richesse des propositions françaises en matière de formation

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Richesse des pRopositions fRançaises en matièRe de foRmation J’espère que ce numéro 7 de notre lettre d’informations renforcera notre conviction commune : la france a beaucoup à offrir en termes de formation universitaire, et le paysage de l’enseignement supérieur français change à grande allure. certains clichés si commodes, parfois complaisamment entretenus par des expatriés qui ont quitté leur pays depuis longtemps, doivent être contestés : le rapprochement grandes écoles-universités se fait et les passerelles se multiplient, les écoles de gestion de notre pays tiennent une place enviable dans les palmarès établis par le Financial Times (de plus en plus d’étudiants américains leur envoient d’ailleurs des candidatures), sciences po est fier d’annoncer le chiffre de 41% d’étudiants étrangers dans ses vastes murs (vastes puisque l’école est présente à dijon, nancy, Reims…). encore faut-il le faire savoir, sans arrogance inutile, sans excessive humilité non plus. cette septième lettre met l’accent sur les écoles d’ingénieurs françaises, en particulier les insa (instituts nationaux des sciences appliquées), qui ont beaucoup travaillé pour s’adapter à la demande internationale, l’inp (institut national polytechnique) de Grenoble, au cœur du 2 e pôle de recherche en france, d’autres moins connus et plus spécialisés comme l’isat (institut supérieur de l’automobile et des transports) ou l’epita à paris (pour l’informatique). mieux les faire connaître ne nous empêche pas de nous intéresser aux programmes de nos concurrents : je pense en particulier au programme allemand Rise (Research internships in science and engineering), qui permet à des étudiants américains de premier cycle de travailler avec des doctorants allemands dans leurs laboratoires pendant 6 à 12 semaines en été (voir le document campusfrance d’octobre 2010 « Étudiants américains en sciences, technologies et ingénierie à l’étranger : quelques pistes utiles », à votre disposition). ce mois-ci, en coopération avec m. mudry, délégué général de la conférence des directeurs des ecoles françaises d’ingénieurs, nous sortons une brochure¸ Engineering Studies in France At a Glance que je vous ferai parvenir par courriers postal et électronique. enfin, je vous signale deux excellents numéros de journaux : Le Monde Education, « L’université joue l’excellence », 12 janvier 2011, et Challenges « La cote 2011 des diplômes » ; ce dernier titre, sans doute inspiré par le service marketing, ne doit pas dissimuler l’intérêt du dossier qui couvre tout le paysage de l’enseignement supérieur français. Je vous ferai parvenir ces deux documents dans le courant du mois de février, avec une note de synthèse les accompagnant. cordialement, J.-K. Paulhan, attaché de coopération universitaire, Washington u Bulletin n°7 – Février 2011 sommaiRe 2-6/ États-Unis : stUdYinG aBRoad : programmes américains d’études à l’étranger ; rôle des enseignants et administratifs ; Goucher college à Baltimore ; valoriser son séjour à l’étranger auprès des employeurs ; bourses américaines d’études à l’étranger pour les minorités : mieux s’informer ; étudiants handicapés : health resources from nafsa actUaLitÉ : doctorat, quel futur ? ; La fin de la prééminence américaine ; ouverture aux partenariats 7-8/France - États-Unis : réception brillante pour le jeune Bfa ; Gone for good ? L’expatriation des élites scientifiques françaises aux etats-Unis 9-17/France : La fRance QUi GaGne : 11 universités à l’honneur dans le classement che ; le cnRs à l’honneur ; bon classement des écoles de gestion ; les grandes écoles veulent attirer plus d’étudiants étrangers ; rapprochement Grandes Écoles- Université inGÉniÉRie : les insa ; Grenoble inp ense3, l’isat, l’epita appRendRe Le fRançais aUtRement : conseils d’amis ; l’imLs ; Université de Bourgogne ; le cordon Bleu La fRance QUi simpLifie : visas et titres de séjour, tout est plus facile pour le conjoint de citoyen européen ; titulaire d’un master, acquérir une première expérience professionnelle en france 18/ eUrope-États-Unis : Bologne et la Lumina foundation ; Bologne, un regard américain 19-21/ Monde : Grande- Bretagne : inquiétudes sur l’évolution de l’enseignement supérieur focUs inde : représentation locale et agences de recrutement ; mutations du système d’enseignement supérieur campusFrance Washington Coordonnées de l’équipe (information réservée aux attachés) fadila el-Belghiti (en congé maternité jusqu’en avril 2011 – remplacée par theresa Bejermi) : 202 944 6089; séverine debets : 202 944 6583; aude oubelkhir : 202 944 6527; Jean paulhan : 202 944 6121 ; heidi phelps : 202 944 6322 1

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Richesse des pRopositions fRançaises en matièRe de foRmationJ’espère que ce numéro 7 de notre lettre d’informations renforcera notre conviction commune : la france a beaucoup à offrir en termes de formation universitaire, et le paysage de l’enseignement supérieur français change à grande allure. certains clichés si commodes, parfois complaisamment entretenus par des expatriés qui ont quitté leur pays depuis longtemps, doivent être contestés : le rapprochement grandes écoles-universités se fait et les passerelles se multiplient, les écoles de gestion de notre pays tiennent une place enviable dans les palmarès établis par le Financial Times (de plus en plus d’étudiants américains leur envoient d’ailleurs des candidatures), sciences po est fier d’annoncer le chiffre de 41% d’étudiants étrangers dans ses vastes murs (vastes puisque l’école est présente à dijon, nancy, Reims…).encore faut-il le faire savoir, sans arrogance inutile, sans excessive humilité non plus.

cette septième lettre met l’accent sur les écoles d’ingénieurs françaises, en particulier les insa (instituts nationaux des sciences appliquées), qui ont beaucoup travaillé pour s’adapter à la demande internationale, l’inp (institut national polytechnique) de Grenoble, au cœur du 2e pôle de recherche en france, d’autres moins connus et plus spécialisés comme l’isat (institut supérieur de l’automobile et des transports) ou l’epita à paris(pour l’informatique). mieux les faire connaître ne nous empêche pas de nous intéresser aux programmes de nos concurrents : je pense en particulier au programme allemand Rise (Research internships in science and engineering), qui permet à des étudiants américains de premier cycle de travailler avec des doctorants allemands dans leurs laboratoires pendant 6 à 12 semaines en été (voir le document campusfrance d’octobre 2010 « Étudiants américains en sciences, technologies et ingénierie à l’étranger : quelques pistes utiles », à votre disposition).ce mois-ci, en coopération avec m. mudry, délégué général de la conférence des directeurs des ecoles françaises d’ingénieurs, nous sortons une brochure¸ Engineering Studies in France At a Glance que je vous ferai parvenir par courriers postal et électronique.

enfin, je vous signale deux excellents numéros de journaux :Le Monde Education, « L’université joue l’excellence », 12 janvier 2011, et Challenges« La cote 2011 des diplômes » ; ce dernier titre, sans doute inspiré par le service marketing, ne doit pas dissimuler l’intérêt du dossier qui couvre tout le paysage de l’enseignement supérieur français. Je vous ferai parvenir ces deux documents dans le courant du mois de février, avec une note de synthèse les accompagnant.cordialement,

J.-K. Paulhan, attaché de coopération universitaire, Washington

u Bulletin n°7 – Février 2011

sommaiRe2-6/ États-Unis :stUdYinG aBRoad : programmes américains d’études à l’étranger ; rôle des enseignants et administratifs ; Goucher college à Baltimore ; valoriser son séjour à l’étranger auprès des employeurs ; bourses américaines d’études à l’étranger pour les minorités : mieux s’informer ; étudiants handicapés : health resources from nafsaactUaLitÉ : doctorat, quel futur ? ; La fin de la prééminence américaine ; ouverture aux partenariats

7-8/France - États-Unis : réception brillante pour le jeune Bfa ; Gone for good ? L’expatriation des élites scientifiques françaises auxetats-Unis

9-17/France : La fRance QUi GaGne : 11 universités à l’honneur dans le classement che ; le cnRs à l’honneur ; bon classement des écoles de gestion ; les grandes écoles veulent attirer plus d’étudiants étrangers ; rapprochement Grandes Écoles-UniversitéinGÉniÉRie : les insa ; Grenoble inp ense3, l’isat, l’epitaappRendRe Le fRançais aUtRement : conseils d’amis ; l’imLs ; Université de Bourgogne ; le cordon BleuLa fRance QUi simpLifie : visas et titres de séjour, tout est plus facile pour le conjoint de citoyen européen ; titulaire d’un master, acquérir une première expérience professionnelle en france

18/ eUrope-États-Unis : Bologne et la Lumina foundation ; Bologne, un regard américain

19-21/ Monde : Grande-Bretagne : inquiétudes sur l’évolution de l’enseignement supérieurfocUs inde : représentation locale et agences de recrutement ; mutations du système d’enseignement supérieur

campusFrance WashingtonCoordonnées de l’équipe (information réservée aux attachés)

fadila el-Belghiti (en congé maternité jusqu’en avril 2011 – remplacée par theresa Bejermi) :202 944 6089; séverine debets : 202 944 6583; aude oubelkhir : 202 944 6527;

Jean paulhan : 202 944 6121 ; heidi phelps : 202 944 6322

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stUdYinG aBRoad

Les programmes américains d’études à l’étranger : de plus en plus courts et de plus en plus extérieurs au curriculum. Comment y remédier ?

u areas of growth: the largest growth areas appear to be short-term programs sponsored by the sending institutions (54 percent) and semester programs (35 percent). Growth areas varied by institutional type.u strategies to increase U.s. study abroad: survey respondents identified the following key steps that would help increase the number of students who study abroad: more study abroad scholarship opportunities (83 percent), more institutional funding for the study abroad office (55 percent), stronger commitment from faculty (53 percent) and institutional leadership (38 percent).over a third of responding institutions (35 percent) identified “semester programs” as the next largest expected growth area. Responses indicated as “other” pointed to expect growth in both short-term and semester-programs, faculty-led programs, and other service learning and internship-oriented programs.an earlier report in the same series of white papers found that from the perspective of host countries, the greatest room for growth was in longer-term programs including full-degree study opportunities. Yet the trend from the U.s. indicates that U.s. students continue to study abroad in programs of shorter duration, presenting a potential supply-demand conflict with programs opportunities offered in host countries. the findings of the current U.s.-based survey also suggest that short-term study abroad programs will remain a primary area of growth from the perspective of U.s. sending institutions.

“an important strategy is increasing institutional aid for study abroad, [and] adding alternate summer programs for those unable to take a semester or year [off].”more than 70 percent of 2008 Boren scholars studied abroad for a full academic year, compared to the less than five percent of all U.s. study abroad students who do so.u creating and encouraging opportunities for faculty involvement and curriculum integration. these represent important steps in making study abroad more institutionalized and more accessible. Greater faculty involvement has the capability to lead to better curriculum integration and the likelihood that credit earned through study abroad will contribute to students’ degree progress; therefore reducing time and cost to degree. these steps may help to increase access to study abroad for students with limited financial resources and across a range of disciplines.

Robert Gutierrez, Jennifer auerbach and Rajika Bhandari iie, “expanding U.s. study abroad capacity: findings from an iie-forum study”, in iie expanding study abroad capacity at U.s. colleges and Universities, issue number 6, may 2009, p. 6, 7, 9, 10, 17, 19, 20

La défense des programmes d’études à l’étranger passe par les enseignants et les administratifs

faculty influence students and shape future generations of leaders through teaching and mentoring.faculty bring international perspectives into their research and often establish long-lasting connections between their U.s. home institution and their partners abroad.faculty share their knowledge and experience with the wider campus community and the community at large.time spent abroad proved more influential

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than being foreign-born, or experiencing institutional pressures to advance internationalization. faculty who spent one or two years abroad are almost twice as likely to incorporate international themes in their courses than those who spent no time abroad; and faculty who spent time abroad were also three to five times more likely to have a research agenda that is international in scope.since approximately 90 percent of american students still graduate from college without having studied abroad, developing a faculty that will support and encourage participation in study abroad programs is critical to producing globally prepared graduates.despites the tremendous benefits of international exposure, U.s. scholars are among the least mobile. a 1992 carnegie foundation survey of faculty in fourteen countries showed that U.s. faculty are considerably more insular than their colleagues abroad. only one-third of U.s. faculty had studied or conducted research abroad, and U.s. faculty were less likely than their counterparts overseas to view connections with scholars in other countries as very important to their professional work. the recent study conducted by finkelstein and colleagues at seton hall University concludes that little progress has been made between the initial 1992 carnegie foundation survey and a follow-up survey of scholar mobility conducted in 2007. in 2007, still only 33 percent of U.s. faculty reported collaborating with international colleagues in research, and U.s. faculty still ranked last among the fourteen countries in the percentage of articles published in a foreign country (7 percent). U.s. faculty also ranked among the bottom four countries in the percentage of courses taught abroad (17 percent) and the percent of publications co-

authored with foreign colleagues (5 percent). faculty in the stem fields are even less likely than their colleagues in other fields to incorporate international perspectives into their courses.

sabine o’hara, “Vital and overlooked: the role of faculty in internationalizing U.s. campuses”, meeting america’s Global education challenge, issue number 6, may 2009, p. 38, 40, 42.

Goucher College, à Baltimore, rend obligatoire le séjour à l’étranger ! Du volontarisme en matière d’enseignement supérieur

compared to 10 years ago, the number of students studying abroad has more than doubled. in the five years ending in 2006-2007, the compound growth rate is nearly 8.5 percent per year! still, with more than 240,000 students studying abroad annually – 87 percent of whom are undergraduates, - while nearly 1.5 million students are in each graduating class, there is long way to go in ensuring that study abroad is an essential component of U.s. higher education.u conceive and articulate a mission and goal for study abroad. some institutions have not conceived - or reconceived -their study abroad programs as an integral element of their undergraduate curriculum. as a result, campus academic and administrative leadership often has not formed a consensus on expected outcomes, optimal content, role integral to the curriculum, and duration and structure of study abroad. What assumptions and expectations are guiding study abroad program development? u engage faculty as advocates for study abroad. institutional commitment implies engagement, support, and advocacy from the faculty first and foremost. how does

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an institution gain the faculty leadership and momentum to re-conceptualize the curriculum so that it encompasses international issues experience in ways that meet twenty-first century demands?massachusetts institute of technology, purdue, and the University of Rhode island all are promoting international experience in their engineering programs. the national academy of engineers reported that “U.s. engineers must become global engineers. the engineer of 2020 and beyond will need skills to be globally competitive over the length of her or his career. it is essential for the experience of engineering students as well as faculty members to include a global perspective and an appreciation of the societal implication in their work.”faculty engagement is also the key to solving one of the often-cited impediments to study abroad: issues of academic credit. students can be concerned that they will lose the opportunity to enroll in sequential course work on campus, lose opportunities to work closely with faculty members, not have their study abroad course work valued or accepted for credit, and thereby lengthen time to degree and increase financial costs. these are very real obstacles for students at any campus where study abroad is not an appropriately recognized curricular component. faculty and administrative leaders on campus must recognize this problem and assure that students know, as they plan their study abroad experience, how it will contribute to their progress to degree, not only in terms of general education and electives, but towards their major. faculty advice and guidance on these points is absolutely essential.students also find costs to be a burden when they are required to spend more time for study abroad than a comparable time on-campus would require or when it extends time to degree. institutions that rely heavily

on summer study abroad often are increasing student expenses, over and above regular academic year on-campus costs of the degree, while students forego summer earnings. federal and state financial aid can usually be used for study abroad, but those depending on loans and work-study suffer.Goucher college (Baltimore) now requires study abroad of every student (since 2006).the most recent Open Doors Report from the international education found that european countries continued to host the largest share (57 percent) of study abroad participants.

margaret heisel (director, center for capacity in study abroad) and Robert stableski (senior advisor, nafsa), “expanding study abroad: Where there’s a will, there’s a way”, meeting america’s Global education challenge, issue number 6, may 2009, p. 28, 31, 32, 34, 35, 36.

Séjour d’études à l’étranger ? Les retombées ne vont pas de soi. Il faut savoir comment le valoriser auprès des employeurs

more than one survey of employers ranks international study low among co curricular activities in its relevance to the workplace.“the value isn’t that you had the abroad experience itself, it’s what you learned overseas that allows you to working a cross-cultural environment. students have to learn how to talk about that experience in terms of transferrable skills, how it relates to what an employer wants.” the roots of study abroad’s perception problem, many in the field agree, is that it has historically been seen as an add-on, a perk for wealthy students at selective colleges. that view is reinforced by the demographic: although students from a wider swath of majors are going overseas, and to more diverse destinations, the typical participants still is a white woman in the humanities or

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social sciences. europe, rather than asia, with its growing business and economic clout remains the top destination.a number of institutions and some third-party providers are getting involved in similar efforts to help students translate their study-abroad experience into terms employers can understand. one of those companies, cultural experiences abroad, has fashioned a semester-long career-development course, now offered as a pilot at two of its european sites, in florence and paris.

Justifier les programmes d’études à l’étranger d’abord par leur qualité

documenting the value of education abroad is essential to the growth and sustainability of programs, especially in a time of unprecedented financial constraints. now, more than ever, institutions must be confident and clear about the value of the education that they provide to students. When education abroad is a part of this value and integral to the mission of an institution, it is essential that institutions assess and document its value.u short-term program standardsaccording to the latest data from iie’s open doors, 55 percent of U.s. students studying abroad participate in short-term programs (defined as programs that take place in the summer, a January term, or any program of 8 weeks or less in duration), a type of program that has expanded rapidly.

Brian Whalen, “assessment and improvement: expanding education abroad capacity and enhancing Quality through standards of good practice”, IIE Expanding Study Abroad Capacity at U.S. Colleges and Universities, issue number 6, May 2009, p. 21, 24.Karin fischer, “colleges translate overseas study into job skills”, The Chronicle of higher education October 22 2010, p. 20

Mieux s’informer sur les bourses américaines d’études à l’étranger pour les minorités

the new iiepassport study abroad funding website (www.studyabroadfunding.org) and a searchable cd-Rom were launched in 2006 to help showcase scholarships that are available for study and research abroad. the directory is searchable by field of study and destination country. to help students and advisers find scholarships that are targeted at minority students, students with disability, or other underrepresented groups, iee recently added these criteria to the list of search options.While study abroad continues to steadily expand, growing by almost 145 percent in the past decade, the profile of U.s. students going abroad, the destination they go to, and the fields they study in have not changed much in that same time period. certain targeted funding initiatives, along with special programming at the campus level, have managed to make some headway.

Institute of International Education, issue number 1, may 2007, p. 20, 21

Étudiants handicapés : Health Resourcesfrom NAFSA

education abroad advising to students with disabilities, this e-publication provides advisers with procedures and resources to assist in supporting students with disabilities for a smooth and successful overseas experience (2009).

www.nafsa.org/studentswithdisabilitiesin international educator supplement, health & insurance, 2011, p. 20

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actUaLitÉ

Doctorat, quel futur ?

intelligence(s), le nouveau journal de l’association Bernard Gregory, consacrée à l’insertion des docteurs après leur thèse, se fait l’écho du rapport américain the path forward : the future of Graduate education in the United states. Les candidats à un doctorat abandonnent leur projet pour 35 à 50% d’entre eux selon les disciplines, le plus souvent pour des raisons financières, mais aussi parce qu’ils ont du mal à mener de front leur enseignement en premier cycle et d’autres activités indispensables. par ailleurs, le rapport indique que la part de marché des universités américaines diminue depuis 2000 pour ce qui est d’attirer les étudiants les plus prometteurs. ils continuent de représenter le premier choix, mais la chine et l’inde investissent de plus en plus dans leurs meilleures universités et offrent d’excellentes carrières à leurs étudiants formés à l’étranger.

intelligence(s), n°1, novembre 2010, p. 38 (numéro téléchargeable gratuitement)http://www.intelliagence.fr/content/editor/documents/intelligences/intelligences01.pdf?bcsi_scan_76859af71b923077=0&bcsi_scan_filename=intelligences01.pdf

America falling: longtime dominance in education erodes

the american share of “highly influential” papers published in peer-reviewed journals fell to 58 percent in 2003, from 63 percent in 1998. Just 4 percent of american college graduates major in engineering, compared with 13 percent of european students and 20 percent of those in asia. the United states ranks 10th in the proportion of its adults ages 25 to 34 who hold at least an associate degree, according to the organization for economic cooperation and development.

thus far, in fact, the United states has largely been a beneficiary of the educational advance made in asia and elsewhere. half of the students who earn doctorates in key science and technology fields come from overseas. (two chinese universities, tsinghua and peking, supply more students to american ph.d. programs than any other institution, foreign or domestic.) a quarter of american college faculty members today are foreign-born.part of the problem, says patrick m. callan, president of the national center for public policy and higher education, based in california, is that the U.s. system was never designed to educate most americans. that orientation leads americans to measure success based on the performance of its institutions.most higher-education experts, however, are reluctant to suggest that throwing dollars at american colleges will solve their problems. after all, points out Jamie p. merisotis, president of the Lumina foundation for education, the United states already spends a larger share of its gross domestic product on education than most of its competitors.

Karin fischer, Global issues in higher education, vol 2, p. 3, 5.

Les « colleges » américains plus ouverts aux partenariats : U.S. colleges get serious with partners overseas

mr. Wrighton (chancellor of Washington University in st. Louis) is not alone in his desire to develop overseas partnerships that are both broad and deep. a growing number of college leaders say they want arrangements that involve multiple departments and disciplines, square with institutional goals, and even tackle global challenges like sustainable agriculture or clean energy.

Karin fischer, Global issues in higher education, vol 2, p. 28.

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Réception brillante pour le jeune baccalauréat franco-américain

Le 28 octobre dernier, soisic charpentier, attachée culturelle et coordinatrice pour l’aefe des lycées français des etats-Unis et du canada, a salué, devant plus de 60 représentants des universités américaines et du college Board (l’organisme officiel chargé des advanced placements ou ap), la naissance d’un nouveau diplôme, le Bfa. Voici quelques extraits de son allocution.

so what is the french american Baccalaureat or Baccalauréat franco-américain (Bfa)?it is the synthesis of the best that american secondary education has to offer –the advanced placement program-, and the best that french secondary education has to offer –the Baccalauréat. a few years ago, the headmasters of the 40 french schools in the United states pointed out the fact that their graduating students needed a specific recognition for their very special international skills. indeed, our students are not only totally bilingual in french and english, but they also have a good ability to understand both french and american cultures. and all of them study at least a third language. therefore the ministry of national education and the college Board accepted to devise a special diploma recognizing an excellent mastery of the french language and culture as well as the english language and american culture. here comes the french american Baccalaureat where the students take 3 aps

instead of 3 corresponding french courses for the Baccalaureat. the first students will sit this exam in June 2011. so far, three of our main high schools are offering the french american Baccalaureat : the Lycée français de new York, the Lycée franco américain in miami Broward county and the Lycée français in Los angeles. the others will follow very soon.

en savoir plus sur le Bfa : http://www.frenchculture.org/spip.php?article3854http://www.frenchculture.org/spip.php?article3855

Gone for good ? L’expatriation des élites scientifiques françaises aux Etats-Unis : phénomène inquiétant ou aspect normal de la circulation des cerveaux ?

Le 30 novembre, les services culturels et l’espace campusfrance de Washington ont invité l’auteure du rapport de l’institut montaigne sur les expatries français de l’enseignement supérieur, ioanna Kohler, à présenter ses principales conclusions, en présence d’une cinquantaine de représentants du monde académique américain, de fondations, d’onG et autres organisations professionnelles, sans oublier bien sûr la presse spécialisée. sa présentation, précédée d’une mise en contexte de la mobilité académique mondiale par Ben Wildavsky - auteur de The Great Brain Race, How Global Universities Are Reshaping The World - a permis à l’auteure de présenter un point de vue plus nuancé que ce que certains medias avaient pu relater du rapport lui-même. La perception du public américain, y compris de certains

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leaders d’opinion critiques de la france, souffre d’un double effet retard. Retard tout d’abord concernant leur connaissance de la france contemporaine, beaucoup soulignant par exemple à tort que les Grandes ecoles aujourd’hui ne font que peu de recherche, ou ignorant, autre exemple, qu’une grande partie du financement de la recherche française, par l’intermédiaire de l’anR, se fait désormais sur base concurrentielle. cette vision datée du monde académique français, qui irrigue largement les perceptions y compris en france, s’explique aussi en partie par le temps nécessaire pour que l’ensemble des réformes entreprises depuis moins de dix ans, et tout particulièrement les réformes engagées après 2007, jouent à plein sur le terrain. Le terreau américain pour cette approche pédagogique est d’ailleurs fertile car beaucoup de leaders d’opinion sont eux-mêmes conscients de

la pluralité des systèmes universitaires, à l’image de Ben Wildavsky qui dans son ouvrage indique : « Alors que les Américains tendent à associer enseignement supérieur privé (non lucratif) et excellence académique (alors même que la plupart de ces institutions privées ne sont pas elles-mêmes d’élite), la plupart des institutions d’élite dans le reste du monde sont publiques. »pourquoi ne pas envisager un voyage d’études en france, permettant à certains leaders d’opinion américains de s’informer directement des changements importants en cours dans notre pays ? avec le concours, bien sûr, du cnRs, de l’anR, de l’aeRes…

télécharger le rapport de l’institut montaigne (novembre 2010) : http://www.institutmontaigne.org/medias/documents/etude_kohler_web.pdf

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La fRance QUi GaGne

CHE ExcellenceRanking 2010 : onze universités françaises appartiennent au Groupe d‘Excellence 130 universités en europe offrent des départements d’une qualité exceptionnelle et forts en recherche avec une orientation internationale pour leurs étudiants en master et doctorat en biologie, chimie, physique, et mathématiques. ces très bons résultats leur ont permis de faire partie du “Groupe d’excellence” du che-excellenceRanking 2010. onze universités en france sont représentées dans le Groupe d’excellence. deux de ces universités y appartiennent en quatre matières (biologie, chimie, physique et mathématiques) : l‘université paris-sud 11 et l‘université pierre et marie curie. huit critères étaient importants pour la sélection : le nombre de publications, le nombre de citations, la mobilité des étudiants et des enseignants, et la présence des programmes erasmus mundus pour master ou enfin la présence des projets marie-curie. de plus, un autre aspect décisif concernait les chercheurs ayant obtenu une bourse du conseil européen de la Recherche (eRc Grant) ou un prix nobel dans leur domaine d’expertise. en plus des données quantitatives abondantes, le che excellenceRanking présente aussi d’importants renseignements sur les programmes de master et de doctorat : des informations et des faits sur les groupes de recherche et leurs spécialités, la taille des facultés ou départements, les termes

d’admission, les possibilités de logements. Les étudiants actuels ont aussi partagé leurs expériences et leurs impressions concernant leurs conditions de vie pour en faire bénéficier de futurs étudiants. tout cela est accessible en ligne dans le che-excellenceRanking, avec les résultats des études réalisées cette année dans le domaine des sciences (biologie, chimie et physiques) et mathématiques. on peut aussi y trouver les analyses de l’année dernière en économie, psychologie et sciences politiques. Le site che-excellenceRanking 2010 présente également plus de 4500 groupes de recherche dans 19 pays que les futurs scientifiques peuvent consulter pour trouver le programme qui correspond au mieux à leurs attentes. Le centre pour le développement de l’enseignement supérieur (che) est une organisation à but non lucratif et indépendante basée à Gütersloh en allegmagne. son but est de réformer et de moderniser le système d’enseignement supérieur. chaque année, elle fournit le che-UniversityRanking (classement) des universités allemandes et étrangères pour les étudiants universitaires de première année. Le che excellenceRanking peut réaliser des comparaisons entre les meilleures universités de recherche pour les étudiants débutant leurs études en master ou en doctorat. Les résultats détaillés du che excellenceRanking sont accessible gratuitement sur le site www.zeit.de/excellenceranking depuis le mercredi, 27. des renseignements supplémentaires sont disponibles sur le site www.che-excellenceranking.eu. pout toutes questions concernant le che excellenceRanking, l’équipe experte du che est à votre disposition à [email protected].

fRance

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Le CNRS à l’honneur : performances en biologie, sciences humaines et sociales, et physique Le site http://www.scimagoir.com met à disposition les rapports siR World Report– siR (scimago institutions Rankings)- publiés par le scimago Research Group depuis deux ans (édition 2009 et 2010). ces rapports, émanant d’un groupe de recherche réunissant espagne, portugal, argentine, chili, se veulent un outil d’analyse et d’évaluation des institutions de recherche dans le monde entier. La méthode utilisée pour établir le rapport est la suivante. Le siR a identifié cinq groupes différents d’institutions : l’enseignement supérieur, la santé (hôpitaux, laboratoires de recherches…), les institutions de l’etat, du secteur privé, et les autres. il a recueilli quatre types de données : le nombre d’articles scientifiques publiés dans des revues universitaires (reflète l’aptitude d’une institution à produire du savoir scientifique), la collaboration internationale (aptitudes à créer des liens de recherches internationaux), l’impact sur la communauté scientifique, et le ratio du nombre de publications qu’une institution publie dans les revues universitaires les plus influentes au monde (i.e premier quart du classement effectué par scimago). Le processus consiste d’abord à créer une liste de référence des institutions (source Unesco etc.), que le siR associe aux publications correspondantes. La source de données en matière de publication est scopus (plus grande base de données pour la littérature de recherche, revues universitaires et comptes rendus de conférences). Le rapport siR World Report 2010 contient des données relevées sur la période 2004-2008. cette édition contient également des sous-rapports relatifs aux quatre domaines suivant : santé, biologie, physique, sciences humaines et sociales. ce sont 2 833 institutions qui sont répertoriées, appartenant à 87 pays. Les etats-Unis sont de loin les plus représentés avec 485 institutions, suivis de la chine (247), du Japon (175) et de la Grande-Bretagne (144). La france arrive en 5e position avec 136 institutions. parmi elles,

le cnRs (centre national de la Recherche scientifique) tire son épingle du jeu. il arrive en 2e position du classement global mondial et du classement concernant la physique, à chaque fois derrière la chinese academy of sciences ; 1er mondial des classements en biologie et sciences humaines et sociales. source : http://www.scimagoir.com pour plus d’informations :sur scimago Research Group : http://www.scimago.es sur le sJR indicator : http://www.scimagojr.comsur scopus : http://www.info.sciverse.com/scopus/scopus-in-detail/content-coverage-guide

Bons classements des écoles de gestion françaises

en septembre 2010, le financial times a classé n°1 dans le monde le master de management de escp europe. hec paris occupe le 1er rang pour la quatrième année consécutive au classement général des business schools européennes toujours dans le même journal.

sources : http://www.ft.com/businesseducation/mbahttp://www.hec.edu/news/hec-paris-ranked-1-in-europe-by-the-financial-times2http://rankings.ft.com/businessschoolrankings/escp-europe

Les grandes écoles veulent attirer plus d’étudiants étrangers

Lors de sa dernière conférence de presse du 9 mars, la conférence des grandes écoles (cGe) a présenté un texte, « Le défi international à l’enseignement supérieur français », qui présente la stratégie des grandes écoles à l’heure de l’accélération de l’internalisation de l’enseignement supérieur. dans ce plan, la cGe propose de « tripler le nombre d’étudiants étrangers formés par des établissements français, en france ou dans des filiales à l’étranger, dans les universités comme dans nos grandes écoles ». selon l’étude réalisée, il y a aujourd’hui 2,2 millions d’étudiants en france dont 250 000 étrangers. La cGe se fixe pour objectif de parvenir à 750 000 étudiants sur 10 ans, pour atteindre 30% des effectifs totaux.La cGe souligne en outre qu’atteindre ses

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objectifs nécessitera certaines adaptations, telles que la possibilité de mettre en place une double tarification et amender la loi toubon pour faciliter la mise en place de programmes d’enseignement en anglais.

Vous trouverez plus d’informations sur le site de la conférence des grandes écoles : http://www.cge-news.com/main.php?p=37 L’étude intitulée « Les grandes ecoles sur la scène internationale » est disponible à l’adresse http://www.cge.asso.fr/cadre_publications.html.

Rapprochement Grandes Écoles françaises et Universités : on le disait impossible et pourtant…

L’article de Laurence estival, « Les facs sur le terrain des grandes écoles », publié dans L’Expansion de novembre 2010, concerne surtout la formation continue. mais il présente l’intérêt, pour qui s’intéresse au système d’enseignement français, de montrer ce qui change et ce qui change très rapidement. il montre que, même si les écoles de commerce gardent des avantages importants, liés en partie à leurs ressources financières,u les universités publiques françaises, les iae (instituts d’administration des entreprises) rivalisent de plus en plus avec les écoles en audit, contrôle de gestion, ressources humaines, management, audit, contrôle de gestion ;u les professionnels assurent plus de la moitié des cours des masters pro universitaires,u le rapprochement entre grandes écoles et universités progresse (paris V et essec : ms stratégie et management des industries de santé ; Grenoble ecole de management et Grenoble inp/ Université pierre mendès-france, cnRs/grandes entreprises : ms management et marketing de l’énergie.Un encadré réexplique la différence entre masters universitaires et mastères spécialisés http://www.lexpansion.com/economie/les-facs-sur-le-terrain-des-grandes-ecoles_242661.html

inGÉniÉRie

Les INSA (Instituts Nationaux des Sciences Appliquées), des écoles d’ingénieurs adaptées à la demande internationale : vaste choix de formations de qualité, cursus biculturels

il s’agit du premier réseau d’écoles d’ingénieurs publiques en france

(64 000 ingénieurs en activité). cinq écoles, à Lyon, Rennes, Rouen, strasbourg, toulouse (plus deux partenaires du réseau : l’ecole nationale supérieure d’ingénieurs de Bourges ensiB, l’ecole nationale supérieure de céramique industrielle de Limoges ensci), préparent au diplôme d’ingénieur dans les domaines suivants : architecture – Biochimie – chimie – développement durable/environnement et risques – electricité/electronique automatique – energétique – Génie civil et aménagement urbain – informatique – ingénierie des systèmes – mathématiques – mécanique – physique et/ou chimie des matériaux – plasturgie – procédés industriels – productique – télécommunications – topographie.u il est possible d’entrer en première année avec un baccalauréat français, s ou sti, stL pour devenir ingénieur en cinq ans (frais d’études uniquement : 550€ en 2009-2010). L’accès en filières internationales est possible.u des campus proposent aussi des filières de formations plus particulièrement destinées aux étudiants étrangers, les master’s degrees in science and engineering :- section internationale bilingue, insa Rouen (50% en anglais), avec cours de français(coût de la première année : 8 565€ puis 4 370€) ; 5 ans de formation, diplôme d’ingénieur ; - deUtschinsa, cursus biculturel franco-allemand, insa strasbourg (coût de la première année 3 885 € puis 3 590 €), 5 ans de formation, diplôme d’ingénieur,- scan, enseignement entièrement en anglais la première année, ensuite pour 75%,

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insa Lyon (coût de la première année 3 950 € puis 4 335 €), 2 ans de formation, master in engineeringLes points communs à ces trois filières ? il s’agit de cursus exigeants, qui comptent au moins une moitié d’étudiants français, qui proposent du français langue étrangère pour les étudiants qui en ont besoin, comprennent un stage obligatoire dès la fin de la première année et donnent accès à certaines bourses pour les étrangers. tous les prix indiqués ci-dessus pour les masters in science and engineering comprennent les frais de scolarité, les assurances sociales et de santé, le logement et les repas pendant 10 mois. Le prix réel de la formation est de 13 500 € et son faible coût s’explique par les subventions de l’etat français, qui profitent indifféremment aux européens ou aux étrangers à l’Union.

en savoir plus sur les insacandidature pour le parcours classique en première année, du 20 janvier au 20 mars, https://admission.insa-france.fr/5insa/candidatures pour les master’s degrees in science and engineering du 15 janvier au 15 mai 2011.documentation sur les filières spécifiques : http://www.insa-france.fr/medias/pdf/monde-anglais-2011.pdfinformations sur les candidatures http://www.insa-france.fr/fr/informations-generales/http://www.insa-france.fr/classements de L’etudiant, écoles d’ingénieurs : http://www.letudiant.fr/palmares/classement-ecole-ingenieur-apres-bac.htmlcontact : [email protected]

GRENOBLE INP ENSE3, au cœur du deuxième pôle de recherches en France

L’ecole nationale supérieure de l’energie, l’eau et l’environnement de Grenoble propose des formations en anglais qui peuvent intéresser les étudiants américains, sur des thématiques jugées essentielles aux etats-Unis : u master of sciences in hydraulic engineering http://master-hydraulic.grenoble-inp.fru master of sciences in electrical engineering for smart Grids and Buildingshttp://master-smartgrid-energy.grenoble-inp.frces formations sont enseignées pour la presque totalité en anglais mais comprennent en parallèle des cours de langue et de culture françaises, pour permettre aux étudiants de bénéficier réellement d’un contact avec le pays qui les reçoit.

u durée de la formation : 2 ans (titulaire d’un bachelor) ou un an (niveau master 1 ou titulaire d’un master)u 120 ects (european credits transfer system) au totalu prix de la formation : 8 000 €/anu date limite de candidature : 15 mai chaque année pour une rentrée en septembreu public visé : titulaires d’un Bachelor dans le même domaine.

contact : antoine Le Grand, responsable des relations internationales, [email protected] savoir plus : présentation en anglais de Grenoble inp : http://grenoble-inp.fr et http://ense3.grenoble-inp.fr fiche présentant les caractéristiques de l’inp (une page, en anglais) : http://editions.campusfrance.org/etabs/par_fiche/en/ing_inp_grenoble_en.pdfecoles d’ingénieurs en france : description sur http://www.campusfrance.org/en/page/schools-engineering catalogue anglais de l’agence campusfrance (école d’ingénieurs) : http://www.campusfrance.org/fria/taughtie/index.html?mfid=4#app=a4c9&744-si=0Grenoble, ville étudiante, second pôle scientifique français avec Lyon http://www.grenoble-tourism.com/Grenoble dans la Lettre des espaces campusfrance http://ressources.campusfrance.org/publi_institu/agence_cf/lettres_esp/fr/juin2008_04.pdf (page 6)http://ressources.campusfrance.org/publi_institu/agence_cf/lettres_esp/fr/octobre2008_06.pdf(page 3)

L’ISAT (Institut Supérieur de l’Automobile et des Transports) : pour les passionnés des transports

créé en 1991 et rattaché à l’Université de Bourgogne, l’isat - institut supérieur de l’automobile et des transports - est en france la seule école

publique d’ingénieurs spécialisée dans les métiers de l’automobile et des transports. elle propose entre autres un master en anglais “master in automotive engineering for sustainable mobility”.this school has gained a strong expertise in mechanics: mechanical design and development, industrialization, manufacturing, quality assurance. With the formula-1-circuit “magny-cours” nearby, isat students are able to experience first-hand leading automotive technology. Based on sound scientific and technological foundations, the training during the 5-year program (master’s degree) is extended

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and strengthened by long periods of work experience and placements with various companies. a complete presentation in english is available here: http://www.isat.fr/assets/files/international/2010GBlight.pdf foreign applicants may enroll at isat on an individual basis for the 1st to the 4th year. all details are available on website: http://www.isat.fr/fr/enter-a-i-isat/Voie_internationale. foreign students may apply within an exchange program with one of the isat partners. further information is available at: http://www.isat.fr/fr/international/what-is-isat

for any further information, feel free to contact: Béatrice LaY -director of international Relationse-mail: [email protected]: www.isat.fr

L’EPITA (École Pour l’Informatique et les Techniques Avancées): quatre masters internationaux enseignés en anglais

L’epita (l’ecole pour l’informatique et les techniques avancées) a été récemment habilitée à délivrer le diplôme d’ingénieur par la cti (commission des titres de l’ingénieur), conférant du même coup à l’étudiant le grade de master. son titre est également enregistré par le Rncp avec une certification par l’etat de niveau i, reconduite depuis plus de 10 ans, qui témoigne de la reconnaissance par les entreprises du secteur de la parfaite adaptation de l’enseignement dispensé à leurs besoins1.elle a ouvert depuis 2008 quatre masters internationaux :u information technology managementu information systems architectureu computer securityu software engineeringL’enseignement est dispensé en anglais. ces masters internationaux sont ouverts aux étudiants possédant un bachelor (ou équivalent) en sciences de l’informatique, en ingénierie électronique ou en

électrotechnique, délivré par un établissement accrédité. Les étudiants avec une formation significative en ingénierie, ou un diplôme en Business sont encouragés à postuler (particulièrement pour le master en information technology management. Les étudiants de niveau supérieur ou les ingénieurs expérimentés peuvent également se présenter.Les programmes s’échelonnent sur une durée de 3 semestres et s’organisent autour des trois phases suivantes : les fondamentaux (5 mois), la spécialisation (5 mois), et l’expérience professionnelle (stage obligatoire en entreprise d’une durée de 6 mois). il existe deux sessions pour chacun des programmes : octobre (fin en mars de l’année suivante) et février (fin en juillet de l’année suivante).tous les étudiants internationaux sont intégrés dans le campus de l’epita. ils ont la possibilité de prendre des cours de français et de participer à un programme d’intégration culturelle.À savoir pour l’année 2011/2012 :u frais de candidature : 60€u date limite de dépôt des candidatures : 31 juilletu début des cours : 1ère semaine d’octobreu frais de scolarité : 11 600€ pour la totalité du programme u formulaire de candidature (à télécharger sur le site http://www.epita.fr/masters/masters-international-engineering-masters.html)

1 - Voir La lettre aux espaces de septembre 2008, pp. 4-5 du supplément formations http://ressources.campusfrance.org/publi_institu/agence_cf/lettres_esp/fr/septembre2008_05.pdf et http://www.cncp.gouv.fr/. descriptif en anglais de l’école sur le site campusfrance : http://editions.campusfrance.org/etabs/par_fiche/en/ing_epita_en.pdfsite de l’école : http://www.epita.fr/contact : [email protected]

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appRendRe Le fRançais aUtRement

Conseils d’amisJason sanderson, collègue américain chargé d’un secteur très important des études à l’étranger pour les étudiants de l’université de Georgetown, Washington dc, familier de l’ambassade de france et du consulat de Washington et membre actif de nafsa, nous signale des formations ayant suscité des retours très favorables, les cours annuels de spécialité 2010-2011 du cief, centre international d’études française de l’université Louis Lumière-Lyon 2 : - d.U. commerce et affaires internationales - d.U. La vie publique en france- d.U. arts de la scène, cultures de l’image et de l’espace

http://cief.univ-lyon2.fr/spip.php?rubrique12

par ailleurs, l’european summer program de l’UcL Université catholique de Lille en juillet ou en août 2011, enseigné en anglais, combine cours de français et étude de l’Union européenne. il fêtera ses dix ans cet été. excellents retours des étudiants auxquels nous avons parlé de ce programme. http://www.univ-catholille.fr/studying-la-catho/esp.asp`

Formule originale pour l’IMLS (Institut Méditerranéen de Langues/Services) : étudier tout en travaillant comme bénévole au plus près de la société française

Beaucoup d’étudiants étrangers regrettent l’aspect purement académique de leur formation en france et aimeraient mieux connaître notre société. parallèlement aux formules communes à tous les centres de langue française, l’imLs de montpellier propose des activités de volontariat. L’étudiant

rend service, tout en approfondissant ses compétences linguistiques en situation. il s’agit bien d’une relation « gagnant-gagnant », d’autant plus que le jeune étranger peut, dans certaines conditions rapporter des crédits qui comptent dans sa formation.

all our programs can combine academic studies with volunteer community service in various hospitals, nGos and schools, in relation with their skills and interests.students maximise their stay by combining theory and practice: academic study at the university, a cultural experience shared with their host family and a deep immersion into the community through volunteer service in hospitals, nGos and schools depending on their skills and interests.international students have been responding enthusiastically to this alternative form of education which allows them to get a holistic view of the country while developing specific skills and grow from a linguistic, cultural and personal point of view.témoignage d’une étudiante de skidmore college, Jessica Koss“When i signed up for the program in montpellier i knew that i was in for a challenge but i honestly underestimated the impact this experience would have on me personally, mentally, and emotionally. the service-Learning program is such a great way to learn a foreign language and culture. not only did i learn french by speaking every day but i also became a working member of the community, i became a montpellieraine. While working at the L’institut saint-pierre and also with the l’association des paralysés de france, i was challenged mentally, emotionally, and physically everyday to be just me. not only did i have to struggle to use the language but i also struggled to deal with situations that i never imagined, situations that were different from what i was used to. i learned real french. i learned real life in a foreign country. and i am coming home

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with the realest education that i could have ever hoped for. i could not have asked for anything more.”

http://www.imls.fr/encontact : [email protected]://www.imls.fr/volontariat-civique/international-partnership-for-service-learning-and-leadership

Programme d’été ‘vin et langue française’ à l’université de Bourgogne (3-15 juillet 2011)

the University of Burgundy, france, is very happy to announce its new international summer program “Wine culture and french Language”, from July 3 to July 15 2010, in dijon (www.u-bourgogne.fr/winecampus)this two-week english taught program offers a multidisciplinary approach of wine and its culture in france and in particular in Burgundy; participants will be able to get insights in every aspects of the science of vine and wine. Wine tasting sessions along with visits of wineries will alternate throughout the program.french language will be taught each morning and will be organized as a function of participant levels (from the beginner to the regular speaker).an exciting touristic and cultural week-end in paris will provide the opportunity to discover or rediscover the charms of the french capital.fees are about 1200 €. it includes tuition, visits, tastings and campus midday lunches (except on the national day July 14th), farewell dinner in a prestigious restaurant, and the We in paris (transport, accommodation and tour).this program is primarily intended for students and professionals (academics, staff...) from international partners of the University of Burgundy, among whom those involved in the network of the Unesco chair “culture and traditions of wine”. it is also

intended for any interested adults from regardless of their scientific or academic background. the application deadline is may 15, 2011, but please keep in mind the number of places is limited and registrations will be done on a first come first served basis.

more information: http://chaireunesco-vinetculture.u-bourgogne.fr/english/winecampus/ You’ll find more information and the application form on the program website : www.u-bourgogne.fr/winecampuscontact : pôle Relations internationales de l’Université de Bourgognemaison de l’UniversitéBp 27 877 - 21 078 diJon cedeX tél : 03 80 39 50 [email protected]

Le Cordon Bleu

on ne présente plus cette école de cuisine française, fondée à paris en 1895. malgré ses nombreuses implantations dans le monde, l’école parisienne continue d’attirer beaucoup d’étudiants américains.

portraits de chefs en devenir : u penny shack (United states), Grand diplôme® graduate in 2007 from Le cordon Bleu, paris.penny was a talented professional performer before she relocated to paris to pursue her culinary career. Graduating from Le cordon Bleu with honors she trained at plaza athénée under star chef christophe michalak (2005 World pastry cup winner), and with chef Gérard mulot. penny also graduated from the heG program, a joint master’s certification from Le cordon Bleu and Reims University in the champagne region.on returning to chicago she worked at mK restaurant as a pastry chef before obtaining

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yet another degree in culinary management at the illinois institute of art. in may 2010 penny opened her first venture “penny’s pastries” a new catering company that specializes in desserts especially for those with specific dietary preferences: diabetic friendly, organic, gluten-free, and vegan. When asked to comment on Le cordon Bleu, penny said “Le cordon Bleu was my home away from home and will always hold a special place in my heart. i was not only taught the fundamentals of cooking and baking by exceptional mentors whom i can now refer to as my friends, but i was exposed to many different types of people as well as places through my travels. my experience in paris made me a better person and very well equipped me to start my own business. for penny’s pastries, i take recipes i learned at Le cordon Bleu and transform them into delectables that people with food allergies or health issues can enjoy as well. Le cordon Bleu helped me to be creative and focus on my passion, baking, which i am now grateful to say i can share with others.”www.pennyspastrieschicago.com

u mary mastricola (United states),Grand diplôme® graduate in 1995 from Le cordon Bleu, parismary was the director of the University of chicago medical school alumni association when she decided to study at Le cordon Bleu and earn her Grand diplôme®. she opened her own restaurant « La petite folie » in hyde park (Barack obama’s old neighborhood) in 1999 and has hired Le cordon Bleu graduates in her kitchen. a delightful restaurant specializing in classic french cuisine. her

husband mike manages the front of house and, as a very educated wine lover, suggests the wines to the customers. Recently her restaurant was included in the first michelin guide for chicago. it also provides a catering service for private and corporate clients, customizing both menus and services.When asked to comment on Le cordon Bleu, mary said, “in striving to contribute to our clients’ joy of life, i realize that in the years since i embarked on this remarkable adventure, the seminal experience that informs nearly every decision i make is the time i spent in paris at Le cordon Bleu.” mary continued on to say, “…the many words of encouragement, advice and instruction imparted by the extraordinarily talented Le cordon Bleu faculty serve simultaneously to inspire and to ground me in the traditions of a most honorable metier”.

La fRance QUi simpLifie

Visas et titres de séjour : conjoint de citoyen européen, tout est plus facile !

tous les jours, des étudiants posent à l’espace campusfrance de Washington des questions sur lesquelles il ne peut répondre qu’avec l’aide des consulats. merci à f. Roy, Responsable des visas à Washington pour son aide régulière, ainsi qu’à la sous-direction des visas à paris !

u Voici le cas un peu particulier d’un conjoint de ressortissant de l’Union européenne.Un étudiant américain, époux d’une citoyenne anglaise, n’a pas besoin de visa pour études et ne passe pas par campusfrance États-Unis : il a droit au séjour directement sans visa (contrairement aux conjoints de francais). il doit contacter immédiatement la préfecture de son lieu de résidence (à condition que le conjoint britannique habite sur place aussi), pour demander une carte de séjour conjoint de ressortissant européen.

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u Un assistant de langue anglaise, titulaire d’un contrat de travail en france, souhaite, à l’’expiration de son contrat et du titre de séjour associé, rester en france pour des études… Un étudiant ayant obtenu un visa de long séjour pour un semestre souhaite prolonger son séjour par un second semestre d’études…il faut tout d’abord anticiper et commencer le plus tôt possible les démarches.L’étudiant doit s’adresser à la préfecture de son lieu de résidence en france afin de savoir quels sont les documents à présenter pour bénéficier d’un changement de statut (salarié / étudiant) de la part des services préfectoraux ou d’une extension du droit de séjour (associé à un établissement particulier, dans une ville donnée, pour une formation précisée avant le départ).en principe, s’il est en mesure de présenter une inscription dans un établissement, des justificatifs de ressources et d’hébergement, la préfecture devrait pouvoir lui établir un titre de séjour en qualité d’étudiant sans problème. en cas de difficulté, improbable, l’étudiant peut devoir retourner aux etats Unis pour solliciter un visa pour études.

Titulaire d’un Master, vous souhaitez acquérir une première expérience professionnelle en France ? C’est possible…

Une autorisation provisoire de séjour de 6 mois non renouvelable peut être accordée selon certaines conditionsL’autorisation de séjour est délivrée à l’expiration de la carte de séjour temporaire “étudiant” du jeune diplômé. La demande d’autorisation provisoire de séjour doit être

effectuée en préfecture, au plus tard 4 mois avant la fin de validité de la carte de séjour “étudiant”.pour pouvoir obtenir une autorisation provisoire de séjour, l’étudiant doit présenter un diplôme au moins équivalent au master figurant sur une liste arrêtée par le ministre chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche.pendant la durée de son autorisation provisoire de séjour, le jeune diplômé est autorisé à chercher, et le cas échéant, à exercer un emploi en relation avec sa formation. L’intéressé doit percevoir, pour sa première expérience professionnelle, une rémunération supérieure à une fois et demie le montant du smic, soit 2 015,65 € mensuel brut au 1er janvier 2010.Jusqu’à la conclusion du contrat en lien avec sa formation et correspondant à sa première expérience professionnelle, l’intéressé bénéficie également du droit de travailler avec son autorisation de séjour, comme les étudiants (dans la limite de 60 % de la durée de travail annuelle après déclaration préalable de l’employeur auprès de la préfecture qui a délivré l’autorisation).a l’issue de la période de 6 mois sous autorisation provisoire deséjour, le diplômé titulaire d’un emploi ou d’une promesse d’embauchepeut demander une carte de séjour temporaire mention “salarié”, afin de poursuivre sa première expérience professionnelle. La situation de l’emploi ne lui est pas opposable.

tous les détails pratiques (calendrier, liste des pièces à fournir, diplômes admis en équivalence du master, conditions particulières) sont communiqués ici : http://vosdroits.service-public.fr/f17319.xhtml

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Bologne et la Lumina Foundation : ces Américains qui voient dans l’effort européen d’harmonisation un modèle stimulant

Lumina decided to bring that part of the Bologna process to the United states with setting two or three goals in mind. one big goal was to involve faculty more deeply with the whole question of learning outcomes. Lumina leaders wanted to start by asking fields to think about their own discipline, the work of the major, and also what’s the difference between a history major or history studies in the two-year institution than four-year institution than master’s degree. how do the several cycles of two-year study; four-year study and post-graduate study build on one another?so, the first phase of the tuning project has been to involve three states and disciplinary teams in those three states. they’ve addressed history, physics, chemistry, education, biology, and graphic arts. the teams of faculty came from two-year institutions, from four-year institutions, public and private, and from master’s programs to explore together the expectations for this degree as you proceed up the ladder for student learning from secondary learning to postgraduate learning.another part of the pilot tuning project was to ask each team to take a hard look at where the graduates were actually going. What happens to physics majors? What happens to chemistry majors? Where do history majors end up? What are their careers paths? a very small fraction of graduates in most fields actually go to graduate schools in their major field. if your graduate is not going to be a historian or a physicist but is going to work, how does the major field prepare the student to that? the tuning process has

invited a dialogue between educators and employers about the kinds of learning that a degree should reflect in different disciplines.

carol Geary schneider, president of aac&U, “Global Learning for all”, International Educator, nov. - dec. 2010, p. 23, 24

Bologne : un regard américain

carlin (professor and Bologna expert at the University of Kansas) says that three-year degrees from europe are nevertheless becoming increasingly accepted in the United states. “the three-year degree issue isn’t as big a problem as it was ten years ago. What you really want people to know by the time they get into their graduate degree is knowledge of their subject matter. the majority of grad schools are saying that they’ll accept a student with a Bologna degree if they are qualified. part of this has come out of recognition that most of us have been accepting three-year degrees from the U.K., australia, and india for years,” she explains.in addition to the increasing number of three-year degrees at U.s. institutions, administrators are also becoming more accepting of Bologna degrees in general.the survey also showed that graduate admissions staff and graduate deans had a strong grasp of the Bologna reforms. according to iie, more than half of respondents reported their institutions had an official policy in place to guide the admissions response to three-year, Bologna-compliant degrees; within this group, a third tended to view three-year, Bologna-compliant degrees as equivalent to U.s. four-year degrees, and another third decided equivalency on a case-by-case-basis.

charlotte West, “the Bologna process ten Years on”, international educator, nov. - dec. 2010, p. 29-30.

eURope - etats-Unis

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La Grande-Bretagne, avec les Etats-Unis, est l’enfant chérie des classements internationaux d’universités. Cela n’empêche pas ses intellectuels de poser quelques questions, graves et dérangeantes, sur l’évolution de son enseignement supérieur

u La mondialisation heureuse ?We once cherished our universities—but now feel that there are too many of them and they hand out worthless degrees. Why have our highest seats of learning become so unloved? u au nom de la compétition, faut-il accepter le n’importe quoi ?Universities, of course, compete with each other for students, as i noticed recently when a brochure for Leeds—a large, successful university—dropped through a friend’s letterbox for her son. it was dismayingly preoccupied with drinking, music and nightlife, while downgrading the information about the courses. i was embarrassed by it. it was no way to attract young people—who in my experience are all potential idealists—into interesting lives. (…)u etudiants étrangers : des amis que l’on forme ou des vaches à lait ?Universities have used fee-paying foreign students to increase their incomes. (…)What do foreign students need? What kind of curriculum will best educate them? in some disciplines, like maths or biochemistry, that may be a stupid question, but in subjects such as arts, economics and communications, we should be more thoughtful if we are not merely to exploit them. (…) some subjects, such as english and history, attract few foreign students—yet they are of great national importance. so how do we support them without all that foreign cash? and do we really want universities that are dominated by foreign elites rather than being forcing houses for our own future? despite the easy encomiums about globalisation, what we need universities to teach our citizens is different from what many foreign students from very different places need. neither

question has been addressed. (…)u evolution inquiétante des Masters

an economics ma at Lse, for example, costs £19,000. there is no state funding for masters degrees yet they are becoming a key gateway to top professional jobs—but only middle-class young people can afford to do them. as foreign students flock to Britain to take these degrees and top out their education, mas have become a kind of finishing school. these degrees are a vital part of keeping departments afloat and can be a delight to teach—but their purposes are muddled and their impact discriminatory. they are also the only way into further academic research (you cannot do a phd without doing a masters first), so they act as a filter for future academics. some departments use a portion of their “research” money to fund bursaries to correct this distortion. But it’s a rum business. (…)u des sciences humaines sous influenceBut in the humanities and social sciences, a different approach is needed; books ought to matter a great deal more than articles, and writing for a popular audience is important in these disciplines. naturally enough, given the incentives, people began creating “journals” and untold forests were felled and filled with reams of dull research. (…) Worse, (…) the best way to score highly in a research excellence exercise if you’re a business school academic in Britain is to get published in a peer-reviewed business studies journal in the Us. But these journals often focus on sophisticated statistical techniques applied to Us industrial sectors, so the system is pulling our researchers away from studying the British takeover market or the midlands engineering industry. We should be helping the academy turn back to the world it lives in.(…)

source : Jean seaton, an academic question, , prospect, 12th october 2010 — issue 175, http://www.prospectmagazine.co.uk/2010/10/unloved-british-universities/ (Jean seaton is a professor of media history at the University of Westminster and the official historian of the BBc.)

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hoW mUch does hiGheR edUcation cost BRitain? £12.9bn amount spent on higher education by the government in the fiscal year 2009-10, out of a total spend of £669bn.2.3 per cent the increase in real terms of spending on higher education from 1997 to 2010.£10,057 amount spent annually per undergraduate by academic institutions in 2007, including teaching and research.£3,290 the maximum annual tuition fee that universities are allowed to charge British students.£7,000 the approximate minimum cost of student living per year.£25,421 the household income cap above which students are not eligible for tuition-fee grants.£1.9bn the amount brought in by foreign students outside the eU in 2007-08, an increase of 313 per cent since 1994-95. fees range from £8,000 to £25,800 depending on the course.£24,700 the projected average student debt of those entering higher education in 2010, an increase of 5.4 per cent on the previous year.£449m the cuts to higher education announced in february—a more than 5 per cent reduction nationally. further cuts of about 5 per cent a year for five years are expected.source for the graph: http://www.prospectmagazine.co.uk/wp-content/uploads/2010/09/175_feature_seaton_chart.jpg

focUs inde

Pourquoi avoir une représentation locale régulière

en Inde ? Faut-il traiter avec les agences de recrutement ou les

ignorer ? De l’université du Middlesex aux universités américaines, en passant par le British Council, IDP Australia…

india’s overburdened higher-education system simply cannot meet the crushing demand for places. some 220 million indian children are enrolled in elementary and secondary schools, but its 400 universities can accommodate fewer than 10 million students, just 12 percent of the college-age population. at the same time, the country’s education minister is pressing to increase the college-going rate to 30 percent within the next 10 years, but efforts to expand capacity are moving slowly.as a result, even shri Ram’s best students can find it difficult to secure a place in the institution or courses, of their choice. in the spring of 2008, for example, a record 320,000 students took the entrance examination for just 8,000 spots at the country’s 13 indian institutes of technology.in india, agents number in the thousands and range from corporate behemoths like idp education, an australian company that recruits one of every five foreign students to that country, to shady storefront operators who forge transcripts and submit ghostwritten essays for applicants with subpar english. a pair of agents even slipped into the american college fair and circulated business cards among students and college recruiters, despite a U.s. state department policy barring any college-advising programs it sponsors abroad from forming partnerships with commercial recruiting agents. the approach has been adopted by relative new-comers to the market, like canada and new Zealand, while the British council,

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a government education agency, reversed its initial opposition to agents almost a decade ago, opting instead to more closely regulate their behavior.middlesex is one of dozens of foreign universities, mostly British that have set up shop in india. Joe Victor, a dapper, mustachioed man who runs middlesex’s south asia operations, opened one of the first regional offices of an overseas institution, Britain’s University of Leeds, back in 1996.over a shared midday meal, mr. Victor and his staff talk about the benefits of on-the-ground expertise. While other recruiters jet in and out, in his office is a constant presence - a resource for his institution, as it tracks shifting enrollment trends, and for students and their parents.middlesex still relies on independent agents for recruiting assistance, but mr. Victor says he is able to carefully evaluate and train them; breaking ties with those whose services are substandard and rewarding ones who do good work with larger fees and a marketing budget. “people would rather go to someone they trust. it’s a confidence builder”.But the bottom line, everyone seems to agree, is that in a brave new student-recruiting market, old methods are no longer enough.

Karin fischer, “in india, a student Recruiting industry Ups the ante for U.s. colleges”, Global issues in higher education, vol 2, p. 17, 20.

Les mutations du système d’enseignement supérieur indien : avis aux partenaires potentiels !

much like the country itself, indian higher education is huge, complex, and full of contradictions. in absolute terms, college enrollment, at around 12.8-million people, is the third largest in the world-next only to china and the United states. But the country is able to accommodate only a little more than 12 percent of the eligible students.

female participation rates are even lower, and large regional

imbalances and wide disparities among various socioeconomic

groups persist. also, while the number of institutions is large, about 22,500,

each institution has an average of only 600 students. that makes many of them unviable, not only financially but academically because they lack a critical mass of scholars.today, in certain high-level vocational disciplines – engineering, medicine, management, nursing, and teacher education – more than four-fiths of the enrollment are in private institutions. however, such operations are not necessarily aboveboard. Recently the news media reported that private providers were charging huge sums of money for medical-college admissions, and private institutions allegedly bribed senior officials for obtaining approvals. the government has put in place a system of multilayered regulatory of private institutions, but it has several loopholes. and the current voluntary accreditation has no enforcement and is thus ineffective.currently, students have little choice in india: they go through a fixed common curriculum that is usually not revised for decades. a new credit system would break the curriculum into small units and allow students to choose from various courses that would be revised regularly.Under circumstances, american universities may still want to take a “wait and see” approach. opportunities for partnerships should increase as higher education receives greater priority in india. it would be useful, however, for american institutions to negotiate those partnerships with individual institutions or various state governments, rather than look for clear policy any time soon at the national level.

pawan agarwal* (author of indian higher education: envisioning the future, sage, 2009), “can higher education in india Break from its past?”, Global issues in higher education, vol 2, p. 44, 45.

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ont participé à cette lettre d’informations :

Jean-Kely paulhan, olivier dupeyron (maquette), Floriane rasplus

(coordinatrice)

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