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REVUE DE PRESSE Mercredi 8 février 2017
AgriculteursRetraites agricoles : l’histoire d’une vie pour en bénéficier à Mayotte.Publié le 8 février 2017
Ali Ambody, à la tête du syndicat agricole MODEF, interpelle les parlementaires mahorais sur les niveaux réels des retraites agricoles à Mayotte. Et demande des mesures d’accompagnement.
Ce jeudi 2 février, les députés ont adopté à l’unanimité la proposition de loi sur la
revalorisation des retraites agricoles portée par le député communiste du Puy-de-Dôme,
André Chassaigne. Elle fixera la pension retraite à 85% du SMIG net, et non plus 75%
comme actuellement, pour le responsable de l’exploitation, et pour une carrière complète
et à partir du 1er janvier 2018.
C’est dire qu’il va falloir du temps pour que les premiers agriculteurs retraités en
bénéficient à Mayotte, peu remplissant ces conditions, « la durée de cotisation de nos
anciens est extrêmement courte, un agriculteur de 64 ans qui part aujourd’hui à la retraite
n’aura qu’une seule année cotisée ».
Solidarité nationale
Il sollicite en conséquence l’appui des élus nationaux, « Nous vous demandons d’apporter
votre soutien pour que la mise en place des retraites agricoles à Mayotte, soit faite comme
cela a été organisé à La Réunion, en Guadeloupe, en Martinique, etc. La solidarité
nationale a été mise en place pour reconnaître le temps travaillé comme paysans sous
réserve de témoignages l’attestant. »
Il demande en outre une dérogation pour payer la cotisation retraite de 200 euros par an,
à n’appliquer que dans 5 ans, « comme cela s’est fait dans les autres DOM. Beaucoup
d’anciens n’arrivent pas à la payer. »
Enfin, l’agriculteur demande une simplification des procédures administratives pour
l’obtention du RSA.
A.P-L.
SyndicatsAnthony Tétard : « Victime de concurrence déloyale, la situation de la SMART appelle à une réponse urgente. »Publié le 8 février 2017
Préfecture de Mayotte – Bureau de la communication interministérielle - www.mayotte.pref.gouv.fr Préfet de Mayotte @Prefet976
REVUE DE PRESSE Mercredi 8 février 2017
La délégation de 10 représentants de la fédération de ports et docks de la CGT, quitte Mayotte après avoir rencontré les élus du département ce mardi. Anthony Tétard, leur chefde file, liste les actions à mener.
Le syndicaliste Anthony Tétard tire une sentiment mitigé de son passage à Mayotte :
« D’un côté, la filiale du délégataire qui pique tout le trafic de l’entreprise historique, dans
un bel exercice de concurrence déloyale, de l’autre, des services de la Direction du travail
ou de la préfecture qui semble avoir peur de la gérante de MCG. » Cette dernière n’a pu
les recevoir malgré leur demande (Lire Demande d’audience – MCG 02-2017).
Il explique vouloir alerter les ministères des transports et des Outre-mer, « la préfecture et
le conseil départemental ont entamé des démarches, mais elles sont de longue haleine.»
Car le temps des actions judiciaires ou institutionnelles envisagées par le conseil
départemental n’est pas celui de la SMART : « La situation est urgente. La SMART a
perdu 50% de son trafic, et nous n’accepterons pas le licenciement de nos camarades
dockers. Le blocage des ports métropolitains sera une des réponses. »
Conserver une maîtrise des enjeux du port
Ils visent également, sans le nommer, celui qui a choisi de ne plus travailler avec la
SMART, provoquant cette perte de chiffre d’affaires : « Nous ciblons également un
armement qui joue double jeu. Il applique les mêmes pratiques à La Réunion qu’ici,
en mettant en place des ouvriers occasionnels, non formés, avec des
rémunérations moindres que les autres. » Une sorte de dumping social que
n’apprécie pas vraiment la CGT. Ils partent à La Réunion constater la situation sur
place dès ce mercredi.
Anthony Tétard appelle donc les élus du département, que la délégation a rencontrés cet
après-midi, « à avoir un vrai courage politique », et à « dénoncer la DSP. La longue liste
des manquements de la délégataire qu’ils ont dressée devrait leur permettre de le faire à
moindre coût, qui n’est de toute manière pas comparable au coût social de 180
licenciements. »
« Ce port doit basculer en Grand Port Maritime, mais c’est du ressort du Ministère des
Transports, bientôt plus opérationnel en raison des élections. Il faut en tout cas y
réintégrer une maîtrise publique, étant donné les enjeux que représente l’unique port du
territoire. »
A.P-L.
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REVUE DE PRESSE Mercredi 8 février 2017
Justice
L’ancien maire de Tsingoni sous contrôle judiciaire.
Publié le 8 février 2017
Dans un communiqué, le parquet du Tribunal de Grande Instance de Mamoudzou
explique que l’enquête menée par la Section de recherche de Pamandzi sur les
irrégularités de gestion de la commune de Tsingoni, porte sur la période 2010-2013.
L’attribution irrégulière d’un marché public à amené à mettre en examen l’ancien maire
pour les chefs de détournement de fonds publics, d’atteinte à la liberté d’accès et à
l’égalité des candidats à un marché public, de faux et usage de faux en écriture publique
et de corruption passive. Il a été placé sous contrôle judiciaire et astreint au versement
d’une caution de 30.000 €.
L’entrepreneur a été mis en examen des chefs de recel d’atteinte à la liberté d’accès et à
l’égalité des candidats à un marché public, complicité de détournement de fonds publics,
faux et usage de faux et corruption active. Il a également été placé sous contrôle judiciaire
et a fait l’objet de saisies bancaires à hauteur de 94.454 €.
Occupations illégales
Le maire de Ouangani promet d’intervenir sur chaque nouvelle construction.
Publié le 8 février 2017
Ali Ahmed-Combo a usé de son pouvoir pour faire détruire des bangas en construction à
Kahani. Il prévient que l’opération sera reconduite désormais systématiquement.
«Maintenant que je connais la loi, j’interviendrai à chaque fois, immédiatement, pour
stopper chaque nouvelle construction illégale». Ali Ahmed-Combo est tout à fait satisfait de
l’opération réalisée en fin de semaine dernière dans sa commune. Et il en tire toute une
série de leçons.
Menée conjointement par les services de la commune, la police municipale et la
gendarmerie, l’intervention visait à détruire un grand nombre de bangas en cours de
construction sur une parcelle appartenant à la commune. «Jeudi dernier, j’ai été alerté par
un policier municipal qui venait de voir des chantiers de constructions illégales à Kahani.
J’ai immédiatement pris ma voiture pour aller voir et j’ai demandé que les policiers
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REVUE DE PRESSE Mercredi 8 février 2017
municipaux fassent les constats. Il y avait déjà 4 ou 5 bangas montés», explique au JDM
Ali Ahmed-Combo.
La parcelle concernée couvre un hectare. Elle n’est pas utilisée mais fait l’objet d’un projet
de centre de tri temporaire. «Je m’apprêtais d’ailleurs à contacter le département et le
SIDEVAM pour leur demander de clôturer pour éviter des occupations illégales. Ca fait
plus d’un an et demi que ce projet existe sur cette parcelle», précise le maire.
Un village en chantier
Clairement, si le premier magistrat n’intervient pas, un village de bangas va rapidement
s’élever. Jeudi soir, il contacte donc la préfecture et le colonel de gendarmerie pour savoir
ce qui peut être mis en œuvre. «Je ne savais pas que les maires ont tout pouvoir pendant
48 heures pour faire stopper et détruire des constructions non autorisées en cours de
réalisation. La loi était donc avec moi mais il ne fallait pas attendre».
De fait, l’opération va se préparer très rapidement. Et dès 15 heures vendredi, la police
municipale reçoit l’appui de deux pelotons de gendarmerie. Les tractopelles vont pouvoir
entrer en action. «En moins d’une journée, 7 bangas étaient déjà terminés et quand on est
arrivé, il y en avait peut-être une centaine d’autres qui étaient commencés. Dans la nuit, ils
avaient même tiré de l’électricité et amené des congélateurs !» indique Ali Ahmed-Combo.
Tirs de lacrymogènes
Les forces de sécurité se sont positionnés pour boucler le site face à plus d’une centaine
de personnes qui n’étaient pas disposées à assister à la destruction des habitations
qu’elles construisaient. La tension était palpable et l’attroupement menaçait de tourner à
l’affrontement. Face aux jets de pierres essuyés par les forces de l’ordre, la riposte ne se
fait pas attendre, avec des tirs de gaz lacrymogènes. Les gendarmes écartent également
deux barricades dont une enflammée pour permettre la circulation autour du site.
La gendarmerie indiquait hier mardi qu’aucun blessé n’était à déplorer de part et d’autre.
«On est régulièrement confrontés sur la commune à des constructions illégales. Souvent,
elles sont montées dans la nuit ou pendant le weekend quand on a moins d’effectifs pour
voir ce qui se passe. Mais maintenant, je ne laisserai plus faire», affirme le maire.
Ali Ahmed-Combo est également intarissable sur l’action de la préfecture. «On a un préfet
qui joue vraiment le jeu et qui vient à notre secours. Il nous rappelle le droit des personnes
mais il nous informe aussi de la loi qui nous protège quand nous ne la connaissons pas».
Les tractopelles ont donc dégagé les poutres et les tôles de la parcelle… Jusqu’à la
prochaine fois. «Il faut que le message passe : nous ne laisserons plus des gens venir
s’approprier des terres. Il faut vraiment que les choses soient claires», conclut-il.
RR
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REVUE DE PRESSE Mercredi 8 février 2017
La Majorité éclate à Bandrélé
Publié le 8 février 2017
Le maire Ali Moussa Moussa Ben a retiré les délégations de signature à quatre de ses
adjoints, les 1er, 3ème, 5ème et 8ème. Il leur reproche « la non tenue de permanence en
mairie et le manque de loyauté avers le maire », notamment sur une opposition à ses
projets lors des conseils municipaux. Ils ne perçoivent donc plus d’indemnités.
Les élus incriminés revendiquent un débat démocratique et reprochent au maire de n’avoir
pas pris de sanction contre sa 2ème adjointe qui aurait fait payer une facture de réparation
sur sa voiture personnelle par la mairie, selon une information qu’avait livrée nos confrères
des Nouvelles de Mayotte.
Hôpital
Etienne Morel part pour Wallis-et-Futuna
Publié le 8 février 2017
Le Journal Officiel de ce jour fait état de la nomination d’Etienne Morel, directeur du
Centre hospitalier de Mayotte(CHM), à la tête de l’Agence de Santé de Wallis-et-Futuna. Il
y prendra ses fonctions le 1er mai.
Arrivé de Quimperlé en février 2013, Etienne Morel, 59 ans, aura assisté à la pose de la
première pierre de l’hôpital de Petite Terre par le premier ministre Manuel Valls. Lors de
ses derniers vœux pour l’île, prononcés le 24 janvier dernier, Etienne Morel reprenait les
chiffres qui ont marqué l’année 2016 : 9.514 naissances, un record, des passages aux
urgences en hausse de 6%, sollicitées plus de 1.000 fois, et se disait fier d’avoir presque
pourvu les 114 postes alloués par l’ARS.
Il quitte un hôpital sous tensions, autant en manque de personnel qu’en affluence de
patients, pour une destination plus paisible, et où il va retrouver les dispensaires, l’Agence
de santé de Wallis-et-Futuna en chapeautant 4 ainsi que 2 hôpitaux.
A.P-L.
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Mayotte, les situations se dégradentPublié le 7 février 2017
Les caractéristiques d’un pays sous-développé s’accumulent les uns sur les autres sur le département de Mayotte.
La tuberculose vient d’être diagnostiquée à Mayotte. L’ARS a fait savoir qu’une
cinquantaines de cas de lèpre avait été décelé l’année dernière. Il y a quelques années
c’était le choléra, la gale, bref, des infections et des maladies que l’on croyait éradiquées.
Enfin, toute une gamme de fièvres tropicales dont le paludisme frappe régulièrement le
101ème département français.
Il y un problème de santé public sur cette île. Mayotte, un désert médical, oui, mais aussi
un nid de maladies que l’on ne rencontre que dans les pays dits, pauvres. Des Etats qui
n’ont ni les moyens ni de se soigner ni de faire de la prévention. L’humour noir de
médecins sans frontières peut s’adresser aussi aux habitants de Mayotte : "Vous souffrez
d'insuffisance grave de solvabilité. Désolé, vous êtes trop pauvres pour être soignés".
Les files d’attente devant les dispensaires et l’hôpital de Mamoudzou témoignent de cet
état de fait.
Evidement que les échanges légaux ou pas avec les autres îles de la région sont des
facteurs à tenir en compte, mais aucun pays ne refuse des étrangers au motif qu’ils sont
potentiellement porteurs de maladies. Il y a longtemps que des populations entières ne
sont pas mises en quarantaine pour cause d’épidémie.
Le problème est de constater que la France accepte d’avoir en son sein un département
où les soignants se battent encore contre la lépre et la tuberculose.
Si on y ajoute le taux de chômage très élevé, notamment chez les jeunes ; les problèmes
de l’éducation et le développement de la violence, l’on est en droit de se poser la question
de la place de Mayotte dans la République.
Et dans les statistiques internationales, les habitants de cette île sont comptabilisés dans
les moyennes françaises.
Nous sommes une puissance économique, un pays développé avec un système de
protection sociale et sanitaire que l’humanité entière nous envie.
J’allais ajouter clientélisme et corruption dans la liste des maux qui minent Mayotte, mais
l’actualité nationale et internationale fait comprendre que ces deux fléaux font partie du
corollaire de la mondialisation.
Et pour avoir écouté et cherché dans tous les programmes des candidats à la
présidentielle de mars prochain, je sais que la solution ne viendra pas d'eux. Aucun n’a
prévu de plan spécial pour Mayotte, ce fameux plan de rattrapage.
Chez certains, les propositions pour l’outre-mer relèvent de la minute nécessaire de
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REVUE DE PRESSE Mercredi 8 février 2017
monsieur Cyclopède; amusantes mais surréalistes...
A moins que nous ne nous satisfassons de cette déclaration d’une candidate pour sortir
Mayotte de la crise : « Il faut faire une place à l’outremer au cœur de notre République »
Le SNES demande la tenue du CHSCT pour le cas de tuberculose
Publié le 8 février 2017
Henry Nouri, le porte parole du SNES demande la tenue d’urgence du CHSCT (Comité
d’Hygiène et de Sécurité et des Conditions de Travail) pour traiter les cas de tuberculose
détectés à Sada et Dzoumogné. Il déplore l’absence de communication du vice-rectorat
sur ce sujet mais aussi sur celui de l’eau dans les établissements du second degré…
Batiston refuse l’investiture des républicains au NordPublié le 8 février 2017
Batiston, le président de la section d’Acoua des Républicains conteste la procédure d’investiture des candidats pour les législatives 2017. Il veut que les militants locaux soientconsultés pour le choix final…
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