qu'il se passait là-bas beaucoup de choses graves et que quelqu'un pouvait être assassiné, sans que l'on ne trouve jamais son meurtrier ». On lui conseilla de ne jamais parler à quiconque de ce qu'il avait vu. De temps à autre, ils revenaient ou l'arrêtaient dans la rue pour lui rappeler cela. Depuis, son ami refuse de lui parler, craignant les menaces des agents.

L'endroit où l'homme avait enregistré la vidéo se trouve sur une pente entre deux montagnes, tout près de l'emplacement dénommé “El Cayul”, déjà évoqué, dans la Sierra Bermaja.

Diego Segarra décéda début 1993, il

se suicida, en raison semble t-il, de problèmes personnels. Mais pour d'autres, il mourut dans des circonstances bizarres, et son cas fait

toujours encore l'objet d'investigations de la part de la police de Cabo Rojo. Peu avant sa mort, Diego m'avait appelé et expliqué qu'il avait trouvé quelque chose de très important en rapport avec les OVNI, en me demandant de venir chez lui, afin qu'il me montre quelque chose. A cette époque, j'étais très occupé et ne pouvais m'absenter. Puis vint la nouvelle de sa mort quelques semaines plus tard. J'en fus fort triste et affligé, en raison notamment des circonstances étranges entourant ce décès.

Une autre source, une personne que

nous considérons comme très crédible et responsable, nous a raconté comment il était tombé par hasard, avec un ami pêcheur du nom de Vega de la Parguera, sur un puits d'aération caché près du terrain de la station radar. Notre témoin,

dont nous tai-rons le nom aux lecteurs, pour des r a i s o n s évidentes de sécurité, a expliqué qu'il y a v a i t effectivement là en dessous d e s

extraterrestres et qu'il y avait également vu des soldats américains. Lui et son ami se seraient enfuis dans la panique, ayant craint d'avoir vu quelque chose qu'il aurait mieux valu n'avoir pas vu.

Notre source d'information retourna quelques jours plus tard vers cet endroit et constata que l'ouverture avait été scellée à l'aide d'un lourd couvercle cimenté. Quelques jours plus tard encore, on retrouva son ami le pêcheur, mort dans sa maison à La Paguera, suspendu à un petit clou dans le mur. Les autorités expliquèrent qu'il s'était pendu lui-même avec un lacet. Mais ce qui était inexplicable, c'est que ses mains étaient libres et que le clou auquel il se serait

pendu se trouvait directe-ment au-dessus de sa tête. En plus de cela, personne ne pouvait expliquer comment un si petit clou pouvait supporter un tel poids. Nous analysâmes les circonstances de sa mort et parlâmes aussi à son

frère, un pêcheur du nom de Victor “Lindo” Vega, qui travaillait à La Paguera et qui, comme nous le savions déjà, avait également été témoin, là-bas

d'autres événements ufologiques. Il déclara qu'aucun membre de sa famille ne pouvait comprendre la mort de son frère : « Mon frère ne buvait pas d'alcool jusqu'au jour où il assista à ces événements; il ne se droguait pas non plus, n'était pas dépressif et n'avait pas de problèmes émotionnels ou psychiques; sa santé était bonne. Pourquoi a-t-il agi ainsi — je ne le sais pas — mais il y a quelque chose qui cloche dans cette affaire ? » déclara “Lindo”.

Au cours des derniers mois de 1992,

Anibal Roman, le directeur du bureau de la Défense Civile à Mayaguez, et le lieutenant de police Rodriguez commencèrent une intense campagne de désinformation, pour laquelle ils eurent recours à toutes les stations T.V. et radio, ainsi qu'aux journaux de Porto Rico. Ils s'efforcèrent de présenter tous les témoignages de particuliers et d'ufologues comme étant de pures inventions ridicules. À cet égard, ils reçurent le soutien, entre autres, de Fred Schaffner, un représentant des autorités américaines de la pêche et de la chasse.

Après la campagne de Romans, son supérieur, le colonel José A.M. Nolla, directeur de la Défense Civile à Porto Rico, envoya une circulaire interne à tous les bureaux régionaux, contenant des directives pour une analyse confidentielle de tous les cas OVNI dans l'île, et dans laquelle il considérait les apparitions d'OVNI comme réelles et importantes. Nous avons eu une copie de ces directives par une source émanant directement de la Défense Civile. Cette source expliqua que les conclusions des enquêtes, bien que soumises, en fait, à la juridiction des autorités, étaient en réalité destinées à être analysées par le Ministère de la Défense et l'Armée de l'Air américains. De cette manière, les autorités militaires ne furent officiellement pas impliquées dans les enquêtes sur les OVNI.

Le colonel Nolla qui, du reste, est actif en tant qu'officier de liaison entre l'Armée Américaine et la Garde Nationale, d'une part, et les services secrets militaires d'autre part, a déclaré récemment sous serment devant le Sénat de Porto Rico, qu'il avait analysé depuis 1975, en collaboration avec les services secrets civils et militaires, beaucoup d'apparitions d'OVNI et de cas de muti-lations animales à Porto Rico.

Tiré de la revue allemande MAGAZIN 2000 n° 107.

© 1995 - Jorge MARTIN - Porto-Rico

Il était tombé par hasard, avec un ami pêcheur, sur un puits

d’aération caché près du terrain de la station radar. Il y avait là

des extraterrestres, mais également des soldats américains

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LE PILLAGE DE L’AMÉRIQUE

Par Jarret WOLISTEIN

E n 1989, la police a arrêté une femme de 49 ans, Ethel Hylton, à l’aéroport de Houston, en lui disant qu’elle

était en état d’arrestation, car un chien anti-drogue en avait découvert dans ses bagages.

Les agents ont fouillé ses sacs et l’ont fouillé, mais ils n’ont pas trouvé de drogue. Ils ont simplement trouvé une somme de 39.110 dollars en liquide, qu’elle avait reçu en règlement de son solde de tout compte — accumulée durant 20 ans de travail comme ménagère dans un hôtel, puis comme concierge dans un hôpital.

Ethel Hylton avait ces papiers en règle, prouvant la provenance de cet argent et n’avait jamais été accusée d ’ u n c r i m e quelconque. Malgré cela, la police a gardé l’argent. Pendant près de 4 ans, elle essaiera de récupérer son bien.

Ethel Hylton est simplement une personne de plus, dans la liste grandissante d’américains — se comptant maintenant par centaines de milliers — qui ont été victimes de la loi civile sur la saisie des biens. Sous cette loi, tout ce que vous possédez, peut légalement être emporté, quand bien même, vous n’auriez jamais été inculpé ou accusé d’un crime.

Les soupçons ou délits qui, s’ils étaient prouvés par un tribunal, avaient pour résultat une contravention de 2.000 dollars ou une liberté surveillée, sont maintenant utilisés pour justifier les saisies de dizaines ou de centaines de milliers de dollars en valeur ou en biens. Des américains innocents ont perdu leur voiture, leur maison, et leur entreprise ; sur les allégations d’informateurs anonymes, prétendant que des transactions illégales se déroulaient dans leur propriété. Une fois que les biens ont été saisis, il est virtuellement impossible de les récupérer.

La saisie des biens est maintenant en application dans tous les états et touche toutes les classes d’américains. Les saisies comprennent même la

confiscation de l’argent de poche des personnes vivant en Floride ; la voiture des hommes suspectés de faire du racolage de prostituées dans l’Oregon est saisie, et la saisie des maisons est chose courante dans les classes moyennes d’américains, dont les adolescents sont accusés de vendre quelques joints de marijuana. Personne et aucun bien n’échappe à cette saisie. Vous pourriez être la prochaine victime. En voici quelques exemples :

A Washington D.C., la police arrête un homme noir dans les rues d’un quartier pauvre de la ville, et lui

confisque une petite somme d’argent liquide et des bijoux. La

p r o p r i é t é saisie, n’est p a s régulièrement en reg i s t r ée p a r l e s

départements de la police. Un habitant, Ben Davis, appelle ceci « l e v o l a v e c u n insigne ».

En Iowa, « une femme accusée de vol à l’étalage, d’un pull à 25 dollars, s’est vu saisir sa voiture à 18.000 dollars, spécialement équipée pour sa fille handicapée, comme s’il s'agissait d’une voiture suspectée être celle d’un fuyard.

En décembre 1988, la police anti-drogue de Détroit a fait une descente dans une épicerie, mais a échoué dans sa recherche de drogue. Après que le chien anti-drogue eut réagi à un billet de $1 dollar de la caisse, la police à emporté les 4.384 dollars de la caisse. (Selon le Pittsburgh Press, 92% de l’argent liquide circulant aux États-Unis, présente des résidus de drogue).

Kathy et Mark Schrama ont été arrêtés à leur domicile du New-Jersey, peu avant Noël 1990. Kathy a été accusée d’avoir dérobé pour une valeur de 5.000 dollars de colis sur le porche de leurs vois ins. Mark a été accusé d’avoir réceptionné la

marchandise volée. En tant normal, si les coupables avaient été retrouvés, ils auraient payé une légère amende et auraient été relâchés sous liberté surveillée. Le jour suivant leur arrestation, leur maison, leur voiture, et leur mobilier ont été saisis. Sur une simple accusation, 150.000 dollars en biens ont été confisqués, sans aucun procès ou inculpation. La police a même pris leurs vêtements, leurs lunettes et les présents de Noël pour leur fils âgé de 10 ans.

L’encouragement des agences gouvernementales à étendre ces saisies est énorme. Les agences peuvent facilement saisir les biens et elles ont pour habitude de garder ce qu’elles prennent.

Selon le Pittsburgh Press, 80% des victimes d’une saisie n’ont jamais été accusées d’un quelconque crime.

Le renforcement de la loi pour les agences permet à celles-ci de garder le meilleur des saisies : voitures, montres et T.V. pour leurs « départements », et de vendre le reste.

Quelles étendues ont les saisies en Amérique aujourd’hui ? En avril 1990, le Washington Post a annoncé que le U.S. Marschals Service — à lui seul — avait un inventaire de plus de 1,4 milliard de dollars en biens saisis, comprenant plus de 30.000 voitures, bateaux, maisons, et entreprises. Les agences d’états et fédérales chargées de la confiscation des biens comprennent désormais le FBI, la DEA, le U.S. Marschals Service, les Coast Guard, l’I.R.S., la police locale, la patrouille des autoroutes, le Department of Housing and Hurban Development, FDA, et le

bureau de l’aménagement du territoire. Les saisies

de biens sont une industrie croissante.

Les saisies ont augmenté de 27

millions de dollars en 1986, à plus de 644

millions de dollars en 1991. En 1993, les

saisies ont dépassé les 2 milliards de dollars.

La saisie des biens, définit un

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nouveau standard de justice en Amérique, ou plus précisément, un nouveau standard d’injustice. Selon la loi de la saisie civile, la propriété, pas l’individu, est accusée d’un délit. Quand bien même vous seriez un propriétaire totalement innocent, le gouvernement pourra quand même confisquer votre bien « coupable ».

Pour obtenir le retour de votre bien, vous vous battrez contre toutes les ressources de votre gouvernement d’état ou fédéral, et parfois contre les deux ! Vous devrez prouver que votre bien est « innocent », en fournissant tous les papiers montrant cent par cent, l’argent que vous aurez versé pour le payer. Vous aurez à prouver, que jamais, vous-même ou n’importe quel autre membre de votre famille n’a jamais commis un acte illégal associant votre bien.

Pour obtenir un procès, vous devrez envoyer une somme non récupérable de 10% de la valeur du bien. Vous aurez à payer la taxe de l’attorney — variant entre 5.000 dollars à plus de 100.000 dollars — à sortir de votre propre poche. L’argent que v o u s donnez à votre attorney est également sujet à saisie (avant ou après le procès); s i l e gouve rnemen t estime que ces f o n d s s o n t « pollués ». Et vous serez obligé d’aller de procès en procès, car sous la loi de la saisie des biens civils, la protection de la Constitution contre le « double danger » ne s’applique pas. Une fois que votre bien est saisi, vous devrez vous attendre à des années de combat contre les agences gouvernementales et vous serez appauvris par des taxes légales — sans aucune garantie de gagner — alors que le gouvernement garde votre voiture, votre maison et votre compte bancaire.

Aussi mauvaises soient ces lois courantes sur la saisie des biens, les pires seront toujours devant. La « Omnibus Crime Bill » — maintenant devant le Congrès — donne aux autorités 6 ½ ans pour retourner les biens improprement saisis à leurs propriétaires. (Comment voulez-vous que votre maison ou votre voiture ait encore de la valeur après 6 ½ ans sans entretien ?). En Californie, la législation est maintenant en attente de saisir les biens de plusieurs sociétés, employant illégalement des étrangers en situation illégale — même si les employeurs ne savent pas qu’ils sont dans l’illégalité. L’administration Clinton a fait d’un crime fédéral, le fait que votre docteur accepte de votre part 95% d’argent de tous les services médicaux. La sentence : confiscation de tous les biens du docteur, 50.000 dollars d’amende et 15 ans de prison.

Quelques américains se battent contre ces confiscations policières.

L’année dernière, un représentant de l’état de Californie a fait circuler une note qui aurait permis au gouvernement de confisquer plusieurs restaurants pour un

montant de 1 million de dollar, ainsi que plusieurs hôtels pour un montant de 100 millions de dollars, et ce, sur les dires d’une

personne, qui avait allégué que le patron avait mouillé dans une affaire de drogue. Une coalition de groupes « anti-saisie », conduite par l’attorney de San-Francisco, Brenda Grantland, a, avec succès,

fait échouer cette note, et obligé la Californie à éliminer les autres lois récentes sur la confiscation.

A Washington D.C., deux excellents projets d’une réforme, dirigés par Reps. Conyers et Hyde, sont suspendus. Ces réformes devraient raccourcir les délais de confiscations, par la police des biens saisis. (Le Département de la Justice essaie de les bloquer)

Finalement, quatre décisions de la Cour Suprême ont placé quelques

restrictions sur les confiscations. Une note légale et une audition sont maintenant nécessaires avant que les maisons ne soient saisies. Et le montant du bien confisqué doit être proportionnel au prétendu délit.

En dépit de ces points positifs, les confiscations de la police continuent d’augmenter. Chaque semaine, plus de 5.000 américains innocents — comme vous — perdent leur voiture, leur maison, leur compte bancaire, et leur entreprise. Seulement 3 sur 100 des victimes de confiscation ont obtenu un procès. VOUS pourriez facilement être la prochaine cible.

Le combat contre la loi sur la saisie des biens civils est une bataille contre la tyrannie en Amérique. Si les escadrons de saisies continuent de s’étendre, la liberté et la justice en Amérique deviendront bientôt qu’un simple souvenir. À cette vitesse d’augmentation des saisies, dans moins de 17 ans, tous les biens en Amérique seront confisqués par le Gouvernement ! Vous devez prendre le train en marche maintenant pour vous protéger vous-même et pour arrêter le pillage de l’Amérique.

Source : Journal « Paranoïa » - hiver 95 / 96.

Transmis par George C. Andrews

Note de Sentinelle : Si cette histoire se passe actuellement aux États-Unis, n’oublions pas que cela viendra également en Europe sous peu. Ces manoeuvres illégales du gouvernement américain sont destinées à être appliquées dans le cadre du Nouvel Ordre Mondial sur l’ensemble de la planète.

Dans le numéro 3 de Sentinel News, nous aborderons le Nouvel Ordre Mondial par l’intermédiaire des sociétés secrètes qui nous dirigent discrètement et qui sont les coupables de notre situation actuelle.

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SENTINEL NEWS n° 2 juillet - août - septembre 1996

QUELQUES PRÉCISIONS CONCERNANT LE RÉCIT D'UN CRASH D'OVNI SURVENU EN 1950

EN ARGENTINE

Par François COUTEN (Documentaliste-Expert)

D ivers ouvrages et revues ufologiques mentionnent un crash d'OVNI qui serait survenu au mois de mai 1950

en Argentine. Les textes qui y furent publiés concernant ce cas divergent, notamment quant à la date exacte de l'événement et au nom véritable du témoin principal.

Alors, rétablissons les faits une fois pour toute.

C'est à l'instigation de deux de ses amis, les sieurs Horacio Gonzales Ganteaume (astronome amateur) et Conrad Honeck (ingénieur), que la toute première relation écrite de ce cas fut publiée le 7 mai 1955 dans le journal EL UNIVERS A L p a r a i s s a n t à CA RA CAS (Venezuela).

C'est à la demande expresse de son auteur que son nom fut volontairement tronqué par la rédaction du Journal (à savoir Enrico BOSSA au lieu d'Enrique Carotenuto BOSSA, son véritable état-civil).

C'est dans le numéro 15 (année 1956) du Courrier Interplanétaire que parut la traduction en français de ce récit, t raduct ion effec tuée par M. FLACHAIRE, As de l'aviation française, à partir du rapport d'observation envoyé par Enrico Carotenuto BOSSA et portant en fin de texte la mention : CARACAS 1er novembre 1955 - Enrico BOSSA - Apartado Este 4067 - CARACAS.

En exergue de sa traduction, M. FLACHAIRE précise que le témoin principal est un architecte italien, 44 ans en 1955 et donc 39 ans en 1950. Ancien aviateur de la guerre 39-40, il possède une excellente formation d'ingénieur aéronautique et réside actuellement à CARACAS où il est arrivé en 1952 venant d'ARGENTINE.

Par ailleurs, Christian VOGT, alors Secrétaire Général de C.O.D.O.V.N.I. (Argentine) et de passage à CARACAS

dans les années 60, sonna un beau jour à la porte du 13° étage de l'Edificio Roraima, sis Avenida Francisco de Miranda où il avait par hasard repéré l'appartement où demeurait Carotenuto BOSSA. Il fut reçu par son épouse qui lui confirma la réalité du crash, mais lui dit que son mari était absent, se trouvant à PUERTO-RICO pour des raisons professionnelles. Lors d'un voyage postérieur, Christian VOGT est retourné dans cet immeuble, mais les Carotenuto BOSSA avaient déménagé sans laisser d'adresse. Depuis, il n'a jamais plus rien su de lui et ignore totalement où il peut vivre actuellement.

Ceci dit, voici la traduction de la relation du crash et de ses incidents ultérieurs rapportée par Enrique Carotenuto BOSSA et publiée dans le numéro 15 du Courrier Interplanétaire.

Un atterrissage d'astronef

en Argentine

Observation faite par M. Enrico BOSSA

(Traduction et introduction de M. FLACHAIRE, As de l'aviation française)

M onsieur Enrico BOSSA est un architecte italien, 44 ans, ancien

aviateur de la dernière guerre, possédant une excellente formation d'ingénieur aéronautique et résidant actuellement à CARACAS où il est arrivé il y a trois ans, venant d'Argentine. Il lui arriva là-bas une aventure extraordinaire dont il donne le compte rendu ci-après :

“Dans la période avril-mai 1950, je me trouvais dans la ville de BAHIA BLANCA, capitale de la province de la Pampa, pour construire un certain nombre de maisons. J'avais l'habitude, de temps à autre, pour me distraire, de faire de longues excursions avec ma voiture dans la province en question. Ces

promenades étaient en général des voyages de 300 à 400 km à l'aller et autant au retour et qui se faisaient en 3 jours. La route était une route d'été, inutilisable en hiver (qui là-bas commence en mai), dans une région à peu près plate, déserte, avec une végétation maigre. Il y avait quelques pierres granitiques et, dans le fond, plusieurs montagnes de quelques 1000 mètres de hauteur. le terrain de la route se trouvait à environ 300 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Le 15 mai 1950, j'effectuais un de ces voyages, à l'aller, et j'avais parcouru 280 km depuis Bahia Blanca ; je me trouvais à près de 68 degrés ouest de Greenwich et 37 degrés de latitude sud. Ciel à éclaircies assez dégagé. Je conduisais seul dans la voiture, quelque peu distrait et pensant à mes affaires, quand à l'improviste, un objet argenté sur le sol attira mon attention. je ne donnais pas beaucoup d'importance à la chose qui se voyait à gauche de la route à une distance de 300 mètres.

À mesure que je m'approchais, je notais des détails étranges, comme des hublots et une coupole translucide. A 50 mètres de l'objet, je m'arrêtai et observai de l'intérieur de la voiture avec attention.

Je constatai qu'il n'y avait aucun signe de vie autour de l'objet, et pensai aux restes d'un avion tombé. Mais la forme étrange de l'objet me fit abandonner cette idée. Les nuées qui passaient en interceptant le soleil produisaient sur l'objet un effet étrange. Je pensais laisser la voiture et m'ap-procher à pied. A 10 mètres de distance, je me rendis enfin compte qu'il s'agissait d'une “soucoupe”. Par un effet de mon subconscient, j'étais joyeux comme un enfant et, avec l'esprit audacieux qui s'acquiert dans ces conditions, je n'hésitai pas à m'approcher et à entrer à l'intérieur de l'objet dont la porte était

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ouverte. Avant d'entrer, je commençai à

examiner l'objet en détail. Il avait un diamètre d'environ 10 mètres, était formé de deux parties : une, en bas, en forme de soucoupe renversée, et une autre en haut, cylindrique et couverte par une coupole. Au dessus de la coupole, une étrange lanterne ronde. Sa hauteur totale était d'environ 4 mètres. Un certain nombre de hublots, que je n'ai pas comptés, de forme rectangulaire avec les angles largement arrondis. L'objet était posé sur le sol avec une inclinaison d'environ 20 degrés, appuyé sur un relief du terrain. Il avait une extravagante couleur chrome d'un poli magnifique dans lequel se reflétaient mon image et celle du ciel. Il semblait une chose morte : pas de vie, pas de bruit, pas de vibration. Je cherchai la porte, qui était ouverte, et précisément, au pied de la tour. Je pensais avoir quelque difficulté à monter sur le bord de la cloche, mais je me rendis compte que l'objet n'était pas neuf, parce que le bord inférieur de la cloche était un peu abîmé et déchiqueté par endroits.

Je mis les pieds sur le métal rugueux et, comme il y avait de ce point jusqu'à la tour une distance de deux mètres sans point d'appui, je dus m'accroupir pour grimper jusqu'à la porte dont les dimen-sions étaient d'environ 1,20 m x 0,90 m. Je mis la tête à l'intérieur sans voir grand chose à cause d'une certaine obscurité qui y régnait et sentis une forte odeur d'ozone 1 et d'ail. Je sautai tout de suite à l'intérieur dont le plancher était à une profondeur de quelques 60 cm. Le spectacle que je vis était tellement étrange qu'il dépassait l'imagination.

Le plancher était une plate-forme qui me donna la sensation de s'enfoncer lentement sous mon poids. La cabine était parfaitement circulaire, de couleur sombre, d'une hauteur d'environ 2,10 m. Autour de la paroi se trouvait une série de hublots, très épais, garnis d'une matière transparente pa-raissant être du plexiglas.

Mes yeux s'étant accoutumés à l'éclairage, la scène que je vis était horrible. Au centre de la cabine, qui mesurait environ 3,50 m de diamètre, se trouvait un siège étrange occupé par un homme d' 1,20 m à 1,40 m de hauteur, habillé d'une combinaison gris plomb ; sa tête ronde garnie de rares cheveux clairs, était inclinée sur sa poitrine. Les mains, bien faites, d'une couleur tabac clair, s'appuyaient nerveusement sur deux poignées qui sortaient d'une caisse noire se trouvant à quelques centimètres de son corps. Sa face était de le même couleur que ses mains, le nez bien formé et droit, les lèvres sans moustaches, les joues sans poil. Les yeux étaient grands, très dilatés et vitreux. Les formes du corps, par ce que l'on pouvait deviner, étaient parfaitement humaines et on ne notait aucune indication d'espèce animale. Il ressemblait à un adolescent de 15 ans, mais avec les traits d'un homme ; ce n'était pas un nain.

Je touchai un bras, qui était rigide, et la figure était froide. La combinaison lui serrait le col étroitement, et il en était de même pour les poignets ; les pieds étaient légèrement appuyés sur deux tu-bes fixés au plancher et servant d'appui. La combinaison semblait être faite de cuir dur, et était renflée aux épaules, donnant au pilote l'aspect d'un joueur de rugby. L'homme n'était pas attaché. Son siège était d'une forme très adéquate à son corps et d'une couleur rouge vermillon. Il était supporté par un axe

central. La boîte noire que le pilote avait devant lui ressemblait à un tableau de bord, mesurant environ 1 m de hauteur sur 0,80 m de large sur lequel se voyaient des “yeux de chat” dans le genre des “yeux magiques” que l'on voit sur certains appareils de radio. Au dessous de ce tableau, et un peu au-dessus des pieds, on voyait une large bande horizontale avec une aiguille verticale et certains signes étranges, qui, sans doute, signifiaient des numéros ; A la droite du pilote, un peu en avant du panneau, se trouvait un disque semi-opaque comme un écran de télévision éteint.

Le spectacle le plus impressionnant était donné par deux autres hommes identiques, qui gisant sur deux larges divans confortables, de chaque côté du pilote et contre la paroi, paraissaient également morts. Ils n'étaient pas attachés et on ne voyait aucune courroie. Les yeux étaient ouverts et terrifiés, les bouches entrouvertes et un peu enflées. Mais pourquoi le troisième divan était-il vide ? Je le touchai et constatai qu'il était d'un tissu très doux. La disparition du quatrième membre de l'équipage, évidemment sorti en laissant la porte ouverte commença à me préoccuper. Mon attention fut attirée par deux réglettes, de section rectangulaire et de 4 cm de hauteur, placées sur le plancher et allant du centre à la périphérie, où elles se terminaient de chaque côté de la porte.

1 - Se reporter au passage du rappor t off ic ie l du Major RUPPELT, commenté dans l'importante étude publiée par “Paris-Match” du 7 mars 1956. Il y est question de l'ozone également au sujet d'un autre astronef, et à propos de la théorie de PLANTIER.

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Je notai également, au-dessus de la boîte, des instruments de bord, une sphère transparente de 25 cm de diamètre entourée d'un anneau plat incliné à 40 degrés sur l'horizontale et ressemblant exactement à la planète Saturne telle qu'on la voit au télescope. Etait-ce un calculateur automatique de latitude ou de co-latitude ?

En levant les yeux, je notai que la cabine ne se continuait pas par le plafond, mais avait au joint du plafond légèrement incurvé, un très fort relief circulaire, avec des trous rectangulaires de 60 cm de large sur 20 cm de haut. Cette moulure perforée se répétait de la même manière

autour du plancher. Un plafonnier lumineux et clignotant lentement émettait une lumière blanc-orangé. Je pensais à ce moment que l'énergie de l'engin était encore en action et mille idées me passèrent par la tête... une panique folle s'empara de moi, et il me fallut un sursaut de sang-froid pour retrouver mon calme. Je jetai un dernier coup d'oeil à la cabine et sortis en me glissant sur le bord rugueux de la cloche. À peine au sol, je fus saisi d'un vertige en respirant de nouveau notre air, et me rendis compte alors combien l'air de la cabine était lourd et pénible à respirer.

Furieux de ne pas avoir avec moi d'appareil photographique, je pensai à

aller rapidement à GÉNÉRAL ACHA, gros village situé à environ 200 km de l'endroit, pour y chercher quelques amis ingénieurs qui s'y trouvaient. Je me hâtai vers ma voiture et constatai que, contrairement à son habitude, le moteur démarra avec beaucoup de difficultés, le démarreur fonctionnant avec peine et donnant l'impression que la batterie était déchargée, alors que j'étais certain que ce n'était pas le cas. Une fois en marche, et ayant démarré péniblement avec de nombreux ratés, tout rentra dans l'ordre peu à peu à mesure que je m'éloignais de l'engin.

Arrivé à GÉNÉRAL ACHA, je me

mis en contact avec mes amis, auxquels je contais mon aventure. Après avoir été convaincus, avec beaucoup de difficultés, ils acceptèrent de m'accompagner et nous décidâmes de partir le lendemain matin de bonne heure, car il était déjà trop tard pour arriver de jour. Nous partîmes donc à l'aube, emportant un appareil Kodak Retina 2 avec télémètre, mais à cause d'un violent orage, nous arrivâmes à l'endroit à 12 h 45. Le ciel était couvert à demi avec cumulus-nimbus sur les montagnes. Nous cherchâmes l'appareil et ne pûmes le trouver.

D es ex p r e s s io n s i r o n iq u e s commençaient à se montrer sur les figures de mes amis, quand notre at-

tention fut attirée par un tas de cendres d'environ 2 m de haut et 5 m de diamètre qui se trouvait exactement à l'endroit où j'avais vu la “soucoupe”. Ces cendres avaient une couleur rouge-argenté et fumaient légèrement. Je mis la main dessus et notai que la température en était d'environ 40 degrés 2.

À ce moment, l'un de nous leva les yeux au ciel, et aperçut une “soucoupe”, identique à celle que j'avais vue, qui nous survolait à une hauteur estimée à 600 m. J'en pris immédiatement une photo, au moment précis où elle se cabrait et prenait de la hauteur 3.

Au-dessus d'elle se voyait un autre objet en vol identique à c e t t e “soucoupe”. Et encore au-dessus, on pouvait très bien voir un “ c i g a - r e ” immobile, à u n e c e r t a i n e d is tance de nous. Les d e u x “soucoupes” se dirigèrent v e r s l e c igare en montée obli-que, penchées en avant dans le sens de leur déplacement (conf i rmant a i n s i l a théorie de Plantier). Au cours de leur accélération, les “soucou-

pes” passèrent de la couleur argent à la couleur rose. En quelques sec o n d e s , l e s deux “soucou-pes” rejoignirent le cigare d a n s l e q u e l elles disparurent, et immédiatement le cigare démarra à une vitesse foudroyante que nous estimâmes à 12.000 km à l’heure”.

François Couten

2 - Les Systèmes DEW (Directed Energy Weapons) en cours de développement (USA, Russie, etc....) sont conçus pour “aveugler”, voire détruire, tout objectif ennemi, tel un satellite espion ou même un OVNI. 3 - La photo en question se trouve actuellement dans les archives de feu Alfred NAHON et son fils Daniel m'y facilitera l'accès l'été prochain.

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(Documentaliste - Expert)

“Espace - Défense”

Villa Pétrarque - 84570 MORMOIRON (France)

90.61.90.95 - 90.61.70.56

· Né en 1922, Documentaliste-Expert, François COUTEN est ancien Élève de l’École libre des Sciences Politiques à PARIS (section diplomatique). Dés la parution des premiers articles sur les Soucoupes Volantes, notamment dans France-Soir, il s’intéresse de près à ce sujet.

· En 1955, il devient collaborateur du S.D.I.T. (Service de Documentation et d’Information Technique) au Ministère de l’Air - 26, Boulevard Victor à PARIS 15ème.

· Courant 1956, il rencontre Marc THIROUIN, Directeur de la Revue “OURANOS”, puis un peu plus tard René Fouéré, Créateur du G.E.P.A. Bien entendu, François COUTEN participe à de nombreuses réunions ufologiques et y noue de fructueux contacts avec des dizaines de cher-cheurs de France et de l’Étranger.

· En 1957, il est agréé par l’U.F.O.D. (Union Française des Organismes de Documentation) qui lui confie des travaux de haute confidentialité. En même temps, François COUTEN exerce les fonctions de co-bibliothécaire de la Société Française d’Astronautique dont il fut l’un des tout premiers membres.

· De 1959 à 1961, François COUTEN publie “LA VIE INTERPLANÉTAIRE”, Bulletin mensuel vendu exclusivement par Abonnement. Y

figuraient bien sûr de nombreux articles et informations de première main sur la question des Soucoupes Volantes.

· Aujourd’hui, François COUTEN est plus que jamais impliqué dans les investigations OVNI (surtout concernant les Humanoïdes de type 1). Co-Président du G.E.R.F.U. (Groupement d’Études Russo-Français d’Ufologie), il suit de près celles menées dans les deux Pays tant du côté “Officiels” que “Privés”, sans pour autant négliger le reste du Monde, surtout les U.S.A.

· De plus, François COUTEN produit de longue date des documents et notes de synthèse OANI/OVNI, souvent de diffusion non publique, car destinés exclusivement à des “Officiels” et “Privés” sélectionnés.

Par ailleurs, François COUTEN assume la mise à

jour systématique et la publication de la liste des Associations et Publications Ufologiques Françaises + Services Minitel. S’y ajoute la tenue d’un vaste fichier mondial d’intéressés “grand public”.

Qui est François COUTEN ?

I l s’agit là d’une question que plusieurs d’entre-vous se posent depuis la parution de notre première revue et la lecture des articles percutants de notre ami. François nous a donc

envoyé son C.V. pour votre plus grand plaisir. Vous saurez ainsi tout de cet homme qui n’hésite pas à mettre son nez où il ne faut pas, dixit une certaine personne que j’ai rencontrée dernièrement lors d’une réunion.

Patrice ROGER

Nouveau à

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D e fait, les récits propagés par les grands média (Presse, Radio, Télévision) ne révèlent pas grand chose de

crédible, sinon rien quant au fond et aux détails des activités terrestres des E.T. du type 1.

Les exposer quant au fond serait

vain, pour l'instant du moins, car, passées ou actuelles, les dites s'exercent le plus souvent dans une clandestinité rigoureuse.

Toutefois, touchant les détails, l'on commence à en explorer judicieusement certaines facettes, grâce aux renseignements, voire aux matériels glanés au cours d'enquêtes spécifiques, secrètes ou non.

Grosso modo, qu'elles émanent de

“privés” ou “officiels”, ces enquêtes font ressortir plusieurs faits précis dont les suivants :

1) Sauf circonstances imprévues, les

OANI/OVNI plongent ou décollent sitôt leurs occupants embarqués ou débarqués (dans ce cas, pour des séjours de durée variable selon les objectifs recherchés).

2) À terre, leur soutien logistique est assuré en partie par des autochtones, qui bien souvent ignorent leurs identités et provenances “vraies”.

3) Par principe, ces “serveurs” sont qualifiés et discrets en raison même de leurs fonctions au sein de nos sociétés (Officiers d'État-Civil, Notaires, Membres du Corps Médical, Militaires, Spécialistes de maintenance et conduite de matériels tels : automobiles, bateaux, etc...).

4) Au cours de leurs activités sur Terre, les E.T. du type 1 manipulent beaucoup d'argent, surtout en liquidité. En effet, la clandestinité “active” coûte cher, fort cher même, si l'on mène un certain train de vie !

5) En dépit de rumeurs incontrôlées, il n'y a pas de preuves certaines quant à

l'existence d'une quelconque collusion officielle et secrète, établie de plus ou moins longue date, entre E.T. du type 1 et Chef d'État tels : Bill Clinton, Den Xiaoping, Boris Eltsine, voire même le pape Jean-Paul II. En revanche, divers rapports officiels (émanant surtout de militaires en service et donc en principe jamais rendus publics) font état de survols nocturnes, quelque peu stationnaires et à basse altitude, effectués par des OVNI au-dessus d'édifices gouvernementaux tels : Buckhingham Palace, Palais de l'Élysée, Royal Palace Suédois. Fort curieusement, les témoignages y afférents précisent tous que leurs hôtes habituels étaient absents lors de ces “incidents”.

6) Au début de l'année 1957, des membres in f luen t s de l a Communauté du Renseignement, opérant en étroite et secrète liaison, établirent rapidement qu'au moins deux Associations Ufologiques parmi les plus importantes à l'époque, étaient épiées sinon infiltrées hors les circuits habituels des S.R. et hors intervention de membres de Groupements plus ou moins rivaux. Concernant la FRANCE, tel paraissait être le cas de la Commission Internationale d'En-quêtes OURANOS, fondée et dirigée par feu Marc THIROUIN. Aussi, impatient d'en savoir plus sur ce point précis, je priais ce dernier de m'autoriser l'accès à son fichier d'adhérents et correspondants. J'essuyais alors un refus catégorique, bien que lui adressant fréquemment des infos à paraître dans la revue OURANOS, organe de la C.I.E.O. De nos jours, telle est aussi l'attitude de l'ensemble des responsables de Groupements Ufologiques, tant français qu'étrangers vis à vis de leurs membres ou à fortiori concernant des non adhérents. Il en résulte que les agissements effectifs des E.T. du type 1 à leur encontre leur échappent irrémédiablement,

d'autant que ces derniers utilisent des techniques de pénétration parti-culièrement sophistiquées, tant sur le plan matériel que mental.

7) Les Vivants (hommes, femmes, enfants, animaux, plantes) sont l'objet de l'insatiable curiosité de tous les types de “visiteurs” de notre planète, mais tout particulièrement de ceux du type 1. Il en résulte qu'ils pratiquent toutes sortes d'expérimentations in vivo sur les susdits, notamment d'ordre biogénétique. Ce paragraphe imposant de longs développements solidement étayés sera traité en pro-fondeur dans un exposé spécial d.s.l. réalisé avec le concours de spécialistes idoines (I.N.S.E.R.M., I.N.R.A., etc...).

Le FinCEN, le Service américain du

renseignement financier détiendrait des indices quant à l'origine “extérieure” de dollars quasi conformes aux vrais.

François Couten

Message de BANQUE OVNI Cela concerne nos recherches sur les

ARCHIVES 1621-1726 dont les résultats, pour l’instant, s’avèrent très encourageants.

Les cibles : Les dates ciblées sont les 12 octobre 1621 et 19 octobre 1726; de 4 jours avant à 5 jours après, car comme en chaque vague, des cas sont marginaux, d’autres sont inscrits plus tardivement.

Les sources : Rechercher dans les registres paroissiaux (actes de catholicité : naissances, décès, mariages), la plupart du temps conservés par chaque mairie, l’existence d’éventuelles mentions marginales relatives à des phénomènes insolites survenus particulièrement ces jours-là, ou plus largement durant ces périodes.

Où chercher ? L’idéal serait bien sûr de vérifier les registres paroissiaux de toutes les communes de France, si l’on veut faire une étude sérieuse, mais les moyens manquent.

Si cette recherche d’informations vous

intéresse, nous vous invitons à contacter Franck MARIE à BANQUE OVNI (adresse en page 4), qui vous recontactera pour vous détailler l’opération et son déroulement. Le coût maximal des recherches sera environ de 100 Fr. par personne pour un canton.

CLIN D'ŒIL SUR LES "ACTIVITÉS" E.T. DU TYPE 1

Par François Couten

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RÉUNION À LA FNAC DE REIMS DE GUY GRUAIS ET GUY MOUNY

SUR L’ÉGYPTE ET MARS

Par Patrice ROGER

E n ce mardi 11 juin, la salle de conférence de la FNAC venait de se remplir lorsque débuta la séance de diapositives de

Messieurs Guy Gruay et Guy Mouny, auteurs n’ayant pas peur de bousculer l’ordre établi et de dévoiler la vérité camouflée par nos autorités.

Claudine Cheneby et Didier Coilhac

m’accompagnaient en cette fin d’après-midi ensoleillée. Retenez déjà le nom de Didier Coilhac, car dans Sentinel News n°3 (octobre), nous vous présenterons en exclusivité quelques extraits d’un dossier sur François 1er que nous mettrons en vente en même temps. C’est un dossier ayant occasionné plusieurs années de recherches à Didier et cela devrait vous surprendre autant qu’à mes proches et moi qui avons connaissance du dossier. Patience...!

Revenons-en à cette réunion, dont le

sujet était l’Égypte et tournait autour du dernier livre des auteurs : Le Grand Secret du Signe de Vie1 et les découvertes faites chez les Égyptiens qui possédaient la radio et la télévision. Ne souriez pas, tout ceci est très sérieux et parfaitement étudié par Guy Gruais et Guy Mouny, avec preuves à l’appui. Le plus simple, pour vous, est de lire ce livre.

Cette séance s’est terminée par

quelques explications et diapositives sur les pyramides de Mars (site de Cydonia Mensae). Encore un dossier explosif que nous vous proposerons à l’automne.

Sur ces fameuses pyramides martiennes, tout est expliqué logiquement et mathématiquement. Cela sera particulièrement détaillé dans leur quatrième livre devant paraître en fin d’année.

À la fin de cette réunion, rencontre avec M. Alain Boudier2, travaillant en relation avec le gouvernement et présent à cette réunion, plus par amitié pour les auteurs et passion personnelle que pour surveillance. Cette personne est très ouverte et passionnée par le phénomène OVNI. Une chose est certaine, M. Boudier en connaît un sacré “rayon” sur les OVNI, même s’il ne peut pas en parler.

La seule chose qu’il nous a dit est qu’il aimerait bien que les pilotes militaires puissent raconter leurs aventures dans nos cieux. Nous aussi, nous aimerions bien et serions vite aux premières loges pour récolter ces témoignages.

La FNAC fermant ses portes, nous

avons donc précipité quelque-peu ces discutions, mais Guy Mouny habitant à quelques km de Reims, je peux désormais le rencontrer pour approfondir ce sujet.

Vous aussi, vous pourrez découvrir ce

travail car Messieurs Gruais et Mouny nous autorisent à publier divers articles de leur composition. Lorsque vous lirez ces lignes, leur article dans VSD sera paru et cela devrait faire du bruit. Si vous ne connaissez pas cet article de l’hebdomadaire, dîtes-le nous et nous vous en ferons parvenir une copie.

Patrice Roger

2 - Voir revue n°1. Dans l’article de François Couten (Actualité et perspectives de la recherche officielle OVNI/OANI en France), vous retrouverez Alain Boudier prenant le témoignage d’un Capitaine de Vaisseau de la Marine sur une apparition d’OVNI sortant de l’eau.

Disponible également chez « MADESIGN », Guy Gruais - 20, rue de la Michodière 75002 PARIS - ℡ 16 (1) 47.42.39.88

au prix de 149 Fr. T.T.C.

1 - Éditions MÉZAREK, 12 allée Nathan Katz, B.P. 6201, 68086 MULHOUSE Cédex.

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C et excellent ouvrage nous convie à un grand voyage à travers le temps

et l’espace, grâce à l’Ankh (ou croix de vie), dont il s’avère, après d’importantes recherches et études des 2 auteurs en Égypte, qu’elle ne représentait pas qu’un symbole, mais était un incroyable moyen de communication entre hommes et divinités.

On se délecte.

Claudine Cheneby

26.05.07.98

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SENTINEL NEWS n° 2 juillet - août - septembre 1996

ÉTATS-UNIS : Des témoins ont vu des extraterrestres sur des installations militaires américaines

L e gouvernement américain est en con tac t avec des extraterrestres, qui ont déjà opéré un transfert de

technologie, selon les affirmations faites en juin dernier par trois témoins anonymes, qui travaillent pour le compte d'installations de haute sécurité du “Monde Noir”.

Au cours d'une émission radio de quatre heures à la station KPFA-FM à Berkeley, en Californie, 3 interviews eurent lieu — avec un ingénieur en construction qui aurait vu des extraterrestres sur la base aérienne d'Edwards et à China Lake Navy Weapon, en Californie — avec un militaire qui précisa comment des “soucoupes volantes” décollaient de l'installation de Northrop près d'Edwards, et avec une femme témoignant de rencontres entre des extraterrestres et des officiers américains.

On peut ranger ces dépositions dans

le domaine du fantastique, mais “quelqu'un” les a visiblement prises très au sérieux. Car après que le producteur Ralph Steiner eut initialement annoncé qu'il reprendrait le thème des OVNI dans une future émission, il répondit laconiquement en septembre à une demande de l'initiative de citoyens U.S. “Opération Right to Know” (Opération Droit de Savoir) : « Nous ne renouvellerons pas l'émission. Des personnes dont la déposition avait été enregistrée ont fait l'objet de menaces et leur vie est en danger ».

Selon KPFA, ces interviews ont déjà eu lieu en avril 1991 aux environs de la base aérienne d'Edwards et à Antelope-Tales, en Californie du Sud. Le témoin n°1 était un vétéran du Vietnam, ancien Béret Vert (membre d'une unité d'élite), distingué par diverses médailles de bravoure, et se trouvant sous contrat pour des projets de construction à China Lake, Nellis (Nevada), Scott, Edwards et à la base aérienne d'Andrews.

Ces projets, selon le témoin, étaient situés “la plupart du temps” sous terre.

Chacune de ces installations avait

des structures souterraines étendues et ne seraient “absolument pas des structures militaires normales”,

explique le témoin, en décrivant des murs de béton de 1,20 m d'épaisseur et des ouvertures de portes ovales contrô-lées électroniquement.

C'est là qu'il vit le premier extraterrestre.

« Nous descendîmes un couloir » raconta-t-il, « les portes s'ouvrirent et durant un court moment, je vis cette personne tout à fait spéciale et d'autres choses. Cet homme avait deux mètres de haut, je dirais même entre 2,50 et 3 mètres, portait un vêtement de laboratoire et parlait avec deux ingénieurs (humains) ». « Les bras de cet homme descendaient jusqu'à ses genoux. J'étais choqué. Puis, la porte se referme. Des forces de sécurité s'aperçurent de notre présence et nous enjoignirent énergiquement de quitter i m m é d i a t e m e n t l e s l i e u x . L e lendemain, on mit fin à mon travail ».

Quand on lui demande ce qui le rendait tellement sûr de n'avoir pas tout simplement vu un humain de grande taille, le témoin répondit : « Ce n'était certainement pas un humain. Il avait de grands yeux obliques, une grosse tête, les doigts étaient extrêmement longs ». Le témoin ne vit l'être que durant

quelques secondes. « Je n'ai vu son visage qu'aux trois quarts, et je me suis dit que ce type ferait un sacré bon joueur de basket ! ».

Par contre, son collègue “faillit mourir” en voyant l'extraterrestre. Il évalua sa taille par comparaison aux hommes se trouvant à côté de lui. Il connaissait l'un d'entre eux, et il avait une taille de 1,95 m. Mais il vit encore une fois des extraterrestres sur une installation militaire à la base de marine de China Lake. « Les agents de la sécurité pensaient que nous avions déjà cessé notre travail. Mais nous voulions achever notre boulot. Nous passâmes devant un hangar et pûmes voir à

travers une fenêtre un des jeunes avec lesquels je travaillai, Paul; il le vit d'abord ». Il dit : « Viens ! vite ! je veux te montrer quelque chose », et nous regardâmes par la fenêtre et il y avait là trois petits gars gris de 90 cm seulement de hauteur. Au même moment, les agents de sécurité s'aperçurent de notre présence et s'écrièrent : « Nous pensions que vous étiez déjà partis » et ils nous escortèrent personnellement jusqu'à la sortie. « Vous n'avez rien à chercher près du hangar. Ce hangar est une zone interdite pour vous, est-ce clair ? Sinon, vous allez écoper d'une balle ! »

« Cela m'a flanqué la frousse. Depuis, je sais qu'il ne faut pas fourrer son nez trop profondément dans ces choses. Mais je me suis dit aussi que personne ne doit me prendre pour un crétin. Je sais maintenant ce qui se passe. Je sais que ce que j'ai vu à Edwards est réel. Quelqu'un joue un petit jeu avec nous ».

Cette déclaration confirme trois

interviews de la documentation vidéo 2000 : “OVNI : les mystères du Monde Noir” (Diffusée par MAGAZIN 2000). C'est ainsi que le mécanicien-concepteur Bill Uhouse affirme avoir vu des extraterrestres “Gris” sur une base militaire au Nouveau-Mexique, alors qu'il participait à une équipe mettant au point des simulateurs de vols, auxquels étaient associés des pilotes U.S. pour le vol de disques volants extraterrestres. L'ufologue Sean David Morton évoqua un entretien avec un employé de l'aire 51/S-4 au Nevada, qui n'aurait pas seulement conduit des “soucoupes” ca-chées, mais qui aurait aussi conduit des extraterrestres vivants sur la base. Et même le physicien nucléaire Bob Lazar a vu, à travers une petite fenêtre, quelque chose entre deux agents de sécurité, dont il n'est pas sûr qu'il s'agisse d'un extraterrestre ou d'une poupée ayant la forme d'un extraterrestre. Quoi que nous pensions de ces témoignages, il est sûr qu'il n'y a pas de fumée sans feu... Quelque chose se déroule sur la base secrète du “Monde Noir”, quelque chose qui n'est pas de cette Terre.

Source : MAGAZIN 2000 n° 106 - 08/09.1996

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© MAGAZIN 2000

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“Si je t’oublie Jérusalem Que ma droite se paralyse

Que ma langue se colle à mon palais Si je ne place Jérusalem au-dessus de

toutes mes joies” (vieille incantation reprise dans les synagogues

pour les mariages)

J érusalem, la ville trois fois sainte. Jérusalem qui était déjà évoquée dans notre tout premier livre (Grand secret des Pyramides,

page 223) parce qu’elle est dans l’axe de la grande salle souterraine de Guizeh.

Celle-ci est reprise, réduite au cinquième et à la verticale, sous le nom de Grande Galerie dans la maquette qu’est, en réalité, la pyramide de Chéops. Ensuite, il faut savoir que la Jérusalem Céleste est évoquée dans le Nouveau Testament : L’Apocalypse, la Nouvelle Jérusalem (21-9 et suivants).

Le texte de Jean dit qu’il a entendu un ange lui proposer de voir “l’épouse, la femme de l’agneau”. L’ange le transporte ensuite, en esprit, sur une montagne, d’où il lui montre la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, tout cela dans l’éclat des pierres et métaux précieux. Or, l’Église, prudente, dans une encyclopédie théologique d’une vingtaine de volumes, prend d’entrée de jeu la position (réservée) qu’il s’agit d’un rêve de Jean, ce qui ne change rien au sens religieux de l’événement mais en diminue prudemment la possible véracité.

Nous ne sommes pas qualifiés pour commenter la Bible, mais il faut noter

que ceux qui la suivent, laissent à Dieu le soin d’expliquer plus tard, s’il le veut. Il faut se souvenir aussi qu’un récent sondage, à l’échelle mondiale, indique que le sigle de Mac Donalds est plus connu que la Croix elle-même. On peut ajouter que le nombre de croyants qui ont vu des “apparitions” est inférieur à ceux qui ont vu des OVNI, etc.... On voit la plage de flou possible.

Sur le plan des religions, le temps importe peu. Au niveau de l’Univers et des planètes, il en va de même. De surcroît, ce temps si mystérieux peut s’apprécier “relativement” si l’on ose dire. Tout récemment, l’astronome Crawford a affirmé, dans une interview de l’A.F.P., que l’homme pourrait éventuellement bousculer les oppositions

de la vitesse-limite de 299.792 km/seconde. Il songe aux “trous” d a n s l ’ u n i v e r s , semblables à des tunnels et à la distorsion de l’espace et du temps, dans c e s c h a m p s magnétiques. Cette distorsion, devant et derrière un vaisseau sp a t i a l , pou r r a i t

même devenir un moyen de propulsion, et là, nous sommes obligés de penser à notre étude sur le hiéroglyphe Dy1. Le journal de la Royal Astronomical Society, rapporteque, pour Crawford, l’idée d’un voyage interstellaire à une vitesse supérieure à celle de la lumière n’est pas une hypothèse impossible, et serait en accord avec les lois de la physique.

Au-delà du symbole, on doit donc pouvoir penser que la Jérusalem Céleste ne fut pas le fruit d’un rêve mais une réalité, aménagée : peut-être un vaisseau spatial. C’est déjà assez étrange... et inattendu. Mais, il peut y avoir des explications. En tout cas, sa taille immense oblige à corriger les chiffres ou à chercher une nuance quelconque de modulation. Il y en a. En outre, quoi qu’il en soit, cette taille dépassant considérablement la ville actuelle de Jérusalem, on peut avancer, dans la projection, une notion de Zone. Cela s’inscrit d’ailleurs bien dans le message mystique ou religieux. Mais alors, Jérusalem intra muros ? C’est une autre affaire.

On peut retenir, ne serait-ce que pour

avoir une base de réflexion, cette hypothèse d’un immense “vaisseau”, à l’image de la ville céleste qui aurait déposé du matériel et du personnel. Ces derniers auraient procédé, aux origines, à un ensemencement de la terre, pour revenir ensuite afin d’enseigner sans doute les lois cosmiques, morales et divines, aidant à l’évolution des peuples.

Leur mission terminée, les visiteurs auraient récupéré leur matériel, laissé une équipe en place... et seraient repartis.

Toutes les mythologies de la Terre

LA JÉRUSALEM CÉLESTE, L’ÉTOILE DE DAVID, ET PÉTRA

Par Guy GRUAIS et Guy MOUNY

Membres de l’I.C.B.M. (Institut des Civilisations du Bassin Méditerranéen et du Proche-Orient)

1ère partie : La Jérusalem Céleste Compilation de quelques extraits du quatrième ouvrage en cours

1 - Ceci fera l’objet d’un article prochainement.

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correspondent au schéma décrit et la géométrie sacrée retrouvée sur Guizeh serait le fruit et la révélation de cet enseignement, pour leurs successeurs, eux-mêmes précurseurs des Égyptiens. Les dimensions de la Jérusalem Céleste (550 km sur 500), montrent qu’au sol, c’est plus qu’une ville, c’est une vaste zone : le champ d’action de ce quelque chose que nous cherchons.

Si la “céleste” est un carré — ce qui est dit — elle pourra obligatoirement s’inscrire dans les mesures bibliques (toutes liées à la règle d’or, ce qui ne paraît pas avoir été remarqué). Pour le moment, la Bible a parlé suffisamment pour avoir la certitude qu’elle est liée à cette affaire née, pour nous, à Guizeh. Néanmoins, dans l’avenir, il ne faudrait pas être surpris de découvrir que le site de Guizeh — malgré toute son importance — ne serait qu’une conséquence et non une origine.

On ne peut qu’être frappé par l’omniprésence des nombres dans la Bible, souvent sans même effort de ses rédacteurs pour justifier l’irruption brutale de chiffres là où l’on attend seulement l’esprit. Effectivement, c’est ahurissant. Objectivement, on ne peut que réfléchir à cet événement, car Yahvé ne peut avoir gaspillé ses mots. Ils ont leur richesse. Laquelle ?

Pour revenir au “vaisseau spatial”

qui ne pouvait vraisemblablement pas être de 550 km de côté, c’est néanmoins cette mesure — à priori incontournable — qui doit s’appliquer, en projection (symbolique ou... technique), à une région entière.

La hauteur, la longueur et la largeur sont égales. La ville est un cube. Son périmètre fait 12.000 stades. Il y a trois portes par côté, soit 12 en tout, dans la muraille. Celle-ci a une hauteur de 144 coudées. À propos, 144 est le nombre qui se dégage dans la phase V de notre étude du Dy, singulière coïncidence.

Voici une nouvelle unité de mesure, le stade. Elles étaient nombreuses en Grèce, à cette époque, et c’est là que Jean aurait eu son “rêve”, à Patmos plus exactement. Il y était exilé dans une grotte. les mesures données dans son Apocalypse seraient bien des mesures grecques. Dans son cas, c’est approximatif. Alors, une moyenne donnerait 550 km de côté, ce qui paraît vaste. Mais le périmètre serait de 2.200 km. Or, le nombre est intéressant, puisque c’est la base de Guizeh, mais en coudées. Ces curiosités se retrouvent avec la muraille. Si l’on prend les 144

coudées grecques avec 0,48 m, la hauteur serait de 69,12 m, nombre très curieux car 69,12 divisé par Pi donne 22,00 encore. Une fois de plus, on peut penser qu’il y a un jeu intentionnel avec les chiffres et que chaque nombre devient verbe pour l’initié.

La Jérusalem Céleste — a été mesurée, selon la Bible, par l’ange qui se “tenait au pied et avait un jonc d’Or”. Détail apparemment banal, mais significatif.

On peut imaginer une question de lecteur :

- Le jonc ? C’est la coudée dite “royale de Memphis”, n’est-ce pas ? De 0,5236 m ?

Évidemment ! C’est d’ailleurs notre théorie exprimée dans une étude séparée envoyée depuis bien longtemps à quelques sommités. Quelqu’un d’autre aussi vient de le dire. C’est Roger Begey dans son dernier livre La Géométrie Sacrée ou La Magie des Formes. C’est édité par le Rocher et c’est son auteur qui avait écrit un livre cité par nous La Quadrature du Cercle dont la couverture était illustrée par l’Atalante. Cette Atalante que nous-même avions étudiée pour d’autres raisons, purement égyptiennes, et qui a servi de support à notre livre sur le Sphinx.

Imaginons donc que les mesures doivent inspirer une zone. Les dimensions le permettent avec un rare confort. On peut alors découper un calque du “vaisseau”, à l’échelle de la carte du Moyen-Orient. C’est un carré avec trois portes par côté. Le problème va être de savoir où le poser, à quoi l’adapter.

Effectivement, il serait tentant de mettre son centre sur les pyramides, mais la partie gauche ne recouvrirait que du désert, sans intérêt, et négligerait la Palestine, Israël aujourd’hui. Il faut alors se souvenir que toute la géométrie révélée par le plateau de Guizeh a fait fi des centres de figures. Ce n’est pratiquement jamais le centre qui déclenche des mécanismes d’harmonie. À l’inverse, c’est comme si les concepteurs s’étaient amusés à bâtir des ensembles de telle sorte que la circonférence ou le périmètre passe par le point intéressant. Dans une notion de simplification excessive, on pourrait dire que le centre est n’importe où, mais placé pour donner, à un moment

quelconque, le point recherché. C’est à dire qu’il serait vain de se

polariser sur le centre, comme le v o u d r a i e n t l e s m é t h o d e s d e raisonnement classiques. Le mieux est de faire coïncider la porte centrale Ouest avec Guizeh, afin de déporter tout l’intérêt vers la droite, l’Est.

Tout carré pouvant se partager en

deux rectangles verticaux ou deux rectangles horizontaux, traçons les deux. Pour les rectangles horizontaux, posons les diagonales ainsi qu’un cercle au milieu de chaque rectangle. On peut alors poser le point d’intersection diagonale/cercle, moyen classique donnant Phi. Ce point de jonction, pour le rectangle supérieur, c’est Jérusalem !

Cette ville, depuis que David en

avait fait sa capitale, après Hébron où il avait été proclamé roi — près de 1.000 ans avant notre ère —, ne cessait de narguer les historiens. Elle est toujours présente dans tous les textes, malgré une tentative samaritaine prétendant que le lieu choisi par l’Éternel n’était pas Jérusalem maisle Mont Garizim, un peu plus haut en Samarie, au-dessus du 32e parallèle. Jérusalem, l’ancienne “Jebus”, était déjà connue des Égyptiens et citée dans les tablettes de Tell el Amarna (la cité d’Akhénaton) sous le nom de Urusalim. On trouve dans la Bible (Gén. XIV - 18), bénissant Abraham, Melchisédek, sacrificateur et roi de Salem.

Cette diagonale, visant Jérusalem, est donc en parfait alignement avec la grande galerie de Chéops ramenée au sol, au sous-sol. C’est à dire la grande salle apparaissant dans le plan du complexe souterrain de Guizeh. Mais, la distance ? L’échelle du calque donne : de Guizeh à Jérusalem, 444 km. Cela correspond aux cartes. C’est aussi quatre

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fois 111, le chiffre quasi magique. C’est la section dorée du rectangle de 550 km sur 275. C’est encore l’étonnant résultat de la formule, partant des chiffres de la coudée : 52,36 multiplié par 12 et divisé par racine de 2. Cela donne exactement 444,28 ! Cette distance se trouve être la diagonale d’un carré de 12 fois 52,36 km de base. L’avenir dira si ce nombre est révélateur de quelque chose.

Le rectangle inférieur montre un maillage insolite. Il faut se rappeler que chaque carré long détermine un cercle qui l’inscrit en son sein. Le cercle du haut recoupe, plus bas, l’axe central vertical de la grande figure, en un point remarquable : Le Mont Sinaï ! Là où Moïse a reçu les tables de la Loi, celles qui furent placées ensuite dans l’Arche d’Alliance. Là où Moïse écoutait l’Éternel, dans la nuée, avant de redescendre transfiguré. Il faut prendre l’Ancien Testament (Exode 34) et méditer sur les mots “les enfants d’Israël virent que la peau de son visage r a y o n n a i t . . . ” Q u e d e f o l l e s interprétations possibles !

Il y a eu, là aussi, beaucoup de contestations sur l’emplacement précis du mont, allant même jusqu’au Djebel Halal bien trop au nord. On peut retenir l’emplacement que donne cette carte, entre le Djebel Serbal et le Djebel Mousa. Dans ce paysage tourmenté, le Mont Sinaï n’est pas le point le plus élevé. En particulier, il ne faut pas le confondre avec le site du couvent Ste Catherine.

Pour la petite histoire, en 1986, à Noël, François Mitterand y est monté et, silencieux, est resté plusieurs heures en contemplation. Certes, la vue est incomparable, mais l’événement était assez inattendu de la part d’un chef d’État Son entourage, moins inspiré sans

doute, en serait resté médusé. On peut imaginer, évidemment, beaucoup

d’hypothèses allant de l’intérêt purement touristique à l’inspiration mystique. Le mystère s’épaissit si l’on ajoute qu’ensuite le Président, au lieu de quitter cette région désertique, a couché un peu plus bas, à Ste Catherine-Village, d’où l’on a une vue évolutive sur le Mont Sinaï. Il y aurait passé d’ailleurs deux fois le Noël. Il aurait occupé le bungalow numéro 50. Cela ne prouve rien, mais laisse l’imagination vagabonder.

Les portes de la Jérusalem

Céleste, sur chaque côté du c a l q u e , p r e n n en t l e u r dimension, par jeu de compas, en partant des sections dorées. Ces dernières déterminent, en hauteur, deux rectangles d’or tombant également sur le Mont Sinaï, par leurs angles intérieurs. Un nouvel axe est tracé, réunissant Jérusalem au Mont Sinaï. Il forme un angle de 45° avec Guizeh ! Tout cela est flagrant, contrôlable et ininventable.

Ces portes sont d’un diamètre égal au rayon de chaque carré long — chacun de 123 (!?!) km de large — formé aux quatre coins de cette zone. Leur taille surprend évidemment. ce sont de vastes places, espace effectif ou d’influence, mais espace formel. Certaines peuvent être reliées à des endroits stratégiques. Par exemple, la porte centrale inférieure, tombe sur l’île de Shadwan, et le cercle insérant la porte supérieure droite contient intégralement la surface dans laquelle s’est déroulée toute l’histoire du Nouveau Testament.

Tout semble partir de ce Mont Sinaï, situé sur la ligne verticale de partage. Un axe va de la porte de Guizeh à la porte inférieure Est, passant par le Mont Sinaï. Lui-même forme un angle droit avec le coin supérieur droit de la zone céleste. Chaque porte semble avoir un nouveau rapport avec ces lieux sacrés.

On voit apparaître un nouveau point

d’intérêt. Il est situé dans une vallée, creusée en altitude, sur une grande bande parallèle à l’axe Jourdain-Mer Morte, qu’elle surplombe. Elle est accessible par une étroite gorge, le Siq. C’est Pétra. La cité troglodytique était protégée des crues de l’oued Musa par des digues ou barrages, existant encore aujourd’hui. L’origine des eaux, outre celles des pluies d’orage ou d’hiver, était la source d’Aïn Musa.

Selon la légende, reprise d’ailleurs par T.R.P. (Tourist Research & Planning de Turin) ce serait précisément la fontaine qui s’est créée quand Yahvé a ordonné à Moïse de frapper le rocher aride. En outre, tout près, se trouverait la tombe de Aaron. C’est dire que, dans cette hypothèse, il y aurait bien eu présence de Moïse en ces lieux. Or, selon l’Ancien Testament (Exode 17-6) et certains analystes, c’est au Sinaï que l’Éternel ordonna de frapper le rocher

d’Horeb pour donner l’eau. Les deux versions ne sont pas incompatibles, semble-t-il, dans la mesure où les textes (Nombres 20-11) rapportent qu’après l’aventure du Sinaï, le phénomène se serait renouvelé. Dans ce nouveau lieu, proche du territoire des Edomites, selon les écrits, l’Éternel aurait commandé de frapper “deux fois” le roc afin qu’en sorte l’eau qui aurait jailli avec abondance. la présence de Moïse au seuil de Pétra, semble donc être en harmonie avec la tradition écrite.

Quoi qu’il en soit, Pétra la Jordanienne, paraît s’inscrire — elle aussi — dans les tracés que livre, sans équivoque, la Jérusalem Céleste. Nous y reviendrons plus loin.

Guy Gruais & Guy Mouny

Les lecteurs désirant correspondre avec Guy Mouny peuvent le contacter à l’adresse suivante :

Les “Vinalia” - 11, rue du Petit Sillery 51500 SILLERY - ℡ 26.49.10.59.

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LES OVNI ET L'ART DU CAMOUFLAGE... ÉVENTÉ !

Par Christian MACÉ

A u fil des décennies, une constante du mode opératoire des OVNI s'est imposé aux yeux des ufologues attentifs.

À savoir que ces mystérieux OVNI savent pratiquer le mimétisme, l'amnésie et l'invisibilité pour vaquer à leurs activités clandestines...

Dans une étude précédente intitulée “Ce phénomène X qui perturbe notre technologie spatiale1”, j'évoquais ce mimétisme pratiqué dans le domaine des signaux radio, dés les années cinquante...

Voici une autre sorte de mimétisme

parfait (presque) : Secteur de Morez, dans le Jura, début

du mois de novembre 1957 (ou 1958), vers 23h15. Observation par un couple d'instituteurs, d'un “autorail ou wagon” stationnant sur la voie de chemin de fer; fait étrange, cependant, les fenêtres laissaient filtrer une lumière rouge-vif... puis panique des instituteurs, quand ils virent le “wagon” s'élever lentement au-dessus de la voie et venir droit sur eux pour passer en silence à moins de 100 m de leur tête ! (LDLN)2.

Comparons avec un autre cas

similaire : Dimanche 16 juillet 1972, 3h10 du

matin, à 76 km de Balnearia, zone de Cordoba, Argentine.

Deux hommes roulent en voiture le long d'une voie ferrée, observent une file de lumières rectangulaires qu'ils attribuèrent à un convoi ferroviaire arrêté. Les lumières étaient d'une “douce couleur orangée” ! En outre, ... il n'y avait aucune espèce de lumière ou de réflecteur à l'une ou l'autre extrémité de l'objet !

Et ce qui est plus remarquable, la voie du chemin de fer passe à 10 mètres de la route et non à 50 mètres de celle-ci, d i s t a n c e c o r r e s p o n d a n t approximativement au point de stationnement du “convoi” !

L'importance majeure de ce cas, c'est qu'il y eut un raccourcissement manifeste du voyage des automobilistes !

Il y eut “un trajet de 81 km dont les protagonistes n'ont conservé absolument aucun souvenir” !

Tiré de “Phénomènes Spatiaux”, revue du GEPA, n°35, mars 1973, p.21 à 29.

Il y eut aussi d'autres observations de

“trains” en juillet 1972, en Argentine, mais sans lien avec des voies ferrées; même numéro 35 de “Phénomènes Spatiaux”, p.29 & 30, “ufologie comparée”.

Imiter... la Lune est aussi un autre moyen dont disposent les OVNI pour passer inaperçus !

C'est l'aventure arrivée à feu Mr Tyrade, enquêteur à “Lumières dans la Nuit”, le jeudi 09 juillet 1970 à Évillers, dans le Doubs, vers 22h45, et à Mlle Henriette Lacoste.

Tous deux observent, basse sur l'horizon, une énorme “Lune” bien jaune et bien ronde. Ils l'observent pendant une demi-heure sans qu'elle ait paru

descendre sur l'horizon. Puis les témoins rentrent chez eux ! (LDLN)

Après un contrôle, cette nuit-là, la vraie Lune devait avoir la forme d'un mince croissant, car vieille de six jours !

Ce n'était donc pas... la Lune !!! Combien de témoins ont pu être ainsi

abusés de la même façon ? D'où la nécessité de procéder à des...

vérifications systématiques !!! Et maintenant, le nec plus ultra. Monsieur Paul Hill avait terminé une

brillante carrière d'ingénieur en chef au Centre de Recherches Langley qui travaille pour le compte de la NASA, et avait auparavant, fait ses classes de chercheur dans différents laboratoires

affectés à l'aviation civile et militaire des USA.

En 1962, à Hampton, Virginie, vers 16 h, Mr Hill était passager à bord d'une voiture que conduisait un de ses amis. Ils roulaient sur Chesapeake Avenue...

Mr Hill distingua alors un “dirigeable”, mais fut intrigué par sa grosseur, car ce type de “dirigeable”

1 - Voir revue Sentinel News n° 1. 2 - LDLN - B.P. 3 - 77123 LE VAUDOUÉ

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avait disparu de la région depuis belle lurette. Puis il se rendit compte qu'il n'avait pas d'ailerons stabilisateurs, ni d'empennage de queue !

Citons Mr Paul Hill : “Quelques instants plus tard, j'ai pu lire très clairement, sur ses flans : GOODYEAR, écrit en lettres de belle taille, mais d'une manière p lus al longée que le “GOODYEAR” que j'avais aperçu il y a plusieurs années sur les ballons publicitaires de la célèbre société de pneumatiques”.

« Puis, il s'est passé quelque chose d'ahurissant : “L'étrange ballon” a brusquement accéléré, en émettant des flammèches d'un jaune paille, courtes d'abord, puis s'allongeant au fur et à mesure qu'il prenait de la vitesse, laissant derrière lui une légère traînée... Dans le même temps, il changea de cap et prit une inclinaison d'environ 5° par rapport à l'horizon. Il nous dépassa à une vitesse fantastique, pour disparaître dans la couche de nuages noirs chargés d'orage ! Je suis certain que cette brutale accélération progressive n'a pas duré plus de 4 secondes...! ».

Ainsi l'OVNI a opéré un second camouflage, en se positionnant... dans la couche de nuages noirs !!! Ce n'est pas la première fois que l'on a constaté que certains OVNI utilisent les nuages comme écran !!!

Tout de même, utiliser l'inscription “GOODYEAR”... mais jusqu'où iront-ils ces OVNI ?!!!

Cas tiré d'une étude de Jean Sider, parue dans “Ufologia” n°16, 1er trim. 1979.

Les OVNI camouflés s'adaptent à

notre technologie, et à l'heure actuelle on ne compte plus les OVNI déguisés en... lasers !!!

Mais là aussi, la perspicacité des témoins et des enquêteurs a pu permettre d'éventer la supercherie !!!

− À d ' H u i s o n - L o n g u e v i l l e

( E s s o n n e ) , 2 9 . 0 1 . 9 3 ; ç a ressemble à un sky, mais... in-versé ! (le sky est un autre type de laser) (voir LDLN n°316, p.31)

− Près de La Ferté-Alais (Essonne), 05.12.93; effets inexplicables pour un sky ! (LDLN n°322, p.7)

− Nord de Béziers, 26.09.93; a p p a r e n c e c o m p l è t e m e n t inexplicable (LDLN n°321, p.26 à 29)

− Wavrin, 10.01.94; Observation

effectuée... après la fermeture de la discothèque locale ! (LDLN n°322, p.13 & 14, et n°324, p.13) - (Voir LDLN n°327, concernant les sky et lasers).

Mais il y a mieux encore ! Mardi soir 14 décembre 1993, un

habitant de Bondoufle, commune de l'Essonne, près de Corbeil-Essonnes observe un rayon vert, de même que les gendarmes appelés sur les lieux.

À Bondoufle, il y a une discothèque qui émet régulièrement un laser vert. Mais, depuis quinze jours, le laser de la discothèque... est en panne !!! (déclaration de Mr Perreira, un des d i r igeants ) . Le nom de ce t te discothèque ?... “la Planète” ?!!!

Ça ne s'invente pas !!! (Voir “le Parisien”, édition de

l'Essonne, jeudi 16.12.93). Autre cas de “Rayon Vert” : Dans le cadre de son enquête auprès

du contacté Corse Michel-Ange, Jean-Pierre Chambraud a, avec d'autres personnes, organisé des surveillances du ciel répétées, qui s'avérèrent... payantes !

En février 1977, ils observent un “immense faisceau jaune-vert qui part du sol et se dirige en oblique vers le ciel”, en plein maquis Corse.

Citation : “Mais cet immense faisceau vert, d'un diamètre au moins égal à t rois mètres, comment l'expliquer ?”. Tiré du livre “La Corse, base d 'OVNI”, par Jean-Pierre Chambraud, Édit. “Du Rocher”, 2ème trim. 1979.

Révélation du contacté Corse Michel-Ange : “Ils utilisent un produit tiré du sel de mer”, p.123.

Lors d'une étude précédente, j'évoquai l'intérêt manifesté par certains OVNI pour le... sel.

Il peut être difficile de “surprendre” les OVNI extracteurs de sel, vu leur goût prononcé au camouflage et à la clandestinité !

Faudrait-il de surcroît, que les témoins soient là au bon moment, et au bon endroit ! Et puis même, les témoins peuvent être rendus amnésiques par le phénomène.

Combien de témoins ont été rendus amnésiques dans le monde ? Voir les livres récents de David Jacobs “les kidnappeurs d'un autre monde”, Édit. “Presses de la Cité”, et de Budd Hopkins “enlèvements extra-terrestres”, Édit.

“Du Rocher”, coll. “Âge du Verseau”. C'est affolant !!!

Cela l'est d'autant plus, car qui dit observation dit perception. Et c'est notre... cerveau qui est en jeu ! Le phénomène OVNI est capable de contrôler nos cerveaux ; on a vu comment ils opèrent lors des enlè-vements !

La “réalité” que nous croyons percevoir par nos yeux, ne l'est peut-être pas ! Car nous pouvons voir par notre télencéphale, de la même manière que nous percevons les images de... nos rêves ! Et une interférence, une manipulation peut donc s'opérer au ni-veau du cerveau par ce phénomène OVNI !

Par ailleurs, on ne compte plus toutes les observations d'OVNI enregistrées par les radars, mais non aperçus visuellement !

Ainsi, l'invisibilité est un autre

moyen retenu pour nous dissimuler leurs occupations !

Un cas type parmi d'autres : 13 mai 1967, sur le terrain

d'atterrissage de Colorado-Springs (Colorado, USA), un OVNI traverse l'aérodrome à moins de 60 mètres d'altitude. Les radars enregistrent son passage; il se comporte comme un “avion” au radar, mais... invisible à l'oeil nu !

Cas évoqué dans le rapport Condon, Université du Colorado. Voir le livre “les étrangers de l'espace”, par Donald Keyhoe, édit. “France-Empire”.

En conclusion, on peut dire que les

moyens employés par les OVNI pour leurs dissimulations ne... sont pas infaillibles !!!

Le point faible du mimétisme réside... dans la façon de disparaître — constatée par les témoins attentifs et perspicaces : par exemple, disparitions brutales du “wagon” du Jura, et du “ballon GOODYEAR” de Virginie !

La pratique de l'hypnose permet de mettre à jour l'amnésie provoquée artificiellement par le phénomène !

Nos radars peuvent détecter leurs présences invisibles à nos yeux !

Ouf ! Tout n'est pas perdu ! Il nous

reste encore des ressources !!!

Christian Macé

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LE PHÉNOMÈNE X-FILES

Par Patrice ROGER

P hénomène, très certainement, que cette série d’“Aux Frontières du Réel” diffusée actuellement par M6 et ayant

une audience très importante, au point que le Fan-Club français1 est débordé par les demandes d’adhésions. Le seul regret à propos de ce Fan-Club étant que le groupe SOS-OVNI a déjà mis son emprise dessus, ce qui peut ne pas nous réjouir.

Ce débordement d’adhésions se comprend fort bien car cette série est très intéressante, surtout pour nous autres ufologues, où les aventures de Dana Scully et Fox Mulder sont souvent en re-lation étroite avec le phénomène OVNI.

Mais Chris Carter, le créateur de cette série “culte” voudrait nous faire croire qu’il ne s’agit que de scénarii de fiction (ou plutôt de science-fiction). Si cette explication convient à la plupart des fans, il faut avouer que pour nous, chercheurs à la pointe dans ce domaine, son explication est beaucoup trop simpliste car les événements se déroulant dans ces épisodes2 sont très véridiques ou s’en approchent de trop près pour être puisés dans les imaginations.

Ne s’agirait-il pas d’une préparation

du public mondial à la réalité des entités venues d’ailleurs ? Devons-nous en faire le rapprochement avec les nouveautés cinématographiques sur le sujet OVNI Outre-Atlantique3 ?

Chaque série étant séparée en

saisons, nous pouvons remarquer que les aventures de nos deux héros vont de plus en plus loin dans le mystère et dans les révélations. Ceci ne peut pas être inno-cent. Et avant que ne commence la troisième saison qui s’avère encore plus passionnante sur les OVNI et extraterrestres, nous résumerons quelque peu la deuxième saison qui s’est achevée en nous laissant sur notre faim avec l’épisode “Anasazi” (Les Anciens), sauf pour ceux, qui, comme moi, n’ont pu résister à l’envie d’acheter la K7 des Dossiers N° 1. Et là, je peux vous affirmer que cet épisode (constitué de trois parties) est véritablement grandiose : présence d’extraterrestres, expérimentations humaines sur eux et fichage de la population comme nous le promet le Nouvel Ordre Mondial. J’arrêterais là cette énumération pour ne pas vous gâcher la découverte de ce “nouveau film culte” pour nous autres ufologues.

Donc, pour résumer la saison

écoulée, que faut-il en retenir ? Tout d’abord, pas de sentiments amoureux entre Dana et Fox, qui resteront à toujours de simples amis, mais toujours une certaine crédulité pour l’agent Scully, ce qui ne l’empêche pas de participer pleinement à l’action et de se-courir son complice Mulder en de maintes occasions.

Ces 25 épisodes de la deuxième saison commencèrent à être diffusés le 11 août 1995 et connurent le succès que vous savez. Les sujets abordés concernaient aussi bien l’occultisme et le paranormal, les phénomènes de hantise ou poltergeists (Excelsius Dei), la magie noire (Mystère Vaudou), la télékinésie

(Insomnie), les N.D.E. (Coma) ou bien encore le satanisme (La Main de l ’ E n f e r ) , c e d e r n i e r é t a n t particulièrement présent aux États-Unis. D’autres sujets, eux, collent parfaitement à l’actualité présente, comme la maladie de Creutzfeldt-Jacob qui se répand de manière inquiétante chez les humains (Une petite ville si tranquille) ou les conséquences des retombées radioactives de l’accident de Tchernobyl (l’Hôte).

Les producteurs de la série n’ont pas peur de bouleverser les idées reçues en pénétrant dans les domaines interdits de l’irrationnel. Voilà pourquoi le phénomène OVNI y tient une place de plus en plus importante dans cette deuxième saison et l’on tient à nous montrer les aspects “sombres” de l’ufologie, avec les abductions (les petits hommes verts), les poses d’implants (Duane Barry), les interactions dans la vie terrestre (La Colonie) et également les opérations de clonage et d’hybridation effectuées sur les humains et les animaux (Parole de Singe). Allusion aussi à la célèbre expérience de Philadelphie ayant nécessité l’utilisation d’une technologie très avancée qui aurait pu être obtenue à la suite du crash de Roswell ou d’un autre (Le vaisseau fantôme).

Mais pour finir la saison en beauté, revenons sur le dernier épisode (Anasazi), qui aura suscité le plus grand intérêt parmi nous autres, les passionnés d’ufologie, convaincus que les anciennes civilisations, à l’image des Indiens d’Amérique du Nord, en savaient beaucoup plus que nous sur l’existence des “célestes”. Anasazi signifiant, outre “Les Anciens”, “Ceux-qui-les-ont-précédés”. Les Navajos emploient ce terme pour désigner les constructeurs de ces splendides villages situés dans le Sud-ouest des États-Unis, et qui, à une époque indéterminée, furent brutalement abandonnés par leurs occupants, tout comme les cités Mayas. De leur côté, les

Le CD de la série vient de paraître et s’annonce déjà comme une des meilleures ventes de l’été.

1- Fan-Club X-Files : La vérité est ailleurs - C/O demandez le programme - 93, avenue du Général Leclerc - 75014 PARIS. 2- Les épisodes “ufologiques” ainsi que quelques autres.

3- Voir rubrique cinéma en page 49.

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Indiens Hopis affirment que ces mystérieux Anasazi faisaient partie des clans de leurs ancêtres, ceux-là même qui poursuivaient leurs migrations à travers le continent en compagnie des “Kachinas”, ces “esprits venus d’autres planètes et des étoiles lointaines”.

Attendons donc la diffusion de la

troisième série qui, selon l’aveu de Chris Carter, est la meilleure de toutes. Nous le croyons d’autant plus qu’un premier aperçu des futurs épisodes nous réserve de bonnes surprises. Notons simplement l’épisode n° 9 (Nisei) avec autopsie d’un extraterrestre. Alors, de là à dire qu’il s’agit de fiction, laissez-nous rire Mr Carter, mais continuez tout de même à nous captiver avec cette vérité d’ailleurs. Peut-être cela fera-t-il réfléchir les téléspectatrices et téléspectateurs un peu plus sur les mensonges de nos gouvernants.

Merci à M.C. pour son aide.

Patrice Roger

Découvrez les K7 vidéo de la série Aux Frontières du Réel reprenant les sujets les plus intéressants, principalement les épisodes sur les phénomènes OVNI.

Liste des Associations ayant accepté de collaborer avec nous :

Revue du CERPA B.P. 114

13363 MARSEILLE Cedex 10 ℡ 91.60.21.12 - 91.03.17.37

Revue du CEOF BP 21

13170 LA GAVOTTE ℡ du président R. VOARINO

91.51.51.99

Revue du G.A.C. (Groupement Action & Connaissance)

BP 70 - 1, rue Rivet 30800 SAINT GILLES ℡ 66.86.61.40

66.30.30.91

Chez Didier GOMEZ B.P. 300 - 260, rue des Pyrénées

75960 PARIS Cedex 20

Revue de l’UEC - DDS Coordinateur Claude CHAPEAU

17, allée des Lavandes Les Hameaux du Soleil

06270 VILLENEUVE-LOUBET ℡ & 93.58.72.49

Revue de FRANCE-UFOLOGIE 25, rue de la Solidarité

94400 VITRY SUR SEINE ℡ 16 (1) 49.60.95.90

16 (1) 45.21.97.88

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TECHNOLOGIE... CACHÉE ?

Le projet Pégase (Plate-forme d’Études Géophysiques et Astronomiques Stratosphérique)

P ÉGASE, conçu initialement comme observatoire embarqué, a été étudié essentiellement en t a n t q u e r e l a i s d e

télécommunications. P É G A S E p r é s e n t e d e s

caractéristiques particulières dues à sa mission. Elle doit rester stationnaire, face au vent, à quelques mètres près en assurant la permanence de service (9 heures d'interruption par an).

La carène rigide est de forme lenticulaire à profil parabolico-elliptique. Elle est constituée par une ossature de poutres en matériau composite sur

laquelle est tendu un entoilage. La propulsion par hélices carénées

utilise deux systèmes complémentaires : des moteurs électriques alimentés par des piles à combustibles hydrogène-air pour les périodes de vent faibles (vent inférieur à 15 m/s ou 50 km/h - 80 % du temps) ou des turbopropulseurs alimentés à l'hydrogène pour les vents forts. L'hydrogène est stocké sous forme liquide dans des réservoirs cryogéniques du type Dewar; il est en effet liquide en dessous de 20° K (- 253° C).

Le pilotage est assuré par un ordinateur contrôlé depuis une station au sol de manière à téléguider l'engin durant les périodes délicates, décollage et atterrissage, traversées de zones de turbulence en phases de montée et descente.

les gouvernes sont constituées par des « spoilers », volets distribués en certains endroits de la carène et modifiant l'écoulement aérodynamique.

Les réservoirs de carburant sont disposés en position centrale au voisinage de la charge utile qui se trouve dans une sphère située sous le ballon.

Trois s t ructures gonflables rétractables en vol constituent les atterrisseurs.

La carène, les gouvernes et le pilotage de PÉGASE sont dimensionnés par les contraintes opérationnelles rencontrées à basse altitude. Ainsi la

masse inerte au sol est de l'ordre de 1000 tonnes contre 85 tonnes à poste. Sur les plans aérodynamique et météorologique, les c o n t r a i n t e s d ' u n d i r i g e a b l e s t r a t o s p h é r i q u e évoluant à basse altitude sont les mêmes que ce l les d 'un dirigeable de transport équivalent. Comparée au satellite

géostationnaire, une telle plate-forme présente trois avantages :

- des retours au sol réguliers (approvisionnement en carburant) permettent la réparation et la modification des équipements;

- la faible altitude (18 km au lieu de 36.000 km) conduit à une couverture géographique limitée aux besoins;

- un coût très inférieur à celui des satellites et une technologie simple abordable par les pays en voie de développement.

Le projet PÉGASE a été étudié au

C.N.R.S. entre 1969 et 1975 par P. Balaskovic et son équipe. Il a bénéficié d'un financement de l'ordre de dix millions de francs 1975 (C.N.R.S., C.N.E.S., C.N.E.T., O.R.T.F., DATAR).

Caractéristiques :

Carène :

Aérostatique :

Propulsion :

Performances :

Texte transmis par François Couten

Plate-forme automatique Pégase servant de relais de

volume : 900.000 m² diamètre : 188 m épaisseur : 54 m

gaz porteur : hélium nombre de ballonnets : 108

compensation de pesée : lest d’eau

10 turbopropulseurs : 11.200 kW (au sol) 8 moteurs électriques C.C. : 620 kW

carburant : 16 tonnes LH2

altitude de vol : 18.000 m vitesse maxi possible à poste : 172 km/h vitesse maxi autorisée au sol : 110 km/h

charge utile : 5 tonnes autonomie : 1 à 4 mois selon les vents

Pour vos courriers, pensez à les envoyer à votre

secrétaire Hervé Clergot :

31, rue de l’usine 60120 ESQUENNOY

Sauf si vous voulez vous adresser directement au président de Sentinelle.

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UNE IMPORTANTE DÉCLARATION DE BUDD HOPKINS

Traduit et présenté par Geneviève VANQUELEF

D ans cet article Budd Hopkins, s’insurge sur l’atti tude partiale et mensongère, d’une émission

TV américaine, à prétention scientifique, à propos de son travail sur les enlèvements par les UFO.

Les lecteurs français apprécieront la grande ressemblance avec nos productions télévisées, et penseront qu’on n’est pas mieux loti de l’autre côté de l’Atlantique, que chez nous. Les mêmes arguties fausses, les mêmes affirmations éculées, se retrouvent partout, lorsqu’il s’agit de discréditer et de nier toute présence étrangère sur notre Terre.

Je suis heureuse que Budd Hopkins, dont certains ufologues français commencent à nier le désintéressement et l’efficacité, se défende sans ambiguïté, et avec fermeté, de toutes les calomnies qui pèsent sur lui et sur ses études.

Soyez assurés que s’il est tant attaqué, c’est qu’il touche, lui aussi des zones sensibles, et que c’est une voix, que beaucoup aimeraient étouffer.

(Le debunker Philip KLASS est l’invité d’honneur des émissions NOVA (!)).

ARTICLE : de Budd Hopkins :

TITRE : « Une réponse à l’émission télévisée : « NOVA », sur le phénomène d’enlèvement » ou « La science envisage de faire », par Budd Hopkins.

Les lecteurs familiers avec les écrits et les conférences du regretté Dr Allen Hynek, peuvent reconnaître ici, une version un peu différente de l’un de ses « bons mots » : « LA SCIENCE N’EST PAS TOUJOURS CE QUE LES SCIENTIFIQUES FONT ».

Après avoir visionné la récente émission « NOVA », qui a systématiquement et outrageusement déformé le phénomène d’enlèvement et mon travail dans ce domaine, il est

logique de dire que NOVA a abandonné son droit d’être considérée comme une émission objective, équilibrée ou scientifique. Cependant, je ressens une sorte d’honneur pervers, de voir que mes recherches sont traitées par les gens, avec la même attitude intolérante qui présida aux travaux du Dr Hynek, du Dr James Mac Donald et de beaucoup d’autres, qui ont vendangé dans les mêmes vignes, que moi.

L’émission NOVA, avait pour titre : « Kidnappé par les aliens ? ».

Ce fut une version tronquée de la vérité, une polémique qui n’a strictement rien à voir avec une investigation scientifique ! Typiquement, quelques images furent commentées par des personnalités bien connues, hostiles et ignorantes du sujet, n’ayant peu ou aucune connaissance astronomique. Carl Sagan déclara qu’il pensait que toutes les expériences d’enlèvements étaient des mensonges ou des hallucinations. Bien entendu NOVA ne pouvait ignorer que le docteur Sagan n’avait jamais été concerné par les UFO, et qu’il n’avait jamais travaillé sur la moindre enquête d’enlèvement !

Peut-on connaître quelque chose sur un sujet, lorsqu’on a de tels préjugés, et qu’on n’essaie même pas de lire le rapport d’UNE SEULE enquête d’enlèvement ?

Peut-on connaître un sujet, contre lequel, on est si évidemment hostile ?

Je me suis rendu compte, dans ma recherche personnelle, que les critiques de la télévision, les professionnels des media, et les scientifiques spécialisés ont la sensation que les émissions de NOVA dérivent bassement vers la recherche d’une audience autant que les TV commerciales. Les programmes NOVA sur les UFO servent à alléger l’atmosphère, lorsque les guerres deviennent trop envahissantes. Par conséquent, avant de plonger au coeur du sujet, les producteurs le préparent par un show sensationnel, avec des éléments

imaginaires, de la musique féerique, des sempiternelles lumières flashantes, pour suggérer que « NOVA » va présenter un programme rivalisant avec « Hard copy » ou « Entertainment Tonight ».

Mais, les personnes qui recherchent la vérité, doivent se méfier des mauvaises interprétations de NOVA.

Le show atteint indéniablement toutes sortes de public, mais il est aussi considéré par la communauté scientifique et intellectuelle, comme un programme scientifique. Il a déçu malheureusement, abusant un grand nombre de téléspectateurs maintenant, et plus tard, par les rediffusions et les vidéos vendues.

La principale raison de l’effet destructif du programme réside dans son message, inconscient, aussi bien que délivré directement, établissant que tous les enlevés, TOUS, sont des demeurés, des illusionnés ou des victimes d’hallucinations répétées. En d’autres mots, les menteurs mis à part, TOUS ceux qui rapportent de telles expériences, sont tous des anormaux mentaux.

Quelle preuve présente le docteur

Sagan pour défendre, par exemple, sa position, et commander les enlevés, en doutant de leur capacité de séparer la fantaisie de la réalité ? Aucun ! Rien, absolument rien ! Pour un homme, qui est considéré dans notre pays, comme un pape scientifique, offrir une telle image des enlevés d’UFO, sans apporter aucune preuve est véritablement irresponsable. Dans la littérature psychologique, il n’exista qu’un rapport d’une étude extensive, établissant la mauvaise santé mentale d’un témoin, c’est celui présenté en 1983, par le Dr Élizabeth Slater. Ce qui me fait dire que l’opinion du Dr Sagan est totalement insupportable.

Nova a-t-il fait un effort pour trouver s’il existe une évidence appuyant la réflexion du Dr Sagan, sur des enlevés

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qu’il n’a jamais rencontrés ? Non ! Bien mieux, à combien d’enlevés, NOVA a-t-il demandé de se soumettre à des tests psychologiques, ou des interviews psychiatriques ? À ma connaissance : aucun ! John un ancien conseiller, et l’un de ceux qui apparaît dans l’émission, informa NOVA par lettre, qu’il accepterait de se présenter à toutes f o r m e s d e t e s t m é d i c a l o u psychologique, que l’on voudrait lui faire passer. Si NOVA était désireux d’effectuer une étude scientifique et objective comme il le proclamait, il aurait instantanément accepté l’offre de John. Au lieu de cela, il préféra l’ignorer. Quand on considère les conclusions destructrices que Nova a présenté sur les enlevés que la caméra a filmé, on ne comprend pas qu’ils aient

refusé l’offre de John, tout en ruinant sa réputation. Il me semble qu’il n’y a qu’une seule raison à une telle attitude : la peur que les résultats détruisent leurs théories et présentent leur émission comme mensongère.

Ayant refusé d’employer des tests scientifiquement valides, les producteurs ont prétendu avoir fait évaluer John par des « experts », qu’il n’a jamais vus !

C’est un exemple de la manière dont on a procédé, tous les autres aspects sont traités de la même façon. Les sujets, je présume, étaient soigneusement sélectionnés, et furent présentés d’une façon négative et commentés par des experts, ignorant la quantité de cas d’enlevés par les UFO, et on n’offrit aucune opportunité aux témoins de s’expliquer. Ces commentaires, cependant n’étaient pas plus valides que les appréciations de psychologues, donnant leur avis à la radio ou à la télé après deux ou trois minutes de conversation avec celui qui appelle, cette pratique, que les producteurs de NOVA seraient les premiers à condamner.

Mais il y eut pire : la présentation flagrante de malhonnêteté, d’une famille à laquelle on n’accorda qu’un très court temps d’antenne. Une jeune mère de deux enfants, m’avait écrit, et avec sa permission, j’avais présenté cette lettre à la productrice, de l’équipe « NOVA » : Denise Dilanni. Dans sa lettre, la jeune femme disait ceci :

« Je n’ai jamais utilisé l’hypnose pour me rappeler, mes souvenirs sont réels ». De sa longue série de rencontres, elle rapporte les détails suivants : « ... les petits êtres comme j’avais l’habitude de les appeler, entrèrent dans le mur à l’endroit habituel... Ils étaient très petits, et avaient de grosses têtes avec de grands yeux sombres qui semblaient regarder à travers moi... ». Décrivant les expériences douloureuses physiques, qu’elle subit, elle ajouta « ... Les larmes roulaient sur mes joues, jusque dans mes oreilles, quelle détresse ! J’étais incapable d’arrêter mes larmes de couler... ».

Elle décrit les êtres bougeant à l’unisson, et dans une autre rencontre, elle raconte : « qu’elle fut soulevée doucement avec son matelas, je désirais

sentir mon matelas sous moi et me rendormir... ». À une autre occasion, elle vit son petit

frère enlevé en plein jour... Il paraissait si fatigué, et il s’effondra... Je me souviens que j’étais très contrariée, car il était si petit, pour être ainsi emmené dans cet objet dans le ciel ».

Cependant, plus tard, en face de ses interlocuteurs, à l’émission de « NOVA », elle décrira toutes ses expériences, prétendues retrouvées sous hypnose. De plus, son mari se rappelle avoir vu leur petit garçon flottant et sortant dehors, pendant que lui était paralysé, allongé sur le plancher du hall d’entrée. Sous la caméra de NOVA qui filmait tout, il s’allongea sur le sol à l’endroit exact, où il se rappelle être tombé et décrivit parfaitement, la position que chacun occupait... Il expliqua que la chambre principale, était de l’autre côté du mur, sur lequel, il était appuyé. Il essayait désespérément d’alerter sa femme endormie, il nous montra comment il tentait de bouger la jambe en vain, pour cogner contre le mur, et appeler à l’aide. Ce témoignage était très vivant et très impressionnant lors de notre visite chez eux. Cela corroborait le témoignage de sa femme et expliquait le sentiment d’angoisse ressenti à l’égard de leur enfant.

MAIS TOUTE CETTE PARTIE DU FILM, ET LES TÉMOIGNAGES FURENT SUPPRIMÉS PAR NOVA. ABSOLUMENT TOUT !

À sa place, la productrice Dilanni rassembla et présenta quelques éléments d ispara tes , pour composer un

témoignage confus et vague de la famille. Ayant supprimé toutes ces images frappantes, NOVA ajouta un résumé sommaire :

« Budd Hopkins pense qu’il ...(pause significative) a produit des preuves évidentes : dessins d’enfant, des rêves étranges qui paraissent vrais, et des images d’interférences sexuelles t r a u m a t i s a n t e s , r e m é m o r é e s SEULEMENT SOUS HYPNOSE ! », (c’est moi, Budd, qui souligne).

À travers le montage, je suis décrit comme essayant d’extraire les souvenirs d’un enfant innocent. En plus, du compte-rendu angoissé du père, allongé, paralysé devant les aliens emmenant son fils hors de la maison, la mère de l’enfant inclut dans sa lettre, le récit de l’épisode suivant qui survint, lorsque l’enfant avait trois ans :

« ... Mon mari et moi virent des lumières clignoter dans la chambre de notre fils... Nous continuons d’avoir des problèmes avec lui la nuit... Quand son père l’habillait le matin, il lui posait des questions, telles que :

« Comment ils passent à travers les murs ? Comment ils arrivent jusqu’ici ? Il n’y a pas de route... ».

Il parlait de tables qui n’ont pas de pieds, « mais sur celles-là, on ne peut pas manger »... Il me disait combien il fait froid, dehors, la nuit !... ».

Tout ceci est connu de Mme Dilanni. Dans l’émission, je suis suspecté d’avoir seulement soupçonné un enlèvement, sur un seul critère : un enfant dessinant un alien. Comme NOVA le sait, personne sur Terre n’acceptera cette réaction isolée et ambiguë, comme preuve indiscutable — à moins que le but réel de l’émission, fut de tenter de me faire paraître pour un illuminé !

J E N E P A S S E R A I P A S D AVA N TA G E D E T E M P S A MONTRER COMMENT NOVA A P R É S E N T É M E S S É A N C E S HYPNOTIQUES, POUR FAIRE APPARAÎTRE QUE J’INFLUENCE LOURDEMENT LE TÉMOIN, BIEN QUE JE PUISSE PROUVER LE C O N T R A I R E . C A R D E P U I S PLUSIEURS ANNÉES, J’AI UTILISÉ C E Q U E J ’ A P P E L L E « L’INVENTAIRE DU CORPS », M É T H O D E P O U R É V I T E R D’INFLUENCER LES SUJETS HYPNOTISÉS.

LORSQUE LE TÉMOIN EST A L L O N G É S U R L A TA B L E D’EXAMEN, JE LUI DIS QUE NOUS A L L O N S E X P L O R E R SYSTÉMATIQUEMENT TOUTES

Son mari se rappelle avoir vu leur petit garçon flottant et sortant dehors,

pendant que lui était paralysé, allongé sur le plancher du hall d’entrée

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LES SENSATIONS DE SON CORPS, DEPUIS LES PIEDS, EN PASSANT PAR LE CORPS, POUR PARVENIR AU SOMMET DE LA TÊTE : P L A I S I R , D O U L E U R , D É M A N G E A I S O N , CHATOUILLEMENT, CHAUD, F R O I D E T C . . . O U A U C U N E SENSATION,... DANS CETTE PARTIE DU CORPS. JE COMMENCE AVEC LES PIEDS, REMONTE AUX CHEVILLES, MOLLETS, PUIS LES CUISSES, LES ORGANES SEXUELS, L E B A S D E L’ A B D O M E N , L’ESTOMAC ET LA POITRINE, LES BRAS ET LES MAINS, LA TÊTE ET LES YEUX, EXTÉRIEUR ET I N T É R I E U R , L A B O U C H E EXTÉRIEURE ET INTÉRIEURE, ET LES OREILLES, EXTÉRIEURES ET INTÉRIEURES. LE BUT EST D’ÉVITER DE BLOQUER LE SUJET SUR UN ENDROIT PARTICULIER DU CORPS, EN NOMMANT CEUX QUI SONT HORS DE CAUSE. NOVA, EN FIN DE COMPTE NE CONSACRA PAS TROIS MOTS D’EXPLICATION A CE PROCÉDÉ, LENT, NE CAUSANT PEINE EXCESSIVE, ET OBJECTIF — CELA PEUT PRENDRE U N E D E M I - H E U R E - M A I S SOUDAINEMENT, ON COUPA, LA PROJECTION AU MOMENT OÙ JE DIRIGEAIS LE SUJET SUR SES « PARTIES FEMININES »...DE FAÇON À SUGGÉRER A CEUX QUI REGARDAIENT CE DOCUMENT, UNE FAUSSE ET DOMMAGEABLE INTERPRÉTATION ; ON PEUT PENSER QUE JE DIRIGEAIS LE TEMOIN SUR SES SOUVENIRS S E X U E L S O U S U R D E S FANTASMES, ALORS QUE LA SÉANCE COMPLÈTE RÉFUTE CLAIREMENT CETTE ATTITUDE.

Lorsque Denise Dilanni de NOVA,

me contacta au début pour cette émission, elle me dit qu’elle refuserait les témoins qui ne voudraient pas se montrer en direct à la télévision nationale. Je lui expliquais que sur 500 enlevés crédibles avec lesquels j’avais t r a v a i l l é p e r s o n n e l l e m e n t , malheureusement, 97 % des gens refuseraient d’apparaître, car c’était des policiers , des psychiatres , des scientifiques, des médecins, des agrégés, d e s h o m m e s d ’ a f f a i r e s , d e s psychologues, et même un chercheur scientifique de la NASA, bref, toutes des personnes qui ne tenaient pas à être exposées au ridicule, devant le public. Bien entendu, ces 97 % comportaient les

enlevés les plus hautement fiables et les plus scientifiquement défendables, la sorte d’individus que devait rechercher NOVA, pourrait-on penser, dans une émission de type scientifique. Je lui demandais, si quelques uns de ces sujets hautement crédibles pouvaient discuter de leur cas devant la caméra, en étant masqués ou en apparaissant en silhouette, mais NOVA déclina l’offre et décida de choisir dans les 3 % qui restaient. Cette décision seule, me confirma que la préférence de Mme Dilanni allait plutôt vers ce qui révélait sensationnel, plutôt que vers une tentative de discussion scientifique du sujet en profondeur.

Les braves témoins qui acceptèrent d’apparaître sur les ondes nationales étaient jeunes et pour la plupart à l’écart de tout engagement politique, et de tout risque pour leur carrière. Aucun d’entre eux ne demanda un dédommagement financier. On ne leur en offrit pas, non plus. Tous acceptèrent, pour aider d’autres enlevés, un peu comme les victimes des viols se font connaître publiquement, bien qu’elles se sentent humiliées. Mais les victimes des viols ont la garantie de recevoir la sympathie du public. Cependant, les enlevés ou plutôt : « les kidnappés par les aliens », l’ont-elles ?

Elles ou ils, furent subtilement mais sûrement discrédités, pour commencer avec le titre provocateur, et le point d’interrogation, qui met en doute leur témoignage, déjà avant de les entendre. Leur esprit de coopération courageux et généreux fu t v i te dét ru i t par l’implication proférée par NOVA que TOUS étaient des illusionnés, ou des hallucinés, ou tout bonnement des « simples d’esprit », parce-que, comme l’a expliqué NOVA : « CELA NE PEUT ARRIVER ». A un point que le physicien : Paul Horowitz, qui apparemment n’a aucune connaissance de la réalité du dossier UFO, a déclaré ca tégor iquement que les UFO n’existaient pas et n’avaient jamais atterri !

NOVA m’a interviewé longuement dans mon studio, et connaissant toutes les théories perverses utilisées par les débunkers, pour discréditer quiconque rapporte une expérience d’enlèvement, j’ai choisi de sélectionner les rapports qui ne pourraient être attaqués par les explications conventionnelles. J’évitais le grand nombre de souvenirs retrouvés sous hypnose, sachant que NOVA dénigrerait ce procédé. J’avais raison, une grande partie du programme

impliquait que l’hypnose introduisait et générait ces (automatiquement fausses) déclara t ions d’enlèvement . Ma suggestion contradictoire — qu’il existait de très nombreux témoignages obtenus sans hypnose — ne fut même pas mentionnée dans l’émission. J’avais donné à Dilanni, une collection de photos de marques physiques et de cicatrices, séquelles des enlèvements d’UFO, et lui demandais instamment d’interviewer les personnes qui portaient ces dramatiques traces. Comme ces individus faisaient partie des 97 % qui couraient le risque d’être ridiculisés en apparaissant à la T.V., Nova, non seulement refusa de les filmer dans l’ombre, mais aussi de montrer les photos à la caméra. Quelques photos de traces au sol, et d’altérations causées par des atterrissages furent également supprimées. Liesl Clark, équipière de NOVA, chargée du programme INTERNET WEB, m’informa que montrer de telles évidences physiques pouvait « causer une vague de tempêtes ».

ELLE AVAIT RAISON SUR CE POINT !

Aussi après avoir entendu que le phénomène d’enlèvement était plutôt un résultat de la séance hypnotique, le public fut privé délibérément de voir, d’entendre et de considérer les évidences de procédures alien sur le corps physique, et les traces sur le sol, laissées par les UFO. Ainsi, les faux « mythes », chers aux debunkers furent renforcés : il n’y a aucune preuve physique ! C’est une chose de juger de la valeur de preuve d’une marque

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physique, mais c’en est une autre, que de supprimer la réalité. Sachant que « la paralysie dans le sommeil » est une des meilleures explications de ceux qui nient le phénomène, j’ai offert à la représentante de NOVA, des cas qui se sont produits en plein jour, avec des participants pleinement éveillés, et je citais des exemples. Mais ce fait ne fut pas mentionné durant le programme - qui, naturellement, fut réservé aux cas nocturnes seulement, qui justifiaient ainsi la théorie de « la paralysie dans le sommeil ».

Le public fut placé exclusivement devant ces constatations :

« C’est toujours raconté sous hypnose, il n’y a aucune preuve physique et cela arrive toujours la nuit ».

Mme Dilanni sait parfaitement que des milliers de rapports prouvent que ces déclarations sont fausses, mais elle décida de supprimer cela aussi de son émission.

Je pense que c’est passer beaucoup de temps à essayer de décrire certaines des manigances, des falsifications, des omissions de NOVA. Le dénigrement de milliers de personnes décentes, saines mentalement, qui racontent leurs enlèvements par les UFO ne peut être passé sous silence. Pas une fois, à l’émission de NOVA, l’un des consultants destructeurs, n’a admis que tous ces gens pouvaient simplement dire la vérité. Je n’étais pas naïf au point de penser qu’une équipe de Nova qui avait déjà conclu que les UFO n’existaient pas, dans une

précédente émission, allait proclamer la réalité des enlèvements. Pourtant, j’étais assez naïf pour créditer les producteurs et Mme Dilanni en particulier, d’une honnêteté suffisante pour admettre cette petite chose : qu’en dépit des théories des debunkers, toutes les données n’étaient pas expliquées et que le mystère restait. Dans mon imagination, je ne pouvais penser qu’une telle arrogance — déclarer que TOUTES les expériences d’enlèvements peuvent être expliquées par ces (contradictoires) théories de dénigrement, et en même temps prendre soin de supprimer délibérément toute évidence du contraire — pouvait exister...

Les gens qui font confiance à NOVA,

accepteront comme vraies, les erreurs proférées, telles que : après le film « rencontre du troisième type », le nombre d’observations d’OVNI a augmenté considérablement dans les médias, générant de « faux rapports ».

En fait, pendant ce temps, le nombre de rapports diminua. Pour ma part, NOVA s’est souvent référé à moi comme un thérapeute, bien qu’ils sachent que je n’ai jamais dit cela et que je n’ai jamais demandé un penny à un enlevé, pour l’aide que je lui ai prodiguée.

Mais donner de fausses informations, n’est pas le pire mensonge dans l’émission de NOVA. Ce qui cause le plus de dommage est le fait que toute personne enlevée osera de moins en moins parler de son aventure en public.

Tous, policiers, psychiatres, médecins, scientifiques, militaires et tous les autres qui ont vécu ces expériences auront de plus en plus raison de se taire. En voyant comment NOVA a transformé les faits et descendu les témoins, peu de nombreux témoins de valeur accepteront de franchir le pas.

À la lumière de tout ceci, il est évident que NOVA a découragé et intimidé les futurs témoins.

En résumé, Mme Dilanni a démontré qu’elle a choisi pour son émission le sensationnel et la controverse, que NOVA a boycotté le sujet, a trompé et humilié les témoins, sans les avertir de la façon dont ils seraient traités dans le programme. C’était comme si on demandait à des gens innocents de vendre des tickets donnant droit à ce qu’ils soient humiliés publiquement. Ce que NOVA produit n’est pas un programme scientifique mais une sorte de mixture de Jenny Jones ou Geraldo. Denise Dilanni et sa productrice : Paula Aspell et tous les responsables de la réalisation finale de cette émission se sont dévalués eux-mêmes.

Source : FSR vol. 41 n°1.

Geneviève Vanquelef

ALERTE GÉNÉRALE POUR LES “PRIVÉS” DE L’UFOLOGIE FRANÇAISE

Par François COUTEN

D ans le livre “OVNI, la science avance” co-

s i g n é J e a n - C l a u d e BOURRET et Jean-Jacques V E L A S C O , c e u x - c i manifestent ouvertement leur rejet catégorique de toute collaboration avec les groupements “d’amateurs d’OVNI, ufologues” (voir notamment pages 99 et 100).

Une fois de plus, les “Privés” doivent prendre acte qu’ils n’ont absolument rien à attendre des Autorités Françaises s’occupant de la question OVNI sinon pour certains d’entre eux d’être surveillés de près par les sus-dites, y compris dans trois cas précis, par voie d’écoutes téléphoniques.

Privés, ne faîtes surtout plus cadeau de Bulletins, Revues, Rapports d’Enquêtes au SEPRA et autres, sinon qu’ils payent car disposant de fonds publics fournis par les contribuables français.

Une fois pour toute,

sachez que la liste des Associations Ufologiques de

l’Hexagone constamment mise à jour, a pour objectif de facil i ter les échanges d’informations entre “Privés” de même qu’une coopération active à l’occasion d’enquêtes menées sur le terrain.

François Couten

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2 OVNI à DARAZAC le 18 octobre 1954 « Le 18 octobre 1954, vers 18h10, j’étais à Darazac (19),

au lieu-dit « Les Crouzottes » en compagnie de mon père et de mon chien. Le soleil se couchait et le ciel était dégagé.

Nous étions à pied et revenions d’une balade. Avant de prendre le petit chemin qui menait à la ferme, nous nous arrêtâmes au croisement du CD, et portâmes machinalement les yeux vers le ciel, la végétation ouvrant sur un bel horizon.

Nous aperçûmes dans le lointain, un avion commercial de type « Comet », qui laissait dans le ciel la traînée caractéristique de la condensation des gaz. Quelques instants plus tard, il était au-dessus de nous à la verticale.

Nous le suivîmes des yeux et lorsqu’il fût sur le point de disparaître, le bruit des réacteurs ayant cessé, apparurent soudain, débouchant de la cime des arbres sur la droite, à environ 100 mètres d’altitude et 200 mètres de distance, deux soucoupes légèrement inclinées et identiques. Le diamètre de ces objets était de 12 mètres environ. La vitesse a été estimée à environ 200 km/h. L a p a r t i e supérieure était renflée en � dôme possédant 2 ou 4 hublots. ces objets se déplaçaient sans bruit et semblaient glisser sur l’air.

Le premier objet n’a pas dévié de sa trajectoire. Quant au second, il s’est livré en l’espace de 2 secondes à des a c r o b a t i e s invraisemblables, défiant toutes les l o i s d e l a physique. Nous l’avons ainsi vu

dans toutes les positions avant qu’il ne reprenne son vol normal après ces évolutions.

Ces objets avaient un aspect de l’aluminium avec des reflets chrome dans le soleil couchant. Impossible pour les témoins de se tromper et de confondre avec des nuages ou un phénomène atmosphérique ».

Les témoins subjugués par ce spectacle insolite, ont estimé

la durée de cette observation à 7 ou 8 secondes. Ils ont également fait remarquer qu’il n’y a eu aucune réaction insolite du chien.

Suite à cette observation, les témoins ont rédigé un compte-rendu qu’ils destinaient au journal local, mais en achetant le journal le lendemain, avant de poster leur courrier, ils furent surpris en y lisant :

« BALLONS SONDES DANS LE CIEL DE CORRÈZE ».

Ceci les incita immédiatement à détruire leur correspondance, ne désirant pas être considérés comme des illuminés. Par la suite, les témoins ont appris que quelques habitants assis sur la place du village avaient fait la même observation.

Témoignage d’un adhérent de Groupe Sentinelle désirant garder l’anonymat.

Observation à BOREON le 7 août 1994

P atrick N. m’a rapporté l’observation qu’il a faite en compagnie de sa mère et d’un ami, à cet endroit. Il fait

nuit. Le BOREON se trouve à 1.500 mètres d’altitude, juste au sud de la cime du Parc du Mercantour (2.772 m), à 3 kilomètres à vol d’oiseau de la frontière italienne.

Il est 11 heures du soir, Patrick, sa mère et un ami contemplent la nuit et regardent les étoiles; le ciel est parfaitement dégagé et la vue est excellente.

À un moment donné, leur attention est attirée par une étoile plus brillante que les autres. Pourtant, elle est de couleur jaune-orange. C’est étonnant ! Elle se situe entre deux montagnes, en direction du village de Saint-Martin-Vésubie (06760), soit à une vingtaine de degrés à l’Ouest, vers le Sud-Sud-Ouest.

Patrick pense au début à un avion ou à un satellite mais au bout de quelques minutes, il remarque que cela ne bouge pas et de plus, il n’y a aucun bruit. Celui-ci à la bonne idée d’aller chercher des jumelles dans son chalet et à son retour, il peut observer plus attentivement cette drôle d’étoile.

À sa grande surprise, il constate qu’il s’agit en fait d’un objet circulaire, blanc, lumineux mais au contour net. A l’intérieur, se trouvent une lumière rouge à gauche et une

Dessin fait par le témoin.

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lumière verte à droite. Celui-ci remarque que de temps en temps, ces deux lumières tournent dans le sens des aiguilles d’une montre. Aucun bruit. Sa mère Christiane et l’ami ne font pas trop attention à ça mais Patrick est visiblement troublé par ce qu’il voit.

Patrick ajoute encore : « J’ai posé mes jumelles sur un endroit fixe et stable (une

barrière) en direction de l’OVNI, afin de pouvoir mieux l’observer sans bouger. Environ une heure après, j’ai repris mon observation et j’ai constaté que l’objet était... toujours au même endroit. Après cela, je suis allé me coucher vers 1 heure du matin, en me demandant ce que cela pouvait être. Lorsque je retourne là-bas, je pense souvent à ce que j’ai vu cette nuit-là ».

(Étant donné qu’en une heure, les étoiles et les planètes se déplacent environ de 15° dans le ciel, l’hypothèse d’un corps céleste (étoile, planète) est à écarter). Transmis par P.B. de NICE.

Le mal de la Guerre du Golfe

C ertains anciens combattants de la guerre du Golf se plaignent de troubles du système nerveux. Le quotidien du

médecin revient sur cette affaire. L’origine de ces troubles reste controversée. Une équipe écossaise a comparé des sujets atteints à un groupe témoin composé de civils. Elle a analysé plus de 20 paramètres en rapport avec le système nerveux central et a constaté que les anciens soldats présentaient 3 anomalies sans doute liées à la combinaison de plusieurs facteurs : vaccinations, comprimés donnés pour protéger des armes chimiques et biologiques, pesticides auxquels furent exposés les troupes. Si on connaît bien les effets de chacun de ces produits, on ignore ce que peut donner leur combinaison.

Source : Bonne Soirée n° 3875 du 15/05/96.

Une immense base secrète RUSSE en construction

L e Pentagone a confirmé mardi l’existence d’une immense base militaire secrète russe en construction dans l’Oural et

a reconnu les limites de la coopération entre Washington et Moscou en admettant que les Russes n’ont à ce jour jamais répondu aux questions américaines à ce sujet.

La Maison-Blanche a d’ailleurs demandé des explications à Moscou, après la parution le matin même par le New York Times de révélations sur cette base militaire en partie souterraine et qui serait plus étendue que la ville de Washington. Les travaux de construction de cette installation

sous le mont Yamantau, dans la région de Beloretsk, auraient commencé sous Brejnev.

Le porte-parole adjoint du Pentagone, le capitaine Mike Doubleday, a pour sa part reconnu que les États-Unis étaient au courant de cette construction depuis « plus de dix ans ». Ce vaste complexe est « en cours de construction depuis de nombreuses années ».

Les satellites américains suivent cette construction depuis des années, ce qui a permis au porte-parole de donner quelques précisions. Selon lui, la base emploie « plusieurs milliers de personnes », comprend un vaste système de logements et s’accompagne d’un « important réseau de routes et de voies ferrées liées au complexe ». Cette base est « militaire au sens large du terme ».

Pour le reste, le Pentagone assure ne pas disposer de beaucoup d’éléments en raison du mutisme des Russes.

Source : Journal L’UNION du jeudi 18 avril 1996.

L’argent du Lyonnais pour le film d’une secte

M algré ses déboires financiers, la firme cinématographique MGM ne manque pas d’ambitions

artistiques : une irrésistible fièvre du samedi soir vient de lui faire passer contrat avec John Travolta afin qu’il produise et interprète un film de science-fiction, « Terre, champ de bataille ». Scénario : notre planète envahie par des extraterrestres, les Psychlos, etc., etc. On voit d’avance l’originalité du futur chef-d’oeuvre.

En fait, il s’agit de l’entreprise de propagande d’une secte. Militant proclamé de la Scientologie, Travolta adapte, en l’occurrence, le roman d’un des plus infantiles auteurs de science-fiction, Ron Hubbard. Lequel n’est autre que le fondateur de la secte en question. C’est à lui qu’est due l’invasion (heureusement très limitée) de la Terre, non par les Psychlos, mais par les Scientos...

Détail amusant : l’actuel propriétaire de MGM s’appelle le Consortium de réalisation (CDR), c’est-à-dire la satellite du Crédit lyonnais chargé de s’occuper des actifs douteux de la banque nationalisée qui avait acheté naguère la fameuse firme cinématographique. Bref, c’est grâce à l’argent public français que la secte, pour mieux impressionner les cerveaux, va impressionner de la pellicule.

Source : Le Canard Enchaîné du mercredi 10.04.1996.

L’US Air Force dévoile le Tacit Blue Opérationnel depuis 1982, cet avion-espion américain

est resté secret quatorze ans

C ’est à peine croyable... L’US Air Force vient de dévoiler l’existence de l’ancêtre des avions furtifs : le Tacit Blue.

Cet avion aux formes pour le moins étranges a effectué ses

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premières missions dés 1982 déjà, sans que son existence n’ait été révélée, ni même soupçonnée. Il a poursuivi sa vie d’espion jusqu’en 1985, au cours de cent trente cinq vols. Le secret a

donc bien été gardé ! Aujourd’hui, cet appareil est entré dans l’histoire de l’aviation et joue les stars dans un musée de l’US Air Force, sur la base de Wright Patterson, en Ohio. Conçu pour effectuer des missions à basse altitude, près des lignes de combat, Tacit Blue est long d’une vingtaine de

mètres et a une envergure de quelque quinze mètres. Il est le précurseur de l’actuel bombardier furtif B-2 auquel il a donné l’essentiel de ses formes.

Le programme Tacit Blue, alors classé top secret, a coûté 165 millions de dollars dont 136 millions de dollars sont revenus au constructeur, Northtrop Corporation.

Source : La Tribune de Genève du 25.06.96. Article de X.Dd.

Un musée ufologique ouvre ses portes en juillet

L e 4 juillet, le plus grand musée ufologique du monde ouvre ses portes à Hakui City,

Japon. Le musée, dont les coûts se sont élevés à quelques millions de dollars, construit en forme de soucoupe volante de 65 mètres de diamètre, a été financé par des subventions gouvernementales. Dans ce musée, on ne trouvera pas seulement des photos d’OVNI, des vidéos automatiques et une abondante bibliothèque sur le thème, mais encore des preuves physiques. Le gouvernement japonais s’est même efforcé de se procurer des fragments de vaisseaux spatiaux écrasés et un extraterrestre mort, mais en vain, jusqu’à présent. Au lieu de cela, on invita, en 1993, le coordinateur du musée, Johsen Takano, au quartier général de la CIA, à Langley, en Virginie, où on lui a montré un film de deux heures sur l’autopsie d’un extraterrestre, le même film que l’Anglais Ray Santilli publia deux ans plus tard.

Pour l’inauguration du musée, on a invité un célèbre ufologue américain, le Commandant Sgt Major Robert O’Dean qui, lui-même, alors qu’il servait sous les ordres du quartier général de l’OTAN-SHAPE, à Paris, en 1964, avait eu un aperçu sur une étude secrète de l’OTAN sur les OVNI. Le Japon lèvera-t-il le secret sur les OVNI ?

Les États-Unis répondent à cet égard, à leur manière. La veille, le 03/07., on commence à jouer aux États-Unis le film de Hollywood “Independence Day”, dont le thème est l’invasion d’extraterrestres négatifs. Si déjà on ne peut plus continuer à

nier l’existence des OVNI, alors on veut au moins persuader la population qu’ils ont des intentions hostiles. L’industrie de l’armement en profitera et personne ne sera tenté de vouloir entrer en contact avec eux et de mettre en question le système dominant.

Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 06/07.1996.

Oxford croit aux OVNI

D epuis 1823, elle représente une institution à l’université anglaise d’élite Oxford. : la fameuse « Oxford University

Union Society ». Dans ses rangs on comptait cinq premiers ministres britanniques et six membres du cabinet du gouvernement Major — ainsi que l’élite de la société et de l’intelligentsia britannique. Le club de débats « Pour et Contre » s’est penché sur d’innombrables questions scientifiques et a pris ensuite sa décision — et maintenant aussi en matière d’OVNI. La mémorable séance a eu lieu le 25 octobre 1995 dans la « Chambre des Débats » de l’Oxford Union et a suscité des débats véhéments dans les deux ailes de la maison, débats auxquels participèrent 680 étudiants et invités. Au rang des partisans on pouvait compter le physicien nucléaire canadien Stanton Friedmann, ainsi que l’ufologue et avocat britannique Harry Harris, qui soutinrent l’ex-président du comité consultatif de l’Union, Andy George St Catz, qui avait pris l’initiative des débats. Les adversaires étaient Scott Nixon du St Johns College, Jillaine Seymour du Magdalen & New College et Peter Brookesmith, un adversaire déclaré des OVNI. Après la requête de Nixon de « rejeter ce thème ridicule », Harris se décida à apporter des preuves : des interviews avec les officiers de police Alan Godfrey et John Porter, avec le colonel Charles Halt, qui avait établi un rapport sur un atterrissage d’OVNI dans la forêt de Rendlesham, et une interview avec l’expert en radars belge, le prof. Émile Schwietzer. En plus, il cita un neurologue londonien connu, sur le thème des enlèvements par des OVNI et une série d’astrophysiciens sur la question des voyages spatiaux au-delà de la vitesse de la lumière. Ensuite, ce fut Stanton Friedmann qui fit ses déclarations. Il se concentra sur Roswell et sur les documents secrets du gouvernement américain et de la CIA. Toujours à nouveau, des étudiants de Chine, d’Australie et des États-Unis commentèrent les débats ; un étudiant en théologie apporta le point de vue de l’Église. De ce fait, les tentatives de Peter Brooksmith furent de peu de poids, lorsque, cyniquement il s’attaqua à cette solide argumentation en déclarant : « les croyants aux OVNI ne peuvent pas penser logiquement. » Il contesta systémati-quement toutes les observations des témoins, mais ne fut pas en mesure de réfuter des cas concrets. « Si vous ne pouvez pas attaquer les données, vous attaquez les hommes » contre-attaqua Friedmann. Finalement, à l’issue des débats, les

Le Tacit Blue un secret bien gardé Sygma

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résultat : 67 % se prononcèrent en faveur des OVNI. C’est ainsi que l’on put annoncer : « Cet établissement croit que des formes de vie intelligentes, extraterrestres visitent la planète Terre. » Un beau succès pour l’ufologie ! Source : MAGAZIN 2000 n° 110 - 4/5.1996.

Jour noir pour le Monde Noir

U n juge fédéral des États-Unis a rejeté la plainte d’ex-collaborateurs de la base d’essais de l’armée de l’air

américaine, Groom Lake, au Nevada. Le gouvernement américain peut ainsi continuer à pratiquer ses activités secrètes dans cette base ultra-secrète. En d’autres termes, ce qui se passe dans le “Monde Noir”, comme on appelle aussi la base de Groom Lake, en raison du strict secret qui entoure ses activités et dont la dénomination officielle est “Aire 51”, continue de rester un des secrets les mieux gardés des États-Unis.

Le juge américain de district, Philip Pro, fonda sa décision sur le fait qu’un “procès nuirait considérablement à la Sécurité Nationale”. Le jugement est intervenu le 12 mars 1996. Les employés de la Base avaient reproché, dans leur plainte, à l’Armée de l’Air US d’avoir brûlé des produits nocifs sur la Base, à ciel ouvert, ce qui leur aurait occasionné de graves ennuis de santé. Après l’intervention du professeur de droit Jonathan Turley, en tant qu’avocat des plaignants, l’Armée de l’Air US avait déjà invoqué en février 1995 la nécessité du secret et le potentiel de “conséquences extrêmement graves” si un procès public devait avoir lieu. En septembre 1995, Clinton signa une ordonnance légitimant la poursuite du secret.

Comme aucune information n’est ainsi disponible sur la Base, aucun tribunal n’est en mesure de mettre en lumière d’éventuelles atteintes à l’environnement, a expliqué le juge Pro. Certes, des fonctionnaires des Services Fédéraux de l’Environnement avaient inspecté la base en avril 1995, mais les conclusions de l’enquête seraient strictement secrètes. Mais si l’on ne peut mettre à jour des preuves, “la base n’existe pas, tout au moins sur le plan légal”, telle fut la conclusion du juge Pro, dans son jugement de 23 pages.

Des avions militaires ultra-secrets, ainsi que le bombardier furtif Stealth, ont été testés et mis au point sur la base de Groom lake. Certains ex-collaborateurs de l’Aire 51 affirment même qu’à cet endroit des OVNI écrasés ont été examinés et pilotés expérimentalement.

Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 6/7. 1996.

Mystérieuse explosion à Erlangen

L es experts et les autorités s’interrogent sur les causes d’une violente détonation qui, le 10 janvier 1996, a ébranlé le

Sud de la ville universitaire d’Erlangen, près de Nuremberg. Ce soir là, vers 18h55, des milliers d’habitants sursautèrent d’effroi. Peter Klotz, du service de presse de la police déclara : “l’immeuble s’est littéralement secoué” ; on aurait même vu de la fumée s’élever au-dessus des instituts de la Faculté Technique. Peu avant l’explosion, un couple avait observé à partir d’une tour d’habitation un éclair lumineux jaune-rouge.

Mais l’enquête que la police effectua immédiatement avec un hélicoptère demeura sans résultats. On ne put trouver aucune trace d’une explosion ; par ailleurs, après investigations effectuées auprès de l’Université, il s’avéra impossible de trouver trace d’un incident qui aurait pu se dérouler dans les laboratoires de recherches. Au lieu de cela, l’observatoire sismologique central de l’Université, après interprétation des données de la station de mesure, en vint aux conclusions surprenantes que l’ébranlement avait eu lieu horizontalement. “Il s’agit d’un tableau totalement atypique”, déclarèrent les savants, “nous n’avons aucune explication pour cela”. Ils exclurent en tout cas un bang hypersonique d’un avion militaire.

D’autres témoins affirmèrent que le ciel, au-dessus du centre de recherches, s’était coloré, quelques secondes avant l’explosion ; il aurait été recouvert d’un rideau lumineux jaune à orange-rouge. Après disparition de la manifestation lumineuse, ils virent environ deux douzaines de cercles lumineux clairs, s’élevant et s’abaissant alternativement, en émettant de faibles sons, dysharmonieux. Certains témoins les décrivirent comme ayant trois à quatre mètres de diamètre, et ressentirent une vibration infra-sonique, s’affaiblissant progressivement. Certains ressentirent un malaise, pendant une minute. Finalement, des dessins circulaires se seraient formés dans la neige. Une expérience mystérieuse, qui doit rester secrète ?

Source : MAGAZIN 2000 n° 111 - 06/07.1996

N’hésitez pas à nous faxer des informations de votre presse régionale !

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MYSTÉRIEUX « CHUPACABRAS » À PORTO-RICO

Par George C. ANDREWS

C e qui suit est extrait ou résumé de publications de Scott CORRALES (104, Pleasant Street, Bradford PA

16701), intitulées The Chupacabras Diaries (Journal des Chupacabras) et Inter-Alia n°4, 1996. J'y ai inclus quelques idées personnelles.

D'après les témoignages, les chupacabras, bien qu'ils n'aient pas d'ailes, peuvent voler comme des oiseaux, en produisant un bruit comparable à un bourdonnement. Les appendices en forme de nageoires situés le long de leur épine dorsale ne lui permettent certainement pas de voler; mais comme ces mêmes appendices changent de couleur de la même manière qu'un OVNI, on pourrait penser que les créatures sont des cyborg (robots mi-organiques mi-électroniques N.D.T.). Si l'on en croit le Lieutenant Jorge L. Rivera, de la Police de Canovanas, la créature dégageait une odeur ressemblant à du diluant pour peinture. D'après ses “relations” avec les OVNI, elle pourrait avoir été lâchée depuis un certains type d'ovni pour rechercher du sang et autres fluides vitaux, puis récupérée une fois remplie de ces substances qui pourraient être “dégorgées” après récupération.

Il est dit que la créature a commencé

par attaquer un pêcheur, qui l'a fait fuir en saisissant une machette. Un troupeau d'oies réussit également à la mettre en fuite. Ce fut le seul cas où des animaux domestiques purent se défendre. On a trouvé des cadavres dans la boue, sans aucune empreinte alentours. La créature a également fui devant trois hommes sans armes qui lui lançaient des pierres. Elle a laissé une trace de sang après qu'un policier lui eut tiré dessus (voir article de Jorge Martin, échantillon n°3). Martin déclara plus tard que l'échantillon sanguin contenait, entre autres anomalies, des traces très importantes de chlorophylle.

Un fermier (Jesus Sanchez, de la

ville de Gurabo) a trouvé une créature qui tuait ses lapins. Il a pu la frapper deux fois avec une machette alors qu'elle s'enfuyait, passant près de lui. Il a dit qu'il avait eu l'impression que la machette tapait un tambour, ce qui implique que la créature pourrait être creuse.

Après que sa rencontre fut rendue publique, ainsi que sa détermination à tuer la créature si elle revenait, Sanchez fut abordé par un membre officiel du Ministère des Ressources Naturelles (Department of Natural Ressources), qui l'avertit que son service le poursuivrait en justice s'il tuait un animal protégé. Sanchez lui demanda sur un air de défi comment le gouvernement pouvait protéger une créature dont il niait l'existence, et fit remarquer que toute tentative de poursuite judiciaire serait un aveu de la complicité du gouvernement

dans la mort, causée par la créature, de très nombreux animaux de ferme.

D'après le numéro du 25 Mars de la

revue NEWSWEEK, des chupacabras ont été vus à Miami. Mais l'article falsifiait ou négligeait de mentionner les détails-clés, donnant l'impression que l'histoire entière n'était que de l'hystérie,

et que les morts d'animaux étaient causées par des chiens. D'après un courrier électronique (e-mail) envoyé depuis Miami par Luis R. Shepherd à Scott Corrales : Ce soir (19 mars 1996)un médecin de l'Hôpital Mercy à Miami, a eu une rencontre avec un chupacabras, qui était en train de tuer des colombes dans la cour de sa maison. Les oiseaux morts portaient les mêmes types de blessures que celles rapportées dans les cas de Puerto-Rico. Coïncidence : ce même soir, la chaîne 23 diffusait un p r o g r a m m e s u r l e s déprédations provoquées par les chupacabras à Puerto-Rico quand, soudainement, la station “fit le mort” pendant 45 minutes. Les gens pensent que les autorités ne voulaient pas que ce programme soit diffusé ce soir-là. D'après une récente lettre de Scott Corrales, il n'y a pas eu

d'activité de la part des chupacabras ces dernières semaines. Peut-être sont-ils partis. Mon sentiment est qu'ils ont peut-être quitté Puerto-Rico pour l'Amérique continentale. Je ne l'espère pas, mais comme ils ont été vu à Miami, cette possibilité ne peut pas être écartée. On peut penser que Puerto-Rico a été un terrain d'essai.

George C. Andrews

Transmis par George C. Andrews

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Lettre de Mlle Claudine CHENEBY

P our avoir été témoin à la fin des années 1970 de deux observations d’OVNI, en un temps rapproché (deux mois) et ce, à chaque fois, à une

distance de moins de 10 mètres, je me suis toujours posé la question de savoir si cet état de fait relevait du pur hasard. Je ne le crois pas, d’autant plus que les deux fois, l’objet a stagné devant moi pendant une minute environ.

Être témoin d’apparitions d’OVNI est la chose la plus merveilleuse qu’il

vous soit donnée de voir (dans la mesure bien sur où l’objet est assez gros (dans mon cas à peu près 8 à 10 mètres de longueur), et où la couleur de celui-ci est d’une immense beauté et différente des couleurs habituellement vues sur terre. Et ma conviction profonde a toujours été de penser que j’aurais pu communiquer avec eux si mes sens n’avaient pas été paralysés (non pas de peur mais d’incompréhension et de ravissement à la fois), devant ce mystère dont je n’étais pas capable à l’époque d’en appréhender l’importance considérable que cela impliquait.

Et à partir de ce moment là, je me suis dit que nous n’étions pas de simples

hères qui nous débattions dans cette jungle qu’est la terre, mais qu’il fallait prendre conscience que nous pourrions être GRANDS si nous le voulions, ce qui impliquerait un changement radical de notre système de pensées (lesquelles pour l’instant, il faut le reconnaître sont bien étroites), une élévation spirituelle et un réveil important des consciences. Ces manifestations d’intelligences supérieures tentent de nous le prouver, mais l’erreur consiste de n’en reconnaître que le côté matériel (preuves, traces etc...), non pas que cela soit peine perdue, mais au détriment de l’aspect spirituel invoquant les possibilités immenses qui pourraient s’offrir à nous, si nous ne voyions et n’acceptions pas que le côté physique et matériel des choses.Gardons nous bien de rejeter toute hypothèse émise quant à la question de savoir si ces êtres qui nous visitent sont des extra-terrestres d’autres planètes; ou bien des entités dotées de nature plus subtile que la nôtre, venues d’autres dimensions et faisant incursion dans notre espace; où encore la projection de nous mêmes ou de nos propres rêves dans un futur /ou passé, plus ou moins proche et qui prendraient une consistance réelle et fugitive par je ne sais quel processus qui nous échappe encore. Ces ridicules querelles intestines au sein de l’ufologie ne nous grandissent pas, loin s’en faut. Personnellement, je pense que ces trois hypothèses sont toutes plausibles et que les apparitions d’OVNI reflètent à la fois des manifestations des unes ou des autres, si peu qu’on étudie les cas de très près. Par ailleurs, la compréhension du phénomène n’est pas exclusivement réservée aux scientifiques. Comment certains peuvent ils s’indigner au sujet d’ufologues qui n’ont pas de formation scientifique, et qu’eux seuls peuvent s’approprier la recherche en matière d’ufologie. La compréhension du phénomène ne se résout pas uniquement dans les équations et la suffisance de certains scientifiques qui ne se basent que sur leurs vieux concepts rigides et n’en dérogent pas, est navrante. Une part de rêve et d’imagination est nécessaire pour la recherche et il est bon quelquefois d’avoir gardé une âme d’enfant. Cela ne nuit pas..

Claudine Cheneby

Lettre de Mr Didier LEFORT

C hers amis de Sentinelle, j’aimerai vous faire part d’une observation effectuée récemment avec mon nouveau télescope. Cela se passait dans la

nuit du 29 au 30 mai dernier et en regardant un amas d’étoiles, j’ai constaté qu’une boule orange a traversé mon champ de vision horizontalement. Elle faisait quelques centimètres de diamètre et ne faisait aucun bruit.

Une chose est certaine, ce n’était pas un satellite ni une étoile filante, foi d’astronome, car je connais bien les objets célestes. J’en ai fait un bon en arrière. Le mystère demeure !

Didier Lefort

Lettre de Mr Philippe DANCOISNE

E n juin 1987, j’ai été hospitalisé à l’hôpital psychiatrique suite à un choc psychologique provoqué par des événements en rapport avec la présence

discrète d’extraterrestres sur notre territoire. En effet, un soir de ce mois de juin 1987, l’image de la télévision s’est

brouillée et j’ai reçu une décharge qui m’a parcouru le crâne d’avant en arrière. Quelques jours plus tard, j’ai rencontré une femme mystérieuse, blonde, 1,80 m, qui tenait un institut de beauté de soins au laser. Elle a paru très interloquée par un signe que j’ai dans la main gauche et qu’elle a examiné avec attention. Elle a essayé de m’endormir avec un liquide que j’avais pris pour de l’alcool.

Le week-end suivant, un homme m’a remis dans une station service un stylo avec cette inscription énigmatique « 1987 = un an ». Ce n’était pas un stylo publicitaire en échange de points.

J’ai revu la femme de l’institut de beauté ce week-end là deux fois à la Baule (135 km) dont une fois à 100 m de l’immeuble de ma mère dont elle ignorait totalement l’adresse en principe.

Avant de quitter La Baule, j’ai pu remarquer deux individus dans une “Golf” noire tous feux éteints qui avaient auparavant déchargé des tubes métalliques.

Cette multiplication de faits étranges et cette présence inconnue autour de moi m’a profondément perturbé à l’époque.

C’est ainsi que j’ai dû être hospitalisé. En septembre 87, l’institut de beauté tout nouveau à Rennes n’existait

plus. Toute cette histoire n’est pas le fruit de mon imagination, elle est vraie...

Philippe Dancoisne

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SENTINEL NEWS n° 2 juillet - août - septembre 1996

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À quoi servaient ces pyramides ? Recèlent-elles les tombes et sarcophages des pharaons dont elles portent le nom ? Pour la première fois, deux auteurs révèlent la cohérence, l’harmonie sous-jacente du plateau de Guizeh. Inspirés par la règle d’Or et la géométrie sacrée, ils substituent une géométrie précise, terriblement précise... Ils ont su déjouer les pièges innocents — ou pas — des scribes, des architectes et des prêtres : cacher sans cacher, montrer sans montrer, dire sans dire. À lire absolument !

À côté des pyramides si souvent admirées et étudiées, se dresse le Sphinx de Guizeh. Ce monument plusieurs fois millénaire a su préserver son secret. Or, le voile du mystère se lève enfin. S’inspirant de la géométrie sacrée, Gruais et Mouny se sont appliqués à le faire parler. Leurs travaux montrent ainsi que les complexes souterrains qui courent sous ces constructions fabuleuses contiennent des éléments qui éclairent d’un jour nouveau tant les origines de l’homme que l’avenir de l’humanité.

Ce livre passionnant, toujours d’actualité, se lit d’une seule traite. L’auteur a eu accès à des documents vieux de sept siècles, prouvant que certains ordres avaient des contacts avec les ex t ra te r res t res . I l p ropose auss i d’expérimenter des méthodes occultes pour entrer en rapport avec les E.T.. On en tremble encore !

Ce deuxième tome, aussi passionnant que le premier, approfondit des cas (jusque-là inconnus du public), sous diverses latitudes. Beaucoup de recoupements entre eux et des similitudes physiques troublantes entre les E.T. d’aujourd’hui et les anciens « Dieux » des civilisations passées, tels que certaines figurines les représentent. À lire absolument !

Cela bouge question OVNI au cinéma. Bien sûr, ce n’est pas en France mais aux États-Unis où plusieurs films ou téléfilms sont parus ou vont paraitre. Pour commencer, le retour des « Envahisseurs » qui ont fait notre joie dans notre enfance. Deux téléfilms sont déjà disponibles en vidéo aux USA. Roy Thinnes, l’inoubliable David Vincent est toujours là, mais c’est Scott Bakula (Code Quantum) qui a le premier rôle. La prochaine grande série télévisée de SF mettra en scène un groupe de Marines menant une guerre sans merci contre des extraterrestres agressifs. « Space : Above and beyond » par les scénaristes et producteurs d’ « Aux Frontières du Réel ». Grand écran enfin, avec la superproduction « Independence Day », où des Aliens aux pouvoirs terrifiants se mettent en tête d’éliminer méthodiquement l’humanité afin de prendre possession de la planète. Un film de Roland Emmerich (Stargate), avec Jeff Goldblum (La Mouche) en tête des « résistants ». Vient de sortir dans les salles US. MGM vient de passer contrat avec John Travolta afin qu’il produise et interprète un film de science-fiction, « Terre, champ de bataille ». Scénario : notre planète envahie par des extraterrestres, les Psychlos. Ce sera l’adaptation d’un roman de Ron Hubbard.

La plupart des informations cinéma sont reprises de UNIVERS OVNI n° 1 du CERPA.

Sortie en vidéo le 20 août

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