sentinel ufo news n°35

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numéro TRIMESTRIEL : octobre - novembre - décembre 2006

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Page 1: Sentinel UFO News n°35

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numéro

TRIMESTRIEL : octobre - novembre - décembre 2006

Page 2: Sentinel UFO News n°35

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Les documents, textes, articles et photographies publiés sont sous la seule responsabilité de leurs auteurs. Nous les publions sans nécessairement en approuver tous les termes. Les textes non publiés ne sont pas retournés. Pour remercier quelques amis (services rendus, dons, etc.) GROUPE SENTINELLE passe des textes publicitaires à titre gracieux dans cette revue qui ne revêt aucun caractère commercial. Reproduction autorisée après demande faite par mail

ou par écrit auprès du siège social de l’association Fonctions : Président & Rédacteur en Chef : Patrice Roger - Secrétaire & Trésorière : Christelle Roger - Dessinateurs : Marc-Antoine Lumia & Christian Junck - Traducteurs : Frédéric Lienhard, Thérèse Molinier - Maquette et mise en page : Patrice Roger - Saisie des textes : Frédéric Le Rate, Patrice Roger, Thierry Van de Leur - Relectures & Corrections : Claudine Cheneby - Actualité Ufologique : George C. Andrews (pour les USA)… & les adhérents - Représentant pour la Suisse : Michel Oberson - Collaborateurs : Guy Gruais, Guy-Claude Mouny - Responsable d’Internet : Philippe Tourteau - Impression : Patrice Roger - Reliures et envois : Christelle & Patrice Roger. Couverture : Montage de Thierry Van de Leur – Intitulé de l’image : « L’adieu des dauphins » - Retouches sur Photoshop Ele-ments 2.

GROUPE SENTINELLE Association ufologique créée en 1996

Siège social : 8, rue Bertrand de Vogué

51100 REIMS — France

℡ 03.26.06.68.59

E-mail : [email protected]

Nouveau !

Visitez notre nouveau forum mis en place par Philippe Tourteau et inscrivez-vous

Ont collaboré à cette revue :

2

n°35

Sommaire Sentinel UFO News Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

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4 Le Grand Shaman Zoulou et Ancien

Credo Mutwa — Dernière partie 6

Une autre vision de la comète Shoemaker-Levy 9…

10 Les révélations du Dr. Michael Wolf

Dernière partie 12

L’Ascension du Bugarach 15

Skull and Bones — l’Ordre de Yale 19

Le dossier UFO et l’implication officielle du FBI Dernière partie

24 Nos anciennes écritures et les écritures

modernes extraterrestres ? 26

Les micropuces Rfid Entre mythe et réalités

30 Hyperdrive : l’armée américaine

voyage en 8 dimensions 31

Z Machine, Âge d’or ou Apocalypse 32

Les astronomes ont voté : Pluton n’est plus une planète

33 Alternative 3… Projet contesté !

Vrai ou faux ? 35

Au début étaient les triangles 40

Les extraterrestres et les souterrains 43

Les 13 familles qui dirigent le monde 45

Articles de presse 47

Hillary Clinton pire que Bush ?

− Claudine Cheneby − Cyril Fiévet − Joshua Franck − Yves Grandmonta-

gne − Marc-Antoine

Lumia − Dr. Bruce Macca-

bee

− Rick Martin − Daniel Maury − Tristan Perrier − Jean-Pierre Petit − Thierry Rhodan − Jean Sider − Chris Stonor − Raymond Terrasse

Sites Internet

SecreteBase - on-nouscachetout - UFO Publication - latimes - Chron - Agoravox, brickbur-ner, etc.

Page 3: Sentinel UFO News n°35

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Le Mot du Président :

ADIEU BERNARD

Merci pour tout le travail que tu as accompli dans notre domaine. Tu es parti en ce jour du 23 octobre 2006 après de terribles souffrances. Ton épouse Ma-rie-Helen m’avait prévenu que tu étais reparti à l’hôpital et que tu n’en revien-drais plus. Dire que j’aurais peut-être pu t’aider si tu pouvais encore prendre l’avion. Je me rappelle ma joie lorsque la ligne « Reims - Bordeaux » fut mise en service. 1h30 de vol et hop tu étais

à Reims pour rencontrer Serge Hulot, mon sauveur. Malheureusement, tu m’avais annoncé que tu ne pouvais plus prendre l’avion à cause de vertiges. Je crois savoir que ta soeur de Paris était venue voir Serge Hulot et qu’il l’avait guérie. Quel dommage que tu sois si loin.

Tu es parti rejoindre notre ami Jimmy Guieu et j’espère que tous les deux, vous vous battrez encore plus pour nous aider, car nous sa-vons que vous êtes derrière nous.

À ma demande, tu m’avais autorisé à reprendre des extraits de ton formidable livre présenté ici. Je le conseille vivement aux person-nes désirant découvrir un livre avec des cas extraordinaires et sortant de l’ordinaire. Je savais que tu avais un autre livre en préparation et j’espère sincèrement qu’il verra le jour. Quant aux extraits de ton li-vre, seule la saisie peut prendre du temps mais nous en parlerons parmi tant d’autres articles que nous avons à présenter. Tu m’avais demandé l’autorisation de re-prendre la couverture de notre revue n° 18 pour ton livre et, bien évidemment, j’en étais très fier et j’ai tout fait pour t’envoyer la meilleure épreuve possible. Là, il nous faut surtout remercier notre adhérent Thierry Van De Leur de Strasbourg qui nous concocte de formidables couvertures avec lesquelles, vu le nombre, nous pourrions sortir un hebdomadaire. Thierry a de formidables idées de montage et nous sommes fiers de vous les faire partager. C’est également pour cela que nous ne présentons pas les articles sur les couvertures, ce serait dommage de détériorer celles-çi, mais c’est aussi cela GROUPE SENTINELLE, une association différente des autres et qui n’a pas peur de vous parler de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial sur notre planète. Observez bien autour de vous et vous constaterez comme il agit sournoisement.

Sachez également que j’ai envoyé une carte de condoléance à son épouse Marie-Helen de la part de toutes et tous les adhérent(e)s de Groupe Sentinelle.

Vous avez certainement vu dans une publicité à la télévision une marque de yaourt « Sveltesse

de Nestlé » annonçant aux téléspectateurs et « acheteurs » que leurs yaourts ne contenaient pas d’ASPARTAME. Étonnant tout de même mais je n’en suis que plus content. Il faudrait maintenant qu’ils annoncent pourquoi cette absence… mais peut-être un jour prochain !

En page 2, vous remarquerez que nous abandonnons notre site Internet qui n’avait d’ailleurs

pas encore redémarré. La principale raison est qu’il en existe déjà beaucoup d’excellents et l’autre raison est qu’il faut un temps fou pour s’en occuper. La revue et les différents dossiers en attente ne permettent pas de faire tout cela. Pour remplacer ce site, notre ami Philippe Tourteau, informati-cien de métier, vient d’ouvrir un forum consacré à différents domaines, sur lequel il a ajouté une rubrique OVNI/ÉSOTÉRISME et où vous pourrez vous inscrire. Le premier ami à s’être inscrit habite d’ailleurs en Belgique et le second en Suisse. Ils se reconnaitront. J’espère que vous serez nom-breux à nous rejoindre sur ce forum.

Pour terminer ce bien triste éditorial, laissez-moi vous souhaiter de joyeuses fêtes de Noël et

de fin d’année. Bonne lecture à toutes et tous.

Patrice ROGER

Impression n° 35 : Groupe Sentinelle Sentinel UFO News Éditorial

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle Credo Mutwa — dernière partie Rick Martin

Le Grand Shaman Zoulou et Ancien

CREDO MUTWA

Sur les Enlèvements par les Extraterrestres et les Reptiliens

Par Rick MARTIN 30/09/99

Traduction : Daniel MAURY Transmis par Marc-Antoine LUMIA

Cinquième et dernière partie

Credo Mutwa : Nous devons examiner cette chose. Y a-t-il une dernière question que vous aimeriez poser ? Martin : Oui. J’aimerais revenir un ins-tant sur la cité de cuivre. Il semblerait que ce Jabulon soit l’équivalent de ce que, en Occident, nous appelons Sa-tan. Diriez-vous ça ? Credo Mutwa : Je pense aussi, oui, monsieur. Il est le chef des Chitauli. Et, comme Satan, il vit dans une habitation souterraine où de grands feux sont tou-jours allumés, pour lui tenir chaud. Parce que, nous a-t-on dit, après la grande guerre qu’ils ont menée avec Dieu, ils sont devenus des êtres à sang froid et ils détestent les températures glaciales, c’est pourquoi ils ont besoin de sang humain, et aussi ils ont besoin d’un feu entretenu en permanence là où ils sont. Martin : Bien, il a été dit, dans la ré-cente vidéocassette que David Icke a sortie, que les reptiliens qui peuvent changer d’apparence, afin de conserver leur façade, leur couverture, leur appa-rence humanoïde, doivent boire du sang humain. Et à ce qu’il parait, il y a quel-que chose au sujet du gène qui code pour la couleur blonde des cheveux. Alors, je ne sais pas ce qui… Credo Mutwa : Oui. M. David Icke et moi-même avons un peu échangé nos informations à ce sujet, monsieur. Il m’a dit que des personnes aux cheveux dorés sont sans cesse sacrifiées par les Chitau-

li, et alors je lui ai raconté, à mon tour, ce que je sais de l’Afrique.

Vous voyez, monsieur, tous les Afri-cains n’ont pas les cheveux noirs. Il y a des Africains qui sont considérés comme très saints, comme très sacrés. Ce sont les Africains qui sont nés avec des che-veux roux naturels. On croit que ces Africains sont très forts spirituelle-ment. Alors, en Afrique, de telles person-nes, les albeamers ou les Africains aux cheveux roux, étaient la plupart des victi-mes des sacrifices, surtout quand ils ve-naient juste d’atteindre l’âge de la matu-rité — qu’ils soient du sexe masculin ou du sexe féminin. Martin : Et maintenant, lorsque vous pouviez voir ses véritables yeux sous les yeux externes du Gris, diriez-vous que c'étaient des êtres reptiliens sous ce cou-vercle ? Credo Mutwa : Oui, monsieur, exacte-ment. Je vais vous dire pourquoi. Il y a un serpent ici en Afrique du Sud qui est appelé un mamba. Martin : Oui, très mortel. Credo Mutwa : C’est l’un des serpents les plus venimeux que vous puissiez trouver. Il a des yeux EXACTEMENT comme ceux d’un Chitauli ou d’un Man-tindane. Et c’est aussi le cas du python, monsieur. Les yeux d’un crocodile ont l’air très ET, et ils n’ont pas l’air aussi envoûtants et aussi perçants que ceux d’un mamba ou d’un python. Si vous

pouvez imaginer, monsieur, les yeux d’un python, grossis environ dix fois, alors vous avez exactement ce à quoi ressemblent les yeux d’un Chitauli. Martin : Bien, on a dit, et je crois que c’est vrai, qu’il y a une — faute d’une meilleure façon de le dire — il y a une guerre entre la Lumière et les Ténèbres, entre le Bien et le Mal, sur cette planète. Credo Mutwa : Oui. Oui, mon-sieur. Oui, monsieur. Oui. Martin : Et il y a certainement un Dieu dans Son Univers, un Dieu de Lumière et de Justice. Credo Mutwa : Oui, monsieur. Martin : Comment dans votre culture, comment envisagez-vous l’intervention de Dieu à travers Ses Hôtes, à travers Ses Représentants ? En toutes choses il doit y avoir un équilibre, et cela inclut ce qui se passe sur la planète terre — ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Comment voyez-vous — pour de nombreux lecteurs, ils peuvent lire tout ça, et ça semble être très effrayant et presque sans espoir — et pourtant, il y a certainement de l’espoir. Aussi, aimerais-je finir cette interview sur un message d’espoir. Credo Mutwa : Oui. Volontiers, mon-sieur, il Y A de l’espoir ! Regardez, tout d’abord, il Y A un Dieu au-dessus de nous. Et ce Dieu est plus réel que la plu-

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

part d’entre nous ne le croient. Dieu n’est pas une création de l’imagination de quelqu’un. Dieu n’est pas quelque chose d’imaginé par des anciens hommes et des anciennes femmes à l’époque préhistori-que. Dieu existe, monsieur. Mais debout entre nous et Dieu se tiennent des créatu-res qui prétendent être des dieux. Et ces créatures, nous devons nous en débarras-ser afin de nous rapprocher de Dieu.

Monsieur, j’ai vécu une vie longue et très étrange, et je peux vous dire qu’il y a un Dieu, et qu’il intervient. Toutefois, nous percevons l’intervention de Dieu comme étant lente, mais attendez : Qui aurait pensé qu’il y a moins de trente ans, pas une seule personne ne se sou-ciait de l’environnement. Qui a mis ce dévouement soudain en nous tous ?

Aujourd’hui, monsieur, des gens par-tout dans le monde se lèvent pour défen-dre les droits des femmes et les droits des enfants. Qui a mis ces idées dans leur esprit ? Pas les Chitauli, pas une quel-conque entité diabolique, c’est Dieu qui agit dans l’ombre et qui nous rend forts et capables de résister à ces vilaines créa-tures.

Vous voyez, monsieur, Dieu semble agir lentement à nos yeux, parce que Dieu vit dans une sphère temporelle complètement différente de la nô-tre. Dieu est là. Dieu est en train d’a-gir. Et c’est Dieu, monsieur, qui, pour la première fois dans notre existence, nous fait prendre conscience de ces choses, nous fait prendre conscience que dans ce monde nous ne sommes pas seuls, et que nous devons être par notre âme seuls responsables de nos actes, et que nous devons neutraliser ces êtres extra-terrestres qui nous ont fait tourner en rond pendant des années.

Les êtres humains n’ont jamais connu aucun véritable progrès, monsieur, parce qu’il y a eu des forces qui nous ont em-pêché d’atteindre notre place légitime dans l’univers, et je fais allusion aux Chitauli, je fais allusion aux Mantin-dane, je fais allusion aux Midzimu. Nous devons arrêter de considérer ces créatu-res comme des créatures surhumai-nes. ‘Ce ne sont que des parasites qui ont plus besoin de nous que nous n’avons besoin d’eux. Et seul un imbécile refuse-ra toujours d’admettre le fait que nous ne soyons pas la seule espèce d’êtres intelli-gents que cette planète ait engendrée.

Dans toute l’Afrique il y a des preu-ves accablantes qu’autrefois il y a eu des êtres humains gigantesques qui parcou-

raient cette planète, du temps des dino-saures. Il y a des empreintes de pas dans le granit, chacune d’un mètre quatre-vingt de long sur un mètre de large, des empreintes de pied d’êtres humains adul-tes, monsieur, qui remontent à des mil-liers d’années, des millions d’années. Où sont allés ces géants ? Qui sait ; les dino-saures peuvent avoir engendré une race intelligente, une race qui nous fait croire qu’elle vient des étoiles, alors qu’en fait elle fait partie de cette planète sur la-quelle nous vivons.

Il y a de l’espoir, et cet espoir est très lumineux. Un enfant-Christ est en train de naître en chacun de nous, mais comme toutes les morts, la mort de l’en-fant-Lumière (la mort du vieil homme préalablement à l’avènement du Christ en nous) va être accompagnée d’un grand danger, étant donné que l’adver-saire va être poussé au déses-poir. L’ennemi fera des erreurs et nous le vaincrons au nom de Dieu. C’est ce que je crois, monsieur, et c’est ce que je vais persister à croire jusqu’à mon dernier souffle.

Martin : Et c’est un endroit idéal pour conclure — sur cette pensée, sur cette note.

À présent, permettez-moi seulement de dire, juste pour vous, que depuis 1974, j’ai vu beaucoup, beaucoup de vaisseaux spatiaux, en gros plan (cependant pas de l’intérieur ni suite à un enlèvement). J’ai fait l’expérience — dans les montagnes de l’Oregon du sud — je suis tombé sur des empreintes de pas de Bigfoot…

Credo Mutwa : Ha, ha ! Martin : ...près d’une rivière où j’étais en train de camper. J’ai entendu le Big-foot la nuit dans les montagnes. J’ai en-tendu leurs cris… Credo Mutwa : Oui-oui ! Vous voyez ? Martin : ...d’une montagne à l’autre. Ce sont des choses dont j’ai fait l’expé-rience. Je SAIS que ces choses sont réel-les ! Credo Mutwa : Oui, monsieur. Alors, je parle à un compagnon de guerre, et je dis, « Nous vaincrons », comme le chan-taient les Marines américains pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Martin : Oui, et pendant la Guerre du Vietnam. Credo Mutwa : Nous vaincrons, nous vaincrons, mais les sceptiques doivent arrêter de rire, et les imbéciles doivent arrêter d’appeler ces extra-terrestres, dieu. Il n’y a qu’un seul Dieu, et il ou elle ou ce principe est le seul qui nous a créés, et non pas un quelconque impos-teur qui est venu d’ailleurs pour se ca-cher derrière nous et pour boire le sang de nos enfants. Qu’il en soit ainsi, mon-sieur. Martin : Oui, c’est absolument exact. Credo, je vous prie de savoir que je vous suis profondément reconnaissant de ce que vous avez fait et du courage de seulement parler franchement. Ce n’est plus le moment de garder ces choses pour soi, et c’est le moment de seulement dire La Vérité. Et pour ceux qui n’en croient ou n’en envisagent même pas la possibilité, eh bien, tant pis pour eux. Credo Mutwa : Exactement, et aussi mettre les gens en présence du fait qu’il n’y a aucune raison de craindre quoi que ce soit. Si nous partons d’un point de vue consistant à rendre accessible l’informa-tion qui devrait être accessible à toute personne sur cette planète resplendis-sante, qu’est-ce qui leur prend d’essayer de vous menacer pour que vous vous teniez tranquille ? Si c’est si ridicule, qu’ils en restent là. Qu’ils arrêtent d’as-sassiner, de ridiculiser et de détruire les gens en inspirant la crainte. C’est de ce point de vue que je me place, et je suis sûr que c’est aussi le cas de David, et évidemment de vous aussi. Je n’ai plus du tout peur.

Il est temps pour nous d’oser prendre la parole et d’acquérir une conscience — une conscience commune et globale — et de placer cette chose en priori-té. Merci, vraiment, je vous en suis vrai-ment reconnaissant.

Martin : Absolument. Merci. [Note de l’éditeur : Rick Martin peut être joint directement à l’adresse électronique [email protected] ou en écrivant à : Rick Martin c/o The SPECTRUM News-paper, 9101 West Sahara Ave., PMB 158, Las Vegas, NV 89117.]

Rick Martin Credo Mutwa — dernière partie

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

L ’U.S. Army épouse Jupiter , le dieu des dieux. La NASA assure le convoi nuptial. Or-gasme de choc !

En juillet 1994, la comète Shoema-

ker-Levy 9 s’est écrasée sur la planète Jupiter. C’est en mars 1993 que des as-tronomes avaient découvert cette étrange fée céleste, composée d’une vingtaine de fragments se suivant en file indienne, qui voyageait près de la plus grosse planète de notre système solaire. Durant plus de quinze mois le monde scientifique avait observé ces noyaux cométaires, calculé avec précision leurs colli-sions avec la planète gazeuse et tenté d’imaginer les effets et conséquences de cette rencontre.

Dès les premiers impacts, les ob-

servateurs ont été grandement surpris et ébahis par l’ampleur du « spectacle ». Ces « choses » en ex-plosant dans la haute atmosphère de Jupiter, du 16 au 22 juillet 1994, ont produit différents effets visibles ou décelables par l’instrumentation scientifique, notamment des boules de feu géantes, des panaches s’éle-vant à 3.300 kilomètres d’altitude, des retombées de débris créant des taches sombres gigantesques dont les dimensions atteignaient parfois QUA-TRE FOIS CELLES DE NOTRE TERRE, sans oublier les effets dans l’in-frarouge, l’ultraviolet, les rayons X et d’autres observations moins spectaculai-res mais non moins importantes.

Les scientifiques qui ont épluché tou-tes ces informations durant des mois et des mois n’ont pas encore trouvé d’expli-cations ou de modèles pouvant inclure- toutes les données.

Il est vrai que c’est la première fois que l’on assiste à de telles collisions dans notre système solaire et, comme elles étaient prévues au jour près, un très grand nombre d’instruments d’observa-tion et de mesures avaient été braqués vers Jupiter. La revue britannique « Nature » a rapporté les propos d’Eu-gène Shoemaker, l’un des découvreurs de la comète : « La fréquence d’une colli-sion entre Jupiter et une si grosse comète

est en moyenne de 2000 ans. Pour que cela arrive, au moment où le télescope spatial Hubble était réparé, où la sonde Galiléo était bien située en vue directe, où les détecteurs infrarouges étaient effi-caces et où le gouvernement des États-Unis s’intéressait à la recherche fonda-mentale, c’était un vrai miracle.»1

Vu sous cet aspect, cela ressemble vraiment à un miracle. Mais les miracles sont rares et ils ont souvent une explica-tion. Acceptons de regarder celui-ci sous

un autre aspect de sa réalité : ces événe-ments cosmiques que nous avons pu contempler en direct n’étaient rien d’au-tre que les essais à grande échelle des dernières bombes surpuissantes de l’U.S Army2, lancées par la NASA et habile-ment camouflées en collision cométaire. Idée farfelue ? Pas si sûr ! Proposons-nous d’explorer celle-ci plus avant.

Une avancée de la physique

et de la technologie dans un certain contexte mondial Pour comprendre tout cela, il nous

faudra remonter un peu dans le temps à l’époque où la guerre froide bat son

plein, à l’époque où, dans les états-majors des « deux grands », des idées insensées mûrissent, des idées d’armes terrifiantes qui permettraient de prendre un avantage déterminant sur l’autre. Bien peu de temps auparavant, en définitive, nos physiciens venaient de concevoir et mettre au point la bombe à fission nu-cléaire dans le contexte dramatique de la deuxième guerre mondiale. En août 1945, à Hiroshima puis à Nagasaki, l’hu-manité a franchi un pas décisif dans

l’utilisation d’une puissance de des-truction colossale. L’essai a été rapi-dement transformé par le développe-ment de cette arme et la mise en ser-vice, tant aux États-Unis qu’en Union Soviétique, en Grande Bretagne, en France puis en Chine, de sa grande sœur à fusion nucléaire : la bombe H, dite thermonucléaire. Dans les années soixante-dix, tandis que notre monde n’avait pas encore compris ni même découvert le phénomène climatique « d’hiver nucléaire » qui décimerait inexorablement les rescapés d’un conflit atomique et mettrait ainsi un terme final à notre civilisation terres-tre, des laboratoires militaires prépa-raient l’étape suivante dans le plus grand secret. Aux États-Unis, le programme mili-

taire classifié, DSP 32 (Defense Support Program 32), en explorant une voie tota-lement différente de celle des accéléra-teurs de particules, parvenait à obtenir une forme d’énergie plus ultime : l’anti-matière, dix mille fois plus puissante que la fission nucléaire. Des laboratoires dans l’ouest américain avaient orienté leurs recherches vers les très hautes den-sités dans le cadre de la maîtrise de la fusion de l’hydrogène. Là-bas, la puis-sance des lasers s’exprimait en térawatts (mille milliards de watts) et les pressions en millions d’atmosphères. Le pro-gramme DSP 32 travaillait parallèlement et secrètement à un tout autre but. Il fal-lait pousser un certain nombre de para-mètres physiques beaucoup plus loin, notamment et entre autres, dépasser la pression fantastique de cent millions d’atmosphères, pour atteindre un seuil où la matière est en rupture d’équilibre, un seuil où certaines de ses caractéristiques

UNE AUTRE VISION DE LA COMÈTE SHOEMAKER-LEVY 9... ... OU COMMENT FAIRE DES EXPÉRIENCES ATOMIQUES

À L'INSU DE TOUS

1 - « Nature » du 1er juin 1995. 2 - Bien qu’aux États-Unis le terme U.S Army soit réservé à l’armée de terre, nous l’emploierons ici pour désigner la ou les structures de la défense américaine qui sont à l’origine des événements décrits dans cette étude.

Autre vision de Shoemaker-Levy 9 Site Internet « Onnouscachetout »

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

s’inversent, c’est l’antimatière. Pour ob-tenir cette pression fatidique, une techno-logie très sophistiquée est nécessaire ; les lasers gigantesques de l’époque, fussent-ils à rayons X, n’étaient pas encore assez puissants. C’est en reprenant certaines idées d’Andréï Sakharov, le Nobel sovié-tique, que les premiers succès sont arri-vés. En effet dans les années cinquante,

Sakharov, le père de la bombe H soviéti-que, avant de retourner courageusement sa veste pour devenir un militant de la paix, avait mis au point un système de canon électromagnétique qui, en compri-mant un solénoïde à l’aide d'un explosif, permettait d’obtenir une pres-sion magnétique de l’ordre de vingt-cinq millions d’atmosphères qui transformait une mini-charge d’aluminium en plasma et l’expulsait à des vitesses vertigineuses de l’ordre de centaines de kilomètres par seconde. Ce système a donc été amélio-ré ; le solénoïde classique a été remplacé par un solénoïde supraconducteur, et l’explosif conventionnel par une petite charge atomique, dite de laboratoire, permettant ainsi d’atteindre le seuil de pression nécessaire. La cible, aussitôt transformée en plasma, est expulsée dans une « cheminée » où les particules d’an-timatière ainsi obtenues sont instantané-ment triées électroma-gnétiquement et récupé-r é e s d a n s u n e « bouteille magnéti-que ». LIVERMORE, S A N D I A , L O S -ALAMOS, NEVADA, autant de lieux qui ont participé, chacun à sa manière, à cette épopée, parfois sous le couvert du programme expéri-mental : Centurion-Halite, programme offi-ciel de recherche sur la maîtrise de la fusion de l’hydrogène, mais qui servait également de couverture lors des expériences utilisant les explosifs atomi-ques.

À l’Est on menait très activement les

mêmes recherches, et si plus récemment

la technologie souffrait d’un certain défi-cit, les idées, elles, ont été souvent plus avancées. Durant la décennie quatre- vingt, un petit homme au crâne dégarni arrive au sommet à Moscou. Conscient de la pente ultime du cheminement mon-dial, il désamorce rapidement un grand nombre de tensions internationales, re-lance efficacement les négociations sur le

désarmement et fait le ménage chez lui en enrayant un certain nombre de recherches militaires de pointes. À l’Ouest, bien dissimulés der-rière une façade reluisante de défenseurs de la paix, les « Docteurs Folamour » sévissent toujours. La course aux arme-ments ayant pris du plomb dans l’aile, ils s’en passeront tout sim-

plement pour échafauder la plus diaboli-que des idées : expérimenter des bombes d’antimatière à grande échelle, des bom-bes qui soient des milliers de fois plus puissantes que tout ce qui avait été réali-sé jusqu’ici. L’espace terrestre étant trop étroit géographiquement et stratégique-ment pour ce genre de projet, nos « docteurs » se tournent donc vers l’es-pace et... la planète Jupiter !

Une réalisation bien camouflée

Il est bien évident qu’un tel projet

ne pouvait pas se faire en un jour ni au grand jour. Car, d’une part, il était prévu de longue date de garder cette technologie secrète, et d’autre part, selon le droit de l’espace (traité de l’ONU de 1967, notamment l’article 4), les expériences militaires y sont pro-

hibées ainsi que l’envoi d’armes de destructions massives. Mais quand on a pour ambitions d’être les maîtres du monde, la loi, fût-elle internatio-nale, n’est qu’un épou-vantail derrière lequel on peut se dissimuler judi-cieusement. La réalisa-tion de ce projet a donc nécessité de réunir un certain nombre d’élé-ments matériels et d’a-dopter une ingénieuse et rigoureuse stratégie de dissimulations tant par

des apports technologiques que par des préparations et manipulations d’opinions. Regardons quelques uns de ces moyens.

La Mission AMPTE Le 16 août 1984, la 175ème fusée Del-

ta, porteuse de la mission AMPTE (Active Magnetospheric Particle Tracer Explorer), décollait de Cap Canaveral. Ce programme comprenait 3 petits satel-lites et consistait, sur une durée d’une année, à larguer plusieurs « nuages » de baryum et de lithium en différents points de l ’espace in tra e t extra-magnétosphérique, puis à observer l’évo-lution de ces éléments traceurs, afin d’é-tudier les interactions des vents solaires avec notre magnétosphère. La réalisation matérielle de cette expérience a été le fruit de la collaboration de plusieurs la-boratoires situés dans différents pays (U.S.A., République Fédérale d’Allema-gne, Royaume-Uni). Si les buts de plu-sieurs des protagonistes étaient d’amélio-rer la connaissance scientifique de l’en-vironnement terrestre, les buts non avoués de certains autres étaient d’expé-rimenter en conditions réelles, la création d’un phénomène cométaire afin d’étudier son évolution dans le temps ainsi que dans des conditions spatiales diverses. En effet, sous l’action des rayonnements solaires, le baryum et le lithium sont

rapidement ionisés et ont alors la particu-larité de devenir fluorescents, créant ain-si une comète artificielle. Le programme AMPTE a été l’une des phases de prépa-ration du projet « JUPITER », une des étapes de la mise au point du système de camouflage par un nuage de particules d’un alliage de baryum-lithium.

Les MODULES-BOMBES

« Je suis tombée sur cet objet à l’as-

pect très étrange. J’ai pensé que ce de-vait être une comète, mais c’était la co-mète la plus étrange que j’ai jamais vue. »3 Ainsi s'exprimait Carolyn Shoe-maker en racontant la nuit du 24 mars 1993, à l’observatoire du Mont Palomar (Californie), où elle fut la première à observer ce qui devait s’appeler par la suite : « la comète périodique Shoema-ker-Levy 9 » ou, dit plus simplement,

La collision de Shoemaker Levy avec Jupiter

3 - « New Scientist » du 9 juillet 1994.

Autre vision de Shoemaker-Levy 9 Site Internet « Onnouscachetout »

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

« SL9 ». Carolyn Shoemaker était sans doute loin de s’imaginer qu’elle venait de découvrir les fameux nuages lumi-neux de baryum-lithium, lesquels étaient générés par des modules-bombes de di-mensions métriques situés en leurs cen-tres. L’impor-tance des nuages avait été adaptée à la puissance présumée des bombes corres-pondantes. Dans certains cas les modules étaient groupés par deux, et ont pu soit s’écarter progressivement l’un de l’autre (« fragments » P et Q), soit rester très proches (« fragments » G et K), ces derniers provoquant ainsi des explosions espacées de quelques minutes dont les phases se sont intercalées et che-vauchées, avec éventuellement des puis-sances et des épicentres quelque peu différents.

Positionnement

des sites d’impacts Les modules de « SL9 » ont été pla-

cés sur une orbite jovienne très excentri-que d’une période de 2 ans. La forme de cette orbite est donc un ovale étiré à l’ex-trême ayant la forme d’un fin pinceau. Cette orbite a comme particularités : à l’une de ses extrémités (périastre), elle passe à une distance du centre de masse de Jupiter inférieure au rayon de la pla-nète elle-même d’où une collision iné-luctable, tandis qu’à l’autre extrémité (apoastre), elle frôle la limite de la zone d’attraction gravitationnelle de Jupiter. Si cette « SL9 » avait eu une vitesse très légèrement supérieure, elle aurait quitté l’influence de Jupiter et aurait continué son chemin sur une or-bite solaire. En obser-vant cette orbite on s’a-perçoit rapidement qu’il n’y a pas de meilleur choix possible si l’on veut qu’un objet passe du temps, éloigné de Jupiter, pour avoir le maximum de chances de se faire repérer, puis revienne percuter la planète. Quand au choix du plan orbital et de l’argument du périastre, autres critères qui conditionnent les lieux d’impacts, ils ont été calculés pour que les collisions aient lieu sur la face arrière de la planète, invisible depuis la Terre.

Précaution indispensable car ces explo-sions s’apparentent totalement aux ex-plosions nucléaires, avec de très puissan-tes émissions de rayonnements électro-magnétiques, principalement des rayons gamma, qui auraient fatalement trahi leur

nature douteuse. Toute-fois, alors qu’aucun observateur terrestre ne pouvait voir directe-ment ces événements, filant dans l’espace obscur et glacial à plus de 11 kilomètres par seconde un œil obser-vait.

La Mission GALILEO

C’est en 1973, au lendemain des glo-

rieuses missions Apollo, que le projet Galiléo est né, bien qu’il n’ait pris son véritable souffle qu’en 1977. Ce pro-gramme d’exploration avancée de Jupiter et de son environnement a connu un cer-tain nombre de difficultés, dont plusieurs reports de lancements. Le départ a finale-ment eu lieu le 8 octobre 1989 et, faute de lanceur suffisamment puissant (du fait des nou-velles normes de sécurité à bord de la navette spa-tiale), la sonde Galiléo a pris le chemin des écoliers dans le système solaire afin de bénéficier de plusieurs réactions gravita-tionnelles (Vénus et 2 fois la Terre) pour pouvoir atteindre enfin Jupiter en décem-bre 1995, au terme d’un voyage d’une

durée record de plus de six années. Curieuse-ment, alors que les im-pacts de « SL9 » étaient sur la face cachée de Jupiter, un peu au-delà du limbe de la planète, Galiléo se trouvait à ce moment-là en vue di-recte de l’événement. Simple hasard ou judi-cieuse programmation afin que Galiléo soit le seul témoin oculaire, tout en ayant l’air d’être

là par une simple et heureuse coïnci-dence ? Cette sonde qui est truffée de caméras et de multiples détecteurs hyper-sophistiqués, a connu depuis son départ

plusieurs problèmes techniques : grande antenne, bande enregistreuse, parachute du module, etc. Il convient sans doute, dans tout cela, de discerner les pannes réelles des pannes stratégiques qui of-frent un excellent prétexte pour occulter une partie de l’information :

− retard d’une cinquantaine de se-

condes de l’ouverture du parachute du module atmosphérique qui nous masque la composition des premiers kilomètres de l’atmosphère jovienne, justement à l’altitude où les explo-sions semblent avoir eu lieu.

− panne momentanée des bandes enre-gistreuses qui nous prive des images rapprochées de Io et de Europe.

− erreur de programmation qui nous voile certaines données sur les im-pacts de « SL9 ». Quant au reste de cette mission jo-

vienne, la possibilité que l’information collectée soit très sérieusement filtrée et écrémée avant d’être divulguée, est plus qu’une simple hypothèse. C’est ainsi que beaucoup de scientifiques furent étonnés

que Galiléo n’ait enregistré que des effets re la t ivement modestes des impacts de « SL9 », là où les astronomes basés sur terre, bien que cinq fois plus éloi-gnés et beau-coup plus mal

placés, ont observé des effets grandioses allant parfois jusqu’à saturer les détec-teurs.

Une clef stratégique :

la désinformation En plus des éléments déjà cités, un

certain nombre de communications écri-tes et d’interventions verbales ont eu pour but de manipuler les opinions en préparant les esprits et en fournissant des voies de recherches et de réflexions pré-orientées. Ceci permet finalement que l’imagination du monde scientifique et du public ne s’aventure point trop sur des voies interdites. En voici quelques unes parmi d’autres :

− Il est paru dans la presse, un certain

nombre d’articles écrits par des per-sonnes liées à des grands laboratoires directement impliqués dans la réalisa-

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tion de ces événements. Bien sûr ces articles sur « SL9 » développaient des hypothèses, des études et des théories sur la fragmentation, l’évolution et les phénomènes liés aux impacts de cette « comète périodique captée par Jupiter ».

− Parmi les personnes directement im-pliquées dans ce programme, il en est certaines également qui ont participé activement, comme des vers dans un fruit, aux nombreux meetings scienti-fiques pré et post-impacts.

− C’est en 1993, dans le contexte des accords de limitation et de réduction des armes atomiques que le Départe-ment américain à l’énergie a été char-gé d’étudier l’intendance du secteur de l’armement nucléaire aux U.S.A (The Stockpile Ste-wardship and Mana-gement Program). Le rapport de cette commission est l’un des moyens par le-quel l’U.S. Army montre à tous, avec succès, son souci de sécurité, son esprit de démocratie, son respect des ac-cords internationaux et surtout se construit une renommée de « transparence ». Mais comme de nombreuses personnes ou groupes

imbus de pouvoir, elle manie excel-lemment le men-songe pour cacher la réalité. Ainsi dans ce fameux rapport nous pou-vons lire à longueur de pages que les États-Unis ne pro-cèdent actuellement à aucun essai, au-cun développement et aucune produc-tion d’armes nouvelles !!!

Le PROJET SPACEGUARD Ce projet n’est pas, à proprement

parler, un élément de la réalisation de « SL9 ». Son but est plus spécifiquement

d’ouvrir, pour l’a-venir, certaines possibilités ou commodités. Ce programme qui a été soumis au Congrès Américain en 1992, se veut être le gardien de notre planète face

à un risque de collision cosmique, asté-roïdes et comètes qui s’approcheraient trop près de l’orbite de la Terre. Ce projet consiste en la construction, la connexion et la maintenance de six télescopes ter-

restres. Certains défenseurs de ce pro-g r a m m e tentent d’ou-vrir la voie à l’utilisation d’armes nu-cléaires dans l ’ e s p a c e pour essayer de détruire ou de dévier ces hypothé-tiques boli-

des. Heureusement la voix de certains scientifiques s’est élevée pour relativiser les dangers, c’est-à-dire la probabilité mineure d’une collision avec la terre, face au risque majeur de la manipulation et du déploiement de telles armes (qu’elles soient connues ou secrètes). Il est à noter la façon particulière dont la présentation de ce projet s’est inscrite habilement dans un scénario plus grand. Le programme n’ayant pas été retenu dans un premier temps, les « collisions de SL9 » sont arrivées à point pour se-mer inquiétudes et peurs permettant ainsi au projet Spaceguard d’être reconsidéré, cette fois-ci, beaucoup plus favorable-ment.

Sources : ©1996-2002 GLORIA OLIVÆ — Site Internet « Onnouscachetout.com ».

À connaitre… À connaitre… À connaitre… À connaitre…

IRAK, LES TROUPES PASSENT AU DISPOSITIF LASER

Un dispositif laser est désormais utilisé en Irak pour aveugler temporairement les conducteurs de véhicules qui pourraient avoir l’envie de for-cer un barrage de contrôle Américain. Pourtant un proto-cole de la conven-tion de Genève inter-dit l’utilisation des lasers qui causent la cécité, et les groupes de droits de l’homme ont protes-té contre les tentati-ves précédentes des États-Unis d’utiliser de telles armes. Il y a une décennie, l’utilisation expérimentale de ces disposi-tifs laser par des soldats en Somalie a été abandonnée à la der-nière minute pour « des raisons humanitaires ». Un analyste basé à Washington signale que le Pentagone ne devrait pas sous-estimer les complications avec les Irakiens qui pourraient en découler : « Si ce laser à haute intensité endom-mage les rétines, nous sommes devant une nouvelle escalade dans ce conflit » a-t-il déclaré. Mais pour le Pentagone, les risques peuvent être réduits au minimum par une formation

appropriée des soldats. Le dispositif laser équipe des milliers de fusils M-4 et peuvent projeter un faisceau intense dans les yeux des conducteurs. Un système plus puissant peut être monté sur des mitrailleuses lourdes et le Colonel Richard Smith, direc-teur adjoint de la « direction d’armes non mortelles » au Pentagone, a indiqué mercredi que le dé-ploiement du laser, en cours de dévelop-pement pendant une décennie, a marqué une étape importante avec cette première utilisation sur les fusils M-4. Cette année 250 Irakiens innocents sont morts sur des points de contrôle Américains… Source : Site Internet UFO Publication et Latimes.

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LES RÉVÉLATIONS DU DR. MICHAEL WOLF

Par Chris STONOR

Troisième et dernière partie

Une planète est une entité vivante possédant son propre niveau de cons-cience. Les E.T. communient avec leurs planètes afin de créer des rap-ports harmonieux. Selon le Dr Wolf, « Certaines planètes poussent des édifices en silicone pure à partir de l’amour inconditionnel envers ses habitants. J’ai pu voir et tenir cette silicone. J’ai pu également observer des Zétas communiquer avec la Terre. »

Les E.T. sont stupéfiés du mauvais traitement que nous infligeons à notre Terre. Ils n’arrivent pas à comprendre pourquoi nous voulons la détruire ni pourquoi les multinationales peuvent impunément la violer par avarice et avidité. « L’une des missions de l’é-quipe Alphacom est de déterminer si nous pouvons profiter de la technolo-gie extraterrestre pour redonner à la Terre son parfait équilibre original. »

Parmi les technologies acquises des E.T., mentionnons les LED, la supra-conductivité, les puces informatiques (microprocesseurs), les fibres opti-ques, les lasers, la recombinaison génétique (gene splicing), le clonage, l’équipement de vision nocturne, la technologie antidétection Stealth, les dispositifs à émission directionnelle de particules, les composites aéro-nautiques à matrice céramique et les vols aéronautiques à contrôle de la gravité.

Les E.T. reconnaissent à la race hu-maine de nombreuses qualités. D’ex-pliquer le Dr Wolf : « Ils affection-nent tout particulièrement notre grande imagination, notre créativité, et notre tendance naturelle à faire de profonds rêves. Mais ils aimeraient bien accélérer notre évolution spiri-tuelle. »

Plusieurs extraterrestres qui visitent la Terre sont en principe des touristes. Alors que nous prenons des vacances à l’étranger, d’autres êtres, plus avan-

cés, visitent d’autres mondes. « Par comparaison à la plupart des autres planètes, la Terre est presque unique avec la grande diversité de sa nature, sa culture et ses habitants. Parmi les planètes dites primitives, la Terre est un centre d’attraction populaire. »

Certains E.T. préfèrent habiter sous la Terre, car ils peuvent maîtriser leur environnement en fonction de leurs besoins. Ils utilisent également des boucliers électromagnétiques lorsque les molécules sont trop denses et que plus rien n’y passe. Selon le Dr Wolf : « Nous n’avons toujours pas exploré la profondeur des océans ni les croûtes internes de la Terre. »

L’équipe Alphacom a découvert que de nombreux extraterrestres ressem-blant à des humains sont présente-ment parmi nous. « Ils peuvent respi-rer notre air, et dans la rue on ne saurait les différencier. » Environ un millier de Nordiques habiteraient l’Espagne, pour ne nommer que ce pays.

Les Nordiques présentent des visages parfaits et sensuels, sans rides ou peu, les yeux bleus, les cheveux blonds, le corps sain, sans odeur et mesurant aux environs de 2 m. Ils communi-quent par télépathie, mais lorsqu’en visite sur Terre, ils se servent d’un

dispositif vocal, une petite boîte bio-logique implantée dans leur système.

Les organes internes de leur corps sont semblables aux nôtres, bien que le système digestif soit différent. Se nourrir comme nous, tous les jours, n’est pas nécessaire. Et puisque leur génétique est différente également, leurs cellules ne meurent pas.

Ils possèdent une base sur une île de la Polynésie française et se promè-nent librement parmi les insulaires.

Les Nordiques ont les facultés psy-chiques très développées. Selon le Dr Wolf : « Ils peuvent ouvrir un portail dimensionnel d’une maigre pensée et peuvent disparaître physiquement. J’en fus témoin. Ils habitent une di-mension supérieure à la nôtre. Les pensées sont des formes d’énergie, et les Nordiques portent un bidule, dans leur poche ou ailleurs sur leur per-sonne, qui amplifie cette énergie. Ils cultivent les cristaux aux mêmes fins. »

Un certain après-midi, en 1990, un vaisseau E.T. escorté de chasseurs F-16 a atterri sur Puerto Rico dans un quartier touristique achalandé. Les occupants sont alors sortis de l’engin et se sont baladés parmi la popula-tion. De commenter le Dr Wolf : « C’était un exercice pour recueillir les réactions du public. » Le maire de l’île écrivit une lettre au président Bush déclarant : « Au début, nous trouvions ces sightings très amusants, mais par la suite les gens sont deve-nus inquiets. Que dois-je donc leur dire ? » Le Président avait tendu cette communication au Dr Wolf. « Elle était estampillée partout du code T52-EXEMPT(E), ce qui veut dire que cette lettre ne doit jamais être déclassifiée. »

Alors qu’il poursuivait son doctorat en physique au MIT (Massachussetts Institute of Technology), il a décou-vert une nouvelle théorie de la dualité

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des ondes de particules qui plus tard mena à la création d’un faisceau de particules neutres. Le Dr Wolf : « J’espérais et envisageais que cette technologie puisse un jour servir à vaincre le cancer. Mais non, on s’en est servi comme arme dans le cadre du Projet Guerre des Étoiles. »

La base souterraine Area 51 est une vaste cité de la taille de l’état du Rhode Island. Elle continue de gros-

sir et a maintenant une sœur, S4, à quelque 25 km, et une autre appelée Indian Springs. Des centaines de per-sonnes des secteurs civils et militai-res y travaillent. Elles sont affectées à l’un ou l’autre des 8 programmes dits

noirs qui fonctionnent sur un budget de 2 billions de dollars annuellement. Un important système de sécurité surveille les lieux et la loi martiale est imposée à l’intérieur. Certains scientifiques vivent sur les lieux par tranches de six mois. Leurs chambres à coucher sont modestes tandis que les E.T. jouissent d’appartements de luxe. On y trouve également des cen-tres commerciaux, des boutiques mi-

litaires ainsi que des centres récréatifs avec piscines, gymnases et courts de basket. On y mange bien.

Des scientifiques du gouvernement satellite ont créé avec succès la fusion à froid et l’énergie du point zéro. « Il nous faudra une transition en douceur pour assi-miler cette nouvelle science, sinon l’éco-nomie mondiale en sera dévastée. »

Notes du traducteur : Deep Throat est le nom accordé à la pré-sumée source d’information clandestine de Bob Woodward, journaliste du Was-

hington Post, dans cette affaire du Water-gate des années 70 qui mena à la démis-sion du Président Nixon. Certains préten-dent qu’il s’agirait de Kissinger lui-même, mais les spéculations vont dans toutes les directions. Le Docteur Wolf aura livré sa dernière entrevue le 8 mars 2000 à Paola Harris. Voici le lien à son site si la lecture vous intéresse. Le texte, par contre, est en anglais. http://www.ufodisclosure.com/drwolf.html Le site du docteur Richard Boylan, y compris des lectures supplémentaires au sujet du Dr Wolf. — http://www.drboylan.com/ Commentaire subjectif sur l’autopsie : Je n’arrive toujours pas à croire cette his-toire de documentaire. La manutention de la caméra ressemble plus à une tech-nique artistique des années 80-90. En-fin… Sources : La version anglaise originale de cet article a été lue et approuvée par le Dr Wolf avant sa mort. Remerciements à Richard J. Boylan, Ja-mes Courant, Paola Harris et British Telecom. © Copyright : Chris Stonor, octobre 2000. http://www3.mistral.co.uk/futurepositive/ Traduction : Tristan Perrier, juillet 2002

À savoir… À savoir… À savoir… À savoir… À savoir… À

LA GRANDE-BRETAGNE SOUS SURVEILLANCE

L a Grande-Bretagne est en train de devenir une « société sous surveillance ». 4,2 millions de caméras (une pour 14

personnes), analyses des habitudes d’achat et de consomma-tion, enregistrement des mouvements des personnes, de leurs téléphones portables et suivi de l’Internet sont omniprésents dans la vie des Britanniques. Utile dans la lutte contre le terrorisme, cette tendance risque néanmoins de créer un « climat de suspicion » au sein de la société, a souli-gné un observateur. Source : France Soir du 03/11/2006.

STATUETTES ÉGYPTIENNES EN PAYS CATHARE !

N ’avez-vous jamais entendu parler des statuettes égyptiennes retrouvées dans le sud de la France ?

Sûrement pas… Les archéologues ne nous ont jamais parlé de ces dé-couvertes faites il y a plus de 60 ans. Et pourtant, lors de fouilles, les chercheurs retrouvèrent tout un site fu-néraire. À leur grande surprise, ils trouvèrent des objets sacrés destinés à un ancien culte des morts, et une statue de la déesse Sekhmet indiquant la présence possible d’un culte solaire. Nous savons maintenant que les Celtes

ont été fortement influencés par la civilisation égyptienne. Ce qui laisse à croire que les égyptiens auraient transmis à l’eu-rope certains de leurs cultes… Intéressant, mais rares sont les archéologues qui s’intéressent au caractère universel des cultes et au lien magique qui les unit. Source : L’initiation n° 12 - 09-10/2006.

DES GRAINES NATURELLES INTERDITES !

A lors que la France a signé le Traité de Rome en faveur de la protection de la biodiversité alimen-

taire, l’État continue de financer le GNIS, un groupe qui interdit aux paysans de semer le grain récolté et dont la création remonte à Pétain ! C’est ainsi que l’as-sociation Kokopelli est poursuivie depuis plusieurs mois pour distribution de variétés anciennes potagères. Mais il ne faut peut-être pas désespérer complètement de la justice. Kokopelli a gagné le premier procès des deux qui lui étaient intentés. On ne peut s’empêcher ici de faire le parallèle avec la création de l’Ordre des Médecins par Pétain, qui avait par la suite engendré la suppression du diplôme d’her-boriste ! Source : L’initiation n° 12 - 09-10/2006. ©

L’in

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N ous étions le jour de l’ascension et je suis allé avec des amis au Bugarach. Le pic de Bugarach n’est pas une montagne ordinaire, on la surnomme la montagne sacrée et il règne autour d’elle un parfum de légende omniprésent. Rennes-le-Château et Rennes-les-bains sont dans la vallée, Montségur à l’horizon (où entend dire parfois que le trésor de Montsé-gur a été conduit sur le Pic de Bugarach), les Cathares, les Templiers, Jésus et Marie-Madeleine et les OVNI, tout cela

dans un secteur de 100 km² dans le Languedoc-Roussillon. Malheureusement, nous n’avons pas fait de RR3 sur cette montagne qui aurait inspiré Steven Spielberg pour sa rencontre du troisième type

Sur la route du Bugarach, nous nous sommes arrêtés devant cette très belle statue du Christ (le jour de l’ascension ça au-rait été dommage de passer devant sans la voir). Devinez où pointe le regard du Christ ?...

... Sur le Bugarach (cette photo est prise dos à la statue). Dans la vie, il n’y a pas de hasard

Pas d’OVNI, mais des nuages bizarres tout de même…

Le Pic du Bugarach vu de la route, ne vous sentez vous pas appelés ? (voir en fin d’article)

L'ASCENSION DU BUGARACH

L’ascension du Bugarach Site Internet « UFO Publication »

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La montée commence par un chemin sympa dans la forêt.

En contrebas un très joli lac. On a cherché les fameux « gardiens » et les « lutins » mais rien à l’horizon.

Une des fameuses « porte » temporelle. Il paraît que parfois la paroie devient transparente et qu’un vortex s’ouvre pour y laisser pénétrer le visiteur... encore faut-il avoir le courage d’y rentrer !

« On raconte »1 que sous le Bugarach, il y aurait une base intraterrestre avec des machines souterraines et souvent des apparitions d’OVNI. Malheureusement nous n’avons rien vu ou ressenti d’anormal...

Jules Verne dans son roman Clovis Dardentor utilise comme personnage le capitaine Bugarach et on raconte que la monta-gne est creuse... Il y a eu une observation d’OVNI à Espéraza en 1974 qui a fait

près de 200 témoins, ainsi qu’une trace au sol (encore visible, bien qu’estompée). 1 - « On raconte », mais nous pouvons confirmer. Voir revue n° 29, page 20.

L’ascension du Bugarach Site Internet « UFO Publication »

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Source : Site Internet « UFO Publication »

À l’horizon, le château de Montségur en pays cathare. Le 16 mars 1244, au pied de la forteresse de Montségur, 207 héréti-ques qui ont refusé de renier la foi cathare montent volontai-rement sur le bûcher. Leur martyre a marqué la fin de la croi-sade des Albigeois

Le sommet du Bugarach après environ 1h30 de marche

Pour finir, une étrange anecdote qui s’est passée au pied du Bugarach vers 17 h. Il faut savoir que nous sommes une ving-taine de passionnés d’OVNI à participer aux repas ufologiques à Toulouse et qu’'hier sans la moindre concertation ni évoca-tion du sujet « Sortie au Bugarach », nous nous sommes re-trouvés 12 au pied du Bugarach, le même jour et à la même heure (quatre groupes totalement distincts). Nous descendions du Bugarach et trois voitures avec des participants des repas nous ont rejoints sur le parking en moins de 5 minutes !

H5N1 en Indonésie

L e ministère de la Santé Indonésien a annoncé hier qu’un enfant de 5 ans mort en mars souffrait de la grippe aviaire, ce qui porte

à 49 le nombre de décès dus au virus H5N1 dans le pays. Cette confirmation tardive s’explique par le changement de protocole d’en-registrement des décès de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). L’archipel indonésien, région du monde la plus touchée en termes de mortalité, est le seul pays où a été confirmée par des analy-ses en laboratoire une transmission interhumaine de la maladie. Source : FRANCE SOIR du 14/09/2006.

Guantanamo antidémocratique

L e gouvernement britannique juge le camp de Guantanamo in-compatible avec la démocratie, a précisé hier Charles Falconer,

ministre britannique des Affaires constitutionnelles. Londres condamne l’attitude des Etats-Unis cherchant délibérément à sous-traire les détenus à la loi dans la baie de Guantanamo. Jusqu’à pré-sent, le Premier ministre Tony Blair avait seulement parlé d’« ano-malie » concernant cette prison en territoire cubain où Washington détient des personnes arrêtées dans le cadre de sa guerre contre le terrorisme. Source : FRANCE SOIR du 14/09/2006.

À découvrir ce numéro 4 du mois de septembre dernier qui nous communique diver-ses informations sur divers complots planétaires. Avec une interview très intéres-sante de Andréas Von Bülow sur le 11 septembre 2001. D’autres articles sont percu-tants sur d’autres sujets brû-lants de l’actualité, surtout passés… ou en cours, comme le H5N1.

Très beaux chemtrails pris par mes soins à 5h30 du matin au mois de juillet. (J’ai oublié de noter la date mais je pourrais la retrouver auprès de ma famille).

L’ascension du Bugarach Site Internet « UFO Publication »

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L e S k u l l a n d B o n e s (littéralement « crâne et os ») est une société secrète de l’uni-versité de Yale aux États-Unis.

Ce groupe est aussi connu par les anglo-phones sous les noms « Chapter 322 » et « Brotherhood of Death » (« confrérie de la mort »). Ce serait la première société secrète qui ait vu le jour à Yale, sous

l’impulsion de William Huntington Rus-sell en décembre 1832. À la fin du XIXème siècle, elle constitue l’une des plus prestigieuses sociétés secrètes amé-ricaines, avec « Scroll and Key », « Wolf's Head », « Book and Snake » et « Berzelius ». La « Jason Society » (ou Jason-Scholars) est l’élite de l’ordre de Yale.

Quelques sociétés d’honneur implan-

tées dans d’autres universités ont visible-ment été inspirées par le Skull and Bones ou possèdent un prestige similaire, ses membres étant reconnus comme l’élite par les étudiants. Ce sont par exemple le « Cap and Skull » à l’université Rutgers, la société « Bishop James Madison » au College of William and Mary ou l’« Iron Arrow Honor Society » à l’université de Miami.

Il existe d’autres sociétés portant le nom Skull and Bones : à la Pennsylvania State University ou encore à l’Université

Vanderbilt, mais ce ne sont que des clubs d’anciens élèves qui n’ont, à part le nom et le logo, absolument rien à voir avec le Skull and Bones originel.

L’Ordre de Yale n’est qu’une exten-

sion de l’Ordre des Illuminés de Bavière fondé au XVIIIème siècle par le sinistre Adam Weishaupt. Tous les cercles mon-

dialistes (Trilatérale, Bilderberg, CFR, Pilgrim Society, Conseil Atlantique, Bohemian Club de San Francisco, ... ) ne sont que des cer-cles extérieurs de l’Ordre de Yale, un des plus importants « noyaux dirigeants » de la subversion, à l’é-chelle de la planète. La domination mondiale demeure leur préoccupa-tion majeure. Le blason est celui des « Skull and Bones » (crânes et os) qui figurait aussi sur les uniformes des SS. Le nombre 322 est un ho-mage à Adam Weishaupt. Financé par la famille Rotschild, l’Ordre des « Illuminati » a été créé par Adam

Weishaupt, un professeur de loi Canoni-que à l’Université d’Ingolstadt en Alle-magne. Étant né un 6 février 1748 dans une famille Juive, puis converti au Ca-tholicisme Romain, il devînt Jésuite. Franc-maçon, s’étant séparé de l’Église Romaine Catholique, il était lourdement impliqué dans la pratique de la sorcelle-rie. Il est mort le 18 novembre 1830 à Gotha. Ce 18 novembre était le 322ème jour de l’année.

ORIGINES

William Huntington

Russell, un cousin de Samuel Russel, étudie en Allemagne de 1831 à 1832. L’Allemagne est alors une terre d’idées nouvelles. La méthode scientifique y est appli-quée à toutes les études

sur le comportement humain. Samuel Russell, cousin de William Russell, est un important protagoniste de la guerre de l’opium. De nationalité états-unienne, il est le fondateur de la Russell & Compa-ny en 1813, qui va concurrencer, dans les années 1820, la domination britannique sur le trafic de drogue en direction de la Chine. L’un des membres éminents de la société était Warren Delano, Jr, le grand-père de Franklin Delano Roosevelt.

La Prusse se reproche la défaite de

ses forces armées contre celles de Napo-léon en 1806 alors que ses soldats sont considérés comme étant les meilleurs au monde. C’est ainsi qu’en 1817, les uni-versités allemandes créent un nouveau type de système éducatif basé sur les principes, toujours appliqués à l’heure actuelle, établis par Jean-Jacques Rous-seau et John Locke. Johann Gottlieb Fichte, dans son « adresse au peuple alle-mand », déclare que les enfants doivent désormais prendre les rênes de l’État. Sa chaire à l’Université est reprise par He-gel qui y enseignera jusqu’à sa mort en 1831. C’est avec ce dernier que la philo-sophie idéaliste allemande issue de Kant atteint son point culminant.

L’Allemagne possède des sociétés

secrètes composées d’étudiants. William

SKULL AND BONES L'Ordre de Yale

« La dernière année (de mes études à Yale), je suis devenu membre du Skull and Bones, une société secrète,

si secrète en vérité que je ne peux en dire davantage. Je m’y suis fait 14 nouveaux amis »

G.W. BUSH, Avec l’aide de Dieu, Paris, Éditions Odile Jacob, 2000, p. 76

Skull and Bones Site Internet « SecreteBase »

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Huntington est ainsi initié dans une de ces sociétés d’étudiants. De retour à Yale, en 1832, il y crée avec Alphonso Taft la société du Skull and Bo-nes. Le terme Bones s’a-vère être le chapitre d’un corps au sein d’une uni-v e r s i t é a l l e m a n d e .

Au début du XVIIIème siècle, l’en-semble des universités américaines, qu’il s’agisse d’Harvard, Dartmouth, Wil-liams, Bowdoin, Middlebury ou encore Amherst, ont été fondées par des Congrégationnalistes. Mais ils subissent alors la concurrence des Presbytériens, ce qui incite le président d’Harvard, In-crease Mather, à agir. En 1701, il quitte son poste et crée une nouvelle université, « afin que l’Intérêt de la Religion soit préservé, et que la Vérité soit transmise aux générations futures ». Avec l’aide de dix pasteurs, dont neuf viennent d’Har-vard, il parvient ainsi à fonder le Colle-giate School of Connecticut. En 1711, Isaac Newton, Richard Steel et Elihu Yale sont approchés pour transmettre des livres de leur collec-tion personnelle à la jeune institution. Les contacts avec Yale, devenu extrêmement riche grâce à ses activités au sein de la Compagnie des Indes orientales et en tant que gouver-neur de la colonie de Madras, sont parti-culièrement fructueux. Il finance égale-ment largement l’université, qui lui rend hommage en prenant son nom, à partir de 1720, Yale University.

Les liens avec le congrégationnalisme

garantissent le puritanisme de l’enseigne-ment et du mode de fonctionnement de Yale. Les étudiants et professeurs doi-vent prononcer une profession de foi à leur entrée dans l’établissement, et peu-vent être renvoyés si leur sincérité est sérieusement mise en doute. À ce purita-nisme s’ajoute un élitisme forcené : les étudiants sont classés, dès leur arrivée à Yale, non pas en fonction de leurs capa-cités, mais de la position sociale de leurs parents. En tête de classe, les fils ou pe-tit-fils de gouverneurs, de vice-gouverneurs. Puis viennent les membres des familles de juges de la Cour su-prême. Un peu plus bas dans le classe-ment, on trouve les fils de pasteurs et d’anciens élèves. En queue de peloton, les fils de fermiers, de marchands et d’ar-

tisans. Ce classement décide de la place attribuée à chaque élève dans les salles de classe, à la chapelle et à la cantine. Ainsi Yale devient l’exemple idéal-typique d’une institution reproduisant les élites et leur hiérarchie interne. Le déclas-sement est en général occasionné par un manquement disciplinaire, et sanctionne le fait que l’élève a ainsi entaché l’hon-neur de sa famille. Il faut ajouter à ce mode de fonctionnement peu banal la licence explicitement donnée aux élèves plus âgés de bizuter, voire de brimer et d’humilier les étudiants des classes infé-rieures. Le règlement prévoit une série de mesures visant à assurer le respect de

la hiérarchie la plus arbitraire, fondée uni-quement sur l’âge. Lyman Bagg a ra-conté dans un ou-vrage, « Quatre ans à Yale », paru anony-mement en 1871, comment il analysait les mécanismes mis en place par l’institu-tion. Ces pratiques

autorisées reflètent selon lui le « pouvoir énorme des “coutumes” de l’école dans la création d’une folie temporaire qui fait des hommes faibles des êtres cruels et des hommes bons des êtres sans pitié ».

Cette propension à l’élitisme, à la hiérarchie brutale et au puritanisme incite les élèves, à la fin du XVIIIème siècle, à monter plusieurs sociétés parallèles à l’université. Il s’agit au départ d’associa-tions littéraires, tel-les que Linonia et Brothers in Unity. L’ensemble des élè-ves est appelé à ad-hérer à l’une ou l’autre des organisa-tions. Ce qui n’est pas assez élitiste pour ceux qui souhaitent une stricte reproduc-tion de la nouvelle « aristocratie » états-

unienne. En 1780 la branche Alpha de l’orga-nisation Phi Betta Kappa est fondée à Yale. Plu-sieurs autres sociétés fleurissent à l’époque : la

Beethoven Society, l’Hexahedron Club... Petit à petit, les salons littéraires perdent de leur importance, remplacés par des sociétés secrètes, plus élitistes et plus fermées. Au milieu du XIXème siècle, on en dénombre trois principales : les Skull and Bones (Crâne et os), les Scroll and Key (Parchemin et clé) et Wolf’s Head (Tête de loup). Parallèlement, le corps enseignant de Yale décide de suivre le mouvement.

Il est difficile d’établir avec précision

les circonstances de la création de la so-ciété secrète. Il s’agirait, au départ, d’une réaction à l’exclusion d’un membre des Phi Beta Kappa, Eleazar Kingsbury Fors-ter. Indigné par le procédé, et souhaitant redonner sa vitalité à Yale, William Rus-sell aurait condamné Phi Betta Kapa, pris Forster sous son aile et fondé, avec treize autres étudiants de Yale (dont Alfonso Taft), une société encore plus secrète et encore plus forte, originellement intitulée le Club Eulogie, du nom de la déesse grecque de l’éloquence. Sous l’influence d’un récent voyage en Allemagne, Rus-

sell importe bon nombre de référen-ces germa-niques dans le rituel. En 1833, les j e u n e s m e m b r e s adoptent la tête de mort et les osse-m e n t s c o m m e e mb l è me . À la même époque, le chiffre 322

devient le « chiffre clé » de l’organisa-tion. C’est en effet en 322 avant JC qu’est mort l’orateur grec Démosthène.

Même si les images ne sont pas très modernes, on reconnaît faci-lement la famille Bush au grand complet

Une des affiches « terrifiantes » se rapportant à cet ordre

Skull and Bones Site Internet « SecreteBase »

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

Selon la « tradition Skull and Bones », la déesse Eulogie aurait alors rejoint le pa-radis, avant de redescendre en 1832 et de rejoindre la société secrète.

Depuis 1832, à Yale, quinze juniors sont brutalisés chaque année par leurs aînés afin d’être initiés et intégrés au groupe l’année suivante. On dit que cha-que initié reçoit 15.000 dollars et une montre de grand-père. Loin d’être une sorte de maison du plaisir dont l’activité se réduirait aux seules années de campus, le groupe conserve par la suite des rela-tions suivies afin de favoriser la réussite de ses membres dans le monde post-universitaire.

Le fonctionnement de l’organisation est aujourd’hui mieux connu. Quinze membres sont recrutés chaque année, ce qui permet d’estimer à environ 800 le nombre de membres vivants de l’organi-sation à n’importe quelle date donnée. Encadrés par des membres plus anciens, les quinze nouveaux impétrants se ré-unissent deux fois par semaine pendant un an, pour discuter à la fois de leur vie, de leurs études ou de leurs projets pro-fessionnels. Des débats sur des questions politiques et sociales ont également lieu. Une fois par an, la société organise une retraite à Deer Island, une vaste île située dans le fleuve Saint-Laurent, près de New York, où a été construit un club cossu à l’anglaise, conformément à la volonté de George D. Miller, membre des Skull & Bones et généreux donateur de la résidence.

INFLUENCES

Dans son livre L’Établissement secret

américain, Anthony Sutton dénonce la capacité du SandB à établir des chaînes d’influences verticales et horizontales, ce qui permet d’assurer une continuité dans leur plan de domination de la politique.

Le lien Whitney-Stimson-Bundy re-présenterait la « chaîne verticale ». W.C. Whitney (1863), qui a marié Flora Payne (de la dynastie Standard Oil Payne), a été secrétaire de la Navy. Son avocat était un homme nommé Elihu Root. Root engaga Henry Stimson (1888), à sa sortie de l’école de droit. William Howard Taft, le 27ème président des USA et bonesman lui aussi engagea Stimson au poste de secré-taire de la guerre en 1911. Plus tard ce dernier devint gouverneur-général des Philippines de. Hollister Bundy (1909) fut l’assistant spécial de Stimson et un homme essentiel au Pentagone durant le projet Manhattan. Ses deux fils furent également membres du S&B : William Bundy (1939) and McGeorge Bundy (1940) furent très actifs dans les affaires

gouvernementales grâce à leurs positions dans la CIA, le département de la dé-fense et le département d’état, et en tant qu’aides spéciaux aux Présidents Kenne-dy et Johnson. Ils ont ainsi exercé un impact significatif sur l’écoulement de l’information et de l’espionnage pendant le guerre du Vietnam. William Bundy

continua à être rédacteur de Foreign Af-fairs, le trimestriel très influent du Coun-cil on Foreign Relations (CFR). McGeorge devint Président de la Fonda-tion Ford. Deux autres familles de bones-men très influents furent les Harriman et les Bush. Averil Harriman (1913) est considéré comme un « sage » au sein du parti démocrate. Son frère Roland Harri-man (1917) en était également un parti-san très actif.

La présence dans l’organisation des

familles américaines les plus prestigieu-ses est une évidence. Lord, Whitney, Taft, Jay, Bundy, Harriman, Weyerhaeu-ser, Pinchot, Rockefeller, Goodyear, Sloane, Stimson, Phelps, Perkins, Pill-sbury, Kellogg, Vanderbilt, Bush, Lovett et ainsi de suite. Le Skull and Bones c’est tout simplement le club de l’élite, de l’établissement (establishment). Ainsi, tout président des États-Unis passé par Yale a été membre des Skull & Bones : il s’agit de William Howard Taft, de George H.W. Bush et de George W. Bush. De même on ne compte plus les personnalités membres de l’organisation qui ont occupé, par la suite, d’importan-tes fonctions dans le monde politique, diplomatique, médiatique, ou même du renseignement. En 2004, l’élection prési-dentielle américaine opposa 2 membres de l’organisation, George Walker Bush et John Kerry. Yale ne pouvait pas per-dre ces élections !

L’organisation dispose d’importantes

connexions dans le milieu diplomatique, et notamment au sein du Council on Fo-

reign Relations. Ainsi, Henry Stimson, secrétaire à la Guerre de Franklin Delano Roosevelt, l’ambassadeur des États-Unis en Union soviétique, Averell Harriman, ou J. Richardson Dilworth, gestionnaire des intérêts de la famille Rockefeller, étaient membres des Skull and Bones. Des membres de Skull & Bones ont éga-lement joué un certain rôle dans l’univers des médias. Henry Luce et Briton Haden, tous deux membres de l’organisation depuis 1920, auraient notamment eu l’i-dée de créer le journal Time lors d’une réunion à « la Tombe », le quartier géné-ral des Skull & Bones, situé sur le cam-pus de l’université de Yale et baptisé. Averell Harriman, de son côté, a fondé le journal « Today » qui fusionna en 1937 avec une autre revue pour devenir « Newsweek ».

Les connexions au sein de la CIA

sont particulièrement impressionnantes : William F. Buckey, membre ultra-conservateur de l’Agence et propagan-diste réputé, a été membre de l’associa-tion, tout comme son frère, James Buc-kley, sous-secrétaire d’État à la Sécurité, aux sciences et aux technologies, dans le gouvernement de Ronald Reagan, un poste où il supervisait l’octroi de l’aide militaire états-unienne à destination des régimes de droite. Hugh Cunningham (Bones 1934) a lui aussi accompli une longue carrière dans les services états-uniens, de 1947 à 1973. C’est également le cas de William Bundy, Bonesman de la promotion 1939, et de Dino Pionzio (Bones 1950), chef de station de la CIA à Santiago en 1970, où il s’employa à dés-tabiliser le régime de Salvador Allende.

SKULL & BONES ET ILLUMINATI

Les illuminés de Bavière, s’ils n’ont

pas duré longtemps (1776-1785) ont néanmoins eu une influence considérable sur la politique qui conduisit à la chute de Napoléon en Bavière et sur la réunifi-cation de l’Allemagne ensuite. Cette influence s’est manifestée par le truche-ment de nouvelles sociétés secrètes qui utilisèrent les méthodes prônées par Adam Weishaupt. Néanmoins, il y eut un changement de cap. D’internationalistes et égalitaristes, certains anciens illuminés sont devenus patriotes et élitistes. Avant l’invasion des territoires de la future Al-lemagne par Napoléon, celle-ci était morcelée en plus de 300 états, villes, évêchés, etc. Les guerres napoléoniennes allaient motiver d’anciens illuminés qui se reconvertirent dans la lutte contre l’occupant français via de nouvelles so-ciétés secrètes comme le Tugend-Bund et les chevaliers noirs. Tout comme

Même des pendentifs existent avec l’ordre des Skull & Bones, mais ce ne sont malheureusement pas les seuls.

Skull and Bones Site Internet « SecreteBase »

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

Weishaupt l’avait compris, c’est en s’at-tachant à la jeunesse que l’on changerait les choses. C’est ainsi que des profes-seurs d’Universités mirent sur pied des sortes de loges (chapitres) au sein des universités allemandes. L’influence de ces sociétés fut déterminante dans la chute de Napoléon. L’argent venait, en-tre autre, de gens comme les Rothschild qui commençaient à devenir de plus en plus puissants. Voici ce que Adam Weis-haupt disait : « Par ce plan, nous dirige-rons toute l’humanité de cette manière. Et par la plus simple des manières, nous mettrons tout en feu et en flammes. Les occupations doivent être tellement répar-ties et arrangées, que nous pourrions, en secret, influencer les transactions politi-ques ».

M a i s

attention, il ne faut pas croire que le Skull and Bones est la p r e m i è r e société se-crète du genre à avoir existé au sein d’universités américaines. En effet, le 5 d é c e m b r e 1776, des étudiants du William and Mary College fondèrent, bien avant Russell et Taft, une société secrète, la Phi Beta Kappa. Un second chapitre de cette société de se-niors fut formé à Yale en 1780, soit 53 ans avant la création du SandB.

Dans The Cyclopedia Of Fraternities,

un tableau généalogique de toutes les

fraternités de collèges de grec aux USA, montre que Phi Beta Kappa est la source, le parent de tous les systèmes de fraterni-tés américains des hautes écoles. Il y a ainsi une ligne entre la fraternité Phi de Yale de 1780 et le SandB de 1833, ainsi qu’à travers d’autres sociétés de seniors, mais « seulement de Yale » comme la Scroll and Key et la Wolf’s Head. Phi Beta Kappa sont les trois premières let-tres greques pour « Philosophie Biou Kubernetes » ou « amour de la sagesse, le timonier de la vie. » Au niveau sym-bolique on retrouve ainsi chez les deux fraternités : un crâne et un bateau.

John Robison, un maçon écossais,

rentra dans l’ordre des illuminati mais après avoir découvert ce qui se tra-mait, publia en 1798, un livre appe-lé « Proofs Of A Conspiracy ». Il envoya son livre à tous les rois d’Europe mais ne fut guère écouté, voire pas du tout. Le Skull and Bo-nes a bel et bien hérité, non pas des buts louables des illuminés de Ba-vière (qui se battaient contre l’obs-curantisme) mais de certaines prati-ques et surtout des méthodes des illuminati. La ressemblance entre certains rituels décrits dans « Proofs Of A Conspiracy » est frappante. Robison décrit ainsi la cérémonie d’initiation du « Regent degree » de l’illuminisme bavarois. Dans ce rituel « un squelette est

placé près de l’initié, dont aux pieds, sont étendues une couronne et une épée. Lui est alors demandé si c’est le sque-lette d’un roi, d’un noble ou d’un men-diant. » Comme il ne peut pas décider, le président de la réunion lui déclare que « seul est important le caractère de l’homme ». Or dans le sanctuaire du SandB, on peut lire, en allemand, « Wer

war der Thor, wer Weiser, Bettler oder Kaiser ? Ob Arm, ob Reich, im Tode gleich. », ce qui signifie : « qui était l’imbécile, qui était le sage ? Le men-diant ou le roi. Pauvre ou riche, on est tous égaux dans la mort. »

SKULL & BONES

ET L'ALLEMAGNE NAZIE Un des membres de l’organisation,

Prescott Bush, était le directeur général de l’Union Banking Corporation (UBC) qui a aidé au financement de l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler. Les relations d’affaires établies par Bush en 1923 se sont poursuivies même après que la guerre ait commencé. Cependant, les USA interdisant le commerce avec l’en-nemi (Trading with the Enemy Act) suite à l’attaque de Pearl Harbour en 1941, les actions de l’UBC, dont celles de Prescott Bush, sont saisies le 22 octobre 1942. Le gouvernement constate que la banque de Bush « gère les bénéfices de la famille Thyssen (Fritz Thyssen était le banquier personnel d’Hitler) et appartient à des ressortissants d’une certaine nation enne-mie ». Prescott Bush est dénoncé comme collaborateur. Il conserve cependant sa fonction jusqu’en 1943 grâce au soutien de l’avocat Allen Dulles, l’homme qui créera plus tard la CIA. À la mort de Fritz Thyssen, en 1951, les actionnaires de Brown Brothers & Harriman récupè-rent leur argent. Prescott Bush reçoit 1,5 million de dollars pour sa part dans UBC, qu’il donne à son fils, George Her-bert Walker Bush, pour se lancer dans le secteur du pétrole.

Source : © 2002\2005 - Site Internet « SecreteBase ».

Vous êtes de la région de La Rochelle où vous passez dans les environs, alors n’hési-tez pas à vous arrêter au bar - brasserie « Le Saint Éloi », tenu par nos amis chez qui nous faisions les assemblées générales à Caurel près de Reims. Ils sont partis s’établir à La Rochelle et nous ne manquons pas d’aller leur rendre visite à chaque passage.

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

À la fin de septembre 1947, le dossier OVNI du FBI contenait de nombreux rapports qui pou-vaient être divisés en deux par-

ties à peu près égales : les bons rapports et les rapports douteux. Beaucoup de ces rapports ont été envoyés par l’A.A.F. au FBI tout simplement à titre d’informa-tion et sans demande d’enquête.

Une autre partie émane de personnes ayant une solide formation technique, même scientifique (pilotes, techniciens civils et militaires, etc.). Il y avait même eu dès le début, quelqu’un de l’A.A.F. qui avait réalisé une analyse des observa-tions. Cette étude fut élaborée sur 18 cas s’étant produits pas plus tard que juillet 1947. Il avait décomposé ces observa-tions en fonction de leurs caractéristi-ques, afin de faire des comparaisons, selon la date, l’heure, le lieu, le témoin (nom et fonction), observation à partir du sol ou d’un appareil en vol, nombre d’objets aperçus, altitude, direction de vol, distance du parcours, durée de l’ob-servation, couleur, taille, forme, etc. L’a-nalyse comprenait la copie de tous les rapports disséqués, mais aucune conclu-sion n’était tirée. Cependant, il y avait avec cette analyse se trouvant dans le dossier OVNI du FBI une page ne por-tant aucune signature, dans laquelle un auteur anonyme exposait ses propres conclusions. Elle n’était pas datée, mais le papier utilisé était le même que celui qui servit à rédiger les documents datés de juillet à août 1947.

Voici le texte en question : D’une étude détaillée de rapports

choisis pour leur caractère d’authenticité et de sérieux, plusieurs conclusions ont été avancées :

a) Cette vague de « soucoupes volan-tes » n’est pas entièrement imaginaire ou à associer à un phénomène natu-rel. Quelque chose vole réellement dans notre environnement.

b) L’absence d’enquêtes de haut niveau donne encore plus de poids à la possi-bilité pour que ce soit une affaire intérieure, qui doit être connue du Président.

c) Cependant, beaucoup de choses peu-vent être dites sur l’apparence physi-que de ces objets :

1) Leur surface est métallique, indiquant au moins un revêtement de métal.

2) Quand une traînée est observée, elle est légèrement teintée, sorte de brume d’un bleu-brun, pareille à un gaz d’échappement de fusée. À l’inverse d’une fusée à carburant solide, une observation indique que le carburant à dû être coupé, démontrant donc dans ce cas l’utilisation d’un fuel quelconque.

3) Pour la forme, toutes les observations citent un objet circulaire voire ellipti-que, plat à la base, légèrement bombé sur le dessus. La taille est à peu de chose près celle d’un C.54 ou d’un Constellation.

4) Quelques rapports citent deux ex-croissances sises à l’arrière de l’objet placées de façon symétrique dans l’axe de direction du vol.

5) Des formations d’objets ont été si-gnalées, comprenant de trois à neuf engins, se déplaçant de façon par-faite, avec des vitesses d’environ 300 nœuds.

6) Les disques oscillent latéralement

pendant leur vol horizontal, mouve-ment pouvant être comparé à une progression en ondulation. J’aimerais maintenant vous soumettre

des informations qui laissèrent penser au FBI qu’il était peut-être en train de me-ner des recherches sur nos propres armes secrètes :

Document du FBI enregistré

le 19/08/1947 : L’agent spécial Reynolds (appelons-

le S.A.) de la Section des Liaisons, au cours d’une discussion sur les disques volants avec le Lt/Col. Garrett, du Ser-vice des Renseignements de l’Air Force, émit l’hypothèse pour que les disques volants soient en fait, des engins expéri-mentés soit par l’Army, soit par la Navy, et couvert par un très haut degré de se-cret. S.A. fut assez surpris lorsque le Colonel Garrett, non seulement abonda dans ce sens, mais lui précisa sur un ton confidentiel, que son optique personnelle sur la question des disques volants abou-tissait à cette conclusion ! Le Colonel Garrett indiqua, en outre, qu’un certain M... (nom supprimé), scientifique attaché au Service des Renseignements de l’Air Force, était du même avis. Le Colonel déclara ensuite que sa présomption était basée sur la constatation suivante :

Quand les disques volants furent ob-

servés par la Suède, les « grosses légu-mes » du Ministère de la Guerre exercè-rent une formidable pression sur les Ren-seignements de l’Air Force afin que des recherches soient menées et qu’un maxi-mum d’informations soient glanées dans le but d’identifier les objets relatifs à ces observations. Le Colonel Garrett ajouta qu’il y avait là manifestement une atti-tude contrastant avec celle de ces mêmes

LE DOSSIER UFO ET

L’IMPLICATION OFFICIELLE DU FBI

Par le Dr. Bruce MACCABEE

Troisième et dernière partie

Le dossier UFO et le FBI Dr. Bruce Maccabee

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

« grosses légumes », qui, lorsque les observations furent faites au-dessus du territoire national, restèrent dans une indifférence singulière. Et c’est la raison pour laquelle il estimait qu’en haut lieu, on devait en savoir suffisamment sur ces objets au point de ne pas s’émouvoir outre mesure. Le Colonel Garrett signala d’autre part que les objets en question avaient été vus par de nombreuses per-sonnes, la plupart qualifiés « d’observateurs entraînés » tels les pilo-tes d’avions. Il ajouta également que plusieurs de ces personnes étaient des membres de l’A.A.F. tout ce qu’il y a de crédible, et ajouta que cela l’avait amené à la conclusion suivante : il y avait des objets effectivement observés et quel-qu’un du gouvernement savait parfaite-ment de quoi il s’agissait. S.A. signala au Colonel que s’il y avait des expérimenta-tions faites par le gouvernement des États-Unis, il ne serait pas raisonnable de demander au FBI de dépenser de l’argent et un temps précieux pour mener des enquêtes, compte tenu de cette situation. Le Colonel Garrett répondit qu’il était tout à fait d’accord avec S.A. là-dessus, et reconnût que ce serait extrêmement ennuyeux pour les Renseignements de l’Air Force, si par la suite, on apprenait que ces disques volants n’étaient en fait que des engins expérimentaux testés par le gouvernement des États-Unis. Plus tard, S.A. discuta de cette question avec le Colonel L.R. Forney de la Division des Renseignements du Ministère de la Guerre. Le Colonel Forney déclara qu’il avait abordé ce sujet auparavant avec le Général Chamberlain. Le Colonel For-ney précisa à S.A. qu’il avait obtenu l’as-surance du Général Todd et du Général Chamberlain, à propos du fait que l’Ar-my n’expérimentait rien de comparable à un disque volant ou pouvant être pris pour tel.

Document du FBI enregistré

le 15/09/1947 : « En réponse à la demande verbale

de votre agent M. S.W. Reynolds, une

vérification complète sur les recherches entreprises par l’Air Force, a révélé qu’il n’y avait aucun projet dont les caracté-ristiques pouvaient être associées avec les disques volants ». Signé George F. Schulgen, Brigadier-Général, U.S.A. Adjoint au Commandant en Chef de l’Armée de l’Air.

Ceci prouve donc de façon officielle

que le gouvernement des États-Unis ne possédait aucun appareil ayant pu engen-drer des rapports d’observations sur des disques volants, bien que cette éventuali-té fit encore l’objet de discussions en 1950 (Documents enregistré par le FBI le 19/08/1950).

J’aimerais soumettre au lecteur un

autre document enregistré par le FBI, puis le faire suivre de la liste des cas qui furent communiqués à l’agence fédérale durant cette période.

Le 18 juillet 1947, l’Agent Spécial en

poste à Newhaven, dans le Connecticut écrivit la lettre suivante au directeur du FBI :

« Pour l’information du Bureau, je

signale que le 7 juillet 1947, M. X... de Stamford, Connecticut, s’est présenté au bureau de notre représentant à Stamford pour fournir les renseignements sui-vants :

M. X... avant de faire sa déposition, se présente comme étant un chercheur scientifique de métier, employé actuelle-ment à l’American Cyanamid Research Laboratories, sis West Main Street à Stamford, au Département Physique très exactement. Pendant la dernière guerre, il fut employé au M.I.T. à Cambridge dans le Massachussett, Département radioactivité, dont les laboratoires furent liés étroitement au Projet Manhattan.

M. X... déclara que la question des « soucoupes volantes » faisait l’objet d’âpres discussions parmi les scientifi-ques à l’heure actuelle et précisa qu’il avait lui-même échafaudé une théorie sur cet épineux sujet. Avant de nous faire

part de ses conclusions, M. X... nous dit qu’immédiatement après la fin de la Se-conde Guerre Mondiale, un de ses amis; M. Z... lui affirma qu’il avait vu des sou-coupes volantes à partir d’un observa-toire astronomique à Milan et à Bologne en Italie.

Cet ami indique que l’affaire des sou-coupes volantes avait quelque peu inté-ressé les Italiens, au moment des premiè-res observations, puis avait sombré dans l’indifférence la plus totale. M. X... émit ensuite l’opinion sur la possibilité pour que les soucoupes volantes soient des engins bien réels, contrôlés par radio, et porteurs de bombes atomiques ou bacté-riologiques, qui seraient placées en or-bite autour de la Terre. Ces engins télé-guidés pourraient frapper une cible spé-cifique, selon le désir de l’organisme ou du pays qui posséderait cet armement d’un genre nouveau. M. X... précisa qu’il basait son hypothèse sur le fait qu’il avait personnellement établi que les ob-servations de « soucoupes » avaient été faites au-dessus de Mexico, New-Orléans, Philadelphie, New-York, Bos-ton, Halifax, Newfoundland, Paris, Mi-lan, Bologne, la Yougoslavie ainsi que l’Albanie.

Si , sur une mappemonde, on reliait ces villes et ces pays d’un seul trait, on pouvait s’apercevoir qu’en fait, la ligne tracée faisait un cercle parfait autour de la Terre ou plutôt plus au moins parfait, et que ce « circuit » pouvait être accom-pli par une « soucoupe » en orbite terres-tre.

M.X... nous dit enfin qu’il avait ré-cemment parlé avec M.Y... un des Direc-teurs de la Compagnie C... à Glembrook, Connecticut, qui lui avait avoué que ses laboratoires étaient en train de mettre au point un télescope spécialement conçu pour la recherche en haute stratosphère, de bombes atomiques orbitales ».

Une liste des meilleurs rapports d’ob-

servations contenus dans les dossiers du F.B.I. relatifs aux OVNI va maintenant vous être proposée ; il s’agit de cas enre-gistrés jusqu’en octobre 1947.

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

LISTE DES CAS ENREGISTRÉS PAR LE F.B.I. JUSQU’EN OCTOBRE 1947

Date Lieu Heure Sommaire des incidents allégués

?-?-45

Allemagne

nuit Un membre des Forces Armées d’occupation a vu un objet volant se rapprocher du sol en faisant des mouvements oscil-latoires.

16-01-47 Mer du Nord Angleterre

22h30 Un Mosquito de la R.A.F. tenta de prendre en chasse un OV-NI sur 50 miles et à 22000 pieds.

?-04-47 Virginie-USA ? Des météorologistes virent un disque à plusieurs reprises, à l’aide d’un théodolite.

05-05-47 Etat de Washington 15h30 Trois témoins ont vu un disque argenté faisant un vol en pi-qué, puis se désintégrer, ne laissant qu’une colonne de fumée.

19-05-47 Colorado 12h15 Trois cheminots ont vu un disque argenté filant à grande vi-tesse. L’engin est apparu flou aux jumelles.

17-05-47 Oklahoma-City. 20h30 Rapport de M. Brian (célèbre pré-Arnold).

21-05-47 Oklahoma-City. ? Disque blanc vu entre 15 à 20 secondes.

02-06-47

Rehobolt, Delaware

?

Rapport de M. Forest Wenyon : un OVNI en forme de bocal se déplaçant très rapidement (même type d’observations fut plusieurs fois rapportées en 1946).

14-06-47 Bakersfield, Californie

12h00 Rapport de M. Richard Rankin : nombreux disques progres-sant en groupe.

22-06-47 Greenfield, Massassuchet

11h30 OVNI rond, argenté, filant rapidement.

24-06-47

Mont. Rainier Washington

jour

Célèbre observation de M. Kenneth Arnold, aux commandes de son avion, à 3000 m, qui aperçut 9 disques progressant en file indienne.

24-06-47 Cascade Mountains

jour Un prospecteur, M. Johnson, signala le passage d’un OVNI qui affecta sa boussole.

28-06-47 Nevada 14h00 Le Lt. Armstrong, aux commandes de son avion, vit un OVNI venir droit sur lui.

28-06-47

Alabama

21h20

Observation de membres de l’A.A.F. de la base de Maxwell, dont des officiers des Renseignements de l’Air Force : un OVNI est vu faisant des zigs-zags pendant 5 minutes.

29-06-47 White Sands Nouveau-Mexique

13h00 Rapport de MM. Zohn et Kauke, techniciens civils de la célè-bre base : un OVNI fut observé suivant un V-2 tiré pour es-sais.

30-06-47

Grand Canyon

09h10

Le Lt. Mc Ginty, aux commandes de son avion, vit plusieurs OVNI ronds, gris, descendant vers le sol sur une ligne verti-cale.

03-07-47 Maine 14h30 M. Cole, astronome, vit plusieurs OVNI traversant rapide-ment le ciel.

04-07-47 Emmet Idaho

20h15 L’équipage d’un vol régulier de l’United Air Lines vit un OV-NI au cours du trajet.

04-07-47 Oregon 13h15 Des policiers de Portland et d’autres témoins virent 3 OVNI à l’est et 2 au sud de la ville, progressant très rapidement.

06-07-47

Alabama

20h45

Le Sergent-chef Livingston entre autres témoins, aperçut des lumières se déplaçant très vite dans le ciel. Des photos furent prises.

06-07-47 Hollywood Californie

? Plusieurs OVNI ont été observés.

06-07-47

Kansas-City

13h45

LE Cdt. A.B. Browning, AC/A3 Pentagone, à bord d’un B-52 volant à 10 000 pieds, aperçut un disque argenté. Temps clair, sans nuage.

06-07-47 Fairfield jour Le Capt. Burniston de l’A.A.F. et son épouse, aperçurent un OVNI se déplaçant rapidement en oscillant d’un côté à l’au-tre.

07-07-47 Arlington Virginie

23h00 Un fonctionnaire du Bureau de l’Inspection de l’Air vit un OVNI de son domicile.

07-07-47

Phoenix Arizona

17h00

Un ancien employé des Laboratoires de l’Artillerie de Marine photographia un OVNI faisant des cercles dans le ciel.

Le dossier UFO et le FBI Dr. Bruce Maccabee

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

Date Lieu Heure Sommaire des incidents allégués 7-07-47 East Troy

Wisconsin 14h30 Un capitaine de l’A.A.F. et un passager, au cours d’un vol,

virent un OVNI volant à 7 000 Km/h.

08-07-47 Hamilton

Base A.A.F. ?

Le Sgt-Chef Baker, entre autres témoins, vit trois OVNI, ronds, oscillant dans une progression jugée supérieure à un avion P. 80.

08-07-47 Muroc (AFB) Californie

10h10 De nombreux militaires virent 2 OVNI qui étaient suivis d’un troisième.

08-07-47 Norfolk Virginie

après-midi M. B. Turrentine vit et photographia un OVNI en forme de ballon de rugby qui tournait sur lui-même en se balançant.

08-07-47

Mont. Baldy Californie

15h50

Le Lt A. E. Mormant aux commandes de son chasseur, tandis qu’il volait à 20000 pieds, vit un OVNI plat, sans aile ni aile-ron, se déplaçant à 35000 pieds.

09-07-47 Grand Falls Terre-Neuve

23h30 Disques vus par des policiers (pas d’autres détails).

09-07-47 Boise Idaho

12h15 M. Johnson, journaliste, vit un OVNI après trois jours de re-cherches aériennes.

10-07-47 St Jean de Terre-Neuve 23h15 Plusieurs témoins virent des OVNI ronds et lumineux et le signalèrent à la police.

10-07-47

Base Harmon Terre-Neuve

17h00

Des navigants civils virent un OVNI pareil à une roue de ca-mion à 10000 pieds. Photos d’une sorte de traînée de fumée, prises.

11-07-47 Codroy Terre-Neuve

00H30 Plusieurs personnes signalèrent un OVNI rutilant se déplaçant rapidement laissant une traînée.

12-07-47 Base Elmendorf Alaska

18h30 Plusieurs officiers virent un OVNI se déplaçant en épousant le relief du sol.

20-07-47 Navire près de Terre-Neuve

20h15 Flashs de lumière rougeâtre émis par un OVNI vu changeant de direction dans sa progression.

20-07-47 Frostburg Maryland

09h15 Objet blanchâtre circulaire vu au-dessus de nuages effilochés et émettant un bruit.

23-07-47 Base Harmon Terre-Neuve

23h45 Lumière rougeâtre éclatante se déplaçant rapidement en haute altitude pendant 3 mn.

29-07-47

Canyon Ferry

12h05

Disque brillant se déplaçant rapidement, puis en sustentation, et après avoir été secoué d’oscillations est vu « se dissolvant dans l’air ».

29-07-47 Base Hamilton Californie

12h00 Des officiers de l’A.A.F. virent 2 OVNI filant à grande vi-tesse, puis plus vite qu’un P. 80. Le 2e OVNI faisait des zigs-zags.

?-07-47

Fort Richarson Alaska

?

Deux officiers signalent au Chef des Renseignements, avoir vu un OVNI rond, brillant, se déplaçant sous les nuages très rapidement durant 20 secondes.

?-08-47

Près de Los Angeles

10h00

Alors qu’il excursionnait en montagne, un témoin vit un OV-NI posé au sol qui décolla en provoquant l’étourdissement de l’observateur.

03-08-47 Hakensack New-Jersey

19h45 Des témoins virent un OVNI rond et noir, se déplaçant trop vite pour être un ballon.

04-08-47

Près de Boston

16h00

Un Cdt de bord d’avion de ligne et son navigateur virent un OVNI orange, brillant, de forme cylindrique, ses deux extré-mités allant en se rétrécissant.

04-08-47

Bethel Alaska

22h00

Le pilote et le copilote d’un avion militaire virent un OVNI en forme « d’aile volante », sans moteur ni trace de fumée de combustion.

06-08-47

Philadelphie

22h30

De nombreux témoins virent un OVNI en forme de « pétard géant » progressant à une vitesse apparente de plusieurs cen-taines de miles/h.

06-08-47

Myrtle-Creek Oregon

18h15

Un ancien pilote de l’aéronavale et un élève pilote virent un OVNI gris aluminium rond, et ce à 2 occasions à 10 mn d’in-tervalle, alors qu’ils étaient à bord de leur appareil.

07-08-47 Ocean Lake - Oregon 23h30 Un disque brillant fut signalé. (Pas d’autres précisions).

13-08-47 Redmond Washington

09h00

MM. Brummett et Decker signalèrent 2 OVNI brillants filant rapidement, durant 8 secondes.

Le dossier UFO et le FBI Dr. Bruce Maccabee

Page 23: Sentinel UFO News n°35

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

13-08-47 Snake-River Canyon Idaho

13h00

M. A.C. Curie et ses fils virent dans le canyon un OVNI en forme de disque.

14-08-47 Placerville Californie

16h00

Un OVNI est vu se déplaçant rapidement puis disparaissant dans un nuage de fumée.

14-08-47 Guam (Ile Japonaise)

10h40 Des soldats virent un OVNI en forme de croissant progres-sant rapidement en zigzags, et ce à 2 reprises sur la même heure.

19-08-47 Twin-Falls Idaho

21h30 Des policiers et des civils virent un groupe d’OVNI filant au-dessus de la ville à grande vitesse. Le ciel était dégagé.

03-09-47 Oswego Oregon

12h15 Une femme et ses deux enfants virent deux douzaines d’OV-NI ronds, en forme de disque.

06-09-47 Shouns Tennessee

? Deux témoins virent un OVNI en forme de ballon de rugby virevoltant dans un ciel clair.

08-09-47

Logan Utah

22h40

Trois formations d’OVNI furent aperçues par plusieurs té-moins. Des OVNI blanc-jaunes qui firent rapidement le tour de la ville, progressant sous un plafond de nuages épais.

11-09-47 Portland Oregon

17h15 Des policiers de Portland et d’autres témoins virent un OV-NI argenté faire le tour de la ville dans une progression ra-pide.

Date Lieu Heure Sommaire des incidents allégués

13-08-47 Près de Twin-Falls

Idaho

09h30 Un commissaire de Comté et ex-shérif, vit 2 disques filant rapidement avec un bruit de grondement.

Traduction : Jean Sider

Avec l’aimable autorisation de Francis Schaefer Président du Cercle Français de Recherches Ufologiques (C.F.R.U.)

Article paru dans la revue Ufologia N° 30, 31 et 32

Découverte dernièrement chez mon médecin généraliste

Dans l’attente de la visite chez mon médecin de ma fille Marine, nous atten-dions avec mon épouse Christelle ainsi que ma fille et comme je n’aime pas rester les bras croisés et ayant oublié ma lecture, j’ai donc pris un document sur les boissons light où j’ai découvert un tissu de mensonges vantant le bienfait de l’aspartame. Ainsi, les boissons light sont recommandées dans plusieurs chapitres consa-crés aux enfants, aux adolescents, aux adultes, aux seniors et même aux femmes enceintes. De quoi empoisonner toute une population. Dire que ce « satané poison » est recommandé par la FDA et l’OMS qui ont déclaré l’aspartame sans danger pour tous, y compris les femmes enceintes et allaitantes. Il est signalé également que plusieurs études ont conclu à l’innocuité de l’aspartame au cours de la grossesse. Un chapitre où une question est posée de savoir si l’aspartame provoque le cancer, il y est fait cette réponse : « Autorisé en France depuis 18 ans, l’as-partame a fait l’objet de plus de 200 études scientifiques et son innocuité à toujours été confirmée. En mai dernier, l’autorité Européenne de Sécurité des Aliments a réaffirmé que la consommation d’aspartame est sans danger pour l’Homme et ne provoque pas le cancer. »* Et devinez qui parraine ce tract, regardez le gros plan à droite. Décidément, Coca Cola est partout.

* En gras dans le texte.

Des études montraient clairement le danger de l’aspartame il y a de cela plusieurs années et qu’il était formellement interdit.

Le dossier UFO et le FBI Dr. Bruce Maccabee

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

NOS ANCIENNES ÉCRITURES ET LES ÉCRITURES MODERNES EXTRATERRESTRES ?

Par Thierry RHODAN

I l n’est pas facile de trouver et de collecter des écritures dites « extraterrestres », je citerai donc plusieurs cas sans aucun jugement

ou esprit critique, donc en citant des cas majeurs « controversés » ou non, mon objectif premier étant d’analyser ces dernières simplement (et seule-ment) au niveau de ces écritures ainsi disponi-bles.

Mais au besoin, par la cohérence interne, cette analyse sera une pièce à verser au dossier de ces divers « cas ». C’est du moins mon point de vue.

J’espère que cet arti-

cle sera innovateur, je pense que le sujet est peu traité, surtout au niveau francophone. Je possède quelques articles, bien lacunai-res, sur cette question en anglais ; dont dans la revue « Alien’s Encounters ».

Directement citons l’Ufologue ger-

manique Michael Hesemann1 et surtout et avant tout, l’Ufologue belge décédé : Roger Lorthioir, à qui je dois la rédaction de ce texte.

Roger pour ce faire, avait réuni diver-ses écritures disponi-bles dans la ligne du temps, la ligne chro-nologique de l’Ufolo-gie.

Citons, sans juge-ment, la poutrelle de Roswell tel que pré-sentée par Jesse Mar-cel Jr, aussi présente dans le film (à pré-sent décrié) de Ray Santilly. La lettre de « Strob » de Jean Miguères, les symbo-les vus par Antonio Villas Boas (Brésilien invité à monter à bord d’une soucoupe volante en octobre 1957), ceux

du controversé Franck Fontaine, le cas bien moins connu de l’argentin Ventura Maceiras (1972) qui a vu d’étranges ins-criptions sur le drapeau que portait une entité extraterrestre !! Et bien entendu, les traces « moulées » par George

Adamski. Normal, puis-que Roger était le dessi-nateur de Monsieur Dohmen, fondateur de la fédération belge d’ufolo-gie (FBU) et l’auteur d’un livre qui analyse le cas Adamski, dont les « pas » d’Orthon dans le désert Californien. On le sait le pied « gauche » d’Orthon (Extraterrestre rencontré par Adamski) comporte une « svastika », hélas trop connue depuis la

deuxième guerre mondiale, mais qui est en fait est un ancien symbole « universel »2. Eugène Goblet dans son livre « La migration des Symboles » ex-plique sur la croix gammée. « Dans l’Inde, elle porte le nom de Svastika, un dérivatif de Svati, du verbe “asti” (être)… sa représentation figurée a toujours été passée pour un signe propice, parmi les Hindous comme parmi les Bouddhis-tes ». « Elle est reproduite , à plusieurs

exemplaires, sur l’empreinte des pieds du Bouddha ». Comme son nom l’indique cette croix est formée de quatre « Gamma ». On le sait, notre alphabet (26 lettres en fran-çais) dérive de l’al-phabet Hébreu (22 graphies) en passant par la « Grèce ». Ainsi :

A : Alpha ou Aleph./ B : Beta ou

Beth./ G : Gamma ou Gimel et ainsi de

suite/ M : Mu ou Mem,/ R : Rho ou Resh...

Et en effet, sur le pied droit, on

t rouve un magn i f ique Resh « protosinaïtique » ainsi qu’un O (Olétah) « hiératique » Égyptien.

Formant donc le début de son nom « OR » (Orthon). Mot plutôt symbolique OR, UR, AOR, OUR : Lumière, Esprit...

Rien que l’analyse des empreintes d’ Orthon pourrait faire l’objet d’un article en soi. Ce travail a heureusement été fait par Roger dans ses livres.

Michael Hesemann a lui aussi, facile-

ment, à l’aide de l’Alphabet protosinaïti-que traduit la poutrelle de Roswell, tel que vue dans le tout début du film de Ray Santilli (probablement la seule par-tie un rien fiable de ce pseudo film). De fait on y voit clairement un D : Delta ou Daleth, un I : Iota ou Yod et ainsi de s u i t e . É c r i t u r e s ou symbo-les à la fois proches et très diffé-rents de ceux prove-nant des souven i r s de Jesse Marcel Jr, pour cette même pou-trelle ? Dans une revue belge (« Publi Choc ») Roger comparait les symboles de Jesse Marcel avec ceux du disque de « Phaïstos » et avec les symboles du mo-nument d’Itaquatiara de Inga (Brésil) tel que présenté par l’explorateur Marcel Homet (1965).

Roger et Michaël Hesemann arri-vaient donc à des conclusions similaires, un étrange lien entre nos anciennes écri-tures et les écritures Extraterrestres. Mais continuons notre analyse de cette déli-cate question.

Fort de cette idée d’un lien entre le « protosinaïtique » (dont le sens de lec-

1 - Auteur dont vous avez pu apprécier de nom-breux articles au premières années de l’association.

2 - Les extraterrestres d’Adamski étaient des Alle-mands. Voir nos différents dossiers à ce sujet.

Sur cette photo de l’accident de Jean Miguères, nous sommes censés apercevoir une entité dans le cercle. Il faudrait pour cela une photo de très bonne qualité.

Michael Hesemann

Nos anciennes écritures et les E.T. Thierry Rhodan

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

ture, comme l’arabe ou l’hébreu, inverse de la lecture du français), Roger allait s’attaquer à la lettre de Strob (du cas Jean Miguères), à présent totalement traduite (jusqu’en anglais) et pré-sente sur la « toile » (Web). La clef, ou le début de la tra-duction était le tout dernier mot B.O.R.T.S. Le « O » étant de nouveau claire-ment Égyptien, déjà identifié par Champollion, on le trouve dans les mots « ptolmys », « kleopatra ». (Petite remarque en pas-sant, on le retrouve aussi dans l’Alphabet Maya Quiché, mais c’est une autre ques-tion). Le B est en effet proche du Beth « phénicien » et/ou « proto-sinaïtique » et le R aussi. Le débat fait à présent « rage » sur l’authenticité de cette lettre, enfin traduite, dite de Strob.

Franck Fontaine, présente lui aussi, ce O typique proche de notre point d’in-terrogation : ?

Sans plus attendre, notons l’omnipré-sence de ce O dans les noms : Orthon, Strob, Haurrio (cas Franck Fontaine). Dernièrement on m’a offert la brique de Jean Marquès-Rivière « Amulettes, talis-mans et pantacles » chez Payot (1950). Ce symbole se retrouve en effet sur des Amulettes Hébraïques puis Chré-tiennes. En lien avec le « Om-Aum » des Hin-dous.

Les trois symboles du drapeau de Ventura Maceiras, cas méconnu, encore présenté par l’Ufologue Patrick Moncelet de temps en temps, possède exacte-ment le même S que la lettre de STROB ( proche du C de l’Al-phabet Maya Quiché de Diego de Landa) couplé à un S (Siegel, Sun, Soleil) Runi-que. La traduction proposée de Roger étant « Ish » (Homme).

Enfin, terminons, pour l’instant, avec les quatre symboles du cas d’Antonio Villas Boas pour remettre en relief ces étranges analogies.

Je donnerai aussi la traduction propo-

sée par Roger dans ses livres « La Lému-rie retrouvée » et « Le graal retrouvé ».

Comme pour la poutrelle de Roswell,

et la lettre de Strob, le sens de lecture est celui de l’arabe ou de l’Hébreu (de l’O-rient à l’Occident) comme pour la majo-rité des écritures sacrées.

Le dernier symbole (pour nous) est ce O (?) typique, présent dans le Maya Quiché, l’Égyp-tien hiératique, présent dans la lettre de Strob, le pas d’Orthon et chez Franck Fontaine. Le deuxième symbole est une sorte de V, le U (Ur). Exactement pré-sent sur le pied droit d’Orthon. C’est le « blason royal » de Mû,

l’Empire du Soleil, selon le Colonel Ja-mes Churchward qui lui consacre tout un chapitre (le sixième) dans son livre « Mû, le continent perdu » (1959). Ce qui ne manque pas d’être une piste. Puisque le Colonel Churchward a proposé un Al-phabet primitif à l’origine de moultes autres, dont le Maya Quiché, le proto-sinaïtique et l’Égyptien sacré. De nou-veau, c’est l’objet d’un autre débat. Même si comme par hasard, George Hunt Williamson, un ami d’Adamski était lui aussi un tenant de la thèse de Churchward et un explorateur tant du Brésil que du Pérou ? ( Lire « Les Gîtes Secrets du Lion3 », J’ai Lu, A*289 ).

Le troisième symbole est le Resh protosinaïtique, de nouveau commun avec le pied droit d’Orthon. Enfin le dernier signe est un S Runique. Pour informa-tion, des Runes on été re-trouvées tant en Amérique du Nord que du Sud, en compagnie de Phénicien. Alphabet d’une même fa-mille (Raad, Resh, Beorc, Beth...). La ponctuation indiquant qu’il faut lire « Ish ».(Homme). La traduction étant dès lors : OUR ISH, « homme de lu-

mière », selon Roger. Intriguant ? Qui sont donc ces « êtres de Lu-

mière », pourquoi possèdent-ils un Al-phabet proche de nos Alphabets sacrés, la question est ainsi largement ouverte.

Pour plus d’informations : http://w w w . e n c y c l o m a n c i e . c o m / d o c /Page1_Alphabet_Extraterrestre

3 - Livre cher à notre adhérent RÉGOR, alias Roger Corréard, grand spécialiste — et unique ! — archi-viste de Théopolis. Grand dossier exclusivement en vente auprès de l’association.

Cas de STROB

Entité d’Antonio Villas Boas

Présentation et articles tirés du numéro 12 Découverte d’un bimestriel — déjà au numéro 13 — et surtout d’un certain nombre d’articles intéressants dont vous pouvez en retrouver 2 en page 11. Également un retour sur « les prophéties Mayas » concernant le 21 décembre 2012 et un article sur « la porte des étoiles ».

Retrouvez également la revue NEXUS au prix de 6,40 € au lieu de 5,40 €. Vous pouvez dire merci à la CPPAP dont nous parlons dans l’éditorial de la revue n° 34. Décidément, il n’est pas bon de dire la vérité sur les tromperies éhontées de notre monde. Battons-nous et soyons courageux.

Dossier intéressant et très complet sur l’aspartame dont nous vous avons parlé plusieurs fois dans la revue. Ce n° 9 du mois d’octobre confirme nos études et la revue, — tout comme nous — déconseille fortement la consomma-tion de ce poison.

Nos anciennes écritures et les E.T. Thierry Rhodan

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

LES MICROPUCES Rfid Entre mythes et réalités

Par Cyril FiÉVET

O util d’optimisation essentiel pour les uns, danger mani-feste pour les autres, les pu-ces d’identification radio

(Rfid : Radio Frequency IDentification) déclenchent les passions Outre-Atlantique1. Encore méconnue du grand public, cette technologie d’identification par ondes radio est pourtant en cours de généralisation, partout dans le monde. Plutôt que d’opposer les arguments de ses promoteurs et détracteurs, nous avons souhaité contribuer au débat — ou peut-être le susciter en France — en rappelant quelques uns des points clés de cette technologie et de ses multiples applications.

Rfid n’est pas une technolo-gie comme les autres. L’une de ses applications les plus mar-quantes — des étiquettes émettant des données qui pourraient un jour équiper la totalité des produits que nous consommons — échauffe les esprits. Pour les industriels, en particulier du secteur de commerce de détail, Rfid peut réaliser la promesse d’une gestion des stocks efficace, automatisable et optimale. L’engouement des industriels est à la hauteur des enjeux. De l’avis des prévi-sionnistes, le marché Rfid s’élèvera à trois milliards de dollars en 2007. Mais pour les associations de défense du consommateur, il pourrait avant tout s’a-gir de l’outil ultime de surveillance du consommateur — ou pire encore, d’un système orwellien de traçage des biens et des personnes, fonctionnant à notre insu.

Comme souvent, le débat est marqué

par l’incompréhension mutuelle des in-tervenants. Côté industriel, on insiste sur le fait que la technologie en soi ne crée pas de nouveaux risques quant au respect

de la vie privée et que les arguments des opposants à Rfid se basent sur des scéna-rios de fiction et/ou des procès d’inten-tion sans fondement réel. À l’inverse, les défenseurs des libertés individuelles ont marqué des points en montrant quelques applications controversées de Rfid (http://spychips.org/broken_arrow.htm ou http://www.boycottgillette.com), et en

soulignant sa puissance et les risques inhérents à la technologie. Au milieu de l’année dernière deux annonces aux États-Unis auront suffi pour convaincre les sceptiques que Rfid n’est pas une simple étape, mais bien une évolution majeure de la chaîne de distribution. D’a-bord Wal-Mart, qui a

quasiment « sommé » ses 100 principaux fournisseurs d’être compatibles Rfid à par-tir du 1er janvier 2005,

en incluant des tags Rfid sur toutes les palettes et cartons. Puis le Ministère de la Défense (Department of Defense) faisait de même en octobre (http://www.defenselink.mil/releases/2003/nr20031023-0568.html), exigeant de l’ensemble de ses fournisseurs qu’ils apposent des étiquettes Rfid sur tous les produits livrés, à l’exception du sable, des graviers et des liquides, également à partir de janvier 2005. Ce double « ultimatum », pour édifiant qu’il soit, n’est qu’une petite partie de « l’iceberg Rfid », dont on découvre au fil des se-maines la partie immergée.

Rfid suscite un intérêt sans précédent

ou presque dans l’industrie. Il faut y voir

le signe d’une maturité technologique et commerciale. Mais, pour autant, Rfid est bel et bien une réalité d’aujourd'hui, pour de très nombreuses applications — y compris en France — sans apparaître de manière claire ni susciter à débat. C’est par exemple le cas des titres de transport Navigo (http://www.ratp.fr/groupe_ratp/new_tech/navigo/201.shtml) mis en place par la RATP dans le métro parisien, et en cours de généralisation.

Navigo résume à lui seul tout l’intérêt — et tout le danger potentiel — de la technologie. L’usager n’a pas le senti-ment d’utiliser le dernier cri de la tech-nologie sans fil, et ignore d’ailleurs le terme même de Rfid. Il se contente d’uti-liser une carte fonctionnelle et pratique, qu’il n’est même pas nécessaire de sortir de son portefeuille ou de son sac pour voir s’ouvrir les portillons du métro. Pour la RATP, le dispositif est un outil de régulation et de connaissance des usages de tout premier ordre. « Ce qui nous inté-resse, ce sont les statistiques se rappor-tant aux lieux, dates, moyens de trans-port, etc. Connaître les heures d’af-fluence dans telle gare ou à tel point d’accès, savoir s’il s’agit plutôt de titu-laires de cartes orange ou d’un autre type de titre de transport, tout ce qui peut nous donner une connaissance vivante de notre trafic. Par contre, savoir qu’il s’agit de Messieurs Durand ou Martin ne nous intéresse pas... » assurait Jean-Louis Lamalle, chef de projet télébilleti-que de la RATP, en octobre dernier (http://www.transfert.net/a9429). Il n’en demeure pas moins que le système « pourrait » être utilisé pour surveiller en permanence les déplacements individuels de chacun des parisiens, ce qui n’a pas échappé à la Cnil : « Les technologies de radio-identification peuvent être utiles pour des finalités légitimes bien définies, mais, parce que le maillage dense de milliers d’objets qui entoureront une personne pourra ainsi être analysé, de façon permanente (le potentiel de rayon-nement d’un Rfid est illimité dans le

1 - Désormais, les puces Rfid ont atteint le monde entier.

Avec ce numéro du mois de sep-tembre d’Elektor était fournie une carte Rfid, ainsi que les plans pour monter un lecteur Rfid. Et oui, nous disions bien que le monde entier est atteint.

Les micropuces Rfid Cyril Fiévet

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

temps car aucune batterie n’est néces-saire), permettant potentiellement le “profilage” des individus, elles font pe-ser sur les individus un risque particu-lier », lit-on sur une page dédiée à Rfid (http://www.cnil.fr/thematic/techno/rfid.htm), mentionnant par ailleurs que « la radio-identification fait déjà partie de nos vies au travers des cartes de transport sans contact (dont Navigo pour la RATP) ou de nombreuses clés de voiture ».

Rfid est par essence une

technologie invisible, por-teuse de valeur mais pouvant entraîner des dérives. Mais elle est aussi méconnue, et nous tentons ci-dessous d’éclaircir quelques idées reçues qui perturbent le débat.

Idée reçue n°1 : « Rfid sert uniquement à concevoir des étiquettes à inclure sur les produits »

Pas vraiment. Si l’enjeu de Rfid en

matière de distribution et d’optimisation de la chaîne de la production est considé-rable, l’intérêt de la technologie ne se limite pas aux étiquettes sur les produits, loin de là.

À terme Rfid pourrait même devenir la technologie universelle sur laquelle s’appuie de multiples dispositifs de paie-

ment ou de billetique, comme le préfigu-rent Navigo en France ou Speedpass (http://www.speedpass.com) aux États-Unis.

Ce dernier est particulièrement édi-fiant : l’identifiant contenu dans la puce Rfid y est couplé à un compte bancaire et se décline en trois dispositifs de paie-ment originaux. Le premier est un « tag autocollant » que l’on appose sur la lu-nette arrière d’une voiture, les autres sont de petits émetteurs portables, l’un s’atta-chant au porte-clé, l’autre inclus dans une montre-bracelet. Ces « portes-monnaies électroniques sans fil » com-portent des tags Rfid (soit actifs, soit passifs), utilisés pour identifier l’utilisa-

teur, instantanément et sans contact, à chaque achat. Concrètement, le tag de la voiture est automatiquement reconnu par la pompe à essence, qui autorise le pro-priétaire du véhicule à se servir. Une fois le réservoir rempli, le client s’en va. Seul

l’identifiant per-sonnel de son tag a été transféré, et sa carte bancaire est i n s t a n t a n é m e n t débitée. Les tags portatifs fonction-nent selon le même principe, mais étant passifs (sans batterie), ils néces-sitent d’être à proximité du lec-

teur : le consommateur doit agiter son porte-clé ou sa montre à quelques centi-mètres d’un terminal ad hoc. Speedpass est d’ores et déjà accepté dans plus de 6.500 stations-service américaines (notamment dans l’ensemble des stations Mobil, le dispositif ayant été développé par le Groupe Exxon Mobil), dans plu-sieurs magasins de détail, et dans plu-sieurs centaines de restaurants MacDo-nald’s. Le système compte 8 millions d’utilisateurs.

Globalement, Rfid est donc une tech-nologie qui trouvera assurément de mul-tiples applications. Les étiquettes ne sont qu’une partie d’entre elles.

Idée reçue n°2 : « Rfid, c’est l’avenir » RF — la radio fréquence — est une

technologie déjà ancienne et largement maîtrisée, depuis plusieurs décennies. Le premier brevet portant sur le principe de tag Rfid date de 1969 (http://w w w. r f i d j o u r n a l . c o m / a r t i c l e /articleview/392/1/2/), mais l’utilisation de la technologie à des fins d’identifica-tion des produits a véritablement com-mencé à être explorée — et testée — à la fin des années 1990, notamment au Cen-tre Auto-ID, émanant du Massachusetts Institute of Technology. Rfid correspond simplement à l’utilisation des ondes ra-dio pour permettre l’identification, qu’il

s’agisse d’un véhicule, d’un individu ou d’un objet.

De très nombreux dispositifs utilisant Rfid ont été mis en place partout dans le monde au cours des dernières années, dans des applications de toutes natures. Pour n’en citer que quelques unes, on peut mentionner l’hôpital de Tampa, qui a généralisé l’emploi de tags Rfid sur les vêtements et rideaux chirurgicaux : un million d’étiquettes, permettant d’optimi-ser les flux et la traçabilité de ces pro-duits réutilisables au cours de leur cycle d e v i e ( h t t p : / /www.sptimes.com/2004/02/02/Business/Tiny_discs_help_SRISu.shtml).

Michelin teste depuis l’année der-

nière et en vraie grandeur des tags Rfid inclus dans les pneus, qui permet l’iden-tification unique de chaque pneu, et mé-morise des informations relatives à ses spécificités (date de fabrication, pression de gonflage idéale...) (http://w w w. r f i d j o u r n a l . c o m / a r t i c l e /articleview/269/1/1/).

En Chine, un dispositif de suivi des

transports de marchandises par train a été déployé. Près de 17.000 locomotives sont équipées de tags Rfid actifs et 500.000 wagons de tags passifs.

À court ou moyen terme, d’autres

types d’applications vont voir le jour : Steria est en train d’implémenter, à l’aé-

roport Charles de Gaulle et à celui d’Heathrow à Londres, un dispositif d’optimisation des flux de taxis. Cha-que voiture dispose d’un tag Rfid et le système surveille en permanence les mouvements des véhicules, couplés avec les afflux de passagers pour four-nir une information précise sur l’attente à prévoir.

L’aéroport international de Las Vegas va quant à lui mettre en place dès cette année un système de suivi des bagages basés sur des tags Rfid, pour lequel 100

millions de tags auraient été commandés ( h t t p : / /www.securitymagazine.com/.../0,5411,116832,00.html).

De même, tous les tickets vendus pour l’Expo 2005 qui se tenait au Japon, ainsi que pour la coupe du monde de football qui s’est tenue en Allemagne en 2006, comportaient des tags Rfid (http://www.infoworld.com/article/04/01/15/HNrfidsoccer_1.html).

SAP a par ailleurs annoncé l’ajout

d’un module dans son offre de gestion des chaînes d’approvisionnement, dispo-nible cette année et destiné à traiter les informations émanant des tags Rfid.

Le premier est un « tag autocollant » que l’on appose sur la lunette arrière d’une voiture, les autres sont de petits émetteurs portables, l’un s’attachant au porte-

clé, l’autre inclus dans une montre-bracelet. Ces « portes-monnaies électroniques sans fil » comportent

des tags Rfid (soit actifs, soit passifs), utilisés pour identifier l’utilisateur, instantanément et sans

contact, à chaque achat.

Les micropuces Rfid Cyril Fiévet

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Enfin, une étude rendue publique ce mois-ci relève que 41 % des distributeurs européens envisagent d’expérimenter Rfid dès 2004, et un quart des répondants affirment d’ailleurs déjà utiliser la tech-nologie au niveau des palettes de pro-duits (http://www.theregister.co.uk/content/53/35214.html). Cela n’empêche pas de nombreux observateurs de prédire qu’il faudra au moins 10 ans pour que les tags Rfid soient généralisés à tous les produits de grande consommation. On peut en douter, mais là n’est pas vraiment le problème : Rfid est, globalement, déjà une technologie du présent.

Idée reçue n°3 : « Un tag Rfid est pas-sif »

On dit souvent que les tags présentent

un fonctionnement proche de celui des codes à barres, en ce sens qu’ils se contentent de « répondre » à un signal qu’on leur envoie. Cette « passivité » (le tag ne peut pas « décider » d’émettre lui-même) est souvent utilisée comme un argument par les défenseurs de la techno-logie. Rfid n’aurait d’intérêt qu’à l’inté-rieur de l’entrepôt ou du magasin et ne fonctionnerait que selon un mode « question-réponse ».

Pourtant, cette vision des choses est partiellement fausse.

Il est vrai que l’essentiel de la pro-duction actuelle des tags Rfid porte sur des étiquettes passives. C’est d’ailleurs l’un des intérêts du concept qui sous-tend la technologie : les étiquettes ne compor-tent pas de batteries, mais utilisent le signal radio entrant, converti en énergie, pour produire un signal en retour. L’absence de batterie autorise la mise au point de composants plus petits et moins chers à produire.

Mais, pour autant, il existe des tags Rfid « actifs », comportant une batterie miniature, et donc capables d’émettre par eux-mêmes, même sans être sollicités pour le faire. Il existe d’ailleurs un consortium industriel, créé fin 2002, pour promouvoir la technologie des tags « actifs » : le Smart Active Labels Consortium (http://www.sal-c.org).

Idées reçues n°4 et 5 : « Les tags Rfid sont invisibles à l’œil nu » ou « Les tags Rfid sont de grande taille et on peut les enlever si on le désire »

On lit parfois que les tags sont si pe-tits qu’ils sont indécelables à l’œil nu. À

l’inverse, certains prétendent que les tags Rfid sont d’une taille comparable à celle des codes à barre, et que par conséquent l’utilisateur qui les juge indésirables peut facilement les ôter.

En fait, les deux assertions sont iden-tiquement vraies (ou fausses, selon le point de vue).

La taille des tags dépend en réalité de plusieurs fac-teurs, et surtout de leur puis-sance. En général, plus un tag est petit, plus courte est la portée du signal qu’il émet ou peut recevoir. Il va de soi qu’un tag actif est plus gros qu’un tag passif, ce dernier ne comportant pas de batte-rie.

On trouve ainsi des tags de l’ordre de quelques centimètres carrés, mais aussi des tags largement plus petits. À ce jour, les tags les plus petits sur le marché ont une largeur de l’ordre du demi millimè-tre. SmartCode a présenté récemment ( h t t p : / / r f i d j o u r n a l . c o m / a r t i c l e /articleview/764/1/1/) des prototypes de 0,25 mm de côté, c’est-à-dire une taille comparable à celle du point qui termine cette phrase. Selon l’entreprise, il serait doté d’une portée comparable à celle de tags de plus grande taille opérant dans la même gamme de fréquence, soit entre 4,5 et 6 mètres.

Du reste, on peut imaginer des tags incorporés dans — et non simple-ment apposés sur — les produits. La notion de taille ne fait pas tout, car une puce de quelques centimètres carrés peut bien être invisible lors-qu’elle est placée dans la semelle d’une chaussure ou dans la couver-ture d’un livre. Idée reçue n°6 : « Les tags Rfid

sont encore trop chers à produire pour être inclus massivement sur des produits de grande consommation »

C’est un argument souvent employé

pour expliquer que la généralisation des tags sera toujours limitée par leur coût, comparé au prix de revient du produit qui doit être tagué. En clair, qu’il est envisageable d’inclure un tag sur un télé-viseur, mais dissuasif pour le fabricant d’en inclure sur des rasoirs jetables, ou sur tous les produits dans la gamme de prix du dollar, à l’unité.

Le sujet fait l’objet d’un débat nourri entre industriels, et c’est assurément un point clé dans la généralisation de la technologie. Pour beaucoup, le seuil de 5 cents de dollar par tag fait figure de « saint Graal » de l »industrie, et les avis sont partagés quant à savoir s’il est attei-

gnable. On peut simplement constater que les

processus industriels sont en train de se mettre en place pour produire des tags à grande échelle. Globalement, l’industrie du code à barre, dans son intégralité, est

en train de migrer vers les tags Rfid. Rompues à l’industrialisation de masse, ces entreprises s’appuient sur des tech-nologies innovantes, avec pour effet des coûts de production qui diminuent très rapide-ment. L’impression des puces, en utilisant des encres conductrices ( h t t p : / /

w w w. a i m g l o b a l . o r g / . . . / d e c 0 3 /PrintedTags.htm), est particulièrement prometteuse. Il existe déjà plusieurs ty-pes de machines ressemblant à des impri-mantes, et permettant de fabriquer à rythme soutenu des tags immédiatement opérationnels. On peut penser que cette tendance ne va faire que s’accentuer dans les mois et les années à venir.

Pour l’instant, le coût unitaire d’un tag est en général supérieur à 15-20 cents de dollar, ce qui est encore élevé pour des produits de consommation à prix faible. Toutefois, il a été rapporté dans la presse que Gillette aurait payé 10 cents de dollar le tag, lors de sa fameuse com-mande de 500 millions de tags produits par Alien Technology. SmartCode, une entreprise israélienne, estime du reste qu’elle vendra ses tags, à court terme et pour de gros volumes (1 milliard d’uni-tés), à un prix compris entre 5 et 10 cents de dollar. SmartCode a d’ailleurs pour ambition de mettre en œuvre une techno-logie industrielle permettant la produc-tion de 10 milliards de tags par an. Il en va de même pour Alien Technology, qui a annoncé pouvoir produire 20 milliards de tags en 2005. Et quelques industriels semblent confiants sur l’amplification de la baisse de prix attendue : « Dans 18 mois, nous produirons des tags Rfid semi-actifs, comportant antennes et bat-teries, pour un coût unitaire de moins d’un cent de dollar », estime par exem-ple Shalom Daskal, le PDG de Power Paper, une autre entreprise israélienne ( h t t p : / / r f i d j o u r n a l . c o m / a r t i c l e /articleview/770/1/1/).

Idée (pas si) reçue (que ça) n°7 : « Les tags Rfid permettent de transmettre des données personnelles »

C’est bien sûr la principale crainte

des défenseurs de la vie privée. Pourtant, pour ce qui concerne les tags Rfid appo-

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sés sur les produits, cette crainte est ma-joritairement sans fondement, du moins aujourd’hui. Par construction, un tag Rfid de ce type est utilisé comme outil de traçabilité du produit et de gestion des stocks. Il est donc « créé » très en amont dans la chaîne de distribution, et n’est plus modifié par la suite.

Le tag contient un identifiant unique propre à chaque exemplaire du produit, mais dans l’état actuel de la technologie, il est impossible de le modifier et notam-ment de lui adjoindre par la suite des informations relatives à son acheteur individuel (cela supposerait par exemple que les caisses de supermarché soient équipés d’appareils pouvant associer un produit à un client, et capable de mémo-riser cette donnée dans le tag, ce qui n’est pas encore le cas). La puce apposée sur un produit n’émet pas, à proprement parler, d’informations relatives à une personne.

Mais on peut néanmoins imaginer que le croisement, au sein de bases de données, d’identifiants de produits et de données personnelles, pourrait servir de base à un puissant dispositif de recoupe-ment marketing. « En tant que technolo-gie de radio-identification, les étiquettes Rfid ne posent pas de problème tant qu’elles sont cantonnées à la chaîne lo-gistique. Toutefois la norme EPC (cf. ci-dessous, Ndrl) permet d’établir un lien entre une base de données distante, un produit et un consommateur dans un magasin. L’étiquette est en effet active, intemporelle et consultable à distance, ce qui représente une menace pour la pro-tection des données personnelles du consommateur », explique Yann Le Hé-garat, expert de la Cnil (Décision Micro, 2 février 2004).

En outre, ce qui est vrai des tags Rfid sur les produits de grande consommation ne l’est pas pour la technologie dans son ensemble. Plusieurs applications existan-tes nécessitent la mémorisation dans un tag Rfid de données identifiant précisé-ment chaque utilisateur (titres de trans-port, dispositif de paiement). Curieuse-ment, contrairement à ce que laissent souvent entendre les associations de dé-fense du consommateur, l’application de Rfid aux étiquettes de supermarché n’est donc pas aujourd’hui la principale source de problème que pose Rfid en matière de respect de la vie privée…

Idée (parfois) reçue n°8 : « Rfid est une technologie mature »

Bien qu’opérationnelle aujourd’hui,

Rfid souffre de plusieurs défauts, dont la plupart sont inhérents aux technologies d’émission d’ondes radio. En particulier,

les ondes sont très sensibles à la proximi-té de liquides et de certains métaux. En d’autres termes, concevoir un tag Rfid pouvant fonctionner lorsqu’il est collé sur une canette de soda relève du casse-tête. Du reste, le corps humain lui-même constitue un écran efficace, susceptible de rentre inopérants les tags de faible portée.

En outre la technologie n’est pas tota-lement standardisée. C’est même le prin-cipal enjeu des efforts industriels actuels. Plusieurs organismes de normalisation vont tenter d’harmoniser la situation et d’imposer un standard (cf. Elec-tronic Product Code, h t t p : / /www.epcglobalinc.org, dont la première norme, EPC 1.0, a été publiée en septembre 2003). On peut d’ailleurs noter la consti-tution en Chine, début janvier, d’un groupe de travail national destiné à la normalisation des tags Rfid (http://www.nacsonline.com/...nd0116044&ch=News).

Pour l’heure, l’absence d’intéropéra-bilité est un frein sérieux à la généralisa-tion de Rfid, et à son utilisation poten-tielle à des fins de « surveillance glo-bale ».

Un débat à ouvrir

Les opposants à la technologie met-

tent souvent en avant les possibilités de traçage des individus qu’elle permettrait, déployée à grande échelle. À ce jour, compte tenu de la puissance des tags utilisés comme étiquettes sur les produits de grande consommation, c’est une vue de l’esprit. Mais on sent bien que l’évo-lution de la technologie pourrait conduire à des scénarios inquiétants.

On peut prendre pour exemple une application industrielle existante. La so-ciété Wherenet a déployé en novembre dernier sa solution de traçage à base de tags Rfid, au sein de l’usine BMW de Dingolfing en Allemagne. Cette solution s’appuie sur des tags spécifiques ( « W h e r e t a g s » , h t t p : / /w w w . w h e r e n e t . c o m /products_wheretag.html) et sur un dispo-sitif de localisation en temps réel. Le système permet de localiser n »importe lequel des nouveaux véhicules produits, où qu’il se trouve sur le vaste site de l’usine, via un simple navigateur web. Les caractéristiques des tags sont les suivantes : ils sont actifs, disposent d’une portée variant de 100 (en intérieur) à 300 mètres (extérieur), pèsent 53 grammes, et

sont d’une taille légèrement supérieure à celle d’un ticket de métro parisien (mais avec une épaisseur de 2 cm). En outre, ils disposent d’une batterie, dont la durée de vie est fonction des signaux émis : sur la base d’une émission toutes les six minu-tes, permettant donc de localiser le tag avec une extrême précision sur le site industriel concerné, la batterie dure sept ans. La solution est bien sûr ici limitée à un usage purement industriel, et pour des véhicules. Mais en sera-t-il toujours ain-

si ? Assurément, Rfid est générateur de valeur, comme le montrent la plupart des implémenta-tions effectuées à ce jour. Mais par es-sence cette techno-logie porte égale-ment en elle les

germes de dispositifs de traçage des biens et des personnes à très grande échelle, sans équivalent à ce jour, et gé-néralisables à l’infini. Une prise de cons-cience de cet état de fait est une étape préliminaire à toute discussion, qui doit impérativement voir se concerter indus-triels, pouvoirs publics et défenseurs des libertés individuelles.

Car pour l’heure, la seule certitude que l’on puisse forger sur la question est bien que Rfid est une révolution en mar-che.

Pour en savoir plus :

Magazine professionnel de référence : h t t p : / / r f i d j o u r n a l . c o m Blog du Rfid Privacy Happenings, héber-gé au MIT : http://www.rfidprivacy.org/blog/ Rfid Connections, la newsletter de l'Association for Automatic Identification and Data Capture Technologies (AIM) : http://www.aimglobal.org/technologies/r f i d / n e w s l e t t e r /R F I D _ N e w s l e t t e r _ I s s u e s . h t m FAQ et explications techniques propo-sées par l'AIM : http://www.aimglobal.org/t e c h n o l o g i e s / r f i d / Blogs recensant les articles relatifs à Rfid : http://www.rfidlog.com et http://www.rfidnews.org Sources : http://www.europal.net/Fr/I n f o s / R F I D a r t 5 . s h t m h t t p : / /w w w. t o u t e l a v e r i t e . c o m / h t m l /m o d u l e s . p h p ?name=News&file=article&sid=290 Sources : Site Internet « onnouscachetout.com »

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HYPERDRIVE : L’ARMÉE AMÉRICAINE VOYAGE EN 8 DIMENSIONS

Voyager de la Terre vers Mars en 3 heures ! L’armée américaine relève le défi, mais au prix d’une nouvelle interprétation des lois de la physique

Par Yves GRANDMONTAGNE

L e « New Scientist » a évoqué le fabuleux projet de l’armée américaine de tester un nou-veau type de voyage spatial,

très science-fiction, qui promet de relier la Terre à la planète Mars en seulement trois heures. La seule difficulté pro-vient des théories physiques invo-quées, que la plupart des scientifiques avouent ne pas comprendre…

Le projet est très sérieux, vous expli-quera-t-on. Développé par l’Université de l’Arizona et dirigé par un certain Pa-vlos Mikellides, il a obtenu l’an passé le prix du meilleur projet nucléaire et de

vol du futur de l’American Insti-tute of Aeronau-tics & Astronau-tics. Le principe phy-sique du projet « hyperdrive » est celui de la « force anti-gravité répul-sive ». Pour en

comprendre le fonctionnement, si vous placez un énorme anneau qui tourne au dessus d’une bobine supraconductrice et que vous pompez suffisamment de cou-rant au travers de la bobine, le champ magnétique qui va en résulter va réduire la gravitation sur l’anneau qui flottera alors librement.

Le projet s’appuie sur les théorie du

scientifique allemand Burkhard Heim, qui en tentant de réconcilier la théorie de la relativité de Einstein à celle de la mé-canique quantique, a formulé la théorie

d’un univers en 6 dimensions. Aux quatre dimensions traditionnel-

les à la base des théories d’Einstein (3 dimensions dans l’espace et 1 dans le temps), Heim ajoute deux nouvelles dimensions, la gravité et l’électroma-gnétisme, la conversion de l’une vers l’autre et vice versa étant possible, ce que les 4 dimensions traditionnelles n’autorisent pas. Partant de sa théorie, Heim affirme qu’« un champ ma-gnétique en rotation peut réduire l’influence de la gra-

vité sur un vaisseau spatial, suffisamment pour qu’il puisse décoller ». Une théorie qui avait en son temps (les années 50) un supporter, Werner Von Braun, le « père » de la conquête spatiale américaine et des fusées Saturn. Mais la technologie ne permettait pas d’expérimentation...

Et voici qu’apparaissent en 1980

deux nouvelles dimensions, le postulat d’un univers en 8 dimensions émis par un scientifique autri-chien, Walter Drös-cher. Celui-ci com-plète les 6 dimensions de Heim de deux for-ces fondamentales : une « énergie noire », celle qui serait à l’ori-gine de l’accélération de l’expansion de l’univers ; et une hui-tième dimension ou force qui résulterait de l’interaction des cinquième et sixième dimensions de Heim avec la septième dimension de Dröscher.

Cette interaction produirait des

« gravitophotons », des particules qui

assureraient l’interconversion des éner-gies électromagnétique et gravitation-nelle.

Walter Dröscher aurait collaboré avec

un physicien autrichien, Jochem Häuser, de l’Université des sciences appliquées de Salzgitter, pour développer un guide de propulsion spatiale basée sur la théo-rie des quantums de Heim.

La difficulté liée à cet en-semble de théories, c’est que la majorité de la com-munauté scientifique les ignore et surtout selon le « New Scientist » ne les comprend pas ! De plus, à Dröscher et Häuser qui se proposent d’expérimenter et de démontrer leurs théo-ries, il semblerait que cela soit impossible puisque les

matériaux et technologies nécessaires n’existeraient pas… encore !

Reste donc l’armée américaine, prête

à tenter l’aventure et à se déplacer vers la planète rouge en trois heures grâce à une

bobine et un anneau propulsés dans un « hyperespace » multidimension-nel dont on ne connaît encore que si peu de choses, et d’abord s’il existe, pour peu que l’on puisse dépasser le stade de la théorie !

Pavlos Mikellides

Burkhard Heim

Werner Von Braun

Walter Dröscher

Hyperdrive pour l’armée américaine Yves Grandmontagne

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Z MACHINE, ÂGE D’OR OU APOCALYPSE ?

Par Jean-Pierre PETIT

C ’est une histoire d’enfer et de paradis bien réelle, sur fond de fusion nucléaire. Cela se passe sur Terre, depuis plusieurs

mois déjà, et ce n’est toujours pas à la une des journaux ! Voici un texte de pré-sentation de la Z machine inspiré des deux sources citées en bas de page. Embarcation immédiate pour le 21ème siècle.

Voilà une découverte qui

combine, arme nucléaire, rayons X, et fusion nucléaire en une seule et même ma-chine !

Présentation de la bête

Officiellement, les USA

ont adopté fin 2005 un pro-gramme de rénovation de leur stock d’arme nucléaire, destiné à sécuri-ser, fiabiliser donc réduire le nombre de têtes et faire des économies (programme Reliable Replacement Warhead). Dans ce cadre, ils ont testé la résistance des ogives face à des systèmes antimissile type guerre des étoiles. Et pour cela ils ont construit la « Z machine »... et, très progressivement, augmenté les perfor-mances de ce générateur de rayon X, jusqu’à obtenir quelques petits millions de degrés (2 milliards de degrés lors d’une nouvelle expérience, mille fois plus que la précédente !). Mais ce n’est pas tout : dans l’expérience, la « Z

machine » a sorti quatre fois plus d’é-nergie qu’on n’en avait entré. Pour accomplir un tel prodige, en principe, il n’y a qu’une réaction de fusion nu-cléaire. Les chercheurs n’en reviennent pas. Pourtant, les gens de Sandia n’ont

rien du savant Cosinus : ils ont fait et refait leur expérience avant d’ouvrir le bec sur ce résultat aussi inattendu que stupéfiant !

Élément du dispositif (cible) consti-

tuée de fils métalliques

L’information a filtré et les militaires n’ont bien sûr pas tardé à « refermer la boîte », mais c’était trop tard, le lapin était sorti du chapeau. Depuis, les spécialistes US de la bombe sont tellement excités qu’ils n’en dorment plus. 2 milliards de degrés, c’est bien plus qu’au centre du soleil. Jusqu’à présent, le record de température était quatre fois inférieur, et encore, au cœur des plus puissantes bombes à hydrogène ! C’est au choix la porte ouverte à l’Apocalypse

ou à l’Âge d’Or; d’un côté des bombes comme des petits pains, de l’au-tre l’énergie abondante et bon marché.1

Version Âge d’Or Pour les responsables Français, c’est très gênant. Ils voient d’un mauvais œil une nouvelle remettant

radicalement en cause les deux projets phares qui devaient leur assurer une

place au soleil pour les années à venir, Mégajoule, à Bordeaux, et ITER, à Ca-darache. ITER est notre futur réacteur expérimental à fusion nucléaire. Le traité vient juste d’être signé, le 26 mai 2006. On en est très fier, bien que les grin-cheux disent que la technologie mise en œuvre est une dangereuse impasse. Pour eux, ITER, serait la machine à vapeur du troisième millénaire ! ITER sera au cœur de la stratégie énergétique Française. D’ailleurs, on ne le présente plus comme un projet scientifique mais comme un projet de société, avec tennis et piscine pour des milliers de chercheurs.

Avec un engin comme ITER, on

cherche à obtenir la première réaction de fusion envisageable, celle du Deutérium et du Tritium, accessible à partir de « seulement » 100 millions de degrés. On y est presque, et encore, après 50 ans de recherche. Mais ce n’est pas encore la panacée, à cause des neutrons produit dans la réaction, synonyme de déchets

radioactifs. On peut cependant se deman-der quel scientifique honnête voudra désormais travailler sur ce dinosaure, alors que l’expérience de Sandia montre la voie d’une technologie de fusion plus simple, plus fiable, moins chère...

Là se niche en effet la promesse d’Âge d’Or de l’énergie sans pollution, pour rien et pour tous. Avec une dizaine d’années de recherches intelligentes, on devrait pouvoir mettre les centrales nu-cléaires au placard, même si cela dérange quelque peu l’ordre actuel.

La Z machine

1 - Nikola Tesla nous aurait fourni l’énergie GRA-TUITEMENT suite à toutes ses expériences. Mal-heureusement, de puissantes sociétés n’auraient pu faire de gros bénéfices.

« Et pendant ce temps là à Cadarach », futur site d’Iter...

Jean-Pierre Petit Z machine, âge d’or ou apocalypse

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Version Apocalypse Pour les militaires Américains, la « Z

machine » vient d’expliquer comment faire une bombe à fusion thermonu-cléaire enfin propre, en se débarrassant du très salissant détonateur habituel, constitué d’une classique bombe A, à fission, comme à Hiroshima. À la clé, des bombes H pratique, c’est-à-dire utili-sable. D’autant plus que celles-là seront sans radioactivité (sauf si on veut en avoir exprès, pour des bombes à neutrons anti-personnelles, par exemple), et qu’el-les n’auront pas de limitation inférieure de puissance. Jusqu’alors, faire sauter le monde était un jeu d’enfant, mais on ne pouvait pas jouer... Maintenant, on va pouvoir en faire du sur-mesure, pour jouer tous les jours. Si la « Z machine » tire classiquement son énergie du sec-teur, on a déjà des tas d’idées pour mini-aturiser la source.

Les USA ont lancé en 2005 un pro-

gramme de rénovation de leur stock d’arme nucléaire, destiné à sécuriser, fiabiliser donc réduire le nombre de têtes et faire des économies

Effet secondaire indésirable cepen-

dant, cette simplification met la bombe à la portée de n’importe qui. N’ayant plus besoin de passer par la difficile étape de l’enrichissement de l’uranium pour fabri-

quer le détonateur, tout le monde va pou-voir s’y mettre. Les plans pour la nou-velle bombe US sont déjà, depuis le mois de mars, sur le bureau du Conseil chargé des Armes Nucléaires. La nouvelle étant

publique, est-il besoin de préciser que la Russie et la Chine en sont sans doute au même point ? De fait, la course aux armements est relancée et la reprise des essais tout azimut n’est qu’une question de temps. Depuis l’expérience de San-dia, on sait qu’on a 2 mil-liards de degrés à portée de main. Ça change tout. Dès lors, l’humanité a le choix. Mais nous savons que lors-que les militaires ont le

choix, ils choisissent toujours le pire !!

Source : Agoravox et UFO Publication.

LES ASTRONOMES ONT VOTÉ : PLUTON N’EST PLUS UNE PLANÈTE

J eudi 24 août 2006, 15 h 20 au centre des congrès de Prague. 15 h 33, le

verdict tombe : Pluton n’est plus une planète. À plus de 300 voix contre 91, l’amendement 5b est rejeté et Pluton n’est plus une planète.

Au début de la réunion, Jocelyn Bell, astrophysicienne britannique, dispose sur la table un ballon bleu, une peluche de Pluto, le chien de Walt Disney, un paquet de céréales et un citron. Les centaines d’astronomes du monde entier réunis à la 26ème assemblée générale de l’Union Astronomique Internationale (UAI). Dés le départ, les astronomes ont voté la résolution 5a qui définit une planète comme tout objet tournant du Soleil, suffisamment massif pour être sphérique et dominant gravitationnellement son environnement.

Reste désormais à se prononcer sur l’amendement 5b, qui propose lui d’accoler au terme « planète » le qualificatif « classique ».

« Si vous rejetez cet amendement, explique Jocelyn Bell, alors il y aura trois catégories distinctes d’objets dans le Système Solaire : les planètes (représentées par ce ballon bleu), les planètes naines (les céréales) dont fera partie Pluton (la peluche), et enfin les petits corps du Système solaire symbolisés par ce citron ».

« Si, en revanche, vous acceptez

l’amendement 5b, alors il n’y aura que deux catégories d’objets : d’une part, les planètes divisées entre les classiques et les naines, et d’autre part, les petits corps. Compris ? » Pas tout à fait encore : « Si 5b est rejeté, Pluton reste-t-il une planète ? » interroge une voix angoissée. Réponse de Ron Eckers, alors président de l’UAI : « Non, si 5b est rejeté, Pluton n’est plus une planète ».

Vous savez désormais le résultat.

Dates clés

1930 : Pluton est découverte par l’Américain Clyde Tombaugh. Elle est dés lors présentée comme la « neuvième planète du Système solaire ». 1978 : Découverte de Charon, astre compagnon de Pluton. La mesure de son orbite permet de déduire le diamètre de Pluton (2.300 km) et sa masse (un cinquième de celle de la Lune). 1992 : David Jewitt et Jane Luu découvrent le premier objet de la ceinture de Kuiper, baptisé QB1. Pluton pourrait bien en être l’un des plus gros représentants. 2002 : L’Américain Mike Brown découvre dans la ceinture de Kuiper Quaoar, un objet d’environ 1.200 km de diamètre, puis Sedna en 2003, d’un

diamètre estimé à 1.800 km. 2005 : Mike Brown découvre l’objet 2003 UB 313 dans la ceinture de Kuiper. D’un diamètre estimé à 2.800 km, il est présenté comme « la dixième planète du Système solaire ». 2006 : L’UAI choisit une définition au mot planète, qui exclut de cette catégorie Pluton et l’objet 2003 UB 313.

Article composé à partir de celui de la revue CIEL & ESPACE n° 436 — 10/2006. Si vous voulez consulter cet article en entier, beaucoup plus long, consultez ce numéro ou allez sur leur site Internet : www.cieletespace.fr Vous y trouverez également le détail des diffé-rents corps planétaires et leur classement. N’oubliez pas les autres articles intéressants.

Jean-Pierre Petit Z machine, âge d’or ou apocalypse

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

ALTERNATIVE 3… Projet contesté ! Vrai ou faux ?

Article du 05 juillet 2005

À la manière d’Orson Welles en octobre 1938, la chaîne de télé-vision britannique « Anglia TV » programma le 20 juin

1977 un documentaire intitulé « Alternative 3 ». L’émission de Welles (la guerre des mondes) avait été diffusée la veille d’halloween et ceux qui s’étaient bran-chés en cours de pro-gramme n’avaient pas compris qu’il s’agissait d’un canular. C’est un peu le même scénario qui se produisit lors de la diffusion en Angle-terre de ce documen-taire. Cette émission fut diffusée dans le cadre d’un rendez-vous scien-tifique régulier sur la conquête spatiale (Science Report). Une liste d’acteurs apparaissait au générique et le copyright était daté du 1er avril (avec un objectif de diffusion initial à cette date mais des retards avaient été pris et la date décalée de quelques jours).

Il faisait le constat d’une Terre mou-rante où la pollution née de l’effet de serre et la surpopulation allait contrain-dre les hommes à trouver une issue dans l’espace pour survivre.

Dans le documentaire, trois solutions avaient été envisagées pour résoudre les « mots » de notre planète :

− L’alternative 1 qui consistait à anéan-

tir une partie de la population avec

des bombes nucléaires lancées en haute atmosphère.

− L’alternative 2 qui consistait à créer de gigantesques villes souterraines pour évacuer une partie des élites terrestres.

− L ’ a l t e r -native 3 qui, avec l’aide d’un pro-gramme spa-tial secret issue de do-cuments sur les soucou-pes volantes ( o u d e concep t ion extraterrestre

selon les versions de l’histoire), de-vait sélectionner quelques hommes qui pourraient trouver refuge sur Mars en cas de danger imminent de destruction de la Terre.

Les témoignages et le repor-tage expliquaient pourquoi l’alternative 3 avait été retenue par les Russes et les Améri-cains qui travaillaient à ce programme secret avec des technologies inconnues du grand public. La Lune et Mars avaient été choisies pour y édifier d’énor-mes structures R u s s o -Américaines à l’aide de sa-vants et d’ou-vriers esclaves

enlevés sur Terre. Comme il fallait s’y attendre, les standards téléphoniques de la chaîne de télévision furent saturés d’appels. 10.000 personnes se senti-rent en pleine conspiration et la nouvelle se répandit en masse dans les jour-naux du lendemain matin. La chaîne fera des excuses

publiques, mais le canular fit grand bruit longtemps après la diffusion car de nom-breux téléspectateurs refusèrent de croire à une fiction.

Les suites

En 1978, la chaîne vendra les droits à

Leslie Watkins pour une adaptation en livre de poche. Il avait décidé d’amplifier cette histoire que personne ne croirait, mais encore une fois le public était pas-sionné par le sujet. De nombreux corres-pondant (scientifiques et politiques) lui avaient envoyé des documents d’une importance capitale, et il décida de pu-blier un second livre sur l’alternative 3.

Dans le documentaire de 52 minutes,

il est montré un morceau de film sur l’at-terrissage d’une « capsule » à la surface de Mars en 1962. Au moment du posé, une sorte de « taupe » s’enfuie en soule-vant quelques morceaux de Terre. Pour l’observateur attentif, certains détails restent tout de même extrêmement trou-blants.

Mise à jour du 29/03/2006 :

Remake de l’alternative 3 L’alternative 3, est un mythe qui vou-

lait qu’à l’aide d’un programme spatial secret, quelques hommes soient sélec-tionnés pour trouver refuge sur Mars en

Ceci est une des images les plus impressionnantes de la vidéo proposée par TOP SECRET. Effectivement, à la surface martienne apparaît une sorte de « taupe » qui rampe sous le sol.

Chron Alternative 3… Projet contesté !

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

cas de danger immi-nent de destruction ou de catastrophe sur la Terre. Or le scientifique en chef de l’Agence euro-péenne de l’espace (ESA) a déclaré à la BBC qu’il fallait nous préoccuper de constituer selon ses propres termes « une arche d’un Noé » sur la Lune, au cas où la vie sur Terre était éliminée par un holocauste.

Le Dr Bernard Foing pense que l’ar-

che devrait être un dépôt pour l’ADN de chaque espèce simple de vie végétale et animale, car si la Terre venait à être dé-truite, il n’y aurait plus de diversité de vie sur la planète. Sa solution est donc de constituer une bibliothèque d’ADN sur la

Lune avec quelques échantillons de la biosphère Terrestre, y compris des sé-quences humaines ! Ce projet sera exa-miné dans la « gamme des technologies innovatrices » qui devraient être propo-

sées pour les futures missions de l’Agence Européenne de l’espace. Plus que jamais, la colonie Lunaire est donc en route… Source : BBCnews. Mise à jour du

14/06/06 :

Coloniser l’espace ou mourir

Pour l’astrophysicien Stephen Haw-

king de l’université de Cambridge qui a répondu aux questions d’un journaliste de l’université de Hong Kong, la survie de la race humaine dépend de sa capacité

à trouver « une issue » ailleurs dans l’univers, car le risque d’un désastre détruisant la Terre est toujours plus croissant. Pour les humains la première étape

serait une base permanente sur la Lune dans 20 ans et une colonie sur Mars dans 40 ans « Nous ne trouverons jamais un site

aussi accueillant que notre Terre, à moins que nous allions dans un autre système solaire. Il est important que la

race humaine s’étende dans l’espace pour la survie de notre espèce » a décla-ré Stephen Hawking. Il a ajouté que si les humains évitaient de s’auto détruire dans les 100 années à venir (réchauffage

g l o b a l s o u d a in , g u e r r e nucléaire, v i r u s g é n é t i -quement modif ié ou d’au-t r e s dangers q u e n o u s n ’ a -v o n s pas encore imagi-nés), ils pourront alors coloniser un es-pace « indépendant » du soutien de la Terre.

Source : Chron.

Dans notre dossier HS « Opération majorité & le gouvernement clandestin » Milton William Cooper revient sur nombre de projets secrets ainsi que sur les 3 alternatives. Sachant que Cooper annonce beaucoup de secrets réels, alors pourquoi pas ? Nous vous recommandons la lecture de ce dossier.

Dans l’édition du 19 septembre dernier du journal suisse « Le Matin », nous pouvons découvrir la première femme bionique. Grande première réussie et qui permet à ce soldat des Marines de pouvoir contrôler sa prothèse juste par la pensée et sentir son bras, la chaleur ou une poignée de mains. Cette personne a été opérée deux ans après avoir perdu son bras dans un accident de moto. Claudia Mitchell a passé un an à contrôler sa prothèse avec laquelle elle peut désormais peler une orange. Par contre, nulle part n’est indiqué le prix de ce bras bionique. Certainement pas « trois mil-liards de dollars », quoique...

« Patrick Tallon, porte-parole du ministère de l’agriculture, recon-naît que la majorité des bêtes élevées en France mangent d’ores et déjà des plantes OGM ». « “Aucun risque sanitaire n’a pu être prouvé à ce jour” » indique le rapport parlementaire publié par l’Assemblée nationale en avril 2005. Voici 2 extraits mis en avant par les journalistes du « Monde » qui a sortit ce supplément en date du 25 novembre 2006.

Chron Alternative 3… Projet contesté !

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

I l était une fois deux triangles qui ne se connaissaient pas, car n’ayant aucun rapport direct entre eux. Et pourtant, bien des années après

leur naissance, ces deux triangles, que tout séparait, allaient être à l’origine de la super-géométrie présentée ici.

Le premier appartient à un chercheur de la Loire-Atlantique, Michel Barbot. De ses travaux sur les mystères de la forêt d’Écouves, il avait extrait trois sommets portant le même nom : Dom-front. Le plus connu dans l’Orne, et l’au-tre dans l’Oise ; le dernier, spécifié « en Champagne », étant dans la Sarthe. À remarquer que nous sommes loin de Troyes, cette dénomination paraît donc curieuse, à première vue. Mais moins évidemment, au deuxième regard, si on se rappelle que le château de Chambord, à l’origine, appartenait aux Comtes de Blois… de la Maison de Champagne.

Ce rapprochement n’est pas une vaine digression, puisque Chambord apparaîtra dans le deuxième triangle.

Ne sachant trop quoi tirer de cette triangulation insolite, Michel Barbot demanda à deux correspondants de lui calculer le centre de ces trois sommets. Patrick Berlier lui communiqua un centre « un peu plus secret », sans rapport avec le centre géographique que je lui présen-tai, et situé à l’Aigle. Il s’avéra aussi que la hauteur aboutissant à Domfront dans l’Oise, passe par Gisors.

Tout est lié ; quelles que soient les recherches effectuées par des chercheurs indépendants les uns des autres, on re-tombe toujours sur les mêmes points-clés.

Personnellement, j’en étais resté là,

Michel Barbot faisant ce qu’il voulait de mes renseignements envoyés en 1999 ou 2000. Par contre, poursui-vant mes études orthogéométri-ques, qui ne portaient pas encore ce nom en ce temps-là, je déni-chais un triangle isocèle faisant partie d’un groupe dont le sommet commun était les grottes d’Altami-ra, en Espagne.

Le triangle qui intervient dans

notre conte de fées a pour base Gué-d’Hossus et Stenay. C’est une

mince tranche qui me-sure 70 kilomètres à la base pour 980 de lon-gueur. Le côté Stenay-Altamira a ceci de parti-culier, qu’il se prolonge au nord-est vers Rema-gen en Allemagne, appa-rition mariale de 1950. Et vers le sud-ouest, jus-qu’à Fatima, en passant

par les atterrissages de Vouneuil-sur-Vienne, et Castello-Branco au Portugal. Quant à Fatima, elle dé-montre, si l’on en doutait encore, que les apparitions mariales ne sont, et n’ont jamais été aléatoires.

Au total, la dis-tance séparant Remagen de Fatima, affiche un kilométrage impressionnant : 1720 ; belle ligne orthoténi-que à travers quatre pays. En partant de Gué-d’Hossus, nous traversons L’Île Bouchard, qui reçut la vi-site de la Vierge, le 8 décembre 1947, et qui fut détail-lée par ailleurs. Puis nous cou-

pons le centre d’une droite que nous al-

AU DÉBUT ÉTAIENT LES TRIANGLES

Par Raymond TERRASSE

Triangle de Michel Barbot, publié dans SUN N° 32

Vue d’ensemble à l’échelle 1 / 10.000.000 des triangles ayant Altamira comme som-met commun.

Croquis n° 1

Croquis n° 2

Croquis n° 3

Au début étaient les triangles Raymond Terrasse

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

lons revoir : Stonehenge- Rennes-le-Château. Ici, et sans paraître extravagant, je peux avancer que la Noble Dame, en se déplaçant à l’Île Bouchard, préparait le posé de Gué-d’Hossus, 46 ans et quel-ques mois plus tard (6 mars 1994).

La hauteur est également remarqua-ble, car elle passe par le posé de Villers-le-Tilleul, et surtout le château de Cham-bord. Puis elle longe le château de Che-nonceaux à 1.000 mètres au sud-est. Le centre se place sur cette ligne à 5 kilomè-tres au-dessus de Chambord.

Le château de Chambord est au cœur de l’orthogéométrie. Mais c’est l’article de Michel Barbot paru dans « Sentinel UFO News n° 32 » du premier trimestre 2006, et faisant état de ce que je lui avais transmis, qui m’a soufflé une idée, qui aurait pu conduire à une impasse..

Il s’agissait de relier, non pas les deux centres géographiques, ce qui n’ap-portait rien, mais les deux centres d’inté-rêt, avec un prolongement de part et d’autre. Que le lecteur fasse la grimace, mais soit indulgent, car je vais écrire que l’Aigle de l’orthogéométrie, c’est Cham-bord.

Bien qu’étant habitué à ce qu’une ligne en générât une autre, qui elle-même…, je ne m’attendais pas à ce dé-ferlement de surprises.

La première vint de ce que la ligne descendant vers le sud-est, passait très près du centre de Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence, à 184 kilomètres de Chambord. Confirmé par la ligne princi-pale N° 1, le croisement se place à 2 ki-lomètres au nord-ouest. Cependant, il en fallait plus pour qu’une étude sérieuse puisse voir le jour.

C’est alors qu’intervinrent trois autres triangles, dont la présence s’avèrera in-

discutablement logique et précieuse. Le premier, le plus grand, à la fois

par sa taille et sa contribution, est iso-cèle. Sa base est au sud de la France, en s’étendant sur 334 kilomètres, entre Rennes-Le-Château, cher à Guy Mouny, et Théopolis, la Dardanus de Roger Corréard, bénie par les visites d’OVNI, et dont le fleuron est l’apparition mariale de 1656, à un pâtre nommé Honoré Masse ; homonyme ou ancêtre du témoin-acteur de Valensole. La pointe de ce triangle se situe 961 kilomètres plus haut, en Grande-Bretagne, très pré-cisément sur Stonehenge. Nous venons de constater que Stonehenge - Rennes-le-Château, était coupé au milieu par Gué-d’Hossus / Altamira. Le côté Théopolis-Stonehenge passe par la localité de Loury à proximité d’Orléans.

J’ai déjà parlé de son château dont le donjon porte une plaque datée en principe de 1527, et van-tant les amours de François 1er et de Diane de Poitiers, mariée à cette époque à Louis de Brézé. Plaque énig-matique à plus d’un titre, et complète-ment occultée par les historiens ; allez savoir pourquoi. Mais il est bien connu que l’Histoire écrite par les historiens,

n’est justement pas celle qu’ils devraient écrire. Heureusement que Di-dier Coilhac a sorti cette plaque de l’oubli, et en a tiré des renseignements qu’il ne faut surtout pas manquer de lire dans son ouvrage « Les mystères des châteaux ».1 La hauteur du triangle partant de la base, traverse évidemment toute la métropole. Elle réussit le remar-quable exploit d’être absolument parallèle à 23 kilo-mètres de la ligne initiale l’Aigle / Chambord. Pre-mier encourage-

ment à poursuivre. Un triangle, qui au début, pa-

raissait isocèle vint ajouter sa par-tition. La base part toujours de Rennes-le-Château, mais se dirige cette fois vers Cotignac, l’appari-tion mariale de 1519, à 320 kilo-

mètres. Malheureusement, il manque 2 kilomètres au côté Rennes-N-D de Paris — 652 contre 654 à Cotignac-N-D de Paris — pour que son isocélie soit justi-

fiée. Cependant, tout en devenant scalène

par cette petite infirmité, ce triangle reste malgré tout : indispensable.

En effet, le côté Rennes-le-château / N-D de Paris coupe en plein milieu : Théopolis-Stonehenge. Et son intersec-tion avec la hauteur du triangle Stone-henge / Rennes / Cotignac, détermine le centre de celui-ci.

Au surplus, sur sa lancée, son croise-ment avec la ligne N° 1 Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence, se fait exac-tement au centre du couloir de 23 kilo-mètres.

1 - En vente auprès de votre association, avec dédicace de l’auteur. Voir le catalo-gue.

Le couloir de 23 kilomètres se dirige sur Stonehenge

Croquis n° 4

Croquis n° 5

Croquis n° 6

Au début étaient les triangles Raymond Terrasse

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

Curieusement, ce point situé à 25 kilomètres environ au sud-ouest du cen-tre officiel de l’IGN pour la seule métro-pole, donne l’impression d’être plus cré-dible que son confrère.

Si l’on mesure ce couloir d’un bout à l’autre de la France, c’est à dire de Houl-gate aux Saintes-Maries de la Mer, il y a 365 kilomètres de part et d’autre.

Horizontalement, nous comptons 290 kilomètres à égalité.

Verticalement, depuis Dunkerque, 510 kilomètres, contre seulement 430 à la frontière espagnole.

De Saint-Brieuc à Nice, il y a 930 kilomètres, partagés en 445 et 485.

De la Belgique à l’Espagne, entre Charleville-Mézières et après Lourdes, c’est presque la parité avec 430 et 440 kilomètres.

Proportionnellement, le centre offi-ciel de la Coucière, dans l’Indre, est plus excentré. Les Responsables des OVNI voudraient-ils jouer avec l’IGN ?

Précisons que ce point-clé se posi-tionne sur la commune de Saint-Sauvier, dans l’Allier, à la limite de la frontière avec la Creuse.

Et comme si les Responsables des OVNI avaient voulu le personnaliser par une garde d’honneur, cet emplacement est encadré par trois atterrissages, et un quasi posé, sur les dix répertoriés sur le sol français, dans cette tranche de 23 kilomètres. Ce sont Toulx-sainte-croix (1930), Trois-fonds (1954), tous les deux dans la Creuse, et que nous connaissons déjà. Le troisième de 1975, est Chambé-rat au nord-est, à côté qu quasi atterris-sage de Mesplé. Deux autres posés, à peu de distance à l’extérieur du couloir, ap-portent aussi leur caution de part et d’au-tre ; Montluçon, et surtout La Celle sous Gouzon, le pa-triarche de 1906. Ce qui pourrait laisser supposer une fois encore, et toujours dans le cadre du conte de fées, que cette super géométrie était préparée longtemps à l’a-vance.

Autre point en faveur de ce trian-gle qui mériterait d’être isocèle : en partant de la grotte de Lascaux, encore présente, une ligne passe successivement par Mourièras-bisou de l’ufo-

naute, le milieu du côté N-D de Paris / Rennes-le-château, pour aboutir en M, croisement de L’Aigle-Chambord avec Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence.

Guy Mouny et Guy Gruais seront

certainement ravis d’apprendre que le méridien intermédiaire : Belleville-sur-Mer / Lascaux, dont ils sont les pères, est rigoureusement parallèle à N-D de Paris / Rennes-le-Château ; 86 kilomètres les séparent.

Enfin un argument, qui est provisoi-rement le dernier, même s’il n’a pas la portée du précédent : du milieu de Ren-nes - Cotignac, on remonte vers le milieu du côté Cotignac - N-D de Paris. Évidemment, en pareil cas, la ligne est parallèle au côté opposé ; ici l’écart est de 156 kilomètres ; donc rien d’extraor-

dinaire. Sauf qu’en poursui-vant vers le nord, la trajec-toire partage

en deux moitiés le lac du Temple de la forêt d’Orient, ce qui peut être considéré comme une coïncidence. Mais celle-ci tire sa révérence lorsque le terminus s’appelle Gué-d’Hossus.

Puisque j’ai abordé la relation des

milieux d’un triangle, voyons ce que donne celle du grand triangle : Stone-henge-Rennes-Théopolis, dont les deux côtés jumeaux sont recoupés en leur cen-tre... Eh bien, calmement et sans un bat-tement de cœur supplémentaire, nous constatons que cette droite coupe la hau-teur du triangle Altamira-Stenay / Gué-d’Hossus, au sud-est de Chambord, pile sur le méridien Gruais-Mouny, qui descend de Belleville-sur-Mer à Las-caux.

C’est du bon travail, et mon émer-veillement est sans cesse renouvelé pour les créateurs de cette super-géométrie à travers le temps et l’espace. Même si je ne suis pas toujours d’accord sur les ma-nières d’agir de la « Sainte Vierge », que je trouve parfois autoritaires, sinon dicta-toriales. Mais je suppose que c’est le prix à payer pour que les Dieux s’occupent de nos petites destinées. Bien que nous n’ayons rien demandé !

Le troisième et dernier triangle à en-trer en lice, est lui bien isocèle. Son côté commun avec son frère malchanceux est Cotignac - N-D de Paris. Le nouveau compagnon est Celles près de Foix, l’ap-parition mariale de 1686, situé à 364 kilomètres de Cotignac.

Le côté Celles / N-D-de Paris passe par Montlevicq, au-dessus de laquelle le grand cigare des nuées stationna en octo-bre 1954.

Mais c’est le point central de la base Cotignac-Celles, qui déborde de larges-ses.

La trajectoire partant de ce point, et conduisant à Riec-sur-Belon, transite par la grotte de Lascaux. Dans l’autre sens, c’est Prémanon le point de chute, le pied

Croquis n° 7

Croquis n° 8

Croquis n° 8 bis

Au début étaient les triangles Raymond Terrasse

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

de la hauteur de Rennes-Théopolis ser-vant de guide.

La base Cotignac-Celles est égale-ment le petit côté de l’angle droit sur Celles, d’un triangle rectangle, dont la pointe est encore une fois L’Île Bou-chard, omniprésente. Ce triangle n’a pas lieu de figurer ici, mais il est bon de le mentionner, d’autant que le côté L’Île Bouchard-Cotignac passe par le Puy en Velay.

Mais sur-tout, et comme le montre le croquis N° 9, parce que la ligne allant de L’Île Bouchard à La Salette (A.M. 1846), réussit le dou-ble exploit de recouper pré-cisément au même point non seulement les droites Sto-nehenge / Ren-nes-le-château et N-D Paris / Celles, mais aussi Stone-h e n g e -Théopolis et Cotignac-N-D-Paris !

Autrement dit, les deux triangles isocè-les sont cha-peautés, bapti-sés, confirmés par les visites de la Sainte-Vierge à ces deux endroits à 101 ans et trois mois d’inter-valle. Que de p r é p a r a t i f s pour aboutir à une telle préci-sion ! Quelles sont les proba-bilités pour que les quatre côtés et la ligne se rencontrent aussi parfaite-ment : nulles, archi-nulles.

Comme l’écrirait Guy Mouny, tout est verrouillé. Et ce qu’il ne préciserait pas, car très prudent en la matière, c’est que les apparitions mariales se taillent la part du lion.

La rencontre au point P entre la hau-teur et la ligne principale N° 1, autorise Tournai à dépêcher une parallèle au côté

N-D de Paris / Celles, à la distance de 73 kilomè-tres. Par ailleurs, et de Tournai encore, une droite file sur Celles, en coupant en plein milieu ce bon vieux côté N-D de Paris / Rennes.

Restons sur ces paral-lèles, pour constater que

Tournai-P pro-longée rejoint L a s c a u x - R i e c - s u r -Belon en N. Cette ren-contre est mise à profit par Lourdes (A. M. 1858) pour envoyer un émissaire à Théopolis. Ici, nous avons trois carre-fours ; nous conna i s son s déjà M sur la

ligne L’Aigle-Chambord et Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence.

R, c’est le croisement de Riec-Lascaux avec N-D Paris / Rennes. Tandis que T est le résultat de la rencontre des hauteurs de Rennes-Théopolis et Celles-Cotignac.

De R, promus chef d’orchestre, deux lignes partent vers M et T, pour aboutir respectivement à Quarouble et Théopo-

lis. Si nous récapitulons, nous avons eu

l’aide de dix apparitions mariales, en comptant pour une seule les trois de Pa-ris, dont la plus importante est celle du 18 juillet 1830. Quant aux atterrissages d’OVNI, ils ont été presque aussi géné-reux ; pas moins de huit.

En conclusion, nous nous trouvons face à quatre couloirs absolument rectili-gnes, ayant pour largeurs : 23,86, et 156 kilomètres. Le quatrième étant l’intermé-diaire de 73 kilomètres, inclus dans celui de 156.

C’est donc un véritable boulevard de 242 kilomètres (156 + 86), qui pose une véritable énigme ; à quoi sert-il, à quoi servent-ils tous ?

La seule certitude en ma possession actuellement est qu’ils font le tour de la Terre. Y aurait-il un rapport quelconque avec des anneaux spatiaux, du genre ceinture de Van Allen, ou cercles de rayonnement électromagnétique non encore découverts ?

À moins que la réponse ne soit tout simplement sur la Terre. Indiscutable-ment, ils suivent l’axe des méridiens, puisqu’ils sont parallèles à celui de

Croquis n° 9

Croquis n° 10

Croquis n° 11

Croquis n° 12

Au début étaient les triangles Raymond Terrasse

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

Gruais-Mouny. Mais la mappemonde interrogée, ne donne aucune raison satis-faisante.

En effectuant quelques calculs, je me suis aperçu que ces largeurs de couloirs étaient en rapport avec les 251 kilomè-tres qui émaillent les tracés de l’ortho-géométrie, et dont j’ai fait état par ail-leurs ; Stonehenge-Belleville-sur-Mer, Chambord-Mont-Saint-Michel, Mar-liens-Stenay, voire Lascaux-Rennes-le-Château (250,6 kms). Dans sa lettre, Guy Tarade faisait le rapprochement avec le rythme planétaire, à savoir 7,5 hertz, en comptant 160 fois 250 kilomètres (les 1.000 mètres d’écart seraient la diffé-rence avec la courbure du terrain).

Si je divise 251 par 156, j’obtiens 1,608, dans les parages du nombre d’Or, ce qui me donne une base de départ. Le quotient de 156 sur 23 = 6,78. Or ce nombre est très proche de PHI carré + PHI (2.618 X 2 + 1.618 = 6.85).

Curieux, vraiment curieux : si je re-prends cette division par 6.85, le couloir de 23 kilomètres devient alors : 22.774 mètres. Impossible à déceler sur la carte pour deux dixièmes de millimètre. Ce kilométrage serait alors contenu 11 fois

environ (11,02) dans les 251 kilomètres. Au total : 22.774 X 11 X 160 = 40.082 kilomètres de diamètre équatorial contre 40.053 officiels.

Si cette extrapolation s’avérait exacte, il y aurait donc : 11 X 160 = 1.760 couloirs polaires de 22.774 mètres encerclant la planète ; en rapport direct avec le nombre d’Or, ce qui évidemment, ne m’étonnerait pas.

Toutefois, afin d’affiner cette étude, j’ai tenté une approche avec l’encyclopé-die Microsoft encarta ;

Ce fut un fiasco, car aboutissant à une impasse, dont le mystère reste insondable pour moi.

En effet, il y a accord total pour les distances mesurées entre deux points, sur encarta et sur la carte générale au mil-lionnième.

Par exemple : Paris / Châlons-en-Champagne : 150 kilomètres

Celles / Rennes-le-Château : 47 kilo-mètres.

Rennes-le-château / Rennes-les-Bains : 4 kilomètres.

Ce qui me rassure, et apporte une garantie que mes tracés ne sont pas va-seux. Chaque pièce est bien à sa place,

sans aucune distorsion. Par contre, lorsque l’on part des lon-

gitudes, les écarts indiqués par encarta, sont tels que sur la carte générale, les parallèles ne devraient plus l’être !

Le méridien Gruais-Mouny servant de repère, fut vérifié du nord au sud de la France. Il est constant à un degré 10 mi-nutes de Greenwich.

N-D de Paris, tête de pont du méri-dien, en est à 2 degrés 20 minutes ; Ren-nes-le-Château n’en est plus qu’à 2 de-grés 16. Sur la carte au 50.000ème, ces quatre minutes représentent 6 kilomètres, soit six millimètres sur la carte générale. Plus important encore : Gué-d’Hossus, est annoncé à 4 degrés 31 minutes, alors que la parallèle descend droit sur Aigues-Mortes, à la longitude de 4 degrés 11 minutes. La différence kilométrique, cinq fois plus élevée que Rennes, et qui avoi-sinerait les trente kilomètres, n’apparaît pas sur la carte générale.

Or, que ce soit six ou trente millimè-tres, à moins d’être aveugle ou de mau-vaise foi, cet écart ne pourrait passer inaperçu, et faire prendre pour des paral-lèles ce qui n’en serait pas.

ARTICLE IMPORTANT FAISANT SUITE À NOS ÉTUDES

Un petit article découvert récemment dans le journal « France SOIR » daté du mercredi 15 novembre dernier. Comme nous en parlions dans la précédente revue, la grippe aviaire n’est pas abandonnée du tout, comme certaines personnes « lambda » pourraient le croire. À travers cet article vous pouvez découvrir que l’État français a déjà déboursé 700 millions d’euros pour fabriquer une quantité astronomique de masques, médicaments (principalement le Tamiflu) et vaccins. Évidement, nous apprenons que c’est un profit considérable pour les industries pharmaceutiques, mais cela ne doit plus vous étonner. Pour le vaccin, les journa-listes n’ont pas réussi à en obtenir le prix mais il y en aurait une quantité suffisante pour vacciner 28 millions de personnes. Inutile de préciser le chiffre d’affaire généré pour ces industries pharmaceutiques. Le seul problème est que ces moyens de protection sont périssables : 3 ans pour les masques, 5 ans pour le Tamiflu et une péremption encore inconnue pour les vaccins. Soit il faut que les chercheurs se dépêchent pour obtenir les mutations interhumaines où au contraire, et c’est ce qui serait le mieux, retardent leurs préparatifs et attendent que les produits soient périmés car nous ne pensons pas que les gouvernements se permettraient de renouveler cette somme.

Au début étaient les triangles Raymond Terrasse

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

LES EXTRATERRESTRES ET LES SOUTERRAINS

Des bases dans le sous-sol de la terre

Les souterrains et les Gris

U n rapport spécial du Crystal Ball Newsletter (P.O. Box 4080, Torrance, CA 90510) intitulé « Le Mystère du Bar-

bier » (The Shaver Mystery) relate un incident tragique intervenu dans le Cana-da du sud. L’incident impliqua un groupe d’explorateurs qui se rendit dans une caverne où ils découvrirent, tout au fond, une chose étrange. Ils trouvèrent dans l’une des chambres de la caverne un conduit parfaitement cylindrique ayant apparemment été foré directement dans la roche, vers le bas. Le conduit était bien trop parfait pour avoir été le résultat d’un phéno-mène géologique natu-rel (des conduits sem-blables, d’ailleurs, ont été rencontrés dans de nombreuses autres ca-vernes de par le monde). Alors qu’ils étaient en train d’étu-dier le « forage », ils furent soudain et sans avertissement atta-qués par des créatures d’environ 1,20 m ou peut-être un peu plus. Ces attaquants utilisèrent une sorte de rayon calorifique contre les explorateurs. Les créatures étaient semblables à la description faite de beaucoup des occupants liés aux ren-contres d’OVNI, ou les « gris » comme de nombreux ufologues les désignent aujourd’hui. L’un des témoins déclare que, lorsque l’attaque intervint, il fut assommé dans une niche isolée. Lors-qu’il « revient à lui », les autres explora-teurs étaient soit morts soit manquants. Il souffrait lui-même de méchantes brûlu-res ; celles-ci étaient en fait si graves qu’il en mourut quelques jours plus tard, mais fut auparavant capable de rejoindre péniblement un village proche et d’aver-tir les autres de se qui s’était passé. L’en-trée de la caverne fut alors détruite à l’aide de dynamite afin d’empêcher qui-conque d’y entrer à nouveau.

Une phrase du Lama Turgut dit : « Le

palais du Roi du Monde est entouré par ceux des Gourous qui contrôlent les for-ces visibles et invisibles de la Terre, de-puis son intérieur jusqu’au ciel, et qui sont maîtres de la vie et de la mort. Si, dans sa folie, notre humanité venait à poursuivre ses guerres, ils pourraient venir sur la surface pour la transformer en un désert. Ils pourraient dessécher les océans, remplacer les continents par des étendues d’eau et faire disparaître les montagnes. À bord de véhicules extraor-dinaires, inconnus de nous, ils voyagent à une vitesse incroyable à l’intérieur des

tunnels de la Terre ». L’écrivain Ossendowski parle de tunnels souterrains qui rejoignent l’Agharta, où glissent des astronefs « avancées ». Un certain nombre de très vieilles lé-gendes tibétaines, chinoises, indiennes, parlent de l’exis-tence d’un fantastique royaume souterrain situé aux confins de l’Himalaya, là où réside le « Roi du Monde », en charge de gui-

der l’évolution spirituelle de l'humanité. Les satellites américains en mission

pour la découverte des richesses minières de la Planète, confirment l’existence d’un immense réseau de galeries sou-terraines sous tout le territoire de la Chine. En 1961, un archéologue de l’Université de Pékin a découvert l’entrée de l’un de ces souterrains, sous le massif d’Homan. La galerie qu’il avait pu visiter présentait des parois étonnamment lisses et vernis-sées, décorées de fresques. Sur l’une d’elles, on voyait une sorte de bou-clier volant véhiculant des hommes qui, depuis les hauteurs, enseignaient un troupeau de bêtes sauvages. En 1969, des souterrains identiques ont été découverts en Équateur, qui remonte-raient au moins à 12.000 ans, également avec de possibles représentations de ma-chines extraterrestres. La perplexité des archéologues est totale.

Les souterrains de l’Île de Malte

Hypogeum de Hal Saflienti Juste en-dessous de la pointe sud de

l’Italie, dans la partie la plus occidentale de la mer Méditerranéenne, se trouve l’île de Malte. Malte fut dans le passé la possession de nombreuses nationalités, et fut considérée comme l’un des points les plus stratégiques de toute la terre, port et point d’intersection entre l’Europe, l’A-sie, le Moyen Orient, l’Afrique, etc. Cette île de 15 km de long fut l’ancien centre de la civilisation à l’époque où les Phéniciens de Carthage l’envahirent et commencèrent à la diriger.

Lorsqu’un groupe d’anciens prêtres

adorant le « dieu » Moloch (un autre nom pour Baal, Osiris, ou Nimrod — considéré par les anciens comme étant le « dieu soleil ») visita l’île à l’époque de l’Ancien Testament, les insulaires accep-tèrent promptement leurs enseignements, y compris ceux consistant à offrir des sacrifices humains afin d’apaiser leur « dieu » Moloch, parce que les anciens Maltais eux-mêmes pratiquaient le sacri-fice du sang humain en offrande aux « dieux » du monde souterrain dont ils pensaient qu’ils existaient sous l’île même et ailleurs, des divinités ainsi ap-

pelées qui furent souvent identifiées comme étant des « serpents ».

L’apôtre Paul, lorsqu’il visita l’île

(comme cela est relaté dans le chapitre 28 du livre des actes), prit connaissance des croyances superstitieuses à propos des serpents après avoir été mordu par

Les E.T. et les souterrains Site Internet « SecreteBase »

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

l’une des bêtes de l’île (appelée Melita à l’époque) et survécut grâce au pouvoir de Jésus ressuscité, dont les Maltais ne connaissaient rien avant la visite pro-phétique de Paul.

Depuis l’époque des Carthaginois, Malte a connu de nombreux dirigeants Romains, Arabes, Normands, Argo-niens, Castillans, les (Hospitalers) ou l’Or-dre de St. Jean de Jérusalem, connus plus tard sous le nom de Chevaliers de Rhodes, et encore plus tard comme les Chevaliers de Malte, qui y sont toujours aujourd’hui, possédant un autre siège à Rome. À quelques kilomè-tres de la ville de Valleta, à Malte, se trouve le petit village de Casal Paula.

En l’an 1902, des ouvriers qui creu-

saient un puits tombèrent littéralement dans la terre. Ce qu’ils découvrirent (ou plutôt re-découvrirent) était une série d’anciennes caves, dont la plupart étaient taillées directement dans la roche, qui descendait dans la terre et sur trois ni-veaux inférieurs. Ces catacombes sur plusieurs niveaux devinrent connues sous le nom de « Hypogeum de Hal Saflien-ti », nom de la rue sous laquelle il les découvrirent. Hypogeum est le nom La-tin désignant une structure souterraine.

Près du sol de la dernière chambre, au 3ème et dernier (officiellement recon-nu) niveau de ces anciennes catacom-bes, se trouvent certaines « chambres mortuaires » comme on les appelle. Elle n’offrent qu’une surface de quelques mètres carrés à peine, sont situées à même le sol, et l’on doit se mettre à genoux, se serait-ce que pour regarder à l’intérieur

Ces « chambres mortuaires » sont

juste assez larges pour que quelqu’un puisse y ramper. Il circule depuis des années des rumeurs suggérant que l’une de ces « chambres mortuaires » ne finit pas, mais continue bien au-delà, vers d’autres cavernes plus profondes et inex-plorées. Ceci, d’après certaines sources, fut le passage souterrain et la chambre qui furent décrits il y a des années dans un article paru dans le numéro d’Août 1940 du magazine « National Geogra-phic ». L’article en question indiquait ce qui suit à propos de diverses personnes ayant disparu dans ces catacombes sans laisser de traces : « De nombreux passa-ges souterrains, y compris d’anciennes catacombes, font aujourd’hui partie des fortifications et du système de défense de

l’île. Des vivres sont conservées dans de nombreux tunnels ; d’autres sont des abris contre les bombes. Certaines des

zones souter-raines situées sous Valletta servirent de résidence pour les pauvres. Des hommes préhistoriques construisirent des temples et des chambres dans ces sou-

terrains. Dans une fosse située près d’un autel reposent des milliers de squelettes humains. Il y a des années, il était possi-ble d’aller d’un bout à l’autre de Malte par ces souterrains. Le gouvernement ferma les entrées de ces tunnels après que des écoliers et leurs enseignants en voyage d’étude se perdent dans le laby-rinthe et ne reviennent jamais. »

L’histoire est en fait plus

« importante » que le National Geogra-phic ne l’indique. D’autres sources indi-quent que près de 30 enfants disparurent dans ces catacombes lors de ce voyage d’étude, et que lors de la découverte ini-tiale de l’« Hypogeum » furent égale-ment découverts près de 30.000 squelet-tes d’hommes, de femmes et d’enfants (victimes de l’ancien sacrifice aux

« dieux du monde souterrain » perpétré par un ancienne race néolithique).

Un article écrit par Miss Lois Jessup,

à l’époque employée de l’ambassade Britannique et plus tard secrétaire du NYSIB, parut dans un vieux numéro du magazine « Science Fron-tière » (Borderland Science) de Riley Crabb’s, publié par la BSRF et plus tard repris dans son intégralité dans le livre du Dr. Allen « Enigma Fantastique ».

Miss Jessup déclara avoir visité Malte et l’Hypogeum, une première fois avant la tragique disparition des enfants, et une autre fois peu après. Elle décrivit

comment, lors de sa première visite des catacombes, elle convainquit le guide de la laisser examiner l’une des fameuses « chambres mortuaires » près du sol de la dernière chambre dans le troisième sou-bassement, la « fin » supposée de la vi-site de l’Hypogeum.

Il semblait savoir quelque chose qu’elle ignorait, mais consentit finale-ment à lui dire qu’elle pouvait entrer « à ses propres risques »...

Ce fut ce qu’elle fit, bougie à la main et sa ceinture défaite utilisée comme corde de guide pour ses amis qui la sui-vaient, rampant dans le mince passage pour finalement déboucher dans une grande caverne, où elle se trouvait sur une plate-forme surplombant un abîme très profond, semblant sans fin. Plus bas et de l’autre côté de l’abîme se trouvait une autre plate-forme semblant donner sur une porte ou un tunnel s’enfonçant dans le mur opposé. Nous réalisons que ce qui survint ensuite pourrait sembler incroyable à beaucoup de lecteurs, mais nous leur demandons de se faire leur propre idée de sa véracité. Miss Jessup jure que ce qui suit s’est réellement pas-sé.

De ce tunnel inférieur situé de l’autre côté de l’abîme, déclare-t-elle, surgirent en file indienne quelques très grandes créatures de forme humanoïde, mais tota-lement recouverte de poils de la tête aux pieds. L’apercevant, elles levèrent leurs

armes en sa direction, à tel point qu’un « vent » violent se mit à souffler dans la caverne, soufflant sa bougie. Une « chose » humide et rampante (apparemment une créature de diffé-rente sorte) la frôla alors.

Tout ceci se passa au moment où la personne qui la suivait commençait à émerger depuis le passage dans la ca-verne. Ils ne purent comprendre ses tentatives paniquées pour rejoindre le passage et regagner la chambre de l’« Hypogeum », mais y consentirent après son insistance. Lorsqu’ils se re-trouvèrent tous dans la chambre de

l’Hypogeum, le guide vit son expression et la regarda d’un air « entendu ».

Environ une semaine après la dispari-

tion des enfants et de leur(s) enseignant(s), elle vit lors de sa seconde visite un tout nouveau guide qui nia que l’autre guide ait jamais travaillé ici, bien qu’elle sut que ce guide-ci cachait quelque chose. Elle apprit d’autres sources plus coopératives cependant, que ceci était le tunnel que les enfants, leur(s) enseignant(s) et probablement l’ancien guide, avaient emprunté. Elle apprit également qu’après que le dernier enfant y ait péné-tré, les murs du petit tunnel se refermè-

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rent ou s’effondrèrent. Bien que la ver-sion officielle établit que les murs s’é-taient écroulés sur les étudiants, les équi-pes de recherche ne furent jamais capa-bles de trouver la moindre trace de l’un ou des enseignants ou des enfants, bien que la corde qu’ils avaient utilisée pour s’attacher à la plus basse des chambres de l’Hypogeum fut retrouvée nettement

coupée, comme par quelque chose de tranchant (par un roc tombant ?).

Il fut prétendu que, durant les semai-nes qui suivirent, les gémissements et cris des enfants furent entendus sous terre en différents endroits de l'île, sans que personne ne parvienne à localiser l’origine de ces cris. Comme pour les catacombes sous Malte, il existe d’an-ciens récits stipulant que de profondes cavernes sous l’île se prolongent sous terre au-delà des rivages, et d’après une source, qu’une partie de ce labyrinthe s’étend sur des centaines de kilomètres au nord et possède des intersections avec les catacombes de Rome (la colline Vati-canus ?) ou que cela fut du moins le cas à une certaine époque.

Il y a tellement de récits documentés

suggérant l’existence de telles vastes régions caverneuses se déploient dans les régions infernales de cette planète, ou du moins que la question doive être considé-rée. Si une telle région existe, on peut alors se demander : pourquoi son exis-tence a-t-elle échappé à ceux de la sur-

face durant si longtemps ? Une réponse possible à cette question pourrait être que, si une telle région existe, et qu’elle est au moins habitée en partie par des créatures physiques en intelligence et en communication avec des anges déchus ou des entités démoniaques, ces êtres non-physiques auraient alors beaucoup à perdre si l’existence de ces cavernes ve-

nait à être largement connue, ainsi que pour leurs alliés reptiliens.

Il existe de nombreux cas où ceux qui

ont essayé de découvrir ce qui se pas-sait sous le sol (ou qui ont effectué certaines rencontres, ou ont acquis cer-taines connaissances sur ces régions infernales, ou ont tenté de rechercher des récits hors de la protection ou de la gouverne divine de Dieu Tout-Puissant) ont eu à souffrir d’attaques spirituelles ou psychiques et d’oppres-

sion, parfois au point d’être conduits à la folie, ou d’adopter un attitude absente de manière irréversible. Certains sont égale-ment apparemment morts en de mysté-rieuses cir-constances, ou furent poussés au suicide. Quelque chose se trame réel-lement « sous nos pieds » avec certaines entités particu-lièrement mal-veillantes qui ne veulent pas que nous en prenions connaissance.

Nous sommes convaincus cependant

que, si l’on ne souhaite pas laisser à Dieu, par le Christ, guider et diriger nos recherches dans cette zone, alors nous ferions mieux de laisser tout cela de côté. Nous connaissons trop de gens ayant essayé de fouiller ce sujet hors de la grâce de Dieu et ayant été détruits aussi

bien mentalement que physiquement pour tout résultat. De plus, plus nous pourrons travailler ensemble dans un seul et même effort pour nous défendre contre cette menace « extraterrestre », mieux nous serons individuellement.

Il existe, à côté de l’incident de

Malte, de nombreux autres récits suggé-rant que des centaines, si ce n’est des milliers de personnes ont disparu sans laisser de traces à l’intérieur ou aux alen-tours de cavernes inexplorées en diffé-rents endroits du monde. Comme nous l’avons dit, ces régions « infernales » représentent l’origine la plus probable de la majorité du phénomène connu comme celui des « OVNI ». Nombreux de ces appareils ont été observés entrant et sor-tant de cavernes ou d’ouvertures dans des montagnes éloignées, canyons, etc. Il existe des cas répertoriés où des êtres « extraterrestres » à l'apparence de repti-les tels que ceux décrits par les témoins de rencontres avec des OVNI ont été observés dans des cavernes et des ren-

foncements souter-rains naturels ou artificiels. Ces rap-ports sont relative-ment peu nom-breux, mais ils exis-tent. Il est conceva-ble que le peu de gens ayant jamais fait de telles ren-contres n’aient ja-mais eu l’occasion

d’en revenir pour en parler. Ces créatures sont souvent décrites comme étant sem-blables aux « occupants d’OVNI » !

Traduction extraite du document The Cosmic Grand Deception - Auteur(s) inconnu(s). Source : Site Internet « SecreteBase » - © 2002/2005 -

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Grippe aviaire : la lutte nécessite 1 milliard de plus

Entre 986 millions et 1,3 milliards de dollars sup-plémentaires sont nécessaires pour lutter contre la grippe aviaire dans le monde, dont 566 millions pour le seul continent africain, ont estimé hier deux experts des Nations unies et de la Banque mondiale. Ces montants seront discutés lors de la 4ème confé-rence internationale sur la grippe aviaire qui se tien-dra du 6 au 8 décembre1 à Bamako. Ils doivent com-pléter pour les deux à trois prochaines, la cagnotte de 1,9 milliard de dollars, constituée lors de la pré-cédente réunion des donateurs, mi-janvier, à Pékin. 1 - Qui s’est tenue à la date de parution. Source : L’UNION du 29/11/2006

Information importante

Concerne le résumé du livre d’Anne Meurois-Givaudan

dans la revue n° 34

Suite à une erreur de frappe en ligne 26, il fallait lire « fusion génétique ». Je vous prie de m’excuser pour cette erreur.

Claudine Cheneby

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

À la fin des années 90, avec l’ex-plosion d’internet et l’activation de divers forums Ufologiques, j’allais prendre connaissance

des diverses théories dit du « complot » tant au sein du monde géopolitique que du monde de l’Ufologie. C’est surtout par ce portail Ufologique que j’allais découvrir sur plusieurs années moultes théories.

À l’époque, le célèbre

auteur David Icke était en-core un inconnu et certaine-ment non-traduit en Français. Le journal « Çà Existe » une publication belge sera d’ail-leurs pionnière en traduisant rapidement les écrits de Mon-sieur Icke. À l’époque, ma source d’inspiration était plutôt un certain « Branton » auteur des « Omega Files » sur la toile.

Et pour de multiples rai-sons je donne toujours ma préférence à ce dernier : « Branton ». Avant de formu-ler diverses « théories », je tiens à dire, qu’il est loin pour moi, le temps où j’é-crivais sous la plume de « Belphantom » des articles pour divers sites anglopho-nes : « Ufo Secret Site », « Ufo Alert » et ensuite francophones comme « Le Nou-vel Ordre Mondial » et finalement pour « On nous cache tout ».

C’est que les théories de la conspira-

tion manquent parfois de « substances », voir d’erreurs qui se recopient de sites en sites. Elles cachent aussi « souvent » un fond idéologique, poli-tique, où j’entrevois des manipulations cer-taines. Enfin, comme des « valises », elles portent, parfois ou souvent, une idéologie voir des propos racis-tes envers certains groupes humains, ce qui m’indispose de plus en plus .

Branton, comme d’autres : Roger-

Kerr, Wiolawa, Alex Collier, Val Vale-rian reprendra l’idée de diverses ethnies Extraterrestres en luttes pour notre « globe » dont les fameux « Reptiliens » qui deviendront, après les « Gris », les nouveaux « ennemis invisibles » derrière le « Gouvernement Mondial ».

Il est a noter, que de nombreux sites

Américains prônant la « conspiration » sont d’inspirations Protestan-tes (« jusqu’aux « milices Chrétiennes »). L’on retrouve donc sou-vent des témoignages de « Pasteurs » annonçant souvent leur passé dou-teux, certains affirmant avoir participé à de hauts degrés initiatiques, voir été membres du club des « Illuminatti », enfin convertis à la foi Chrétienne, ils se sentent la responsabilité de par-ler. Branton a souvent mis en avant de tels té-

moignages pour se solidifier . C’est une information essentielle pour bien com-prendre sa position.

Dans ce cadre des auteurs comme

Zecharia Sitchin, promoteur d’idées néo-Babyloniennes et Sir Laurence Gardner (publié comme Icke dans « Nexus ») prennent un nouveau relief. Enfin, et c’est l’objet du présent article, le ou les livres de Fritz Springmeier.

Fritz Springmeier est un ancien Témoin de Jéhovah, qui comme Branton s’est aussi penché sur l’Église des Saints des Derniers Jours en plus de sa religion, connu de façon populaire c o m m e l e s « Mormons ». L’on trouve à la tête de ces deux Églises, un cor-pus ou une direction

de 12 apôtres (Nombre Symbolique hyper connu du Temps (Passé, Pré-

sent, Futur) multiplié par les 4 direc-tions de l’Es-pace). Fritz imaginera dès lors, que 12 Familles pro-tègent une 13ème lignée.

Dans son

livre « The Top 13 Illu-minatti Bloo-dlines », Fritz (très controversé) étudiera en profondeur 12 familles qu’il rend responsable de la gestion du « Nouvel Ordre Mondial ».

Ces 12 familles, protégeant selon les propos de Branton : la lignée de l’Anti-Christ ou de l’Anté-Christ qui sera le véritable Maître du « Nouvel Ordre Mondial ».

L’on comprend toute la vie Apoca-lyptique et Bibliste de ces théories.

Fritz Springmeier a participé de ce

fait à la popularisation de la lignée Mérovingienne. On le sait par des ouvra-ges récents à succès, la lignée Mérovin-gienne serait Adamique, Royale et Davi-dique, voir Christique. Puisque les Rois Mérovingiens seraient les descendants des « amours » entre Marie Magdeleine et Jésus. (Ce que je conteste pour être franc). Sir Laurence Gardner expose tout ceci, en quoi ce Sang est le Saint Graal.

On citera « pêle-mêle », le sang Atlante, de la Maison de Troie, les Rois Mérovin-giens, les Rois du Royaume Latin (des Templiers au s e c r e t d u « Prieuré de Sion »), la Maison D ’ A n j o u (Française, Hon-groise et finale-ment Anglaise). Bien entendu,

LES 13 FAMILLES QUI DIRIGENT LE MONDE

Par Thierry RHODAN

Première partie

David Icke

Fritz Springmeier

Le livre de Fritz Springmeier

Wiolawa

Thierry Rhodan Les 13 familles qui dirigent le monde

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pour les Ufologues comme Icke, cette lignée possède tout simplement le sang de la Caste Guerrière et Royale des Na-gas.

Les Nagas étant dans l’Hindouisme et le Bouddhisme, une race reprenant les apparences des Reptiles. On le sait aussi, notre ancienne étoile polaire (variable dans le temps) pointait vers la fameuse « Constellation du Serpent ». Dans ces thèses, ce Sang Royal est donc autrement ancestral, voir Extraterrestre ou Repti-lien.

Pour Branton, les recherches généalo-

giques des Mormons, est une recherche active de ce Sang, donc de l’ADN

« Extraterrestre ». D’autres imaginent que les Abduc-t i o n s p a r l e s « greys » (Petits gris) re-lève également de cette recherche ADN. Les « Abductions » ne seraient pas l’œuvre du hasard mais une recherche active de traces d’ADN reptilien (Pour quoi faire ?). Idée qui se retrouve jusque dans l’excellente série TV « Dark Skies ».

Pour Springmeier, le

corpus de Familles(Familles à la tête de nombreuses institutions que connaissent bien les lecteurs de la littérature de la « Conspiration ») possèdent eux aussi, ce sang Extraterrestre Naga ou de la caste Guerrière et Royale. Ce culte « sanguin » pose bien des questions.

N’oublions pas que le Bouddha His-torique était justement de cette Caste Royale et Guerrière en Inde. Et qu’il a quitté ce schéma pour entrer dans les nouveaux paradigmes, l’appartenance non pas à une famille liée au sang mais au MONDE SPIRITUEL. Le Christ, de la lignée Royale de David, a fait exacte-ment le même choix de ne pas être le Messie « guerrier ».

Pour rappel, la Caste Guerrière (les enfants de Baal selon Edgar Cayce) a pris les pleins pouvoirs dans l’âge de Cuivre, d’Arès (Mars le Dieu de la guerre) en pleine époque Atlante. En

Inde l’on parle de la prise de pouvoir lors de l’incarna-tion de Vichnou (de la TRI-MURTI Hindouiste) en Râma-à-la-Hache. Springmeier remonte (en ex-témoin de Jéhovah) à 12 familles ayant des origines en Babylonie et conservant des sonorités de dieux Ba-byloniens (Ashtar ou Ishtar, Baal) et/ou de l’Antique Égypte (Ra-Ka Pharaon). Par respect pour ces famil-les, je ne citerai aucun nom.

Beaucoup de ces familles seraient des Familles Fondatrices des 13 colonies des États-Unis d’Amérique, via l’Irlande, l’Écosse et l’Angleterre (Union Jack).

Tout ceci est bien beau et m’a pas-

sionné sur plusieurs années, néanmoins le scénario ainsi induit nous maintient dans des « schémas » qu’il est temps de dépasser.

Le Bouddha qui possédait cette struc-

ture ADN (caste Royale et guerrière) a dépassé ces tendances pour retrouver en lui, ses marques divines en prenant l’Octuple Sentier, et la voie d’une autre « Illumination » celle de l’Éveil. Puis-sions-nous trouver cette « voie ».

À suivre Edgar Cayce

Vous recherchez un cartooniste pour illustrer vos projets, contactez Chris-tian JUNCK, dont vous pouvez retrouver de nombreuses illustrations dans nos revues. Ces dessins sont d’une grande qualité.

Thierry Rhodan Les 13 familles qui dirigent le monde

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ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE… ARTICLES DE PRESSE…

France Soir du 02 octobre 2006

Le journal de Franz Weber en-voyé par Michel Oberson avec un superbe article d’Armin Risi sur le 11/09/01.

« Tribune de Genève » de M. Oberson du 27 juillet 2006

Livre très intéressant pour ceux essayant de découvrir les histoires des mondes oubliés. Bien évidemment, ne vous attendez pas non plus à des révélations « fracassantes », mais à consulter tout de même.

Ce numéro de juillet-août du réputé magazine « La Recher-che » aborde les changements de climat actuels. Mais n’essayez pas de chercher une quelconque ligne sur le projet américain « HAARP » car « ils » ne connaissent pas.

Articles de presse Sentinel UFO News

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L’UNION Édition Reims du 19 octobre 2006

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Beaucoup de Lune ces derniers mois. Mais que veulent-ils y faire ? Car apparemment, les Terriens y sont interdits de séjour. Où alors, des change-ments dans les accords « extraterrestres/humains » ? Allons savoir… Dans la revue CIEL & ESPACE n° 436, il est fait détail de cet impact le 4 septembre à 7 h 42 (heure française) dans la région du lac de l’Excellence. Cette mission, d’après la revue, était destinée à tester un nouveau type de motorisation ; la propulsion ionique. Smart 1 n’a utilisé que 60 kg de xénon pour parcourir près de 85 millions de kilomètres.

Dans le livre ci-dessous, vous y trouverez de magnifiques pho-tos aériennes de notre belle planète. Mais ne cherchez surtout pas de vue concernant les pôles. Il ne faut pas rêver tout de même !

Impression n° 35 : Groupe Sentinelle Articles de presse Sentinel UFO News

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle

HILLARY CLINTON PIRE QUE BUSH ?

Par Joshua FRANK

Traduction : John NEVE

I l n’y a pas beaucoup d’élus à Washington qui aimeraient au-tant qu’Hillary Clinton, mettre l’Iran au pied du mur

(militairement). La sénatrice de New York croit que le président a été trop mou envers ce pays islamique militant, soutenant que Bush a minimisé la me-nace que représenterait l’Iran s’il était doté de l’arme nucléaire.

« Je crois fermement que

nous avons perdu un temps pré-cieux dans notre gestion du pro-blème iranien parce que la Mai-son Blanche a choisi de minimi-ser les menaces et de déléguer les négociations », disait Hillary Clinton à l’université de Prince-ton le 18 janvier.

« Je ne crois pas du tout que l’on fasse face à des menaces telles que l’Iran et la Corée du Nord en déléguant le problème à d’autres et en ne s’en mêlant pas directement. Nous ne pouvons pas, nous ne devrions pas per-mettre à l’Iran de construire ou d’acqué-rir des armes nucléaires », ajoutait Hilla-ry Clinton. « Afin d’empêcher qu’une telle chose ne se passe… nous devons prendre aussi vite que possible les mesu-res qui amèneront les Nations Unies à prendre des sanctions contre l’Iran ».

La sénatrice Clinton a essayé en outre

de se montrer encore plus agressive que Dubya en d’autres matières de politique étrangère. Que ce soit pour l’Irak ou la Palestine, cette figure de proue du Parti Démocrate soutient que l’administration actuelle n’a pas fait assez pour combattre la menace du terrorisme. Et comme tant d’autres néoconservateurs (oui, admet-tez-le, Hillary en fait sacrément partie), Clinton n’admettra jamais que c’est pré-cisément parce qu’ils ont essayé de com-battre le terrorisme sans frontières par l’écrasement de pays arabes souverains que les États-Unis sont tombés sous l’emprise d’Al Qaeda. Et avec la victoire écrasante du Hamas aux dernières élec-

tions palestiniennes, la politique US dans la région n’est pas en train de produire exactement le genre de résultats que Bush et ses co-conspirateurs désiraient. Il faudrait un microscope pour déceler des différences entre George W. Bush et Hillary Clinton. Tous deux veulent que l’occupation de l’Irak se poursuive. Tous deux veulent des sanctions contre l’Iran.

Et ils affirment tous deux vouloir la dé-mocratie au Moyen Orient. Et pourtant, ni l’un ni l’autre n’acceptera d’issue dé-mocratique si celle-ci ne favorise pas les intérêts US. « Tant que le Hamas ne re-nonce pas à la violence et au terrorisme, tant qu’il garde sa position prônant la destruction d’Israël, je ne crois pas que les États-Unis devraient les reconnaître, ni aucune autre nation du monde », disait Hillary ré-cemment.

« Vous com-mencez à com-prendre comment je vais traiter le Hamas… Et la réponse est : tant que vous ne renon-cez pas à votre désir de détruire Israël, nous ne traiterons pas avec vous », disait Bush

au « Wall Street Journal » qui l’intervie-wait pendant les élections en Palestine.

Même si tous deux expriment le désir de démocratiser la région, et en particu-lier l’Irak, il est dur d’imaginer que l’un ou l’autre laissent se former un gouver-nement iraquien qui exprimerait la plus légère critique envers l’occupation US. Et un Irak démocratique (dont les candi-

dats ne seraient pas choisis par des fonctionnaires de l’administration US) incarnerait probablement les mê-mes positions que l’Iran à propos d’I-sraël. On ne peut pas dire que l’amour de l’Amérique ait prospéré ces dernières années dans les pays arabes, et il y a peu de chances que ça change dans un avenir proche, étant donné la position commune des dirigeants républicains et démocrates à Washington. Et donc voilà que Hillary Clinton et George W. Bush, tous deux chefs de leur parti respectif, voient d’un même œil les affaires préoccupantes les plus urgen-tes qui font face aujourd’hui aux US et au Moyen Orient. Et ni l’un ni l’au-

tre ne propose quoi que ce soit qui puisse nous tirer du bourbier que nous avons contribué à instaurer.

Source : http://www.brickburner.org Joshua Frank est l’auteur de « Left Out! How Liber-als Helped Reelect George W. Bush », et est le chroniqueur du BrickBurner.org.

Hillary Clinton pire que Bush ? Joshua Frank

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle Sentinel UFO News Courrier des lecteurs

Lettre composée de plusieurs courriers de Michel BARBOT de Rezé (44) de 2005 à 2006

C’est avec un réel plaisir que j’ai découvert il y a déjà quelques jours le n° 29 de Sentinel UFO News dans ma boîte à lettres. Le sommaire comportant, comme à l’habitude, des articles des plus intéressants. Je suis heureux d’apprendre que l’aventure GROUPE SENTINELLE continue ce qui n’apparaissait pas avec certitude dans le précédent numéro. Cette continuité va me permettre de rédiger un article dans lequel j’évoquerai le prolonge-ment de mes recherches consacrées à l’énigmatique inscription de Rennes-en-Grenouilles. Je vous soumettrais cet article en août/septembre (et passé depuis). Le premier article qui n’était en fait, vous le savez, qu’un courrier ne comportait pas de photos. Cette fois-ci, il y en aura. Cette inscription royale permet d’accéder dans une forêt royale où bien des mystères semblent aujourd’hui encore perdurer par-delà les siècles, voir les millénaires… Sur les 80 bornes anciennes de la forêt d’Écouves, nous allons nous arrêter sur celles qui semblent les plus enseignantes. Sur ces bornes sont indiqués les noms des communes ou villes entourant la forêt royale d’Écouves. De véritables anomalies apparaissent dans l’écriture de ces noms : fautes d’orthographes, inversion de lettres (le L devint un Gamma grec : Γ…) ou césure permet-tant une autre lecture du nom. Pour les érudits locaux, il s’agit de maladresses ou d’erreurs faites par le graveur. Lorsque l’on observe de près l’ensemble, on se dit qu’il y a au contraire volonté du graveur d’orienter le chercheur vers une autre lecture ; une lecture très souvent orientée vers le langue des oiseaux, ce qui n’a rien d’étonnant lorsque nous nous trouvons en forêt et qui plus est en forêt d’Écouves… Une inscription en caractères étranges, aujourd’hui disparue, figure sur un dessin apparais-sant dans un ouvrage que je possède sur ces bornes. Bien que le dessin ne soit pas très net, ces caractères m’apparaissent comme des runes. Je me suis penché sur cette inscription que j’aurai aimé évoquer dans mon article. Mais il y a évidemment un problème : la longueur de cet article ! Le texte pourrait évidemment être fractionné mais j’aimerais connaître votre sentiment avant de continuer. Je vous envoie trois photos dont l’une représente l’inscription DON DEI DENIS de Ren-nes-en-Grenouilles très importante dans l’affaire et les deux autres la fresque de l’église de Saint-Denis-de-Gâtines dans la Mayenne, commune voisine de Vautorte. Cette fresque datée du 19ème siècle représente le Couronnement de DIONYSUS (DENIS) assisté de personnages clefs de l’Histoire de France : rois ou saints protecteurs. On y distingue no-tamment sur la gauche Saint Rémi près du baptistère de Clovis, recevant de la colombe la Sainte Ampoule. Sur la fresque imposante, figurent aussi mais hors photo, les apôtres. Il se trouve que je souhaite évoquer notamment dans ce texte, une inscription de type runique de la forêt d’Écouves. Cette inscription est aujourd’hui totalement effacée ainsi qu’un voyage en 2003 m’a permis de la remarquer, mais elle figure dans un numéro spécial de la Société Historique et Archéologique de l’Orne. J’ai contacté l’association par télé-phone et il m’a été demandé d’envoyer une demande écrite d’autorisation. Cette inscription qui apparaissait sur le socle d’une croix, n’est absolument pas présentée comme runique dans la revue ni même signalée, bien que la personne que j’ai eue au bout du fil, n’ait pas eu l’air particulièrement surprise lorsque j’ai évoqué l’aspect runique… D’autres photos jointes montrent des inscriptions quelque peu effacées par le temps. Vous verrez ce qu’il sera possible de faire avec. Je pense précisément aux deux photos représen-tant deux côtés de la borne à cinq côtés du Carrefour de la Croix-Madame. L’une d’elles indique la route de St. NI-COLAS et l’autre la route de FONTE NAY. L’inscription de cette dernière a difficilement résisté au temps. J’ai respecté dans mon article la façon dont le graveur a inscrit le nom de ces deux communes. Je pense que ça pourra convenir ainsi. Je mets une photo de la forêt, ce qui peut toujours être intéressant. J’aurai d’ailleurs pu l’envoyer avec le premier article. La borne indiquant sur deux lignes la commune de FONTENAY (Carrefour de la Verrerie) s’avère très importante ainsi que vous le découvri-rez dans l’article. Les lettres sont-elles assez visibles pour qu’elle puisse figurer dans l’article, je vous laisse seul juge. Il n’est d’ailleurs pas obligé de prendre la borne dans sa totalité, seul le nom de la commune tel qu’il est gravé est important. La photo représentant la borne indiquant la route d’AΓENCON (un gamma grec remplace le L) montre bien que le Γ sans doute incompris a été changé en R par une seconde main. La photo représentant la borne indiquant la route de LA’FERRIE-RE (Carrefour de la Branloire) me paraît également intéressante ainsi que vous le découvrirez dans l’article. Les deux dernières photos (St. HI-LAIRE et TANV-ILLE – Carrefour de l’Être-Normand) figurent déjà dans mon article mais associées… Suite à l’envoi de la disquette contenant mon article ainsi que les photos correspondantes, je me suis souvenu, alors que j’étais au travail, que je n’avais pas dû vous envoyer la photo du portail de l’église N.-D. d’Alençon. Ce portail, ainsi que vous avez pu vous en rendre compte en lisant mon texte, peut s’avérer important dans l’affaire royale de la forêt d’É-couves. La présence de cette photo n’est peut-être pas nécessaire dans l’article mais il est bon que vous en preniez connaissance. Lorsque dans ce texte j’insère l’image de la tête de type humanoïde, il s’agit en fait d’un agrandissement du vêtement de l’apôtre Jean fait à partir de cette photo. Je me suis rendu compte de cette particularité lorsque j’ai pu découvrir la photo.

Sur les bornes de la forêt, Alençon est souvent noté DAL…, ce qui n’a rien d’étonnant dans le sens où l’indication portée est ROUTE DAL… mais peut malgré tout être retenu si l’on se souvient que l’inscription de Rennes-en-Grenouilles comporte trois D ou trois Dalet. Or, en hébreu DAL ou DALET signifie : Porte ! D’où bien sûr une nouvelle lecture possible au travers de la langue des oiseaux pour DAL EN ÇON (avec ou sans cédille pour le C). Bien que j’avais envisagé cet aspect lors de mon étude des bornes, j’ai omis de l’évoquer dans mon article. Tout ne peut évidemment être dit. Cet article est paru depuis et dans le prochain numéro je reviendrais sur quelques erreurs de mise en page de ma part. Que Michel Barbot m’excuse pour ce retard.

Lettre de M. Gérald BONAMY de Cléry Saint André (45)

L’ESB est une bioweapon

Travaillant dans l’élevage laitier, je certifie que l’ESB1 (maladie de la vache folle) est une bioweapon (arme biologique) et je vais le prouver. Dans les cas d’ESB dans les troupeaux il n’y avait qu’un animal atteint, voir deux parfois. Si la farine animal était le contaminant, normalement c’est tout le troupeau qui aurait dû être contaminé par l’ESB. Mais dans les élevages on a observé que les vaches les plus contaminées étaient de 1993 à 1996. Donc, les farines animales ont peut être été contami-nées à cette période par un agent biologique qui agit sur certains gênes, peut-être des gênes en dormance, sinon c’est tout le troupeau qui aurait été contaminé et non un animal par troupeau. À ce jour je crois qu’il y a encore un prion non identifié. Les farines animales étaient utilisées depuis des décennies et la maladie de l’ESB est apparue du jour au lendemain. L’histoire que les prions sont apparus parce que les farines étaient cuites à une température moindre est un mensonge. Les USA faisaient le forcing pour que leur soja OGM envahisse l’Europe comme protéine de substitution aux farines animales.2 La maladie a commencé en Angleterre avec des farines animales importées d’Australie. Et oui, encore ce pays où les USA ont trois bases ultra secrètes dont on ne sait rien, à part Pine Gap où ils travailleraient peut-être avec des Aliens et où il y a des X22A (disque biplace à antigravité), ceci fait beaucoup de coïncidences. L’ESB n’est pas une maladie fabriquée par mère nature, mais une bioweapon faite par l’homme, peut-être une répétition pour une autre future pandémie telle la grippe aviaire. Les USA ont gagné la bataille et ils exportent avec le Brésil et l’Angleterre leur soja OGM plus compétitif que les protéines européennes. À noter qu’aux Etats-Unis, ils ont eu de gros problèmes d’ESB avec les cerfs et plusieurs cas également sur des élans. Pour en revenir à la grippe aviaire, une étude en Indonésie a prouvé que le H5N1 touchait des familles ne travaillant pas au contact des volailles (fermes, abattoirs,…). Les personnes qui décèdent du H5N1 sont souvent de la même famille. H5N1 en numérologie donne le chiffre 18 ou 3x6 ou 666, le chiffre de la bête. Il est clair que ceux qui ont choisi le « terme » H5N1 savaient ceci. Cette maladie est loin d’être terminée car ils vont la laisser en dormance pendant deux ou trois ans, et en faire une pandémie. Ils mettront dans la nature le virus H5N1 muté et feront croire aux populations à une mutation naturelle.3 2009 est la « feast of the beast » (le régal de la bête) qui a lieu tous les 28 ans. PS : Les Livres Jaunes 5 et 7 aux Éditions Félix sont suspendus de parution pour atteinte à la haine raciale et pouvant provoquer certains heurts.4 La France n’a jamais été une démo-cratie mais une dictature déguisée. J’ai lu les deux livres et il est clair qu’ils dérangent une certaine élite mondiale. Nos ordinateurs sont surveillés car un jour je recherche dans GOOGLE une vidéo de Credo Mutwa. Je suis tombé sur la vidéo de reptiliens et l’agenda de David Icke qui dure 6h35min. Le lendemain, elle avait disparu et depuis plus rien alors qu’il y a d’autres vidéos de David Icke, Alex Jones, Jeff Rense qui parlent des Illuminati, des reptiliens, d’UFO, du secret space, etc. Il est clair que la NSA pénètre des ordinateurs pour effacer certaines choses et que les personnes qui vont sur les sites sensibles sont peut-être fichées !5 1 - Encélopatie Spongiforme Bovine. 2 - Je me rappelle (P.R.) avoir vu des déchargements de soja OGM il y a de cela plusieurs années. Il fallait bien qu’il aille quelque part. 3 - Comme nous le disions, ils travaillent sur la mutation de la maladie entre humains. 4 - Il y a longtemps que les heurts sont provoqués mais c’est toujours le pauvre français qui est raciste. 5 - Cela me rappelle une conversation téléphonique avec NENKI (alias François Pierre) du site « conspiration.cc » qui commençait à avoir peur pour sa vie. Mais vu le nombre important d’informations qu’il diffuse, il peut certainement respirer un peu mieux. Ce sont les petits bavards qui gênent le plus et qui ne sont quasiment pas connus, comme... nous. Alors dépêchez-vous de nous faire découvrir et de faire adhérer des ami(e)s ou des collègues ! Et sachez que je n’ai toujours pas l’intention de me suicider (P.R.).

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Impression n° 35 : Groupe Sentinelle Les lectures du Trimestre Sentinel UFO News

Pascal CAZOTTES & François DE SARRE

Sirènes et Hommes-Marins Éd. LES 3 SPIRALES - 142 pages

Les « sirènes » sont connues depuis la plus haute antiquité. Il n’y a pas un pays, pas un continent qui n’ait gardé en mémoire ces êtres mythiques, mi femmes, mi poissons. Ces mythologies du monde entier doivent être regar-dées avec la plus grande attention, car elles contiennent les fondements mêmes des civilisations qui les ont vu naître. Pourquoi diable cette similarité de traditions appartenant à des peuples qui ne furent jamais mis en contact. De très nombreux ouvrages de par les siècles décrivent avec minutie ces sirènes ou tritons (leur pendant masculin) et sont d’ailleurs largement représentés sur nos monuments religieux par nos artistes médiévaux. Force est de constater que ce phénomène a perduré jusqu’à nos jours, pas seulement dans les contes pour enfants, mais dans des témoignages dignes de foi consignés par des capitaines au long cours. Séductrices avec leur joli corps et leur douce voix, les sirènes ont évolué tout au long des siècles, abandonnant peu à peu leurs ailes et leur corps d’oiseaux qui leur permettait de survoler les flots ; pour se doter ensuite, au moyen âge, d’une véritable queue de poisson. Ce sont donc ces rapports que nos deux auteurs évoquent avec brio, donnant un ordre chronologique à leurs récits, en passant par les mythologies, Pline l’Ancien, Ambroise Paré, ou jusqu’à récemment un capitaine d’un chalutier azerbaïdjanais, nombreux furent ceux qui purent constater l’existence des ces êtres. Ce peuple de la mer, savamment brossé dans cet ouvrage, mérite un large détour, car sérieux, objectif, sans à priori, bien construit et super documenté.

Colonel Philip J. CORSO avec William J. BIRNES

Le jour après Roswell Traduit de l’américain par Geneviève VANQUELEF

210 pages - Éd. personnelle

Des révélations percutantes et intégrales du livre du Colonel CORSO, lorsqu’il était Officier des Services Secrets et Conseiller du Général Trudeau. Au Pentagone, travaillant sur les plus grands se-crets militaires, examinant l’information la plus lourdement classifiée, dirigeant le Département de la Défense, ses déclarations ont fait l’effet d’une bombe, lors de la parution de son livre aux U.S.A. Il est vrai que ca décoiffe ! Pas toujours objectif dans ses assertions (prise de position vis-à-vis des « petits gris » par exemple). Excellent quand même !

Zecharia SITCHIN La 12ème Planète

Éd. Louise Courteau - 430 Pages

Zecharia SITCHIN est l’un des rares orientalistes qui soit en mesure de décrypter les tablettes d’argile sumériennes, lesquelles retracent des évènements immémoriaux. Qui sommes-nous ? Que sommes-nous ? Pourquoi sommes-nous sur cette planète la terre ? D’où vint ce monde qui est le nôtre, etc. La 12ème planète cherche à fournir au lecteur un récit qui le renseigne sur ces questions primordiales. Les preuves sur lesquelles il s’appuie sont essentiellement des textes et des documents iconographiques anciens. Il tente de déchiffrer une cosmogonie très élaborée qui expli-que aussi bien que les théories scientifiques actuelles, comment le système solaire a pu être formé par une planète étrangère qui s’intro-duisit dans le système solaire antérieur pour y créer la terre, et d’au-tres corps planétaires. Il retrace également l’installation spectaculaire des premières colo-nies des NEFILIM sur terre : leurs chefs, leurs amours, leurs relations conflictuelles, leurs batailles et la nature de leur immortalité, de même que les évènements fondamentaux qui eurent pour conclusion la création de l’homme, et de présenter les méthodes évoluées grâce auxquelles cela put être accompli. Il évoque aussi l’enchevêtrement des relations qui s’instaurèrent entre les hommes, qui, parfaitement dotés biologiquement et matériellement par leurs créateurs, et de plus en plus nombreux sur terre, finirent par chasser les « Dieux ». Ce livre suggère que nous ne sommes pas seuls dans le système so-laire. Des réponses époustouflantes, convaincantes, des textes gravés sur des tablettes d’argile remarquablement mis en lumière par Sitchin, et plus de cent artefacts mis à jour par les archéologues. Nos origines sont garantes de notre avenir. Remarquable livre.

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12, avenue du Vallespir

66700 ARGELÈS SUR MER

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MARDI 5 DÉCEMBRE 2006 MARDI 2 JANVIER 2007 MARDI 6 FÉVRIER 2007

MARDI 6 MARS 2007 MARDI 3 AVRIL 2007

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Paris La Défense, sortie du MÉTRO RER et SNCF - 15 mn de Paris Centre ! Deux raisons pour participer à ces rencontres mensuelles

Ces rencontres ont lieu chez:

CAFETERIA CASINO Centre commercial « les quatre temps » - PARIS - LA DEFENSE

(À moins de 15 mn du centre de Paris par le RER). (Métro ligne 1 et RER ligne A)Station Grande Arche de la Défense) Accès facile, à la sortie du métro - RER - Ratp - Bus

Stationnement sans problème dans les parkings PA - PB - CENTRE - WILSON. (Sortie 7 et 8 du Bd Circulaire) ou dans les rues de Puteaux, au pied du centre commercial