VENDÔME - DIMANCHE 18 FÉVRIER 2018

ROUILLAC

TABLEAUX & DESSINS ANCIENS

ORDRE DE VENTE

TABLEAUX & DESSINS ANCIENS Dimanche 18 février, 14h

ALBUM AMICORUM du CHÂTEAU DE COULONGE 1 - 34 DESSINS ANCIENS 35 - 112 TABLEAUX ANCIENS 120 - 217

GRAVURES, TABLEAUX & DESSINS MODERNES Mardi 20 février, 14h

ESTAMPES et GRAVURES 250 - 288 DESSINS MODERNES 300 - 337 TABLEAUX MODERNES 339 - 423 ATELIER GIRARD 441 - 442 ATELIER LAGRUE 450 - 478

CONFÉRENCE " Visite commentée à travers les écoles de peinture"

le samedi 17 février à 15h. Vendôme - Hôtel des Ventes - 2, rue Albert Einstein

VENTE LIVE SANS FRAIS ADDITIONNELS

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Dimanche 18 Février 2018 Ventes aux enchères à 14h

TABLEAUX & DESSINS ANCIENS

Hôtel des Ventes Route de Blois - 2, rue Albert Einstein - 41100 VENDÔME

EXPOSITIONS Vendredi 16 février de 14h à 17h Samedi 17 février de 14h à 17h

Dimanche 18 février de 10h à 12h

PAIEMENT COMPTANT - FRAIS 20% TTC

www.rouillac.com photos HD, liste complète et résultats sur notre site internet

www.rouillac.com Tours (37000) Vendôme (41100) Paris (75006) 22, boulevard Béranger Route de Blois 41, bd du Montparnasse 02 47 61 22 22 02 54 80 24 24 01 45 44 34 34

rouillac@rouillac.com OVV n°2002-189 Fax : 02 54 77 61 10

EXPERTS

TABLEAUX ANCIENS Cabinet TURQUIN

assisté de Stéphane PINTA Pour les numéros : 35, 41, 55, 56, 71, 120,

122, 125, 121, 123, 124, 126 à 131, 133 à 141, 143 à 151, 153, 154, 156 à 161, 166, 172, 175,

176, 182, 183, 192, 193, 194, 196, 197, 203, 210, 211, 212, 343.

Tél. 01 47 03 48 78

DESSINS ANCIENS Galerie de BAYSER

Pour les numéros : 1 à 33, 38, 39, 40, 44, 45, 47, 48, 49 50, 51, 52, 53, 54, 57, 61, 62, 65,

66, 67, 68, 69, 70, 72, 74, 75, 84, 88, 91, 94, 95, 96, 104, 105, 106, 109.

Tél. 01 47 03 49 87

ESTAMPES Sylvie COLLIGNON

Pour les numéros : 253, 256, 275 et 278. Tél. 01 42 96 12 17

TABLEAUX MODERNES

Galerie BRAME & LORENCEAU Pour les numéros 322, 324, 348 et 368.

Tél. 01 45 22 16 89

A L B U M A M I C O R U M d u C H Â T E A U d e C O U L O N G E n ° 1 à 3 4

L'ANCÊTRE DES RÉSEAUX SOCIAUX Rare et bel ensemble de dessins provenant d'un album AMICORUM assemblé par le baron François-Adolphe ACKERMANN (1809-1890) régent de la Banque de France, pour sa femme née Louise Marie Boquet de Saint-Simon et conservé depuis dans sa descendance au château de Coulonges à Rahay (Sarthe). Il était de bon ton en remerciements d'un séjour, d'une chasse, d'un week-end à la campagne, d'offrir au XIXè non un bouquet de fleurs ou des chocolats, mais un dessin, une aquarelle qui rejoignait un épais album constitué à ce effet : l'amicorum. Livre d'amitié, témoignage d'affection de souvenirs, rare témoin d'une pratique culturelle et sociale des grandes familles. Celui du château de Coulonges - constitué par les Ackermann, à partir de leur mariage en 1836 - comprend de délicates œuvres de Bonington, Decamps, Vincent, Coignet, Vernet, Francia, Grandville, Garneray. Paysages, scènes de genre, voyages, vie domestique, nature morte : tout le charme du milieu du XIXè. Près de soixante de feuilles, (31 numéros dont on joint 26 autres œuvres) non encadrées de format moyen (20 x 30 cm) conservées à l'abri de la lumière, comme des regards jusqu'à ce jour… Seront présentés parallèlement : la reliure aubergine finement ouvragée de cet Amicorum (avec sa housse de protection), et l'inventaire de l'époque par ordre alphabétique dans une élégante reliure mosaïquée émeraude.

FRANÇOIS ADOLPHE AKERMANN Né le 7 novembre 1809 à Paris, c'est un financier, régent de la Banque de France du 27 janvier 1859 au 28 mars 1890 jour de sa mort, à 80 ans. Petit-fils d'André Joseph Bernard Akermann (1743-1824), receveur général des finances de l'arrondissement de Namur, bourgmestre et châtelain de Boneffe (royaume des Pays-Bas, actuelle commune d'Éghezée), fils de François Joseph Akermann (1772-1848), receveur général des finances du département de Sambre-et-Meuse (1808-1814) puis des Ardennes (1815-1833), sa sœur Pauline Akermann épousera Jules Collart-Dutilleul, procureur général près la Cour des comptes, et sera la mère de François-Ernest Dutilleul. Marié à Louise Marie Boquet de Saint-Simon en 1836, François Adolphe Akermann aura une fille qui épousera le vicomte Hippolyte Jaubert, fils de Hippolyte François Jaubert. À la mort de son frère Aimé Bernard Auguste Akermann en 1855, il deviendra tuteur de ses neveux François Auguste (1850-1867) et Bernard François Eugène Akermann (1853-1938). Formé à la comptabilité générale du ministère des Finances, puis assistant de son père, François Adolphe Akermann devient receveur général des Finances du département de la Dordogne en 1834 à l'âge de 25 ans. Habile financier, comme l'était son père selon le biographe Victor Lacaine, François Adolphe connaît un succès croissant et est rapidement muté dans la Sarthe (1838), département où est situé le domaine familial de Coulonge, à Rahay, qu'il fait entièrement reconstruire. Il fut également maire de Rahay après son père et ses frères Aimé-Bernard et Paul. Il est sous-gouverneur de la Banque de France par intérim du 27 décembre 1870 au 4 janvier 1871, en même temps qu'Adrien Le Bègue de Germiny et Auguste Legrand de Villers. Lors du mariage d'Henriette Akermann, en 1877, avec le vicomte Henri de Bouillé, sa famille reçoit les éloges du " comte de Chambord " (" Henri V " pour les légitimistes) dans une lettre écrite par ce dernier au père du marié (écrite à Frohsdorf le 25 juillet 1877). François Adolphe Akermann meurt en 1890 dans sa résidence avenue Montaigne à Paris, il est commandeur de l'ordre de la Légion d'honneur.

Sources et remerciements : fonds famillial, archives Banque de France, Wikipédia.

2 Victor ADAM (Paris 1801 - 1866) Choc de cavalerie Lavis brun. Signé en bas à droite. Haut. 12, Larg. 15,5 cm.

150 / 200

3 Hippolyte BELLANGÉ (Paris 1800 - 1866)

Couple au coin du feu. Aquarelle gouachée. Signé et daté en bas à gauche "1834". Haut. 19,8, Larg. 15,5 cm. JOINT une autre aquarelle du même artiste.

200 / 300

4 Richard Parkes BONINGTON (près de Nottingham 1802 -Londres 1828)

Marine. Aquarelle, quelques grattages. Signé en bas à gauche au crayon noir. Numéroté au verso en haut à droite. Petites taches. Haut. 14,5, Larg. 21,5 cm. Nous remercions Monsieur Patrick Noon qui nous a confirmé d'après des photographies l'authenticité de cette marine de Bonington et la date des années 1818-1819.

8000 / 10000

5 Richard Parkes BONINGTON (près de Nottingham 1802 -Londres 1828)

Femmes conversant. Lavis brun sur traits de crayon noir. Signé en bas à gauche au crayon noir. Collé en plein sur son montage. Numéroté au verso du montage en haut à droite. Haut. 11,5, Larg. 8,5 cm.

Nous remercions Monsieur Patrick Noon qui nous a confirmé d'après des photographies l'authenticité de ce lavis de Bonington et le date des années 1820-1821. JOINT une copie de notre dessin par un artiste anonyme du XIXème siècle.

4000 / 5000

6 Richard Parkes BONINGTON (près de Nottingham 1802 -Londres 1828)

Femme priant sur une tombe. Aquarelle sur traits de crayon noir. Signé en bas au centre au crayon noir. Quelques usures sur les bords. Numéroté au verso en haut à droite. Haut. 11, Larg. 8 cm.

Nous remercions Monsieur Patrick Noon qui nous a confirmé d'après des photographies l'authenticité de cette aquarelle de Bonington et la date des années 1820-1821.

5000 / 6000

7 Jules COIGNET (Paris 1798 - 1860)

Attelage dans un paysage montagneux. Aquarelle partiellement vernissée. Signé et daté en bas à gauche de "1831". Numéroté au verso du montage. Haut. 16, Larg. 21,5 cm. JOINT une aquarelle anonyme du XIXème siècle.

300 / 400

8 John Sell COTMAN (Norwish 1782 - Londres 1842) Voiliers au large d'une ville. Aquarelle sur traits de crayon noir. Signé et daté en bas à gauche "1832". Haut. 23,5, Larg. 32,5 cm. JOINT un paysage au lavis de l'école française du XIXème siècle.

400 / 500

9 Alexandre Gabriel DECAMPS (Paris 1803 - Fontainebleau 1860)

Fumeur de narguilé dans un intérieur. Lavis brun et rehauts de gouache blanche. Signé en bas à gauche. Haut. 14,8, Larg. 18 cm. JOINT une étude de figure du même artiste.

800 / 1000

10 Auguste DELACROIX (Boulogne-sur-mer 1809 - 1868)

Marins sur la grève. Aquarelle partiellement gouachée sur traits de crayon noir. Signé et daté en bas à droite "1835". Haut. 15,5, Larg. 23,5 cm.

100 / 150

11 Augustin ENFANTIN (Belleville 1793 - Naples 1827)

Cabanon dans un paysage boisé. Lavis brun et rehauts de gouache blanche sur traits de crayon noir. Signé et daté en bas à droite "1826". Haut. 19,5, Larg. 17 cm. JOINT un dessin de Pernod au crayon noir.

200 / 300

12 Eugène FOREST (Strasbourg 1808- Grenoble 1891)

Ruelle animée. Aquarelle légèrement gouachée. Signé en bas à gauche. Haut. 19,5, Larg. 11,7 cm. JOINT un autre dessin du même artiste signé ainsi qu'une aquarelle d'une procession religieuse.

150 / 200

13 François Thomas FRANCIA (Calais 1772-1839)

Vue animée du port de Dunkerque. Aquarelle partiellement gouachée, quelques grattages. Signé au centre à droite. Haut. 20,7, Larg. 29,2 cm. JOINT une autre marine du même artiste signée sur la voile.

600 / 800

14 Hippolyte GARNERAY (Paris 1787 - 1858)

Procession religieuse. Aquarelle. Signé en bas à gauche. Haut. 13, Larg. 9,5 cm. JOINT un lavis et une aquarelle du même artiste.

400 / 500

15 Jean Ignace Isidore GERARD dit GRANDVILLE (Nancy 1803 - Vanves 1847)

La Présentation. Plume et encre brune. Signé en bas à gauche. Haut. 10,5, Larg. 15 cm.

600 / 800

16 François GRENIER de Saint Martin (Paris 1793 - 1867)

L'aumône. Aquarelle sur traits de crayon noir. Signé en bas à droite. Haut. 20,8, Larg. 16 cm. JOINT un lavis du même artiste.

200 / 300

17 Oscar GUET (1801 - 1871) Les amants près du puits. Aquarelle sur traits de crayon noir. Signé et daté en bas à droite "1879 ?" à la plume et encre brune. Haut. 27,9, Larg. 22,4 cm. JOINT un portrait du XIXème siècle au crayon noir.

200 / 300

18 Hortense HAUDEBOURG LESCOT (Paris 1784 -1845)

Scène animée au coin du feu. Aquarelle. Signé en bas à gauche. Haut. 14,5, Larg. 12,5 cm. JOINT un paysage du XIXème siècle.

400 / 600

19 Georges-Eugène HUOT (actif à Paris au XIXème siècle)

Concert familial. Aquarelle gouachée. Signé "Huot" en bas à droite. Haut. 28, Larg. 23 cm. JOINT un lavis et trois aquarelles du même artiste.

200 / 300

20 Hyppolite LECOMTE (Puiseaux 1781 - Paris 1857)

La halte de cavaliers. Aquarelle gouachée. Signé et daté en bas à droite "1832". Haut. 15,3, Larg. 19,3 cm. JOINT un paysage à l'aquarelle du XIXème siècle.

150 / 200

21 Théodore Henri MANSSON (Rouen 1811 - Bruxelles 1850)

Vue de l'église Saint-Maclou, Rouen. Crayon noir. Signé en bas à droite. Numéroté au verso du montage. Haut. 15,5, Larg. 9,3 cm JOINT un autre dessin au crayon noir du XIXème siècle et un lavis du XIXème siècle.

200 / 300

22 Piotr MICHALOWSKI (Cracovie 1800 - 1855)

L'attelage. Aquarelle. Signée en bas à droite. Haut. 15,8, Larg. 21,7 cm.

200 / 300

23 Raymond Auguste MONVOISIN (Bordeaux1790 - 1870)

Bergère en pied. Aquarelle sur traits de crayon noir. Signé et daté en bas à gauche "1830". Haut. 13,5, Larg. 15,5 cm. JOINT un autre dessin au lavis du même artiste.

200 / 300

24 Émile César Victor PERRIN (Rouen 1814 - Paris 1885)

Promenade dans un paysage boisé. Aquarelle partiellement gouachée sur traits de crayon noir. Signé et daté en bas à droite "1895". Haut. 21,4, Larg. 26,5 cm. JOINT un paysage à l'aquarelle de l'école française du XIXème siècle.

200 / 300

25 Edme-Jean PIGAL (Paris 1798 - Sens 1872)

Homme lisant dans un intérieur rustique Aquarelle, quelques grattages Signé en bas à gauche Numéroté au verso du montage en haut à droite Haut. 29 Larg. 24 cm JOINT deux aquarelles romantiques du XIXème siècle

200 / 300

26 Henri Louis Hippolyte POTERLET (Paris 1803 - 1835)

Joueuse de mandoline. Aquarelle gouachée partiellement vernissée. Signé en bas à gauche. Haut. 19,5, Larg. 23 cm. JOINT une scène d'intérieur au lavis de Gigoux.

300 / 400

27 Samuel PROUT (Plymouth 1783 - Camberwell 1852)

Femmes à la fontaine. Aquarelle, plume et encre brune. Signé en bas à droite. Haut. 23, Larg. 16,5 cm.

300 / 400

28 Charles Caïus RENOUX (Paris 1795 - 1846)

Intérieur animé d'un cloître. Aquarelle et quelques rehauts de gouache blanche. Signé et daté "1849" en bas à droite. Haut. 19,7 Larg. 15 cm. JOINT un paysage au lavis de l'école française du XIXème siècle.

200 / 300

29 Camille ROQUEPLAN (Mallemort 1803 - Paris 1855)

Mendiant au bord de la route. Crayon noir et quelques rehauts de sanguine. Signé en bas à gauche. Haut. 19, Larg. 14,8 cm. On joint un autre dessin du même artiste daté et signé.

100 / 150

30 Émile Jean Horace VERNET (Paris 1789 - 1863) Marin mirant l'horizon. Lavis brun sur traits de crayon noir. Signé et daté en bas à droite "1825". Haut. 23,3, Larg. 16 cm.

400 / 500

31 Henriette Antoinette VINCENT (Brest 1786 - 1830)

Nature morte à l'ananas. Aquarelle et rehauts de gouache blanche. Signé sur l'entablement et monogrammé en bas à droite au crayon noir. Haut. 14,8 Larg. 11,5 cm.

400 / 500

32 William WYLD (Londres 1806 - Paris 1889)

Vue animée de la place saint Marc. Aquarelle partiellement gouachée sur traits de crayon noir. Signé et daté en bas à droite "1835". Haut. 23,5, Larg. 17,5 cm.

800 / 1000

33 École FRANÇAISE du XIXe siècle

Homme assis sur un banc. Aquarelle sur traits de crayon noir. Signé "J L ? Canon" en bas à gauche. Haut. 28, Larg. 23 cm. JOINT : une autre aquarelle du même artiste.

100 / 150

34 RELIURE aubergine finement ouvragée de cet Amicorum (avec sa housse de protection),

et l'inventaire de l'époque par ordre alphabétique dans une élégante reliure mosaïquée émeraude.

500

D E S S I N S A N C I E N S n ° 3 5 à 1 1 2 35 École FLAMANDE vers 1600.

L'Adoration des Bergers. Albâtre. Haut. 12,2 Larg. 10 cm. Cadre en bois mouluré, peint et doré d'origine.

300 / 500

36 École ANCIENNE.

Retour de chasse. Lavis d'encre brune monogrammé AS en bas à droite. Haut. 15,5, Larg. 28,5 cm.

80 / 120

37 REMBRANDT (1606-1669), d'après

Portrait d'homme. Encre. Haut. 18, Larg. 14 cm.

20

38 École FLORENTINE vers 1600.

Homme en pied de profil gauche. Sanguine, estompe. Haut. 41, Larg. 23,7 cm. (importantes pliures, importants manques restaurés ; dessin doublé). Provenance : collection Jacques Dupan, son cachet en bas à droite (L.1440).

2000 / 3000

39 École FRANÇAISE vers 1700. Le char d'Apollon. Plume et encre brune. Haut. 15,8, Larg. 20 cm.

300 / 500

40 Jean-Baptiste HUET (Paris, 1745 - 1811)

Ferme animée. Pierre brune, estompe signée et datée en bas à droite "JB Huet 1775". Haut. 31,5, Larg. 46,5 cm. (petite tache au centre) Cachet du monteur à sec en bas à droite François Renaud (Lugt n°1042).

3000 / 4000

41 École RUSSE du XVIIIe.

Saint Cyril. Toile d'origine. Haut. 50, Larg. 41 cm.

400 / 600

42 École du XVIIIe.

Paysage au pont animé de deux personnages. Miniature Haut. 3, Larg. 4 cm.

30 / 50

43 École FRANÇAISE du XVIIIe ?

Nativité. Lavis. Haut. 22, Larg. 28,5 cm.

50

44

Portrait présumé de Watteau de trois-quarts. Pastel. Haut. 34, Larg. 26 cm. (bande de papier rajoutée dans le bas). Provenance : - Peut être vente La Live de Jully, Paris, 5 - 16 mars 1770, n° 129 (Portrait de Watteau en buste, on voit le haut d'une chaise sur laquelle il est supposé assis, pastel de 12 pouces sur 10) Acquis 113 livres à cette vente par Rémy. - Collection tourangelle de Luynes - Vente Rouillac, Cheverny 10 juin 2007 n°80, puis Vendôme 24 février 2008, n°12. - Succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

LE PORTRAIT DE WATTEAU PAR ROSALBA CARRIERA DANS LA COLLECTION LA LIVE DE JUILLY

À Paris depuis mai 1720, Rosalba Carriera rencontre Watteau pour la première fois le 21 août de la même année, alors que celui-ci vient de rentrer d'Angleterre. L'admiration de Watteau pour la Vénitienne ne fait aucun doute. On sait en effet qu'il avait manifesté le désir de la rencontrer comme en témoigne la correspondance entre Vleughels et Rosalba, le 20 septembre 1719, il écrivait : " Il y a ici un excellent homme nome Mr Vatteau dont peut être vous avez entendu parler, il souhaitteroit bien vous connoitre […] et voudroit avoir un petit morceau de vous, il vous envoiroit un de sa main ". Rosalba mentionne dans son journal qu'elle entreprend le 11 février 1721, pour Crozat, le portrait de Watteau. Elle quitte définitivement la France le 15 mars. Watteau, quant à lui, quitte Paris pour Nogent-sur-Marne où il meurt le 18 juillet à la suite d'une maladie contractée à son retour de Londres.

5000

Notre pastel n'est pas celui que Rosalba Carriera effectue pour Crozat, puisqu'il s'agit de celui conservé à Trieste (Museo di Santa Caterina, inv. P.190) et identifié par Cailleux en 1966. La feuille peut être néanmoins rapprochée d'une étude préparatoire conservée à Francfort (Städelsches Kunstinstitut). Bernadina Sani note que la pose et l'expression ne sont pas caractéristiques du travail de Rosalba Carriera, ce qui pourrait amener à penser qu'il ne s'agit pas d'une étude d'après nature mais d'après des dessins de Watteau lui-même. Notre pastel pourrait donc être un témoignage rare du travail de la pastelliste où elle s'intéresse particulièrement à la physionomie du personnage. Pour Sani, ce pastel et son étude préparatoire sont une réflexion sur les techniques stylistiques de Watteau. Ce dernier rendait en effet compte des sentiments dans son œuvre, et Rosalba ici se fait l'interprète de cette nouvelle sensibilité. Nul doute que la Vénitienne fut séduite par Watteau, elle exprime toute sa reconnaissance dans une lettre à Jean de Julienne où elle parle de " l'inimitable Vato". La comparaison stylistique avec d'autres portraits de Rosalba daterait ce pastel vers 1720-1721, même s'il ne peut pas être identifié avec certitude comme le portrait de Watteau mentionné par Crozat. La provenance de ce pastel est prestigieuse puisqu'il apparaît peut-être dans la vente de La Live de Jully en 1770, un des grands amateurs du siècle des Lumières. Il est alors acquis par le marchand Rémy et le portrait disparaît jusque dans les années 1950, où Jacques Wilhelm le redécouvre dans une collection particulière et lui consacre un article dans la Gazette des beaux-arts. Bibliographie : - J. Wilhelm, "Le portrait de Watteau par Rosalba Carriera", Gazette des Beaux - Arts n° XLII, Paris, 1953, pp 235 à 246, reproduit fig. 3 ; - J. Cailleux, "Un portrait de Watteau par Rosalba Carriera", in Miscellanea J. Q. van Regteren, Amsterdam, 1969, pp. 174 à 177 ; - B. Sani, " Rosalba Carriera ", Turin, 1988, cité sous le n° 143. - B. Sani, " Rosalba Carriera 1673-1757 : Maestra del pastello nell'Europa ancien régime ", Turin, 2007, p. 166-167, n°161, repr.

45 Jean-Jacques SPOEDE (1680-1757), d'après

Le vieux brocanteur. Sanguine, estompe. Haut. 36,5, Larg. 23 cm. (petites pliures)

200 / 300

46 École FRANÇAISE du XVIIIe.

"J.J. Rousseau venant d'herboriser - en 1778". Gouache. Haut. 10,5, Larg. 7 cm.

200

47 École FRANÇAISE du XVIIIe.

Allégorie d'un homme d'Église. Crayon noir, sanguine, plume et encre brune, gouache blanche. Haut. 55, Larg. 41,5 cm. (manques sur les bords, pliures, déchirures, épidermures).

500 / 600

48 Charles EISEN (1720-1778), dans le goût de

Femmes conversant, Minerve leur tourne le dos... Crayon et gouache. Haut. 15,5, Larg. 13,5 cm.

50 / 80

49 Jean-Baptiste OUDRY (Paris, 1686 - Beauvais, 1755), atelier de

Le Loup plaidant contre le Renard par devant le Singe. Pinceau et lavis d'encre noire, lavis brun, crayon noir et traces de sanguine, rehauts de gouache blanche sur de nombreuses feuilles assemblées et marouflées sur toile. Haut. 260, Larg. 196 cm. Bordure d'encadrement dessinée moderne et feuille accolée en bas au centre moderne. (accidents et restaurations, taches). Annotations de dimensions : "7 pieds 10 p 6 lignes" ; "premier de 3p 7p" ; "3me de 3p 7p". Bibliographie : Jean Locquin, Catalogue raisonné de l'œuvre de Jean-Baptiste Oudry Peintre du Roi (1686-1755), Archives de l'Art Français, réimpression de 1968, ed. de Nobele, Paris, p.100, n°534.

En 1736, la Manufacture de Beauvais demande à Oudry six sujets pour une tenture en quatre pièces dont voici les intitulés : La Lice et sa compagne, Les deux Chèvres, Le Renard et le buste, Le Renard et les raisins, Les Poissons et le Cormoran, Le Loup et le Renard. Locquin précise n'avoir pu identifier les cartons, n'ayant pas retrouvé les tapisseries. Entre 1729 et 1734, Oudry dessine 277 dessins pour illustrer les Fables, dont l'édition par Jombert se fera de 1755 à 1759. La gravure pour " Le Loup plaidant contre le Renard par-devant le Singe ", exécutée par Sornique, est en sens inverse de notre sujet central (opus cité supra, n°961). Elle fut à nouveau gravée par Huquier avec quelques différences dans le fond (opus cité supra, n°1221). Un Loup disait que l'on l'avait volé : Un Renard, son voisin, d'assez mauvaise vie, Pour ce prétendu vol par lui fut appelé. Devant le Singe il fut plaidé, Non point par des avocats, mais par chaque partie. (…)

Le juge, instruit de leur malice, Leur dit : "Je vous connais de longtemps, mes amis, Et tous deux vous paierez l'amende ; Car toi, Loup, tu te plains, quoiqu'on ne t'ait rien pris ; Et toi Renard, as pris ce que l'on te demande. " La Fontaine se moque ici principalement du juge qui condamne sur des a priori.

15000 / 20000

50 École FRANÇAISE néoclassique

Scène biblique. Plume et encre brune, lavis gris. Haut. 16, Larg. 21,5 cm.

600 / 800

51 Pierre-Narcisse GUERIN (1774-1833), d'après

La servante de Didon écoutant "Énée racontant les malheurs de la ville de Troie" Crayon noir et estompe. Diverses annotations au verso. Haut. 16, Larg. 12 cm. (insolé, traces de colle aux coins petites rousseurs)

150 / 200

52 École FRANÇAISE du XVIIIe.

La Naissance de Vénus. Plume et encre noire sur traits de sanguine, lavis gris et rehauts d'aquarelle. Haut. 34, Larg. 51,5 cm. (dessin doublé; rousseurs, petit trou en haut à gauche, rayure) Provenance : château de l'Aiglerie, Anjou.

300 / 500

53 École FRANÇAISE du XIXe. Aristocrates guettant l'arrivée des révolutionnaires. Lavis signé Jonathan en bas à gauche. Haut. 28 Larg. 18 cm.

200

54 Jacques Louis DAVID (Paris 1748- Bruxelles 1825)

Étude d'homme debout les bras en avant avec reprise de la tête en haut à droite. Crayon noir. Trace d'annotation en bas à droite. Haut. 17,5, Larg. 14 cm. (pliures et petites rousseurs) Provenance : propriété de l' Anjou, succession Roussier

Nous pouvons retrouver une étude pour les mêmes personnages au verso d'un dessin conservé au Musée Pouchkine de Moscou (cf Jacques-Louis David : catalogue raisonné des dessins, P. Rosenberg & LA. Prat, Leonardo Arte, 2002, Tome I, n°104). Expert cabinet de Bayser. 69, rue sainte Anne à Paris. Tél. 01 47 03 49 87.

1500 / 2000

55 École FRANÇAISE du XIXe,

suiveur d'Elisabeth VIGÉE-LEBRUN (Paris, 1755-1842) Portrait de Madame Elisabeth. Pastel. Haut. 53, Larg. 42,5 cm.

Notre tableau est à rapprocher du Portrait de Madame Elisabeth, anciennement donné à Elisabeth Vigée-Lebrun, conservé au Petit Trianon à Versailles (toile, 64,3 x 52,2 cm, MV3962).

2500 / 3500

56 École FRANÇAISE de la fin du XVIIIè, suiveur de Jean-François COLSON (1733-1803)

Jeune femme au chat. Pastel. Haut. 80, Larg. 64,5 cm. Cadre en bois sculpté et redoré d'époque Louis XVI, agrémenté d'un ruban noué à l'amortissement.

1500 / 2000

57 Etienne BOUCHARDY (1797-1850)

Portrait du physicien Augustin Fresnel (1788-1827). Physionotrace, encadré dans un médaillon sous verre titré sur une étiquette au dos. Époque Empire. Diam. 6 cm. Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

Etienne Bouchardy (1797-1849), miniaturiste élève de Sicardi, reprend en 1808 (- 1840) l'atelier de Gilles-Louis Chrétien (Versailles 1754- 1811), inventeur du physionotrace en 1786. Le pysionotrace est un procédé mécanique rapide permettant de représenter la silhouette du sujet et de la graver.

100 / 150

58 Aimé Nicolas MOROT (1850-1913)

La bataille des Pyramides. Esquisse gouachée signée en bas à droite. Haut. 41,5, Larg. 59,5 cm. (accidents)

300 / 500

59 École FRANÇAISE du XIXe

"Épisode de la guerre d'Espagne 10e chasseurs à cheval, vers 1810". Aquarelle signée et datée 1818 en bas à gauche. Titrée au dos. Au dos, aquarelle figurant "Un maréchal de France" et "Un officier d'ordonnance de l'Empereur". Haut. 19, Larg. 25 cm. (accidents, en l'état)

60 / 80

60 École du début du XIXe

Portrait de garçon aux boucles d'oreilles. Pastel. Signé à droite "Robert Pinxit 1819". Haut. 44,5, Larg. 37 cm. JOINT 1 GRAVURE par John Keyse SHERWIN (1751-1790). Vue de Gibraltar avec la flotte espagnole en flammes. Aquatinte annotée "Painted by John Keyse Sherwin under the immediate directions of Sir Roger Curtis - Engraved by J. K. Sherwin, Engraver to his Majesty and to his Royal Highness the Prince of Wales". Haut. 50, Larg. 60 cm. (piqures, plis)

200 / 300

61 École du début du XIXe

Bord de mer méditerranéen. Gouache. Haut. 27,5, Larg. 40,5 cm.

80 / 120

62 École FRANÇAISE vers 1800.

Les philosophes. Plume et encre brune, lavis. Daté " 15 aout 1799 - a.Colombine Haut. 24,8, Larg. 18,5 cm Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

200 / 300

63 École FRANÇAISE du premier tiers du XIXe.

Chevet de la cathédrale Saint-Louis de Blois sous le Consulat. Crayon. Dédicace manuscrite à l'encre sur un bandeau : "Dédié A Monsieur Pointeau, Curé et Grand Vicaire de Diocèse de Blois. / Par son très humble et très obéissant Serviteur, Villegain f.n". / 1803". Haut. 23 Larg. 28 cm. (rousseurs)

50

64 École du début du XIXe

Portrait d'homme de profil. Pastel. Haut. 46,5, Larg. 36 cm. Provenance : château des Ricordières, Indre-et-Loire.

Étiquette au dos : "PORTRAITS DE PROFIL / Le Sieur COQUERET, de Versailles, Professeur de Dessin, avantageusement connu par ses Portraits de profil, prévient les personnes qui voudront l'honorer de leur confiance, qu'il ne restera que très-peu de tems dans cette ville. Ce genre, qui lui est particulier, imite parfaitement la peinture, et n'exige qu'une seule séance (...).

80 / 120

65 École SUISSE vers 1820.

Vue d'un lac en Suisse Aquarelle et rehauts de gouache blanche sur traits gravés. Haut. 50, Larg. 72 cm. (légèrement insolée, petites taches)

400 / 600

66 Johann Ludwig ABERLI (1723-1786), d'après Vue de Lucerne et du Mont Pilate. Aquarelle et rehauts de gouache blanche sur traits gravés. Haut. 50, Larg. 73 cm. (légèrement insolé, petites taches) Dans un beau CADRE en bois doré par Perreau, encadreur de S.A.R. la duchesse de Berry, avec une marie-louise en verre églomi (Haut. 76 Larg. 95 cm) Une gravure représentant un sujet équivalent s'est vendue le 17 juin 2015 par la maison Fischer à Lucerne.

500 / 800

67 Théophile FRAGONARD (Paris 1806 - Neuilly sur Seine 1876)

Une réunion de 5 dessins (un paysage et trois scènes de genre et un peintre dans son atelier). Plume et encre brune, lavis brun, sur traits de crayon noir. Divers formats. (petites pliures et petites tâches)

500 / 600

68 Alexandre-Evariste FRAGONARD (Grasse 1780 - Paris 1850)

et Théophile FRAGONARD (Paris 1806 - Neuilly sur Seine 1876) Un ensemble de 31 dessins (2 sont signés, 5 sont légendés, scènes de genre, études de personnages). Crayon noir, plume et encre brune, lavis brun. Divers formats.(bords irréguliers et petites tâches)

1500 / 1800

69 École FRANÇAISE du XIXe

Une réunion de 8 dessins (quelques-uns sont datés et situés, paysages, études d'arbres et habitations). Divers formats. (pliures et tâches)

200 / 300

70 École FRANÇAISE du XIXe

Un ensemble de 47 feuilles (Paysages ruraux et habitations). Crayon noir, gouache partiellement oxydée. Certains sont titrés et parfois datés. Formats divers. (pliures, déchirures, tâches)

200 / 300

71 École ANGLAISE VICTORIENNE.

Obéron et Titania. Papier marouflé sur carton. Porte une signature en bas à droite. Haut. 37, Larg. 24 cm. Titania, femme d'Obéron roi des elfes, est touchée par un sort jeté sur ordre de son mari. Elle tombe endormie. L'enchantement veut qu'elle tombe amoureuse du premier venu à son réveil, à savoir le laid Nick Bottom, victime d'un sort qui l'a métamorphosé en âne.

3000 / 5000

72 Auguste RAFFET (Paris 1804 - Gènes 1860)

Portrait de Paul Coullet. Crayon noir, estompe, lavis brun et lavis gris, rehauts de gouache blanche. Annoté au verso "Paul Coullet/ Epouse Amélie Doumuc, père de Marie, Mme Alfred Leblanc". Haut. 27,5, Larg. 21,7 cm. (insolé)

200 / 300

73 Honoré Albert de LUYNES (1802-1867), duc de Luynes. Portrait de jeune femme. Crayon, lavis et réhauts de blanc. Papier insolé, traces de mouillures. Haut. 14, 4 cm., Larg. 11, 9 cm. Dans un cadre de style Louis XV, à décor de perles et noeuds. JOINT : Raymond des ROBERT. Portrait présumé de M. Eivessin. Mine de plomb. Haut. 15, 3 cm., Larg. 12, 1 cm. Trace d'un encadrement circulaire ancien.

200 / 300

74 Jean-Jacques GRANDVILLE (1803-1847)

Portrait charge de M. Dument, médecin. Encre brune. Haut. 7,5 cm., 8 cm. (déchirure)

200 / 300

75 Eugène FROMENTIN (La Rochelle, 1820-1876)

Côte d'albâtre. Aquarelle. Haut. 15,5, Larg. 24,5 cm. (insolé) Provenance : Atelier Fromentin, cachet de la vente en bas à gauche (Lugt n°957) Selon une étiquette au verso : Exposition de l'art français à St Petersbourg - Peintre : Fromentin - Sujet : aquarelle plage rocheuse et falaise - Collection : Mr Beurdeley.

1500 / 2000

76 COUREIL (?), école FRANÇAISE du XIXe.

"Brigantin français devant "L' Île de Gorée (Pointe Est)". Navire hollandais à voile et à vapeur. Deux aquarelles signées en bas à droite. Haut. 18 Larg. 31 et Haut. 25 Larg. 36 cm. (piqûres)

120

77 École FRANÇAISE du XIXe siècle.

"Femme de Majah's (Côte Malabar)" - "Domestique Malabar". Deux aquarelles gouachées formant paire. Titrées à la plume en bas à droite. Haut. 25 et 25,5, Larg. 20 et 18,5 cm.

50 / 80

78 Septime LE PIPPRE (1833-1871)

La patrouille aperçoit un cochon. Aquarelle gouachée signée en bas à droite. Haut. 25, Larg. 39 cm. (quelques rousseurs et petits manques aux coins)

150 / 200

79 École FRANÇAISE du XIXe

"Sepia du comte de Novion / Le bain (?) en voiture à la Guadeloupe". Lavis d'encre brune. Haut. 9, Larg. 13 cm. (rousseurs) JOINT : École du XIXe. Conversation dans un parc. Aquarelle signée et datée en bas à droite. Haut. 10,5, Larg. 17 cm.

80 / 120

80 Marie ASSIER (XIXe)

Paysage lacustre animé de canards. Pastel. Nota manuscrite au dos : "Marie Assier 15 janvier 1870". Haut. 56, Larg. 80 cm. Cadre doré à canaux.

120

81 RÉUNION de 19 DESSINS et ESQUISSES dont : "St Fiacre patron des jardiniers" (gouache, pochoir, 63 x 48 cm); une vue de la place de la Concorde à l'été 1940 (aquarelle gouachée signée et datée, 22 x 31,5 cm); deux soldats de la Grande armée pendant la Retraite de Russie (fusain et craie, 43x 30,5 cm); une tête de taureau (fusain signé et daté 1865, 47 x 30,5 cm); un portrait de femme (mine de plomb signé et daté 1816, 18 x 24 cm); etc... XIX - XXe.

80 / 120

82 Réunion de 8 DESSINS ou ESQUISSES :

- Bacchanale. Haut. 20, Larg. 20,5 cm. - Élégante dans un palanquin. Haut. 6, Larg. 8,5 cm. - Tambour. Haut. 21, Larg. 16 cm. - Putto. Haut. 23, Larg. 17 cm. - "La Donna in (?)". Jeune femme. Haut. 24, Larg. 17,5 cm. - Personnages antiques. Haut. 21, Larg. 30 cm. - Femme et enfant. Haut. 12, Larg. 16 cm. - Portrait de femme au bonnet. Haut. 26,5, Larg. 22,5 cm. XVIII - XIXe.

80 / 120

83 Henri ZUBER (1844-1909)

Paysage lacustre. Aquarelle signée en bas à droite et datée 05. Haut. 23,5, Larg. 30,5 cm.

100 / 150

84 École FRANÇAISE du XIXe

Étude de nourrisson. Sanguine et rehauts de craie blanche, mise au carreau crayon noir. Haut. 28, Larg. 36,5 cm.

100 / 200

85 Henri ZUBER (1844-1909)

Versailles, vue animée du Galate Mourant à la tombée du jour. Aquarelle signée en bas à droite. Haut. 33, Larg. 49,5 cm.

300 / 500

86 École FRANÇAISE du XIXe.

"États-Unis 1861 Wilson's Zouave" - "Autriche 1862 officier d'infanterie", caricatures. Aquarelles signées et datée en bas à droite. Haut. 32,5, Larg. 21 cm.

60 / 80

87 Eugène RODIER, XIX-XXe.

Vue de l'hôtel Cail, 56 boulevard Malesherbes, Paris. Aujourd'hui Mairie du VIIIe arrondissement de Paris. Aquarelle gouachée, signée en bas à gauche "E. Rodier". Haut. 30, Larg. 31 cm. (mouillures) Provenance : château des Ricordières, Indre-et-Loire.

Jean François Cail (1804-1871), commence comme simple apprenti chaudronnier pour finir directeur d'une entreprise qui fabrique les locomotives Crampton et faire bâtir de splendides demeures pour accueillir ses clients venus du monde entier. Les usines Cail et Cie sont célèbres à plus d'un titre: c'est en leurs murs qu'ont été bâtis les ascenseurs de la Tour Eiffel. Paul Gauguin a représenté leur entrepôt du Quai de Grenelle dans l'une de ses toiles. Jules Verne, dans Vingt Mille lieux sous les mers, fait fabriquer les réservoirs du Nautilus par les usines Cail. Cette maison est à elle seule un symbole de réussite sous le Second Empire et de l'essor de la révolution industrielle.

200

La construction de l'hôtel Cail est confiée à l'architecte Albert Labouret de 1865 à 1867. Il est cédé à la mairie du VIIIe en 1922 par la fille du riche industriel et devient l'emplacement de la Mairie dès 1926. Une nouvelle aile est achevée rue de Lisbonne par l'architecte Jacques Hermant en 1928, pastichant le style éclectique Second Empire de la façade de l'hôtel. La verrière représentée sur notre aquarelle ne semble pas avoir survécu. L'ensemble du bâtiment est inscrit en 1982 à la protection des Monuments historiques.

Source: Thomas Jean-Louis, Jean-François Cail. Un acteur majeur de la Révolution Industrielle, Association C.A.I.L., 2004, p.94-103

88 École FRANÇAISE du XIXe

Paysage fluvial animé Gouache. Signé ? " Gardes " ? en bas à gauche Haut. 32, Larg. 46 cm. (quelques épidermures)

400 / 500

89 École FRANÇAISE du XIXe.

"Bois de Boulogne" Pastel titré, signé et daté 1874 en bas à droite. Haut. 42, Larg. 26 cm.

80 / 120

90 C. CARLIER (XIX-XXe)

Vase de roses. Pastel signé en bas à droite. Haut. 36,5 Larg. 29,5 cm.

80

91 Alphonse LEGROS (Dijon, 1837 - Watford, 1911)

Étude pour "Une Amende Honorable". Crayon signé en bas à droite. Haut. 31, Larg. 21 cm.

100 / 150

92 André DES FONTAINES (1869-1910)

Vue animée d'un parc. Pastel signé en bas à droite. Haut. 26, Larg. 38 cm. Inscription manuscrite au dos : "Pastel cadeau de mariage du peintre Desfontaines à M. Emile Taudière 1921".

200 / 300

93 Henri ZUBER (1844-1909)

Versailles, soleil couchant sur le Parterre d'Eau. Aquarelle signée en bas à droite. Haut. 24,5, Larg. 33 cm.

200 / 300

94 Jules DALOU (Paris 1838 - 1902)

Feuille d'étude recto/verso : Chevaux, visages, bouquet de fleur, étude pour le monument d'Eugène Delacroix. Pierre noire et rehauts de craie blanche sur papier chamois. Signé en bas à droite Haut. 24, Larg. 29,5 cm. (petites déchirures, petites pliures)

400 / 500

95 Jules DALOU (Paris 1838 - 1902)

Etude pour une femme levant le bras gauche. Pierre noire, estompe et rehauts de craie blanche. Signé en bas à droite. Haut. 20,5, Larg. 19 cm (petit trou en bas à gauche)

500 / 600

96 Jules DALOU (Paris 1838 - 1902) Feuille d'étude recto-verso : jeune femme et étude pour le monument d'Eugène Delacroix. Pierre noire et rehauts de craie et de gouache blanche sur papier chamois. Haut. 23,5, Larg. 23,4 cm. (angle supérieur gauche restauré)

800 / 1000

97 Henriette de LONGCHAMP (1818-?) attribuée à

Bouquet de fleurs épanouies. Aquarelle gouachée, étiquette ancienne au verso. Haut. 45, Larg. 36 cm.

100 / 200

98 Hubert ROBERT (Paris, 1733 - Paris, 1808) d'après

Personnages près de ruines. Sanguine Haut. 16 Larg. 23 cm. Provenance : collection Nabon de Blois.

1000

99 DEUX PEINTURES sous VERRE du début du XIXe :

- Le Christ priant au Jardin des Oliviers. Peinture sous verre. Haut. 19, Larg. 26 cm. - L'Annonciation. Peinture sous verre. Haut. 20, Larg. 27 cm.

50 / 150

100 DEUX PEINTURES sous VERRE du XVIIIe :

- Le saint Luc et le boeuf dans les nuées. Haut. 25,5, Larg. 19,5 cm. (manques) - L'évangéliste saint Matthieu et l'ange dans les nuées. Haut. 25,5, Larg. 19,5 cm. (manques)

50 / 150

101 QUATRE PEINTURES sous VERRE :

- Sainte Catherine d'Alexandrie. Peinture sous verre. Haut. 25,5, Larg. 18,5 cm. - ALSACE, Sainte Catherine d'Alexandrie. Mention "S. CATHERIN". dDébut XIXe. Haut. 21, Larg. 13 cm. (manques) - Christ imberbe. Peinture sous verre, rehauts de feuille d'or. Haut. 35, Larg. 27,5 cm. - Saint Antoine de Padoue. Peinture sous verre. Haut. 25,5, Larg. 20,5 cm.

50 / 150

102 TROIS PEINTURES sous VERRE, Alsace (?), XIXe :

- Mademoiselle d'Artois. Haut. 33,5, Larg. 25 cm.(manques) - L'Été. Peinture sous verre. Haut. 32,5, Larg. 25,5 cm. (altérations, accidents) - Le Printemps. Peinture sous verre. Haut. 33, Larg. 25 cm. (rayures)

50 / 150

103 DEUX PEINTURES sous VERRE :

- Vase au bouquet. Haut. 52, Larg. 41 cm. - SICILE, Conversation sacrée, sainte Famille entourée de sainte Rosalie et saint François de Paule. XIXe. Haut. 77, Larg. 61 cm. (accident)

50 / 150

104 Pietro NOVELLI (1603-1677)

Étude de personnages. Sanguine annotée "Novelli" à la plume en bas à droite. Haut. 19,3, Larg. 28 cm. (nombreuses rousseurs)

600 / 800

105 École ITALIENNE vers 1700

Paysage animé. Crayon noir, plume et encre brune. Haut. 24,8, Larg. 36,8 cm.

300 / 400

106 École FRANÇAISE du XIXe, BOUHON ?

Frontispice d'un album appartenant à CD. Aquarelle et gouache dorée. Haut. 28, Larg. 33,5 cm.

600 / 800

107 11 FEUILLES provenant d'un ALBUM AMICORUM : - TROIS DESSINS : "Souvenir des ruines de Kénilworth célèbre château de la Grande Bretagne. Voir Walter-Scott. 25 février 1858". Signé Virginie en bas à droite. 15, x 21,5 cm; Scène pastorale, 18 x 15,5cm; Enfant jouant avec un chien, 25 x 20 cm. - HUIT LITHOGRAPHIES rehaussées dont Grenier, Valerio et Garnier. XIXe.

50 / 80

108 Henri PILLE (1844-1897)

Trois personnages : une femme, un religieux et un gentilhomme. Aquarelle. Haut. 34,5, Larg. 23 cm.

100 / 150

109 Henri Joseph HESSE (Paris, 1781 - 1849)

Couple, paire de portraits. Encre insolée, dans un ovale, signée et datée "1811". Haut. 24, Larg. 20 cm. Riche cadre doré Empire.

Aquarelliste, miniaturiste, dessinateur, élève de David et d'Isabey père, Hesse débute au Salon de 1808. Il excelle dans les portraits des grands personnages de la Restauration, notamment celui de la duchesse de Berry, qui fut exposé au Salon de 1819.

150 / 200

110 Alexandre François CAMINADE (1789-1862)

Portrait d'enfant. Mine de plomb signée et datée "14 9bre 59". Haut. 21, Larg. 18 cm. (taches) Provenance : Famille Hüe de Miromesnil, château de Latingy à Mardié (Loiret).

50 / 80

111 E. RICHER. École FRANÇAISE du XIXe.

Paysanne maure. Dessin, graphite, rehauts. Signé en bas à droite, et daté 1890. Haut. 60,5, Larg. 46 cm.

20 / 30

112 Charles DE GASVILLE (début XIXe)

Napolitain à la chevrette. Gouche monogrammée et signée en bas à droite. Haut. 25, Larg. 17,5 cm.

30 / 50

T A B L E A U X A N C I E N S n ° 1 2 0 à 2 1 7 120 Maître de MOULIN, dans le goût du

Ange. Toile. Haut. 25, Larg. 20 cm. (restaurations) Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

600 / 800

121 Jan MASSYS (c.1510-1575), dans le goût de

Couple et hommes attablés à l'auberge Panneau. Haut. 51, Larg. 67,5 cm. (manques et important repeint en partie droite)

1000 / 1500

122 École FLAMANDE du XVIIe.

Anges de l'Annonciation. Panneau (fragment). Haut. 27, Larg. 20 cm. Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

400 / 600

123 Dans le goût de la RENAISSANCE.

Sainte Famille. Panneau. Haut. 33,5, Larg. 25,5 cm.

200 / 300

124 École de PRAGUE vers 1600,

entourage de Hendrik GOLTZIUS (1558-1617) Salomon sacrifiant aux idôles. Panneau de chêne. Haut. 39, Larg. 50 cm. (soulèvements)

2000 / 3000

125 École PRAGOISE vers 1600,

d'après l'école VÉNITIENNE de Tintoret ou de Palma. Saint-Sébastien. Toile Haut. 48, Larg. 34 cm

2000 / 3000

126 École FLAMANDE vers 1620.

Vierge à l'enfant dans un guirlande de fleurs. Marbre. Haut. 16,5, Larg. 13 cm.

200 / 300

127 d'après Anton Van DYCK (Anvers, 1599 - Londres, 1641)

Portrait d'Henriette Marie de France, reine d'Angleterre. Toile. Haut. 76,5, Larg. 64 cm. D'après l'original de 1632 conservé à Buckingham Palace.

1400 / 1800

128 École ALLEMANDE du XVIIIe,

suiveur de Conrad ROEPEL (1678-1748) Nature Morte aux melons. Toile. Haut. 48, Larg. 61 cm. (restaurations anciennes) Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

1200 / 1500

129 Luca GIORDANO, dit FA PRESTO (1632-1705), attribué à

Personnages dans les nuées Toile marouflée sur carton. Haut. 35, Larg. 35,5 cm.

800 / 1200

130 École ANCIENNE.

Bouquet de fleurs aux insectes. Panneau. Haut. 31, Larg. 23 cm. Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

200 / 300

131 École ITALIENNE vers 1700

Joueurs de cartes au milieu des ruines Toile. Haut. 58, Larg. 88 cm.

1000 / 1500

132 Claude GELLÉE (1600-1682), dit LE LORRAIN, d'après

Port de mer. Toile. Haut. 102 Larg. 132 cm. Dans un cadre en bois sculpté et doré (Haut. 132, Larg. 162 cm)

1200 / 1500

133 École FLAMANDE du XIXe,

suiveur de Pierre CASTEELS. Scène portuaire. Toile. Haut. 53, Larg. 40,5 cm. Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

1200 / 1500

134 École ANCIENNE.

Miniature de paysage à la tempête. Panneau. Haut. 11, Larg. 17 cm. Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

400 / 600

135 École HOLLANDAISE du XIXe,

d'après Gabriel METSU (1629-1667) Le retour du chasseur Toile. Haut. 55,5, Larg. 42 cm. Reprise de la composition de Metsu conservée au musée des Offices à Florence.

600 / 800

136 TENIERS, d'après

Fête de village. Panneau. Haut. 21, Larg. 25 cm.

100 / 200

137 TENIERS, dans le goût de

Le gardien de cochons Carton. Haut. 23,5, Larg. 31 cm.

300 / 400

138 TENIERS, d'après

La Ronde Panneau. Haut. 15, Larg. 22 cm. (manques, restaurations)

100 / 200

139 Adriaen BROUWER (1605 ou 1606-1638), d'après

Le Vaccin Panneau. Haut. 25, Larg. 18 cm. Reprise de la composition conservée au Städel Institut de Francfort.

100 / 200

140 Pietersz van de VENNE Adriaen Pietersz van (1589-1662), dans le goût de

Marine Toile. Haut. 25, Larg. 33 cm.

600 / 800

141 École FLAMANDE du XVIIe

Visage de Sainte. Panneau ovale. Au revers inscription à l'encre et cachet de cire rouge. Haut. 11, Larg. 9,5 cm.

150 / 200

143 École FRANÇAISE vers 1690.

Portraits de dames de la Cour. Deux toiles ovales. Haut. 41, Larg. 33 cm. (restaurations anciennes) Cadre en bois sculpté et redoré d'époque Louis XIV.

1500 / 2000

144 École FRANÇAISE du XVIIIe,

suiveur de Jean-Marc NATTIER (Paris, 1685-1766) Portrait dit du Chevalier d'Orléans. Toile. Haut. 87, Larg. 68 cm. (restaurations anciennes).

Notre tableau est à rapprocher d'une composition de Jean-Marc Nattier, le portrait du Grand Prieur d'Orléans, connue par diverses copies (Xavier Salmon, Jean-Marc Nattier, 1685 - 1766 [cat. expo.], RMN, Paris, 1999, p. 105, fig. 9)

2000 / 3000

145 École FRANÇAISE du XVIIIe,

entourage de Jean-François de TROY (Paris, 1679 - Rome, 1752) Vénus retenant l'Amour, Vénus fouettant l'Amour. Deux toiles en pendant. Haut. 77,5, Larg. 60 cm. (restaurations, Artémis rentoilée). Le Mercure de France d'octobre 1741 annonce la publication de deux gravures d'après Edme Bouchardon (1698-1762) par le comte de Caylus et Fressard représentant "Vénus retenant l'Amour" et "Vénus fouettant l'Amour" en pendant dédiés au Comte de Tessin.

4500 / 6500

146 Henri GASCARD (1635-1701), attribué à

Portrait de dame tenant une couronne de fleurs Toile. Haut. 100, Larg. 81 cm. (restaurations anciennes) Cadre de style.

2000 / 3000

147 École ALLEMANDE vers 1700

Tabagie Panneau de noyer. Haut. 32, Larg. 24,5 cm.

1200 / 1500

148 École FLAMANDE vers 1700,

suiveur de Jan Abrahamsz BEERSTRATEN (1622-1666) Patineurs sur un lac gelé. Toile. Haut. 42, Larg. 52,5 cm.

800 / 1200

149 P. BERNARD. École FRANÇAISE, 1706.

Portrait de Jacques Gustave de Malortie. Toile d'origine. Signée au dos : "P. Bernard pinxit / 1706". Au revers, sur la toile, une inscription : "Jacques Gustave de Malortie Cher Marquis de Villars et de Boudeville Comte de hombourg / inspecteur général de cavalerie maréchal de camps". Sur le châssis, une inscription à la plume :" Portrait de mr Jacques Gustave de Malortie Marquis de Villars, Boudeville. Comte de hombourg inspecteur général de cavalerie-dragons Marechal des camps et armes du Roi / marié en 1691 à Marie-Thérèse de Brisacier. fille de Nicolas comte de hombourg gouverneur de Sirecq / (...) Jacques Gustave de Malortie et fils de François de Malortie, mis de Villars et d'anne de sarvau". Haut. 98, Larg. 76 cm. (restaurations anciennes).

Jacques Gustave de Malortie, marquis de Boudeville, comte de Hombourg (1665 - Plombières, 1729), maréchal des camps et armées du Roi, fils d'Anne de Sarrau, la "marquise de Villars" décapitée devant la Bastille en 1674, avec le prince Louis de Rohan qui conspira contre Louis XIV avec les Hollandais. Elle empoisonna son second mari, François de Malortie.

1500 / 2000

150 École FRANÇAISE vers 1720.

Adoration des Mages. Toile. Haut. 79,5 Larg. 101,5 cm.

600 / 800

151 Michele MARIESCHI (1710-1743), dans le goût de.

Vue du Grand Canal avec l'église Saint Simon à gauche et l'église Sainte Marie de Nazareth à droite, Venise. Toile. Haut. 48, Larg. 68 cm. (restaurations) Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

800 / 1200

152 Louis Ferdinand ELLE (Paris, 1648 - Rennes, 1717)

Portrait du Grand Dauphin (1661-1711) Toile ovale mise au rectangle. Haut. 71, Larg. 57 cm. (Petits soulèvements et manques) Provenance : collection parisienne. Louis Ferdinand II ELLE. Portrait of the Grand Dauphin. Canvas. Louis de France, fils aîné de Louis XIV, dit Monseigneur ou encore le Grand Dauphin, a pour gouverneur le duc de Montausier et pour précepteur Bossuet. Héritier du trône de France, il s'illustre au siège de Philipsbourg en 1688. De retour à versailles, il préfère se retirer à Meudon où une petite cour se forme rapidement autour de lui. Il meurt prématurément, sans doute de la petite vérole. Son fils cadet, le duc d'Anjou, règnera sur l'Espagne sous le nom de Philippe V. Nous remercions Monsieur Jean Claude Boyer pour son aide dans l'attribution de notre tableau.

8000 / 12000

153 École VÉNITIENNE du XVIIIe

entourage de Sebastiane RICCI (Belluno, 1659 - Venise, 1734) Le repas chez Simon. Toile. Haut. 94, Larg. 133,5 cm Provenance : collection tourangelle.

4000 / 6000

Tiepolo reprend cette composition dans un dessin de sa "Grande série biblique" réalisée vers 1785-1790, et passé en vente publique à Paris le 30 novembre 2011 (vente Millon & Robert).Conservée au musée du Louvre (138 dessins sur 313 au total légués en 1893 par Jean Fayet) une partie de la Grande série appartenait au tourangeau Roger Cormier et fut dispersée aux enchères en 1921à Paris avec sa collection.

154 École HOLLANDAISE du XVIIIe,

entourage de Frans de Paula FERG (1689-1740) Fête populaire Toile. Haut. 41, Larg. 52,5 cm.

1200 / 1500

155 École du XIXe.

SUITE de QUATRE TOILES à décor des fables de La Fontaine: - Le loup et la cigogne - Le loup et l'agneau - Le corbeau et le renard - Le renard et la cigogne Scènes dans un cartouche flanqué de festons et guirlandes sur fond jaune. Haut. 120, Larg. 40 cm. (légers manques, traces d'humidité)

50 / 100

156 École FRANÇAISE du milieu du XVIIIe.

Jeune femme en robe rouge - Jeune homme en habit vert. Paire de portraits de forme ovale. Haut. 30 cm. (restaurations, rentoilage ancien sur le portrait de dame) Cadres ovales en bois sculptés et dorés.

La dame présente un costume rappelant celui de Marie Leszczynska dans son portrait en habit de ville par Nattier, 1748, Château de Versailles.

800 / 1000

157 École du XIXe d'après François BOUCHER (1703-1770)

Pastorale galante. Haut. 33, Larg. 46 cm. (repeints) Cadre en bois sculpté et doré.

400 / 600

158 École FRANÇAISE du XVIIIe.

L'enfant au chou. Toile marouflée sur carton. Haut. 22, Larg. 19 cm. JOINT : Portrait d'un aristocrate de profil. Procédé photographique collé en médaillon. Haut. 13, Larg. 10,5 cm.

200 / 300

159 École FRANÇAISE vers 1800,

suiveur de Charles François LACROIX DE MARSEILLE (c.1700-1779 ou 1782) Scène portuaire Toile. Haut. 26,5, Larg. 37 cm.

800 / 1200

160 HOCHECKER Franz (1730-1782) ?

École allemande du XVIIIe Deux vues de la Vallée du Rhin. Paire de toiles signées en bas à gauche. Haut. 33, Larg. 42,5 cm.

4000 / 6000

161 École du XVIIIe Fête champêtre Miniature de forme ronde. Diam. 5,5 cm. (restaurations)

300 / 400

162 École ITALIENNE vers 1800.

Venus et Adonis. Gouache signée "J A Rmbg" et datée "1799", dédicace située à Hanovre. Signature apocryphe datée "1760". Cachet de la succession "SOULIÉ". Haut. 43, Larg. 55 cm. Provenance : succession Nabon, vente au profit de l'Association diocésaine de Blois.

300 / 500

163 René GOUZIEN (XVIIIe)

Portrait de Charles-François Nivard à la palette. Toile. Haut. 35, Larg. 26 cm. Un cartouche en partie supérieure du cadre indique : "Charles-François NIVARD / Né à Nancy en 1739 + 1821 / Recteur de l'Académie Royale de Peinture en 1782 / Peint en Août 1820 / par GOUZIEN". Poème daté 1785 manuscrit à l'encre au dos : "Elève heureux de la Nature Aussi simple qu'elle, Ô Nivard, Dis nous comment dans ta Peinture, Tu sais si bien déguiser l'art" (...) etc. Littérature : J. FLORANGE, Nivard, peintre Lorrain, Édition de la Revue Lorraine Illustrée, Nancy, 1914. Notre portrait y est reproduit p. 12 JOINT : PORTEFEUILLE en maroquin vert marqué "A. NIVARD" en lettres d'or. XIXe.

300

164 Charles-François NIVARD (1739-1821), attribué à

Paysage à la forteresse et Paysage à l'édicule. Toile et panneau formant paire. Haut. 16, Larg. 22 cm.

300 / 400

165 Charles-François NIVARD (1739-1821), attribué à

Portrait présumé d'Adélaïde Nivard Toile. Haut. 40, Larg. 32 cm.(manques et déchirures)

50 / 80

166 École FRANÇAISE vers 1820

Les bulles de savon. Toile. Haut. 64, Larg. 58 cm.

1200 / 2000

167 École FRANÇAISE du début du XIXe.

Monogramme "FL" peint sur une plaque de marbre blanc de forme octogonale. Le monogramme est constitué de guirlandes de fleurs entrelacées. Le "F", de pensées; le "L" de roses. Le monogramme est timbré d'une couronne de bleuets centrée d'une étoile rayonnante. Diam. 35 cm. (quelques soulèvements et petits manques) Cadre à palmettes en bois stuqué et doré (manques).

500 / 800

168 Victor MONGROLLE (1780-1847) (?) Paysage au monastère franciscain. Toile signée en bas à gauche. Haut. 72,5, Larg. 91,5 cm. (accidents)

200 / 300

169 École FRANÇAISE du XIXe.

Portraits présumés de Marie-Jeanne Hery et Jean-Jacques Guérin. Toiles formant paire Haut. 22, Larg. 16,5 cm. Jean-Jacques GUERIN (1772-1850) épouse Marie Jeanne HERY-GALLOT (1780-1853).

80 / 100

170 GILLY ? (XIXe)

Portrait d'homme au chapeau. Toile. Haut. 46, Larg. 38 cm.

50 / 80

171 École FRANÇAISE de la première moitié du XIXe.

Paire de portraits d'homme et de femme. Gouache sur papier. Ovale 14 x 11 cm. Bel encadrement doré (un cadre accidenté)

100 / 200

172 École FRANÇAISE vers 1820. Portrait d'un père et de son fils. Huile sur toile. Haut. 24, 3, Larg. 19 cm. JOINT : L. W. THOMSON, Portrait de Charles de MYON et de son épouse, Deux dessins au crayon signés, celui du mari daté 1822 et inscrit 68 rue du faubourg St Honoré, Haut 16, 3 cm. Il pourrait s'agir du même homme que celui représenté sur toile.

800 / 1200

173 Charles-Caïus RENOUX (1795-1846), attribué à

Ruines animées. Toile avec le cachet au pochoir du marchand "CHAVANT / Rue Cléry N°. 19 / A PARIS" actif entre 1827 et 1845 au dos. Haut. 24 Larg. 32,5 cm (accident, restauration). Provenance : selon une étiquette collée sur la toile au dos cette toile a été la collection de Pierre-Ferdinand de Bausset-Roquefort (1757 - 1829), évêque de Vannes puis archevêque d'Aix-en-Provence.

300 / 400

174 École FRANCO-ANGLAISE milieu XIXè.

Tombe de Napoléon à Sainte Hélène, dans la vallée du Géranium. Gouache Haut. 6,5, Larg. 13, 5 cm. Mention manuscrite au verso : Vue du tombeau de Napoléon Bonaparte achetée le 12 mars 1826 à game ? town, Ile de Sainte Hélène par Vte R

150 / 200

175 École FRANÇAISE vers 1830

entourage d'Étienne BOUHOT (1780-1862) ? "Le Saint", intérieure d'église. Toile titrée et datée sur le chassis au dos "avril 1830". Haut. 27, Larg. 21,5 cm. (restauration)

200 / 300

176 Henri DECAISNE (Bruxelles, 1799 - 1852) Portraits de Félix et Léon de Lacoste à l'âge de 10 et 14 ans. Toile d'origine. Signée et datée 1835 en haut à droite. Haut. 82, Larg. 65,5 cm.

Joseph-Henry-Léon, né en 1820, et Félix-Joseph, né en 1825, sont les enfants de Félix Lacoste et Emilie Hémart. Au début des années 1820, celle-ci suit son mari aux Etats-Unis, et s'installe à Point-Breeze, près de Philadelphie, comme dame de compagnie de Charlotte, fille de Joseph Bonaparte. Elle était la maîtresse de Joseph Bonaparte, qui serait alors le père de son fils cadet, Félix Joseph. Une lettre du roi Joseph à New-York en 1836 jointe évoque ce tableau .

2000 / 3000

177 Nicolas-Toussaint CHARLET (1792-1845)

Paysage animé. Panneau, format ovale. Haut. 53 Larg. 69,5 cm.

400

178 École FRANÇAISE du XIXe.

Paysage animé. Gouache sur carton. Haut. 18, Larg. 14 cm.

60 / 80

179 École du XIXe

Amérindiens naviguant sur un radeau. Toile. Haut. 24, Larg. 32 cm. (accident)

50 / 80

180 École du XIXe.

Naufrage d'un trois-mâts américain. Toile. Haut. 49,5, Larg. 65 cm. (rentoilage)

300 / 500

181 École FRANÇAISE milieu XIXe.

Scènes de port Paire de toiles Haut. 24, Larg. 32,5 cm.

100 / 200

182 Alfred de DREUX (Paris, 1810-1860), attribué à

Madame de Fouquières (1825-1891) Toile. Au revers, sur le châssis, une étiquette: Mr de Fouquières. Sur le châssis, une étiquette de Moirinat, fournisseur ; une étiquette manuscrite. Haut. 95,5, Larg. 67,5 cm. (restaurations). Provenance : Louise-Marie de Dreux, épouse Becq de Fouquières(1824 - 1891), sœur du peintre Alfred de Dreux ; par descendance, propriété de Touraine.

Louise-Marie de Dreux, qui s'appelait en réalité Marie-Anaïs, est la sœur du peintre Alfred de Dreux. Fille de l'architecte Pierre-Anne Dedreux, elle épouse après la mort de sa sœur Elise son beau-frère devenu veuf, Aimé-Napoléon Becq de Fouquières. Tous deux seront très proches du fils de Théodore Géricault, Georges-Hippolyte, dans les papiers duquel on retrouvera une photo de Louise. (Germain Bazin, Géricault, Etude critique, documents et catalogue raisonné, Fondation Wildenstein, Paris, 1987, tome I, L'homme, p. 159, fig. 74).

3000 / 4000

183 Auguste CLÉSINGER (Besançon, 1814 - Paris, 1883)

Les Gorges de Franchart. Panneau. Signé en bas à droite : J CLESINGER. Haut. 24, Larg. 60,5 cm.

Jean-Baptiste Clésinger, dit Auguste Clésinger, se forme à la sculpture auprès de son père, Georges-Philippe Clésinger. Il se fait connaître au Salon de 1847 avec la Femme piquée par un serpent (Paris, musée d'Orsay). Il épouse la même année Solange, la fille de George Sand. Notre paysage s'inscrit parfaitement dans son œuvre peint, principalement des paysages de format allongé, où Clésinger se plaît à jouer avec les effets de lumière et l'atmosphère brumeuse des bois.

2000 / 3000

184 École FRANÇAISE du milieu du XIXe

L'atelier de Clésinger, c. 1849. Toile. Haut. 50, Larg. 61 cm. Provenance : Cette toile inédite, découverte l'an dernier, fut présentée par l'historien de l'art et spécialiste de Courbet Thierry Savatier lors d'une conférence au Musée Gustave Courbet en octobre 2015. Notre tableau représente la gravure de Henri Valentin publiée dans "Le Magasin Pittoresque de 1849" qui servit vraisemblablement de source à Gustave Courbet pour L'Atelier du peintre (1855). La scène dépeint l'atmosphère bohème qui régnait dans l'atelier du sculpteur Jean-Baptiste Auguste Clésinger (1814-1883). Les personnages sont presque tous identifiés. Au premier plan, Alexandre Dumas joue de la guitare à côté du poète Pierre Dupont. Derrière eux, l'écrivain Maxime du Camp fait face au peintre Ferdinand Boissard. À leur droite, Apollonie Sabatier - la Présidente - regarde un peintre travailler. Celui-ci pourrait être Gustave Ricard ou Charles Jalabert. Au centre, le romancier Alphonse Karr côtoie Gérard de Nerval. Parmi les escrimeurs, on distingue Casimir d'Arpentigny. Puis, de gauche à droite, viennent Champfleury, le violoniste Alphonse Promayet, le poète Max Buchon, peut-être Camille Corot et le peintre Paul Chenavard, tous intimes de Courbet. Une comparaison entre L'Atelier et notre tableau permet de relever de nombreuses similitudes ; plusieurs personnages figurent en outre dans les deux toiles. Des détails renvoient enfin à des œuvres de Courbet des années 1840 (notamment une reproduction de L'Ecorché de Michel-Ange). Littérature : - H. Toussaint, "Catalogue de l'exposition Gustave Courbet", EMN, 1977 - F. Thomas-Maurin, "Catalogue de l'exposition Courbet Clésinger", Musée Gustave Courbet, 2011 - E. Buffetaud, "Catalogue de l'exposition Gérard de Nerval", BHVP, 1996 - M. Tomkins-Lewis, "Courbet, Cézanne and the Studio as Stage", Société Cézanne, 2013

15000

185 Arthémise WARMÉ (1818-1899)

Place de village animée, une piscine à chevaux au premier plan. Toile. Haut. 37, Larg. 46 cm. (accidents) Cadre à palmettes en bois stuqué et doré.

100 / 150

186 Arthémise WARMÉ (1818-1899) Vue animée du pont d'un village. Toile. Haut. 39, Larg. 50 cm. (accidents) Porte une inscription au dos sur châssis : "Mr Warmé / Pont Ste Maxence" ?. Cadre à palmettes en bois stuqué et doré. JOINT : Arthémise WARMÉ (1818-1899) Vue animée d'un moulin à eau. Toile. Haut. 21, Larg. 27 cm. Inscriptions manuscrites au dos : "peint [en 1856] par ma tante Warmé [Arthémise Warmé 1818-1899] / [Ludovic] Langlois".

120 / 180

187 Jules BRETON (1827-1906), d'après

"La bénédiction des blés." Toile. Haut. 65, Larg. 170 cm. Accident, restaurations et manques. Provenance : d'après la tradition familiale, ancienne collection du château de Dampierre dans les Yvelines.

Variante de la composition de la toile exposée au Salon de 1857. Au-delà des nuages, on observe notamment comme variante la suppression du clocher dans le paysage à droite, des pinacles du dais du Saint-Sacrement, ainsi que l'absence de couronne de fleurs autour de la statue portée sur les épaules des enfants. L'avant de la procession est estompée et le cadrage est un peu plus serré sur la partie droite, où manque un homme debout.

1000 / 1500

188 École FRANÇAISE de la fin du XIXe

Promenade le long d'un cours à la statue. Panneau. Haut. 15,5 Larg. 12,5 cm. (petits accidents) JOINT : École FRANÇAISE de la fin du XIXe. Église de campagne. Carton fort. 12,5 x 15,5 cm.

100

189 Antoine-Émile PLASSAN (1817-1903)

Étude pour une jeune femme assise sur un pouf. Toile. Haut. 33 Larg. 24,5 cm. (toile percée, petits manques)

100

190 Charles HERRMANN-LÉON (Le Havre, 1838 - Paris, 1908)

Shih-Tzu. Toile, initiales à droite, datée 1870. Haut. 32, Larg. 26 cm. (accidents).

800 / 1000

191 École FRANÇAISE du XIXe.

Paire de natures mortes au perroquet, et au gibier signé LELONG. Gouache sur carton. Haut. 15,5 Larg. 20,5 cm. (épidermures, mouillures)

1000

192 Michel COXIE (Malines, 1499 - 1592), entourage de.

École Flamande vers 1600. Christ en croix. Panneau de chêne, une planche, non parqueté. 38 x 29 cm.

800 / 1500

193 Pierre-Marie BEYLE (1837-1902), attribué à.

Vue du Bosphore, pêcheur aux abords de Constantinople. Panneau. Signé "Beyl.elev?.Constantinople" en bas à gauche Haut. 23,8, Larg. 40 cm. Provenance : château des Ricordières, Indre-et-Loire.

100 / 200

194 d'après Nicolas LANCRET (1690-1743)

Scène de pêche au bord d'un moulin à l'aube. Toile. Haut. 46, Larg. 38 cm. (rentoilage)

500 / 600

195 École ITALIENNE (?) du XIXe,

Brigand napolitain au fusil dans la campagne. Huile sur toile. Signé "J.S." en bas à gauche. Haut. 61, Larg. 50 cm. (manques et craquelures)

100 / 300

196 École FRANÇAISE du XIXe, d'après Jean Antoine LAURENT le VIEUX (1763-1832)

Galilée dans la prison de l'Inquisition. Toile. Haut. 67, Larg. 49,5 cm.

Notre tableau reprend l'œuvre de 1820 par Jean Antoine Laurent le Vieux (1763-1832) conservée au Musée des Beaux Arts de Dole et connue par une gravure de Antoine-Joseph Chollet en 1825. L'astronome est présenté en pied dans sa cellule, traçant au charbon des schémas sur les murs.

200 / 400

197 École de la fin du XVIIIe

Rome, le château et le pont Saint-Ange vus depuis le Sud. Toile. Haut. 61, Larg. 92 cm. Notre tableau présente des similitudes avec une œuvre de Caspar Van Wittel dit Vanvitelli, le Château Saint Ange vu du Sud, c. 1690.

1200 / 1500

198 École COLONIALE - CUZCO, du XVIIIe siècle.

San Isidro Labrador. Toile. Haut. 71 Larg. 50 cm.

Patron des paysans du Sud andin, San Isidro le Laboureur (1082-1172) est fréquement représenté accompagné des miracles qu'il a provoqué, nottament, faisant jaillir l'eau. Après sa canonisation en 1697, son éposue, Santa Maria dela Cabeza l'accompagne, ici, portant deux jarres d'eau à ses pieds. Une toile comparable est conservée à Madrid dans la Fondation Jose Felix Llopis.

500 / 800

199 École FRANCAISE du début du XIXe.

Baigneuses au bord d'un lac. Toile. Haut. 65, Larg. 56 cm (restaurations) Beau cadre d'époque

200 École FRANÇAISE du XVIII-XIXe.

Diane et Callisto Toile Haut. 81, Larg. 101 cm. (restaurations)

201 École FRANÇAISE du XVIIIe, dans le goût de Jean-Baptiste HUET Troupeau au bord d'une rivière. Toile Haut. 58 Larg. 89 cm. (restaurations)

150 / 200

202 d'après TITIEN (1488-1576)

Danaé et Zeus se changeant en pluie d'or. Toile. XIXe Haut. 46, Larg. 61 cm Notre tableau copie le modèle de la Danaé du Titien peinte en 1544 et conservé au musée de Capodimonte, à Naples.

203 École NAPOLITAINE du XVIIIe

La Nativité - L'Adoration des Mages. Deux toiles formant paire. Haut. 57, Larg. 75 cm.

2000 / 3000

204 École EUROPÉENNE du XIXe,

Paysage lacustre. Panneau. Haut. 31,5, Larg. 22 cm. (craquelures)

200 / 300

205 Ferdinand BONHEUR (1817-1887)

Sur le Bosphore, près de Sainte Sophie, grands navires à voile et à vapeur. Huile sur panneau, signée en bas à droite. Haut. 22, Larg. 41 cm. Provenance : château du Périgord ; dans la même famille depuis l'origine.

500

206 Ferdinand BONHEUR (1817-1887)

Lac italien, d'Orta ? île Saint Jules ? Huile sur panneau, signée en bas à gauche. Haut. 22, Larg. 41 cm. Provenance : château du Périgord ; dans la même famille depuis l'origine.

500

207 P. BLAYN. École FRANÇAISE du XIXe.

Couple de pêcheurs normands. Toile signée et datée 1844 en bas à gauche. Haut. 40, Larg. 32 cm.

100 / 150

208 École du XIXe.

Bouquet de fleurs aux géraniums. Toile. Haut. 92, Larg. 69 cm. (accident) Provenance : château des environs de Saché, en Touraine.

300 / 500

209 École du XIXe.

Âne, vache et chien. Toile. Haut. 63, Larg. 91 cm.

200 / 300

210 École ITALIENNE du XVIIe. Saint Charles Borromée. Toile monogrammée au dos. Cartel sur le cadre attribuant la toile à Pellegrino Pelegrini TIBALDI DA BOLOGNA (1527-1596). Haut. 78,5, Larg. 66,5 cm.

200 / 300

211 École ALLEMANDE vers 1840,

suiveur de Johann-Elias RIDINGER (Ulm, 1698 - Augsbourg, 1767). Cerf effrayé par un serpent dans un sous-bois. Toile d'origine à vue ovale. Haut. 51, Larg. 59 cm. (accidents, restaurations)

800 / 1200

212 École OMBRIENNE de la fin du XVe.

Vie de Saint Jean-Baptiste. Panneau de prédelle. Haut. 21, Larg. 56,5 cm. (restaurations anciennes, sans cadre)

500 / 600

213 École ANGLAISE du début du XIXe

Élégante près d'une église. Toile. Haut. 21, Larg. 26 cm.

80 / 120

214 École du XIXe

Chez l'usurier. Toile. Haut. 28,5, Larg. 33 cm.

100 / 200

215 École FRANÇAISE vers 1860.

Paysage de montagne au torrent. Huile sur toile. Haut. 65, Larg. 54 cm. (accidents et manques)

50 / 80

216 Ferdinand MARÖHN (actif entre 1839 et 1865)

"Une agression" Mine de plomb signée en bas à droite. Haut. 18, Larg. 11 cm.

10 / 20

217 Thomas COUTURE (1815-1879), dans le goût de.

Rachel. Toile titrée et attribuée à l'encre au dos sur un chassis à clé. Haut. 34, Larg. 18 cm.

50 / 80

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